1074 – Faites-moi rire, jusqu’à en pleurer

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Rire est un réflexe

Rire est  un besoin,

Faire rire est un art,

Rire est une thérapie

Rire, de  soi,  de  rien,

De tout,  fait  du  bien,

.

Quand on  en a  marre,

De ce qui  est complexe,

Qu’on  ne voit  plus  loin,

Qu’on se dit, ben tant pis.

Rire, comme  un   malade,

Vous redonne moral, santé.

.

Faites-moi rire

Jusqu’à en pleurer

Tant une heure de rire

Déstressera rude journée

Bien plus que verre de vin,

Voire même que petit joint !

.

Faites-moi rire

À mourir de plaisir

Tant une heure de rire

Augmentera mon désir,

Vivre en réelle harmonie,

Avec ma famille, mes amis.

.

Faites-moi rire

À me tordre ventre

Tant une heure de rire

Me guérira de ces maux,

Qui me rincent les boyaux,

Me donnent froid dans le dos.

.

Faites-moi rire

Et aussi en sourire

Tant une heure de rire

Est une potion magique,

Qui changera mon humeur,

Me procurera instant bonheur.

.

Faites-moi rire

Avec votre fou rire

Qui… n’en finira pas

De gagner l’assemblée

Une heure sans s’arrêter,

Jusqu’à la cloche ait sonné.

.

Ces rires, divers

Et en formes de vers

Vous sont ici adressés,

Pour que vous puissiez,

En rire… tout à votre aise,

De moi, ne vous en déplaise.

.

Extensions

 .

Le rire est un comportement oral

Qui va bien avec la parole et le geste

Et qui va beaucoup moins avec le texte.

Il nécessite, la plupart du temps, un public

Qui accentue ou diminue les situations drôles.

Il y a une mise en scène  du rire, du comique

Qui tient des arts et des artistes du théâtre.

.

Le rire intérieur, différent du sourire

Qui demeure expressif, souvent

Subtil mais, parfois, commercial,

Est un état mental joyeux et facétieux

Comme si l’on ne se prenait pas au sérieux,

L’on se moquait de soi-même où de la situation

Où l’on se trouve, où l’on s’est mis,  de soi-même !

.

Par ailleurs, le rire possède la vertu thérapeutique

De se déstresser, combattre l’anxiété, la déprime

Il s’agit alors d’un rire, provoqué, auto-stimulé,

Mais il est conseillé de le pratiquer en groupe

Pour bénéficier d’entrainement des autres.

Un quart d’heure de rire, à gorge déployée,

En respirant profondément entre chaque séquence,

Vaudrait, parait-il, deux à quatre heures de repos ?

.

Pleurer à force d’en rire

Pour arrêter un fou-rire,

Et pouvoir enfin, sourire,

Après  un profond soupir,

J’en ris de me voir si belle

 En ce miroir, chante-t-elle

La Castafiore dans Tintin

Avant de faire déchanter

Son miroir, à en pleurer

.

Fragments

.

Rire à en pleurer,

Ça ne peut arriver,

Ou on rit, on pleure,

Mais pas … les deux !

.

Et pourtant, à force de rire

Les yeux se mettent à couler,

Non pas de tristesse, détresse,

De joie en larme pour se libérer.

.

On peut pleurer avec des chatouillis

Au début, font rire comme un damné,

Avec le temps le corps n’en pouvant plus

Pour arrêter,  il devra se mettre à pleurer.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

FAITES – MOI

Rire est un réflexe

Rire est  un besoin,

Faire rire est un art,

Rire est une thérapie

Rire, de  soi,  de  rien,

De tout,  fait  du  bien,

Quand on  en a  marre,

De ce qui  est complexe,

Qu’on  ne voit  plus  loin,

Qu’on se dit, ben tant pis.

Rire, comme  un   malade,

Vous redonne moral, santé.

RIRE,

Faites-moi rire

Jusqu’à en pleurer

Tant une heure de rire

Déstressera rude journée

Bien plus que verre de vin,

Voire même que petit joint !

Faites-moi rire

À mourir de plaisir

Tant une heure de rire

Augmentera mon désir,

Vivre en réelle harmonie,

Avec ma famille, mes amis.

JUSQU’À

Faites-moi rire

À me tordre ventre

Tant une heure de rire

Me guérira de ces maux,

Qui me rincent les boyaux,

Me donnent froid dans le dos.

Faites-moi rire

Et aussi en sourire

Tant une heure de rire

Est une potion magique,

Qui changera mon humeur,

Me procurera instant bonheur.

EN PLEURER 

Faites-moi rire

Avec votre fou rire

Qui… n’en finira pas

De gagner l’assemblée

Une heure sans s’arrêter,

Jusqu’à la cloche ait sonné.

Ces rires, divers

Et en formes de vers

Vous sont ici adressés,

Pour que vous puissiez,

En rire… tout à votre aise,

De moi, ne vous en déplaise.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Bracelet de montre où mailles

S’enchaînent pour vous

Faire un tour… du bras

Si ce n’est pendable.

.

1074 4

.

Les rires qui se suivent et s’enchaînent

 Finissent parfois en pleurs :

Pleurs de joie, pour sûr, tant mon corps

Est saturé de toutes chaines.

.

Symbolique    

La «chaîne symbolique» signifie

À la fois  un mouvement  et  des étapes :

Représentation, substitution, communication

Se construit, sans une solution de continuité,

Depuis  les  premiers  symboles  corporels

Jusqu’au symbolisme de la langue écrite.

 .

Il n’y a pas de « pré-langage », pas plus

Que   de   « prérequis »   au    langage :

Le  langage   corporel  est  un  langage

Anticipateur de la langue orale et écrite.

 .

Les différentes  étapes  de  la construction

De cette fonction qui ……. « s’enchainent »,

S’emboîtent, comme les maillons d’une chaîne.

etudier.com/dissertations/Chaîne-Symbolique/356257

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1074 6

.

Les rires qui se suivent et s’enchaînent

 Finissent parfois en pleurs :

Pleurs de joie, pour sûr, tant mon corps

 Est saturé de toutes chaines.

.

Symbolique 

.

Le mot «chaîne»

Est lié au cadenas,

Aux entraves

Verrouillées dont

Il est impossible

 De se libérer,

Symbolise

L’emprisonnement

Bien plus encore : servitude.

Et de briser les chaînes signifie

Se libérer,    de  toute  contrainte.

Au figuré,  elle  évoquera solidarité

Lorsqu’on  se donnera  la main  pour

Former une  longue  chaîne  d’union.

À l’image de ces  anneaux assemblés

Les uns  aux autres, les personnes

S’unissent alors en fraternité,

Donner main à quelqu’un

C’est aider, soutenir !

Modifié, source : 1001 symboles

 .

 

.

Fond/forme 

Chaine et rire ne vont pas ensemble :

Le rire suppose un minimum de liberté,

Avec certaines limites à ne pas dépasser,

Qu’on apprend au fil du temps, expérience

Le rire aurait cette propriété de déchainer

Notre aliénation, notre stress, ras-le-bol

De renouveler l’énergie emprisonnée

En nous qui empêchera d’avancer

Pleurer peut faire même effet.

.

Textuels et illustrations  >>

1073 – J’ai le cœur à rire, l’esprit à pleurer

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Des émotions,

Des  sentiments,

Pensées contraires

M’envahissent, sans

Que je puisse rien faire

Torturé par  injonctions

Des plus contradictoires,

Et tous blancs  ou noirs.

.

J’en pleure, de rire

Et j’en ris  à  pleurer,

Sans  vraiment savoir

Si cela va bien s’arrêter,

Lorsque le vent emporte

Tous instants, d’éternité

Frappant cœur,  esprit,

Tous deux contrariés.

 .

J’ai le cœur à rire et j’ai l’esprit à pleurer,

Lors je vois d’où je viens, et où je vais,

Le cœur à rire…il me faut bien vivre,

Chaque instant qui passe un peu ivre

D’émotion qui m’envahit, à ma …  joie

D’être au monde, chasseur et non proie !

.

Le passé ne sert à rien, et avenir, incertain :

Il n’y a là, rien d’autre que … d’humain,

Nous sommes tous en mêmes galères

Et nous prétendons tous être…frères,

C’est le moment d’une union … sacrée

Qui, seule, nous fera sortir de ce merdier !

.

Une dette faramineuse nous aura plombés,

Question est maintenant, qui va payer :

Les autres de préférence ou bien tous

Mais au profit de qui et là, on tousse,

Et rien ne nous garantira que les mêmes

L’ayant provoqué, non riches à l’extrême !

.

L’Europe du Nord résisterait bien … mieux

Que celle du sud, qui fera, encore, la fête,

Alors que tout s’écroule, sous leur pied,

Et qu’il faut se hâter vite de les sauver,

Partagée en deux, France est au milieu :

De quel côté ira-t-elle tourner… les yeux !

.

Extensions

 .

J’ai le cœur à rire, j’ai l’esprit à pleurer

Je passe de l’un à l’autre sans me fixer

Tant je me dis que la Politique est,

Tout comme la langue d’Ésope,

La meilleure et la pire des choses,

Tantôt elle nous enfonce, tantôt sauve.

.

Ah, elle me dira de garder mon sang froid,

Toute ma raison et de faire taire mes émotions,

Qu’on s’en tirera, ils sont là pour ça : c’est pas faux,

Mais je sais que cela recommencera car c’est le système

Lui-même qui génère ces états là et ce sont les mêmes

Qui produisent, et qui répareraient, les dégâts.

Et à qui profite cela, allez donc savoir :

Pas à l’humanité … en tous cas.

.

Le cœur et l’esprit peuvent être en inversion de phase

« Je suis très attiré par, mais j’ai peur de me tromper »

Il n’y a pas toujours de solution évidente à ce problème

Et les relations d’incertitudes  ne vont pas nous y aider :

 Il faut décider par soi-même : où est le bien où est le mal.

.

Le langage humain a ceci d’étrange, particulier,

Il est non seulement polysémique,  interprétable

Mais entaché de parties d’erreurs  et  de vérités !

.

Ce qui donne  des  innocents, déclarés  coupables,

Contre des coupables  qui se déclarent  innocents,

Le langage du juge  ne serait pas : vérité suprême.

.

Tout est une question de chiffres, de statistiques :

Le nombre, objectif, a pris l’avantage sur les mots,

Dont on se méfiera de par leur caractère subjectif.

.

Voilà qui fait que ce qui me donne le cœur à rire,

Me donnera, en fin du compte, l’esprit à pleurer.

.

Fragments

.

Le cœur à rire, c’est de l’émotion ;

L’esprit à pleurer, c’est de a raison,

Lequel des deux, devrais-je écouter :

Un doute survient, à m’en demander.

.

Découvertes en neurosciences expliquent

On peut passer de vision «achromatique»

En noir et blanc de nos processus cognitifs

À une représentation colorée,  enluminée

Par des processus émotionnels divers.

.

L’un influence l’autre  pour sortir,

De dilemme  qui ne pourra durer

Les émotions seront transitoires

Les sentiments, idées, durables.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

J  ’  A   I

 L  ………….

………….

Des   E  émotions…

Et  sen  S     timents…

 Pensées     P   contraires…

M’envahis     R    sent, sans…

Que je puisse     I      rien faire….

Torturé par in   T    jonctions…

Des plus contra  *       dictoires,

Où, tous blancs      À             noirs…..

Et j’en pleure            *            de rire ….

Et j’en ris à                P            pleurer ….

Sans vrai                    L       ment savoir

Si cela va bien         E         s’arrêter.

Lorsque, le vent     U        emporte

Chaque instant,   R       éternité

Frappant cœur   E        esprit

Tous deux con  R  trariés

 .

E  T  L E    C  Œ U  R     À     R   I  R   E 

J’ai le cœur à rire et j’ai l’esprit à pleurer,

Lors je vois d’où je viens, et où je vais,

Le cœur à rire…il me faut bien vivre,

Chaque instant qui passe un peu ivre

D’émotion qui m’envahit, à ma …  joie

D’être au monde, chasseur et non proie !

.

Le passé ne sert à rien, et avenir, incertain :

Il n’y a là, rien d’autre que … d’humain,

Nous sommes tous en mêmes galères

Et nous prétendons tous être…frères,

C’est le moment d’une union … sacrée

Qui, seule, nous fera sortir de ce merdier !

.

Une dette faramineuse nous aura plombés,

Question est maintenant, qui va payer :

Les autres de préférence ou bien tous

Mais au profit de qui et là, on tousse,

Et rien ne nous garantira que les mêmes

L’ayant provoqué, non riches à l’extrême !

.

L’Europe du Nord résisterait bien … mieux

Que celle du sud, qui fera, encore, la fête,

Alors que tout s’écroule, sous leur pied,

Et qu’il faut se hâter vite de les sauver,

Partagée en deux, France est au milieu :

De quel côté ira-t-elle tourner… les yeux !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Visage d’homme,

Vu de profil, riant,

Soucieux et rempli

D’incertitudes ?

.

1073 4

.

V

Émotions peuvent êtres diverses

Et voire même  contradictoires :

Ce qui provoque, en nous, l’état

 D’interrogations, incertitudes.

Homme est un être d’incertitudes

plein de croyances, fausses vérités

dans lesquelles il tente de surnager :

aussi sa forme correspond à son fond.

 .

Symbolique 

 .

Le cerveau

Est l’organe des émotions :

Il donnera naissance à la joie,

La tristesse,  la peur,  la colère,

La  surprise     ou    le    dégoût.

Comment ces affects sont-ils

 Mis en relation

Sont-ils placés  sous

Le contrôle de la raison ?

Découvertes en neurosciences l’expliquent

On peut  passer d’une vision «achromatique

En noir et blanc  des processus dits cognitifs

À une représentation plus colorée, enluminée

Par nombre de processus émotionnels divers.

Magazine Cerveau et Psycho

.

.

Fond

 

Évocation

.

.

Émotions peuvent êtres diverses

Et voire même  contradictoires :

Ce qui provoque, en nous, l’état

 D’interrogation, incertitude.

 .

Symbolique de fond

 .

L’incertitude, contraire de certitude,

Fait de ne pas être sûr de quelque chose.

En   Sciences, et   surtout   en   métrologie,

Incertitude désigne la marge d’imprécision

Sur valeurs de mesures grandeur physique.

 .

En  psychologie, l’aversion  à  l’incertitude,

Forme d’aversion  au risque, est la crainte

Assez  répandue  qu’en  cas  d’incertitude

Situation pourtant générale dans la vie

Et dans la société et comme dans tout

Système dynamique, plus à perdre

Qu’à gagner, d’où les tentatives  

De  maintenir  le  statu  quo.

wikipedia.org/wiki/Incertitude

.

.

Fond/forme 

 .

On ne peut vivre, en permanence, en incertitude :

La charge mentale serait trop lourde, déprimante

On risque de passer sans cesse du rire aux larmes

Ce qui causerait l’instabilité d’humeur ingérable !

.

Nous vivons souvent en une recherche d’équilibre

Que d’aucuns appelleront : sérénité, homéostasie.

Les émotions contradictoires sont plus fréquentes

Chez les jeunes enfants qui ne les contrôlent pas.

.

Chez l’adulte, passage rapide du rire aux pleurs

Sera un signe de forte instabilité  des humeurs.

Si l’on rit, ou pleure, tout le temps pour un rien

On n’est pas loin du burn out, voire dépression.

.

Textuels et illustrations  >>

1072 – Onde de vie me parcourt de pulsations

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Sommes fait molécules

Se rassemblant en cellules

Et en ondes   qui les agitent,

Lors, c’est moi, qui en profite.

Du plus micro    au plus macro.

.

Organisme vivant,  il en est ainsi

L’onde de vie me tient compagnie,

Jusqu’à, de ma mort, coup de faux.

L’onde qui nous vient du Big Bang

Nous y renvoie et par réflexions,

Suscite en nous la réflexion

Sur  la vraie origine

Du Monde !

.

Une onde de vie me parcourt de ses pulsations

Qui proviendraient d’une origine de notre monde.

Je suis un héritier d’un Big-Bang   et sans raison,

Lors mes molécules et mes particules, s’agitent.

Elles ne font que  se rassembler, à travers moi,

Et se complexifier en un petit cœur qui palpite,

Face au milieu, face  autres et à l’adversité.

.

Me voici au fait d’une  pyramide d’ondes,

Et à rechercher le pourquoi du comment.

Je suis l’animal, de cette unique  identité,

Et répliqué par un programme transmis,

Je disparais, mort ; sans  laisser de trace.

.

L’Humanité est  comme  un seul homme,

Qui, par fer et feu, aura conquis la Terre

Et se serait  promis d’explorer l’Univers,

Pour, si possible, y  rencontrer …Dieu.

Onde créée par   le Big-Bang, précède

Et suivra l’aventure Humaine, finie.

.

Ses pulsations en nous, résonnent,

Encore des matières  des galaxies,

Et nous sommes l’œil, et l’oreille,

Qui contemplons cette merveille

Comme une musique  d’images,

Que nos instruments entonnent

Jusqu’au   plus  haut  des  cieux.

.

Onde nous crée,  autre nous tue,

Elles font chauffer notre cerveau

Lors cancer, mutation génétique

Nous attendent : leurs tragiques

Conséquences  seraient  craintes,

Comme des châtiments d’un dieu.

.

Le plus rassurant, c’est, qu’en tout,

Y a autant de poésie que d’énergie

Et c’est ce qui me surprend le plus,

Dans onde, il y a  d’autres mondes.

Onde de vie, par  court de pulsations

Mon corps,  comme en tout  l’Univers

Microscope d’un monde… macroscope.

.

Extensions

 .

Je sens des pulsations

Comme autant de palpitations

De mon cœur qui varie en rythme

En fonction de mes émotions autant

Que de mes efforts et, qui parfois,

Conjuguées, s’affole et font

Augmenter mon stress et

Ma tension ou le contraire,

La font baisser au point que je

Me sens las, fatigué, vite déprimé.

.

Nous sommes tous composés d’ondes, d’atomes, molécules,

Et de croire qu’on est fait de tas d’autres choses serait ridicule

Ce n’est pas parce qu’on n’est pas conscient, qu’on ne les reçoit,

Ces ondes de vie, que l’on sentira, tantôt positives ou négatives.

Ceux qui sont hypersensibles sont considérés comme médiums

Capables de capter et de transmettre l’énergie à son optimum.

On y croit ou non n’y croit pas mais l’hypnose est l’acte en soi,

Qui démontre que par onde de voix ou peut prendre contrôle

Sur une autre conscience et la faire résonner dans le passé.

.

Nous serions, tous, remplis d’ondes,

Et traversés par de nombreuses autres

Hypersensibles en savent quelque chose

Qui, un usage du smartphone, ils n’osent.

.

Ondes mécaniques se propage en matière

Ondes électromécaniques en l’atmosphère,

Ondes cérébrales : alpha, béta, thêta, delta,

Régissent et notre activité et notre sommeil.

.

Pour nous débarrasser de toutes nos ondes

Il faudrait vivre dans une cage de Faraday,

Je vous y vois, vous, avec vos non, vos mais

De vous priver de toutes communications !

.

Fragments

.

Ondes de vie, chants, musiques, paroles

Et jusqu’au théâtre, au cinéma, poèmes :

Vibration du corps devance, suit l’esprit,

On est pris dans une bulle qui nous ravit.

.

Quand l’onde de vie est forte et puissante,

Elle est remplie de tant d’énergie positive,

Qu’elle peut aider  à la guérison  maladies

Psychosomatiques …  en chacun de nous !

.

La poésie, par association, correspondance,

Fait lien symbolique entre monde sensations

Et monde des idées plus ou moins abstraites,

Pour transcender la réalité, par l’imaginaire !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Sommes fait molécules

Se rassemblant en cellules

Et en ondes   qui les agitent,

Lors, c’est moi, qui en profite.

Du plus micro    au plus macro.

 Organisme vivant,   il en est ainsi

L’onde de vie me tient compagnie,

Jusqu’à, de ma mort, coup de faux.

L’onde qui nous vient du Big Bang

Nous y renvoie et par réflexions,

Suscite en nous la réflexion

Sur l’origine

 Du Monde !

Une onde  de vie  me   parcourt   de ses  pulsations

Qui proviendraient  O     d’une origine de notre monde.

Je suis un héritier     N   d’un Big-Bang   et sans raison,

Lors mes molécules    D       et mes particules, s’agitent.

Elles ne font que  se      E       rassembler, à travers moi,

Et se complexifier en     *       un petit cœur qui palpite,

Face au milieu, face        D           autres et à l’adversité.

Me voici au fait d’une       E           pyramide   d’ondes,

Et à rechercher le pour     *          quoi du comment.

Je suis l’animal, de cette   V         unique   identité,

Et répliqué par un prog     I       ramme transmis,

Je disparais, mort ; sans   E       laisser de trace.

L’Humanité est comme    *      un seul homme,

Qui par fer et feu  aura   M    conquis la Terre

Se serait  promis  d’ex  E     plorer l’Univers,

Pour, si possible,  y    *    rencontrer  Dieu !

Onde créée par       P le Big-Bang, précède

Et suivra l’aven    A   ture Humaine, finie,

Ses pulsations    R     en nous, résonnent,

Encore des ma  C      tières  des galaxies,

Et nous som    O    mes l’œil, et l’oreille,

Qui contem     U    plons cette merveille

Comme une    R     musique  d’images,

Que nos ins     T   truments entonnent

Jusqu’au plus   *        haut   des cieux !

Onde, nous       D          crée, autre tue,

Font chauffer    E           notre cerveau,

Cancer et muta   *          tion génétiques

Nous attendent   P     et leurs tragiques

Conséquences      U     seraient craintes,

Comme des châti  L     ments d’un dieu.

Le plus rassurant  S       c’est qu’en tout,

Y a autant de poé   A      sie que d’énergie

Et c’est ce qui me   T       surprend le plus,

Dans onde, il y a     I        d’autres mondes.

Onde de vie, par     O     court de pulsations

Mon corps,  com     N      me en tout Univers

Microscope  d’un     S      monde macroscope.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Silhouette d’un humain,

Immobile et qui reçoit

Des ondes de vie 

Jusqu’à mort !

.

1072 4

.

Ondes de vie proviennent de l’extérieur,

 Autant que d’intérieur,

Elles se rassemblent, se conjuguent ou non

En de vraies pulsations.

.

Symbolique

.

Toutes les

Vibrations sont

 Un  tout  dans

 L’Univers,

En Monde de basses

 Et  de   hautes  fréquences,

Création de tout instant où se vit

La vérité   toute nue   ou   l’illusion.

Chacun a accès  à ces ondes de vie

Qui partent à chaque instant car elles

Sont créées par vos pensées, et paroles

Et actions, où chaque être  est  pourvu

De la    toute-puissance   de   l’Univers

Et il doit donc aujourd’hui connaître

La portée de toutes ses créations.

Toute onde de    vie demeure forte,

Elle reste puis      sante, et elle définit

Une  puissance            d’énergie   afin que

Vienne guérison               en chacun de nous !

source : audeladesmots.org/?tag=londe-de-vie

.

.

Fond

Évocation 

.

1072 6

.

Ondes de vie proviennent de l’extérieur,

Autant que d’intérieur,

Elles se rassemblent, se conjuguent ou non

En pulsations de poésies.

.

Symbolique

.

La poésie   symbolique  chercherait  à vêtir

Idée, forme sensible qui, bien que n’étant pas

Son but premier servirait autant à l’exprimer

Qu’à rester, plus ou moins, sujette à la  forme.

 .

Il faut  faire  preuve  d’une belle  concentration

Pour comprendre  les  liens  avec le symbolisme

Parvenant à dépasser opposition entre réalisme,

Qui accordait  son attention aux objets matériels,

Idéalisme affirmant supériorité formes abstraites

Et représentation mentale sur toutes les matières.

 .

Ceci, à travers la notion même de correspondances

Faisant, trouvant  lien entre monde  des sensations,

Et le monde des idées ……  plus ou moins  abstraites.

Manifeste du Symbolisme de Jean Moréas. 1886

 .

.

Fond/forme 

 .

Des ondes de vie : qu’est-ce que cela ?

Viendraient-elles de nous, de l’univers.

.

Sont-elles barrages aux ondes de mort

Certains  parlent  de pulsations de vie,

Comme si on était bouillant d’énergie.

.

Parait qu’écrire un poème, en fournit

J’aurais plus que tendance à  y croire

Pour avoir confirmé propre histoire !

.

Textuels et illustrations >>

1071 – Le rire en bouche avec larme à l’œil

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Rire

 Reste

Sourire

Intérieur,

Lors pleurer

Sans      larmes,

Un visage  fermé

On pleure  de rire,

On rit  aux  larmes,

Lors  mot   d’esprit,

Surprend,  désarme,

Et ce  jusqu’à ce que

L’on se tord le corps

Suite à un…fou-rire

Com-mu-ni-ca-tif !

.

J’ai le rire …en bouche,

La larme à l’œil en fête,

Si ce n’est le…contraire,

Lors je suis en… douche,

N’ai rien  d’autre, à faire,

Que de me laver … la tête

De toutes pensées noires,

Qui me hantent des soirs,

Jettent en  vrai désespoir.

.

Quand je suis en errance,

Ou je suis  en  souffrance,

J’attends ma … délivrance

En sortant de ma coquille

Pour boire bonne humeur

Pour dissoudre  les peurs,

Quand verres s’enquillent

Avant affronter  le monde

Autour me perçant à jour.

.

Lors j’ai  le  rire  en  bouche

J’ai la larme  à l’œil, en fête,

Tant  mes succès  et défaites,

Croulent  sous pleine douche

Et  jusque  sous  mes aisselles

Comme  une eau  de vaisselle,

Savonné,  lavé,  frotté, purifié,

Je brille, comme un ostensoir !

.

Miasmes se seront tous fondus

Errance, souffrance… désespoir

Se sont évacués et ont disparu :

Leur délivrance m’a… régénéré,

Séché, pomponné et … parfumé,

Me voilà   un tout autre homme,

En mâle heureux… tout comme,

Qui ne demande qu’à… assouvir

Un irréductible désir de  séduire

Le miroir qui sert à… l’admirer !

.

Extensions

 .

J’ai le rire en bouche, la larme à l’œil,

Le nez en fête, je m’éclate ou je m’écarlate

Ou j’épate mon visage, en somme, ce dernier

Devient un livre ouvert sur mes états intérieurs

Que je ne pourrai masquer à personne, du moins

À ceux qui me connaissent et qui me fréquentent.

.

Cela rappelle la comédie tragique, tragi-comédie,

Cette manière de mélanger des actes et humeurs

Contraires dans un scénario au sein d’une scène

Afin de détendre  l’atmosphère, insoutenable

Lors d’un acte qu’on juge injuste ou cruel.

.

Cela rappelle le «rire jaune», expression

Pour une personne tentant de se forcer

À rire, afin de calmer sa colère ou ne

Veut pas montrer qu’elle est vexée.

.

C’est tout le contraire de « rire aux larmes ».

Les clowns sont les champions du «faire rire»

Les autres sont souvent tristes à l’intérieur

D’eux-mêmes : ceci compenserait cela !

.

Rire, pleurer en même temps, est-ce vraiment possible.

Oui si ce sont des larmes de joie qu’on ne pourrait retenir,

Non, si le rire et les larmes seront  des signes de sidération.

Joie et tristesse  peuvent se mélanger, comme se disjoindre :

Chez  les  enfants, on voit les deux, alternativement, poindre.

Certain que le fou rire n’est empreint d’aucune ambivalence,

Certain aussi qu’une larme  marquera un bonheur inespéré

En somme que l’extrême qu’on pourra décoder, évidence :

Pleurer de déception n’est pas rire de situation absurde.

.

Rire et pleurer, et à volonté, reste ce talent

D’acteur chevronné, habitué à faire passer

Une émotion sur son visage, authentique !

.

Enfants en bas âge, ont aussi cette faculté

Mais parce qu’ils ne maitrisent émotions,

C’est la manière d’attirer notre attention.

.

Il existe des visages,  inémotifs, placides,

Lors vous ne les verrez ni rire ni pleurer,

Ils sont autistes, insensibles, amorphes !

.

Fragments

.

Rouge à lèvres  et  sourire  vont  ensemble

Mais rire et larme ne s’en approchent pas

On dira que les premiers sont des aides,

Et  ainsi  la  forme  évoquerait  le fond.

.

Comment pouvons-nous avoir émotions

Contraires sans être soi-même contrarié.

.

Y a de quoi se faire des nœuds en cerveau,

Formulant autant d’oxymorons usant mots.

.

Pour l’émotion, le cerveau agit en bas niveau

Elle se déclenche, malgré nous, sans contrôle.

.

Les yeux et la bouche ne sont pas synchrones,

On peut avoir un sourire avec bouche en coin,

Et les yeux restant froids, neutres, insensibles,

Vérifiez-le chez vendeurs, vendeuses, magasin.

.

Le sourire est accentué par un  rouge aux lèvres

Surtout s’il tire sur le rouge et est bien applique

De mêmes pour les yeux,  sur les paupières, cils,

Les deux renforçant l’expression,  comme loupe.

.

Mais on peut très bien s’entrainer comme acteur

En simulant des variations d’émotions complexes

Qui n’ont rien à voir avec leurs états émotionnels,

Cela s’appelle, jouer la comédie ou les apparences.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

LE

Rire

 Reste

Sourire

Intérieur,

Lors pleurer

Sans      larmes,

Un visage  fermé

On pleure  de rire,

On rit  aux  larmes,

Lors  mot   d’esprit,

Surprend,  désarme,

Et ce  jusqu’à ce que

L’on se tord le corps

Suite à un…fou-rire

Com-mu-ni-ca-tif !

RIRE EN BOUCHE,

J’ai  le rire …  en bouche,

La larme, à l’œil en fête,

Si ce n’est le … contraire,

Lors je suis en… douche,

N’ai rien  d’autre, à faire,

Que de me laver … la tête

De toutes pensées noires,

Qui me hantent des soirs,

Jettent en  vrai désespoir,

Quand je suis en errance,

Ou je suis  en  souffrance,

J’attends ma … délivrance

En sortant de ma coquille

Pour boire bonne humeur

Pour dissoudre  les peurs,

Quand verres s’enquillent

Avant affronter  le monde

Autour me perçant à jour.

LA LARME À L’ŒIL !

Lors j’ai  le  rire  en  bouche

J’ai la larme  à l’œil, en fête,

Tant  mes succès  et défaites,

Croulent  sous pleine douche

Et  jusque  sous  mes aisselles

Comme  une eau  de vaisselle,

Savonné,  lavé,  frotté, purifié,

Je brille, comme un ostensoir !

Miasmes se seront tous fondus

Errance, souffrance… désespoir

Se sont évacués et ont disparu :

Leur délivrance m’a… régénéré,

Séché, pomponné et … parfumé,

Me voilà   un tout autre homme,

En mâle heureux… tout comme,

Qui ne demande qu’à… assouvir

Un irréductible désir de  séduire

Le miroir qui sert à… l’admirer !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une fusée peut-être

Mais, tout  aussi  bien,

Tube de rouge à lèvres

Accentuant  ses  sourires !

.

1071 4

.

Le rouge à lèvres aurait-il quelque chose

 À voir  avec notre … rire ?

Non, disons plutôt, avec notre sourire qu’il

Accentue ou qu’il dessert.

.

Symbolique 

.

Le

Rouge

À lèvres

Rouge   reste

Le symbole de la

Séduction  absolue.

Le rouge à lèvres est

Sur   toutes  bouches,

Et dans tous  les sacs,

Augmente notre estime

Autant que sa séduction

Des  coulisses   à   la   vie

Quotidienne, il est notre

 Allié  de  la bonne mine,

«Arme  absolue séduction

De femme» Coco Chanel

Et un emblème de  la  

Pure  beauté  féminine

Et depuis cinq mille ans.

madame.lefigaro.fr/ /le-lipstick-

rouge-symbole-de-seduction-absolue

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1071 6

.

Rouge à lèvres aurait-il quelque chose

 À voir  avec notre … rire ?

Non, disons plutôt, avec notre sourire qu’il

Accentue ou qu’il dessert.

.

Symbolique

 .

