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Visuels suggestion de scénario
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Sacrifier des heures de loisirs pour
son travail, entreprise, communauté.
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Le travail, c’est la santé : ne rien faire
c’est la conserver, comme dit chanson.
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L’égalité homme-femme, celle des
travaux manuels pas que services.
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Textuels calligramme / extensions
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- £ À quoi bon ceci, à quoi bon, cela ! Mais combien de fois entend-t-on telle voix ! Et l’on passe tout en revue : y a rien qui ne va, avance : perte de temps, d’évidence : pas même un peu reconnu ! Tout est bouché, tout est bâclé, impossible, avoir vie sereine, bien que, sans ne ménager, ni son énergie, ni sa peine. A quoi bon la vie rime si, toujours, l’on trime, en ces temps d’abimes, qui vous sous-estiment. A quoi bon un enfant, si, devenu, adolescent, lutte contre les parents pour se sentir existant. A quoi bon conjoint, si l’on ne se rejoint, que sur peu de points, et de moins en moins. A quoi bon une maison si elle coûte déraisons, vous enferme au salon, loin voyages, passions. A quoi bon soleil, pluie, si, en sa vie, l’on s’ennuie, l’on est, dedans, dehors, ici, trop rarement avec les amis. A quoi bon des professions en notre monde aussi abscons, n’offrant que lointains horizons, autant aux filles qu’aux garçons. A quoi bon se donner la peine de se construire une vie sereine, quand, trop vite, la coupe est … pleine, au point on dirait : manque de … veine !
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- + À quoi bon ! Dès que l’on se pose cette question, la réponse penche vers la négative. On baisse les bras, on arrête de chercher des solutions, y compris transitoires. Le découragement prend toute l’énergie constructive. Il absout l’échec comme une détermination à ne pas pouvoir réussir. La défaite, par anticipation, participe de ce « A quoi bon, l’autre est déclaré comme étant plus fort soi ? » tandis que d’autres diront « tant que la partie n’est pas jouée, elle n’est pas gagnée ! ». Optimistes et pessimistes se partagent le monde de l’espoir et du désespoir, du courage et de la lassitude. Or le monde appartient, clairement aux premiers qui font montre d’une motivation sans relâche même quand ils savent pertinemment qu’ils vont perdre : au moins, ils auront essayé et ils auront appris quelque chose de leur échec, pour une éventuelle prochaine fois. Cette attitude rejaillit sur tous les autres domaines et comportements devant un problème, quel qu’il soit. On appelle cela la théorie du renforcement : la réussite appelle la réussite en donnant plus de confiance en soi. Mais parfois elle en donne de trop et l’échec est alors d’autant cinglant qu’il n’est plus du tout anticipé.
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- & À quoi la vie rime : a-t-elle besoin de rimer avec quelque chose qui nous ferait vibrer ? Certainement : pas forcément tout le temps. Dans nombre d’emplois, c’est pas souvent. Dire : à quoi bon, c’est déjà baisser les bras, s’avouer que c’est inutile, on y arrivera pas. Pensez, il faut raccourcir, mettre fin, arrêter, alors qu’il y aura tant d’autres choses à faire et qui feront que tout cela rime avec imprime.
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- # Le travail est une occupation, dite contrainte, nous permettant d’assurer notre autonomie. On pourra y trouver comme réalisation de soi, dans la mesure où son intérêt nous … convient. Mais parfois, bien que confortable physiquement, il nous fatiguera, nerveusement, jusqu’au burn-out et c’est là que le bât blesse, d’avoir troqué une fatigue physique contre épuisement devenu moral et nerveux ! Au final, si l’on trime toute sa vie, en y laissant sa santé : peut-on encore parler de progrès humain pour la conserver.
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Textuels symboliques et corrélations
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Flûte
- Symbolique de forme : Le langage musical est, pour une part, une certaine représentation de la réalité tant les timbres d’instruments se substituent à l’animal, à ses cris. Le langage musical aurait-il aussi des vertus magiques ? La musique proposerait-elle des sortes d’enchantements du monde comme avec la flûte ? Sans doute, si l’on considère que l’une de ses fonctions est d’être aussi un langage … poétique.
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Interjection
Symbolique de fond : Une interjection est une catégorie du mot invariable, qui permettrait à un sujet parlant, d’exprimer une émotion spontanée : joie, colère, surprise, tristesse, admiration, douleur, etc. D’adresser un message au destinataire (acquiescement, dénégation, salutation, ordre, etc.), ou encore de réaliser une image sonore d’un événement (cri d’animal, explosion, Bruit quelconque, etc.) L’interjection peut consister en une petite phrase de type exclamatif ou interrogatif. wikipedia.org/wiki/Interjection
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Travail > enchanteur, émotions, états seconds, réalité, sens
- Liens fond/forme : Les airs de flûte auront toujours eu ce petit côté magique … enchanteur, adressant autant le corps que l’âme, avec de douces, contraires, émotions qui nous mettent en des états seconds nous berçant de leurs hallucinations ! Tout l’inverse de la réalité d’un travail, qui nous occupe et nous distrait du sens qu’on pourrait, devrait, donner à la vie.
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