294 – Vacances familiales à Ouessant

Visuels et textuels >>  

.

Il est midi lors troupe est prête

Pour se mettre  plein les yeux,

Le ventre,  la tête,  les oreilles,

Une randonnée  est croisière :

En tous cas souvent une fête !

.

 De vivre en ile doit comporter

Lot de contraintes, astreintes

Peu d’animation, distraction,

Et pour le moins, restreintes,

Il faut aimer mer et solitude,

Qui elles, ne sont pas feintes.

.

Les récits de ses explorations

Ne peuvent pas paraitre plats

À ceux qui ont,  jours entiers,

Marquer sentiers de leur pas,

En ce lieu qui est si magique

Qu’il ne se dit : se pratique !

.

Commençons par explorer les côtes et les rivages à notre aise,

Chacun des kilomètres parcourus notre blues, notre stress apaise,

Pique-nique l’après-midi, programme de visite de la journée oblige.

Assis sur les rochers, sur un  tapis de mousse, l’appétit nous engloutit,

Quand des discussions  et informations ou opinions, provoquent litiges,

Splendeurs des paysages, joints aux caresses  du vent, nous réconcilient.

.

Il est grand temps  de rentrer au bercail, situé juste à côté d’une bergerie.

Chance d’observer voisine bergère, lors accouchement d’une de ses brebis,

Deux agnelets nouveau-nés se mettent, d’emblée, à bêler, à marcher, téter.

Ils tremblent, sur leurs pattes, comme si le sol,  le faisait, sous leurs pieds !

.

Nous restons là tous les cinq à contempler à commenter l’œuvre de la vie,

Contents d’être là pour assister au spectacle, prendre temps d’admirer,

Sur mer, les vagues s’agitent dans ciel, les nuages passent : éclaircie.

Nuit, si l’on ne dort, moutons d’Ouessant, on pourrait les compter

.

Chacun rentre pour se préparer au repas du soir en la crêperie

Que nous avons repéré à notre retour, à la sortie d’un village,

Nous l’avions pratiqué et apprécié lors du dernier passage,

Son originalité et son accueil nous avaient tous conquis.

.

Tandis que les premiers attendent les crêpes sucrées,

D’autres finissent galettes aux fruits de mer salées,

Charmés de ses décors  ses ambiances d’exilés

Nous y sommes retournés comme habitués

Mettre les pieds sous  la table, cocoonés,

Après ça, jeux de cartes ou lectures télé.

.

Cinq phares d’Ouessant illuminent le ciel,

Fenêtres accompagnant brillamment digestion,

Des souvenirs, paysages extraordinaires, culinaires,

Renforcent notre projet y revenir dans pas longtemps.

Mais en attendant, chacun y ayant mis son âme en location,

Se demande s’il ne rêve trop  d’hallucinants mystères d’Ouessant.

.

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Extensions

.

La vie, sur Ouessant, parait

Être un vrai bonheur

Tant elle s’y déroule comme

Bulle et sans heurts.

 .

Chacun se lève, à son heure,

Se douche, déjeune

Les cinq phares d’Ouessant

Illuminent ciel, fenêtre

 .

Et accompagnent digestion :

Des souvenirs renforcent

Notre projet d’y revenir dans

Pas longtemps : attendant,

 .

Chacun met son âme en location,

Se demande s’il ne rêve pas trop

Hallucinants mystères Ile d’Ouessant.

.

Crique, creux, crevasse, et, avancée, pointe, promontoire,

Le découpage de la côte d’Ouessant est encore plus sauvage

Que celle de l’Ile-Grande, et de presque toutes les autres iles.

Petite famille a emprunté le sentier côtier, qui en fait le tour,

Et dieu merci, la météo est clémente, le soleil est de la partie.

Au fil des kilomètres les paysages changent : la faune et flore

Se diversifient aussi, 45 km pour en faire le tour en 3 jours

Cela en vaut tellement le détour que nous sommes joyeux

Y a pas à dire : comme randonneurs, sommes heureux.

.

Il n’y a rien de mieux qu’être en vacances

En famille, à Ouessant, pour une semaine.

En faisant le tour, on mesure notre chance

D’être là à randonner dans un tel domaine.

.

Chaque côté, parcouru, nous offre  des vues

Différentes nous ravissant les sens de l’âme,

Dont elle diffuse ses essences océanes, nues,

Qui, notre corps, cœur, esprit, enflamment !

.

Le programme de la journée consiste en une

Seule chose à faire, se remplir plein les yeux,

Des paysages  offerts par l’ile, non commune,

Dont le souvenir restera comme merveilleux.

.

Si seul, c’est bien, et si en couple, c’est mieux,

En famille, on en sera d’autant plus  heureux :

Il suffit de partager, ensemble, bons moments,

Pour remercier le ciel d’être là avec ses enfants.

.

.

294 – Calligramme  

 .

Il est midi lors troupe est prête

Pour se mettre  plein les yeux,

Le ventre,  la tête,  les oreilles,

Une randonnée  est croisière :

En tous cas souvent une fête !

