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Originaux : poème, extensions, fragments
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Poème
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La nature nous offre
Son paysage émouvant
Si on va au-devant d’elle,
Se promenant, cheminant
Entre les bords de la mer,
Et les routes de campagne
Et sur sentiers forestiers,
Comme en montagne,
Elle nous fait oublier,
Ennuis vie moderne
Qui nous stressent,
Nous la rend terne.
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Si j’ai temps à perdre
Je mets les chaussures
Pour aller marcher, dur
Sur cailloux, sable, herbe.
Mes souvenirs sont nature
Qui sont rentrées par pieds,
Tout autant que par mes yeux.
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Il est vrai, pour ne pas les reperdre,
Partout où j’aurai longtemps marché,
Je me souviendrai de toutes les odeurs
De sous-bois de prés, d’herbes et de fleurs.
Faire une belle randonnée en beau paysage,
Qui, à chaque virage, présentera ses visages,
Est comme bon voyage, en soi, réconciliation
Avec la splendeur de la nature diverse à foison.
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Nous sommes couronnement en faisons partie,
Mais les uns la chérissent et d’autres, la fuient.
Suivez itinéraire, fléché jaune ou blanc-rouge,
Pour petits ou grands sentiers de randonnées,
Seul, à deux, à trois, à plusieurs, voire groupé
Marcher sans arrêt sans discuter, vous bouge
Les sangs, idées sont à vos rythmes cadencés,
De pauses, pour consulter la carte des égarés.
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Ici, une route pavée d’ancienne voie romaine,
Là un chemin creux, sait-on où il nous mène :
C’est ce qui fait le charme de nos randonnées
Avis sont partagés vers droite on s’est trompé
Comment, à une carte ou son instinct, se fier,
S’il n’y a plus de marques pour nous guider.
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Arrivé à mi-parcours, moitié des gens fatigués
Demande quand on arrive car ils ont les pieds
De plus en plus lourds, trainants, et cloquants,
À marcher, ils ont des problèmes handicapants.
On ne croise presque personne, sur les sentiers ;
Seraient-ils assis, en fauteuil, à regarder la télé !
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Ma randonnée sur sentier de campagne, en forêts,
Suivie de parcours, sur un chemin en bord de mer,
Termine sa grande boucle sur le parking du départ !
Bien de belles images ont été stockées, quelque part,
En ma mémoire, qui ne se lasse pas de les distinguer :
J’ai beau les parcourir je ne finis jamais de m’étonner.
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Extensions
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Les randonnées … en bord de mer,
Sont toujours attrayantes, plaisantes
Tant le contraste avec la forêt où l’œil,
Est prisonnier du sous-bois des arbres
Est saisissant, voire même angoissant
Par le manque d’horizon, ou lumière.
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Les randonnées différent, tant elles seront variées ou complémentaires :
Chemin pratiqué vous emporte en pleine nature sauvage ou domestiquée
La Bretagne, en particulier, dispose d’un vrai labyrinthe de randonnées,
Où l’on peut se perdre sans la moindre crainte de ne point s’y retrouver,
Tant campagnes, forêts, bords de mer, s’y succèdent, sans discontinuer.
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Mer calme, bleue turquoise,
Plus campagne vert tendre,
Traversée de forêts, sous-bois,
Forment programme de rando,
Des plus enviables, plus enviées.
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Il y a tant et tant, de diversités,
Dans les paysages où l’on marche,
Que l’on ne sent, nullement, fatigue,
C’est juste une danse, pour les pieds,
Juste régal inoubliable pour les yeux !
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Et puis à l’arrivée, on est prêt à repartir
À recommencer nouveau périple, même
Mais peut-être aussi que la compagnie,
Nous aide à déjà ailleurs nous projeter,
Comme si on avait des ailes aux pieds.
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Fragments
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La mer, la forêt, la campagne,
Le marais, la dune, montagne :
Autant de lieux et de paysages,
Qui offrent atmosphère sauvage.
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Bord de mer : comment se lasser :
L’eau est toujours à portée de pied,
On traverse parfois plage mouillée
Quand on ne marche sur rochers.
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Chemin de terre, champ ou forêt,
Parfois droits et parfois sinueux,
Traverse hameaux, villages, prêts
À désaltérer les gosiers d’aqueux.
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Laisser tomber toutes les coupoles,
Y a aucune chance d’en rencontrer,
Elles ne pourraient être qu’en villes,
Aurez plus de chances pour chapelle.
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Si vous chercher un dôme, admirateur,
Enfoncez-vous dans une profonde forêt,
Elle peut vous offrir bon abri protecteur,
En base d’arbre ou sommet, selon attrait.
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Graphiques : calligramme, forme et fond
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Calligramme
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La nature nous offre
Son paysage émouvant
Si on va au-devant d’elle,
Se promenant, cheminant
Entre les bords de la mer,
Et les routes de campagne
Et sur sentiers forestiers,
Comme en montagne,
Elle nous fait oublier,
Ennuis vie moderne
Qui nous stressent,
Nous la rend terne.
Si j’ai temps à perdre
Je mets les chaussures
Pour aller marcher, dur
Sur cailloux, sable, herbe.
Mes souvenirs sont natures,
Qui sont rentrées, par mes pieds,
Tout autant que B par mes yeux.
Il est vrai, pour ne pas O les reperdre,
Partout où j’aurai longtemps R marché,
Je me souviendrai de toutes les D odeurs
De sous-bois de prés, d’herbes et de * fleurs.
Faire une belle randonnée, en beau M paysage,
Qui à chaque virage, présentera E son visage,
Est comme bon voyage, en soi R réconciliation
Avec la splendeur de la nature * diverse à foison.
Nous sommes couronnement C en faisons partie,
Mais les uns la chérissent et H d’autres, la fuient.
Suivez itinéraire, fléché E jaune ou blanc-rouge,
Pour petits ou grands M sentiers de randonnées,
Seul, à deux, à trois, I à plusieurs, voire groupé
Marcher sans arrêt, N sans discuter, vous bouge
Les sangs, idées, * sont à vos rythmes cadencés,
De pauses, pour T consulter la carte des égarés.
Ici, une route E pavée d’ancienne voie romaine,
Là un chemin R creux, sait-on où il nous mène :
C’est ce qui fait le R charme de nos randonnées,
Avis sont partagés E vers droite on s’est trompé
Comment, à une carte * ou son instinct, se fier,
S’il n’y a plus de marques S pour nous guider.
Arrivé à mi-parcours, moitié E des gens fatigués
Demande quand on arrive, car N ils ont les pieds
De plus en plus lourds, trainants T et cloquants,
À marcher, ils ont des problèmes han I dicapants.
On ne croise presque personne, sur les E sentiers ;
Seraient-ils assis, en fauteuil, à regarder R la télé !
Ma randonnée, sur sentier de campagne * , en forêts,
Suivie de parcours, sur un chemin en F bord de mer,
Termine sa grande boucle sur le O parking du départ !
Bien de belles images ont été R stockées, quelque part,
En ma mémoire, qui ne se E lasse pas de les distinguer :
J’ai beau les parcourir T je ne finis jamais de m’étonner.
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Forme
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Évocation
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Ça peut être une grande gourde d’eau
Tout autant qu’une coupole d’église
Ou un chemin menant à un sommet,
Voire une cloche, clochette, clocher !
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Une gourde ou bouteille d’eau,
Comporte un intérêt en rando :
Ne négliger la découverte d’une
Chapelle, d’une coupole d’église.
Il n’y en a pas que pour les bouteilles
Et de quelques formes qu’elles soient
Il y a aussi les dômes et les coupoles,
Cela dit, forme se distingue du fond.
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Symbolique
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Dans
Les églises,
Toute coupole,
Tenue pour symbole
Du ciel, et domine la nef,
Figure monde terrestre, visible,
Éclairée, orientée par sanctuaire,
Reflet du monde visible, intelligible.
En la Bible, cette coupole reste le trône
De Dieu, c’est vers elle que s’élève Christ
Lors de résurrection après mort en croix.
Atelier-st-andre.net/stgeorges/petit_dictionnaire
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Fond
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Évocation
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Une gourde ou bouteille d’eau,
Comporte un intérêt en rando :
Ne négliger la découverte d’une
Chapelle, d’une coupole d’église.
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Symbolique
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Une
Coupole est
Une voûte dont la
Forme qui se rapproche
D’un hémisphère en évoquant
Une coupe renversée, où sa base peut
Être circulaire, elliptique ou polygonale,
Tandis que le profil peut, également, varier.
Si la coupole est surmontée d’une toiture,
Cette dernière sera plutôt appelée dôme,
Et cela bien que les deux termes soient
Utilisés comme autant de synonymes.
En astronomie, la coupole désignera
La partie supérieure d’un bâtiment
Généralement construite demi-sphère
Mais pas toujours qui souvent protège
Le télescope puis sant qu’elle contient.
fr.wikipedia.org/wiki/Coupole
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Fond/forme
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On peut marcher partout,
Il y a tant à faire et à voir :
Du chemin, on trouve le bout,
Quand il s’agit de ce bel espoir,
De communier avec mère Nature.
La mer, la campagne, la montagne
Nous offrirons autant de paysages,
Divers, variés, plaisants, étonnants,
Qu’on n’aura qu’embarras du choix.
Parfois, randonnées courtes, longues,
Souvent en boucles, sinon aller-retour.
La Nature a pour unique couple, le ciel,
Et ce dôme lui fournit ses espaces infinis
Et qu’on prendra le temps de contempler
Lors d’une pause, repas, sous la canopée,
Ou en haut d’un sommet, en bord de mer.
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