1074 – Faites-moi rire, jusqu’à en pleurer

Visuels et textuels >>

.

Rire est un réflexe

Rire est  un besoin,

Faire rire est un art,

Rire est une thérapie

Rire, de  soi,  de  rien,

De tout,  fait  du  bien,

.

Quand on  en a  marre,

De ce qui  est complexe,

Qu’on  ne voit  plus  loin,

Qu’on se dit, ben tant pis.

Rire, comme  un   malade,

Vous redonne moral, santé.

.

Faites-moi rire

Jusqu’à en pleurer

Tant une heure de rire

Déstressera rude journée

Bien plus que verre de vin,

Voire même que petit joint !

.

Faites-moi rire

À mourir de plaisir

Tant une heure de rire

Augmentera mon désir,

Vivre en réelle harmonie,

Avec ma famille, mes amis.

.

Faites-moi rire

À me tordre ventre

Tant une heure de rire

Me guérira de ces maux,

Qui me rincent les boyaux,

Me donnent froid dans le dos.

.

Faites-moi rire

Et aussi en sourire

Tant une heure de rire

Est une potion magique,

Qui changera mon humeur,

Me procurera instant bonheur.

.

Faites-moi rire

Avec votre fou rire

Qui… n’en finira pas

De gagner l’assemblée

Une heure sans s’arrêter,

Jusqu’à la cloche ait sonné.

.

Ces rires, divers

Et en formes de vers

Vous sont ici adressés,

Pour que vous puissiez,

En rire… tout à votre aise,

De moi, ne vous en déplaise.

.

.

Extensions

 .

Le rire est un comportement oral

Qui va bien avec la parole et le geste

Et qui va beaucoup moins avec le texte.

Il nécessite, la plupart du temps, un public

Qui accentue ou diminue les situations drôles.

Il y a une mise en scène  du rire, du comique

Qui tient des arts et des artistes du théâtre.

.

Le rire intérieur, différent du sourire

Qui demeure expressif, souvent

Subtil mais, parfois, commercial,

Est un état mental joyeux et facétieux

Comme si l’on ne se prenait pas au sérieux,

L’on se moquait de soi-même où de la situation

Où l’on se trouve, où l’on s’est mis,  de soi-même !

.

Par ailleurs, le rire possède la vertu thérapeutique

De se déstresser, combattre l’anxiété, la déprime

Il s’agit alors d’un rire, provoqué, auto-stimulé,

Mais il est conseillé de le pratiquer en groupe

Pour bénéficier d’entrainement des autres.

Un quart d’heure de rire, à gorge déployée,

En respirant profondément entre chaque séquence,

Vaudrait, parait-il, deux à quatre heures de repos ?

.

Pleurer à force d’en rire

Pour arrêter un fou-rire,

Et pouvoir enfin, sourire,

Après  un profond soupir,

J’en ris de me voir si belle

 En ce miroir, chante-t-elle

La Castafiore dans Tintin

Avant de faire déchanter

Son miroir, à en pleurer

.

.

1074 – Calligramme

.

FAITES – MOI

Rire est un réflexe

Rire est  un besoin,

Faire rire est un art,

Rire est une thérapie

Rire, de  soi,  de  rien,

De tout,  fait  du  bien,

Quand on  en a  marre,

De ce qui  est complexe,

Qu’on  ne voit  plus  loin,

Qu’on se dit, ben tant pis.

Rire, comme  un   malade,

Vous redonne moral, santé.

RIRE,

Faites-moi rire

Jusqu’à en pleurer

Tant une heure de rire

Déstressera rude journée

Bien plus que verre de vin,

Voire même que petit joint !

Faites-moi rire

À mourir de plaisir

Tant une heure de rire

Augmentera mon désir,

Vivre en réelle harmonie,

Avec ma famille, mes amis.

JUSQU’À

Faites-moi rire

À me tordre ventre

Tant une heure de rire

Me guérira de ces maux,

Qui me rincent les boyaux,

Me donnent froid dans le dos.

Faites-moi rire

Et aussi en sourire

Tant une heure de rire

Est une potion magique,

Qui changera mon humeur,

Me procurera instant bonheur.

EN PLEURER 

Faites-moi rire

Avec votre fou rire

Qui… n’en finira pas

De gagner l’assemblée

Une heure sans s’arrêter,

Jusqu’à la cloche ait sonné.

Ces rires, divers

Et en formes de vers

Vous sont ici adressés,

Pour que vous puissiez,

En rire… tout à votre aise,

De moi, ne vous en déplaise.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1074 4

.

Bracelet de montre où mailles

S’enchaînent pour vous

Faire un tour… du bras

Si ce n’est pendable.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Les rires qui se suivent et s’enchaînent

 Finissent parfois en pleurs :

Pleurs de joie, pour sûr, tant mon corps

Est saturé de toutes chaines.

.

Symbolique 

.

La « chaîne symbolique » signifie

À la fois un mouvement et des étapes :

Représentations; substitution; communication

Se construit, sans une solution de continuité,

Depuis  les  premiers  symboles  corporels

Jusqu’au symbolisme de la langue écrite.

..

Il n’y a pas de « pré-langage », pas plus

Que de de « prérequis » au langage :

Le langage  corporel  est  un  langage

Anticipateur de la langue orale et écrite.

.

Les différentes étapes de la construction

De cette fonction qui … ….« s’enchainent »,

S’emboîtent, comme les maillons d’une chaîne.

etudier.com/dissertations/Chaîne-Symbolique/356257

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1074 6

.

Les rires qui se suivent et s’enchaînent

 Finissent parfois en pleurs :

Pleurs de joie, pour sûr, tant mon corps

 Est saturé de toutes chaines.

.

Symbolique 

.

Mot chaîne est lié au cadenas,

Aux entraves verrouillées dont

Il est impossible de se libérer,

Symbolise l’emprisonnement

Bien plus encore : servitude.

.

Et briser les chaînes signifie

Se libérer,  de la contrainte.

Au figuré,  évoque solidarité

En  se donnant  la main  pour

Former longue chaîne d’union.

.

À l’image des anneaux assemblés

Les uns  aux autres, les personnes

S’unissent en fraternité, entraide.

Car donner la main à quelqu’un,

C’est aussi l’aider, le soutenir !

Modifié, source : 1001 symboles

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

Chaine et rire ne vont pas ensemble :

Le rire suppose un minimum de liberté,

Avec certaines limites à ne pas dépasser,

Qu’on apprend au fil du temps, expérience

Le rire aurait cette propriété de déchainer

Notre aliénation, notre stress, ras-le-bol

De renouveler l’énergie emprisonnée

En nous qui empêchera d’avancer

Pleurer peut faire même effet.

 .

Rire ou pleurer, à en mourir ! 

.

Scénario 

.

Faites-moi rire

et tant que … jusqu’à en pleurer,

sourires et pleurs : émotions contraires !

 .

Visuels et textuels >>

1073 – J’ai le cœur à rire, l’esprit à pleurer

Visuels et  textuels >>

.

Des émotions,

Des  sentiments,

Pensées contraires

M’envahissent, sans

Que je puisse rien faire

Torturé par  injonctions

Des plus contradictoires,

Et tous blancs  ou noirs.

.

J’en pleure, de rire

Et j’en ris  à  pleurer,

Sans  vraiment savoir

Si cela va bien s’arrêter,

Lorsque le vent emporte

Tous instants, d’éternité

Frappant cœur,  esprit,

Tous deux contrariés.

 .

J’ai le cœur à rire et j’ai l’esprit à pleurer,

Lors je vois d’où je viens, et où je vais,

Le cœur à rire…il me faut bien vivre,

Chaque instant qui passe un peu ivre

D’émotion qui m’envahit, à ma …  joie

D’être au monde, chasseur et non proie !

.

Le passé ne sert à rien, et avenir, incertain :

Il n’y a là, rien d’autre que … d’humain,

Nous sommes tous en mêmes galères

Et nous prétendons tous être…frères,

C’est le moment d’une union … sacrée

Qui, seule, nous fera sortir de ce merdier !

.

Une dette faramineuse nous aura plombés,

Question est maintenant, qui va payer :

Les autres de préférence ou bien tous

Mais au profit de qui et là, on tousse,

Et rien ne nous garantira que les mêmes

L’ayant provoqué, non riches à l’extrême !

.

L’Europe du Nord résisterait bien … mieux

Que celle du sud, qui fera, encore, la fête,

Alors que tout s’écroule, sous leur pied,

Et qu’il faut se hâter vite de les sauver,

Partagée en deux, France est au milieu :

De quel côté ira-t-elle tourner… les yeux !

.

.

Extensions

 .

J’ai le cœur à rire, j’ai l’esprit à pleurer

Je passe de l’un à l’autre sans me fixer

Tant je me dis que la Politique est,

Tout comme la langue d’Ésope,

La meilleure et la pire des choses,

Tantôt elle nous enfonce, tantôt sauve.

.

Ah, elle me dira de garder mon sang froid,

Toute ma raison et de faire taire mes émotions,

Qu’on s’en tirera, ils sont là pour ça : c’est pas faux,

Mais je sais que cela recommencera car c’est le système

Lui-même qui génère ces états là et ce sont les mêmes

Qui produisent, et qui répareraient, les dégâts.

Et à qui profite cela, allez donc savoir :

Pas à l’humanité … en tous cas.

.

Le cœur et l’esprit peuvent être en inversion de phase

« Je suis très attiré par, mais j’ai peur de me tromper »

Il n’y a pas toujours de solution évidente à ce problème

Et les relations d’incertitudes  ne vont pas nous y aider :

 Il faut décider par soi-même : où est le bien où est le mal.

.

Le langage humain a ceci d’étrange, particulier,

Il est non seulement polysémique,  interprétable

Mais entaché de parties d’erreurs  et  de vérités !

.

Ce qui donne  des  innocents, déclarés  coupables,

Contre des coupables  qui se déclarent  innocents,

Le langage du juge  ne serait pas : vérité suprême.

.

Tout est une question de chiffres, de statistiques :

Le nombre, objectif, a pris l’avantage sur les mots,

Dont on se méfiera de par leur caractère subjectif.

.

Voilà qui fait que ce qui me donne le cœur à rire,

Me donnera, en fin du compte, l’esprit à pleurer.

.

.

1073 – Calligramme

 .

J  ’  A   I

 L  ………….

………….

Des   E  émotions…

Et  sen  S     timents…

 Pensées     P   contraires…

M’envahis     R    sent, sans…

Que je puisse     I      rien faire….

Torturé par in   T    jonctions…

Des plus contra  *       dictoires,

Où, tous blancs      À             noirs…..

Et j’en pleure            *            de rire ….

Et j’en ris à                P            pleurer ….

Sans vrai                    L       ment savoir

Si cela va bien         E         s’arrêter.

Lorsque, le vent     U        emporte

Chaque instant,   R       éternité

Frappant cœur   E        esprit

Tous deux con  R  trariés

 .

E  T  L E    C  Œ U  R     À     R   I  R   E 

J’ai le cœur à rire et j’ai l’esprit à pleurer,

Lors je vois d’où je viens, et où je vais,

Le cœur à rire…il me faut bien vivre,

Chaque instant qui passe un peu ivre

D’émotion qui m’envahit, à ma …  joie

D’être au monde, chasseur et non proie !

.

Le passé ne sert à rien, et avenir, incertain :

Il n’y a là, rien d’autre que … d’humain,

Nous sommes tous en mêmes galères

Et nous prétendons tous être…frères,

C’est le moment d’une union … sacrée

Qui, seule, nous fera sortir de ce merdier !

.

Une dette faramineuse nous aura plombés,

Question est maintenant, qui va payer :

Les autres de préférence ou bien tous

Mais au profit de qui et là, on tousse,

Et rien ne nous garantira que les mêmes

L’ayant provoqué, non riches à l’extrême !

.

L’Europe du Nord résisterait bien … mieux

Que celle du sud, qui fera, encore, la fête,

Alors que tout s’écroule, sous leur pied,

Et qu’il faut se hâter vite de les sauver,

Partagée en deux, France est au milieu :

De quel côté ira-t-elle tourner… les yeux !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1073 4

.

Visage d’homme,

Vu de profil, riant,

Soucieux et rempli

D’incertitudes ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Homme est un être d’incertitudes

plein de croyances, fausses vérités

dans lesquelles il tente de surnager :

aussi sa forme correspond à son fond.

.

Émotions peuvent êtres diverses

Et voire même  contradictoires :

Ce qui provoque, en nous, l’état

 D’interrogations, incertitudes.

 .

Symbolique 

 .

Le cerveau est l’organe des émotions :

Il donnera naissance à la joie, la tristesse,

La peur, la colère, la surprise ou le dégoût.

Comment ces affects sont-ils mis en relation

Sont-ils placés  sous le contrôle de la raison ?

.

Les découvertes en neurosciences l’expliquent.

L’on peut  passer d’une vision «achromatique

En noir et blanc  des processus dits cognitifs

À une représentation colorée, enluminée

Par des processus émotionnels divers.

Magazine Cerveau et Psycho

.

.

Fond

 

Évocation

.

.

Émotions peuvent êtres diverses

Et voire même  contradictoires :

Ce qui provoque, en nous, l’état

 D’interrogation, incertitude.

 .

Symbolique de fond

 .

L’incertitude, contraire de certitude,

Fait de ne pas être sûr de quelque chose.

.

1 – En  Sciences, et  surtout  en  métrologie,

L’incertitude désigne la marge d’«imprécision»

Sur valeurs de mesures de grandeur physique.

.

2- En psychologie, l’aversion à l’incertitude,

Forme d’aversion  au risque, est la crainte

Assez  répandue  qu’en  cas  d’incertitude

Situation pourtant générale dans la vie

Et dans la société et comme dans tout

Système dynamique, plus à perdre

Qu’à gagner, d’où les tentatives  

De  maintenir  le  statu  quo.

wikipedia.org/wiki/Incertitude

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

On ne peut vivre, en permanence, en incertitude :

La charge mentale serait trop lourde, déprimante

On risque de passer sans cesse du rire aux larmes

Ce qui causerait l’instabilité d’humeur ingérable !

.

Nous vivons souvent en une recherche d’équilibre

Que d’aucuns appelleront : sérénité, homéostasie.

Les émotions contradictoires sont plus fréquentes

Chez les jeunes enfants qui ne les contrôlent pas.

.

Chez l’adulte, passage rapide du rire aux pleurs

Sera un signe de forte instabilité  des humeurs.

Si l’on rit, ou pleure, tout le temps pour un rien

On n’est pas loin du burn out, voire dépression.

 .

.

Fauteuil pour deux ou deux pour un

.

Scénario

 .

J’ai le cœur à rire du plaisir de te retrouver,

puis j’ai l’esprit à pleurer d’avoir déjà à te quitter,

j’ai le cœur à rire, l’esprit à pleurer, tu me manques déjà.

 .

Visuels et  textuels >>

1072 – Onde de vie me parcourt de pulsations

Visuels et textuels  >>

.

Sommes fait molécules

Se rassemblant en cellules

Et en ondes   qui les agitent,

Lors, c’est moi, qui en profite.

Du plus micro    au plus macro.

.

Organisme vivant,  il en est ainsi

L’onde de vie me tient compagnie,

Jusqu’à, de ma mort, coup de faux.

L’onde qui nous vient du Big Bang

Nous y renvoie et par réflexions,

Suscite en nous la réflexion

Sur  la vraie origine

Du Monde !

.

Une onde de vie me parcourt de ses pulsations

Qui proviendraient d’une origine de notre monde.

Je suis un héritier d’un Big-Bang   et sans raison,

Lors mes molécules et mes particules, s’agitent.

Elles ne font que  se rassembler, à travers moi,

Et se complexifier en un petit cœur qui palpite,

Face au milieu, face  autres et à l’adversité.

.

Me voici au fait d’une  pyramide d’ondes,

Et à rechercher le pourquoi du comment.

Je suis l’animal, de cette unique  identité,

Et répliqué par un programme transmis,

Je disparais, mort ; sans  laisser de trace.

.

L’Humanité est  comme  un seul homme,

Qui, par fer et feu, aura conquis la Terre

Et se serait  promis d’explorer l’Univers,

Pour, si possible, y  rencontrer …Dieu.

Onde créée par   le Big-Bang, précède

Et suivra l’aventure Humaine, finie.

.

Ses pulsations en nous, résonnent,

Encore des matières  des galaxies,

Et nous sommes l’œil, et l’oreille,

Qui contemplons cette merveille

Comme une musique  d’images,

Que nos instruments entonnent

Jusqu’au   plus  haut  des  cieux.

.

Onde nous crée,  autre nous tue,

Elles font chauffer notre cerveau

Lors cancer, mutation génétique

Nous attendent : leurs tragiques

Conséquences  seraient  craintes,

Comme des châtiments d’un dieu.

.

Le plus rassurant, c’est, qu’en tout,

Y a autant de poésie que d’énergie

Et c’est ce qui me surprend le plus,

Dans onde, il y a  d’autres mondes.

Onde de vie, par  court de pulsations

Mon corps,  comme en tout  l’Univers

Microscope d’un monde… macroscope.

.

..

Extensions

 .

Je sens des pulsations

Comme autant de palpitations

De mon cœur qui varie en rythme

En fonction de mes émotions autant

Que de mes efforts et, qui parfois,

Conjuguées, s’affole et font

Augmenter mon stress et

Ma tension ou le contraire,

La font baisser au point que je

Me sens las, fatigué, vite déprimé.

.

Nous sommes tous composés d’ondes, d’atomes, molécules,

Et de croire qu’on est fait de tas d’autres choses serait ridicule

Ce n’est pas parce qu’on n’est pas conscient, qu’on ne les reçoit,

Ces ondes de vie, que l’on sentira, tantôt positives ou négatives.

Ceux qui sont hypersensibles sont considérés comme médiums

Capables de capter et de transmettre l’énergie à son optimum.

On y croit ou non n’y croit pas mais l’hypnose est l’acte en soi,

Qui démontre que par onde de voix ou peut prendre contrôle

Sur une autre conscience et la faire résonner dans le passé.

.

Nous serions, tous, remplis d’ondes,

Et traversés par de nombreuses autres

Hypersensibles en savent quelque chose

Qui, un usage du smartphone, ils n’osent.

.

Ondes mécaniques se propage en matière

Ondes électromécaniques en l’atmosphère,

Ondes cérébrales : alpha, béta, thêta, delta,

Régissent et notre activité et notre sommeil.

.

Pour nous débarrasser de toutes nos ondes

Il faudrait vivre dans une cage de Faraday,

Je vous y vois, vous, avec vos non, vos mais

De vous priver de toutes communications !

.

.

1072 – Calligramme

.

Sommes fait molécules

Se rassemblant en cellules

Et en ondes   qui les agitent,

Lors, c’est moi, qui en profite.

Du plus micro    au plus macro.

 Organisme vivant,   il en est ainsi

L’onde de vie me tient compagnie,

Jusqu’à, de ma mort, coup de faux.

L’onde qui nous vient du Big Bang

Nous y renvoie et par réflexions,

Suscite en nous la réflexion

Sur l’origine

 Du Monde !

Une onde  de vie  me   parcourt   de ses  pulsations

Qui proviendraient  O     d’une origine de notre monde.

Je suis un héritier     N   d’un Big-Bang   et sans raison,

Lors mes molécules    D       et mes particules, s’agitent.

Elles ne font que  se      E       rassembler, à travers moi,

Et se complexifier en     *       un petit cœur qui palpite,

Face au milieu, face        D           autres et à l’adversité.

Me voici au fait d’une       E           pyramide   d’ondes,

Et à rechercher le pour     *          quoi du comment.

Je suis l’animal, de cette   V         unique   identité,

Et répliqué par un prog     I       ramme transmis,

Je disparais, mort ; sans   E       laisser de trace.

L’Humanité est comme    *      un seul homme,

Qui par fer et feu  aura   M    conquis la Terre

Se serait  promis  d’ex  E     plorer l’Univers,

Pour, si possible,  y    *    rencontrer  Dieu !

Onde créée par       P le Big-Bang, précède

Et suivra l’aven    A   ture Humaine, finie,

Ses pulsations    R     en nous, résonnent,

Encore des ma  C      tières  des galaxies,

Et nous som    O    mes l’œil, et l’oreille,

Qui contem     U    plons cette merveille

Comme une    R     musique  d’images,

Que nos ins     T   truments entonnent

Jusqu’au plus   *        haut   des cieux !

Onde, nous       D          crée, autre tue,

Font chauffer    E           notre cerveau,

Cancer et muta   *          tion génétiques

Nous attendent   P     et leurs tragiques

Conséquences      U     seraient craintes,

Comme des châti  L     ments d’un dieu.

Le plus rassurant  S       c’est qu’en tout,

Y a autant de poé   A      sie que d’énergie

Et c’est ce qui me   T       surprend le plus,

Dans onde, il y a     I        d’autres mondes.

Onde de vie, par     O     court de pulsations

Mon corps,  com     N      me en tout Univers

Microscope  d’un     S      monde macroscope.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1072 4

.

Silhouette d’un humain,

Immobile et qui reçoit

Des ondes de vie 

Jusqu’à mort !

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

.

Ondes de vie proviennent de l’extérieur,

 Autant que d’intérieur,

Elles se rassemblent, se conjuguent ou non

En de vraies pulsations.

.

Symbolique

.

Les vibrations sont un tout dans l’univers,

Un monde de basse et haute fréquence,

Création de tout instant où se vit

La vérité toute nue ou l’illusion.

.

Chacun a accès à ces ondes de vie

Qui partent à chaque instant car elles

Sont créées par vos pensées, vos paroles,

Vos actions, chaque être est pourvu

De la toute-puissance de l’univers

Et doit aujourd’hui connaître

La portée de ses créations.

.

L’onde de vie est forte,

Elle est puissante, elle définit

La puissance des énergies afin que

Vienne la guérison en chacun de nous !

source : audeladesmots.org/?tag=londe-de-vie

.

.

Fond

Évocation 

.

1072 6

.

Ondes de vie proviennent de l’extérieur,

Autant que d’intérieur,

Elles se rassemblent, se conjuguent ou non

En pulsations de poésies.

.

Symbolique de fond

.

La poésie symbolique cherche à vêtir

L’idée d’une forme sensible qui, bien que n’étant pas

Son but premier, servirait autant à l’exprimer

Qu’à rester, plus ou moins, sujette à la forme.

.

Il faut faire preuve  d’une belle concentration

Pour comprendre les liens  avec le symbolisme

Parvenant à dépasser opposition entre réalisme,

Qui accordait toute son attention aux objets matériels,

Et idéalisme affirmant supériorité de formes abstraites

Et de la représentation mentale sur toutes les matières,

.

Et ceci à travers la notion même de correspondances

Faisant, trouvant lien entre monde des sensations

Et le monde des idées plus ou moins abstraites.

Manifeste du Symbolisme de Jean Moréas. 1886

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Des ondes de vie : qu’est-ce que cela ?

Viendraient-elles de nous, de l’univers

Sont-elles barrages aux ondes de mort

Certains  parlent  de pulsations de vie,

Comme si on était bouillant d’énergie.

Parait qu’écrire un poème, en fournit

J’aurais plus que tendance à  y croire

Pour avoir confirmé propre histoire !

 .

.

Tracé émotion poétique à l’état pur

.

Scénario

.

Pulsations d’une onde qui se propagent au raz de l’eau.

Pulsations d’un son qui se propagent dans l’air ambiant.

Pulsations de vie qui se propagent en mon corps … esprit. 

 .

Visuels et textuels  >>

1071 – Le rire en bouche avec larme à l’œil

Visuels et textuels  >>

.

Rire

 Reste

Sourire

Intérieur,

Lors pleurer

Sans      larmes,

Un visage  fermé

On pleure  de rire,

On rit  aux  larmes,

Lors  mot   d’esprit,

Surprend,  désarme,

Et ce  jusqu’à ce que

L’on se tord le corps

Suite à un…fou-rire

Com-mu-ni-ca-tif !

.

J’ai le rire …en bouche,

La larme à l’œil en fête,

Si ce n’est le…contraire,

Lors je suis en… douche,

N’ai rien  d’autre, à faire,

Que de me laver … la tête

De toutes pensées noires,

Qui me hantent des soirs,

Jettent en  vrai désespoir.

.

Quand je suis en errance,

Ou je suis  en  souffrance,

J’attends ma … délivrance

En sortant de ma coquille

Pour boire bonne humeur

Pour dissoudre  les peurs,

Quand verres s’enquillent

Avant affronter  le monde

Autour me perçant à jour.

.

Lors j’ai  le  rire  en  bouche

J’ai la larme  à l’œil, en fête,

Tant  mes succès  et défaites,

Croulent  sous pleine douche

Et  jusque  sous  mes aisselles

Comme  une eau  de vaisselle,

Savonné,  lavé,  frotté, purifié,

Je brille, comme un ostensoir !

.

Miasmes se seront tous fondus

Errance, souffrance… désespoir

Se sont évacués et ont disparu :

Leur délivrance m’a… régénéré,

Séché, pomponné et … parfumé,

Me voilà   un tout autre homme,

En mâle heureux… tout comme,

Qui ne demande qu’à… assouvir

Un irréductible désir de  séduire

Le miroir qui sert à… l’admirer !

.

.

Extensions

 .

J’ai le rire en bouche, la larme à l’œil,

Le nez en fête, je m’éclate ou je m’écarlate

Ou j’épate mon visage, en somme, ce dernier

Devient un livre ouvert sur mes états intérieurs

Que je ne pourrai masquer à personne, du moins

À ceux qui me connaissent et qui me fréquentent.

.

Cela rappelle la comédie tragique, tragi-comédie,

Cette manière de mélanger des actes et humeurs

Contraires dans un scénario au sein d’une scène

Afin de détendre  l’atmosphère, insoutenable

Lors d’un acte qu’on juge injuste ou cruel.

.

Cela rappelle le «rire jaune», expression

Pour une personne tentant de se forcer

À rire, afin de calmer sa colère ou ne

Veut pas montrer qu’elle est vexée.

.

C’est tout le contraire de « rire aux larmes ».

Les clowns sont les champions du «faire rire»

Les autres sont souvent tristes à l’intérieur

D’eux-mêmes : ceci compenserait cela !

.

Rire, pleurer en même temps, est-ce vraiment possible.

Oui si ce sont des larmes de joie qu’on ne pourrait retenir,

Non, si le rire et les larmes seront  des signes de sidération.

Joie et tristesse  peuvent se mélanger, comme se disjoindre :

Chez  les  enfants, on voit les deux, alternativement, poindre.

Certain que le fou rire n’est empreint d’aucune ambivalence,

Certain aussi qu’une larme  marquera un bonheur inespéré

En somme que l’extrême qu’on pourra décoder, évidence :

Pleurer de déception n’est pas rire de situation absurde.

.

Rire et pleurer, et à volonté, reste ce talent

D’acteur chevronné, habitué à faire passer

Une émotion sur son visage, authentique !

.

Enfants en bas âge, ont aussi cette faculté

Mais parce qu’ils ne maitrisent émotions,

C’est la manière d’attirer notre attention.

.

Il existe des visages,  inémotifs, placides,

Lors vous ne les verrez ni rire ni pleurer,

Ils sont autistes, insensibles, amorphes !

.

.

1071 – Calligramme

.

LE

Rire

 Reste

Sourire

Intérieur,

Lors pleurer

Sans      larmes,

Un visage  fermé

On pleure  de rire,

On rit  aux  larmes,

Lors  mot   d’esprit,

Surprend,  désarme,

Et ce  jusqu’à ce que

L’on se tord le corps

Suite à un…fou-rire

Com-mu-ni-ca-tif !

RIRE EN BOUCHE,

J’ai  le rire …  en bouche,

La larme, à l’œil en fête,

Si ce n’est le … contraire,

Lors je suis en… douche,

N’ai rien  d’autre, à faire,

Que de me laver … la tête

De toutes pensées noires,

Qui me hantent des soirs,

Jettent en  vrai désespoir,

Quand je suis en errance,

Ou je suis  en  souffrance,

J’attends ma … délivrance

En sortant de ma coquille

Pour boire bonne humeur

Pour dissoudre  les peurs,

Quand verres s’enquillent

Avant affronter  le monde

Autour me perçant à jour.

LA LARME À L’ŒIL !

Lors j’ai  le  rire  en  bouche

J’ai la larme  à l’œil, en fête,

Tant  mes succès  et défaites,

Croulent  sous pleine douche

Et  jusque  sous  mes aisselles

Comme  une eau  de vaisselle,

Savonné,  lavé,  frotté, purifié,

Je brille, comme un ostensoir !

Miasmes se seront tous fondus

Errance, souffrance… désespoir

Se sont évacués et ont disparu :

Leur délivrance m’a… régénéré,

Séché, pomponné et … parfumé,

Me voilà   un tout autre homme,

En mâle heureux… tout comme,

Qui ne demande qu’à… assouvir

Un irréductible désir de  séduire

Le miroir qui sert à… l’admirer !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1071 4

.

Une fusée peut-être

Mais, tout aussi bien,

Tube de rouge à lèvres

Accentuant  ses  sourires !

.

(forme pleine, rimes égales

le fond s’approche de forme)

.

Rouge à lèvres et sourire vont ensemble

mais rire et larme ne s’en approchent pas

on dira que les premiers sont des aides

et ainsi la forme évoquerait le fond.

.

Le rouge à lèvres aurait-il quelque chose

 À voir  avec notre … rire ?

Non, disons plutôt, avec notre sourire qu’il

Accentue ou qu’il dessert.

.

Symbolique 

.

Le rouge à lèvres rouge est

Le symbole de la séduction … absolue.

Le rouge à lèvres est sur toutes les bouches,

Dans tous les sacs, augmente notre estime de soi

Autant que sa séduction : des coulisses à la vie

Quotidienne, il est notre allié bonne mine,

«L’arme  absolue séduction de femme»,

Disait Coco Chanel, et un emblème

De  la  pure  beauté  féminine

Et depuis cinq mille ans.

madame.lefigaro.fr/ /le-lipstick-

rouge-symbole-de-seduction-absolue

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1071 6

.

Rouge à lèvres aurait-il quelque chose

 À voir  avec notre … rire ?

Non, disons plutôt, avec notre sourire qu’il

Accentue ou qu’il dessert.

.

Symbolique

 .

Le sourire est

Une expression du visage

Témoignant en général de la sympathie.

Le mot sourire est apparu  au Moyen Âge, issu du

Verbe latin sub-ridere  qui signifie prendre une expression

Rieuse, ironique, destiné à tromper, mais le sens se

Renforce comme positive, ce dès naissance,

Pour cela, il est considéré  comme inné

Et génétiquement déterminé.

fr.wikipedia.org/wiki/Sourire

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Le rire serait différent si les lèvres sont

Soulignées ou marquées par du rouge,

Ou du noir ou n’importe quelle couleur

Si  l’on voit, ou non, des dents blanches,

Si le sourire est pincé genre commercial

Avec la larme à l’œil, l’on est interloqué.

.

Messages contraires : durs à décoder :

Et si,  en général, il n’y a pas de larmes

Avec les sourires, il arrive que l’émotion

Déborde  sur un rire au bord des larmes.

La différence serait que de vraies larmes

Tendraient la peau du visage vers le bas,

Que le rire plisserait la peau  vers le haut.

 .

.

Entre le rire et le sourire

.

Scénario

.