Le sourire est

Une expression du visage

Témoignant en général de la sympathie.

Le mot sourire est apparu  au Moyen Âge, issu du

Verbe latin subridere  qui signifie prendre une expression

Rieuse, ironique, destiné à tromper, mais le sens se

Renforce comme positive, ce dès naissance,

Pour cela, il est considéré  comme inné

Et génétiquement déterminé.

fr.wikipedia.org/wiki/Sourire

 .

 .

Fond/forme 

 .

Le rire serait différent si les lèvres sont

Soulignées ou marquées par du rouge,

Ou du noir ou n’importe quelle couleur

Si  l’on voit, ou non, des dents blanches,

Si le sourire est pincé genre commercial

Avec la larme à l’œil, l’on est interloqué.

.

Messages contraires : durs à décoder :

Et si,  en général, il n’y a pas de larmes

Avec les sourires, il arrive que l’émotion

Déborde  sur un rire au bord des larmes.

La différence serait que de vraies larmes

Tendraient la peau du visage vers le bas,

Que le rire plisserait la peau  vers le haut.

.

Textuels et illustrations  >>

1070 – Belle vague d’émotions me soulève

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Émotion est un des moteurs

De notre vie,  de notre énergie

Autant que raison, intelligence,

Il  ne  faut  pas  la sous-estimée

Et,   encore   moins,  l’étouffer,

Tant  elle  fait  de notre cœur

Notre  alliée  en  synergies :

Autant joie  et  souffrance

Accompagnent bonheur,

À tout instant du jour,

Que ce soit  d’amour

Ou de … langueur.

.

Belle vague d’émotions me soulève,

Mais je ne sais  jusqu’où  elle m’élève,

Tant elle investit tous   mes intérieurs

Et me rend la bouche et les yeux rieurs.

J’ai peine à jouir, de mon contentement,

Quand, son va-et-vient me bouscule tant,

Que je ne sais plus où je suis, où j’habite :

Je sens seulement qu’il peut retomber vite.

Ce n’est pas vraiment  ce que vous croyez !

.

Ne fais qu’écouter une rythmique branchée

Qui en un jeune temps m’aurait  bouleversé,

Amour sans doute, doux émoi d’un écervelé.

Emporté par une vague furieuse d’émotions,

Une nouvelle image me procure la sensation

D’être sur  un tapis d’Orient, un tapis volant,

Dont je  ne maitrise ni le sens ni le … temps.

.

Lorsque celui-ci  m’échappe, complétement,

J’ai l’impression qu’il boucle sur … l’instant,

Comme un réveil que l’on remonte et sonne,

Toujours à la même heure, qui vous résonne

D’histoires que vous êtes en train d’imaginer

Pour vous extraire de pesanteur du moment,

Car, en définitive, la vie réelle et la vie rêvée

Partagent votre être pour vous ré-enchanter.

.

Vague à l’âme, blues au cœur,  fleur  en nez,

Mon errance n’a d’égale que mon… aisance

À passer d’un monde à l’autre,  et  à volonté,

Sans que rien, personne, ne porte assistance.

Voilà bien mon secret, que je ne partage pas,

Aucune substance ne peut en  être…extradée

Pour faire commerce et pour en faire profiter

Ceux qui n’ont pas la chance  de savoir  voler.

.

Voler, au-dessus des pesanteurs de son corps,

Pour tenir aussi longtemps et  aussi… souvent

Qu’une imagination fertile lui permet d’autant

Qu’il ne s’ennuie, ne se dissocie et ne s’endort.

La meilleure stimulation que cerveau inocule,

Reste celle qu’il produit lui-même et à foison,

Quand émotions vagues  vagues d’émotions,

En  ses synapses, toutes chimies éjaculent.

.

Extensions

 .

Motion, émotion, émotionné… émotionnable :

On sent celle-ci monter, devenir irraisonnable.

Émotion et amour  peuvent être approchables,

Sans pour autant en sexe, être irréprochables.

Et il faut voir ce dont, l’émotion, rend capable,

Ce dont elle  nous rend innocent, ou coupable.

Lisant cela, aurez-vous une émotion agréable,

Ou vous direz-vous que c’est très désagréable.

.

La musique, le chant, la poésie seront autant

De stimulants puissants pour nous enfermer

Dans une bulle de sensations  et d’émotions

Qui nous transporte en extase, sentiments.

.

On dit parfois que l’émotion est palpable,

Qu’elle nous rendrait presque désirable,

On ne va pas épuiser les mots en  able :

On se contentera de rester … aimable.

.

Jouir de son corps n’est pas coupable

Il est aussi fait pour cela : admirable

Deviendra son pouvoir incomparable

De nous redonner goût à vie pensable.

.

Fragments

.

L’émotion reste plus que désirable

Dit-on lors d’un concert d’une star,

Auditeurs communient,  entre eux,

Autant qu’artiste sur scène, en eux.

.

Émotion, on la touche, est palpable,

Elle court sur les échines,  dans l’air,

Et parvient, parfois, à mettre à terre,

Ceux syncopant et étouffant au pied.

.

La joie et  la tristesse et la surprise,

Et la peur, et la colère,  et le dégoût,

Sont  six émotions,  dites primaires,

Étant communes à toute l’humanité.

.

L’émotion est dite contraire à raison

En réalité, elle est en deçà ou au delà

En deçà quand elle sera en trop plein,

Au delà aidant à prendre une décision.

.

Tonneau des danaïdes n’est jamais plein

Au fond, il y aurait un trou qui le régule,

Nous sommes équilibrés émotion/raison

N’ayons plus peur de vivre toute passion.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Émotion est un des moteurs

De notre vie,  de notre énergie

Autant que raison, intelligence,

Il  ne  faut  pas  la sous-estimée

Et,   encore   moins,  l’étouffer,

Tant  elle  fait  de notre cœur

Notre  alliée  en  synergies :

Autant joie  et  souffrance

Accompagnent bonheur,

À tout instant du jour,

Que ce soit  d’amour

Ou de … langueur.

.

********************

***************************

.

Belle vague d’émotions me soulève,

Mais je ne sais  jusqu’où  elle m’élève,

Tant elle investit tous   V  mes intérieurs

Et me rend la bouche et  A  les yeux rieurs.

J’ai peine à jouir, de mon  G    contentement,

Quand, son va-et-vient me   U     bouscule tant,

Que je ne sais plus où je suis, E           où j’habite :

Je sens seulement qu’il peut   *          retomber vite.

Ce n’est pas vraiment  ce        D            que vous croyez !

Ne fais qu’écouter une      ‘              rythmique branchée

Qui en un jeune temps   É                   m’aurait   bouleversé,

Amour sans doute,      M                    doux émoi d’un écervelé.

Emporté par une    O                       vague furieuse, d’émotions,

Une nouvelle       T                          image me procure la sensation

D’être sur      I                             un tapis d’Orient, un tapis volant,

Dont je      O                                 ne maitrise ni le sens ni le … temps.

Lors       N                                que celui-ci m’échappe, complétement,

J’ai       S                                    l’impression qu’il boucle sur…l’instant,

Com    *                                    me un réveil que l’on remonte, et sonne,

Tou      M                                 jours à la même heure, qui vous résonne

D’his     E                               toires que vous êtes en train  d’imaginer

Pour        *                             vous extraire de pesanteur du moment,

Car en       S                              définitive, la vie réelle et la vie rêvée

Partagent       O                         votre être pour vous ré-enchanter.

Vague à l’âme,     U                           blues au cœur,  fleur en nez,

Mon errance n’a         L                      d’égale que mon…aisance

À passer d’un monde      È                     à l’autre,  et à volonté,

Sans que rien, personne,      V                 ne porte assistance.

Voilà bien mon secret, que       E              je ne partage pas,

Aucune substance ne peut en       *             être…extradée

Pour faire commerce et pour en   M           faire profiter

Ceux qui n’ont pas la chance de      ‘          savoir voler.

Voler, au-dessus des pesanteurs É        de son corps,

Pour tenir aussi longtemps et   L      aussi… souvent

Qu’une imagination fertile   È  lui permet d’autant

Qu’il ne s’ennuie, ne se      V   dissocie, ne s’endort.

La meilleure stimulation E    que cerveau inocule,

Reste celle qu’il produit   *  lui-même et à foison,

Quand émotions vagues   *     vagues d’émotions,

En  ses synapses, toutes     *    chimies éjaculent.

.

Forme

.

Évocation 

.

Verre posé sur tonneau

Pour goûter le contenu 

Avec grande émotion

Ou bien le recracher !

.

1070 4

.

Un  tonneau  de  quelque  chose,

Pourquoi pas   d’émotions 

Bien plus que liquides, s’agit plutôt

D’images et de sons.

Vin va avec verre, bouteille et tonneau,

Mais pour ce qui est des émotions : non

À moins de « rire comme un tonneau »

De ce fait la forme divergera du fond.

.

Symbolique 

 .

Tonneau est grand récipient de bois,

Destiné   à    conserver    des    liquides.

Symbolise la conservation, l’abondance.

Dans      la          mythologie           grecque,

Il est associé aux Danaïdes : selon le mythe,

Elles     se      marièrent      le      même     jour

Avec cinquante autres, lors le soir des noces,

Elles           assassinèrent         leurs       maris,

À l’exception d’un seul   qui en fut le rescapé.

Aussi,      elles         furent           condamnées

Par Juge de Mort, remplir éternellement

Des     grands       tonneaux         percés.

Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-tonneau

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1070 6

.

Un  tonneau  de  quelque  chose,

Pourquoi pas d’émotions :

Bien plus que liquides, s’agit plutôt

D’images et de sons.

 .

Symbolique 

.

Il existe une théorie des

«Six émotions de base :

Joie,  Tristesse,  Surprise,

Peur, et Colère,  et Dégoût.

.

Émotions  dites secondaires,

Comme nostalgie en exemple,

Sont comme  mélanges  de ces

Émotions  considérées de base.

Appelées, également,  émotions

Mixtes au lieu de  secondaires.

.

D’après Paul Ekman, la honte

Est émotion mixte à la base

Mélange de peur et colère

Et retournée contre soi.

 .

.

Fond/forme 

 .

Remplir le tonneau de la Commission Européenne

Serait vu, par certains, comme celui des Danaïdes.

On donne, on donne  et  on n’en recevra jamais rien.

Vrai ou faux, qu’importe ça provoque vague émotion

Pour un oui, pour un non, ça peut changer l’humeur.

.

Les nerfs à fleur de peau ou les émotions, du visage :

Quand le tonneau ou le verre est plein, qu’il déborde,

Il faut s’arrêter : un moment de calme, on s’accorde.

.

Quand toutes  sont, positives, excitantes, exaltantes,

On continue jusqu’à plus soif, jusqu’à l’orée du jour.

Ce n’est donc pas le problème  d’en être submergée,

Que de s’y noyer sans pouvoir respirer qui compte.

.

Textuels et illustrations  >>

1069 – D’un flot d’images, ou de chants !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Un concert, rock, folk, métal,

Ou tout autre style musical,

Est fait par se laisser aller,

Dans un délire à déchirer.

On chante, on saute,   on

S’électrise,   se balance,

Vibrations d’évidence,

Produisent émotions

Où c’est  mon corps

Qui s’en … délecte,

C’est mon esprit,

Qui s’en réjouit.

 .

Par   flux  d’images,  par   flot  de chants,

Remontent de forts courants de sensations

Qu’éprouvent  les foules  des passants

En autant de canaux  d’irrigations.

.

Les imagine comme un pré, herbes

Qui penchent, se plient, se ploient,

Dans un champ de blé  qui verdoie

Sous l’effet des vents  très acerbes.

Sons ondoyants ou sons chatoyants

Un concert de forts décibels, arrose,

Leurs oreilles  et  leurs cils vibratiles

En les rendant,  plus légers, volatiles,

Ils  provoquent, en eux, comme chant

Issu  d’autres  herbes bleues, ou roses.

Lors, je flotte sur le champ  des choses,

Comme si j’étais sans corps, sans pose.

.

Et en lévitation mon fantôme  dispose,

Des nouvelles libertés de mouvements

Pour me conduire jusqu’au firmament

Où, tout homme aime être, en planant.

Le concert s’achève gens se dispersent,

Et je reprends mes esprits, mon corps,

Je suis seul, sur sol, détrempé de pluie,

Des notes de silences tomberont encore

Lors une larme dans mes yeux,  j’essuie,

Qui, en hallucinations  les  transpercent.

.

L’on me dit arrête de  fumer la moquette

Bien que n’aurais pris qu’ima-gi-na-tions

Qui aura nourri mon cerveau, d’émotions

Et suffisantes, seules,  à me mettre à fête.

Je me souviens, des  parfums  des voisins

Senteurs des foins, de roses, de  benjoins,

Leurs mouvements, avec les bras ballants,

Qui rythmaient flots   d’ondes émouvants.

À chaque concert, cette image, me revient,

Comme bouffées d’herbes,  hallucinogènes,

Mon cerveau produirait   sa propre drogue,

Si la musique entretient   avec un dialogue.

.

Extensions

 .

D’un flot d’images ou de chants,

On s’en servira comme d’une amorce

Pour gamberger hors des sentiers battus

Et mélanger nos souvenirs réels à de

Nouveaux produits ou inconnus !

Le tohu-bohu de telles images

Enivre, lors, pour un temps,

Mon cerveau et jusqu’à  ce

Que la fatigue l’endorme.

.

En symbolique,

La fleur à un langage.

Coquelicot est : belle fleur,

En robe, d’un  rouge  éclatant,

Et pétales doux comme de la soie,

Il est aussi  appelé : pavot sauvage !

Peut avoir  significations  distinctes :

D’une part, il est le symbole du repos,

De la quiétude ou de la consolation,

D’autre part de beauté éphémère.

.

On vous parlera à raison ou à tort,

De transes musicales

Qui vous emporteront extra dehors,

En nombre festivals !

.

Point besoin de drogues, d’excitants,

La musique… suffira

À galvaniser le cerveau, en le sonnant

 À fond, il ressentira !

.

Sur la vidéo qui vous filmait aux pas

On ne vous reconnaitra

Et vous-même en demeurerez baba

De cet énergumène … là !

.

Fragments

.

Un flux d’images

Un flot de chants,

Chacun offre visage

Toujours marchands

.

Stars sont mises sur piédestal

Influenceurs nous manipulent,

Et les infos des réseaux, stipulent,

De descendre le bien pour plus mal.

.

Des images, paroles, il y en a tant et tant,

Qu’on y perd son latin, n’y comprend rien :

Y a plus que seul ténor chantant son refrain

Pour qu’on vote pour monde, mis à sa main.

.

On déboulonne statue héros, ne plaisant plus,

On demande au peuple d’élire un nouveau roi,

Qui redéfinirait selon lui, la décision populaire

Qui n’admettrait pas de contestation contraire.

.

Ah mais là, j’arrête, on me dira mais quel délire,

Ça ne risque pas d’arriver avec les contrepouvoirs

Sans compter les proactions et les autocorrections

 Sans compter tous les IA qui feront leur révolution.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

.

Un concert, rock, folk, métal,

Ou tout autre style musical,

Est fait par se laisser aller,

Dans un délire à déchirer.

On chante, on saute,   on

S’électrise,   se balance,

Vibrations d’évidence,

Produisent émotions

Où c’est  mon corps

Qui s’en … délecte,

C’est mon esprit,

Qui s’en réjouit.

Par   flux  d’images,       par    flot    de   chants,

Remontent   de  forts   courants   de sensations

Qu’éprouvent  les    F    foules  des passants

En autant de can    L      aux  d’irrigations.

Les imagine com   U       me un pré herbes

Qui penchent, se    X       plient, se ploient,

Dans un champ       *     de blé  qui verdoie

Sous l’effet  des      D    vents  très acerbes.

Sons ondoyants      ‘      ou sons chatoyants

Un concert, forts     I         décibels,  arrose,

Leurs oreilles et     M     leurs cils vibratiles

En les rendant,      A   plus légers, volatiles,

Ils  provoquent      G  en eux comme chant

Issu d’autres her    E   bes bleues, ou roses.

Lors, je flotte sur    S    champs  des choses,

Comme si j’étais,     *    sans corps, ni pose !

En lévitation mon   E     fantôme    dispose,

Des nouvelles liber  T    tés de mouvements

Pour me conduire    *   jusqu’au firmament

Où tout homme ai   F  me être, en planant.

Le concert s’achève  L    gens se dispersent,

Et je reprends mes   O   esprits, mon corps,

Je suis seul, sur sol   T    détrempé de pluie,

Des notes silences,    *      tomberont encore

Lors une larme de     D    mes yeux, j’essuie,

Qui, hallucinations    E     les   transpercent.

On me dit arrête de   *   fumer la moquette

Bien que n’ai  pris     C   qu’ima-gi-na-tions

Qui a   nourri  mon   H  cerveau, d’émotion

Suffisantes, seules,    A  à me mettre à fête.

Je me souviens, des   N parfums des voisins

Senteurs des foins      T   de roses, benjoins,

Leurs mouvements    S      des bras ballants

Qui rythmaient flot    *   d’ondes émouvant.

À chaque concert, cette image, me  revient,

Comme bouffées d’herbes,  hallucinogènes,

Mon cerveau produirait   sa propre drogue,

Si la musique entretient   avec un dialogue.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une silhouette humaine

Ou voire  un  pot  posé

Sur beau piédestal 

De fleurs, c’est sûr?

.

1069 4

.

Un piédestal peut supporter nombre

D’objets de valeur diverses :

Un simple pot tout aussi bien qu’un

Vase de Chine d’époque Ming !

 .

Symbolique 

 .

Un piédestal :

Support     élevé,

Où   l’on   placera   

Un objet  décoratif.

Support sur lequel repose sculpture

Mettre quelqu’un  sur  un  piédestal :

Lui  vouer   une  grande   admiration.

 

Tomber piédestal, perdre tout prestige.

Dans  les  régions    Han  de  la    Chine,

Piédestaux, posés plein air, sont variés.

 

Les stèles reposent, très souvent, sur un

Piédestal de pierre parfois en forme de

Tortue, symbole longévité nommée Bix.

Source : dictionnaire.sensagent.

leparisien.fr/PIEDESTAL

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1069 6

.

Un piédestal peut supporter nombre

D’objets de valeur diverses :

Un simple pot tout aussi bien qu’un

Vase de Chine d’époque Ming !

 .

Symbolique

.

Les architectes

De l’époque de

La Renaissance, d’abord

Italienne, puis française

Et  ensuite,  européenne,

Considéraient piédestal

Faisait  partie  intégrante

Des ordres  d’architecture.

Imposent, progressivement,

Sorte de canon … esthétique,

Régentant  les proportions de

Ces  ordres,  comme   pour  les

Corniches  nombre  piédestaux,

Formant  des  seuils  de  fenêtres

Balustrades galeries, ou statues !

wikipedia.org/wiki/Piédestal

 .

.

Fond/forme 

Piédestal pour mettre en hauteur

Pour en prendre, ou pour donner,

Certains s’y mettent  d’eux-mêmes,

Tellement imbus  de leur personne,

.

Quand ils profèreront leurs vérités,

Qui n’en sont pas,   qu’on leur prête,

Comme  des caisses de résonnances,

Et puis soudain, déboulonnés, jetés !

.

Mieux vaut rester les pieds sur terre,

Car plus le piédestal est haut et large

Plus dure sera la chute de son image

Et plus fort sera son chant funèbre !

.

 Textuels et illustrations  >>

1068- Le rire est-il propre à l’homme ?

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Rire est un poème

Faisant bien extrême

Détend corps  et  esprit,

Toujours  autant  de  pris !

.

C’est  le  propre  de l’homme,

Bien que … des animaux rient,

Aussi mais pas de même façon

Surtout  pas  de vous, de tout.

.

L’humour est

Le cousin du rire,

L’amour est le

Cousin du sourire.

.

Faut savoir les deux entretenir

Ça  donne  l’air   de   voir   venir,

Le rire est-il  propre  à  l’homme :

.

Rions  ensemble, alors … en somme

Pour que le monde, et  par contagion,

Soit verre davantage  plein d’émotions.

.

On dit : «vogue la vie et vogue la galère»,

Quand la roue tourne et l’on erre sur Terre,

Car de rire ne pourra que vous faire du bien

Vous ne serez pas mort au moins pour rien.

.

Le rire n’est que pur mécanisme conscient,

Mais qui peut se déclencher inopinément,

Il est, rien  qu’à lui seul : vraie thérapie,

Car l’on envie  celui qui, toujours, rit.

.

Il permet  de devenir, ou de rester,

De bonne humeur, genre farceur,

Tout semble plus léger… éthéré,

Si l’on secrète intime bonheur.

.

Et … si le sourire  est  son  frère,

L’humour est son proche cousin

On peut rire de tout, de rien

Mais cela ne modifierait,

Que peu, l’univers.

.

Extensions

.

Le rire est-il propre à l’homme :

Non, bien sûr, les singes rient

Parait que les chevaux aussi.

.

Mais l’homme est le seul à rire

De lui-même et cette autodérision

Lui donne de la distance et modestie.

.

Pourquoi riez-vous : j’ai dit quelque chose

De drôle  ou de  déplacé ! Non, pas du tout,

Je me suis juste  projeter  dans  la  situation

À laquelle  vous faites  référence  et  cela m’a

Fait penser  à autre chose, en ma propre vie.

.

Nous rions tous mais pas des mêmes choses

Pas avec les mêmes gens ni tout le monde.

Certaines choses, dont on se rit, peuvent

Provoquer surprise, incompréhension,

De l’indifférence ou contraire, colère.

.

Rions un peu, ce n’est qu’un jeu ;

Rions beaucoup si cela vaut coup ;

Rions de trop, déclenchera fou rire.

.

Entre rire et sourire, montrer les dents, découvrir ses dents.

Premier rapprochement, en la nuance ;  second, contredanse :

Le singe ici vous sourit-il, ou contraire, de vous, se moquerait-il !

Que penser d’un rire, ou d’un sourire, imperceptibles, intériorisés !

Quatre filles peuvent faire un sourire spontané ou quelque peu forcé,

Sachant que la prise de photos ou selfies entraine un automatisme.

Il fut un temps en peinture religieuse, où le sourire était proscrit,

Signe de vulgarité mais, depuis, la Joconde est passée par là !

De toute façon, ce que j’en dis, vous avez le droit d’en rire.

.

Il y a rire et rire, dès lors, celui de l’homme

Ne ressemblera guère aux mimiques du singe :

Même expression, peut-être, pas même intention !

.

L’on peut rire de choses qui ne feront rire personne,

Réciproquement, ne pas trouver drôle la plaisanterie.

.

Faire rire une salle, une foule, auditoire quelconque,

Exigera un certain talent et voire un talent certain.

.

Quant à rire pour se moquer … certains le feront

Gentiment, charrier ; méchamment, abaisser.

.

Fragments 

.

Vous allez rire,  du moins sourire

En consultant Google, ai trouvé

Pas moins de trois doctorats

 Sur le rire,  avec 500 pages.

.

Non mais sérieux, par qui

Par un anthropologue,

Par un  sémiologue,

Par un sociologue

Ajouter Bergson,

 Le… philosophe.

.

À  côté  d’eux,

Je fais pâle figure,

Y a pas de quoi en rire

C’en est presque à pleurer

Je vais me retenir et continuer

De rire … recul, humour, de moi.

.

Après tout, je suis bien un homme…

Et même si je ne ris pas, tout comme

Il le faut pour me détendre, ma santé,

L’autodérision m’évite trop de sérieux.

.

Il y aura des gens dont c’est le métier

Faire rire  les  autres : les humoristes !

Je leur tire mon chapeau : pas simple :

Lors ça tombe à plat, je ne vous dis pas.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Rire est un poème

Faisant bien extrême

Détend corps et esprit :

 Toujours  autant  de  pris !

.

C’est  le  propre  de l’homme,

Bien que … des animaux rient,

Aussi mais pas de même façon

Surtout pas de vous, de tout.

.

L’humour est

Le cousin du rire,

L’amour, le

Cousin du sourire.

LE VRAI

Faut savoir les deux entretenir

Ça  donne  l’air   de   voir   venir,

Le rire est-il  propre  à  l’homme :

Rions  ensemble, alors … en somme

Pour que le monde, et par contagion,

Soit verre davantage plein d’émotions.

RIRE

On dit : «vogue la vie et vogue la galère»,

Quand la roue tourne et l’on erre sur Terre,

Car de rire ne pourra que vous faire du bien

Vous ne serez pas mort au moins pour rien.

SERAIT-IL

Le rire n’est que pur mécanisme conscient,

Mais qui peut se déclencher inopinément,

Il est, rien  qu’à lui seul : vraie thérapie,

Car l’on envie  celui qui, toujours, rit.

PROPRE

Il permet  de devenir, ou de rester,

De bonne humeur, genre farceur,

Tout semble plus léger… éthéré,

Si l’on secrète intime bonheur.

À L’HOMME ? 

Et … si le sourire  est son frère,

L’humour devient proche cousin

Si l’on peut rire, de tout, et de rien,

Cela ne modifiera,

Que peu, l’univers.

.

Forme

.

Évocation 

.

Une quille de bowling,

 Probablement oui mais

Version personnalisée

Et pleine d’humour !

.

1068 4

.

La quille et le rire auront peu de points

Communs ensemble sauf  sens figuré,

Quille blanche animalisée

Puis personnalisée, avec air enjoué.

Elle possède ainsi un capital

De dérision, et à nulle autre pareil !

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1068 6

.

Quille blanche animalisée

Puis personnalisée, avec air enjoué.

Elle possède ainsi un capital

De dérision, et à nulle autre pareil.

 .

Symbolique 

 .

Moquerie     dédaigneuse,        raillerie

Mêlées     de     mépris,       de    sarcasme

Avances     accueillies       avec     dérision.

 .

Synonymes : comme          dédain   –  ironie 

Mépris,    réprobation  –    risée,    plaisanterie

 .

Antonymes : déférence,       respect,        sérieux

Ce qui                    est dérisoire          insignifiant :

 .

C’est une                 dérision que                de vouloir

Faire cela               avec si peu de                  moyens.

larousse.fr/dictionnaires/

francais/dérision/24015

 .

.

Fond/forme 

 .

L’expression : jeune chien dans un jeu de quille

C’est à peu près l’impression que donne le rire

Sans moindre effet de panique, voire terreur,

 Juste comme ça, pour rire, de n’importe quoi,

Encore que, pas de tout, avec n’importe qui.

Toutefois, avant de rire de tout, et de tous,

Il faut commencer par rire de soi-même,

L’auto dérision vous protège d’un «égo»

Qui juge les autres et se met au-dessus.

.

Textuels et illustrations  >>

700 – L’envol d’essai des amoureux

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Envol d’amoureux,

N’est pas oisillons

Sortants des nids

Plutôt  des couples,

Se croyant au paradis

Dans leur bulle, à deux.

.

S’il est vrai que la femme,

Virevolte autour  de l’homme

La faisant tourner autour de lui,

S’il  la lâche, elle ne s’envole pas,

Confiance règne à cent pour cent.

.

Sa légèreté d’esprit  la fait voler

Tant l’envol  d’essai amoureux

Sera fait de pleins et de creux,

Certains le trouveront  joyeux,

Lors autres  des plus ennuyeux,

Mais tournez manèges d’enfance.

.

Danse amant devient une romance

Contact avec sol, moindre évidence

Ronde donnera tournis de la chance.

Pour vrai l’envol d’essai des amoureux

Est fait d’autant de pleins que de creux.

.

Il y a certains qui les trouveront joyeux

Tandis qu’autres des plus ennuyeux !

S’allier pour faire la chose ensemble

Voilà qui fixe parcours, me semble,

D’amoureux qui veulent la route,

Afin de s’extraire de leurs doutes,

Sur  leurs  prétendues  intentions.

.

Mais il faudra faire   très attention

Car la voie est très   dure, et instable

En dépit de moments   forts agréables

Qui nous rapprochent, nous ressoudent,

Lien est rompu dès que l’un d’eux boude.

.

Car ce n’est plus l’autre que l’on aperçoit,

Mais, son image, enfin §celle qu’on croit,

Comme en miroir l’un l’autre  se voient,

Le moindre flou  ou  la moindre ombre

Qui viendront ternir visages sombres.

.

Tel est l’effet de vraie cristallisation

Qui, d’une branche, jetée sur le sel,

Rassemblera tant d’éclats sur elle,

Au point de masquer toute vision

Voler, survoler  puis de convoler

En juste noce  ou  en juste ciel,

S’apparente à la lune de miel,

Forçant à s’aimer ou tomber.

.

Extensions

 .

Les accouplements de nos jours

Se concluront bien avant le mariage

Qui devient ni plus ni moins que chambre

D’enregistrement de fait accompli en filigrane,

Pour le tempérer  face ombre  d’un divorce à la clé.

.

L’envol d’essai des amoureux est ce qu’il y a

De plus beau et de plus léger.

.

Aucune contrainte, astreinte, plainte :

On se construit, on se consomme,  se détruit

Mais au final, ou bien c’est non ou bien c’est oui.

.

Quand l’essai dure trop longtemps, il se fige

Dans le temps et son indécision finit

Par ronger le couple qui se délite

À petit feu, un feu qui dévore

Leurs ailes, lors pour finir,

Leur chute n’en sera que

Plus brutale, cruelle.

.

L’envol est comme un jeu, un jeu d’envol d’un couple d’amoureux,

Se tenant et se tirant par leurs mains pour se prendre un bain

Emporté  par un élan de liberté, l’homme a pris les devants,

Il trouve la force d’élever, en ses bras, le fruit de son désir.

Après s’être rassasiés aux profondeurs de bain envoûtant

Ils se reposent en contemplant,  ensemble… loin devant.

Peut-être projetaient-ils, déjà, leurs débuts d’aventures

Ainsi débute parfois un couple, accord pour se baigner

Et le reste suivra, comme couple d’oiseux, en plein vol !

.

Toute rencontre qui débouche sur un essai

De vie commune est comme un nouvel envol,

Pour voir si voler de concert conduirait un jour

Jusqu’à convoler en justes noces selon expression

.

En réalité le contrat peut être remplacé par un Pacs

Qui retardera d’autant le mariage officiel, sécurisant

Le couple dans une atmosphère de liberté réciproque :

Ce n’est pas leurre, c’est jusque que ce n’est pas l’heure !

.

Fragments 

.

Des amoureux, envol d’essai

Aurait été, des fois, comparé

Aux vols oiseaux migrateurs,

Les plus jeunes, en amateurs.

.

Désirer de…s’envoyer en l’air,

Ne suffirait  pour bien le faire,

C’est un voyage  au long cours,

Avec ses bagages assez lourds.

.

Et qui comprendra au moins

Trois organes biens charnels,

Le sexe, le corps, et  le cœur :

Plus  esprit, âme : spirituels.

.

Sentiment légèreté, liberté :

Être comme  plume au vent,

Être en fusion  deux amants,

En direction : bien  accordés,

.

Évitant de tomber en virevoltant

Rendus feuilles,  en se détachant,

En se séparant  et en s’éparpillant,

Jusqu’à toucher le sol, en mourant.

.

Cet envol  d’amoureux,  peut  autant

Se faire, sur le sol, ou  dans  les eaux,

En pratiquant un fort rapprochement,

Reliant bien tous éléments fort chauds.

.

Mais, en disant cela, et  en y croyant fort,

Je m’envole presque  et  par anticipation,

Le pouvoir des mots à terre, en élévation,

Me met en états d’amoureux transports !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

 .

Envol d’amoureux,

N’est pas     *     oisillons

Sortants          P        des nids

Plutôt  des          R           couples,

Se croyant au        E               paradis

Dans leur bulle       M                 à deux

S’il est vrai que         I               la femme,

Virevolte autour        E             de l’homme

La faisant tourner      R           autour de lui,

S’il la lâche, elle           *          ne s’envole pas,

Confiance règne         *           à cent pour cent

.

Sa légèreté d’es   *        *     prit  la fait voler.

Car l’envol     E               D   d’essai amoureux

Sera fait de   N                  E   pleins et de creux,

Certains le    V                     S   trouveront joyeux,

Lors autres    O                     *    des plus ennuyeux.

