1051 – Qu’y a-t-il de sérieux dans toute notre vie ?

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.

Qu’y a-t-il de sérieux

Dans toute notre vie

À la fois tout et rien.

Son soi, jeune, vieux,

Chacun  le sent bien :

Tout le monde  en rit.

Tout est  merveilleux,

Quand  l’on se marie.

.

Les enfants,  heureux.

Haut ou bas ou mieux

De travers, c’est parti :

Désir, plaisir, est  sien.

On vous  l’avait  prédit,

La vie  est long chemin,

Où  votre énergie tarit !

.

Cramponnez-vous  bien

Secousse  vers les cieux,

Plonge  en enfer  hideux.

Pour vivre en amoureux,

Il vous faut être… assorti,

À tout et y compris à rien.

La mort  ne nous dira rien

Sur ce qui est mal et bien !

.

Cela reste affaire d’humain

Lors, le néant n’y peut rien.

Seule la vie nous apprendra

Que  le mal, le bien, dépend,

De qui le fait, où…comment,

Quelle raison il … invoquera.

.

Le massacre, le plus horrible,

N’a répercussions sur au-delà

Il nous demeurera …  invisible

À ce qu’on nous dit,   l’on croit.

.

Si l’on accélérait le temps assez,

Nous serions parenthèse fermée,

Au moment  où  elle s’est ouverte,

La terre aurait toujours été déserte

Les méchants sont-ils une punition,

Tout comme la mort : une exécution.

.

On peut s’en passer mais on les recrée.

Comment survivre à ce paradoxe, inné !

À chacun de, se trouver, se créer, un sens

À ce qui n’en a pas, d’évidence, en croyance

Que l’on ait tort, ou raison, le faux  ou le bon,

On ne le saura qu’en fin de vie, lors moribond !

Si le mieux est parfois considéré ennemi du bien

.

 

.

Extensions

 .

Il n’y a rien de sérieux dans la vie,

Or l’amour, la procréation,

L’éducation,  la famille,

La réussite, le voyage,

La culture,  et l’humour,

La santé, voire la déficience,

La dignité, et la religion et la mort.

Ce qui fait déjà treize thèmes à suivre

Et à pratiquer d’une manière ou d’une autre.

Le détachement consiste  à prendre du recul

Rapport aux soucis quotidiens, lendemain.

La philosophie et la religion, bouddhistes,

Le font  très bien, en tout cas, mieux que

Autres religions, pour qui  la possession

Reste un critère  de réussite, y compris

Auprès de leur dieu, il y a les guerres 

Ça c’est sûr, c’est sérieux, car ça fait

Des victimes  et des misères, mais,

Quand, après, il n’y a ni perdant,

Gagnant, ça fait moins sérieux.

.

Ceux ou celles qui pratiquent l’humour ne sont pas sérieux.

Allez dire  cela  aux humoristes, patentés, qui nous parlent !

L’humour n’est pas l’antagoniste du sérieux : son antidote :

Sans lui, nous serions coincés, dans notre stress, aliénation,

Sans jamais pouvoir en sortir, on serait  comme  en prison.

Après il y a différentes sortes d’humour et d’interlocuteurs.

On peut rire de tout mais pas avec n’importe qui maxime

Qui nous porte à réfléchir ou tourner sept fois la langue

Avant de blesser des gens t même par inadvertance.

.

Les choses sérieuses commencent quand on a

Copain ou copine, qu’on considère amoureux :

Dès sont lancés, si ça échoue : à recommencer,

Jusqu’à ce que le projet de se marier aboutisse.

.

Les choses sérieuses  commencent  quand on a

Diplôme et métier en poche, quel qu’ils soient :

On va avoir emploi  et  gagner sa vie, tout seul,

Jusqu’à payer sa dette si prêt études contracté.

.

Les choses sérieuses  commencent  quand on a

Une maison ou bien  appartement, à son nom :

On peut rêver d’investir, ne pas être sans le sou,

Jusqu’à avoir maison plus grande ou plusieurs !

.

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1051 – Calligramme

 .

Q U’ Y  A – T – I L

Qu’y a-t-il de sérieux

Dans toute notre vie

À la fois tout et rien.

Son soi, jeune, vieux,

Chacun  le sent bien :

Tout le monde  en rit.

Tout est  merveilleux,

Quand  l’on se marie :

Les enfants,  heureux.

Haut ou bas ou mieux

De travers, c’est parti :

Désir, plaisir, est  sien.

On vous  l’avait  prédit,

La vie  est long chemin,

Où  votre énergie tarit !

D E       S É R I E U X

Cramponnez-vous  bien

Secousse  vers les cieux,

Plonge  en enfer  hideux.

Pour vivre en amoureux,

Il vous faut être… assorti,

À tout et y compris à rien.

La mort  ne nous dira rien

Sur ce qui est mal et bien !

Cela reste affaire d’humain

Lors, le néant n’y peut rien.

Seule la vie nous apprendra

Que  le mal, le bien, dépend,

De qui le fait, où…comment,

Quelle raison il … invoquera.

D A N S  N O T R E  V I E ! 

Le massacre, le plus horrible,

N’a répercussions sur au-delà

Il nous demeurera …  invisible

À ce qu’on nous dit,   l’on croit.

Si l’on accélérait le temps assez,

Nous serions parenthèse fermée,

Au moment  où  elle s’est ouverte,

La terre aurait toujours été déserte

Les méchants sont-ils une punition,

Tout comme la mort : une exécution.

On peut s’en passer mais on les recrée.

Comment survivre à ce paradoxe, inné !

À chacun de, se trouver, se créer, un sens

À ce qui n’en a pas, d’évidence, en croyance

Que l’on ait tort, ou raison, le faux ou le bon,

On ne le saura qu’en fin de vie, lors moribond !

Si le mieux est parfois considéré ennemi du bien

Qui sera l’ami du mal en prétendant faire le bien ?

.

.

Forme

.

Réduction

.

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Évocation 

.

1051 4

.

Une haute tour,

Ou bien un donjon

Instrument musique,

Ou cheminée d’usine !

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Cheminée aussi bien ouvragée,

Aussi bien conservée

Constitue gage de sérieux, réussite

Et voire de pérennité !

.

Symbolique 

.

La cheminée

D’une maison  représente

Un canal de communication

Entre  le  monde  des hommes

Et  celui  du   « plus haut ciel ».

.

Symbolise l’élévation spirituelle.

Elle est  le  passage   qu’emprunte

Père Noël  pour  déposer  cadeaux,

Sorcières pour se rendre au sabbat.

.

Ici la cheminée symbolise le passage

Au monde  fantastique et mystérieux.

La cheminée apporte la chaleur dans

Le foyer  et le feu  qu’elle contient,

Représente  lieu convivial autour

Duquel les membres de la famille

Se rassemblent pour se réchauffer.

1001symboles.net/symbole/sens-de-cheminee

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1051 6

.

Une cheminée, aussi bien ouvragée,

Aussi bien conservée

Constitue gage de sérieux, réussite

Et voire de pérennité !

.

Symbolique 

 

.Généreux va avec générosité ;

Monstrueux, monstruosité ;

Dangereux, et dangerosité.

Sérieux : pourquoi a-t-on

Abandonné la sériosité,

Existant au XVIème siècle

Nous dit  (disait) Alain Rey.

.

Sérieux s’est imposé à la place.

Adjectif et nom se sont confondus.

Je n’en ai pas  trouvé  l’explication

Mais  je trouverais  intéressant de

Réhabiliter sériosité pour donner

Plus de visibilité, plus de force

Au fait d’être … sérieux.

.

Le sérieux  se perd d ans

La grisaille des gens pas

Drôles  et  des situations

Qu’on aimerait oublier.

persopolitique.fr/1826/seriosite

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

La plupart de nos projets partent

En fumée, dans le vide atmosphère :

On travaille parfois comme passionne

Et l’on travaille même d’arrache-pied :

Rien au bout : tout est à défaire, refaire.

.

Tant et si bien  qu’à la fin,  on se demande

Si cela vaudra le coup  et l’on abandonne !

T’as pas le talent, t’as pas le temps, argent,

Combien d’artistes débutants en restent là !

 .

.

Est-ce qu’écrire est sérieux ?

.

Scénario

.

Tout est dit dans cette phrase, il n’y a vraiment rien à ajouter,

Mais moi, j’en rajouterais bien quand même une couche pour,

Un brin d’humour serait ce qui nous maintient en vie, joyeux.

 .

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1050 – Qu’importe qui l’on est ou ce que l’on fait !

Visuels et textuels >>

.

Qu’importe ceci, cela :

Essentiel est avant tout

De savoir  …  qui on est

Ce qu’on fait, et le reste,

Ça vaut, ou  rien du tout.

Ce qui fait  notre identité,

C’est notre fidèle mémoire,

C’est notre familiale histoire,

Dont on ne peut se débarrasser

Sans aussitôt se dépersonnaliser.

.

Qu’importe qui l’on est,

Qu’importe ce que l’on fait,

L’essentiel est d’être heureux,

Dès lors que la vie n’est que jeu.

Par les siens, sa société, le monde,

Un acte est jugé digne ou immonde,

Mais à la fin de vie, dernière seconde,

On efface tout et personne qui réponde

En termes de, honte, mépris, culpabilité.

Il n’y a que la mémoire qui peut entacher

La vie des enfants, ou, celle des  familiers.

On appartient à, sa famille, communauté,

Qu’importe qui on est, ou, ce que l’on fait,

A moins de, faire cavalier seul,  les renier.

J’ai le sentiment d’engager  plus que moi,

En tout ce que suis en tout ce que je fais,

Je peux être n’importe qui, en faux nom,

Et alors, je ne suis plus moi, qui suis-je !

Votre vie qui donne, comme un vertige,

À ne rien assumer, en tout se cacher.

C’est en fait question  de tolérance,

Membre n’est que représentant

De la famille mais pas entière

Aujourd’hui, demain et hier !

Qu’importe ce qu’on fait,

Qu’importe qui l’on est :

À une seule condition,

Celle d’en être fier.

.

On croit parfois on engage que soi

Lors on décide de se loger, se marier

Et on laisse nombre d’autres, de côté,

Prenant de la distance, temporalité,

À reconfigurer réseaux d’amitiés.

.

.

Extensions

 .

Qu’importe qui l’on est et ce que l’on fait :

C’est vrai et c’est faux, vrai, si l’on s’en fout

Et qu’on poursuit son chemin, seul, en dépit

Des obstacles et en se projetant loin devant.

C’est faux si l’on tient beaucoup à être utile

Et reconnu, intégré, totalement, dans une

Société qui avance sans voir  lendemain.

Le regard et le jugement des autres

Sur soi-même est un véritable

Baromètre de son niveau de

Socialisation et de moralisation.

Les rumeurs fondées in infondées,

Sont largement plus désastreuses que

Les faits eux-mêmes qui, bien que démentis,

Chacun  sait que l’on retient l’accusation face

À la relaxe ou au classement sans suite :

Injuste, certes, c’est comme ça !

.

Être, faire : qui on est, qu’est-ce qu’on fait, comment, pourquoi

Autant de questions et qui nous taraudent, de temps en temps.

Il faut bien être quelqu’un et bien faire quelque chose de sa vie

Et faire ce que l’on désire est aussi important que de s’intégrer

Dans  une  communauté, une activité, une société, mondialité :

L’adéquation entre soi et le monde dépend de son adaptabilité

Comme la société est constituée de majorité de gens  inconnus

La célébrité ne sera pas un gage de réussite  ni même d’utilité.

Etre efficient en  réseau, là où il faut, est notre nouveau credo.

.

On connait beaucoup mieux ce qu’on fait

Que qui on est : miroir, mon beau miroir

C’est l’entourage qui définit notre image,

Et pas toujours exacte, à notre avantage.

.

De là, à dire qu’on est que ce que l’on fait

Et cela au moins, chacun peut le vérifier,

Est des plus trompeur, sinon  réducteur :

On peut être passionné de… plus du tout.

.

L’identité serait un puzzle  ou mosaïque,

Résumant notre parcours, notre histoire,

Parfois, nous-même ayons peine à croire,

Tellement nous aurons, souvent … évolué.

.

.

Épilogue

 .

Ce que l’on est, ce que l’on fait,

Détermine part de notre identité

Entre notre personnalité et société,

Dressant, pour autres, notre portrait.

***

Alors de dire, qu’importe,  ferait-il sens :

N‘est-ce pas un contresens, voire non-sens

À vrai dire, non : le Monde est vaste, varié :

Chacun occupe une place utile, ou attribuée.

***

L’essentiel n’est pas d’être ceci plutôt que cela :

Essentiel est d’être heureux, qui qu’on soit, fasse,

Y a pas de sot métier, pas plus que de sottes gens :

On peut être heureux de rien, malheureux avec tout.

***

L’on peut affirmer qu’on est que produit de son milieu,

C’est en grande partie crédible mais exceptions existent,

C’est dû pour partie  à sa motivation ; partie, opportunité

La chance passe parfois, on ne la saisit, on nous l’interdit !

***

Si on s’interroge sur l’avenir,  on le fait autant sur son passé,

Si on ne définit pas une trajectoire qu’on ne va jusqu’au bout.

Il n’y aura pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va :

De dire qu’on a réussi mais qu’on est là par hasard, on croit pas.

.

.

1050 – Calligramme

 .

QU’IMPORTE

Qu’importe ceci, cela :

Essentiel est avant tout

De savoir  …  qui on est

Ce qu’on fait, et le reste,

Ça vaut, ou  rien du tout.

Ce qui fait  notre identité,

C’est notre fidèle mémoire,

C’est notre familiale histoire,

Dont on ne peut se débarrasser

Sans aussitôt se dépersonnaliser.

QUI ON EST

Qu’importe qui l’on est,

Qu’importe ce que l’on fait,

L’essentiel est d’être heureux,

Dès lors que la vie n’est que jeu.

Par les siens, sa société, le monde,

Un acte est jugé digne ou immonde,

Mais à la fin de vie, dernière seconde,

On efface tout et personne qui réponde

En termes de, honte, mépris, culpabilité.

Il n’y a que la mémoire qui peut entacher

La vie des enfants, ou, celle des  familiers.

On appartient à, sa famille, communauté,

Qu’importe qui on est, ou, ce que l’on fait,

A moins de, faire cavalier seul,  les renier.

J’ai le sentiment d’engager  plus que moi,

En tout ce que suis en tout ce que je fais,

Je peux être n’importe qui, en faux nom,

Et alors, je ne suis plus moi, qui suis-je !

Votre vie qui donne, comme un vertige,

À ne rien assumer,    en tout se cacher.

C’est en fait ques     tion  de tolérance,

Membre n’est          que représentant

De la famille           mais pas entière

Aujourd’hui          demain et hier !

Qu’importe               ce qu’on fait,

Qu’importe             qui l’on est :

À une seule              condition,

Celle d’en                  être fier.

ET CE QU’ON FAIT !  

On croit parfois on engage que soi

Lors on décide de se loger, se marier

Et on laisse nombre d’autres, de côté,

Prenant de la distance, temporalité,

À reconfigurer réseaux d’amitiés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1050 4

.

Une  identité  de  roman,

Inventé par quel qu’auteur

Pour le moins  énigmatique,

Pour le moins interrogatif ?  

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Il est vrai : identité interrogative

on a  pratiquement aucun  indice,

ça peut être : vous ou moi ou autre,

si fait  que la forme adresse le fond !

 .

Identité : le sait-on soi-même,

 Ou ce ne seraient que… les autres.

Un peu les deux, oui mais, jamais

 Complètement : on s’interroge ?

.

Symbolique 

.

L’identité de l’individu 

est,  en psychologie sociale,

Reconnaissance de ce qu’il est,

Par lui-même ou par les autres.

.

Notion d’identité est au croisement

De la sociologie  et  la psychologie,

Mais intéresse, aussi, la biologie,

La philosophie et la géographie.

.

En psychanalyse cette notion

Se retrouve dans le moi et

Dans  l’identification,

En philosophie elle

Se retrouvera dans

L’identité personnelle.

Wikipédia : identite

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

1050 6

.

Qui on est : le sait-on soi-même,

 Ou ce ne seraient que les  autres.

Un peu les deux oui mais, jamais

 Complètement : on s’interroge ?

.

Symbolique 

.

Interroger:   questionner,

Sonder,    fouiller,    scruter,

Tester, inspecter ,  examiner,

Comparer, délibérer, évaluer,

Collationner,          approfondir,

Consulter,    discuter,     surveiller,

Sonder,     questionner,      consulter.

S’interroger : s’informer,  se renseigner,

S’enquérir, se demander, se tâter, atermoyer,

Se documenter,  enquêter,  déterminer, procéder

À un interrogatoire, soumettre à un interrogatoire.

Source : Dictionnaire Français Synonyme

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Dans la vie, on ne fait que s’interroger

Sur qui on est, on  était, on deviendra,

Sur ce que l’on veut,  l’on ne veut pas :

C’est notre moindre qualité : curiosité

Et jusqu’au dernier souffle, continuer,

Cette recherche ne peut être terminée.

.

Alors qu’en réalité, on est ce qu’on est,

rien de plus, rien de moins, en devenir

entourage, relations, donnent identité

à laquelle, on adhèrera plus ou moins

en se surestimant ou en sous-estimant

jusqu’à ce qu’on se dise : qu’importe !

 .

.

Qu’on soit président, manant

.

Scénario

.

Tout le monde ne peut être connu, et ce d’une façon ou d’autre :

par multitude de jobs bien que différents et tous élémentaires :

le mien, je l’ai choisi, même si je ne le perçois qu’alimentaire !

 .

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1049 – Qui peut dire : j’ai rêvé d’être ce que je suis

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.

Être ou ne pas être,

Ou être  ce que l’on est,

Être ce  qu’on a rêvé d’être,

Sont choix de vie, de destinées.

Rêve de nuit et voire rêve de jour

Ne me raconteraient pas toujours

Même chose  ===  plus lourds,

De nuit ; plus légers, de jour.

Le stress vient s’y greffer ;

Stress vient habiter,

S’évacue, équilibre,

Ou, parfois, cancer.

 

J’ai rêvé d’être ce que je suis,

Et je suis ce que  j’ai rêvé  d’être

Qui peut le dire peut  le prouver,

Tant un rêves est peu conscientisé

En moi, il y aurait  deux rêveurs :

Celui qui me parle en pleine nuit,

Celui qui parle de moi plein jour

L’un et l’autre  savent équilibrer

Sinon, l’un d’eux me… détruirait,

Et un cancer, en moi, produirait,

Tant stress de la nuit, et du jour,

Annihileraient contres et pours.

Peut-être le concret du bonheur

Rêver de réussir son pur projet

Le  faire, réellement, à l’heure,

Et se dire, voilà j’y suis, étais !

Et, que m’importe, si j’échoue,

Si projet tombe dans les choux,

De l’avoir tenté, seul me permet

De modifier mon rêve… en secret

Car le rêve appartient à soi-même

Il tiendrait à nous à bien le réaliser.

.

.

Extensions

 .

Ce que je suis serait prophétie auto réalisatrice

Comme d’un changement de rêve tout comme

On se construit des  faux souvenirs d’enfance

Qu’on prend pourtant et souvent pour vrais.

Est-ce que j’ai vraiment réalisé mon rêve

Ou est-ce que j’ai adapté un ancien rêve

Par rapport à ce que je suis, ou j’étais ?

Difficile de répondre, étant honnête

À un tel questionnement  précis !

Notre  société,  par  la  publicité,

Les reportages, les documentaires,

Ne nous vend que du rêve, et à crédit.

«Pourquoi pas vous est devenu son slogan :

Il suffit de se mettre en marche, avec méthode

Et suite à  la réussite ou à l’échec, faire son bilan

Le rêve peut devenir réalité, et la réalité, tout autant,

Peut devenir un rêve, entre «je suis ce que j’ai voulu être»

Et «je ne suis que ce que j’ai pu être», il n’y a pas différence

Lexicale ou sémantique, il y a surtout un espace imaginaire

Qui s’est rempli et satisfait ou est demeuré à moitié vide,

La motivation pour faire un métier n’est pas toujours

En lien avec une passion pour réaliser une activité,

Elle est d’origine économique et opportuniste

Tant rares sont les gens étant en parfaite

Adéquation entre ce qu’ils sont, font !

.

Qui dit j’ai rêvé d’être ce que je suis

On peut lui renverser la chaussette

Parce que, ceci ou cela, vous étiez,

Que vous en avez rêvé en un passé

Qui, par la suite, vous aura guidé.

On serait là  en un vrai paradoxe,

Comme celui de l’œuf et la poule.

.

Il existerait nombre de personnes, disant

Qu’en faisant ceci ou cela en travaillant,

Ils auraient réalisé leurs rêves  d’enfant

Est-ce un parmi autres ou seul tenant.

Il n’existe qu’un moyen de le vérifier,

Qui est celui d’interroger les parents

Qui s’en souviennent ou l’inventent !

.

Je ne me souviens,  personnellement,

D’avoir rêvé de devenir ce que je suis :

Comme enfant je rêvais d’être pompier

Si ce n’est maire, instituteur, voire curé

Ce sont bien des personnages d’influence

Et  je ne serai devenu, aucun d’entre eux :

Je ne regrette rien, je suis comme je suis !

.

.

Épilogue

.

D’être ce que l’on est,

Ce que l’on a rêvé d’être,

Comportent  divergences,

Dans toutes nos existences.

***

Être ce que l’on est d’évidence

 Au moment même où on le dit :

Rien n’est figé tout peut changer

Accomplir son rêve, le manquer !

***

Et lors, en le supposant accompli,

En aurais-je d’autres ou cela suffit,

Et jusqu’au dernier jour de ma vie.

***

On se demandera d’où vient ce rêve

Qui conditionnerait toute notre vie

Est-il vraiment le nôtre, influencé !

***

D’ailleurs est-ce rêve ou destinée :

Y aurait-il un choix,  une fatalité :

À chacun d’y croire, d’en décider.

***

N’ai pas rêvé d’être ce que je suis,

Je le suis devenu au fil des années,

Je ne regrette rien de ce que j’ai été.

.

.

1049 – Calligramme

.

Être ou ne pas être,

Ou être  ce que l’on  est,

Être ce  qu’on a rêvé   d’être,

Sont choix de vie,  de destinées.

Rêve de  Ô  nuit, rêve   Ô  de jour

Ne me raconteraient pas toujours

Même chose  ===  plus lourds,

De nuit ; plus légers, de jour.

Le stress vient s’y greffer ;

Stress vient habiter,

S’évacue, équilibre,

Ou, parfois, cancer.

 J

J’ai rêvé d’être       ’      ce que je suis,

Et je suis ce que   A      j’ai rêvé  d’être

Qui peut le dire     I    peut  le prouver,

Tant un rêves est  *   peu conscientisé

R

En moi, il y au      Ê  rait deux rêveurs

Celui qui me par  V  le, en pleine nuit,

Celui qui parle      É  de moi plein jour

L’un et l’autre        *   savent équilibrer

*

Sinon, l’un d’eux    Ê      me… détruirait,

Et un cancer, en     T      moi, produirait,

Tant stress de la     R      nuit, et du jour,

Annihileraient        E     contres et pours.

