647 – Qu’est ce qui ne va pas entre nous !

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Visuels suggestion de scénario

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On ne peut pas dire qu’ambiance

 est au calme, à l’entente, sérénité,

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l’orage éclate, le tonnerre gronde,

des éclairs les couperont en deux,

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lors, ils se remettent côte à côte,

ils se calment, ils se retrouvent !

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Textuels calligramme / extensions

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  • £  Qu’est ce qui ne va pas, entre nous : qu’est ce qui allait et ne va plus !  Rien et tout. De vagues impressions d’une fin d’union sans  trop savoir ni pourquoi, pour qui : vain !  Qu’est ce qui ne va pas, entre nous : je ne sais pas exactement quoi, et ça, c’est fou, comme une lassitude banale, rendu au bout d’un chemin, commun, fatal, tout à coup. Qu’est-ce qui ne va plus, entre soi, marchant pourtant, d’évidence, autrefois ? Serions-nous en une contredanse, sans foi : nous marcherions sur un mauvais pied, je crois. Que faire sinon revenir sur nos pas mais pourquoi si magie de notre union sacrée ne nous festoie. Tout n’est pas perdu tant que je crois qu’espérer fait loi.

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  • + Période de blues, de retrait sur soi, d’en vouloir à l’autre, bref de déception de son choix ou de fin d‘harmonie. Souvent, la première crise se produit au bout de trois ans de vie commune : pour certains c’est une simple respiration, une période de rajustement avant de se remettre en selle, pour d’autres c’est l’aveu d’un échec total, une désillusion frontale : « Tu n’es pas ou tu n’es plus celui (celle) que je croyais ! » suivi parfois par « Est-ce moi qui avait la vue brouillée ou est-ce toi qui aura changé à ce point ! ». Voilà que quelques années plus tard, ça revient et plus fort encore, comme une intolérance au caractère de l’autre qui crée des incompatibilités. Pour les uns c’est l’occasion d’en finir, pour d’autre, bien au contraire, de rebondir. On sait que les disputes conjugales ne sont pas mortelles, elles ne sont que des éruptions de volcans qui en temps ordinaire sont plutôt somnolents et la force même du couples est de les accepter et de les dépasser. Mais quand on est dans la tourmente, dans l’œil du cyclone, ou face à un tribunal qui vous accuse des pires maux impardonnables, difficile de garder son flegme et dire se dire : laissons la crise passer, demain, tout reviendra dans l’ordre et tout ira mieux. Entre la guerre sourde, la guerre froide, la guerre ouverte la guerre frontale, la guerre de tranchée, la guerre totale, la guerre civile et autres scénarios visités, pratiqués, il y a toujours le choix des armes et le choix de les déposer. Le pire serait de l’ignorer, de ne pas en parler comme si de rien n’était : un cancer s’installe alors et prolifère au point qu’on ne peut guère faire marche arrière et que la guerre sera permanente.

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  • & Tout ne va pas entre nous : tout ne peut jamais aller. L’important est que l’essentiel aille, en s’y adaptant  et en s’aimant, encore mieux mais parfois il y en a où ça ne va jamais, quoiqu’on dise ou qu’on fasse ! Juste un détail : il y en a qui se chamaille souvent et d’autres pas, en tous cas pas devant les autres. Alors ce qui ne va pas est le problème du couple, et de lui seul, la plupart du temps et la solution, c’est à lui de la trouver, en bien ou en plus mal.

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  • # Si je t’offrais un bijou, ça irait mieux entre nous ! Voilà comment, l’un achète, tandis que l’autre compense un déficit, d’amour, commun,  qui, pour le fond, ne résout rien. L’important n’est pas ce qu’on a, le plus important sera ce qu’on est, et quand on n’est pas, ou plus, présent, attentionné, pour ne pas dire amoureux, l’autre compense le manque, par ce qu’il a, en profitant au moins de quelque chose de lui.

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Textuels symboliques et corrélations

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Pendentifs

  • Symbolique de forme : Tous les bijoux que nous portons contribuent à former notre personnalité. Certains ne jurent que colliers fins, discrets, lors d’autres par des formes larges et visibles. Chaque personne manifeste ses préférences, mais qui disent quelque chose de nous. Témoins, ces  histoires   de  chacun, comme simple coup  de  cœur, les pendentifs seront comme un ornement qui délivrera sa beauté en harmonie avec celui ou celle qui les porte en cœur.

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Bijoux

  • Symbolique de fond : Tous les bijoux que nous portons contribuent à former notre personnalité. Certains ne jurent que colliers fins, discrets, lors d’autres par des formes larges et visibles. Chaque personne manifeste ses préférences, mais qui disent quelque chose de nous. Témoins, ces  histoires   de  chacun, comme simple coup  de  cœur, les pendentifs seront comme un ornement qui délivrera sa beauté en harmonie avec celui ou celle qui les porte en cœur.

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Personnalité > Préférences, choix, attitudes, pain noir/blanc

  • Liens fond/forme : Des bijoux, en veux-tu, en voilà : chacun ses préférences, ses choix. Ils signent et soulignent des attitudes par rapport à soi, aux autres, au monde ! Si tout rapport à l’autre, se limite à l’achat de bijoux, comme caprice, si on en exige, par compensations d’absences fréquentes ou d’infidélités, l’on se fera rouler dans la farine de pain noir au lieu de pain blanc.

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