1162 – A chacun son monde, chacun son destin !

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Mon petit monde à moi comme dirait chacun, est fait  de mes émois et cumul de mes biens, émois pour l’intérieur, biens pour l’extérieur. Et ainsi j’en fais le tour, si je veux chaque jour : ma famille, mes amis, mes sujets qui me passionnent fort. J’ai mon destin mais vous, le vôtre, semblable ou non : je ne l’envie pas, et ce d’autant que le mien me convient bien !

 

Chacun se nourrit de terre, d’imaginaire et, l’autre est notre ennemi, ami ou frère : le monde qui nous entoure est un mystère, que nous tentons de percer endroit, envers. L’argent se devait d’être moyen pour vivre, il est devenu la seule valeur pour survivre : le travail nous rend, parfois, heureux, ivre, d’un rêve richesses pour jour enfin revivre. Un jour je serai riche, ce jour sera demain, ne serait-ce pas faire affront à mon destin, une fois riche, me restera-t-il une faim, le Monde n’est ni à moi ni en moi, enfin. Le monde qui est le mien est bien petit, j’en fais le tour en deux jours et demi, ma famille, mes collègues, mes amis, sont lieux qui forment les repères ici. Et puis il y a toutes sortes de destins, devant soi, devant les autres, les siens : si être ce que je suis est mon seul destin, pourquoi m’en faire de ce que je deviens ! 

 

+ Sommes –nous des propriétaires ou locataires ou parasites ou destructeurs de la Planète Terre. Un peu tout cela à la fois, dépendant de l’endroit où l’on habite et de la manière dont on exploite et commercialise les richesses et leurs abondances limitées. Cette question se pose désormais, de manière lancinante car comme on dit que l’air et la mer appartiennent à tout le monde, voilà que la Terre et le feu s’y mettent aussi. le destin de l’humain et de l’Humanité tendent à se superposer et l’expression « à chacun d’habiter et de cultiver  son jardin» devient inéluctablement «tous ensemble pour le bien commun » c’est ce changement de paradigme qui sauvera le Monde ou le perdra , point final !

 

& Entre ceux qui s’adaptent et à tous les environnements, même artificiels et ceux qui sont, plutôt, dans la rétention d’information, dans la parano, et ceux qui sont dans le cataclysme et le pessimisme le plus noir, évident, il faut choisir son camp, il faut agir pour que tous mes maux ne se généralisent ni ne se répètent. Ce n’est pas une question de morale, éthique, économique, pragmatique : c’est juste question d’entente cordiale et raisonnée de survie d’humanité, et pour ne pas dire, en permanence, que tout fout le camp !

 

 

 

1162 1

 

Il y a ceux qui trouvent un désert en grande ville pour se distraire.

 

 

1162 2

Il y a ceux qui échangent très peu et ne donneront rien à personne.

 

 

1162 3

 Il y a ceux qui ne voient que des cataclysmes et des morts tout partout. 

 

 &

Entre ceux qui s’adaptent e à tous les environnements, même artificiels

Et ceux qui sont plutôt dans la rétention d’information, dans la parano,

Et ceux qui sont dans le cataclysme et le pessimisme le plus noir, évident

Il faut choisir son camp,

Il faut agir pour que tous mes maux ne se généralisent ni ne se répètent :

Ce n’est pas une question de morale, d’éthique, économique, pragmatique,

C’est juste question d’entente cordiale et raisonnée de survie d’humanité,

Pas dire tout fout le camp !