*

Peut-être le con       Q       cret du bonheur

Rêver de réussir       U       son   pur  projet

Le faire réelle            I          ment à l’heure,

Et se dire, voilà          *            j’y suis, étais !

J

Et, que m’impor         E             te, si j’échoue,

Si projet tombe           *           dans les choux,

De l’avoir tenté,           S           seul me permet

De modifier mon         U         rêve … en secret.

Car le rêve appar          I         tient à soi-même

Il tiendrait à nous        S        à bien le réaliser.

.

.

 Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1049 4

.

Marionnette enfantine,

Marionnette      populaire,

Marionnette  manipulée,

 Faite entièrement en LEGO 

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Une marionnette n’est pas une poupée

n’est pas une silhouette, n’est pas statue,

pour autant elle a une expression humaine,

tant et si bien que la forme converge vers fond

.

Plutôt que d’être une marionnette,

Manipulée par d’autres :

Choisir sa vie, sa famille, son métier,

Son loisir, c’est réussir !

 .

Symbolique

 .

Le symbolisme de la marionnette

Rejoint celui du Théâtre dont la fonction

Originelle est d’exprimer un archétype divin

Le monde étant un grand théâtre, où chacun

Joue le rôle  qu’il doit, en exprimant, non pas

Son propre désir  mais la volonté scénariste.

.

Comme  l’homme libre  et  mu  de l’intérieur,

Elle semble se mouvoir par elle-même alors

Qu’elle obéit au contrôle qui la tient et sans

Lequel elle tomberait inanimée ;

Se croire indépendante et faire

Comme elle veut, serait contre nature ;

Source : aminour.unblog.fr/2008/04/03/

le-symbolisme-de-la-marionnette

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1049 6

.

Plutôt que d’être une marionnette,

Manipulée par d’autres :

Choisir sa vie, sa famille, son métier,

Son loisir, c’est réussir !

 .

Symbolique 

.

Une manipulation mentale

Ou manipulation psychologique

Est  une méthode délibérément

Mise en œuvre dans le but

Contrôler ou influencer la pensée,

Les choix, les actions d’une personne,

Via un rapport de pouvoir ou d’influence

telles que  des suggestions, contraintes.

.

Les méthodes utilisées fausseront

Ou orienteront la perception de

La réalité de l’interlocuteur

En usant,  notamment,  d’un

Rapport séduction, suggestion,

De persuasion, ou de soumission

Non volontaire ou voire consentie.

fr.wikipedia.org/wiki/Manipulation_mentale

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Quelque part entre le rêve et la réalité

La marionnette Pinocchio s’anime seule,

Auparavant manipulée par son créateur,

C’est elle seule qui décide  se des aventures.

Est-elle le reflet  ou le double de son maitre !

.

Ce qui n’est pas le cas théâtre de marionnettes

Où le manipulateur la bouge et parle à sa place,

D’ailleurs si quelqu’un se fait manipuler par autre,

On dit de lui qu’il n’est rien autre que sa marionnette

 .

.

Rêve d’être ce que je suis

.

Scénario

.

Célèbre photo d’un jeune garçon  dont on ne sait pas de quoi il rêve,

d’une projection de Nature,  parce qu’il est bien assis sur du bitume,

ou multitude d’autres visions, possibles, quoique très improbables !

.

Visuels et textuels >>

1048 – Sauf un malheur, rien de fâcheux n’arrive

Visuels et textuels  >>

.

Seul   malheur

Irré-pa-ra-ble,

Chacun  le  sait :

C’est notre mort

Reste,   imprévu,

Est très aléatoire

Lors  ne met pas,

Sa vie, en danger,

Peut  la diminuer,

Jusqu’à  la rendre,

À  demi ….  effacée.

.

Exemple   imprévu :

Combat du roi David

Contre géant Goliath,

Car c’est ce qui arrive,

Contre toute… attente,

Dans la vie et la société

Monde de tous les jours.

.

Autant de tout un chacun

À écouter, les gens, parler,

Ou, à les voir  se comporter

De façon raisonnable, sensée,

Et constructive et programmée,

L’on se dit, qu’à  part un malheur,

Rien de fâcheux ne  peut  leur arriver.

.

D’accord, ils projetteront de faire ceci,

Et finalement, ils feront cela, casse-tête.

Il n’y a pas de heurts ni de contradictions :

Tout est logique avec explication  à  donner.

.

Au cinéma, au théâtre  en romans, et nouvelles,

Rien de ce qui avait été annoncé voire pressenti

Rien se passe comme prévu, comme il a est écrit.

.

Coups  de théâtre,  interventions,  malchances,

Changements de cap accident, refus, mort

Et que sais-je, viennent aider, entraver

La suite logique des événements.

.

S’il n’y a pas  d’histoires,

Chavirements  d’épreuves,

Il n’y a non plus  de  bons  films

Il n’y a  davantage de bons romans,

.

Car ils  conservent tous  et  chacun,

Une part de magie dans un  miroir

Dans  lequel  l’on  se  projetterait,

Ou dans lequel,  on rajouterait

Une autre part  de  mystères,

Afin que l’on s’en inquiète,

Tout suspense serait basé

Sur une curiosité de savoir.

.

.

Extensions

 .

On a les pieds  sur terre,

Lors un fait, événement,

Histoire incarnée nous

Accroche  et l’on court

Avec elle  et l’on prend

De la hauteur … à voler.

.

On parle de chute, à la fin,

Surprenant  par côté logique,

Sinon parfois des plus inattendus.

Mais la chute est pensée dès le début,

Pour être crédible ou être vraisemblable.

.

Ainsi commence-t-on  un roman, par la fin.

On peut imaginer, peut écrire plusieurs fins :

S’il n’y en a pas, ça excite certains, imaginatifs

Qui vont la poursuivre et en déroutent d’autres

Qui reste sur leur faim et ne savent qu’en dire.

.

Le bonheur  est une douce symphonie ; malheur, une cacophonie.

Notre bonheur résonne de peu de bruit en arrivant et en partant,

Notre malheur claque comme l’éclair, résonne, coup de tonnerre,

On aura beau tenter par tous moyens de s’en prémunir, protéger,

On est jamais tout à fait à l’abri d’un évènement de vent mauvais.

Après quoi, de tourner la page, c’est sûr, d’accord, c’est nécessaire

Mais tout le monde n’a pas une force de résilience, ne peut le faire

Et de dire que, seule, la mort constituerait un malheur irréparable

Ne nous consolera pas de perte irrémédiable : ce peut-être jamais.

.

On dit, parfois, aux gens qui sont malades

Qui n’ont plus le moral, que c’est fini foutu :

« La mort, seule, est définitive, irrémédiable »

Répondant : avant il y a souffrance, malheur.

.

Toute sa vie ne serait pas prévisible, pas lissée,

Comme on le voudrait car il y aura des heurts

Des réticences, des choix hasardeux et ratés,

Elle continue, tant qu’elle dure on l’endure.

.

On qualifiera de malheur, un événement

Qui affecte, péniblement, cruellement,

Avec comme principaux synonymes

Calamité, catastrophe, désastre,

Épreuve, infortune, revers !

.

.

1048 – Calligramme

.

Seul   malheur

Irré-pa-ra-ble,

Chacun le sait :

 C’est notre mort

Reste,  imprévu,

Est très aléatoire

Lors  ne met pas,

Sa vie, en danger,

Peut  la diminuer,

Jusqu’à  la rendre,

À  demi ….  effacée.

Exemple   imprévu :

Combat du roi David

Contre géant Goliath,

Car c’est ce qui arrive,

Contre toute … attente,

Dans la vie et la société,

Monde de tous les jours,

Autant de tout un chacun

À  écouter, les gens,  parler,

Ou, à les voir  *  se comporter

De façon raison S    nable, sensée,

Et constructive   A  et programmée,

L’on se dit, qu’à    U   par un malheur,

Rien de fâcheux ne  F  peut  leur  arriver.

*

D’accord, ils projet    U   teront de faire ceci,

Et finalement, ils fe     N    ront cela, casse-tête.

Il n’y a pas de heurts    *    ni de contradictions :

Tout est logique avec      M    explication  à  donner.

Au cinéma, au théâtre      A    en romans, et nouvelles,

Rien de ce qui avait été     L     annoncé voire pressenti

Rien se passe comme pré  H    vu, comme il a est écrit.

Coups  de théâtre,  inter   E      ventions,  malchances,

Changements de cap     U      accident, refus, mort

Et que sais-je, vien      R     nent aider, entraver

La suite logique  *  des événements.

S’il n’y a pas  R  *   E   d’histoires,

Chavirements                 V     d’épreuves,

Il n’y a non plus   E                      I   de  bons  films

Il n’y a  davantage  N                        R   de bons romans,

Car ils  conservent   *                           R  tous    et  chacun,

Une part de magie D                           A   dans  un   miroir

Dans  lequel  l’on  E                           ,     se  projetterait,

Ou dans lequel,   *                          N   on rajouterait

Une autre part   F                       *    de  mystères,

Afin que l’on s’  A                   X   en inquiète,

Tout suspense  C              U    serait basé

Sur une curio    H    E   sité de savoir.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1048 4

.

Un  élément  d’une  balustrade

Un pied de table en bois tourné

 Avec son réservoir  et  verre :

Une lampe à huile ancienne.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Tant que son verre n’est pas cassé,

Une telle lampe éclairera :

Je veux dire, en les pires conditions,

Et jusqu’aux extrêmes !

.

Symbolique 

.

Le verre,

Au sens commun,

Apparaîtra comme un

Matériau des plus fragiles.

Les  verres  silicatés,    comme

La  plupart  des verres  d’oxydes

Ou de  chalcogénures, sont  fragiles

À température ambiante en ce sens où

Ils peuvent être brisés sans la moindre

Déformation permanente à l’inverse

Matériau ductile, comme plomb,

Qu’on peut déformer, plier,

Avant qu’il ne se casse.

Wikipédia /Verre /Résistance mécanique/ fragilité

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1048 6

.

Tant que son verre n’est pas cassé,

Une telle lampe éclairera :

Je veux dire, en les pires conditions,

Et jusqu’aux extrêmes !

 .

Symbolique 

 .

La lampe

 .

Représente un point

 De  lumière  en  l’obscurité.

Par analogie, symbolise entendement

Dans la confusion mentale, la révélation

D’un savoir enfoui ou caché. D’ailleurs,

Expression « Éclairer sa lanterne« 

Qui  signifie  alors   clarifier

Quelque  chose, exprime

Très bien cette notion

De savoir dévoilé.

1001 symboles

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Ma lampe m’éclairera, devant moi,

 Dans la nuit, pour avancer mes pas :

Rien de fâcheux dès lors ne m’arrivera

Sauf si un imprévu … me tombe dessus :

Je prends ce risque sinon je ne bouge plus,

Et lors la vie se restreindra à rester…en vie.

.

Mais l’imprévu n’est pas  des plus aléatoires,

C’est juste un grain de sable, des plus fâcheux,

Qui oblige à penser/faire les choses autrement.

.

Si l’on y voit, fatalité, destin, manque de chance

Ça devait arriver un jour, arrivé, rien à ajouter

Et lors on ne cherchera ni causes, ni solutions !

 .

.

Un mauvais coup du sort

.

Scénario

.

Nous cherchons le bonheur, tout en aimant les images de malheur.

Que pourrait-il arriver à cette petite famille ayant l’air si heureuse.

Un besoin de protection permanent et avant qu’il ne soit trop tard !

 .

Visuels et textuels  >>

1047 – On naît, vit, meurt ; renaît, revit, re-meurt

Visuels et textuels  >>

.

La vie serait faite d’un cycle permanent

Et tant qu’il existe, on peut le régénérer.

L’on dit que certains fonctionnent ainsi,

D’autres à la retraite, attendent…leur fin

Et pendant des années, vingt ans, parfois.

Mourir aux autres n’est pas et à soi-même,

On peut développer  des envies personnelles,

Y compris à travers, avec, et pour les autres,

Nouvel équilibre suppose un nouveau cycle

Établissant nouveau partage soi, société.

.

L’on naît, et l’on vit et puis l’on meurt,

L’on renaît, on revit puis on re-meurt

Jusqu’à ce que  vienne  notre  heure

Pour quitter  ce monde,  ses heurts.

La vie n’est qu’un cycle  d’humeurs

Où certains nous disent avoir peur

Et d’autres disent  jouir du bonheur

D’être  ici, d’être  là  d’être  ailleurs.

J’accumule des biens  et  richesses,

Je m’évertue à être utile sans cesse

Je confonds amour paire de fesses,

L’argent, avec  élans  de  tendresse.

.

L’altérité est toute en  délicatesses,

Je ne sais la manier  je le confesse,

Argent fait, de moi, homme qu’atteste

Son sexe de mâle, dominateur, preste.

Argent et sexe  nous sont prescrits

Et, ils feront que tout nous réussit,

À part nous qui sommes ratés, ici,

De n’avoir vraiment,  rien compris.

.

N’avoir compris que sans les autres,

Nous ne sommes rien, ce seront eux

Qui nous fabriquent, nous modèlent,

Nous avons peu  de libertés  de choix.

Sans la liberté, sommes  des animaux,

Qui obéissons aux lois de notre société

Nous exploitant  pour sa propre survie,

Tout en prônant  l’individu   fin en soi,

Étant libre  de penser  ce qu’il  lui plait

Sans avoir de compte à rendre des faits.

.

Je me place en marginalité en plein cœur

De la vie, de son originalité à  toute heure,

Dès lors, si je nais, si je vis, et, si je  meurs,

C’est, moitié, pour moi, moitié, pour autres,

C’est cet équilibre  qui fait, de moi, l’apôtre

De la tolérance  et du respect des malheurs.

Rien n’est plus simple ni plus compliqué,

À observer poussé-tiré  par une société,

Que voir  gens nier mort, déifier vie

Faisant d’eux, égoïstes extravertis.

.

.

Extensions

.

Naitre, vivre et mourir, ça c’est certain

Mais renaitre et comment et pourquoi

Tiendra plus du divin que de l’humain.

L’on en vit et l’on ne meurt qu’une fois.

Si jamais l’on ressuscite ou l’on renait,

Autre existence, et autre être, je serais,

Est-ce cela, qu’idéalement,  j’aimerais !

Lors à quoi bon se poser telle question,

Elle est en deçà, au-delà de ma raison !

.

On nait, on vit, on meurt, c’est une évidence,

Mais renaitre, revivre, re-meurt : une cadence

.

Ceux disant n’avoir eu qu’une seule et même vie,

Envieraient-ils ceux qui disent ayant eu plusieurs !

.

On dit que mille et un métiers font mille et une misères

Et qu’en est-il d’en avoir eu un seul sans pouvoir changer.

.

Il  faut différencier gens souples, adaptatifs, qui rebondissent,

Des gens qui ont peur du moindre changement, de métier, de vie.

.

.

1047 – Calligramme

                  .

                                  La vie serait faite d’un cycle permanent

                              Et tant qu’il existe, on peut le régénérer.

                          L’on dit que certains fonctionnent ainsi,

                       D’autres à la retraite, attendent…leur fin

                    Et pendant des années, vingt ans, parfois.

                 Mourir aux autres n’est pas et à soi-même,

               On peut développer  des envies personnelles,

             Y compris à travers, avec, et pour les autres,

           Nouvel équilibre suppose un nouveau cycle

        Établissant nouveau partage soi, société.

       L’on naît, et l’on vit et puis l’on meurt,

        L’on renaît, on revit puis on re-meurt

         Jusqu’à ce que  vienne  notre heure

              Pour quitter ce monde,  ses heurts :

               La vie n’est qu’un cycle d’humeurs

                    Où certains nous disent avoir peur

                          Et d’autres disent  jouir du bonheur

                              D’être ici, d’être là   O  d’être ailleurs.

                                  J’accumule des biens   N   et richesses,

                                     Je m’évertue à être utile  *   sans cesse

                                          Je confonds amour  paire   N    de fesses,

                                            L’argent, avec élans de       A    tendresse.

                                              L’altérité est toute en        I    délicatesse,

                                               Je ne sais la manier        T     je le confesse,

                                                Argent fait de moi       *   homme qu’atteste

                                               Son sexe de mâle     O     dominateur, preste.

                                            Argent et sexe       N          nous sont prescrits

                                           Et, ils feront        *          que tout nous réussit,

                                     À part nous       V          qui sommes ratés, ici,

                                     De n’avoir       I             vraiment,  rien compris.

                               N’avoir          T      compris que sans les autres,

                          Nous ne        *        sommes rien, ce seront eux

                      Qui nous        O       fabriquent, nous modèlent,

                  Nous avons      N         peu de libertés de choix.

              Sans la liberté,     *        sommes des animaux,

            Qui obéissons aux     M     lois de notre société

       Nous exploitant pour sa   E   propre survie,

         Tout en prônant l’individu      U    fin en soi,

           Étant libre de penser ce qu’il      R   lui plait

                Sans avoir de compte à rendre des  T    faits.

                       Je me place en marginalité plein      *       cœur

                              De la vie, de son originalité à        O   toute heure,

                                   Dès lors, si je nais, si je vis,     N     et, si je meurs,

                                        C’est, moitié, pour moi,    *      moitié, pour autres,

                                          C’est cet équilibre      R    qui fait, de moi, l’apôtre

                                          De la tolérance   E  et du respect des malheurs.

                                           Rien n’est    N  plus simple ni plus compliqué,

                                        À observer A  poussé-tiré  par une société,

                                      Que voir    I    gens nier mort, déifier vie

                                       En faisant T  d’eux, égoïstes extravertis.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1047 4

.

Notre vie est à facettes

Ou comme un dépliant,

Et, parfois, tout droit

Parfois en ziz-zag ?

 .

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

Dépliant en plusieurs facettes,

Accolées, comme plusieurs vies :

Pour quitter, abandonner, afin de

Rebondir, avant de refaire sa vie !

.

Symbolique

 .

Facilement reconnaissable

À son aspect de feuille pliée,

Le dépliant reste un support

De communication  permettant

De se faire connaître rapidement.

.

Son contenu  qui résume l’essentiel

De l’activité entreprise, association.

Il se doit être attrayant pour attirer

Tout ou partie d’attention du lecteur.

.

D’après cette définition  du dépliant,

Ce support publicitaire  qui véhicule

Des messages, peut être utilisé  par

Des entreprises et des associations

Qui désirent élargir sa clientèle.

le-guide-dimpression-des-depliants

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1047 6

.

Dépliant en plusieurs facettes,

Accolées, comme plusieurs vies :

Pour quitter, abandonner, afin de

Rebondir, avant de refaire sa vie !

.

Symbolique

.

“On peut comparer le monde à un bloc

De cristal aux facettes innombrables.

Selon sa structure, et  selon sa position,

Chacun  de nous  voit certaines facettes.

.

Lors, tout ce  qui  peut  nous  passionner,

C’est de découvrir un nouveau tranchant,

Un nouvel espace.”  De Alberto Giacometti

C’est  la  confrontation  avec  les  autres  qui

Vous permet de dévoiler toutes vos facettes.”

.

 De Björk  “Mon  apprentissage  n’a  d’autre

Fruit que de me faire sentir combien

Il    me    reste   à   apprendre.”

De Michel de Montaigne

lalanguefrancaise.com/dictionnaire

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

On nait, on vit, on meurt, on renait.

Dit comme cela,  il y a peu d’espoir,

De  s’en sortir d’un cycle perpétuel,

Où tout n’est que recommencement.

.

La vie est moment, passage, certes

Mais elle est vide, non préremplie

Lors on y mettra  ce que l’on veut,

Lors on y mettra ce que l’on peut,

Et non ce qu’aura décidé  un dieu.

.

Montaigne ne dit pas autre chose,

Rien n’est dit, écrit, tout apprendre

De la vie tant qu’elle dure, surprend

Et notre réussite tient autant à nous,

Qu’aux  événements  et  opportunités.

Une vie comporte  multiples  facettes :

À chacun de découvrir celle qui convient.

 .

.

On nait, on vit, on meurt, renait

.

Scénario

.

Tout comme cette fleur qui éclot un jour,

et qui s’épanouit, un temps, au grand jour,

mais qui se fanera et mourra pour toujours.

 .

Visuels et textuels  >>

1046 – Le mot fin : sa réalité en art et en amour (II)

Visuels et textuels >>

.

Il est vrai que,  la fin d’un amour,

Est, souvent, bien plus rapide,

Que la rupture d’une amitié,

Qui trainerait, à se déliter !

.

Amour  est  plein, ou vide,

Est unique,  chaque jour,

Alors que fla in d’un Art,

Serait la fin  de veine qui

Le sous-tend ou qui part

En passé pour être verni.

.

Mais comment mettre  fin,

Dans  un tout autre  sens,

D’amitié ver  sus  l’amour,

Et  pour une aventure qui,

Pour aucun  des amoureux

N’aurait pas  recommencé.

.

Et comment faire comprendre

À l’autre en cas  non réciprocité

On quitte le navire, au moment

Où l’on était prêt  d’appareiller.

.

Dans ces cas,  un fossé s’établit,

S’élargit à grand pas, entre eux,

À en devenir …. infranchissable

Ou en commet tant l’irréparable

De promesse  étant  non tenue.

.

 «La fin  serait, toujours, le début

D’autre chose »  dit  un  dicton !

Peu rassurant sauf si on adhère,

Vie continue,  apporte soutien

À ses chagrins   en  lui offrant

Autres bonnes  opportunités

Qui    effacent,  et soulagent,

Regret, respect, peur, pleur.

.

Enfin : on le dit,  à vingt ans,

Moins facilement à soixante

Et que dire, à quatre-vingt,

Lors sentant venir  sa fin !

.

À être trop catégorique

À être trop … sûr de soi

On passerait    d’une fin

À l’autre,   sans jamais

Satisfaire   sa faim.

.


.

Extensions

Ce n’est pas l’autre que l’on

Ne souhaitera revoir,

C’est soi-même en face de lui

Et de ses souvenirs marquants,

De  ses  espoirs,  déçus,

De son statut déchu d’amoureux.

Mot «fin» réalité en art et amour

Est une seule, même chose.

L’amour de l’art, et l’art de l’amour

Seraient les deux faces d’une

Même pièce, partagent même tranche,

Même valeur, même substance,

D’un côté, l’essence, de l’autre l’existence,

Sur la tranche, le corps humain

Et au milieu, l’âme divine ou supposée telle.

.

L’art est un vaste domaine d’activité,  d’explorations, de formes,

Dont le contenu primitif, est transformé pour évoquer l’universel.

