701 – Qu’un jour cesse le désir de faire l’amour !

Visuels et textuels >>

.

J’ai plus envie,

Laisse     tomber,

Je passerai à autre

Chose en nouveauté.

.

Ça me stimule moins

Qu’avant, plus excité,

C’était quand même,

Un plaisir et inégalé.

.

Ça restera  souvenir

Des jeunes années :

Je  ne saurais  dire

Comment le désir

S’en    est    allé,

Petit  à  petit

À tomber

Si  plat

Que

V

.

Qu’un jour cesse désir de faire l’amour

Et vous voilà tranquille pour toujours

Dispensé de vous  forcer à séduire

Au corps, au sexe vous réduire.

.

Croisant une belle femme, de jour,

Vous la regardez en esthète glamour,

Elle ne peut  et ne  saurait  vous nuire,

Vous n’aurez juste qu’à vous entretenir.

.

Entre vos bras elle ne s’abandonnera plus

Pour un acte qui ne vous conviendrait plus

Et vous n’en  demeurez pas moins… homme,

Sans l’obsession de faire de vous surhomme.

.

Faire l’amour n’est pas une des … obligations

Qui vous empêche de vivre dans notre société,

Tout ce temps libre gagné pourra être occupé

 À faire autre chose qui stimule autre passion.

.

Mais le choix définitif entre raison, passion,

Faisant taire le désir vous pousse à mourir

Bien avant l’heure,  il  vous  fera  souffrir

Manque   d’aimer qui vous fait exister.

.

.

Extensions

.

Si vous n’y prenez garde,

Faites comme si cela n’avait

D’importance que celle qu’on

Veut bien lui donner : très peu !

.

Qu’un jour cesse le désir de faire l’amour

Vous voilà libre comme l’air de faire autre chose

Et vous distraire, amour n’est pas fait que pour ça

Mais autant pour se faire, se construire à deux

Et se soutenir, dans les moments difficiles !

.

Il paraitrait qu’il existe des jeunes gens

Qui se disent, non attirés par le sexe,

Et qui vivent ensemble chastement

Comme frère et sœur et sans que,

La moindre envie, moindre désir

Ne les attire  comme, à l’inverse !

.

Il existe des gens vieux qui se clament

Obsédés par le sexe et qui ne pourraient

S’en passer, quitte à le payer et à dépenser

Tout leur argent, ou presque, pour le pratiquer.

La sagesse suppose quelque vertu mais pas trop.

.

Qui a dit que  faire l’amour  était un désir universel, un devoir

Il faut que cela reste un vrai plaisir et pas que pour procréer.

Bon, si ça n’apporte rien, qu’on a essayé, qu’on n’a pas envie

Ça se comprend très bien mais l’inverse aussi et tout autant.

On ne peut avoir envie tout le temps à moins d’en être addict

Quant à combien de fois  et avec qui : à chacun  d’en décider !

.

Notre désir de faire l’amour,

Si puissant et si varié, soit-il

Peut, un jour, se ternir, finir

Cela pour des tas de raisons

Physiologiques  …  d’abord,

Psychologiques  … Ensuite,

Et sociologiques   … enfin !

.

Physio parce qu’il y a l’âge,

Psycho parce que routine,

Socio parce que par rejets,

Rejet partenaire potentiel,

Voilà la vie du désir sexuel

Escamoté,  presque castré,

À ne plus savoir qu’en faire.

.

Il y a ceux chez qui, le désir amoureux,

Dure et perdure comme au premier jour,

Ils entretiennent la flamme comme si sans

Elle, ils ont l’impression qu’ils vont mourir !

.

.

701 – Calligramme

 .

J’ai plus envie,

Laisse     tomber,

Je passerai  à  autre

Chose    U  nouveauté.

Ça me sti  N  mule moins

Qu’avant    *    plus excité,

Mais c’était quand même,

Un plaisir     J  et inégalé.

Ça restera   O    souvenir

De jeunes   U    années :

Je ne sau  R  rais dire

Comment le  désir

S’en   est   allé,

Petit à petit

À tomber

Si plat

Que

V

.

**********************

***********************************

.

Qu’un jour cesse désir de faire l’amour

Et vous voilà tranquille pour toujours

Dispensé de vous    C   forcer à séduire

Au corps, au sexe    E        vous réduire.

Croisant une belle   S     femme, de jour,

Vous la regardez   S   en esthète glamour,

Elle ne peut et     E   ne  saurait  vous nuire,

Vous n’aurez    *    juste qu’à vous entretenir !

Entre vos     D    bras elle ne s’abandonnera plus

Pour un       É   acte qui ne vous conviendrait plus

Et vous n’en   S       demeurez pas moins… homme,

Sans l’obsession      I     de faire de vous surhomme.

Faire l’amour n’est pas     R      une des… obligations

Qui vous empêche de vivre    *     dans notre société,

Tout ce temps libre gagné   A     pourra être occupé

 À faire autre chose qui      M stimule autre passion.

Mais le choix définitif    O   entre raison, passion,

Faisant taire le désir   U   vous pousse à mourir,

Bien avant l’heure   R     il  vous  fera  souffrir

Manque   d’aimer   qui  vous  fait  exister.

.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

701 4

.

C’est La flamme du désir

Chaudron des pulsions :

Quand  ça bout et de partout,

Faut venir à bout sinon s’éteint.

.

Un chaudron qui s’allume, bout, s’éteint

voilà une belle métaphore d’un désir fort

il suffit se souler le couvercle pour le voir,

tant et si bien que la forme rejoint le fond.

 .

Chaudron, potion magique vont de pair

Sauf lors son effet s’arrête :

Tout refroidit flamme d’amour s’éteint

Et puis alors il n’y a plus rien.

.

Symbolique 

 .

Le chaudron

Est le creuset de l’alchimiste

À l’intérieur duquel la transformation

Et la guérison se produisent et nous

Le contenons  en …nous-mêmes,

En notre  région  abdominale.

.

Cette alchimie  interne  était

Connue dans l’ancienne chine

Sous le nom de Neidan dont

Le but était d’unir le yin et le yang

Acquérir longévité voire l’immortalité.

sciencetradition.forumactif.com/

t337-le-symbole-du-chaudron

.

Descriptif

 .

701- Un jour, désir cesse de faire l’amour !

  Alignement central  /   Titre analogue  /  Thème  sexualité

Forme  en ovale   /   Rimes égales    / Fond accordé à forme

Symbole de forme : chaudron  /  Symbole de fond : s’éteindre

 

.

Fond

 .

Évocation 

.

701 6

.

Chaudron, potion magique vont de pair

Sauf lors son effet s’arrête :

Tout refroidit flamme d’amour s’éteint

Et puis alors il n’y a plus rien.

 .

Symbolique 

 .

La routine

S’installe dans notre vie

À tel point que toute flamme

Intérieure de l’amour s’éteint

Lentement presque inexorablement.

.

Comment ne pas vous laisser entraîner

Par ce tourbillon infernal de vieux couple.

Comment raviver une flamme intérieure

Qui ne souhaiterait qu’une seule chose :

Briller, revivre sinon mieux du moins

Autant qu’avant voir différemment.

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Un chaudron qui s’allume, bout, s’éteint

Tout cela est banal, cela n’a l’air de rien

Et pourtant c’est le désir qu’il renferme

Et la grande énergie qu’il consommera

Qui nous mènera et nous fera avancer

Une fois fini, il éteint mais se rallume

Comme ces bougies d’anniversaires

Qui le font et le refont et sans fin !

 .

.

Désir sans fin, désir avec fin !

.

Scénario

.

 Chacun fait ce qu’il veut comme il veut, avec qui il veut,

l’essentiel : ne pas forcer l’autre à faire ce qu’il ne consent

surtout quand c’est plus qu’explicite avant même de tenter…

 .

Visuels et textuels >>

333 – A la voile et à pied et à ski et en vélo !

Visuels et textuels  >>

.

Autant de sports,

Autant de bonheurs

Du sud jusqu’au nord,

Autant bonne humeur !

.

En voiles, l’on  s’emporte,

Et en skis,  l’on se déporte,

Par les pieds, l’on se porte,

En vélo,  l’on se  téléporte !

.

Quatre moyens de voyager,

Lentement mais  surement

D’un  point, à l’autre, fixé,

Prenant bien  son  temps

.

Mieux  vaut être  deux,

Trois   pour  partager,

Instants … heureux,

À  se   mémoriser,

Sensations fortes

Qui ressortent,

De paysages,

En images.

.

Amours

De nature

Avec culture

Avec humour :

En mer, en terre,

On se perd souvent

En ses commentaires

En l’air  ou dans le vent.

.

La marche  garde  mystère

Des origines de … l’humanité

Mais naviguer, en hautes mers,

Nous force à mieux nous guider.

.

.

Extensions

.

Ces poèmes ne sont de trop pour évoquer ces iles,

Terres rassemblées, mis en forme pour communiquer.

Il existe quantité de sports tous aussi attrayants autres

À partir du moment où l’on s’en déclaré un passionné.

Moi, ce sont les quatre sports que je préfère, de loin.

.

On ne parle bien que de ce que l’on connait le mieux.

Sports collectifs, je ne les pratique pas, mais cela ne

N’empêche nullement de les aimer ou les admirer.

Il se trouve que ces quatre sports se pratiquent

Tous en plein air la pleine mer, pleine nature,

La voile, c’est pour mes bras, et  la rando,

C’est pour mes pieds, le vélo, mollets,

Le ski … c’est pour mes … genoux.

.

Mettre sport et nature, en poèmes,

Consomme aussi beaucoup d’énergie,

Pour la bonne cause, oui… cause toujours !

La poésie comme le sport, n’exclut pas l’humour

La tête y participe beaucoup plus qu’on ne le pense ;

La tête et les jambes direz-vous : j’ai entendu cela

Quelque part mais je ne sais plus très bien où !

.

Quel que soit le sport qu’on pratique, préfère, compète,

Il y a toujours un prix, une médaille, un trophée à gagner,

En dépit du fait qu’esprit olympique de Pierre de Coubertin,

Consisterait d’avantage à bien  participer qu’à vouloir gagner

Ce sont les champions qui entraînent autres vers leur sport :

Tous se valent à partir du moment où l’on atteint sommet

Chacun peut, toutefois, à son niveau espérer un trophée.

.

On peut difficilement comparer les sports :

À chacun ses difficultés, plaisirs, méformes,

On peut, en tant qu’individu en pleine forme

Les enchainer comme on le fait au décathlon.

.

Courses de vitesse ne sont pas courses de fond,

À chacun son défi, selon ses passions, capacités.

Moi qui ai pratiqué, la voile, marche, le ski, vélo,

Je ne saurais dire lequel sera resté  mon préféré !

.

Il m’est impossible d’expérimenter tous les sports

Ni même de m’y intéresser, à part, par curiosité :

Ce sont les engagements et plaisirs que j’assume

Qui me font les partager sous forme poétique.

.

.

Épilogue

.

À pied, à cheval, en voiture,

En vélo, en skis…en bateau :

Six  transports  à rajouter  à :

En bus, en train … en voilure,

Trottinette, mobylette, moto :

Pas un moyen qui manquera.

***

On dit qu’à pied,  on peut aller

Partout, en partie  vrai et faux,

Sur la neige : skis ou raquettes.

On ne traverse pas mer, océan :

Pas de pont : avion  ou  bateau :

Je ne me vois pas nager, si loin.

***

Tour du monde, à pied … à vélo,

Voire en bateau, mérite trophée,

Certains l’on fait, autres le feront

Et moi, je leur tire mon chapeau,

Un tour de la France ou traversée

Ça fait déjà une trotte sacré nom !

***

Quoiqu’il en soit, il en fût, en sera,

Bouger et voyager, est destination,

Pour les uns, pour autres, destinée.

On peut en faire et loisir et passion,

Je suis de ceux ayant devise : utiliser

Moyen nécessaire, là  où  il le faudra.

.

.

333 – Calligramme   

 .

Autant de  V   sports,

Autant     O  de bonheurs

Du sud    I   jusqu’au nord,

Autant    L   bonne humeur !

E ………..

En voiles,    *     l’on  s’emporte,

Et en skis,      P   l’on se déporte,

Par les pieds,    I     l’on se porte,

En vélo,  l’on se    E    téléporte !

            D

Quatre moyens de  S     voyager,

Lentement mais    *    surement

D‘un  point, à     S  l’autre, fixé,

Prenant bien    K    son temps

    I

Mieux  vaut  *    être   deux,

Trois pour   V    partager,

Instants    E     heureux,

À se       L  mémoriser,

Sensa O tions fortes

Qui  * ressortent,

De   paysages,

En images.

.

Amours

De nature

Avec culture

Avec humour :

En mer, en terre,

On se perd souvent

En ses commentaires

En l’air  ou dans le vent.

La marche  garde  mystère

Des origines de … l’humanité

Mais naviguer, en hautes mers,

Nous force à mieux nous guider.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

333 4

.

Un trophée sportif,

Oui, très probablement,

Oui d’accord mais lequel 

De voile, ski, marche, vélo ?

.

Trophée par ci, ou trophée par la

chaque sport a les siens, individuels

ou collectifs, tant et si bien que : tous

s’accordent que fond justifie la forme !

.

Impossible de déterminer,

De quel trophée, il peut s’agir :

Il n’y a, pour le moment,

Aucune inscription, aucun signe !

.

Symbolique 

 .

Conception, réalisation d’un trophée

Peut être confié à un sculpteur célèbre,

C’est en général une forme sur un socle :

Une allégorie de victoire ou d’honneur,

Empruntée   à    la     mythologie ;

La représentation d’un objet

Ou   d’une   attitude  de

Discipline concernée

Ou encore une

 Forme abstraite.

wikipedia.org/wiki/ Trophée-dans-sport

.

.

Fond

.

Évocation 

.

333 6

.

Impossible de déterminer,

De quel trophée, il peut s’agir :

Mais si voyons, de cinéma

Une création de César

.

Symbolique 

.

Le trophée  est  remis

Au vainqueur  et  des titres

Symboliques pour ses seconds

Lors d’une  cérémonie  officielle

Par un  ou des membres éminents

De la discipline  ou de son instance.

 .

Cela dit, l’objet  du trophée  peut être

Symbolique : une coupe, une médaille

Financier : un bon d’achat,  un  chèque,

Ou un contrat : d’édition ou distribution.

 .

La cérémonie est assez souvent enjolivée

D’un discours, d’une remise  de  bouquet

Ou d’une couronne, voire d’une montée

Des couleurs, drapeau,  de l’exécution

D’un  hymne spécifique ou national.

Wikipédia : trophée

.

.

Corrélations

.

Fond/forme

 .

J’en aurai trop fait, ou trophée,

Quel vilain jeu de mots, s’il en est.

Quand je pense trophée, pas sport,

Mais bien plutôt littérature, rature

Prendre les voiles, est ce que j’ai fait

Le plus, durant presque trente années

Et pour les autres, plutôt en pointillés,

Je me retrouve avec un sport cérébral

Qui a pour nom : Éclats d’existences,

Qui ressemble fort à un marathon.

 .

.

L’important, avoir sensations

.

Scénario

.

À la voile, quelque part sur une plage bretonne !

En ski, quelque part dans une station des Alpes !

En vélo, quelque part  dans une ville de France !

 .

Visuels et textuels  >>

332 – Le vélo est plus relax que la voiture

Visuels et textuels >> 

.

Vélo c’est mieux

Que petite auto,

Sur la voie verte

Au bord de… l’eau,

Où l’on peut pédaler

Sans souci, ni danger,

Et temps pour admirer,

Les paysages  vallonnés.

Et au fil des kilomètres,

Les profils de sentiers,

Changent… d’aspects

Voire de…dénivelés.

.

Aucune monotonie

Ne vous … guette,

Ni, de mélancolie,

Ne  vous inquiète.

Face au désespoir

De la vie moderne

Aucun … problème

Ne  vous  concerne,

Autre que de pédaler,

Souvent, droit, devant.

.

Chaque tour de roue vous entraine

Vers  des paysages, extraordinaires,

Réveillant, et inspirant l’imaginaire,

En lequel, tête et vélo,  s’enchainent.

Un arrêt, par ci, ou par-là, pour fixer

Des clichés de chapelle, en beau pré,

Nature est généreuse, à la campagne,

On l’apprécie, comme une compagne.

.

Ici chemin tout droit comme un trait

Là, des courbes, aux virages en lacets,

On passe en un sous-bois, ombrageux,

L’on franchit un col, un chemin creux.

La rivière, serpente, parfois, contrebas,

On entend son flot murmurer tout bas.

.

« Eh les humains en vélo, plein d’entrain,

Qui suivez le chemin, d’un ancien train,

Apprenez que, depuis milliers d’années,

Je coule et roucoule les eaux, à satiété ».

 .

Mais il est temps de se reposer à l’hôtel,

En soirée à déguster crêpes … dentelles,

Sommeil viendra à point nommé, fermé,

Un petit vélo, dans la tête, vous fera rêver

Que vous pédalez, sans cesse, et à volonté,

Pour mieux parcourir ce chemin, sans fin

De votre vie, qui se prolonge avec destinée

.

.

Extensions

.

Balade  à vélo peut vous faire vibrer,

Vous embarquer, comme en ciel, éthéré,

Procurer des ailes à votre imaginaire déluré.

Changement de braquet, voilà autre dimension

Qui laissera tout libre cours à votre imagination.

.

Comment objet aussi simple, muni deux roues,

Un cadre, un guidon, un frein, un dérailleur,

Peut nous procurer d’intenses sensations

Qui frôlent notre déraison !

.

Comment les chutes sont-elles vécues :

Tantôt comme bévue malvenue de notre part,

Tantôt comme dû à un terrain fort accidenté !

.

Comment le ruisseau qui coule à nos côtés

Nous ressource de la voir serpenter

Comme nous pour négocier

Pente en retenues et en torrents.

L’homme doit tout progrès à la roue,

Y compris à celle du temps, de la fortune.

.

La collaboration vélos et voitures si ce n’est compétition

Pour occuper les routes, aura toujours été problématique

Au point que nombre de gens ont réclamé pistes cyclables.

Mais  cela  ne résout pas tout, loin s’en faut, en urbanisme,

Encore  faut-il  être  prudent, compréhensif, vivre ensemble

Et cela ne dépend pas du moyen de transport : d’éducation !

.

Les meilleurs endroits pour les vélos

Sont là où il n’y aura pas de voitures.

En campagne c’est simple et possible,

En ville cela dépend de choix politique

.

Le stress ne sera pas le même, accident

De voiture serait plus grave que de vélo.

La faute à la vitesse ou confiance en soi,

Alors qu’il s’agira souvent d’inattention.

.

En vélo, on a le temps de voir le paysage,

En auto, on fait plus attention à la route ;

En auto, on se dit pressé arriver à l’heure,

En vélo, on s’arrête pour des événements.

.

Épilogue

.

Pour les trajets courts,

Accorder une préférence

Au vélo, plus qu’à l’auto !

***

Message, souvent imprimé,

Sur la publicité des véhicules

À vendre, voire aussi  à louer !

***

C’est pas que voiture soit stress :

C’est juste un confort, une paresse,

Il faut trouver équilibre avec le vélo.

***

En ville, vélo est beaucoup plus relax,

Que la voiture qu’on ne saura où garer,

Et puis on l’emprunte ici et le dépose là.

***

Courses : la voiture, y pas mieux, c’est sûr,

Lors le vélo sera idéal pour aller au boulot :

On peut mettre vélo sur voiture pour rando.

***

Pour la sécurité, parfois, en vélo, ça craint :

Il suffit de pas grand-chose, parfois de rien,

Pour se faire accrocher, tomber comme tas.

***

Mais il y a de plus en plus de pistes cyclables

Où l’on ne craindra autre que rencontre vélos

Chacun chez soi et les vaches, mieux gardées.

.

.

332 – Calligramme

.

LE  VÉLO 

Vélo c’est mieux

Que petite auto,

Sur la voie verte

Au bord de… l’eau,

Où l’on peut pédaler

Sans souci, ni danger,

Et temps pour admirer,

Les paysages  vallonnés.

Et au fil des kilomètres,

Les profils de sentiers,

Changent… d’aspects

Voire de…dénivelés.

Aucune monotonie

Ne vous … guette,

Ni, de mélancolie,

Ne  vous inquiète.

Face au désespoir

De la vie moderne

Aucun … problème

Ne  vous  concerne,

Autre que de pédaler,

Souvent, droit, devant.

E S T   P L U S   R E L A X

Chaque tour de roue vous entraine

Vers  des paysages, extraordinaires,

Réveillant, et inspirant l’imaginaire,

En lequel, tête et vélo,  s’enchainent.

Un arrêt, par ci, ou par-là, pour fixer

Des clichés de chapelle, en beau pré,

Nature est généreuse, à la campagne,

On l’apprécie, comme une compagne.

Ici chemin tout droit comme un trait

Là, des courbes, aux virages en lacets,

On passe en un sous-bois, ombrageux,

L’on franchit un col, un chemin creux.

La rivière, serpente, parfois, contrebas,

On entend son flot murmurer tout bas.

« Eh les humains en vélo, plein d’entrain,

Qui suivez le chemin, d’un ancien train,

Apprenez que, depuis milliers d’années,

Je coule et roucoule les eaux, à satiété ».

Mais il est temps de se reposer à l’hôtel,

En soirée à déguster crêpes … dentelles,

Sommeil viendra à point nommé, fermé,

Un petit vélo, dans la tête, vous fera rêver

Que vous pédalez, sans cesse, et à volonté,

Pour mieux parcourir ce chemin, sans fin

De votre vie, qui se prolonge avec destinée

De le recommencer, frais, et chaque matin.

Q  U  E     T O U T E   V  O  I  T  U  R  E   

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

332 4

.

Peut-être un pinceau de peinture

Ou peut être une cheminée d’usine

Ça ressemble plus  à une voiture

De course que vélo, même couché.

.

Voiture, voiture de course, d’accord

mais regardez bien un vélo couché,

c’est la même chose et en réduction

si bien que la forme épouse le fond.

 .

Une voiture avec ses quatre roues,

Moteur, carrosserie

Est engin de transport pour les uns,

De plaisir pour d’autres.

.

Symbolique 

.

La voiture exprime

Le désir, du rêveur

D’avancer vers quelque chose.

Le but n’est pas toujours défini.

.

Quand la voiture roule sans but précis,

Il s’agit d’un désir de bouger  et  de voir

Sa vie changer  et la nature de la voiture

Exprime un certain, et bon, niveau social.

.

Une voiture  de sport   exprime  un  désir

D’aller vite dans la vie, une petite voiture,

Demeure une marque de modestie tandis

Qu’une voiture endommagée est le signe

Que le rêveur a connu des déboires dans

Sa vie sociale et en supporte

Encore les conséquences.

Psycho/Interpretation-des-reves/

Rever-de-voiture-notre-interpretation-

.

Descriptif

.

332 – Le vélo est plus relax que voiture   

Alignement central / Titre absent / Thème  transport

Forme droite  /  Rimes égales   /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : voiture   /   Symbole de fond : voiture

.

Fond

.

Évocation 

.

332 6

.

Une voiture avec ses quatre roues,

Moteur, carrosserie

Est engin de transport pour les uns,

De plaisir pour d’autres.

.

Symbolique

.

La voiture fait du bruit,

Voiture envahit les villes,

Le  bitume des campagnes.

Utilise  place  folle  à l’arrêt.

On lui construit des immeubles

Grottes souterraines pour la parquer.

.

Elle consomme énergie épuisable,  pollue.

Elle causera mort de 1,2 millions de personnes,

Chaque année selon l’OMS : en 6 ans, l’équivalent

De la population de toute  la Suisse qui disparaît.

.

A ces morts on peut ajouter les blessés graves,

Mutilés, amputés, handicapés à vie,

Et les enfants orphelins,

Les familles détruites.

Source : hommelibre.blog.tdg.ch/archive/

2011/04/19/la-voiture-symbole-liberte.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La voiture est loin du vélo,

Et cela à tous points de vue :

Sa forme et sa tenue de route

Quatre roues ne sont pas deux

Elle est couverte, caparaçonnée,

Le vélo est ouvert et mal protégé.

.

Vélo est lent lors voiture va vite :

Tout était fait pour elle, en ville,

Vélo est entre voitures, piétons,

Et attention aux vols de vélos 

Et aux glissades sous pluies,

Sans parler de tout le reste.

.

.

Trois, sept, douze, seize ans

.

Scénario 

.

Le conflit vélo/ voiture, pas toujours facile à régler.

Debout sur les pédales, en tout terrain, c’est mieux.

Et, là, relax, tout en bleu, sur un vélo… tout rouge !

 .

Visuels et textuels >>

331 – Vélo est comme marche accélérée

Visuels et textuels >> 

.

Le vélo c’est comme marcher

En accéléré,

Pour pédaler suffit appuyer léger

Pour démultiplier,

Il vous permet d’aller bien plus loin

En une journée.

De muscle respiration, prendra soin,

En une matinée.

.

Sinon, soin de votre ligne,  ou santé,

Ou embonpoint,

Tant et si bien, qu’en fin de journée,

Ne regrettez point,

Loin des autos, loin de pétarades,

Moteurs, motos,

Vous  aurez  silencieuse  balade,

Circuit cyclos.

.

Pour changer de lieux, endroits,

Vélos dans l’auto,

En Bretagne, cent lieux,  je crois,

Ne seront de trop

Pour cinq sens, stimulés cent fois,

Paysages beaux.

.

Seul, c’est bien, en famille, à deux

C’est mieux,

 Roulant sans souci, tracas, on peut

Etre heureux

Ou descendre  au fond des creux,

Faire curieux

Ou monter, à toucher  les cieux,

Faire envieux.

.

Tant que jambes ne flanchent,

Cœur ne calanche,

Allez au bout carte blanche

Chaque dimanche.

Avoir pignon, sur vélo,

Comme sur rue,

C’est à la fois, beau

Et bienvenu.

.

Bougez jeunesse

Bougez fesses

Pour votre

Santé.

V

.

.

Extensions

.

Le vélo n’est pas comme le voilier,

Synonyme de liberté, grand large, aventure.

C’est un moyen de transport ou loisir, parfaitement

Maitrisé, accessible à tous, petits, grands  jusqu’à cent ans.

.

Synonyme de balades le long des routes, chemins, sentiers,

Le plus souvent il est pratiqué en famille, en pleine nature,

Sauf pour les sportifs, et les fous de VTT, qui pratiquent

Des circuits spécialisés pour s’entrainer régulièrement.

.

Et son dérailleur, joint, de nos jours, à un indexeur,

Est devenue la merveilleuse invention technique

Qui donnerait de la force, voire de la souplesse

Pour adapter votre rythme, à votre parcours !

.

Les suspensions de la roue, avant apporteront

Un certain confort dans des terrains accidentés

Mais ne servent à rien sur routes très  bitumées.

.

Le compteur de kilomètres, variation de vitesses,

Consommation d’énergie, seront des aides utiles,

Mais, non indispensables,  quand ce qui compte,

Est avant tout le plaisir plus que la performance.

.

On peut aussi utiliser le vélo pour aller au boulot

Cela se pratique de plus en plus surtout en ville

Où les voitures n’avanceraient guère plus vite

Que transports en commun, mal desservis.

.

Relax, max, accélère et monte à vélo, pour un max,

Et puis si tu veux des sensations : le country cross,

Se plie à tous terrains avec un VTT, à suspensions,

Y a pas de mal à se faire du bien sur tous chemins

Les VTC sont faits pour ça, et pour la route, aussi.

.

Essayer de faire du vélo, sur le plat,

À côté d’un marcheur du dimanche

Vous tiendrez avec peine l’équilibre,

Et pied à terre au moindre faux pas.

.

Cela ne vous empêche pas de prendre

Un vélo pour gagner temps de marche

Car c’est au moins du simple au triple,

Autant d’énergie, en moins, dépensée !

.

Attention car si vos pieds sont autonomes,

Le vélo, lui ne l’est pas, demande entretien.

Un vélo qui crève  ou qui déraille, c’est vous

Qui écopez des ennuis, retard, réparations !

.

.

331 – Calligramme

 .

LE VÉLO

Le vélo c’est comme marcher

En accéléré,

Pour pédaler suffit appuyer léger

Pour démultiplier,

Il vous permet d’aller bien plus loin

En  une  journée.

De muscle respiration, prendra soin,

En une matinée.

.

EST UNE

Sinon, soin de votre ligne,  ou santé,

Ou embonpoint,

Tant et si bien, qu’en fin de journée

Ne regrettez point,

Loin des autos, loin de pétarades,

Moteurs,   motos,

Vous  aurez  silencieuse  balade,

Circuit cyclos.

.

Pour changer de lieux, endroits,

Vélos dans l’auto,

En Bretagne, cent lieux,  je crois,

Ne seront de trop

Pour cinq sens, stimulés cent fois,

Paysages beaux.

 .

MARCHE EN

Seul, c’est bien, en famille, à deux

C’est mieux,

 Roulant sans souci, tracas, on peut

Être heureux

Ou descendre  au fond des creux,

Faire curieux

Ou monter, à toucher  les cieux,

Faire envieux.

 .

ACCÉLÉRÉ

Tant que jambes ne flanchent,

Cœur ne calanche,

Allez au bout carte blanche

Chaque dimanche.

Avoir pignon, sur vélo,

Comme sur rue,

C’est à la fois, beau

Et bienvenu.

Bougez jeunesse

Bougez fesses

Pour votre

Santé.

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

331 4

.

C’est peut être une simple vis,

Ou c’est peut-être un pendentif,

Ça ressemble plus à une fusée,

Qu’à un vélo, sans aucun doute !

.

A priori, aucun de rapprochement possible

d’une fusée avec un vélo, en cherchant bien

j’en ai trouvé un, spécial, en forme de fusée,

sa forme aérodynamique aura servi au fond

.

 À première vue rien de commun

Avec cette fusée, bien que…

Rien n’empêche d’imaginer un vélo,

Ayant une telle forme !

 .

Symbolique 

 .

Rêve

De fusée

Est un symbole

Que l’on rencontre

Souvent dans des rêves

De garçon, car il représente

L’énergie qui permet de s’élever,

D’aller conquérir de nouveaux horizons.

.

C’est le symbole du courage, de la curiosité,

De l’action, de la rapidité, et de l’efficacité,

De l’ouverture d’esprit  autant que  besoin

De découvrir le monde qui nous entoure.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles-de-reve/fusee

.

Descriptif

 .

331 – Le vélo est une marche en accéléré     

Alignement central   /  Titre intercalé  /   Thème  vélo

Forme pointe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : fusée / Symbole de fond : homme-fusée

.

Fond

.

Évocation 

.

331 6

.

À première vue rien de commun

Avec cette fusée, bien que…

Rien n’empêche d’imaginer un vélo,

Ayant une telle forme !

.

Symbolique 

.

«L’homme-fusée»

Considéré comme mort.

L’Alsacien  François  Gissy,

Qui avait roulé jusqu’à 333 km/h

Allongé sur son vélo-fusée en 2014,

S’est tué, samedi matin, vers 7h55

Lors d’un de ses entraînements

Avec son vélo à moteur

En plaine d’Alsace.

leparisien.fr/faits-divers/haut-rhin-

il-decede-au-guidon-de-son-velo-fusee

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

J’ai déjà vu les coureurs du Tour de France,

Débouler sur le plat…  à cinquante à l’heure

De moyenne, et soixante contre la montre

Soixante-dix à quatre-vingt, en descente

Mais jamais aussi vite que va le TGV.

Faut-il l’appeler : Très Grand Vélo !

.

Il s’est tué  avec son vélo à moteur :

Comble quand même, pas assez vite

Moi quand j’atteins les 40 km/heure

Je me demande s’il faudrait freiner,

Pour bien assurer ma santé, sécurité

 .

.

Moitié marche et moitié vélo

.

Scénario

.

Cool, cool, si tu veux accélérer ton pas : suffit de monter vite sur vélo.

La marche, la course et le vélo : trois activités, rythmes sportifs.

Moitié marche, moitié vélo, en fonction de l’état du terrain !

 .

Visuels et textuels >> 

330 – Petite randonnée… en sous-bois

Visuels et textuels  >> 

.

Étang, ruisseau, marais

Avant de pénétrer  en l’ile,

Fort belle  ballade que voilà

Joli parcours  …. n’est-il pas !

Qui ne rêverait  d’un  sentier,

Aussi abrité et autant varié.

Une promenade de santé :

Fraiche nature, respirer.

.

Il y a tant de choses à contempler

Qu’on ne s’arrêterait pas de s’arrêter

Ici, ou bien là, ou un peu, tout partout,

Pour être sûr de ne rien rater : c’est fou.

.

Lors vous aurez deux heures de temps,

Vous entrerez dans ce grand sous-bois

Trouverez des champignons poussant

À l’ombre des grands  chênes, parfois.

.