Mais tournez  L                     A   manèges d’enfance.

Danse amant    *                    M devient une romance

Contact avec le  D                 O sol, moindre évidence

Ronde donnera   ‘                 U  tournis de la chance.

Pour vrai l’envol  E             R d’essai des amoureux

Sera fait d’autant S           E   pleins que de creux.

Il y a certains qui  S        U les trouveront joyeux

Tandis qu’autres    A     X   des plus ennuyeux !

S’allier pour faire   I    *    la chose ensemble

Voilà qui fixe par     *   cours, me semble,

D’amoureux qui    *   veulent la route,

Afin de s’extraire *  de leurs doutes,

Sur  leurs  prétendues   intentions.

.

Mais il faudra faire   très attention

Car la voie est très   dure, et instable

En dépit de moments   forts agréables

Qui nous rapprochent, nous ressoudent,

Lien est rompu dès que l’un d’eux boude.

Car ce n’est plus l’autre  que l’on aperçoit,

Mais, son image, enfin … celle qu’on croit,

Comme en miroir l’un …… l’autre se voient,

Le moindre flou ou la ………. moindre ombre

 Qui viendront ternir ………… visages sombres.

Tel est l’effet de …………………… cristallisation

Qui d’une branche ……………… jetée sur le sel.

Rassemble tant …………………. d’éclats sur elle

Au point de mas ………………. quer toute vision

Voler, survoler …………………..puis de convoler

En juste noce ……………………. ou  en juste ciel,

S’apparente à …………………….. la lune de miel,

Forçant à s’ai …………………….. mer ou tomber.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Les silhouettes d’un couple

De  deux  jeunes  amoureux 

Tout  proche  de  leur  envol,

Comme oiseaux migrateurs !

.

700 4

.

Quand on dit que les amoureux

S’en vont  dans un même envol.

Comme des oiseaux migrateurs,

C’est qu’ils seront bien ailleurs.

Un envol vers un lieu commun

Deux oiseaux migrants du nid

Familial  est devenu un cliché,

Aussi la forme épouse  le fond.

.

Symbolique 

 .

Le fait de    s’envoler

Et de se retrou    ver dans les airs

Est symbole de lé    gèreté pouvant être

Un élément positif       ou, tout au contraire,

Manque complet de    sens des responsabilités !

Fait de voler appor     te un sentiment de liberté,

C’est une libéra    tion face aux contraintes

De la    matière et du sol.

Tel un     oiseau on se déplace

Avec aisance     et   facilité   dans  les  airs,

Sans avoir à par   courir à pieds les distances :

C’est le besoin de se   sentir libre de ses mouvements.

Source : elle.fr/Love-Sexe/Psycho/Interpretation-des-reves

.

.

Fond

 .

Évocation

.

700 6

.

Quand on dit qu’amoureux

S’en vont en un même envol.

Comme oiseaux migrateurs,

C’est qu’ils seront bien ailleurs.

.

Symbolique 

 .

Il y a bien

Long-temps,

Dans l’Antiquité,

Interpréter signes visibles de tout le monde

Et portés par des êtres ou des choses évoluant

Dans l’environnement des humains (oiseaux, etc.)

Ou décoder le contenu des entrailles d’un animal,

Faisait partie des croyances, fortement ancrées,

Et les oracles  étaient  très écoutés : ainsi le vol

Ou  chant  des oiseaux, étaient  des  présages

Indiquant un avenir noir  ou avenir  rose !

 

Considérés comme des envoyés de dieux,

Les oiseaux ne peuvent se tromper :

Selon qu’ils volaient de la gauche

Vers la  droite  ou  de la droite

Vers la gauche, le message

Véhiculé   était  de  bon  ou

De        mauvais       augure.

hubertreeves.info/chroniques/

pdf_jdm/20091011.pdf

 .

.

Fond/forme 

.

Que des oiseaux s’envolent dans l’air

Et qu’ils soient synonymes de libertés,

Quoi de plus normal et de plus animal :

Le fait de migrer milliers de kilomètres

Reste déjà beaucoup  plus surprenant,

Et qu’ils restent ensemble vie entière,

Des plus étonnants, plus touchants.

.

Textuels et illustrations  >>

699 – Cheveux longs, épais, en bataille

 Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Il est

Vrai que les

Cheveux de femmes

Ont, de tous temps, été

Un important  attribut

Pour leur séduction,

Et  encore plus,

S’ils  sont  longs,

Épais, et   bouclés,

Tombent en bataille.

.

Cent façons de les coiffer

Et une seule de les décoiffer,

En les secouant, nonchalamment,

Tout en tournant la tête innocemment.

.

Tandis que ses pieds,  aux chevilles fines,

Habillés, en leurs écrins,  la rendent divine,

En marquant sa silhouette lors elle chemine

En courbes et en rondeurs que l’on devine.

.

Ses cheveux, longs, épais … en bataille,

Flottent sur  ses épaules  et entourent

Un visage auquel amour  en canaille,

Prête ses expressions au grand jour.

.

À l’opposé, petits pieds, en souliers,

Danseront un tango, une farandole

D’un pas qui vous mène en amitié

De beaux partenaires, s’y collent.

.

Entre les deux : bosses  et creux

Affirment  ses rondeurs, un peu,

Assez pour attirer les amoureux

Par démarche, allure,  par jeux.

.

Nulle parure, nul habit flatteur,

Elle se pare de sa seule humeur,

Partagée  par ceux dont le cœur

Est à nu pour délivrer les peurs.

.

Ces mots, pour  la  peinturlurer

Comme un bel idiot  que  je suis,

Aurai-je le  S droit de  les dessiner

Sur ce beau corps qui m’a  séduit.

.

Tandis  que  ses  beaux pieds,

Avec ses chevilles, fort fines,

Habillés dans leurs écrins,

La rendent  très  divine,

Marque  sa silhouette

Lors  elle chemine :

Courbes rondeurs

Que l’on devine.

.

Extensions

 .

Une chevelure au vent

Laisse flotter derrière elle

Un parfum de femme   qui

N’est pas seulement olfactif

Ou visuel mais autant sensuel

Par ses mouvements incessants.

.

Drapeau flottant avec mêmes effets

Ne produira pas les mêmes réactions.

En outre, une chevelure soutient l’allure

En se déplaçant dans son environnement.

On aimera à découvrir le visage qu’il cache

Quand on la voit de dos, là, parfois surprise :

Une femme ayant une cinquantaine d’année !

.

Preuve que chevelure marqueur de séduction :

Quelle dépense, soins mensuels pour se coiffer !

De plus en plus, en vieillissant, en s’enrichissant

Mais c’est à leur honneur car, par ce fait même,

Elles demeurent belles ainsi  plus longtemps  et

Se plaisent autant à eux-mêmes qu’aux autres.

.

La chevelure fait partie de son allure

Et ce d’autant qu’elle flottera au vent

Et en nudité sa seule, unique, parure,

Protégeant, sa pudeur, son sentiment.

En la coupant elle se veut une révoltée,

De se soumettre aux canons de beauté,

Pour  affirmer  une autre, intériorisée :

Nombre hommes aiment les chevelures

Pour leurs effets de charme, émouvant !

.

La longue chevelure de la femme,

Constitue un attrait pour hommes

Qui les confortera en leur féminité,

En éclairant un visage accueillant !

.

Libre et sauvage plus que disciplinée

Ou naturelle plus que mise en forme,

Elle tend à devenir signe ostentatoire

D’émancipation et du désir de plaire.

.

La chevelure brune, blonde ou rousse,

Qui descend jusqu’aux bas des reins,

Deviendrait proche de soumission

Sinon voire de pleine licence.

.

Fragments

.

Les cheveux, la chevelure, c’est sûr,

 Font partie d’attraits qui nous plaisent

Chez les femmes plus que chez hommes,

De par leur longueur, couleur, épaisseur !

.

Certaines ont une chevelure en fil statique,

D’autres en ont une plus souple, dynamique

La première, on la verra bien plus en Afrique

La dernière, onduler créant un effet magique.

.

En réalité, l’on ne peut plus guère les opposer

Chevelures sont comme curseur en continuité,

D’autant qu’on peut les coiffer  comme on veut

Les couper, rallonger colorer,  comme on peut.

.

Les cheveux, façon dont ils sont bien coiffés,

Reflètent langage social, notre personnalité.

Dont les codes changent au gré des modes,

Mais ont toujours une évocation érotique.

.

Les coiffures longues tombant sur croupe

Habille un dos nu,  comme parure d’Êve,

 Suscitant fantasmes comme en un rêve,

Pour un peu que démarche chaloupe !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme    

.

Il est

Vrai que les

Cheveux femmes

Ont de tous temps été

Un principal    attribut

Pour            séductions,

Et        encore       plus,

S’ils       sont     longs,

Épais, et    bouclés,

Tombent en bataille.

.

Cent façons de les coiffer

Et une seule de les décoiffer,

En les secouant, nonchalamment,

Tout en tournant la tête innocemment.

Tandis que ses pieds,  aux chevilles fines,

Habillés en leurs écrins,  la rendent divine,

En marquant sa silhouette lors elle chemine

En courbes, et, en rondeurs, que l’on devine.

.

Ses cheveux,  C   longs, épais,  E    en bataille,

Flottent sur  H      ses épaules    T et entourent

Un visage    E    auquel amour   *  en canaille,

Prête ses     V    expressions au  E grand jour.

À l’opposé  E    ses petits pieds  N en souliers

Danseront  U    un tango, une    *   farandole

D’un pas    X   qui vous mène   B  en amitié

De beaux   *      partenaires     A s’y collent.

Entre les    L    deux : bosses  T    et creux

Affirment   O  ses rondeurs  A     un peu,

Assez pour   N attirer les     I amoureux

Par démarche G    allure    L   par jeux.

Nulle parure,  S  nul  habit L   flatteur,

Elle se pare  *   de sa seule   E  humeur

Partagée    É  par ceux dont *   le cœur

Est à nu   P pour délivrer  *  les peurs.

Ces mots  A       pour la  * peinturlurer

Comme un  I   bel idiot * que  je suis,

Aurai-je le  S droit de  * les dessiner

Sur ce beau corps qui m’a  séduit.

Tandis que  ses beaux ….. pieds,

Avec ses chevilles  …… fines,

Habillés dans leurs écrins,

La rendent  trop divine,

Marque sa silhouette

Lors elle chemine :

Courbes rondeurs,

Que l’on devine.

.

Forme

 .

.

Évocation  

.

Une amphore, ou alors

 Une  longue  chevelure

En belle forme qui ondule

Comme  un champ de  blé !

.

699 4

.

Chevelure de femme, bien ourlée,

Avec des volutes des plus épaisses :

Au point on dirait  qu’elle ondule

Comme un champ de blé mûr.

.

Symbolique 

 ..

Les cheveux,

Notamment la façon

Dont ils sont bien coiffés,

Reflètent notre personnalité.

Ils sont un langage social,

Dont les codes changent

Au   gré  de  la  mode.

Chevelure de  femme

A  toujours  porté des

Connotations    érotiques.

De    nombreuses    religions,

Notamment le christianisme ou islam

Interdisaient, aux femmes, de dévoiler

Leur chevelure car cela était considéré

Comme un manque de pudeur.

Modifié, source : 1001 symboles

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Chevelure de femme, bien ourlée,

Avec des volutes des plus épaisses :

Au point on dirait  qu’elle ondule

Comme un champ de blé mûr.

.

Symbolique de fond

 .

Pour les Grecs, la chevelure

Présente des liens étroits avec

Le domaine du tissage, du végétal

L’animal, en particulier avec cheval.

 L’apparence  capillaire, de  référence,

  Toute en longueur    et bien éclatante,

       En ondulation   et en mouvement,

        Indice de jeunesse      et d’excellence,

         De force, de virili      té, de panache,

         Est celle des  dieux    et  des  figures

        Héroïques, modèles     dont s’inspire

        L’élite aristocratique      la chevelure

      Contribue à identifier  et à distinguer

      Et hiérarchiser le sauvage  et le civilisé,

     L’ordre et le désordre  mais  aussi à dire,

   À travers les violences dont elle est souvent

  L’objet, les souffrances ou la négation d’’être.

Pour les Grecs, la chevelure présente des liens

Étroits avec le domaine  du tissage,  du végétal

Et l’animal, en particulier avec queue… cheval !

tel.archives-ouvertes.fr/tel-01838283

 .

.

Fond/forme 

 .

Les cheveux qui ondulent comme les blés,

Cheveux qui balancent de tous les côtés,

Mouvement permanent en marchant

Enluminés par des reflets luisants.

Cent coiffures selon les couleurs ;

Cent coiffures  selon longueurs ;

Raides avec mèches ou frisures

Entourant tête de courbures !

 Textuels et illustrations >>

698 – Dire au revoir à quelqu’un est déchirant

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Au revoir, comme son nom l’indique,

Est un espoir de se revoir, bientôt ;

Adieu : de s’en remettre  à Dieu,

Déchirant, parce que frustrant

De ne plus percevoir quelqu’un

En chair, et en os, et bien vivant,

Pour ne plus partager joie, chagrin.

Au revoir : provisoire ; adieu, définitif,

Adieu est sans futur ; au revoir, infinitif.

 .

Je n’ai même pas pu lui dire «au revoir»

Clame l’amant, parti sans aucun espoir.

Un au revoir, joyeux, pour : à bientôt,

Au revoir, triste, pour : pas de sitôt,

Au revoir mitigé pour peut-être :

Autant accents bien, mal être.

 .

De dire au revoir à quelqu’un

Est toujours un peu déchirant

Mais adieu, l’on  n’osera  point,

Parce qu’il représente : mourant.

Pourtant la vie est bien faite ainsi,

Qu’on s’attache  et qu’on se détache

Lors enfant, adolescent puis potache

On égrène son beau chapelet  ’amis.

 .

Quand une page est, enfin, tournée,

C’est fini mais, qu’à cela  ne tienne,

Une autre vie se sera déjà amorcée

Avec  les  morceaux  de l’ancienne.

Bien  des  passions  sont mortelles

Il en est de même  des sentiments,

Qui regorgent  d’autres, plus belles,

Auxquelles on y consacre son temps.

 .

L’au-revoir  à quel qu’être un humain

Est prendre risque majeur  de l’oublier

Et dire adieu à une aventure de marins,

C’est finir de le penser  pour lendemain.

Dire au-revoir,  à un bel objet ou bateau,

Est comme arrache  quelque chose de soi,

Comme si une belle  chose tombait à l’eau,

Alors que l’on y tenait et en toute bonne foi.

 .

Quelle morale pour cette histoire : aucune

À chacun de décider de sa bonne fortune

On ne peut tout entre prendre en la vie,

Tout choix est dramatique, est fini.

Il est fini quand on lui dit adieu

Et il ne s’agit pas des cieux,

Pas plus de merveilleux

Mais de ses    yeux

Déjà ail  leurs,

Cette heure

Bonheur

Fini.

.

Extensions

 .

Dire au revoir,

C’est couper un lien

Qui nous convenait lors

Circonstances nous obligent

À le faire ou quelqu’un d’autre

Qui nous aimait bien … s’en va.

.

Aucune chance, aucun souhait

De le rencontrer à nouveau,

Même par hasard ou

Dans une autre vie.

.

Le plus simple est de le

Remplacer le plus vite possible

Mais il y aura du chemin à faire

Entre  l’idée  et la réalité, quand

L’autre vous manque à ce point

Qu’il est irremplaçable et à vie.

.

Que ce soit  à pied, en vélo, en voiture, en train, en avion :

De dire au revoir, sera toujours un moment d’émotions :

Certains embrassent, autres  lèvent le bras, lance baiser,

Et il y en a même qui se prennent en photos, en selfies !

Et puis il y a ceux qui s’en vont, sans rien dire ni faire,

Sans se retourner, un geste, ayant horreur de quitter

Être aimé auquel ils éprouvent  du mal à s’arracher.

.

On se dit au revoir

 On espère bien qu’on

Ne se reverra  jamais,

On se revoit  volontiers

 Quand on s’est dit adieu.

.

Si l’on confond avec adieu,

C’est sous influence religion

Tout autant  qu’intention  de

Dans  la réalité  l’un et l’autre,

S’emploient en se contredisant

.

L’on n’arrête plus,  de nos jours,

De se quitter et puis de se revoir,

Relations s’égrènent en pointillés

Avec temps morts et temps forts,

C’est cela la vie jusqu’à sa mort.

.

Fragments

.

Ce n’est qu’un au-revoir mes frères

Oui nous nous reverrons, un jour,

Faut-il nous quitter sans espoir,

Sans espoir de retour

Faut-il nous quitter sans espoir

De nous revoir un jour…

.

C’est le chant des adieux, d’au-revoir,

Chant «louveteau» d’origine inconnue.

Lors du départ d’un animateur ou chef

Lors de la cérémonie montée drapeau !

.

 

Au-revoir : provisoire ; adieu,  définitif,

Adieu est sans futur ; au-revoir, infinitif.

Au revoir, l’on garde l’espoir de se revoir,

Adieu : on s’en remet à Dieu dans le noir.

.

Mort sous une bombe ou coup d’assassin,

Un mort est un mort et le restera toujours,

Entre la mort et la vie c’est clivant, binaire,

Dire adieu à un vivant demeure déchirant !

.

On meurt parfois en rêves, cauchemardant,

Et jusqu’à s’en étonner de se réveiller vivant

Il s’agira de sa propre mort  et d’une fiction,

Mort réelle d’un proche, crée une sidération.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme    

 .

Au revoir, comme son nom l’indique,

Est un espoir de se revoir, bientôt ;

Adieu : de s’en remettre  à Dieu,

Déchirant, parce que frustrant

De ne plus percevoir quelqu’un

En chair, et en os, et bien vivant,

Pour ne plus partager joie, chagrin.

Au revoir : provisoire ; adieu, définitif,

Adieu est sans futur ; au revoir, infinitif.

 .

**************************************

**************************************

.

Je n’ai même pas pu lui dire «au revoir»

Clame l’amant, parti sans aucun espoir.

Un au revoir, joyeux, pour : à bientôt,

Au revoir, triste, pour : pas de sitôt,

Au revoir mitigé pour peut-être :

Autant accents bien, mal être.

.

Dire au revoir      à quelqu’un

Est toujours un peu déchirant

Mais adieu, l’on  n’osera  point,

Parce qu’il représente : mourant.

Pourtant la vie est bien faite ainsi,

Qu’on s’attache  et qu’on se détache

Lors enfant, adolescent puis potache,

On égrène  D  beau chapelet  E   d’amis.

Quand une  I  page est enfin     S   tournée,

C’est fini     R   mais qu’à cela     T  ne tienne

Une autre  E    vie se sera déjà     *   amorcée,

Avec les      *      morceaux de l’      D  ancienne.

Bien des     A       passions sont        É    mortelles

Et il en est  U       de même  des        C sentiments

Mais regor    *        gent d’autres,       H plus belles,

Auxquelles   R        on y consacre        I   son temps.

L’au-revoir    E      à quel qu’être        R   un humain

Est prendre    V     risque majeur      A   de l’oublier

Et dire adieu  O    à une aventure    N    de marins,

C’est finir de     I  le penser pour    T    lendemain.

Dire au-revoir,   R      à bel objet   *     ou bateau,

Est comme arracher  *        quelque chose de soi,

Comme si une belle   À     chose tombait à l’eau,

Alors que l’on y tenait *   et en toute bonne foi.

Quelle morale pour     Q cette histoire, aucune

À chacun de décider   U de sa bonne fortune

On ne peut tout entre  E  prendre en la vie,

Tout choix est drama  L    tique, est fini.

Il est fini quand on   Q   lui dit adieu

Et il ne s’agit pas   U    des cieux,

Pas plus de mer     veilleux

Mais de ses    U     yeux

Déjà ail    N  leurs,

Cette  *  heure

Bonheur

Fini.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une forme fusée artisanale

Ou une bombe tombante

Classique, à percuteur 

Et qui, sur terre, tue.

.

698 4

.

Une bombe est capable de détruire

Relation d’amour en tombant

Mais ce n’est pas la bombe qui  tue,

C’est bien celui qui l’a lancé !

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une bombe est capable de détruire

Relation d’amour en tombant

Mais ce n’est pas la bombe qui  tue,

C’est bien celui qui l’a lancé !

.

Tout     meurtre

 Dans     un rêve

Est    attaque

 Symbolique :

Conflit frontal entre deux

Parties, et l’une cherchant

Souvent à éliminer l’autre.

Cela  exprime  une situation

 Vécue où le rêveur ou rêveuse,

N’aurait     pas    suffisamment  

Conscience      de    ce    que    ses

Relations comportent opposition.

Cette opposition peut se manifester

À l’intérieur de la psyché du rêveur

Et là, un aspect de sa personnalité

Veut prendre le pas et refouler

De façon décisive un autre

Aspect rêveur rêveuse

En plein conflit

Interne.

VVV

V

Love-Sexe/Psycho/Interpretation-des-reves/

Rever-d-un-meurtre-notre-interpretation

 .

.

Fond/forme 

Une bombe provoque un meurtre ;

un meurtre fait l’effet d’une bombe.

ce sont des situations dramatiques

où tout au-revoir devient définitif

dès lors qu’il monte jusqu’à Dieu !

les enfants ont  parfois  bien du mal

à se projeter longtemps en absence

plus encore, en mort d’un proche !

.

 Textuels et illustrations  >> 

697 – Comment renouveler ses désirs et plaisirs !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Des désirs de plaisirs

Il y en a cent de différents

Des désirs voire des plaisirs,

Y en a et plus, tant  que tant !

.

Dès qu’un plaisir s’émousse,

Un autre désir nous pousse

À en varier,  à en essayer

Et ce, jusqu’à satiété.

.

Mais ce sont souvent

Mêmes qui reviennent

Ayant donné satisfaction

Par  grandes gratifications.

.

À chacun ses désirs et plaisirs,

S’ils sont  sans regrets, jalousies,

Ils seront bons à prendre et à vivre

Sans désirs, on ne  fait  que survivre.

.

Comment renouveler ses désirs et ses plaisirs

Si on vous dit : grand père, tu peux  te ranger,

Il est grand temps de renoncer  à l’amourette,

Te recentrer sur ta famille et les tiens à aimer.

.

Il y a le plaisir, toujours, comme fond inusable,

Bonne chair, bon vin, un bon repas en commun,

Et, cela peut durer, sans arrêt, jusqu’au dernier,

Pour peu qu’on en est l’appétit,  jusqu’à  satiété.

.

Il y a le désir de se cultiver, ou se spiritualiser,

Plaisirs de l’esprit, mais aussi, plaisir de l’âme,

Sans compter, envie d’écrire, peindre, sculpter,

Resté latent depuis que l’on est enfant  ou ado !

.

Il y a le plaisir de vivre à son propre… rythme

Pour peu qu’on s’impose sa propre contrainte :

Se lever tard, sieste légère  et  soirée prolongée,

Spectacles, événements, concerts  et… variétés.

.

Il y a désir de voir du pays…plaisir de voyager,

Rencontrer d’autres personnes … des étrangers,

Admirer des panoramas, aux vues imprenables,

Montrer que grimper on en  est  encore capable.

.

Il y a le plaisir de voir ses petits-enfants grandir

Sans avoir à les éduquer, ni garantir  leur avenir

Avec le désir de les voir  surpasser  leurs parents,

Autres temps, autres mœurs : en exige d’autant !

.

Il y aura, pour finir, essentiel désir de se réaliser

À travers beau projet qui nous fera grand plaisir,

Pour continuer  à garder sa place  dans la société

Gratuitement, sans contrepartie : par  humanité !

.

Extensions

 .

Comment renouveler

Ses désirs et ses plaisirs,

Lors vieillissant, lentement

Mais surement et ce d’autant

Qu’on est à la retraite  et donc

Avec du temps libre, pour quoi.

.

Combien de gens vous disent :

«Quand j’y serai… je ferai »

Et ils ne font pas, ou  alors

«Quand je ferai, je serai »

Et ils ne sont toujours pas.

.

En contraints jusque-là, par

Leurs obligations extérieures,

Ils s’en remettent, se reposent,

Autres activités … en dilettante.

.

Désirs, plaisirs, anciens, nouveaux

Ces quatre mots… qui s’interpellent

Font valser le monde des projections

Au-delà  du raisonnable, du profitable,

Pour épuiser toutes les saveurs de la vie.

.

On peut multiplier plaisirs

Afin de satisfaire  un désir :

On ne peut  multiplier désirs

Pour  satisfaire   son plaisir :

Le désir reste dans l’attente,

Le plaisir est dans l’action.

.

Désir est mouvement vers,

Désir  est  manquement  de,

Désir  est  inclinaison   pour,

Plaisir  est   assouvissement,

Parfois même ravissement,

Si ce n’est contentement !

.

Renouveler requiert cycle

De tensions  puis  détentes,

Ne peut jamais être continu,

Sans perdre de son intensité :

Meilleure façon est partager

Pour qu’autre soit miroir.

.

Fragments

.

Désir et plaisir se succéderaient,

Dans un cercle, qui les distraient,

Lors des plaisirs, vite s’émoussent,

Des désirs créent d’autres mousses

..

L’ennemi désir est procrastination :

Remettre à demain plaisir immédiat

Mais, si désir devient seule obsession,

On tourne en rond et on est vite à plat.

.

Obscur objet du désir vient d’inconscient

Il nous serait suggéré, en nous y associant,

Faut-il lui résister ou l’ignorer ou l’accepter

La mort du désir serait celle de l’Humanité.

.

Métaphore de l’escalier est différente en tout,

De celle du cercle que l’on dit fermé pour tout

Il  arrive que le désir  nous monte  au grenier,

Lors plaisir décevant nous descend au cellier.

.

Il y a aussi, surtout des paliers pour respirer

Un peu comme en mer, en remontée plongée

Si le désir est bien trop fort : il nous étouffe

S’il est bien trop faible, il stagne, esbroufe.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme   

     .

Des désirs     C     S  et de plaisirs

Il y en a cent  O     E  de différents

Des désirs voire  M     S   des plaisirs,

Y en a et plus, tant  M    *       que tant !

Dès qu’un plaisir   E    D    s’émousse,

Un autre désir  N   É   nous pousse

À en varier,   T   S   à en essayer

Et ce, jus   *     I   qu’à satiété.

Mais ce   R    R   sont souvent

Mêmes   E     S qui reviennent

Ayant don  N    *   né satisfaction

Par  grandes   U   P   gratifications.

À chacun ses dé  V   L   sirs et plaisirs,

S’ils sont  sans re   E    A   grets, jalousies,

Ils seront bons à     L     I  prendre et à vivre

Sans désirs, on ne   E       S    fait que survivre.

         R        I  R  S

 .

***********************************************

***************************************************

.

Comment renouveler ses désirs et ses plaisirs

Si on vous dit : grand père, tu peux te ranger,

Il est grand temps de renoncer  à l’amourette,

Te recentrer sur ta famille et les tiens à aimer.

.

                                      Il y a le plaisir, toujours, comme fond inusable,

                                      Bonne chair, bon vin, un bon repas en commun,

                                     Et, cela peut durer, sans arrêt, jusqu’au dernier,

                                   Pour peu qu’on en est l’appétit, jusqu’à satiété.

.

Il y a le désir de se cultiver, ou se spiritualiser,

Plaisirs de l’esprit, mais aussi, plaisir de l’âme,

Sans compter, envie d’écrire, peindre, sculpter,

Resté latent depuis que l’on est enfant ou ado !

                                Il y a le plaisir de vivre à son propre… rythme

                                 Pour peu qu’on s’impose sa propre contrainte :

                                Se lever tard, sieste légère et soirée prolongée,

                                Spectacles, événements, concerts et…variétés.

.

Il y a désir de voir du pays…plaisir de voyager,

Rencontrer d’autres personnes … des étrangers,

Admirer des panoramas, aux vues imprenables,

Montrer que grimper on en est encore capable.

.

                                  Il y a le plaisir de voir ses petits-enfants grandir

                                 Sans avoir à les éduquer, ni garantir leur avenir

                                  Avec le désir de les voir  surpasser  leurs parents,

                                 Autres temps, autres mœurs : en exige d’autant !

.

Il y aura, pour finir, essentiel désir de se réaliser

À travers beau projet qui nous fera grand plaisir,

Pour continuer  à garder sa place  dans la société

Gratuitement, sans contrepartie : par humanité !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un escalier que l’on nommera

Souvent en spirale colimaçon,

Parce qu’il tournera en rond 

Jusqu’au palier en haut !

.

697 4

.

L’escalier est un symbole plaisirs

Dès lors qu’on grimpe

Tant à chaque étage, palier, on peut

Sans cesse, le renouveler.

Escalier avec paliers est métaphore

Du renouvellement et de l’élévation :

Pour autant qu’il évoque désir plaisir

Ils ne superposeront… fond et forme !

.

Symbolique 

.

L’escalier                       est toujours

Le symbole de                 progression,

 .

Vers   le   savoir             de l’ascension

Vers la connais             sance, lumière

 .

Il relie ce qui est           en haut et bas.

Il revêt aussi un          aspect   négatif

 .

La descente, la            chute, le retour

À la matériali             té  et  au monde

 .

Souterrain étant       à l’ombre en soi.

grandreves1234.blogspot.com

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

L’escalier est un symbole des plaisirs

Dès lors qu’on grimpe

Tant à chaque étage, palier, on peut

Sans cesse, le renouveler.

.

Symbolique 

 .

Ce sera  la       Compagnonne

Qui  a  gravi           escalier    tournant

Divisé en deux                 paliers mon esprit

Pensa alors en                       roulements, spirales

Du temps  passé                     à venir, vis sans fin,

Coquille escargot           tourbillons de forces

Ascendantes       descendantes

.

Et tout cela me troubla passablement.

Carl JUNG aura écrit :

« La   voie   vers   le but   s’élève   en  spirale ».  

Et, en effet, celle-ci, forme

Circulaire, reste ouverte vers l’éternel Progrès.

Mais   si   un    escalier

Peut être monté, n’oublions surtout pas qu’il peut

Aussi être descendu !

ledifice.net/7601-1.html

  .

 .

Fond/forme 

.

Un escalier en spirale n’aurait pas

La même évocation,  ni connotation,

Que l’escalier droit comme une échelle

On parlera de même élévation et chute.

.

Mais, de spirale du bonheur et malheur,

Comme s’il y avait un destin, une fatalité,

Venant s’y ajouter, auxquels on succombe,

Descente aux enfers ou montée au paradis.

On ne s’arrête pas en plein milieu de spirale:

Les constellations elles-mêmes en forme une.

L’univers : en expansion, retrait, ou chute.

Et qui sait si un trou noir ne l’est pas

Nous aspirant dans son néant.

.

Textuels et illustrations  >>

696 – La vie entre dix ans et soixante-cinq ans

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

À dix ans, on ne sait rien de la vie,

On est enfant apprenant dépendant

Des parents et société nous éduquant

Aux valeurs laïques  de  la République.

 .    

À trente, notre carrière  se  sera  dessinée

Mariage, enfant, maison seront la trilogie,

Il arrive  que l’on ne fasse  aucun des trois,

Et qu’en plus son emploi soit très instable

Pour autant,  aurait-on déjà raté sa vie !

 .    

À soixante et plus et une belle retraite

Avec, pour  perspective : le cimetière.

Mais rien ne presse,  rien ne stresse

L’essentiel est  d’en  bien  profiter,

Du cadeau qui nous est accordé.

.     

À dix ans, l’on a déjà épuisé

Ses désirs, plaisirs d’enfants,

Bien rempli  son imaginaire

À ne plus savoir  qu’en faire.

 .    

À treize, l’on se sent… décalé,

On ne sait  ce qui va se passer,

Notre peau d’enfant nous serre,

Adultes vous exhortent à grandir

Mais comment faire pour y réussir

Si aucun modèle adulte ne nous sert.

.

À seize, notre puberté enfin…s’achève,

Notre sexe invite  d’aller voir … à côté,

Si le plaisir n’est pas en cette intimité,

De belle fusion fugace sinon de rêve.

 .

À vingt, on goute à toutes libertés,

Bien qu’on commence à les trier

De différences  en préférences,

Pour ne pas les voir…se tirer.