Il s’inspire ; le plus souvent ; d’un amour sublimé  par une passion

Dont l’on ne souvient plus, parce qu’inconscient, de sa vraie raison,

Ainsi notre imaginaire se colore de teintes  jusqu’à leur abstraction.

Il en est de même de l’amour lorsqu’il est idéalisé  jusqu’à  l’extrême

Il devient comme une sort d’art de la folie, et ce, jusqu’au suprême !

.

Art de l’amour et amour de l’art

Se rejoignent en leurs sublimations

Sans  parler  de  leurs  cristallisations,

Suscitant autant de désirs que passions.

.

À ceci près que l’amour s’en vient et s’en va,

Tandis que art subsiste, ne connait pas de fin

Le mot fin en amour concerne une personne

En art, à une période, un groupe de fans.

.

L’art du portrait tente de synthétiser

Tente de révéler, tente de styliser,

Défauts et qualités de chacun

Signature en serait la fin.

.

.

1046 – Calligramme (II)

.

Il est vrai que,      L                   la fin d’un amour,

Est, souvent,    E              bien plus rapide,

Que la rup      *       ture d’une amitié,

Qui traine    M    rait, à se déliter !

Amour  est  O     plein, ou vide,

Est unique,  T      chaque jour,

Alors que la  *    fin d’un Art,

Serait la fin  F  de veine qui

Le sous-tend  I  ou qui part

En passé pour N être verni.

.

Mais  comment  mettre  fin,

Dans   un   tout   autre  sens,

D’amitié ver  R  sus  l’amour,

Et  pour une  É  aventure qui,

Pour aucun    A des amoureux

N’aurait pas   L  recommencé.

I.

Et comment fai T   re comprendre

À l’autre en cas  É  non réciprocité

On quitte le navire, au moment

Où l’on était prêt  d’appareiller.

.

Dans ces cas,  un fossé s’établit,

S’élargit à grand pas, entre eux,

À en devenir  A   infranchissable

Ou en commet  R  tant l’irréparable,

De promesse     T   étant  non tenue.

.

 «La fin  serait, toujours, le début

D’autre chose »  dit  un  dicton.

Peu rassurant     * sauf si on adhère.

La vie continue    A  apporte soutien

À ses chagrins    M    en lui offrant

Autres bonnes    O    opportunités

Qui    effacent,   U    et soulagent,

Regret, respect  R  peurs, pleurs.

.

Enfin : on le dit,  à vingt ans,

Moins facilement à soixante

Et que dire, à quatre-vingt,

Lors sentant venir  sa fin !

.

À être trop catégorique

À être trop … sûr de soi

On passerait  d’une fin

À l’autre, sans jamais

Satisfaire   sa  faim.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1046 4

.

Un tube de dentifrice ou autre

Un stick pour le rouge d’à lèvres,

Instrument   de  musique  à  vent,

Symbole d’art autant qu’amour.

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’approche de forme)

.

Instrument  de musique  à vent,

Symbole d’art autant que d’amour.

Une bombarde qui égrène ses mélodies

Suscite toutes sortes d’émotions vivantes.

 .

Symbolique

 .

En l’art, l’expression artistique,

Est une forme de sublimation.

Dans  la  sublimation, il y a

En effet un même transfert

D’intérêt d’un objet à un autre

Qui le représente, se substitue à lui.

.

Mais l’affect lié à l’objet d’origine

Est  transformé, puis  raffiné,

Quand   il  est   attaché  à  la

Représentation symbolique

Et lors son contenu sexuel

Ou agressif,  est modifié.

Source : www.cairn.info/revue

cahiers-jungiens-de-psychanalyse

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1046 6

.

Instrument  de musique  à vent,

Symbole d’art autant que d’amour.

Une bombarde qui égrène ses mélodies

Suscite toutes sortes d’émotions vivantes.

 .

Symbolique 

 .

Les premiers instants

De rencontre, premiers émois,

Le sont avec beaucoup d’intensité.

Ils sont importants par la relation future

Lors constituants marqueurs pour jours

Plus communs d’une histoire construite

Pour toute la relation ultérieure.

.

L’amour tient alors plutôt

D’un choix maintenu ou renouvelé

Que de l’intensité de commencement,

Bien que celle-ci puisse se reproduire encore,

Même plusieurs fois en la relation d’amour, renouvelée.

 .

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

L’art est sans fin, par définition

Il se reconstruit et se renouvelle

Sans cesse par toute innovation,

Si ce n’est pas  par sublimation !

.

Et l’art  de commencer par la fin,

N’est pas pour autant  point final.

L’amour de l’art et l’art de l’amour,

Se rejoignent, et, parfois, fusionnent

Et on peut être en panne d’inspiration

Pour les deux, en craignant le mot fin.

 .

.

Autant dire directement : néant

.

Scénario 

.

Couleurs tendres de l’art, blanchissent, s’évaporent  en chœur !

La fin de l’art nous est annoncée: soyons réaliste, pragmatique !

L’art est devenu un jeu d’argent parmi d’autres, coté en Bourse !

 .

Visuels et textuels >>

1045 – Le mot fin et sa réalité en art et en amour (I)

Visuels et textuels  >>

.

L’on  prétend souvent qu’il faut commencer

À construire une  histoire ou une  énigme

Par  la  fin, pour  la rendre plus crédible.

Il faut semer  des petits cailloux  pour

Revenir par chemins divers au début

En art, qui arrive au résultat original

En suivant seulement instinct animal

Il en est de même  en amour  bien sûr,

Pas dont on profite au fur et à mesure.

.

Le mot fin apparaît   ou  apparaissait

Dans  des films et romans en laissant

Le spectateur,  lecteur, sur sa faim.

L’histoire n’allait pas plus loin :

Inutile d’imaginer une suite

Pas même une autre fin.

.

Même si  en l’histoire,

On fait ce qu’on veut,

Dans la vie réelle,

L’on ne  fait que,

Ce que l’on peut.

.

Dans la vie réelle,

Il en va  autrement

À propos  liens actuels

De sentiments partagés,

D’amours,   énamourés.

.

Comment y mettre fin,

De manière normale,

Et presque banale,

À une aventure

Démarrée en trombe

Mais qui s’est effilochée

Et aura fini,  avec le temps,

Par tomber en panne de désir.

.

S’il faut y mettre le mot « fin »

À une histoire sans lendemain,

L’art et la ma nière comptera

Autant sinon bien  plus

Que le fait lui-même.

.

« On se quitte bons amis »

Est une manière de se dire

Que l’aventure continue

Sous une autre forme,

Acceptée des deux,

Ce qui est, entre jeunes,

Le cas car si la séduction,

Est, un art consommé ;

Sa rupture est un plat

Délicat à réussir.

.

.

Extensions

.

Fin est toujours le début de quelque chose

Et parfois de l’abandon d’un espoir, amour,

Qui comme chacun sait ne dure pas toujours:

Tant qu’on joue sa musique, il nous illusionne,

Mais si l’on y renonce, plus rien ne le passsionne

Tout instrument, creux ou plein, se met en pause,

Et l’on passe aussitôt et sans hésiter à autre chose.

.

On applaudit au début de rencontre amoureuse

On applaudit à la fin  d’un concert de musique !

.

On applaudit à un mariage,   exécution virtuose,

Et lors amour et musique, convolent à merveille.

.

La fin de symphonie, se termine en point d’orgue,

La fin d’une relation de couple, en plein désordre !

.

Le début avance  souvent dans un vent de l’espoir:

La fin peut vous conduire à l’échec, au désespoir !

.

.

1045 –Calligramme  (I)

.

L’on   prétend   souvent      L     qu’il faut   commencer

À construire  une  his    E    toire  ou  une  énigme

Par  la  fin, pour  la    *    rendre plus crédible.

Il faut semer des   M    petits cailloux  pour

Revenir par che  O  mins divers au début

En art, qui arri  T  ve au résultat original

En suivant seu  *  lement instinct animal

Il en est de mê  F  me en amour bien sûr,

Pas dont on pro I   fite au fur et à mesure.

Le mot fin appa   N   raît   ou  apparaissait

Dans  des films    *    et romans en laissant

Le spectateur,   *   lecteur, sur sa faim.

L’histoire n’al   R  lait pas plus loin :

Inutile d’ima  É    giner une suite

Pas même    A    une autre fin.

Même si     L    en l’histoire,

On fait ce   I      qu’on veut,

Dans la     T       vie réelle,

L’on ne     É        fait que,

Ce que     *     l’on peut.

Dans la      vie réelle,

Il en va    R  autrement

À propos  T liens actuels

De sentiments partagés,

D’amours,   énamourés.

Comment y mettre fin,

De manière normale,

Et presque banale,

À une aventure

Démarrée en trombe

Mais qui s’est effilochée

Et aura fini,   A   avec le temps,

Par tomber en  M    panne de désir.

S’il faut y met   O  tre le mot « fin »

À une histoire  U   sans lendemain,

L’art et la ma R  nière comptera

Autant sinon bien  plus

Que le fait lui-même.

« On se quitte bons amis »

Est une manière de se dire

Que l’aventure continue

Sous une autre forme,

Acceptée des deux,

Ce qui est, entre jeunes,

Le cas car si la séduction,

Est, un art consommé ;

  Sa rupture est un plat

Délicat à réussir.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1045 4

.

Un pied de table en bois tourné

Ou un balustre d’une balustrade,

Instrument  de  musique  à vent,

Nous dirons du genre bombarde.

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

L’art de l’amour et l’amour de l’art

se rejoignent en même célébration,

qui font qu’on aime jouer, ressentir

si fait que la forme évoque le fond.

.

Tout dépendrait de l’instrument :

Entre flute ou bombarde

La musique supporte fausse note :

Trop, ce serait cacophonie.

 .

Symbolique 

.

La bombarde

Est un instrument

De musique à vent

À anche double de la

Famille des hautbois,

Employé dans la musique

Ancienne et la bretonne.

Le mot « bombarde »

Provient du latin bombus,

Signifiant «bourdonnement»

Ou  encore  un  « bruit sourd ».

fr.wikipedia.org/wiki/Bombarde

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1045 6

.

Tout dépendrait de l’instrument :

Entre flute ou bombarde

La musique supporte fausse note :

Trop, ce serait cacophonie.

 .

Symbolique

.

Dans la tradition chrétienne,

Dieu n’est pas lui-même un musicien,

Mais la musique est le mode privilégié

Pour célébrer toutes formes de louange.

.

Ce qui est ici exprimé par la théologie,

Peut aussi être abordé en termes de

Psychologie du développement.

.

Battements du cœur de la mère,

S’ils ne sont pas une mélodie,

Sont certainement du rythme.

.

L’élément de base de la musique

Est imprimé dans l’esprit humain

À l’aube de sa conscience perceptive

Et l’accompagne sans le lâcher

À travers tous les stades

De sa vie incarnée.

cairn.info/revue-cahiers

-jungiens-de-psychanalyse

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

La musique adoucit les mœurs, dit une maxime.

Elle accompagne  les grands moments  de sa vie

Mode majeur  à la naissance, mineur  à sa mort

Qui sait, s’il n’existe pas à l’instar d’une lumière,

Une musique céleste  qui extasierait notre âme.

.

Soit dans la musique, baroque, classique, la fin

Est ponctuée par ce qu’on appelle point d’orgue

Aujourd’hui, arrêt souvent inverse, s’étouffant,

Ou carrément  très soudain, brutal,  inattendu.

.

Il existerait des musiques  qui semblent n’avoir

Ni commencement, ni fin, comme perpétuelles,

Qui finissent par vous envoutez,  faire voyager

Comme si vous étiez dans un tout autre monde

Où les repères du temps, espace, ont disparus !

 .

.

La fin d’un vieux film au cinéma

.

Scénario

.

Une longue lettre de déclaration de fin d’amour.

Là, c’est très court et sans ambiguïté : un peu lâche.

Et là, ce n’était qu’un jeu, et comme en tous jeux : adieu !

 .

Visuels et textuels  >>

1044 – On aura et beau dire et on aura beau faire !

Visuels et textuels  >>

.

L’on entend un nombre messages

De  révisions  alarmistes, saccages

De  lieux protégés, de beaux paysages

Sans que  l’on en tire résolutions sages.

L’économie, et l’écologie,  se combattent,

Au lieu de se prêter main forte … débattre,

De ce qui serait le  mieux  pour la Planète :

Au lieu de cela,  chacun s’observe, s’entête

On aura beau  dire et on aura beau faire

Lors il est trop tard pour tout défaire.

.

On aura beau dire,

Et on aura beau faire,

Rien ne servira à rien, si

Les hommes n’ont compris

Qu’ils seraient  en danger de

Disparaître  et à cause d’eux,

Par suite de pollution totale

Et irréversible et radicale.

.

On dit mais on fait peu

De cas des discours

Jugés judicieux

Sur l’écologie,

Mais ennuyeux

Pour    l’économie

Nationale, mondiale.

.

Qu’est-ce qu’on attend :

D’être en plein dans le mur

Alors qu’on est encore devant

Pour se préparer à l’éviter : dur

D’être soi-disant rationnel, savant

Ou prétendre ce n’est pas le moment.

.

Comme si la mort,  se pointant devant,

Et qu’on lui dise,  va-t’en donc, attend,

Laisse-moi jouir encore de mon corps

Tu ne peux rien, sur moi : ai-je tort !

Si population, pollution, croissent,

Simultanément  par quel miracle

On évitera d’être  dans la poisse.

.

Planète est ballon que l’on tacle,

Il n’y a pas de  règle, arbitre,

Ni même but  ni gardien :

Que clown jouant pitre

Ne  faisant  plus rien,

Tournant  en dérision,

Tous les avertissements.

.

Et quand il sera trop tard,

Ils diront, complaisamment,

Fallait taper du poing sur table,

L’on m’avait confié autre mission :

De préserver les privilèges des nantis.

Et, ça au moins, vous l’aviez compris.

.

.

Extensions

 .

On aura beau dire, et ne rien faire,

Se gargariser de discours et de certitudes

Ou de doutes, notre planète Terre n’en a cure :

Elle suivra sa progression vers un réchauffement

Atmosphérique et une pollution chimique, accélérés

Par notre désir de demeurer riche et confortable,

Quitte à hypothéquer  l’avenir de nos enfants.

Discours  et  chiffres  sont en concordance

Et il y a urgence : malgré cela, certains

De nos dirigeants ne se pressent pas

De mettre en œuvre des solutions.

La société civile prend le pas

Sur la société politique

Sinon où va le Monde !

.

Bien qu’il s’agisse d’une sorte d’apocalypse prochaine

Tout le monde ou presque la perçoit comme lointaine

Et, face à cela, garde son sang-froid, son âme sereine,

En se disant que si c’était vrai, ce serait : pas de veine

En étant désignés, par Dieu, pour exploiter la nature !

Ce dernier nous abandonnerait-il face à nos exactions

Ou bien en aurait assez de nous regarder tout saccager

On aura beau dire, on aura beau faire : ce serait l’enfer

Bien mérité cette fois, nulle part ailleurs que sur Terre.

.

L’on croit crier dans un désert

Quand la Planète est en danger,

Et qu’on en finit pas des guerres,

Allant apocalypse nous précipiter.

.

L’on aura beau dire  et  beau faire,

Il y aura de plus en plus de misères,

Sur terre suite à nombre sécheresses

Provoquant nombre d’immigrations.

.

Est-ce là fatalité impossible à changer

Sûr que non mais, pour cela, il faudrait

Que les humains s’entendent pour lutter

Or chacun ne voit que son propre intérêt.

.

On rêve d’un paradis ailleurs : c’est l’enfer.

Pourquoi ne pas garder le nôtre : mystère !

.

.

Épilogue

.

On aura beau dire, on aura beau faire,

Ça sonne comme expression populaire,

Qui clame impossibilité de se satisfaire.

***

Cela dit, c’est loin d’être paroles en l’air :

Personne aujourd’hui ne dit le contraire,

Constats d’impuissance face aux guerres.

***

Pas que face à la faim en monde, misère,

Tout autant face aux épidémies, cancers,

Face aux crimes et injustices sur…Terre.

***

Pour finir, et ce serait peut-être  le pire :

Face au changement climatique qui vire

À la catastrophe,  on dit qu’on conspire !

***

Les sept piliers de la sagesse : en danger,

Comme des balustres, faiblissent, cèdent

Les uns après les autres : réaction, néant.

***

Alors alors, y aurait-il comme une fatalité

Et que tout ce qu’on fait est d’inhumanité,

Comme si on tendait le cou pour le couper.

***

Mais il n’est pas trop tard, il ne l’est jamais,

Un sursaut peut-être, changement de plans,

S’y mettre tous, chacun, est plus qu’attendu.

.

.

1044 – Calligramme

.

L’on entend un nombre messages

De  révisions alar   O   mistes, saccages

De  lieux  protégés,   N   de beaux paysages

Sans que l’on en tire   *       résolutions sages.

L’économie, et l’éco   A  logie,  se combattent,

Au lieu de se prêter   U  main forte … débattre,

De ce qui serait le  R   mieux  pour la Planète :

Au lieu de cela,  A   chacun s’observe, s’entête

On aura beau *  dire et on aura beau faire

Lors il est trop tard pour tout défaire.

.

On aura beau dire,

Et on aura beau faire,

Rien ne servira à rien, si

Les hommes n’ont compris

Qu’ils seraient  en danger de

Disparaître  et à cause d’eux,

Par suite de pollution totale

Et irréversible et radicale.

.

On dit mais on fait peu

De cas des discours

Jugés judicieux

Sur l’écologie,

Mais ennuyeux

Pour    l’économie

Nationale, mondiale.

.

Qu’est-ce qu’on attend :

D’être en plein   dans le mur

Alors qu’on est    encore devant

Pour se préparer  *    à l’éviter : dur

D’être soi-disant   B    rationnel, savant

Ou prétendre ce n’  E     est pas le moment.

Comme si la mort,   A      se pointant devant,

Et qu’on lui dise,      U    va-t’en donc, attend,

Laisse-moi jouir       *     encore de mon corps

Tu ne peux rien,       D     sur moi : ai-je tort !

Si population,          I    pollution, croissent,

Simultanément      R       par quel miracle

On évitera d’être    E       dans la poisse.

.

Planète est ballon que l’on tacle,

Il n’y a pas de  règle, arbitre,

Ni même but  ni gardien :

Que clown jouant pitre

Ne  faisant  plus rien,

Tournant  en dérision,

Tous les avertissements.

.

Et quand il sera trop tard,

Ils diront, complaisamment,

Fallait taper du poing sur table,

L’on m’avait confié autre mission :

De préserver les privilèges des nantis.

Et, ça au moins, vous l’aviez compris.

ET ON AURA BEAU FAIRE !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1044 4

.

Pied de table, en bois tourné,

Pied de lampadaire en métal,

Ou pied de lampe ornemental,

Balustre en pierre balustrade

 .

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de  forme)

.

Un pied restera un pied,

Et balustre restera balustre,

D’où  l’expression  populaire :

«Les chats ne font pas des chiens»

 .

Symbolique

.

Les balustres sont souvent

Faits de pierre ou de marbre,

Mais,  parfois,  aussi, de  bois,

Sont,  généralement,  disposés

De façon  à respecter  la  règle

Architecturale   de  l’équilibre

Entre  le   jour   et   le     plein

Et  de  séparation  ajourée

Égale à la moitié de leur

Plus gros diamètre.

Le terme de  balustre

Désigne aussi ensemble

De  colonnettes  soutenant

La main-courante d’un escalier.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 

Évocation

.

1044 6

.

Un pied restera un pied,

Et balustre restera balustre,

D’où expression françaises :

«Les chats ne font pas des chiens»

 

Symbolique

 

Top 100 des expressions françaises

Soutenues les plus courantes :

Aller à quelqu’un comme un gant : …

Appeler un chat un chat : …

Au bout de son rouleau : …

Au bout du tunnel : …

Au pied de la lettre : …

Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois : …

Autant chercher une aiguille dans une botte de foin

google.com/search /expressions+populaires

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’homme aime à se construire

Des  protections, des défenses,

Pour se protéger des accidents

De manière  plutôt  préventive,

Et balustres  et  main courante,

Sont placés  partout  à cet effet,

Mais on aura beau dire, et faire,

Il y aura  des manques et oublis !

.

On ne peut se protéger contre tout

tant le risque zéro n’existera … pas

il y a des imprévus, concomitances

catastrophes naturelles  inévitables.

y a des gens qui gens qui ne tiennent

pas assez compte danger, risque-tout

et des trompe-la-mort, qui en meurt !

 .

.

Citation de proverbe Berbère

.

Scénario

.

La maison brûle, les pompiers ne répondent et n’interviennent pas.

L’un est écolo  et l’autre est mécano : un dialogue de sourds dingues.

Au final, politique terre brûlée sera un peu, beaucoup comme celle-ci.

 .

Visuels et textuels  >>

1043 – J’aurais voulu être, la vie en décide autrement

Visuels et textuels  >>

.

  J’aurais voulu, est-ce un point noir :

 Du tout, c’est  déjà bien  de vouloir.

Tant de gens ne savent pas  choisir

Ce qu’à terme, ils veulent devenir.

Dans la vie on ne fait pas toujours

 Ce que l’on veut mais faute à qui ?

.

                             Allez savoir, vous : société, chance !

                               Il n’y a pas que le métier qui compte,

                               En amours, en amitiés, en relations :

                                C’est pareil et là, le choix reste ouvert.

                                 Rejeter toute opportunité…est choisir,

                                   De faire en sorte que sa vie soit ternie !

.

J’aurais voulu être un … avocat,

La vie en aura décidé autrement,

On m’avait dit tu auras le choix :

J’ai dû réviser …  mon jugement.

Bon an, mal an,  pas mécontent :

Car, dans les limites de l’emploi,

Difficile de faire  bon placement,

Mettant en avant, qualité de soi.

.

                                 J’aurais voulu être un bel amant

                                 La vie en aura décidé autrement,

                                  On m’avait dit  … avec rouquine :

                                  J’ai épousé une blonde …  divine.

                                 Bon an, mal an, pas mécontent :

                                  Elle m’aura  donné deux enfants,

                                 Qui font mon bonheur e, autant

                                  En emporte le vent…fidèlement.

.

J’aurais voulu être un … écrivain

La vie en aura décidé autrement,

Je n’aurai fait qu’ouvrage savant,

Dont je ne tire, bénéfices, aucun.

Bon an, mal an, pas mécontent :

Je me suis exercé  aux écritures,

Et mes poésies, en déconfitures,

Progressent vite…vers le néant.

.

                                   J’aurais voulu être un … bon ami

                                   La vie en aura décidé autrement,

                                    J’en ai très peu : vingt seulement.

                                    J’aime que, vous en soyez  parmi.

                                    Bon an, mal an,  pas mécontent :

                                    Ces amitiés durent et longtemps,

                                    Et me procurent la joie, certaine

                                     De m’abreuver  à leurs fontaines.

.

.

Extensions

 .

J’aurais voulu être, la vie en décide autrement.