Puis vous longerez deux longs étangs

Pleins de poissons et tous, frétillants

Vous apprécierez le calme de ce lieu

Seul,  en pleine  nature,  et heureux

.

Vous suivrez  le cours de ruisseau

Vous le longerez le long d’un pré,

Sur son sol vert bien gorgé d’eau

Foulerez leurs herbes mouillées.

 .

Vous accosterez village fermier,

Où les  maisons sont anciennes

Faites de pierres  et ardoisées,

Avec cour pavée  et en damier.

 .

Traverserez le marais marin,

Où des oiseaux  vont pécher,

Et savourerez endroit divin,

Par soleil couchant, éclairé.

 .

Tout y est : non …  attendez,

J’allais oublier cette humeur

Vagabonde  dont votre cœur

Restera, long temps, attaché.

 .

Enfin… rentrez dans mon ile,

Chocolat chaud, vous attend,

Comme un viatique reposant

D’une ballade  très tranquille.

.

.

Extensions

.

Il arrive que le retour d’une randonnée

Offre un paysage différent de celui de l’aller

Ou des points de vue qu’on n’a pas découverts.

.

Ile Grande, nombre de gens  se disent surpris,

Agréablement, par les différences, et variétés,

De paysages, de panoramas et lumières selon

Qu’ils ont fait le tour dans un sens, et l’autre.

.

Vous me direz, c’est une ile avec mer autour

Et ça, pour le moins, ça ne changera pas !

Eh, détrompez-vous, elle n’est pas même

Là  où  il  y  a  des  rochers  ou  du  sable,

Là où il y a une baie  ou un promontoire,

Là où il y a fort courant, où il n’y en a pas.

.

Et puis du côté terre, c’est encore plus net,

La végétation, la couleur, la morphologie,

Changent sans cesse : sentier des douaniers,

Comme on l’appelle, et qui longe toute la côte,

Fourmille de merveilles, tant naturelles, culturelles

On peut le pratiquer dix fois, vingt fois, sans s’en lasser.

.

Sous-bois est abrité, procure à la fois une atmosphère

De fraîcheur et un imaginaire propice à rêverie, rêveurs

Au printemps, le vert tendre domine et parfume canopée,

En automne, les couleurs flamboient,  charment le regard,

En été, on joue à cache-cache avec le soleil parfois torride

En hiver, on voit tout à travers et on se préserve du froid,

Chaque saison à son attrait ainsi que chaque sous-bois.

.

Disons-le : franchement, avouons-le, directement :

On ne se ballade longtemps pour se faire les pieds,

Bien plus souvent c’est le paysage, qui nous attire

D’autant qu’on ne le connait pas, on le découvre !

.

Quel plaisir de pénétrer, en sous-bois  ombragé,

De marcher sur un tapis de feuilles, desséchées,

Passer sous tunnel d’arbustes qui se rejoignent,

Marcher en chemin creux, à hauteur d’homme.

.

Et puis après, le retour à la lumière, au paysage

Et suivre les pas de ceux qui ont créé ce passage,

En regardant un ciel complice et sans un nuage :

La Nature nous aura donné tout cela en héritage.

.

.

330 – Calligramme 

 .

Étang, ruisseau, marais

Avant de pénétrer  en l’ile,

Fort belle  ballade que voilà

Joli parcours  …. n’est-il pas !

Qui ne rêverait  d’un  sentier,

Aussi abrité et autant varié.

Une promenade de santé :

Fraiche nature, respirer.

.

Il y a tant de choses à contempler

Qu’on ne s’arrêterait pas de s’arrêter

Ici, ou bien là, ou un peu, tout partout,

Pour être sûr de ne rien rater : c’est fou.

.

Lors vous aurez deux heures de temps,

Vous entrerez dans ce grand sous-bois

Trouverez des champignons poussant

À l’ombre des grands  chênes parfois.

Puis  vous longerez  deux longs étangs

Pleins de poissons, *   tous, frétillants ;

Vous apprécierez   P le calme de ce lieu

Seul, en pleine       E nature et heureux

 T

Vous suivrez  le      I  cours de ruisseau

Vous le longerez    T   le long d’un pré,

Sur son sol vert     E  bien gorgé d’eau

Foulerez leurs      * herbes mouillées.

  R

Vous accosterez    A   village fermier,

Où les  maisons    N   sont anciennes

Faites de pierres  D       et ardoisées,

Avec cour pavée    O       et en damier.

   N

Traverserez le           N       marais marin,

Où des oiseaux          É            vont pécher,

Et savourerez             E           endroit divin,

Par soleil cou               *            chant, éclairé.

 S

Tout y est :                    O               non attendez,

J’allais oublier                U                 cette humeur

  Vagabonde                       S                dont votre cœur

  Restera, long                     –                   temps, attaché.

 B

  Enfin, rentrez                      O                       dans mon ile,

    Chocolat chaud,                   I                             vous attend,

       Comme un via                      S                             tique reposant

         De votre ballade  ………………………………………….. très tranquille.

.

.

Forme

Réduction

.

.

 Évocation 

.

330 4

.

La silhouette d’un marcheur

Avançant, tranquillement

Et bien à son rythme

Long chemin ?

 .

Marcher met en exercice le bas du corps

même si le reste y participe grandement

marcher est un réflexe en partie contrôlé

la forme justifiera le parcours du fond !

 .

 En voilà un marcheur qui a l’air de

Bien prendre le temps : 

Petit chemin évoque une randonnée

Et des plus tranquilles.

.

Symbolique 

.

Si les pieds sont autant symbole de liberté,

Ce serait peut-être enfin à cause du lien

Entre  le marcheur  et ses pensées.

Un lien dont étaient convaincus

Des personnages aussi divers

Qu’Aristote, Beatriz   Padovan,

Nietzsche  Jean-Jacques Rousseau.

Cheminez à pieds, petits poucets rêveurs,

Et laissez donc vagabonder vos belles pensées !

.

Descriptif

 

330 – Petite randonnée dans les sous-bois     

Alignement central / Titre courbe   / Thème  rando

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : marcheur  / Symbole de fond : chemin

.

.

Fond

.

Évocation 

.

330 6

.

En voilà un marcheur qui a l’air de

Bien prendre le temps : 

Petit chemin évoque une randonnée

Et des plus tranquilles.

.

Symbolique 

.

Les schèmes symboliques

Qui  manifestent  cette  marche

De l’être humain vers l’inconditionné

Peuvent se décrypter derrière

Expérience spirituelle,

Que celle-ci soit d’ordre esthétique,

Philosophique, gnostique, mystique.

.

Tant le symbole du chemin constitue

L’un des éléments de l’image archétype

Qu’être humain se forme de lui-même.

Il lui révèlerait  l’essence humaine

En tant qu’«être-en-recherche».

universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Randonnée suppose un circuit balisé

Mais, parfois, un aller-retour, accepté

Vous procure autant surprise et plaisir,

Voire d’un très bon exercice, pour finir !

.

Combien de fois ai-je fait le tour complet

D’Ile-Grande sans jamais un seul regret.

.

On pourrait croire à certaine lassitude

La craindre mais le paysage change

Très souvent et lors on ne marche

Que rarement même paysage.

 .

.

Sous-bois cachant secret

.

Scénario

.

Entre deux bois, passage à pied d’une rivière.

En automne, dans un sous-bois, tapissé de feuilles.

Au printemps, dans un fourré aux abords d’une clairière.

 .

Visuels et textuels  >> 

329 – Grande randonnée, en sous-bois

Visuels et textuels   >>  

.

Un sous-bois

Fait  toujours

Rêver, marcher;

Un  sous-bois  est  fait  pour

Se cacher :

Un  sous-bois  est,  d’amour,

Opportunité.

.

Un  sous-bois  met  émotions

Aux abois ;

Un   sous-bois  est  protection,

De bon aloi ;

Un  sous-bois  reste  en relations

Bon endroit.

.

Sous-bois serait pour et par Nature

Un vrai trésor ;

Sous-bois est calme, sous-bois est pur

Impression tout dort ;

Un sous-bois est comme épée d’Excalibur

Mystérieux en ses rapports !  

.

Mes pas s’enfoncent, en surface et doucement

En un tapis des feuilles mortes, jonchant le sol,

Venant juste tomber, ces jours derniers, au vent

Dans une dernière arabesque, dansée en sous-sol.

.

Cet humus qui, sans cesse, se renouvelle, et abrite

Centaines d’insectes : combien d’animaux … divers,

Je suis inconscient du poids destructeur de mes pas,

Je suis géant,  au pays des nains  et  réciproquement.

 .

La cime des arbres,  qui accroche les nuages,  sollicite

Ma vue, de leurs chatoiements de couleurs … exfoliées

Tant je sens  leurs odeurs suaves, envelopper mon nez,

Qu’un flot  d’images, en mémoire limbique, me suscite.

.

Quelle chance d’être accompagné  en tous les sous-bois,

Pour partager plein de sensations, vibrations, émotions,

Quelle chance  de se retrouver et au milieu de nulle part

Car nature se ressemble d’Est en Ouest  de toutes parts.

.

Un temps maussade ne produit pas d’effets sur l’esprit,

À peine un brin de blues nostalgie  et ou  de mélancolie

Que, bien vite, cette présence amie chasse… et me ravit,

Adam et Ève n’auraient pas été  chassés de ce paradis ci.

.

.

Extensions

.

Le sous-bois est, souvent, recherché

Pour marcher et autant à cause de

Sa fraicheur que de sa splendeur.

Le soleil est filtré par un voile de

Feuillages, plus ou moins dense,

Si fait qu’il scintille de lumières

Par contraste des zones d’ombre.

.

Quand il pleut, il retient  ou retarde

La tombée des goutes  sur votre tête,

Votre peau, et puis garde  l’humidité,

Si le soleil tape par la suite, très fort.

.

Le sol lui-même exhale des senteurs

D’humus sur tapis feuilles mortes,

En automne, et, parfois, en hiver,

Les oiseaux chantent leurs refrains,

Voire leurs couplets, l’on peut apercevoir

Quelques lapins, renards, faisans ou gibiers.

.

Par contre, il faut savoir se guider car la vue

Porte qu’à une centaine de mètres au plus

Et, les chemins nombreux, mal bornés,

Peuvent vous perdre en pleine forêt.

.

On peut randonner tout seul ou avec un chien,

Mais on peut être à deux ou je ne sais combien,

Essentiel est avancer, régulièrement, sur terrain,

Ne pas se dire, c’est fatiguant, quand  c’est la fin !

Moyennant, le plaisir est, souvent, au rendez-vous.

Il ne faut pas oublier que  l’humain reste un bipède,

Un nomade, ayant besoin de pieds, pour se déplacer.

La pensée se détend et s’exprime mieux en circulant,

Finalement, la marche c’est bon autant pour l’esprit.

.

La meilleure façon de marcher

C’est surement la nôtre

C’est de mettre un pied devant l’autre

Et de recommencer

Extrait, chant scout de Dans la troupe

.

Marche ou crève, me disait-on à l’armée.

Quelle idée d’aller faire service chez paras.

.

Tant que tu peux parler, tu peux marcher :

Restait plus qu’à tomber à terre … inanimé.

.

Voilà deux manières d’envisager une rando,

Je vous dirai pas mot de celle que je préfère.

.

.

Épilogue

.

La marche consiste simplement à mettre

Un pied devant l’autre et à recommencer.

Voilà définition facile, et qui marche bien,

Qui commence à un an, pour ne plus finir.

 

***

 

Et,  tant qu’à se faire plaisir pour marcher,

Autant le faire au bon endroit, en sous-bois

Le sol reste un peu élastique sans être mou,

Plus reposant  pour les pieds, qu’une route !

 

***

 

Puis les paysages sont, souvent, magnifiques

Tunnels de verdure seront plus qu’idylliques,

Lieu vallonné, ciel bleu, soleil, et herbe verte,

Une image carte postale, où  il  fait bon vivre.

 

***

 

On y marche, l’esprit léger,  sans se fatiguer :

On y passe des heures sans se rendre compte

Alors que tout au long chemin,  on se raconte

Des histoires, voire  souvenirs, à se partager !

 

***

 

Sous-bois, parfois sombres, jamais aux abois :

Décidons du sentier à chaque embranchement

Même si, parfois, on s’y perd, on se retrouvera,

Étonné d’avoir trouvé la sortie, et rando : finie.

.

.

329 – Calligramme

 .

Un sous-bois

Fait  toujours

Rêver, marcher;

Un  sous-bois  est  fait  pour

Se cacher :

Un  sous-bois  est,  d’amour,

Opportunité.

.

********************************

**********************************

.

Un  sous-bois  met  émotions

Aux abois ;

Un   sous-bois  est  protection,

De bon aloi ;

Un  sous-bois  reste  en relations

Bon endroit.

 

Sous-bois serait pour et par Nature

Un vrai trésor ;

Sous-bois est calme, sous-bois est pur

Impression tout dort ;

Un sous-bois est comme épée d’Excalibur

Mystérieux en ses rapports !  

 

G  R  A  N  D    E

Mes pas s’enfoncent, en surface et doucement

En un tapis des feuilles mortes, jonchant le sol,

Venant juste tomber, ces jours derniers, au vent

Dans une dernière arabesque, dansée en sous-sol.

 

Cet humus qui, sans cesse, se   R  renouvelle, et abrite

Centaines d’insectes : combien   A  d’animaux … divers,

Je suis inconscient du poids  des  N  tructeur de mes pas,

Je suis géant, au pays des nains     D    et réciproquement.

                       O          

La cime des arbres, qui accroche     N     les nuages, sollicite

Ma vue, de leurs chatoiements de     É     couleurs … exfoliées

Tant je sens leurs odeurs suaves         E     envelopper mon nez,

Qu’un flot d’images en mémoire          *      limbique me suscite.

                       *           

Quelle chance d’être accompagné          S     dans tous les sous-bois,

Pour partager plein de sensations          O       de vibrations, émotions,

Quelle chance  de se retrouver                U        et au milieu de nulle part

Car nature se ressemble d’Est                S           en Ouest  de toutes parts.

        –

Le temps maussade ne                         B                produit d’effet sur l’esprit,

À peine un brin de blues                    O                    nostalgie et/ou mélancolie

Que bien vite cette présence            I                          amie chasse… et me ravit,

Adam et Ève n’auraient pas été     S                               chassés  de  ce paradis ci.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

329 4

.

Une silhouette d’homme,

En  train  de  marcher

Et même rapidement

  Avec carte, chrono.

 .

Marcher met en exercice le bas du corps

même si le reste y participe grandement

marcher est un réflexe en partie contrôlé

la forme justifiera le parcours du fond !

.

Diverses façons de marcher existent,

 Lente, moyenne, rapide :

Voici des marcheurs allongeant le pas

 De façon rapide, sportive.

 .

Symbolique

 .

Les pieds sont notre base.

La base de notre … posture,

De notre stature en verticalité

De notre ancrage dans la Terre.

.

Et ils servent  à notre déplacement.

Avant l’agriculture  durant néolithique

Sédentarisation, l’homme est  un nomade,

Marchait quotidiennement longue distance.

.

Les  pieds  permettent  la marche et sa manière

La plus rapide : la course. Que ce soit en catimini

Ou à toute allure, lors les pieds permettent de fuir.

Ils nous permettent aussi, de sauter et de grimper.

leguano.fr/blog/pieds-symbole-de-liberté/2016/09

.

.

Fond

.

Évocation 

.

329 6

.

Diverses façons de marcher existent,

 Lente, moyenne, rapide :

Voici des marcheurs allongeant le pas

 De façon rapide, sportive.

.

Symbolique de fond

.

Les pieds sont notre base.

La base  de notre posture,

De  notre  verticalité  et  de

Notre ancrage dans la Terre.

Ils servent à notre déplacement.

.

Avant  l’agriculture  au  néolithique

Et la sédentarisation, l’homme était nomade.

Il marchait quotidiennement de longues distances.

.

Les pieds permettent la marche et sa façon la plus rapide

La course, et que ce soit en catimini  ou à toute allure,  les pieds

Permettent de fuir, nous permettent aussi, de sauter et grimper. 

leguano.fr/blog/pieds-symbole-de-liberte/2016/09

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Le poids n’aiderait pas à marcher, vite et longtemps

les champions ont des muscles longilignes, densifiés :

à quoi d’autre servent les pieds sinon courir, sauter, nager,

et je n’oublierai pas à danser et sur la pointe des pieds !

.

J’ai souvent été surpris par réserve d’énergie des enfants

ils se disent fatigués, faut les porter, ils courent à l’arrivée

je suis peut-être un peu vieux, lors je récupère moins vite

j’aimerais être encore comme eux, me dépenser pour rien

me dépenser uniquement, pour marcher, me fait du bien.

  .

.

Bois, sous-bois, protecteurs

.

Scénario

.

Au tout départ de notre rando, nous n’étions guère que deux,

puis nous en avons rattrapé quatre autres, dans la forêt,

pour finir notre belle randonnée à une quarantaine !

 .

Visuels et textuels   >>

328 – La marche est un sport non violent

Visuels et textuels  >>  

.

C’est une vraie

Chance que d’avoir

Un pied   …  deux pieds,

Des pointes  et   des talons.

 .

Et, sans cesse, recommencer,

À réussir pas courts et longs,

Marcher, luxe d handicapé

Alors même que valide

N’en aura jamais cure !

.

Marcher il suffirait pour perdre

Des kilos en trop, et bien attachés,

La marche  est un sport  non violent,

Et, épanouissant, le  marcheur, rend.

.

Marcher parait commun voire anodin

En tous cas,  pour un honnête  citadin,

Qui ira, de ses commerces, et bureaux,

Faire ses courses, démarches au…trot.

.

Marcher sur place, planter  ses talons,

Fatigue plus  que  d’allonger  ses pieds,

Même grimper  de très longs  escaliers,

Son rythme  s’accorde à sa respiration.

.

Marcher, pour faire  bonne  randonnée,

Pendant  trois  à six heures sans pauses,

Est le sport non violent à recommander,

Lors santé et endurance  se superposent.

.

Marcher laissera  son esprit  vagabonder

Car chaque pas  fournit  un ersatz d’idée,

Les souvenirs  s’impriment  par les pieds,

Et, la fatigue physique garantit sa nuitée.

.

Marcher,  seul, en compagnie, en groupe :

Trois déclinaisons, plaisirs, même activité,

Démarche, assurée, régulière,  chaloupée :

Le choix sera différent, selon vos affinités.

.

.

Extensions

.

La marche comme en plaine

N’est pas la marche en montagne,

N’est pas non plus la marche en désert,

Lors n’est pas la marche sur des rochers,

Chaque marche  a ses propres  contraintes

Qu’il faut savoir préparer, exécuter, négocier.

.

Marche en montagne avec sac à dos de dix kilos

Vous fait peur, sachez que ce n’est le plus souvent

Qu’une question de souffle, de rythme et de lenteur.

.

Une fois arrivé, au sommet, ou quel qu’autre hauteur,

Vous êtes récompensez  par le paysage qui s’offre à vous

Et par le bénéfique acquis pour votre santé et votre moral.

.

La marche, tout comme le vélo, autres activités de plein air,

Agit sur le moral en dépensant l’énergie, négative, du stress

Accumulé et la remplace par une autre, bien plus positive

Qui vous redonne confiance en vous, autres, en l’avenir.

.

Par contre, de marcher, ne vous fera pas maigrir

Mais vous donnera du muscle, et du tonus,

Pour mieux suivre votre bon régime

Et remplacer vos kilos de graisse

Par des kilos de muscle.

.

Façons de marcher, y en a plusieurs ;

Des chaussures de marches : plusieurs ;

Des surfaces, aspérités de sols : plusieurs ;

Des conditions météo randonnée : plusieurs.

L’on ne marcherait pas, qu’avec ses deux pieds,

Avec ses chevilles, genoux, hanches, dos, cou, tête

C’est la posture en mouvement qui se place, déplace

Normalement, on ne doit pas forcer d’un côté, l’autre :

Apprendre à marcher droit n’est pas réservé qu’au soldat.

.

Marcher, les poulains le feront dès leur naissance

Tout comme bon nombre d’animaux mammifères

Le bébé, lui prendra un an ou presque, sinon plus,

Pour affirmer, confirmer autonomie déplacement.

.

Mais après cela, fini le quatre, voire le trois pattes,

Il ne cesser de marcher jusqu’à mort, sauf accident

Il  y a même une compétition olympique, de 10 Km

À une vitesse,  variable, autour de 15 Km à l’heure !

.

Un sport  non violent, avez-vous dit ! Pas toujours !

15 km c’est violent alors que moyenne est de 5 ou 6.

La marche nordique  est intermédiaire : entre 8/9.

Il m’arrive de me faire violence, fin de randonnée.

.

.

328 – Calligramme  

 .

C’est une vraie

Chance que d’avoir

Un pied   …  deux pieds,

Des pointes  et   des talons.

Et, sans cesse, recommencer,

À réussir pas courts et longs,

Marcher, luxe d handicapé

Alors même que valide

 N’en aura jamais cure !

 .

L A     M  A R C H E     E S T

Marcher il suffirait pour perdre

Des kilos, en trop, et bien attachés,

La marche  est un sport  non violent,

Et, épanouissant, le  marcheur, rend.

.

Marcher parait commun voire anodin

En tous cas,  pour un honnête  citadin,

Qui ira, de ses commerces, et bureaux,

Faire ses courses, démarches au…trot.

.

U N    S P O R T    L E N T

Marcher sur place, planter  ses talons,

Fatigue plus  que  d’allonger  ses pieds,

Même grimper  de très longs  escaliers,

Son rythme  s’accorde à sa respiration.

.

Marcher, pour faire  bonne  randonnée,

Pendant  trois  à six heures sans pauses,

Est le sport non violent à recommander,

Lors santé et endurance  se superposent.

.

M  A  I   S       N O N     V I O L E N  T  

Marcher laissera son esprit vagabonder

Car chaque pas  fournit  un ersatz d’idée,

Les souvenirs  s’impriment  par les pieds,

Et, la fatigue physique garantit sa nuitée.

.

Marcher,  seul, en compagnie, en groupe :

Trois déclinaisons, plaisirs, même activité,

Démarche, assurée, régulière,  chaloupée :

Le choix sera différent, selon vos affinités.

.

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation 

.

328 4

.

Un piédestal pour trophée

Ou borne pour information

Si  ce  n’est  pas  un  pied,

Silhouette qui marche.

 .

Un pied, c’est fait pour se tenir debout,

mais tout autant pour marcher et courir

il y en a même qui y prennent leur pied :

forme et fond, sens propre, sens figuré !

.

L’équilibre et le mouvement

Sont deux maitres mots du pied 

Il suffit, d’y croire, de se lancer,

De marcher un tant soit peu !

 .

Symbolique 

 

Le pied permet de se déplacer.

En outre, c’est lui qui porte le corps.

Symbolise mouvement, impulsion, liberté,

Provoque impulsion permettant d’avancer.

.

Mais le pied permet, également, de bloquer

Ses appuis et de camper sur ses positions.

.

Ainsi, le pied  symbolisera nos attitudes

Est autant représentation symbolique

De tous nos appuis…relationnels,

Et donc du rapport au monde.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-pied.

.

Descriptif

.

328 – La marche : sport lent, non violent  

Alignement central / Titre intercalé / Thème  rando

Forme anthropo  / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : pied  / Symbole de fond : marcher

.

.

Fond

.

Évocation 

.

328 6

.

L’équilibre et le mouvement

Sont deux maitres mots du pied 

Il suffit, d’y croire, de se lancer,

De marcher un tant soit peu !

.

Symbolique 

.

La marche est un exercice physique

Très complet  et  un temps  très  propice

Pour délier sa pensée, rêver, se ressourcer.

.

Elle participe d’un éveil sensoriel au monde,

Les odeurs, les bruits, la lumière, les couleurs

Et d’un retour à l’essentiel qui  permet de se

Désencombrer, de s’alléger de surcharges

Inutiles  afin  de reprendre  son souffle.

.

Il y a une sorte de douceur et d’équilibre

Dans la marche, on peut avancer longtemps

Sans fatigue par tous temps, toutes saisons

Et à chacun son rythme, son endurance.

cairn.info/revue-etudes-2010-11-page-519

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il y a plusieurs façons de marcher,

On ne marche pas qu’avec les pieds,

Avec  les genoux, les hanches, le dos,

Sans compter la tête, mental autant.

Marche ou crève, dit-on, à l’armée :

Mourir par les pieds  sera exagéré.

Toute marche est un déplacement

Petit mouvement de sa liberté

Et  exercice de bonne santé

Sans compter un sport.

 .

.

Marche nordique, sport en soi

.

Scénario

.

Mettre un pied devant l’autre et recommencer,

tout en s’aidant, pour aller  plus vite et bien : de bâtons

 ou en marchant en l’eau de mer, comme le font les «longe-côtes».

 .

Visuels et textuels  >>  

327 – Le vélo, art d’équilibre lors mouvements

Visuels et textuels >> 

.

Équilibre, direction,

Faut   un peu, avancer,

Sinon chute, vite, à terre,

Se trouver sens-sus-dessous,

Écorché, parfois bleui…blessé.

Les enfants savent cette chose,

Mettant  un point  d’honneur

.

Équilibrer satanée monture

Les  renversant  souvent.

En  vraie   déconfiture,

Et devant les parents,

Si ce n’est, les copains,

C’est dire monde entier.

.

Au-delà d’enfants ou amateurs de vélos

Du dimanche que ce soit en famille, club,

Il y a sportifs, dont certains de haut niveau

Vous laissent  sur place, lors en plein effort.

On dirait que, pour eux, toutes  les montées

.

S’équilibrent à être, sur du plat, pour vous,

Mieux, ils peuvent pédaler toute la journée,

Sans descendre, vous, au bout  d’une heure,

Fatigué et éreinté : tout prêt à abandonner.

.

Équilibre, on le pratique de diverses façons,

En faisant des figures, de cirque ou de VTT.

Autres sports, chutes peuvent être mortelles,

Si un seul saut, complètement raté : danger !

.

Équilibre est très différent, en cyclotourisme

Avec deux sacoches derrière, plus une devant

Et, sans compter, parfois, un lourd sac à dos,

Qui vous  déporte, en virages, dans les fossés.

.

Équilibre instable, lors on perd  de la vitesse,

Jusqu’au point de faire presque du sur place,

Mais, ce dernier demeure tout à fait possible,

Si vous disposez d’un vélo avec un pignon fixe

Permettant de tenir sur une roue, de reculer !

.

Toutefois, après vingt ans

D’absence, de non-pratique,

Il vous suffira …  simplement,

De remonter hardiment dessus

Pour que ça redevienne nature.

Peut-être, un château branlant

Au départ, mais, vite réassuré

Tout aussi vite, rééquilibré.

.

.

Extensions

.

J’ai connu des  jeunes femmes,

Adultes d’une trentaine d’années

Qui n’avait auparavant fait de vélo,

Jusqu’à être incapable  de démarrer,

Par manque de coordination, vitesse.

.

Vélo devient lors similaire à la nage,

Monter sur une pédale, pédaler,

Maintenir le guidon droit,

Changer de vitesse, freiner,

Descendre, et faire un écart

Brusque pour éviter un obstacle.

.

Tout cela parait simple, et facile,

Mais pose un énorme problème

À qui ne l’aura pas appris,

Étant encore enfant.

.

Apprendre à faire du vélo est synonyme de défi et liberté

Pour le jeune enfant et qui, des fois, en paie bien son prix,

Mais ce n’est pas comme la natation : ici, pas de moniteur,

C’est le père qui, souvent s’y colle, la mère a bien trop peur

Quand il a compris, a réussi, le vélo, c’est parti pour la vie

Les ados ne s’en privent pas de faire des tas de cabrioles,

Sans compter filles, parlant en pédalant, mains-libres.

.

Le vélo ne défiera pas les lois de l’équilibre,

Bien au contraire, il les applique en vitesse.

.

Faire du vélo sur place restera possible avec

Un pédalier fixe et appui avant puis arrière.

.

Après, il y en a qui s’amuse à lever le guidon

Rouler sur seul pneu arrière : faire attention

.

J’en ai vu s’asseoir sur guidon, porte bagage

Et même se retourner et pédaler… en arrière

.

Pour finir, il y a les champions qui sauteront

Bien des obstacles, sont taxés d’acrobatiques.

.

Moi, je me contente de me la jouer classique,

J’ai pris des gamelles, pas envie d’en rajouter.

.

.

327 – Calligramme

 .

Équilibre, direction,

Faut   un peu, avancer,

Sinon chute, vite, à terre,

Se trouver sens-sus-dessous,

Écorché, parfois bleui…blessé.

Les enfants savent cette chose,

Mettant  un point  d’honneur

.

Équilibrer satanée monture

Les  renversant  souvent.

En  vraie   déconfiture,

Et devant les parents,

Si ce n’est, les copains,

C’est dire monde entier.

VÉLO :

Au-delà d’enfants ou amateurs de vélos

Du dimanche que ce soit en famille, club,

Il y a sportifs, dont certains de haut niveau

Vous laissent  sur place, lors en plein effort.

On dirait que, pour eux, toutes  les montées

ART

S’équilibrent à être, sur du plat, pour vous,

Mieux, ils peuvent pédaler toute la journée,

Sans descendre, vous, au bout  d’une heure,

Fatigué et éreinté : tout prêt à abandonner.

D’ÉQUILIBRE

Équilibre, on le pratique de diverses façons,

En faisant des figures, de cirque ou de VTT.

Autres sports, chutes peuvent être mortelles,

Si un seul saut, complètement raté : danger !

EN

Équilibre est très différent, en cyclotourisme

Avec deux sacoches derrière, plus une devant

Et, sans compter, parfois, un lourd sac à dos,

Qui vous  déporte, en virages, dans les fossés.

MOUVEMENT

Équilibre instable, lors on perd  de la vitesse,

Jusqu’au point de faire presque du sur place,

Mais, ce dernier demeure tout à fait possible,

Si vous disposez d’un vélo avec un pignon fixe

Permettant de tenir sur une roue, de reculer !

.

Toutefois, après vingt ans

D’absence, de non-pratique,

Il vous suffira …  simplement,

De remonter hardiment dessus

Pour que ça redevienne nature.

Peut-être, un château branlant

Au départ, mais, vite réassuré

Tout aussi vite, rééquilibré.

.

.

Symboliques

.

.

Évocation 

.

327 4

.

Un moulin à poivre ou à sel,

Figure de fantôme nocturne,

Un jeune enfant, de cinq ans,

Apprenant à faire du vélo !

 

Enfant de cinq ans, qui apprend

À faire du vélo avec des roulettes

C’est touchant mais, hélas, quand

Il se retourne, parfois, patatras.

 .

Symbolique 

 .

L’apprentissage du vélo

Est une étape… stimulante

Pour l’enfant, tant sur le plan

Moteur que sur le plan affectif.

.

En effet, à vélo, l’enfant développe

Non seulement une nouvelle forme

D’autonomie dans ses déplacements,

Mais aussi un grand sentiment de

Compétence, confiance en corps.

.

Le tricycle, le vélo tiré avec une

Barre girafe, le vélo avec roues

D’appoint et l’utilisation du vélo

Avec un but, par exemple pour

Aller au parc, sont tous des outils

Nourrissant l’intérêt pour le vélo.

educatout.com/edu-conseils/ergotherapie

/l-apprentissage-du-velo.htm

.

Descriptif

.

327 – Vélo : art d’équilibre en mouvement

Alignement central   /  Titre absent   /   Thème  vélo

Forme anthropo  / Rimes libres / Fond accordé à forme

Symbole de forme : enfant  / Symbole de fond : faire du vélo

.

.

Fond

.

Évocation

.

327 6

.

Enfant de cinq ans, qui apprend

À faire du vélo avec des roulettes

C’est touchant mais, hélas, quand

Il se retourne, parfois, patatras.

 .

Symbolique 

 .

La draisienne

Est le meilleur apprentissage,

Puisqu’il  apprend   à  l’enfant

 L’équilibre par le mouvement,

Et  lui évitera  d’avoir recours

Par la suite, aux petites roues.

.

C’est, en tous cas, la  méthode

Que j’ai utilisée pour mon fils

Qui est passé directement

De la draisienne

À son vélo sans nécessité

De petites roues

À l’âge de 3 ans.

matosvelo.fr/index.php?post/

apprendre-a-faire-du-vélo

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Après à faire du vélo est un rêve d’enfant

Que tous, peu à peu, à réaliser, parvenant:

Certains difficilement, autres, naturellement,

Qui fait la joie des parents autant qu’enfants !

.

Rappelle-toi quand on t’a lâché, soudainement,

Tu t’en es pas aperçu, et tu fonçais droit devant.

Après quelques buches par ci par là, sans danger

Tu as appris à faire face à  nombreuses embuches.

 .

.

L’équilibre est donnée quotidienne

.

Scénario

.