Le rire franc, en bouche, se décode instantanément, universellement,

et la larme à l’œil, avec  un visage empreint de tristesse : tout autant,    

mais le rire en bouche et la larme à l’œil, est émotion plus complexe !

.

Visuels et textuels  >>

1070 – Belle vague d’émotions me soulève

Visuels et textuels  >>

.

Émotion est un des moteurs

De notre vie,  de notre énergie

Autant que raison, intelligence,

Il  ne  faut  pas  la sous-estimée

Et,   encore   moins,  l’étouffer,

Tant  elle  fait  de notre cœur

Notre  alliée  en  synergies :

Autant joie  et  souffrance

Accompagnent bonheur,

À tout instant du jour,

Que ce soit  d’amour

Ou de … langueur.

.

Belle vague d’émotions me soulève,

Mais je ne sais  jusqu’où  elle m’élève,

Tant elle investit tous   mes intérieurs

Et me rend la bouche et les yeux rieurs.

J’ai peine à jouir, de mon contentement,

Quand, son va-et-vient me bouscule tant,

Que je ne sais plus où je suis, où j’habite :

Je sens seulement qu’il peut retomber vite.

Ce n’est pas vraiment  ce que vous croyez !

.

Ne fais qu’écouter une rythmique branchée

Qui en un jeune temps m’aurait  bouleversé,

Amour sans doute, doux émoi d’un écervelé.

Emporté par une vague furieuse d’émotions,

Une nouvelle image me procure la sensation

D’être sur  un tapis d’Orient, un tapis volant,

Dont je  ne maitrise ni le sens ni le … temps.

.

Lorsque celui-ci  m’échappe, complétement,

J’ai l’impression qu’il boucle sur … l’instant,

Comme un réveil que l’on remonte et sonne,

Toujours à la même heure, qui vous résonne

D’histoires que vous êtes en train d’imaginer

Pour vous extraire de pesanteur du moment,

Car, en définitive, la vie réelle et la vie rêvée

Partagent votre être pour vous ré-enchanter.

.

Vague à l’âme, blues au cœur,  fleur  en nez,

Mon errance n’a d’égale que mon… aisance

À passer d’un monde à l’autre,  et  à volonté,

Sans que rien, personne, ne porte assistance.

Voilà bien mon secret, que je ne partage pas,

Aucune substance ne peut en  être…extradée

Pour faire commerce et pour en faire profiter

Ceux qui n’ont pas la chance  de savoir  voler.

.

Voler, au-dessus des pesanteurs de son corps,

Pour tenir aussi longtemps et  aussi… souvent

Qu’une imagination fertile lui permet d’autant

Qu’il ne s’ennuie, ne se dissocie et ne s’endort.

La meilleure stimulation que cerveau inocule,

Reste celle qu’il produit lui-même et à foison,

Quand émotions vagues  vagues d’émotions,

En  ses synapses, toutes chimies éjaculent.

.

.

Extensions

 .

Motion, émotion, émotionné… émotionnable :

On sent celle-ci monter, devenir irraisonnable.

Émotion et amour  peuvent être approchables,

Sans pour autant en sexe, être irréprochables.

Et il faut voir ce dont, l’émotion, rend capable,

Ce dont elle  nous rend innocent, ou coupable.

Lisant cela, aurez-vous une émotion agréable,

Ou vous direz-vous que c’est très désagréable.

.

La musique, le chant, la poésie seront autant

De stimulants puissants pour nous enfermer

Dans une bulle de sensations  et d’émotions

Qui nous transporte en extase, sentiments.

.

On dit parfois que l’émotion est palpable,

Qu’elle nous rendrait presque désirable,

On ne va pas épuiser les mots en  able :

On se contentera de rester … aimable.

.

Jouir de son corps n’est pas coupable

Il est aussi fait pour cela : admirable

Deviendra son pouvoir incomparable

De nous redonner goût à vie pensable.

.

.

1070 – Calligramme

.

Émotion est un des moteurs

De notre vie,  de notre énergie

Autant que raison, intelligence,

Il  ne  faut  pas  la sous-estimée

Et,   encore   moins,  l’étouffer,

Tant  elle  fait  de notre cœur

Notre  alliée  en  synergies :

Autant joie  et  souffrance

Accompagnent bonheur,

À tout instant du jour,

Que ce soit  d’amour

Ou de … langueur.

.

********************

***************************

.

Belle vague d’émotions me soulève,

Mais je ne sais  jusqu’où  elle m’élève,

Tant elle investit tous   V  mes intérieurs

Et me rend la bouche et  A  les yeux rieurs.

J’ai peine à jouir, de mon  G    contentement,

Quand, son va-et-vient me   U     bouscule tant,

Que je ne sais plus où je suis, E           où j’habite :

Je sens seulement qu’il peut   *          retomber vite.

Ce n’est pas vraiment  ce        D            que vous croyez !

Ne fais qu’écouter une      ‘              rythmique branchée

Qui en un jeune temps   É                   m’aurait   bouleversé,

Amour sans doute,      M                    doux émoi d’un écervelé.

Emporté par une    O                       vague furieuse, d’émotions,

Une nouvelle       T                          image me procure la sensation

D’être sur      I                             un tapis d’Orient, un tapis volant,

Dont je      O                                 ne maitrise ni le sens ni le … temps.

Lors       N                                que celui-ci m’échappe, complétement,

J’ai       S                                    l’impression qu’il boucle sur…l’instant,

Com    *                                    me un réveil que l’on remonte, et sonne,

Tou      M                                 jours à la même heure, qui vous résonne

D’his     E                               toires que vous êtes en train  d’imaginer

Pour        *                             vous extraire de pesanteur du moment,

Car en       S                              définitive, la vie réelle et la vie rêvée

Partagent       O                         votre être pour vous ré-enchanter.

Vague à l’âme,     U                           blues au cœur,  fleur en nez,

Mon errance n’a         L                      d’égale que mon…aisance

À passer d’un monde      È                     à l’autre,  et à volonté,

Sans que rien, personne,      V                 ne porte assistance.

Voilà bien mon secret, que       E              je ne partage pas,

Aucune substance ne peut en       *             être…extradée

Pour faire commerce et pour en   M           faire profiter

Ceux qui n’ont pas la chance de      ‘          savoir voler.

Voler, au-dessus des pesanteurs É        de son corps,

Pour tenir aussi longtemps et   L      aussi… souvent

Qu’une imagination fertile   È  lui permet d’autant

Qu’il ne s’ennuie, ne se      V   dissocie, ne s’endort.

La meilleure stimulation E    que cerveau inocule,

Reste celle qu’il produit   *  lui-même et à foison,

Quand émotions vagues   *     vagues d’émotions,

En  ses synapses, toutes     *    chimies éjaculent.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1070 4

.

Verre posé sur tonneau

Pour goûter le contenu 

Avec grande émotion

Ou bien le recracher !

(forme creuse, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

Vin va avec verre, bouteille et tonneau,

mais pour ce qui est des émotions : non

à moins de « rire comme un tonneau »

de ce fait la forme divergera du fond.

.

Un  tonneau  de  quelque  chose,

Pourquoi pas d’émotions 

Bien plus que liquides, s’agit plutôt

D’images et de sons.

.

Symbolique 

 .

Le tonneau est un grand récipient de bois,

Destiné à conserver des liquides.

Il symbolise la conservation et l’abondance.

.

Dans la mythologie grecque,

Il est associé aux Danaïdes : selon le mythe,

Elles se marièrent le même jour

Avec cinquante autres, lors le soir des noces

Elles assassinèrent leurs maris,

À l’exception d’un seul  qui en fut  le rescapé.

.

Aussi, elles furent condamnées

Par Juges des Morts à remplir éternellement

Des grands tonneaux percés.

Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-tonneau

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1070 6

.

Un  tonneau  de  quelque  chose,

Pourquoi pas d’émotions :

Bien plus que liquides, s’agit plutôt

D’images et de sons.

 .

Symbolique 

.

Il existe une théorie des

«Six émotions de base :

Joie,  Tristesse,  Surprise,

Peur, et Colère,  et Dégoût.

Émotions  dites secondaires,

Comme nostalgie en exemple,

Sont comme  mélanges  de ces

Émotions  considérées de base.

Appelées, également,  émotions

Mixtes au lieu de  secondaires.

D’après Paul Ekman,la honte

Est émotion mixte à la base

Mélange de peur et colère

Et retournée contre soi.

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Remplir le tonneau de la Commission Européenne

Serait vu, par certains, comme celui des Danaïdes.

On donne, on donne  et  on n’en recevra jamais rien.

Vrai ou faux, qu’importe ça provoque vague émotion

Pour un oui, pour un non, ça peut changer l’humeur.

Les nerfs à fleur de peau ou les émotions, du visage :

Quand le tonneau ou le verre est plein, qu’il déborde,

Il faut s’arrêter : un moment de calme, on s’accorde.

Quand toutes  sont, positives, excitantes, exaltantes,

On continue jusqu’à plus soif, jusqu’à l’orée du jour.

Ce n’est donc pas le problème  d’en être submergée,

Que de s’y noyer sans pouvoir respirer qui compte.

 .

.

Vague d’émotions fortes

.

Scénario

.

Une vague d’émotions déclenche une spirale d’éléments chimiques,

 qui se propage, en un corps, avec un grand flot d’ondes circulaires,

à en atteindre hauteurs, saturations, pratiquement insoutenables.

 .

.

Visuels et textuels  >>

1069 – D’un flot d’images, ou de chants !

Visuels et textuels  >>

.

Un concert, rock, folk, métal,

Ou tout autre style musical,

Est fait par se laisser aller,

Dans un délire à déchirer.

On chante, on saute,   on

S’électrise,   se balance,

Vibrations d’évidence,

Produisent émotions

Où c’est  mon corps

Qui s’en … délecte,

C’est mon esprit,

Qui s’en réjouit.

 .

Par   flux  d’images,  par   flot  de chants,

Remontent de forts courants de sensations

Qu’éprouvent  les foules  des passants

En autant de canaux  d’irrigations.

.

Les imagine comme un pré, herbes

Qui penchent, se plient, se ploient,

Dans un champ de blé  qui verdoie

Sous l’effet des vents  très acerbes.

Sons ondoyants ou sons chatoyants

Un concert de forts décibels, arrose,

Leurs oreilles  et  leurs cils vibratiles

En les rendant,  plus légers, volatiles,

Ils  provoquent, en eux, comme chant

Issu  d’autres  herbes bleues, ou roses.

Lors, je flotte sur le champ  des choses,

Comme si j’étais sans corps, sans pose.

.

Et en lévitation mon fantôme  dispose,

Des nouvelles libertés de mouvements

Pour me conduire jusqu’au firmament

Où, tout homme aime être, en planant.

Le concert s’achève gens se dispersent,

Et je reprends mes esprits, mon corps,

Je suis seul, sur sol, détrempé de pluie,

Des notes de silences tomberont encore

Lors une larme dans mes yeux,  j’essuie,

Qui, en hallucinations  les  transpercent.

.

L’on me dit arrête de  fumer la moquette

Bien que n’aurais pris qu’ima-gi-na-tions

Qui aura nourri mon cerveau, d’émotions

Et suffisantes, seules,  à me mettre à fête.

Je me souviens, des  parfums  des voisins

Senteurs des foins, de roses, de  benjoins,

Leurs mouvements, avec les bras ballants,

Qui rythmaient flots   d’ondes émouvants.

À chaque concert, cette image, me revient,

Comme bouffées d’herbes,  hallucinogènes,

Mon cerveau produirait   sa propre drogue,

Si la musique entretient   avec un dialogue.

.

.

Extensions

 .

D’un flot d’images ou de chants,

On s’en servira comme d’une amorce

Pour gamberger hors des sentiers battus

Et mélanger nos souvenirs réels à de

Nouveaux produits ou inconnus !

Le tohu-bohu de telles images

Enivre, lors, pour un temps,

Mon cerveau et jusqu’à  ce

Que la fatigue l’endorme.

.

En symbolique,

La fleur à un langage.

Coquelicot est : belle fleur,

En robe, d’un  rouge  éclatant,

Et pétales doux comme de la soie,

Il est aussi  appelé : pavot sauvage !

Peut avoir  significations  distinctes :

D’une part, il est le symbole du repos,

De la quiétude ou de la consolation,

D’autre part de beauté éphémère.

.

On vous parlera à raison ou à tort,

De transes musicales

Qui vous emporteront extra dehors,

En nombre festivals !

.

Point besoin de drogues, d’excitants,

La musique… suffira

À galvaniser le cerveau, en le sonnant

 À fond, il ressentira !

.

Sur la vidéo qui vous filmait aux pas

On ne vous reconnaitra

Et vous-même en demeurerez baba

De cet énergumène … là !

.

.

1069 – Calligramme   

.

Un concert, rock, folk, métal,

Ou tout autre style musical,

Est fait par se laisser aller,

Dans un délire à déchirer.

On chante, on saute,   on

S’électrise,   se balance,

Vibrations d’évidence,

Produisent émotions

Où c’est  mon corps

Qui s’en … délecte,

C’est mon esprit,

Qui s’en réjouit.

Par   flux  d’images,       par    flot    de   chants,

Remontent   de  forts   courants   de sensations

Qu’éprouvent  les    F    foules  des passants

En autant de can    L      aux  d’irrigations.

Les imagine com   U       me un pré herbes

Qui penchent, se    X       plient, se ploient,

Dans un champ       *     de blé  qui verdoie

Sous l’effet  des      D    vents  très acerbes.

Sons ondoyants      ‘      ou sons chatoyants

Un concert, forts     I         décibels,  arrose,

Leurs oreilles et     M     leurs cils vibratiles

En les rendant,      A   plus légers, volatiles,

Ils  provoquent      G  en eux comme chant

Issu d’autres her    E   bes bleues, ou roses.

Lors, je flotte sur    S    champs  des choses,

Comme si j’étais,     *    sans corps, ni pose !

En lévitation mon   E     fantôme    dispose,

Des nouvelles liber  T    tés de mouvements

Pour me conduire    *   jusqu’au firmament

Où tout homme ai   F  me être, en planant.

Le concert s’achève  L    gens se dispersent,

Et je reprends mes   O   esprits, mon corps,

Je suis seul, sur sol   T    détrempé de pluie,

Des notes silences,    *      tomberont encore

Lors une larme de     D    mes yeux, j’essuie,

Qui, hallucinations    E     les   transpercent.

On me dit arrête de   *   fumer la moquette

Bien que n’ai  pris     C   qu’ima-gi-na-tions

Qui a   nourri  mon   H  cerveau, d’émotion

Suffisantes, seules,    A  à me mettre à fête.

Je me souviens, des   N parfums des voisins

Senteurs des foins      T   de roses, benjoins,

Leurs mouvements    S      des bras ballants

Qui rythmaient flot    *   d’ondes émouvant.

À chaque concert, cette image, me  revient,

Comme bouffées d’herbes,  hallucinogènes,

Mon cerveau produirait   sa propre drogue,

Si la musique entretient   avec un dialogue.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1069 4

.

Une silhouette humaine

Ou voire  un pot  posé

Sur beau piédestal 

De fleurs, c’est sûr?

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Un piédestal peut supporter nombre

D’objets de valeur diverses :

Un simple pot tout aussi bien qu’un

Vase de Chine d’époque Ming !

 .

Symbolique 

 .

Piédestal 

Support assez élevé,

Où l’on place un objet décoratif.

Support sur lequel repose une sculpture,

Mettre quelqu’un sur un piédestal :

Lui vouer une grande admiration.

.

Tomber de son piédestal : perdre tout prestige.

Dans les régions Han de la Chine,

Les piédestaux, posés plein air, sont très variés.

.

Les stèles reposent souvent sur un

Piédestal de pierre parfois en forme de tortue,

Symbole de longévité nommée Bix.

Source : dictionnaire.sensagent.

leparisien.fr/PIEDESTAL

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1069 6

.

Un piédestal peut supporter nombre

D’objets de valeur diverses :

Un simple pot tout aussi bien qu’un

Vase de Chine d’époque Ming !

 .

Symbolique

.

Les architectes de l’époque

La Renaissance, d’abord

Italienne, puis française

Et  ensuite,  européenne,

Considéraient piédestal

Faisait  partie  intégrante

Des ordres  d’architecture.

Imposent, progressivement,

Sorte de canon … esthétique,

Régentant  les proportions de

Ces  ordres,  comme   pour  les

Corniches  nombre  piédestaux,

Formant  des  seuils  de  fenêtres

Balustrades galeries, ou statues !

wikipedia.org/wiki/Piédestal

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

Piédestal pour mettre en hauteur

Pour en prendre, ou pour donner,

Certains s’y mettent  d’eux-mêmes,

Tellement imbus  de leur personne,

Quand ils profèreront leurs vérités,

Qui n’en sont pas,   qu’on leur prête,

Comme  des caisses de résonnances,

Et puis soudain, déboulonnés, jetés !

Mieux vaut rester les pieds sur terre,

Car plus le piédestal est haut et large

Plus dure sera la chute de son image

Et plus fort sera son chant funèbre !

 .

.

Flot d’images ballon gonflé

.

Scénario

.

Une image d’un grand champ tout  couvert par coquelicots,

dont trois, lors s’approchant,  attirent bien notre attention,

jusqu’à celle-ci, nous susurre, et à l’œil, son propre chant !

 .

Visuels et textuels  >>

1068- Le rire est-il propre à l’homme ?

Visuels et textuels >>

.

Rire est un poème

Faisant bien extrême

Détend corps  et  esprit,

Toujours  autant  de  pris !

.

C’est  le  propre  de l’homme,

Bien que … des animaux rient,

Aussi mais pas de même façon

Surtout  pas  de vous, de tout.

.

L’humour est

Le cousin du rire,

L’amour est le

Cousin du sourire.

.

Faut savoir les deux entretenir

Ça  donne  l’air   de   voir   venir,

Le rire est-il  propre  à  l’homme :

.

Rions  ensemble, alors … en somme

Pour que le monde, et  par contagion,

Soit verre davantage  plein d’émotions.

.

On dit : «vogue la vie et vogue la galère»,

Quand la roue tourne et l’on erre sur Terre,

Car de rire ne pourra que vous faire du bien

Vous ne serez pas mort au moins pour rien.

.

Le rire n’est que pur mécanisme conscient,

Mais qui peut se déclencher inopinément,

Il est, rien  qu’à lui seul : vraie thérapie,

Car l’on envie  celui qui, toujours, rit.

.

Il permet  de devenir, ou de rester,

De bonne humeur, genre farceur,

Tout semble plus léger… éthéré,

Si l’on secrète intime bonheur.

.

Et … si le sourire  est  son  frère,

L’humour est son proche cousin

On peut rire de tout, de rien

Mais cela ne modifierait,

Que peu, l’univers.

.

.

Extension

.

Le rire est-il propre à l’homme :

Non, bien sûr, les singes rient

Parait que les chevaux aussi.

.

Mais l’homme est le seul à rire

De lui-même et cette autodérision

Lui donne de la distance et modestie.

.

Pourquoi riez-vous : j’ai dit quelque chose

De drôle  ou de  déplacé ! Non, pas du tout,

Je me suis juste  projeter  dans  la  situation

À laquelle  vous faites  référence  et  cela m’a

Fait penser  à autre chose, en ma propre vie.

.

Nous rions tous mais pas des mêmes choses

Pas avec les mêmes gens ni tout le monde.

Certaines choses, dont on se rit, peuvent

Provoquer surprise, incompréhension,

De l’indifférence ou contraire, colère.

.

Rions un peu, ce n’est qu’un jeu ;

Rions beaucoup si cela vaut coup ;

Rions de trop, déclenchera fou rire.

.

Entre rire et sourire, montrer les dents, découvrir ses dents.

Premier rapprochement, en la nuance ;  second, contredanse :

Le singe ici vous sourit-il, ou contraire, de vous, se moquerait-il !

Que penser d’un rire, ou d’un sourire, imperceptibles, intériorisés !

Quatre filles peuvent faire un sourire spontané ou quelque peu forcé,

Sachant que la prise de photos ou selfies entraine un automatisme.

Il fut un temps en peinture religieuse, où le sourire était proscrit,

Signe de vulgarité mais, depuis, la Joconde est passée par là !

De toute façon, ce que j’en dis, vous avez le droit d’en rire.

.

Il y a rire et rire, dès lors, celui de l’homme

Ne ressemblera guère aux mimiques du singe :

Même expression, peut-être, pas même intention !

.

L’on peut rire de choses qui ne feront rire personne,

Réciproquement, ne pas trouver drôle la plaisanterie.

.

Faire rire une salle, une foule, auditoire quelconque,

Exigera un certain talent et voire un talent certain.

.

Quant à rire pour se moquer … certains le feront

Gentiment, charrier ; méchamment, abaisser.

.

.

Épilogue

.

Vous allez rire,  du moins sourire

En consultant Google, ai trouvé

Pas moins de trois doctorats

 Sur le rire,  avec 500 pages.

***

Non mais sérieux, par qui

Par un anthropologue,

Par un  sémiologue,

Par un sociologue

Ajouter Bergson,

 Le… philosophe.

***

À  côté  d’eux,

Je fais pâle figure,

Y a pas de quoi en rire

C’en est presque à pleurer

Je vais me retenir et continuer

De rire … recul, humour, de moi.

***

Après tout, je suis bien un homme…

Et même si je ne ris pas, tout comme

Il le faut pour me détendre, ma santé,

L’autodérision m’évite trop de sérieux.

***

Il y aura des gens dont c’est le métier

Faire rire  les  autres : les humoristes !

Je leur tire mon chapeau : pas simple :

Lors ça tombe à plat, je ne vous dis pas.

.

.

1068 – Calligramme

.

Rire est un poème

Faisant bien extrême

Détend corps et esprit :

 Toujours  autant  de  pris !

.

C’est  le  propre  de l’homme,

Bien que … des animaux rient,

Aussi mais pas de même façon

Surtout pas de vous, de tout.

.

L’humour est

Le cousin du rire,

L’amour, le

Cousin du sourire.

LE VRAI

Faut savoir les deux entretenir

Ça  donne  l’air   de   voir   venir,

Le rire est-il  propre  à  l’homme :

Rions  ensemble, alors … en somme

Pour que le monde, et par contagion,

Soit verre davantage plein d’émotions.

RIRE

On dit : «vogue la vie et vogue la galère»,

Quand la roue tourne et l’on erre sur Terre,

Car de rire ne pourra que vous faire du bien

Vous ne serez pas mort au moins pour rien.

SERAIT-IL

Le rire n’est que pur mécanisme conscient,

Mais qui peut se déclencher inopinément,

Il est, rien  qu’à lui seul : vraie thérapie,

Car l’on envie  celui qui, toujours, rit.

PROPRE

Il permet  de devenir, ou de rester,

De bonne humeur, genre farceur,

Tout semble plus léger… éthéré,

Si l’on secrète intime bonheur.

À L’HOMME ? 

Et … si le sourire  est son frère,

L’humour devient proche cousin

Si l’on peut rire, de tout, et de rien,

Cela ne modifiera,

Que peu, l’univers.

.

.

Forme

 Réduction

.

Évocation 

.

1068 4

.

 Une quille de bowling,

 Probablement oui mais

Version personnalisée

Et pleine d’humour !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

La quille et le rire ont peu de points

communs ensemble, à moins de la

prendre mais bien  au sens figuré,

si bien que forme diverge du fond.

.

Quille blanche animalisée

Puis personnalisée, avec air enjoué.

Elle possède ainsi un capital

De dérision, et à nulle autre pareil !

  .

Symbolique 

 .

« Une quille dans un jeu de chiens »

L’expression a surgi, subitement,

Sans même sonner à ma porte.

Elle m’a bien plu tout de suite.

Inverser une expression connue

Et parlante, en une autre, inconnue

Ça parle ? Ça évoque ! Voyez, la meute

De clébards, bave aux lèvres, crocs enragés,

Qui se ruent sur des pauvres quilles terrorisée,

Figée dans sa stupeur et son absence de pattes ?

Modifié, source : commeunequille.fr

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1068 6

.

Quille blanche animalisée

Puis personnalisée, avec air enjoué.

Elle possède ainsi un capital

De dérision, et à nulle autre pareil.

 .

Symbolique 

 .

Moquerie dédaigneuse, raillerie

Mêlées  de  mépris, de  sarcasme :

Avances accueillies  avec dérision.

Comme synonymes : dédain – ironie

Mépris, réprobation – risée, plaisanterie

Antonymes: déférence, respect, sérieux

Ce qui est dérisoire, insignifiant :

C’est une dérision que de vouloir

Faire cela avec si peu de moyens.

larousse.fr/dictionnaires/francais/dérision/24015

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’expression : jeune chien dans un jeu de quille

C’est à peu près l’impression que donne le rire

Sans moindre effet de panique, voire terreur,

 Juste comme ça, pour rire, de n’importe quoi,

Encore que, pas de tout, avec n’importe qui.

Toutefois, avant de rire de tout, et de tous,

Il faut commencer par rire de soi-même,

L’auto dérision vous protège d’un «égo»

Qui juge les autres et se met au-dessus.

 .

.

Entre rire et sourire, bien des nuances

.

Scénario

.

  Peut-on trouver des similitudes entre rire franc de l’humain,

 et celui, difficile à interpréter, d’un singe qui vous regarde, ébahi,

pour nous, tel rapprochement nous semble étrange, pas étranger !

 .

Visuels et textuels >>

700 – L’envol d’essai des amoureux

Visuels et textuels >>

.

Envol d’amoureux,

N’est pas oisillons

Sortants des nids

Plutôt  des couples,

Se croyant au paradis

Dans leur bulle, à deux.

.

S’il est vrai que la femme,

Virevolte autour  de l’homme

La faisant tourner autour de lui,

S’il  la lâche, elle ne s’envole pas,

Confiance règne à cent pour cent.

.

Sa légèreté d’esprit  la fait voler

Tant l’envol  d’essai amoureux

Sera fait de pleins et de creux,

Certains le trouveront  joyeux,

Lors autres  des plus ennuyeux,

Mais tournez manèges d’enfance.

.

Danse amant devient une romance

Contact avec sol, moindre évidence

Ronde donnera tournis de la chance.

Pour vrai l’envol d’essai des amoureux

Est fait d’autant de pleins que de creux.

.

Il y a certains qui les trouveront joyeux

Tandis qu’autres des plus ennuyeux !

S’allier pour faire la chose ensemble

Voilà qui fixe parcours, me semble,

D’amoureux qui veulent la route,

Afin de s’extraire de leurs doutes,

Sur  leurs  prétendues  intentions.

.

Mais il faudra faire   très attention

Car la voie est très   dure, et instable

En dépit de moments   forts agréables

Qui nous rapprochent, nous ressoudent,

Lien est rompu dès que l’un d’eux boude.

.

Car ce n’est plus l’autre que l’on aperçoit,

Mais, son image, enfin §celle qu’on croit,

Comme en miroir l’un l’autre  se voient,

Le moindre flou  ou  la moindre ombre

Qui viendront ternir visages sombres.

.

Tel est l’effet de vraie cristallisation

Qui, d’une branche, jetée sur le sel,

Rassemblera tant d’éclats sur elle,

Au point de masquer toute vision

Voler, survoler  puis de convoler

En juste noce  ou  en juste ciel,

S’apparente à la lune de miel,

Forçant à s’aimer ou tomber.

.

.

Extensions

 .

Les accouplements de nos jours

Se concluront bien avant le mariage

Qui devient ni plus ni moins que chambre

D’enregistrement de fait accompli en filigrane,

Pour le tempérer  face ombre  d’un divorce à la clé.

.

L’envol d’essai des amoureux est ce qu’il y a

De plus beau et de plus léger.

.

Aucune contrainte, astreinte, plainte :

On se construit, on se consomme,  se détruit

Mais au final, ou bien c’est non ou bien c’est oui.

.

Quand l’essai dure trop longtemps, il se fige

Dans le temps et son indécision finit

Par ronger le couple qui se délite

À petit feu, un feu qui dévore

Leurs ailes, lors pour finir,

Leur chute n’en sera que

Plus brutale, cruelle.

.

L’envol est comme un jeu, un jeu d’envol d’un couple d’amoureux,

Se tenant et se tirant par leurs mains pour se prendre un bain

Emporté  par un élan de liberté, l’homme a pris les devants,

Il trouve la force d’élever, en ses bras, le fruit de son désir.

Après s’être rassasiés aux profondeurs de bain envoûtant

Ils se reposent en contemplant,  ensemble… loin devant.

Peut-être projetaient-ils, déjà, leurs débuts d’aventures

Ainsi débute parfois un couple, accord pour se baigner

Et le reste suivra, comme couple d’oiseux, en plein vol !

.

Toute rencontre qui débouche sur un essai

De vie commune est comme un nouvel envol,

Pour voir si voler de concert conduirait un jour

Jusqu’à convoler en justes noces selon expression

.

En réalité le contrat peut être remplacé par un Pacs

Qui retardera d’autant le mariage officiel, sécurisant

Le couple dans une atmosphère de liberté réciproque :

Ce n’est pas leurre, c’est jusque que ce n’est pas l’heure !

.

.

Épilogue

.

Des amoureux, envol d’essai

Aurait été, des fois, comparé

Aux vols oiseaux migrateurs,

Les plus jeunes, en amateurs.

Désirer de…s’envoyer en l’air,

Ne suffirait  pour bien le faire,

C’est un voyage  au long cours,

Avec ses bagages assez lourds.

***

Et qui comprendra au moins

Trois organes biens charnels,

Le sexe, le corps, et  le cœur :

Plus  esprit, âme : spirituels.

***

Sentiment légèreté, liberté :

Être comme  plume au vent,

Être en fusion  deux amants,

En direction : bien  accordés,

***

Évitant de tomber en virevoltant

Rendus feuilles,  en se détachant,

En se séparant  et en s’éparpillant,

Jusqu’à toucher le sol, en mourant.

***

Cet envol  d’amoureux,  peut  autant

Se faire, sur le sol, ou  dans  les eaux,

En pratiquant un fort rapprochement,

Reliant bien tous éléments fort chauds.

***

Mais, en disant cela, et  en y croyant fort,

Je m’envole presque  et  par anticipation,

Le pouvoir des mots à terre, en élévation,

Me met en états d’amoureux transports !

.

.

700 – Calligramme   

 .

Envol d’amoureux,

N’est pas     *     oisillons

Sortants          P        des nids

Plutôt  des          R           couples,

Se croyant au        E               paradis

Dans leur bulle       M                 à deux

S’il est vrai que         I               la femme,

Virevolte autour        E             de l’homme

La faisant tourner      R           autour de lui,

S’il la lâche, elle           *          ne s’envole pas,

Confiance règne         *           à cent pour cent

.

Sa légèreté d’es   *        *     prit  la fait voler.

Car l’envol     E               D   d’essai amoureux

Sera fait de   N                  E   pleins et de creux,

Certains le    V                     S   trouveront joyeux,

Lors autres    O                     *    des plus ennuyeux.

Mais tournez  L                     A   manèges d’enfance.

Danse amant    *                    M devient une romance

Contact avec le  D                 O sol, moindre évidence

Ronde donnera   ‘                 U  tournis de la chance.

Pour vrai l’envol  E             R d’essai des amoureux

Sera fait d’autant S           E   pleins que de creux.

Il y a certains qui  S        U les trouveront joyeux

Tandis qu’autres    A     X   des plus ennuyeux !

