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Visuels scénario
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Un peu court, quand-même, comme
message de rupture, d’adieu après lit.
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Ici ,le cœur battant, je viens lui offrir
cette fleur mais elle regarde ailleurs !
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J’ai juste à te dire que je ne t’aime plus,
c’est tout mais je ne sais pas pourquoi ?
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Textuel calligramme
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- Pourquoi elle m’aimait, elle ne m’aime plus ; pour quoi elle me parlait, elle ne me parle plus ! Question demeurée sans réponse et, pour elle, absconse : passée, pour elle, à autre chose de bien plus drôle, plus rose. Fortement frustré, je le suis, et frustré… je le demeurerai, tant que je n’aurais pas compris ce qu’elle a… à me reprocher. Comprendre ce qui s’est passé, ce n’est pas trop lui demander mais cette belle s’y est dérobée, elle m’a laissée seul… esseulé. De capable, je suis rendu coupable de n’être pas assez aimable pour la laisser tranquille avec son nouvel amour qu’elle file. Tant que je n’ai pas saisi pourquoi elle me m’aime plus, ne m’aime pas, je resterai le cœur et l’âme en croix face à l’absurdité de son nouveau choix. On pourrait, au moins, se parler, s’écouter pour tenter de comprendre ce qui s’est passé, mais son corps et sa bouche sont tellement de bois que je me demande vraiment s’il faut que j’insiste ou pas. Après avoir été l’intime, je deviens l’évitable étranger. Après avoir été victime, je deviens le coupable déclaré. J’appelle un juge de l’amour pour plaider ma cause, il n’en est nul : amour n’est pas son fait, amour n’est pas sa chose ! C’est sûr qu’un jour ou l’autre, je m’en remettrai, et qui le sait avec la même, l’orage et le désastre étant passés, dépassés ! Trop près, puis trop loin, à fond de sexes, de prétextes à rompre en confusions : bien aimé, mal baisé, sont connexes. Si ce n’est le contraire : trop bien baisé mais trop mal aimé ! Différences, divergences, entre hommes et femmes, entre visions des bonheurs : c’est toujours la mort dans l’âme que l’on se déclare ennemis jurés, quand sa blessure au cœur n’en finit pas de nous procurer nos pleurs. Pleurs auxquels succèdent la rage, la peur, le dégout et la colère comme si, en nous, cette rupture était comme tremblement de terre et qu’on ne saurait reconstruire sur un champ de poussières, quand les soins aussi, nous font mal, tant la pilule est amère. Après avoir été l’intime, je redeviens l’étranger, qu’il faut fuir, éviter, ne plus jamais rencontrer, par crainte de recommencer, qu’il vous bassine de mots si faux qu’ils vous assassinent. C’est à n’y rien comprendre, d’elle, de lui : nous étions proches, quasi-fusionnels. Après m’avoir donné des ailes pour voler, de concert avec elle, voilà qu’elle me les aura coupé, pour que je reste à terre, atterré !
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Textuel extension
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- Les situations, contextes et formules de ruptures ont diverses, parfois très courts : un seul mot qui en dit long, qui dit tout, ou une déclaration qui tombe comme un cheveu sur la soupe, ou une discussion franche ou l’on explique tout par le menu. Je t’aimais, je ne t’aime plus : on dirait qu’on s’est trompé ! Pourquoi pas, ça arrive : comment l’avouer, sans blesser l’autre qui y croit encore, veut poursuivre plus avant ? Les raisons de ne plus s’aimer ne sont pas le mêmes que celles qui nous ont poussés à aimer, d’évidence, peut-être qu’on mettrait plus en lumière les défauts, alors qu’aimer séduit par toute une liste de qualités. Paradoxalement, il faut avoir les qualités de ses défauts, pour devenir le plus compatible avec ceux des autres et si peu à peu les qualités se transforment en défauts, quoi de plus évident que l’amour trompé se dissocie.
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Textuels symboliques
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Vase
- Symbolique de forme : Pour la Grèce Antique, le terme vase désigne une grande variété de récipients dont les formes sont classées selon une typologie bien établie. Et le plus souvent, ces vases, généralement en terre cuite, sont décorés avec les techniques de la « peinture à figures noires » ou de la « peinture à figures rouges ». Nombre de ces décors présentent des scènes figurées. Wikipédia : vase grec
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Personnage
- Symbolique de fond : Personnage désigne une personne à laquelle l’on affecte une fonction. Un personnage que l’on dit, de fiction, le personnage principal ou secondaire d’une œuvre : héros ou méchant. Un personnage historique, protagoniste, issu du réel mais évoluant dans un récit. Un personnage type, un rôle se référant à un cliché prince charmant, tueur en série, la femme fatale, voire le jeune premier, etc. Un personnage dans les mondes imaginaires recouvrant des jeux de rôle, livres, sites web et les nombreuses associations des adeptes. Source : Wikipédia
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Corrélations > Désamour, jeu, dupe, rôle, abandon, humain,
- Liens fond/forme : Amour, désamour ne sont pas que contraires, ils deviennent aussi et tout autant binaires dans la mesure où ils sont temporaires, et parfois même des plus éphémères ! On passe de personnage à personne, réciproquement sans qu’on sonne tant hier j’étais tout ou presque, et, aujourd’hui, je suis en reste. Était-ce un jeu, de dupe, de rôle, mais moi je ne le trouve pas drôle un mot sur smartphone pour dire : «Voilà je te quitte, je ne t’aime plus » comme on abandonnerait un chien sur une aire d’autoroute de vacances : c’est pratique, efficace, pas humain.
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