Sur trois roues, c’est beaucoup plus stable,

sur deux, ça l’est moins, c’est plus que certain,

mais bien plus scabreux encore… sans les mains.

 .

Visuels et textuels >>

326 – Trois jours en vélo, plein cœur, Morbihan

Visuels et textuels  >>

Traverser le Morbihan,

De Pontivy jusqu’à Baud,

Puis de Mauron, à Ploërmel,

Josselin à Rohan, est excitant.

.

De même, pédaler, sans compter,

Le long de rivières, puis de canaux,

Sur les sentiers grandes randonnées,

C’est carrément des plus hallucinants.

.

Quant à découvrir une vraie…voie verte,

Réalisée, sur tracé d’ancienne voie ferrée,

C’est réjouissant et presque époustouflant.

.

Quarante, soixante kilomètres, par journée :

Font aller-retours, ou étapes sans encombre,

Entre des bourgs, qui se révèlent  attachants.

.

Quant  à la voie verte, traversant la Bretagne,

De Roscoff  à Nantes elle porte bien son nom

Arbres de chaque côté, la campagne, autour,

Avec paysages, vallonnés, colorés, épatants.

.

Quant à faire du vélo à deux et côte à côte,

C’est bien plus sympathique, romantique

Que seul, amateur, sportif, s’entrainant

Pédaler à son rythme, permet deviser

Sur la beauté  du paysage, traversé,

Lors on prend le temps d’admirer.

.

Faire un arrêt pour se reposer

Faire sieste, après déjeuner

Regarder, nuages, passer.

Faire du vélo, est exercice,

Qui peut s’avérer très sportif

Dans l’effort violent, soutenu,

.

Si ce n’est extrême et alors risqué,

Mais ludique en sorties, en familles,

Mais festif, en randonnées en groupes.

Dormir est possible en gite à la campagne

Comme manger aussi à la table d’une ferme,

Afin de se mettre en contact direct de l’habitant.

.

.

Extensions

.

C’est en fait un état d’esprit

Avant d’être un défi… sportif.

Ne portant de lourdes charges,

Il faut prendre le minimum vital.

.

Nul besoin d’autre qu’un bidon d’eau

Pour les trois ou quatre heures… de vélo

Il existe un bon nombre de circuits fléchés

Qui empruntent des petits routes vicinales,

Des chemins d’exploitations agricoles, etc.

.

Pour éviter les voitures qui vous frôlent

Ou les camions à vous déséquilibrer.

Bien des voies vertes se multiplient

Depuis bonne vingtaine d’années

Et constituent une alternative intéressante

Même si elles fonctionnent peu en circuit fermé.

.

Ce qui oblige de faire le retour ou positionner

Une voiture de transport à l’arrivée.

Nous est arrivé d’emporter pic-nic

Pour le midi en un panier posé

Sur guidon ou porte bagages.

.

Bords de mer, bords de rivières, chemin halage de canaux

Sont des chemins  cyclotourisme, de loin, les plus fréquentés,

Mais il ne faudra pas négliger les chemins perdus en campagne

Qui recèlent, et qui révèlent, leurs forêts aux attraits mystérieux

Sans parler lacets en montagne, qui nous rapprochent des cieux.

En Bretagne, et, comme chacun le sait, la bicyclette  est la reine :

Ça monte, ça descend tout le temps, c’est ce qui fait son charme.

À une  cinquantaine de kilomètres par manque d’entrainement

Vous commencez à ralentir, vous arrêter, voire rendre armes.

.

Voilà que je fais ici l’article pour la Bretagne :

Terre de vélo, s’il en est, alors … pourquoi pas !

.

Voilà bien région qu’on peut parcourir, à vélo,

En long en large et en travers, sans monotonie

.

On est loin plaines  Beauce, Flandre, Hollande :

Ici c’est sûr, ça monte et descend tout le temps.

.

Il y a vingt circuits dont des canaux, voies vertes

Ou faire le tour de la Bretagne  avec les coureurs.

.

Son identité forte, son authenticité, et sa culture,

Séduisent : 1700 kilomètres de plages et de  côtes

Escarpées, nombreux paysages à couper le souffle,

Accueil, gastronomie, ambiance, qui feront plaisir.

.

.

326 – Calligramme

 .

Traverser le Morbihan,

De Pontivy jusqu’à Baud,

Puis de Mauron, à Ploërmel,

Josselin à Rohan, est excitant.

.

TROIS

De même, pédaler, sans compter,

Le long de rivières, puis de canaux,

Sur les sentiers grandes randonnées,

C’est carrément des plus hallucinants.

Quant à découvrir une vraie…voie verte,

Réalisée, sur tracé d’ancienne voie ferrée,

C’est réjouissant et presque époustouflant.

.

JOURS DE VÉLO,

Quarante, soixante kilomètres, par journée :

Font aller-retours, ou étapes sans encombre,

Entre des bourgs, qui se révèlent  attachants.

Quant  à la voie verte, traversant la Bretagne,

De Roscoff  à Nantes elle porte bien son nom

Arbres de chaque côté, la campagne, autour,

Avec paysages, vallonnés, colorés, épatants.

.

PLEIN CŒUR

Quant à faire du vélo à deux et côte à côte,

C’est bien plus sympathique, romantique

Que seul, amateur, sportif, s’entrainant

Pédaler à son rythme, permet deviser

Sur la beauté  du paysage, traversé,

Lors on prend le temps d’admirer.

Faire un arrêt pour se reposer

Faire sieste, après déjeuner

Regarder, nuages, passer.

Faire du vélo, est exercice,

Qui peut s’avérer très sportif

Dans l’effort violent, soutenu.

.

DU MORBIHAN   

Si ce n’est extrême et alors risqué,

Mais ludique en sorties, en familles,

Mais festif, en randonnées en groupes.

Dormir est possible en gite à la campagne

Comme manger aussi à la table d’une ferme,

Afin de se mettre en contact direct de l’habitant.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

326 4

.

Une quille pour un bowling

Ou un pion pour un échiquier,

Pourquoi pas lampe ambiance 

Et voire un éclairage de secours.

.

Lampe et éclairage sont nécessaires en vélo

la nuit peut vous surprendre, sur route, danger,

d’autant elles sont légères, puissantes, longue durée,

tant et si bien si ce n’est parcourt, fond/ forme concoure

.

Lampe n’a rien à voir avec vélo

Même s’il  s’agit d’une voie verte

Mais  vélo demande éclairage

Et de toutes sortes de lampes.

  .

Symbolique

 .

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Tant  chez Grimm, la lumière  seule

Chassera l’amant caché de l’héroïne.

.

La lumière, et  dans tous les contextes

Mythologiques, symbolise conscience.

.

La lumière d’une lampe représente

Particulièrement le conscient

Qui est entre les mains

Et sous le contrôle de l’être humain,

Par contraste avec la lumière du soleil,

De nature divine et cosmique.

.

Descriptif

.

326 – Trois jours de vélo, cœur Morbihan   

Alignement central   /  Titre absent   /   Thème  vélo

Forme anthropo / Rimes libres /Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : éclairage

.

.

Fond

.

Évocation 

.

326 6

.

Lampe n’a rien à voir avec vélo

Même s’il  s’agit d’une voie verte

Mais  vélo demande éclairage

Et de toutes sortes de lampes.

 .

Symbolique 

 .

La signalisation des cycles

Est une problématique cruciale

En termes de sécurité et d’utilisation.

.

Ces dernières années, l’évolution des

Batteries au lithium et des LED

Ont permis d’avoir un éclairage

Avant et arrière puissant qui

Permet de bien voir la route

Et non seulement d’être vu.

.

Le marché proposerait de nombreux

Éclairages  avec  différentes  puissances,

Des intensités lumineuses et des éclairements

Irréalistes ou fallacieux avec pour but de vendre

 Et de mieux se démarquer de la concurrence.

eduscol.education.fr/sti/sites/eduscol.

education.fr.sti/files/ressources/techniques

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Un périple de plusieurs jours en vélo

Ça  ne s’improvise pas, ça s’organise.

Il y en a portant tous leurs bagages,

Mais ça ralentit un max et fatigue.

Je ne suis ni champion ni lumière

Mais, mon côté  sportif, préfère

Profiter à fond du tout terrain.

 .

.

Pour tous vélos !

.

Scénario

.

En bord de mer et de rivière,

dans les dunes et les sentiers herbeux,

le long du chemin de halage, bordé d’arbres.

 .

Visuels et textuels  >>

.

325 – Faire du cyclotourisme, loisirs et découvertes

Visuels et textuels  >>  

  .

La randonnée cyclotouriste

Est plaisante à part entière.

Tant la civilisation des loisirs

Jointe à celle  du temps libre,

Et du tourisme par la nature,

Encourage  toute réalisation

Voies bleues, rouges, vertes.

En pratiques randonneurs

Et vélocyclistes amateurs.

.

Attraits supplémentaires

Pour visiter et séjourner,

En Bretagne, intérieure,

Tonique par tous temps.

.

En  Bretagne,  il  y a  des

Richesses architecturales

Chapelles, manoirs, châteaux

Sans parler de cités de caractère

Ni de tous trésors naturels qu’offre

La nature sauvage, voire sauvegardée

Forêts, cours d’eau, lacs, vallées, monts,

Qu’on pourrait lui consacrer  l’été entier.

.

Il est vrai : temps variable, avec éclaircies

Participe du risque à  courir  certains jours

Ce ne sont pas  ces  quelques  gouttes  d’eau

Qui font fondre envie irrésistible, chevaucher

La campagne à travers champ, cultures, prés.

.

À mi-mai, le temps est encore frais et frisquet

On se protège, du froid, avec une petite laine,

Du vent et de la pluie,  avec un très bon ciré,

De coup de blues  ou  spleen  avec un calva.

.

Alors  qu’on  pédale, droit, et  sur  le  plat,

Et  bien plus penché, dans  les descentes,

Plus  rond, en  côtes, les  reins  prennent

Les genoux trainent, les pieds  freinent.

.

Long de cours d’eau, maisons éclusier,

Rythment tous les chemins de halage,

Qui n’ont vus de péniche marchande

Depuis un siècle de Nantes à Brest,

De même anciennes voies ferrées.

.

Les maisons  gardes-barrières

Entre les gares désaffectées,

Témoins  autres activités,

Aujourd’hui, dépassées.

.

Que ce soit en groupes,

En famille, ou en couple.

La majorité  des touristes,

Tant  français, qu’étrangers,

Se massent sur parcours côtier.

.

.

Extensions

.

Cyclisme

Et cyclotourisme

Vont de pair,  même

Quand il pleut et que tout

Va de travers avec le vent de face

Ou de côté. Traverser la Bretagne à vélo

Ou en faire le tour, n’est pas un pari stupide,

N’est pas du infaisable, pour peu d’avoir du temps

Devant soi et des muscles aux mollets et enthousiasme.

 .

Une sacrée ballade en cyclotouriste tout de même,

Quelques petites routes, et des arrêts, découvertes,

 Des chemins de diverses natures, conforts, dangers,

Pour pédaler côte à côte et de concert en se parlant,

Ou l’un derrière l’autre, et en passant  tantôt devant.

Au bout de la journée, ça nous a fait un bien extrême.

En Bretagne en France, Europe, ce ne sont pas les tours

Qui feront défaut, avec, chacun, leurs charmes et atours.

.

On trouve sur Internet, foule de conseils

Pour s’équiper en vue du cyclotourisme :

 .

Choix du bon, meilleur vélo tout d’abord :

Plus votre voyage, long, plus serez chargé.

 .

Type de sacoches : sac à dos, mauvais idée

Une devant et deux, derrière, mais légères !

 .

Parcours sont siglés de flèche avec 2 cercles:

Jaune, local ; rouge «Grande Traversée VTT»

 .

Je n’en dirai pas plus, je me suis documenté, ici,

Auprès du site officiel de la Fédération Française

De Cyclotourisme, qui est bien fait et bien avisé :

Faites en autant, ce ne sera  pas du temps gâché.

.

.

325 – Calligramme

 .

                                      La randonnée cyclotouriste

                                     Est plaisante à part entière.

                                     Tant la civilisation des loisirs

                                   Jointe à celle  du temps libre,

                                 Et du tourisme, par la nature,

                          Encourage toute réalisation

                        Voies bleues, rouges, vertes.

                 En pratiques randonneurs

             Et vélocyclistes amateurs.

        Attraits supplémentaires

     Pour visiter et séjourner,

 En Bretagne, intérieure,

 Tonique par tous temps…

                   En Bretagne,  il y a des……………………..

 Richesses architecturales…….

                 Chapelles, manoirs, châteaux……………….

Sans parler cités de caractère….

              De trésors naturels qu’offre ……………………

La nature, sauvage, sauvegardée…..

       Forêts, cours d’eau, lacs, vallées, monts,…

  Qu’on pourrait lui consacrer été entier….

Il est vrai temps variable avec éclaircie……

Participe du risque à  courir  certains jours…

   Ce ne sont pas  ces quel    C   ques gouttes d’eau…

    Qui font fondre l’envie ir    Y     résistible  chevaucher

  La campagne, à travers    C   champs, cultures, prés,

À mi-mai, le temps est     L   encore frais et frisquet

On se protège, du froid,   O      avec une petite laine,

Du vent et de la pluie,     T     avec un très bon ciré,

De coup de blues, ou      O    spleen, avec un calva.

 Alors qu’on pédale,        U       droit, et sur le plat,

Et bien plus penché,      R      dans les descentes,

Plus rond, en  côtes,      I       les reins prennent

Les genoux trainent,     S     les pieds freinent.

  Long de, cours d’eau,    M     maisons éclusiers

Rythment tous les che   E       mins de halage

Qui n’ont vus de péni     *       che marchande

Depuis un siècle de        R      Nantes à Brest,

De même anciennes      A          voies ferrées.

Les maisons de gar       N          des-barrières

Entre deux gares          D            désaffectées,

Témoins d’au                O            tres activités

Aujourd’hui                   *                 dépassées.

  Que ce soit                    D                en groupes,

     En famille,                    É                ou en couple.

      La majorité                   C                 des touristes,

       Tant français,               O                 qu’étrangers,

        Se massent par*****   U   ******** cours côtier.

      V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

325 4

.

Une forme d’ours debout,

ou fourchette a deux dents

Un cyclotouriste enfant,

Publicité pour bicyclette ?

.

Un jeune en cyclotourisme

Un futur adepte   du cyclocross

Et dont le grand père se déplaçait

Toujours  avec sa  vieille  bicyclette.

 .

Symbolique 

.

Vélo tandem :

À deux places

Deux pédaliers

Est  volontiers

Associé imaginaire collectif

Aux premiers congés payés.

Bien que rares, aujourd’hui,

A encore  de fervents adeptes

Parmi   les   cyclotouristes.

.

Il est symbole  du couple  uni

Dans  l’effort  d’économiser

Ses forces  contre  le  vent

Frottements de la route

En proximité propice

À la conversation.

.

Il permet de faire découvrir

À une personne plus faible

Ou moins assurée les joies

De la randonnée cycliste.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

325 – Cyclotourisme : rando découverte

Alignement central   /  Titre droit   /   Thème  vélo

Forme anthropo  /  Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : cyclotourisme / Symbole de fond : bicyclette

.

.

Fond

.

Évocation 

.

325 6

.

Un jeune en cyclotourisme

Un futur adepte   du cyclocross

Et dont le grand père se déplaçait

Toujours avec sa vieille bicyclette.

.

Symbolique de fond

.

La bicyclette apparaît

Dans nombre rêves modernes.

Elle évoque trois caractéristiques.

.

1) Moyen de transport mu par

La personne qui la monte.

2) l’équilibre n’est assuré que

Par le mouvement en avant.

3) Une  seule personne à la fois

Peut l’enfourcher, cavalier seul.

.

Le rêveur enfourche son inconscient

Se porte en avant par ses propres moyens,

Au lieu de perdre les pédales par stagnation.

Il peut compter sur lui-même et prendre

Son indépendance, sa personnalité,

Qui lui sont propres.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le cyclotourisme a bien des vertus,

Tant vrai, qu’à vélo, on va, partout,

Sur des chemins caillouteux, pentus,

On s’aventure, pédale, on risque tout,

En couple, c’est bien en famille, mieux,

On partage les découvertes, sensations

Il y en a et  pour les jeunes, et les vieux,

On ne s’en lasse pas, si on en a passion.

 .

Scénario

.

On part à fond,

On découvre la région

Attention cailloux : crevaison !

.

.

Un futur pilote de formule 1

.

Scénario

.

On part à fond,

On découvre la région

Attention cailloux : crevaison !

.

Visuels et textuels  >>  

324 – Le vélo en famille reste un vrai plaisir

Visuels et textuels  >> 

.

Rien de plus simple, sans peine,

Que faire du vélo  en pédalant,

Lors, par  réflexes, on  freine,

Sinon, on  se  rentre  dedans.

Les petits, devant, les grands,

Derrière, et  à la queue leu leu.

Contraire de la famille canards,

Quoique petits en ont vite marre.

Impossible de démarrer  sur place,

Il faut  rouler, si l’on veut  faire face,

Au déséquilibre  qui vous entrainerait

Nulle part ailleurs, qu’en fossé, exprès !

.

Et toc ma chaine a sauté mon pneu crevé,

Manquerait plus que mes freins me lâchent

Pour que j’envoie ce maudit vélo, promener,

Voilà, je me trouve forcé, marcher à ses côtés.

.

Ça roule, ça déboule, ça s’écroule … ça déroule,

En chaussée privée, l’air fier, sourire aux lèvres,

Et soudain, c’est la course, à qui arriver premier,

Vélo, y a pas mieux  en famille, pour l’ambiance.

.

Il y en a toujours, bien devant ou bien derrière,

Il est rare que, moyens, forces, soient à égalité,

Il y en a même qui n’arrêtent pas  de dérailler

Et tous les autres s’arrêtent pour la dernière

.

Et puis,  en chemin caillouteux, en VTT,

Si ce n’est boueux… en pentes raides,

L’important est d’abord d’avancer

Et  de tenir, sur le vélo, en tête.

.

Coup de pédale,  de frein,

Assis, debout sans fin,

Un  vélo est  moyen

S’amuser malin.

.

À deux, à un

Et autant,

Et sans

Fin !

 .

.

Extensions

.

Pour certains, faire du vélo,

Ce sera d’abord faire du sport,

Ce sera aller le plus vite possible,

Un chrono, tenir distance, cadence.

.

Pour d’autres c’est avant tout un loisir

Lors peu importe la distance et l’effort,

Le plus l’important est de prendre l’air

Pour  se  dépenser  un  tant  soit  peu.

.

Les deux ne sont pas incompatibles,

Mais on ne fait pas la même chose,

Le  même  parcours, avec un vélo

Tout terrain et course sur route.

.

Dix kilomètres pour premiers,

Sur des chemins  mal  pavés,

Représente  trente  kilomètres

Parcourus à plat, pour les derniers.

.

Crevaisons, sont de plus en plus rares,

Et  les déraillements de la chaine, idem.

Un bon et solide vélo tient bien la route,

Comme l’on dit et il se prête volontiers

À toutes les facéties ou … presque.

.

Le vélo, en famille, ou en groupe d’amis, et, voire les deux,

C’est un plaisir, à l’état pur : tout le monde sera heureux,

De  partager, le chemin, la route, les moments, les rires,

Et de se lancer des défis, le long d’un chemin de halage,

Avant d’entamer copieux picnic pour restaurer énergie.

Où sont passés les contraintes, emmerdements, soucis :

Disparus momentanément, par séance de vidage de tête.

Nous aurions, pour les vélos, en pleine  nature,  une dette,

Dont nous devons nous acquitter pour être en bonne santé !

.

.

324 – Calligramme

 .

Rien de plus simple, sans peine,

Que faire du vélo  en pédalant,

Lors, par  réflexes, on  freine,

Sinon, on  se  rentre  dedans.

Les petits, devant, les grands,

Derrière, et  à la queue leu leu.

Contraire de la famille canards,

Quoique petits en ont vite marre.

Impossible de démarrer  sur place,

Il faut  rouler, si l’on veut  faire face,

Au déséquilibre  qui vous entrainerait

Nulle part ailleurs, qu’en fossé, exprès !

Et toc ma chaine a sauté   V mon pneu crevé,

Manquerait plus que      É   mes freins me lâchent

Pour que j’envoie ce      L       maudit vélo, promener,

Voilà, je me trouve       O       forcé, marcher à ses côtés.

* ……….……..

Ça roule, ça déboule,   E              ça s’écroule… ça déroule,

En chaussée privée,     N          l’air fier, sourire aux lèvres,

Et soudain, c’est la      *       course, à qui arriver premier,

Vélo, y a pas mieux     F       en famille, pour l’ambiance.

A ………….

Il y en a toujours, bien  M        devant ou bien derrière,

Il est rare que moyens,   I        forces, soient à égalité,

Il y en a même qui n’arrê  L   tent pas  de dérailler,

Et tous les autres s’arrêtent  L   pour la dernière

                         E

Et puis,  en chemin  caillouteux, en VTT,

Si ce n’est boueux… en pentes raides,

L’important est d’abord d’avancer

Et  de tenir, sur le vélo, en tête.

.

E  S  T       U N     V  R  A  I

Coup de pédale,  de frein,

Assis, debout, sans fin,

Un  vélo est  moyen,

S’amuser   malin.

.

P L A I S I R 

À deux, à un

Et autant,

Et sans

Fin !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

324 4

.

Une plume  d’un stylo  à encre,

Un pendentif ou boucle d’oreille,

Une pointe de lance  ou de flèche,

Ou alors une amphore ancienne.

.

Amphore est loin de vélo en famille

je ne vois pas, avec une, en panier

je préfère provision de nourriture,

ainsi la forme diffère bien du fond

 .

En voilà une belle amphore

Bien que des plus communes :

En groupe, seront nombreuses

Très proches ou presque collées.

 .

Symbolique 

.

L’amphore est,

En Antiquité

Le récipient

 Le  plus  utilisé

Pour le transport

De produits de base :

Le vin, l’huile, la bière,

Ou de sauces de poissons.

Parfois, elle sert de cercueil

Pour  une sépulture d’enfant.

Enfin, on la jettera souvent dès

Que son contenu est consommé :

C’est ainsi que le Mont Testacio 

S’est formé de l’accumulation

De débris d’amphores

Ville de Rome.

Wikipédia

.

Descriptif

.

324 – Vélo en famille : un vrai plaisir !

Alignement central  /  Titre courbe   / Thème  vélo

Forme pointe / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : amphore / Symbole de fond : groupe

.

.

Fond

.

Evocation 

.

  324 6

.

En voilà une belle amphore

Bien que des plus communes :

En groupe, seront nombreuses

Très proches ou presque collées.

 .

Symbolique 

 .

Le 26 février 2000,

Groupe de vingt cyclistes

Était fauchée par une voiture

Roulant trop vite sur une route

À la sortie du village de Vauvert.

Bilan : 4 morts   avec  17  blessés.

.

Le collectif des cyclistes gardois,

Créé  pour  soutenir  les victimes,

A édité un maillot souvenir et qui

Rappelle toutes règles de sécurité.

.

Tous les ans, les cyclistes du collectif

Se rendent sur la départementale 135,

Pour rendre hommage à tous les victimes

De l’accident du dimanche 26 février 2000.

france3-regions.francetvinfo.

fr/occitanie/gard/cyclistes-tues-vauvert

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Aucune amphore, seule ou en groupe,

Ne pourra faire évoquer un, ou des vélos

Même faisant des efforts, on est d’accord.

Ce qui compte ici, c’est la famille, non objet

Le père, la mère, le fils, la fille, les cousins,

Chacun avec un vélo, pareil ou différent !

Quoiqu’il en soit, il faudra rester visible

Éviter se faire heurter par chauffard

Comme dramatique histoire 2002.

.

.

Conciliabule avant départ

.

Scénario

.

Un, deux trois, et l’on s’arrête, pour mieux lire les panneaux,

lors étant quatre, cinq, on utilise toute place chemin de halage,

qu’on soit six, sept, huit, l’heure du picnic ou de sieste, qui sait ?

.

Visuels et textuels  >> 

323 – Tours de vélo : Josselin-Malestroit

Visuels et textuels >>  

.

Rohan, Josselin, Malestroit,

Une vraie voie verte en canal,

Sur la rivière de l’Oust, chenal :

Piétons, vélos, comme  il  se doit.

.

Ces trois cités, dites de caractères,

Se font à vélo  en  une seule journée,

Faut  deux heures, chacune, à visiter,

Petite, grande, moyenne, en mystères.

.

Mystère  que l’architecture médiévale

Conservée par endroit presque en état

Maisons, presque toutes, de guingois,

.

Nous font mesurer passé d’intervalle.

Rohan, ville de quinze cent habitants

Trône  en  bassin-retenue, fièrement,

Non loin de Timadeuc  et son abbaye

Où, les pères trappistes vous prient !

.

Josselin est  grande ville  d’autrefois,

Avec  château, bordant l’Oust en eau,

Cinq tours et maisons à pans de bois,

Une basilique, place  trésors de Roi !

.

Malestroit, est entre rives    à l’étroit,

Ses moulins à grains tourner faisant,

Et ruine d’église, datant  de mille ans,

Moyenne  cité, qui,  jamais, ne déçoit.

.

D’écluse  en  écluse  une  quarantaine,

Rythment  une ballade  dont certaines

Sont inhabitées, voire, à vendre, à qui,

Veut profiter de l’Oust,  et de son … lit !

.

Les retenues d’eau formeront … autant

De cascades, chantant  les mouvements

De ses flots qui auront été domestiqués

Pour bienfaits bateliers avant cavaliers.

.

Sans compter les pié-

Tons  et  les  cyclistes,

Se  tenant  debout ou

 Assis sur  cette  piste,

Mais, moindre écart,

Un plouf  dans  l’eau,

Ne  comptez  pas  sur

  Secours  d’un  bateau !

 

Rares péniches,  plai- 

  Sanciers,     naviguant,

Prennent ici, le temps      

 De vivre,  en   éclusant

Leur temps, en le pas-  

Sant  en le remontant,

Et nous : charmés,   en    

Vélo, en le descendant.

Flâner, le long de ber- 

 Ges, rivières… canaux,

D’une  ville   à l’autre,

 Caractère, vrai régal.

.

.

Extensions

.

Notre parcours, en vélo, le long d’un canal

Est comme une nouvelle  expérience à vivre

Et sans monotonie  ni ennui,  regrets, aucun,

Malgré le manque de descentes et de montées,

Car un canal est toujours plat, sauf aux écluses.

.

Allez d’une ville à l’autre,  est des plus plaisants,

Traversée de cours d’eau des plus intéressantes.

On y voit lavoirs le long des berges témoignant

Des activités des lavandières de par le passé.

.

Même s’il n’y a de péniches, transportant

Des cargaisons de sable ou blé, autre :

Imagine apparaissant au tournant.

 .

De Josselin à Malestroit, par le chemin de halage

Du Canal de Nantes à Brest au cœur de  la Bretagne,

Demeure un plaisir inégalé dans la fraîcheur d’un bel été

De la verdure, du sable, le long de l’eau, écluses parsemées :

Même pas besoin de changer de vitesse ni d’avantage d’allure,

C’est le calme, la contemplation, voire la relaxation, à l’état pur :

À l’arrivée, une bonne bière dans une taverne datant du Moyen-âge.

.

Je ne sais pas si je ferais

Le canal de Nantes à Brest

En vélo, pas d’un seul trait,

360 km : il faut la semaine.

.

On peut faire des incursions,

À droite et à gauche du canal

En le faisant sur deux années

Afin de varier les excursions !

.

Vélo n’a de limite que le temps

Qu’il faudra pour atteindre but

Il y a des formules avec services

De bagage, couchage voire repas.

.

Encore est-il qu’en couple, groupe,

Ce sera souvent mieux que tout seul,

Ce n’est pas qu’on s’ennuie, monotonie

Un voyage, une passion, cela se partage !

.

.

323 – Calligramme  

.

Rohan, Josselin, Malestroit,

Une vraie voie verte en canal,

Sur la rivière de l’Oust, chenal :

Piétons, vélos, comme  il  se doit.

Ces trois cités, dites de caractères,

Se font à vélo  en  une seule journée,

Faut  deux heures, chacune, à visiter,

Petite, grande, moyenne, en mystères.

T   O   U   R        D   E

Mystère  que l’archi  V  tecture médiévale

Conservée par end  É  roit presque en état

Maisons, presque    L   toutes de guingois,

Nous font mesurer    O      passé intervalle.

Rohan, ville de quinze    *    cent habitants

Trône,  bassin-retenue,    J         fièrement,

Non loin de Timadeuc      O  et son abbaye

Où, les pères trappistes    S    vous prient !

Josselin est  grande ville  S       d’autrefois,

Avec  château, bordant   E     l’Oust en eau,

Cinq tours et maisons   L     à pans de bois,

Une basilique, place    I       trésors de Roi !

Malestroit, est entre    N    rives    à l’étroit,

Ses moulins à grains          tourner faisant,

Et ruine d’église, da   M  tant  de mille ans,

Moyenne cité, qui,      A   jamais, ne déçoit.

D’écluse  en  écluse      L   une quarantaine,

Rythment  une ballade  E      dont certaines

Sont inhabitées, voire,    S   à vendre, à qui,

Veut profiter de l’Oust,   T   et de son … lit !

Les retenues d’eau for     R    ment … autant

De cascades, chantant    O  les mouvements

De ses flots qui auront    I   été domestiqués

Pour bienfaits bateliers, T   avant cavaliers.

.

Sans compter les pié-

Tons  et  les  cyclistes,

Se  tenant  debout ou

 Assis sur  cette  piste,

Mais, moindre écart,

Un plouf  dans  l’eau,

Ne  comptez  pas  sur

  Secours  d’un  bateau !

Rares péniches,  plai- 

  Sanciers,     naviguant,

Prennent ici, le temps     

 De vivre,  en   éclusant

Leur temps, en le pas-  

Sant  en le remontant,

Et nous : charmés,   en   

Vélo, en le descendant.

Flâner, le long de ber- 

 Ges, rivières… canaux,

D’une  ville   à l’autre,

 Caractère, vrai régal.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

323 4

.

Un randonneur

Ou une randonneuse

Lors d’un circuit en vélo

Sur une chemin de halage.

 .

Circuit en vélo et chemin de halage,

forme plate mais belle longue rando

pour autant les paysages changent

si bien que la forme rejoint le fond.

 .

Un circuit en vélo, entre deux villes,

Reliées par un canal :

Une trentaine de kilomètres sur le plat

D’un chemin de halage.

.

Symbolique 

 .

Itinéraires, parcours,

Circuits en  vélo en France !

France Vélo Tourisme vous invite

À changer de rythme et partir en voyage

À vélo le temps d’un week-end ou de vacances.

Partez en famille, en couple, entre amis ou en solo

Itinéraires cyclables et VTT aménagés en France.

Restez  toujours prêts à prendre le guidon ?

francevelotourisme.com

.

Descriptif

.

323 – Tour de vélo : Josselin-Malestroit  

Alignement central /  Titre serpente  / Thème  vélo

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : circuit / Symbole de fond : chemin

 .

.

Fond

.

.Évocation 

.

323 6

.

Un circuit en vélo, entre deux villes,

Reliées par un canal :

Une trentaine de kilomètres sur le plat

D’un chemin de halage.

.

Symbolique 

.

Une balade incontournable,

Et n’ayons pas peur des mots, assez magique.

Chemin de halage à Pont-l’Abbé a quelque chose d’onirique.

Sillonner courbes rivière, c’est pénétrer en un autre univers.

.

Le chemin de halage a, d’abord, eu vocation  économique.

Il permettait, aux haleurs, à l’aide  d’une corde, de remonter

Les navires en direction du port mais les progrès techniques

Vont précipiter  la fin de cette activité  dans les années 20.

.

Devenu un lieu prisé de promenade, le chemin de halage

Est désormais un sentier familier et pourtant, il cache

Encore des secrets bien gardés.

letelegramme.fr/finistere/pont-labbe/un-

symbole-mysterieux-sur-le-chemin-de-halage

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le vélo a repris ses lettres de noblesse

Droit même de cité dans nombre de villes

Depuis la chasse au carbone, vélo cartonne

Mais un bien pour un mal, en vélo électrique

Moi je serais plutôt adepte du vélo classique

VTT tout terrain comme son nom l’indique,

Il faut pédaler dur, ça fait mal aux fesses.

.

Il est vrai qui suivre chemin de halage

Ne sera pas grimper le Tourmalet,

Aucun mérite donc, une ballade

En dépit de quoi, l’un est

 Très content le soir

Mettre pied

À terre

V

 .

.

Qui dit canal dit écluse

.

Scénario

.

Le grand château de Josselin sis tout au bord de la rivière.

Beau et long chemin de halage entre Josselin et Malestroit.

 La ville de Malestroit avec ses maisons type moyenâgeuses.