S’allier pour faire   I    *    la chose ensemble

Voilà qui fixe par     *   cours, me semble,

D’amoureux qui    *   veulent la route,

Afin de s’extraire *  de leurs doutes,

Sur  leurs  prétendues   intentions.

.

Mais il faudra faire   très attention

Car la voie est très   dure, et instable

En dépit de moments   forts agréables

Qui nous rapprochent, nous ressoudent,

Lien est rompu dès que l’un d’eux boude.

Car ce n’est plus l’autre  que l’on aperçoit,

Mais, son image, enfin … celle qu’on croit,

Comme en miroir l’un …… l’autre se voient,

Le moindre flou ou la ………. moindre ombre

 Qui viendront ternir ………… visages sombres.

Tel est l’effet de …………………… cristallisation

Qui d’une branche ……………… jetée sur le sel.

Rassemble tant …………………. d’éclats sur elle

Au point de mas ………………. quer toute vision

Voler, survoler …………………..puis de convoler

En juste noce ……………………. ou  en juste ciel,

S’apparente à …………………….. la lune de miel,

Forçant à s’ai …………………….. mer ou tomber.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

700 4

.

Les silhouettes d’un couple

De deux jeunes amoureux 

Tout  proche  de  leur  envol,

Comme oiseaux migrateurs

.

Un envol vers un lieu commun

deux oiseaux migrants du nid

familial  est devenu un cliché,

aussi la forme épouse le fond.

.

Quand on dit qu’amoureux

S’en vont dans un même envol.

Comme des oiseaux migrateurs,

C’est qu’ils seront bien ailleurs.

.

Symbolique 

 .

Le fait de s’envoler

Et de se retrouver dans les airs

Est symbole de légèreté pouvant être

Un élément positif, ou, tout au contraire,

Manque complet de sens des responsabilités !

.

Le fait de voler apporte un sentiment de liberté.

C’est une libération face aux contraintes

De la matière et du sol.

.

Tel un oiseau on se déplace

Avec aisance et facilité dans les airs,

Sans avoir à parcourir à pieds les distances:

C’est le besoin de se sentir libre de ses mouvements.

Source : elle.fr/Love-Sexe/Psycho/Interpretation-des-reves

.

Descriptif

 .

700- Premier envol d’essai des amoureux    

  Alignement central  /   Titre analogue  /  Thème  couple

Forme  anthropo  /  Rimes égales   / Fond accordé à forme

Symbole de forme : envol  /  Symbole de fond : migration

.

Fond

 .

Évocation

.

700 6

.

Quand on dit qu’amoureux

S’en vont en un même envol.

Comme oiseaux migrateurs,

C’est qu’ils seront bien ailleurs.

.

Symbolique 

 .

Il y a bien longtemps, dans l’Antiquité,

Interpréter signes visibles de tout le monde

Et portés par des êtres  ou  des choses évoluant

Dans l’environnement des humains (oiseaux, etc.)

Ou décoder le contenu des entrailles d’un animal,

Faisait partie des croyances, fortement ancrées,

Et les oracles  étaient  très écoutés : ainsi le vol

Ou  chant  des oiseaux, étaient  des  présages

Indiquant un avenir noir ou avenir  rose !

.

Considérés comme des envoyés de dieux,

Les oiseaux ne peuvent se tromper :

Selon qu’ils volaient de la gauche

Vers la  droite  ou  de la droite

Vers la gauche, le message

Véhiculé était de bon ou

De mauvais augure.

hubertreeves.info/chroniques/

pdf_jdm/20091011.pdf

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Que des oiseaux s’envolent dans l’air

Et qu’ils soient synonymes de libertés,

Quoi de plus normal et de plus animal :

Le fait de migrer milliers de kilomètres

Reste déjà beaucoup  plus surprenant,

Et qu’ils restent ensemble vie entière,

Des plus étonnants, plus touchants.

.

.

Les amoureux, Man Ray (1967)

.

Scénario

.

Viens, suis-moi, on va aller se baigner,

mais j’ai pas demandé de me jeter à l’eau comme ça,

puis on est revenu là, le soir, pour contempler cet endroit où…

 .

Visuels et textuels >>

699 – Cheveux longs, épais, en bataille

Visuels et textuels  >>

.

Il est

Vrai que les

Cheveux de femmes

Ont, de tous temps, été

Un important  attribut

Pour leur séduction,

Et  encore plus,

S’ils  sont  longs,

Épais, et   bouclés,

Tombent en bataille.

.

Cent façons de les coiffer

Et une seule de les décoiffer,

En les secouant, nonchalamment,

Tout en tournant la tête innocemment.

.

Tandis que ses pieds,  aux chevilles fines,

Habillés, en leurs écrins,  la rendent divine,

En marquant sa silhouette lors elle chemine

En courbes et en rondeurs que l’on devine.

.

Ses cheveux, longs, épais … en bataille,

Flottent sur  ses épaules  et entourent

Un visage auquel amour  en canaille,

Prête ses expressions au grand jour.

.

À l’opposé, petits pieds, en souliers,

Danseront un tango, une farandole

D’un pas qui vous mène en amitié

De beaux partenaires, s’y collent.

.

Entre les deux : bosses  et creux

Affirment  ses rondeurs, un peu,

Assez pour attirer les amoureux

Par démarche, allure,  par jeux.

.

Nulle parure, nul habit flatteur,

Elle se pare de sa seule humeur,

Partagée  par ceux dont le cœur

Est à nu pour délivrer les peurs.

.

Ces mots, pour  la  peinturlurer

Comme un bel idiot  que  je suis,

Aurai-je le  S droit de  les dessiner

Sur ce beau corps qui m’a  séduit.

.

Tandis  que  ses  beaux pieds,

Avec ses chevilles, fort fines,

Habillés dans leurs écrins,

La rendent  très  divine,

Marque  sa silhouette

Lors  elle chemine :

Courbes rondeurs

Que l’on devine.

.

.

Extensions

 

Une chevelure au vent

Laisse flotter derrière elle

Un parfum de femme   qui

N’est pas seulement olfactif

Ou visuel mais autant sensuel

Par ses mouvements incessants.

.

Drapeau flottant avec mêmes effets

Ne produira pas les mêmes réactions.

En outre, une chevelure soutient l’allure

En se déplaçant dans son environnement.

On aimera à découvrir le visage qu’il cache

Quand on la voit de dos, là, parfois surprise :

Une femme ayant une cinquantaine d’année !

.

Preuve que chevelure marqueur de séduction :

Quelle dépense, soins mensuels pour se coiffer !

De plus en plus, en vieillissant, en s’enrichissant

Mais c’est à leur honneur car, par ce fait même,

Elles demeurent belles ainsi  plus longtemps  et

Se plaisent autant à eux-mêmes qu’aux autres.

.

La chevelure fait partie de son allure

Et ce d’autant qu’elle flottera au vent

Et en nudité sa seule, unique, parure,

Protégeant, sa pudeur, son sentiment.

En la coupant elle se veut une révoltée,

De se soumettre aux canons de beauté,

Pour  affirmer  une autre, intériorisée :

Nombre hommes aiment les chevelures

Pour leurs effets de charme, émouvant !

.

La longue chevelure de la femme,

Constitue un attrait pour hommes

Qui les confortera en leur féminité,

En éclairant un visage accueillant !

.

Libre et sauvage plus que disciplinée

Ou naturelle plus que mise en forme,

Elle tend à devenir signe ostentatoire

D’émancipation et du désir de plaire.

.

La chevelure brune, blonde ou rousse,

Qui descend jusqu’aux bas des reins,

Deviendrait proche de soumission

Sinon voire de pleine licence.

.

699 – Calligramme    

.

Il est

Vrai que les

Cheveux femmes

Ont de tous temps été

Un principal    attribut

Pour            séductions,

Et        encore       plus,

S’ils       sont     longs,

Épais, et    bouclés,

Tombent en bataille.

.

Cent façons de les coiffer

Et une seule de les décoiffer,

En les secouant, nonchalamment,

Tout en tournant la tête innocemment.

Tandis que ses pieds,  aux chevilles fines,

Habillés en leurs écrins,  la rendent divine,

En marquant sa silhouette lors elle chemine

En courbes, et, en rondeurs, que l’on devine.

.

Ses cheveux,  C   longs, épais,  E    en bataille,

Flottent sur  H      ses épaules    T et entourent

Un visage    E    auquel amour   *  en canaille,

Prête ses     V    expressions au  E grand jour.

À l’opposé  E    ses petits pieds  N en souliers

Danseront  U    un tango, une    *   farandole

D’un pas    X   qui vous mène   B  en amitié

De beaux   *      partenaires     A s’y collent.

Entre les    L    deux : bosses  T    et creux

Affirment   O  ses rondeurs  A     un peu,

Assez pour   N attirer les     I amoureux

Par démarche G    allure    L   par jeux.

Nulle parure,  S  nul  habit L   flatteur,

Elle se pare  *   de sa seule   E  humeur

Partagée    É  par ceux dont *   le cœur

Est à nu   P pour délivrer  *  les peurs.

Ces mots  A       pour la  * peinturlurer

Comme un  I   bel idiot * que  je suis,

Aurai-je le  S droit de  * les dessiner

Sur ce beau corps qui m’a  séduit.

Tandis que  ses beaux ….. pieds,

Avec ses chevilles  …… fines,

Habillés dans leurs écrins,

La rendent  trop divine,

Marque sa silhouette

Lors elle chemine :

Courbes rondeurs,

Que l’on devine.

.

..

F

.

Une amphore, ou alors

 Une  longue  chevelure

En belle forme qui ondule

Comme  un champ de  blé !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.


.

Forme

Réduction

 .

.

Évocation 

.

699 4

.

Une amphore, ou alors

 Une  longue  chevelure

En belle forme qui ondule

Comme  un champ de  blé !

.

Chevelure de femme, bien ourlée,

Avec des volutes des plus épaisses :

Au point on dirait  qu’elle ondule

Comme un champ de blé mûr.

.

Symbolique 

 ..

Les cheveux,

Notamment la façon

Dont ils sont bien coiffés,

Reflètent notre personnalité.

.

Ils sont un langage social,

Dont les codes changent

Au   grès  de  la  mode.

.

Chevelure des femmes

A  toujours  porté une

Connotation érotique.

.

De nombreuses religions,

Notamment le christianisme ou islam

Interdisaient, aux femmes, de dévoiler

Leur chevelure car cela était considéré

Comme un manque de pudeur.

Modifié, source : 1001 symboles

.

Descriptif

 .

699 – Cheveux longs, épais, en bataille  

  Alignement central  / Titre analogue  /  Thème  apparence

Forme  en ovale  /   Rimes égales   /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : chevelure  /  Symbole de fond : ondulation

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Chevelure de femme, bien ourlée,

Avec des volutes des plus épaisses :

Au point on dirait  qu’elle ondule

Comme un champ de blé mûr.

.

Symbolique de fond

 .

Pour les Grecs, la chevelure

Présente des liens étroits avec

Le domaine du tissage, du végétal

L’animal, en particulier avec le cheval.

.

L’apparence  capillaire, de  référence,

Toute en longueur  et bien éclatante,

En ondulation et en mouvement,

Indice de jeunesse et d’excellence,

De force, de virilité, de panache,

Est celle des dieux  et  des figures

Héroïques, modèles dont s’inspire

L’élite aristocratique : la chevelure

Contribue à identifier, et à distinguer

Et hiérarchiser le sauvage et le civilisé,

L’ordre et le désordre, mais aussi à dire,

À travers les violences dont elle est souvent

L’objet, les souffrances ou la négation de l’être.

tel.archives-ouvertes.fr/tel-01838283

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les cheveux qui ondulent comme les blés,

Cheveux qui balancent de tous les côtés,

Mouvement permanent en marchant

Enluminés par des reflets luisants.

Cent coiffures selon les couleurs ;

Cent coiffures  selon longueurs ;

Raides avec mèches ou frisures

Entourant tête de courbures !

 .

.

Cheveux longs, épais, en bataille

.

Scénario

.

Qu’ils soient roux, et en bataille,

ou qu’ils soient bruns, et, d’un seul côté,

ou soient blonds, flottant au vent, tous attirants.

 .

Visuels et textuels  >>

698 – Dire au revoir à quelqu’un est déchirant

Visuels et textuels  >> 

.

Au revoir, comme son nom l’indique,

Est un espoir de se revoir, bientôt ;

Adieu : de s’en remettre  à Dieu,

Déchirant, parce que frustrant

De ne plus percevoir quelqu’un

En chair, et en os, et bien vivant,

Pour ne plus partager joie, chagrin.

Au revoir : provisoire ; adieu, définitif,

Adieu est sans futur ; au revoir, infinitif.

 .

Je n’ai même pas pu lui dire «au revoir»

Clame l’amant, parti sans aucun espoir.

Un au revoir, joyeux, pour : à bientôt,

Au revoir, triste, pour : pas de sitôt,

Au revoir mitigé pour peut-être :

Autant accents bien, mal être.

 .

De dire au revoir à quelqu’un

Est toujours un peu déchirant

Mais adieu, l’on  n’osera  point,

Parce qu’il représente : mourant.

Pourtant la vie est bien faite ainsi,

Qu’on s’attache  et qu’on se détache

Lors enfant, adolescent puis potache

On égrène son beau chapelet  ’amis.

 .

Quand une page est, enfin, tournée,

C’est fini mais, qu’à cela  ne tienne,

Une autre vie se sera déjà amorcée

Avec  les  morceaux  de l’ancienne.

Bien  des  passions  sont mortelles

Il en est de même  des sentiments,

Qui regorgent  d’autres, plus belles,

Auxquelles on y consacre son temps.

 .

L’au-revoir  à quel qu’être un humain

Est prendre risque majeur  de l’oublier

Et dire adieu à une aventure de marins,

C’est finir de le penser  pour lendemain.

Dire au-revoir,  à un bel objet ou bateau,

Est comme arrache  quelque chose de soi,

Comme si une belle  chose tombait à l’eau,

Alors que l’on y tenait et en toute bonne foi.

 .

Quelle morale pour cette histoire : aucune

À chacun de décider de sa bonne fortune

On ne peut tout entre prendre en la vie,

Tout choix est dramatique, est fini.

Il est fini quand on lui dit adieu

Et il ne s’agit pas des cieux,

Pas plus de merveilleux

Mais de ses    yeux

Déjà ail  leurs,

Cette heure

Bonheur

Fini.

.

.

Extensions

 .

Dire au revoir,

C’est couper un lien

Qui nous convenait lors

Circonstances nous obligent

À le faire ou quelqu’un d’autre

Qui nous aimait bien … s’en va.

.

Aucune chance, aucun souhait

De le rencontrer à nouveau,

Même par hasard ou

Dans une autre vie.

.

Le plus simple est de le

Remplacer le plus vite possible

Mais il y aura du chemin à faire

Entre  l’idée  et la réalité, quand

L’autre vous manque à ce point

Qu’il est irremplaçable et à vie.

.

Que ce soit  à pied, en vélo, en voiture, en train, en avion :

De dire au revoir, sera toujours un moment d’émotions :

Certains embrassent, autres  lèvent le bras, lance baiser,

Et il y en a même qui se prennent en photos, en selfies !

Et puis il y a ceux qui s’en vont, sans rien dire ni faire,

Sans se retourner, un geste, ayant horreur de quitter

Être aimé auquel ils éprouvent  du mal à s’arracher.

.

On se dit au revoir

 On espère bien qu’on

Ne se reverra  jamais,

On se revoit  volontiers

 Quand on s’est dit adieu.

.

Si l’on confond avec adieu,

C’est sous influence religion

Tout autant  qu’intention  de

Dans  la réalité  l’un et l’autre,

S’emploient en se contredisant

.

L’on n’arrête plus,  de nos jours,

De se quitter et puis de se revoir,

Relations s’égrènent en pointillés

Avec temps morts et temps forts,

C’est cela la vie jusqu’à sa mort.

.

.

698 – Calligramme    

 .

Au revoir, comme son nom l’indique,

Est un espoir de se revoir, bientôt ;

Adieu : de s’en remettre  à Dieu,

Déchirant, parce que frustrant

De ne plus percevoir quelqu’un

En chair, et en os, et bien vivant,

Pour ne plus partager joie, chagrin.

Au revoir : provisoire ; adieu, définitif,

Adieu est sans futur ; au revoir, infinitif.

 .

**************************************

**************************************

.

Je n’ai même pas pu lui dire «au revoir»

Clame l’amant, parti sans aucun espoir.

Un au revoir, joyeux, pour : à bientôt,

Au revoir, triste, pour : pas de sitôt,

Au revoir mitigé pour peut-être :

Autant accents bien, mal être.

.

Dire au revoir      à quelqu’un

Est toujours un peu déchirant

Mais adieu, l’on  n’osera  point,

Parce qu’il représente : mourant.

Pourtant la vie est bien faite ainsi,

Qu’on s’attache  et qu’on se détache

Lors enfant, adolescent puis potache,

On égrène  D  beau chapelet  E   d’amis.

Quand une  I  page est enfin     S   tournée,

C’est fini     R   mais qu’à cela     T  ne tienne

Une autre  E    vie se sera déjà     *   amorcée,

Avec les      *      morceaux de l’      D  ancienne.

Bien des     A       passions sont        É    mortelles

Et il en est  U       de même  des        C sentiments

Mais regor    *        gent d’autres,       H plus belles,

Auxquelles   R        on y consacre        I   son temps.

L’au-revoir    E      à quel qu’être        R   un humain

Est prendre    V     risque majeur      A   de l’oublier

Et dire adieu  O    à une aventure    N    de marins,

C’est finir de     I  le penser pour    T    lendemain.

Dire au-revoir,   R      à bel objet   *     ou bateau,

Est comme arracher  *        quelque chose de soi,

Comme si une belle   À     chose tombait à l’eau,

Alors que l’on y tenait *   et en toute bonne foi.

Quelle morale pour     Q cette histoire, aucune

À chacun de décider   U de sa bonne fortune

On ne peut tout entre  E  prendre en la vie,

Tout choix est drama  L    tique, est fini.

Il est fini quand on   Q   lui dit adieu

Et il ne s’agit pas   U    des cieux,

Pas plus de mer     veilleux

Mais de ses    U     yeux

Déjà ail    N  leurs,

Cette  *  heure

Bonheur

Fini.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

698 4

.

Une forme fusée artisanale

Ou une bombe tombante

Classique, à percuteur 

Et qui, sur terre, tue.

.

Une bombe est capable de détruire

Relation d’amour en tombant

Mais ce n’est pas la bombe qui  tue,

C’est bien celui qui l’a lancé !

.

Symbolique 

 

Sadako, victime de la bombe

Devenue un symbole d’espoir.

Âgée de deux ans au moment

Du bombardement atomique

De 1945, elle aura succombé

À une leucémie à douze ans.

.

Entre la découverte de sa maladie

Fin 1954 et son décès l’année suivante,

Elle aura plié mille grues de papier,

De plus en plus petites à mesure

Que ses forces déclinaient.

.

Car une légende raconte

Que celui qui fait un vœu

en pliant ses mille grues

Sera exaucé, or Sadako

Ne voulait pas mourir.

Source : lemonde.fr/asie-pacifique/

article/sadako-victime-de-la-bombe

.

Descriptif

.

698 – Dire au revoir à quelqu’un est déchirant  

  Alignement central  / Titre analogue  /  Thème  départ

Forme  en ovale / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bombe  /  Symbole de fond : tueuse

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une bombe est capable de détruire

Relation d’amour en tombant

Mais ce n’est pas la bombe qui  tue,

C’est bien celui qui l’a lancé !

.

Symbolique de fond

.

Le meurtre dans le rêve

Est une  attaque symbolique.

Conflit frontal entre deux parties

L’une cherchant à éliminer l’autre.

Cela  exprime  une  situation vécue,

Où le rêveur, ou  la rêveuse, n’a pas

Suffisamment  conscience  de ce que

Ses relations comportent opposition.

.

Cette opposition  peut  se manifester

À l’intérieur de la psyché du rêveur

Et là, un aspect de sa personnalité

Veut prendre le pas et refouler

De façon décisive un autre

Aspect  rêveur, rêveuse

En plein conflit

Interne.

V

Love-Sexe/Psycho/Interpretation-des-reves/

Rever-d-un-meurtre-notre-interpretation

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

Une bombe provoque un meurtre ;

un meurtre fait l’effet d’une bombe.

ce sont des situations dramatiques

où tout au-revoir devient définitif

dès lors qu’il monte jusqu’à Dieu !

les enfants ont  parfois  bien du mal

à se projeter longtemps en absence

plus encore, en mort d’un proche !

 .

.

Au-revoir déchirant

.

Scénario

.

En voiture, au moment du départ, faire un dernier salut, de la main.

Dans le train et par la vitre, un dernier baiser pour se dire au revoir.

Autant au téléphone, le premier qui raccroche vous dit : Good bye !

 .

Visuels et textuels  >> 

697 – Comment renouveler ses désirs et plaisirs !

Visuels et textuels  >>

.

Des désirs de plaisirs

Il y en a cent de différents

Des désirs voire  des plaisirs,

Y en a et plus, tant  que tant !

.

Dès qu’un plaisir s’émousse,

Un autre désir nous pousse

À en varier,  à en essayer

Et ce, jusqu’à satiété.

.

Mais ce sont souvent

Mêmes qui reviennent

Ayant donné satisfaction

Par  grandes gratifications.

.

À chacun ses désirs et plaisirs,

S’ils sont  sans regrets, jalousies,

Ils seront bons à prendre et à vivre

Sans désirs, on ne  fait que survivre.

.

Comment renouveler ses désirs et ses plaisirs

Si on vous dit : grand père, tu peux te ranger,

Il est grand temps de renoncer  à l’amourette,

Te recentrer sur ta famille et les tiens à aimer.

.

                                      Il y a le plaisir, toujours, comme fond inusable,

                                      Bonne chair, bon vin, un bon repas en commun,

                                     Et, cela peut durer, sans arrêt, jusqu’au dernier,

                                   Pour peu qu’on en est l’appétit, jusqu’à satiété.

.

Il y a le désir de se cultiver, ou se spiritualiser,

Plaisirs de l’esprit, mais aussi, plaisir de l’âme,

Sans compter, envie d’écrire, peindre, sculpter,

Resté latent depuis que l’on est enfant ou ado !

.

                                Il y a le plaisir de vivre à son propre… rythme

                                 Pour peu qu’on s’impose sa propre contrainte :

                                Se lever tard, sieste légère et soirée prolongée,

                                Spectacles, événements, concerts et…variétés.

.

Il y a désir de voir du pays…plaisir de voyager,

Rencontrer d’autres personnes … des étrangers,

Admirer des panoramas, aux vues imprenables,

Montrer que grimper on en est encore capable.

.

                                  Il y a le plaisir de voir ses petits-enfants grandir

                                 Sans avoir à les éduquer, ni garantir leur avenir

                                  Avec le désir de les voir  surpasser  leurs parents,

                                 Autres temps, autres mœurs : en exige d’autant !

.

Il y aura, pour finir, essentiel désir de se réaliser

À travers beau projet qui nous fera grand plaisir,

Pour continuer  à garder sa place  dans la société

Gratuitement, sans contrepartie : par humanité !

 

 .

Extensions

 .

Comment renouveler

Ses désirs et ses plaisirs,

Lors vieillissant, lentement

Mais surement et ce d’autant

Qu’on est à la retraite  et donc

Avec du temps libre, pour quoi.

.

Combien de gens vous disent :

«Quand j’y serai… je ferai »

Et ils ne font pas, ou  alors

«Quand je ferai, je serai »

Et ils ne sont toujours pas.

.

En contraints jusque-là, par

Leurs obligations extérieures,

Ils s’en remettent, se reposent,

Autres activités … en dilettante.

.

Désirs, plaisirs, anciens, nouveaux

Ces quatre mots… qui s’interpellent

Font valser le monde des projections

Au-delà  du raisonnable, du profitable,

Pour épuiser toutes les saveurs de la vie.

.

On peut multiplier plaisirs

Afin de satisfaire  un désir :

On ne peut  multiplier désirs

Pour  satisfaire   son plaisir :

Le désir reste dans l’attente,

Le plaisir est dans l’action.

.

Désir est mouvement vers,

Désir  est  manquement  de,

Désir  est  inclinaison   pour,

Plaisir  est   assouvissement,

Parfois même ravissement,

Si ce n’est contentement !

.

Renouveler requiert cycle

De tensions  puis  détentes,

Ne peut jamais être continu,

Sans perdre de son intensité :

Meilleure façon est partager

Pour qu’autre soit miroir.

.

.

697 – Calligramme   

     .

Des désirs     C     S  et de plaisirs

Il y en a cent  O     E  de différents

Des désirs voire  M     S   des plaisirs,

Y en a et plus, tant  M    *       que tant !

Dès qu’un plaisir   E    D    s’émousse,

Un autre désir  N   É   nous pousse

À en varier,   T   S   à en essayer

Et ce, jus   *     I   qu’à satiété.

Mais ce   R    R   sont souvent

Mêmes   E     S qui reviennent

Ayant don  N    *   né satisfaction

Par  grandes   U   P   gratifications.

À chacun ses dé  V   L   sirs et plaisirs,

S’ils sont  sans re   E    A   grets, jalousies,

Ils seront bons à     L     I  prendre et à vivre

Sans désirs, on ne   E       S    fait que survivre.

         R        I  R  S

 .

***********************************************

***************************************************

.

Comment renouveler ses désirs et ses plaisirs

Si on vous dit : grand père, tu peux te ranger,

Il est grand temps de renoncer  à l’amourette,

Te recentrer sur ta famille et les tiens à aimer.

.

                                      Il y a le plaisir, toujours, comme fond inusable,

                                      Bonne chair, bon vin, un bon repas en commun,

                                     Et, cela peut durer, sans arrêt, jusqu’au dernier,

                                   Pour peu qu’on en est l’appétit, jusqu’à satiété.

.

Il y a le désir de se cultiver, ou se spiritualiser,

Plaisirs de l’esprit, mais aussi, plaisir de l’âme,

Sans compter, envie d’écrire, peindre, sculpter,

Resté latent depuis que l’on est enfant ou ado !

                                Il y a le plaisir de vivre à son propre… rythme

                                 Pour peu qu’on s’impose sa propre contrainte :

                                Se lever tard, sieste légère et soirée prolongée,

                                Spectacles, événements, concerts et…variétés.

.

Il y a désir de voir du pays…plaisir de voyager,

Rencontrer d’autres personnes … des étrangers,

Admirer des panoramas, aux vues imprenables,

Montrer que grimper on en est encore capable.

.

                                  Il y a le plaisir de voir ses petits-enfants grandir

                                 Sans avoir à les éduquer, ni garantir leur avenir

                                  Avec le désir de les voir  surpasser  leurs parents,

                                 Autres temps, autres mœurs : en exige d’autant !

.

Il y aura, pour finir, essentiel désir de se réaliser

À travers beau projet qui nous fera grand plaisir,

Pour continuer  à garder sa place  dans la société

Gratuitement, sans contrepartie : par humanité !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

697 4

.

Un escalier que l’on nommera

Souvent en spirale colimaçon,

Parce qu’il tournera en rond 

Jusqu’au palier en haut !

.

Escalier avec paliers est métaphore

du renouvellement et de l’élévation :

pour autant qu’il évoque désir plaisir

ils ne superposeront fond et forme !

.

L’escalier est un symbole des plaisirs

Dès lors qu’on grimpe

Tant à chaque étage, palier, on peut

Sans cesse, le renouveler.

.

Symbolique 

.

L’escalier est toujours

Le symbole de la progression

Vers le savoir  et  de l’ascension

Vers la connaissance, la lumière,

Il relie ce qui est en haut et en bas.

.

Il revêt  aussi un aspect négatif :

La descente, la chute, le retour

À la matérialité  et  au monde

Souterrain, à l’ombre en soi.

grandreves1234.blogspot.com

.

Descriptif

 .

696 – Vie entre dix ans, soixante-cinq ans    

  Alignement central  /    Titre dédoublé    /   Thème  désirs

Forme  escalier  / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : escalier  /  Symbole de fond : palier

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

L’escalier est un symbole des plaisirs

Dès lors qu’on grimpe

Tant à chaque étage, palier, on peut

Sans cesse, le renouveler.

.

Symbolique 

 .

C’est la Compagnonne…

Qui a gravi escalier tournant,

Divisé en deux paliers,  mon esprit

Pensa alors enroulement, spirale du temps

Passé et à venir, vis sans fin, coquilles d’escargots,

Tourbillons de forces ascendantes ou bien descendantes

.

Et tout cela me troubla passablement. Carl JUNG aura écrit

« La voie vers le but s’élève en spirale ».  Et, en effet, celle-ci, forme

Circulaire, reste ouverte… vers l’éternel Progrès. Mais si un escalier

Peut être monté, n’oublions surtout pas qu’il peut aussi être descendu !

Voire dégringolé !

ledifice.net/7601-1.html

  .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Un escalier en spirale n’aurait pas

La même évocation,  ni connotation,

Que l’escalier droit comme une échelle

On parlera de même élévation et chute.

.

Mais, de spirale du bonheur et malheur,

Comme s’il y avait un destin, une fatalité,

Venant s’y ajouter, auxquels on succombe,

Descente aux enfers ou montée au paradis.

On ne s’arrête pas en plein milieu de spirale:

Les constellations elles-mêmes en forme une.

L’univers : en expansion, retrait, ou chute.

Et qui sait si un trou noir ne l’est pas

Nous aspirant dans son néant.

 .

.

Troublant, trou blanc, fond noir

.

Scénario

.

Là … rien d’autre à rajouter,

là, rien de nouveau à commenter,

et là, tout est dit en ces quatre mots.

 .

Visuels et textuels  >>

696 – La vie entre dix ans et soixante-cinq ans

Visuels et textuels  >> 

.

À dix ans, on ne sait rien de la vie,

On est enfant apprenant dépendant

Des parents et société nous éduquant

Aux valeurs laïques  de  la République.

 .    

À trente, notre carrière  se  sera  dessinée

Mariage, enfant, maison seront la trilogie,

Il arrive  que l’on ne fasse  aucun des trois,

Et qu’en plus son emploi soit très instable

Pour autant,  aurait-on déjà raté sa vie !

 .    

À soixante et plus et une belle retraite

Avec, pour  perspective : le cimetière.

Mais rien ne presse,  rien ne stresse

L’essentiel est  d’en  bien  profiter,

Du cadeau qui nous est accordé.

.     

À dix ans, l’on a déjà épuisé

Ses désirs, plaisirs d’enfants,

Bien rempli  son imaginaire

À ne plus savoir  qu’en faire.

 .    

À treize, l’on se sent… décalé,

On ne sait  ce qui va se passer,

Notre peau d’enfant nous serre,

Adultes vous exhortent à grandir

Mais comment faire pour y réussir

Si aucun modèle adulte ne nous sert.

.

À seize, notre puberté enfin…s’achève,

Notre sexe invite  d’aller voir … à côté,

Si le plaisir n’est pas en cette intimité,

De belle fusion fugace sinon de rêve.

 .

À vingt, on goute à toutes libertés,

Bien qu’on commence à les trier

De différences  en préférences,

Pour ne pas les voir…se tirer.

  .   

À trente … d’être père ou mère,

Doux désir, plaisir sous ventrière,

L’enfant né … dans le cocon familial,

On s’enferme en bonheur postnuptial.