  .   

À trente … d’être père ou mère,

Doux désir, plaisir sous ventrière,

L’enfant né … dans le cocon familial,

On s’enferme en bonheur postnuptial.

  .   

À cinquante, fin de stocks désirs soldés

Peu ou prou, selon chacun, son énergie,

Et tout se met à se répéter, découvertes,

Les amours ne sont plus que souvenirs.

.

À soixante-cinq, belle vie de retraite,

Seul, face à vous-même, votre bilan,

Encore quinze ans, bon an, mal an,

Désirs, plaisirs ne sont plus de fait.

De fait : désirs, plaisirs  différents.

.

Entre vos dix et soixante-cinq ans

Même si  la vie  vous les renouvelle

Par une jeunesse  presque  éternelle,

Dans un corps que l’on finit par subir.

.

Extensions

L’important n’est pas tant l’âge que l’on a,

Pour cela, on n‘y peut rien, mais de bien vivre

Son âge après avoir bien vécu les âges précédents.

Ceux à qui on a volé leur enfance, leur adolescence,

N’auront de cesse que les retrouver et de les revivre.

.

Vingt, quarante, soixante ou la valse des … ans,

Tout ce temps passé, on se demande comment !

À dix ans, je ne pensais pas y arrivé et me voilà

J’y suis mais j’aimerais beaucoup  y retourner,

L’enfance c’est l’âge de l’insouciance affichée,

Vingt, c’est la folie de l’illusion de sa liberté,

Soixante, premier bilan de sa vie passée.

Il parait qu’il y en a encore à vivoter

Qu’en faire, à part grand-mère !

.

De dix à soixante-cinq ans,

Il s’en passera des choses,

Dans sa vie  et après cela,

Tout ralentira, peu à peu,

Et l’on mourra à petit feu

Ou de maladie, accident !

.

Avant dix ans, rien n’est fixé

Et après soixante-cinq : figé,

Car peu de gens  rebondiront,

Pour se lancer dans un projet,

Personnel à court/moyen terme

En bifurquant vers autre horizon.

.

Certains ne font qu’un métier en leur vie,

D’autres en font deux, trois, quatre, cinq, dix

Il y a les passionnés qui ne changeront pas

Et les bricoleurs touche-à-tout et à rien.

.

Fragments

 .

Flacon et parfum vont ensemble

Mais pas avec déroulement de vie

Qui n’est ni un contenant, contenu.

Ainsi la forme se distingue du fond.

.

 À dix ans,   je n’étais pas un ange, sûr,

Mais pas davantage un innocent pur,

Et  je ne connaissais, je ne maitrisais

Encore très peu de ma vie et en faits,

.

À treize, préadolescent encore pubère,

Transformations agitant testostérones,

Je ne me sentais pas encore un homme,

Bien qu’abandonnant le statut d’enfant.

.

À seize ans,  j’ai grandi, et c’est  voyant,

Je déclare ne plus entendre mes parents

Sont sympa mais vieux, pas dans le vent

Ils m’énervent parfois et même souvent.

.

À vingt, je poursuis études en université,

J’ai choisi profession qui m’a passionné :

Les exams, c’est le stress, c’est la sélection

Vivement la fin que je gagne … mon pain.

.

À trente, je suis en couple avec un enfant

Ça nous a changé notre vie, radicalement

Assure éducation, assume responsabilité,

C’est un projet, investissement, captivant.

.

À cinquante, carrière, bientôt plafonnée,

Malgré expérience, expertise, reconnues,

Je ne dois plus m’attendre à être promu,

Place aux jeunes, fraichement diplômés.

.

À soixante-cinq, je suis un jeune retraité

Qui passe son temps à écrire ou naviguer

Accorde du temps pour les petits-enfants

Tout l’art d’être grand père, faire l’enfant.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

     À dix ans, on ne sait rien de la vie,

    On est enfant apprenant dépendant

      Des parents et société nous éduquant

      Aux valeurs laïques de la République.

.

VIE ENTRE DIX ANS,       

À trente, notre carrière se sera dessinée

      Mariage, enfant, maison  feront la trilogie.

       Il arrive  que l’on ne fasse  aucun des trois,

       Et qu’en plus son emploi soit très instable

      Pour autant,  aurait-on déjà raté sa vie !

.

ET SOIXANTE-CINQ ANS         

 À soixante et plus et une belle retraite

   Avec, pour  perspective : le cimetière.

  Mais rien ne presse,  rien ne stresse

L’essentiel est  d’en bien profiter,

Du cadeau qui nous est accordé.

     .

 À dix ans, l’on a déjà épuisé

   Ses désirs, plaisirs d’enfants,

   Bien rempli  son imaginaire

    À ne plus savoir  qu’en faire.

     .

        À treize, l’on se sent… décalé,

        On ne sait  ce qui va se passer,

          Notre peau d’enfant nous serre,

          Adultes vous exhortent à grandir

           Mais comment faire pour y réussir

              Si aucun modèle adulte ne nous sert.

     .

               À seize, notre puberté enfin… s’achève,

              Notre sexe invite d’aller voir … à côté,

                Si le plaisir n’est pas en cette intimité,

                De belle fusion fugace sinon de rêve.

              À vingt, on goute à toutes libertés,

             Bien qu’on commence à les trier

            De différences  en préférences,

          Pour ne pas les voir…se tirer.

     .

          À trente … d’être père ou mère,

            Doux désir, plaisir sous ventrière,

               L’enfant né … dans le cocon familial,

               On s’enferme en bonheur postnuptial.

     .

                À cinquante, fin de stocks désirs soldés

                 Peu ou prou, selon chacun, son énergie,

                  Et tout se met à se répéter, découvertes,

                 Les amours ne sont plus que souvenirs.

            .

              À soixante-cinq, belle vie de retraite,

            Seul, face à vous-même, votre bilan,

           Encore quinze ans, bon an, mal an,

           Désirs, plaisirs ne sont plus de fait.

          De fait:  désirs, plaisirs différents.

.

          Entre vos dix et soixante-cinq ans

           Même si la vie  vous les renouvelle

              Par une jeunesse presque éternelle !

               Jeunesse de l’esprit cela va sans dire,

               Dans un corps que l’on finit par subir.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon de parfum

Pour le plus tortueux ;

Et pour le moins étroit,

Comme bougie  avec i.

.

696 4

.

Si vous n’aimez pas la couleur rouge

De ce flacon, tant pis :

Quant à dire si longue bougie visera

Un âge ou un autre : à voir !

.

Symbolique 

 .

Plus qu’un

Contenant

Protégeant

Un  parfum

De  lumière,

Le flacon est devenu

Un    véritable    écrin,

Il   doit  inviter à      la

Découverte du produit

Qu’il renferme en faire

Un pur objet de  désir,

En véhiculant l’image

 De maison de parfum.

À charge  au designer

De jouer  sur volumes,

Couleurs et matériaux

 Pour  imaginer   flacon

D’exception, collection.

Source : cosmopolitan.fr/les-

parfums-et-leurs-flacons

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Si vous n’aimez pas la couleur rouge

De ce flacon, tant pis :

Quant à dire si longue bougie visera

Un âge ou un autre : à voir !

.

Symbolique 

 .

La

Bougie

Est associée

À la lumière,

Au      temps,

Et à la prière.

Autrefois          la      bougie

Était       utilisée        comme

Source       de          lumière,

Et      aussi   pour   mesurer

Le   temps     qui     s’écoule.

Cette       notion     de temps

Est   exprimée   aujourd’hui

Par bougies d’anniversaire,

Représentant années de vie.

1001symboles.net/symbole/sens-de-bougie

 .

 .

Fond/forme 

.

Il y a un âge pour tout comme dit la raison

Et ceux qui veulent rester faussement jeunes,

Finissent par donner d’eux : image pathétique,

Alors que faire son âge, alors qu’avoir des rides,

Est proche de toute loi de la nature et de la société.

.

On voudrait garder même flacon pour un parfum

Qui s’épaissit, forcit, ou rancit, tout comme le vin,

Ne faut pas confondre ralentir effets de vieillerie

Et  produits procurant illusions d’un jeunisme :

On ne peut être jeune, avec âge de ses veines

Mais on peut l’être, d’esprit, toute sa vie.

.

Textuels et illustrations  >>

695 – Pourquoi avoir besoin de présence féminité !

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Pourquoi ne pas  pouvoir,

Pourquoi ne pas vouloir,

Pourquoi  ne pas savoir

Se passer  sa présence.

.

Un peu    de  douceur,

Un peu,     beaucoup,

Dans  notre  monde,

Basé sur   les peurs.

.

Un peu de  chaleur,

Un peu de bonheur

Un peu,  beaucoup,

En une  longue  vie,

Pour éviter  l’ennui.

.

Pourquoi avoir besoin de présence féminité

   Pour mieux se confier et à qui se donner :

    Pourquoi pas plusieurs, et voire toutes,

     Lors, son mariage ferait fausse route.

.

      Sûr qu’amour s’effrite avec le temps

       Et il se remplace  par attachements

      Et d’autant qu’il y a  trois enfants,

     Maison commune,  avec parents.

.

    La femme serait dite fidèle, née,

 Quand l’homme dit volage inné,

Le monde n’est pas blanc, pas noir,

Liberté sexuelle en images, et miroirs,

.

Reflète bien  des hypocrisies, cachoteries

Des hommes   se trouvant  battus,  en lices

Et pour autant, que de prétendues frénésies,

Des femmes   les contentant, lors, en  leur lit.

.

Pourquoi s’enfermer  en l’autre, pour l’amour,

Étrange idée, subir vie d’un autre, chaque jour

À chaque rencontre, demeurer toujours sourd.

Amour est souffrances autant que  jouissances.

.

Comment apprécier, celui, ou celle, que l’on a,

Si l’on  n’apprécie pas ou bien la … différence.

Si, une fois marié, esclave, une fausse liberté,

Impose sa  loi en vertu d’économique réalité

Assortie d’une  non moins sociale moralité.

.

La réponse sera donc dans cette question,

Qui décide, et de   quoi, dans un couple,

Sinon eux-mêmes,  personne d’autre,

N’y étant pas : ne le  jugeons pas !

.

Enfermer l’autre en l’amour n’est

En aucun cas un service à lui rendre,

Pas même à soi-même car,  en prison,

Ce serait le comble de toute possession.

Humain ne se réduit jamais à la chose

On ne peut posséder  que les choses.

.

Sans libertés, il n’y a pas d’amour,

Pas plus sans réciprocité couple

Ni sans égalité vie commune

Durable, agréable, stable.

.

Extensions

 .

Une présence féminine,

Comme chacun sait, radoucit

 L’ambiance  entre  les hommes

 Si ne les attise pas de jalousie.

La mixité est perçue comme

Une égalité ou une parité,

Avant d’être bien  ou mal.

À certains leur fait défaut ;

D’autres,    ça les embêtes ;

 Derniers, ça leur est égal !

.

Une présence féminine n’est jamais neutre :

Elle équilibre et les humeurs, et les  énergies,

Aura un autre point de vue, complémentaire.

Elle inspire la grâce, la beauté,  la séduction,

Et rien que cela, déjà lui vaudra sa dévotion.

.

Il y a plusieurs formes de présence féminine

Celle qui est là, sans être là,  tout en l’étant !

.

C’est le fait d’un vieux couple, mal s’aimant

Celle qui est là, de nuit, présent à vos côtés,

.

C’est le fait de couples étant encore amants

Celle qui est là, de temps en temps, passant

.

C’est le fait d’une maitresse ou d’une amie.

Celle n’étant pas là, à qui on pense souvent

.

C’est le fait de celui qui fantasme baisant !

.

Fragments

 .

La forme des vases,

La couleur des fleurs

La douceur de la soie

Profondeur de l’émoi

Conviennent très bien

 À univers très féminin.

.

Par sa forme et la grâce

 De ses courbes voluptueuses,

Par  sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin.

Son creux évoque celui d’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides

Vitaux et attraits pour l’homme.

.

Quant à une présence féminine

Dans  notre  propre  maisonnée,

Elle occupe même fonctionnalité

Qu’en de nombreuses assemblées

Celle d’établir une sorte d’égalité,

Équilibrant trop forte masculinité

Avec une conscience plus concrète

Et, en même temps, plus complète.

.

Ce n’est pas tant qu’elle réduit conflit

Qu’elle l’oriente vers ce qui le définit,

Pour rechercher  une vraie solution,

Non basée que sur la seule … raison,

Y apportant une once de sentiment

Répondant à un souci d’humanité,

Qu’elle s’efforcera de sauvegarder

Pour l’avoir, elle-même, enfanté

Et dont elle ne peut s’extraire.

.

Si tous les vases représentent

Métaphoriquement la femme

Ce dernier le fera tout autant

Et forme  converge vers fond.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Pourquoi ne pas  pouvoir,

Pourquoi ne pas vouloir,

Pourquoi  ne pas savoir

Se passer  sa présence.

Un peu    de  douceur,

Un peu,     beaucoup,

Dans  notre  monde,

Basé sur   les peurs.

Un peu de  chaleur,

Un peu de bonheur

Un peu,  beaucoup,

En une  longue  vie,

Pour éviter  l’ennui.

*****************

********************

Pourquoi avoir besoin de   *     présence féminité

   Pour mieux se confier et    A     à qui se donner.

    Pourquoi pas plusieurs,     V    et voire toutes,

     Lors son mariage ferait    O    fausse route.

      Sûr qu’amour s’effrite     I   avec le temps

       Et il se remplace par      R    attachement

      Et d’autant qu’il y a       *   trois enfants,

     Maison commune        B    avec parents.

    La femme serait          E    dite fidèle née,

 Quand l’homme         S    dit volage inné,

Le monde n’est        O pas blanc, pas noir,

Liberté sexuelle     I  en images, et miroirs,

Reflète bien des   N   hypocrisies, cachoteries

Des hommes      *    se trouvant battus en lices

Et pour autant P     que de prétendues frénésies,

Des femmes    R       les contentant, lors, en leur lit.

Pourquoi       É      s’enfermer en l’autre pour l’amour,

Étrange      *  S *     idée subir vie d’un autre chaque jour

À chaque   *    E  *   rencontre, demeurer et toujours sourd.

Amour est  *     N    *      souffrances  autant  que  jouissances.

Comment   *       C    *       apprécier, celui, ou celle, que l’on a,

Si l’on  n’     *         E   *    apprécie pas ou bien la… différence.

Si, une fois   *        *      *    marié, esclave, une fausse liberté,

Impose  sa     *        F    *  loi en vertu d’économique réalité

Assortie d’une  *        É     *     non moins sociale moralité.

La réponse sera   *      M     *    donc dans cette question,

Qui décide, et de   *       I       *     quoi, dans un couple,

Sinon eux-mêmes,  *     N        *     personne d’autre,

N’y étant pas : ne le  *      I          *      jugeons pas !

Enfermer l’autre en     *     N       *   l’amour n’est

En aucun cas un service  *   E      à lui rendre,

Pas même à soi-même car    *     en prison,

Ce serait le comble de toute possession !

Humain ne se réduit jamais à la chose

On ne peut posséder que les choses.

Sans libertés, il n’y a pas d’amour,

Pas plus sans réciprocité couple

Ni sans égalité vie commune

Durable, agréable, stable.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase probablement,

Un  vase  assurément,

Voire même un autre

Plus petit au-dessus.

.

695 4

.

Un vase, très probablement

Peut-être même un vase grec 

Avec une  forme  de bouchon,

Présent au-dessus ouverture 

Sur le vase, l’on distingue bien

Une scène de la vie familière :

On devine qu’homme a besoin,

 Apprécie la présence féminine.

.

Symbolique 

Par sa forme, la grâce de ses courbes

 Et    sa  fonction  de  réceptacle,

Vase est symbole féminin.

Son    creux  nous    évoque

Celui d’utérus, le  féminin,

 Contenant les fluides vitaux

Et attraits pour l’homme.

Il est dit en le Nouveau Testament : 

La femme est un vase faible  si fait  que,

Les livres sacrés des Juifs, sont en leur style 

Si proche de la poésie, remplis  d’expressions 

 Empruntées souvent à un symbolisme sexuel, 

Expression qui n’a  toujours été exactement 

Comprise et dont l’interprétation, dans le

Cantique des Cantiques, par exemple, 

A donné lieu nombre malentendus.  

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

695 6

.

Dans la maison, on distingue

Une scène de la vie familière :

On devine qu’homme a besoin,

 Apprécie présence féminine.

.

Symbolique 

 .

La période

Contemporaine est

Marquée par une forte remise

En cause la coprésence et de l’engagement

Comme présence, fondement action en commun.

Question  o   forme de présence    o  est enjeu

Du débat public dans des arènes très différentes

Lors  d’un débat parlementaire pour savoir si

Un texte de loi   peut contenir   l’affirmation

Que les usages     de la vis     io-conférence

Constituent la   ======  règle, ou  lors

D’une controverse          dans le champ

De la psychologie     pour déterminer

Si  les compétences  à multi-activité

Des femmes meilleures qu’hommes.

journals.openedition.org/rfsic/142

 .

 .

Fond/forme 

Tout comme il y aurait mille formes de femmes

Il existe mille formes de vases : attributs féminins

S’il en est, exclusivement par sa constitution creuse.

L’homme, comme chacun  sait bien, est plutôt carré,

Et la femme, plutôt ronde et est dite  plutôt malléable

Cliché que tout cela, évidemment nous possédons tous

Des caractères en nous de l’autre sexe, c’est tant mieux.

Comment se compléter, comprendre si on est contraire

Il fut un temps, il n’y a pas si longtemps, où l’éducation

Des garçons et des filles se faisait à part sans contacts

La pleine mixité nous aura au moins restitué égalité

De traitement et  plus grande tolérance mutuelle.

.

Textuels et illustrations  >> 

694 – Le matin à mon réveil, je pense à toi, merveille

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Penser à quelqu’un au réveil

C’est que très  probablement

L’on vient juste      d’en rêver,

Que l’on revient     à la réalité,

Qui n’est,  ni triste,  ni morne,

Tant l’espoir  grandit, énorme,

De se voir, en cours de journée.

Imaginer déjà prochaine nuitée

Au fond d’un lit,  sous ciel étoilé,

Jusqu’au matin …  accompagné,

Au point, de croire,  que j’ai rêvé

Tu es bien  en chair  à mes côtés.

.

Le matin, à mon réveil,

Je pense  à toi, merveille

Mon être, en hypertendu,

Se jette dans tes bras nus.

.

Je  m’y  glisse  en  pensées,

En vue de mieux m’enivrer,

De la torpeur qui  m’envahit

À ne pouvoir sortir de mon lit

J’y suis  et j’y  reste et encore.

.

Lors mon cœur bat  plus fort,

Quand  tes  jambes, s’écartent

Sang, en tes joues, s’écarlate :

Ce n’est plus tant… ton corps,

Qu’en vrai pénètre mon esprit

Que je fenêtre et  me  réjouis,

Mais ce sont tes yeux accord.

*

Cette nuit noire sous tes voiles,

Aux creux de ta claire obscurité,

Tes yeux brillent comme les étoiles

En reflets de ton  âme … intériorisée

Je  communie, avec toi,  tout  en éveil,

De tous tes sens et de toutes tes pensées.

Nos imaginaires, juste avant bien séparés,

 .

Deviennent superposés, à nul autre, pareil :

Ce n’est plus que toi, en femme, à mes côtés,

C’est tout un monde, un univers,  vrai cahier

Qu’explore, à loisir  en  cette  belle  matinée

De fond  en comble, de la cave  au grenier.

.

La douceur de ton corps des plus apaisés

Parfum de ta peau finement pigmentée

La lueur de ton regard,  fort étonné,

M’accompagnent, une  éternité.

.

Qu’est-ce que l’éternité

Si notre temps s’arrête

L’Éternité, instant rêvé,

Où, qu’à toi, ne penserai,

Quand le réveil aura sonné,

Remerciant le ciel que tu sois là,

Entre mes bras, serrée à tenir ma main,

Pour   qu’en   tous   points l’on  se  sente bien !

.

Extensions

 

Se réveiller seul ou à côté

De quelqu’un, ou quelqu’une

Qu’on aime, d’amour, seront deux

Expériences différentes en points de vue,

Dès lors qu’on en a rêvé durant la nuit

Et que l’on souhaite le poursuivre

Comme douce et tendre réalité.

.

Le moment du réveil est un moment délicieux

Quand il se passe en rêvassant à son amant,

Mais il peut être et tout autant ennuyeux

S’il nous tire d’un cauchemar frappant,

Je tends le bras, pour voir si tu es là :

Perdu encore une fois, tu n’y es pas :

                          Ça ne fait rien : pour prochaine fois !            

.

Le réveil : transition entre sommeil

Et réalité, peut être autant merveille,

Que cauchemar selon son dernier rêve.

.

Il y a ce bref moment où l’on pense que

Le rêve n’est pas qu’une fiction et qu’on

Aurait besoin de le vérifier, en réalité.

.

Et soudain, le retour à la normalité

Qui nous rappelle …quotidienneté

Dont rêve laissera trace ou non.

.

Fragments

.

L’éternité de l’instant

Appelé  «petite mort» :

Sensation de flottement,

 Voire de perte de contrôle

Qui peut survenir  après

Un  orgasme  puissant,

Évoquant une syncope

Des  étourdissements

Des frissons nerveux,

Des plaisirs  charnels,

La suspension aérienne

D’un voyage transcendant.

.

Un éclat d’existence produit

Par lampe à pétrole s’allumant

À son chevet de lit mais qui revêt

Une expérience capitale en sa vie,

Dès lors qu’elle nous révèle, aussi,

Ce que pourrait être  un  paradis :

Comme parfum qui ne s’estompe,

Il est encore là au réveil et matin

Diffusant encore souvenir divin,

D’une nuit passée comme rêve

Qu’amour emplit sans trêve.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Penser à quelqu’un au réveil

C’est que très  probablement

L’on vient juste      d’en rêver,

Que l’on revient     à la réalité,

Qui n’est,  ni triste,  ni morne,

Tant l’espoir  grandit, énorme,

De se voir, en cours de journée.

Imaginer déjà prochaine nuitée

Au fond d’un lit,  sous ciel étoilé,

Jusqu’au matin …  accompagné,

Au point, de croire,  que j’ai rêvé

Tu es bien  en chair  à mes côtés.

Le matin     A            à mon réveil,

Je pense     U          à toi merveille

Mon être,     *       en hypertendu,

Se jette en     R          tes bras nus.

Je m’y glisse    É           en pensée,

Afin de mieux    V         m’enivrer,

De la torpeur qui   E     m’envahit

À ne pouvoir sortir  I   de mon lit

J’y suis et j’y  reste    L    et encore

                  *

Lors mon cœur bat   J    I   plus fort,

Quand tes jambes    E             O  s’écartent

Sang en tes joues    *                    T  s’écarlate.

Ce n’est plus tant    P                      *   ton corps,

Qu’en vrai pénètre E                 À   mon esprit

Que je fenêtre et   N             *  me réjouis,

Mais ce sont tes     S    E  yeux accord.

               *

Cette nuit noire     M sous tes voiles,

Aux creux de ta        E  claire obscurité,

   Tes yeux brillent       R   comme les étoiles

En reflets de ton         V   âme intériorisée

Je communie, avec      E     toi, tout en éveil,

De tous tes sens et de   I    toutes tes pensées.

Nos imaginaires, juste   L   avant bien séparés,

      L

Deviennent superposés    E   à nuls autres pareils.

Ce n’est pas que toi    J     femme,      *         à mes côtés,

C’est tout un monde E         univers          À        vrai cahier

Qu’explore, à loisir  *               en cette          *             matinée

De fond en comble  P           de la cave          T       au grenier.

La douceur de ton   E          corps des         O    plus apaisés

Parfum de ta peau  S       finement       I    pigmentée,

La lueur de ton       E  regard      *  fort étonné,

M’accompagnent    *   une  éternité.

.

Qu’est-ce que l’éternité

Si notre temps s’arrête

  L’Éternité      R  instant rêvé

Où je pense      É      …     à toi,

Quand le réveil     V         aura sonné,

Remerciant le ciel      E           que tu sois là,

Entre mes bras, serrée    I          à tenir  ma  main,

Pour   qu’en   tous   points,    L         l’on  se  sente … bien !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Lampe à pétrole, probablement,

Lampe à pétrole… certainement.

Indispensable au matin, réveil,

S’il fait noir, rien ne marche.

.

694 4

.

Lampe allumée, en veilleuse :

Le matin, je  pense  à toi  comme

Ce qui voudra  dire que j’ai passé

Une nuit, avec toi, merveilleuse.

.

Symbolique 

 .

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez Grimm la lumière seule chasse

L’amant  caché  de  l’héroïne.

Et la lumière, et  dans tous

Contextes mythologiques,

Symbolise la conscience.

La lumière d’une lampe

Représente  le conscient

Qui est  entre  les mains

Et  sous   le contrôle   de

L’être humain, contraste

Avec  la  lumière  du soleil,

De nature divine et cosmique.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

694 6

.

Lampe allumée, en veilleuse :

Le matin, je pense à toi comme

Ce qui voudra  dire que j’ai passé

Une nuit, avec toi, merveilleuse.

.

Symbolique 

 .

Matin, 7 h00.

Comme tous les matins,

Mon  réveil  biologique  s’active

Je me lève  et  je commence  ma  journée

Avec mon petit jogging matinal et bienfaisant.

C’est un plaisir  que  de  courir  à l’éveil du jour,

Pas âme    qui  vive, retrouver     la campagne,

Le vent frais,    et   le    chant     des oiseaux.

Une         belle        journée        s’annonce.

Je  prends                   conscience  de la

Beauté qui      m’entoure partout :

Champs parsemés de fleurs

Très sauvages,

Prairies avec les chevaux, vues imprenables.

 .

.

Fond/forme 

 .

Lampe de chevet veille sur coucher et réveil

Un peu comme le bouton binaire «off/on»

Passant ainsi du conscient à l’inconscient

Et réciproquement, par effet de lumière,

La pensée du jour remplace  ou poursuit,

Celle de la nuit, en bonheur ou désillusion.

.

Il y a quelqu’un ou quelqu’une ou personne

Qui n’est pas forcément là quand on la sonne

Lors j’ouvre les rideaux, les volets, les fenêtres,

La lumière du soleil vient irradier ma chambre :

Il y a bien Claire, de lune, dans mon lit : merveille.

Ce poème renvoie à un autre avec même titre contenu

Le numéro 717 proposant une interprétation différente !

 .

Textuels et illustrations  >>

693 – Je m’envole sans ailes quand je suis avec elle

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

S’envoler, sans ailes,

Parait très difficile,

Sauf en l’amour,

Qui en donne,

Au sens figuré,

Bien évidemment.

.

Quand je suis avec elle

Je me sens plus que léger,

Tant désir, force de l’aimer,

Feront prendre… hauteur.

.

Chaque vol, en couple,

Est un pur délire,

Et retomber

À terre,

Enfer

V

.

Je m’envole sans ailes, quand je suis avec elle,

Lors je me retrouve, en pleine nature, en mer,

Que je respire, à fond, vrais parfums naturels,

Emplissant  le corps et l’âme, de son plein air.

.

Alors, je vagabonde, à mon gré, en un monde,

Qui m’appartient plus que personne en ondes,

Où, ma volonté ne me formule  d’autres vœux,

Que celle d’un corps, qui se meut, et, m’émeut.

.

De ce que je vois, entend, sent, goute et touche,

Sans filtre et sans limites autres que fins désirs

De sentir que mots forts éclosent en ma bouche

Et qu’images saturent mon cerveau de plaisirs !

.

Ici les arbres font des souffles en leurs feuillages,

Autant de purs murmures d’harmonies avec eux,

Chatouillant mes oreilles,   éblouissant mes yeux,

Où répondent en échos, d’oiseaux, leurs ramages.

.

Là, l’eau coule en serpentant  entre deux versants,

Tantôt forme une grande mare tantôt petit torrent

Qui charrie avec lui l’air brûlant de chaque instant,

Jusqu’à la mer, qui l’engloutit, en son feu d’amant !

.

Extensions

 .

Je m’envole sans ailes quand je suis avec elle

Et  je me trouve porté jusqu’aux nues belles.

J’en deviendrais lyrique voire bucolique

S’il n’y avait un fond d’angoisse, tenace,

Qui me fait comprendre que c’est un  leurre.

.

C’est l’heure de la quitter, et je l’ai juste abordé.

Il me semblait pourtant que le temps s’était arrêté,

La coupe était pleine, débordait d’énergie amoureuse.

Frénésie de mon désir n’a eu d’égale que ma chute libre

Sans parachute et jusqu’à en percuter le sol plus que dur.

.

Je croyais m’envoler avec elle, je reviens en battant de l’aile,

Au point de jonction où on s’est rencontré, retour case départ.

Amour vertical, que ce soit : de bas en haut, ou, de haut en bas,

Quoi de plus excitant, quoi de  plus humiliant, de plus cassant !

.

Décoller de Terre, pour aller jusqu’au septième ciel, n’est pas

Si simple qu’on le croit, qu’on le dit, qu’on le vit.

Les ascendances de l’amour sont

Parsemées de trous d’airs !

.

En voilà bien une drôle d’histoire d’ailes et d’elle

Conte avec ou sans ailes, récit avec ou sans elle !

Mais  pour qui me prenez-vous : ange ou démon

On trouve dans les séries, des nouvelles fictions,

Qui ont  pour intention, vous en donnez frisson,

Aucun humain  n’aura volé  de ses propres ailes.

Icare les a brûlés en s’approchant trop du soleil.

À défaut de pouvoir voler au sens propre en air,

Prenons les ailes au figuré en son atmosphère !

.

Si l’on ne parle point,  de s’envoler,

Lorsqu’on fait l’amour, on évoque

De s’envoyer en l’air, et à deux,

Ce qui reviendrait au même.

.

Expression argotique milieu du xxe siècle :

Le plaisir ressenti, lors d’un rapport, est lié

Métaphoriquement  à ascension aux cieux,

Ascension qui serait comme sorte d’extase.

.

Extase, avez-vous dit avec synonymes

Admiration, émerveillement, exaltation,

Griserie, ivresse, vertige, voire enivrement

Lors y a de quoi prendre son pied, au figuré.

.

Fragments 

.

S’envoler, planer, piquer, grimper, virevolter

Autant de mouvements changeant directions,

Avec elle, comme oiseau en air, me sens léger,

Sans ailes, mon esprit se met  en dérélictions !

.

D’où me vient cette impression de non gravité,

Comme une sorte d’expérience extracorporelle

Qui me transporte, ailleurs, planant  après elle,

Mon âme  se détacherait-elle, en corps virtuel !

.

Pour quel long voyage en quelle haute sphère,

Comment revenir, pour reposer pied à terre :

L’histoire ne le dit pas, la petite mort, dit-on,

Est expérience passagère d’extase sensuelle.

.

Voler a toujours été un rêve des humains

Et aujourd’hui bien qu’on puisse planer

L’on ne peut décoller du sol soi-même

Sans moteur pour contrer gravité !

.

On ne sait jamais, dans le futur

Léviter est déjà un bon début.

Décoller : seul Jésus Christ

L’a fait jusqu’à présent !

.

Fragments

.

S’envoler, planer, piquer, grimper, virevolter

Autant de mouvements changeant directions,

Avec elle, comme oiseau en air, me sens léger,

Sans ailes, mon esprit se met  en dérélictions !

.

D’où me vient cette impression de non gravité,

Comme une sorte d’expérience extracorporelle

Qui me transporte, ailleurs, planant  après elle,

Mon âme  se détacherait-elle, en corps virtuel !

.

Pour quel long voyage en quelle haute sphère,

Comment revenir, pour reposer pied à terre :

L’histoire ne le dit pas, la petite mort, dit-on,

Est expérience passagère d’extase sensuelle.

.

Voler a toujours été un rêve des humains

Et aujourd’hui bien qu’on puisse planer

L’on ne peut décoller du sol soi-même

Sans moteur pour contrer gravité !

.

On ne sait jamais, dans le futur

Léviter est déjà un bon début.

Décoller : seul Jésus Christ

L’a fait jusqu’à présent !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

 .