 .

Visuels et textuels >> 

 

322 – Faire quelques tours de pédales !

Visuels et textuels  >>

.

Tour de pédale, deux tours

Mille, dix mille …   cent mille.

Du matin au soir tous les jours,

Les jambes, à la fin… fourmillent.

Un tour, ou deux, de piste  cyclable,

Vous donne des jambes  de vingt ans.

.

À tout âge, le vélo, on en serait capable,

Il vous videra la tête  en remuant le sang,

Parfois, un coup de pompe, manque d’air,

Vous coupe  les mollets dans une montée.

Un brin de fierté vous empêche d’arrêter

Vous perdiez les pédales, pieds à terre.

 .

Sur le plat, descente, vous caracolez,

Tête relevée, pleine d’images nature

Devant vous, défile paysage coloré,

Senteurs montent, au nez, pures.

 .

La joie que de se laisser porter

Par  deux roues,  selle, guidon,

Le plaisir d’appuyer pédalier

Pour rouler chemin en rond.

Encore un effort et l’arrivée,

Dans moins d’un kilomètre.

.

Dernier sprint pour attester

Train d’enfer qu’on a su mettre

Aux autres qui pédalent derrière

Et qui souffrent de fesses, mollets

L’effort se lit sur la figure guerrière

Mais c’est vous le héros du jour, ollé.

.

Le vélo est un jeu, un loisir, un plaisir

Autant, sinon plus, qu’un sport de masos

Qui luttent contre les côtes contre le chrono,

Pédalent sur des kilomètres à n’en plus finir

À en perdre le souffle, les muscles, le moral

Pourquoi pédaler, comme un fou, animal.

.

.

Extensions

.

Toutes les lois de  l’équilibre

Soumises au mouvement continu

Sont impardonnables : pas impraticables,

Simplement il faut se coordonner pour y arriver

Débuts de l’apprentissage sont parfois… rebutants,

Essayez-donc d’apprendre à faire du vélo à un adulte

De trente ou quarante ans qui ne l’a jamais pratiqué

Enfant de trois ans au centre de gravité plus bas,

Certes, mettra peu de temps … pour y arriver.

Après, pratiquer le cross et le tout terrain,

C’est autre chose, sans parler du vélo

À une roue ou encore du tandem.

.

La panoplie du vélocipède est large

Les innovations ne manquent ni plaisirs.

Cela dit, pour aller très vite ou pour grimper,

Il faut pédaler fort et faut choisir le bon braquet

Question muscle, poids, entrainement, pas égaux.

Certains sur leur vélo, ressemblent à un crapaud

Sur des boites d’allumettes alors il ne faut pas

Leur demander des chronos, c’est déjà bien

De rester en selle avancer vite en rando.

En tandem, il faudra être synchro,

Pour pédaler, pour freiner ?

.

Petite femme, petit vélo en couleur, promenade et robe de charme

Grand homme et grand vélo, posture de course et efforts intenses !

Bon d’accord, ce sont clichés : aujourd’hui nous sommes à égalité !

La preuve : les couples hétérosexuels  ont presque les mêmes vélos.

Quand on dit tours de pédales, la distance peut varier énormément

Allant de dix à deux cent kilomètres, sur chemins et routes pavées :

On peut donc en faire des milliers sans jamais penser à les compter.

.

Pour les obligés ou amateurs de tours de pédales,

Pas besoin de sortir…  dehors,

On peut en pratiquer en salle sur le home-trainer,

Ou en fixant vélo sur béquille.

.

Moi, j’aime prendre l’air en chemin de campagne,

Seul, ou avec ma compagne :

Les dénivellations, les freinages, les accélérations,

Donnent piment sensations.

.

En ville, il est vrai, il faut faire attention aux yeux,

Il pleut, routes sont glissantes.

En collines, un vélo tout-terrain c’est bien mieux,

Attention à chutes, blessantes.

.

.

Épilogue

 .

Le vélo est, à la fois, un sport,

Un loisir,  moyen de transport :

Nous fait respirer, en campagne,

Nous fait transpirer, en montagne

En ville, nous fait, du stress, gagner,

Dans les bouchons  ou pour se garer !

***

Un tour de pédale, suivi d’autres tours :

Cela par milliers, toujours sans compter,

Font bouger abdominaux muscles fessiers

La fierté de tous ceux qui en font toujours :

Vélo sans assistance sera appelé musculaire

Bien que ce ne soit partie de jambes en l’air !

***

Tant pour grimper les côtes  et tenir le chrono,

Il faut appuyer  fort, faut pousser  les chevaux :

Avec un entrainement régulier, voire supervisé,

On parvient à s’en satisfaire sans course gagner,

On passerait du statu d’amateur à professionnel,

Je ne vous dis pas : tours de pédales, à tire d’ailes

***

Ce sera, toujours mieux, à plusieurs que tout seul :

En couple c’est pas mal, ou voire avec un vieil ami,

En famille, c’est le pied, c’est le mieux qu’on veuille

Allez, allez,  et ne trainez pas, en vélo, tous en selle.

.

.

322 – Calligramme   

.

Tour de pédale, deux tours

Mille, dix mille …   cent mille.

Du matin au soir tous les jours,

Les jambes, à la fin… fourmillent.

Un tour, ou deux, de piste  cyclable,

Vous donne des jambes  de vingt ans.

.

 ****************************************

****************************************

.

À  tout  âge,  le vélo, l’on    P   en  serait  capable,

Il vous  videra la tête  en  O      remuant le sang.

Parfois, un coup de pom U    pe, manque d’air,

Vous coupe  les mollets  R   dans une montée.

Un brin de fierté vous   Q  empêche d’arrêter

Vous perdiez les péda  U   les, pieds à terre.

       O

Sur le plat, descente   I     vous caracolez,

Tête relevée, pleine    * d’images nature

Devant vous, défile  D  paysage coloré,

Senteurs montent   E    au nez, pures.

      S

La joie que de se    *     laisser porter

Par  deux roues    T     selle, guidon,

Le plaisir d’ap     O  puyer pédalier

Pour rouler che   U    min en rond.

Encore effort      R      et, l’arrivée,

Dans moins d’    S    un kilomètre.

   *

Dernier sprint    D     pour attester

Train d’enfer qu’ E    on a su mettre

Aux autres qui     * pédalent derrière

Et qui souffrent    P  de fesses, mollets

L’effort se lit sur   É la figure guerrière

Mais c’est vous le   D héros du jour, ollé.

A

Le vélo est un jeu,     L   un loisir, un plaisir

Autant, sinon plus,    E  qu’un sport de masos

Qui luttent contre les  S  côtes contre le chrono,

Pédalent sur des kilo   ? mètres à n’en plus finir

À en perdre le souffle,     les muscles, le moral

Pourquoi pédaler, comme un fou, animal.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

322 4

.

Une  grande chope de bière

 Ou vase  de facture artisanale

Ou un flacon avec un bouchon

Pourquoi pas un tambour ?

.

Le vrai tambour fait plus de bruit

que les freins à tambour des vélos

mais il est dix fois plus résistants :

analogie inspire forme et non fond..

.

Un tambour peut être considéré

Comme bel  équipement d’un vélo,

Qui servira à le freiner en utilisant

L’intérieur du moyeu de sa roue !

.

Symbolique 

.

Instrument tambour,

De tout temps, incarna

Les  battements  du  cœur

De l’Univers, et,  son rythme,

Régulier ou voire même monotone

Équivaut au battement du cœur humain.

.

D’où  sa forte symbolique  pour quiconque

Souhaite entrer en contact avec la Nature

Tous ses mondes secrets. Le tambour est

Donc considéré comme sacré par bien

Des peuples et bien des cultures.

echange-spirituel.kazeo.com/

le-tambour-et-son-symbolisme

.

Descriptif

.

322 – Pourquoi faire tours de pédales ?   

Alignement central  /   Titre droit   /  Thème  vélo

Forme courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : tambour / Symbole de fond : freins

.

Fond

.

Évocation 

.

322 6

.

Un tambour peut être considéré

Comme bel  équipement d’un vélo,

Qui servira à le freiner en utilisant

L’intérieur du moyeu de sa roue !

.

Symbolique 

.

Les freins à tambours,

Comme  les freins à disques

Freinent le moyeu de la roue.

Sur les  modèles  traditionnels

Deux  patins,  surdimensionnés,

Pressent contre surface circulaire

À l’intérieur du moyeu, le tambour.

Modèles   Rollerbrake   de   Shimano,

Meilleurs freins à tambour du marché,

Font appel à des rouleaux cylindriques

Qui par expansion interne sous l’action

Du levier de frein, pressent contre

Une paroi intérieure du frein.

mapage.noos.fr/ptis.trucs.

sympas/freins_velo

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

On pourrait dire, d’un coureur,

Qu’il foncerait tambour battant

Mais s’il n’a de freins à tambour

Finir dans le décor, il aura peur.

Tomber dans un fossé, peut faire

Dans votre tête, coup de tambour,

Et non coup de foudre ou d’amour

Oh là, j’ai un petit vélo dans la tête

D être si amoureux d’une bicyclette

Je ne voudrais pas qu’on le répète.

.

.

En paysage assez morose

.

Scénario

.

Une  belle parisienne sur un vélo, telle que l’imagine la provinciale.

Baisse la tête, t’auras l’air d’un coureur, voilà expression moqueuse.

 Pause s’impose devant le paysage, restant ou non appuyés sur vélos.

.

Visuels et textuels  >>

321 – Des vélos : en veux-tu…en voilà !

Visuels et textuels  >> 

.

Des vélos, des vélos : en veux-tu… veux-tu, en voilà :

Il y a des vélos de ville avec leurs airs tranquilles,

Des vélos tous terrains, avec plein d’entrain.

.

Des vélos de course, pour toutes bourses,

Ou de tandem pour ceux qui s’aiment,

Et originaux assis, qui vous trainent,

Vous entrainent, à pédaler sans fin.

.

Aller ici, ou là, au bout du chemin,

Revenir sur ses pas : boucle entière

Sur parcours dont on sort tout fier !

.

Pédaler  soigne l’équilibre et la santé,

Redonne souffle au cœur, à l’endurer.

Plus de bruits, plus de stress : libres !

.

Le vélo, en vous  et  sous vous, vibre,

Secousses, lors route  vous rossent,

Avec creux et bosses, vous tossent.

.

Vos fesses et reins, dos, épaules :

Tout votre corps … vous tremble,

De  tous  vos  muscles,  membres,

Et vos boyaux de votre plat ventre.

.

Tout en vous, se remue sous contrôle,

Autour d’un coup de pédale, qu’endosse,

Des nids de poules qui vous fera des œufs

Dans vos pneus si ne prenez pas soin d’eux.

.

En un chemin trempé inondé, caillouteux

Vous voilez votre roue dans une ornière,

Et n’avez plus que vos mains en prière

Pour vous sortir de ce sort tortueux.

.

Des vélos, en veux-tu … en voilà,

Le mien passe partout mais là,

Il lâche au milieu du  chemin,

Le portant à réparer demain,

Je dirai, au réparateur, étonné,

Que mes freins, soudain, ont cédé.

.

Pente m’a fait, à toute pompe, dévaler,

Un chemin qu’une barrière avait fermé.

Accidents de vélo, il y en a, tous les jours.

.

À quatre ans, apprenant, enfant s’étale, four !

Maudit vélo, qui ne veut pas tourner très court,

Et qui vous jette par-dessus son guidon d’amour.

 .

.

Extensions

.

J’ai débuté le vélo à quatre ans,

Comme le font tous les enfants,

Et après, j’en ai fait tous les ans

Ou presque jusqu’à maintenant.

Depuis les ans que je le pratique,

Il ne m’a jamais lâché, d’actualité.

.

Faut dire que vélo est basé sur des

Mouvements devenus réflexes

D’anticipation d’équilibre

Qui, tout comme au ski,

Demandera  un  torse

Penché vers la pente,

Ce qui, avouons-le ne parait pas

Naturel au premier abord

Le devient, spontanément ensuite.

.

J’aime bien faire du vélo en couple,

En famille, entre amis.

Et ce n’est pas tant, que je m’ennuie,

Quand je suis pédale seul,

Mais on peut échanger, passer devant,

Derrière et voire sur le côté.

.

Un vélo, deux vélos accolés, quatre vélos en tandem

Autant de formules offertes à tous ceux qui l’aiment,

Et je vous parlerai ici  de joie tant loin de toute peine.

L’effort de pédaler sera bénéfique  pour tous, et même

Que l’on roule dans des chemins et paysages suprêmes !

Plus simple, qu’un vélo, tu meurs : deux roues, une selle,

Un guidon, un frein, une chaine un pédalier, un indexeur.

Bon d’accord, il faut un peu de coordination, et d’équilibre

Mais  avec le mouvement, la vitesse, tout va bien : miracle !

.

Le règne du vélo serait revenu

On en aurait jamais autant vu !

.

Catalogues débordent de modèles

Et qui auront, chacun, leurs fidèles

.

J’en ai un, moi-même, et, de course !

Lors ma femme en a un aussi, de ville.

.

Les prix grimpent en flèche, électriques,

Dont le prix moyen atteint les trois mille.

.

On pourra en emprunter d’un lieu à l’autre

Signe que le vélo se sera bien  démocratisé.

.

Pour finir, pistes cyclables… un peu partout

Si ce ne sont des parcours tracés pour vélos.

.

.

Épilogue

.

Le vélo est magique, trouve

Son équilibre dès qu’il roulera :

Il suffit de faire un tour de pédale

Et de se pencher dans tous virages.

***

Et aujourd’hui, il sera même assisté,

Par les bons soins de la fée électricité,

Plus besoin de pédaler  dans les côtes :

Suffit d’utiliser aide, dite la plus haute.

***

Cela dit, des vélos, en veux-tu, en voilà :

Y en a  pour tous  usages, gouts, bourses,

Entre le vélo de ville  et le vélo de course,

Entre différents modèles, l’on a le choix !

***

En vélo jusqu’à l’école, me souviens, allant

Dès l’âge de sept ans, jusqu’à mes neuf ans,

Cinq kilomètres, une demi-heure  de route :

Parfois en faisant la course : en avant toute.

***

Ma future épouse avait offert : demi-course

Quarante ans plus tard… je pratique encore

C’est dire si vélo de qualité, résiste très fort

À une submersion de nouvelles ressources.

***

Vélo, V.T.T, cycle, 2-roues,  course, bonne :

Quel que soit l’appellation  qu’on lui donne,

Il sera toujours et pour tous, la petite reine,

Qui partout, en tout temps, nous promène.

.

.

321 – Calligramme  

 .

Des vélos, des vélos : en veux-tu… veux-tu, en voilà :

 Il y a des vélos de ville avec leurs airs tranquilles,

Des vélos tous terrains, avec plein d’entrain.

Des vélos de course, pour toutes bourses,

Ou de tandem pour ceux qui s’aiment,

Et originaux assis, qui vous trainent,

Vous entrainent, à pédaler sans fin.

.

Aller ici, ou là, au bout du chemin,

Revenir sur ses pas : boucle entière

Sur parcours dont on sort tout fier !

Pédaler  soigne l’équilibre et la santé,

Redonne souffle au cœur, à l’endurer.

Plus de bruits, plus de stress : libres !

Le vélo, en vous  et  sous vous, vibre,

Secousses, lors route  vous rossent,

Avec creux et bosses, vous tossent.

.

Vos fesses et reins, dos, épaules :

Tout votre    V   corps…vous tremble,

De tous vos        É      muscles,    membres,

Et vos boyaux         L          de votre plat ventre,

Tout en vous, se         O          remue sous contrôle,

Autour d’un coup           S          de pédale, qu’endosse,

Des nids de poules             :          qui vous fera des œufs

Dans vos pneus si ne           E        prenez pas soin d’eux.

En un chemin trempé          N          inondé, caillouteux

Vous voilez votre roue           *            dans une ornière,

Et n’avez plus que vos            V           mains en prière

Pour vous sortir de ce             E           sort tortueux.

Des vélos, en veux-tu              U                 en voilà,

Le mien passe partout           X              mais là,

Il lâche au milieu du              *            chemin,

Le portant à réparer              T        demain,

Je dirai au réparateur           U     étonné,

Que mes freins, soudain     *   ont  cédé.

                 E

Pente m’a fait, à toute  N   pompe, dévaler,

Un chemin qu’une      * barrière avait fermé.

Accidents de vélo,    V    il y en a, tous les jours.

À quatre ans, appre O   nant, enfant s’étale, four !

Maudit vélo, qui ne  I      veut pas tourner très court,

Et qui vous jette      L   par-dessus son guidon d’amour.

   A                   ………………

 .

.

Forme

Réduction

.

Évocation 

.

321 4

.

Une base très arrondie,

Avec un col  très rétréci,

Et une ouverture  large :

Un vase imaginaire.

.

Un vase imaginaire … allons dons !

vous en aurez trop … il est bien là :

mais de là  à représenter beau vélo

forme et fond ne se marieront pas.

.

Que peut-il bien y avoir de commun

Un entre ce vase et un vélo :

Rien, ni en apparence, ni en réalité,

Même forçant l’imagination !

.

Symbolique 

 

Le vase est d’abord un contenant :

La boîte, le sac, l’armoire, le vase

Et un symbole féminin.

.

Dans le vase, on met de l’eau,

Symbole de la vie, de la terre aussi,

Une plante qui pourra s’y développer.

.

Les alchimistes appelaient aussi vase

Le creuset dans lequel ils projetaient

Leurs transformations  intérieures.

.

Ce lieu clos est propice à une image

De renfermement, sur soi, le temps

D’une élévation niveau de conscience,

Dans le cadre processus d’individuation

Modifié, source : signification-reves.fr/Vase

.

Descriptif

.

321 – Des vélos, en veux-tu : en voilà !  

Alignement central  /   Titre droit   /  Thème  vélo

Forme droite / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : imaginaire

.

.

Fond

.

Évocation 

.

321 6

.

Que peut-il bien y avoir de commun

Un entre ce vase et un vélo :

Rien, ni en apparence, ni en réalité,

Même forçant l’imaginaire !

.

Symbolique

.

L’imaginaire

Peut être défini

Sommairement

Comme le fruit

D’imagination

D’un  individu,

Ou d’un groupe

 Ou  d’une  société,

Produisant images,

Des   représentations,

Des récits ou des mythes

Plus ou moins détachés de

Ce qu’il est d’usage de définir

Comme la réalité. Il s’agit de la

Capacité d’un groupe, voire  d’un

Individu à se représenter le monde

À l’aide d’un réseau d’associations

D’images qui lui donnent un sens.

Wikipédia : imaginaire

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

L’imaginaire prend le pouvoir, à chaque fois

Qu’il utilisera un symbole à la place de chose

Comme ici un vase pour représenter un vélo

Mais parfois la distance entre est si grande

Que cela ne marche pas,  ne peut marcher.

Un vélo aura deux roues, donc deux ronds

Un cadre souvent en forme d’un triangle

Mais jamais une forme courbe en vase.

 .

.

À louer à l’heure, journée, demie

.

Scénario

.

Vélo simple, des plus classiques voire même des plus rustiques !

Deux vélos accrochés ensemble comme témoignage d’amoureux.

Jeune couple sur tandem et extension de remorque, pour enfants.

 .

Visuels et textuels  >>

320 – La montagne est grande, nous, petits

Visuels et textuels  >> 

.

Grimper toujours plus haut,

Voilà bien  une belle devise,

Mais  s’agit-il d’un sommet

Ou se dépasser  soi-même.

 .

Et pourquoi  se fourvoyer,

En des sentiers  extrêmes,

Lors l’argent, coule  à flot,

En rivières, et, en devises.

.

Pourquoi    risquer   glissade,

Sur  une pente,         trop raide,

Si l’avalanche,       en dévalant,

Vous tue, vous    enfouissant.

.

Sur le plateau,   une cloche,

D’une vache,   tintinnabule,

Le berger,   avec  son  chien,

Parfois,   coince   la  …  bulle.

.

Et moi aussi  lors  que j’y suis,

Lors  m’abreuvant aux  torrents,

D’eaux, torrents,  mots ou d’images,

Qu’ils soient de plein air, soient plein vent.

La montagne est immense, ses espaces infinis

Devant elle on se sent désarmé, on se sent petit.

  .

À  perte  de vue, ses sommets, ses crêtes,  ses pics

Nous plongent  dans un désert, de glace, arctique :

Si quelques vagues montent    à l’assaut,  plus haut,

La mer est  toute plate  et  l’horizon, courbe, pareil !

    .

Ici, les glissements de  plaques,  les volcans  chauds,

Ont entassé  les  roches, en un  tohu-bohu, merveille.

Au loin dans la plaine les campagnes restent sereines,

Elles regardent leurs grands frères pleurer du sourcil,

Pour les arroser de leurs torrents  d’alluvions, fertiles

Où hauts bois sont, parfois, rois et les plaines, reines.

  .

Ils sont  plus près du ciel,  exhalant air pur, oxygéné,

Bien que  très froid, réfrigéré,   voire raréfié, des fois,

Ils se moquent des nuages  qu’ils toisent, embrumés,

Encombrant la vallée, aveugle d’un soleil  qui croît !

  .

Combien d’hommes ont flirté avec pic, en virginité,

Taxé d’inaccessible par sa face Est ou sa face Nord,

Combien ont subi tempêtes, combien sont morts

Pour l’amour de grimpette sur ego, escaladé !

.

Parvenu au sommet

De montagne de solitude

L’homme comprendra mieux

Sa petitesse voire même sa finitude

Qui l’habitent  comme au-delà des défis

Qu’il s’est lancé à lui-même, l’ont conquis !

..

Extensions

.

Quand  la  mer  vous  rend … tout  petit,

Par très large horizontalité,

La montagne le fait, par sa verticalité,

La campagne, par diversité.

 .

Quoique  l’on fasse  et où qu’on  aille,

On n’a que taille humaine

Et allongé par terre, l’on ne s’assoira

Plus haut que son séant.

 .

Philosophie de bas étage, direz-vous !

Pas tant que cela en fait :

Si l’on est  à trois mille mètres, de haut,

Voire à dix mille nautiques,

 

Tout autour de vous, change de dimension.

Grimper en pentes et en lacets

Et louvoyer contre les vents, contre les marées,

Pour avancer pour atteindre son but

Ont en commun : sommes petits, pas grande chose !

.

Montagne est grande, on la dit écrasante,

Bien qu’elle nous élève et qu’on la domine,

La grimper devient  une aventure épatante,

Qui nous réjouit et nous donne bonne mine.

Parvenus  au sommet : un panorama, géant,

Nous tend les bras, captive nos yeux et cœur,

Nous suscite envie d’y rester un long moment

À contempler l’œuvre du mystérieux créateur,

Il faut bien redescendre, il y fait froid, la nuit !

Dans la vallée, la vie bat son plein  hors l’ennui.

.

On n’a jamais fini  de contempler

La montagne de sa base au sommet :

Nombre textes, photos, chants, sonnets,

Auront été publiés, joués, pour la célébrer.

.

Aucun poème, sur elle, ne pourrait être plat :

 Quel que soit la rime, elle sera en dents de scie,

En pente montante, voire en pente descendante,

Quel que soit auteur, grimpeur, il l’incrémentera.

.

C’est un peu l’esprit de poésies d’Éclats d’existence,

Que de suivre, voire créer, des formes montagneuses,

Non pas pour en atteindre pour chacun, des sommets,

Mais pour magnifier à la fois le merveilleux et l’essentiel.

.

Qu’on soit indulgent avec moi, je ne suis pas sûr y parvenir

J’aurai, du moins, tenté de gravir, de mon âme, la montagne.

La montagne m’inspire tout autant que la mer et la campagne

Je me sens si petit, face à ces trois, que j’ai plaisir à … décrire !

.

.

Épilogue

.

Passer rapidement de la mer à la montagne,

Vous donnera comme vertige des hauteurs :

Autant la mer est plate et voire la campagne

Autant sa verticale donne idée de grandeur !

***

Au fin fond d’une profonde vallée encaissée,

Horizon est cerné, parait comme très limité,

Une chaine de monts et de pics la surplombe

De ses versants adret, ubac et de ses combes.

***

Point à l’horizon, lors vous êtes  en haute mer,

Vous vous sentez petit comme en plein désert,

Mais, ici, en montagne, en plus, comme écrasé

Par la magnificence des lieux, tout en majesté.

***

Il ne faut partir en montagne sans lampe, seul,

Le ciel peut s’obscurcir d’un coup sous l’orage :

L’on n’y voit plus goutte, sur certains passages,

L’on sera forcé d’attendre et quoiqu’on veuille !

***

Pourquoi, jusque là-haut, s’acharner à grimper,

Ne suffit-il  de  s’arrêter, à mi pente, au milieu :

Est-ce pour le sport  ou  mieux mériter, profiter

Du panorama unique qui nous mène aux cieux.

***

Je n’ai pas qu’une seule réponse à vous donner,

Chacun a la sienne, tout comme foi en un Dieu.

.

.

320 – Calligramme  

 .

Grimper toujours plus haut,

Voilà bien  une belle devise,

Mais  s’agit-il d’un sommet

Ou se dépasser  soi-même.

 .

Et pourquoi  se fourvoyer,

En des sentiers  extrêmes,

Lors l’argent, coule  à flot,

En rivières,  et,  en devises.

.

Pourquoi    risquer   glissade,

Sur  une pente,       trop raide,

Si l’avalanche,     en dévalant,

Vous tue, vous    enfouissant.

.

Sur le plateau,    une cloche,

D’une vache,   tintinnabule,

Le berger,   avec  son  chien,

Parfois,   coince   la  …  bulle.

.

Et moi aussi  lors    que j’y suis,

Lors  m’abreuvant    M  aux  torrents,

D’eaux, torrents mots   O       ou d’images,

Qu’ils soient de plein air,   N   soient plein vent.

La montagne est immense,  T   ses espaces infinis

Devant elle on se sent désar   A  mé, on se sent petit.

                G

À perte de vue, ses sommets,    N      ses crêtes,  ses pics

Nous plongent dans un désert,  E        de glace, arctique.

Si quelques vagues montent       *     à l’assaut, plus haut,

La mer est toute plate et l’hori    G    zon, courbe, pareil !

                  

Ici, les glissements de plaques,   A      les volcans chauds,

Ont entassé  les  roches, en un    N   tohu-bohu merveille.

Au loin dans la plaine, les cam    D   pagnes  sont sereines,

Elles regardent de grands frères E     à pleurer du sourcil,

Pour les arroser de leur torrent   *        d’alluvions, fertiles

Où hauts bois sont parfois rois   N     et les plaines, reines.

                O

Ils sont plus près du ciel, exha   U    lant air pur, oxygéné,

Bien que très froid, réfrigéré      S     voire raréfié des fois,

Ils se moquent des nuages qu’    *   ils toisent, embrumés,

Encombrant la vallée, aveugle   P    d’un soleil  qui croît !

               E

Combien d’hommes ont flirté    T    avec pic, en virginité,

Taxé d’inaccessible par sa face  I       Est ou sa face Nord

Combien ont subi tempêtes,   T  combien sont morts,

Pour l’amour de grimpette   S   sur ego, escaladé !

.

Parvenu au sommet

De montagne de solitude

L’homme comprendra mieux

Sa petitesse voire même sa finitude

Qui l’habitent  comme au-delà des défis

Qu’il s’est lancé à lui-même, l’ont conquis !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

320 4

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Nous dirons peut-être un lampion 

Comme présence de vie en montagne.

.

Lampion ne va pas bien avec montagne,

il y en a partout et pour toutes occasions

certains sont éclairant, autres lumignons

si fait que la forme s’écarte de son fond.

 .

Nous ne sommes qu’un petit lampion

 Face à gigantesque montagne :

Celle–ci  est illuminée de partout alors

Que nous ne sommes que falot !

.

Symbolique 

 .

Un lampion

Est un récipient de terre,

De fer blanc ou verre épais

Dans lequel  on met du suif,

Ou de l’huile avec une mèche,

Pour   faire  des  illuminations.

Quand  son usage  est  décoratif

S’inscrit en tradition particulière,

Abat-jour souvent réalisé en papier,

Parfois creusé  dans une légumineuse.

On trouve lampions  de diverses formes,

Tailles, modes de construction sont variés.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

320 – La montagne est grande : nous, petits  

Alignement central  /  Titre droit  /  Thème  montagne

Forme droite  /  Rimes égales    /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampion / Symbole de fond : montagne

.

Fond

.

Évocation 

.

320 6

.

Nous ne sommes qu’un petit lampion

 Face à gigantesque montagne :

Celle–ci  est illuminée de partout alors

Que nous ne sommes que falot !

.

Symbolique

.

La

Montagne a

Provoqué chez l’homme

Quantité de sentiments contradictoires.

Interdite, promise, refuge des ermites, siège des combats

Entre  les Titans et les Dieux, entre les Archanges et les Dragons,

Lieu de l’immortalité, colline de la pureté, centre et sommet du monde.

.

Génératrice de paniques tout comme d’exaltations, la montagne suscite

Depuis toujours le sentiment d’univers échappant à l’échelle humaine.

.

Proche des cieux, éloignée de l’ordre humain, est point de rencontre

Privilégié entre le Ciel et la Terre,  lieu le plus bas pour les dieux

Et le plus élevé pour les hommes.

le-symbolisme-de-la-montagne

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Notre petitesse sur une très haute éminence

N’a d’égale que notre profondeur d’esprit,

Pour mesurer  cette grande différence

Qui nous dépasse et jusqu’à l’infini !

.

En plus, là-haut le silence régnant

Qui frise l’oubli et voire le néant

Si ce n’est choses essentielles,

Nous rapprochant  du ciel,

De notre propre existence

D’une poussière cosmique

Lors y prenant conscience.

  .

.

Dieu, que la montagne est grande !

.

Scénario

.

Montagne est impressionnante par majesté, diversité, panoramas,

mêlant ses  verts forêts au blancs des neiges fondantes, éternelles,

chapeauté, parfois, par pic, comme une sorte d’échelle vers cime.

 .

Visuels et textuels  >> 

319 – Après le ski, le réveillon à Chinaillon

Visuels et textuels  >>  

.

L’année s’achève sous

Les  lampions      allumés,

Et chargée     d’évènements

Vécus devenant     souvenirs.

Nouvelle année     commence

Dans les bras,        en baisers,

Des gens crient        leur joie,

Par leur fenêtre       ouverte,

Lors chacun, de       tracer,

Plans   sur   sa     comète.

.

 Même si vie, pas drôle,

Raison pour faire fête,

Une année … de plus,

Aura  rempli  sa tête,

Et si l’on ne riait pas,

L’on serait  des bêtes.

Réveillon … aux tisons

Grisons… à Chinaillon !

À dix autour d’une table,

Autour de bonnes cuissons,

.

Et qui enchanterons nos palais

Nous chantons, et, pour de bon,

Nous souhaitons  une … longue vie

À tous, et, à chacun,  et,  à   l’unisson !  

.

Folle journée que la dernière d’une année

Pas d’impair avant qu’elle ne soit terminée,

Jusqu’ici  pas  d’accident, d’incident notoire

Je ne voudrais pas la finir en séries noires !

.

Pour ma dernière journée de ski de l’année,

Allez,  schuss : belle rouge pour s’échauffer.

 Ça va très vite, comment  faire  pour  arrêter

Dans  ces champs  de bosses, à tout casser !

.

Étrange, je tiens encore sur les skis, au faite

Remonte  au tire-fesses vers une belle crête,

Où  casse-croute  vient me refaire une santé,

Contrebas sur  le flanc d’Aravis trois vallées.

.

Laquelle  choisir, pour traverser   les   sapins,

Et bonjour  les trous,  bonjour plantage alpin

Ce jour, au moins, je n’ai  pas  skié  pour  rien

L’année prochaine, je m’en souviendrai bien.

.

La veille de l’an, au réveillon, réveillons-nous,

Cette nuit à dix,  nous amusons  comme fous,

Car cinq filles  veulent délurer cinq garçons :

Déguisement, photo, souvenir pour maison.

.

Vin   blanc    coule      à flot,

Foie  gras,     reste  en  bouche,

Festin s’achève, pétards, cartouches,

Feux d’artifices éclatent, dans les vallées,

Tant et si bien, qu’impossible de se coucher.

.

.

Extensions

.

La  fête  du  Réveillon,

Chaque an, recommencée,

Avec pas toujours les mêmes

Pas souvent au même endroit,

Comme il se doit, mais toujours

Et dans la joie, comme autrefois !

.

Mais skier le dernier jour de l’année,

Sera prendre le risque  de commencer

L’année sur les genoux mais, ce jour-là,

L’on  s’en  fout, l’année a été fort bonne.

.

On passera une nuit blanche, ou  presque,

Car cela ne peut que nous procurer  espoir

Que l’année suivante sera du même acabit

Qu’on pourra en faire son meilleur profit

Les années passent, ne reviennent pas,

Et cela que l’on soit à la neige ou pas.

