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Originaux : poème, extensions, fragments
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Poème
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Combat intérieur et extérieur,
Le bien et le mal étant valeurs
Etant forcément, intériorisées,
Mais jugés sur les faits avérés.
Dieu serait, certain, côté bien ;
Et Satan serait du côté du mal.
Oui mais, si Dieu pourrait tout,
Comment peut-il tolérer Satan.
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Bien et mal supposent conscience
Et n’ont rien à voir avec la science,
Ni avec la culture, religion, société
Tant la lutte, entre le bien et le mal,
Ressemble à un combat permanent
Et sans fin depuis la nuit des temps
Lors l’humain se comporte animal.
Si un tel combat nous parait fatal,
Mais, qu’en plus, il serait inégal,
Pourquoi se donner tant de… mal
Pour le tenir, en limite, normale.
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Il fut un temps où … on parlait
De combat entre Dieu et Satan :
Aujourd’hui, vers vœu, ça tend,
D’une justice qu’humain ferait.
Le bien et le mal sont en nous
Autant qu’autour … inhérents
À la nature, culture, humaines
Et ne sauraient être éradiqués
C’est une question de degrés,
Qui veut faire ange fait la bête
La bête tapie au fond de nous,
Se réveille si elle est menacée.
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Mais la menace est permanente,
Exacerbée par flots de nouvelles,
Qui, de toute origine, parviennent
Et nous laissent en un état second,
Qui n’est pas propice à la réflexion,
Par manque de recul et d’intentions,
Alors, la forme l’emporte sur le fond,
Et plus encore l’émotion sur la raison.
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De le savoir, de le dire et de le prouver,
Ne changera rien à nos comportements,
C’est le drame, nous sommes manipulés,
Par qui, par quoi … à nous de le trouver !
On dit il faut combattre le mal par le mal,
Que la guerre serait parfois bien nécessaire,
Nous y sommes, chaque jour, sans le savoir,
Mais le pire est que, c’est, sans rien pouvoir.
La lutte, entre le bien et le mal, est infernale :
Si le mal gagnait, le Monde serait anarchique
Mais si c’était le bien, ce serait pire, politique,
Il en faut des deux, mais point trop, n’en faut.
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Extensions
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Le bien et le mal seraient des camps opposés
Dont l’un serait mystique et l’autre diabolique
On serait bien là dans un univers …. ésotérique
Dont on a du mal à savoir qui l’aurait engendré.
On voit parfois les deux aux extrémités de droite,
Alors qu’en réalité ils sont en boucle ou mélangées.
Le mal, c’est l’ennemi, le dieu du bien est avec nous.
Combien de films en vue sauver la planète, s’inspirent
De cette trame du bien contre le mal ou le bien gagne,
Nous réveillant en nous endormant cauchemar vivant.
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Le mal nourrirait le bien, et réciproquement,
À ce point que l’on dit : c’est un mal pour un bien.
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Philo : « Le mal, se définit par opposition à une éthique
Humaniste où le bien est respect des valeurs humaines ».
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Nietzsche : « le mal lui-même est constitutif de l’existence
Et chercher à l’abolir revient à abolir la vie elle-même ».
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Le mal peut être vu, par soi, comme un bien, une liberté,
Alors qu’il est condamnable et condamné par la société.
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Et si le mal se pratique en dehors de toute conscience
Comme chez de jeunes enfants, adulte, est coupable.
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Fragments
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Notre vie, notre Planète, notre Galaxie, l’Univers
Participent de même origine et transformation :
Nous sommes héritiers des étoiles en dissolutions,
Quelque part il se pourrait que l’on ait des cousins.
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Quel mystère tout de même que milliers de galaxies
Et qu’une seule planète habitée, et qui est la nôtre :
On pense que ce n’est que par conditions favorables,
Ou voire le dessein d’un être suprême, étant … Dieu !
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Hypothèses sujettes à caution, en l’absence de preuve :
Nous ne connaissons qu’infime partie de notre Univers
Son exploration et sa conquête dureraient millénaires.
D’ici là on parierait sur disparition homme sur Terre.
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Quoiqu’il en fut, quoiqu’il en est, en serait plus tard
Le mystère de l’Univers nous échappera toujours,
Est-ce un bien ou un mal, qui le sait, le saura,
En tous cas pour le savoir, ne serai plus là.
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Découvrir puis comprendre le monde,
En lequel on vit, est un but en sa vie,
Le reste jusqu’à son dernier soupir,
Mérite de l’humain sur l’animal !