S’envoler, sans ailes,

Parait très difficile,

Sauf en l’amour,

Qui en donne,

Au sens figuré,

Bien évidemment.

Quand je suis avec elle

Je me sens plus que léger,

Tant désir, force de l’aimer,

Feront prendre… hauteur.

Chaque vol, en couple,

Est un pur délire,

Et retomber

À terre,

Enfer

V

JE M’ENVOLE

Je m’envole sans ailes, quand je suis avec elle,

Lors je me retrouve, en pleine nature, en mer,

Que je respire, à fond, vrais parfums naturels,

Emplissant  le corps et l’âme, de son plein air.

Alors, je vagabonde, à mon gré, en un monde,

Qui m’appartient plus que personne en ondes,

Où, ma volonté ne me formule  d’autres vœux,

Que celle d’un corps, qui se meut, et, m’émeut.

SANS AILES

De ce que je vois, entend, sent, goute et touche,

Sans filtre et sans limites autres que fins désirs

De sentir que mots forts éclosent en ma bouche

Et qu’images saturent mon cerveau de plaisirs !

Ici les arbres font des souffles en leurs feuillages,

Autant de purs murmures d’harmonies avec eux,

Chatouillant mes oreilles,   éblouissant mes yeux,

Où répondent en échos, d’oiseaux, leurs ramages.

LORS AVEC ELLE 

Là, l’eau coule en serpentant  entre deux versants,

Tantôt forme une grande mare tantôt petit torrent

Qui charrie avec lui l’air brûlant de chaque instant,

Jusqu’à la mer, qui l’engloutit, en son feu d’amant !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Tout pointu,

Un petit trophée

Prêt   à   s’envoler

Sur piédestal planant.

.

693 4

.

Si c’est moi, dessus, et elle, dessous,

Ce sera difficile de s’envoler

 Si c’est le contraire, c’est télékinésique:

On en deviendrait  planant !

Voler, planer c’est ce que fais

En esprit, et en cœur, l’athlète

À qui on remet ce petit trophée

Faisant que forme épouse fond.

 .

Symbolique 

.

Fait de voler apporte sentiment de liberté.

C’est une  libération  face  aux contraintes

De la matière et du sol lors tel un oiseau

 .

L’on se déplace avec aisance  et  facilité

Dans les airs,  sans avoir  à  parcourir

Et  à  pied, de très  longues  distances.

 .

Besoin d’être libre de ses mouvements :

Lorsque l’on vole, on prend de la distance

Avec la réalité on voit les choses de plus loin,

 .

Ce besoin de distance avec certaines situations

Permet de ne plus se sentir entraver par certains

Éléments et d’avoir vue plus complète de la situation.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Si c’est moi, dessus, et elle, dessous,

Ce sera difficile de s’envoler

Si c’est le contraire, c’est télékinésique:

On en deviendrait  planant !

 .

Symbolique 

 .

La frégate

À coups d’ailes

Pour    un   presque

Vol   éternel. Cet oiseau,

Marin, énigmatique Pacifique

Capable de voler plus de deux mois   

Sans  se poser,  tout en se nourrissant

Et    en   dormant.                      Les    frégates sont  

De très fins stratèges.                               Très légers 1 kg

Pour 1 à 2 m d’envergure, 3 à 4 kg pour un albatros

Ces oiseaux  sont dotés d’ailes très longues

Et    très  larges    qui  leur  permettent

 D’utiliser conditions atmosphériques

Rencontrées  dans   les   eaux  

Tropicales  pour voler  et

Planer sur milliers

 De     kilomètres.

la-croix.com/Sciences/Environnement/

La-fregate-coups-ailes-pour-eternel

.

.

Fond/forme

 .

On s’imagine voler dans les airs,

Planer comme nombre d’oiseaux,

On reste là, comme plaqué à terre,

Soumis à gravitation universelle !

.

Y a que les anges qui ont des ailes,

Mais ce ne sont que de purs esprits

Probablement  en autre dimension.

J’ai cru qu’elle en était un avec moi

Et tombés de haut, chute mortelle.

 .

.

Textuels et illustrations  >> 

692 – Gens prennent conscience lors événement

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Fragile et fragilité que de sentir déstabilisé

À en perdre ses repères à pleurer après sa mère.

Il faut événement tragique  et douter certitude

D’être invincible  inatteignable, lors, parfois,

Un grain  de sable suffirait pour ressentir :

.

Finitude

Mé-lan

Colique

Devenu.

.

Gens prennent conscience,

Lors tragique  événement

De leur fragilité d’être,

De  leurs déficiences,

De limites physiques,

Se remettent à douter,

Et à ce point de changer,

Capables, enfin, de se décider.

.

S’octroient une pause pour méditer

Révolution et prendre des résolutions,

Comme pour faire régime amaigrissant.

.

Ça dure un peu  et jamais très longtemps,

Temps d’être repris, happé par… l’activité

Qui laisse très peu  de place à la réflexion.

.

Et ce sont les amis qui vous le rappellent

Mais, je croyais que, tu, vous, interpelle,

Vous trouvez alors un argument béton,

Pour vous excuser,  mais, pas le bon !

.

Et puis voilà qu’autres événements

Un sursaut de votre tempérament

Vous surprendra  à vous rejuger,

À vous voir en menteur dévoyé.

.

C’est alors que de l’intérieur

S’éclaire, en vous, lueur,

Et prenez  le fou pari

De réussir  tout ce qui

N’aurait jamais marché,

Jusqu’à présent, pour vous.

.

Extensions

 .

En maxime « Aide-toi et le ciel t’aidera ».

Sans effort, motivation, persévérance :

Rien ne peut changer, d’évidence.

Il faut faire un travail sur soi

Et non demander aux autres

De faire  ce  travail  à  sa place :

Ça ne marcherait pas  et pour cause !

.

Limites physiques, limites psychologiques,

Limites intellectuelles : si les trois se cumulent,

C’est injouable ou presque de changer d’attitudes,

D’habitudes, de latitudes : les régimes amaigrissants

Se font en dents de scie et les temps de sommeil se font

Élastiques et les déplacements de plus en plus erratiques.

En bref, changer demanderait une force de caractère innée.

.

Stabilisé, déstabilisé, fragile, fragilisé, primé, déprimé

L’humain est très fort en principe, très faible en réalité

Et il est loin d’être le plus fort d’animaux mammifères.

S’il se battait contre une panthère : ce serait sa chair !

Il est malin, pour sûr mais il a un « talon d’Achille » !

.

Pour sûr, la mort d’un proche, d’un ami,

Fait prendre conscience de sa vulnérabilité

Tout comme d’apprendre qu’on a un cancer.

.

Lors tout va bien : événements nous coulent

Sur la peau  tout comme l’eau d’un ruisseau,

Paradoxalement on dit ils ne nous touchent.

.

Notre fragilité nous fait comparer au roseau

Tant à vouloir être un chêne, indéracinable,

On tombe d’un coup nous dit La Fontaine.

.

Fragments

.

C’est au pied du mur qu’on voit le maçon

C’est en forgeant  qu’on devient forgeron :

Autant d’erreur que sagesse en ces dictons,

Lorsque, au pied du mur, on aura révélation

.

Révélation de quoi… non pas d’une croyance,

Révélation conscience réelle, de son existence,

À laquelle on accordait trop peu d’importance,

Qui, face événement, devient de toute évidence.

.

Parmi autre dicton «Aide-toi et le ciel t’aidera ».

Que viendrait faire le ciel en une telle affirmation

«Il faut juste aider les autres  à s’aider  eux-mêmes»

 Plus efficace, convient mieux, en philosophie de vie.

.

Les fleurs en diraient long sur leur durée et fragilité,

Fleurs en terre, en pots, engraissées, en vase, coupées

Sont autant de métaphores d’événements se notre vie,

Nous faisant prendre conscience de notre éphémérité.

.

Imaginez  une fiancée,  avec son bouquet de mariée :

Tout va bien pour elle,  ce bouquet lui convient bien,

Et voilà que le lendemain, elle se dit s’être trompée,

Regarde son bouquet pour confirmer : séché, fané.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

                                                                 Fragile et fragilité que    G  de sentir déstabilisé

                                                                   À en perdre ses repères E   à pleurer après sa mère.

                                                                    Il faut événement    N  tragique et douter certitude

                                                                    D’être invincible  S       inatteignable lors, parfois

                                                                 Un grain  de sable suffirait pour ressentir

                                             Finitude

                                      Mé-lan

                                 Colique

                             Devenu.

Gens prennent   P  conscience,

Lors tragique   R    événement

De leur fra   E   gilité d’être,

De  leurs   N   déficiences,

De limites   N    physiques,

Se remettent   E   à douter,

Et à ce point de    changer,

Capables, enfin, de   T se décider.

.

S’octroient  C  une pause pour méditer

Révolution   O   et prendre des résolutions,

Comme pour   N    faire régime amaigrissant.

Ça dure un peu      S   et jamais très longtemps,

Temps d’être repris    C       happé par… l’activité

Qui laisse très peu de       I       place à la réflexion.

Et ce sont les amis qui        E       vous le rappellent

Mais je croyais que tu,         N           vous interpelle,

Vous trouvez alors un         C          argument béton,

Pour vous excuser,           E           mais pas le bon !

Et puis voilà qu’           *            autres événements

Un sursaut de          É            votre tempérament

Vous surpren        V             dra  à vous rejuger,

À vous voir          É                 menteur dévoyé.

C’est alors           N                que d’intérieur,

S’éclaire en         E                    vous lueur,

Et prenez            M                le fou pari

De réussir           E                    ce qui

N’a jamais          N            marché,

Jusqu’à présent  T     pour vous.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase sinon une bouteille

Pour y mettre une fleur

Simple et solitaire 

Jolie puis fanée !

.

692 4

.

Les gens prennent conscience de changement

D’état de présence

Si la fleur est fanée ou qu’elle n’est plus là :

Y a un problème !

Une fleur fanée se sera en aucun cas

Un événement majeur, à bien noter,

Normal, elle est coupée, mis en vase,

Lors la forme se distinguera du fond.

.

Symbolique 

 .

Fleurs sont l’attribut de Flore

Mais parfois aussi de l’Aurore

Ainsi que figures allégoriques

Du Printemps,  de la Logique,

De l’Espérance, et, de  l’odorat.

 .

Logique, un des sept arts libéraux,

Porte parfois  un  bouquet  de  fleurs.

L’Espérance détient  aussi cet attribut :

Fleur  annonce  future  naissance  du  fruit.

 .

Au niveau mythique, Zéphyr, le vent du printemps,

S’étant épris de Flore, l’enlève et s’unit en mariage :

En gage de son amour, il lui offre de régner sur

Tous les champs et tous les jardins cultivés.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_fleurs

.

.

Fond

 

Évocation 

.

Manque illustration ici

Les gens prennent conscience de changement

D’état de présence

Si la fleur est fanée ou qu’elle n’est plus là :

Y a un problème !

Symbolique

 .

Un   rêve    positif

De réalisations possibles.

Fleurs représentent également

Le  symbole  de  l’âme  et   indiquent

Le  bon  avancement  de  votre  processus

D’individuation et rêver de fleurs fanées

Ou fleurs coupées, a une autre signification.

Cela peut signifier une rupture ou cassure

Telle la fin d’une relation amoureuse.

Ça signifie également rupture

Arrêt d’un processus

Psychique.

doctissimo.fr/psychologie

 .

 .

Fond/forme 

 .

Les fleurs coupées, comme chacun sait,

Se fanent plus vite que les fleurs en terre

Il en serait de même pour les êtres humains,

Couper  les  de leurs  racines, et, ils s’étioleront

.

On ne peut vivre longtemps heureux loin des siens

Le bouquet de la mariée est un symbole fort de durée

Moins vite il se fanera, plus longtemps, union durera !

.

Textuels et illustrations  >>

691 – Le choix d’être vraiment ce que l’on est !

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

 .

Ce que l’on est

Dieu seul le sait !

Et encore, à quoi bon,

Dès lors il ne correspond !

.

L’on est forcément quelqu’un,

Mais ce quelqu’un, qui le choisit

Un mixte, entre nous et la société

Ou un pari qu’on a joué aux dés.

.

Savoir ce que l’on est, c’était

Introduire un doute sur

Ce qu’on devenait,

Plus vil, plus pur !

.

On reconnait bien là les hyperactifs,

Qui n’ont que  le temps de réfléchir

À ce qu’ils ont fait,  font  et  feront,

Pour s’éviter  d’avoir   à  faire front

À ce qu’ils ont été,  sont  ou seront !

.

Ont-ils, vraiment, choisi d’être ainsi :

On est en droit de se poser la question.

Nous sommes conditionnés, déterminés

Par  notre corps  aux capacités  limitées ;

Nous sommes dotés caractère particulier,

Et par un périmètre, relationnel, délimité !

.

On vit bien en observant normes et usages,

Sans se poser ni le pourquoi ni le comment,

C’est ainsi qu’on ne peut devenir autrement

Choisir  d’être, ce que l’on est, et l’assumer,

Est bien plus qu’une question de capacités

Et bien plus que  de  saisir  opportunités.

.

C’est tracer chemin  qui  nous  convient,

Pour le trouver, faut se connaitre, bien,

Douter de soi, et douter même des lois.

.

Cette lumière ne nous est pas donnée,

Au jour même de notre …  naissance,

Elle  s’exprime, au fil des ans, passés

À travers   nombre de  renaissances.

.

Ce  que   l’on   veut parmi  possibles,

Se  transforme  parfois  en  probable

Devient  même,   un jour,  accessible

Et  nous   permet   de faire son  choix.

.

Combien peuvent dire : j’ai  choisi,  moi,

Et personne d’autre n’a fixé mon objectif !

.

Extensions

 .

Oui mais voilà, qui est ce moi qui dit je :

Fruit de mon éducation, fruit de la société !

.

Comment faire  la distinction, la part du feu !

Rien n’est affaire de  psychologie,  philosophie,

Quand, sur soi, l’on s’obstine  à fermer ses yeux,

Chacun voit ce qu’il veut en lui et autour de lui.

.

L’important est de n’en pas faire une religion,

Et de proférer des vérités étant invérifiables.

.

Ce que je suis : qui peut le dire, je ne suis que le reflet

De ce que perçoivent, de ce que pensent autres de moi.

Comment sera-t-il possible, devenir plus grand que soi,

Si déjà, je ne sais pas à quelle hauteur je suis sur l’échelle

Des valeurs, l’échelle des bonheurs,  des cœurs,  rancœurs !

Je n’ai donc qu’à me contenter de ne n’être que ce que je suis,

Au point que je ne connaîtrai jamais ce que…  j’aurais pu être !

.

En matière de valeurs,

Qui décident des bonnes :

C’est que moi, évidemment.

J’ai le choix en des centaines.

J’ai donné ma vie, à mon pays,

Et mon cerveau, à la Science,

Mon cœur, au plus offrant,

Mon corps par accident.

C’est bien trop béni,

Je le sais, mais c’est ainsi,

J’ai voulu l’être, et je le suis,

Et je ne regrette pas mon pari

Maintenant que la fin approche

Je fouillerai encore mes poches

Pour donner à mes proches

Le fruit de  ma caboche.

.

.

691 – Calligramme  

 .

Ce que l’on est

Dieu seul le sait !

Et encore, à quoi bon,

Dès lors il ne correspond !

L’on est forcément quelqu’un,

Mais ce quelqu’un, qui le choisit

Un mixte, entre nous et la société

Ou un pari qu’on a joué aux dés.

Savoir ce que l’on est, c’était

Introduire un doute sur

Ce qu’on devenait,

Plus vil, plus pur !

*****************

********************

       On reconnait bien là les hyperactifs,

       Qui n’ont que  le temps de réfléchir

      À ce qu’ils ont fait, font  et feront,

        Pour s’éviter  d’avoir   à faire front

             À ce qu’ils ont été, sont L   ou seront !

                  Ont-ils vraiment choi  E   si d’être ainsi !

                     On est en droit de se   *   poser la question.

                         Nous sommes condi   C   tionnés, déterminés

                           Par notre corps aux   H      capacités limitées ;

                              Nous sommes dotés   O     caractère particulier,

                               Et par un périmètre,   I      relationnel, délimité !

                                On vit bien en obser   X    vant normes et usages,

                                 Sans se poser ni le      *  pourquoi ni le comment,

                                  C’est ainsi qu’on ne    D  peut devenir, autrement,

                              Choisir d’être, ce que  ‘      l’on est, et l’assumer,

                             Est bien plus qu’une  Ê  question de capacités

                              Et bien plus que de    T      saisir opportunités.

                           C’est tracer chemin   R   qui  nous convient,

                          Pour le trouver, faut  E   se connaitre bien,

                        Douter de soi,  et  douter  même  des lois.

                      ***********************************

                     **********************************

                      Cette lumière ne  C  nous est pas donnée,

                     Au jour même de  E   notre …  naissance,

                    Elle s’exprime, au   *    fil des ans, passés

                    À travers  nombre   O    de  renaissances.

                      Ce  que   l’on   veut    N    parmi  possibles,

                       Se  transforme  par     *     fois  en probable

                       Devient  même,   un     E     jour,  accessible

                        Et  nous   permet   de    S      faire son  choix.

                         Combien peuvent dire    T       j’ai  choisi,  moi,

                       Personne autre n’a fixé    *      mon …  objectif !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Ours qui se balance, déhanché,

Forme torturée, approximative,

Ou une  silhouette   d’un homme

Plutôt gras,  par  l’alimentation

.

691 4

.

O

Choisirait-on vraiment de devenir gras

Ou apathique ou pauvre :

Pas vraiment mais une fois qu’on l’est,

Comment soigner alimentation

On pourrait bien croire à un ours

Mais  c’est juste  un homme gras,

Par suite  d’une alimentation  qui

Fait que sa forme évoque le fond.

.

Symbolique 

.

Le gras

Sert à nous

 Protéger du froid,

Il est aussi moyen

De séduction,

D’affirmer

Son côté maternel et sa capacité à enfanter,

Il marque la protection où me sens en danger,

Où ma vie me fait     peur, me sens en difficulté.

Le gras stocke des             réserves et des énergies

Potentielle et qui                n’ont pas encore trouvé

Leur assouvisse               ment et leur réalisation.

La partie inféri                eure, corps, représente

La terre,  qui est             la propre incarnation,

Le ventre est no          tre cerveau émotionnel,

Intestins, lieu des      «émotions viscérales».

chemindevie.net/corps-et-rondeurs-symbolique-du-corps

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

691 6

.

Choisirait-on vraiment de devenir gras

Ou apathique ou pauvre :

Pas vraiment mais une fois qu’on l’est,

Comment soigner alimentation

.

Symbolique

.

Bien que le com   portement

Alimentaire soit     régulé par

Des facteurs phy   siologiques,

Via des  signaux      internes

Faim et le rassa     siement.

 .

Il dépendra éga        le-ment

De signaux pertur      bateurs,

Tels,    l’environne     ment social

Ou le stress, et voire    le sommeil.

 .

L’alimentation, sour     ce de plaisir,

Peut être recherchée pour      sa dimension

Symbolique affective dans     des cas de déficit

Persistant des vecteurs habi    tuels d’affectivité,

D’éloignement familial, sent   iment de solitude.

sucre.com/pro-de-sante/dimension-symbolique-

de-lalimentation-relation-lobesite

 .

.

Fond/forme 

.

Il s’agit en gros de la part de l’inné

Du milieu et de l’acquis personnel :

Santé, nous avons tous un terrain,

Et que l’on appelle aussi l’hérédité.

.

Nous avons tous une communauté

Appelée,  famille, amis, collègues,

Enfin un élan, projet, désir  d’être

C’est le tout qui ferait ce que nous

Sommes  et ce que nous devenons.

.

Il peut y avoir quelque … accident

Qui nous mette en état dépendance

Nous faisant grossir ou bien maigrir

Mais ce sont nos capacités de résilience

Qui rétabliront sorte d’équilibre antérieur

Sommes responsable de ce que nous sommes.

.

Textuels et illustrations   >>

690 – La haine, qu’on dit l’inverse de l’amour

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Haine, amour

Se décline bien.

Haine,  plus   un,

Dira mathématicien

Haine est une revanche,

Dira un amant abandonné.

.

Et la haine est la ven-geance

Vous dira votre ennemi juré

Haine en haut de la cuisse

Dit coquin, et c’est bien.

.

Si  tant vrai  que la

Haine     appelle,

À plus  encore

De  haine,

Est-elle

.

L’inverse

De l’amour

Ou bien face,

La plus sordide

La  plus  stupide !

.

La haine qu’on dit inverse de l’amour

Dure et dure et  court et court toujours,

Tandis que nos amours vont  et viennent

Sans relâche, haine, en chemin, de traine.

.

Deux êtres qui s’aiment ou qui se haïssent

Restent longtemps attachés  ou pâtissent

De continuer, l’un pour l’autre, d’exister,

Jusqu’à ce que, l’un meurt, pour oublier.

.

La haine n’entame ni regret ni remords,

Personne ne sait qui a raison ou bien tort

Et, si personne  ne recule, ni ne s’esquive,

Son ennemi intime, voire sa douleur vive,

Nourriront trop d’énergies destructrices

Jusqu’à ce que la vengeance, s’ensuive.

.

«Je hais l’amour» iront déclarer les déçus :

À force de tomber  voilà, ils n’y croient plus

«L’amour me hait» clameront après, cocus,

Par l’un ou l’autre se sentiront bien déchus.

.

La haine, que l’on dit  l’inverse  de l’amour,

Est son miroir, son fantôme, son faux-jour,

Tant c’est bien dans l’ombre  de face cachée

Qu’il vient vous prendre, si ce n’est… habiter,

De pouvoir résister tant à la haine qu’à l’amour,

Supprimerait-il bien des conflits, pour toujours !

.

Extensions

 .

La haine, que l’on dit

De l’amour, est une énergie

Négative  pour  le  même  objet

Que l’énergie positive de l’amour :

C’est une question de phase,

Difficile d’haïr quelqu’un

Si on n’est jaloux  de lui,

Pour des raisons variées.

.

La haine est-elle un poison caché, versé en amour,

L’amour est-il élixir constituant l’antidote de haine

Questions qui se répondent  mais ne se confondent.

Si le premier vous rendrait, entièrement, coupable,

Le second vous perdrait en le perdant, par honte !

Je hais l’amour ou l’amour me hait : allons donc :

Vous n’avez pas ce pouvoir ni autre quelconque.

.

Sentiment très fort et durable d’aversion

Et d’hostilité envers quelqu’un  ou (une)

Qui peut conduire à un comportement

Violent, méprisant, déshumanisant !

.

Synonymes : dégoût, répulsion,

Lors sa seule pensée, dérange,

Sa présence ne nous arrange

Réactivant toutes aversions.

.

Pour autant, haïr ferait vivre

L’autre, n’étant pas indifférent,

À son sort d’un pseudo méchant,

Et d’une colère capable d’être ivre.

.

Fragments

.

La haine, parlons-en : un vrai slogan

Qui se démultiplie, puis qui s’amplifie,

Par l’intermédiaire des réseaux sociaux,

Qui ne filtrent pas assez contenus haineux.

.

Haine de l’autre, plus facile qu’amour à créer

Elle est souvent sur jalousie, mensonge, basée,

Une fois installée comme croyance ou rumeur,

Elle fonctionne sur le mode de rejet par peur.

.

La lampe, censée  éclairer,  un tant soit peu,

 Le conflit, est saisie, pour longtemps éteinte,

C’est dans l’obscur et dans l’obscurantisme,

Que combat se poursuit jusqu’au génocide.

.

Encore faut-il distinguer degré de haines,

Haine sourde, latente, raciste, manifeste,

Haine incendiaire, prosélyte, meurtrière,

Haine  tenace, sur plusieurs générations.

.

Guérit-on de la haine comme de l’amour

Vaste question, et je n’ai pas de solutions

L’amour construit lors la haine … détruit,

L’un comme l’autre constitue choix de vie.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

.

Haine   avec    amour

Se    décline   bien.

Haine        *   plus un,

Dit mathé      L      maticien

Haine est plus      A            revanche,

Dira un amant         *             abandonné

Et la haine  est           H               ven-geance

Vous dira votre          A             ennemi juré

Haine  en haut         I             de la cuisse

Dit coquin et         N            c’est bien.

Si tant vrai        E              que la

Haine,           *       appelle,

À plus      *   encore

De    haine,

Est-elle

.

L’inverse

De l’amour

Ou bien face,

La plus sordide

La  plus  stupide !

.

La haine qu’on dit inverse de l’amour

Dure et dure, et  court  et  court toujours,

Tandis que nos   Q   amours vont et viennent

Sans relâche haine   U    en chemin, de traine.

Deux êtres qui s’aiment      ‘      qui se haïssent,

Restent longtemps attachés     O    ou pâtissent

De continuer l’un pour l’autre       N    d’exister,

Jusqu’à ce que l’un meurt pour        *    oublier.

                                            D

La haine n’entame ni regret ni       I   remords,

Personne ne sait qui a raison    T   ou bien tort

Et si personne ne recule       *    ni ne s’esquive,

Son ennemi intime     I        ou sa douleur vive,

Nourriront trop      N  d’énergies destructrices

Jusqu’à ce que       V    la vengeance, s’ensuive.

E ……….

«Je hais l’amour»   R   iront déclarer les déçus :

À force de tomber   S   voilà, ils n’y croient plus

«L’amour me hait»  E  clameront après les cocus

Par l’un ou l’autre    * se sentiront tant  déchus.

D …….

La haine, qu’on dit    ‘        l’inverse  de l’amour,

Est son miroir, son   A    fantôme son faux-jour,

Tant c’est bien dans  M    l’ombre de face cachée

Qu’il vient vous pren   O     dre, si ce n’est habiter,

De pouvoir résister tant  U      à la haine qu’à l’amour,

Supprimerait-il bien des   R    conflits,   pour toujours !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un grand vase  en haut

Et un petit tabouret en bas

Ou  une  lampe  à  pétrole 

À même de susciter incendie !

.

690 4

.

Cette lampe à pétrole peut servir

 À deux usages, opposés :

Éclairer sa chandelle pour aimer

Incendier pour bruler.

Lampe à pétrole, incendie s’accordent

Pour ce qui est d’un véritable danger,

Mais rien à voir avec amour et haine

Et lors la forme ne soutient le fond !

.

Symbolique 

.

La lampe

 Symbolise

L’entendement   

En  confusion mentale,

Ou   encore   révélation

Savoir enfoui, caché.

 

Et d’ailleurs, l’expression

«Éclairer   sa     lanterne»

Qui  signifie  clarifier

Une  chose, exprime

Bien   cette   notion

De savoir dévoilé.

1001 symboles

.

.

Fond

.

Évocation 

 .

Cette lampe à pétrole peut servir

 À deux usages, opposés :

Éclairer sa chandelle pour aimer

Incendier pour bruler.

.

Symbolique 

 .

Le feu incendiaire est

Une image de destruction.

Rêver d’incendie est un message d’alerte.

Le rêveur  et la rêveuse  doivent faire attention

À ne pas tout détruire par leurs actions, positions,

L’incendie est un symbole de passion dévorante,

Il ne laisse rien debout derrière son passage.

C’est un moyen radical de faire table rase,

Se brûler représente un rêveur, rêveuse

Qui ne se rend pas assez compte

Du danger que représente fait

De poursuivre son désir actuel.

elle.fr/Love-Sexe/Psycho/Interpretation-

des-reves/Rever-d-incendie

.

.

Fond/forme 

.

La haine est sentiment négatif défiance

Mais, contrairement, à l’indifférence,

Elle vous prend beaucoup d’énergie

Restant présent dans votre esprit

Suscitant colère en sa présence

Si ce n’est, aversion, mépris,

À moins qu’on ne l’utilise, 

Comme figure de style :

Va, je ne te hais point

Appelée une litote !

Dans tous les cas

N + 1 et n – un

S’équivalent.

.

Textuels et illustrations  >>

689 – Je me sens parfois comme étalon qui doute !

 Textuels et illustrations>>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

                           Au vu du nom

                          Ça pourrait être vrai

                         De me sentir comme étalon

                        C’est un peu, cabotin, prétentieux,

                 J’en conviens, je l’avoue : élogieux !

         Mais en excuse, je le dois à mon nom,

     Si je rajoute un doute, cela passe mieux,

   Surtout auprès des femmes pour garçon

Qui en a un peu peur, sinon, envieux

De mâles qui sans rien comprendre

S’enfilent les unes après autres

Comme autant de trophées,

Remplis de leur certitude

Être meilleur au pieu.

.

Je me sens, parfois, comme un bel étalon, mais qui doute

Après l’envol, vers toi, de ma lettre, brûlante, d’amour,

En voyant mes attentes et qui sont, en retour, toutes

Lettres mortes  et de plus, et  tout au fil des jours.

.

À me demander : aurais-je fait … fausse route,

De tenter, par de la poésie, de faire  une cour

Assidue ardente à une belle femme qui joute

 En tanguerant ses pas pour tanguero secours.

.

Et des muscles, autant  que d’autres, j’en ai,

Mais, point de la gonflette,  je  n’en  ai  cure,

Car je ne mélange pas culture avec confiture

 Je fais régime quand, le cœur gros, désabusé.

.

Pour sûr, je n’ai, qu’à m’en prendre qu’à moi

Devant ta réciprocité pour le moins…décalée

Pourtant, en fil de trame, j’avais cru déceler,

Comme  appel : prête-moi ta plume, ta voix.

 .

Et comment peut-on toucher cœur de sirène,

Elle-même en eau, les larmes ne l’atteignent,

Il faudrait pour cela que mon  corps saigne,

Et, rougisse de mon  sang, son   lit de reine.

.

Je me sens comme  un étalon  qui redoute

Que le temps joue contre lui en sentiment

Et que sa passion  pour elle, ne lui coûte

Désillusion de plus d’un virtuel  amant.

.

Extensions

 .

Je me sens comme un étalon

Qui s’arc-boute  à l’idée  fixe

De te conquérir en dépit de

Tous les obstacles sur ma

Route tant ton image,

Projetée ….. en moi,

Chaque jour m’envoute.

.

Jusqu’ici, tu tournes les talons,

Sans saisir  pourquoi  ou que  j’aie

Le temps de m’adresser à toi pour faire

Comprendre que je ne suis pas qu’étalon !

.

Étalons nous sur l’herbe d’un pré, d’un jardin,

D’un parc, l’un à côté de l’autre, sans nous toucher,

Nous embrasser et roulons dans la pente qui nous

Mènera là où on s’aimera. Je me sens comme

Un étalon qui déroute son panache de

Conquérant, pied tendu en avant,

Pour t’inviter à chevaucher par-delà

Les forêts et plaines, les monts et vallons.

.

C’est quoi un homme étalon, demandez-le donc à une femme.

Elle vous répondra qu’elle en rêve mais qu’elle n’en trouve pas !

Pourtant elle s’est dévouée, corps et âme, dans la danse du tango

Connue à l’origine pour machisme dominant sans être dominateur

Je dirais même que, leurs dénominateurs, ce sont leurs partenaires,

Qui les poussent, dans leurs derniers retranchements à les satisfaire

Dans un guidage des plus habiles où langage passe par les épaules.

 On appellera cela « faire danser, jusqu’à la transe, voire l’extase »

Mais ce n’est pas un maître chanteur centaure qui la fait céder.

.

Un étalon serait comme une

Référence  dans un domaine,

Avec  des  notes   maximales,

Permettant de créer l’échelle,

Pour toutes les autres valeurs

.

En matière  de reproduction,

On connait, maitrise, la bête,

Lors en matière de séduction,

L’on restera souvent en quête

Jusqu’à trouver son bonheur !

.

Contrairement à ce qu’on croit,

Étalon n’est pas le meilleur choix

S’il se limite à sa matière de sexe :

L’amour est un tout plus complexe,

Qui fait que l’on s’accordera ou non !

.

Fragments

 .

Un étalon qui étreint jument,

L’enfourche et puis  l’enfourne,

Je  vous fais   cadeau  du  fond :

Il faut qu’il soit en bonne forme.

.

Un étalon qui doute,

Faut-il  que  j’ajoute

Sexe qui s’arcboute,

Celui qu’on redoute.

