492 – Amour épanouissant des femmes mûres

<< Calligramme et symboliques 

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Visuels scénario

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Une femme mûre, peut être encore

charmante après ses quarante ans.

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Femme bien mûre peut être encore

désirable après ses cinquante ans !

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Femme très mûre peut être encore

aimante, après ses soixante ans !

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Textuel calligramme

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  • Les femmes, jeunes, tendres et jolies, feront toujours rêver les hommes ! Qu’en est-il des femmes mûres : seraient-elles en déconfitures ! Point, n’allez pas croire qu’avec elles, il i aurait moins d’espoir d’avoir une écoute, trouver une entente qui satisfasse à plein votre égo de mâle. Si c’est fort bien d’être heureux au pieu, l’être en ménage, c’est encore mieux : ça dure plus longtemps, ç’est rassurant, le temps a moins de prise, vieux. L’homme ne l’entend pas toujours de cette oreille : tend l’autre à une jeune, en s’illusionnant sur sa jeunesse. Aujourd’hui, je crois bien qu’une femme mûre veut surtout un homme qui soit beau, et qui pense à elle d’abord, avant lui, et cela pour avoir été délaissé après mariage et enfants. Elle s’est rendue compte que la totale disponibilité d’un homme, en vaut deux qui ne le sont, parfois, que trop peu. Et elle s’est de même rendue compte que, dans tous les cas, il vaut mieux être heureux en son ménage qu’au pieu.  Copieux, dites-vous : insatiable amour est d’un jour, plutôt que de toujours lors toute tendresse est déjà promesse. Rarement, son homme est aimé pour lui-même, mais pour ce qu’il représente Son image est bien plus importante que ses vraies qualités, ses atours. Pour l’avoir appris à ses dépens, aujourd’hui, en ménage, son mépris, prenant du ventre et de l’âge, se méprend. Renoncer c’est comme fuir devant des déceptions certaines bien qu’un miracle se produise, des fois, suite à un rebond. Ce dernier vous surprend au point que vous n’y croyez pas : et il vous faudra du temps pour retrouver vraie confiance ! Le temps vous manque, il manque à tout le monde, pourtant, du temps, pour vous, ce serait grandement  précieux pour vous trouver un amoureux qui soit digne de vous deux. Car l’homme ordinaire, n’a plus rien d’extraordinaire. A moins d’haïr son contraire, l’on aura peine à s’en satisfaire.

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Textuel extension

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  • Aujourd’hui, il se peut qu’une femme mûre sur deux se contente de ce qu’elle a, ou alors, attend beaucoup mieux. En Europe, ce sont, de plus en plus, les femmes qui demandent le divorce et moins les hommes : changement de culture, société.  Et que fait-on des femmes-enfants ou femmes-immatures, qui ne murissent que tard ou qu’on enferme en leur image !  Faire l’apologie de la jeunesse, contre la vieillesse, est un leurre. Une femme plus jeune n’apporte pas forcément plus de bonheur. Ce n’est pas tant la question de l’âge que des passions communes et personnelles, au sein du couple, avec la confiance et la liberté ! Si on tient ce raisonnement, attitude de la femme pour l’homme, elle préfère un homme mûr à l’esprit jeune, ouvert avec humour à un jeune sans culture qui s’installera vite dans ses habitudes.  À partir de quand dit-on d’une femme qu’elle est mûre et qu’on en est sûr : une femme autour de quarante ans,  avec sensibilité plus épanouie, voire un savoir  plus grand ! Elle fut autrefois, mais est parfois encore, perçue comme une maîtresse, comme une initiatrice,  et voire une matrone. On passe de la connotation sexuelle à la connotation intellectuelle puis à la connotation affectueuse pour finir par celle spirituelle, vertueuse.

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Textuel épilogue

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  • Les  femmes mûres, femmes d’expériences, troquent performance  contre compétence. Lors prenant de l’âge, et, malgré leurs soins, elles savent qu’elles séduiront, certes, moins. Le charme demeure même si la grâce, envolée, l’échange prend de la profondeur ; sexe, de la légèreté. Plus de connivence, plus de complicité, caractère : les désaccords, disputes, colères, restent passagères. L’amour s’est établi sur le fond plus que sur la forme, toute discussion sur séparation prendrait temps énorme. Quant au regard, comme l’amour, lui, ne vieillira pas, tant il garde encore la même étincelle dans ses yeux. Étincelle qui aura mis un feu de folies à ses amours et dont elle garde le même souvenir pour toujours !

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Textuels symboliques 

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Femmes mûres

  • Symbolique de forme : Dans la décennie de la quarantaine, nombreuses femmes mûres, maitriseraient davantage leur comportement émotionnel. L’horloge biologique déclencherait l’alarme nécessaire pour qu’elle prenne encore ou enfin, soin d’elle-même, et se fasse plaisir en se consacrant  à  une meilleure connaissance d’elle-même, pour leur épanouissement personnel et la recherche d’une qualité supérieure dans leur relationnel.

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Regard

  • Symbolique de fond : Le regard désigne le mouvement, ou la direction des yeux vers un objet et, par métaphore, la capacité intellectuelle d’un individu à appréhender une situation, à y mettre, par ce biais un peu de lui. Le regard est un support important de la communication entre individus, y compris chez de nombreuses espèces animales. Il porte, quel qu’il soit, une « intention » parfois inconsciente de  la part  de l’émetteur mais très facilement décodable pour celle ou celui qui reçoit ce regard. antiochus.over-blog.com/article-le-regard

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Corrélations > comparaison au fruit, 40 ans, interprétation

  • Liens fond/forme : Pourquoi une femme est dite «mûre» à quarante ans alors que  pour un homme ce serait cinquante ou plus, par rapport  à  leur attrait, sensualité, sexualité ! C’est plus qu’injuste, cela n’est en rien mérité. C’est redonner l’exclusivité d’e l’attrait à la jeunesse qui est autant en l’esprit voire plus qu’en corps. Que fait-on de celles qui divorcent, et se remarient ! Femme mûre, c’est par comparaison au fruit mais ici, ce n’est même pas la moitié de sa vie, à quarante ans : il en reste au moins autant ! Voilà une interprétation à la fois libre et contrainte : mûre rime avec mi-temps et non avec vieillerie. Peut-être qu’en se regardant dans son miroir, on se dit sur le début de la descente, pas de la décrépitude, ni de la solitude, tant l’’amour n’est pas de finitude.

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