.

De la décoration minimaliste à un peu kitsch

On en voit de tout pour célébrer  le réveillon !

Des plats hors du commun, flutes champagne

Mais surtout le cœur en fête et le reste… avec,

Plus rien  ne compte : que la famille, les amis,

Un verre par ci, verre par-là, on est pompette,

On se met à minuit à pousser la chansonnette,

En s’embrassant, faisant des vœux en mousse :

Une année se termine et une nouvelle, pousse !

.

Toutes nos années passent,

Se succèdent sans bruits,

Lors tout nous tracasse :

Autant soleil  que pluie !

.

On formulera  des vœux,

Pour  la  plupart : pieux !

Est-on maitre des destins,

 Les changer chaque matin !

.

Il n’y a pas  de vent favorable

Pour celui qui ne sait où il va :

Faut-il se laisser porter à tout va

Vers fin du monde, inconcevable !

.

.

319 – Calligramme

 .

L’année s’achève sous

Les  lampions      allumés,

Et chargée     d’évènements

Vécus devenant     souvenirs.

Nouvelle année     commence

Dans les bras,        en baisers,

Des gens crient        leur joie,

Par leur fenêtre       ouverte,

Lors chacun, de       tracer,

Plans   sur   sa     comète.

S    É    J    O    U    R

 Même si vie, pas drôle,

Raison pour faire fête,

Une année … de plus,

Aura  rempli  sa tête,

Et si l’on ne riait pas,

L’on serait  des bêtes.

Réveillon … aux tisons

Grisons… à Chinaillon !

À dix autour d’une table,

Autour de bonnes cuissons,

A  U     S  K   I

Et qui enchanterons nos palais

Nous chantons,   R  et, pour de bon,

Nous souhaitons      É    une … longue vie

À tous, et, à chacun,      V       et,  à   l’unisson !  

Folle journée que la der    E       nière d’une année

Pas d’impair avant qu’elle    I        ne   soit terminée,

Jusqu’ici  pas  d’accident,        L        d’incident notoire

Je ne voudrais pas la finir         L           en séries noires !

Pour ma dernière journée         O           de ski de l’année,

Allez,  schuss : belle rouge        N             pour s’échauffer.

 Ça va très vite,  comment           *              faire  pour arrêter

Dans ces champs  de bos           À             ses, à tout casser !

Étrange, je tiens  encore            *             sur les skis au faite

Remonte  au tire-fesses            C             vers une belle crête

Où   casse-croute  vient           H           me refaire une santé

Contrebas, sur  le flanc           I            d’Aravis trois vallées.

Laquelle  choisir, pour          N          traverser   les   sapins,

Et bonjour  les trous,           A         bonjour plantage alpin

Ce jour, au moins, je          I         n’ai  pas  skié  pour  rien

Et l’année prochaine       L      je m’en souviendrai bien.

La veille de l’an, au     L      réveillon, r  éveillons-nous

Cette nuit à dix,    O    nous amusons  comme fous,

Car cinq filles  N  veulent délurer cinq garçons :

Déguisement, photo, souvenir pour maison.

.

Vin   blanc    coule      à flot,

Foie  gras,     reste  en  bouche,

Festin s’achève, pétards, cartouches,

Feux d’artifices éclatent, dans les vallées,

Tant et si bien, qu’impossible de se coucher.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Evocation

.

319 4

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Nous dirons une sorte de lampion

Très bien  dans  le thème : réveillon

Un lampion va bien avec un réveillon :

C’est une lumière qui réchauffe le cœur

Quelle que soit sa forme, sa luminosité,

Les deux décorent magiquement fond.

Un lampion,  ça rime parfaitement

 Avec fête, avec réveillon :

À minuit on éteint tout, ne garde

Que lui pour s’embrasser !

.

Symbolique 

.

Un lampion

Est un récipient de terre,

De fer blanc ou verre épais

Dans lequel  on met du suif,

Ou de l’huile avec une mèche,

Pour   faire  des  illuminations.

Quand  son  usage  est  décoratif

S’inscrit en tradition particulière,

Abat-jour souvent réalisé en papier,

Parfois creusé dans une légumineuse.

On trouve lampions de diverses formes,

Tailles, modes de construction sont variés.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

318 – Lever, coucher de soleil, montagne   

Alignement central  /  Titre oblique  /  Thème  ski

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : lumière

.

Fond

.

Évocation 

.

319 6

.

Un lampion,  ça rime parfaitement

 Avec fête, avec réveillon :

À minuit on éteint tout et ne garde

Que lui pour s’embrasser !

.

Symbolique    

.

Des fêtes romaines seraient à l’origine

Des festivités du réveillon, qui sont à l’origine

De la Saint-Sylvestre, donnant lieu à de grands festins

Qui permettait de faire en bonne compagnie le pont jusqu’au

Jour de l’an neuf, Jules César a fixé la fin d’année au 31 décembre.

 .

La tradition voulait que plus le repas sera long et les plats nombreux,

Et plus l’année nouvelle sera heureuse  et prospère  en plus des vœux.

 .

D’où  la tradition d’aligner les petits  et grands plats  et de festoyer,

Souvent entre amis mais parfois aussi avec de parfaits inconnus,

Afin de passer au mieux, le cap symbolique de nouvelle année,

En échangeant des vœux pendant les douze coups de minuit,

Puis de s’amuser longtemps jusque très tard dans la nuit.

consoglobe.com/saint-sylvestre-cg

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Réveillon, un mot qui réveille en nous,

Souvenirs et désirs de renouvellements

De finir l’année un peu comme des fous

Commencer une autre, tout autrement !

On appelle cela : des vœux de nouvel an

Mais, malgré tout, peu  seront exaucés ! 

.

Ce ne sont là que des Éclats d’existences,

Formant autant souvenirs de conscience

Que la roue tourne en bon, mauvais sens

Mais que l’on aurait tort  de s’en priver,

Sachant que la vie est de courte durée.

 .

.

Réveillon avec feu d’artifice

.

Scénario

.

Réveillon des plus traditionnels, un sapin en coin de la cheminée,

avec nombre de plats divers, variés, pour pouvoir tenir  la soirée,

sans compter flutes champagnes, bons vins, pour accompagner.

 .

Visuels et textuels  >>  

 

318 – Lever, coucher de soleil en montagne

Visuels et textuels  >>  

.

Hiver, disque du soleil

Pointe un nez embrumé,

Au-dessus, des  pics, cols,

De  ses  sommets, enneigés.

Il éclaire  la chaine d’Aravis,

En dispensant sa timide clarté

Peu à peu il impose sa lumière,

Ouatée, devenant crue, projetée.

.

Il trace le demi-cercle,

Non zénithal, diagonal,

Inonde le  fond  du salon,

Entrée, chambre à coucher.

Son rayon caresse vos joues,

Pour vous réveiller en douceur,

Il est temps de chausser ses skis,

Sur son versant, ensoleillé, royal.

.

Le voici il-lu-mi-nant

Et jusqu’au fond des vallées,

Vainqueur de tous nuages noirs.

C’est sans parler des épais brouillards.

Au point d’éblouir l’œil par réverbérations

Obligeant son regard à se plisser par des fentes,

Pour pouvoir percer blancs de neige les plus variés.

.

Contraste fort la froidure de l’air, en dessous de zéro,

Je me  déshabille, rhabille selon l’ombre,  l’exposition,

Midi, il s’est fixé sur la pointe  du Mont Blanc, là-haut,

Le versant nord est, déjà la victime de son inclinaison.

.

En milieu  d’après-midi, il joue avec les monts, les cols,

Il crée des ilots de lumière et, des forteresses d’ombres,

Plus l’heure passe, et plus son faisceau devient sombre,

Bientôt, il ne sera plus qu’une tache aplatie sur les sols.

.

Il s’éloigne en descendant vers l’ouest plein de mépris,

Derrière les collines, cachées, il fera déjà presque nuit,

Ce soir, du fond des vallées montent encore des lueurs

Avant qu’elles ne se transforment en ciels de couleurs.

.

Il n’y aura pas de rayon vert ni bleu, qui s’en détache,

En montagne le soleil ne s’enfonce pas dans des eaux

Autres que celles de sources mares, lacs…ruisseaux :

On ne le voit de la journée quand, frileux il se cache.

.

Ses jeux d’ombres et de lumières, lueurs et couleurs,

Je les garde intacts, dans mes yeux, tout en dévalant

La pente tantôt obsurcissante  et tantôt éblouissante

Sans les lunettes de protection de ce soleil flambeur.

.

Il se fait tard, les formes géantes

D’un mont étouffent paysage devant

Chalet marron : lumière éclaire le village.

Soleil se couche sur une nuit, d’hiver éternel.

.

.

Extensions

.

Il est tard,

Les formes géantes,

Ramassées, d’un mont,

Étouffent son paysage devant

De notre chalet couleur marron.

.

Des lumières éclairent les villages

Des sapins de Noel et des lampes

Le soleil se couche sur une belle

Nuit d’hiver, éternel.

.

En montagne, au ski,

Le soleil n’est pas toujours

Fidèle heures de rendez-vous

Et pas souvent aussi facétieux,

Il y a aussi la pluie, la neige,

La brume qui vous cache

La piste et paysage.

.

Le soleil ne se lève, ni ne se couche et, pour autant,

Est-ce un abus, une erreur ou une faute de langage,

Apparence tient lieu de réalité en sachant contraire,

C’est toute la beauté, et la poésie, de ces événements

Qui l’emporte sur la vraie réalité, et, pour cela aussi,

Soleil mérite bien de se lever, comme de se coucher,

Et l’on aura jamais fini de les admirer, de les aimer.

.

Le soleil s e lèvera  assez tard,

Se couchera tôt en montagne

Et non pas qu’il soit fainéant

Pas plus qu’il ne soit fatigué

Mais masqué par hauteurs,

Qu’il doit franchir le matin

Par lesquels, caché le soir.

.

Des journées assez courtes,

Où il faut se donner à fond,

Compensées  nuits longues,

Où la fête battra…son plein,

Parfois, jusqu’au petit matin

En somnambules infatigables,

Dont je ne suis, merci : de rien.

.

.

318 – Calligramme   

 .

Hiver, disque du soleil

Pointe un nez embrumé,

Au-dessus, des  pics, cols,

De  ses  sommets, enneigés.

Il éclaire  la chaine d’Aravis,

En dispensant sa timide clarté

Peu à peu il impose sa lumière,

Ouatée, devenant crue, projetée.

.

Il trace le demi-cercle,

Non zénithal, diagonal,

Inonde le  fond  du salon,

Entrée, chambre à coucher.

Son rayon caresse vos joues,

Pour vous réveiller en douceur,

Il est temps de chausser ses skis,

Sur son versant, ensoleillé, royal.

.

Le voici   L     il-lu-mi-nant

Et jusqu’au  E   fond des vallées,

Vainqueur de  V    tous nuages noirs.

C’est sans parler   E  des épais brouillards.

Au point d’éblouir   R  l’œil par réverbérations

Obligeant son regard   * à se plisser par des fentes,

Pour pouvoir percer bla  C ncs de neige les plus variés.

O

Contraste fort la froidure   U   de l’air en dessous de zéro,

Je me  déshabille, rhabille   C    selon l’ombre,  l’exposition,

Midi, il s’est fixé sur la poi   H   nte  du Mont Blanc, là-haut,

Le versant nord est, déjà      E   la victime de son inclinaison.

R

En milieu  d’après-midi, il    *     joue avec les monts, les cols,

Il crée des ilots de lumière    S    et, des forteresses d’ombres,

Plus l’heure passe, et plus     O  son faisceau devient sombre,

Bientôt, il ne sera plus qu’      L une tache aplatie sur les sols.

E

Il s’éloigne en descendant       I  vers l’ouest plein de mépris,

Derrière collines cachées,        L        il fera déjà presque nuit,

Ce soir, du fond des vallées     *    montent encore des lueurs

Avant qu’elles ne se transfor    E    ment en ciels de couleurs.

     N

Il n’y aura pas de rayon vert      *     ni bleu, qui s’en détache,

En montagne le soleil ne s’en   M      fonce pas dans des eaux

Autres que celles de sources      O      mares, lacs…ruisseaux :

On ne le voit de la journée          N  quand, frileux il se cache.

         T

Ses jeux d’ombres et de lumiè   A      res, lueurs et couleurs,

Je les garde intacts, dans mes    G      yeux, tout en dévalant

La pente tantôt obsurcissante    N     et tantôt éblouissante

Sans les lunettes de protection  E   de ce soleil flambeur.

.

Il se fait tard, les formes géantes

D’un mont étouffent paysage devant

Chalet marron : lumière éclaire le village.

Soleil se couche sur une nuit, d’hiver éternel.

.

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation  

.

318 4

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Pas facile d’y voir sa forme précise

Nous dirons une lampe tempête !

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

.

Symbolique

.

La lampe-tempête

Est à pétrole et transportable,

Dont la flamme est protégée du vent.

Il en existe deux modèles, et  améliorés,

Au cours du xxe siècle, à recyclage d’air,

Type ancien,  à recirculation d’air chaud,

Aujourd’hui l e »plus souvent abandonné,

Modèle actuel, à recirculation d’air froid

Et qui s’avèrera nettement plus efficace.

Les deux modèles seront à mèche plate,

Et avec un verre plus ou moins bombé.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

318 – Lever, coucher de soleil, montagne   

Alignement central  /  Titre oblique  /  Thème  ski

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

.

Évocation 

.

318 6

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

 .

 Symbolique 

 .

Les frontières demeurent très  indécises

Entre lumière symbole, lumière métaphore.

La lumière est mise en relation avec l’obscurité.

La lumière succède aux ténèbres. Si la lumière

Solaire meurt chaque soir, elle renaît chaque

Matin, assimilant  le destin de l’homme à

Sa pérennité et sa puissance.

.

Les psychologues, analystes

Ont observé qu’à l’ascension

Sont liées des images lumineuses,

Accompagnées d’un sentiment d’euphorie,

Tandis qu’à la descente, images sombres,

À davantage de sentiments de crainte.

 . 

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Entre le lever et le coucher du soleil,

La lampe-tempête ne vous sert à rien !

Même entre chien et loup, comme on dit,

La luminosité reste suffisante pour guider

Vos pas et vous faire profiter des couleurs

D’un soleil moribond qui se couche vite,

Et se lève, parfois tard, entre monts :

Il est déjà ou encore là, mais caché

L’on ne voit que son reflet flouté.

 .

.

Lever ou coucher de soleil ?

.

Scénario

.

Le lever de soleil est spectaculaire pas ses ombres, couleurs portées,

jusqu’à ce qu’il inonde, de lumière, vallée profonde, toute entière,

lorsqu’il se couchera, son reflet procurer une ambiance feutrée.

.

Visuels et textuels  >>  

317 – Notre beau chalet, sur le mont Aravis

Visuels et textuels >> 

.

Un chalet n’a rien à voir

Avec un bateau mis sur l’eau,

Un chalet se trouve, se construit,

A flanc de montagne ou de coteau.

.

Hiver il a toit de neige

En forme de chapeau

En montagne, perdu,

Sur un haut plateau !

.

Les bois blonds y abondent,

Beaucoup provenant d’un sapin

Qui perdant ses pommes et sève,

Est transformé en planche à pin.

.

Il a, en nom de baptême :

«Chalet traditionnel alpin»

À l’intérieur,  c’est chaud,

Et l’on s’y sent … très bien.

.

En salle commune avec son poêle,

Ou à l’ancienne, grande cheminée,

Chauffe avec rondins de bois fendu

Entassés extérieur pour alimenter.

.

Sa vue plongeante sur les combes

Et une vallée, de son pignon vitré,

Nous offre espace au soleil de midi

Brillant à même de nous émerveiller. 

.

On l’investit seul, en groupe, en famille…entre amis,

On l’aime bien au pied des pistes vierges… enneigées,

On  voit  le village, la ville, loin, en dessous, illuminés,

On se sent ailleurs, nulle part, à mille lieues, de Paris.

.

Loin des mille et un soucis  d’un  quotidien, stressant,

Ici, on goute la vie et montagne, ici, on prend le temps

D’être en phase avec soi-même, les autres, et la nature

Jusque milieu de nuit, clair de lune éclaire neige pure.

Le repas s’éternisant et le bon vin chaud, ragaillardant

Chacun y va de son couplet, de son refrain…déconnant.

.

Un chalet n’est pas un bateau mais on le trouve… beau,

Un chalet est comme un ilot, nous immergeant là-haut.

Parfois, pendant, après, une  tempête, très avalanchée :

On s’y retrouve, soudain, reclus, perdus, isolés, de tout,

Mais le bois, qui craque, flambe, fume  de la cheminée,

Est signe  qu’un refuge intérieur  nous rassure, en tout.

.

Dans certains, des animaux occupent  rez-de chaussée,

Moutons, veaux, vaches en hibernation, avec le berger,

Dans d’autres, une ferme auberge, a élu droit de servir,

Randonneurs, skieurs et visiteurs,  pour les rafraichir !

.

En  montagne illuminée

Par la présence de lumières,

On se sent tous bien, tous à l’abri

Des froideurs, et rigueurs de l’hiver.

.

.

Extensions

.

Que dire de plus

Sinon que tout contraste

Jouera, très  fort, ici,

Entre jour et nuit,

Entre chaleur et froideur,

Entre activité et repos,

Entre sortie et repas

Et facilite des rencontres

Aventureuses et qui

Fabriqueront des

Souvenirs impérissables.

.

Des chalets en montagne, il y en aura de toutes sortes

Des petits, des grands, des immenses même des barres.

Les plus authentiques en rajoutent question ambiances,

On se croirait au siècle dernier, s’il n’y avait l’électricité !

Cela dit, au moins tel dépaysement serait plus que total !

Les exotismes marins des iles  peuvent aller se rhabiller

Le feu dans la cheminée, le pin qui craque de partout,

Sans parler ambiance fantôme ours en la chambrée

Pour un peu on resterait siester toute la journée.

.

Chalet en bois doré et feu de cheminée

Table de monastère, chaise basculante

Des chambres avec des lits superposés

Ou grands, séparés avec peaux de bête

Je crois qu’on a fixé comme un cliché,

En réalité on y trouve l’IKEA mobilier.

.

La perte de charme due à la modernité,

N’a de gain que l’argent que vous verser

Vieux et pur chalet vous coutera un bras

Isolé en forêt et facile d’accès : les deux !

Mais le nôtre était très bien à mi-chemin

Entre traditions et commodités … super !

.

.

317 – Calligramme

.

Un chalet n’a rien à voir

Avec un bateau mis sur l’eau,

Un chalet se trouve, se construit,

A flanc de montagne ou de coteau.

UN BEAU

Hiver il a toit de neige

En forme de chapeau

En montagne, perdu,

Sur un haut plateau !

CHALET,

Les bois blonds y abondent,

Beaucoup provenant d’un sapin

Qui perdant ses pommes et sève,

Est transformé en planche à pin.

SUR LE

Il a, en nom de baptême :

«Chalet traditionnel alpin»

À l’intérieur,  c’est chaud,

Et l’on s’y sent … très bien.

MONT

En salle commune avec son poêle,

Ou à l’ancienne, grande cheminée,

Chauffe avec rondins de bois fendu

Entassés extérieur pour alimenter.

ARAVIS

Sa vue plongeante sur les combes

Et une vallée, de son pignon vitré,

Nous offre espace au soleil de midi

Brillant à même de nous émerveiller. 

.

On l’investit seul, en groupe, en famille…entre amis,

On l’aime bien au pied des pistes vierges… enneigées,

On  voit  le village, la ville, loin, en dessous, illuminés,

On se sent ailleurs, nulle part, à mille lieues, de Paris.

.

Loin des mille et un soucis  d’un  quotidien, stressant,

Ici, on goute la vie et montagne, ici, on prend le temps

D’être en phase avec soi-même, les autres, et la nature

Jusque milieu de nuit, clair de lune éclaire neige pure :

Le repas s’éternisant et le bon vin chaud, ragaillardant

Chacun y va de son couplet, de son refrain…déconnant.

.

Un chalet n’est pas un bateau mais on le trouve… beau,

Un chalet est comme un ilot, nous immergeant là-haut.

Parfois, pendant, après, une  tempête, très avalanchée :

On s’y retrouve, soudain, reclus, perdus, isolés, de tout,

Mais le bois, qui craque, flambe, fume  de la cheminée,

Est signe  qu’un refuge intérieur  nous rassure, en tout.

.

Dans certains, des animaux occupent  rez-de chaussée,

Moutons, veaux, vaches en hibernation, avec le berger,

Dans d’autres, une ferme auberge, a élu droit de servir,

Randonneurs, skieurs et visiteurs,  pour les rafraichir !

.

En  montagne illuminée

Par la présence de lumières,

On se sent tous bien, tous à l’abri

Des froideurs, et rigueurs de l’hiver.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

317 4

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Nous dirons une lampe tempête 

Qui éclaire de sa chaude lumière.

.

Lampe tempête garde sa lumière,

qu’il vente, qu’il pleuve  qu’il neige,

elle est symbole même du guidage,

tant sa forme inspire tant son fond.

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

 .

Symbolique 

.

La lampe-tempête

Est à pétrole et transportable,

Dont la flamme est protégée du vent.

Il en existe deux modèles, et  améliorés

Au cours du XXe siècle, à recyclage d’air,

Type ancien,  à recirculation d’air chaud,

Aujourd’hui l e »plus souvent abandonné,

Modèle actuel, à recirculation d’air froid

Et qui s’avèrera nettement plus efficace.

Les deux modèles seront à mèche plate,

Et avec un verre plus ou moins bombé.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

317 – Un beau chalet, sur le mont Aravis 

Alignement central  /  Titre absent  /  Thème  ski

Forme droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : lumière

 

.

Fond

.

Évocation 

.317 6

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

 .

Symbolique

 .

L’intensité de lumière

Est une grandeur qui exprime

La capacité à éclairer d’une

Source très ponctuelle de lumière

Dans une direction donnée.

Dans un environnement plus obscur,

La vision humaine ne distingue

Plus les couleurs, et la sensibilité

Spectrale relative se décale vers le bleu.

On parle de vision scotopique.

Entre les deux domaines de luminosité,

On parle de vision mésopique.

Wiki intensité lumineuse

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Rien à voir entre la lampe tempête et chalet

Encore que, il faut un temps, le seul éclairage

Possible  quand le vent  se mettait de la partie,

Pour marcher la nuit et bien que  clair de Lune.

.

En montagne si on ne voit pas bien, n’y voit rien

On pourra tomber dans un trou ou dans un ravin

La vue du moindre  chalet, ou  de refuge de berger,

Est, de suite rassurante et bienvenue, en protection.

.

Qu’ils soient rudimentaires spartiates ne gêne guère

On se contente de peu  quand on est en pleine galère.

Mais on en trouve aussi des cosys comme des cocons

Où l’on se sent confortable et à l’abri et pour de bon.

 .

.

Grand village de chalets

.

Scénario

.

Un chalet ancien, authentique, fait tout en bois et bien rouge,

et dont son intérieur reste plutôt cosy, chaud, et même douillet,

sans parler des lits type nordique comme pure invitation à rêver !

 .

Visuels et textuels >> 

316 – Notre descente en skis du mont Aravis

Visuels et textuels  >>  

.

Le ski

Est sport

Est un loisir

Est un marché

Descente  à  pied

Suppose   remontée

Mécanique tire-fesses

Ou en œufs  en cabines.

La descente est pratique,

Qui  ne s’improvise guère,

Ça glissera et ça tournera,

Du côté de la pente, raide

Ou  douce  selon  terrain.

Jambe  cassée, entorse,

Genou tordu sur bosse

Sont au rendez vous

Pour débutant

L’imprudent.

Le ski         |      simple

c’est facile      |     je te montre

hop je chausse     |    et skis je presse.

hop je mets gants   |    lunettes et bonnet

hop, au  télésiège    |   enserre  tire-fesses

hop, suis  en haut   |    pousse  et on y est,

me  voici  fin prêt    |   première  descente

attention à bosses   |    plaques  sur pente,

je  plonge,  je  vire   |    et  je  recommence

au-dessus    skieur   |   tout schuss,   pense

à m’éviter à droite    |   me fonçant  dessus

si tombe suis mort   |   frappé,  transpercé,

planchiste   affolée   |   dérape  à moi salut

émotions  intenses   |   descentes  répétées

la neige poudreuse   |     ici devient verglas,

le domaine  Aravis    |    grand, ne finit pas

la  rouge  me  tend    |    en kilomètre glisse

ne  m’arrêtera  pas    |    jusqu’en bas, hisse

temps n’a pas prise   |     bien que un degré,

au-dessous  de zéro   |    les plateaux  gelés,

y a plus  qu’espérer    |   que manteau blanc

en   neige  éternelle    |   fonde  Mont-Blanc

la marche  pataude    |   chaussures  plomb

les  skis   les bâtons   |   claquent sur béton

ma tête  est  encore   |  sous un grand soleil

dans une sensation   |   nulle autre pareille

va-t’en, dégage vite   |  de passage  danger

petit ou plus grand   |   droit, parabolique

tous savent glisser  |   tourner et freiner

même planche    |     guère flanche

et bosse          |       cabosse.

.

.

Extensions

.

On peut apprendre

À skier à tous les âges

En faire jusqu’au plus grand âge,

À condition de respecter les consignes

À la fois  de prudence, et de sécurité,

Et  de ne pas  chercher  à  dépasser

Son niveau et vitesse de croisière.

.

Il m’est arrivé  de perdre un ski,

Qui s’est enfoncé sous la neige

Lors d’un grand vol plané.

.

Il a fallu sonder la neige

Avec le bâton pour au bout

D’une demi-heure le retrouver

Plus en amont que je ne le croyais.

.

Un ski, cela  demeure  quand même

Plus grand qu’une paire de lunettes

Ou un gant et en plus, il était noir,

L’aurais-je retrouvé… si blanc !

.

De la pente, de la pente… encore et toujours de la pente.

Surtout ne pas oublier de tourner  et chasser, en rythme.

Le schuss, tout droit, n’est permis  qu’à certains endroits.

Hormis les compétitions, le chrono n’est pas de la partie :

Faire mieux que la dernière fois, après tout, pourquoi pas

Vite un caillou je glisse, mais le ski n’est pas sur roulettes

Si caillou pourra le faire dévier, pas empêcher de glisser

Dieu merci le ski est souple, il encaisse certains coups,

Sinon je ne vous dis que ça, gare à torsion du genou.

.

Je ne suis pas un champion de descente

Cela va sans dire… c’est un sujet glissant.

C’est pas naturel de se pencher en pente,

Je le fais sinon sur fesse ou dos tombant.

.

Prendre de la vitesse est, certes, grisant,

Mais trop, cela devient, vite, angoissant

Si on ne doit pas descendre vitesse lente

Il vaut mieux s’arrêter…  skis en attente !

.

Il m’est arrivé, des fois, dans le brouillard,

De descendre «tout schuss» sans savoir où.

Aveugle n’aura pas fait mieux d’éviter ravin,

Il y a seconde vue, chez skieurs inconscients !

.

.

Épilogue

.

Casse ta gueule en skis : merci  pour lui.

Non ce n’est pas mon nom, de personne

Mais cela peut arriver, à n’importe qui !

***

Moi le premier qui n’est qu’un amateur,

Mal équipé, mal habillé …  mal entrainé,

Sur plaque de neige  glacée, en hauteur !

***

Descente sur noire ne me ferait pas peur

Mais  c’est  certain : pas à cent à l’heure :

Je tiens trop  à rester  en vie, par ailleurs

Je suis accompagné  par famille, entière.

***

Voilà-t-il pas qu’un imprévu me déporte,

Après trois méchantes bosses … un trou :

Un de mes skis se fait la malle,  il percute

Un mont de neige poudreuse et disparait

***

Plat ventre, nez dans la neige, contrebas :

 Je me relève groggy, je me tâte de partout,

Rien de cassé mais … je n’ai plus qu’un ski

C’est grâce à la suite que je le retrouverai.

***

Car, un moment, j’ai cru qu’il avait glissé,

Jusqu’en bas … vous me voyez sur un seul,

L’air d’un homme, avec une jambe de bois,

Moralité, en ski, faites-vous accompagner !

.

.

316 – Calligramme  

 .

U N E

Le pur ski

Est  D  sport

Est un  E    loisir

Est un       S  marché

Descente      C      à pied

Suppose la     E   remontée

Mécanique     N     tire-fesses

Ou en œufs     T      en cabines.

La descente    E       est pratique,

Qui ne s’im      *      provise guère,

Ça glissera      E     et ça tournera,

Du côté de       N    la pente raide

Ou douce se      *      lon terrain.

Jambe cassée    S     entorses,

Genou tordu      K     bosses

Sont au rendez  I   -vous

Pour débu    S  tant

L’imprudent.

D  U     M  O  N  T

Le ski                       simple

c’est facile       |     je te montre

 hop je chausse     |     et skis je presse.

hop je mets gants   |    lunettes et bonnet

hop, au  télésiège    |   enserre  tire-fesses

hop, suis  en haut   |    pousse et on y est,

me  voici  fin prêt    |   première  descente

attention à bosses   |   plaques  sur pente,

je  plonge,  je  vire   |  et  je  recommence,

au-dessus    skieur   |   tout schuss,   pense

à m’éviter à droite   |   me fonçant  dessus

si tombe suis mort  |  frappé,  transpercé,

planchiste   affolée   |   dérape  à moi salut

émotions  intenses   |   descentes  répétées

la neige poudreuse   |    ici devient verglas,

le domaine  Aravis   |    grand, ne finit pas

la  rouge  me  tend   |    en kilomètre glisse

ne  m’arrêtera  pas   |    jusqu’en bas, hisse

temps n’a pas prise  |    bien que un degré,

au-dessous  de zéro  |    les plateaux  gelés,

 y a plus  qu’espérer   |    que manteau blanc

en    neige  éternelle  |    fonde  Mont-Blanc

la marche  pataude   |    chaussures  plomb

les  skis   les bâtons  |   claquent sur béton

 ma tête  est  encore  |  sous un grand soleil

dans une sensation   |   nulle autre pareille

va-t’en, dégage vite  |  de passage  danger

petit ou plus grand  |   droit, parabolique

tous savent glisser   |    tourner et freiner

même planche    |     guère flanche

et bosse                cabosse.

A   R   A   V   I    S  

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

316 4

.

Une paire de skis,

Avec un skieur dessus

Et en mode  de plongée

Vers le bas, tout schuss.

.

Ski chausse et s’accorde au skieur

encore qu’il y aura skis et skieurs :

un bon skieur avec de mauvais skis

fera mieux qu’inverse forme égal fond

.

Ce seraient-là, et, visiblement,

Des skis simples, pour débutants

On fait beaucoup mieux en gamme :

Faut savoir s’en servir comme skieur.

.

Symbolique 

 .

Adaptés aux natures enneigées,

Les skis  permettent  d’y évoluer

Avec aisance, vélocité  et plaisir !

.

La neige représentant les énergies

D’amours gelées : on peut  déduire

Que le  skieur  aura  été  confronté à

Cette difficulté relationnelle affective,

Dans l’enfance, ou une relation actuelle.

.

Ce peut être rejouance aussi, dans le couple.

Comme tous les accessoires qui vont par paire,

Le ski représente un comportement lié au couple.

.

Si le ressenti du déplacement en ski, reste agréable,

Le rêveur prendra du plaisir actuellement et avancera

Facilement, même dans un couple froid ; il sait s’adapter.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/Ski

.

Descriptif

.

316 – Une descente en skis du mont Aravis  

Alignement central  /  Titre serpente  /  Thème  ski

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : skis  /  Symbole de fond : alpins

.

.

Fond

.

Évocation 

.

316 6

.

Ce seraient-là, et, visiblement,

Des skis simples, pour débutants

On fait beaucoup mieux en gamme :

Faut savoir s’en servir comme skieur.

.

Symbolique 

 .

La descente est la discipline

La plus rapide et ses parcours

Sont les plus longs des épreuves

De ski alpin appelées des géants.

.

Descente combine maîtrise technique

Vitesse à l’état pur et un grand courage

Ski hors-piste : skier ou surfer hors-piste

Consiste à arpenter  pentes  non balisées,

Non surveillées et bien sûr non damées.

.

Cette pratique procurera davantage

De sensations que le ski sur piste,

Mais elle restera également

Des plus dangereuses.

skiset.com/lexique/

disciplines-ski-glisse

.

..

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une fois monté là-haut au sommet des pistes

Il n’y a d’autre solution que descendre à skis,

À pied ce sera une telle galère  et telle fatigue,

Qu’on aura plus jamais envie de recommencer,

.

Faut dire que dix minutes pour monter, et deux

Pour descendre, c’est cher payé, en temps perdu

Mais essayez donc de monter avec des skis fartés

Ça prendrait une heure…sinon deux, et voire plus.