 .

Belle femme  avec bel

Homme voire femelle,

Avec un étalon  rebelle,

L’étreignant de plus bel.

 .

Faut savoir rime, accorder

Pour pénétrer, en sa pensée,

Manquant parfois profondeur

Pour assurer son plein bonheur.

 .

Étalon est un cheval que l’on destine

À la copulation, pour la reproduction,

Il n’y a pas de sentiment, rien qu’action

Contre faveurs que l’on estimera intimes.

 .

Au delà de cheval, géniteur, reproducteur :

Étalon symbolise mesure, modele, standard,

Un instrument qui mesure, établit référence :

Suis-je une référence, j’en doute un peu… fort.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

                           Au vu du nom

                          Ça pourrait être vrai

                         De me sentir comme étalon

                        C’est un peu, cabotin, prétentieux,

                 J’en conviens, je l’avoue : élogieux !

         Mais en excuse, je le dois à mon nom,

     Si je rajoute un doute, cela passe mieux,

   Surtout auprès des femmes pour garçon

Qui en a un peu peur, sinon, envieux

De mâles qui sans rien comprendre

S’enfilent les unes après autres

Comme autant de trophées,

Remplis de leur certitude

Être meilleur au pieu.

.

Je me sens, parfois, comme un bel étalon, mais qui doute

Après l’envol, vers toi, de ma lettre,  brûlante,  d’amour,

En voyant mes attentes et qui sont en retour  M  toutes

Lettres mortes  et de plus, et tout au fil   E   des jours.

                                              *

À me demander : aurais-je fait       S    fausse route,

De tenter, par de la poésie, de    E    faire une cour

Assidue, ardente à une belle   N  femme qui joute

 En tanguerant ses pas, pour  S  tanguero secours.

             *

Et des muscles, autant     P  que d’autres, j’en ai,

Mais, point de la gon     A  flette, je n’en ai cure,

Car je ne mélange pas  R  culture avec confiture

 Je fais régime  quand  F  le cœur gros désabusé

 

 Pour sûr, je n’ai, qu’à   I m’en  prendre qu’à moi

Devant ta réciprocité   S pour le moins…décalée

Pourtant, en fil de tra    *      me j’avais cru déceler

Comme appel : prête      É     moi ta plume, ta voix.

T

Et comment  peut-on          A      toucher cœur de sirène,

Elle-même en eau, les          L        l larmes ne l’atteignent,

Il faudrait pour cela             O         que mon  corps saigne,

Et rougisse de mon               N          sang, son   lit de reine.

*

Je me sens comme               D         un étalon   qui redoute

Que le temps joue               O       contre lui en sentiment

Et que sa passion               U         pour elle, ne lui coûte

Désillusion de plus            T           d’un virtuel  amant.

E

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette homme

Bien trapu et musclé

Comme  un bel étalon

Sur le point … d’étreindre

.

689 4

.

Ah oui, le bel étalon, tout de même,

Mais étalon de qui,  étalon  de quoi ?

S’il n’est que sexe, muscle, sans cœur,

Sans  tête : qui croira-t-il étreindre !

.

Symbolique 

.

Homme

Sexuellement

Attirant et voire

Sexuellement

Très actif.

« Tu  veilleras  en   faction,

Devant la porte des bals

Où tes officiers vendent

Aux  enchères,  leurs

Grâces d’étalons,

Où ces hom

Mes entretenus,

Débattent le tarif

 De leurs charmes

À travers les musi

Ques langoureuses

Et tièdes parfums ».

(L. Tailhade) wiktionary.org/wiki/étalon

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

689 6

.

Ah oui, le bel étalon, tout de même,

Mais, étalon de qui,  étalon de quoi ?

S’il n’est que sexe, muscles, sans cœur

Sans  tête : qui croira-t-il étreindre !

.

Symbolique 

 .

Pas besoin

De    s’escrimer

D’ajouter flatulence

 Verbale à l’acte :

Tant  quand le corps    sexuel parle, il place

Le sujet hors langage     le langage hors sujet.

 .

C’est ça «le miracle de     l’amour» qui s’exprime

Dans le corps à corps       moment de l’étreinte

Serrer en ses bras              l’autre     aimé       crée

L’illusion,    ici    et             maintenant réalisée, 

De surmonter divi            sion d’êtres parlants.

 .

Sexualité est  réponse,      lors elle n’en a cure

De la parole devenant simple redondance.

Toute phrase n’est     dans la sexualité,

Que la paraphrase de l’acte.

cairn.info/revue-dialogue-

2011-3-page-25.htm

 .

 .

Fond/forme 

.

Tous les poulains ont vocation à devenir étalons

Étalon en quoi : pas forcément de reproduction,

D’intelligence, culture, élégance, d’imagination, 

Autres peuvent se rhabiller, tourner les talons !

.

Oui mais voilà toutes ces qualités ou ces vertus

ne se passent nullement en étreinte ou en lit :

seulement au salon, rue,  ou voir au travail

femmes le savent et hommes en doutent ! 

.

 Textuels et illustrations >>

688 – Je ne saurais dire ni comment ni pourquoi ?

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

C’est tout de même,

Le comble que d’aimer

Quelqu’un ou quelqu’une,

Sans trop savoir pourquoi :

C’est comme pur acte de foi

Comme  marcher en ombre

Baigné dans une lumière,

Qui enflammera

Toute sa fortune.

 .

C’est tout de même un comble,

D’aimer  quelqu’un, quelqu’une,

Sans vraiment savoir  comment

C’est arrivé, et ce, sans prévenir

Et d’en être à n’en plus dormir,

Toujours à rêver d’être amants

Tentatives vaines, en nombre.

.

Je ne sais, je ne saurais dire,

Ni comment…ni pourquoi,

Mon cœur porté…vers toi

À en bégayer, en frémir !

 .

Toute raison, explication,

Sera contraire à la passion,

Qui me guide en mon espoir,

Qu’un jour vienne à te revoir.

.

C’est une folie, que de t’aimer,

Qui suis-je … sinon un insensé

De croire en belle réciprocité,

Lors le temps nous a séparés

.

Encore, et, pour longtemps,

Lors activité et lors retraité

Je ne verrai début d’amour,

Car jamais ne finira ce jour.

.

Cyrano né, laisse-moi rêver :

Que d’avoir après toi soupiré,

Serve au moins notre…amitié,

Plaisirs et passions… renoncés.

.

Extensions

 .

Je ne sais, je ne saurais dire

Ni comment ni pourquoi

J’aime ou je n’aime pas :

L’amour recèlera une part

De mystère que je ne parviens

À dévoiler ni en moi ni en l’autre.

.

«Je  l’aime  parce  que  c’était  lui,

Parce que c’était moi» Montaigne

Au sujet de son bel ami,  La Boétie !

D’accord, mais l’on reste sur sa faim

Alors qu’on voulait être  sur finalité.

.

Cyrano apporte une autre réponse :

Celle d’un idéal rendu  inaccessible

Mais dont on ne peut se détacher

Et pour lequel on est prêt à tout

Sacrifier, sans moindre retour.

.

Don Juan et puis Don Quichotte

Se profilent aussi  en notre horizon,

Le premier, inassouvissable, quête nouveauté,

Le second inconsolable de ne pas trouver sa dulcinée.

.

Pourquoi j’aime comme j’aime,

Cela reste en partie mystérieux,

Mais ce ne sera pas grand Dieu

Qui vient résoudre tel problème

Tout amour, d’origine…  divine

N’a rien à voir avec… l’humain,

Dieu n’a pas d’héros, d’héroïne.

Dieu est amour, est acte de foi :

Une croyance, paradis demain,

Ça dit rien de l’amour pour toi.

.

Pourquoi tu m’aimes ?

Je sais pas … parce que !

Oui d’accord, mais encore ?

J’aime tout en toi, point final.

.

On croirait interrogation d’enfant

Qui n’attend pas de réponse précise

Juste que sa question  soit comprise,

Parce qu’il devient grand maintenant.

.

À vouloir formuler quelques arguments

On quittera vite domaine des sentiments

D’un garçon, à sa mère, de fille à son père

Alors qu’on n’en sait trop rien, un mystère.

.

Fragments 

.

C’est histoire d’un renoncement,

Parce qu’impossible, improbable :

Une barrière invisible    les séparant

Et lors aucun ne s’en sentait capable !

.

Mais l’explication  ne les satisfaisait pas :

Faudrait savoir  le comment du pourquoi :

Explorer peut-être refoulement inconscient,

Écouter et puis analyser ses rêves récurrents.

.

Toujours est-il que le temps, les années, passant

Chances, de devenir amant, s’en vont diminuant :

Un jour viendra où le rideau tombera de lui-même

Et chacun se retrouvera dans une absence extrême.

.

Le lot  d’amours  secrets, jamais, vraiment, avoués :

Ils resteront dans le flou qui jamais, ne sera dissipé,

Ce n’est que silhouette plus qu’une réalité incarnée,

 Qui s’estompe en la nuit au lieu de brillante clarté.

.

J’ai aimé un fantôme qui est demeuré en au-delà

Des réalités tangibles que l’on se plait à toucher

Et peut-être même, à caresser, voire pénétrer

Mais ce n’est que de mon fait si j’en suis là.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

.

C’est tout de même,

Le comble que d’aimer

Quelqu’un ou quelqu’une,

Sans trop savoir pourquoi :

C’est comme pur acte de foi

Comme  marcher en ombre

Baigné dans une lumière,

Qui enflammera

Toute sa fortune.

.

JE NE SAURAIS

C’est tout de même un comble,

D’aimer  quelqu’un, quelqu’une,

Sans vraiment savoir  comment

C’est arrivé, et ce, sans prévenir

Et d’en être à n’en plus dormir,

Toujours à rêver d’être amants

Tentatives vaines, en nombre.

Je ne sais, je ne saurais dire,

Ni comment…ni pourquoi,

Mon cœur porté…vers toi

À en bégayer, en frémir !

.

DIRE COMMENT

Toute raison, explication,

Sera contraire à la passion,

Qui me guide en mon espoir,

Qu’un jour vienne à te revoir.

C’est une folie, que de t’aimer,

Qui suis-je … sinon un insensé

De croire en belle réciprocité,

Lors le temps nous a séparés

.

NI POURQUOI ?  

Encore, et, pour longtemps,

Lors activité et lors retraité

Je ne verrai début d’amour,

Car jamais ne finira ce jour.

Cyrano né, laisse-moi rêver :

Que d’avoir après toi soupiré,

Serve au moins notre…amitié,

Plaisirs et passions… renoncés.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un bâtonnet de marc à cils

Pour magnifier  son regard,

La silhouette,  toute droite,

Longiligne et floue de femme.

.

688 4

.

Si  l’on  ne sait pas  assez  bien,

Pourquoi on aime quelqu’une :

Et si sa silhouette devient floue

Elle s’évanouira de sa mémoire.

.

Symbolique 

.

Ce    que

Nous voyons de

Nous, nous  donnons  

À voir, notre silhouette

Que     nous    pensons  

Logique, normal.

Ce que la majorité  

Des       personnes        veulent,

C’est-à-dire    une    silhouette

Parfaite   voire plutôt mince,

Est loin  d’être  évident  pour

Notre    cerveau-ordinateur.

Le seul régime   qui marche

Vraiment  à   long    terme :

L’amour    inconditionnel

Que nous  nous donnons,

Plus nous nous acceptons

Et   plus    nous  aurons

Le poids   qui convient

Et        la    silhouette

Que  nous  devons,

Cherchons à avoir.

Source : Ladv.biz/la-

silhouette-en-décodage

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Si l’on ne sait pas assez bien,

Pourquoi on aime quelqu’une :

Si  sa silhouette  devient  floue

Elle s’évanouira de sa mémoire.

 .

Symbolique

.

Si par essence,

Le flou constitue une

Opposition au concept

Même de netteté,

Il ne peut en

 Être dissocié.

Notion de frontière, revêt ici

Une importance fondamentale

Pour penser  le  flou, constituant

Une limite au continuum, qualifiée

De flou-net, profondeur,  apparence,

Par rapport à la profondeur de champ,

D’avantage qu’absence, flou devient sens.

Si la culture visuelle a évolué, perception

Que nous avons du flou,

A radicalement changé,

Notamment avec l’arrivée

 De   l’image     numérique

Et   de la  haute  défini

Tion. Le sujet est donc

Particulièrement d’actualité.

panayotispapadimitropoulos.blogspot.

com/2013/03/les-frontieres-du-flou

 .

.

Fond/forme 

.

Une silhouette et d’autant si elle est floue,

Donnera peu de signes de reconnaissance :

Ça peut être n’importe quelle femme en tout,

Aucun détail, aucun  indice ne la caractérise.

.

On en restera alors à de vagues suppositions

Que l’on souvent à nombre recoupements

Un travail d’enquête, d’identification

Qui produit souvent des erreurs.

.

Textuels et illustrations  >>

687 – Sa première femme avait un cœur grand

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Qui ne connait l’histoire sordide

Seigneur Gille de Rais, Barbe-bleue

Racontée voire inventée pour moraliser

Par les frères Grimaud vrais conteurs nés.

On peut la reprendre, modifier aujourd’hui

En jouant sur les différences entre femmes

Pas pareilles, décevantes sauf la dernière

Allez savoir pourquoi : nul ne le sait !

Au bout de neuf, il devrait se sentir

Enfin comblé pour le moins aimé

Eh non, de toutes, s’en est  lassé.

.

Première femme au cœur grand,

Comme sa petite mamie

Jouait avec lui Prince charmant

Comme poupée Barbie.

Seconde avait corps sculpté déesse

À la sortie d’adolescence,

Sa façon de l’effleurer, sa tendresse,

Frisant provoc, indécence.

Sa troisième avait des seins  et fesses,

Qui lui promettait du sexe;

Elle l’aura dévoré, abandonné sa tristesse

Lui fait premier complexe.

Sa quatrième était une étudiante brillante,

Qui trouvait réponse à tout;

Elle l’excitait  avec  sa conversation éclatante,

Qui le laissait de glace, fou.

Sa cinquième était une femme mûre, mystique

Qu’il avait trouvé pathétique;

Lors elle l’entrainait en ses arcanes, ésotériques,

À se croire devenu magique.

Sa sixième était le mélange  des  deux premières,

Cœur et corps, droit de cité,

En fausse  innocence, naïveté, spontanéité   altière,

Auront vite fini par le lasser.

Sa septième  fut un mélange  des deux … suivantes,

Sexe et cerveau, top niveau,

Sa tendresse et son imagination, étant manquantes,

À en atteindre le degré zéro.

Sa huitième  était, lunatique, jouait  à saute-mouton,

De la première à cinquième;

Même lors elle parlait doucement, elle haussait le ton.

Rien à faire pour qu’il l’aime.

Seule, la neuvième était comme, à nulle autre, pareille

Ame sœur et âme damnée,

À la fois enfant, mère, prêtresse, putain vraie merveille

Il a fini par l’aimer, la garder.

.

La morale de cette histoire : aucune, il n’y en a,

D’autre que celle que vous-même lui accorderez.

.

Extensions

 .

L’expérience n’apporte pas toujours

La sagesse lors on passe d’une erreur

À l’autre, bien différente, et, gênante.

.

Ici, l’accent  est mis, comme pour Ève

Au Paradis  Terrestre, sur la  curiosité

Malsaine  de la femme, et sur  sa faute

De vouloir savoir le secret du mystère.

.

Et l’interdiction absolue, et mortifère,

De Barbe Bleue a de quoi surprendre,

Puisque s’il voulait cacher ses crimes

Pour  garder  son  épouse, pourquoi

Lui donner quel qu’indice à moins

Qu’il nait été un mari … pervers !

.

La légende est toujours plus forte et résistante que la réalité

Charles n’aura pas inventé Barbe-Bleue à partir de son imaginaire,

Il s’est inspiré  d’Henri VIII (1491-1547) étant alors le roi d’Angleterre

6 épouses : certaines moururent naturellement, d’autres divorcèrent

Mais les dernières eurent la tête coupée.

Toute ressemblance avec un personnage

Imaginaire reste donc loin d’être fortuite.

.

La curiosité de la femme semble sans limite,

Quel qu’en soit le prix à payer, elle s’exécute :

Il n’y aura aucune porte secrète qui la rebute,

Bien qu’à l’intérieur, y a un cœur qui palpite !

.

Ce n’est ni la première, ni la dernière, fouillant

Les poches de son mari  comme femme jalouse,

Mais, une fois découvert, une maitresse cachée,

Elle ne finirait pas pour autant, la tête tranchée.

.

Fragments

.

Barbe bleue, marié à fleur bleue,

Voilà un beau mariage, d’amour,

Mais qui n’aura rien … d’heureux

La femme, y finira, vite, ses jours.

.

Et une et deux trois, quatre … six,

Dieu merci, n’a pas été jusqu’à dix

Voilà ce que c’est de n’être discret,

Cynisme basé sur jalousie… secret.

.

Se séparer de quelqu’une : divorce

Pour Barbe bleue : couper  la tête !

Tentation d’Êve : franchir l’interdit

Dieu dispose des âmes et des corps

.

Comment femme, risquant  sa tête,

Peut-elle vivre, avec futur bourreau,

Peut-elle faire la même erreur fatale

En allant rechercher, utilisé une clef.

.

Est-ce là un procès curiosité féminine,

Est-ce là un procès tromperie mortelle,

Est-ce là un procès  faiblesse caractère :

Toutes interprétations restent possibles.

.

Il y a une part d’ombre  et de mensonge,

Dans toute vie humaine, quel qu’elle soit,

Le pardon, en cas de faute, est une option

Affaire de mœurs, loi, contrat, d’opinion !

.

Lecture au sens littéral, narratif, du texte,

Ce conte renferme en lui, une clé… secrète

Que chacun déchiffre  selon sa conscience,

Tout comme «Alice au pays de merveilles»

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Qui ne connait l’histoire sordide

Seigneur Gille de Rais, Barbe-bleue

Racontée voire inventée pour moraliser

Par les frères Grimaud vrais conteurs nés.

On peut la reprendre, modifier aujourd’hui

En jouant sur les différences entre femmes

Pas pareilles, décevantes sauf la dernière

Allez savoir pourquoi : nul ne le sait !

Au bout de neuf, il devrait se sentir

Enfin comblé pour le moins aimé

Eh non, de toutes, s’en est  lassé.

.

Première femme au cœur grand,

Comme sa petite mamie

Jouait avec lui Prince charmant

Comme poupée Barbie.

Seconde avait corps sculpté déesse

À la sortie d’adolescence,

Sa façon de l’ef     S   fleurer, sa tendresse,

Frisant provoc, indécence.

Sa troisième avait   E       des seins  et fesses,

Qui lui promettait du sexe;

Elle l’aura dévoré,      S    abandonné sa tristesse

Lui fait premier complexe.

Sa quatrième était      *     une étudiante brillante,

Qui trouvait réponse à tout;

Elle l’excitait  avec        N   sa conversation éclatante,

Qui le laissait de glace, fou.

Sa cinquième était          E   une femme mure mystique

Qu’il avait trouvé pathétique;

Lors elle l’entrainait         U     en ses arcanes, ésotériques,

À se croire devenu magique.

Sa sixième était le mé       F     lange  des  deux premières,

Cœur et corps, droit de cité,

En fausse  innocence, naï      *       veté, spontanéité   altière,

Auront vite fini par le lasser.

Sa septième  fut un mé          F      lange  des deux … suivantes,

Sexe et cerveau, top niveau,

Sa tendresse et son imagi       E           nation, étant manquantes,

À en atteindre le degré zéro.

Sa huitième  était, luna           M      tique, jouait  à saute-mouton,

De la première à cinquième;

Même lors elle parlait                M    doucement, elle haussait le ton.

Rien à faire pour qu’il l’aime.

Seule, la neuvième était              E         comme, à nulle autre, pareille

Ame sœur et âme damnée,

À la fois enfant, mère,                  S      prêtresse, putain vraie merveille

Il a fini par l’aimer, la garder.

.

La morale de cette histoire : aucune, il n’y en a,

D’autre que celle que vous-même lui accorderez.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Jeune femme avec

Une    longue   robe

Comme une mariée

Bientôt sacrifiée !

.

687 4

.

Ayant eu même robe et sort,

Neuf femmes, très différentes.

Aujourd’hui, ce serait le divorce,

Mais quand même : huit fois !

.

Symbolique 

 .

A

Au début,

Robe servait

À tout cacher

Du corps

De femme,

Pour différentes raisons, mais surtout

Pour la réalité de sa nudité, par pudeur,

Plus les tissus sont élaborés, plus  beauté

Peut s’exprimer.

Après la Renaissance, le nu … magnifié,

S’entoure de prestige mais au quotidien,

Des parties du corps seront considérées

Comme vulgaires.

Il devient indispensable de les cacher.

Or, en les dissimulant, l’on construit

Une projection imaginaire autour

De leur réalité cachée

Comme un mystère

À se révéler.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

687 6

.

Ayant eu même robe et sort,

Neuf femmes, très différentes.

Aujourd’hui, ce serait le divorce,

Mais quand même : huit fois !

.

Symbolique

.

La poly

Gamie, de cœur

Ou de fait, montre que

 L’homme est encore chevillé

Problématique du pouvoir

 Sur l’autre pour dire son

 Pouvoir 

 Ou de perfection

De soi pour   accepter autre.

Il n’est pas                 sûr de lui,

Vit angoisse              castration

    Or-ga-nique            fonctionnelle.

Il reste dans         la dichotomie

Du « tout  ou         rien » ou  du

«Trop» ou du         « pas  assez ».

Il reste  dans        l’idéalisation !

Il n’a pas com     pris la richesse

De la nuance,     comment aider

Membres du        groupe  à vivre

La nuance,           et  la tolérance,

Le non-juge            ment d’autre ?

cairn.info/revue-du-mauss-

2012-1-page-329=La polygamie

.

.

Fond/forme 

 .

Sans doute que neuf, c’est beaucoup

Mais comme on ne prête qu’aux riches

Les séries ont tendance à l’augmentation

C’est une dénonciation du pouvoir absolu

Des seigneurs régnant sur tout,  maitres

Avec le droit de vie et mort sur sujets,

Il y a aussi le secret comme le test

De tentation et  de confiance.

.

 Textuels et illustrations  >> 

686 – Vie, loin de France, quand j’y pense

Textuels et illustrations  >>

.

 Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Exquise, puis surprise

Sont mots qui te décrivent

Et au mieux, selon mes yeux,

Selon mes sentiments ardents,

Ou,  selon  mon  cœur  d’amant,

Dès lors que mon esprit t’évoque

Dès lors  que le corps  provoque

Dès lors sexes s’entrechoquent

Et rondeurs  de ta silhouette,

Procurent l’image chouette

De promesse de féminité.

.

En  son écrin, fermé

À celui  qui  n’aime.

.

Toi, loin de France,

Souvent, quand j’y pense,

Je vois ou  j’entrevois tes formes.

Formes et silhouette te déhanchant,

Font flotter tes vêtements, sous des vents,

M’inspire  un violent désir amant, touchant.

Touchant par la grâce de ton port, ton allure,

T’approcher,  te parler, seront d’autant plus dur

Afin de t’assurer  que, mon envie de toi, est pure.

Pure dans tes gestes, et  pure dans tes intentions,

Lors même que mon âge  ou jusqu’à présentation

Reflète quête conquêtes toutes en contradictions.

Contradiction  de norme,  contradiction  énorme,

Un gouffre  nous sépare, me rend  non-conforme,

À  ton attente, ton désir, pourtant,  protéiformes.

Protéiforme aussi corps, cœur, esprit d’un poète,

Qui fait, de ta  rencontre la bien plus grande fête

Pour regards de muette, non d’airs de coquette.

Coquette appelle un coq paré de mots d’atours,

Pour lui conter fleurette pour lui faire la cour

Or, il  pense  trop  sexe,  pas  assez  l’amour.

L’amour  te personnifie, l’amour, tu  l e vis,

Chaque jour, en l’attendant tout à l’envie,

Et quand ta silhouette flottante s’arrête.

S’arrête, en entendant enfin, ma  voix,

Tu te retournes, et enfin tu me vois,

Écoute te dire : «je t’aime» mais.

Mais alors  pourquoi je n’ose

Et attends que tu proposes

La dernière des choses,

Choses qu’on ne dit

Mais que l’on fait

Que l’on croyait

Bien interdit,

Interdit laissant,

Comme ce bel amant

D’un jour,  ou d’une nuit,

Ou qui sait … pour la vie !

.

Extensions

 .

Loin de France, loin du pays

Ou pourquoi pas du prénom,

Allez savoir : loin des deux,

Dans tous les cas, loin de

Revenir sur mes pas.

.

Est-ce une fuite où

Une escapade pour mieux

Revenir après avoir fait le point,

Sans moindre tyrannie des émotions,

Pulsions, sentiments, évènements !

.

Vision de loin ou vision de près :

Il faut les deux pour ajuster

Correctement, ses vues !

.

Allez donc savoir, de qui il s’agit, quelle est cette muse,

Qui a inspiré ce poème, qui m’a troublé, si je ne m’abuse.

Je ne vous le dirai pas : c’est tout le monde et … personne.

Quand bien même, à quoi bon, elle ne se reconnaîtrait pas,

Et pourtant ce visage est encore en moi, intact et si nature.

 .

Quand un visage, un corps, s’imposent à vous,

Tous nos sens se mettent en éveil, sans écueil,

Virtuellement présente, des images s’animent

Elles se produiront en forme holographique !

.

Quand l’on veut, non pas l’effacer,  la ranger :

Elle revient en force, occupe fond de pensées.

C’est peut-être ou en partie, dû à la distance,

Loin des yeux, près du cœur, pour cette fois !

 .

Ça prouve qu’attachement n’est pas vain mot,

On dit lors que quelqu’un vous colle à la peau,

À la peau c’est une métaphore, mais aux yeux,

C’est bien une image sur des zones rétiniennes.

.

Fragments

.

France … comme vous le savez,

Un aussi un beau prénom porté

Et moi, rien que de le prononcer

Je sens comme parfum d’amitié !

.

Chaque pays a son parfum préféré,

Celui de France est lequel, devinez :

Pain, croissant, gâteau … bien levés,

Et qu’on a toujours plaisir à manger.

.

Ici, il s’agit d’une amie, en particulier,

Dont mémoire n’arrive à s’en détacher,

À celui de ce pays, son parfum, mélangé

Devient comme une obsession de pensée.

.

On dit  qu’on emporte, avec soi, enfermés

Dans sa valise,  ses problèmes journaliers,

Mais tout autant de souvenirs  et pensées,

Qui nous permettent de mieux les oublier.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

 .

Exquise,                     M                puis surprise

Sont mots                  O           qui te décrivent

Et au mieux,             I          selon mes yeux,

Selon mes sen        *       timents ardents,

Ou, selon mon     *        cœur d’amant,

Dès lors que mon     esprit t’évoque,

Dès lors  que le    corps provoque

Dès lors sexes  s’entrechoquent

Et rondeurs  de ta silhouette,

Procurent l’image chouette

De promesse de féminité.

.

En  son écrin, fermé

À celui  qui  n’aime.

.

Toi, loin   L   de France,

Souvent,  O   quand j’y pense,

Je vois ou   I  j’entrevois tes formes.

Formes et    N     silhouette te déhanchant,

Font flotter   *   tes vêtements, sous des vents,

M‘inspire    D   un violent désir amant, touchant.

Touchant      E   par la grâce de ton port, ton allure,

T’approcher,    *     te parler, seront d’autant plus dur

Afin de t’assurer    *       que, mon envie de toi, est pure.

Pure dans tes gestes,    F       et  pure dans tes intentions,

Lors même que mon âge   R     voire jusqu’à présentation

Reflète quête conquêtes      A      toutes en contradictions.

Contradiction de norme      N           contradiction énorme,

Un gouffre nous sépare       C         me rend non-conforme,

À ton attente et ton désir    E         pourtant, protéiformes.

Protéiformes aussi corps,    *        cœur, esprit d’un poète,

Qui fait, de ta  rencontre     *       la bien plus grande fête

Pour regards de muette,    Q      non d’airs de coquette.

Coquette appelle un coq   U     paré de mots d’atours,

Pour lui conter fleurette   A      pour lui faire la cour

Or, il pense  trop  sexe,     N    pas  assez  l’amour.

L‘amour te personnifie,    D    l’amour tu le vis,

Chaque jour, en l’attendant,  toute  à l’envie,

Et quand ta silhouette, flottante, s’arrête.

S‘arrête, en entendant enfin, ma  voix,

Tu te retournes, et enfin tu me  vois,

Écoute  te dire : «je t’aime» mais.

Mais alors  pourquoi   J  je n’ose

Et attends que tu   ‘    proposes

La dernière    Y   des choses,

Choses      *     qu’on ne dit

Mais      P      que l’on fait

Que        E      l’on croyait

Bien        N         interdit,

Interdit      S      laissant,

Comme ce  E  bel amant

D‘un jour,  ou d’une nuit,

Ou qui sait … pour la vie !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un flacon de parfum

Avec un gros bouchon

Comme un diffuseur, 

En pleine mémoire.

.

686 4

.

Un flacon de parfum

Avec un gros bouchon

Comme un diffuseur, 

En pleine mémoire.

 .

Symbolique 

 .

La subtilité

Du  parfum

Est insaisissable

Et pourtant l’apparence

Est réelle symboliquement

À une présence spirituelle

Et à la nature de l’âme,

Tant  la  persistance  du

Parfum  d’une  personne,

Après le départ de celle-ci,

Évoquera une idée de durée

Et parfois même de souvenir.

Parfum symbolise  la mémoire

Et c’est en ce sens  qu’on l’utilise

Dans  les cérémonies  funéraires.

Les parfums facilitent l’apparition

D’images et de scènes significatives.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

686 6

.

Un parfum de femme, s’il n’est pas banal

Ou s’il est original :

Ça ne s’oublie pas comme ça, la mémoire

Le conserve, retrouve.

 .

Symbolique 

 .

L’oubli

Est un processus

Qui   fait   partie de

Mémoire. On ne peut

Pas  réfléchir  sur  l’oubli

Sans référer au champ

 De la mémoire.

 

Y a oubli inexorable par effacement de la trace.

C’est quelque chose contre quoi nous luttons tous.

Se souvenir, c’est alors s’opposer  à cet effacement

De la trace qui correspond à une mort symbolique.

 

D’autre part, il y a                       l’oubli de réserve,

L’oubli remède con                     tre la résurgence

De traces dont on                  se passerait bien.

En fait, dans  cet             oubli-là,  la trace

N’est pas effacée       et dans certaines,

Conditions, on peut se remémorer.

cairn.info/exil-et-violence-

politique-les-paradoxes-

 .

 .

Fond/forme 

 .

Un parfum est un marqueur d’odeur

Qui se fixe en notre cerveau primaire

Et qui refait surface, instantanément,

On croira l’avoir oublié, eh bien non !

Et partout où il resurgira au hasard

Un objet, un lieu, visage, projettera

Jusqu’à le reconnaitre entre mille.

.

Textuels et illustrations  >>

685 – Lors je t’ai quittée pour une terre portugaise

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Portugal/Espagne/Maroc

Sont trois pays, et cultures,

Avec trois types  de femmes,

La seule restant   en mémoire

Et je  te  le  jure  que … c’est toi,

À n’en  pas   croire …..  mes yeux,

Car je te superpose  à toutes celles

Qui te ressemblent,  plus ou moins,

De tête, de silhouette et de charme.

.

À quoi bon aller chercher ailleurs

Celle qu’on a, près de chez soi.

Puis quand le voile

Tombera d’amour

Alors tu ne t’en

Dé-par-ti-ras.

.

Lors je t’ai quittée pour terre portugaise,

Je pensais t’oublier me  retrouver bien aise,

De regarder autour de  moi autre joli minois

Avec des corps de rêve sans me soucier de toi.

.

C’était sans compter  ton empreinte marquée

Du sceau de l’amitié,  plus même, si affinités,

Vue de loin tu es plus belle encore, attirante,

À tel point  d’exciter  humeurs  changeantes.

.