  .   

À cinquante, fin de stocks désirs soldés

Peu ou prou, selon chacun, son énergie,

Et tout se met à se répéter, découvertes,

Les amours ne sont plus que souvenirs.

.

À soixante-cinq, belle vie de retraite,

Seul, face à vous-même, votre bilan,

Encore quinze ans, bon an, mal an,

Désirs, plaisirs ne sont plus de fait.

De fait : désirs, plaisirs  différents.

.

Entre vos dix et soixante-cinq ans

Même si  la vie  vous les renouvelle

Par une jeunesse  presque  éternelle,

Dans un corps que l’on finit par subir.

.

.

Extensions

L’important n’est pas tant l’âge que l’on a,

Pour cela, on n‘y peut rien, mais de bien vivre

Son âge après avoir bien vécu les âges précédents.

Ceux à qui on a volé leur enfance, leur adolescence,

N’auront de cesse que les retrouver et de les revivre.

.

Vingt, quarante, soixante ou la valse des … ans,

Tout ce temps passé, on se demande comment !

À dix ans, je ne pensais pas y arrivé et me voilà

J’y suis mais j’aimerais beaucoup  y retourner,

L’enfance c’est l’âge de l’insouciance affichée,

Vingt, c’est la folie de l’illusion de sa liberté,

Soixante, premier bilan de sa vie passée.

Il parait qu’il y en a encore à vivoter

Qu’en faire, à part grand-mère !

.

De dix à soixante-cinq ans,

Il s’en passera des choses,

Dans sa vie  et après cela,

Tout ralentira, peu à peu,

Et l’on mourra à petit feu

Ou de maladie, accident !

.

Avant dix ans, rien n’est fixé

Et après soixante-cinq : figé,

Car peu de gens  rebondiront,

Pour se lancer dans un projet,

Personnel à court/moyen terme

En bifurquant vers autre horizon.

.

Certains ne font qu’un métier en leur vie,

D’autres en font deux, trois, quatre, cinq, dix

Il y a les passionnés qui ne changeront pas

Et les bricoleurs touche-à-tout et à rien.

.

.

696 – Calligramme

.

     À dix ans, on ne sait rien de la vie,

    On est enfant apprenant dépendant

      Des parents et société nous éduquant

      Aux valeurs laïques de la République.

.

VIE ENTRE DIX ANS,       

À trente, notre carrière se sera dessinée

      Mariage, enfant, maison  feront la trilogie.

       Il arrive  que l’on ne fasse  aucun des trois,

       Et qu’en plus son emploi soit très instable

      Pour autant,  aurait-on déjà raté sa vie !

.

ET SOIXANTE-CINQ ANS         

 À soixante et plus et une belle retraite

   Avec, pour  perspective : le cimetière.

  Mais rien ne presse,  rien ne stresse

L’essentiel est  d’en bien profiter,

Du cadeau qui nous est accordé.

     .

 À dix ans, l’on a déjà épuisé

   Ses désirs, plaisirs d’enfants,

   Bien rempli  son imaginaire

    À ne plus savoir  qu’en faire.

     .

        À treize, l’on se sent… décalé,

        On ne sait  ce qui va se passer,

          Notre peau d’enfant nous serre,

          Adultes vous exhortent à grandir

           Mais comment faire pour y réussir

              Si aucun modèle adulte ne nous sert.

     .

               À seize, notre puberté enfin… s’achève,

              Notre sexe invite d’aller voir … à côté,

                Si le plaisir n’est pas en cette intimité,

                De belle fusion fugace sinon de rêve.

              À vingt, on goute à toutes libertés,

             Bien qu’on commence à les trier

            De différences  en préférences,

          Pour ne pas les voir…se tirer.

     .

          À trente … d’être père ou mère,

            Doux désir, plaisir sous ventrière,

               L’enfant né … dans le cocon familial,

               On s’enferme en bonheur postnuptial.

     .

                À cinquante, fin de stocks désirs soldés

                 Peu ou prou, selon chacun, son énergie,

                  Et tout se met à se répéter, découvertes,

                 Les amours ne sont plus que souvenirs.

            .

              À soixante-cinq, belle vie de retraite,

            Seul, face à vous-même, votre bilan,

           Encore quinze ans, bon an, mal an,

           Désirs, plaisirs ne sont plus de fait.

          De fait:  désirs, plaisirs différents.

.

          Entre vos dix et soixante-cinq ans

           Même si la vie  vous les renouvelle

              Par une jeunesse presque éternelle !

               Jeunesse de l’esprit cela va sans dire,

               Dans un corps que l’on finit par subir.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

696 4

.

Un flacon de parfum

Pour le plus tortueux ;

Et pour le moins étroit,

Comme bougie  avec i.

 .

Flacon et parfum vont ensemble

mais pas avec déroulement de vie

qui n’est ni un contenant ni contenu

et ainsi la forme se distingue du fond.

.

Si vous n’aimez pas la couleur rouge

De ce flacon, tant pis :

Quant à dire si longue bougie visera

Un âge ou un autre : à voir !

.

Symbolique 

 .

Plus qu’un simple contenant

Protégeant parfum de la lumière,

Le flacon devient un véritable écrin.

Il doit inviter à la découverte du produit

Qu’il renferme et en faire un objet de… désir,

En véhiculant l’image de la maison de parfum.

 

À charge au designer de jouer sur les volumes,

Les couleurs et les matériaux pour imaginer

Un flacon d’exception, qui deviendra

Un véritable objet de collection.

Source : cosmopolitan.fr/les-

parfums-et-leurs-flacons

.

Descriptif

 .

696 – Vie entre dix ans, soixante-cinq ans    

  Alignement central  /  Titre  absent    / Thème  vie

Forme  serpent  / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : flacon   /  Symbole de fond : bougie

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Si vous n’aimez pas la couleur rouge

De ce flacon, tant pis :

Quant à dire si longue bougie visera

Un âge ou un autre : à voir !

.

Symbolique 

 .

La bougie

Est associée

À la lumière,

Au     temps,

Et à la prière.

Autrefois la bougie

Était utilisée comme

Source  de    lumière,

Et aussi pour mesurer

Le  temps  qui s’écoule.

Cette  notion  de temps

Est exprimée aujourd’hui

Par bougies d’anniversaire,

Chacune représentant année de vie.

1001symboles.net/symbole/sens-de-bougie

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Il y a un âge pour tout comme dit la raison

Et ceux qui veulent rester faussement jeunes,

Finissent par donner d’eux : image pathétique,

Alors que faire son âge, alors qu’avoir des rides,

Est proche de toute loi de la nature et de la société.

.

On voudrait garder même flacon pour un parfum

Qui s’épaissit, forcit, ou rancit, tout comme le vin,

Ne faut pas confondre ralentir effets de vieillerie

Et  produits procurant illusions d’un jeunisme :

On ne peut être jeune, avec âge de ses veines

Mais on peut l’être, d’esprit, toute sa vie.

 .

.

Évolution de dix à soixante ans 

.

Scénario

.

J’ai dix ans  que ça fait vingt ans que  j’ai dix ans,

j’ai vingt ans déjà et je m’appuie sur ma mère, quarante,

j’ai soixante ans, je marche avec mon compagnon.

 .

 

Visuels et textuels  >>

695 – Pourquoi avoir besoin de présence féminité !

Visuels et textuels >> 

.

Pourquoi ne pas  pouvoir,

Pourquoi ne pas vouloir,

Pourquoi  ne pas savoir

Se passer  sa présence.

.

Un peu    de  douceur,

Un peu,     beaucoup,

Dans  notre  monde,

Basé sur   les peurs.

.

Un peu de  chaleur,

Un peu de bonheur

Un peu,  beaucoup,

En une  longue  vie,

Pour éviter  l’ennui.

.

Pourquoi avoir besoin de présence féminité

   Pour mieux se confier et à qui se donner :

    Pourquoi pas plusieurs, et voire toutes,

     Lors, son mariage ferait fausse route.

.

      Sûr qu’amour s’effrite avec le temps

       Et il se remplace  par attachements

      Et d’autant qu’il y a  trois enfants,

     Maison commune,  avec parents.

.

    La femme serait dite fidèle, née,

 Quand l’homme dit volage inné,

Le monde n’est pas blanc, pas noir,

Liberté sexuelle en images, et miroirs,

.

Reflète bien  des hypocrisies, cachoteries

Des hommes   se trouvant  battus,  en lices

Et pour autant, que de prétendues frénésies,

Des femmes   les contentant, lors, en  leur lit.

.

Pourquoi s’enfermer  en l’autre, pour l’amour,

Étrange idée, subir vie d’un autre, chaque jour

À chaque rencontre, demeurer toujours sourd.

Amour est souffrances autant que  jouissances.

.

Comment apprécier, celui, ou celle, que l’on a,

Si l’on  n’apprécie pas ou bien la … différence.

Si, une fois marié, esclave, une fausse liberté,

Impose sa  loi en vertu d’économique réalité

Assortie d’une  non moins sociale moralité.

.

La réponse sera donc dans cette question,

Qui décide, et de   quoi, dans un couple,

Sinon eux-mêmes,  personne d’autre,

N’y étant pas : ne le  jugeons pas !

.

Enfermer l’autre en l’amour n’est

En aucun cas un service à lui rendre,

Pas même à soi-même car,  en prison,

Ce serait le comble de toute possession.

Humain ne se réduit jamais à la chose

On ne peut posséder  que les choses.

.

Sans libertés, il n’y a pas d’amour,

Pas plus sans réciprocité couple

Ni sans égalité vie commune

Durable, agréable, stable.

.

.

Extensions

 .

Une présence féminine,

Comme chacun sait, radoucit

 L’ambiance  entre  les hommes

 Si ne les attise pas de jalousie.

La mixité est perçue comme

Une égalité ou une parité,

Avant d’être bien  ou mal.

À certains leur fait défaut ;

D’autres,    ça les embêtes ;

 Derniers, ça leur est égal !

.

Une présence féminine n’est jamais neutre :

Elle équilibre et les humeurs, et les  énergies,

Aura un autre point de vue, complémentaire.

Elle inspire la grâce, la beauté,  la séduction,

Et rien que cela, déjà lui vaudra sa dévotion.

.

Il y a plusieurs formes de présence féminine

Celle qui est là, sans être là,  tout en l’étant !

.

C’est le fait d’un vieux couple, mal s’aimant

Celle qui est là, de nuit, présent à vos côtés,

.

C’est le fait de couples étant encore amants

Celle qui est là, de temps en temps, passant

.

C’est le fait d’une maitresse ou d’une amie.

Celle n’étant pas là, à qui on pense souvent

.

C’est le fait de celui qui fantasme baisant !

.

.

695 – Calligramme

 .

Pourquoi ne pas  pouvoir,

Pourquoi ne pas vouloir,

Pourquoi  ne pas savoir

Se passer  sa présence.

Un peu    de  douceur,

Un peu,     beaucoup,

Dans  notre  monde,

Basé sur   les peurs.

Un peu de  chaleur,

Un peu de bonheur

Un peu,  beaucoup,

En une  longue  vie,

Pour éviter  l’ennui.

*****************

********************

Pourquoi avoir besoin de   *     présence féminité

   Pour mieux se confier et    A     à qui se donner.

    Pourquoi pas plusieurs,     V    et voire toutes,

     Lors son mariage ferait    O    fausse route.

      Sûr qu’amour s’effrite     I   avec le temps

       Et il se remplace par      R    attachement

      Et d’autant qu’il y a       *   trois enfants,

     Maison commune        B    avec parents.

    La femme serait          E    dite fidèle née,

 Quand l’homme         S    dit volage inné,

Le monde n’est        O pas blanc, pas noir,

Liberté sexuelle     I  en images, et miroirs,

Reflète bien des   N   hypocrisies, cachoteries

Des hommes      *    se trouvant battus en lices

Et pour autant P     que de prétendues frénésies,

Des femmes    R       les contentant, lors, en leur lit.

Pourquoi       É      s’enfermer en l’autre pour l’amour,

Étrange      *  S *     idée subir vie d’un autre chaque jour

À chaque   *    E  *   rencontre, demeurer et toujours sourd.

Amour est  *     N    *      souffrances  autant  que  jouissances.

Comment   *       C    *       apprécier, celui, ou celle, que l’on a,

Si l’on  n’     *         E   *    apprécie pas ou bien la… différence.

Si, une fois   *        *      *    marié, esclave, une fausse liberté,

Impose  sa     *        F    *  loi en vertu d’économique réalité

Assortie d’une  *        É     *     non moins sociale moralité.

La réponse sera   *      M     *    donc dans cette question,

Qui décide, et de   *       I       *     quoi, dans un couple,

Sinon eux-mêmes,  *     N        *     personne d’autre,

N’y étant pas : ne le  *      I          *      jugeons pas !

Enfermer l’autre en     *     N       *   l’amour n’est

En aucun cas un service  *   E      à lui rendre,

Pas même à soi-même car    *     en prison,

Ce serait le comble de toute possession !

Humain ne se réduit jamais à la chose

On ne peut posséder que les choses.

Sans libertés, il n’y a pas d’amour,

Pas plus sans réciprocité couple

Ni sans égalité vie commune

Durable, agréable, stable.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

695 4

.

Un vase, très probablement

Peut-être même un vase grec 

Avec  une  forme  de  bouchon,

Présent au-dessus ouverture 

.

Si tous les vases représentent

métaphoriquement la femme

ce dernier le fera tout autant

et forme converge vers fond.

.

Sur le vase, l’on distingue bien

Une scène de la vie familière :

On devine que l’homme a besoin,

 Apprécie présence féminine.

.

Symbolique 

Par sa forme, la grâce de ses courbes et sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin. Son creux évoque celui d’utérus,

le  féminin, contenant les fluides vitaux et attraits pour l’homme.

.

Il est dit en le Nouveau Testament : la femme est un vase faible

Si fait que, les livres sacrés des Juifs, sont … dans leur style si

Proche de la poésie, remplis  d’expressions  empruntées  au

Symbolisme sexuel, expressions qui n’ont pas toujours été

Exactement comprises et dont l’interprétation, dans le

Cantique des Cantiques par exemple, a donné lieu à

Beaucoup de malentendus.  

Wikisource.org

.

Descriptif

 .

695 – Avoir besoin de présence féminine !

  Alignement central  / Titre  serpente  / Thème  présence

Forme  ovale  / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : vase   /  Symbole de fond : présent

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

695 6

.

Dans la maison, on distingue

Une scène de la vie familière :

On devine qu’homme a besoin,

 Apprécie présence féminine.

.

Symbolique 

 .

La période contemporaine

Est marquée par une forte remise

En cause la coprésence et de l’engagement

Comme présence, fondement de l’action en commun.

.

La question des formes de la présence devient enjeu

Du débat public dans des arènes très différentes,

Lors d’un débat parlementaire pour savoir si

Un texte de loi peut contenir l’affirmation

Que les usages de la visio-conférence

Constituent la  règle, ou  bien  lors

D’une controverse  dans le champ

De la psychologie  pour déterminer

Si  les compétences  à la multi-activité

Des femmes sont meilleures qu’hommes.

journals.openedition.org/rfsic/142

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

Tout comme il y aurait mille formes de femmes

Il existe mille formes de vases : attributs féminins

S’il en est, exclusivement par sa constitution creuse.

L’homme, comme chacun  sait bien, est plutôt carré,

Et la femme, plutôt ronde et est dite  plutôt malléable

Cliché que tout cela, évidemment nous possédons tous

Des caractères en nous de l’autre sexe, c’est tant mieux.

Comment se compléter, comprendre si on est contraire

Il fut un temps, il n’y a pas si longtemps, où l’éducation

Des garçons et des filles se faisait à part sans contacts

La pleine mixité nous aura au moins restitué égalité

De traitement et  plus grande tolérance mutuelle.

 .

.

Brin de fleur en ce monde

.

Scénario 

.

Féminité, vue de face, geste du bras vers le visage, robe de velours.

Féminité, telle que symbolisée  par de nombreux peuples primitifs.

Féminité, vue de côté, bras replié  sur la poitrine, robe de velours.

 .

Visuels et textuels >> 

694 – Le matin à mon réveil, je pense à toi, merveille

Visuels et textuels >>

.

Penser à quelqu’un au réveil

C’est que très  probablement

L’on vient juste      d’en rêver,

Que l’on revient     à la réalité,

Qui n’est,  ni triste,  ni morne,

Tant l’espoir  grandit, énorme,

De se voir, en cours de journée.

Imaginer déjà prochaine nuitée

Au fond d’un lit,  sous ciel étoilé,

Jusqu’au matin …  accompagné,

Au point, de croire,  que j’ai rêvé

Tu es bien  en chair  à mes côtés.

.

Le matin, à mon réveil,

Je pense  à toi, merveille

Mon être, en hypertendu,

Se jette dans tes bras nus.

.

Je  m’y  glisse  en  pensées,

En vue de mieux m’enivrer,

De la torpeur qui  m’envahit

À ne pouvoir sortir de mon lit

J’y suis  et j’y  reste et encore.

.

Lors mon cœur bat  plus fort,

Quand  tes  jambes, s’écartent

Sang, en tes joues, s’écarlate :

Ce n’est plus tant… ton corps,

Qu’en vrai pénètre mon esprit

Que je fenêtre et  me  réjouis,

Mais ce sont tes yeux accord.

*

Cette nuit noire sous tes voiles,

Aux creux de ta claire obscurité,

Tes yeux brillent comme les étoiles

En reflets de ton  âme … intériorisée

Je  communie, avec toi,  tout  en éveil,

De tous tes sens et de toutes tes pensées.

Nos imaginaires, juste avant bien séparés,

 .

Deviennent superposés, à nul autre, pareil :

Ce n’est plus que toi, en femme, à mes côtés,

C’est tout un monde, un univers,  vrai cahier

Qu’explore, à loisir  en  cette  belle  matinée

De fond  en comble, de la cave  au grenier.

.

La douceur de ton corps des plus apaisés

Parfum de ta peau finement pigmentée

La lueur de ton regard,  fort étonné,

M’accompagnent, une  éternité.

.

Qu’est-ce que l’éternité

Si notre temps s’arrête

L’Éternité, instant rêvé,

Où, qu’à toi, ne penserai,

Quand le réveil aura sonné,

Remerciant le ciel que tu sois là,

Entre mes bras, serrée à tenir ma main,

Pour   qu’en   tous   points l’on  se  sente bien !

.

.

Extensions

 

Se réveiller seul ou à côté

De quelqu’un, ou quelqu’une

Qu’on aime, d’amour, seront deux

Expériences différentes en points de vue,

Dès lors qu’on en a rêvé durant la nuit

Et que l’on souhaite le poursuivre

Comme douce et tendre réalité.

.

Le moment du réveil est un moment délicieux

Quand il se passe en rêvassant à son amant,

Mais il peut être et tout autant ennuyeux

S’il nous tire d’un cauchemar frappant,

Je tends le bras, pour voir si tu es là :

Perdu encore une fois, tu n’y es pas :

                          Ça ne fait rien : pour prochaine fois !            

.

Le réveil : transition entre sommeil

Et réalité, peut etre autant merveille,

Que cauchemar selon son dernier rêve.

.

Il y a ce bref moment où l’on pense que

Le rêve n’est pas qu’une fiction et qu’on

Aurait besoin de le vérifier, en réalité.

.

Et soudain, le retour à la normalité

Qui nous rappelle …quotidienneté

Dont rêve laissera trace ou non.

.

.

694 – Calligramme  

 .

Penser à quelqu’un au réveil

C’est que très  probablement

L’on vient juste      d’en rêver,

Que l’on revient     à la réalité,

Qui n’est,  ni triste,  ni morne,

Tant l’espoir  grandit, énorme,

De se voir, en cours de journée.

Imaginer déjà prochaine nuitée

Au fond d’un lit,  sous ciel étoilé,

Jusqu’au matin …  accompagné,

Au point, de croire,  que j’ai rêvé

Tu es bien  en chair  à mes côtés.

Le matin     A            à mon réveil,

Je pense     U          à toi merveille

Mon être,     *       en hypertendu,

Se jette en     R          tes bras nus.

Je m’y glisse    É           en pensée,

Afin de mieux    V         m’enivrer,

De la torpeur qui   E     m’envahit

À ne pouvoir sortir  I   de mon lit

J’y suis et j’y  reste    L    et encore

                  *

Lors mon cœur bat   J    I   plus fort,

Quand tes jambes    E             O  s’écartent

Sang en tes joues    *                    T  s’écarlate.

Ce n’est plus tant    P                      *   ton corps,

Qu’en vrai pénètre E                 À   mon esprit

Que je fenêtre et   N             *  me réjouis,

Mais ce sont tes     S    E  yeux accord.

               *

Cette nuit noire     M sous tes voiles,

Aux creux de ta        E  claire obscurité,

   Tes yeux brillent       R   comme les étoiles

En reflets de ton         V   âme intériorisée

Je communie, avec      E     toi, tout en éveil,

De tous tes sens et de   I    toutes tes pensées.

Nos imaginaires, juste   L   avant bien séparés,

      L

Deviennent superposés    E   à nuls autres pareils.

Ce n’est pas que toi    J     femme,      *         à mes côtés,

C’est tout un monde E         univers          À        vrai cahier

Qu’explore, à loisir  *               en cette          *             matinée

De fond en comble  P           de la cave          T       au grenier.

La douceur de ton   E          corps des         O    plus apaisés

Parfum de ta peau  S       finement       I    pigmentée,

La lueur de ton       E  regard      *  fort étonné,

M’accompagnent    *   une  éternité.

.

Qu’est-ce que l’éternité

Si notre temps s’arrête

  L’Éternité      R  instant rêvé

Où je pense      É      …     à toi,

Quand le réveil     V         aura sonné,

Remerciant le ciel      E           que tu sois là,

Entre mes bras, serrée    I          à tenir  ma  main,

Pour   qu’en   tous   points,    L         l’on  se  sente … bien !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

694 4

.

Lampe à pétrole, probablement,

Lampe à pétrole… certainement.

Indispensable au matin, réveil,

S’il fait noir, rien ne marche :

.

Lampe allumée, en veilleuse :

Le matin, je pense à toi comme

Ce qui voudra  dire que j’ai passé

Une nuit, avec toi, merveilleuse.

.

Symbolique 

 .

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez Grimm la lumière seule chasse

L’amant  caché  de  l’héroïne.

Et la lumière, et  dans tous

Contextes mythologiques,

Symbolise la conscience.

.

La lumière d’une lampe

Représente  le conscient

Qui est  entre  les mains

Et  sous   le contrôle   de

L’être humain, contraste

Avec  la  lumière  du soleil,

De nature divine et cosmique.

.

Descriptif

 .

694 – Matin, réveil, je pense à toi, merveille  

  Alignement central  / Titre  cercle droit  / Thème  pensée

Forme  courbe  / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe   /  Symbole de fond : matin

.

.

Fond

 .

Évocation

.

694 6

.

Lampe allumée, en veilleuse :

Le matin, je pense à toi comme

Ce qui voudra  dire que j’ai passé

Une nuit, avec toi, merveilleuse.

.

Symbolique 

 .

Matin, 7 h00.

Comme tous les matins,

Mon réveil biologique s’active

Je me lève  et je commence ma journée

Avec mon petit jogging matinal et bienfaisant.

.

C’est un plaisir que de courir à l’éveil du jour,

Pas âme qui vive, retrouver la campagne,

Le vent frais, et le chant des oiseaux:

Une belle journée s’annonce.

.

Je prends conscience de la

Beauté qui m’entoure :

Champs parsemés de fleurs sauvages,

Prairies avec les chevaux, vues imprenables.

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Lampe de chevet veille sur coucher et réveil

Un peu comme le bouton binaire «off/on»

Passant ainsi du conscient à l’inconscient

Et réciproquement, par effet de lumière,

La pensée du jour remplace  ou poursuit,

Celle de la nuit, en bonheur ou désillusion.

.

Il y a quelqu’un ou quelqu’une ou personne

Qui n’est pas forcément là quand on la sonne

Lors j’ouvre les rideaux, les volets, les fenêtres,

La lumière du soleil vient irradier ma chambre :

Il y a bien Claire, de lune, dans mon lit : merveille.

Ce poème renvoie à un autre avec même titre contenu

Le numéro 717 proposant une interprétation différente !

 .

.

7 h00, debout pour jogging 

.

Scénario

.

Le matin, à mon réveil : c’est encore le pied,

je lève un bras, tapote vers toi … pour te chercher,

ou je rêvasse, tout mon corps entouré par mes pensées.

 .

Visuels et textuels >>

693 – Je m’envole sans ailes quand je suis avec elle

Visuels et textuels  >> 

.

S’envoler, sans ailes,

Parait très difficile,

Sauf en l’amour,

Qui en donne,

Au sens figuré,

Bien évidemment.

.

Quand je suis avec elle

Je me sens plus que léger,

Tant désir, force de l’aimer,

Feront prendre… hauteur.

.

Chaque vol, en couple,

Est un pur délire,

Et retomber

À terre,

Enfer

V

.

Je m’envole sans ailes, quand je suis avec elle,

Lors je me retrouve, en pleine nature, en mer,

Que je respire, à fond, vrais parfums naturels,

Emplissant  le corps et l’âme, de son plein air.

.

Alors, je vagabonde, à mon gré, en un monde,

Qui m’appartient plus que personne en ondes,

Où, ma volonté ne me formule  d’autres vœux,

Que celle d’un corps, qui se meut, et, m’émeut.

.

De ce que je vois, entend, sent, goute et touche,

Sans filtre et sans limites autres que fins désirs

De sentir que mots forts éclosent en ma bouche

Et qu’images saturent mon cerveau de plaisirs !

.

Ici les arbres font des souffles en leurs feuillages,

Autant de purs murmures d’harmonies avec eux,

Chatouillant mes oreilles,   éblouissant mes yeux,

Où répondent en échos, d’oiseaux, leurs ramages.

.

Là, l’eau coule en serpentant  entre deux versants,

Tantôt forme une grande mare tantôt petit torrent

Qui charrie avec lui l’air brûlant de chaque instant,

Jusqu’à la mer, qui l’engloutit, en son feu d’amant !

.

.

Extensions

 .

Je m’envole sans ailes quand je suis avec elle

Et  je me trouve porté jusqu’aux nues belles.

J’en deviendrais lyrique voire bucolique

S’il n’y avait un fond d’angoisse, tenace,

Qui me fait comprendre que c’est un  leurre.

.

C’est l’heure de la quitter, et je l’ai juste abordé.

Il me semblait pourtant que le temps s’était arrêté,

La coupe était pleine, débordait d’énergie amoureuse.

Frénésie de mon désir n’a eu d’égale que ma chute libre

Sans parachute et jusqu’à en percuter le sol plus que dur.

.

Je croyais m’envoler avec elle, je reviens en battant de l’aile,

Au point de jonction où on s’est rencontré, retour case départ.

Amour vertical, que ce soit : de bas en haut, ou, de haut en bas,

Quoi de plus excitant, quoi de  plus humiliant, de plus cassant !

.

Décoller de Terre, pour aller jusqu’au septième ciel, n’est pas

Si simple qu’on le croit, qu’on le dit, qu’on le vit.

Les ascendances de l’amour sont

Parsemées de trous d’airs !

.

En voilà bien une drôle d’histoire d’ailes et d’elle

Conte avec ou sans ailes, récit avec ou sans elle !

Mais  pour qui me prenez-vous : ange ou démon

On trouve dans les séries, des nouvelles fictions,

Qui ont  pour intention, vous en donnez frisson,

Aucun humain  n’aura volé  de ses propres ailes.

Icare les a brûlés en s’approchant trop du soleil.

À défaut de pouvoir voler au sens propre en air,

Prenons les ailes au figuré en son atmosphère !

.

Si l’on ne parle point,  de s’envoler,

Lorsqu’on fait l’amour, on évoque

De s’envoyer en l’air, et à deux,

Ce qui reviendrait au même.

.

Expression argotique milieu du xxe siècle :

Le plaisir ressenti, lors d’un rapport, est lié

Métaphoriquement  à ascension aux cieux,

Ascension qui serait comme sorte d’extase.

.

Extase, avez-vous dit avec synonymes

Admiration, émerveillement, exaltation,

Griserie, ivresse, vertige, voire enivrement

Lors y a de quoi prendre son pied, au figuré.

.

.

Épilogue

.

S’envoler, planer, piquer, grimper, virevolter

Autant de mouvements changeant directions,

Avec elle, comme oiseau en air, me sens léger,

Sans ailes, mon esprit se met  en dérélictions !

 

***

 

D’où me vient cette impression de non gravité,

Comme une sorte d’expérience extracorporelle

Qui me transporte, ailleurs, planant  après elle,

Mon âme  se détacherait-elle, en corps virtuel !

 

***

 

Pour quel long voyage en quelle haute sphère,

Comment revenir, pour reposer pied à terre :

L’histoire ne le dit pas, la petite mort, dit-on,

Est expérience passagère d’extase sensuelle.

 

***

 

Voler a toujours été un rêve des humains

Et aujourd’hui bien qu’on puisse planer

L’on ne peut décoller du sol soi-même

Sans moteur pour contrer gravité !

 

***

 

On ne sait jamais, dans le futur

Léviter est déjà un bon début.

Décoller : seul Jésus Christ

L’a fait jusqu’à présent !

.

.

693 – Calligramme 

 .

S’envoler, sans ailes,

Parait très difficile,

Sauf en l’amour,

Qui en donne,

Au sens figuré,

Bien évidemment.

Quand je suis avec elle

Je me sens plus que léger,

Tant désir, force de l’aimer,

Feront prendre… hauteur.

Chaque vol, en couple,

Est un pur délire,

Et retomber

À terre,

Enfer

V

JE M’ENVOLE

Je m’envole sans ailes, quand je suis avec elle,

Lors je me retrouve, en pleine nature, en mer,

Que je respire, à fond, vrais parfums naturels,

Emplissant  le corps et l’âme, de son plein air.

Alors, je vagabonde, à mon gré, en un monde,

Qui m’appartient plus que personne en ondes,

Où, ma volonté ne me formule  d’autres vœux,

Que celle d’un corps, qui se meut, et, m’émeut.

SANS AILES

De ce que je vois, entend, sent, goute et touche,

Sans filtre et sans limites autres que fins désirs

De sentir que mots forts éclosent en ma bouche

Et qu’images saturent mon cerveau de plaisirs !

Ici les arbres font des souffles en leurs feuillages,

Autant de purs murmures d’harmonies avec eux,

Chatouillant mes oreilles,   éblouissant mes yeux,

Où répondent en échos, d’oiseaux, leurs ramages.

LORS AVEC ELLE 

Là, l’eau coule en serpentant  entre deux versants,

Tantôt forme une grande mare tantôt petit torrent

Qui charrie avec lui l’air brûlant de chaque instant,

Jusqu’à la mer, qui l’engloutit, en son feu d’amant !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

693 4

.

Tout pointu,

Un petit trophée

Prêt   à   s’envoler

Sur piédestal planant 

.

Voler, planer c’est ce que fais

en esprit, et en cœur, l’athlète

à qui on remet ce petit trophée

faisant que forme épouse fond.

.

Si c’est moi, dessus, et elle, dessous,

Ce sera difficile de s’envoler

 Si c’est le contraire, c’est télékinésique :

On en deviendrait  planant !

 .

Symbolique 

.