Déjà, ce qu’on aura voulu être, correspond-t-il

Vraiment à ce que l’on voulait ou pouvait être.

Ensuite, était-on  au bon endroit, bon moment

Enfin, arrivé en ayant pratiqué, épuisé la chose,

Notre rêve n’a-t-il pas changé en cours ou en fin ?

Sacrifier toute sa vie, en poursuivant  la réalisation

D’un rêve inaccessible, du moins pour soi, ressemble,

Tout de même, à passer à côté de choses,  toutes aussi

Essentielles telles que celles  de fonder  propre famille,

Avoir une place reconnue, et utile, dans notre société,

Disposer de ressources suffisantes pour avoir espace

De  liberté  de  choix : certains parlent  de  travail

Voire de métier alimentaire pour faire bouillir

La marmite  en attendant  qu’opportunité

Se présente or tout cela n’est que rêve.

.

J’aurais voulu être…. aie, ça commence mal : y a eu un raté.

Attendez : on recommence à zéro, et cette fois, je saurai faire.

J’aurais voulu  mais faut-il regrettez, faut-il accepter, espérer

Ma condition s’améliore par miracle ou effort, au point que,

Tant que ma vie n’est pas terminée, ça veut dire : je peux !

.

J’aurais voulu être un artiste, chante Aznavour

Ou encore la bohème, pour ne citer qu’eux deux

Voilà qui plante le décor sur une scène ouverte !

.

J’aurais voulu être, pointe  comme air de regret :

Je ne suis pas, je n’ai pas réussi, ma faute, à moi,

Ou le manque de chance, de talent,  opportunité !

.

La vie en a décidé autrement, balaie toute excuse :

Ce n’est pas moi, ce sont les autres, la vie quoi, qui

A fait que vous n’êtes que ce que vous avez pu être.

.

.

1043 – Calligramme

.

J’AURAIS     VOULU      ÊTRE :

 J’aurais voulu, est-ce un point noir.

 Du tout, c’est  déjà bien  de vouloir.

Tant de gens ne savent pas  choisir

Ce qu’à terme, ils veulent devenir.

Dans la vie on ne fait pas toujours

 Ce que l’on veut mais faute à qui ?

.

                             Allez savoir, vous : société, chance !

                               Il n’y a pas que le métier qui compte,

                               En amours, en amitiés, en relations :

                                C’est pareil et là, le choix reste ouvert.

                                 Rejeter toute opportunité…est choisir,

                                   De faire en sorte que sa vie soit ternie !

.

J’aurais voulu être un … avocat,

La vie en aura décidé autrement,

On m’avait dit tu auras le choix :

J’ai dû réviser …  mon jugement.

Bon an, mal an,  pas mécontent :

Car, dans les limites de l’emploi,

Difficile de faire  bon placement,

Mettant en avant, qualité de soi.

.

                                 J’aurais voulu être un bel amant

                                 La vie en aura décidé autrement,

                                  On m’avait dit  … avec rouquine :

                                  J’ai épousé une blonde …  divine.

                                 Bon an, mal an, pas mécontent :

                                  Elle m’aura  donné deux enfants,

                                 Qui font mon bonheur e, autant

                                  En emporte le vent…fidèlement.

.

J’aurais voulu être un … écrivain

La vie en aura décidé autrement,

Je n’aurai fait qu’ouvrage savant,

Dont je ne tire, bénéfices, aucun.

Bon an, mal an, pas mécontent :

Je me suis exercé  aux écritures,

Et mes poésies, en déconfitures,

Progressent vite…vers le néant.

.

                                   J’aurais voulu être un … bon ami

                                   La vie en aura décidé autrement,

                                    J’en ai très peu : vingt seulement.

                                    J’aime que, vous en soyez  parmi.

                                    Bon an, mal an,  pas mécontent :

                                    Ces amitiés durent et longtemps,

                                    Et me procurent la joie, certaine

                                     De m’abreuver  à leurs fontaines.

                                    VIE DÉCIDE AUTREMENT  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1043 4

.

Un empilement de choses

Presque toutes  identiques,

Ou un escalier de meunier 

Qui donne accès à on désir.

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Chacun sait meilleur moment

Est lorsque l’’on monte l’escalier

Cela est vrai pour tout, tant c’est

La concrétisation de son désir.

 .

Symbolique 

 .

                                                                  L’escalier est souvent symbole

                                                                  De la progression vers le savoir,

                                                                  Ascension vers connaissance,

                                                                  La lumière, transfiguration.

                                                                  Il relie et le haut et le bas.

.

                                             Il revêtira aussi un aspect négatif :

                                             La descente, la chute, le retour

                                            À la matérialité  et au monde

                                            Souterrain à l’ombre en soi.

                                           Mais il faut l’emprunter

.

                      Afin  d’apprendre à  se  connaître

                      Sur tous les plans   ou  pouvons

                     Descendre en nous ou accéder

                    À autres niveaux  conscience

                   Très nettement supérieurs.

                    grandreves1234.blogspot.com

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Chacun sait meilleur moment

Est lorsque l’’on monte l’escalier

Cela est vrai pour tout, tant c’est

La concrétisation de son désir.

 .

Symbolique 

.

Le désir se distingue du besoin

Qui demanderait à être satisfait

De façon urgente   et   du  souhait

À  la  réalisation souvent utopique,

Est  irréductible  au désir  amoureux

Et un certain hédonisme contemporain.

Qu’est cet appétit d’être pour la philosophie ?

.

Une force qui s’impose à nous, nous gouverne ?

Entre être  et non-être, manque  et plénitude,

Joie, souffrance, désir est notion équivoque.

Son ambivalence traverse toute l’histoire

De la philosophie et cela depuis Platon.

.

Aujourd’hui, l’on s’intéresse au désir,

Du côté de la pulsion, de la morale,

Qui s’interrogent  sur la possibilité

De contrôler désirs, motivations,

Au nom desquels nous agissons.

franceculture.fr/philosophie-pour-

comprendre-autrui-et-le-desir

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’escalier est d’abord fait pour monter

Bien avant même de songer à descendre

Mais s’il est des escaliers qui nous mènent

À la réalisation de nos désirs, de nos envies,

Il en est d’autres ne menant nulle part ou pire

Nous font chuter avec nos remords, nos regrets.

Et là nous n’avons plus que nos yeux pour pleurer.

 .

.

Vie : faite d’épisodes

.

Scénario

.

J’aurais voulu être amoureux toute la vie durant, mais la vie…

J’aurais voulu éviter de durer, de faire ceci, cela, mais la vie …

J’aurais voulu être un écrivain, la vie en a décidé autrement !  

 .

Visuels et textuels  >>

1042 – Chacun garde espoir d’améliorer sa condition

Visuels et textuels  >>

.

Chacun garde espoir d’améliorer

Sa condition humaine par solution.

Les suicidaires ne perdent pas la vie,

Mais, bien avant tout espoir… en elle !

Les suicidés ont perdu les deux bien que

«Tant qu’il y a de  la vie, il y a de l’espoir. »

.

C’est vrai, et faux gens continuent à vivre,

Alors qu’ils n’ont aucun espoir d’évolution !

Un pauvre d’Afrique  d’Asie  …  ou d’ailleurs,

N’a pas d’espoir non seulement devenir riche

Mais de s’en sortir survivre au lendemain,

Ni  de  con-cevoir  de  nombreux enfants.

 .

Rester immobile, passif à ne rien faire

Ne changera condition, de misérable

Il peut se résigner à son mauvais sort

S’indigner de n’en avoir  de meilleur,

Mais s’il continuera à se désespérer,

Sait que dès demain  il serait mort.

 .

Dire, je préférerais être mort que,

Est une affirmation  d’un non-être :

Chacun sait que la vie ne vaut plus

Rien si elle a perdu  tout son  sens,

Dès lors qu’on nous  impose, d’être,

Tout le contraire de qu’on veut, est.

 .

Dire il est impossible de s’en sortir

Est une phrase assassine s’il en est,

Mais qui laisse malgré ça chance

À l’espoir, à l’avenir des fois que :

Or très peu de gens y sont arrivé,

Ça ne veut pas dire  être condamné.

.

Moralité, il faut garder de l’espoir

Jusqu’à sa fin  son dernier souffle.

.

.

Extensions

 .

Souffle pour soi,  les autres,

Communicatif, voire contagieux :

L’espoir fait vivre et l’on vit d’espoir.

Il y a  des  philosophes  qui  ont récusé

La force de l’espoir en mensonge éhonté.

L’espérance n’est pas  une valeur  ni vertu,

Déficience de l’homme à supporter la mort.

Espérance et déni vont de pair, c’est possible

Mais pas certain, le déni ne voit pas la réalité

Alors qu’espérance s’appuie justement dessus

Pour mieux s’en accommoder  et  progresser.

On dit « j’espère que tout va bien pour toi »

Avant de prendre congé de quelqu’un.

 .

Garder l’espoir d’améliorer sa vie même quand elle décrépit

Ou tout au moins de la garder en bonne santé, non en survie.

Quand on parle d’espoir et de condition on parle aussi mental

Et par voie de conséquence, tout autant d’humeur et de moral

Quant à la mort, pour sûr et sans exception, elle sera… fatale.

 .

Faut garder l’espoir quoiqu’il arrive

Et même si tout le reste fout le camp,

Celle du fond  de  la Boite de Pandore,

Que femme par curiosité aura ouverte.

.

Pourquoi une femme, on se le demande,

Pourquoi responsable de tous nos maux,

Pourquoi pas un dieu qui dans sa colère,

A laissé échapper  des misères sur Terre.

.

L’espoir d’aller mieux, ou tout au moins,

De revenir en un état où tout allait bien :

Voilà ce qui mène le monde aujourd’hui

Qui le fait travailler au delà du besoin.

.

.

1042 – Calligramme

.

Chacun garde  E  espoir d’améliorer

Sa condition hu       S         maine par solution.

Les suicidaires             P          ne perdent pas la vie,

Mais, bien avant              O               tout espoir… en elle !

Les suicidés ont                  I             perdu les deux bien que

«Tant qu’il y a de                 R             la vie, il y a de l’espoir. »

* ……

C’est vrai, et faux               D           gens continuent à vivre,

Alors qu’ils n’ont au          ‘           cun espoir d’évolution !

Un pauvre d’Afrique      A        d’Asie  …  ou d’ailleurs,

N’a pas d’espoir non     M     seulement devenir riche

Mais de s’en sortir      É     survivre au lendemain,

Ni  de  con-cevoir      L    de nombreux enfants.

I ….

Rester immobile,     O  passif à ne rien faire

Ne changera con      R   dition, de misérable

Il peut se résigner     E    à son mauvais sort

S’indigner de n’en     R    avoir  de meilleur,

Mais s’il continuera   *        à se désespérer,

Sait que dès demain   S         il serait mort.

      A

Dire, je préférerais    *      être mort que,

Est une affirmation    C    d’un non-être :

Chacun sait que la      O   vie ne vaut plus

Rien si elle a perdu     N    tout son  sens,

Dès lors qu’on nous    D   impose, d’être,

Tout le contraire de    I   qu’on veut, est.

.   T

Dire il est impossible  I     de s’en sortir

Est une phrase assas  O  sine s’il en est,

Mais qui laisse mal   N  gré ça chance

À l’espoir, à l’avenir    *  des fois que :

Or très peu de gens    *  y sont arrivé,

Ça ne veut pas dire  être condamné.

.

Moralité, il faut garder de l’espoir

Jusqu’à sa fin  son dernier souffle.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1042 4

.

Pas simple de déceler forme :

 Je vois une très belle canne

Pommeau doré, prothèse

En idéal pour marcher ?

.

(forme pleine, rimes libres,

le fond s’approche de la forme)

.

Canne et prothèses sont des aides

externes ou internes pour marcher

elles améliorent condition humaine,

et de ce fait, elle évoqueront l’espoir.

.

Canne : entre pommeau en bois et en or,

Belle différence :

Mais cela n’en reste pas moins une canne,

Support, prothèse.

 .

Symbolique 

 .

Au plus loin que l’on remonte

Dans le temps, la canne fut

Jadis associée aux images

Du  patriarche  (Moïse),

Du pouvoir  (crosse de

L’évêque,  monarque),

Du berger,  du pèlerin

Puis à celle du maître.

.

Elle s’identifie à l’image

De la vieillesse,  magicien

Puis à celle du randonneur,

Retrouvant, ainsi, son utilité

Première pour la promenade.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1042 6

.

Canne : entre pommeau en bois et en or,

Belle différence :

Mais cela n’en reste pas moins une canne,

Support, prothèse.

 .

Symbolique

.

L’usure du cartilage

Est irréversible et l’arthrose

Ne guérirait pas spontanément.

Lors, l’évolution naturelle se fait

Vers une dégradation progressive

De l’articulation, une limitation de plus

En plus importante des mobilités et une

Marche de plus en plus difficile.

.

Les  anti-inflammatoires  et

Antidouleurs   qui peuvent

Suffire au départ, finissent

Par ne plus être  efficaces.

C’est à ce moment  que  se

Posera  la  question  d’une

Prothèse      chirurgicale.

Et le but de l’opération sera

Le soulagement de la douleur,

La  récupération  des  mobilités

Et la reprise normale de la marche.

chirurgie-orthopedique-de-la-hanche/

prothese-totale-de-la-hanche

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

La canne est un support pour tenir debout

Et comme un troisième pied pour avancer.

Lors s’appuyer sur quelqu’un pour réfléchir

Redonne de l’espoir, et  de l’énergie, perdus.

Si, seul, n ne pourra améliorer sa condition,

À deux ou plusieurs, cela est rendu possible

Quel que soit son statut, sa religion, état.

Cela reste vrai autant pour les pauvres

Les émigrés, les malades ou les vieux.

 .

.

Débat porteur d’espoir

.

Scénario

.

Par des valeurs et par des croyances parfois toutes immatérielles ;

par des instants de répit, dans la dure vie,  d’handicapé moteur ;

en se contorsionnant de tous côtés pour toujours se transformer.

 .

Visuels et textuels  >>

1041 – Voyage humain commence lors on se croit !

Visuels et textuels  >>

.

Notre voyage humain commence

Lorsque l’on se croira … arrivé,

Se poursuivra, jusqu’à l’infini

Et recommence et sans fin :

Pas terminé, on est en vie.

Faut être mort à déposer

Moindre de ses bagages,

De ses projets de voyage,

Renoncer à une croyance

Ou un pari que l’on se crée

Ou pire encore que l’on  subit.

.

Le voyage peut se prolonger longtemps

S’arrêter   n’importe où, n’importe quand

Mais peut-on se dire suffisamment préparé.

 À renoncer,  à  soi-même  …  pour se fondre,

Dans  le  Tout  du  Cosmos  d’où l’on vient :

(Bouddhisme)

Ou à se réincarner …  dans une vie future

Sous une forme non définie par avance

Mais dans tous les cas méritée

(Hindouisme)

Vérités promues par religions orientales,

Lors religions occidentales, le Paradis.

Une fois admis, accepté, une forme

Ou autre d’éternité ou de néant,

Que nous reste-t-il à vivre !

Faire l’amour en cachette.

.

L’essentiel : l’amour

 Des autres et monde,

Réenchantent-ils  nos

Effrayants événements.

.

L’aventure humaine n’est pas

De conquérir territoire à sa portée,

Mais, en même temps, en même élan,

De dépasser sa nature et origine animale

Non  pour se sublimer, ou voire  se déifier :

Mais  tout simplement et déjà, s’humaniser.

.

.

Extensions

  .

Si un homme peut représenter un peuple

C’est parce que le peuple fonctionne aussi,

Comme un homme, en valeur et en  solidarité.

Chaque homme est seul et à naitre et de mourir !

.

Donner la vie à un être c’est lui donner aussi la mort

À lui de l’affronter sans qu’il l’ait : choisie, désirée, fixée.

Seul, l’est-on vraiment, l’a-t-on jamais été, le serons-nous !

Seul au milieu de tous est injonction paradoxale, oxymoron.

.

Il nous est impossible de vivre seul, sauf à l’être sur ile déserte

Totalement coupé, ignoré, totalement autonome, monde entier.

Ça n’a plus guère de sens puisque exister, ça l’est pour les autres.

.

Le voyage peut être extérieur et la joie, et  le malheur des autres

Rejaillit sur nous comme amplificateur de nos propres humeurs

Et en changeant d’endroit, on change d’atmosphère, de misère.

.

Le voyage peut être intérieur et la joie ou le malheur consiste

Alors à savourer le chemin parcouru ou à détester son recul

Où tout est à recommencer comme s’il s’était agi d’un

Faux départ, extérieur, intérieur, témoin, acteur,

Autant d’arrivées, sans fin !

.

Arrivé, oui, peut-être, mais où : la vie ne vous le dira pas !

Il faut d’urgence repartir le voyage ne fait que commencer.

On est arrivé  quand on doit s’arrêter et cela définitivement.

Finalement, de quel voyage s’agit-il, et, vers quelle  destinée,

Voyage de fourmi en cohorte en l’immensité de la Planète.

.

Un jour sans fin,

Un voyage sans fin,

Une belle vie sans fin,

Après sa mort : éternité,

Une promesse de religiosité

Qui nous conduit à croire  que

Tout peut toujours recommencer.

.

Pourquoi pas   puisque ça ne coute rien

D’y adhérer comme le pari de Blaise Pascal

Mais en attendant de le vérifier, on fait quoi :

On se lamente de notre sort sur terre purgatoire

Ou on bâtit, réalise un projet qui nous tient à cœur

Et dont l’on sera certain, au moins, d’en bien profiter,

Et après, vogue la galère, si une autre vie … commence !

.

.

Épilogue

.

Voyage humain commencerait

 Là où il se termine, on aura trouvé

Un sens quelconque à toute notre vie.

***

On a franchi une marche de son escalier,

On a gagné, pense avoir mérité un trophée,

On vise déjà le suivant, tout à recommencer.

***

Idées  d’un  voyage  linéaire  ou  cyclique,

Cohabitent  dans  des croyances religieuses,

Elles comportent  part  d’inconnu, insolvable.

***

Résurrection  botte  en  touche problème :

Passage sur Terre, est comme antichambre,

En chrétienté, la vie commence après la mort.

***

En  somme, on  en  serait  réduit  à  croire

Ce que l’on veut  ou  ce qu’on nous enseigne,

Y adhérer sans aucun doute, révision croyance.

***

Il y a aussi les athées, ne croyant en rien de divin

Mais cela ne les empêchera  de se mettre en quête

D’une vérité qui aurait une finalité de spiritualité !

***

On peut gloser à l’infini sur le sens de la vie, sa vie,

En matière de défi et de chance, l’on est bien servi,

C’est pourquoi, le définir pour tous, je m’arrête ici.

.

.

1041 – Calligramme

 .

VOYAGE HUMAIN DÉBUTE,

Notre voyage humain commence

Lorsque l’on se croira … arrivé,

Se poursuivra, jusqu’à l’infini

Et recommence et sans fin :

Pas terminé, on est en vie.

Faut être mort à déposer

Moindre de ses bagages,

De ses projets de voyage,

Renoncer à une croyance

Ou un pari que l’on se crée

Ou pire encore que l’on  subit.

.

VOYAGE HUMAIN DÉBUTE,

Le voyage peut se prolonger longtemps

S’arrêter   n’importe où, n’importe quand

Mais peut-on se dire suffisamment préparé.

 À renoncer,  à  soi-même  …  pour se fondre,

Dans  le  Tout  du  Cosmos  d’où l’on vient :

(Bouddhisme)

Ou à se réincarner …  dans une vie future

Sous une forme non définie par avance

Mais dans tous les cas méritée

(Hindouisme)

Vérités promues par religions orientales,

Lors religions occidentales, le Paradis.

Une fois admis, accepté, une forme

Ou autre d’éternité ou de néant,

Que  nous  reste-t-il à vivre !

Faire l’amour en cachette.

.

L’essentiel : l’amour

 Des autres et monde,

Réenchantent-ils  nos

 Effrayants événements.

 .

SE CROYANT ARRIVÉ

L’aventure humaine n’est pas

De conquérir territoire à sa portée,

Mais, en même temps, en même élan,

De dépasser sa nature et origine animale

Non  pour se sublimer, ou voire  se déifier :

Mais  tout simplement et déjà, s’humaniser.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1041 4

.

Une sorte de vase,

Avec pied et couvercle,

Ou  alors  un encensoir,

Ou encore un trophée ?

.

(forme pleine, rimes libres,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Un trophée n’a rien à voir avec un voyage

dans le cas d’une course, croisière, peut-être

mais ici, le voyage humain peut-être immobile

tant et si bien que la forme se distingue du fond.

..

Rien n’est gagné d’avance

Quand on aura un trophée 

Tout est à revoir  ou à refaire,

Recommencer, différemment !

 .

Symbolique 

 .

L’objet du trophée

Peut être symbolique

(Une coupe ou une médaille),

Financier (bon d’achat, chèque),

Ou un contrat (contrat d’édition).

.

La cérémonie est souvent enjolivée

D’un discours,  d’une remise de

Bouquet  ou  d’une couronne,

D’une montée des couleurs

Drapeau, de  l’exécution

D’un hymne national.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1041 6

.

Rien n’est gagné d’avance

Quand  on aura  un trophée 

Tout est à revoir  ou  à refaire,

Recommencer, différemment.

 .

Symbolique 

.

Nombreux sédentaires

Et les anciens sportifs

Ayant   arrêté   le sport

Durant longue  période

Voudraient     commencer

Ou recommencer  à faire

Une activité physique régulière.

.

Premiers ne savent souvent

Pas comment  s’y  prendre.

Les deuxièmes vont souvent

Trop fort, trop vite, persuadés

De pouvoir  vite retrouver  leur

Ancien niveau du jour au lendemain.

.

Bouger  est  sûr, indispensable,

Mais il existe un mode d’emploi

Pour y parvenir… correctement.

Magazine/Sport-loisirs-et-voyages/

Bouger-pour-sa-sante/Recommencer

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

Quels que soient valeurs trophées

Toujours belles seront les victoires,

Autant sur soi-même, compétiteurs.

Derrière le premier, il y a un second,

Et si ce n’est à conquérir, à conserver.

.

Le voyage de la vie n’arrive nulle part

Le train s’arrêtera un instant en gare,

Avant de reprendre destinée et finir

par disparaitre dans les brumes

du présent qui n’est que passé

ne sera jamais ce qu’il était.

 .

.

Y sommes bien !

.

Scénario    

.

On se croit arrivé mais, en fait, on voyage sur place et on repart,

 et l’on contemple les montagnes, on se sent si minuscule, inutile,

miroir exotisme pas cher d’ile, continue à se refléter en nous !

 .

Visuels et textuels  >>

1040 – L’histoire et le destin personnel de chacun


Visuels et textuels >>

.

La part du rêve, en nous, serait plus grande

Que celle  de toute attente vers la réalité.