Quand je t’ai quittée pour une terre espagnole

Avec autres  je pensais  danser la carmagnole,

Flamencos  et sevillanas salsas valses, tangos,

Je pensais, même, à toi, en  partenaire  disco.

 .

Je rêvais  d’enfourcher  tes monts,  tes vallons,

Et de caresser tes seins leurs pointes en tétons

Plus que de mon saoul bien plus que de raison

Tant j’éprouve, pour toi  beaux gestes passion.

.

Quand je t’ai quittée pour terre … marocaine,

Femmes mal fagotées en plus à demi voilées,

N’avaient yeux  pour   mieux   me dévisager,

Aucune ne me tente  comme  être  fredaine.

.

Le regard  ne  se cache  se prend,  se donne,

Il s’échange, vouloir le posséder, maldonne

Sur une terre  berbère leur regard étranger

A confié : difficile, ici, pour toi,  t’installer.

 .

Ton regard au-delà de tes plaines, de tes monts,

Ton regard allant droit, et jusqu’au plus profond,

Ton regard qui réveille, me surprend et d’un bond

Te fait exister quand bien  lors rendu un vagabond.

Lors je suis arrivé au Maroc un choc, quand soudain

Voile me dévoile mon si bel amour quitté en France.

.

Extensions

.

Fantasmes,  illusions, produits de ma fiction

Que toutes les images de toi que j’ai réveillées !

Peut-être mais pourquoi persistent-elles autant,

À envahir  toutes mes pensées,  tandis qu’à visiter

Monuments portugais, intéressants,  je m’emploie.

À vrai dire, je ne comprends pas, c’est à croire que

Ton visage s’est imprimé, câblé, dans ma mémoire

Et que je ne pourrais m’en départir, un seul soir.

Pardonne-moi de te voir nue toute déshabillée.

.

Quand on voyage, en Europe, on finit, toujours,

Par trouver quelqu’un, quelqu’une, ressemblant

À la seule qu’on aime qu’on a quitté un moment

Elle a des faux airs d’elle, mais  ce n’est pas elle !

.

Voilà une belle qui la rappelle un peu, beaucoup,

Pour autant, ce ne sera qu’apparence trompeuse,

Dès lors que j’échange avec elle, un voile apparait

Qui dissoudra son image au lieu de la superposer.

.

Il me faut bien m’avouer  que je suis très troublé,

Me dis pour corps semblable : âme dissemblable,

Et c’est peut-être surement même ce qui compte,

Une histoire commune et non fantôme de brune.

.

Fragments

.

Laisser quelqu’une ailleurs,

S’en aller, au petit bonheur,

Fait quelque chose au cœur.

.

Une fois arrivé là ou on veut,

On se remettra à penser  que

On se sent seul, guère mieux.

.

Quitter est un bien grand mot

Quand on se dit qu’on a été sot

Qu’elle aurait trouvé, ici, beau.

.

Perdu en me pensées, je la vois,

Comme présence à côté de moi,

C’est bien d’être à deux, je crois.

.

Toutefois, quelque chose me dit

Que tout ce que fais, que j’écris,

Est pour lui raconter comme cri

.

Un cri du cœur cela va sans dire

Autrement,  elle va me maudire,

Ou sinon je crains même le pire.

.

Pire est revenir, plus que partir,

Cadeau souvenir ne peut suffire,

Le meilleur accueil reste à venir.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Portugal/Espagne/Maroc

 Sont trois pays, et cultures,

Avec trois types  de femmes,

La seule restant   en mémoire

    Et je  te  le  jure  que …..  c’est toi,

 À n’en  pas  croire …..  mes yeux,

    Car je te superpose  à toutes celles

      Qui te ressemblent,  plus ou moins,

        De tête, de silhouette et de charme.

        À quoi bon aller chercher ailleurs

         Celle qu’on a, près de chez soi.

              Puis quand le voile

              Tombera d’amour

         Alors tu ne t’en

      Dé-par-ti-ras.

.

Lors je t’ai quittée pour  T  terre portugaise,

Je pensais t’oublier me  ’  retrouver bien aise,

De regarder autour de  A  moi autre joli minois

Avec des corps de rêve   I  sans me soucier de toi !

C’était sans compter        *    ton empreinte marquée

Du sceau de l’amitié,          Q       plus même, si affinités,

Vue de loin tu es plus          U         belle encore, attirante,

À tel  point  d’exciter             I           humeurs changeantes.

Quand je  t’ai quittée            T       pour une terre espagnole

Avec autres  je pensais        T          danser la carmagnole,

Flamencos  et sevillanas     É           salsas valses, tangos,

Je pensais même à toi       E           en partenaire disco.

 .

Je rêvais d’enfourcher      P      tes monts, tes vallons,

Et de caresser tes seins   O   leurs pointes en tétons

Plus que de mon saoul,   U bien plus que de raison,

Tant j’éprouve pour toi  R     beaux gestes passion.

Quand je t’ai quittée  pour  une terre   marocaine,

Femmes, mal fagotées   T  en plus à demi voilées,

N’avaient yeux pour       E   mieux  me dévisager,

Aucune ne me tente       R   comme être fredaine.

Le regard  ne se cache         se prend, se donne,

Il s’échange, vouloir le     *      posséder, maldonne

Sur une terre  berbère        leur regard étranger

A confié : difficile ici         O       pour toi, t’installer.

      R

Ton regard au-delà de tes   T     plaines, de tes monts,

Ton regard allant droit, et   U     jusqu’au plus profond,

Ton regard qui réveille, me  G      surprend et d’un bond

Te fait exister quand bien     A        lors rendu vagabond.

Lors je suis arrivé au Maroc   I    un choc, quand soudain

Voile me dévoile mon si bel     S    amour quitté en France.

      E

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une statue de femme,

 Jeune, mais statufiée,  

Avec la tête de profil

Avec un air pensif.

.

685 4

.

Une  femme  parmi… tant  d’autres

Et pourquoi elle, c’est fou :

Qui sait, le fait qu’elle ne soit pas là,

Renforce mes pensées.

Une statue peut-elle avoir l’air pensif,

Demandez-le donc à Auguste Rodin

Avec sa célèbre statue du penseur

Aussi la forme épouse le fond.

.

Symbolique

.

Prolongeant

Rêve pureté des

Ro-man-tiques,

Symbolistes

Auront donné aux femmes

Allure virginale mais qu’elles n’ont pas.

La femme aura une symbolique très riche

Qui a évolué au fil du temps, toutefois,

Elle a toujours évoqué la fécondité,

La pureté, mais  aussi  le vice.

Nombre   de   mythologies

Attribuaient une valeur

Sexuelle   aux   déesses,

Qui   incarnaient  souvent

Le désir et le plaisir charnel.

Source : poetes.com  et  1001 symboles

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

685 6

.

Une  femme  parmi… tant  d’autres

Et pourquoi elle, c’est fou :

Qui sait, le fait qu’elle ne soit pas là,

Renforce mes pensées.

.

Symbolique 

 .

Au sens

Large, pensée

Est    une  activité 

Psychique, consciente

Dans   son ensemble,

Qui recouvre les

Processus

 .

Par lesquels  seront  élaborés,

Les réponses  aux perceptions

Venues des sens,    des images,

Des sensations,     des concepts

Que l’humain         associe pour

Apprendre,          créer et agir.

fr.wikipedia.org/wiki/Pensée

 .

.

.

Fond/forme 

 .

Arrive qu’on quitte quelqu’un quelqu’une

En voyageant dans un tout autre pays,

Et qu’on continue à le ou la rechercher

Comme en musique, belle ritournelle

Et qui vous occupe tout votre esprit.

.

On s’attend à le ou là voir surgir

À tous les coins de rue, sentiers

Et l’on projette, sur ses clones,

Son visage des plus familiers.

.

Or la ou les copies, ne sont

Ne valent pas, l’original :

Ce serait  un cas fréquent

Dans les décès et divorces

Impossibilité de retrouver

Situation, être, antérieurs.

.

Textuels et illustrations  >>

684 – Et, si le bonheur c’était tout simplement !

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Et si  le bonheur, c’était, tout  simplement,

Sans être luttant,  sans être conquérant,

Même sans aucun projet à construire,

Voire sans aucun artifice à séduire.

Mais là, je rêve :  est-ce possible,

Être  dans des bras sensibles,

Et de sentir comme un flot

Émotions  vous envahir

De la tête aux pieds,

Réciproquement

Sans bouger

Un doigt

Seul

V

.

Et si le bonheur, c’était tout simplement,

De penser à toi  chaque jour, moment !

Et  si le bonheur  c’était, plus souvent,

D’être, avec toi,  téléphoniquement !

Et si le bonheur,  c’était, réellement,

D’être, contre toi,  sensuellement !

Et  si le bonheur,  c’était l’instant

D’être avec toi à s’aimer jouant !

Et si le bonheur, c’était, venant

D’être en toi, en si bon allant !

Et si le bonheur, c’était… en

Devenant de vrais amants.

Toi parti, bonheur  étant

Coupant   ou   blessant,

Ton amour  occupant

Ton esprit pensant,

En le multipliant

Chaque  instant

Et en prenant

Le     temps

D’exister,

Pendant

Avant,

Sans

En

V

.

Extensions

 .

Et si  le bonheur,  c’était ceci,

Et  si  le  bonheur … c’était  cela :

Chacun y va de sa définition propre,

Tellement il contient de valeur relative

Sans compter d’appréciation subjective.

Fortunément, le bonheur ne se limitera pas

À l’amour entre deux amants, entre deux amis,

Entre deux parents, envahit toutes sphères de vie,

De la Nature à la Culture en passant par le métier,

La cuisine, sans oublier toutes sortes de hobbies.

.

Quand on a frôlé la mort de justesse,

Le bonheur premier consiste à se

Sentir vivant en relativisant

Les petits problèmes de

L’existence pour ne plus

Voir que le bon côté des choses.

Une  échelle  du  bonheur, comme

De l’intelligence : vous  n’y pensez-pas !

.

Nombre petits bonheurs, qui sont grands, inversement,

Dépendent d’où on vient, où on en est, à quoi on s’attend.

La réussite au baccalauréat  suscite un immense bonheur,

Mais, postérieurement, on s’aperçoit qu’il n’est rien, en soi,

Qu’une porte d’entrée pour les uns, de sortie pour les autres.

Et pourtant, l’avoir eu ou pas, change complètement la donne,

Pour l’avenir et le permis de conduire, produirait le même effet,

Le premier job stable, autant, la première rencontre amoureuse.

Certaines personnes sont considérées  étant inaptes au bonheur.

Avant, j’avais de la peine à le croire, mais, l’expérience de la vie

M’a ouvert les yeux : impossibilité est dramatique pour tous !

.

Et si ceci, si cela, ritournelle bien connue, stérile,

Dès lors qu’elle est imprécise ou en conditionnelle

Si le bonheur, c’était ceci et pas cela, on le saurait,

Mais il y a des bonheurs divers et un pour chacun.

Si moi je suis heureux, en écrivant sur … l’amour,

D’autres ne le sont pas, n’y voient que des peurs.

J’avouerai que, de jouer sur le mot du bonheur

Me donne un peu le blues plus que de raison,

Mais que voulez-vous, bonheur est passion.

.

Le bonheur se pointe quand il veut,

Le bonheur nous quitte quand il peut,

Pour certains, c’est, déjà, quand il pleut,

D’autres, un peu à manger, rend heureux.

Autant dire qu’il est des plus susceptibles

Qu’il est parfois des plus imperceptibles

Qu’il n’aime pas qu’on soit irascible,

Et qu’il rate très souvent sa cible.

.

Fragments 

.

Chacun aurait ….. ses propres représentations

Du bonheur, basées sur ses expérimentations

Personnelles et son propre niveau d’attente.

.

Quoiqu’il en fût, en soit, en sera,  plus tard,

Bonheur n’est éphémère comme le plaisir,

Qui passe, qu’on recherchera de nouveau.

.

Plus de sensation inquiétude, souffrance

Une satisfaction de soi agréable partout

Bien-être : soi, couple, famille, société !

.

De bonnes relations interpersonnelles

Avec  situation économique … stable,

Et le but qu’on poursuit  dans sa vie.

.

L’on y voit un triangle du bonheur,

Lors d’autres y verraient un cercle

Selon qu’on est Occident/ Orient.

.

Occident est en dualité / Trinité,

Tandis qu’extrême Orient serait

Équilibre  du Ying  et du Yang !

.

Le bonheur est chanson douce

Que me chantait  ma maman,

Selon un vrai poète bonheur.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

 .

Et si  le bonheur, c’était, tout  simplement,

Sans être luttant,  B sans être conquérant,

Même sans aucun  O projet à construire,

Voire sans aucun  N artifice à séduire.

Mais là, je rêve    H  est-ce possible,

Être dans des   E  bras sensibles,

Et de sentir  U comme un flot

Émotions R  vous envahir

De  la tête  aux pieds,

Réciproquement

Sans bouger

Un doigt

Seul

V

.

Et si le bonheur,      C    c’était tout simplement,

De penser à toi        ‘     chaque jour, moment !

Et si le bonheur      É      c’était, plus souvent,

D’être, avec toi       T     téléphoniquement !

Et  si le bonheur,    A       était, réellement,

D’être, contre toi    I       sensuellement !

Et  si le bonheur,    T     c’était l’instant

D’être avec toi à     *  s’aimer jouant !

Et si, le bonheur    S  c’était, venant

D’être en toi, en    I  si bon allant !

Et si le bonheur    c’était… en

Devenant vrais   P       amants.

Toi parti bon    L  heur étant

Coupant  ou   E    blessant,

Ton amour  M  occupant

Ton esprit  E  pensant,

En le mul N  tipliant

Chaque  T  instant

Et en  * prenant

Le    *  temps

D’ex-is-ter

Pendant

Avant,

Sans

En

V

.

Forme

.

Évocation

.

Deux triangles, superposés,

 L’un plus petit que l’autre :

L’autre  étant une pointe

 Fine, visant un cercle !

.

684 4

Un triangle bleu et vert sur haut,

Rouge de l’autre, pointu :

Si ce n’est forme ronde, la couleur,

Chaleur du bonheur !

Sachant que le bonheur pourra prendre

Toutes les formes  sans modifier le fond,

Les poètes ronds  et  les matheux carrés,

N’envieront pas les marchands pointus.

.

Symbolique

.

^

^

^^^^

^^^^^^^^^

Tout   le     triangle 

Reste  un   symbole   féminin,

Lorsque  pointe  se dirige  vers  le bas,

Il représente fécondité naissance, instabilité ;

Masculin avec pointe vers le haut, symbole de virilité

Il a été beaucoup utilisé dans la finance qui est un domaine

Majoritairement  masculin, ou  bien  par  certains francs-maçons

Qui  le  nommaient « Delta lumineux »  ou   encore « Triangle sublime ».

Il est le symbole du pouvoir et du feu et deux constellations portent son nom.

Source : www.structurenomade.com/2016/07/10/la-symbolique-du-triangle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

684 6

.

Un triangle bleu et vert sur haut,

Rouge de l’autre, pointu :

Si ce n’est forme ronde, la couleur,

Chaleur du bonheur !

.

Symbolique 

 .

Le        cercle

Est d’abord un symbole

D’unité,  l’alliance  ou  encore

 Le yin et yang sont de bons exemples.

C’est aussi le symbole de l’infini, divinité,

L’harmonie,  du  naturel   et    la perfection.

Dans le rond,  l’on distinguera deux éléments :

Le point, formant le centre  et  la  circonférence,

Ces éléments sont liés, leur signification diffère.

Le centre  symbolisera lors  le point   de départ,

C’est-à-dire d’où on vient, le point d’arrivée,

Est synonyme de stabilité et d’éternité.

Circonférence  cercle évoquera

Mouvement changement.

graphiste.com/blog/symbolique-forme-logo-rond

 .

 .

 Fond/forme 

.

On a coutume de voir un carré dans un rond

Si ce n’est l’inverse mais triangle en un rond

C’est moins commun, ça déborde davantage

Ce sont trois formes de base qu’on distingue

Facilement et cela, dès notre plus jeune âge.

.

Quant à savoir si l’homme est plutôt carré,

Si la femme est ronde, je ne m’aventurerai

Pas sur ce terrain sauf si elle est enceinte.

Le bonheur, lui, s’accommodera de tout,

Tant, vrai que de sa forme, il s’en fout. 

.

Textuels et illustrations   >> 

683 – Le meilleur bonheur de l’amour n’est-il pas !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

C’est

Sûr  le

Meilleur

Moment,

D’am-our,

Reste   celui

Où on recrée,

Ses  fantasmes,

Lorsqu’on  monte

L’escalier    derrière

Une jupette …  évasée,

Mais, qui ne cache  rien

De ce qu’elle vous promet.

.

Le meilleur bonheur de l’amour

Ne serait pas celui que  l’on croit

Où plus intime  acte  de  l’amour

Ne serait plus celui  que l’on voit.

 .

Sera  moins lié  à nos  deux corps,

Qu’à nos  deux âmes, rapprochées,

Où fusions intimes de deux entités

Flotteront  au-delà   d’aura, encore.

Ce ne sont pas des mots qu’on partage

Mais un plein  silence loin des tapages

Pas plus que les gestes que l’on flirtage

Mais  nos belles intentions, survoltages.

.

D’état de normalité à celui de passionné,

Par l’idée que l’on se fait de l’union sacrée

Où pudeur, retenue, ne sont plus de mises,

En âmes confondues par l’humeur exquise.

.

Le seul fait de trembler à l’orée des frissons,

Qu’ils soient bien élevés, voire plus polissons,

Ne changera rien aux profondeurs d’émotions,

Qu’on soupire en fond de lit comme prétention.

 .

Chacun sait bien que meilleur moment du jour

Est celui où l’on monte l’escalier de l’amour,

Le désir grimpe en  paroxysmes, spasmes

Et le reste se termine  en isme  ou asme.

.

Extensions

 .

Le meilleur bonheur de l’amour,

N’est pas pendant, mais avant,

Dans l’enthousiasme du désir

Ou bien parfois, alors après,

En épicurisme d’un souvenir.

.

Mais balivernes que tout cela,

Pour ceux pour qui, il n’y aurait

Rien en dehors de l’acte, lui-même :

Que fantasmes minant moral, cerveau.

Pénétration, fin en soi, reste, préliminaires.

.

Possible que distinction entre plaisir et bonheur

Ne soit pas évidente à faire pour celui n’ayant jamais

Connu le dernier : en ramenant l’inconnu au connu,

On aura tendance à réduire le bonheur au plaisir

Et à son immédiateté, à sa tangibilité.

.

L’excitation nait dans le cerveau

Bien plus que dans le sexe,

Qui lui, fonctionnerait de

Manière presque réflexe.

.

Le meilleur bonheur d’amour  selon moi, est aucun doute,

Le moment où mon aimée monte l’escalier, et que je la suis

Je vois bien ses formes se déhancher, marche après marche,

 Et je me dis en moi-même que l’heure de … va bientôt sonner.

Après, on prend le temps de discuter, rien ne presse, à présent.

Au bout d’un temps, il se fait bien tard, il va bientôt  faire… nuit,

Elle décide de ne pas prolonger, descend du perchoir par escalier.

.

Le meilleur moment de l’amour sera différent

Pour chacun : certains, avant ; d’autres après,

Et le plus souvent, pendant, comme il se doigt.

.

Il peut être éphémère,  le temps d’un orgasme,

Comme il peut se poursuivre, un long moment,

Il y a ceux qui s’impatientent de recommencer.

.

Y a ceux qui préfèrent attendre autre occasion :

Différer plaisir leur procure un surcroit de désir,

Qu’ils gardent en tête comme précieux souvenir !

.

Fragments

 .

Escalier,

Montant au ciel :

Qui n’en rêve n’en a rêvé

Jusqu’au sommet d’extase.

.

Meilleurs moments de bonheur

Mots  en «isme»  et   en «asme»

Seraient comme autant de fleurs

Qui colorient tous nos fantasmes.

.

Alcoolisme,  altruisme,  amoralisme,

Érotisme,   hédonisme … lesbianisme,

Magnétisme,  narcissisme,  naturisme,

Nudisme, onirisme, paroxysme, prisme.

.

Orgasme, spasme, enthousiasme, marasme,

Mots en asme sont dix fois  moins  nombreux

Mais les mots en «heur»             pas davantage :

Aguicheur, pleurnicheur                ou un chercheur.

.

Sapin  peut  évoquer                        degrés de bonheur,

Ses diverses branches,                        différentes hauteurs,

Il est une image vivante                       verticalité ascendante

Élévation spirituelle invite                   à  la  conquête   du  ciel

.

L’essentiel ne serait-il pas

Qu’amour soit le meilleur,

Que l’on puisse souhaiter.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

C’est

Sûr  le

Meilleur

Moment,

D’am-our,

Reste   celui

Où on recrée,

Ses  fantasmes,

Lorsqu’on  monte

L’escalier    derrière

Une jupette …  évasée,

Mais, qui ne cache  rien

De ce qu’elle vous promet.

.

Le meilleur bonheur de   B l’amour

Ne serait pas celui que  O  l’on croit

Où plus intime acte     N    de l’amour

Ne serait plus celui   H       que l’on voit.

E   

Sera moins            U       lié à nos deux corps,

Qu’à nos           R  deux âmes, rapprochées,

Où fusions      *      intimes de deux entités

Flotteront          D     au-delà d’aura encore.

Ce ne sont pas des mots    A   que l’on partage

Mais un plein  silence loin   M        des tapages

Pas plus que les gestes que     O       l’on flirtage

Mais nos belles intentions     U       en survoltage

              R

D’état de normalité               *   à celui de passionné

Par l’idée que l’on              N    se fait d’union sacrée

Où pudeur, retenue,       E       ne sont plus  de mises,

En âmes confondues    *       par une humeur exquise.

S ……………….

Le seul fait            E    de trembler à l’orée des frissons,

Qu’ils soient        R       bien élevés, voire plus polissons,

Ne changera      A     rien aux profondeurs d’émotions,

Qu’on soupire   I     en fond de lit comme prétention.

T ………………………..

Chacun sait bien    que meilleur moment  du jour

Est celui où l’on   I   monte l’escalier de l’amour,

Le désir grimpe en   L   paroxysmes, spasmes

Et le reste se termine  ?  en isme  ou asme.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une forme de sapin

 Pro-ba-ble-ment :

Forme de sapin,

Assurément !

.

683 4

Une belle fraicheur pour ce sapin,

Vert tendre, et aéré, et …   aérien :

C’est encore ce qu’il y a de mieux

En désirant, faisant  l’amour.

.

Symbolique 

 .

Le

Sapin

Surgit dans

Les dessins d’enfants,

Il est une image vivante

De la verticalité ascendante,

De l’élévation spirituelle qui invite

À la conquête du ciel. Il appelle aussi

Des associations maussades… telles que :

Froid, neige, nuit, sur fond de lune, ciel étoilé.

Il est autant symbole  d’immortalité, en Russie

Le sapin entre dans divers rites et superstitions

Prouvant les

Vertus   de

Protection

Qu’on lui

 Accorde.

lepetitjournal.com/munich

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

683 6

.

Une belle fraicheur pour ce sapin,

Vert tendre, et aéré, et …  aérien :

C’est encore ce qu’il y a de mieux

En désirant, faisant l’amour.

.

Symbolique 

 .

L’amour

Relève symbolique

De l’union des opposés :

Il est la pulsion fondamentale

De l’être, la libido qui pousse chacun

À se réaliser dans l’action : ce passage à l’acte

Ne se produit que par le contact charnel avec l’autre,

Autant suite à échanges matériels, sensibles, spirituels

Qui sont autant de chocs. L’amour tendra à surmonter

Ces antagonismes, à assimiler des choses différentes,

À les intégrer dans une même unité.

 .

.

Fond/forme 

 .

Amour, sapin, n’ont rien en commun

À moins de faire l’amour à son pied,

Croquer la pomme, pomme de pin,

Ce pour atteindre bonheur divin !

.

L’on pourra grimper un escalier

Et voire grimper aux rideaux,

Et les plus sportifs, au sapin.

Chacun fait comme il veut !

.

L’essentiel ne serait-il pas,

Qu’amour soit le meilleur,

Que l’on puisse souhaiter.

.

Textuels et illustrations  >>

682 – Trouver son âme sœur : ça veut dire quoi !

 Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

 

Âme sœur,

Ou, âme clone,

Voire âme jumelle

Appelez-là comme

Bon   vous  semble,

Elle  vous   adopte,

Et vous rassemble

En seul  bonheur.

.

Et, de la trouver,

Sera  une quête,

Une   conquête.

Amour   vérité,

Non   charité,

Opportunité

Fusi-onnés,

Lors  pour

Toujours

.

C’est se trouver une amie

Qui pense comme vous

Qui vit comme vous :

Jumeau et jumelle.

.

C’est faire fi de la différence

D’âge, de métier ou statuts,

Ou contraire, semblables

En tous points égaux.

.

C’est penser à quelqu’un

Comme par télépathie,

Souffrir comme lui,

Longueur d’onde.

.

C’est sublimer son sexe

Pour éviter complexes

Situations, jalousies,

Si l’autre est pris.

.

C’est tout cela à la fois

Même plus que cela :

Ça ne se décrit pas,

Ça vient et ça va.

.

Extensions

 .

Une « âme sœur » fait penser d’abord à conjoint

Mais pas que : ce peut être un ami ou une amie,

L’âme ne concernant pas directement le sexe

Ce qui ne veut pas dire qu’elle n’en a pas :

Tout ce qui est humain est sexué, par nature

Et l’on ne pourra s’en détacher, ni s’en abstraire.

.

Âme sœur c’est comme reflet de soi-même en miroir,

Quelque chose située entre la gémellité et le clonage,

Psychiquement parlant car il n’y a pas forcément

De ressemblance physique, plutôt le caractère,

La manière d’être, de réfléchir, et d’éprouver

Les mêmes émotions pour la même chose

Tout le monde en rêve, d’un tel double

Qui nous comprend, de l’intérieur,

Par empathie ou par télépathie.

.

En réalité, le fait est assez rare

Et le plus surprenant, pas de début,

D’histoire commune pour l’expliquer :

Comme parenthèse dans l’espace-temps,

Superposition, inattendue, de consciences.

On ne peut pas dire la même chose d’un frère

Ou d’une sœur qui ont pourtant partagé une

Grande partie de votre vécu, par définition.

.

L’âme sœur est étrangère, elle vient d’ailleurs

Nulle part, on la rencontre ou la rencontre pas,

Amants, même s’ils sont et demeurent fusionnels,

Ne sont pas des « âmes sœurs » sinon ils n’auraient

Pas besoin de se dévoiler, de se faire connaitre.

Les amants peuvent être plusieurs,

L’âme sœur demeure unique !

.

Ame sœur, pourquoi pas cœur frère, esprit arbitraire :

Rien de corporel, ni de sensuel, ni de sexuel la dedans

Rien que de l’intention, de la conscience, de la quête

De quelque chose d’invisible et pourtant palpable

Pour peu qu’on la reconnaisse, bien aimable !

Si les corps ne peuvent fusionner totalement

Qu’en est-il au sujet des esprits et des âmes

Devra-t-on convoquer ici la métaphysique

Ou quelque chose d’autre d’aussi magique

Tant, si quelqu’un possède la clé des songes

De l’autre, réciproquement : c’est âme sœur.

.

Fragments 

.

L’âme sœur peut être illustrée

Par image de serrure  et de clé,

Et autant, chaussure à son pied,

Habit vous allant comme un gant

Mais ici, c’est aussi cœur et esprit

Une projection subtile et intuitive !

.

Le sexe, l’âge,  et l’apparence, jouent

Un rôle évident dans cette rencontre,

Mais dans l’absolu, y a pas de limites,

Lors il s’agit d’âmes, tout est possible :

Âmes jumelles ont autres pertinences !

.

Comme l’intuition  d’avoir  une histoire,

Une personnalité  et  un destin commun,

Que l’autre serait  une moitié manquante

De soi-même à former tout indissociable.

.

Il arrive que l’on se trompe, pari stupide,

Ou que l’âme convoitée soit déjà mariée :

Une question de tempo, ou attendu trop.

.

Si l’on divorce d’une âme, perçue sœur,

Qui vous dit que prochaine est la vraie.

.

Je n’y crois pas … mais pourquoi pas !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Âme sœur,

Ou, âme clone,

Voire âme jumelle

Appelez-là  comme

Bon   vous  semble,

Elle  vous   adopte,

Et vous rassemble

En seul  bonheur.

Et, de la trouver,

Sera  une quête,

Une   conquête.

 Amour : vérité,

Non  charité,

Opportunité

Fusi-onnés,

Lors  pour

Toujours

Jours

V

.

TROUVER

C’est se trouver une amie —————————————-

Qui pense comme vous —————————————–

Qui vit comme vous : ——————————————

Jumeau et jumelle. ——————————————

 .

SON ÂME-SOEUR

C’est faire fi de la différence

D’âge, de métier ou statuts,

Ou contraire, semblables

En tous points égaux.

 .

VEUT DIRE

———————————C’est penser à quelqu’un

———————————-Comme par télépathie,

———————————-Souffrir comme lui,

————————————-Longueur d’onde.

 .

QUOI 

C’est sublimer son sexe

Pour éviter complexes

Situations, jalousies,

Si l’autre est pris.

 .

AU JUSTE 

C’est tout cela à la fois —————————————–

Même plus que cela : —————————————

Ça ne se décrit pas, —————————————

Ça vient et ça va. —————————————

.

Forme

.

.

Évocation

.

Petit trophée comme une âme

Et posé sur un grand piédestal

Boite magique, représentée ici

Avec sa clé très personnalisée.

.

682 4

.

Petit trophée comme une âme

Et posé sur un grand piédestal

Boite magique, représentée ici

Avec sa clé très personnalisée.

 .

 Symbolique

 .

Ame sœur demeure un concept

Qui évoque compatibilité amoureuse

Qui serait parfaite entre deux individus.

L’expression passée en le langage courant,

A définitions variables, ramenant toutes

Idée selon laquelle individus ont pour

Destin de constituer un couple.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

682 6

.

Je croyais que l’âme n’avait pas

De sexe, ni sexualité :

Une boite magique, avec sa clé,

Ame sœur l’ouvrira !

 .

Symbolique

 .

Le symbolisme de la clef

          Est en relation avec son double

              Rôle d’ouverture et de fermeture.

 

            C’est à la fois un rôle d’initiation

     Et parfois  de discrimination

  Dans les contes et légendes

   Trois clefs sont mentionnées

                     Pour ouvrir trois chambres secrètes :

                       Clef d’argent ; clé d’or, clé de diamant.

 

                    La clef est symbole mystère à percer,

               De l’énigme laborieuse à résoudre,

               De l’action difficile à entreprendre,

        Bref, des étapes qui conduisent

           À l’illumination et la découverte.

 .

Fond/forme 

 .

L’âme de quelqu’un ou de quelqu’une

Demeure difficile à ouvrir sans sa clé,

Comme mot de passe, amour ne suffit.

Il faudra chercher, trouver, la solution

En sa propre ouverture et son intimité.

.

On pensera au sexe mais c’est du cœur

Et de l’esprit qu’il s’agit, en leur secret

L’âme-sœur détient une clé identique

Lors âmes fusionnent avant corps

Et débordent de tous les bords.

 Textuels et illustrations   >>

681 – Descente d’avion, l’émotion monte d’un ton

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Attendre, un long temps,

L’aimée, et puis,  soudain,

L’on en devient … certain :

Émotion vous submergera,

Lors l’arrivée de son avion,

Et lors il roule au parking

Et  lors la porte s’ouvre,

Et lors  elle  apparait

Et salue de la main

En petit aéroport

Et pour lui dire

«Me voilà enfin.

.

À descente de l’avion

L’émotion monte d’un ton.

Voici venu le dernier moment

Depuis le temps que je l’attends,

Et la voilà qui franchit cette porte

Qui, jusque-là, la séparait, de moi !

.

Je sens que  mon cœur  m’emporte,

Et, que mon sang se dérobe, de moi.

Elle me parait plus jeune, détendue,

Moi qui l’ai vue pourtant toute nue,

Je me sens incertain la reconnaitre

Peut-être revient-elle  de renaitre,

D’une autre façon, autre raison,

Qui change tout à ma passion,

Plus forte …  plus différente,

Selon une autre … entente.

