263 – Bord mer, chemin terre, sentier forêt

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La nature nous offre

Son paysage émouvant

Si on va au-devant d’elle,

Se promenant, cheminant

Entre  les bords  de la mer,

Et les routes de campagne

Et sur sentiers forestiers,

Comme  en  montagne,

Elle nous fait oublier,

Ennuis  vie moderne

Qui  nous  stressent,

Nous  la rend  terne.

.

Si j’ai temps à perdre

 Je mets  les chaussures

Pour aller marcher, dur

Sur cailloux, sable, herbe.

Mes souvenirs sont nature

Qui sont rentrées  par pieds,

Tout autant que  par mes yeux.

.

Il est vrai, pour ne pas les reperdre,

Partout où j’aurai longtemps marché,

Je me souviendrai   de  toutes les odeurs

De sous-bois de prés, d’herbes et de fleurs.

Faire une belle randonnée en beau  paysage,

Qui, à chaque virage, présentera  ses visages,

Est comme bon voyage, en soi,  réconciliation

Avec la splendeur de la nature diverse à foison.

.

Nous sommes couronnement en faisons partie,

Mais les uns la chérissent et d’autres, la fuient.

Suivez itinéraire, fléché  jaune ou blanc-rouge,

Pour petits ou grands sentiers de randonnées,

Seul, à deux, à trois, à plusieurs, voire groupé

Marcher sans arrêt sans discuter, vous bouge

Les sangs, idées sont à vos rythmes cadencés,

De pauses, pour consulter la carte des égarés.

.

Ici, une route pavée d’ancienne voie romaine,

Là un chemin creux, sait-on où il nous mène :

C’est ce qui fait le  charme de nos randonnées

Avis sont partagés vers droite on s’est trompé

Comment, à une carte ou son instinct, se fier,

S’il n’y a plus  de  marques  pour nous guider.

.

Arrivé à mi-parcours, moitié des gens fatigués

Demande quand on arrive car  ils ont les pieds

De plus en plus lourds, trainants, et cloquants,

À marcher, ils ont des problèmes handicapants.

On ne croise presque personne, sur les sentiers ;

Seraient-ils assis,  en fauteuil,  à regarder la télé !

.

Ma randonnée sur sentier de campagne, en forêts,

Suivie de parcours, sur un chemin en  bord de mer,

Termine sa grande boucle sur le parking du départ !

Bien de belles images ont été stockées, quelque part,

En ma mémoire, qui ne se lasse pas de les distinguer :

J’ai beau les parcourir  je ne finis jamais de m’étonner.

.

Extensions 

.

Les randonnées … en bord de mer,

Sont toujours attrayantes, plaisantes

Tant le contraste avec la forêt où l’œil,

Est prisonnier du sous-bois des arbres

Est saisissant, voire même angoissant

Par le manque d’horizon, ou lumière.

.

Les randonnées différent, tant elles seront variées ou  complémentaires :

Chemin pratiqué vous emporte en pleine nature sauvage ou domestiquée

La Bretagne, en particulier, dispose d’un vrai labyrinthe  de randonnées,

Où l’on peut se perdre sans la moindre crainte de ne point s’y retrouver,

Tant campagnes, forêts, bords de mer, s’y succèdent, sans discontinuer.

.

Mer calme, bleue turquoise,

Plus campagne  vert  tendre,

Traversée de forêts, sous-bois,

Forment programme de rando,

Des plus enviables, plus enviées.

.

Il  y a tant  et tant, de  diversités,

Dans les paysages où l’on marche,

Que l’on ne sent, nullement, fatigue,

C’est juste  une danse, pour les pieds,

Juste régal inoubliable pour les yeux !

.

Et puis à l’arrivée, on est prêt à repartir

À recommencer nouveau périple, même

Mais peut-être aussi  que la compagnie,

Nous aide à déjà ailleurs nous projeter,

Comme si on avait des ailes aux pieds.

.

Fragments

.

La mer, la forêt, la campagne,

Le marais, la dune, montagne :

Autant de lieux  et  de paysages,

Qui offrent atmosphère  sauvage.

.

Bord de mer : comment se lasser :

L’eau est toujours à portée de pied,

On traverse parfois plage mouillée

Quand on ne marche sur rochers.

.

Chemin de terre, champ ou forêt,

Parfois droits et parfois sinueux,

Traverse hameaux, villages, prêts

À désaltérer les gosiers d’aqueux.

.

Laisser tomber toutes les coupoles,

Y a aucune chance d’en rencontrer,

Elles ne pourraient être qu’en villes,

Aurez plus de chances pour chapelle.

.

Si vous chercher un dôme, admirateur,

Enfoncez-vous dans une profonde forêt,

Elle peut vous offrir bon abri protecteur,

En base d’arbre ou sommet, selon attrait.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

 .

La nature nous offre

Son paysage émouvant

Si on va au-devant d’elle,

Se promenant, cheminant

Entre  les bords  de la mer,

Et les routes de campagne

Et sur sentiers forestiers,

Comme  en  montagne,

Elle nous fait oublier,

Ennuis  vie moderne

Qui  nous  stressent,

Nous  la rend  terne.