Fait de voler apporte sentiment de liberté.

C’est une  libération  face  aux contraintes

De la matière et du sol lors tel un oiseau

L’on se déplace avec aisance  et  facilité

Dans les airs, sans avoir  à  parcourir

Et  à pieds, de très longues  distances.

.

Besoin d’être libre de ses mouvements :

Lorsque l’on vole, on prend de la distance

Avec la réalité on voit les choses de plus loin.

Ce besoin de distance avec certaines situations

Permet de ne plus se sentir entraver par certains

Éléments et d’avoir vue plus complète de la situation.

.

Descriptif

 .

693 – Je m’envole sans ailes lors avec elle 

  Alignement central  / Titre  intercalé / Thème  conscience

Forme  droite  /   Rimes égales  /    Fond accordé à forme

Symbole de forme : s’envoler   /  Symbole de fond : planer

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Si c’est moi, dessus, et elle, dessous,

Ce sera difficile de s’envoler

Si c’est le contraire, c’est télékinésique:

On en deviendrait  planant !

 .

Symbolique 

 .

La frégate à coups d’ailes

Pour un  presque vol éternel

Cet oiseau, marin, énigmatique

Du Pacifique est capable  de voler

Plus   de   deux mois   sans  se poser,

Tout en se nourrissant et en dormant.

.

Les frégates sont  de très fins stratèges.

Très légers 1 kg pour 1 à 2 m d’envergure,

3 à 4 kg pour un albatros même envergure

Ces oiseaux  sont  dotés d’ailes  très longues

Et très larges  qui leur permettent  d’utiliser

Les conditions atmosphériques rencontrées

Dans  les  eaux  tropicales  pour voler  et

Planer sur des milliers de kilomètres.

la-croix.com/Sciences/Environnement/

La-fregate-coups-ailes-pour-eternel

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

On s’imagine voler dans les airs,

Planer comme nombre d’oiseaux,

On reste là, comme plaqué à terre,

Soumis à gravitation universelle !

.

Y a que les anges qui ont des ailes,

Mais ce ne sont que de purs esprits

Probablement  en autre dimension.

J’ai cru qu’elle en était un avec moi

Et tombés de haut, chute mortelle.

 .

.

Mythe vol icarien ou réalité !

.

Scénario

.

Je m’envole sans ailes ;

je m’envole avec ailes, et avec lui ;

je m’envole avec elle,  la prenant sous mon aile.

 .

Visuels et textuels  >> 

692 – Gens prennent conscience lors événement

Visuels et textuels >>

.

Fragile et fragilité que de sentir déstabilisé

À en perdre ses repères à pleurer après sa mère.

Il faut événement tragique  et douter certitude

D’être invincible  inatteignable, lors, parfois,

Un grain  de sable suffirait pour ressentir :

.

Finitude

Mé-lan

Colique

Devenu.

.

Gens prennent conscience,

Lors tragique  événement

De leur fragilité d’être,

De  leurs déficiences,

De limites physiques,

Se remettent à douter,

Et à ce point de changer,

Capables, enfin, de se décider.

.

S’octroient une pause pour méditer

Révolution et prendre des résolutions,

Comme pour faire régime amaigrissant.

.

Ça dure un peu  et jamais très longtemps,

Temps d’être repris, happé par… l’activité

Qui laisse très peu  de place à la réflexion.

.

Et ce sont les amis qui vous le rappellent

Mais, je croyais que, tu, vous, interpelle,

Vous trouvez alors un argument béton,

Pour vous excuser,  mais, pas le bon !

.

Et puis voilà qu’autres événements

Un sursaut de votre tempérament

Vous surprendra  à vous rejuger,

À vous voir en menteur dévoyé.

.

C’est alors que de l’intérieur

S’éclaire, en vous, lueur,

Et prenez  le fou pari

De réussir  tout ce qui

N’aurait jamais marché,

Jusqu’à présent, pour vous.

.

.

Extensions

 .

En maxime « Aide-toi et le ciel t’aidera ».

Sans effort, motivation, persévérance :

Rien ne peut changer, d’évidence.

Il faut faire un travail sur soi

Et non demander aux autres

De faire  ce  travail  à  sa place :

Ça ne marcherait pas  et pour cause !

.

Limites physiques, limites psychologiques,

Limites intellectuelles : si les trois se cumulent,

C’est injouable ou presque de changer d’attitudes,

D’habitudes, de latitudes : les régimes amaigrissants

Se font en dents de scie et les temps de sommeil se font

Élastiques et les déplacements de plus en plus erratiques.

En bref, changer demanderait une force de caractère innée.

.

Stabilisé, déstabilisé, fragile, fragilisé, primé, déprimé

L’humain est très fort en principe, très faible en réalité

Et il est loin d’être le plus fort d’animaux mammifères.

S’il se battait contre une panthère : ce serait sa chair !

Il est malin, pour sûr mais il a un « talon d’Achille » !

.

Pour sûr, la mort d’un proche, d’un ami,

Fait prendre conscience de sa vulnérabilité

Tout comme d’apprendre qu’on a un cancer.

.

Lors tout va bien : événements nous coulent

Sur la peau  tout comme l’eau d’un ruisseau,

Paradoxalement on dit ils ne nous touchent.

.

Notre fragilité nous fait comparer au roseau

Tant à vouloir être un chêne, indéracinable,

On tombe d’un coup nous dit La Fontaine.

.

.

692 – Calligramme  

 .

                                                                 Fragile et fragilité que    G  de sentir déstabilisé

                                                                   À en perdre ses repères E   à pleurer après sa mère.

                                                                    Il faut événement    N  tragique et douter certitude

                                                                    D’être invincible  S       inatteignable lors, parfois

                                                                 Un grain  de sable suffirait pour ressentir

                                             Finitude

                                      Mé-lan

                                 Colique

                             Devenu.

Gens prennent   P  conscience,

Lors tragique   R    événement

De leur fra   E   gilité d’être,

De  leurs   N   déficiences,

De limites   N    physiques,

Se remettent   E   à douter,

Et à ce point de    changer,

Capables, enfin, de   T se décider.

.

S’octroient  C  une pause pour méditer

Révolution   O   et prendre des résolutions,

Comme pour   N    faire régime amaigrissant.

Ça dure un peu      S   et jamais très longtemps,

Temps d’être repris    C       happé par… l’activité

Qui laisse très peu de       I       place à la réflexion.

Et ce sont les amis qui        E       vous le rappellent

Mais je croyais que tu,         N           vous interpelle,

Vous trouvez alors un         C          argument béton,

Pour vous excuser,           E           mais pas le bon !

Et puis voilà qu’           *            autres événements

Un sursaut de          É            votre tempérament

Vous surpren        V             dra  à vous rejuger,

À vous voir          É                 menteur dévoyé.

C’est alors           N                que d’intérieur,

S’éclaire en         E                    vous lueur,

Et prenez            M                le fou pari

De réussir           E                    ce qui

N’a jamais          N            marché,

Jusqu’à présent  T     pour vous.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

692 4

.

Un vase sinon une bouteille

Pour y mettre une fleur

Simple et solitaire 

Jolie puis fanée !

.

Une fleur fanée se sera en aucun cas

un événement majeur, à bien noter,

normal, elle est coupée, mis en vase,

lors la forme ses distingue du fond.

.

Les gens prennent conscience de changement

D’état de présence

Si la fleur est fanée ou qu’elle n’est plus là :

Y a un problème !

.

Symbolique 

 .

Fleurs sont l’attribut de Flore

Mais parfois aussi de l’Aurore

Ainsi que figures allégoriques

Du Printemps,  de la Logique,

De l’Espérance, et, de  l’odorat.

.

Logique, un des sept arts libéraux,

Porte parfois  un  bouquet  de  fleurs.

L’Espérance détient  aussi cet attribut :

Fleur  annonce  future  naissance  du  fruit.

.

Au niveau mythique, Zéphyr, le vent du printemps,

S’étant épris de Flore, l’enlève et s’unit en mariage :

En gage de son amour, il lui offre de régner sur

Tous les champs et tous les jardins cultivés.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_fleurs

.

.

Fond

 

Évocation 

.

Manque illustration ici

Les gens prennent conscience de changement

D’état de présence

Si la fleur est fanée ou qu’elle n’est plus là :

Y a un problème !

Symbolique

 .

Rêve positif

De réalisation des possibles.

Fleurs représentent également

Le symbole de l’âme et indiquent

Le bon avancement de votre processus

D’individuation mais rêver de fleurs fanées

Ou de fleurs coupées a une toute autre signification.

.

Cela peut signifier une rupture ou une cassure

Telle la fin d’une relation amoureuse.

Cela signifie également rupture,

Arrêt processus psychiques.

doctissimo.fr/psychologie

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les fleurs coupées, comme chacun sait,

Se fanent plus vite que les fleurs en terre

Il en serait de même pour les êtres humains,

Couper  les  de leurs  racines, et, ils s’étioleront,

On ne peut vivre longtemps heureux loin des siens

Le bouquet de la mariée est un symbole fort de durée

Moins vite il se fanera, plus longtemps, union durera !

  .

.

Fragile, résistante.

.

Scénario

.

 Inquiet, sensible, fragile, insécurisé, inconstant,

un rien peut briser son union, pourtant passionnée,

et son manque d’expérience ne l’aide pas à se stabiliser !

 .

Visuels et textuels >>

691 – Le choix d’être vraiment ce que l’on est !

Visuels et textuels  >>

.

Ce que l’on est

Dieu seul le sait !

Et encore, à quoi bon,

Dès lors il ne correspond !

.

L’on est forcément quelqu’un,

Mais ce quelqu’un, qui le choisit

Un mixte, entre nous et la société

Ou un pari qu’on a joué aux dés.

.

Savoir ce que l’on est, c’était

Introduire un doute sur

Ce qu’on devenait,

Plus vil, plus pur !

.

On reconnait bien là les hyperactifs,

Qui n’ont que  le temps de réfléchir

À ce qu’ils ont fait,  font  et  feront,

Pour s’éviter  d’avoir   à  faire front

À ce qu’ils ont été,  sont  ou seront !

.

Ont-ils, vraiment, choisi d’être ainsi :

On est en droit de se poser la question.

Nous sommes conditionnés, déterminés

Par  notre corps  aux capacités  limitées ;

Nous sommes dotés caractère particulier,

Et par un périmètre, relationnel, délimité !

.

On vit bien en observant normes et usages,

Sans se poser ni le pourquoi ni le comment,

C’est ainsi qu’on ne peut devenir autrement

Choisir  d’être, ce que l’on est, et l’assumer,

Est bien plus qu’une question de capacités

Et bien plus que  de  saisir  opportunités.

.

C’est tracer chemin  qui  nous  convient,

Pour le trouver, faut se connaitre, bien,

Douter de soi, et douter même des lois.

.

Cette lumière ne nous est pas donnée,

Au jour même de notre …  naissance,

Elle  s’exprime, au fil des ans, passés

À travers   nombre de  renaissances.

.

Ce  que   l’on   veut parmi  possibles,

Se  transforme  parfois  en  probable

Devient  même,   un jour,  accessible

Et  nous   permet   de faire son  choix.

.

Combien peuvent dire : j’ai  choisi,  moi,

Et personne d’autre n’a fixé mon objectif !

.

.

Extensions

 .

Oui mais voilà, qui est ce moi qui dit je :

Fruit de mon éducation, fruit de la société !

.

Comment faire  la distinction, la part du feu !

Rien n’est affaire de  psychologie,  philosophie,

Quand, sur soi, l’on s’obstine  à fermer ses yeux,

Chacun voit ce qu’il veut en lui et autour de lui.

.

L’important est de n’en pas faire une religion,

Et de proférer des vérités étant invérifiables.

.

Ce que je suis : qui peut le dire, je ne suis que le reflet

De ce que perçoivent, de ce que pensent autres de moi.

Comment sera-t-il possible, devenir plus grand que soi,

Si déjà, je ne sais pas à quelle hauteur je suis sur l’échelle

Des valeurs, l’échelle des bonheurs,  des cœurs,  rancœurs !

Je n’ai donc qu’à me contenter de ne n’être que ce que je suis,

Au point que je ne connaîtrai jamais ce que…  j’aurais pu être !

.

En matière de valeurs,

Qui décident des bonnes :

C’est que moi, évidemment.

J’ai le choix en des centaines.

J’ai donné ma vie, à mon pays,

Et mon cerveau, à la Science,

Mon cœur, au plus offrant,

Mon corps par accident.

C’est bien trop béni,

Je le sais, mais c’est ainsi,

J’ai voulu l’être, et je le suis,

Et je ne regrette pas mon pari

Maintenant que la fin approche

Je fouillerai encore mes poches

Pour donner à mes proches

Le fruit de  ma caboche.

.

.

691 – Calligramme  

 .

Ce que l’on est

Dieu seul le sait !

Et encore, à quoi bon,

Dès lors il ne correspond !

L’on est forcément quelqu’un,

Mais ce quelqu’un, qui le choisit

Un mixte, entre nous et la société

Ou un pari qu’on a joué aux dés.

Savoir ce que l’on est, c’était

Introduire un doute sur

Ce qu’on devenait,

Plus vil, plus pur !

*****************

********************

       On reconnait bien là les hyperactifs,

       Qui n’ont que  le temps de réfléchir

      À ce qu’ils ont fait, font  et feront,

        Pour s’éviter  d’avoir   à faire front

             À ce qu’ils ont été, sont L   ou seront !

                  Ont-ils vraiment choi  E   si d’être ainsi !

                     On est en droit de se   *   poser la question.

                         Nous sommes condi   C   tionnés, déterminés

                           Par notre corps aux   H      capacités limitées ;

                              Nous sommes dotés   O     caractère particulier,

                               Et par un périmètre,   I      relationnel, délimité !

                                On vit bien en obser   X    vant normes et usages,

                                 Sans se poser ni le      *  pourquoi ni le comment,

                                  C’est ainsi qu’on ne    D  peut devenir, autrement,

                              Choisir d’être, ce que  ‘      l’on est, et l’assumer,

                             Est bien plus qu’une  Ê  question de capacités

                              Et bien plus que de    T      saisir opportunités.

                           C’est tracer chemin   R   qui  nous convient,

                          Pour le trouver, faut  E   se connaitre bien,

                        Douter de soi,  et  douter  même  des lois.

                      ***********************************

                     **********************************

                      Cette lumière ne  C  nous est pas donnée,

                     Au jour même de  E   notre …  naissance,

                    Elle s’exprime, au   *    fil des ans, passés

                    À travers  nombre   O    de  renaissances.

                      Ce  que   l’on   veut    N    parmi  possibles,

                       Se  transforme  par     *     fois  en probable

                       Devient  même,   un     E     jour,  accessible

                        Et  nous   permet   de    S      faire son  choix.

                         Combien peuvent dire    T       j’ai  choisi,  moi,

                       Personne autre n’a fixé    *      mon …  objectif !

.

.

Forme

Réduction

.

Évocation

.

691 4

.

Ours qui se balance, déhanché,

Forme torturée, approximative,

Ou une  silhouette   d’un homme

Plutôt gras, par alimentation

.

On pourrait bien croire à un ours

mais c’est juste  un homme gras,

par suite d’une alimentation  qui

fait que sa forme évoque le fond.

.

Choisirait-on vraiment de devenir gras

Ou apathique ou pauvre :

Pas vraiment mais une fois qu’on l’est,

Comment soigner alimentation

.

Symbolique 

.

Le gras sert à nous protéger du froid,

Il est aussi moyen de séduction, d’affirmer

Son côté maternel et sa capacité à enfanter.

Il marque la protection où me sens en danger,

Où ma vie me fait peur, me sens en difficulté.

.

Le gras stocke des réserves et des énergies

Potentielle et qui n’ont pas encore trouvé

Leur assouvissement et leur réalisation.

La partie inférieure du corps représente

La terre,  qui est la propre incarnation.

Le ventre est notre cerveau émotionnel,

Intestins, lieu des «émotions viscérales».

chemindevie.net/corps-et-rondeurs-symbolique-du-corps

.

Descriptif

 .

691 – Le choix d’être vraiment ce qu’on est !  

  Alignement central    /   Titre  droit   /   Thème  apparence

Formes anthropo / Rimes variées  / Fond approché de forme

Symbole de forme : gras /  Symbole de fond : alimentation

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

691 6

.

Choisirait-on vraiment de devenir gras

Ou apathique ou pauvre :

Pas vraiment mais une fois qu’on l’est,

Comment soigner alimentation

.

Symbolique de fond

.

Bien que le comportement

Alimentaire soit régulé par

Des facteurs physiologiques,

Via des signaux internes

Faim et le rassasiement.

.

Il dépendrait  également

De signaux perturbateurs,

Tels, l’environnement social,

Ou le stress, et voire le sommeil.

.

L’alimentation, source de plaisir,

Peut être recherchée pour sa dimension

Symbolique affective dans des cas de déficit

Persistant des vecteurs habituels d’affectivité,

D’éloignement familial, sentiment de solitude.

sucre.com/pro-de-sante/dimension-symbolique-

de-lalimentation-relation-lobesite

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Il s’agit en gros de la part de l’inné

Du milieu et de l’acquis personnel :

Santé, nous avons tous un terrain,

Et que l’on appelle aussi l’hérédité.

.

Nous avons tous une communauté

Appelée,  famille, amis, collègues,

Enfin un élan, projet, désir  d’être

C’est le tout qui ferait ce que nous

Sommes  et ce que nous devenons.

.

Il peut y avoir quelque … accident

Qui nous mette en état dépendance

Nous faisant grossir ou bien maigrir

Mais ce sont nos capacités de résilience

Qui rétabliront sorte d’équilibre antérieur

Sommes responsable de ce que nous sommes.

 .

.

Plus de peut-être : choix binaire.

.

Scénario

 .

Je suis presque tout ce que je crois …  être,

l’important est d’être plus  grand que soi en tout,

et s’assurer d’éviter de tomber  en désespoir trop bas !

 .

Visuels et textuels  >>

690 – La haine, qu’on dit l’inverse de l’amour

Visuels et textuels  >>

.

Haine, amour

Se décline bien.

Haine,  plus   un,

Dira mathématicien

Haine est une revanche,

Dira un amant abandonné.

.

Et la haine est la ven-geance

Vous dira votre ennemi juré

Haine en haut de la cuisse

Dit coquin, et c’est bien.

.

Si  tant vrai  que la

Haine     appelle,

À plus  encore

De  haine,

Est-elle

.

L’inverse

De l’amour

Ou bien face,

La plus sordide

La  plus  stupide !

.

La haine qu’on dit inverse de l’amour

Dure et dure et  court et court toujours,

Tandis que nos amours vont  et viennent

Sans relâche, haine, en chemin, de traine.

.

Deux êtres qui s’aiment ou qui se haïssent

Restent longtemps attachés  ou pâtissent

De continuer, l’un pour l’autre, d’exister,

Jusqu’à ce que, l’un meurt, pour oublier.

.

La haine n’entame ni regret ni remords,

Personne ne sait qui a raison ou bien tort

Et, si personne  ne recule, ni ne s’esquive,

Son ennemi intime, voire sa douleur vive,

Nourriront trop d’énergies destructrices

Jusqu’à ce que la vengeance, s’ensuive.

.

«Je hais l’amour» iront déclarer les déçus :

À force de tomber  voilà, ils n’y croient plus

«L’amour me hait» clameront après, cocus,

Par l’un ou l’autre se sentiront bien déchus.

.

La haine, que l’on dit  l’inverse  de l’amour,

Est son miroir, son fantôme, son faux-jour,

Tant c’est bien dans l’ombre  de face cachée

Qu’il vient vous prendre, si ce n’est… habiter,

De pouvoir résister tant à la haine qu’à l’amour,

Supprimerait-il bien des conflits, pour toujours !

.

.

Extensions

 .

La haine, que l’on dit

De l’amour, est une énergie

Négative  pour  le  même  objet

Que l’énergie positive de l’amour :

C’est une question de phase,

Difficile d’haïr quelqu’un

Si on n’est jaloux  de lui,

Pour des raisons variées.

.

La haine est-elle un poison caché, versé en amour,

L’amour est-il élixir constituant l’antidote de haine

Questions qui se répondent  mais ne se confondent.

Si le premier vous rendrait, entièrement, coupable,

Le second vous perdrait en le perdant, par honte !

Je hais l’amour ou l’amour me hait : allons donc :

Vous n’avez pas ce pouvoir ni autre quelconque.

.

Sentiment très fort et durable d’aversion

Et d’hostilité envers quelqu’un  ou (une)

Qui peut conduire à un comportement

Violent, méprisant, déshumanisant !

.

Synonymes : dégoût, répulsion,

Lors sa seule pensée, dérange,

Sa présence ne nous arrange

Réactivant toutes aversions.

.

Pour autant, haïr ferait vivre

L’autre, n’étant pas indifférent,

À son sort d’un pseudo méchant,

Et d’une colère capable d’être ivre.

.

.

690 – Calligramme   

.

Haine   avec    amour

Se    décline   bien.

Haine        *   plus un,

Dit mathé      L      maticien

Haine est plus      A            revanche,

Dira un amant         *             abandonné

Et la haine  est           H               ven-geance

Vous dira votre          A             ennemi juré

Haine  en haut         I             de la cuisse

Dit coquin et         N            c’est bien.

Si tant vrai        E              que la

Haine,           *       appelle,

À plus      *   encore

De    haine,

Est-elle

.

L’inverse

De l’amour

Ou bien face,

La plus sordide

La  plus  stupide !

.

La haine qu’on dit inverse de l’amour

Dure et dure, et  court  et  court toujours,

Tandis que nos   Q   amours vont et viennent

Sans relâche haine   U    en chemin, de traine.

Deux êtres qui s’aiment      ‘      qui se haïssent,

Restent longtemps attachés     O    ou pâtissent

De continuer l’un pour l’autre       N    d’exister,

Jusqu’à ce que l’un meurt pour        *    oublier.

                                            D

La haine n’entame ni regret ni       I   remords,

Personne ne sait qui a raison    T   ou bien tort

Et si personne ne recule       *    ni ne s’esquive,

Son ennemi intime     I        ou sa douleur vive,

Nourriront trop      N  d’énergies destructrices

Jusqu’à ce que       V    la vengeance, s’ensuive.

E ……….

«Je hais l’amour»   R   iront déclarer les déçus :

À force de tomber   S   voilà, ils n’y croient plus

«L’amour me hait»  E  clameront après les cocus

Par l’un ou l’autre    * se sentiront tant  déchus.

D …….

La haine, qu’on dit    ‘        l’inverse  de l’amour,

Est son miroir, son   A    fantôme son faux-jour,

Tant c’est bien dans  M    l’ombre de face cachée

Qu’il vient vous pren   O     dre, si ce n’est habiter,

De pouvoir résister tant  U      à la haine qu’à l’amour,

Supprimerait-il bien des   R    conflits,   pour toujours !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

690 4

.

Un grand vase  en haut

Et un petit tabouret en bas

Ou  une  lampe  à  pétrole 

À même de susciter incendie.

.

Lampe à pétrole, incendie s’accordent

pour ce qui est d’un véritable danger

mais rien à voir avec amour et haine

et lors la forme ne soutient le fond !

.

Cette lampe à pétrole peut servir

 À deux usages, opposés :

Éclairer sa chandelle pour aimer

Incendier pour bruler.

.

Symbolique 

.

La lampe symbolise

L’entendement   dans

La confusion  mentale,

Ou encore la révélation

De savoir enfoui, caché.

Et d’ailleurs, l’expression

« Éclairer sa lanterne« ,

Qui  signifie  clarifier

Une  chose, exprime

Bien   cette   notion

De savoir dévoilé.

1001 symboles

.

Descriptif

 .

690 – La haine, qu’on dit inverse d’amour 

  Alignement central    /    Titre  serpente   /   Thème  haine

Formes ronde droite / Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampe /  Symbole de fond : incendie

.

Fond

.

Évocation 

 .

Cette lampe à pétrole peut servir

 À deux usages, opposés :

Éclairer sa chandelle pour aimer

Incendier pour bruler.

.

Symbolique 

 .

Le feu incendiaire est

Une image de destruction.

Rêver d’incendie est un message d’alerte.

.

Le rêveur et la rêveuse doivent faire attention

À ne pas tout détruire par leurs actions ou leurs positions.

L’incendie est un symbole d’une passion dévorante.

Il ne laisse plus rien debout derrière son passage.

.

C’est un moyen radical de faire table rase.

Se brûler représente un rêveur, rêveuse

Qui ne se rend pas assez compte

Du danger que représente fait

De poursuivre son désir actuel.

elle.fr/Love-Sexe/Psycho/Interpretation-

des-reves/Rever-d-incendie

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La haine est sentiment négatif défiance

Mais, contrairement, à l’indifférence,

Elle vous prend beaucoup d’énergie

Restant présent dans votre esprit

Suscitant colère en sa présence

Si ce n’est, aversion, mépris,

À moins qu’on ne l’utilise, 

Comme figure de style :

Va, je ne te hais point

Appelée une litote !

Dans tous les cas

N + 1 et n – un

S’équivalent.

 .

.

L’amour finit par triompher

.

Scénario

.

Toute  haine est un poison perfide, et des fois,  mortel,

qui fait qu’on le trouve en toutes formes de contenants

et que l’on hébergera en soi, par cette simple formule !

 .

Visuels et textuels  >>

689 – Je me sens parfois comme étalon qui doute !

Visuels et textuels  >>

.

                           Au vu du nom

                          Ça pourrait être vrai

                         De me sentir comme étalon

                        C’est un peu, cabotin, prétentieux,

                 J’en conviens, je l’avoue : élogieux !

         Mais en excuse, je le dois à mon nom,

     Si je rajoute un doute, cela passe mieux,

   Surtout auprès des femmes pour garçon

Qui en a un peu peur, sinon, envieux

De mâles qui sans rien comprendre

S’enfilent les unes après autres

Comme autant de trophées,

Remplis de leur certitude

Être meilleur au pieu.

.

Je me sens, parfois, comme un bel étalon, mais qui doute

Après l’envol, vers toi, de ma lettre, brûlante, d’amour,

En voyant mes attentes et qui sont, en retour, toutes

Lettres mortes  et de plus, et  tout au fil des jours.

.

À me demander : aurais-je fait … fausse route,

De tenter, par de la poésie, de faire  une cour

Assidue ardente à une belle femme qui joute

 En tanguerant ses pas pour tanguero secours.

.

Et des muscles, autant  que d’autres, j’en ai,

Mais, point de la gonflette,  je  n’en  ai  cure,

Car je ne mélange pas culture avec confiture

 Je fais régime quand, le cœur gros, désabusé.

.

Pour sûr, je n’ai, qu’à m’en prendre qu’à moi

Devant ta réciprocité pour le moins…décalée

Pourtant, en fil de trame, j’avais cru déceler,

Comme  appel : prête-moi ta plume, ta voix.

 .

Et comment peut-on toucher cœur de sirène,

Elle-même en eau, les larmes ne l’atteignent,

Il faudrait pour cela que mon  corps saigne,

Et, rougisse de mon  sang, son   lit de reine.

.

Je me sens comme  un étalon  qui redoute

Que le temps joue contre lui en sentiment

Et que sa passion  pour elle, ne lui coûte

Désillusion de plus d’un virtuel  amant.

.

.

Extensions

 .

Je me sens comme un étalon

Qui s’arc-boute  à l’idée  fixe

De te conquérir en dépit de

Tous les obstacles sur ma

Route tant ton image,

Projetée ….. en moi,

Chaque jour m’envoute.

.

Jusqu’ici, tu tournes les talons,

Sans saisir  pourquoi  ou que  j’aie

Le temps de m’adresser à toi pour faire

Comprendre que je ne suis pas qu’étalon !

.

Étalons nous sur l’herbe d’un pré, d’un jardin,

D’un parc, l’un à côté de l’autre, sans nous toucher,

Nous embrasser et roulons dans la pente qui nous

Mènera là où on s’aimera. Je me sens comme

Un étalon qui déroute son panache de

Conquérant, pied tendu en avant,

Pour t’inviter à chevaucher par-delà

Les forêts et plaines, les monts et vallons.

.

C’est quoi un homme étalon, demandez-le donc à une femme.

Elle vous répondra qu’elle en rêve mais qu’elle n’en trouve pas !

Pourtant elle s’est dévouée, corps et âme, dans la danse du tango

Connue à l’origine pour machisme dominant sans être dominateur

Je dirais même que, leurs dénominateurs, ce sont leurs partenaires,

Qui les poussent, dans leurs derniers retranchements à les satisfaire

Dans un guidage des plus habiles où langage passe par les épaules.

 On appellera cela « faire danser, jusqu’à la transe, voire l’extase »

Mais ce n’est pas un maître chanteur centaure qui la fait céder.

.

Un étalon serait comme une

Référence  dans un domaine,

Avec  des  notes   maximales,

Permettant de créer l’échelle,

Pour toutes les autres valeurs

.

En matière  de reproduction,

On connait, maitrise, la bête,

Lors en matière de séduction,

L’on restera souvent en quête

Jusqu’à trouver son bonheur !

.

Contrairement à ce qu’on croit,

Étalon n’est pas le meilleur choix

S’il se limite à sa matière de sexe :

L’amour est un tout plus complexe,

Qui fait que l’on s’accordera ou non !

.

.

689Calligramme

 .

                           Au vu du nom

                          Ça pourrait être vrai

                         De me sentir comme étalon

                        C’est un peu, cabotin, prétentieux,

                 J’en conviens, je l’avoue : élogieux !

         Mais en excuse, je le dois à mon nom,

     Si je rajoute un doute, cela passe mieux,

   Surtout auprès des femmes pour garçon

Qui en a un peu peur, sinon, envieux

De mâles qui sans rien comprendre

S’enfilent les unes après autres

Comme autant de trophées,

Remplis de leur certitude

Être meilleur au pieu.

.

Je me sens, parfois, comme un bel étalon, mais qui doute

Après l’envol, vers toi, de ma lettre,  brûlante,  d’amour,

En voyant mes attentes et qui sont en retour  M  toutes

Lettres mortes  et de plus, et tout au fil   E   des jours.

                                              *

À me demander : aurais-je fait       S    fausse route,

De tenter, par de la poésie, de    E    faire une cour

Assidue, ardente à une belle   N  femme qui joute

 En tanguerant ses pas, pour  S  tanguero secours.

             *

Et des muscles, autant     P  que d’autres, j’en ai,

Mais, point de la gon     A  flette, je n’en ai cure,

Car je ne mélange pas  R  culture avec confiture

 Je fais régime  quand  F  le cœur gros désabusé

 

 Pour sûr, je n’ai, qu’à   I m’en  prendre qu’à moi

Devant ta réciprocité   S pour le moins…décalée

Pourtant, en fil de tra    *      me j’avais cru déceler

Comme appel : prête      É     moi ta plume, ta voix.

T

Et comment  peut-on          A      toucher cœur de sirène,

Elle-même en eau, les          L        l larmes ne l’atteignent,

Il faudrait pour cela             O         que mon  corps saigne,

Et rougisse de mon               N          sang, son   lit de reine.

*

Je me sens comme               D         un étalon   qui redoute

Que le temps joue               O       contre lui en sentiment

Et que sa passion               U         pour elle, ne lui coûte

Désillusion de plus            T           d’un virtuel  amant.

E

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

689 4

.

Silhouette homme

Bien trapu et musclé

Comme  un bel étalon

Sur le point d’étreindre

.