C’est pas que dernière nous indiffère,

Ne peut, en aucun cas satisfaire

Désirs seront  de l’immensité,

Presque tous s’en défendent.

 .

La part de  nos rêves, d’ombre,

Ne nous donne lumière rationalité

À prendre décision de manière sensée

Nous devons jongler avec  points  de vue

Contraires, incertains, illogiques, malvenus,

Qui, en l’histoire personnelle nous encombrent.

 .

Il est vrai qu’histoire et destin personnel de chacun,

N’appartient  qu’à lui-même et pas du tout aux autres

Sinon  son existence devient aliénante, et voire aliénée.

Vrai que mon destin ressemble à celui milliers d’autres

Mon histoire, expérience personnelle, restent  uniques,

Le rêve de ce que l’on veut être l’emporte sur la réalité.

.

Réaliser son rêve, durant sa vie, est, en lui-même, rêve

Qui déforme et transforme toute réalité  pour arriver :

Je veux être ceci, ou cela, à toute fin, sinon j’en crève.

Avec  de la persévérance,  du  courage,  de la chance,

Il ne restera que peu d’obstacles à vaincre en vérité.

Faut y croire pour que jamais son cœur ne flanche

 .

Parfois un rêve devient réalité voire le contraire

De vouloir gagner aux jeux d’argent énormité

Cela arrive  à l’un  lorsque  millions parieurs

Restent  frustrés  de ne jamais rien gagner

Bien que lien entre mérite, tirage au sort

Soit peu de leur fait, plutôt du hasard

Ils espèrent gagner, tôt ou tard !

.

Toute sa vie, rêver de gagner

Au  Loto, ou, autres  jeux,

Sans jamais concrétiser,

À en devenir … malheureux,

Est pure folie, pure manipulation,

Pour vendre du bonheur, et de l’illusion.

.

.

Extensions

 .

Nous ne sommes pas égaux

Devant notre destin mais il est

Certain qu’on  peut  le construire

Et en en être satisfait dès lors qu’on

Le prend en main et qu’on fait ce qu’il

Faut pour y accéder et le gérer au mieux.

.

Or il arrive qu’un événement, une malchance

Le brise d’un seul coup et fait du reste de notre vie,

Purgatoire en attendant la mort mais aussi de rebondir

Et de s’en créer un nouveau et qui n’a parfois rien à voir

Avec le premier. L’effet et l’effort de résilience permet,

Grâce à la plasticité de notre cerveau, de dépasser

Nos angoisses et de transformer cette énergie

Négative et mortifère en énergie positive

Et prospère et … ainsi soit-il !

.

Quelle différence y aurait-il entre deux jumeaux,

Ayant des carrières sociales totalement divergentes

Et deux autres personnes qui ont embrassé la même.

Difficile d’y répondre : ils ne sont pas interchangeables,

Peut-être chez les premiers, y-a-t-il eu un grain de sable,

Peut-être chez les seconds, y-a-t-il eu vocation semblable !

Qui peut le dire et l’affirmer haut et fort, inscrit en les gènes,

Ou  en origine sociale, destins banals, particuliers, originaux ?

Nul ne peut dire que son destin personnel est écrit, indéfectible.

.

Dans la vie, a-t-on, suit-on, croit-on à un destin !

En admettant, en aurait-on, un, deux, plusieurs,

Peut-on imaginer vivre  des destins contraires !

.

Ce qui est certain est qu’on a tous une histoire

 Que l’on a en partie, choisie et en partie, subie,

Se rapprochant du destin  de sa communauté.

.

D’où viendrait que des enfants, élevés ensemble

Avec la même éducation, auraient destin divers :

L’un voleur et assassin, l’autre policier judiciaire !

.

.

1040 – Calligramme

.

La part du rêve, en     H     nous, serait plus grande

Que celle  de  toute     I     attente  vers  la  réalité.

C’est pas que der    S    nière nous indiffère,

Ne peut, en au     T     cun cas satisfaire

Désirs  seront     O    de  l’immensité,

Presque tous      I    s’en défendent.

R

La part de  nos      E     rêves, d’ombre,

Ne nous donne lu      *      mière rationalité

À prendre décision       P      de manière sensée

Nous devons jongler        E       avec  points  de vue

 Contraires, incertains         R       illogiques,   malvenus,

Qui, en l’histoire person          S         nelle nous encombrent.

   O

Il est vrai qu’histoire  et  des         N             tin personnel de chacun,

N’appartient  qu’à lui-même        N           et pas du tout aux autres

Sinon  son existence  devient       E          aliénante et voire aliénée.

Vrai que mon destin ressemb     L        le à celui milliers d’autres,

Mon histoire, expérience per     L        sonnelle, restent  uniques,

Le rêve de ce que l’on veut êt    E       re l’emporte sur la réalité.

   *

Réaliser son rêve, durant sa     D     vie, est, en lui-même, rêve

Qui déforme et transforme      E     toute réalité pour arriver.

Je veux être ceci, ou cela, à     *     toute fin sinon j’en crève.

Avec de la persévérance, du   C    courage, et, de la chance,

Il ne restera que  peu d’obs  H   tacles à vaincre en vérité.

Il faut y croire pour que ja  A  mais son cœur ne flanche

  C

Parfois un rêve devient     U  réalité voire le contraire

De vouloir gagner aux     N  jeux d’argent énormité

Cela arrive à l’un lors     *    que millions parieurs

Demeurent frustrés de   ne jamais rien gagner

Bien que lien  entre mérite, tirage au sort

Soit peu de leur fait, plutôt du hasard

Ils espèrent gagner, tôt ou tard !

.

Toute sa vie, rêver de gagner

Au Loto, ou, autres jeux,

Sans jamais concrétiser,

À en devenir … malheureux,

Est pure folie, pure manipulation,

Pour vendre du bonheur, et de l’illusion.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1040 4

.

Une urne funéraire

Suite destin personnel

Une grande chope de bière,

Tout  aussi  bien   qu’un  vase

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Une urne funéraire comme un destin

je veux bien mais le plus tard possible,

en attendant,  je rêve d’une vie meilleure,

si fait que la forme se distinguera du fond.

.

À sa naissance, chacun aurait

Urne funéraire qui contiendrait

Durée de vie en partie écrite par

Génétique, hérédité, et milieu !

 .

Symbolique 

 .

Nous allons bientôt y aller citoyens !

Enfin, une  partie  d’entre  nous,  dans

Un  premier  temps, et  puis, le  plus tard

Possible nous irons tous  en  urne funéraire

En laquelle nous pouvons mettre des cendres,

Mais aussi de l’eau, principe même de la vie.

.

L’urne peut donc symboliser l’eau de la vie

Tout autant que les cendres de la mort,

Ou bien comme le réceptacle d’un

Testament, tant elle peut être

Fécondante comme le

Vase de l’alchimiste.

lafrancmaconnerieaucoeur

.com/2016/08/symbole-l-urne

.

.

Fond

 .

Évocation 

..

1040 6

.

À sa naissance, chacun aurait

Ce type d’urne  qui contiendrait

Sa vie étant en partie écrite par :

Génétique, hérédité, et milieu !

 .

Symbolique

 .

Durée de vie humaine 2014

Espérance de vie à la naissance,

Atteint 79,3 ans pour les hommes

Atteint 85,5 ans  pour les femmes.

.

Au cours  des 60 dernières années,

Les hommes  et femmes  ont gagné

14 ans de vie en moyenne. En 2017.

.

L’espérance de vie, à la naissance

Est de 85,3 ans pour les femmes

De 79,5 ans pour les hommes.

Wikipédia : durée de vie humaine

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Urne rime avec diurne et nocturne

Le destin est diurne, urne, nocturne

Car à notre mort, le destin est scellé.

.

La mort du désir est un désir de mort

De rater son destin mérite d’en mourir

 Tout écrivain raté  fera mourir nombre

De personnages virtuels bien avant lui

En multipliant pourtant leur histoire

Sans parler les exercices de styles.

.

Chacun a une histoire semblable

Et différente de tous les autres

Lors si des destins se croisent

Ils ne se répèteront jamais.

 .

.

Dispersion espérance de vie humaine

.

Scénario

.

Deux intellectuels, passionnés par les mêmes livres et sujets.

Deux artistes, qui exposent leurs œuvres, attendent le public.

Deux ambassadeurs qui serrent la main pour leur diplomatie.

 .

Visuels et textuels >>

1039 – Les peuples heureux n’ont pas d’histoires !

Visuels et textuels  >>

.

Heureux voudrait-il dire sans histoire :

Mot pris au pluriel, c’est un peu vrai

Au singulier c’est moins vraisemblable :

Individu, peuple, en a forcément une.

Au minimum, il y a les histoires de famille,

Bonnes, mauvaises, mariage, drame

Ceux qui n’en font pas n’en sont pas victimes,

N’ont de raison inventer histoire.

Belle histoire d’amour, se passent à la mairie,

Mauvaises finissent au tribunal

Pour savoir si un peuple vit sans histoire,

Il suffit de compter les tribunaux.

.

Les peuples heureux, dit-on,

N’ont pas d’histoires,

Les amours heureux, on dira,

N’en ont guère plus.

Cela veut-il dire sans luttes,

Point, en aucun cas,

Disputes ne sont   pas publiques

Elles n’exis tent pas.

.

Affaire privée : d’amour,  d’argent,

En devenant publique,

Prend une toute autre dimension

Car elle s’inscrit dans

Le jugement d’une désocialisation

Ou un tiers prend parti.

.

Des milliards  d’histoires  d’amour

Voient le jour,

Sans rapporter la  moindre histoire

Au moindre jour :

C’est  à se demander  s’ils existent,

S’ils s’aiment vraiment.

.

Certains  n’en parlent  à personne,

Sauf quelques amis,

Témoins seuls, invités au mariage,

Point de fête familiale,

Est-ce à dire  qu’on a droit s’aimer

Sans le déclarer.

.

Entre ceux qui ne font aucun bruit,

S’aiment en silence

Et ceux qui font de grands tapages,

En grande cérémonie.

Faites vos pronostics … sur la durée

Vous aurez  surprises.

.

Le mariage est institution publique,

L’amour, élection privée,

Les divorces se passent au tribunal ;

Désamour est rejet public.

Est-ce raison pour ne pas se marier

 Faire l’amour en cachette.

.

Que d’hypocrisie pour cette chose

Aussi naturelle et simple :

Amour qui reste don sans histoire

Et jamais possession.

.

.

Extensions

.

Histoire au singulier et histoires au pluriel

Ne signifient guère les mêmes sémantiques :

Au singulier, c’est la grande, celle d’un peuple ;

Au pluriel, c’est  celles de gens  qui le composent !

Lors, dire qu’un peuple heureux n’a pas d’Histoire,

Ne peut être que vrai parce qu’on ne la rapporte pas,

Faux parce qu’en creusant, elle est remplie d’histoires !

.

Que les peuples heureux n’aient pas d’histoires

Tant mieux, ça équilibre un peu avec les autres

Mais  que leur bonheur soit tombé dans l’oubli,

Est quelque peu dramatique : ça n’a pas existé.

.

L’histoire des guerres sous toutes leurs coutures

Nous est relaté par les historiens et pas des paix,

Faut-il en déduire que, pour laisser traces après,

Un dictateur génocidaire effacerait un pacifiste.

.

.

1039 – Calligramme

.

Heureux voudrait-il dire sans histoire : mot pris au pluriel, c’est un peu vrai

Au singulier c’est moins vraisemblable : individu, peuple, en a forcément une.

Au minimum, il y a les histoires de famille, bonnes, mauvaises, mariage, drame

Ceux qui n’en font pas n’en sont pas victimes, n’ont de raison inventer histoire.

Belle histoire d’amour, se passent à la mairie, mauvaises finissent au tribunal

Pour savoir si un peuple vit sans histoire, il suffit de compter les tribunaux.

.

Les peuples heureux, dit-on,

N’ont pas d’histoires,

Les amours heureux, on dira,

N’en ont guère plus.

Cela veut-il dire sans luttes,

Point, en aucun cas,

Disputes ne sont   pas publiques

Elles n’exis tent pas.

Affaire privée : d’amour,  d’argent,

En devenant  P        publique,

Prend une toute     E     autre dimension

Car elle s’in    U        scrit dans

Le jugement d’une  P         désocialisation

Ou un tiers    L   prend parti.

Des milliards  d’hi   E       stoires  d’amour

Voient     S     le jour,

Sans rapporter la     *      moindre histoire

Au moin    H   dre jour :

C’est  à se deman     E      der  s’ils existent,

S’ils s’aiment   U          vraiment.

Certains  n’en par    R       lent  à personne,

Sauf quel      E     ques amis,

Témoins seuls, in     U      vités au mariage,

Point de fête   X         familiale,

Est-ce à dire  qu’      *     on a droit s’aimer

Sans   le     N     déclarer.

Entre ceux qui ne      ‘      font aucun bruit,

S’aiment     O     en silence

Et ceux qui font        N    de grands tapages,

En grande    T     cérémonie.

Faites vos pronos     *     tics … sur la durée

Vous aurez    D       surprises.

Le mariage est ins     ‘     titution publique,

L’amour, élec   H       tion privée,

Les divorces se pas   I       sent au tribunal ;

Désamour est   S       rejet public.

Est-ce raison pour     T        ne pas se marier

 Faire l’amour      O          en cachette.

Que d’hypocrisie         I          pour cette chose

Aussi naturel         R          le et simple :

Amour qui reste           E          don sans histoire

Et jamais               *              possession.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1039 4

.

La silhouette d’un « T »

Une potence pour pendu,

Ou un foret de charpentier,

Ou un simple tire-bouchon

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Il n’y a pas besoin de tire-bouchon

Pour extraire quelque histoire

Là où il n’y en a pas lorsque le peuple

 Est heureux lors sans histoires.

 .

Symbolique 

.

Tire-bouchon

Vient du verbe tirer

Et du nom « bouchon »,

En latin donne « bucco ».

C’est,  en   quelque sorte,

.

L’outil qui sert à extirper

De son logement, parcelle

De  matière,  faite  de  liège

Qui, d’un côté est au contact

Du liquide et de l’autre côté

Est à proximité de celui qui

Qui  fait  l’action  de tirer.

.

On  situe  mal  l’invention

Du tire-bouchon, mais on l’attribuerait

À   l’observation  de   certains   animaux

Proches du porc, qui, de par leur partie

Caudale, évoquerait la spirale connue

Modifié, source : ledifice.net

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1039 6

.

Il n’y a pas besoin de tire-bouchon

Pour extraire quelque histoire

Là où il n’y en a pas lorsque le peuple

 Est heureux lors sans histoires.

.

Symbolique 

.

On peut distinguer plusieurs

Types de philosophie de l’histoire.

La première peut être dite fataliste.

Le destin de l’humanité s’explique

Avant tout par les édits arbitraires

D’une puissance supérieure.

.

La seconde est de type cyclique.

On la retrouve en philosophies orientales,

Et plus particulièrement dans le bouddhisme.

Elle est présente chez les Aztèques considérant

Que plusieurs mondes avaient précédé le nôtre

Et que plusieurs autres le suivraient.

.

La troisième est de type progressiste.

L’histoire de l’humanité tendrait

Vers un progrès ininterrompu.

Une quatrième école dénie tout sens

À l’histoire humaine. Il ne s’agirait que

D’une succession hasardeuse d’actions !

Fr.wikipedia.org/wiki/Histoire

#Sens_et_philosophie_de_l’histoire

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Des tire-bouchons il y en a des centaines,

Tous différents, tous efficaces, pratiques,

C’est un exemple même d’une créativité

Sans borne quand on sait qu’il n’aura

Qu’une seule fonction : déboucher !

Les peuples heureux lui ressemble

En ce qu’ils seront très variés

Chacun  d’eux, à sa façon

A trouvé son équilibre

Lors  quelques  soient

Difficultés, problèmes

Cherchent une solution

Lors d’autres envahissent

Les territoires des  voisins,

Pour masquer  les bouchons,

Qui leur pourrissent leurs vins.

 .

.

Gens, histoires

.

Scénario

.

Peuples heureux ne pensent et ne vivent qu’en, et,  par solidarité.

Les rassemblements entre tribus ont vocation d’échanges amicaux.

Les autres en ont une, apparemment, s’en font l’écho dans le Monde.

.

Visuels et textuels  >>

1038 – Le monde m’échappe de jour en jour, retraité

Visuels et textuels  >>

.

Mon monde m’échappe, retraité

Réseau collègues, amis, s’évanouit

Lors je dois fréquenter autres têtes

Pour  ne pas  rester seul … anéanti !

.

Règle  générale,   sauf  exceptions,

Je  ne  suis  plus  dans  le  cadre,

Remisé  sur   bords  d’action

Isolé,    et,  sans escadre !

.

Une chance  ou drame,

À rebondir ou mourir

À petit feu,   sans  enjeu,

Voir   sa   vie,  raccourcir.

.

Le monde m’échappe, de jour en jour,

Comme si terre se dérobait sous pieds,

Et je me sens de moins en moins relié,

Aux anciens amis, collègues du boulot,

Qui ont, sans doute renoué avec autres.

.

De même que nature a horreur du vide,

Le vide, derrière moi, s’est bien rempli,

Je n’ai pas fait le poids…pour subsister,

Je l’ai cru pourtant mais ne le crois plus.

.

Pour autant, je n’ai pas refait mon stock

De nouveaux collègues,  nouveaux amis,

Bien que comme moi, en état de retraite,

Et bien que ce soient eux qui constituent

À présent plupart de mes collaborateurs.

.

Si fait je me retrouve entre…deux portes

Trois années après le départ à la retraite,

Coincé  entre la surface d’un vaste Monde

Et la profondeur de ma solitude, parfaite,

Mis à part la famille et de très rares amis.

.

J’ai quitté  fréquentations d’une jeunesse,

N’étant plus  mon fort depuis longtemps,

Sans que vieillesse que donne état civil,

Ne me damne définitivement ma santé.

.

État de grâce … disgrâce : que penser,

Perdu en flottements  entre le dedans

De ma maison et le dehors de la ville,

Je me sens un peu seul bien qu’à tort

Comme remisé, ou comme en marge

D’une société dans laquelle…je n’ai

Plus de rôle économique à… jouer.

.

.

Extensions

 .

Le monde m’échappe de jour en jour

Comme si je le quittais peu à peu

Pour m’isoler et complétement

Dans ma belle tour d’ivoire.

Mais pour y voir quoi :

La vie réserve plus d’un tour !

C’est pour y voir son être remplir

De nouveau «si», de nouveaux «non»,

De nouveaux «mais», ses «peut-être».

Le problème n’est ni l’âge ni le temps

Ni l’expérience     ni la connaissance,

Le problème  est que : plus  je  crois

Saisir ou comprendre ou expliquer

Le Monde et plus il se complexifie

Jusqu’à devenir opaque à toutes

Les théories et constats savants.

.

La retraite est mettre le cap sur la fin de la vie, d’accord,

Mais l’enfer peut attendre, alors avant, amusons-nous bien,

 Après tout nous n’avons rien d’autre à faire, et payé pour ça !

C’est l’âge où l’on prend le temps de vivre une passion secrète,

Et si possible, de la partager  avec d’autres, ayant  même désir.

Il est vrai que, n’étant plus tout à fait, dans le monde du travail,

Il nous échappe, petit à petit, et ce  jusqu’à presque disparaitre,

Mais autres s’ouvrent à nous au niveau des voyages et cultures.

Peut-être la sagesse vient en percevant le Monde en globalité.

.

Quand on prend sa retraite, la bien nommée,

On s’éloigne, se retire du monde, d’un monde :

Celui de la pleine activité, du réseau entreprise

.

On ne dit pas adieu aux collègues ni aux clients,

Mais on sait que l temps les éloignera fatalement

Il en restera quelques-uns, parmi les plus fidèles !

.

Quand on s’est un tant soit peu préparé à rompre

Les choses se passeront mieux que si on les subit,

On change d’activité, milieu, on restera très actif.

.

.

1038 – Calligramme

 .

                                                                   LE   MONDE   M’ÉCHAPPE,

                                                                 Mon monde  m’échappe retraite,

                                                              Réseau collègues, amis, s’évanouit

                                                           Lors je dois fréquenter autres têtes

                                                          Pour  ne pas  rester seul … anéanti !

                                                      Règle  générale,   sauf  exceptions,

                                                    Je  ne  suis  plus  dans  le  cadre,

                                               Remisé  sur   bords  d’action

                                             Isolé,    et,  sans escadre !

                                              Une chance  ou drame,

                                               À rebondir ou mourir

                                                     À petit feu,   sans  enjeu,

                                                      Voir   sa   vie,  raccourcir.

                                 .                             

                                                                               EN     ÉTANT    UN   RETRAITÉ  

                                                               Le monde m’échappe, de jour en jour,

                                                          Comme si terre se dérobait sous pieds,

                                                     Et je me sens de moins en moins relié,

                                                 Aux anciens amis, collègues du boulot,

                                             Qui ont, sans doute renoué avec autres.

      .

                                       De même que nature a horreur du vide,

                                   Le vide, derrière moi, s’est bien rempli,

                               Je n’ai pas fait le poids…pour subsister,

                          Je l’ai cru pourtant mais ne le crois plus.

 .

                  Pour autant, je n’ai pas refait mon stock

             De nouveaux collègues,  nouveaux amis,

         Bien que comme moi, en état de retraite,

     Et bien que ce soient eux qui constituent

  À présent plupart de mes collaborateurs.

.

Si fait je me retrouve entre…deux portes

 Trois années après le départ à la retraite,

   Coincé  entre la surface d’un vaste Monde

    Et la profondeur de ma solitude, parfaite,

      Mis à part la famille et de très rares amis.

.

         J’ai quitté  fréquentations d’une jeunesse,

           N’étant plus  mon fort depuis longtemps,

           Sans que vieillesse que donne état civil,

              Ne me damne définitivement ma santé.

.

                État de grâce … disgrâce : que penser,

                 Perdu en flottements  entre le dedans

                   De ma maison et le dehors de la ville,

                     Je me sens un peu seul bien qu’à tort

                       Comme remisé, ou comme en marge

                        D’une société dans laquelle…je n’ai

                          Plus de rôle économique à… jouer.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1038 4

.

Une silhouette d’homme âgé,

 Dos voûté,  la tête en avant

Penché sur une canne 

Cherchant à échapper ?

 .

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

En devant âgé, si l’on ne s’entretient

les choses et les gens vous échappent :

c’est la loi du genre, c’est notre destinée,

tant et si bien que la forme épouse le fond

.

À partir d’un certain âge,

 Plus encore d’un âge certain :

En général le Monde, les  choses

Se prennent à vous échapper !

 .

Symbolique de forme

 .