Si j’ai temps à perdre

 Je mets  les chaussures

Pour aller marcher, dur

Sur cailloux, sable, herbe.

Mes souvenirs  sont natures,

Qui sont rentrées, par mes pieds,

Tout autant que         B     par mes yeux.

Il est vrai, pour ne pas     O       les reperdre,

Partout où j’aurai longtemps       R          marché,

Je me souviendrai de toutes les          D           odeurs

De sous-bois de prés, d’herbes et de      *              fleurs.

Faire une belle randonnée, en beau       M            paysage,

Qui à chaque virage, présentera            E              son visage,

Est comme bon voyage, en soi                         réconciliation

Avec la splendeur de la nature            *               diverse à foison.

Nous sommes couronnement           C                 en faisons partie,

Mais les uns la chérissent et           H                   d’autres, la fuient.

Suivez itinéraire, fléché                E                 jaune ou blanc-rouge,

Pour petits ou grands                 M                 sentiers de randonnées,

Seul, à deux, à trois,                  I                     à plusieurs, voire groupé

Marcher sans arrêt,                N                      sans discuter, vous bouge

Les sangs, idées,                     *                  sont  à vos rythmes cadencés,

De pauses, pour                    T                      consulter la carte des égarés.

Ici, une route                         E                  pavée d’ancienne voie romaine,

Là un chemin                         R                  creux, sait-on où il nous mène :

C’est ce qui fait le                     R                       charme de nos randonnées,

Avis sont partagés                         E                     vers droite on s’est trompé

Comment, à une carte                      *                         ou son instinct, se fier,

S’il n’y a plus de marques                                                pour nous guider.

Arrivé à mi-parcours, moitié                      E                        des gens fatigués

Demande quand on arrive, car                       N                       ils ont les pieds

De plus en plus lourds, trainants                        T                       et  cloquants,

À marcher, ils ont des problèmes han                      I                       dicapants.

On ne croise presque personne, sur les                       E                      sentiers ;

Seraient-ils assis,  en fauteuil,  à regarder                  R                         la télé !

Ma randonnée, sur sentier de campagne                   *                      , en forêts,

Suivie de parcours, sur un chemin en                   F                       bord de mer,

Termine sa grande boucle sur le                   O                     parking du départ !

Bien de belles images ont été                  R                      stockées, quelque part,

En ma mémoire, qui ne se                    E                  lasse pas de les distinguer :

J’ai beau les parcourir                       T                je ne finis jamais de m’étonner.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Ça peut être une grande gourde d’eau

Tout autant qu’une coupole d’église 

Ou un chemin menant à un sommet,

Voire une cloche, clochette, clocher !

.

263 4

.

Une gourde ou bouteille d’eau,

Comporte un intérêt en rando :

Ne négliger  la  découverte  d’une

Chapelle, d’une   coupole  d’église.

Il n’y en a pas que pour les bouteilles

Et de quelques formes qu’elles soient

Il y a aussi les dômes et les coupoles,

Cela dit, forme se distingue du fond.

.

Symbolique 

.

Dans

Les   églises,

Toute    coupole,

Tenue    pour     symbole

Du ciel,    et domine     la nef,

Figure  monde terrestre, visible,

Éclairée, orientée  par  sanctuaire,

Reflet  du  monde  visible, intelligible.

En la Bible, cette coupole reste le trône

De Dieu, c’est vers elle que s’élève Christ

Lors de résurrection après mort en croix.

Atelier-st-andre.net/stgeorges/petit_dictionnaire

.

.

Fond

.

Évocation 

.

263 6

.

Une gourde ou bouteille d’eau,

Comporte un intérêt en rando :

Ne négliger la découverte  d’une

Chapelle, d’une coupole d’église.

.

Symbolique 

.

Une

Coupole est

Une voûte dont la

Forme   qui se   rapproche

D’un    hémisphère en  évoquant

Une coupe  renversée, où sa base  peut

Être circulaire, elliptique  ou  polygonale,

Tandis que le profil  peut, également, varier.

Si la coupole  est  surmontée  d’une toiture,

Cette dernière sera plutôt  appelée dôme,

Et  cela  bien que les deux termes soient

Utilisés comme autant de synonymes.

En  astronomie, la coupole  désignera

La  partie   supérieure  d’un  bâtiment

Généralement construite demi-sphère

 Mais pas toujours qui souvent protège

 Le télescope puis sant  qu’elle contient.

fr.wikipedia.org/wiki/Coupole

 .

.

Fond/forme 

.

On peut marcher partout,

Il y a tant à faire  et à voir :

Du chemin,  on trouve le bout,

Quand  il s’agit  de ce  bel espoir,

De communier avec mère Nature.

La mer, la campagne, la montagne

Nous offrirons  autant de paysages,

Divers, variés, plaisants,  étonnants,

Qu’on n’aura  qu’embarras  du choix.

Parfois, randonnées  courtes, longues,

Souvent en boucles, sinon aller-retour.

La Nature a pour unique couple, le ciel,

Et ce dôme lui fournit ses espaces infinis

Et qu’on prendra le temps de contempler

Lors d’une pause, repas, sous la canopée,

Ou en haut d’un sommet, en bord de mer.

.

Textuels et illustrations   >> 


Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *