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Visuels suggestion de scénario
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Au début de l’école, les intelligences
semblent proches les unes des autres,
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en sortie d’école, c’est l’expérience
qui double l’éducation à son profit,
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au final, il y a gagnant et un perdant :
est-ce dû à leur niveau d’intelligence ?
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Textuels calligramme / extensions
£ + & #
- £ La vie est faite d’essais et la vie est faite d’erreurs, la vie est faite d’expériences, la vie est faite de connaissances. Qui n’a pas subi, assumé d’échecs ne connaitra rien à ses réussites ou il ne les savourera pas à leurs justes valeurs. La vie est faite de nos expériences et de nos échecs mais la vie nous les impose, à des degrés divers : riches ou pauvres : personne ne passe à travers ! Certains nous grandissent pour faire le fier, d’autres nous ravalent plus bas que terre. Certains apprennent à chaque pas, en bons élèves, ils sauront se donner les moyens ; d’autres progresseront, mais en d’autres directions, qui les mèneront parfois très loin ; d’autres ne feront rien, contents de tourner en rond, mais ces derniers s’en plaindront et jusqu’à leur fin, grognons. Les vraies richesses, dites intérieures, sont d’une rare beauté. Elles sont plus difficiles à observer du premier coup d’œil par le premier quidam intéressé : il faut du temps pour les admirer : elles ne se donnent jamais en spectacle. Après découvertes, on en fait ce qu’on veut, sinon ce qu’on peut, mais on ne pourra plus prétendre ne les avoir jamais rencontrées, nulle part, chez personne car de là à dire que l’homme est mauvais, il n’y a qu’un pas, trop vite franchi ! Question, l’homme serait-il, foncièrement, bon ou mauvais ! Réponse : pas plus l’un que l’autre et de toute façon c’est une conception de la morale qui évolue avec le temps, le lieu. Question, l’homme serait mauvais dans une société qui l’est ! Réponse : non car il serait aliéné, perdant son libre-arbitre et sous dictatures, l’homme n’est pas plus mauvais qu’ailleurs. Lhomme aliéné n’est plus en mesure de pratiquer sa liberté ! Réponse : il n’a plus de responsabilité, culpabilité ou bien il n’a plus que celle qu’on va lui donner et à son insu.
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- + La vie est faite de nos expériences et de nos échecs mais peu d’entre elles, peu d’entre eux, sont transmissibles aux autres. Toute génération les refait, reconstitue, revit, différemment. Enfin quand même, par l’éducation et par l’exemple, on peut éviter les plus inutiles, les plus nuisibles, dangereuses. Est-il besoin de tuer quelqu’un pour sentir l’effet que cela fait ! Sûr que non et, pour bien d’autres méfaits, c’est pareil. Mais le bien a toujours eu besoin du mal pour s’ériger comme tel. C’est grâce aux voleurs qu’il y a des gendarmes : ce sont eux qui les occupent, font vivre.
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- & Expérience et expérimentation conduisent, et pour chacun d’eux, à une réussite ou bien à un échec. Expérience, on croit savoir pourquoi. Expérimentation, on sait l’expliquer. Mais c’est l’assimilation… des deux, pour l’intégration la plus réussie, qui fait toute le la différence.
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- # On dit qu’un seul échec nous apprendrait bien plus que la somme de nos réussites ! Sans aller jusque-là : plus tôt on subit un gros échec, on l’assimile et puis le rectifie, mieux l’on est armé, ensuite, pour réagir. De nos jours on appelle cela : être résilient. La connaissance, la maitrise des émotions jouent grand rôle dans la réussite du test : épreuve physique autant qu’intellectuelle. Le stress servirait à stimuler ou à bloquer. L’expérience autant que les entrainements, apprend à rester zen, en toutes situations !
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Textuels symboliques et corrélations
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Hommes
- Symbolique de forme : La théorie sociologique de la reproduction développe l’idée que lorsque l’école dispense le même enseignement à tous les hommes et les évalue sans différenciation, elle privilégie, de fait, les enfants issus des classes sociales favorisées. Car ces derniers, de par leur origine sociale, maîtrisent mieux que les autres, et le langage et la culture scolaires. Bourdieu parle de «violence symbolique» exercée sur les enfants couches sociales défavorisées. Peut-on lutter contre l’échec scolaire ? (De Boeck, 1996
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Expérience
- Symbolique de fond : Le symbole n’est pas que définition, c’est une expérience. Pour se relier au monde, l’être humain devra renoncer à la logique unique du «Pourquoi ?» «Parce que…», En modalité linéaire et mentale du questionnement et fondement de notre interrogation occidentale mais qui limite la richesse de nos potentialités. En même temps, cette demande reste légitime. Pour obtenir des réponses cohérentes, utiles, une posture et une attitude, nouvelles, sont nécessaires. La connaissance des langages symboliques, appuyés sur la compréhension de ce qu’est la fonction symbolique est un outil précieux sur chemin de compréhension. savoirpsy.com/formation-lexperience-de-la-fonction-symbolique
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Identité > animal suprême, demi-dieu, mythologie, science, religion
- Liens fond/forme : D’après Platon et Socrate, l’homme fait toujours ce qu’il pense être le meilleur au moment … d’agir. Il se prend pour l’alpha et l’oméga sinon de l’Univers, de la planète Terre sur laquelle il règnerait en maitre alors même qu’il n’en finit pas avec toutes ses guerres. Il est, à la fois, les quatre éléments, un animal suprême et un demi-dieu qui veut s’approprier un monde divin, qu’il aura imaginé lui-même comme une mythologie ! Qu’elle soit grecque, juive, indienne, il reste encore en quête de son autonomie et de son identité : moitié sage ou moitié fou, il erre en quête de sa destinée qu’aucune science ni religion ne peut lui apporter.
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