999 – Etre, c’est se reconnaître, dire et faire !

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Visuels suggestion de scénario

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Se reconnaitre en fille ou garçon,

comme attirés… l’un vers l’autre.

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Dire des choses utiles ou qui nous

tiennent à cœur… afin de réussir.

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Faire ce qu’on a toujours eu envie

 de faire, depuis sa tendre enfance.

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Textuels calligramme / extensions

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  • £  Être, est se reconnaitre, dans ce que…l’on dit, dans ce que l’on fait et non le paraitre ! Les autres se reconnaissent ou peu, ou pas, en moi : je reconnais leurs différences et eux, parfois aussi, la mienne. Je reconnais mes défauts, mes faiblesses tout autant que mes imperfections : imparfait je le suis, le reste, je le resterai. Il reste à l’autre à le supporter. Tout imparfait qu’il est aussi, d’une autre manière : libre à lui faire des compromis ou rester dans ses ouillères. Etre c’est se reconnaître bien plus qu’apparaître, car « Quand dire, c’est faire : c’est que dire … sait faire ! » Je reconnais mes semblables de ceux qui sont différents de moi, de ceux qui me sont indifférents, de ceux qui sont amis ou ennemis. Je reconnais ce que je dis et je fais ; je fais ce que je dis, quand je le sais, mais, faut être deux pour l’apprécier, l’on ne pourra, de soi-même, en juger. Si je fais une erreur, le dit et reconnaît, en ma manière d’être homme imparfait, toutefois l’autre ne détient pas la vérité, on fait des compromis, pour s’améliorer. De ne pas être reconnu comme tout être capable d’appliquer, réfléchir, progresser, provoque en moi le doute et  l’humiliation ! S’il n’y a pas qu’une seule logique et raison, l’explication, non comprise, est mal réalisée : il faut ouvrir une parenthèse, dans une fenêtre, afin d’accorder sinon les esprits et les violons : le reste n’est qu’autoritarismes ou flonflons !

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  • + La cohérence entre ce que je dis et fais est important autant pour moi que pour les autres, ce qui n’exclut pas des modifications et des changements, voire des renoncements ou des oublis, qui en sont les scories et non la matière première : tout est affaire d’ententes et de compromis et il n’y a que les personnes psychorigides qui s’attachent au rigorisme sur le fond et sur la forme : tu avais dit, tu n’as pas fait, je n’acceptes aucune excuse, explication, tu n’as pas fait, c’est tout, tu es fautif. Un enfant est capable de passer outre à un tel jugement, un adulte contestera, un adolescent se mettra en révolte carrément et attendra de prendre l’autre à son propre piège et de le lui jeter en pâture à la figure. Bonjour l’ambiance. On se croirait dans un mauvais film de conflit familial comme il y en a tant ! Ce n’est plus de la communication, c’est de la domination.

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  • & Avant d’être un personnage, y compris une sorcière, on est d’abord un homme, une femme, et s’y reconnait. Après, il y a votre imaginaire qui vous dictera quoi faire. On n’est pas aide-humanitaire, musicienne, quand on nait. Le tout est de devenir et rester cohérent entre dire et… faire tant il y a de gens opportunistes qui feront tout le contraire : il vaut mieux faire ce que l’on  désire le plus faire et en être fier que passer à vie à tenter faire tout et n’importe quoi, à l’envers.

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  • # Être pour les autres, et être pour soi,  convergent si on est constant, cohérent, mais divergent si on change constamment : ce n’est pas une loi, c’est juste ce que je vois. Il y a avantage à, derrière personnage, se cacher, pour se protéger quand on se sent instable, fatigué mais lors gare au danger de, soi-même, s’y enfermer, pire, par les autres, au point ne plus savoir qui on est. Être soi est un travail qui n’aurait pas de fin en société tant elle nous pousse à épouser toute autre apparence, à être laissé pour compte si on n’entre pas en sa danse, lors de penser par soi-même, devient impossibilité.

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Textuels symboliques et corrélations

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Balai

  • Symbolique de forme : J’ai besoin d’un ménage, d’un  ménage bien  personnel, d’un bon coup de balai, on dit. Un ménage dans mes émotions, un ménage dans ma profession, mes relations, mes actions. Etc. Je sens que j’ai besoin d’un balai pour chasser les éléments encombrant mes émotions,  mes pensées, mes gestes, mes rêves. Mes mains sont-elles assez fortes pour  faire  ce  nettoyage : elles feront l’affaire !

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Sorcières

  • Symbolique de fond : Balais ont longtemps été associés aux sorcières, étant souvent représentées à califourchon, volant sur un balai magique. Toutefois les balais sont autant un outil  qu’un symbole social. En effet, les tâches ménagères sont pour les classes populaires et son utilisation  peut avoir une forte connotation négative pour certaines personnes dominantes. Les balais seront aussi le symbole de la » femme  au foyer » : un stéréotype marquant des siècles précédents.      Modifié, source : Wikipédia

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Reconnaissance > regard autres : famille, communauté, société

  • Liens fond/forme : Etre ou ne pas être, William Shakespeare. Comment l’interpréter. Ou paraitre pour être, ou être pour paraitre, un vrai dilemme. Comment reconnaitre qui on est sans autres : famille, communauté, société.

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