Le départ en retraite constitue

Un âge dans la vie d’un individu,

Quelles qu’aient pu être ses fonctions

Ou responsabilités au sein de l’entreprise

Qui l’employait. Alors, quand sonne la retraite,

La problématique du deuil qui doit s’opérer se révèle

Dans les sentiments d’une nécessaire  utilité sociale

À transmettre tout ce qu’on aura mis une carrière

À bâtir et prend toute sa dimension symbolique

Au cours du pot d’adieu qui n’en sera pas un.

cairn.info/revue-le-journal-des-psychologues-2010-9

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1038 6

.

À partir d’un certain âge,

 Plus encore d’un âge certain :

En général le Monde, les  choses

Se prennent à vous échapper !

 .

Symbolique 

.

Je suis revenue de voyage tout récemment

Et, comme toujours, j’ai eu de nombreux

Commentaires de toute part.

.

Des propos qui évoquent

Parfois de la curiosité, de la joie,

De l’envie peut-être un peu beaucoup.

Mais, une phrase qui revient beaucoup

Trop souvent qui me fait grincer des dents

« Maintenant,  c’est  le   retour  à   la   réalité! ».

.

Et depuis mes tout premiers périples à l’étranger,

J’ai toujours désiré que voyage fasse partie intégrante

De mon mode de vie. Il n’était pas question pour moi

« D’échapper à la réalité », mais plutôt d’aller

Puiser  de l’inspiration  ailleurs, d’aller

Apprendre, découvrir, en plongeant

En des environnements différents.

nomademagazine.com/2016/12/

le-voyage-echapper-a-la-realite

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’âge et l’apparence sont deux repères,

Qui se conforteront ou se disjoigneront :

On a certes l’âge de ses artères, en dedans

Mais on paraitre plus jeune, pour le dehors

Sans compter que le corps, c’est une chose

Mais que l’esprit en sera une toute autre,

Lors vieux de corps mais jeune d’esprit.

 .

.

Le monde réel devient virtuel

.

Scénario

 .

Je me retrouve seul avec moi-même : j’ai du temps pour lire, écrire,

même, de temps à autre, je pianote, je chante avec de vieilles copines,

puis si l’on n’aura plus rien à faire, on se retrouvera au bord de l’eau.

 .

Visuels et textuels  >>

1037 – Ce n’est pas difficile d’exister, il suffit de !

Visuels et textuels >>

.

Exister, problème :

Exister, c’est être en vie

Mais de quelle vie il s’agit

Uniquement vie biologique,

On y ajoutera la vie psychique.

.

A-t-on le droit, devoir, mérite

D’exister alors même qu’on

Aura été bien  condamné

Pour avoir déjà attenté

À la vie d’un autre !

.

Qui peut être à  même de décider.

Exister  n’est  pas ressusciter sans fin

C’est se jeter dans le Monde et oser

Affirmer on prend bonne destinée

En main, lucide et  sans    chagrin.

.

Ce n’est pas  bien  difficile  exister

Suffit de prendre  soin de sa santé

Pour  se garder en vie,  pérenniser,

Mais, est-ce  vivre que de persister !

.

Les  arbres  aussi et les animaux,

Il n’y a là que loi,  programme bio,

Se déroulant avec ou sans accident,

Et se reproduisant sans but évident.

 .

Parfois on se dit : je suis hors du lot,

J’ai une raison, une  mission, action

Spéciale sur la  Nature et sur le Beau

Et qui feront objet de ma domination.

.

D’être  au-dessus et loin  devant :

Est-ce immanent, est-ce suffisant,

Pour se targuer, pour être autant

Élu de Dieu, nous reconnaissant.

 .

Orgueil des humains serait sans limites,

Or cela ne suffira pas pour qu’il ressuscite,

Nous allons tous un jour au même endroit

C’est le chemin, seul qui diffère, pas choix.

.

.

Extensions

.

Il suffit de laisser cours à son libre-arbitre :

C’est le seul cadeau que Dieu nous ait donné.

Pour certains, il s’agit d’un cadeau de sa bonté,

Pour d’autres, d’un cadeau  plutôt empoisonné.

.

Le libre-arbitre  ne consisterait  pas seulement

À choisir une religion ou être athée ou choisir

Une domination totale de de l’impérialisme

Ou péréquation équitable de l’humanisme,

Voire même de choisir de vivre ou mourir,

Il consiste aussi et surtout à donner un sens,

Une finalité, à sa vie puis à celle de l’humanité.

.

Les religions, philosophes, juristes, économistes,

Nous éclairent sur ce point, mais aucun ne propose

Une synthèse propre qui est de nature à nous décider.

Le libre-arbitre ressemblerait à la quadrature du cercle :

Improbable à mettre en œuvre, impossible à s’en dessaisir.

.

Mais pourquoi, me direz-vous, s’en faire autant de nœuds

Dans le cerveau, il suffit de se laisser exister, voir venir

De profiter des bonnes opportunités, ce d’autant

Qu’on est en bonne santé et bien entouré.

Ce n’est pas faux mais cela ne satisfait

Pas notre recherche de Monde cohérent.

.

Se laisser aller à son destin, à sa paresse, suffirait pour exister,

Mais peut-on appeler cela une «existence proprement humaine»

C’est vivre de rien, sur la communauté, sans se poser de problème,

Le plus longtemps possible, en bonne santé, mais sans jamais lutter.

Un beau programme de vie, s’il en est : «et n’oubliez pas de respirer !»

Certains ont une très haute idée de leur existence sur la planète Terre

Chargés d’une mission divine alors que d’autres se contentent d’être

Ce pourquoi nous sommes sur Terre ne laisse l’homme indifférent,

Sinon nous serions réduits au statut d’animaux sans conscience.

.

On a qu’une vie : il faut en profiter, disent les gens,

La vie ce n’est pas hier ni demain, c’est aujourd’hui :

Au moins, voilà qui est  une bonne philosophie de vie.

.

Exister, tout en ne faisant rien, est-ce encore exister ?

Sur le plan physique, c’est oui ; psychologique, moyen

Mais sociétal, c’est mortel  lorsqu’on ne servira à rien.

.

Je pense, donc je suis, j’existe ! Oui mais, insuffisant,

Si je n’ai aucune émotion, je pense comme un robot :

Je souffre, je jouis, je ris, je baise, je me sens exister.

.

.

Épilogue

 .

Une vie au rabais, une vie sans projets :

Qui en veut, qui en voudrait : personne.

***

Le manque de perspective, érode l’espoir

De changement de sa condition humaine.

***

C’est pourtant lot de majorité d’humains,

Qui pensent leur vie, en avenir incertain !

***

Exister, c’est vivre quand ce n’est survivre

Survivre à soi-même, mort, c’est procréer.

***

Certains feraient des enfants pour exister :

N’existant pas, ce serait leur seule richesse.

***

Autres se contenteraient de pain  et loisirs,

On les voit, on le sent marginaux à mourir.

***

À l’autre bout de la chaine,  tout à l’opposé,

Y aurait les riches,  ne cessant d’accumuler.

***

Entre les deux, on trouve  une partie de gens

Qui sont satisfaits de leur sort, relativement.

***

Si l’on admet qu’exister,  est demeurer en vie,

De quoi se plaint humain, espère-t-il d’autre !

***

On dit qu’on est trop nombreux sur la Planète,

Certains consomment dix fois plus : problème.

***

Cela, ne changera pas, bien  plutôt s’accélèrera,

Ce sont le plus riches qui mangeront la Planète,

***

Tandis qu’on demande aux pauvres de la sauver,

Et qu’en plus on fait peser sur eux, la culpabilité.

.

.

1037 – Calligramme

.

Exister, problème :

Exister  c’est  être en vie

Mais de Ô quelle  Ô vie s’agit

Uniquement    // vie biologique,

On y ajoutera // la vie psychique.

A-t-on droit === devoir mérite

D’exister    alors   que    l’on

Aura été condamné

Pour avoir  attenté

 À la vie d’un autre !

.

  Qui peut être à  C * R même de décider.

  Exister  n’est  pas   ‘        E  ressusciter sans fin

C’est se jeter dans E               T    le Monde et oser

Affirmer on prend  S                     S      bonne destinée

En main, lucide et  *                          I      sans    chagrin.

Ce n’est pas  bien   P                            X     difficile  exister

Suffit de prendre   A                              E     soin de sa santé

Pour se garder en   S                               ‘      vie,  pérenniser,

Mais, est-ce  vivre   *                             D     que de persister

Les  arbres  aussi    D                           *     et les   animaux,

Il n’y a là que lois,   I                        E    programme  bio,

Se déroulant avec   F                   L    ou sans accident,

Se reproduisant      F              I     sans but évident.

I   *  C

Parfois on se dit      *     suis hors du lot,

J’ai une raison        I       mission, action

Spéciale sur la         L      Nature, et Beau

Qui font objet de     *      ma domination.

D’être  au-dessus     S       et loin  devant :

Est-ce immanent     U       est-ce suffisant,

Pour se targuer        F         de l’être autant

Élu de dieu nous       F           reconnaissant.

I

Orgueil des humains      T         serait sans limites,

Mais cela ne suffira pas       *            pour qu’il ressuscite,

Nous allons tous un         D    jour au même endroit

C’est le chemin, seul       E   qui diffère, pas choix.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1037 4

.

Une tête simple avec un corps

Ou  voire forme indéfinissable,

Une silhouette  de  l’existence 

D’un adulte sinon d’un enfant.

 .

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

L’existence suppose une forme vivante,

mais, je pencherais, ici, pour un enfant

 si fait qu’en la position assise du yoga

la forme convergerait vers le fond.

 .

Sauf à mettre fin à ses jours,

Existence ne pose aucun problème :

Il suffit de se laisser aller, mais l’on

Survivra si on tient à son enfant.

 .

Symbolique 

 .

Le terme d’existence en soi

Est ambigu, recouvre multiples sens.

En langage trivial il désigne le fait d’être,

D’être de manière réelle, il est ainsi utilisé

Dans un usage tout aussi indéterminé

Chez de nombreux philosophes

Équivalent terme d’« être ».

.

Outre le fait d’exister

Il intervient nous dit le

Petit Larousse dans plusieurs

Expressions courantes pour signaler

Une durée (genre une longue existence)

Au sens de vie (être las de son existence),

Un mode de vie (changer d’existence), etc.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1037 6

.

Sauf à mettre fin à ses jours,

Existence ne pose aucun problème :

Il suffit de se laisser aller, mais l’on

Survivra si on tient à son enfant.

 .

Symbolique de fond

 .

Nathalie m’attend sur la place,

Guette mon arrivée, ses copines sont là.

On va voir ce qu’on va voir !

Pas question, pour  elle,  de se laisser faire.

Son enfant ne sera pas placé !

Et qu’importe  qu’il soit battu    par son père !

Qu’importe la misère, la précarité

N’est une tare, faisant de vous, mauvais parent.

Personne, surtout pas un éducateur

Envoyé par un juge, ne la fera déchoir de son statut

De mère, même si son fils souffre des

Mauvais traitements qui lui sont, auront été infligés.

cairn.info/revue-cahiers-critiques-de-therapie-familiale-2011-1

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’existence, pour un enfant,

Ne sera pas celle d’un adulte :

Pour ce dernier,  elle est limitée

Pour l’enfant : juste un horizon :

Quand  je serai grand, répète-t-il,

Comme si vraie existence débutait

Quand on quitte une dépendance,

Et qu’on chercher son autonomie

Il existe parce qu’il existe point,

Il ne faut pas demander plus !

.

.

Comment survivre sans protection

.

Scénario

.

Suffit de se laisser aller sans penser  à quoique ce soit, que la nature.

On dit cela surtout quand on est  amoureux et en couple, et à l’autre.

Or l’existence n’est pas toujours facile pour tous : la preuve, au fusil.

.

Visuels et textuels >>

1036 – Lutte, bien et mal, ressemble au combat !

Visuels et textuels  >> 

.

Combat intérieur et extérieur,

Le bien et le mal étant valeurs

Etant forcément, intériorisées,

Mais jugés sur les faits avérés.

Dieu serait, certain, côté bien ;

Et Satan serait du côté du mal.

Oui mais, si Dieu pourrait tout,

Comment  peut-il tolérer  Satan.

.

Bien et mal supposent conscience

Et n’ont rien à voir avec la science,

Ni  avec la culture, religion,  société

Tant la lutte, entre le bien et le mal,

Ressemble à un combat permanent

Et sans fin depuis la nuit des temps

Lors l’humain se comporte  animal.

Si un tel combat  nous parait fatal,

Mais, qu’en plus,  il  serait  inégal,

Pourquoi se donner tant de… mal

Pour le tenir, en limite,  normale.

.

Il fut un temps  où  …  on parlait

De combat entre Dieu et Satan :

Aujourd’hui, vers vœu, ça  tend,

D’une justice qu’humain ferait.

Le bien et le mal  sont en nous

Autant qu’autour …  inhérents

À la nature, culture, humaines

Et ne sauraient être éradiqués

C’est une question  de  degrés,

Qui veut faire ange fait la bête

La bête tapie au fond de nous,

Se réveille si  elle est menacée.

.

Mais la menace est permanente,

Exacerbée par flots de nouvelles,

Qui, de toute origine, parviennent

Et nous laissent en un état second,

Qui n’est pas propice  à la réflexion,

Par manque de recul et d’intentions,

Alors, la forme l’emporte  sur le fond,

Et plus encore l’émotion sur la raison.

.

De le savoir, de le dire et de le prouver,

Ne changera rien à nos comportements,

C’est le drame, nous sommes manipulés,

Par qui, par quoi …  à nous de le trouver !

On dit  il faut combattre  le mal par le mal,

Que la guerre serait parfois bien nécessaire,

Nous y sommes, chaque jour, sans le savoir,

Mais le pire est  que, c’est, sans rien pouvoir.

La lutte, entre le bien et le mal, est infernale :

Si le mal gagnait, le Monde  serait anarchique

Mais si c’était le bien, ce serait pire, politique,

Il en faut des deux, mais point trop, n’en faut.

.

.

Extensions

 .

Le bien et le mal seraient des camps opposés

Dont l’un serait mystique et l’autre diabolique

On serait bien là dans un univers …. ésotérique

Dont on a du mal à savoir qui l’aurait engendré.

On voit parfois les deux aux extrémités de droite,

Alors qu’en réalité ils sont en boucle ou mélangées.

Le mal, c’est l’ennemi, le dieu du bien est avec nous.

Combien de films en vue sauver la planète, s’inspirent

De cette trame du bien contre le mal ou le bien gagne,

Nous réveillant en nous endormant cauchemar vivant.

.

Le mal nourrirait le bien, et réciproquement,

À ce point que l’on dit : c’est un mal pour un bien.

.

Philo : « Le mal, se définit par opposition à une éthique

Humaniste où le bien est respect des valeurs humaines ».

.

Nietzsche : « le mal lui-même est constitutif de l’existence

Et chercher à l’abolir revient à abolir la vie elle-même ».

.

Le mal peut être vu, par soi, comme un bien, une liberté,

Alors qu’il est condamnable et condamné par la société.

.

Et si le mal se pratique en dehors de toute conscience

Comme chez de jeunes enfants, adulte, est coupable.

.

.

1036 – Calligramme

 .

LA LUTTE ENTRE

Combat intérieur et extérieur,

Le bien et le mal étant valeurs

Étant forcément, intériorisées,

Mais jugés sur les faits avérés.

Dieu serait, certain, côté bien ;

Et Satan serait du côté du mal.

Oui mais, si Dieu pourrait tout,

Comment  peut-il tolérer  Satan.

.

Bien et mal supposent conscience

Et n’ont rien à voir avec la science,

Ni  avec la culture, religion,  société

Tant la lutte, entre le bien et le mal,

Ressemble à un combat permanent

Et sans fin depuis la nuit des temps

Lors l’humain se comporte  animal.

Si un tel combat  nous parait fatal,

Mais, qu’en plus,  il  serait  inégal,

Pourquoi se donner tant de… mal

Pour le tenir, en limite,  normale.

LE BIEN ET LE MAL 

Il fut un temps  où  …  on parlait

De combat entre Dieu et Satan :

Aujourd’hui, vers vœu, ça  tend,

D’une justice qu’humain ferait.

Le bien et le mal  sont en nous

Autant qu’autour …  inhérents

À la nature, culture, humaines

Et ne sauraient être éradiqués

C’est une question  de  degrés,

Qui veut faire ange fait la bête

La bête tapie au fond de nous,

Se réveille si  elle est menacée.

EST LONG COMBAT  

Mais la menace est permanente,

Exacerbée par flots de nouvelles,

Qui, de toute origine, parviennent

Et nous laissent en un état second,

Qui n’est pas propice  à la réflexion,

Par manque de recul et d’intentions,

Alors, la forme l’emporte  sur le fond,

Et plus encore l’émotion sur la raison.

.

De le savoir, de le dire et de le prouver,

Ne changera rien à nos comportements,

C’est le drame, nous sommes manipulés,

Par qui, par quoi …  à nous de le trouver !

On dit  il faut combattre  le mal par le mal,

Que la guerre serait parfois bien nécessaire,

Nous y sommes, chaque jour, sans le savoir,

Mais le pire est  que, c’est, sans rien pouvoir.

La lutte, entre le bien et le mal, est infernale :

Si le mal gagnait, le Monde  serait anarchique

Mais si c’était le bien, ce serait pire, politique,

Il en faut des deux, mais point trop, n’en faut.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1036 4

.

Une lampe électrique

 En  forme  de  torche,

Ou  alors  un   phare 

Projetant éclats, noirs

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Un phare sert de repère durant le jour,

Et de lumière, la nuit :

Est-ce que le bien agirait au grand jour

Et le mal en l’obscurité ?

 .

Symbolique 

 .

Le symbolisme

Du phare est positif.

Il représente la lumière

Qui guiderait les hommes.

Le phare indique une direction

Et bien au delà, un sens sacré.

.

Il affirme sa verticalité.

À l’instar de la tour,

Cette construction

Possède cependant

Un sens opposé : elle

Est faite pour être vue

Tandis  que  la tour  est

D’abord  faite  pour voir.

Phare porteur de lumière.

Source : tristan-moir.fr/phare

.

.

Fond

Évocation 

.

1036 6

.

Un phare sert de repère durant le jour,

Et de lumière, la nuit :

Est-ce que le bien agirait au grand jour

Et le mal en l’obscurité ?

 .

Symbolique 

.

La symbolique de la nuit

Dans notre culture renvoie

À la peur ancestrale du noir,

À l’angoisse du vide, du silence

Et  quelque part  au  côté  obscur

Des choses en tous les sens du terme

Dans les ténèbres, le chaos, l’enfer, ….

.

À l’inverse, la symbolique de la lumière

Renvoie au positif de logiciel de pensée.

On retrouve ainsi maintes expressions

Dans notre propre langage telles que

«Mettre  quelque  chose   en lumière»

Le mettre en valeur ou la négative

«Ne pas être une vraie lumière»

N’etre pas très intelligent.

nuitfrance.fr/?page=culture-psycho-

societe&partie=lumiere-obscurite

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le noir, ce serait le mal,

Le blanc, c’est la lumière,

Entre les deux, un phare,

Et qui balaierait l’horizon

Des actes  et des opinions,

En prenant de la hauteur.

.

Vieille  comme  le  Monde,

Lutte entre  le bien et mal,

Ne cesserait donc  jamais.

L’une se nourrit de l’autre

L’une  a besoin  de l’autre,

Pour  simplement   exister

Mais la frontière est floue

Car un bien pour un mal,

Vaut un mal pour un bien

 .

.

Guerre est de quel bon côté !

.

Scénario 

.

Le mal est en noir, bien en blanc, en moins et plus pour la morale !

Adam et Ève, tentation pomme de connaissance du bien et du mal !

Diablotin, angelot ou la mauvaise et la bonne conscience intérieure !

 .

Visuels et textuels  >> 

1035 – Mon destin fait-il sens de ma réalité !

Visuels et  textuels >>

.

Mon destin est-il mythe, réalité,

Ce pourrait être titre d’un bouquin,

Tout est prévu mais on fait l’autruche,

Rien n’est prévu : l’on  suit  son chemin.

Destin a bon dos, pour expliquer  l’échec,

Je voulais, je ne serai pas : c’est  le  destin.

.

À ce titre-là, on  n’est  responsable  de rien,

Ni, qui est  derrière : fatalité, hasard, Dieu.

Les histoires tragiques  ont un fatal destin ;

Les comiques, et les banales, n’en ont point

On croit en ce qu’on veut, pour se rassurer,

Que sa vie a un sens, preuve, elle est écrite.

.

Mon destin fait-il  le sens  de ma réalité :

Vrai, certains  y croient, dur comme fer

Mais d’autres, que l’on construit le sien 

En bref rien du tout ne serait déjà écrit

.

Entre plusieurs degrés de libre-arbitre,

Destin est peu ouvert et est peu prédit,

C’est après l’on sait si c’est raté, réussi,

La vie n’est pas faite que d’un chapitre.

.

Changer : saisir une vraie  opportunité,

Prendre des risques,  mieux, les éviter :

Voies restant ouvertes, et pour certains,

Mais  fermées à d’autres,  par  un destin.

.

Destin suppose quelque mission céleste,

D’incarner une volonté supra-individuelle,

Quand on les observe en jumeaux, jumelles

On peut voir destins contraires, ou en reste.

.

Dans une famille,  certains ont même destin,

Alors qu’ils n’ont en  rien le même parcours,

Ils sont  morts, d’accidents, suicides, cancer,

Peut-on pour autant, prédire leur lendemain.

.

Car est-ce le destin ou simplement un terrain

Commun qui les relie, marquant  la même fin,

Et toutes les histoires tragiques  ont un destin,

Je ne connais presque rien du votre… du mien.

.

.

Extensions

 .

Mon destin fait-il le sens

De ma réalité ! Voilà bien,

Une question métaphysique :

Personne ne peut répondre avec

Certitude, y croire véritablement.

«Voilà un  qui aura forcé  le  destin»

Dit-on  d’un suicidé, ou  euthanasié :

Pouvoir décider  de la date de sa mort,

Si le destin existe, est écrit quelque part,

Ne devrait-on pouvoir le faire sans savoir.

Connaitre son destin serait dévoiler

Une part du mystère humain.

 .

Le destin frappe à ma porte, dit-on, au moment de mourir ;

Le destin m’aura oublié, dit un centenaire, en pleine santé !

Quoiqu’il en soit, le destin ne nous laisse pas … indifférents

Mais de là à s’y soumettre, totalement, il y a  libre-arbitre,

Si je ne fais qu’obéir à mon destin, que suis-je vraiment ?

.

Il faut bien distinguer : destin individuel

Destin commun, destin de la planète Terre,

Destin de l’Univers et qui en serait le maitre.

.

Au moins, avec le libre-arbitre, l’on assumera

Pleinement manques, défauts, erreurs, limites

On ne s’en remet à une sorte de main invisible !

.

De ça on peut en parler jusqu’à la fin des temps,

Chacun allant de son couplet, sans aucun refrain.

Peut-être faut-il accepter  tout ce qui nous arrive,

Tout en nous battant, préservant choix hasardeux.