 .

.
Piste pour longue descente

.

Scénario 

.

Notre arrivée dans télésiège jusqu’au col du mont Aravis,

prêts pour se jeter en pente afin de faire du hors-piste,

et une fois dans le bain, tout schuss en tournant.

 .

Visuels et textuels  >>  

315 – La balade avec raquettes en La Clusaz

Visuels et textuels  >>  

.

Raquette

N’est pas racket

Pratique, et pas cher,

Pour marcher toute neige

Facile chausser  déchausser

Indispensable, en forte  pente,

Et plus encore rapide, descente.

.

On peut aller partout hors-piste,

Des randonnées, y en a des listes,

Et on ne risque  pas de  se blesser,

En plus, on  aura temps  d’admirer

Des monts, paysages, tout  enneigé.

.

On aura tort de vouloir s’en priver

Et puis il y a chalets, restaurants,

Où on peut se reposer et manger

Avant entamer descente station

Rendre ses raquettes, garder

Au choix, si le plaisir y est.

Balade

Neige et soleil,

Marcher avec raquettes,

Six adultes montent tout là-haut

À La Clusaz, au plateau Beauregard,

Ce nom ne lui pas été donné par hasard,

.

Quand on le voit, et on y marche … c’est beau

Comme les traces de nos douze raquettes rondes,

Qu’on laisse, derrière soi, sont larges, non profondes,

Elles nous chatouillent les oreilles de leurs craquements

Quand on est bien équipé, l’on se sent, pleinement, vivant.

.

Chalet par ici, chalet par-là, une demi-douzaine disséminés

Sur ce plateau pour les alpages d’été  et ses fromages laitiers,

Reblochons, tartiflettes, que l’on mange le soir, jusqu’à satiété

Avec saucissons, avec  lardons, avec  vins  apremonts, du  pays.

.

Ce n’est pas encore ici qu’on va mourir de faim, je crois, merci.

Émerveillés,  nous finissons la pause-déjeuner, ce midi en  assis

À une table, à la terrasse d’un chalet, qui nous tendait  les bras !

Fini le repos : en route, belle troupe, et, attention aux faux pas !

.

Miracle … On dirait que c’est le Mont Blanc qui émerge là-bas !

Il se trouve à  environ quatorze lieues d’ici, enfin à vol d’oiseau.

Dieu qu’il est grand … Dieu qu’il est près… Dieu qu’il est beau.

Le jour viendra où l’on grimpera peut-être là-haut sur le dos.

.

La descente se fait par un long chemin, à travers les sapins.

Le paysage change à chaque dénivellation, chaque virage

Au bout d’un temps, rejoignons déchaussés, le village,

Fatigués, charmés, impatients de prendre un bain.

.

Fouler la neige est  un  des plaisirs  enfantins,

Qui même après bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé

De blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

.

.

Extensions

.

Au bout d’un temps,

Nous rejoignons, déchaussés,

Le village, assez fatigués, charmés,

Et très impatients de prendre un bain.

Fouler la neige est un des plaisirs enfantin,

Qui même  après  bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé par

Blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

Sans commentaire

Sauf à en tomber

De ses raquettes !

Dans  des  endroits

Avec un mètre de neige

On ne pourrait s’en passer.

.

Il y a eu un temps où il y avait peu différence

Entre raquette de tennis, et raquette à neige !

Qui s’imagine randonner sur raquette tennis :

Aujourd’hui et bien pire encore pour  l’inverse.

S’enfoncer jusqu’au genou  dans la neige molle,

C’est drôle, enfantin, mais, au bout d’un temps,

Ça lasse, ça fatigue beaucoup, et cela, pour rien,

Tant la petite surface, avec trous sous ses pieds,

Vous maintient au-dessus du manteau neigeux.

.

Des raquettes, mais enfin c’est pour les vieux

Ça n’a rien de sportif, c’est en canard pataud,

Attendez donc d’en faire en neige poudreuse !

.

De toute façon vous n’aurez guère autre choix,

J’ai tenté de faire cent mètres, flanc de colline :

L’effort pour soulever une jambe est trop grand.

.

Tandis qu’avec des raquettes les doigts dans le nez

Disons, pas de pieds s’enfonçant jusqu’aux cuisses.

Enfin quand même, les dix kilomètres… ça fatigue !

.

.

315 – Calligramme  

Raquette

N’est pas  B  racket

Pratique, et  A  pas cher,

Pour marcher  L  toute neige

Facile chausser   A     déchausser

Indispensable, en D     forte  pente,

Et plus encore rap E    ide, descente.

On peut aller par      *   tout hors-piste,

Des randonnées,       R   y en a des listes,

Et on ne risque pas   A        de  se blesser,

En plus, on  aura      Q  temps  d’admirer

Des monts, paysa     U    ges, tout enneigé

On aura tort de       E  vouloir s’en priver

Et puis il y a cha    T    lets, restaurants,

Où on peut se re  T   poser et manger

Avant entamer  E  descente station

Rendre ses ra  S  quettes, garder

Au choix, si le plaisir y est.

Balade

Neige et soleil,

Marcher avec raquettes,

Six adultes montent tout là-haut

À La Clusaz, au plateau Beauregard,

Ce nom ne lui pas été donné par hasard,

Quand on le voit, et on y marche … C’est beau

Comme les traces de nos douze raquettes rondes,

Qu’on laisse, derrière soi, sont larges, non profondes,

Elles nous chatouillent les oreilles de leurs craquements

Quand on est bien équipé, l’on se sent, pleinement, vivant.

Chalet par ici, chalet par-là, une demi-douzaine disséminés

Sur ce plateau pour les alpages d’été  et ses fromages laitiers,

Reblochons, tartiflettes, que l’on mange le soir, jusqu’à satiété

Avec saucissons, avec  lardons, avec  vins  apremonts, du  pays,

Ce n’est pas encore ici qu’on va mourir de faim, je crois, merci.

Émerveillés,  nous finissons la pause-déjeuner, ce midi en  assis

À une table, à la terrasse d’un chalet, qui nous tendait  les bras !

Fini le repos : en route, belle troupe, et, attention aux faux pas !

Miracle … On dirait que c’est le Mont Blanc qui émerge là-bas !

Il se trouve à  environ quatorze lieues d’ici, enfin à vol d’oiseau.

Dieu qu’il est grand … Dieu qu’il est près… Dieu qu’il est beau.

Le jour viendra où l’on grimpera peut-être là-haut sur le dos.

La descente se fait par un long chemin, à travers les sapins.

Le paysage change à chaque dénivellation, chaque virage

Au bout d’un temps, rejoignons déchaussés, le village,

Fatigués, charmés, impatients de prendre un bain.

Fouler la neige est  un  des plaisirs  enfantins,

Qui même après bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé

De blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

315 4

.

Une poêle à frire ou flacon,

Deux formes  de raquettes,

À neige, une ancienne, en haut

Actuelle, en bas, à randonner.

.

Raquettes vous évitent de vous

Enfoncer, dans  la  neige, épaisse,

On pourra randonner partout avec

Mais attention … aux fortes pentes !

.

Symbolique 

.

Pratiquer

La raquette à neige

Dans les plus beaux décors

Hivernaux procure un bien-être

Immense  pour le corps et l’esprit.

.

Sa simplicité en fait le sport d’hiver

Le plus facile parmi tous les autres

Dès lors, si vous pouvez marcher,

Vous pouvez « raquetter ».

.

De toutes inventions pour se mouvoir dans la neige,

Aucune autre n’est à la fois aussi simple et efficace.

C’est probablement pourquoi il a fallu attendre

8 000 ans avant que s’opère une révolution

Technologique considérable : la venue,

Dans les années 1980, de raquettes

En aluminium et en composites

Munies de crampons.

gvsnowshoes.com/fr/

histoire-de-la-raquette

.

Descriptif

.

315 – Une balade en raquettes à La Clusaz  

Alignement central   /  Titre courbe   /   Thème  ski

Forme en ovale / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : raquettes  /  Symbole de fond : rando

.

.

Fond

.

Évocation 

.

315 6

.

Raquettes vous évitent de vous

Enfoncer, dans  la  neige, épaisse,

On pourra randonner partout avec

Mais attention … aux fortes … pentes !

.

Symbolique 

.

Station

En plein hiver

Bien des amoureux

De nature et randonnée

Aiment partir à la conquête

Des petits sommets enneigés,

Loin des remontées mécaniques

Et skieurs qui dévalent les pentes,

Lors d’autres feront du ski de rando.

.

Les marcheurs,  quant à eux, opteront

Pour la randonnée avec des raquettes

Vous offrant large surface sous les pieds

Afin de votre poids sur la neige et ainsi

Vous évitez de s’enfoncer à chaque pas

En épaisses couches   de  neige molle.

Modifié, source : auvieuxcampeur.fr/

guide-de-choix-raquettes-neige

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il n’y a de lien commun entre raquettes

De neige et de tennis que : mains et pieds

Et je ne me verrais, point, jouer au tennis,

Avec une raquette de neige, et inversement.

.

Cela dit, il paraitrait difficile  de s’en passer,

Pour plaine de neige   d’un mètre de hauteur,

Sans compter descendre et monter assez à pic

Mais pour bien courir avec,  c’est un vrai défi !

 .

.

Le village de La Clusaz !

.

Scénario

.

Une paire de raquettes modernes, avec ses deux fins bâtons, carbone,

avec la manière de les chausser facile et les tenir, pour toute flexion,

avant d’entamer une très longue randonnée sans le moindre souci.

 .

Visuels et textuels  >>  

314 – Arrivée en voiture au Grand Bornand

Visuels et textuels >>  

.

On dit : meilleur moment

Des vacances, c’est la veille

Et, le second, le jour même,

Tant c’est d’abord en sa tête

Que l’on se fait  son cinéma,

Tant  l’on attend  un retour,

À hauteur  de ses dépenses,

Un temps  ensoleillé  prévu,

Pour durer  bonne semaine

Avec la neige,  de la fraiche,

Bien poudreuse, bien saine !

.

Faisons route d’Annecy montant fort lacet

Vers les stations, les pistes de ski et sommets

Saint Jean de Sixt, La Clusaz,  Grand Bornand

Arrivons aux portes d’un Chinaillon…tout blanc.

Déchargeons bagages, investissons l’appartement.

.

En façade sud, manteau neigeux, lumineux devant,

Au couple, sa chambre, lits superposés, pour enfants,

Que déjà, dans nos têtes des descentes, à fond, skiant.

.

Certains, pressés  d’en découdre, dès le premier matin,

Autres préfèrent s’acclimater d’abord au paysage alpin,

On glisse, en skis, tout schuss et, juste après la dameuse,

On marche avec des raquettes dans une neige poudreuse.

.

Tant, le soleil et la neige, se sont donnés, ici, rendez-vous,

Et Chinaillon grouille, de par tout, de fourmis, et de fous,

Sur des pistes bleues ou rouges, et, parfois, même noires,

Attention à l’accident casse-gueule, en skis, très notoire.

.

Le temps s’étire lors il s’écoule, comme dans des bulles,

Les bus circulent, cloches des vaches  tintinnabulent :

Toutes ces blancheurs, éblouissantes  et  immaculées

De neige lavent,  reposent nos cerveaux, embrumés.

Quand vient déjà le soir : fatigués froissés, affamés,

Tout le monde, à table, frémit se jette sur son diner,

Riant, s’amusant, le vin aidant pire que des enfants

Ou pur sortilège des neiges, rêve à pic en dormant.

.

Tout comme l’océan,

Neige est dépaysement,

Elle amuse, et elle réjouit,

Autant les petits que grands.

.

Quand les petits s’en donnent

À cœur joie, à fond la descente,

Les grands les encouragent

Pour leurs exploits.

.

Sommes  en bonne

Conditions  de   ski :

Enfants, jusque la fin

De toute  après-midi !

.

.

Extensions

.

Ski et fête vont de pair,

Tout comme neige et tartiflette,

Ou comme poudreuse et raquettes.

À chacun son rythme et son plaisir :

Il y a une vie,  en pleine journée, et

Une autre  qui commence le soir,

Lors jusque minuit bien frappé,

On tient rythme, une semaine,

Sans se casser ni s’enrhumer.

.

Ski, trois lettres pour désigner toute glisse

Sur la neige, sur l’eau aussi, et  voire l’herbe,

Question d’angles, vers le bas, et  de postures,

Parallélismes, stopper  net, freiner  sur carres,

Sinon ,accident en chute, si l’on y prend gare !

C’est tout un équipement  et  un habillement

Sans compter les remontées et les tire-fesses,

Et comme supplément, beaucoup d’adresse.

.

Le Grand-Bornand est en Haute-Savoie,

Région  Auvergne-Rhône-Alpes, à 1300 m,

Entre massif des Bornes, chaîne des Aravis.

.

Un millier de kilomètres le sépare de Lannion

Bien douze heures de routes, pour l’atteindre :

Si tout va bien, conditions circulation, météo !

.

Faut vouloir skier pour le faire, mais Dieu merci

C’est aussi pour rencontrer deux couples d’amis :

Nous serons une dizaine au réveillon jour de l’an !

.

.

314 – Calligramme  

 .

On dit : meilleur moment…………….

Des vacances, c’est la veille………..

Et, le second, le jour même…….

Tant c’est d’abord en sa tête…

Que l’on se fait son cinéma…

Tant l’on attend  un retour,

À hauteur de ses dépenses,

Un temps ensoleillé prévu,

Pour durer bonne semaine

Avec la neige, de la fraiche,

Bien poudreuse, bien saine !

A     …………………..

Nous faisons route|   R  ­ d’Annecy montant fort lacet

Vers les stations,  |      R  | les pistes de ski et sommets

Saint Jean de Sixt,    |   I   |    La Clusaz, Grand Bornand

Arrivons aux portes     |   V  |  d’un Chinaillon…tout blanc.

Déchargeons bagages,   |    E   |   investissons l’appartement.

En façade sud, manteau    |  E   |    neigeux, lumineux devant,

Au couple, sa chambre,    |    *  |   lits superposés, pour enfants,

Que déjà dans nos têtes   |     S    |    des descentes, à fond, skiant.

Certains, pressés     |     K    |      d’en découdre, dès premier matin,

Autres préfèrent    |    I   |     s’acclimater d’abord au paysage alpin,

On glisse en skis     |     *   |    tout schuss et, juste après la dameuse,

On marche avec des     |   G   |   raquettes dans une neige poudreuse.

Car le soleil et la neige se     |   R    |      sont donnés, ici, rendez-vous,

Et Chinaillon grouille, de par    |  A  |      tout, de fourmis, et de fous,

Sur des pistes bleues ou rouges,      |  N  |      et parfois même noires,

Attention à l’accident casse-gueule,     |  D  |     en skis, très  notoire.

Le temps s’étire lors il s’écoule, comme    |  *    |     dans des bulles,

Les bus circulent, cloches des vaches     |  B  |       tintinnabulent :

Toutes ces blancheurs, éblouissantes    |  O  |        et immaculées

De neige lavent,  reposent nos cer-    |   R   |  veaux embrumés.

Quand vient déjà le soir : fatigués   |  N  |    froissés, affamés,

Tout le monde, à table, frémit |  A   | se jette sur son diner,

Riant, s’amusant, le vin aidant|  N  |pire que des enfants,

Ou pur sortilège des neiges|   D |rêve à pic en dormant.

Tout comme l’océan,

Neige est dépaysement,

Elle amuse, et elle réjouit,

Autant les petits que grands.

Quand les petits s’en donnent

À cœur joie, à fond la descente,

Les grands les encouragent

Pour leurs exploits.

Sommes  en bonne

Conditions  de  ski :

Enfants, jusque la fin

De toute  après-midi !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

314 4

.

Une lampe de chevet abat-jour

Un tourniquet… pour des jeux

Un skieur en pleine descente  

Avec les risques d’accidents

.

Une station d’hiver en haute montagne

Évoque toujours skieurs.

Facile et ludique a priori, mais faut pas

Avoir d’accident avec eux !

 .

Symbolique 

 .

Dans l’alpinisme,

L’essentiel est ascension,

Dans le ski, c’est, la descente.

.

Le  motif  dominant  de  l’alpinisme

Est la conquête, une fois la cime atteinte,

Au-delà de laquelle on ne peut pas aller

Plus haut, prend fin, pour l’alpiniste,

Pour celui qui escalade des rochers

Ou des parois de glace, la phase

Est   vraiment    intéressante.

.

Mais, dans    le    cas   du   ski,

C’est le contraire qui se vérifie,

Si l’on monte, ce sera, avant tout,

Pour descendre, au plus vite, ensuite.

la-dissidence.org/julius-evola-psychanalyse-du-ski

.

.

Descriptif

.

314 – Arrivée en auto, ski, Grand Bornand  

Alignement central  /  Titre serpente  /   Thème  ski

Forme en rond / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : skieurs  /  Symbole de fond : accident

.

.

Fond

.

Évocation 

.

314 6

Changer l’image ici

.

Une station d’hiver en haute montagne

Évoque toujours skieurs.

Facile et ludique a priori, mais faut pas

Avoir d’accident avec eux !

Symbolique

 

Un accident

Est un évènement

Non prévu qui entraîne

Des dommages à soi-même,

Aux personnes, aux biens,

À l’environnement, etc.

.

Il est aussi causé par de la négligence

Ou de l’irresponsabilité consciente ou inconsciente.

Pour comprendre la signification symbolique de l’accident,

Il faut savoir que nous créons situation que nous vivons,

Et ce, même si nous ne sommes pas responsables

Aux yeux de la loi terrestre.

ucm.center/fr/symbole-accident

.

.

Corrélations

Fond/forme 

Des piquets, si ce n’est des  filets, délimitent

Chacune des pistes, pour ne pas s’aventurer

Sur pentes plus que glissantes, dangereuses,

.

Sauf à choisir de faire carrément hors-piste

À ses risques et périls, craintes d’accidents !

Mais le plaisir  n’est pas que dans la glisse,

Il est autant  en admiration du panorama,

.

Le soir, dans les cafés, dancings, cinémas :

Dépaysement est tel qu’une seule semaine,

Suffit à se ressourcer, à oublier ses peines,

Fatigue physique repose fatigue nerveuse

Ne penser à rien rend skieuse… heureuse.

.

Village de montagne s’il en est !

.

Scénario

.

Un village construit en chalets et tout au long de la vallée,

avec des champs de neige en pentes et  perte de vue,

des téléskis pour y grimper, le plus haut possible.

.

Visuels et textuels >>  

313 – En ballon, au-dessus de l’air, l’on peut voir

Visuels et textuels  >> 

.

En ballon

On ne manque

Pas d’air chaud !

C’est sûr et c’est ce

Qui fait l’aspiration,

Vers haut vers le ciel

Mais il faut être gonflé

Pour y aller beau temps,

Faut savoir par avance si

Là-haut vent non turbulent

Paysage assez      loin dégagé

Pour pouvoir en profiter.

Sinon   la nacelle,

Instable vous

En-ver-ra

Promener,

Jusqu’à tomber

Au sol, patatras,

Des plus abîmés.

.

En ballon, au-dessus des airs

On peut voir  les détails de Terre,

Sans bruit sans stress, ni se presser

Comme un oiseau plane pour admirer.

.

 D’en haut, le paysage est panoramique,

Où le regard embrasse aire fantastique

Des champs, forêts et villes  et rivières

Constituant le manteau de  la Terre.

.

Plus loin la mer, plus loin le désert :

Un nuage passe  et voile  la Terre,

Je crains instant vent contraire,

Ne plus rien voir sauf  misère.

.

Gonflé à bloc remonte haut,

Air frais saisit le dos,

Si je continue,

Idée venue

Nacelle

Parvenue

En stratosphère,

Manquerai d’air,

Pas de mystère !

.


.

Extensions

.

 « Premiers ballons à air chaud,

Sans pilote, sont très populaires dans

L’histoire  chinoise …   (dès 220-280 AD).

Elles étaient utilisées  en lanternes aéroportées

Pour la signalisation militaire (lanternes célestes).

Il faut attendre le premier vol habité enregistré,

Un ballon à air chaud des  frères Montgolfier

Le 21 novembre 1783. Le vol, à Paris, 

Atteint hauteur de 150 mètres. »

Source : Ballon Wikipédia.

.

Comme ça vous

Savez tout ou presque.

De nos jours on peut effectuer

Des parcours en aéronef mais il faut un brevet pour les piloter

Soumis aux caprices du vent, comme parachutes et planeurs ;

Planeur, au sens figuré, vous le deviendrez  quand vous serez

Statique à une hauteur de quelques centaines de mètres,

En admirant un paysage grandiose à perte d’horizon.

Ce n’est ni un avion qui se déplace rapidement

Ni un parachute qui tombe rapidement :

Vous avez tout le temps devant vous.

.

Une montgolfière rudimentaire est soumise au gré du vent

Elle peut parfois dériver, dans des directions, non souhaitées,

Percuter des obstacles et atterrir en des endroits non protégés,

Bref, c’est l’aventure vécue au premier degré, à l’état, à l’air pur.

Son vol a aussi son charme, son enchantement, par beau temps

Nul ne peut bouder le plaisir d’être contemplatif, en sa nacelle.

Plus d’un consacre gros moyens, fore énergie, pour en faire !

N’allez pas dire après que c’est stupide à l’aire des avions

Ce n’est jamais qu’un gros parachute ascensionnel

Qui comme son nom l’indique, monte au ciel.

.

Un voyage en ballon demeure inoubliable :

Moi qui ai fait du parachute, c’est l’inverse

En parachute, et comme son nom l’indique

On tombe, en vitesse, et on déploie son aile,

En ballon, on le gonfle pour monter au ciel.

.

L’un n’empêchera ni ne surpassera l’autre,

Ils sont différents, ou sont moins courants.

Lorsque le ciel se chargera de cent ballons,

On aura l’impression du voyage sans nom ;

On aura la sensation d’un retour sans fond.

.

.

Épilogue

 .

En    ballon,

En  montgolfière,

En nacelle… montons,

Nous pouvons faire le fier

Nous sommes   dans les airs,

Sans bruits, dans l’atmosphère.

.

L’on dit comme un grand chapeau,

Pour ne pas dire un petit chapiteau,

À défaut du ciel on dominera la terre,

Le vent nous porte en la direction vers

Où l’on veut aller, atterrir et  à l’heure,

Quelle joie, quel moment de bonheur !

.

Comment, dès lors, en montgolfière,

Ne pas s’émerveiller d’un panorama

À trois cent soixante degrés, offert

Et dont longtemps se souviendra

Tant tous les sens sont sollicités

Pour capter leurs instantanés.

.

J’en            rêve

Enc             ore,

Des             flux

D’air           hors

.

De cette sublime nacelle,

Où mes yeux  étincellent,

De milliers de sensations

De ma folle imagination.

.

.

313 – Calligramme

 .

En ballon

On ne manque

Pas  d’air  chaud !

C’est sûr   §     et c’est ce

Qui fait l’  §        §    aspiration,

Vers haut   §                §     vers le ciel

Mais il faut §                      §      être gonflé

Pour y aller   §                    §     beau temps,

Faut savoir   §                §   par avance si

Là-haut vent   §     §   non turbulent

Paysage assez      loin dégagé

Pour pouvoir en profiter.

Sinon   la nacelle,

Instable vous

En-ver-ra

Promener,

Jusqu’à tomber

Au sol, patatras,

Des plus abîmés.

.

******************

*********************

.

En ballon,  B   au-dessus  S  des airs

On peut voir A      les détails   U    de Terre,

Sans bruit    L      sans stress, ni  S   se presser

Comme un    L     oiseau plane pour  *     admirer.

 O                                      D

D’en haut,     N          paysage est pa      E   noramique

Où regard      ¤           embrasse aire        S   fantastique

Des champs   A            forêts et villes       *      et rivières

Constituant   U             le manteau         *       de Terre.

.

Plus loin la   D        mer, plus loin      A    le désert :

Un nuage     E        passe et voile     I      la Terre,

Je crains     S     instant vent   R   contraire,

Ne plus     *    rien voir    S     misère.

.

Gonflé à bloc remonte haut,

Air frais saisit le dos,

Si je continue,

Idée venue

Nacelle

Parvenue

En stratosphère,

Manquerai d’air,

Pas de mystère !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

313 4

.

Formes de Montgolfières,

Vues   comme   superposés,

Comme émerveillements

Successifs ou alternés.

.

Pas besoin d’un grand dessin pour

voir que forme épouse fond de l’air

et s’en nourrit comme  champignon

Icelle, en bas, en sa petite nacelle !

.

La Montgolfière a été inventée

 Pour prendre  le  dessus  sur l’air :

Plus on prend de hauteur, on aura

Un point de vue d’émerveillement.

.

Symboliques 

 .

La montgolfière

Représente  moyen transport,

D’évolution, qui est soumis au vent

Qui représente nos pensées, l’agitation mentale,

Le doute, pouvant tourner à n’importe quel moment

Difficile de se fier à cette énergie : elle représente

L’évolution, élévation que nous ne maitrisons

Nous sommes portés  par les évènements,

Surtout par les autres, ce sont proches

Qui nous donnent des conseils,

On avance, on recule,

On change d’avis,

On est soumis

Aux doutes et

Aux hésitations.

Source : psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/montgolfiere

.

Descriptif

.

313 – En ballon, au-dessus des airs !

Alignement central / Titre cercle / Thème  transport

Forme en rond      /     Rimes égales    /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : montgolfière / Symbole de fond : émerveillement

.

Fond

.

Évocation 

.

313 6

.

La Montgolfière a été inventée

 Pour prendre le dessus sur l’air :

Plus on prend de hauteur, on aura

Un point de vue d’émerveillement.

 

Symbolique

 .

On comprend que l’interprétation symbolique

Est un rapport au monde qui permet à l’homme

De donner sens à tout élément de l’environnement.

Chacun  entretient un rapport  inquiet  et  curieux

À l’environnement naturel, mer, terre et aérien.

De trouver des interprétations rationnelles à

Cet apparent chaos est leur continuel souci.

.

Ils n’ont de cesse de classer observations

Et d’inventer des systèmes cohérents

Qui leur permettent de s’émerveiller

Dans cet univers, en position centrale,

Et d’élaborer des représentations de nature

Différentes selon point de vue où ils se placent.

afc.asso.fr/accueil-aicr2014/1087-

les-larmes-du-ciel-emerveillement-et-symboles

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le ballon est l’équivalent du voilier

Sauf qu’ici, on sera en air et hauteur

Mais il y a une voile, il y a un moteur

On avance, lentement, au gré du vent,

Ce qui laisse le temps pour contempler

Merveilles des paysages sous ses pieds

Qui sont, parfois, au nombre de mille

300 mètres de haut, à 360 degrés !

.

.

Panorama des plus époustouflants

.

Scénario

.

En ballon rouge et bleu dans un ciel tout bleu.

En ballon blanc et vert, on dirait presque un spi.

En ballon jaune et vert, rond comme une toupie.

 .

Visuels et textuels  >>

312 – Voyage, lutte contre éléments naturels

Visuels et textuels >>  

.

De lutter contre

Éléments  naturels :

Vent,  mer,  terre  et  feu,

Est toujours un jeu perpétuel.

Fut déjà le combat ardent, inégal

De nos aïeux, pour un sort infernal.

.

Mais, aujourd’hui … nous disposons

De toutes sortes d’esquifs, machines

Autres que celles avant construites,

Celles que  l’on conçoit, imagine,

Afin d’affronter et de dompter,

Toutes diversités d’éléments,

En devenant… électrisées

Voire télécommandées.

.

D’un frêle esquif primitif creusé en bois gélif :

Avons fait sous-marin ; de char tiré par chevaux,

Des automobiles, avec grand choix de puissances.

.

Mais  alors  que dire, dans l’air, d’un aéronef,

Décollant et volant  et atterrissant, en bref :

Aucun élément  ne nous est plus étranger,

Lors le feu atomique, est à notre portée.

.

Prendre la mer, reste un risque calculé,

Si l’on a bateau, solide, et bien équipé,

Et un équipage qui sait bien naviguer,

Précaution d’usage, étant à respecter.

.

Accident, chutes, blessures, noyades,

Y en a toujours eu, encore, y en aura,

Question des destins ou hasards qui a

Fait que morts arrivent, par myriades.

.

Le fait de voyager de naviguer, explorer

Ne cessera  amais car c’est notre liberté

De nous déplacer vers tous lieux, désirés,

Pour avec ou contre éléments, composer.

.

Et il y a certains qui auront réussi à faire

Plusieurs fois  le tour de la Planète Terre,

Et sans que rien de fâcheux ne soit  arrivé

Lors chez eux en traversant  route : blessé.

.

Qui veut  voyager loin, ménage sa monture,

Dit  un  proverbe : soi, son âne, ou  les deux !

Qu’importe, lors on revient,  l’on est chanceux

De pouvoir raconter péripéties qu’on a endurées.

.

.

Extensions

.

Lutte contre éléments contraires

Lors d’un voyage ou d’une exploration

Est un thème récurrent de la littérature,

Et du cinéma : d’affronter l’inconnu, serait

Se mettre à nu, et non pas tant de corps  que

De tempérament, d’acharnement à poursuivre

Jusqu’à la limite de ses forces  ou de ses idées.

N’importe qui pourra faire le tour de la Terre

En quarante-huit heures avec escale ici et là

Il y a un millénaire, cela prenait une vie ou

Presque si ça ne vous prenait pas sa vie.

.

Tous les moyens sont bons pour se déplacer, ou faire un voyage.

Les uns sont simples, élémentaires ou rustiques ou rudimentaires,

D’autres sont plus complexes, sécurisés, ou dangereux, au contraire.

Partir en : vélo, moto, auto, auto, bateau, ne sera pas prendre l’avion,

Où l’on est juste un colis, à transporter  et prisonnier d’une carlingue.

L’eau, l’air, la chaleur, le froid, seront des éléments naturels, à lutter,

Quand ce n’est pas la terre ou rochers en montagne, lors d’escalade.

N’oubliez pas qu’en forêt vierge ou primaire, faut se frayer chemin

Là où il n’y en a plus ainsi que dans la neige en haut des glaciers.

.

Vivre une aventure, prenant des risques

Et la vivre en un cocon en toute sécurité

N’a ni la même forme, ni le même fond,

Ce qui marque première : l’engagement

Manque à seconde : le plein d’émotions.

.

N’allez pas croire que tout globe-trotter,

Est un inconscient,   un trompe-la mort :

Si tout n’est ni calculé, tout n’est anticipé

Il a cette faculté de rapidement s’adapter,

Et avec l’expérience, de bien passer à côté.

.

.

312 – Calligramme

.

De lutter contre

Éléments  naturels :

Vent,  mer,  terre  et  feu,

Est toujours un jeu perpétuel.

Fut déjà le combat ardent, inégal

De nos aïeux, pour un sort infernal.

Mais, aujourd’hui … nous disposons

De toutes sortes d’esquifs, machines

Autres que celles avant construites,

Celles que  l’on conçoit, imagine,

Afin d’affronter et de dompter,

Toutes diversités d’éléments,

En devenant… électrisées

Voire télécommandées.

.

D’un frêle esquif primitif creusé en bois gélif :

Avons fait sous-marin ; de char tiré par chevaux,

Des automobiles, avec grand choix de puissances.

.

Mais alors  que dire, dans l’air, d’un aéronef,

Décollant et volant et atterrissant, en bref :

Aucun élément  ne nous est plus étranger,

Lors le feu atomique, est à notre portée.

.

Prendre la mer, reste un risque calculé,

Si l’on a bateau, solide, et bien équipé,

Et un équipage qui sait bien naviguer,

Précaution d’usage, étant à respecter.

.

Accident, chutes, blessures,  noyades,

Y en a toujours eu, encore, y en aura,

Question des destins ou hasards, qui a

Fait que morts arrivent, par myriades.

.

Fait de voyager V       C naviguer, explorer

Ne cesse jamais  O       O   c’est notre liberté

De nous déplacer Y      N    vers lieux désirés,

Avec ou contre     A       T  éléments, composer.

G       R ……

Et il y a certains   E        E     qui ont réussi à faire

Plusieurs fois le    :          * tour de la Planète Terre,

Et sans que rien  L           É de fâcheux ne soit  arrivé

Lors chez eux en   U           L  traversant  route : blessé.

Qui veut  voyager    T           É    loin, ménage sa monture,

 Dit  un  proverbe :   T           M     soi, son âne ou les deux !

 Qu’importe, quand    E           E      on revient… est chanceux

De pouvoir raconter    *          N  péripéties que l’on endure.

*        T ……

N   A   T  U  R  E  L 

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

312 4

.

Une silhouette d’homme

Qui marche   ou  qui court

Pendant  un bref voyage, 

Emportant valise avec soi.

.

Un voyage, avec,  ou sans valise,

est  toujours possible en sac à dos,

voire sans, à pied, courte distance,

si bien que forme épousera le fond.