 De vivre en ile doit comporter

Lot de contraintes, astreintes

Peu d’animation, distraction,

Et pour le moins, restreintes,

Il faut aimer mer et solitude,

Qui elles, ne sont pas feintes.

Les récits de ses explorations

Ne peuvent pas paraitre plats

À ceux qui ont,  jours entiers,

Marquer sentiers de leur pas,

En ce lieu qui est si magique

Qu’il ne se dit : se pratique !

.

Commençons par  V explorer les côtes et les rivages à notre aise,

Chacun des kilomètres  A  parcourus notre blues, notre stress apaise,

Pique-nique l’après-midi   C   programme de visite de la journée oblige.

Assis sur les rochers, sur un   A   tapis de mousse, l’appétit nous engloutit,

Quand des discussions et informa N   tions ou opinions, provoquent litiges,

Splendeurs des paysages, joints aux  C  caresses  du vent, nous réconcilient :

Il est grand temps de rentrer au bercail   E   situé juste à côté d’une bergerie.

Chance d’observer voisine bergère, lors accouc  S  hement d’une de ses brebis,

Deux agnelets nouveau-nés se mettent, d’emblée,   *  à bêler, à marcher, téter.

.

Ils tremblent, sur leurs pattes, comme si le sol    F  le faisait, sous leurs pieds !

Nous restons là tous les cinq, à contempler  A  à commenter l’œuvre de la vie,

Contents d’être là pour assister au spec   M  tacle, prendre temps d’admirer.

Sur mer, les vagues s’agitent, dans   I   ciel, les nuages passent : éclaircie.

Nuit, si l’on ne dort, moutons   L  d’Ouessant, on pourrait les compter.

Chacun rentre pour se pré  I parer au repas du soir en une crêperie

Que nous avons repéré   A  à notre retour, à la sortie d’un village

Nous l’avions pratiqué L et apprécié, lors du dernier passage,

Son originalité et son  E accueil nous avaient tous conquis.

Tandis que les premiers  S  attendent les crêpes sucrées,

D’autres finissent galettes *   aux fruits de mer salées,

.

Charmés de ses décors     À  ses ambiances d’exilés

Nous y sommes retour    *  nés comme habitués

Mettre les pieds sous   O    la table, cocoonés,

Après ça, jeux de car   U  tes ou lectures télé.

5 phares d’Ouessant     E       illuminent le ciel,

Fenêtres accompagnant S  brillamment digestion,

Des souvenirs, paysages   S extraordinaires, culinaires,

Renforcent notre projet     A   y revenir dans pas longtemps.

Mais en attendant, chacun  N  y ayant mis son âme en location,

Se demande s’il ne rêve trop  T d’hallucinants mystères d’Ouessant.

.

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Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

294 4

 .

Un piédestal  pour vase, statue,

Un flacon de parfum,  son bouchon,

Une lampe  à pétrole, probablement,

En tous cas, une lampe … certainement.

.

La lampe est un symbole de lumière

elle éclairera tout dans tout intérieur,

facilite déplacement en extérieur nuit :

 c’est pourquoi sa forme convient au fond

.

Nul besoin de lampe à pétrole,

Ni d’autres lampes,  pour explorer :

Ni les côtes, les rivages, les villages

Ni les plages, ni les phares, etc.

 .

Symbolique

.

La lampe est un symbole

De connaissance et d’intelligence,

Celle qui éclaire le monde des hommes.

Elle abrite le feu fragile et sacré,

Celui qu’il faut préserver.

La lanterne contient la

Lumière individuelle

Qui peut se transmettre.

Elle nous guide et peut

Guider les autres.

Si nous rêvons d’une lanterne,

Elle représente l’intelligence lumineuse

De personne précise : sa pensée nous éclaire.

tristan-moir.fr/lanterne

.

Descriptif

 .

294 – Vacances familiales à Ouessant  

Alignement central  / Titre serpente  / Thème   iles

Forme courbe  / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : ampoule

.

Fond

.

Évocation 

.

294 6

.

Nul besoin de lampe à pétrole,

Ni d’autres lampes pour explorer

Ni les côtes, les rivages, les villages

Ni les plages, ni les phares, etc.

 .

Symbolique 

 .

La lampe,

Qu’elle soit électrique,

À huile ou à pétrole représente

Toujours  une   lumière  intérieure,

Une énergie, des capacités, des talents

Que nous maîtrisons : c’est l’homme qui

Maîtrise  la lumière  avec  un certain

Pouvoir d’allumer et d’éteindre.

Toute lumière est le symbole

De notre connaissance,

On apprend de jour

En  jour, à  mieux

Se   con-naî-tre,

On évolue grâce

À informations

Et grâce au

 Savoir.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La lampe est devenue un instrument

Totalement indispensable à l’homme,

Dès qu’il fait nuit, il viendra l’allumer

Pour éclairer  chemin, lire pancartes.

Et ainsi prolonger les journées d’hiver

Et sentir présence humaine en maison.

 .

.

Quelques moutons d’Ouessant

.

Scénario

.

Un beau paysage de côte très découpée de l’Île d’Ouessant.

Un paysage en creux en falaises vers le nord, vers le sémaphore.

Un paysage de crique, tranquille, avec le continent  au loin de l’île.

.

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