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Graphiques : calligramme, forme et fond
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Calligramme
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LA LUTTE ENTRE
Combat intérieur et extérieur,
Le bien et le mal étant valeurs
Étant forcément, intériorisées,
Mais jugés sur les faits avérés.
Dieu serait, certain, côté bien ;
Et Satan serait du côté du mal.
Oui mais, si Dieu pourrait tout,
Comment peut-il tolérer Satan.
.
Bien et mal supposent conscience
Et n’ont rien à voir avec la science,
Ni avec la culture, religion, société
Tant la lutte, entre le bien et le mal,
Ressemble à un combat permanent
Et sans fin depuis la nuit des temps
Lors l’humain se comporte animal.
Si un tel combat nous parait fatal,
Mais, qu’en plus, il serait inégal,
Pourquoi se donner tant de… mal
Pour le tenir, en limite, normale.
LE BIEN ET LE MAL
Il fut un temps où … on parlait
De combat entre Dieu et Satan :
Aujourd’hui, vers vœu, ça tend,
D’une justice qu’humain ferait.
Le bien et le mal sont en nous
Autant qu’autour … inhérents
À la nature, culture, humaines
Et ne sauraient être éradiqués
C’est une question de degrés,
Qui veut faire ange fait la bête
La bête tapie au fond de nous,
Se réveille si elle est menacée.
EST LONG COMBAT
Mais la menace est permanente,
Exacerbée par flots de nouvelles,
Qui, de toute origine, parviennent
Et nous laissent en un état second,
Qui n’est pas propice à la réflexion,
Par manque de recul et d’intentions,
Alors, la forme l’emporte sur le fond,
Et plus encore l’émotion sur la raison.
.
De le savoir, de le dire et de le prouver,
Ne changera rien à nos comportements,
C’est le drame, nous sommes manipulés,
Par qui, par quoi … à nous de le trouver !
On dit il faut combattre le mal par le mal,
Que la guerre serait parfois bien nécessaire,
Nous y sommes, chaque jour, sans le savoir,
Mais le pire est que, c’est, sans rien pouvoir.
La lutte, entre le bien et le mal, est infernale :
Si le mal gagnait, le Monde serait anarchique
Mais si c’était le bien, ce serait pire, politique,
Il en faut des deux, mais point trop, n’en faut.
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Forme
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Évocation
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Une lampe électrique
En forme de torche,
Ou alors un phare
Projetant éclats, noirs
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Un phare sert de repère durant le jour,
Et de lumière, la nuit :
Est-ce que le bien agirait au grand jour
Et le mal en l’obscurité ?
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Symbolique
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Le symbolisme
Du phare est positif.
Il représente la lumière
Qui guiderait les hommes.
Le phare indique une direction
Et bien au-delà, un sens sacré.
Il affirme sa verticalité.
À l’instar de la tour,
Cette construction
Possède cependant
Un sens opposé : elle
Est faite pour être vue
Tandis que la tour est
D’abord faite pour voir.
Phare porteur de lumière.
Source : tristan-moir.fr/phare
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Fond
Évocation
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Un phare sert de repère durant le jour,
Et de lumière, la nuit :
Est-ce que le bien agirait au grand jour
Et le mal en l’obscurité ?
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Symbolique
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Symbolique
De la nuit dans
Notre culture
Renvoie à la peur ancestrale du noir, et qui nous obsèderait toujours
À l’angoisse du vide, puis du silence et quelque part au côté obscur
Des choses en tous les sens du terme dans les ténèbres, le chaos, l’enfer
À l’inverse, symbolique
De la lumière renvoie au
Positif de logiciel pensée.
On retrouve expressions
Dans notre langage telle
«Mettre quelque chose
En lumière » Le mettre
En valeur ou la négative
«Ne pas être vraie lumière»
N’être pas très intelligent.
nuitfrance.fr/?page=culture-psycho-
societe&partie=lumiere-obscurite
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Fond/forme
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Le noir, ce serait le mal,
Le blanc, c’est la lumière,
Entre les deux, un phare,
Et qui balaierait l’horizon
Des actes et des opinions,
En prenant de la hauteur.
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Vieille comme le Monde,
Lutte entre le bien et mal,
Ne cesserait donc jamais.
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L’une se nourrit de l’autre
L’une a besoin de l’autre,
Pour simplement exister
Mais la frontière est floue
Car un bien pour un mal,
Vaut un mal pour un bien
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