.

Tout voyage comporte nombre de risques

Que l’on veut minimes :

Parfois, l’on est bloqué, parfois, détourné,

Attaqué pour sa valise. 

.

Symbolique 

 .

Le voyage, symbole

D’évasion et changement

Depuis toujours, a fait rêver

De nombreuses personnes.

En voyage, nous faisons

Face à un réel processus

De dépaysement,

De changement,

Nous assistons à

Des paysages différents,

Des  coutumes, étrangères

Mais, parfois, ces  coutumes

Différentes des nôtres peuvent

Ne pas s’avérer si paradisiaque.

Source : etudier.com/dissertations/

Le-Voyage-Est-Il-Symbole-d’Évasion

.

Descriptif

.

312 – Voyage : lutte contre éléments naturels  

Alignement central / Titre absent / Thème  transport

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : voyage   /  Symbole de fond : valise

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Tout voyage comporte nombre de risques

Que l’on veut minimes :

Parfois, l’on est bloqué, parfois, détourné,

Valise de rêves et problèmes. 

.

Symbolique 

.

La valise symbolise

Bien le poids du passé,

Des habitudes psychiques,

Des souvenirs enfouis et qui

Empêchent toute progression.

.

Elle immobilise un ou deux bras,

Empêchant toute action.

Représente attachements affectifs

Qui nous encombrent,

Les us et coutumes d’un autre temps.

.

Il est très fréquent d’égarer sa valise

En rêve et de s’en inquiéter,

Voire de s’alarmer et de dépenser

Beaucoup d’énergie  à la retrouver.

Bien que cela  ne soit pas grave :

Il faudrait juste l’oublier !

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/

Dictionnaire-des-reves/Valise

 

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Les voyages, comme chacun sait,

Pour le mieux, forment la jeunesse,

Les voyages, comme chacun se plait,

Pour le moins, retardent la vieillesse !

Ils favorisent un regard  très différent,

Du lieu et quotidien de sa vie plan-plan.

On parle volontiers d’évasion : emphase.

.

Nous dirons simplement une autre phase

Où l’on engrange des sensations, émotions

Qui nourriront notre mémoire, en actions,

De projections de nouvelles planifications.

Lors on a pris le virus, ça ne s’arrête plus,

On va de pays en pays et de plus en plus.

 .

.

Rien que luxe, calme, beauté

.

Scénario

.

En  canoë, très tranquille, au beau milieu d’un lac.

Dans un canoë, primitif, et des plus rustiques, s’il en est.

Un canoë kayak, renversant, et même, tout à fait renversé !

 .

Visuels et textuels >>  

311 – Dormir en bateau, en train, en avion

Visuels et textuels  >> 

.

Dormir toute une journée,

En un bateau,

Pour à deux cent kilomètres

Se réveiller,

Est expérience de bercements

 Par les eaux,

En sillages d’espaces, en temps

De libertés.

 .

Dormir, de même, en couchette,

En un train,

Pour, et, à trois mille  kilomètres,

Se retrouver,

Est belle expérience   des torpeurs,

 Cadencées,

Des roulements de rails et de voies

 Et sans fins.

 .

Dormir de même Paris Melbourne

En un avion

Pendant vingt mille kilomètres,

Et se reposer,

Est une expérience d’oiseau,

 Rapide à planer,

En temps presque record,

Vous êtes téléporté.

 .

En divers espaces, différentes vitesses,

Sommeil crée rêve, rêverie extraordinaire

Pour découvrir terres, étranges  étrangères,

Qu’elles  soient lunaires, solaires,  stellaires.

 

Trois manières d’exister, en étant prisonnier,

En ces trois lieux mobiles  où  le temps passe,

Ces trois  transports  explorent  trois  espaces

Qui ont, chacun, leur manière propre d’exister.

 .

Quel que soit le moyen, quel que soit la vitesse,

Vous vous réveillez le matin avec le sentiment

D’avoir  franchi frontières  pour être  ailleurs,

Assouvi votre petitesse,  votre besoin vitesse.

 .

Changer d’espace est, changer d’imaginaire

Et personne ne peut prétendre le contraire

On ne peut être ailleurs comme chez soi

Sommeil  n’est pas idem  chaque fois !

 .

Le bateau a,  sur les autres,  le mérite

De vous rappeler d’autres bercements

Le train, de vous rythmer  votre temps ;

L’avion, de faire  que  votre  cœur palpite.

 .

En divers espaces, ou  à  différentes vitesses,

Sommeil crée rêves ou rêveries extraordinaires

Pour découvrir autres terres, étranges, étrangères,

Que ces dernières soient lunaires, solaires, stellaires.

.


.

Extensions

.

La veille est très différente en fonction

Du moyen de transport que vous prenez.

Cela parait  évident mais  le sommeil aussi

Tant  les conditions  ne sont pas  les mêmes.

.

En bateau, on peut être couché à l’horizontale

En train  ou en avion, on l’est beaucoup moins,

Si fait qu’on ne peut guère changer de position,

Sans gêner son voisin  et lorsque l’on se réveille.

.

Après huit heures en continu, profond sommeil,

La distance  varie  d’autant, et, les bruits, aussi.

Il n’est pas rare  de sentir  courbatures  au cou,

Voire aux reins ou,  et  voire aux jambes qu’on

Ressent  plus lourdes  en avion  qu’en  bateau.

.

La qualité  du sommeil,  en bateau,  si la mer

N’est pas démontée,  si elle n’est pas hachée,

Est la meilleure qui soit, dans sa couchette,

Bruits sont feutrés, bercements sont doux,

Mouvement du corps compagnie, divine.

.

Dormir est activité fondamentale pour son équilibre, survie.

Activité, son cerveau ne se mettra jamais en repos, sauf mort !

Le sommeil est réparateur pour restaurer l’énergie de son corps

Et il ne pourra le faire que, si celui qui en est le propriétaire, dort

C’est simple, c’est logique, c’est mathématique, c’est même binaire,

Bien que l’inconscient qui se réveille dans le sommeil, ne le soit pas.

S’il est difficile de dormir, en fauteuil, dans un avion au long cours,

Il est déjà plus probant en un train, plus encore en cabine bateau.

Y en a qui dorme n’importe où, d’autres, nulle part ou presque.

.

Dormir en bateau, en train, en avion

Le verdict tombe : couchette bateau !

.

Le train vient en second, car il est rare

Cher, d’avoir cabine  pour soi tout seul.

.

Quant à l’avion, même si planant et nuit :

On manquera de place pour bien s’étaler !

.

Après, en avion, la traversée de l’Atlantique,

Vous fera souffrir d’un bon décalage horaire.

.

En bateau, cela au moins, vous ne risquez pas,

Bercé que vous êtes, petite vitesse, raz des flots.

.

.

311 – Calligramme

 .

Dormir toute une journée,

En un bateau,

Pour à deux cent kilomètres

Se réveiller,

Est expérience de bercements

 Par les eaux,

En sillages d’espaces, en temps

De libertés.

Dormir, de même, en couchette,

En un train,

Pour, et, à trois mille  kilomètres,

Se retrouver,

Est belle expérience   des torpeurs,

 Cadencées,

Des roulements de rails et de voies

 Et sans fins.

Dormir de même Paris Melbourne

En un avion

Pendant vingt mille kilomètres,

Et se reposer,

Est une expérience d’oiseau,

 Rapide à planer,

En temps presque record,

Vous êtes téléporté.

En divers espaces, diffé    D   rentes vitesses,

Sommeil crée rêves, rêveries  O extraordinaires

Pour découvrir terres, étranges      R    étrangères,

Qu’elles soient lunaires, solaires,        M      stellaires.

Trois manières d’exister en étant        I     prisonnier,

En ces trois lieux mobiles où le           R       temps passe,

Ces trois transports explorent           *      ces trois espaces

Qui ont chacun leur manière          B          propre, d’exister.

Quel que soit le moyen,            A             quel que soit vitesse,

Vous vous réveillez            T           le matin avec le sentiment

D’avoir  franchi              E          frontières pour être  ailleurs,

Assouvi votre                  A       petitesse, votre besoin vitesse.

Changer d’espace            U          est, changer d’imaginaire

Et personne ne peut           *          prétendre le contraire

On ne peut être ailleurs         T             comme chez soi

Sommeil n’est pas idem           R            chaque fois !

Le bateau a, sur les autres,          A           le mérite

De vous rappeler d’autres ber       I       cements

Le train, de vous rythmer votre      N     temps ;

L’avion, de faire que votre cœur      *   palpite.

En divers espaces, ou  à  différentes  A    vitesses,

Sommeil crée rêves ou rêveries extra  V  ordinaires

Pour découvrir autres terres étranges   I    étrangères,

Que ces dernières soient lunaires, solai  O  res, stellaires

                                          N

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

311 4

.

Fiole, certainement, 

Contenant un élixir

Pour le  sommeil

Probablement.

 .

Fiole du sommeil, qui le sait,

Quel que soit mode de transport

En tous cas,  une  vieille  potion,

Issue du moyen âge ou presque.

.

Symbolique 

.

Une carapace

Mate et fuselée

Couleur de nuit,

Sur le dessus, un

Verre bombé  d’où

Miroitent des reflets

De couleurs  vibrantes.

L’opacité mystérieuse de la fiole

En forme d’amphore, coque protectrice,

Évoque  un  récipient  contenant  un  nectar

Précieux et qui semble avoir traversé le temps.

Elle est le réceptacle de six fragrances inspirées

Par six pierres de couleurs vives opalescentes

Améthyste, citrine, péridot, turquoise,

Tourmaline et pierre de lune.

letemps.ch/lifestyle/flacon-mythologique

.

Descriptif

.

311 – Dormir en bateau, en train, en avion  

Alignement central / Titre intercalé / Thème  transport

Forme en rond / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : fiole   /  Symbole de fond : sommeil

.

.

Fond

.

Évocation

.

 311 6

.

Fiole du sommeil, qui le sait,

Quel que soit mode de transport

En tous cas,  une  vieille  potion,

Issue du moyen âge ou presque.

.

Symbolique de fond

 .

Le sommeil, pierre angulaire

D’un organisme en bonne santé.

Il n’est, toutefois,  pas  évident de

Savoir si sa nuit a été réparatrice.

.

La fondation américaine du sommeil

A publié quatre repères de la qualité de sa nuit,

1) Vous vous  endormez  en moins  de 30 minutes ;

2) Vous ne vous réveillez pas plus d’une fois par nuit ;

3) Vous vous rendormez en 20 minutes  pour le minimum;

4) 85% du temps que vous passez au lit est consacré sommeil.

Source : madame.lefigaro.fr/bien-être/le-

mode-demploi-pour-sommeil-de-qualite

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le train et le bateau ont, cela, en commun,

Qu’ils vous bercent par leur rythme régulier,

Toujours de même manière avec tempo cadencé

Tandis que l’avion serait beaucoup plus contraint

Le sommeil est plus difficile, plus tardif, plus léger

Sauf à bénéficier siège couchette, pour s’’allonger.

Quant à la voiture, n’en parlons pas, elle vous use

Par ses à-coups, ses arrêts, reprises, virages etc.

  .

.

Histoires : élixir sommeil !

.

Scénario

.

Dormir, dans une cabine, sur un très grand bateau.

Dormir sur une couchette, dans train spécial, de nuit.

Dormir dans son fauteuil dans une belle cabine d’avion.

 .

Visuels et textuels  >> 

310 – Voyage en train et avec entrain

Visuels et textuels >>  

.

Le train,

Nous mène,

D’un point de départ

À  un  autre : l’arrivée.

L’arrivée peut illustrer

Une fin de parcours,

Sinon  une étape,

Même de… rien.

.

La vie continue,

Sur son chemin,

Qui nous ballade

En tous les points

Pour notre  … mal,

Ou pour  notre bien.

.

Lors  parfois,  le train,

Reste un temps astreint,

En un lieu aussi contraint,

Où, l’on côtoie des voyageurs,

Débarquant autre gare…ailleurs.

.

On  bavarde, on lit,  on se … regarde,

On écrit et mange sans prendre garde

Aux temps,  aux  paysages  qui  passent

En  comptant  les arrêts  jusqu’au sien.

.

Le  train, comme  tous   les  transports,

Stimule  le   cerveau  et  l’imagination :

On  ne se déplacera  pas   sans   penser,

Au lieu  de départ  et  au lieu d’arrivée !

.

Et l’on se prend même, parfois, à rêver,

Que ce train brulera toutes les stations,

Et qu’il n’y aurait plus de destinations :

Pas plus, au sud, est, ou ouest, ou nord.

.

Qu’il en serait devenu …  extraterrestre,

Nous mènerait aux confins de l’Univers

Pour peu qu’il y en ait, comment savoir

Et que l’on puisse, vivant, les atteindre.

.

Le train … comme tous les transports,

Peut être sujet à variation d’horaires,

Partir à l’heure et arriver en retard,

Être à moitié vide  ou  archiplein,

Être face  à  un  suicide, panne,

Obligé à changer  une rame.

.

Le train-train, quotidien

Devient vie de chien

Cela dit on y dort

On  y  mange,

Et s’aime

Bien

V

.

.

Extensions

.

Voyager en train, certains aiment bien,

D’autres, moins, autre pas : cela dépend

Des expériences, des attentes de chacun.

Comme  en  tous transports  en commun.

.

On est un peu comme colis qu’on déplace

Et la place à l’intérieur, pour se déplacer

Est plus que limitée, plus que partagée.

.

«Train pour la vie» et «train de la vie»

«Train de vie», n’ont rien, en commun,

Si ce n’est des rails réels ou bien fictifs,

Sur lesquels on avance en sachant bien

Où l’on va ou bien l’on y va, malgré soi.

.

L’imaginaire relatif au train, est infini,

De même que  le nombre  de ses arrêts,

De ses destinations et de ses occupations.

.

Train de jour ou de nuit, wagons en sièges ou en couchettes,

Wagons restaurant, plateaux repas, à la place, casse-croutes.

Le voisinage est parfois plaisant, parfois ennuyeux, bruyant :

Les téléphones sonnent, consonnent, bavardages résonnent :

On somnole plus qu’on ne dort, et le contrôleur vous réveille

En plein rêve ou cauchemar : dieu, où ai-je mis mon billet :

Je ne le sais plus, ne le trouve plus et où sont mes bagages.

.

Prendre le train n’a plus rien à voir avec train-train quotidien

Qui rappelle le célèbre slogan de  manifs «métro, boulot, dodo».

Avant, la SNCF ne parlait que de transports, d’une gare à l’autre,

À présent, elle vous invite à un voyage agréable, et voire, lointain !

Il est vrai que le confort et la vitesse se sont grandement améliorés,

Et que l’on peut s’occuper, si ses voisins ne sont pas  trop bruyants.

Ce que je préfère c’est le train de nuit avec couchette pour dormir

Le bruit régulier du train, sur les rails, et l’exiguïté de la cabine,

Donnent impression d’intimité, de distance, puissance à rêver.

.

Le train n’est pas la panacée :

Il ne dessert pas tous les coins,

En Bretagne il ne fait que tour,

Pour la traversée, voir autobus.

.

J’ai connu des Michelines, diesel,

Lentes, polluantes, inconfortables :

60 kilomètres/heure : vrai escargot,

Le temps de dix belottes au bas mot.

.

Ou regardais par la fenêtre le paysage

Défiler avec parfois des vaches en près.

Aujourd’hui, elles ne lèvent plus la tête,

Tant ça pourrait faire leur lait, tourner.

.

.

Épilogue

.

Si vous voulez sortir de votre train-train quotidien,

Prenez donc le train, et cela de nuit comme de jour.

Telle expression, dont on ne connait l’origine exacte

Évoque la routine, l’allure toujours égale, répétition.

***

Qu’importe, passons : échange monotonie  et entrain,

Et là, l’on ne s’ennuierait pas, l’on ne s’ennuierait plus

Mais comment faire : il s’agit de bien dormir, en train,

Train-train, entrain, au train où vont les choses, perdu.

***

Il est vrai qu’une fois dedans, on est pris par la vitesse,

Question train-train, vous repasserez, bientôt arrivés :

À peine le temps de se reposer la tête sur son oreiller,

Le temps d’un rêve, en Train bleu ou Transsibérien.

***

Dans un train, on peut lire et peut s’occuper,

Êtes tranquille : personne pour … déranger,

Il bouge à peine, a des sièges confortables,

Des heures comme en une bulle, capable.

***

Avec entrain pour ceux qui préfère

À tout autre moyen de transport,

Ayant pour tous, un imaginaire

Qui en inconscient serait d’or.

.

.

310 – Calligramme   

 .

Le train,

Nous mène,

D’un point de départ

À  un  autre : l’arrivée.

L’arrivée peut illustrer

Une fin de parcours,

Sinon  une étape,

Même de… rien.

UN

La vie continue,

Sur son chemin,

Qui nous ballade

En tous les points

Pour notre  … mal,

Ou pour  notre bien.

VOYAGE

Lors  parfois,  le train,

Reste un temps astreint,

En un lieu aussi contraint,

Où, l’on côtoie des voyageurs,

Débarquant autre gare…ailleurs.

EN TRAIN

On  bavarde, on lit,  on se … regarde,

On écrit et mange sans prendre garde

Aux temps,  aux  paysages  qui  passent

En  comptant  les arrêts  jusqu’au sien.

Le  train, comme  tous   les  transports,

Stimule  le   cerveau  et  l’imagination :

On  ne se déplacera  pas   sans   penser,

Au lieu  de départ  et  au lieu d’arrivée !

AVEC UN BEL

Et l’on se prend même, parfois, à rêver,

Que ce train brulera toutes les stations,

Et qu’il n’y aurait plus de destinations :

Pas plus, au sud, est, ou ouest, ou nord.

Qu’il en serait devenu …  extraterrestre,

Nous mènerait aux confins de l’Univers

Pour peu qu’il y en ait, comment savoir

Et que l’on puisse, vivant, les atteindre.

ENTRAIN   

Le train … comme tous les transports,

Peut être sujet à variation d’horaires,

Partir à l’heure et arriver en retard,

Être à moitié vide  ou archiplein,

Être face à un suicide, panne,

Obligé à changer une rame,

Et train-train, quotidien

Devient vie de chien

Cela dit on y dort

On  y  mange,

Et s’aime

Bien

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

310 4

.

Ça ressemble plus

À  une  grande  fusée

Qu’à un long train actuel ;

Peut-être : un train du futur ?

.

Un jour, qui sait, des trains ressembleront

Peut-être à une fusée:

Mais en attendant de filer à 900 à l’heure :

300, c’est déjà pas si mal !

.

Symbolique

.

Le rêve de fusée

Est un symbole qu’on

Rencontre, souvent, dans

Des rêves d’enfant, de garçon.

Représente énergie permettant

De s’élever pour aller conquérir

Nouveaux espaces ou horizons.

C’est le  symbole  du  courage,

De la curiosité et de l’action,

La  rapidité, et  l’efficacité,

De l’ouverture d’esprit et

Du besoin découvrir

Vaste monde qui

Nous entoure.

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/fusee

.

Descriptif

.

310 – Voyage en train avec un bel entrain   

Alignement central / Titre intercalé / Thème  transport

Forme en ovale   / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : fusée   /  Symbole de fond : train

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Un jour, qui sait, des trains ressembleront

Peut-être à une fusée:

Mais en attendant de filer à 900 à l’heure :

300, c’est déjà pas si mal !

.

Symbolique

 .

Le train a pris

Dans les dessins, rêves d’enfants,

Comme des adultes, importance égale

À celle du cheval, la diligence des siècles passés.

.

Dans l’expérience et l’analyse des rêves, le train s’inscrit

Parmi symboles de l’évolution, à la suite des serpents, dragons.

.

Le train des rêves est l’image de la vie collective, du destin

Qui nous emporte. Arriver en retard, manquer le train,

Monter dans le train à la dernière seconde,

Autant de rêve qui indiquent que nous

Avons laissé passer l’occasion.

 . 

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le train, le TGV, fonce 

Comme  une  vraie fusée,

Lors à trois cent à l’heure

Logeant l’autoroute on voit

Les automobiles, trainasser.

Cela change du train-train,

Que l’on appelle quotidien,

En promenant son chien.

Ici, tout va vite, sécurisé

À peine parti que déjà,

Bientôt parle arrivée

C’est bien ça, fusée

À ne pas rater !

 .

.

Train à vapeur, panache de fumée

.

 Scénario

.

 Nous voici attendant le train, avec bagage sur le quai de la gare,

Nous voilà assis dans le train, et sur de confortables fauteuils,

de nuit, en couchettes, avec une ambiance calme, garantie.

 .

Visuels et textuels >>  

.

.

309 – Route vers le Nord, Cambrai

Visuels et textuels >> 

.

Six cent kilomètres au compteur

Sept heures de route avec arrêts

Le tout, ou presque, autoroute

Sauf le dernier quart d’heure.

.

En partant, un soleil breton

Et plus loin, pluie battante

Plus loin : neige  fondante

Météo contrastée, saisons.

.

On patiente et on s’adapte,

S’occupe, comme l’on peut

Pont de Normandie superbe,

À  l’horizon, mer,  pas d’herbe.

.

Six heures passe comme en une,

Si votre destination vaut le coup,

Sinon  l’on peste  contre le temps

Le froid et neige, vous empestent

.

Lever tôt et puis  lavé … vite fait

Un petit déjeuner,  sur le pouce :

Sept heures de route compte fait

Neige, en champs, se fait douce

Huitres  et  cidre  et  crêpes

Gâteaux bretons en soute,

.

Cadeaux pour nordistes, pour fêtes,

C’est assez, on part, en avant, toute

À la première heure, très guillerets

Mais la deuxième,  déjà  un peu las

À la troisième, un grand arrêt buffet

Restaurant à midi pour manger repas

.

Et lors, dès la sortie de la Bretagne :

Neige sur la route,  frimas,  brume,

Tout est blanc autour sauf le bitume,

On se croi arrivé en pleine montagne

Et juste après avoir franchi…  le Pont

.

De Normandie,  notre second arrêt :

Un café, bien chaud, peut être bon

Pour garder yeux ouverts, exprès,

Lors manteau, blanc … s’épaissit,

.

Entourés d’une ambiance irréelle,

Sommes centaines d’autos, éblouis,

Par autoroute … vrai sapin de Noël.

.

Puis  arrivons, enfin, dans  la  cour,

Où vin chaud et gâteaux, attendent,

Las du voyage mais le cœur content,

Demain veille de Noël est beau jour.

.

.

Extensions

.

Sept heures de route,

C’est un long parcours.

Et quand les conditions

Météo se dégradent, cela

Allonge d’autant l’arrivée.

.

Mais, qu’à  cela, ne tienne,

Je ne suis pas trop… stressé

L’essentiel est arriver entier

Et vivant  et en bonne santé,

Si possible, pas  trop fatigué.

.

Nous sommes  3   chauffeurs,

Moi, ma femme  et  notre fils :

Lors que demander de mieux !

.

J’ai, déjà, fait  ce  parcours, seul

Et  d’une seule traite,  n’arrêtant

Que deux fois, pour prendre café.

.

Ça change complétement la donne

Et les derniers kilomètres … de nuit,

Sous pluie brouillard, sont éreintants.

.

Pas trop le temps de flâner hors de l’autoroute

Au vu du temps à passer, de la distance à réaliser.

Deux pépites, toutefois comme Mont Saint Michel

En entrée en Normandie et le pont de Normandie,

En sortie, avant de contourner cathédrale Amiens.

Une  autoroute, c’est, toujours, un peu monotone,

Bien plus rapide, bien moins fatigant, en somme

Six heures de route, pour six cents kilomètres :

Je pourrais les faire presque les yeux fermés.

.

Bon d’accord, on traverse la Bretagne

La Normandie,  la Picardie, et le Nord

Sans voir grand-chose de leur paysage

Mais on ne peut tout avoir dans la vie,

Il faut choisir entre vitesse et flânerie.

.

Le contournement de la ville de Caen

Prend du temps,  fonction de l’heure,

Passage  pont de Normandie : délice,

Reste est selon, reste est à l’avenant :

On remercie le ciel quand il fait beau.

.

.

309 – Calligramme

.

EN ROUTE

Six cent kilomètres au compteur………………………………

Sept heures de route avec arrêts…………………………

Le tout, ou presque, autoroute,…………………

Sauf le dernier quart d’heure…………

                               En partant : soleil breton,……………………….

                             Plus loin : pluie battante :……………..

                      Plus loin : neige fondante,…….

                 Météo contrastée, saisons….

            On patiente et on s’adapte,…

        S’occupe, comme l’on peut…

     Pont de Normandie superbe,…

   À  l’horizon, mer, pas d’herbe…….

Six heures passe comme en une,……..

Si votre destination vaut le coup,……………

Sinon l’on peste contre le temps……………………

  Le froid et neige, vous empestent……..……………………

VERS LE NORD

   Lever tôt, lavé vite fait…………………………………………………

Petit déjeuner sur le pouce : …………………………………………

     Sept heures de route tout compte fait,……………………………

Lors la neige, en champs, se fait douce …………………

  Huitres et cidre et crêpes…………………………………

  Et gâteaux bretons en soute,………………………..

.

Cadeaux pour nordistes, pour fêtes,………..

C’est assez, on part, en avant, toute……….

      À la première heure, très guillerets ……………

Mais la deuxième, déjà un peu las …………

À la troisième, un grand arrêt buffet ………..

Restaurant à midi, pour manger repas……….

VERS CAMBRAI  

     Mais dès la sortie de la Bretagne :…………………….

Neige sur route,  frimas,  brume,……………………

  Tout est blanc autour sauf le bitume,………………….

       On se croirait arrivé en pleine montagne………………….

Après avoir franchi le Pont……..………………………..

.

De Normandie, notre second arrêt :……………….

Un café bien chaud ne peut être que bon…….

 Pour garder yeux ouverts sans faire exprès

Le manteau, blanc, s’épaissit, ….………..

.

 Entourés d’une ambiance irréelle,….

     Sommes centaines d’autos, éblouis,

       Par autoroute, vrai sapin de Noël.

             Puis arrivons, enfin, dans  la  cour,

                   Où vin chaud et gâteaux attendent,

                          Las du voyage mais le cœur content,

                              Demain veille de Noël est beau jour.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation de forme

.

309 4

.

Un tracé  d’autoroute

Qui s’avérera, forcément,

Cher mais rapide, reposant

Pour long trajet en voiture.

.

L’autoroute est faite pour les voitures

pour aller plus vite et gagner du temps

sans compter, avoir moins d’accidents,

le tout faut que la forme épouse le fond.

.

Une route, petite ou grande,

Sera toujours une voie, bien tracée :

Menant d’un point à un autre,

Avec voiture qui en aura vu d’autres

.

Symbolique 

 .

Que ce soit par la médiation

Des arts plastiques, la littérature,

La poésie, la musique, la mythologie

Et voire  la philosophie  des sciences,

Bien des  représentations de routes,

Chemins et cheminements, abondent.

.

Cette  marche  de  l’être  humain  vers

L’inconditionné     peut   se   décrypter

Derrière  toute  expérience  spirituelle,

Que  celle-ci  soit     d’ordre   esthétique,

Philosophique,    gnostique,     mystique.

.

Le  symbole   du  chemin    constitue  l’un

Des   éléments    de     l’image     archétype

Que  l’être  humain   se forme   de lui-même.

Révèle essence humaine «être-en-recherche».

universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

Descriptif

.

309 – En route vers le Nord, vers Cambrai  

Alignement central / Titre intercalé / Thème  transport

Forme en spirale   / Rimes libres  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : autoroute   /  Symbole de fond : voiture

.

.

Fond

.

Évocation 

.

309 6

.

Une route, petite ou grande,

Restera une voie, bien tracée

Cher   mais rapide, reposant

Pour long trajet en voiture.

.

Symbolique

 .

La voiture fait du bruit,

Envahit les villes, bitume des campagnes.

Elle utilise une place folle à l’arrêt

Lors on lui construit des immeubles

Ou des grottes souterraines pour la parquer.

Elle consomme une énergie épuisable.

.

Elle pollue  et elle contribue  à  la mort

De  1,2 millions  de personnes  chaque  année

.

Et selon l’OMS : en 6 ans,  l’équivalent

De la population Suisse  qui disparaît.

À ces morts on peut ajouter blessés graves,

Mutilés,  amputés, handicapés  à vie,

Enfants orphelins, familles détruites.

hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2011/

04/19/la-voiture-symbole-liberte.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un trajet, par petites routes,

Et par autoroute pourra prendre

Du simple au double, plus de fatigue

Et plus de risque de collision mortelle !

C’est  la liberté  de traverser  la France,

De long en large et en une seule journée

Attention quand  même à vous reposer

S’endormir au volant, c’est trépasser

Il vaut mieux être deux chauffeurs.

 .

.

Des arrêts payants 

.

Scénario 

.

La route est bien toute droite et déserte, filant vers le nord,

alors au passage, on entrevoit le célèbre Mont Saint Michel,

l’on emprunte le magnifique Pont de Normandie, suspendu !

 .

Visuels et textuels >>

308 – Paris, ville lumière, avec sa Tour Eiffel

Visuels et textuels  >> 

.

Paris est

Paris, ville lumière,

Tant aujourd’hui qu’hier,

Tant d’ethnies, et de couleurs,

S’y côtoient, sans moindres peurs.

Bâtiments de toutes époques, styles

A perte de vue, rue, avenue, carrefour.

Autant de parcs, de monuments, tours,

Autant de parcours, de musées fertiles.

Et bien que Paris demeure    grouillant,

Et bien que Paris demeure    esseulant,

Et bien que Paris demeure     polluant,

Et bien que Paris demeure     bruyant,

Chacun y cherche refuge,  ou sa place

Lorsque les prix grimpent, se glacent

Tant plongés  en bouillon de culture,

Certains n’en sortent plus…nature !

.

Tour

Ei-ffel,

C’est  elle

Qui attire œil

Et les touristes,

Au milieu de Paris

316 mètres de haut,

Son  point culminant,

Depuis plus de cent ans

Et cela n’est pas  de trop.

On peut prendre ascenseur

Ou monter par son escalier.

Certains … par  sa charpente.

Interdit, mais   bien  tentante.

Ses pieds  s’enfoncent, en  sols,

Non loin  de  la Seine, qui coule,

Et des amoureux,  qui roucoulent

En chant musique : fa do ré mi sol.

Provinciaux,  et,  touristes,  profitent

De trésors  qu’il recèle, intermittents :

Parisiens s’en gorgent, mais  les évitent,

Trop pris par leur travail ou déplacement.

Aujourd’hui que revoici installé le printemps

Parisiens sortent, se promènent comme en été

Quand les oiseaux chantent et parcs sont bondés

Nature reprend ses droits ; Paris, ses mouvements.

D’habiter Paris, n’est-ce pas le rêve  de tout étranger !

D’habiter Paris est un rêve qui, pour moi, m’est étranger,

Au-delà du fait qu’il est une forêt d’immeubles et d’humains

Sa vie trépidante est remplie de tout mais ne me vibre en rien.

À part la Tour Eiffel, le Grand Palais, le Louvre, et Musée d’Orsay

Activités sont surtout marchandes, mettant en avant leur musique !

On s’y plait davantage à s’y promener et à y séjourner, qu’à y travailler.

Paris, ville des lumières, brille, tout autant, le jour que la nuit : lubrique.

J’y fais un saut chaque année, saison … aujourd’hui au début du printemps,

Pour pleinement profiter d’elle, cette ville vous demande beaucoup de temps.

C’est un phare qui éclaire bien l’Europe, et rassemble, en un lieu, le Sud et Nord

Une grande mégalopole qui attire beaucoup de sièges d’affaires, à raison ou à tort.

.

.

Extensions

.

Paris,

Un phare

Tour   Eiffel,

Lors forcément,

L’image   est   belle

Même  bienvenue  mais

Y vivre ne sera pas toujours

Une sinécure, sauf à bénéficier

D’une résidence, assez spacieuse,

Avec une grande terrasse paysagée.

.

La Tour Eiffel par ci, la Tour Eiffel, par là !

Comment ne pas la remarquer,  y échapper !

Dire qu’elle n’était que  provisoire, éphémère !

La voici devenue symbole  de cette ville lumière

Tant que tous souhaitent la toucher et y monter,

Ne serait-ce que pour beau panorama sur Paris,

Qui fait, de cet endroit, comme lieu magique.

J’y suis monté, dans ma douzième année,

Moi le breton, en pleine campagne, né.

.

La tour

 Eiffel  avec

Notre Dame :

Deux monuments,

Dans  la ville de Paris,

Les plus connus et courus

Pas que français : étrangers.

.

Y suis monté une fois à douze ans

Deuxième : quarante,  deux enfants.

Enfant : souvenir  de monstre  d’acier,

Adulte : un monument,  pleine  majesté.