Un étalon qui étreint jument,

l’enfourche et puis  l’enfourne,

je vous fais  cadeau  du fond :

faut qu’il soir en bonne forme.

.

Ah oui, le bel étalon, tout de même,

Mais étalon de qui,  étalon  de quoi ?

S’il n’est que sexe, muscle, sans cœur,

Sans  tête : qui croira-t-il étreindre !

.

Symbolique 

.

Homme sexuellement attirant

Ou sexuellement très actif.

« Tu veilleras en faction

Devant la porte des bals

Où tes officiers vendent

Aux enchères, leurs

Grâces d’étalons,

Où ces hommes entretenus,

Débattent le tarif de leurs charmes

À travers les musiques langoureuses

Et les tièdes parfums ». (L. Tailhade)

Source : wiktionary.org/wiki/étalon

.

Descriptif

 .

689Je me sens parfois étalon qui doute !

  Alignement central    /    Titre  serpente    /   Thème  identité

Formes anthropo / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : étalon /  Symbole de fond : étreinte

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

689 6

.

Ah oui, le bel étalon, tout de même,

Mais, étalon de qui,  étalon de quoi ?

S’il n’est que sexe, muscles, sans cœur

Sans  tête : qui croira-t-il étreindre !

.

Symbolique 

 .

Pas besoin de s’escrimer

D’ajouter flatulence verbale à l’acte :

Tant  quand le corps sexuel parle, il place

Le sujet hors langage et le langage hors sujet.

.

C’est ça « le miracle de l’amour » qui s’exprime

Dans le corps à corps. Moment de l’étreinte :

Serrer dans ses bras l’autre aimé crée

L’illusion – ici et maintenant réalisée –

De surmonter la division des êtres parlants.

.

La sexualité est une réponse, elle n’en a cure

De la parole devenant simple redondance.

Toute phrase n’est, dans la sexualité,

Que la paraphrase de l’acte.

cairn.info/revue-dialogue-

2011-3-page-25.htm

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Tous les poulains ont vocation à devenir étalons

Étalon en quoi : pas forcément de reproduction,

D’intelligence, culture, élégance, d’imagination, 

Autres peuvent se rhabiller, tourner les talons !

.

Oui mais voilà toutes ces qualités ou ces vertus

ne se passent nullement en étreinte ou en lit :

seulement au salon, rue,  ou voir au travail

femmes le savent et hommes en doutent !

 .

.

Suivre l’étalon, prendre les talons

.

Scénario

.

À danser le cha-cha-cha ou le charleston,

 si ce n’est le tango argentin avec un pur abrazo,

je me vois en étalon sauvage avec jument sauvageonne.

.

Visuels et textuels  >>

688 – Je ne saurais dire ni comment ni pourquoi ?

Visuels et textuels  >>

.

C’est tout de même,

Le comble que d’aimer

Quelqu’un ou quelqu’une,

Sans trop savoir pourquoi :

C’est comme pur acte de foi

Comme  marcher en ombre

Baigné dans une lumière,

Qui enflammera

Toute sa fortune.

 .

C’est tout de même un comble,

D’aimer  quelqu’un, quelqu’une,

Sans vraiment savoir  comment

C’est arrivé, et ce, sans prévenir

Et d’en être à n’en plus dormir,

Toujours à rêver d’être amants

Tentatives vaines, en nombre.

.

Je ne sais, je ne saurais dire,

Ni comment…ni pourquoi,

Mon cœur porté…vers toi

À en bégayer, en frémir !

 .

Toute raison, explication,

Sera contraire à la passion,

Qui me guide en mon espoir,

Qu’un jour vienne à te revoir.

.

C’est une folie, que de t’aimer,

Qui suis-je … sinon un insensé

De croire en belle réciprocité,

Lors le temps nous a séparés

.

Encore, et, pour longtemps,

Lors activité et lors retraité

Je ne verrai début d’amour,

Car jamais ne finira ce jour.

.

Cyrano né, laisse-moi rêver :

Que d’avoir après toi soupiré,

Serve au moins notre…amitié,

Plaisirs et passions… renoncés.

.

.

Extensions

 .

Je ne sais, je ne saurais dire

Ni comment ni pourquoi

J’aime ou je n’aime pas :

L’amour recèlera une part

De mystère que je ne parviens

À dévoiler ni en moi ni en l’autre.

.

«Je  l’aime  parce  que  c’était  lui,

Parce que c’était moi» Montaigne

Au sujet de son bel ami,  La Boétie !

D’accord, mais l’on reste sur sa faim

Alors qu’on voulait être  sur finalité.

.

Cyrano apporte une autre réponse :

Celle d’un idéal rendu  inaccessible

Mais dont on ne peut se détacher

Et pour lequel on est prêt à tout

Sacrifier, sans moindre retour.

.

Don Juan et puis Don Quichotte

Se profilent aussi  en notre horizon,

Le premier, inassouvissable, quête nouveauté,

Le second inconsolable de ne pas trouver sa dulcinée.

.

Pourquoi j’aime comme j’aime,

Cela reste en partie mystérieux,

Mais ce ne sera pas grand Dieu

Qui vient résoudre tel problème

Tout amour, d’origine…  divine

N’a rien à voir avec… l’humain,

Dieu n’a pas d’héros, d’héroïne.

Dieu est amour, est acte de foi :

Une croyance, paradis demain,

Ça dit rien de l’amour pour toi.

.

Pourquoi tu m’aimes ?

Je sais pas … parce que !

Oui d’accord, mais encore ?

J’aime tout en toi, point final.

.

On croirait interrogation d’enfant

Qui n’attend pas de réponse précise

Juste que sa question  soit comprise,

Parce qu’il devient grand maintenant.

.

À vouloir formuler quelques arguments

On quittera vite domaine des sentiments

D’un garçon, à sa mère, de fille à son père

Alors qu’on n’en sait trop rien, un mystère.

.

.

Épilogue

.

C’est histoire d’un renoncement,

Parce qu’impossible, improbable :

Une barrière invisible    les séparant

Et lors aucun ne s’en sentait capable !

 ***

Mais l’explication  ne les satisfaisait pas :

Faudrait savoir  le comment du pourquoi :

Explorer peut-être refoulement inconscient,

Écouter et puis analyser ses rêves récurrents.

 ***

Toujours est-il que le temps, les années, passant

Chances, de devenir amant, s’en vont diminuant :

Un jour viendra où le rideau tombera de lui-même

Et chacun se retrouvera dans une absence extrême.

 ***

Le lot  d’amours  secrets, jamais, vraiment, avoués :

Ils resteront dans le flou qui jamais, ne sera dissipé,

Ce n’est que silhouette plus qu’une réalité incarnée,

 Qui s’estompe en la nuit au lieu de brillante clarté.

 ***

J’ai aimé un fantôme qui est demeuré en au-delà

Des réalités tangibles que l’on se plait à toucher

Et peut-être même, à caresser, voire pénétrer

Mais ce n’est que de mon fait si j’en suis là.

.

.

688 – Calligramme  

.

C’est tout de même,

Le comble que d’aimer

Quelqu’un ou quelqu’une,

Sans trop savoir pourquoi :

C’est comme pur acte de foi

Comme  marcher en ombre

Baigné dans une lumière,

Qui enflammera

Toute sa fortune.

.

JE NE SAURAIS

C’est tout de même un comble,

D’aimer  quelqu’un, quelqu’une,

Sans vraiment savoir  comment

C’est arrivé, et ce, sans prévenir

Et d’en être à n’en plus dormir,

Toujours à rêver d’être amants

Tentatives vaines, en nombre.

Je ne sais, je ne saurais dire,

Ni comment…ni pourquoi,

Mon cœur porté…vers toi

À en bégayer, en frémir !

.

DIRE COMMENT

Toute raison, explication,

Sera contraire à la passion,

Qui me guide en mon espoir,

Qu’un jour vienne à te revoir.

C’est une folie, que de t’aimer,

Qui suis-je … sinon un insensé

De croire en belle réciprocité,

Lors le temps nous a séparés

.

NI POURQUOI ?  

Encore, et, pour longtemps,

Lors activité et lors retraité

Je ne verrai début d’amour,

Car jamais ne finira ce jour.

Cyrano né, laisse-moi rêver :

Que d’avoir après toi soupiré,

Serve au moins notre…amitié,

Plaisirs et passions… renoncés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

688 4

.

Un bâtonnet de marc à cils

Pour magnifier  son regard,

La silhouette,  toute droite,

Longiligne et floue de femme.

.

Une silhouette bien nette ou très floue

n’aboutit pas aux mêmes identifications

et lors on constate le nombre d’erreurs,

on se dit que forme et fond disjoignent.

.

Si l’on ne sait pas assez bien,

Pourquoi on aime quelqu’une :

Si sa silhouette devient floue

Elle s’évanouira de sa mémoire.

.

Symbolique 

.

Ce que nous voyons de nous,

Ce que  nous donnons  à voir,

Notre aspect, notre silhouette :

Que  nous  pensons  logique, normal,

.

Ce que la majorité des personnes veulent,

C’est-à-dire une silhouette parfaite, plutôt mince,

Est loin d’être évident pour notre cerveau-ordinateur.

.

Le seul régime qui marche vraiment à long terme :

L’amour inconditionnel que nous nous donnons.

Plus nous nous acceptons, plus nous aurons

Le poids qui nous convient et la silhouette

Que nous devons, cherchons à avoir.

Source : Ladv.biz/la-silhouette-en-décodage

.

Descriptif

 .

688 – Je ne saurais dire comment ni pourquoi ?

  Alignement central    /    Titre  intercalé    /   Thème  voyage

Formes anthropo / Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : silhouette /  Symbole de fond : floue

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Si l’on ne sait pas assez bien,

Pourquoi on aime quelqu’une :

Si  sa silhouette  devient  floue

Elle s’évanouira de sa mémoire.

 .

Symbolique

.

Si par essence,

Le flou constitue une

Opposition au concept

Même de netteté,

Il ne peut en être dissocié.

.

La notion de frontière revêt ici

Une importance fondamentale

Pour penser le flou, constituant

Une limite au continuum qualifier

De flou-net, profondeur, apparence,

Par rapport à la profondeur de champ.

D’avantage qu’absence, le flou devient sens.

.

Si notre culture visuelle a évolué, la perception

Que nous avons du flou a radicalement changé,

Notamment avec l’arrivée de l’image numérique

Et de la haute définition. Le sujet est donc

Particulièrement d’actualité.

panayotispapadimitropoulos.blogspot.

com/2013/03/les-frontieres-du-flou

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Une silhouette et d’autant si elle est floue,

Donnera peu de signes de reconnaissance :

Ça peut être n’importe quelle femme en tout,

Aucun détail, aucun  indice ne la caractérise.

On en restera alors à de vagues suppositions

Que l’on souvent à nombre recoupements

Un travail d’enquête, d’identification

Qui produit souvent des erreurs.

 .

.

Vague souvenir d’elle

.

Scénario

.

Je ne saurais dire

ni comment, pas plus que quoi,

ni pourquoi, ni même rien d’autre d’ailleurs ?

 .

Visuels et textuels  >>

687 – Sa première femme avait un cœur grand

Visuels et textuels  >> 

.

Qui ne connait l’histoire sordide

Seigneur Gille de Rais, Barbe-bleue

Racontée voire inventée pour moraliser

Par les frères Grimaud vrais conteurs nés.

On peut la reprendre, modifier aujourd’hui

En jouant sur les différences entre femmes

Pas pareilles, décevantes sauf la dernière

Allez savoir pourquoi : nul ne le sait !

Au bout de neuf, il devrait se sentir

Enfin comblé pour le moins aimé

Eh non, de toutes, s’en est  lassé.

.

Première femme au cœur grand,

Comme sa petite mamie

Jouait avec lui Prince charmant

Comme poupée Barbie.

Seconde avait corps sculpté déesse

À la sortie d’adolescence,

Sa façon de l’effleurer, sa tendresse,

Frisant provoc, indécence.

Sa troisième avait des seins  et fesses,

Qui lui promettait du sexe;

Elle l’aura dévoré, abandonné sa tristesse

Lui fait premier complexe.

Sa quatrième était une étudiante brillante,

Qui trouvait réponse à tout;

Elle l’excitait  avec  sa conversation éclatante,

Qui le laissait de glace, fou.

Sa cinquième était une femme mûre, mystique

Qu’il avait trouvé pathétique;

Lors elle l’entrainait en ses arcanes, ésotériques,

À se croire devenu magique.

Sa sixième était le mélange  des  deux premières,

Cœur et corps, droit de cité,

En fausse  innocence, naïveté, spontanéité   altière,

Auront vite fini par le lasser.

Sa septième  fut un mélange  des deux … suivantes,

Sexe et cerveau, top niveau,

Sa tendresse et son imagination, étant manquantes,

À en atteindre le degré zéro.

Sa huitième  était, lunatique, jouait  à saute-mouton,

De la première à cinquième;

Même lors elle parlait doucement, elle haussait le ton.

Rien à faire pour qu’il l’aime.

Seule, la neuvième était comme, à nulle autre, pareille

Ame sœur et âme damnée,

À la fois enfant, mère, prêtresse, putain vraie merveille

Il a fini par l’aimer, la garder.

.

La morale de cette histoire : aucune, il n’y en a,

D’autre que celle que vous-même lui accorderez.

.

 .

Extensions

 .

L’expérience n’apporte pas toujours

La sagesse lors on passe d’une erreur

À l’autre, bien différente, et, gênante.

.

Ici, l’accent  est mis, comme pour Ève

Au Paradis  Terrestre, sur la  curiosité

Malsaine  de la femme, et sur  sa faute

De vouloir savoir le secret du mystère.

.

Et l’interdiction absolue, et mortifère,

De Barbe Bleue a de quoi surprendre,

Puisque s’il voulait cacher ses crimes

Pour  garder  son  épouse, pourquoi

Lui donner quel qu’indice à moins

Qu’il nait été un mari … pervers !

.

La légende est toujours plus forte et résistante que la réalité

Charles n’aura pas inventé Barbe-Bleue à partir de son imaginaire,

Il s’est inspiré  d’Henri VIII (1491-1547) étant alors le roi d’Angleterre

6 épouses : certaines moururent naturellement, d’autres divorcèrent

Mais les dernières eurent la tête coupée.

Toute ressemblance avec un personnage

Imaginaire reste donc loin d’être fortuite.

.

La curiosité de la femme semble sans limite,

Quel qu’en soit le prix à payer, elle s’exécute :

Il n’y aura aucune porte secrète qui la rebute,

Bien qu’à l’intérieur, y a un cœur qui palpite !

.

Ce n’est ni la première, ni la dernière, fouillant

Les poches de son mari  comme femme jalouse,

Mais, une fois découvert, une maitresse cachée,

Elle ne finirait pas pour autant, la tête tranchée.

.

.

687 – Calligramme

 .

Qui ne connait l’histoire sordide

Seigneur Gille de Rais, Barbe-bleue

Racontée voire inventée pour moraliser

Par les frères Grimaud vrais conteurs nés.

On peut la reprendre, modifier aujourd’hui

En jouant sur les différences entre femmes

Pas pareilles, décevantes sauf la dernière

Allez savoir pourquoi : nul ne le sait !

Au bout de neuf, il devrait se sentir

Enfin comblé pour le moins aimé

Eh non, de toutes, s’en est  lassé.

.

Première femme au cœur grand,

Comme sa petite mamie

Jouait avec lui Prince charmant

Comme poupée Barbie.

Seconde avait corps sculpté déesse

À la sortie d’adolescence,

Sa façon de l’ef     S   fleurer, sa tendresse,

Frisant provoc, indécence.

Sa troisième avait   E       des seins  et fesses,

Qui lui promettait du sexe;

Elle l’aura dévoré,      S    abandonné sa tristesse

Lui fait premier complexe.

Sa quatrième était      *     une étudiante brillante,

Qui trouvait réponse à tout;

Elle l’excitait  avec        N   sa conversation éclatante,

Qui le laissait de glace, fou.

Sa cinquième était          E   une femme mure mystique

Qu’il avait trouvé pathétique;

Lors elle l’entrainait         U     en ses arcanes, ésotériques,

À se croire devenu magique.

Sa sixième était le mé       F     lange  des  deux premières,

Cœur et corps, droit de cité,

En fausse  innocence, naï      *       veté, spontanéité   altière,

Auront vite fini par le lasser.

Sa septième  fut un mé          F      lange  des deux … suivantes,

Sexe et cerveau, top niveau,

Sa tendresse et son imagi       E           nation, étant manquantes,

À en atteindre le degré zéro.

Sa huitième  était, luna           M      tique, jouait  à saute-mouton,

De la première à cinquième;

Même lors elle parlait                M    doucement, elle haussait le ton.

Rien à faire pour qu’il l’aime.

Seule, la neuvième était              E         comme, à nulle autre, pareille

Ame sœur et âme damnée,

À la fois enfant, mère,                  S      prêtresse, putain vraie merveille

Il a fini par l’aimer, la garder.

.

La morale de cette histoire : aucune, il n’y en a,

D’autre que celle que vous-même lui accorderez.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

687 4

.

Jeune femme avec

Une    longue   robe

Comme une mariée

Bientôt sacrifiée !

.

 Ayant eu même robe et sort,

Neuf femmes, très différentes.

Aujourd’hui, ce serait le divorce,

Mais quand même : huit fois !

.

Symbolique 

 .

Au début, la robe servait

À tout cacher du corps de femme,

Pour différentes raisons, mais surtout

Pour la réalité de sa nudité, par pudeur,

Plus les tissus sont élaborés, plus  beauté

Peut s’exprimer.

.

Après la Renaissance, le nu … magnifié,

S’entoure de prestige mais au quotidien,

Des parties du corps seront considérées

Comme vulgaires.

.

Il devient indispensable de les cacher.

Or, en les dissimulant, l’on construit

Une projection imaginaire autour

De leur réalité cachée

Comme un mystère

À se révéler.

.

Descriptif

 

687 – Ses neuf femmes ont eu l’esprit curieux

  Alignement central    /    Titre  droit    /   Thème  robe

Formes anthropo / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : robe /  Symbole de fond : neuf femmes

.

Fond

 .

Évocation 

.

687 6

.

Ayant eu même robe et sort,

Neuf femmes, très différentes.

Aujourd’hui, ce serait le divorce,

Mais quand même : huit fois !

.

Symbolique

.

La polygamie, de cœur ou de fait,

Montre que l’homme est encore chevillé

À la problématique du pouvoir sur l’autre

Pour dire son pouvoir  ou de perfection

De soi pour accepter l’autre.

.

Il n’est pas sûr de lui,

Vit angoisse de castration

Organique, fonctionnelle.

Il reste dans la dichotomie

Du « tout ou rien » ou du

« Trop » ou du « pas assez ».

Il reste dans l’idéalisation !

.

Il n’a pas compris la richesse

De la nuance, comment aider

Membres du groupe à vivre

La nuance, et  la tolérance,

Le non-jugement d’autre ?

cairn.info/revue-du-mauss-

2012-1-page-329=La polygamie

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Sans doute que neuf, c’est beaucoup

Mais comme on ne prête qu’aux riches

Les séries ont tendance à l’augmentation

C’est une dénonciation du pouvoir absolu

Des seigneurs régnant sur tout,  maitres

Avec le droit de vie et mort sur sujets,

Il y a aussi le secret comme le test

De tentation et  de confiance.

 .

.

Pot de fer et pot de terre

.

Scénario

.

Le seigneur Gille de Rais et sa première femme,

qu’il a trainée  par les cheveux, sans aucune pitié,

et exécuté avec huit autres et depuis : Barbe bleue !

 .

Visuels et textuels  >> 

686 – Vie, loin de France, quand j’y pense

Visuels et textuels  >>

.

Exquise, puis surprise

Sont mots qui te décrivent

Et au mieux, selon mes yeux,

Selon mes sentiments ardents,

Ou,  selon  mon  cœur  d’amant,

Dès lors que mon esprit t’évoque

Dès lors  que le corps  provoque

Dès lors sexes s’entrechoquent

Et rondeurs  de ta silhouette,

Procurent l’image chouette

De promesse de féminité.

.

En  son écrin, fermé

À celui  qui  n’aime.

.

Toi, loin de France,

Souvent, quand j’y pense,

Je vois ou  j’entrevois tes formes.

Formes et silhouette te déhanchant,

Font flotter tes vêtements, sous des vents,

M’inspire  un violent désir amant, touchant.

Touchant par la grâce de ton port, ton allure,

T’approcher,  te parler, seront d’autant plus dur

Afin de t’assurer  que, mon envie de toi, est pure.

Pure dans tes gestes, et  pure dans tes intentions,

Lors même que mon âge  ou jusqu’à présentation

Reflète quête conquêtes toutes en contradictions.

Contradiction  de norme,  contradiction  énorme,

Un gouffre  nous sépare, me rend  non-conforme,

À  ton attente, ton désir, pourtant,  protéiformes.

Protéiforme aussi corps, cœur, esprit d’un poète,

Qui fait, de ta  rencontre la bien plus grande fête

Pour regards de muette, non d’airs de coquette.

Coquette appelle un coq paré de mots d’atours,

Pour lui conter fleurette pour lui faire la cour

Or, il  pense  trop  sexe,  pas  assez  l’amour.

L’amour  te personnifie, l’amour, tu  l e vis,

Chaque jour, en l’attendant tout à l’envie,

Et quand ta silhouette flottante s’arrête.

S’arrête, en entendant enfin, ma  voix,

Tu te retournes, et enfin tu me vois,

Écoute te dire : «je t’aime» mais.

Mais alors  pourquoi je n’ose

Et attends que tu proposes

La dernière des choses,

Choses qu’on ne dit

Mais que l’on fait

Que l’on croyait

Bien interdit,

Interdit laissant,

Comme ce bel amant

D’un jour,  ou d’une nuit,

Ou qui sait … pour la vie !

.

.

Extensions

 .

Loin de France, loin du pays

Ou pourquoi pas du prénom,

Allez savoir : loin des deux,

Dans tous les cas, loin de

Revenir sur mes pas.

.

Est-ce une fuite où

Une escapade pour mieux

Revenir après avoir fait le point,

Sans moindre tyrannie des émotions,

Pulsions, sentiments, évènements !

.

Vision de loin ou vision de près :

Il faut les deux pour ajuster

Correctement, ses vues !

.

Allez donc savoir, de qui il s’agit, quelle est cette muse,

Qui a inspiré ce poème, qui m’a troublé, si je ne m’abuse.

Je ne vous le dirai pas : c’est tout le monde et … personne.

Quand bien même, à quoi bon, elle ne se reconnaîtrait pas,

Et pourtant ce visage est encore en moi, intact et si nature.

 .

Quand un visage, un corps, s’imposent à vous,

Tous nos sens se mettent en éveil, sans écueil,

Virtuellement présente, des images s’animent

Elles se produiront en forme holographique !

.

Quand l’on veut, non pas l’effacer,  la ranger :

Elle revient en force, occupe fond de pensées.

C’est peut-être ou en partie, dû à la distance,

Loin des yeux, près du cœur, pour cette fois !

 .

Ça prouve qu’attachement n’est pas vain mot,

On dit lors que quelqu’un vous colle à la peau,

À la peau c’est une métaphore, mais aux yeux,

C’est bien une image sur des zones rétiniennes.

.

.

686 – Calligramme 

 .

Exquise,                     M                puis surprise

Sont mots                  O           qui te décrivent

Et au mieux,             I          selon mes yeux,

Selon mes sen        *       timents ardents,

Ou, selon mon     *        cœur d’amant,

Dès lors que mon     esprit t’évoque,

Dès lors  que le    corps provoque

Dès lors sexes  s’entrechoquent

Et rondeurs  de ta silhouette,

Procurent l’image chouette

De promesse de féminité.

.

En  son écrin, fermé

À celui  qui  n’aime.

.

Toi, loin   L   de France,

Souvent,  O   quand j’y pense,

Je vois ou   I  j’entrevois tes formes.

Formes et    N     silhouette te déhanchant,

Font flotter   *   tes vêtements, sous des vents,

M‘inspire    D   un violent désir amant, touchant.

Touchant      E   par la grâce de ton port, ton allure,

T’approcher,    *     te parler, seront d’autant plus dur

Afin de t’assurer    *       que, mon envie de toi, est pure.

Pure dans tes gestes,    F       et  pure dans tes intentions,

Lors même que mon âge   R     voire jusqu’à présentation

Reflète quête conquêtes      A      toutes en contradictions.

Contradiction de norme      N           contradiction énorme,

Un gouffre nous sépare       C         me rend non-conforme,

À ton attente et ton désir    E         pourtant, protéiformes.

Protéiformes aussi corps,    *        cœur, esprit d’un poète,

Qui fait, de ta  rencontre     *       la bien plus grande fête

Pour regards de muette,    Q      non d’airs de coquette.

Coquette appelle un coq   U     paré de mots d’atours,

Pour lui conter fleurette   A      pour lui faire la cour

Or, il pense  trop  sexe,     N    pas  assez  l’amour.

L‘amour te personnifie,    D    l’amour tu le vis,

Chaque jour, en l’attendant,  toute  à l’envie,

Et quand ta silhouette, flottante, s’arrête.

S‘arrête, en entendant enfin, ma  voix,

Tu te retournes, et enfin tu me  vois,

Écoute  te dire : «je t’aime» mais.

Mais alors  pourquoi   J  je n’ose

Et attends que tu   ‘    proposes

La dernière    Y   des choses,

Choses      *     qu’on ne dit

Mais      P      que l’on fait

Que        E      l’on croyait

Bien        N         interdit,

Interdit      S      laissant,

Comme ce  E  bel amant

D‘un jour,  ou d’une nuit,

Ou qui sait … pour la vie !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

686 4

.

Un flacon de parfum

Avec un gros bouchon

Comme un diffuseur, 

En pleine mémoire.

.

Un parfum de femme, s’il n’est pas banal

Ou s’il est original :

Ça ne s’oublie pas comme ça, la mémoire

Le conserve, retrouve.

 .

Symbolique 

 .

La subtilité

Du  parfum

Est insaisissable

Et pourtant l’apparence

Est réelle symboliquement

À une présence spirituelle

Et à la nature de l’âme.

Tant la persistance  du

Parfum  d’une  personne

Après le départ de celle-ci,

Évoquera une idée de durée

Et parfois même de souvenir.

.

Parfum symbolise  la mémoire

Et c’est en ce sens  qu’on l’utilise

Dans  les cérémonies  funéraires.

Les parfums facilitent l’apparition

D’images et de scènes significatives.

.

Descriptif

 .

686 – Moi, loin de France, quand j’y pense 

  Alignement central  / Titre  serpente / Thème  départ

Formes ovale / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : parfum / Symbole de fond : mémoire

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

686 6

.

Un parfum de femme, s’il n’est pas banal

Ou s’il est original :

Ça ne s’oublie pas comme ça, la mémoire

Le conserve, retrouve.

 .

Symbolique 

 .

L’oubli est un processus

Qui fait partie de la mémoire.

On ne peut pas réfléchir sur l’oubli

Sans le référer au champ de la mémoire.

L’oubli a plusieurs valeurs.

.

Y a oubli inexorable par effacement de la trace.

C’est quelque chose contre quoi nous luttons tous.

Se souvenir, c’est alors s’opposer  à cet effacement

De la trace qui correspond à une mort symbolique.

.

D’autre part, il y a l’oubli de réserve,

L’oubli remède contre la résurgence

De traces dont on se passerait bien.

En fait, dans  cet  oubli-là, la trace

N’est pas effacée et dans certaines,

Conditions, on peut se remémorer.

cairn.info/exil-et-violence-

politique-les-paradoxes-

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un parfum est un marqueur d’odeur

Qui se fixe en notre cerveau primaire

Et qui refait surface, instantanément,

On croira l’avoir oublié, eh bien non !

Et partout où il resurgira au hasard

Un objet, un lieu, visage, projettera

Jusqu’à le reconnaitre entre mille.

 .

.

Loin de toi, de France !

.

Scénario

.

Qui es-tu, toi dont je ne perçois que l’ombre,

mais qui se dévoile de plus en plus séduisante,

jusqu’à imprimer ton visage dans mes pensées !

 .

Visuels et textuels  >>

685 – Lors je t’ai quittée pour une terre portugaise

Visuels et textuels  >>

.

Portugal/Espagne/Maroc

Sont trois pays, et cultures,

Avec trois types  de femmes,

La seule restant   en mémoire

Et je  te  le  jure  que … c’est toi,

À n’en  pas   croire …..  mes yeux,

Car je te superpose  à toutes celles

Qui te ressemblent,  plus ou moins,

De tête, de silhouette et de charme.

.

À quoi bon aller chercher ailleurs

Celle qu’on a, près de chez soi.

Puis quand le voile

Tombera d’amour

Alors tu ne t’en

Dé-par-ti-ras.

.

Lors je t’ai quittée pour terre portugaise,

Je pensais t’oublier me  retrouver bien aise,

De regarder autour de  moi autre joli minois

Avec des corps de rêve sans me soucier de toi.

.

C’était sans compter  ton empreinte marquée

Du sceau de l’amitié,  plus même, si affinités,

Vue de loin tu es plus belle encore, attirante,

À tel point  d’exciter  humeurs  changeantes.

.

Quand je t’ai quittée pour une terre espagnole

Avec autres  je pensais  danser la carmagnole,

Flamencos  et sevillanas salsas valses, tangos,

Je pensais, même, à toi, en  partenaire  disco.

 .

Je rêvais  d’enfourcher  tes monts,  tes vallons,

Et de caresser tes seins leurs pointes en tétons

Plus que de mon saoul bien plus que de raison

Tant j’éprouve, pour toi  beaux gestes passion.

.

Quand je t’ai quittée pour terre … marocaine,

Femmes mal fagotées en plus à demi voilées,

N’avaient yeux  pour   mieux   me dévisager,

Aucune ne me tente  comme  être  fredaine.

.

Le regard  ne  se cache  se prend,  se donne,

Il s’échange, vouloir le posséder, maldonne

Sur une terre  berbère leur regard étranger

A confié : difficile, ici, pour toi,  t’installer.

 .

Ton regard au-delà de tes plaines, de tes monts,

Ton regard allant droit, et jusqu’au plus profond,

Ton regard qui réveille, me surprend et d’un bond

Te fait exister quand bien  lors rendu un vagabond.

Lors je suis arrivé au Maroc un choc, quand soudain

Voile me dévoile mon si bel amour quitté en France.

.

.

Extensions

.

Fantasmes,  illusions, produits de ma fiction

Que toutes les images de toi que j’ai réveillées !

Peut-être mais pourquoi persistent-elles autant,

À envahir  toutes mes pensées,  tandis qu’à visiter

Monuments portugais, intéressants,  je m’emploie.

À vrai dire, je ne comprends pas, c’est à croire que

Ton visage s’est imprimé, câblé, dans ma mémoire

Et que je ne pourrais m’en départir, un seul soir.

Pardonne-moi de te voir nue toute déshabillée.

.

Quand on voyage, en Europe, on finit, toujours,

Par trouver quelqu’un, quelqu’une, ressemblant

À la seule qu’on aime qu’on a quitté un moment

Elle a des faux airs d’elle, mais  ce n’est pas elle !

.