.

.

1035 –  Calligramme

.

Mon destin est-il mythe, réalité,

Ce pourrait être titre d’un bouquin,

Tout est prévu mais on fait l’autruche,

Rien n’est prévu : l’on  suit  son chemin.

Destin a bon dos, pour expliquer  l’échec,

Je voulais, je ne serai pas : c’est  le  destin.

.

À ce titre-là, on  n’est  responsable  de rien,

Ni, qui est  derrière : fatalité, hasard, Dieu.

Les histoires tragiques  ont un fatal destin ;

Les comiques, et les banales, n’en ont point

On croit en ce qu’on veut, pour se rassurer,

Que sa vie a un sens, preuve, elle est écrite.

.

Mon destin fait-il le sens de ma réalité !

Vrai, certains y croient, dur comme fer !

Mais d’autres, que l’on construit le sien 

En bref  rien du tout ne serait déjà écrit.

.

M  O   N

Entre plusieurs degrés    D     libre-arbitre,

Destin est peu ouvert   E   et est peu prédit,

C’est après l’on sait     S  si c’est raté, réussi,

La vie n’est pas faite   T    que d’un chapitre.

Changer : saisir une     I    vraie  opportunité,

Prendre des risques,      N     mieux, les éviter :

Voies restant ouvertes,      *       et pour certains,

Mais fermées à d’autres,       F           par un destin.

Un destin suppose quelque    A           mission céleste,

D’incarner une volonté           I         supra-individuelle

Quand on les observe          T         en jumeaux, jumelles

On peut voir destins                     contraires, ou en reste.

Dans une famille,             I        certains ont même destin,

Alors qu’ils n’ont en            L           rien le même parcours.

Ils sont morts, d’accidents,         *               suicides, cancer,

Peut-on pour autant, prédire leur      S                lendemain.

Car est-ce le destin ou simplement        E               un terrain

Commun qui les relie, marquant            N           la même fin,

Et toutes les histoires tragiques             S          ont un destin,

Or je ne connais presque rien                *       du votre, mien.

D  E     M  A    R É A L I T É !

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation

.

1035 4

.

Silhouette humaine,

Mais d’allure massive :

Un destin  préhistorique 

Ou effet du libre arbitre ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Destin et libre-arbitre s’opposent

on a jamais fini de les rapprocher

croyances et vérités se côtoient,

le fond s’accorde à ses formes.

.

Chacun son destin, qu’on dise

 L’avoir choisi, voire l’avoir subi :

Chacun  garderait une marge de

Libre-arbitre pour l’infléchir.

.

Symbolique

.

Le destin désigne,

Au moment présent,

L’histoire future  d’un

Être humain ou société

Telle qu’elle est prédéfinie

Par une instance considérée

Comme supérieure aux hommes

Comme étant éventuellement divine

Dans les conceptions finalistes du Monde,

Soit comme plutôt immanente à l’univers

Éventuellement  Philosophie de l’histoire

 Ou nature en conceptions déterministes

Comme dans sa conception stoïcienne.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1035 6

.

Chacun son destin, qu’on dise

 L’avoir choisi, voire l’avoir subi :

Chacun  garderait une marge de

Libre-arbitre pour l’infléchir.

.

Symbolique

.

Le libre arbitre

Décrit  cette  propriété

Qu’aurait volonté humaine

De se déterminer, librement,

Ou alors plus arbitrairement,

À … agir   ainsi   qu’à… penser,

Par opposition  au déterminisme

Ou au fatalisme, qui affirment que

La volonté est déterminée dans chacun

De ses actes par des forces qui l’y nécessitent.

Se déterminer à ou être déterminé par :

Tel est tout l’enjeu de l’antinomie

Du destin et du libre arbitre.

histophilo.com/libre_arbitre

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Destin par définition,

Viendrait    d’ailleurs

Et serait irrévocable

Pour les événements

On parle de destinée

Et voire de fatalité

À en être tragique

Contre sa volonté

Ou personnelle,

Ou  collective !

Destin et sens,

Contre réalité,

Et au jeu des dés

Hasard va gagner,

Bien que «non existant»

Et qu’écrit ne soit pas prouvé.

 .

.

Incertitude des dominos 

.

Scénario 

.

Les dés de mon destin, jetés en une fois, et voilà mon sort scellé,

pourquoi pas le Fabuleux destin d’Amélie Poulain, suffit d’y croire,

ou celui d’Œdipe face au sphinx grec qui perça l’énigme de l’homme.

Visuels et  textuels >>

1034 – Le mystère de l’Univers est en nous !

Visuels et textuels  >>

.

Le mystère de  …  l’Univers,

Est tout autant …    en nous,

Qu’autour de nous … caché.

.

Le mystère de    l’Univers,

Ne se trouve pas   en hier,

Pas plus qu’en … demain.

.

Le mystère  de  l’Univers,

Est au-delà de    l’Espace,

Est au-delà du … Temps.

.

Le mystère  de  l’Univers,

Est dans ce  Mouvement,

Qui nous pousse vers lui.

.

Le mystère de notre ….. Univers,

C’est qu’il grandit, plus on avance,

Au fur et à mesure de Connaissance.

.

Le mystère de… l’Univers

Est un monde à l’Envers,

Dont on n’a pas les clefs.

.

Le mystère  de   l’Univers

Est apparition sur Terre,

D’entité  qui  le cherche !

.

Le mystère  de  l’Univers

Est  qu’il  n’y   en … a pas

Dans ce monde  absurde.

.

Le  mystère  de l’Univers

C’est  l’amour  qui  sauve

Nos carcasses de chairs.

.

Le  mystère de  l’Univers

C’est Dieu,    à l’évidence,

Si l’on entre en sa danse.

.

Le mystère  de  l’Univers :

Nous sommes  poussières,

Quelque part en notre air.

.

Le  mystère  de  l’Univers

Est  grand  ou  bien petit,

Et souvent mal compris !

.


.

Extensions

 .

Beaucoup d’astronomes et d’astrophysiciens

Disent que le mystère de l’Univers ne se situe plus

Après le « Big Bang » mais avant  mais avant cet avant,

Il y avait quoi : si on le découvrait, l’on avancerait d’un pas

Mais on reculerait de deux car l’Univers est infini en le temps

Dans l’espace en passant d’infiniment petit à infiniment grand.

Ceci dit nous ne sommes plus au temps des philosophes grecs

Où la Terre était le centre du monde, plate avec une voute

Céleste et avec la Méditerranée comme mer principale.

La connaissance de l’Univers a fait, au dernier siècle,

Des progrès astronomiques en tous sens du terme.

Mais, le dernier continent, nommé l’humain,

Reste peu exploré et en particulier quant

Au fonctionnement réel du cerveau.

Le mystère de l’Univers est-il nous, en nous ou pour nous ?

Nous ne sommes pas en mesure de répondre à notre propre

Questionnement  sur nous-mêmes, notre existence, finalité.

L’univers nous est donné tout comme un livre à décrypter,

Mais en quoi  pourquoi serait-il le reflet de nous-mêmes,

Surtout de le décréter comme  dieu tant juge et partie.

De mystère, tout simplement peut-être, y en a pas,

Peut-être il n’y en a plus et comment le savoir,

Tout comme de savoir s’il y a une autre forme

De vie pour nous après la mort car l’homme

Envoie la balle  à l’Univers, qui la lui renvoie,

À son tour et ainsi de suite, sempiternellement.

.

Un mystère est un bien grand mot dans la mesure où

Nous n’avons que des instruments pour voir, vérifier,

Mais aucune théorie explicative  et  compréhensible,

Qui soit à la fois de nature religieuse et scientifique,

D’autant qu’Univers échappe  au domaine sensible,

Il n’est que fruit de calculs savants, non explorant,

On ne sait ce qu’il est avant qu’il deviendra après.

.

Le mystère de l’Univers, on en fait

Ce qu’on  veut, tant, par définition,

Mystère dévoilé  n’est plus mystère,

Et on ne cherchera plus à le percer !

.

Dire qu’il est en nous comme en tout

Est accepter notre limite et modestie

Sur connaissance  qui nous échappe,

Sur le sens de la vie, même matière !

.

Deux options s’offrent aux humains :

On reste sur la Terre et on disparait ;

On tente d’explorer d’autres Univers,

Migrer sur autre planète en colonie.

.

.

Épilogue

 .

Notre vie, notre Planète, notre Galaxie, l’Univers

Participent de même origine   et transformation :

Nous sommes héritiers des étoiles en dissolutions,

Quelque part il se pourrait que l’on ait des cousins.

*****

Quel mystère tout de même que milliers de galaxies

Et qu’une seule planète habitée,  et qui  est la nôtre :

On pense que ce n’est que  par conditions favorables,

Ou voire le dessein  d’un être suprême, étant … Dieu !

*****

Hypothèses sujettes à caution, en l’absence de preuve :

Nous ne connaissons qu’infime partie de notre Univers

 Son exploration et sa conquête dureraient millénaires.

D’ici là on parierait sur disparition homme sur Terre.

*****

Quoiqu’il en fut, quoiqu’il en est, en serait plus tard

Le mystère de l’Univers nous échappera toujours,

Est-ce un bien ou un mal, qui le sait, le saura,

En tous cas pour le savoir, ne serai plus là.

*****

Découvrir  puis comprendre le monde,

En lequel on vit, est un but en sa vie,

Le reste jusqu’à son dernier soupir,

Mérite de l’humain sur l’animal !

.

.

1034 – Calligramme

 .

LE MYSTÈRE 

Le mystère de  …  l’Univers,

Est tout autant …    en nous,

Qu’autour de nous … caché.

.

Le mystère de    l’Univers,

Ne se trouve pas   en hier,

Pas plus qu’en … demain.

.

Le mystère  de  l’Univers,

Est au-delà de    l’Espace,

Est au-delà du … Temps.

.

Le mystère  de  l’Univers,

Est dans ce  Mouvement,

Qui nous pousse vers lui.

.

DE L’UNIVERS 

Le mystère de notre ….. Univers,

C’est qu’il grandit, plus on avance,

Au fur et à mesure de Connaissance.

.

Le mystère de… l’Univers

Est un monde à l’Envers,

Dont on n’a pas les clefs.

.

Le mystère  de   l’Univers

Est apparition sur Terre,

D’entité  qui  le cherche !

.

Le mystère  de  l’Univers

Est  qu’il  n’y   en … a pas

Dans ce monde  absurde.

.

Le  mystère  de l’Univers

C’est  l’amour  qui  sauve

Nos carcasses de chairs.

.

Le  mystère de  l’Univers

C’est Dieu,    à l’évidence,

Si l’on entre en sa danse.

.

Le mystère  de  l’Univers :

Nous sommes  poussières,

Quelque part en notre air.

.

Le  mystère  de  l’Univers

Est  grand  ou  bien petit,

Et souvent mal compris !

EST EN NOUS

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1034 4

.

Punaise pour fixer  une  feuille

Poignée d’un  poignard ou épée

Ou bien deux étages d’une fusée,

Ou une lunette télescopique ?

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Une lunette télescopique nous fait

entrevoir confins de notre galaxie,

dont évidemment en faisons partie,

ainsi la forme converge vers le fond.

.

Avec bonne lunette télescopique,

L’on peut mieux observer :

Mais malgré cela, il resterait encore

 Lot des mystères à éclaircir.

.

Symbolique 

 .

Lunette astronomique

Ou lunette de Kepler est

 Un instrument optique

Composé par des lentilles.

.

Elles permettent  d’augmenter

La luminosité et la taille apparente

Des objets du ciel lors de l’observation.

.

Équipée d’un redresseur d’image,

Elle  se  comporterait  alors

En lunette d’approche.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1034 6

.

Avec bonne lunette télescopique,

L’on peut mieux observer :

Mais malgré cela, il resterait encore

 Lot des mystères à éclaircir.

.

Symbolique 

.

Les auteurs du

« Mystère du corps humain »

Relèvent un nouveau défi :

Nous initier aux splendeurs

Vertigineuses  de  l’Univers.

.

Avec ses 523 infos époustouflantes,

Sa recette du cake aux myrtilles,

Sa photo de l’Univers bébé,

Ses blagues qui aident à comprendre

Ce qui est complexe et sérieux

Et ses dessins pour entrevoir

L’invisible et rêver à l’infini.

.

Ce livre illustre la formule fameuse :

« Un mystère n’est pas quelque chose

Qu’on ne connaîtra jamais,

C’est quelque chose qu’on n’en aura

Jamais fini de connaître. »

Jan Paul Schutten et Floor Rieder.

ecoledesloisirs.fr/livre/mystere-lunivers

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme

.

Pas besoin d’une lunette astronomique,

 Pour explorer au fond, le corps humain

Mieux vaut un microscope performant,

Qui verrait tout, en une goutte de sang.

Malgré cela,  le fonctionnement global,

De notre organisme recèle un mystère,

Comme celui déclenchement de cancer

En réalité notre corps demeure encore

En partie, inexpliqué, ou inexplicable.

Nous sommes encore pour le cerveau

Entre vérité, ignorance, et croyance.

 .

.

Tant de choses à savoir sur nous

.

Scénario     

 .

Le mystère n’est pas notre planète terre mais ce qu’il y a très loin.

Y sommes-nous pour quelque chose : en cela, nous ne savons rien.

Nous n’aurons pas fini d’explorer et plus encore, nous émerveiller.

 .

Visuels et textuels  >>

666 – Joie du début de rencontre, déjà peur de sa fin

Visuels et textuels  >>

.

La joie  est tou-

Jours empreinte

Certains   diront

«En – ta – chée »

Par la peur et la

Peine  de  sa  fin

Tant rien ne du-

Rera … demain.

.

Le début est parfois prometteur, lors la fin, toujours destructeur.

Il ne faudra pas  en être chagrin : tout ce qui a un début, a une fin.

C’est vrai de toute rencontre : inutile argumenter le pour et contre,

Même si on choisit jouer montre, la mort, chaque fois, démontre.

.

Enfin on peut croire

 Qu’en ….… l’éternité,

Amants … se retrou

Veront, rencontrés !

.

Mais …  sous quelle

Forme et pourquoi,

Si tous les autres ne

Les  entourent  pas !

 .

Joie du début d’une rencontre,

Peur de sa fin,

Joie, vie,  commune marche bien

Peur que non.

 .

 Tout début est, souvent, prometteur

D’un bonheur

Alors qu’à la fin on ne voit plus bien,

Même chemin.

 .

Cela ne marche  pas, à chaque fois :

Il suffit d’une

Une, chacun  l’espère, s’en satisfera,

Aimant.

 .

Si longtemps qu’à la fin ils hésitent,

Pas terminé

D’aucune façon, ils se sont préparés

Pour se séparer.

 .

Pour certains, c’est la loi du genre

Tous s’y affrontent,

Jouent au dé jouent la montre,

Mais à  l’encontre.

 .

Chance, volonté, persévérance,

Il faut lutter

Pour avoir droit de s’aimer

Une éternité.

.

.

Extensions

 .

Joie du début d’une rencontre :

Attention à ne pas bouder son plaisir,

Un tel bonheur est toujours bon à prendre.

Peur de sa fin : attention à ne pas l’anticiper

Parce qu’on vous a dit que ça ne marchera pas.

.

Si la peur de la fin empêche tout début d’advenir,

Vous demeurez coincé en une contradiction extrême.

«Six cent-soixante-six est, soit disant, chiffre du diable.»

Serait-ce lui qui introduit le doute en amour, la faille !

.

Tout bonnement, tout connement, tout humainement,

Nous seul dès lors que confiance ne devient évidence.

Peur de perdre l’autre, peur de se perdre en lui,

Voire peur de perdre confiance en soi

Sont autant  de poisons  de l’amour.

.

Toute vie, en commun, reste un pari

Sur l’avenir, jamais défini, d’avance,

Et qu’il faudra construire, pas à pas.

.

L’angoisse  de la perte de l’amour, abandon précoce,

Est profonde, durable, obsessionnelle, chez certains

Qui ne font confiance  à personne même en mariage

En étant persuadé que  leur union aura vite une fin,

Et ce au point de la  précipiter pour en être certain !

Dans une telle condition, il ne faut rencontrer aucun,

Ou simplement se contenter de les succéder un par un.

.

Toute rencontre a fatalement un début et une fin,

Sachant que rien n’est stable et rien n’est définitif

.

Il faut se dire qu’autre du couple peut disparaitre

Non par accident, maladie, autre cause…mortelle

Mais par rupture, abandon, déménagement, etc.

.

Quand la confiance règne,  rien ne peut arriver,

Y compris  cas petit dérapage, petite infidélité,

La seule chose qui compte, demeurer le pilier !

.

Oui mais quand même on ne peut tout tolérer

On pardonne une fois ou deux, à la troisième,

On se posera la question : est-ce, déjà, la fin.

.

.

Épilogue

 .

Tout ce qui a un début a une fin,

Comme naissance aura une mort.

***

Il sera impossible de s’y soustraire

Personne ne vous dira le contraire.

***

L’amour, bien que soi-disant éternel

Dès qu’il s’incarne, subit même sort !

***

Je comprends qu’on ait peur de sa fin,

Bien que souvent remise au lendemain.

***

En attendant, sa rencontre, faut la vivre,

Jusqu’à plus soif, jusqu’à en devenir ivre.

***

La peur de la fin  est une angoisse diffuse,

Que chaque jour actualités nous infusent :

***

Vivre à plein chaque jour comme dernier,

Choisir qu’il vaut mieux ne pas y penser :

***

 Telle est alternative nous étant proposée

Pour garder joie de rencontrer… intacte.

***

Joie du début mais peur de la fin, contre

La peur du début mais la joie de la … fin.

***

Quand une rencontre  ne satisferait plus,

La fin est en effet meilleure que le début.

***

Tout cela pour vous dire  qu’un tel écrit,

N’est ni fait ni à faire, sans début ni fin.

.

.

666 – Calligramme

 .

La joie  est tou-

Jours empreinte

Certains   diront

«En – ta – chée »

Par la peur et la

Peine  de  sa  fin

Tant rien ne du-

Rera … demain.

Le début est parfois prometteur, lors la fin, toujours destructeur.

Il ne faudra pas  en être chagrin : tout ce qui a un début, a une fin.

C’est vrai de toute rencontre : inutile argumenter le pour et contre,

Même si on choisit jouer montre, la mort, chaque fois, démontre.

Enfin on peut croire

 Qu’en ….… l’éternité,

Amants … se retrou

Veront, rencontrés !

Mais …  sous quelle

Forme et pourquoi,

Si tous les autres ne

Les  entourent  pas !

J ….

Joie du début ‘  d’une rencontre,

Peur   O  de sa fin,

  Joie, vie,  com I mune marche bien

Peur  E  que non.

*  ….

   Tout début est  D  souvent prometteur

D’un  E  bonheur

   Lorsqu’à la fin  *  on ne voit plus bien,

Même  R      chemin.

E …..

Cela ne marche  N  pas, à chaque fois :

Il suf  C   fit d’une

Une, chacun  l’es O   père, s’en satisfera,

Ai   N   mant.

T …..

Si longtemps qu’R  à la fin ils hésitent,

Pas E terminé

D’aucune façon *  ils se sont préparés

Pour    P se séparer.

E……

Pour certains,  U  est la loi du genre

Tous s’y  R    affrontent,

Jouent au dé  *  jouent la montre,

Mais à  D  l’encontre.

E …..

Chance, volon  *   té, persévérance,

Il faut F       lutter

Pour avoir     I  droit de s’aimer

Une    N  éternité.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

666 4

.

En haut, croix chrétienne ;

En bas, un grand  piédestal

Autant  que  tire-bouchon

En goulot d’une bouteille ?

.

Joie lors on débouche une bouteille

À l’aide d’un tire-bouchon

Et peur qu’elle soit, trop vite, vide :

 Vide d’air, oui, de sens aussi !

 .

Symbolique 

.

Tire-bouchon vient du verbe « tirer »

Nom « bouchon », qui en latin donne « bucco ».

C’est en quelque sorte l’outil  qui sert  à extirper

De son logement la parcelle de matière, faite

De liège qui, d’un côté est

Au contact du liquide,

Et  de  l’autre  côté

À proximité de qui

Fait l’action de tirer.

On situe mal invention

Réelle tire-bouchon mais

Généralement on l’attribue

À l’observation des  animaux

Proches du porc qui de par leur

Partie  caudale, queue, évoquent

La spirale que nous connaissons.

Modifié, source : ledifice.net

.

Descriptif

.

666 – Joie début de rencontre, peur de fin

  Alignement central / Titre droit   / Thème  rencontre

Forme  droite / Rimes variées /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : tire-bouchon / Symbole de fond : bouteille

.

Fond

 .

Évocation 

.

666 6

.

Joie lors on débouche une bouteille

À l’aide d’un tire-bouchon

Et peur qu’elle soit, trop vite, vide :

 Vide d’air, oui, de sens aussi !

 

Symbolique 

 

Rêver de voir une bouteille pleine :

Rencontres amicales, bonheur détente ;

Voir une   bouteille, avec  du vin : richesse ;

Voir   une  bouteille   vide : un   petit   incident ;

Laver une bouteille : clarification situation confuse ;

Voir  une bouteille  cassée : prudence, risque de fracture ;

Voir une bouteille à la mer : avoir des nouvelles de l’étranger.

dictionnaire-des-symboles-de-reve

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Une bouteille de vin et un tire-bouchon

Sont fait l’un pour l’autre … et pour nous.

Après débouché, peur que vin soit pas bon

Après y a voir gouté, l’avoir bien apprécié

Peur que la fin de la bouteille, arrive vite

Nous laisse comme goût amer abandon

Chacun est libre de son interprétation

Chacun met ce qu’il boit en bouteille

Devenir est qu’elle devienne vide,

Chacun peut à nouveau remplir.

 .

.

Abandonné comme vieux jouet

.

Scénario

.

Au début tout est magique : tout parait si magnifique,

mais déjà la peur de perdre, sourdement, m’a envahi,

au point que je vis rencontre, de manière tragique !

 .

Visuels et textuels  >>

665 – Solitude est immense si on ne vous aime plus

Visuels et textuels  >>

.

Solitude en amour

Est prison intérieure

Bien que prison à deux

Ne soit guère  meilleure.

.

D’être aimé, se croire aimé

Qui revient parfois au même

Aide à vivre, sinon à survivre,

Confiance, espérance, garder.

.

Le doute, il est vrai, s’instaure,

Si on lui donne raison  ou tort,

On s’approche, alors, de mort,

En s’enfonçant en la solitude.

.

La solitude  est  adoucie  par,

La sollicitude  qui nous évite,

La vicissitude  luttant contre

Habitude  de se croire  seul.

.

S’il n’y a plus de sollicitude

On vit à  tombeau  ouvert,

Tout est futile, et inutile :

On est état Alzheimer.

.

Solitude est immense si on ne vous aime plus

Quand vous le découvrirez, brutalement,

Au détour de phrase, anodine en sus,

D’un geste ou d’un événement.