.

Mon aimée est unique :

La vie est fantastique

Ensemble pratique

Entrée magique

Revoir  enfin

L’ai-mée :

Di-vine,

Sera,

Est

V

.

Extensions

 .

Émotion brute et forte, s’il en est,

L’attente de quelqu’un d’important,

Représente chose essentiel, à ses yeux.

Tant ce ne sera pas tant d’arriver vivant.

Il n’est plus le temps où c’était l’aventure,

Que d’être pressé qu’il ou elle soit là, enfin

Et qu’on puisse faire des choses ensemble,

Profiter de l’air du temps  qui passe, sans

Se soucier de tout et de rien, lendemain.

.

Tout d’un coup, on l’aperçoit, du moins

Dans  les  petits aéroports, par la vitre,

Descendre l’escalier à l’avant de l’avion

Et marcher sur le tarmac, vers un hall.

Il lui reste encore à récupérer sa valise,

Ce qui peut prendre  un certain  temps,

Voire un temps certain, après la douane,

La voici, rayonnante, cherchant des yeux,

Qui, son compagnon, un ami … un parent.

C’est, toujours, un bon moment d’émotion.

.

Les voyageurs se dispersent, vous voilà seuls,

En un sas vous ramenant à la réalité du terrain

Il faut prendre un bus, ou un taxi, faire la queue,

Mais à présent que vous êtes deux, temps d’attente,

Ne compte plus car vous êtes certain d’y être, arrivés,

Il arrive que l’avion ait du retard, qu’il soit détourné,

Par suite  de  vent violent, d’orage, ou de brouillard,

Parfois  même  faire demi-tour : il n’y a qu’une fois

Qu’avion a touché le sol de piste, qu’on peut dire

Qu’on est arrivé, au bon endroit, bon horaire.

.

L’avion est connu comme le transport le plus rapide, sûr.

On peut le constater après son atterrissage mais pas avant

C’est quitte ou double, ou presque : on a vu des sauvetages !

Mais quoiqu’il en soit, l’équipière qu’on attendait est bien là,

C’est cela l’important, l’essentiel, pour nous, derrière  la vitre

Et ce n’est pas n’importe qui, c’est ma moitié tout de même

Et si elle vient me rejoindre cela signifie qu’elle… m’aime.

.

Les aéroports sont lieux d’envols, atterrissages,

Tout autant de stress, plaisir, émotion, passage.

Si l’on est souvent  accompagné, pour le départ,

L’on sera encore plus attendu lors d’une arrivée.

.

Les embrassades et signes d’adieu sont courants

D’autant qu’avion a du retard, suite intempéries.

On a beau dire que c’est le transport le plus sûr :

Il suffit d’une fois, c’est la faute à pas de chance.

.

Fragments 

.

Il resterait toujours, et quelque soient

La fréquence et la sureté des voyages :

Fond d’inquiétude, parfois d’angoisse,

Et bien plus encore en trajet en avion.

.

Lorsque l’annonce arrivée  imminente,

Vient de se faire, en attente  quelqu’un,

On est grandement soulagé d’un doute,

On va pouvoir souffler de le rencontrer.

.

Et voilà qu’elle se présente  sur l’escalier

De descente, avec ses bagages… au pied.

C’est bien elle, c’est sûr : l’on croit rêver,

Et l’on sent son cœur  battre la chamade

.

Elle ne sait pas  que  quelqu’un  est venu,

Pour  la  chercher,  aussi,  au moment  de

Commander un taxi,  se montre surprise,

Que quelqu’un l’appelle par  son prénom.

.

Elle fond dans ses bras,    elle l’embrasse,

Touchée par cette délicate   …  attention.

C’est la moindre des choses, diriez-vous,

Bientôt serez de la famille … après tout.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

.

 Calligramme

.

Attendre, un long temps,

L’aimée, et puis,  soudain,

L’on en devient … certain :

Émotion vous submergera,

Lors l’arrivée de son avion,

Et lors il roule au parking

Et  lors la porte s’ouvre,

Et lors  elle  apparait

Et salue de la main

En petit aéroport

Et pour lui dire

«Me voilà enfin.

.

À descente de l’avion

L’émotion monte d’un ton.

Voici venu le dernier moment

Depuis le temps que je l’attends,

Et la voilà qui franchit cette porte

Qui, jusque-là, la séparait, de moi !

À   SA   DESCENTE   D’AVION,

Je sens que  mon cœur  m’emporte,

Et, que mon sang se dérobe, de moi.

Elle me parait plus jeune, détendue,

Moi qui l’ai vue pourtant toute nue,

Je me sens incertain la reconnaitre

Peut-être revient-elle  de renaitre,

D’une autre façon, autre raison,

Qui change tout à ma passion,

Plus forte …  plus différente,

Selon une autre … entente.

L’ÉMOTION   MONTE

Mon aimée est unique :

La vie est fantastique

Ensemble pratique

Entrée magique

Revoir  enfin

L’ai-mée :

Di-vine,

Sera,

Est

V

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Ça peut être une pointe

De lance ou de flèche,

Ou encore une toupie

Descente d’avion ?

.

681 4

.

Pour une descente d’avion,

C’est une descente, en piqué :

Mais, il s’agit ici, de sa sortie,

Par un escalier mécanique !

.

Symbolique 

.

L’avion est en relation avec

 L’élément air,  le monde mental.

Puisqu’il est plus lourd  que l’air,

Il a besoin  d’un moteur  puissant

Pour décoller, pour  voler, et cela

Qui  se traduit, symboliquement,

Par  une  grande  volonté  pour

S’élever dans monde pensées.

Voyager en avion  consiste,

En situation  concrète,

D’aller  en  pensées

Pour se diriger

Vers nouvelle

Région  de

Consci

Ence

V.

source : ucm.ca/fr/symbole-avion

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Pour une descente d’avion,

C’est une descente, en piqué :

Mais, il s’agit ici, de  sa  sortie,

Par un escalier mécanique !

 .

Symbolique 

 .

En général, la présence

Dans le rêve des escaliers

.

Qui sont descendus, représente

Une sorte de changement de vie.

.

Les descendre en monte la facilité

À l’inverse de monter des escaliers.

.

L’escalier peut aussi représenter un

Moment de changement  au  niveau

.

Spirituel,  transformation    intérieure

Qui,   en  tant  que tel,   peut   être  vécu

 .

Avec   une      certaine       appréhension.

Dans  ce  dernier  cas, le rêve peut être lu

 Comme besoin de repenser son chemin de vie.

le-temple-du-sommeil.fr/blogs

blog/rever-descendre-escalier

 .

 .

 Fond/forme 

 .

S’il n’y a pas d’escalier dans l’avion

Il y en a parfois un pour la descente

Des passagers et des fois même deux

 Un pour ceux de l’arrière et de l’avant

Quand on voit sa femme  l’emprunter,

Son cœur se met à battre, fébrilement,

On est sûr au moins qu’elle est arrivée,

Que c’est juste une question de moment

Pour la serrer dans ses bras d’amant !

.

 Textuels et illustrations  >>

680 – Demain résonne comme coup de tambour

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Demain résonne en moi comme un coup de tambour,

Demain raisonne en moi comme un autre dernier jour,

Où la chance me sourit de pouvoir rencontrer des amis

M’invitant, m’incitant ajouter nouveau jour à ma vie.

Une fois qu’on a dit cela : de quoi sera-t-il fait :

Sans doute, de la même chose que hier.

.

En tous cas, à peu de chose près,

Presque  tout  aussi  imparfait,

Que je le suis, que je l’étais.

Demain, est un autre jour,

Demain,  coup de tambour,

Demain serait  autre amour,

Demain sera contre ou pour.

Selon rencontre opportunité

Ou selon sa propre volonté,

Mais qui ne flanchera pas.

.

Tant la roue tourne, disent

Les  bonnes  gens,  lucides,

Dernier   coup  de tambour,

Marque la mort sans retour.

Mais que m’importe dès lors

Que je le suis  et serai encore

Jusqu’à la veille  de ma mort

Et, qu’il n’y a pas  d’amours

Même ne durant que jours

Sans lendemain toujours,

Qui vaillent d’être vécus.

 .

Demain, je verrai… demain, je toucherai…demain, je saurai

Qui, de moi, ou, d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré,

Sur le fil rouge  et vif, que l’on tissera, ou que l’on coupera.

Demain l’espoir s’installera ou pour longtemps, sombrera.

Demain  m’étonne  de ses nouvelles envolées, inespérées,

Demain détonne des nouvelles rencontres, énamourées,

Où les chances d’être à deux transpercent ma solitude

Me disent, clament rien n’est comme d’habitude.

 .

Une fois cela dit : de quoi l’autre est-il fait,

De  même chose  que moi  à peu près

Ou, de compléments, d’un choix,

Qui en ferait une reine, un roi.

Lors ce nouvel être pourrait

Me sortir de …  mon antre,

Me faire rentrer d’un puits

Sans fond  …  sans ventre,

À me perdre  en elle ou lui,

À moins  que  l’on ne me fuit,

Par défaut d’être quelqu’un parfait.

 .

Demain, je verrai, demain, je toucherai, demain, je saurai,

Qui de moi ou d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré.

Il n’y a pas, d’autre voie dans la vie que, de choisir d’être

Ce que l’on est et on ne le saurait que bien tard peut-être.

.

.

Extensions

 .

Ah, demain,

Encore demain,

Toujours demain,

Comme  si  demain

Était puits sans fond,

Un puits sans fin pour

L’espoir de devenir ce

Qu’on a rêvé d’être !

Coup de théâtre,

Coup de tambour,

Le destin ou je ne sais

Qui ni quoi aura décidé

Qu’il en serait  autrement

Et tant pis pour ma pomme

À moins  qu’autre   occasion

Similaire se présente à moi

Un autre jour et ailleurs !

.

Le bruit du tambour évoque, souvent, une guerre

Ou exécution capitale en place publique, naguère.

C’est une bien pale imitation du tonnerre sur terre

Mais elle ferait son office, comme colère de Jupiter

Qui décide de punir les humains pour leur conduite.

.

Coups de tambour et coups de théâtre

Vont ensemble, sonnez les trois coups.

Il y en a qui les cherchent et attendent

Lors autres les craignent ou détestent.

.

Il faut dire aussi qu’il y a des bonnes,

Et des mauvaises surprises, tambour

Battant, qui arrivent à tout moment

Et qui perturbent emploi du temps !

.

Coup de foudre  comme  de tambour,

Demain devient comme nouveau jour

Il résonne, en tête, comme un amour,

Dont souvenir marque pour toujours.

.

Fragments

.

Demain est un autre jour :

Demain sera un autre amour :

Demain résonne comme tambour :

Demain amour nous jouera ses tours.

.

Demain est comme une fontaine d’amour

Coulant d’une source qui, jamais, ne tarit,

Lors tambour fait comme un point d’orgue,

À peine frappé, vibrant tendu, que déjà fini.

.

Quand la fontaine rythme, par nombre jets,

Les coups de butoir d’un tambour féminin,

Je dis, j’en suis sûr que partenaire aimait

La mélodie des plaisirs bonheurs divins.

.

Le tambour tonne, la fontaine coule :

Contraste temps fort et temps mort,

De purification et régénérescence,

Si ce n’est, parfois, de jouvence.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Demain résonne en moi comme un coup de tambour,

Demain raisonne en moi comme un autre dernier jour,

Où la chance me sourit de pouvoir rencontrer des amis

M’invitant, m’incitant ajouter nouveau jour à ma vie.

Une fois qu’on a dit cela : de quoi sera-t-il fait :

Sans doute, de la même chose que hier.

.

En tous cas, à peu de chose près,

Presque  tout  aussi  imparfait,

Que je le suis, que je l’étais.

Demain, est un autre jour,

Demain,  coup de tambour,

Demain serait  autre amour,

Demain sera contre ou pour.

Selon rencontre opportunité

Ou selon  sa propre volonté,

Mais qui ne flanchera pas.

.

Tant la roue tourne, disent

Les  bonnes  gens,  lucides,

Dernier   coup  de tambour,

Marque la mort sans retour.

Mais que m’importe dès lors

Que je le suis  et serai encore

Jusqu’à la veille  de ma mort

Et, qu’il n’y a pas  d’amours

Même ne durant que jours

Sans lendemain toujours,

Qui vaillent d’être vécus.

.

DEMAIN RÉSONNE 

Demain, je verrai… demain, je toucherai…demain, je saurai

Qui, de moi, ou, d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré,

Sur le fil rouge  et vif, que l’on tissera, ou que l’on coupera.

Demain l’espoir s’installera ou pour longtemps, sombrera.

Demain  m’étonne  de ses nouvelles envolées, inespérées,

Demain détonne des nouvelles rencontres, énamourées,

Où les chances d’être à deux transpercent ma solitude

Me disent, clament rien n’est comme d’habitude.

.

COMME UN COUP

Une fois cela dit : de quoi l’autre est-il fait,

De  même chose  que moi  à peu près

Ou, de compléments, d’un choix,

Qui en ferait une reine, un roi.

Lors ce nouvel être pourrait

Me sortir de …  mon antre,

Me faire rentrer d’un puits

Sans fond  …  sans ventre,

À me perdre en elle ou lui,

À moins que l’on ne me fuit,

Par défaut d’être quelqu’un parfait.

.

DE TAMBOUR 

Demain, je verrai, demain, je toucherai, demain, je saurai,

Qui de moi ou d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré.

Il n’y a pas, d’autre voie dans la vie que, de choisir d’être

Ce que l’on est et on ne le saurait que bien tard peut-être.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une fontaine

Avec des jets d’eau

Coulant    tout autour,

Ou tambours superposés.

.

680 4

.

Une fontaine qui coulerait, en continu,

Paisiblement

Est contraire même du coup de tambour

 Tonitruant !

Les formes et les fonds divergeront

Entre un tambour et une fontaine,

En outre sont différents leurs sons

Lors forme et fond ne s’accordent.

.

Symbolique

.

La fontaine

Symbole de l’immortalité,

De la purification et de la régénérescence,

La fontaine de jouvence est une fontaine mythique

Dont l’eau à le pouvoir de régénérer le corps et l’âme

De celui qui la boit. Ainsi, elle guérit toutes les maladies

Et les chagrins et par ce fait rend immortel

Plusieurs mythes font références à cette fontaine.

En mythologie  romaine, Jupiter transforme la nymphe

Jouvence en une fontaine qui a la vertu de rajeunir.

Source : 1001 symboles

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une fontaine qui coulerait, en continu,

Paisiblement

Est contraire même du coup de tambour

 Tonitruant !

.

Symbolique 

 .

Le tambour

Est instrument de

Musique  à  percussion.

Le battement   du   tambour

Évoque  les  rythmes  de  la  vie.

Il symbolise battements du cœur

Ainsi   que battement de la terre.

Régularité   de   son   battement

Agit       comme   un  vecteur

D’ondes          permettant

Chamans     d’entrer

État de transe.

1001symboles.net/symbole/

sens-de-tambour.html

 .

 .

Fond/forme 

 .

La fontaine est un symbole universel

Du fait de source, écoulement perpétuel

.

Et autant du fait  que  l’eau qu’elle recèle,

Nourrit, guérit, adoucit douleurs réelles,

Et de là, à rajeunir, il n’y a qu’un mythe.

.

Elle n’aura rien à voir avec un tambour

C’est tout le contraire, tout en fluidité;

.

Le tambour tonne, la fontaine coule :

Contraste temps fort et temps mort.

.

Textuels et illustrations   >>

679 – Comment conter fleurette à une… alouette !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

C’est  belle expression

Ancienne, romantique

D’avant   la   évolution

Moderne   et  sexuelle,

Reprise    aujourd’hui,

Pour tenter sa chance

Près d’une  inconnue.

.

Auprès d’une alouette

Et qui passait   par là

Qui se trouvait seule

Perçue    en    proie.

.

Facile,   disponible

Libre de s’éloigner

Monter très haut,

Être inaccessible.

.

Raconter sans filet sans procès, regret,

Écrire ces mots  sans apprêt, sans effet,

Finir comme cela, hasard vite bien fait,

Histoire de voir s’ils sont bien parfaits.

.

Parfaits pour vous en conter, fleurette,

Heure étant dédiée  au plaisir  et  fête,

De vous raconter  la  belle  amourette,

Vous plaisant à vous mettre  en quête

D’un amour fou  qui vous  consolera,

De tous  prétendants  qui,  à tout va,

N’ont que sexe, en tête,  sur vos pas.

.

Croient que, votre cœur leur cédera,

Or votre cœur est comme forteresse

Qu’on ouvre  que  par  des caresses,

De votre âme, ou par ruse,  finesse,

D’un écrit qui aura trouvé adresse.

.

Trois, cent, mille,  un seul  parmi,

Un seul franchira votre pont levis,

Il en est ainsi que mille,  en esprit,

Cent, dans votre cœur,  trois en lit.

.

Vous, lui, l’amour qui  vous  réunit,

La place sera prise, voilà qui réjouit

Un amour déçu qui n’attendait plus

De la vie que  temps de survie vécue

En l’ombre  d’un destin, entraperçu,

Tardant à  venir, ne serait pas venu.

.

Eh bien non, l’on recommence tout,

L’amour n’est pas ainsi, est partout,

Celui-là, autre, il faut   qu’il soit fou,

Pour vous aimer, malgré lui et vous.

.

Voilà j’ai fini ma chanson, sœurette,

À quoi vous servirait d’être coquette,

Si vous ne l’apprenez,  restez muette,

Alors qu’autour, amour  vous guette,

Sans filets, sans procès, sans regrets.

.

Extensions

 .

Faire la cour, ou bien conter fleurette,

On n’emploie plus ces expressions

Aujourd’hui, devenues désuètes

Après  la révolution  sexuelle,

Bien que le souci et besoin

D’être désirée demeure.

On  parle  de « flirts »

Pour   des   caresses,

Et des embrassades,

On parle de « passe »

Relation sexuelle tarifée,

Et  on parle  de « plan Q »

Pour une envie  de conquête

Le soir même, dans son au lit :

Tout cela n’aura rien d’engageant,

Ressemble passe-temps ou gâterie.

.

Amour, amourette … confusion des émotions, des sentiments ?

Allez savoir, allez comprendre, allez moraliser

Y- a-t-il tromperie intention, objet, marchandage, marchandise

Et le sait-on plus qu’avant, que pendant, après

Toujours est-il que, consentants, qu’y aurait-il de grave à redire !

.

 Aventure, badinage, caprice, idylle,

 Intrigue, liaison, passade, béguin,

 Flirt, tocade, voire  toquade, etc.

Sont synonymes d’amourette.

.

L’amourette serait éphémère

Sans suite ni conséquences,

Une sorte de banc d’essais,

Pour savoir qui nous plait

.

Lors à ce qu’il nous évoque,

Si consentement, réciproque,

Il n’y a rien en cela qui choque :

Qu’un faux amour qu’on convoque.

.

Fragments

.

Conter fleurette à une amourette :

Lui tenir des propos galants,

Puis lui faire la cour.

.

C’est léger, sans arrière-pensée,

En attendant engagement

Et voire dégagement.

.

Amourette, aventure passagère,

Dite sans conséquence :

Intrigue ou passade

.

Cœur et sentiment l’emportent-il

Sur le sexe : pas nos jours

Ou l’on consomme !

..

Point de passion, d’attachement,

Volontiers frivole et léger

Séduction  éphémère.

.lus difficile avec une femme

Ne s’en laissant pas conter

Qui aura du caractère.

.

Fleurette est juste une allumette,

Qui fera comme une recette

Sans faire de vous, poète.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

C’est l’expression………..……

Ancienne et romantique…….……

       D’avant   V     la révolution…………..……

    Moderne      A   et …… sexuelle…….………

     Et reprise        *          aujourd’hui…….………

Et pour tenter  D        sa chance…….……

Près d’une          O       inconnue…………

Auprès d’une     N     alouette…………

   Et qui passait    C       par là…………

 Qui se trouvait *   seule………

Perçue  en   proie…………

       Facile, disponible…………

            Libre de s’éloigner…………

             Monter   très haut…………

                Etre inaccessible. …………

.

Raconter sans filet  C    sans procès, regrets,

Écrire ces mots       O    sans apprêt sans effet

Finir comme cela    N   au hasard vite bien fait

Et, histoire de voir   T     s’ils sont bien parfaits.

Parfaits pour vous    E         en conter, fleurette,

Heure étant dédiée    R           au plaisir  et  fête,

De vous raconter la     *           belle  amourette,

Vous plaisant à vous    F          mettre en quête

D’un amour fou qui       L       vous consolera,

De tous  prétendants       E      qui, à tout va,

N’ont que sexe en tête,     U      sur vos pas,

Croient que, votre cœur     R   leur cédera,

Or votre cœur est comme    E   forteresse.

Que l’on ouvre que par des  T   caresses,

De votre âme, ou par ruse   T      finesse

D’un écrit qui aura trouvé  E   adresse.

.

Trois, cent, mille,  un seul parmi,

Un seul franchira votre pont levis,

Il en est ainsi que mille,  en esprit,

Cent, dans votre cœur,    trois en lit.

.

 Vous, lui, l’amour       À  qui vous réunit,

La place sera prise    *   et voilà qui réjouit

  Un amour déçu,     U      qui n’attendait  plus

    De la vie que        N         temps de survie vécue

         En l’ombre         E             d’un destin, entraperçu,

          Tardant à            *             venir, ne serait pas venu.

           Eh bien non,       A                 l’on recommence tout,

            L’amour n’est      M                pas ainsi, est partout :

            Celui-là, autre,       O                il faut   qu’il soit fou,

            Pour vous aimer,     U                  malgré lui et vous.

             Voilà j’ai fini ma        R                chanson, sœurette

            À quoi vous servirait   E                 d’être coquette,

           Si vous ne l’apprenez,   T                restez muette,

      Alors qu’autour, amour  T              vous guette,

      Sans filets, sans procès   E              sans regrets.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette d’amourette 

Jeune,  et  belle,  de profil,

Habillée avec  frous-frous, 

Pour dessous  de  caractère.

.

679 4

.

Superbe amourette, et avec dessous

Et avec des frous-frous :

Mais ne vous y fiez pas tant elle aura

Sans nul doute caractère.

Pour sûr, amourette, caractère

Amoureux et très vite emballé

Vont de pair et vers impair,

Ainsi forme évoque fond.

.

Symbolique 

 .

Attachement passager,

Généralement exempt de passion,

Volontiers frivole, pour une personne.

C’est  un  homme  qui  aurait toujours,

Quelque amourette (Ac. 1835-1932);

Ses  amourettes  lui  feront du tort,

Dans  le monde  (Ac. 1835-1932)

Synonyme : caprice, fredaine,

Flirt,  séduction  éphémère…

www.cnrtl.fr/definition/amourette

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

679 6

.

Superbe amourette, et avec dessous

Et avec des frous-frous :

Mais ne vous y fiez pas tant elle aura

Sans nul doute caractère.

.

Symbolique 

.

Les femmes à fort caractère

Sont des femmes sûres d’elles

Du moins d’après apparences.

Volontaires, parfois elles sont

Très organisées dans leur vie

Professionnelle comme privée.

.

Elles ont une personnalité forte,

Savent ce qu’elles veulent et vont

«Droit au but » : dans leur séduction

Elles  adoptent  une position  active

Elles choisissent leur bon partenaire.

En couple, elles prennent des initiatives

Aiment imposer leur rythme au partenaire.

love-intelligence.fr/La-femme-a-fort-caractere-en-amour

.

.

Fond/forme 

.

Amour passager et sans conséquence

Amour courtois et avec bienséance

Amour sur l’instant, platonique

Autant d’éphémères idylles,

Et qui n’engagent à rien

Autant dire qu’elles

N’ont d’existence

En conscience

Voire, sexe !

.

Textuels et illustrations  >>

678 – Folie de croire que quelqu’une puisse m’aimer

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Je me dis que c’est folie, de croire

Que quelqu’une puisse m’aimer,

Pour moi-même, pour histoire,

De me découvrir,  m’apprécier

Chacune,   à part   exceptions,

Cherchera  son propre intérêt,

D’abord, et, avant toute chose,

Soumettant ainsi, à sa passion,

Le blanc et le noir, après le rose,

Communauté réduite aux acquêts.

.

Ce  genre  de

Folie survient

Brusquement,

La folie ne dure

Que court instant,

Et fait, de vous, un pur

Un tendre, un merveilleux,

Amant et ce, jusqu’aux cieux

Dont  on tombe   lors, advient

Rupture si elle aura  bien lieu !

.

J’aimerais bien  connaitre état

Quel qu’en soit le prix à payer,

Quel que soit tel amour raté

Je pourrais  m’en féliciter,

Au cas contraire c’est seul

Avec moi-même resterai

Pour un temps éternité

Si ma vie s’était passée

Sans   pouvoir  aimer.

.

Je me dis, que c’est folie, de croire

Qu’on peut vivre amour sans histoire,

Souvent, et avant même de commencer,

On entame un procès en non-réciprocité,

Suivi, d’un autre, plus fort,  en non-égalité,

Pour terminer  sur le dernier en non-fidélité.

.

Sans projet  commun, les liens dans  la durée,

Peinent à se renforcer, commencent à s’étioler

Lors l’on se retrouve, l’un dans l’autre, coincés,

Par amour n’ayant que sexe en rapport penser.

.

Amour serai un attachement plus que fidélité,

Attachement  permanent, sans en discuter,

Fidélité s’en va, s’en vient, en instabilité,

Jusqu’à ce qu’à la fin, le pot est cassé.

.

Extensions

 .

Le sexe est un aboutissement

D’un concert comportements,

Rapprochements deux esprits,

Et cœurs, inspirant une union.

.

C’est une folie que de m’aimer :

Ce n’est pas tant que je le mérite,

Folie est par définition subjective,

Socialement  non soumise à raison.

.

Pourquoi moi plus qu’autre, question

J’admets  qu’on   m’aime, comme  cela

En passant,  pour  essayer,  en  profiter,

Mais intensité, durée, sont inexplicables.

.

S’il est vrai qu’on se présentera, à l’autre,

Sous son meilleur jour en trichant un peu

Pour que colle prenne, qu’on se soutienne

Sa tenue durant toute l’année à venir

N’est pas garantie, reste à tester !

.

Deux cœurs indifférents, plutôt gris et froids, sur du sable : instabilité.

Deux cœurs qui se rapprochent, croient en amitié possible : attractivité ;

Deux cœurs faut-il croire que paix entre eux soit souhaitable, raisonnable

La question n’est pas qu’on s’aime, qu’on s’aime pas : comment et pourquoi

Et là la réponse, qui l’aura, ce n’est que longtemps après, on comprendra

Qu’on est pas sur même longueur d’onde : ça ne peut marcher, durer,

C’est folie de croire qu’autre changera de même manière que moi.

.

Du moment que par une mère l’on ait été aimé,

Autre femme, aussi inspirante peut vous aimer :

C’est le modèle premier, le socle de votre altérité.

.

Si on en a pas, comment étant adulte, l’imaginer.

Il est bien tard pour oser croire en une telle folie :

On ne peut donner, échanger que ce qu’on a reçu.

.

Du sexe, c’est sûr, l’on peut en trouver… en abuser

Mais de l’amour réciproque et à ce point très fort :

Si on n’a pas stocker son sentiment : laisse tomber.

.

Fragments

 .

L’amour serait une folie,

L’amour est une maladie.

.

L’amour est une … ivresse

L’amour est  une  faiblesse.

.

La preuve que c’est une folie :

Certains y perdraient leur vie.

.

La preuve que c’est une maladie,

Est lors on est déçu, on en guérit.

.

La preuve que c’est qu’une ivresse :

On la restreint à une affaire de fesses

.

La preuve que ce n’est qu’une faiblesse :

On pardonne tout aux êtres que l’on aime

.

Lors comment voulez-vous après un tel aveu

Que je puisse croire que quelqu’un  me veut !

.

Je cherche la lumière, ma lampe est allumée :

Je ne vois que des ombres comme hallucinées.

.

Ce que je cherche à l’extérieur, désespérément

Je devrais le trouver déjà, à l’intérieur de moi.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

Je me dis que c’est folie, de croire

Que quelqu’une puisse m’aimer,

Pour moi-même, pour histoire,

De me découvrir,  m’apprécier

Chacune,   à part   exceptions,

Cherchera  son propre intérêt,

D’abord, et, avant toute chose,

Soumettant ainsi, à sa passion,

Le blanc et le noir, après le rose,

Communauté réduite aux acquêts.

.

****************************

***********************

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Ce  genre  de

Folie survient

Brusque  F ment,

La folie     O     dure

Que court    L   instant,

Et, fait, de      I     vous, pur

Un tendre, un    E    merveilleux,

Amant et ce, jus   *      qu’aux cieux

Dont on tombe       D         lors, advient

Rupture  si elle       E          a  bien lieu !

J’aimerais bien     *       connaitre état

Quel qu’en soit   C    le prix à payer,

Quel que soit   R   un amour raté

Je pourrais    O   m’en féliciter,

Au cas cont  I  raire, c’est seul

Avec  moi  R même resterai

Pour un   E temps éternité

Si ma vie     s’était passée

Sans     pouvoir    aimer.

.

Je me dis,  *  que c’est folie, P  de croire

Qu’on peut   Q  vivre amour   E  sans histoire,

Souvent, et avant  U     même   U   de commencer,

On entame un procès  E       en        T   non-réciprocité,

Suivi, d’un autre,     L        plus fort,     *     en non-égalité,

Pour terminer      Q     sur le dernier en      M    non-fidélité.

Sans projet     U     commun, les liens dans    ‘       la durée,

Peinent à      ‘     se renforcer, commencent à   A    s’étioler

Et, l’on       U    se retrouve, l’un dans l’autre   I   coincés,

Par amour  N n’ayant que sexe en rapport M   penser.

Amour est  *    attachement plus que    E    fidélité.

Attachement  *  permanent sans    R    discuter.

Fidélité s’en va, s’en vient, en instabilité,

Jusqu’à ce qu’à la fin, le pot est cassé.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Trois formes superposées

Propos éclairé et éclairant

 À la lumière  d’une   lampe,

Qui le sait voire qui le saura ?

.

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.

La lampe à pétrole serait une

Des lumières de l’amour :

Elle brille pour qui, y croit et le

Cherche, passionnément.

Lampe et lumière vont ensemble

Éclaire conscience, il me semble

Empêche folie de nous gagner,

Lors sa forme évoque le fond.

.

Symbolique 

.

Qu’il s’agisse de lampe

À huile, à pétrole ou d’une

Lampe moderne, électrique,

Elle  symbolise  l’énergie  que

Nous contrôlons, maîtrisons.

C’est la lumière intérieure,

Rassurante et simple,

Une connaissance

Étant transmise

Par l’environnement,

Celle que chacun reçoit en

Naissant et dont il a besoin.

En certains rêves symbolisme

Est proche de celui de la bougie.

Tristan-moir.fr/lampe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

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.

La lampe à pétrole serait une

Des lumières de l’amour :

Elle brille pour qui, y croit et le

Cherche, passionnément.

.

Symbolique 

.

Les frontières restent indécises

Entre la lumière   symbole

Et  la lumière  métaphore.

La lumière demeure mise

En relation avec obscurité.

.

La lumière succède aux ténèbres.

Si la lumière solaire meurt chaque soir,

Elle renaît chaque matin, assimilant  le destin

De l’homme à sa pérennité et sa puissance.

.

Les psychologues, et analystes,

Auraient observé qu’à l’ascension

Sont liées, des  images  lumineuses,

Accompagnées d’un sentiment d’euphorie,

Tandis qu’à la descente, des images sombres,

Accompagnées par des sentiments de crainte.

 .

 .

Fond/forme 

.

Folie, et euphorie, et dépit

Sont proches phonétiquement

Lumière provoque l’euphorie

L’ombre provoque le dépit

C’est la vie, c’est ainsi.

.

Lampe est aussi énergie

Avec réservoir quasi infini

Et qui éclaire toute notre vie

De sa lumière d’un amour béni.

.

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