.

C’est vrai qu’elle aura failli  être démontée,

S’il n’y avait pas eu cette TSF pour  l’utiliser.

Vrai qu’on la voit, de très loin, pointer son nez

Elle a tout du symbole, et rien d’un gratte-ciel !

.

.

Épilogue

.

La Tour Eiffel serait l’un des monuments

Les plus connus, dans le Monde, et visités :

Rencontre obligée ou presque pour étranger,

J’y suis moi-même monté à l’âge de douze ans.

***

Elle ne ressemble ni au Colysée,  à autre symbole,

Telle la porte de Brandebourg ou la Tower Bridge :

Elle est la seule à être entièrement construite en fer

Avec ses trois étages et tout en haut, phare lumière.

***

Paris  ne se résumera pas, non plus, à sa Tour Eiffel :

Des beaux monuments,  il y en a, à la pelle et partout,

Et il y a les magasins, musées et nombre d’attractions

Pour qui aurait  un peu d’argent, difficile s’y ennuyer !

***

Parfois elle s’illumine, de bas en haut,  parfois clignote,

De la voir dans son champ de vision rappelle où l’on est

Il existerait  de par le vaste monde, quelques imitations

Mais aucune n’a sa prestance, élégance de vieille dame.

***

Elle a connu drame, y a quelques années, en cathédrale,

Qui a brulé comme feu de paille et sauvée grâce à Dieu.

Paris, ville des lumières  et ville de toutes les festivités,

Vit, de nuit comme de jour, une activité débordante.

.

.

308 – Calligramme

.

 PARIS

Paris est

Paris, ville lumière,

Tant aujourd’hui qu’hier,

Tant d’ethnies, et de couleurs,

S’y côtoient, sans moindres peurs.

Bâtiments de toutes époques, styles

À perte de vue, rue, avenue, carrefour.

Autant de parcs, de monuments, tours,

Autant de parcours, de musées fertiles.

Et bien que Paris demeure    grouillant,

Et bien que Paris demeure    esseulant,

Et bien que Paris demeure     polluant,

Et bien que Paris demeure     bruyant,

Chacun y cherche refuge,  ou sa place

Lorsque les prix grimpent, se glacent

Tant plongés  en bouillon de culture,

Certains n’en sortent plus…nature !

VILLE LUMIÈRE

Tour

Ei-ffel,

C’est  elle

Qui attire œil

Et les touristes,

Au milieu de Paris

316 mètres de haut,

Son  point culminant,

Depuis plus de cent ans

Et cela n’est pas  de trop.

On peut prendre ascenseur

Ou monter par son escalier.

Certains … par  sa charpente.

Interdit, mais   bien  tentante.

Ses pieds  s’enfoncent, en  sols,

Non loin  de  la Seine, qui coule,

Et des amoureux,  qui roucoulent

En chant musique : fa do ré mi sol.

Provinciaux,  et,  touristes,  profitent

De trésors  qu’il recèle, intermittents :

Parisiens s’en gorgent, mais  les évitent,

Trop pris par leur travail ou déplacement.

Aujourd’hui que revoici installé le printemps

Parisiens sortent, se promènent comme en été

Quand les oiseaux chantent et parcs sont bondés

Nature reprend ses droits ; Paris, ses mouvements.

D’habiter Paris, n’est-ce pas le rêve  de tout étranger !

D’habiter Paris est un rêve qui, pour moi, m’est étranger,

Au-delà du fait qu’il est une forêt d’immeubles et d’humains

Sa vie trépidante est remplie de tout mais ne me vibre en rien.

À part la Tour Eiffel, le Grand Palais, le Louvre, et Musée d’Orsay

Activités sont surtout marchandes, mettant en avant leur musique !

On s’y plait davantage à s’y promener et à y séjourner, qu’à y travailler.

Paris, ville des lumières, brille, tout autant, le jour que la nuit : lubrique.

J’y fais un saut chaque année, saison … aujourd’hui au début du printemps,

Pour pleinement profiter d’elle, cette ville vous demande beaucoup de temps.

C’est un phare qui éclaire bien l’Europe, et rassemble, en un lieu, le Sud et Nord

Une grande mégalopole qui attire beaucoup de sièges d’affaires, à raison ou à tort.

A V E C         L A         T O U R       E I F F E L  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

308 4

.

En bas, clochette sonnette,

En haut,   sort e de  chapeau,

Haute tour, toute en triangle,

Surmontée de faisceau lumière.

.

Paris, avec sa Tour Eiffel emblématique

 Entourée de nombre  monuments,

Était destinée à être éphémère et devenue

Mondialement connue : lumières.

.

Symbolique 

 .

L’ex

Position

Universelle

Datant  1889

Attirera à Paris

50,8         millions

De visiteurs, grands

Scientifiques d’’époque

Nouveauté de matériaux

De la grande Tour Eiffel,

Sa hauteur impressionnante

Pour  le   XIX éme  siècle   et  la

Renommée de son jeune créateur

Nommé  Gustave  Eiffel,  contribue

À développer son image  d’un édifice

Exemplaire, considéré  ultramoderne.

Lors deux millions de visiteurs chiffrent

Première ouverture d’emblème français.

Modifié, source : type-tour-eiffel.e-monsite.

.


..

Fond

.

Évocation de fond

.

308 6

.

Paris, avec sa Tour Eiffel emblématique

 Entourée de nombre  monuments,

Était destinée à être éphémère et devenue

Mondialement connue : lumières.

.

Symbolique de fond

.

L’intensité de lumière

Est grandeur qui exprime

La capacité à éclairer d’une

Source ponctuelle de lumière,

Dans    une   direction   donnée.

En  environnement  plus  obscur,

La vision humaine ne distingue plus

Les couleurs, et la sensibilité spectrale

Relative est décalée vers le bleu profond.

On parle, en ce cas, de vision scotopique.

Entre les deux domaines de luminosité,

On parle de vision mésopique.

Wikipedia : intensité lumineuse

.


.

Corrélations

.

Liens fond/forme 

 .

Que n’a-t-on dit, écrit ou tirer le portrait

De cette grande vieille Dame qui honorait

Une Exposition Universelle, dite éphémère,

Qui est devenue avec cathédrale Notre dame

Champs  Élysées, Arc de triomphe, Invalides,

Et tant d’autres monuments, places, et jardins

Emblème de la ville de Paris, à l’international.

Elle s’illumine elle-même de sa hauteur, renom.

 .

Scénarios à développer 

.

La Tour Eiffel est une vielle dame, inutile de la présenter davantage.

Son apparence et sa localisation en plein milieu de la ville de Paris.

Photo ancienne de la Tour Eiffel prise avec un beau soleil levant.

 .

.

Paris… la ville des lumières

.

Visuels et textuels  >> 

307 – Le magnifique jardin italien, de Clisson

Visuels et textuels >> 

.

Il déborde deux côtés

De la Sèvre,  à  Clisson,

Il serpente en méandres,

Encaissés  dans  un  vallon

Garenne d’architecte Lemot.

.

Il invite au voyage,  à côtoyer

Ses rochers des plus  alanguis,

Lors  vous  pousserez  sa porte,

Le monde de la Nature s’ouvre,

En retenues d’eaux bruissantes,

Pour abreuver son vrai moulin.

.

Statues romaines, colonnades,

Qu’on découvre,

Font de ce jardin romantique

Un lieu…orphelin :

Orphelin de la vie moderne,

Trépidante, courante.

.

Ici, nos pas restent calmes,

Mesurés, lents, posés,

Et les arbres se penchent

Sur nous, destinée

De jardin fait de pierre,

Présence murmure.

.

Un sentier suit  le lit de l’eau, les autres, là, plus haut,

S’entrecroisent, se perdent comme en un beau chaos

Chaos qui vous entraine   dans son monde nouveau,

Où votre âme résonne  et où tout vous parait beau.

.

Nous nous sommes perdus dans ce jardin d’Éden

Perdus, en nos pensées et par nos pas, évoquées,

Penchés l’un sur l’autre, face  temple de l’amitié

Pour se trouver amants au pied  de sa fontaine.

.

Le temple circulaire de Diane, en colonnades,

Inscrit sa majesté tourmentée en promenade

En chasseresse n’en est pas moins tendresse

Et sa présence montre qu’ici rien ne presse.

.

Une grande clairière,  elle aussi circulaire,

Nous offre ses bancs et belle opportunité,

Pour apprécier  le panorama  tout entier,

De ces lieux, privés de toutes modernités.

.

Ce jardin, sa villa : maison, temple, sentier,

Est l’œuvre de quatre architectes passionnés

Qui ont donné leur vie, leurs biens à sa beauté

Afin qu’il soi, jusqu’à nos jours intact, préservé.

Nous l’avons découvert juste au détour d’un pont

De la Sèvre au pied du château médiéval de Clisson.

.

.

Extensions

.

Il est des jardins qui

Vous prennent et vous surprennent,

Bien plus encore que les châteaux ou manoirs

Qu’ils abritent : le jardin de Clisson est de ceux-là.

.

Une pure merveille de la nature, à la fois respectée

Magnifiée par des architectes, dits romantiques,

Qui ont voulu laissé ce témoignage de leur art.

.

Il faut dire en plus qu’il faisait beau et doux

Et que lumière et verdure du mois de juin

Ajoutait encore  comme couleur de plus

À la palette d’humeurs indéfinissables

Qui résonnait de ses harmonies avec

Notre corps, cœur, esprit !

.

Un jardin, sur flanc, de rivière, surplombant château :

Quoi de plus romantique et quoi de plus magnifique.

Jardin comme une demeure des dieux de l’Olympe,

Où demeurent encore les parfums de ses nymphes

Quand on s’y promène, l’esprit et le cœur légers

À la recherche d’un paradis perdu, retrouvé,

Tant on souhaiterait plus jamais le quitter.

Diane, chasseresse y règne, en maîtresse

En son bain de frisottis roches et eau,

Qui nous donne douceur sur peau.

.

Un jardin extraordinaire comme il en existe peu

Avec des colonnades, à son entrée, majestueuses

Et une perspective en pelouses et arbustes taillés

Et le tout, bordé d’arbres, d’essences diversifiées.

.

Rien à voir avec le mien, de six cent mètres carrés

Ici ce sont des hectares avec des zones spécialisées

L’une dans les ruines d’un temple romain statuaire

D’autres en rochers, rocailles, et que sais-je encore.

On s’y plait, on s’y perd, on va  même  à l’aventure,

On peut y passer presque la journée dans sa nature

Avec, comme arrière-plan, la rivière  et le château :

Forcément un tel jardin a besoin de présence d’eau.

.

.

307 –  Calligramme    

.   

Il déborde deux côtés

De la Sèvre,  à  Clisson,

Il serpente en méandres,

Encaissés  dans  un  vallon

Garenne d’architecte Lemot.

Il invite au voyage,  à côtoyer

Ses rochers des plus  alanguis,

Lors  vous  pousserez  sa porte,

Le monde de la Nature s’ouvre,

En retenues d’eaux bruissantes,

Pour abreuver son vrai moulin.

.

Statues romaines, colonnades,

Qu’on découvre,

Font de ce jardin romantique

Un lieu…orphelin :

Orphelin de la vie moderne,

Trépidante, courante.

.

Ici, nos pas restent calmes,

Mesurés, lents, posés,

Et les arbres se penchent

Sur nous, destinée

De jardin fait de pierre,

Présence murmure.

.

Un sentier suit  le lit de l’eau, les autres, là, plus haut,

S’entrecroisent, se perdent comme en un beau chaos

Chaos qui vous entraine   dans son monde nouveau,

Où votre âme résonne  et où tout vous parait beau.

Nous nous sommes perdus dans ce jardin d’Éden

Perdus, en nos pensées et par nos pas, évoquées,

Penchés l’un sur l’autre, face  temple de l’amitié

Pour se trouver amants  au pied  de sa fontaine.

L E     M  A  G  N  I  F  I  QU  E

Le temple circu  J  laire de Diane, en colonnades,

Inscrit sa majesté  A tourmentée en promenade

En chasseresse n’en  R est pas moins tendresse

Et sa présence montre D qu’ici rien ne presse.

Une grande clairière,   I   elle aussi circulaire

Nous offre ses bancs  N    belle opportunité,

Pour apprécier le pa  *  norama  tout entier

De ces lieux privés   C de toutes modernités.

L      .

Ce jardin, sa villa   I    maison, temple, sentier,

Est l’œuvre de qua S  tre architectes passionnés,

Qui ont donné leur   S  vie, leurs biens à sa beauté

Afin qu’il soit, jusqu’à O nos jours, intact, préservé.

Nous l’avons découvert   N  juste au détour d’un pont

De la Sèvre au pied du château médiéval de Clisson.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

307 4

.  

En bas, un piédestal très imposant,

En haut, statue d’un homme grand 

Ou bienfaiteur de la ville de Clisson

Et qui ne manque pas de charme.

.

Une statue sur un piédestal en grand jardin

n’aura rien de surprenant, bien au contraire

probablement le  fondateur même du jardin

ce qui fait que la forme évoque bien le fond.

.

Piédestal,  jardin romantique, statue

Quoi de plus classique :

Mais le tout est de savoir de qui il s’agit,

Et pourquoi, et à cet endroit !

.

Symbolique 

 .

Les architectes de l’époque

De la Renaissance, d’abord italienne,

Puis française et puis ensuite européenne,

Considéraient que  le piédestal  faisait partie

Intégrante d’ordonnance des ordres d’architecture.

.

Ils imposèrent, progressivement, sorte de canon

Esthétique régentant proportion des ordres,

Comme pour la corniche du piédestal

Formant les seuils des fenêtres

Ou la balustrade de galeries.

wikipedia.org/wiki/Piédestal

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

.

Piédestal,  jardin romantique, statue

Quoi de plus classique :

Mais le tout est de savoir de qui il s’agit,

Et pourquoi, et à cet endroit !

.

Symbolique de fond

.

Une statue

Est un ouvrage en

3 dimensions représentant

En entier un personnage, animal,

Et  réalisé  dans  divers  matériaux

Pierre, bois, plâtre, métal, plastique.

.

On parle de statues pour des œuvres

De taille moyenne (égale ou

Supérieure à la moitié de

La taille naturelle, pour

Sculpture être humain,

À grande (la statue de la

Liberté atteint 92 m de haut) ;

Une plus petite est appelée statuette.

Wikipedia : statue

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un jardin à l’anglaise, à la française.

Vous avez  faux : rien  qu’à  l’italienne.

Romantique, s’il en est, par colonnades

Statues, temples  et autres monuments.

.

On s’y promène, on s’y détend,  délecte,

Comme si soudain,  on effaçait le temps

Qui s’étale en parterres fleurs,  plantes.

.

D’y rester le plus longtemps, vous tente

Le tout le long de sa charmante rivière

Avec, pour proche voisin…un château

Qui ne déméritera  pas d’être visité :

Ainsi s’achève une journée de rêve.

 .

.

Rocailles et temple ! 

.

Scénario

.

Belle entrée monumentale du jardin italien de Clisson.

Le jardin intérieur  et ses perspectives de verdures.

Le château fort de Clisson et pont sur la rivière.

.

Visuels et textuels >>

306 – Château de ma vie est sous mon chapeau

Visuels et textuels  >> 

.

Mais dites-moi : qui n’aura jamais rêvé,

Et, au moins, une fois dans sa vie,

D’un beau  château, à hériter,

De Bretagne, ou, d’Espagne,

Ou voire en … Cambrésis !

.

Je le vois, grand et large,

Avec belle allée arborée,

Donnant sur cour pavée.

Dites-moi : qui n’a rêvé,

Voire  une fois  en sa vie,

De château même virtuel,

Par une belle âme, habitée.

.

Pour  le  château de  ma vie :

Il réside sous  mon chapeau !

Il se porte bien, se porte haut,

Et c’est bien le seul qui me ravit

Il n’est pas de Bretagne ni Espagne

Tant il est partout, et dans  mon cœur,

Il m’aide, souvent, à trouver le bonheur,

Étant loin, d’une  prison, ou d’un bagne.

Montez le perron puis  essuyez vos pieds

Entrez  dans petit vestibule aux patères

Pied grand escalier, déposez vos gants,

Puis votre manteau et votre chapeau,

Vous y êtes petit salon vous attend.

.

Je n’envie pas châtelain enfermé,

Dans sa tour  par dédain d’autrui.

Mon château à moi, est plus réseau,

De mes amitiés, entretenues à loisir :

Et  il a autant, de chambres, de salons,

De cuisines, qu’il me plait de souscrire.

.

Rien n’est trop beau, rien n’est de trop

En mon château, où l’air est si pur,

Tout le monde  pourra y entrer,

Mais, quant  à  le … visiter,

Et plus encore,  à y rester,

C’est  une  autre  histoire :

Profiteur, par ici  la sortie !

.

Mon château à moi est en moi,

Et il ne se montre ni ne se détruit,

Son unique  porte  d’entrée, de sortie,

Est mon imaginaire à partager avec ceux

Qui ont trouvé la clef et tiennent à  l’habiter.

.

.

Extensions

.

Chaque espace humain, espace habité

Est de l’imaginaire en temps compressé.

On y a mis  tout ce qui  nous tient  à cœur

Couvrant parfois jusque cinquante années.

.

La mémoire  abrite  des châteaux  n’étant

Ni de Cocagne ni d’Espagne, de Bretagne

Mais le résumé d’une vie bien remplie

Qu’on oriente vers l’avenir pour

L’agrandir ou le rétrécir.

.

Une œuvre est aussi une sorte

De château où on partage les pièces

Avec ses lecteurs/spectateurs/acteurs

Une œuvre  est : un monde,  un univers

Qui  nous  reflète, et, nous  communique

Aux  autres,  et  qui, en  retour,  l’enrichit.

.

Château  virtuel  est  construction d’esprit,

Fait appel à l’imaginaire de chacun  et tous.

Lors mon château à moi est : chacun se doit

De le définir parvenir à le réaliser, l’habiter,

Qu’il soit comme il a souhaité pour évoluer.

.

Château et chapeau sont proches l’un de l’autre,

Un château défend son être, un chapeau, sa tête :

On peut mettre plusieurs chapeaux en un château,

Lors un seul peut prendre place sous votre chapeau

Ce dernier peut être petit ou grand, fort ou fragilisé,

Dans tous les cas, il répond à vos désirs et nécessités.

Il prend la forme que vous voulez car il n’est que rêvé.

.

Château de ma vie, sous mon chapeau :

On est en plein délire y a de quoi en rire

Mais si l’on pense qu’on peut  l’imaginer,

Rien n’empêche de le voir, tel qu’on veut !

.

Sous le chapeau n’est pas jouer du chapeau

Oui je sais, je joue là beaucoup sur les mots,

Mais où est la frontière entre écrire et délire,

Et pourquoi, images fantastiques, s’interdire !

.

Je vous invite en mon château sous mon chapeau.

Tentez de deviner ce qu’il est et à quoi il ressemble.

Je vous le donne en mille, il n’est pas fait en pierres :

Éclats d’existences est une œuvre purement virtuelle !

.

.

306 – Calligramme

 .

Mais dites-moi : qui n’aura jamais rêvé,

Et, au moins, une fois dans sa vie,

D’un beau  château, à hériter,

De Bretagne, ou, d’Espagne,

Ou voire en … Cambrésis !

.

Je le vois  C grand et large

Avec belle H  allée arborée

Donnant    A     cour pavée.

Dites-moi   T    qui n’a rêvé,

Une fois      E      dans sa vie,

De château  A  même virtuel,

Par belle      U   âme, habitée.

.

D  E            M A          V  I  E

Pour   le  château  de   ma vie :

Il réside sous  S  mon chapeau !

Il se porte bien   O  se porte haut,

Et c’est bien le seul  U  qui me ravit

Il n’est pas de Bretagne   S ni Espagne

Tant il est partout, et dans *   mon cœur,

Il m’aide, souvent, à trouver C le bonheur,

Étant loin, d’une  prison, ou   H d’un bagne.

Montez le perron puis  essuy   A ez vos pieds

Entrez  dans petit vestibule     P aux patères

Pied grand escalier, déposez   E  vos gants,

Puis votre manteau et votre   A chapeau,

Vous y êtes petit salon vous  U  attend.

.

Je n’envie pas châtelain enfermé,

Dans sa tour  par dédain d’autrui.

Mon château à moi, est plus réseau,

De mes amitiés, entretenues à loisir :

Et  il a autant, de chambres, de salons,

De cuisines, qu’il me plait de souscrire.

.

Rien n’est trop beau, rien n’est de trop

En mon château, où l’air est si pur,

Tout le monde  pourra y entrer,

Mais, quant  à  le … visiter,

Et plus encore,  à y rester,

C’est  une  autre  histoire :

Profiteur, par ici  la sortie !

.

Mon château à moi est en moi,

Et il ne se montre ni ne se détruit,

Son unique  porte  d’entrée, de sortie,

Est mon imaginaire à partager avec ceux

Qui ont trouvé la clef et tiennent à  l’habiter.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

306 4

.

Un pilier d’un château,

Ou alors un pied de table

Sculpté  en  bois tourné, 

Donjon vieux château

.

Un pied de table n’est ni un pilier

ni une tour ni donjon de château,

un chapeau encore moins : pointu

et lors forme se distingue du fond.

.

C’est juste l’histoire de prendre pied dans

Une romance à rêver !

Apparemment, rien à voir avec un château,

Ni avec un chapeau !

 .

Symbolique

 .

Le pied de table est un symbole

De force, de résistance et d’éternité.

Il est indestructible : cette force réside

Dans une vérité plutôt fondamentale :

Il soutient la terre et le ciel, il les relie.

Et il réunit le masculin  et le féminin.

Le pied symbolise l’axe  du monde.

Quand  nous  rêvons  d’un pilier,

Nous contemplons un principe

Immuable, une force relative

À nos convictions nouvelles.

Il s’agit d’une construction

Mentale, système cohérent

Qui viendra répondre à nos

Interrogations sur le monde.

Modifié, source : tristan-moir.fr/pilier

.

Descriptif

.

306 – Château de ma vie sous mon chapeau

Alignement central  / Titre serpente / Thème  habitat

Forme courbe /  Rimes égales   /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : Pied-table / Symbole de fond : château

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

306 6

Changer l’image ici

.

C’est juste l’histoire de prendre pied dans

Une romance à rêver !

Apparemment, rien à voir avec un château,

Ni avec un chapeau !

.

Symbolique 

 .

En faisant

Circuler dans son

Château   intérieur

Dans tous ses espaces

Latéraux et superposés,

Clos   et   ouverts,  décrits

Avec un talent  d’architecte,

Thérèse d’Avila       (1515-1582)

Rend compte de ce que peut l’âme.

.

Au long des trajets qu’elle emprunte,

L’âme mystérieusement accompagnée

De l’hôte qu’elle recherche  et découvre

Ses  propres  secrets, jusqu’à  l’ultime,

L’union mystique. En château intime,

On est libre d’entrer  et  se promener

À toute heure du jour ou de  la  nuit,

Sans que permission soit nécessaire.

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

On ne peut confondre, pied de table,

Et tour de château, même d’escalier.

Chapeau et chapeau vont ensemble.

Oui mais de quel chapeau s’agit-il,

De clown,  de sorcière,  de curé !

De quel château est-il question.

Ici c’est château en Espagne !

 .

.

Château ou chapeau

.

Scénario 

.

Vue en croquis d’intérieur de tour d’un vieux château …  médiéval.

Vue en croquis d’extérieur de tour  d’un vieux château … médiéval.

Photo réelle d’une tour, rénovée, d’un ancien château … médiéval.

 .

Visuels et textuels  >>

305 – Hutte de l’étang pour pêcher et chasser

Visuels et textuels  >>

.

Chasse, pêche, traditions.

 Ce slogan d’étang de Baralle

Où l’on chasse les migrateurs

D’une belle hutte de chasseurs,

Et où l’on pèchera,   avec ardeur,

D’une barque  remplie des leurres,

Comme écrins provenant ruisseaux,

Des sources et des fontaines, en eaux.

.

Étang aura grandi, aura creusé paisible

Abritant : des  poissons, truites,  gardons,

Oiseaux de passage, domestiques, nuisibles

Que l’on pèche  ou chasse, en toutes saisons :

Deux hectares d’eau, entourés  par peupliers ;

Le chemin de pierre, pour faire le tour, à pied ;

Des barques, planquées  … le long de ses berges,

Attendent fins rameurs …  pour ne pas s’y noyer.

.

Une hutte, bien camouflée, un chasseur héberge,

Pour tirer sur canards, qui viennent  s’y reposer !

J’ai pris barque, j’en ai fait le tour, puis le centre,

Pour autant, je n’ai pas pêché de poisson, sandre.

Cet étang est un lieu, de repos, de loisir et balade,

 Où des poissons prolifèrent, j’en suis déjà malade,

De savoir, qu’ils vont finir, frits en mets de choix,

Ou mangés par des oies ou des oiseaux de proies.

.

Les canards migrant vers le sud, ou, en  revenant

Pour s’y poser, s’y font piéger, par leurs appeaux,

Je ne donne pas cher, de leurs plumes et leurs os,

Si les chasseurs les guettent, à l’affut … les tirant.

Fortunes de  l’air  ou prélèvements cynégétiques,

L’arrêt brutal  de leur voyage s’achève : tragique.

La nuit, on entend, des grenouilles, des sarcelles,

Ou autres animaux grouillants, qui ensorcellent,

Chantant leur refrain, sans se soucier d’humains

Qui pêchent, repêchent, chassent, pourchassent.

.

La nature reprend ses droits, et ses lois et passe,

L’étang est fait, pour elle, voire pour notre bien.

J’ai remonté, en sa source, l’amont du ruisseau,

Me reposant,  à ses puits, ses mares, fontaines ;

Je me suis miré dans son eau claire et calcaire,

J’ai descendu l’aval jusqu’à jonction de rivière

Serpentant le long des talus pleins de chênes.

.

L’eau semble polluée des engrais de veines,

L’homme préserve cet ilot havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau et ses méfaits ;

En barque sur étang, hutte garnie

Je rame pour son écologie,

Je rame pour l’âme

Je rame.

.

.

Extensions

.

Je vous y invite, volontiers,

Pour faire le tour en entier,

Admirer votre reflet en eau

Ou ses chênes, et  bouleaux

Parant  sa nature, sauvage,

De doux parfum de liberté,

Sans entrave,  ramant sur

Un bateau, voire à l’affut,

En hutte où l’eau semble

Polluée  par des engrais

L’homme préserve ilot.

.

Havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau

Et ses méfaits ;

En barque, sur étang,

C’est un bienfait

Hutte garnie, je rame

En  parfait !

 .

Que ce soit pour la pêche ou pour simple promenade,

La barque vous transporte sur un élément liquide, calme,

Propice au repos, à la sieste, à la rêverie, voire romancerie !

Vous serez l’écoute d’une nature humide, limpide et… belle,

À moins de vous perdre, enfoncer en un marais saumâtre.

Bruit des rames, touchant l’eau pour la pousser, diriger,

Vous inspirera sensations d’écoulements de votre vie,

Dont vous maîtrisez ses  étapes ou qui à vau-l’eau.

Dans les deux cas, cette pause sera bénéfique

Comme parenthèse d’activités ludiques.

.

Un plan d’eau quel qu’il soit

Qu’il soit naturel  ou artificiel,

Soit petit ou grand, nu ou boisé,

Attire toujours amoureux de nature

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Ici, il est souvent tranquille, étant isolé

On y voit des canards, des oiseaux d’eaux

On peut piqueniquer sur ses berges boisées

S’y reposer en regardant peupliers à l’envers.

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J’ai mis les pieds en une barque, me suis arrêté

Au milieu de l’étang, comme en panne d’énergie

J’y ai cueilli des nénuphars blancs,  tomber failli,

Et je n’étais pas d’humeur à nager ni à m’y noyer.

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305 – Calligramme

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HUTTE D’ÉTANG POUR

Chasse, pêche, traditions.

 Ce slogan d’étang de Baralle

Où l’on chasse les migrateurs

D’une belle hutte de chasseurs,

Et où l’on pèchera,   avec ardeur,

D’une barque  remplie des leurres,

Comme écrins provenant ruisseaux,

Des sources et des fontaines, en eaux.

Étang aura grandi, aura creusé paisible

Abritant : des  poissons, truites,  gardons,

Oiseaux de passage, domestiques, nuisibles

Que l’on pèche  ou chasse, en toutes saisons :

Deux hectares d’eau, entourés  par peupliers ;

Le chemin de pierre, pour faire le tour, à pied ;

Des barques, planquées  … le long de ses berges,

Attendent fins rameurs …  pour ne pas s’y noyer.

Une hutte, bien camouflée, un chasseur héberge,

Pour tirer sur canards, qui viennent  s’y reposer !

J’ai pris barque, j’en ai fait le tour, puis le centre,

Pour autant, je n’ai pas pêché de poisson, sandre.

Cet étang est un lieu, de repos, de loisir et balade,

 Où des poissons prolifèrent, j’en suis déjà malade,

De savoir, qu’ils vont finir, frits en mets de choix,

Ou mangés par des oies ou des oiseaux de proies.

Les canards migrant vers le sud, ou, en  revenant

Pour s’y poser, s’y font piéger, par leurs appeaux,

Je ne donne pas cher, de leurs plumes et leurs os,

Si les chasseurs les guettent, à l’affut … les tirant.

Fortunes de  l’air  ou prélèvements cynégétiques,

L’arrêt brutal  de leur voyage s’achève : tragique.

La nuit, on entend, des grenouilles, des sarcelles,

Ou autres animaux grouillants, qui ensorcellent,

Chantant leur refrain, sans se soucier d’humains

Qui pêchent, repêchent, chassent, pourchassent.

La nature reprend ses droits, et ses lois et passe,

L‘étang est fait, pour elle, voire pour notre bien.

J‘ai remonté, en sa source, l’amont du ruisseau,

Me reposant,  à ses puits, ses mares, fontaines ;

Je me suis miré dans son eau claire et calcaire,

J‘ai descendu l’aval jusqu’à jonction de rivière

Serpentant le long des talus pleins de chênes.

L‘eau semble polluée des engrais de veines,

L‘homme préserve cet ilot havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau et ses méfaits ;

En barque sur étang, hutte garnie

Je rame pour son écologie,

Je rame pour l’âme

Je rame.

PÊCHER, CHASSER  

 

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Forme

Réduction

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Évocation 

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305 4

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Menhir qui serait monté  à l’envers,

Une pomme de pin    en plein hiver,

Une forme de barque à fond plat,

 pour pouvoir pécher sur un étang.

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Barque, étang et hutte, chasse et pêche,

Autant de mots nature

Qui caractérisent un tel lieu de repos

Et de loisir champêtre.

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Symbolique 

 .

Barque est  symbole de changement,

On l’empruntera  pour passer d’une rive

À une autre, donc d’un état … à  un autre.

État est en référence avec état émotionnel,

L’eau traversée est  symbole de sentiments.

Si l’eau  est calme, et, si la balade agréable,

C’est que tu abandonnes un comportement,

Une vieille habitude, émotion désagréable

Que tu t’améliores : mieux dans ta tête,

Tu as comme désir de te débarrasser

De certains comportements et

De découvrir des nouvelles

Facettes personnalité

Comme en rêve

En éveillé

V

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/barque

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Descriptif

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305 – Hutte d’étang pour pêcher, chasser    

Alignement central  / Titre absent / Thème  habitat

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : barque / Symbole de fond : étang

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Fond

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Évocation 

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305 6

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Barque, étang et hutte, chasse et pêche,

Autant de mots nature

Qui caractérisent un tel lieu de repos

Et de loisir champêtre.

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Symbolique 

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L’étang est une surface d’énergie

Contenue, stagnante, riche de potentiel.

C’est parfois une forme dépressive qui a pu

Être contenue et devenue une richesse.

« Ceci étant ». C’est donc une nature

De soi connue, mais canalisée.

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Il faut associer à l’étang toute

Symbolique de l’eau : à l’eau

Calme s’oppose  l’eau rapide

Comme à l’étang la cascade,

À l’eau  lustrale  du baptême

L’eau épaisse, croupissante,

Limoneuse que la poétique

d’Edgar Poe a vite fait de

Confondre avec le sang.

mediations-aquatiques.com/

la-symbolique-de-l-eau-2.html

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Corrélations

Fond/forme 

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Qui dit en barque sur un étang

Évoque un fond de romantisme

Sinon de pêche, voire de chasse

À chacun son loisir, après tout !

Moi, j’aime bien en faire le tour

M’y asseoir pour le contempler

Et c’est déjà belle randonnée !

 .

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Étang entouré zone de chasse

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Scénario

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Une hutte en bord d’étang : pêche, chasse ou les deux.

Bords de l’étang : agréables et même pour picnic en barque.

Trois barques, étendue de l’étang, vue sur le village tout au fond.

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Visuels et textuels  >>