Voilà une belle qui la rappelle un peu, beaucoup,

Pour autant, ce ne sera qu’apparence trompeuse,

Dès lors que j’échange avec elle, un voile apparait

Qui dissoudra son image au lieu de la superposer.

.

Il me faut bien m’avouer  que je suis très troublé,

Me dis pour corps semblable : âme dissemblable,

Et c’est peut-être surement même ce qui compte,

Une histoire commune et non fantôme de brune.

.

.

685 – Calligramme 

.

Portugal/Espagne/Maroc

 Sont trois pays, et cultures,

Avec trois types  de femmes,

La seule restant   en mémoire

    Et je  te  le  jure  que …..  c’est toi,

 À n’en  pas  croire …..  mes yeux,

    Car je te superpose  à toutes celles

      Qui te ressemblent,  plus ou moins,

        De tête, de silhouette et de charme.

        À quoi bon aller chercher ailleurs

         Celle qu’on a, près de chez soi.

              Puis quand le voile

              Tombera d’amour

         Alors tu ne t’en

      Dé-par-ti-ras.

.

Lors je t’ai quittée pour  T  terre portugaise,

Je pensais t’oublier me  ’  retrouver bien aise,

De regarder autour de  A  moi autre joli minois

Avec des corps de rêve   I  sans me soucier de toi !

C’était sans compter        *    ton empreinte marquée

Du sceau de l’amitié,          Q       plus même, si affinités,

Vue de loin tu es plus          U         belle encore, attirante,

À tel  point  d’exciter             I           humeurs changeantes.

Quand je  t’ai quittée            T       pour une terre espagnole

Avec autres  je pensais        T          danser la carmagnole,

Flamencos  et sevillanas     É           salsas valses, tangos,

Je pensais même à toi       E           en partenaire disco.

 .

Je rêvais d’enfourcher      P      tes monts, tes vallons,

Et de caresser tes seins   O   leurs pointes en tétons

Plus que de mon saoul,   U bien plus que de raison,

Tant j’éprouve pour toi  R     beaux gestes passion.

Quand je t’ai quittée  pour  une terre   marocaine,

Femmes, mal fagotées   T  en plus à demi voilées,

N’avaient yeux pour       E   mieux  me dévisager,

Aucune ne me tente       R   comme être fredaine.

Le regard  ne se cache         se prend, se donne,

Il s’échange, vouloir le     *      posséder, maldonne

Sur une terre  berbère        leur regard étranger

A confié : difficile ici         O       pour toi, t’installer.

      R

Ton regard au-delà de tes   T     plaines, de tes monts,

Ton regard allant droit, et   U     jusqu’au plus profond,

Ton regard qui réveille, me  G      surprend et d’un bond

Te fait exister quand bien     A        lors rendu vagabond.

Lors je suis arrivé au Maroc   I    un choc, quand soudain

Voile me dévoile mon si bel     S    amour quitté en France.

      E

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

685 4

.

Une statue de femme,

 jeune, mais statufiée,  

avec la tête de profil

avec un air pensif

.

Une statue peut-elle avoir l’air pensif,

demandez-le donc à Auguste Rodin

avec sa célèbre statue du penseur

aussi la forme épouse le fond.

.

Une  femme  parmi… tant  d’autres

Et pourquoi elle, c’est fou :

Qui sait, le fait qu’elle ne soit pas là,

Renforce mes pensées.

.

Symbolique

.

Prolongeant rêve pureté des romantiques,

Les symbolistes auront donné aux femmes

Une allure virginale mais qu’elles n’ont pas.

.

La femme aura une symbolique très riche

Qui a évolué au fil du temps, toutefois,

Elle a toujours évoqué la fécondité,

La pureté, mais  aussi  le vice.

.

Nombre   de   mythologies

Attribuaient une valeur

Sexuelle   aux   déesses,

Qui incarnaient souvent

Le désir et le plaisir charnel.

Source : poetes.com  et  1001 symboles

.

Descriptif

 

685 – Je t’ai quittée pour terre portugaise 

  Alignement central    /   Titre  droit   /   Thème  départ

Formes anthropo / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : triangle / Symbole de fond : cercle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

685 6

.

Une  femme  parmi… tant  d’autres

Et pourquoi elle, c’est fou :

Qui sait, le fait qu’elle ne soit pas là,

Renforce mes pensées.

.

Symbolique 

 .

Au sens large, la pensée

Est une activité psychique,

Consciente en son ensemble,

Et qui recouvre les processus

Par lesquels  seront  élaborés,

Les réponses aux perceptions

Venues des sens, des images,

Des sensations, des concepts

Que l’humain associe pour

Apprendre, créer et agir.

fr.wikipedia.org/wiki/Pensée

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Arrive qu’on quitte quelqu’un quelqu’une

En voyageant dans un tout autre pays,

Et qu’on continue à le ou la rechercher

Comme en musique, belle ritournelle

Et qui vous occupe tout votre esprit.

.

On s’attend à le ou là voir surgir

À tous les coins de rue, sentiers

Et l’on projette, sur ses clones,

Son visage des plus familiers.

.

Or la ou les copies, ne sont

Ne valent pas, l’original :

Ce serait  un cas fréquent

Dans les décès et divorces

Impossibilité de retrouver

Situation, être, antérieurs.

 .

.

Quitter, partir en voyage 

.

Scénario

.

Tu es demeurée présente dans ma pensée,

quel que soit l’endroit et le monument visité,

jusqu’à imaginer vivre avec toi, en ce château !

 .

Visuels et textuels  >>

684 – Et, si le bonheur c’était tout simplement !

Visuels et textuels >> 

.

Et si  le bonheur, c’était, tout  simplement,

Sans être luttant,  sans être conquérant,

Même sans aucun projet à construire,

Voire sans aucun artifice à séduire.

Mais là, je rêve :  est-ce possible,

Être  dans des bras sensibles,

Et de sentir comme un flot

Émotions  vous envahir

De la tête aux pieds,

Réciproquement

Sans bouger

Un doigt

Seul

V

.

Et si le bonheur, c’était tout simplement,

De penser à toi  chaque jour, moment !

Et  si le bonheur  c’était, plus souvent,

D’être, avec toi,  téléphoniquement !

Et si le bonheur,  c’était, réellement,

D’être, contre toi,  sensuellement !

Et  si le bonheur,  c’était l’instant

D’être avec toi à s’aimer jouant !

Et si le bonheur, c’était, venant

D’être en toi, en si bon allant !

Et si le bonheur, c’était… en

Devenant de vrais amants.

Toi parti, bonheur  étant

Coupant   ou   blessant,

Ton amour  occupant

Ton esprit pensant,

En le multipliant

Chaque  instant

Et en prenant

Le     temps

D’exister,

Pendant

Avant,

Sans

En

V

.

.

Extensions

 .

Et si  le bonheur,  c’était ceci,

Et  si  le  bonheur … c’était  cela :

Chacun y va de sa définition propre,

Tellement il contient de valeur relative

Sans compter d’appréciation subjective.

Fortunément, le bonheur ne se limitera pas

À l’amour entre deux amants, entre deux amis,

Entre deux parents, envahit toutes sphères de vie,

De la Nature à la Culture en passant par le métier,

La cuisine, sans oublier toutes sortes de hobbies.

.

Quand on a frôlé la mort de justesse,

Le bonheur premier consiste à se

Sentir vivant en relativisant

Les petits problèmes de

L’existence pour ne plus

Voir que le bon côté des choses.

Une  échelle  du  bonheur, comme

De l’intelligence : vous  n’y pensez-pas !

.

Nombre petits bonheurs, qui sont grands, inversement,

Dépendent d’où on vient, où on en est, à quoi on s’attend.

La réussite au baccalauréat  suscite un immense bonheur,

Mais, postérieurement, on s’aperçoit qu’il n’est rien, en soi,

Qu’une porte d’entrée pour les uns, de sortie pour les autres.

Et pourtant, l’avoir eu ou pas, change complètement la donne,

Pour l’avenir et le permis de conduire, produirait le même effet,

Le premier job stable, autant, la première rencontre amoureuse.

Certaines personnes sont considérées  étant inaptes au bonheur.

Avant, j’avais de la peine à le croire, mais, l’expérience de la vie

M’a ouvert les yeux : impossibilité est dramatique pour tous !

.

Et si ceci, si cela, ritournelle bien connue, stérile,

Dès lors qu’elle est imprécise ou en conditionnelle

Si le bonheur, c’était ceci et pas cela, on le saurait,

Mais il y a des bonheurs divers et un pour chacun.

Si moi je suis heureux, en écrivant sur … l’amour,

D’autres ne le sont pas, n’y voient que des peurs.

J’avouerai que, de jouer sur le mot du bonheur

Me donne un peu le blues plus que de raison,

Mais que voulez-vous, bonheur est passion.

.

Le bonheur se pointe quand il veut,

Le bonheur nous quitte quand il peut,

Pour certains, c’est, déjà, quand il pleut,

D’autres, un peu à manger, rend heureux.

Autant dire qu’il est des plus susceptibles

Qu’il est parfois des plus imperceptibles

Qu’il n’aime pas qu’on soit irascible,

Et qu’il rate très souvent sa cible.

.

.

Épilogue

.

Chacun aurait ….. ses propres représentations

Du bonheur, basées sur ses expérimentations

Personnelles et son propre niveau d’attente.

 

***

 

Quoiqu’il en fût, en soit, en sera,  plus tard,

Bonheur n’est éphémère comme le plaisir,

Qui passe, qu’on recherchera de nouveau.

 

***

 

Plus de sensation inquiétude, souffrance

Une satisfaction de soi agréable partout

Bien-être : soi, couple, famille, société !

 

***

 

De bonnes relations interpersonnelles

Avec  situation économique … stable,

Et le but qu’on poursuit  dans sa vie.

 

***

 

L’on y voit un triangle du bonheur,

Lors d’autres y verraient un cercle

Selon qu’on est Occident/ Orient.

 

***

 

Occident est en dualité / Trinité,

Tandis qu’extrême Orient serait

Équilibre  du Ying  et du Yang !

 

***

 

Le bonheur est chanson douce

Que me chantait  ma maman,

Selon un vrai poète bonheur.

.

.

684 – Calligramme 

 .

Et si  le bonheur, c’était, tout  simplement,

Sans être luttant,  B sans être conquérant,

Même sans aucun  O projet à construire,

Voire sans aucun  N artifice à séduire.

Mais là, je rêve    H  est-ce possible,

Être dans des   E  bras sensibles,

Et de sentir  U comme un flot

Émotions R  vous envahir

De  la tête  aux pieds,

Réciproquement

Sans bouger

Un doigt

Seul

V

.

Et si le bonheur,      C    c’était tout simplement,

De penser à toi        ‘     chaque jour, moment !

Et si le bonheur      É      c’était, plus souvent,

D’être, avec toi       T     téléphoniquement !

Et  si le bonheur,    A       était, réellement,

D’être, contre toi    I       sensuellement !

Et  si le bonheur,    T     c’était l’instant

D’être avec toi à     *  s’aimer jouant !

Et si, le bonheur    S  c’était, venant

D’être en toi, en    I  si bon allant !

Et si le bonheur    c’était… en

Devenant vrais   P       amants.

Toi parti bon    L  heur étant

Coupant  ou   E    blessant,

Ton amour  M  occupant

Ton esprit  E  pensant,

En le mul N  tipliant

Chaque  T  instant

Et en  * prenant

Le    *  temps

D’ex-is-ter

Pendant

Avant,

Sans

En

V

 

.

Forme

Réduction

.

Évocation

.

684 4

Deux triangles, superposés,

 L’un étant tout en rondeur,

L’autre étant en pointe

Et pour indiquer.

.

Sachant que le bonheur pourra prendre

toutes les formes  sans modifier le fond,

les poètes ronds  et  les matheux carrés,

n’envieront pas les marchands pointus.

.

Un triangle bleu et vert sur haut,

Rouge de l’autre, pointu :

Si ce n’est forme ronde, la couleur,

Chaleur du bonheur !

.

Symbolique

.

^

Le triangle 

Est un symbole féminin,

Lorsque sa pointe se dirige vers le bas,

Il représente fécondité naissance, instabilité ;

Masculin avec pointe vers le haut, symbole de virilité

Il a été beaucoup utilisé dans la finance qui est un domaine

Majoritairement masculin, ou bien par certains francs-maçons

Qui  le  nommaient « Delta lumineux »  ou  encore « Triangle sublime »).

Il est le symbole du pouvoir et feu, deux constellations portent son nom.

Source : www.structurenomade.com/2016/07/10/la-symbolique-du-triangle

.

Descriptif

.

684 – Et si le bonheur, c’était, simplement !

  Alignement central  / Titre  courbe  / Thème  bonheur

Formes triangle / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : triangle    /   Symbole de fond : cercle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

684 6

.

Un triangle bleu et vert sur haut,

Rouge de l’autre, pointu :

Si ce n’est forme ronde, la couleur,

Chaleur du bonheur !

.

Symbolique 

 .

Le rond est d’abord un symbole

D’unité, l’alliance ou encore le yin et le yang

Étant de très bons exemples. C’est aussi le symbole de

L’infini, divinité, l’harmonie, du naturel et de la perfection.

.

Dans le rond il est possible de distinguer deux éléments :

Le point, formant le centre, et la circonférence.

Ces deux éléments sont liés, pourtant leur

Signification diffère.

.

Le centre symbolise le point de départ,

C’est-à-dire d’où l’on vient, ou le point d’arrivée,

Et est synonyme de stabilité et d’éternité.

À l’inverse, la circonférence d’un cercle évoque

Le mouvement et le changement.

graphiste.com/blog/symbolique-forme-logo-rond

 .

 .

Corrélations

 Fond/forme 

.

On a coutume de voir un carré dans un rond

Si ce n’est l’inverse mais triangle en un rond

C’est moins commun, ça déborde davantage

Ce sont trois formes de base qu’on distingue

Facilement et cela, dès notre plus jeune âge.

.

Quant à savoir si l’homme est plutôt carré,

Si la femme est ronde, je ne m’aventurerai

Pas sur ce terrain sauf si elle est enceinte.

Le bonheur, lui, s’accommodera de tout,

Tant, vrai que de sa forme, il s’en fout.

 .

.

Et si le bonheur, c’était ça !

.

Scénario

.

L’espérance fait patienter des mois, des années, parfois,

mais si, au final, c’est le bon choix et pour longtemps,

on ne peut que demeurer heureux, tout simplement.

 .

Visuels et textuels >> 

683 – Le meilleur bonheur de l’amour n’est-il pas !

Visuels et textuels >>

.

C’est

Sûr  le

Meilleur

Moment,

D’am-our,

Reste   celui

Où on recrée,

Ses  fantasmes,

Lorsqu’on  monte

L’escalier    derrière

Une jupette …  évasée,

Mais, qui ne cache  rien

De ce qu’elle vous promet.

.

Le meilleur bonheur de l’amour

Ne serait pas celui que  l’on croit

Où plus intime  acte  de  l’amour

Ne serait plus celui  que l’on voit.

 .

Sera  moins lié  à nos  deux corps,

Qu’à nos  deux âmes, rapprochées,

Où fusions intimes de deux entités

Flotteront  au-delà   d’aura, encore.

Ce ne sont pas des mots qu’on partage

Mais un plein  silence loin des tapages

Pas plus que les gestes que l’on flirtage

Mais  nos belles intentions, survoltages.

.

D’état de normalité à celui de passionné,

Par l’idée que l’on se fait de l’union sacrée

Où pudeur, retenue, ne sont plus de mises,

En âmes confondues par l’humeur exquise.

.

Le seul fait de trembler à l’orée des frissons,

Qu’ils soient bien élevés, voire plus polissons,

Ne changera rien aux profondeurs d’émotions,

Qu’on soupire en fond de lit comme prétention.

 .

Chacun sait bien que meilleur moment du jour

Est celui où l’on monte l’escalier de l’amour,

Le désir grimpe en  paroxysmes, spasmes

Et le reste se termine  en isme  ou asme.

.

.

Extensions

 .

Le meilleur bonheur de l’amour,

N’est pas pendant, mais avant,

Dans l’enthousiasme du désir

Ou bien parfois, alors après,

En épicurisme d’un souvenir.

.

Mais balivernes que tout cela,

Pour ceux pour qui, il n’y aurait

Rien en dehors de l’acte, lui-même :

Que fantasmes minant moral, cerveau.

Pénétration, fin en soi, reste, préliminaires.

.

Possible que distinction entre plaisir et bonheur

Ne soit pas évidente à faire pour celui n’ayant jamais

Connu le dernier : en ramenant l’inconnu au connu,

On aura tendance à réduire le bonheur au plaisir

Et à son immédiateté, à sa tangibilité.

.

L’excitation nait dans le cerveau

Bien plus que dans le sexe,

Qui lui, fonctionnerait de

Manière presque réflexe.

.

Le meilleur bonheur d’amour  selon moi, est aucun doute,

Le moment où mon aimée monte l’escalier, et que je la suis

Je vois bien ses formes se déhancher, marche après marche,

 Et je me dis en moi-même que l’heure de … va bientôt sonner.

Après, on prend le temps de discuter, rien ne presse, à présent.

Au bout d’un temps, il se fait bien tard, il va bientôt  faire… nuit,

Elle décide de ne pas prolonger, descend du perchoir par escalier.

.

Le meilleur moment de l’amour sera différent

Pour chacun : certains, avant ; d’autres après,

Et le plus souvent, pendant, comme il se doigt.

.

Il peut être éphémère,  le temps d’un orgasme,

Comme il peut se poursuivre, un long moment,

Il y a ceux qui s’impatientent de recommencer.

.

Y a ceux qui préfèrent attendre autre occasion :

Différer plaisir leur procure un surcroit de désir,

Qu’ils gardent en tête comme précieux souvenir !

.

.

683 – Calligramme  

 .

C’est

Sûr  le

Meilleur

Moment,

D’am-our,

Reste   celui

Où on recrée,

Ses  fantasmes,

Lorsqu’on  monte

L’escalier    derrière

Une jupette …  évasée,

Mais, qui ne cache  rien

De ce qu’elle vous promet.

.

Le meilleur bonheur de   B l’amour

Ne serait pas celui que  O  l’on croit

Où plus intime acte     N    de l’amour

Ne serait plus celui   H       que l’on voit.

E   

Sera moins            U       lié à nos deux corps,

Qu’à nos           R  deux âmes, rapprochées,

Où fusions      *      intimes de deux entités

Flotteront          D     au-delà d’aura encore.

Ce ne sont pas des mots    A   que l’on partage

Mais un plein  silence loin   M        des tapages

Pas plus que les gestes que     O       l’on flirtage

Mais nos belles intentions     U       en survoltage

              R

D’état de normalité               *   à celui de passionné

Par l’idée que l’on              N    se fait d’union sacrée

Où pudeur, retenue,       E       ne sont plus  de mises,

En âmes confondues    *       par une humeur exquise.

S ……………….

Le seul fait            E    de trembler à l’orée des frissons,

Qu’ils soient        R       bien élevés, voire plus polissons,

Ne changera      A     rien aux profondeurs d’émotions,

Qu’on soupire   I     en fond de lit comme prétention.

T ………………………..

Chacun sait bien    que meilleur moment  du jour

Est celui où l’on   I   monte l’escalier de l’amour,

Le désir grimpe en   L   paroxysmes, spasmes

Et le reste se termine  ?  en isme  ou asme.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

683 4

Une forme de sapin

 Pro-ba-ble-ment :

Forme de sapin,

Assurément !

.

Une belle fraicheur pour ce sapin,

Vert tendre, et aéré, et …  aérien :

C’est encore ce qu’il y a de mieux

En désirant, faisant  l’amour.

.

Symbolique 

 .

Le

Sapin

Surgit dans

Les dessins d’enfants,

Il est une image vivante

De la verticalité ascendante,

De l’élévation spirituelle qui invite

À la conquête du ciel. Il appelle aussi

Des associations maussades… telles que :

Froid, neige, nuit, sur fond de lune, ciel étoilé.

Il est autant symbole  d’immortalité, en Russie

Le sapin entre dans divers rites et superstitions

Prouvant les

Vertus   de

Protection

Qu’on lui

 Accorde.

lepetitjournal.com/munich

.

Descriptif

 

683 – Meilleur bonheur d’amour ne serait-il !  

  Alignement central  / Titre  serpente  / Thème  bonheur

Formes conique / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : sapin    /   Symbole de fond : amour

.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

683 6

.

Une belle fraicheur pour ce sapin,

Vert tendre, et aéré, et …  aérien :

C’est encore ce qu’il y a de mieux

En désirant, faisant l’amour.

.

Symbolique 

 .

L’amour

Relève symbolique

De l’union des opposés.

Il est la pulsion fondamentale

De l’être, la libido qui pousse chacun

À se réaliser dans l’action : ce passage à l’acte

Ne se produit que par le contact charnel avec l’autre,

Autant par suite d’échanges matériels, sensibles, spirituels

Qui sont autant de chocs. L’amour tend à surmonter

Ces antagonismes, à assimiler des choses différentes,

À les intégrer dans une même unité.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Amour, sapin, n’ont rien en commun

À moins de faire l’amour à son pied,

Croquer la pomme, pomme de pin,

Ce pour atteindre bonheur divin !

L’on pourra grimper un escalier

Et voire grimper aux rideaux,

Et les plus sportifs, au sapin.

Chacun fait comme il veut !

L’essentiel ne serait-il pas,

Qu’amour soit le meilleur,

Que l’on puisse souhaiter.

 .

.

Jusqu’où grimperont-ils !

.

Scénario

.

Monter l’escalier, c’est espérer passer un moment des plus délicieux,

après quoi, on peut prendre l’air, parler, bien habillé, sur le balcon,

 et descendre l’escalier, c’est retrouver un peu réalité quotidienne.

 .

.Visuels et textuels >>

682 – Trouver son âme sœur : ça veut dire quoi !

Visuels et textuels  >>

.

Âme sœur,

Ou, âme clone,

Voire âme jumelle

Appelez-là  comme

Bon   vous  semble,

Elle  vous   adopte,

Et vous rassemble

En seul  bonheur.

Et, de la trouver,

Sera  une quête,

Une   conquête.

 Amour : vérité,

Non  charité,

Opportunité

Fusi-onnés,

Lors  pour

Toujours

Jours

V

.

C’est se trouver une amie —————————————-

Qui pense comme vous —————————————–

Qui vit comme vous : ——————————————

Jumeau et jumelle. ——————————————

.

C’est faire fi de la différence

D’âge, de métier ou statuts,

Ou contraire, semblables

En tous points égaux.

.

———————————C’est penser à quelqu’un

———————————-Comme par télépathie,

———————————-Souffrir comme lui,

————————————-Longueur d’onde.

.

C’est sublimer son sexe

Pour éviter complexes

Situations, jalousies,

Si l’autre est pris.

.

C’est tout cela à la fois —————————————–

Même plus que cela : —————————————

Ça ne se décrit pas, —————————————

Ça vient et ça va. —————————————

.

.

Extensions

 .

Une « âme sœur » fait penser d’abord à conjoint

Mais pas que : ce peut être un ami ou une amie,

L’âme ne concernant pas directement le sexe

Ce qui ne veut pas dire qu’elle n’en a pas :

Tout ce qui est humain est sexué, par nature

Et l’on ne pourra s’en détacher, ni s’en abstraire.

.

Âme sœur c’est comme reflet de soi-même en miroir,

Quelque chose située entre la gémellité et le clonage,

Psychiquement parlant car il n’y a pas forcément

De ressemblance physique, plutôt le caractère,

La manière d’être, de réfléchir, et d’éprouver

Les mêmes émotions pour la même chose

Tout le monde en rêve, d’un tel double

Qui nous comprend, de l’intérieur,

Par empathie ou par télépathie.

.

En réalité, le fait est assez rare

Et le plus surprenant, pas de début,

D’histoire commune pour l’expliquer :

Comme parenthèse dans l’espace-temps,

Superposition, inattendue, de consciences.

On ne peut pas dire la même chose d’un frère

Ou d’une sœur qui ont pourtant partagé une

Grande partie de votre vécu, par définition.

.

L’âme sœur est étrangère, elle vient d’ailleurs

Nulle part, on la rencontre ou la rencontre pas,

Amants, même s’ils sont et demeurent fusionnels,

Ne sont pas des « âmes sœurs » sinon ils n’auraient

Pas besoin de se dévoiler, de se faire connaitre.

Les amants peuvent être plusieurs,

L’âme sœur demeure unique !

.

Ame sœur, pourquoi pas cœur frère, esprit arbitraire :

Rien de corporel, ni de sensuel, ni de sexuel la dedans

Rien que de l’intention, de la conscience, de la quête

De quelque chose d’invisible et pourtant palpable

Pour peu qu’on la reconnaisse, bien aimable !

Si les corps ne peuvent fusionner totalement

Qu’en est-il au sujet des esprits et des âmes

Devra-t-on convoquer ici la métaphysique

Ou quelque chose d’autre d’aussi magique

Tant, si quelqu’un possède la clé des songes

De l’autre, réciproquement : c’est âme sœur.

.

.

Épilogue

.

L’âme sœur peut être illustrée

Par image de serrure  et de clé,

Et autant, chaussure à son pied,

Habit vous allant comme un gant

Mais ici, c’est aussi cœur et esprit

Une projection subtile et intuitive !

***

Le sexe, l’âge,  et l’apparence, jouent

Un rôle évident dans cette rencontre,

Mais dans l’absolu, y a pas de limites,

Lors il s’agit d’âmes, tout est possible :

Âmes jumelles ont autres pertinences !

***

Comme l’intuition  d’avoir  une histoire,

Une personnalité  et  un destin commun,

Que l’autre serait  une moitié manquante

De soi-même à former tout indissociable.

***

Il arrive que l’on se trompe, pari stupide,

Ou que l’âme convoitée soit déjà mariée :

Une question de tempo, ou attendu trop.

***

Si l’on divorce d’une âme, perçue sœur,

Qui vous dit que prochaine est la vraie.

***

Je n’y crois pas … mais pourquoi pas !

.

.

682 – Calligramme

 .

Âme sœur,

Ou, âme clone,

Voire âme jumelle

Appelez-là  comme

Bon   vous  semble,

Elle  vous   adopte,

Et vous rassemble

En seul  bonheur.

Et, de la trouver,

Sera  une quête,

Une   conquête.

 Amour : vérité,

Non  charité,

Opportunité

Fusi-onnés,

Lors  pour

Toujours

Jours

V

.

TROUVER

C’est se trouver une amie —————————————-

Qui pense comme vous —————————————–

Qui vit comme vous : ——————————————

Jumeau et jumelle. ——————————————

 .

SON ÂME-SOEUR

C’est faire fi de la différence

D’âge, de métier ou statuts,

Ou contraire, semblables

En tous points égaux.

 .

VEUT DIRE

———————————C’est penser à quelqu’un

———————————-Comme par télépathie,

———————————-Souffrir comme lui,

————————————-Longueur d’onde.

 .

QUOI 

C’est sublimer son sexe

Pour éviter complexes

Situations, jalousies,

Si l’autre est pris.

 .

AU JUSTE 

C’est tout cela à la fois —————————————–

Même plus que cela : —————————————

Ça ne se décrit pas, —————————————

Ça vient et ça va. —————————————

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

682 4

.

Petit trophée comme une âme

Et posé sur un grand piédestal

Boite magique, représentée ici

Avec sa clé très personnalisée.

.

Difficile de visualiser une âme

et plus encore connaitre sa clé,

mais pas impossible en l’amour

tant ici la forme évoque le fond.

.

Je croyais que l’âme n’avait pas

De sexe, ni sexualité :

Une boite magique, avec sa clé,

Ame sœur l’ouvrira !

 .

 Symbolique

 .

Ame sœur demeure un concept

Qui évoque compatibilité amoureuse

Qui serait parfaite entre deux individus.

L’expression passée en le langage courant,

A définitions variables, ramenant toutes

Idée selon laquelle individus ont pour

Destin de constituer un couple.

Source : Wikipédia

.

Descriptif

 

682 – Trouver son âme sœur, veut dire quoi ! 

  Alignement central    /  Titre  absent   /  Thème    rencontre

Formes escalier / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : âme    /   Symbole de fond : clef

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

682 6

.

Je croyais que l’âme n’avait pas

De sexe, ni sexualité :

Une boite magique, avec sa clé,

Ame sœur l’ouvrira !

 .

Symbolique

 .

Le symbolisme de la clef

          Est en relation avec son double

              Rôle d’ouverture et de fermeture.

            C’est à la fois un rôle d’initiation

     Et parfois  de discrimination

  Dans les contes et légendes

   Trois clefs sont mentionnées

                     Pour ouvrir trois chambres secrètes :

                        Clef d’argent ; clé d’or, clé de diamant.

                                     La clef est alors symbole du mystère à percer,

                 De l’énigme laborieuse à résoudre,

                  De l’action difficile à entreprendre,

           Bref, des étapes qui conduisent

              À l’illumination et la découverte.

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’âme de quelqu’un ou de quelqu’une

Demeure difficile à ouvrir sans sa clé,

Comme mot de passe, amour ne suffit.

Il faudra chercher, trouver, la solution

En sa propre ouverture et son intimité.

.

On pensera au sexe mais c’est du cœur

Et de l’esprit qu’il s’agit, en leur secret

L’âme-sœur détient une clé identique

Lors âmes fusionnent avant corps

Et débordent de tous les bords.

 .

Scénario

 .

Une moitié, plus une autre moitié, donnerait un cœur entier !

Un doigt plus un autre doigt, donnerait deux doigts amoureux.

Un homme, plus une femme, donnerait un couple … heureux !

 .

.

Rencontre âmes sœurs ?

Scénario

 .

Une moitié, plus une autre moitié, donnerait un cœur entier !

Un doigt plus un autre doigt, donnerait deux doigts amoureux.

Un homme, plus une femme, donnerait un couple … heureux !

.

Visuels et textuels  >>

681 – Descente d’avion, l’émotion monte d’un ton

Visuels et textuels  >>

.

Attendre, un long temps,

L’aimée, et puis,  soudain,

L’on en devient … certain :

Émotion vous submergera,

Lors l’arrivée de son avion,

Et lors il roule au parking

Et  lors la porte s’ouvre,

Et lors  elle  apparait

Et salue de la main

En petit aéroport

Et pour lui dire

«Me voilà enfin.

.

À descente de l’avion

L’émotion monte d’un ton.

Voici venu le dernier moment

Depuis le temps que je l’attends,

Et la voilà qui franchit cette porte

Qui, jusque-là, la séparait, de moi !

.

Je sens que  mon cœur  m’emporte,

Et, que mon sang se dérobe, de moi.

Elle me parait plus jeune, détendue,

Moi qui l’ai vue pourtant toute nue,

Je me sens incertain la reconnaitre

Peut-être revient-elle  de renaitre,

D’une autre façon, autre raison,

Qui change tout à ma passion,

Plus forte …  plus différente,

Selon une autre … entente.

.

Mon aimée est unique :

La vie est fantastique

Ensemble pratique

Entrée magique

Revoir  enfin

L’ai-mée :

Di-vine,

Sera,

Est

V

.

.

Extensions

 .

Émotion brute et forte, s’il en est,

L’attente de quelqu’un d’important,

Représente chose essentiel, à ses yeux.

Tant ce ne sera pas tant d’arriver vivant.

Il n’est plus le temps où c’était l’aventure,

Que d’être pressé qu’il ou elle soit là, enfin

Et qu’on puisse faire des choses ensemble,

Profiter de l’air du temps  qui passe, sans

Se soucier de tout et de rien, lendemain.

.

Tout d’un coup, on l’aperçoit, du moins

Dans  les  petits aéroports, par la vitre,

Descendre l’escalier à l’avant de l’avion

Et marcher sur le tarmac, vers un hall.

Il lui reste encore à récupérer sa valise,

Ce qui peut prendre  un certain  temps,

Voire un temps certain, après la douane,

La voici, rayonnante, cherchant des yeux,

Qui, son compagnon, un ami … un parent.

C’est, toujours, un bon moment d’émotion.

.

Les voyageurs se dispersent, vous voilà seuls,

En un sas vous ramenant à la réalité du terrain

Il faut prendre un bus, ou un taxi, faire la queue,

Mais à présent que vous êtes deux, temps d’attente,

Ne compte plus car vous êtes certain d’y être, arrivés,

Il arrive que l’avion ait du retard, qu’il soit détourné,

Par suite  de  vent violent, d’orage, ou de brouillard,

Parfois  même  faire demi-tour : il n’y a qu’une fois

Qu’avion a touché le sol de piste, qu’on peut dire

Qu’on est arrivé, au bon endroit, bon horaire.

.

L’avion est connu comme le transport le plus rapide, sûr.

On peut le constater après son atterrissage mais pas avant

C’est quitte ou double, ou presque : on a vu des sauvetages !

Mais quoiqu’il en soit, l’équipière qu’on attendait est bien là,

C’est cela l’important, l’essentiel, pour nous, derrière  la vitre

Et ce n’est pas n’importe qui, c’est ma moitié tout de même

Et si elle vient me rejoindre cela signifie qu’elle… m’aime.

.

Les aéroports sont lieux d’envols, atterrissages,

Tout autant de stress, plaisir, émotion, passage.

Si l’on est souvent  accompagné, pour le départ,

L’on sera encore plus attendu lors d’une arrivée.

.

Les embrassades et signes d’adieu sont courants

D’autant qu’avion a du retard, suite intempéries.

On a beau dire que c’est le transport le plus sûr :

Il suffit d’une fois, c’est la faute à pas de chance.

.

.

Épilogue

*

Il resterait toujours, et quelque soient

La fréquence et la sureté des voyages :

Fond d’inquiétude, parfois d’angoisse,

Et bien plus encore en trajet en avion.

**

Lorsque l’annonce arrivée  imminente,

Vient de se faire, en attente  quelqu’un,

On est grandement soulagé d’un doute,

On va pouvoir souffler de le rencontrer.

***

Et voilà qu’elle se présente  sur l’escalier

De descente, avec ses bagages… au pied.

C’est bien elle, c’est sûr : l’on croit rêver,

Et l’on sent son cœur  battre la chamade

****

Elle ne sait pas  que  quelqu’un  est venu,

Pour  la  chercher,  aussi,  au moment  de

Commander un taxi,  se montre surprise,

Que quelqu’un l’appelle par  son prénom.

****

Elle fond dans ses bras,    elle l’embrasse,

Touchée par cette délicate   …  attention.

C’est la moindre des choses, diriez-vous,

Bientôt serez de la famille … après tout.

.

.

681 – Calligramme

.

Attendre, un long temps,

L’aimée, et puis,  soudain,

L’on en devient … certain :

Émotion vous submergera,

Lors l’arrivée de son avion,

Et lors il roule au parking

Et  lors la porte s’ouvre,

Et lors  elle  apparait

Et salue de la main

En petit aéroport

Et pour lui dire

«Me voilà enfin.

.

À descente de l’avion

L’émotion monte d’un ton.

Voici venu le dernier moment

Depuis le temps que je l’attends,

Et la voilà qui franchit cette porte

Qui, jusque-là, la séparait, de moi !

À   SA   DESCENTE   D’AVION,

Je sens que  mon cœur  m’emporte,

Et, que mon sang se dérobe, de moi.

Elle me parait plus jeune, détendue,

Moi qui l’ai vue pourtant toute nue,

Je me sens incertain la reconnaitre

Peut-être revient-elle  de renaitre,

D’une autre façon, autre raison,

Qui change tout à ma passion,

Plus forte …  plus différente,

Selon une autre … entente.

L’ÉMOTION   MONTE

Mon aimée est unique :

La vie est fantastique

Ensemble pratique

Entrée magique

Revoir  enfin

L’ai-mée :

Di-vine,

Sera,

Est

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

681 4

.

Ça peut être une pointe

De lance ou de flèche,

Ou encore une toupie

Descente d’avion ?

.

Pour une descente d’avion,

C’est une descente, en piqué :

Mais, il s’agit ici, de sa sortie,

Par un escalier mécanique !

 .

Pour une descente d’avion,

C’est une descente, en piqué :

Mais, il s’agit ici, de sa sortie,

Par un escalier mécanique !

.

Symbolique de forme

.

L’avion est en relation avec

 L’élément air,  le monde mental.

Puisqu’il est plus lourd  que l’air,

Il a besoin  d’un moteur  puissant

Pour décoller, pour  voler, et cela

Qui  se traduit, symboliquement,

Par  une  grande  volonté  pour

S’élever dans monde pensées.

.

Voyager en avion  consiste,

En situation  concrète,

D’aller  en  pensées

Pour se diriger

Vers nouvelle

Région  de

Consci

Ence

V.

source : ucm.ca/fr/symbole-avion

.

Descriptif

 .

680 – Demain résonne comme coup de tambour 

  Alignement central    /  Titre  absent   /  Thème    émotion

Formes en pointe/ Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : avion / Symbole de fond : escalier

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Pour une descente d’avion,

C’est une descente, en piqué :

Mais, il s’agit ici, de  sa  sortie,

Par un escalier mécanique !

 .

Symbolique 

 .

En général, la présence

Dans le rêve des escaliers

Qui sont descendus, représente

Une sorte de changement de vie.

Les descendre en monte la facilité

À l’inverse de monter des escaliers.

.

L’escalier peut aussi représenter un

Moment de changement  au  niveau

Spirituel, transformation intérieure

Qui, en tant que tel, peut être  vécu

Avec une certaine appréhension.

.

Dans ce dernier cas, le rêve

Peut être lu comme un besoin

De repenser son chemin de vie.

le-temple-du-sommeil.fr/blogs

blog/rever-descendre-escalier

 .

 .

Corrélations

 Fond/forme 

 .

S’il n’y a pas d’escalier dans l’avion

Il y en a parfois un pour la descente

Des passagers et des fois même deux

 Un pour ceux de l’arrière et de l’avant

Quand on voit sa femme  l’emprunter,

Son cœur se met à battre, fébrilement,

On est sûr au moins qu’elle est arrivée,

Que c’est juste une question de moment

Pour la serrer dans ses bras d’amant !

 .

 .

Attente impatiente suite retard

.

Scénario

.

Atterrissage en bout de piste  avant roulage vers le parking.

Descente de l’escalier  mécanique  sur une sortie  avant.

Marche dans les couloirs pour prendre les bagages.

 .

Visuels et textuels  >>

680 – Demain résonne comme coup de tambour

Visuels et textuels  >>

.

Demain résonne en moi comme un coup de tambour,

Demain raisonne en moi comme un autre dernier jour,

Où la chance me sourit de pouvoir rencontrer des amis

M’invitant, m’incitant ajouter nouveau jour à ma vie.

Une fois qu’on a dit cela : de quoi sera-t-il fait :

Sans doute, de la même chose que hier.

.

En tous cas, à peu de chose près,

Presque  tout  aussi  imparfait,

Que je le suis, que je l’étais.

Demain, est un autre jour,

Demain,  coup de tambour,

Demain serait  autre amour,

Demain sera contre ou pour.

Selon rencontre opportunité

Ou selon sa propre volonté,

Mais qui ne flanchera pas.

.

Tant la roue tourne, disent

Les  bonnes  gens,  lucides,

Dernier   coup  de tambour,

Marque la mort sans retour.

Mais que m’importe dès lors

Que je le suis  et serai encore

Jusqu’à la veille  de ma mort

Et, qu’il n’y a pas  d’amours

Même ne durant que jours

Sans lendemain toujours,

Qui vaillent d’être vécus.

 .

Demain, je verrai… demain, je toucherai…demain, je saurai

Qui, de moi, ou, d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré,

Sur le fil rouge  et vif, que l’on tissera, ou que l’on coupera.

Demain l’espoir s’installera ou pour longtemps, sombrera.

Demain  m’étonne  de ses nouvelles envolées, inespérées,

Demain détonne des nouvelles rencontres, énamourées,

Où les chances d’être à deux transpercent ma solitude

Me disent, clament rien n’est comme d’habitude.

 .

Une fois cela dit : de quoi l’autre est-il fait,

De  même chose  que moi  à peu près

Ou, de compléments, d’un choix,

Qui en ferait une reine, un roi.

Lors ce nouvel être pourrait

Me sortir de …  mon antre,

Me faire rentrer d’un puits

Sans fond  …  sans ventre,

À me perdre  en elle ou lui,

À moins  que  l’on ne me fuit,

Par défaut d’être quelqu’un parfait.

 .

Demain, je verrai, demain, je toucherai, demain, je saurai,

Qui de moi ou d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré.

Il n’y a pas, d’autre voie dans la vie que, de choisir d’être

Ce que l’on est et on ne le saurait que bien tard peut-être.

.

.

Extensions

 .

Ah, demain,

Encore demain,

Toujours demain,

Comme  si  demain

Était puits sans fond,

Un puits sans fin pour

L’espoir de devenir ce

Qu’on a rêvé d’être !

Coup de théâtre,

Coup de tambour,

Le destin ou je ne sais

Qui ni quoi aura décidé

Qu’il en serait  autrement

Et tant pis pour ma pomme

À moins  qu’autre   occasion

Similaire se présente à moi

Un autre jour et ailleurs !

.

Le bruit du tambour évoque, souvent, une guerre

Ou exécution capitale en place publique, naguère.

C’est une bien pale imitation du tonnerre sur terre

Mais elle ferait son office, comme colère de Jupiter

Qui décide de punir les humains pour leur conduite.

.

Coups de tambour et coups de théâtre

Vont ensemble, sonnez les trois coups.

Il y en a qui les cherchent et attendent

Lors autres les craignent ou détestent.

.

Il faut dire aussi qu’il y a des bonnes,

Et des mauvaises surprises, tambour

Battant, qui arrivent à tout moment

Et qui perturbent emploi du temps !

.

Coup de foudre  comme  de tambour,

Demain devient comme nouveau jour

Il résonne, en tête, comme un amour,

Dont souvenir marque pour toujours.

.

.

680 – Calligramme

.

Demain résonne en moi comme un coup de tambour,

Demain raisonne en moi comme un autre dernier jour,

Où la chance me sourit de pouvoir rencontrer des amis

M’invitant, m’incitant ajouter nouveau jour à ma vie.

Une fois qu’on a dit cela : de quoi sera-t-il fait :

Sans doute, de la même chose que hier.

.

En tous cas, à peu de chose près,

Presque  tout  aussi  imparfait,

Que je le suis, que je l’étais.

Demain, est un autre jour,

Demain,  coup de tambour,

Demain serait  autre amour,

Demain sera contre ou pour.

Selon rencontre opportunité

Ou selon  sa propre volonté,

Mais qui ne flanchera pas.

.

Tant la roue tourne, disent

Les  bonnes  gens,  lucides,

Dernier   coup  de tambour,

Marque la mort sans retour.

Mais que m’importe dès lors

Que je le suis  et serai encore

Jusqu’à la veille  de ma mort

Et, qu’il n’y a pas  d’amours

Même ne durant que jours

Sans lendemain toujours,

Qui vaillent d’être vécus.

.

DEMAIN RÉSONNE 

Demain, je verrai… demain, je toucherai…demain, je saurai

Qui, de moi, ou, d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré,

Sur le fil rouge  et vif, que l’on tissera, ou que l’on coupera.

Demain l’espoir s’installera ou pour longtemps, sombrera.

Demain  m’étonne  de ses nouvelles envolées, inespérées,

Demain détonne des nouvelles rencontres, énamourées,

Où les chances d’être à deux transpercent ma solitude

Me disent, clament rien n’est comme d’habitude.

.

COMME UN COUP

Une fois cela dit : de quoi l’autre est-il fait,

De  même chose  que moi  à peu près

Ou, de compléments, d’un choix,

Qui en ferait une reine, un roi.

Lors ce nouvel être pourrait

Me sortir de …  mon antre,

Me faire rentrer d’un puits

Sans fond  …  sans ventre,

À me perdre en elle ou lui,

À moins que l’on ne me fuit,

Par défaut d’être quelqu’un parfait.

.

DE TAMBOUR 

Demain, je verrai, demain, je toucherai, demain, je saurai,

Qui de moi ou d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré.

Il n’y a pas, d’autre voie dans la vie que, de choisir d’être

Ce que l’on est et on ne le saurait que bien tard peut-être.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

680 4

.

Une fontaine

Avec des jets d’eau

Coulant    tout autour,

Ou tambours superposés

.

Les formes et les fond divergeront

entre un tambour et une fontaine,

en outre sont différents leurs sons

lors forme et fond ne s’accordent.

.

Une fontaine qui coulerait, en continu,

Paisiblement

Est contraire même du coup de tambour

 Tonitruant !

.

Symbolique

.

La fontaine

Symbole de l’immortalité,

De la purification et de la régénérescence.

La fontaine de jouvence est une fontaine mythique

Dont l’eau à le pouvoir de régénérer le corps et l’âme

De celui qui la boit.

.

Ainsi, elle guérit toutes les maladies

Et les chagrins et par ce fait rend immortel

Plusieurs mythes font références à cette fontaine.

.

Par exemple, dans la mythologie

Romaine, Jupiter transforme la nymphe

Jouvence en une fontaine qui a la vertu de rajeunir.

Source : 1001 symboles

.

Descriptif

.

680 – Demain résonne comme coup de tambour 

  Alignement central    /  Titre  intercalé   /  Thème    force

Formes courbes / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : fontaine / Symbole de fond : tambour

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une fontaine qui coulerait, en continu,

Paisiblement

Est contraire même du coup de tambour

 Tonitruant !

.

Symbolique 

 .

Le tambour

Est instrument de

Musique à percussion.

Le battement du tambour

Évoque  les rythmes  de la vie.

Il symbolise battements du cœur

Ainsi que battement de la terre.

Régularité de son battement

Agit comme un vecteur

D’ondes  permettant

Chamans d’entrer

État de transe.

1001symboles.net/symbole/

sens-de-tambour.html

 .

.

 Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

La fontaine est un symbole universel

Du fait de source, écoulement perpétuel

Et autant du fait  que  l’eau qu’elle recèle,

Nourrit, guérit, adoucit douleurs réelles,

Et de là, à rajeunir, il n’y a qu’un mythe.

.

Elle n’aura rien à voir avec un tambour

C’est tout le contraire, tout en fluidité,

Le tambour tonne, la fontaine coule :

Contraste temps fort et temps mort.

 .

.

Vrai qu’il suffit d’attendre

.

Scénario

.

Un premier tambour, mais sans support

puis un deuxième tambour, sur son support,

et un troisième : trois formes et sons différents !

 .

Visuels et textuels  >>

679 – Comment conter fleurette à une… alouette !

Visuels et textuels  >>

.

C’est  belle expression

Ancienne, romantique

D’avant   la   évolution

Moderne   et  sexuelle,

Reprise    aujourd’hui,

Pour tenter sa chance

Près d’une  inconnue.

.

Auprès d’une alouette

Et qui passait   par là

Qui se trouvait seule

Perçue    en    proie.

.

Facile,   disponible

Libre de s’éloigner

Monter très haut,

Être inaccessible.

.

Raconter sans filet sans procès, regret,

Écrire ces mots  sans apprêt, sans effet,

Finir comme cela, hasard vite bien fait,

Histoire de voir s’ils sont bien parfaits.

.

Parfaits pour vous en conter, fleurette,

Heure étant dédiée  au plaisir  et  fête,

De vous raconter  la  belle  amourette,

Vous plaisant à vous mettre  en quête

D’un amour fou  qui vous  consolera,

De tous  prétendants  qui,  à tout va,

N’ont que sexe, en tête,  sur vos pas.

.

Croient que, votre cœur leur cédera,

Or votre cœur est comme forteresse

Qu’on ouvre  que  par  des caresses,

De votre âme, ou par ruse,  finesse,

D’un écrit qui aura trouvé adresse.

.

Trois, cent, mille,  un seul  parmi,

Un seul franchira votre pont levis,

Il en est ainsi que mille,  en esprit,

Cent, dans votre cœur,  trois en lit.

.

Vous, lui, l’amour qui  vous  réunit,

La place sera prise, voilà qui réjouit

Un amour déçu qui n’attendait plus

De la vie que  temps de survie vécue

En l’ombre  d’un destin, entraperçu,

Tardant à  venir, ne serait pas venu.

.

Eh bien non, l’on recommence tout,

L’amour n’est pas ainsi, est partout,

Celui-là, autre, il faut   qu’il soit fou,

Pour vous aimer, malgré lui et vous.

.

Voilà j’ai fini ma chanson, sœurette,

À quoi vous servirait d’être coquette,

Si vous ne l’apprenez,  restez muette,

Alors qu’autour, amour  vous guette,

Sans filets, sans procès, sans regrets.

.

.

Extensions

 .

Faire la cour, ou bien conter fleurette,

On n’emploie plus ces expressions

Aujourd’hui, devenues désuètes

Après  la révolution  sexuelle,

Bien que le souci et besoin

D’être désirée demeure.

On  parle  de « flirts »

Pour   des   caresses,

Et des embrassades,

On parle de « passe »

Relation sexuelle tarifée,

Et  on parle  de « plan Q »

Pour une envie  de conquête

Le soir même, dans son au lit :

Tout cela n’aura rien d’engageant,

Ressemble passe-temps ou gâterie.

.

Amour, amourette … confusion des émotions, des sentiments ?

Allez savoir, allez comprendre, allez moraliser

Y- a-t-il tromperie intention, objet, marchandage, marchandise

Et le sait-on plus qu’avant, que pendant, après

Toujours est-il que, consentants, qu’y aurait-il de grave à redire !

.

 Aventure, badinage, caprice, idylle,

 Intrigue, liaison, passade, béguin,

 Flirt, tocade, voire  toquade, etc.

Sont synonymes d’amourette.

.

L’amourette serait éphémère

Sans suite ni conséquences,

Une sorte de banc d’essais,

Pour savoir qui nous plait

.

Lors à ce qu’il nous évoque,

Si consentement, réciproque,

Il n’y a rien en cela qui choque :

Qu’un faux amour qu’on convoque.

.

.

679 – Calligramme 

 .

C’est l’expression………..……

Ancienne et romantique…….……

       D’avant   V     la révolution…………..……

    Moderne      A   et …… sexuelle…….………

     Et reprise        *          aujourd’hui…….………

Et pour tenter  D        sa chance…….……

Près d’une          O       inconnue…………

Auprès d’une     N     alouette…………

   Et qui passait    C       par là…………

 Qui se trouvait *   seule………

Perçue  en   proie…………

       Facile, disponible…………

            Libre de s’éloigner…………

             Monter   très haut…………

                Etre inaccessible. …………

.

Raconter sans filet  C    sans procès, regrets,

Écrire ces mots       O    sans apprêt sans effet

Finir comme cela    N   au hasard vite bien fait

Et, histoire de voir   T     s’ils sont bien parfaits.

Parfaits pour vous    E         en conter, fleurette,

Heure étant dédiée    R           au plaisir  et  fête,

De vous raconter la     *           belle  amourette,

Vous plaisant à vous    F          mettre en quête

D’un amour fou qui       L       vous consolera,

De tous  prétendants       E      qui, à tout va,

N’ont que sexe en tête,     U      sur vos pas,

Croient que, votre cœur     R   leur cédera,

Or votre cœur est comme    E   forteresse.

Que l’on ouvre que par des  T   caresses,

De votre âme, ou par ruse   T      finesse

D’un écrit qui aura trouvé  E   adresse.

.

Trois, cent, mille,  un seul parmi,

Un seul franchira votre pont levis,

Il en est ainsi que mille,  en esprit,

Cent, dans votre cœur,    trois en lit.

.

 Vous, lui, l’amour       À  qui vous réunit,

La place sera prise    *   et voilà qui réjouit

  Un amour déçu,     U      qui n’attendait  plus

    De la vie que        N         temps de survie vécue

         En l’ombre         E             d’un destin, entraperçu,

          Tardant à            *             venir, ne serait pas venu.

           Eh bien non,       A                 l’on recommence tout,

            L’amour n’est      M                pas ainsi, est partout :

            Celui-là, autre,       O                il faut   qu’il soit fou,

            Pour vous aimer,     U                  malgré lui et vous.

             Voilà j’ai fini ma        R                chanson, sœurette

            À quoi vous servirait   E                 d’être coquette,

           Si vous ne l’apprenez,   T                restez muette,

      Alors qu’autour, amour  T              vous guette,

      Sans filets, sans procès   E              sans regrets.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

679 4

.

Silhouette d’amourette  

Jeune,  et belle,  de profil,

Habillée avec  frous-frous 

Pour dessous de caractère

.

Pour sûr, amourette, caractère

amoureux et très vite emballé

vont de pair et vers impair,

ainsi forme évoque fond.

.

Superbe amourette, et avec dessous

Et avec des frous-frous :

Mais ne vous y fiez pas tant elle aura

Sans nul doute caractère.

.

Symbolique 

 .

Attachement passager,

Généralement exempt de passion,

Volontiers frivole, pour une personne.

C’est  un  homme  qui  aurait toujours,

Quelque amourette (Ac. 1835-1932);

Ses  amourettes  lui  feront du tort,

Dans  le monde  (Ac. 1835-1932)

Synonyme : caprice, fredaine,

Flirt,  séduction  éphémère…

www.cnrtl.fr/definition/amourette

.

Descriptif

 .

679 – Va donc conter fleurette à une amourette 

  Alignement central     /    Titre  oblique     / Thème    illusion

Formes anthropo / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : amourette / Symbole de fond : caractère

.

Fond

 .

Évocation 

.

679 6

.

Superbe amourette, et avec dessous

Et avec des frous-frous :

Mais ne vous y fiez pas tant elle aura

Sans nul doute caractère.

.

Symbolique 

.

Les femmes à fort caractère

Sont des femmes sûres d’elles

Du moins d’après apparences.

Volontaires, parfois elles sont

Très organisées dans leur vie

Professionnelle comme privée.

.

Elles ont une personnalité forte,

Savent ce qu’elles veulent et vont

«Droit au but » : dans leur séduction

Elles  adoptent  une position  active

Elles choisissent leur bon partenaire.

En couple, elles prennent des initiatives

Aiment imposer leur rythme au partenaire.

love-intelligence.fr/La-femme-a-fort-caractere-en-amour

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Amour passager et sans conséquence

Amour courtois et avec bienséance

Amour sur l’instant, platonique

Autant d’éphémères idylles,

Et qui n’engagent à rien

Autant dire qu’elles

N’ont d’existence

En conscience

Voire, sexe !

 .

.

Marmonne et marmotte

.

Scénario

.

Vision peintre cherchant à séduire la femme au naturel en alouette.

Vieillard cherchant à séduire jeune soubrette, en pièce de théâtre.

Comme une alouette : pas aussi facile qu’il y parait, à séduire !

 .

Visuels et textuels  >>

678 – Folie de croire que quelqu’une puisse m’aimer

Visuels et textuels >> 

.

Je me dis que c’est folie, de croire

Que quelqu’une puisse m’aimer,

Pour moi-même, pour histoire,

De me découvrir,  m’apprécier

Chacune,   à part   exceptions,

Cherchera  son propre intérêt,

D’abord, et, avant toute chose,

Soumettant ainsi, à sa passion,

Le blanc et le noir, après le rose,

Communauté réduite aux acquêts.

.

Ce  genre  de

Folie survient

Brusquement,

La folie ne dure

Que court instant,

Et fait, de vous, un pur

Un tendre, un merveilleux,

Amant et ce, jusqu’aux cieux

Dont  on tombe   lors, advient

Rupture si elle aura  bien lieu !

.

J’aimerais bien  connaitre état

Quel qu’en soit le prix à payer,

Quel que soit tel amour raté

Je pourrais  m’en féliciter,

Au cas contraire c’est seul

Avec moi-même resterai

Pour un temps éternité

Si ma vie s’était passée

Sans   pouvoir  aimer.

.

Je me dis, que c’est folie, de croire

Qu’on peut vivre amour sans histoire,

Souvent, et avant même de commencer,

On entame un procès en non-réciprocité,

Suivi, d’un autre, plus fort,  en non-égalité,

Pour terminer  sur le dernier en non-fidélité.

.

Sans projet  commun, les liens dans  la durée,

Peinent à se renforcer, commencent à s’étioler

Lors l’on se retrouve, l’un dans l’autre, coincés,

Par amour n’ayant que sexe en rapport penser.

.

Amour serai un attachement plus que fidélité,

Attachement  permanent, sans en discuter,

Fidélité s’en va, s’en vient, en instabilité,

Jusqu’à ce qu’à la fin, le pot est cassé.

.

.

Extensions

 .

Le sexe est un aboutissement

D’un concert comportements,

Rapprochements deux esprits,

Et cœurs, inspirant une union.

.

C’est une folie que de m’aimer :

Ce n’est pas tant que je le mérite,

Folie est par définition subjective,

Socialement  non soumise à raison.

.

Pourquoi moi plus qu’autre, question

J’admets  qu’on   m’aime, comme  cela

En passant,  pour  essayer,  en  profiter,

Mais intensité, durée, sont inexplicables.

.

S’il est vrai qu’on se présentera, à l’autre,

Sous son meilleur jour en trichant un peu

Pour que colle prenne, qu’on se soutienne

Sa tenue durant toute l’année à venir

N’est pas garantie, reste à tester !

.

Deux cœurs indifférents, plutôt gris et froids, sur du sable : instabilité.

Deux cœurs qui se rapprochent, croient en amitié possible : attractivité ;

Deux cœurs faut-il croire que paix entre eux soit souhaitable, raisonnable

La question n’est pas qu’on s’aime, qu’on s’aime pas : comment et pourquoi

Et là la réponse, qui l’aura, ce n’est que longtemps après, on comprendra

Qu’on est pas sur même longueur d’onde : ça ne peut marcher, durer,

C’est folie de croire qu’autre changera de même manière que moi.

.

Du moment que par une mère l’on ait été aimé,

Autre femme, aussi inspirante peut vous aimer :

C’est le modèle premier, le socle de votre altérité.

.

Si on en a pas, comment étant adulte, l’imaginer.

Il est bien tard pour oser croire en une telle folie :

On ne peut donner, échanger que ce qu’on a reçu.

.

Du sexe, c’est sûr, l’on peut en trouver… en abuser

Mais de l’amour réciproque et à ce point très fort :

Si on n’a pas stocker son sentiment : laisse tomber.

.

.

678 – Calligramme

 .

Je me dis que c’est folie, de croire

Que quelqu’une puisse m’aimer,

Pour moi-même, pour histoire,

De me découvrir,  m’apprécier

Chacune,   à part   exceptions,

Cherchera  son propre intérêt,

D’abord, et, avant toute chose,

Soumettant ainsi, à sa passion,

Le blanc et le noir, après le rose,

Communauté réduite aux acquêts.

.

****************************

***********************

.

Ce  genre  de

Folie survient

Brusque  F ment,

La folie     O     dure

Que court    L   instant,

Et, fait, de      I     vous, pur

Un tendre, un    E    merveilleux,

Amant et ce, jus   *      qu’aux cieux

Dont on tombe       D         lors, advient

Rupture  si elle       E          a  bien lieu !

J’aimerais bien     *       connaitre état

Quel qu’en soit   C    le prix à payer,

Quel que soit   R   un amour raté

Je pourrais    O   m’en féliciter,

Au cas cont  I  raire, c’est seul

Avec  moi  R même resterai

Pour un   E temps éternité

Si ma vie     s’était passée

Sans     pouvoir    aimer.

.

Je me dis,  *  que c’est folie, P  de croire

Qu’on peut   Q  vivre amour   E  sans histoire,

Souvent, et avant  U     même   U   de commencer,

On entame un procès  E       en        T   non-réciprocité,

Suivi, d’un autre,     L        plus fort,     *     en non-égalité,

Pour terminer      Q     sur le dernier en      M    non-fidélité.

Sans projet     U     commun, les liens dans    ‘       la durée,

Peinent à      ‘     se renforcer, commencent à   A    s’étioler

Et, l’on       U    se retrouve, l’un dans l’autre   I   coincés,

Par amour  N n’ayant que sexe en rapport M   penser.

Amour est  *    attachement plus que    E    fidélité.

Attachement  *  permanent sans    R    discuter.

Fidélité s’en va, s’en vient, en instabilité,

Jusqu’à ce qu’à la fin, le pot est cassé.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

678 4

.

Trois formes superposées

Propos éclairé et éclairant

 À la lumière d’une lampe,

Qui le sait voire qui le saura ?

.

Lampe et lumière vont ensemble

éclaire conscience, il me semble

empêche folie de nous gagner,

lors sa forme évoque le fond.

.

La lampe à pétrole serait une

Des lumières de l’amour :

Elle brille pour qui, y croit et le

Cherche, passionnément.

.

Symbolique 

.

Qu’il s’agisse de lampe

À huile, à pétrole ou d’une

Lampe moderne, électrique,

Elle  symbolise  l’énergie  que

Nous contrôlons, maîtrisons.

C’est la lumière intérieure,

Rassurante et simple,

Une connaissance

Étant transmise

Par l’environnement,

Celle que chacun reçoit en

Naissant et dont il a besoin.

En certains rêves symbolisme

Est proche de celui de la bougie.

Tristan-moir.fr/lampe

.

Descriptif

 .

678 – Folie de croire quelqu’un peut m’aimer

  Alignement central  / Titre  courbe cercle / Thème matière

Formes en rond / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

678 6

.

La lampe à pétrole serait une

Des lumières de l’amour :

Elle brille pour qui, y croit et le

Cherche, passionnément.

.

Symbolique 

.

Les frontières restent indécises

Entre la lumière   symbole

Et  la lumière  métaphore.

La lumière demeure mise

En relation avec obscurité.

.

La lumière succède aux ténèbres.

Si la lumière solaire meurt chaque soir,

Elle renaît chaque matin, assimilant  le destin

De l’homme à sa pérennité et sa puissance.

.

Les psychologues, et analystes,

Auraient observé qu’à l’ascension

Sont liées, des  images  lumineuses,

Accompagnées d’un sentiment d’euphorie,

Tandis qu’à la descente, des images sombres,

Accompagnées par des sentiments de crainte.

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

Folie, et euphorie, et dépit

Sont proches phonétiquement

Lumière provoque l’euphorie

L’ombre provoque le dépit

C’est la vie, c’est ainsi.

Lampe est aussi énergie

Avec réservoir quasi infini

Et qui éclaire toute notre vie

De sa lumière d’un amour béni.

 .

.

Fol amour, bien raisonnable

.

Scénario

.

Un gros cœur à côté d’un petit : ma foi, c’est plutôt raté !

Qu’est-ce qui te fait croire que tu pourrais être un ami.

 Désolée, mais tes mots n’ont pas ce sens-là pour moi !

 .

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