.

Vous cherchez depuis quand,

Depuis hier, un an,  plus longtemps,

Impossible de savoir mais doute est là,

Et c’est lui qui en son temps vous cassera.

.

Qu’ai-je donc fait, qu’ai-je mal fait ou pas fait,

Que n’aurai-je dit, qu’ai-je mal dit, n’ai-je pas dit.

Autant de questions qui tomberont, à plat : nenni !

Simplement, amour autre parti, lors, je suis refait.

.

N’étant pas  au courant : de pouvoir, lutter contre,

Je ne suis nullement allé au-devant, à la rencontre,

De celui ou de celle qui commençait, à  m’ignorer,

M’enlevant jusqu’au désir, et la force, de l’aimer !

.

Lors,  si les jeux sont faits,  sollicitude  est futile,

Je n’ai qu’à me considérer que comme imbécile

Me projeter en un ailleurs qui m’est plus utile

Pour adoucir ma solitude paraissant fragile.

.

.

Extensions

 .

Être seul n’osant pas être deux ;

Être seul si on n’a d’alter-ego ;

Être seul si on vous a quitté,

Sont variantes de solitude.

.

Le pire est rejet de l’autre, négation :

«Je ne t’aime pas, d’ailleurs, à vrai dire,

Je ne t’ai jamais aimé : qui pourrait

Bien aimer un être comme toi !»

Seul dans un couple où l’autre

Se dit seul aussi de son côté,

Font deux solitudes qui se

Côtoient sans rien communiquer.

.

L’autre est le miroir, de son isolement.

«Toi, t’es fait, t’es bon que pour vivre seul »,

Est comme le condamner à la prison à perpétuité,

L’enfermer en lui-même, le mettre au ban de la société.

L’écrivain est toujours seul quand il écrit, jamais seul

Quand on le lit comme l’amoureux est toujours seul

Quand il rêve, par définition, jamais lors il baise.

.

La solitude est sensation de mise à l’écart de tout le monde,

Vous êtes seul face à vous-même, et rien ne peut vous aider

La posture la plus visible et connue est celle, recroquevillée

Ou la main sur la vitre, pour dire qu’on n’atteint plus rien.

C’est sûr, c’est un état qui détruit de l’intérieur, l’humain,

Car si vous avez l’impression que personne ne vous aime

Vous êtes proche de haine de vous-même, du prochain.

.

Les causes et situations de solitude,

Seront très nombreuses et variées.

Déjà, si elle est choisie, ou subie,

Ensuite, si on est isolé ou pas,

Enfin, si y a pas de solution

L’on est seul… au monde !

.

Seul au monde, on ne peut

Dès que quelqu’un vous aime,

Que ce soit conjoint, parent, ami

Lorsque des fois, un seul être suffit,

Pour combler une solitude, immense,

Et, en société, re-rentrer dans la danse.

.

L’écriture est un grand moment de solitude,

C’est souvent ce que ressentent, disent auteurs

Mais ce ne serait qu’un simple isolement externe

Dès lors que l’esprit est peuplé d’une foule de gens

Dialoguant avec lui, quand ce n’est pas… entre eux :

Et ainsi l’on se créerait son propre théâtre… intime !

.

.

665 – Calligramme 

 .

Solitude     S  en amour

Est prison    O  intérieure

Bien que pri   L    son à deux

Ne soit guère   I        meilleure.

D’être aimé, se      croire aimé

Qui revient par  U   fois au même

Aide à vivre, si    D  non à survivre.

Confiance, espé   E   rance, gardées

Le doute,  il est    *   vrai, s’instaure,

Si on lui donne    E  raison ou à tort

On  s’approche,   S    alors, de mort,

En s’enfonçant    T    dans solitude !

La solitude est    *       adoucie  par,

La sollicitude      I    qui nous évite,

La vicissitude    M   luttant contre

Habitude  de     M  se croire  seul.

S’il n’y a plus    E   de sollicitude

On vit à  tom   N  beau  ouvert,

Tout est futi   S le, et inutile :

On est état   E  Alzheimer.

.

*****************************

**********************************

.

Solitude est immense si on ne vous aime plus

Quand vous le découvrirez, brutalement,

Au détour de phrase, anodine en sus,

D’un geste ou d’un événement.

.

Vous cherchez depuis quand,

Depuis hier, un an,   S   plus longtemps,

Impossible de savoir   I   mais doute est là,

Et c’est lui qui en son     * temps vous cassera.

      O

Qu’ai-je donc fait, qu’ai-     N   je mal fait ou pas fait,

Que n’aurai-je dit, qu’ai-je   *   mal dit, n’ai-je pas dit.

Autant questions qui tom    N    beront, à plat : nenni !

Simplement, amour autre     E   parti, lors je suis refait.

      *

N’étant pas, au courant,         V      pouvoir, lutter contre,

Je ne suis nullement allé au   O     devant, à la rencontre,

De celui ou de celle qui com   U      mençait, à  m’ignorer,

M’enlevant jusqu’au désir      S         et force, de l’aimer !

       *

Lors si les jeux sont faits       A       sollicitude est futile,

Je n’ai qu’à me considérer    I      que comme imbécile

Me projeter en un ailleurs  M      qui m’est plus utile

Pour adoucir ma solitude  E       paraissant fragile.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

665 4

.

Deux verres à l’envers,

Petit et grand, superposés,

De  formes, de tailles différentes 

Et aussi d’usage selon ses humeurs

.

Verre et humeur vont parfois ensemble

le verre à moitié plein ou à moitié vide,

mais si vous le renverser, plus d’espoir,

tant et si bien que forme diffère du fond.

.

Toute solitude, c’est le Monde,

 Ou  c’est le verre, à  l’envers !

Le plein d’humeur morose est

En bas et le vide est en haut !

 .

Symbolique 

 .

Le verre est un des

Premiers matériaux

Mis au point, rêvé par l’homme.

Il est le symbole et de la fragilité,

La finesse et la transparence.

.

Par exemple, la pantoufle

De verre de Cendrillon

 Dans le conte de Charles Perrault

Et dessin animé de Walt Disney.

.

Il est souvent considéré

Que dans le conte original,

La pantoufle était de vair,

Perrault a écrit sa version

De l’histoire avec une

Pantoufle de verre,

Le dessin animé

Reprendra

L’ idée.

Wikipédia

.

Descriptif

.

665 – Solitude est immense si on ne vous aime 

  Alignement central   /   Titre droit    /  Thème  solitude

Forme  conique / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : verre / Symbole de fond : humeur

.

Fond

 .

Évocation 

.

665 6

.

Toute solitude, c’est le Monde,

Lors c’est le verre, à  l’envers,

Plein  d’humeur  morose  est

En bas et le vide est  en haut !

 .

Symbolique 

 .

L’humeur est un

État d’âme persistant.

Elle diffère de l’émotion

En ceci   qu’elle est moins

Spécifique,  moins intense,

Et moins influencée par des

Événements récents, même si

Des émotions telles que la peur

Et surprise, sont  des sentiments

Parfois sévères, et pouvant durer

Des heures même voire des jours.

.

L’humeur pourra bien avoir une

Connotation positive, négative.

En langage courant, on parle

De « bonne » humeur ou de

«Mauvaise » humeur.

Wikipédia : humeur

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le verre est un contenant,

Le verre est transparent :

L’humeur, elle, ne l’est pas,

On la voit, on la sent, boit,

La solitude est ainsi qu’elle

Ressemble à un verre vide

Vide de liquide, et de sens

Et qui plus est renversé

Et pas … renversant.

.

.

Écrit dans le secret de sa solitude

.

Scénario

 .

Mon cœur est  tombé sur chaussée, personne ne remarque : oublié !

En mon couloir, je demeure prostré, personne ne passe me relever !

Derrière ma vitre, je reste enfermé et incapable de communiquer !

 .

Visuels et textuels  >>

664 – Je ne peux en vouloir à personne de ne pas

Visuels et textuels >>

.

Rester attrayant, vieillissant,

Est art consommé du paraitre,

Si  ce n’est  de l’être, d’intérieur

Seul à être vu par transparence !

.

Vieillissant, charme et tendresse,

Remplace force, sexe  et  adresse,

Impensable  de faire abstinence.
Vieillir, n’est pas une pénitence.

.

C’est le lot de tous, loi du genre

Et l’essentiel n’est pas de baiser

Comme une bête, mais d’aimer,

Avec cœur et tête, qu’on ébranle.

.

Comment en vouloir à quelqu’un,

De n’avoir pas vingt ans, vie durant,

Y a plus de consonnes que de voyelles,

Consonnes sont ans, voyelles, amours.

.

Je ne peux en vouloir, à personne,

De ne pas me trouver attrayant

Surtout quand… vieillissant,

Temps de déplaire sonne.

.

D’autres plaisirs, d’autres soupirs,

Remplacent du sexe, fou désir

Pour autant, non occultant,

Un plaisir doux, d’avant.

.

Si fait que charme, et, tendresse,

Compensent force et adresse

Quand essentiel redresse

Sa passagère paresse.

.

Je souhaite, bon temps, bon vent,

À celui qui se rendra abstinent,

Ame, esprit, cœur : contents,

Ne font pas de lui, amant.

.

Et pourtant, il aime, et il aimera,

Toujours mais plutôt de loin,

En prenant très grand soin

De ses anciennes amies.

.

Qu’amours  … charnels  … sensuels,

Se transformeront en ……. rappels,

N’a rien toutefois …..…. de virtuel,

Sont affections .….…. bien réelles.

.

Je ne peux en vouloir à personne

De ne pas utiliser de consonnes

Que voyelles laissent à désirer

Au lieu, contraire, les aimer.

.

.

Extensions

.

Comment en vouloir à quelqu’un

De vieillir dès lors que ce sera le lot

De chacun, en vie, qu’on y peut rien.

De vieillir prématurément, peut-être,

Suite à une maladie contractée auprès

.

D’un autre  ou d’un accident provoqué,

Ou encore de mauvaises  ou de pénibles

Conditions  de  travail, ou, de  mauvaise

Couverture  santé,  couverture  finances.

.

Sur le  fond, c’est une  norme  génétique,

Sur  la  forme, que  des  cas  particuliers.

De bien vieillir est tout comme demeurer

En bonne santé et en capacité psychique

.

Art consommé sans garantie confirmé :

Des buveurs et des fumeurs invétérés

Sont morts quasi centenaires,

Des macrobiotiques,

Cinquantenaires !

.

Expression courante «sourd comme un pot» concerne audition

Soit sous une forme de déficience de l’oreille et de malentendant,

Soit de volonté  de ne pas  entendre, combler demande  de  l’autre.

Parfois, il ne s’agit pas  de l’autre  mais   proprement, de soi-même,

Quand, arrivé  à  un certain âge, on se croit, encore, jeune, aguerri,

Ou quand des personnes ne comprennent pas  la portée de son art

Et comment pourrait-on à vouloir à quelqu’un de pas intéressé.

.

Je suis comme je suis, physiquement parlant

Si je dois en vouloir à quelqu’un : à mes parents

Par suite de leur hérédité, qu’ils ont acquis aussi.

Si parfois ça devient mieux, parfois, ça l’est moins.

.

Et puis il y aurait le soin  que l’on porte à soi-même :

On s’entretient  ou on se laisse aller, on abuse d’alcool,

On se retrouve à cinquante ans comme ayant soixante,

De qui voulez-vous que ce soit la faute hors vous-même

.

Et puis, sans être un séducteur né ou un vrai Don Juan

Y en a qui savant parler aux femmes et d’autres, non :

Sachant qu’inverse est vrai aussi : imaginer le couple

Cela ira bien au-delà d’une timidité, dite maladive.

.

.

664 – Calligramme

.

JE NE PEUX

Rester attrayant, vieillissant,

Est art consommé du paraitre,

Si  ce n’est  de l’être, d’intérieur

Seul à être vu par transparence !

Vieillissant, charme et tendresse,

Remplace force, sexe  et  adresse,

Impensable  de faire abstinence.
Vieillir, n’est pas une pénitence,

C’est le lot de tous, loi du genre

Et l’essentiel n’est pas de baiser

Comme une bête, mais d’aimer,

Avec cœur et tête, qu’on ébranle.

Comment en vouloir à quelqu’un,

De n’avoir pas vingt ans, vie durant,

Y a plus de consonnes que de voyelles :

Consommes sont les ans, voyelles, amours.

.

*****************************************

*****************************************

EN VOULOIR

Je ne peux en vouloir, à personne,

De ne pas me trouver attrayant

Surtout quand… vieillissant,

Temps de déplaire sonne.

.

D’autres plaisirs, d’autres soupirs,

Remplacent du sexe, fou désir

Pour autant, non occultant,

Un plaisir doux, d’avant.

.

Si fait que charme, et, tendresse,

Compensent force et adresse

Quand essentiel redresse

Sa passagère paresse.

.

Je souhaite, bon temps, bon vent,

À celui qui se rendra abstinent,

Ame, esprit, cœur : contents,

Ne font pas de lui, amant.

.

Et pourtant, il aime, et il aimera,

Toujours mais plutôt de loin,

En prenant très grand soin

De ses anciennes amies.

À PERSONNE

Qu’amours  … charnels  … sensuels,

Se transformeront en ……. rappels,

N’a rien toutefois …..…. de virtuel,

Sont affections .….…. bien réelles.

Je ne peux en vouloir à personne

De ne pas utiliser de consonnes

Que voyelles laissent à désirer

Au lieu, contraire, les aimer.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

664 4

.

Six pots empilés

éléments de colonne

Voire pots de terre et fer

Qui se casseront tous deux.

 .

Le pot est connu  pour se casser

facilement surtout s’il est en terre

aussi, plus curieux, pour sa surdité

son premier sens converge au fond.

.

Voilà six pots empilés, des plus communs,

Et sans allure :

Ils ont tous été rangés après avoir été utile,

Leur vie durant !

 .

Symbolique 

 .

Les  pots  horticoles

Remontent aux origines

Du jardinage,  néolithique

Ils  sont  fréquents  dans les

Jardins  de  toute l’antiquité.

Pots de fleurs : en terre cuite,

Mais existe aussi en plastique,

En bois, voire même en pierre.

Il en existe de toutes les tailles,

Du dé  à coudre  aux  énormes

Pots arboricoles couramment

Utilisés pour  les agrumes.

.

Descriptif

 .

664 – Je ne peux en vouloir à personne

  Alignement central   /   Titre intercalé    /  Thème  humeur

Forme  conique / Rimes égales /  Fond approché de  forme

Symbole de forme : pots / Symbole de fond : cassés

.

Fond

 .

Évocation 

.

664 6

.

Un pot de terre ou un  pot de fer

Ou l’un contre l’autre :

Ils s’affronteront leur vie durant

Se casseront tous deux.

 .

Symbolique 

 .

 Pot, récipient qui se casse

À ouverture large sans anse

Initialement destiné à contenir

Et à conserver  de la  nourriture.

Aujourd’hui, simple de forme  type

De poterie  tournée, ou  un  récipient

En diverses matières céramiques, grès,

Faïences, métalliques et destiné à recevoir

Liquides plus ou moins visqueux à chaud.

La cruche est un symbole de stupidité.

Le pot demi-plein est l’image du sot.

Source Wikipédia : pot

 .

 .

Corrélations

 .

Liens fond/forme 

Un pot n’aurait, en lui-même, ni vertu ni vice

Ce ne sont que les gens  qui lui en trouveront :

En dehors de définition générique : contenant ;

.

On lui attribue aussi  contenu : pot de confiture,

De même que boisson, payer un pot à quelqu’un,

Ou plus positif encore, avoir du pot, de la chance

Plus négatif : s’asseoir sur le pot pour ses besoins.

.

En réalité le contenant peut avoir la même utilité

Sans, pour autant, avoir la même fragilité, durée

Un pot en terre cuite est fait pour être remplacé,

Un pot en fer ou acier, affronte toute adversité.

 .

.

En vouloir à quelqu’un

.

Scénario 

.

Ne pas m’accueillir, amoureusement, quand je leur tends la main.

Ne pas comprendre  le contenu  du message, que je leur adresse.

Ne pas voir que, quel que soit mon âge, mon cœur bat encore !

 .

Visuels et textuels >>

663 – Un malentendu : quoi de plus commun !

Visuels et textuels  >>

.

Au début, j’ai cru

À un malentendu

Puis maladresse

Et malversation

Ou belle échelle

De toute gravité

De… situations

Conflictuelles

Ou confiance

À un pur vrai malentendu

Et puis, vers la fin, j’ai vu

Comme une malversation

Et  après  cela : impossible

De revenir   sur sa décision

De renouveler  sa confiance

En l’autre, et pour… de bon

Lors malentendu est pris pour

Malversation : il y a problème

Celui d’un procès  d’intentions

Qui est plus  fréquent qu’on dit

   .

Un malentendu : quoi de plus commun,

Je n’ai pas compris, j’ai mal interprété !

Un dialogue est plein de  sous-entendus,

Finissant par dériver en contre-vérités !

La maladresse est, un faux pas  de côté,

Qu’autre prend pour manque tendresse :

J’ai oublié  un rendez-vous, je confesse,

Bien que ce soit moi, qui l’aie  sollicité !

La malversation est comme perversion,

Un pur comportement de manipulation.

Je lui ai tendu un piège, il a fonctionné,

C’est moi qui mène un jeu mensonger !

.

Au début, j’y ai cru, à ses malentendus,

Par la suite, j’ai excusé ses maladresses,

Et, il  m’a paru  brouillon, un peu perdu,

Pressé de conclure, sans aucune caresse !

À  la fin je l’ai confondu en malversation,

Là, il aura eu beau me prétendre que non,

Ce fut vite la fin de  notre mauvaise union,

Je ne pourrai plus le croire… pour de bon !

Un malentendu survient suite à maladresse.

Était-ce acte volontaire,  était-ce par paresse

Toujours est-il, pour se rattraper de justesse,

.

Vers l’autre de suite, à fond,  on s’empresse.

Mais, malversation suite à une manipulation,

Comment comprendre et comment pardonner

Ne fonctionnant que par calcul et par inimitié

Elle est, elles sont, tout l’inverse de la passion.

Un malentendu : quoi de plus commun, certes,

Mais quand il se répète, il ne communique plus,

Il devient vrai obstacle, avec son plein d’inconnu

Lors ce n’est pas, simplement, plein non-entendu !

.

.

Extensions

Un malentendu, quoi de plus commun ;

Une maladresse : quoi de plus  humain ;

Une malversation : quoi de plus malsain !

Cette trilogie mine des couples peu avertis.

.

Sous-entendus sont sources de malentendus

Qui, suite au dialogue, prennent  des formes

Ou s’évanouissent, directement, en fumées.

L’intention prêtée à l’autre est la sienne.

.

Malentendu  à la question mal posée,

Maladresse  dans le choix des mots,

Malversation en la hauteur du ton

Concourt à se disputer sévèrement.

.

Est-ce à dire que la communication

Et le dialogue ne serviraient à rien et

Vaut mieux se taire, douter, encaisser.

Bien au contraire,  ils servent à dissiper

Les erreurs de jugements, de sentiments.

.

La contre-vérité tient lieu de provocation :

Prêcher le faux pour savoir le vrai : trompé !

C’est le dernier … c’est la dernière  … avec qui…

Ce qui est grave c’est de se quitter sur un malentendu

Et se rendre compte qu’il en était qu’un longtemps après.

.

Un malentendu n’est pas obligatoirement issu de mal entendu.

À l’origine peut-être : de nous jours, il s’agit  de compréhension

Différente, divergente, entre deux personnes  pour un contenu.

Entendons-nous bien, l’un n’empêche pas l’autre, évidemment

Mais parfois, il s’agit d’intention perçue, voire  sous-entendue,

Ou simple confusion entre significations du mot hors contexte

En ce cas, il sera important de demander à préciser sa pensée.

.

Je ne voudrais pas créer un malentendu

De plus, sur maladresse,  ni malversation :

Chacun pourra opter pour propre définition

À condition que son interlocuteur comprenne.

.

Langage, c’est connu, est la meilleure et pire des choses,

Plein de vertus pour se comprendre ; de vices, se défendre

Il y a comme une différence entre s’écouter et s’entendre ;

Puis il y a le sens propre, figuré ; premier, second degré.

.

Et faut tenir compte du contexte : où et à qui on parle

De tout ce qu’on a dit précédemment, des intertextes

Sans parler d’e nombre d’erreurs d’interprétations.

En bref, y a ce qu’on dit, et ce qu’on voulait dire !

.

.

Épilogue

.

Si on faisait, ici, un peu de sémantique

Comme d’autres font de la gymnastique,

Après tout, notre cerveau est bien organe

Qu’il faut muscler où des mots se glanent.

***

M, malentendu, maladresse, malversation,

On les entend parfois dans la conversation,

On pourra les remplacer  par d’autres mots,

Tels que : méprise, malavisé,  malveillance !

***

B comme bévue, comme bêtise,  brigandage ;

C comme  conflit,  couillonnade, concussion ;

D comme divergence, défaut, détournement ;

E comme  erreur, étourderie ou  escroquerie !

***

Il y a donc  quantité de mots  et  de subtilités,

Pour exprimer la même action ou même état,

Mais, dans cette palette, voire cette panoplie,

Chacun utiliserait le sien : d’où la confusion !

***

Cet écrit peut être jugé  par nombre critiques,

Comme une bévue, et voire comme une bêtise

Mais  personne ne citera  quelque brigandage,

Il y aura donc une échelle de valeur appliquée.

 

***

Revenons  au  sujet, mais de quoi parlions-nous :

De conversation dans un couple en pleine tension,

Le choix des mots y serait exagéré ou mal employé,

Fait que l’argumentation est dominée par l’émotion.

.

.

663 – Calligramme

 .

Au début, j’ai cru…..….…………..

À un malentendu …….…………

Puis maladresse,……….……….

Et malversation………………..

Ou belle échelle…….…………

De toute gravité………………

De… situations………………

Conflictuelles.………………

Ou confiance………………

.

  À un pur vrai malentendu….…………..

Et puis, vers la fin, j’ai vu.…………….

  Comme une malversation,…………….

   Et après cela : impossible .…………….

  De revenir   sur sa décision,…………..

 De renouveler  sa confiance………….

En l’autre, et pour… de bon…………

      Lors malentendu est pris pour…………

      Malversation : il y a problème :.………

      Celui d’un procès  d’intentions,…………

     Qui est plus  fréquent qu’on dit………

MALENTENDU

   .

   Un malentendu : quoi de plus commun,

    Je n’ai pas compris, j’ai mal interprété !

     Un dialogue est plein de  sous-entendus,

     Finissant par dériver en contre-vérités !

     La maladresse est, un faux pas  de côté,

       Qu’autre prend pour manque tendresse :

 .. J’ai oublié un rendez-vous, je confesse,

…. Bien que ce soit moi, qui l’aie sollicité !

…..  La malversation est  comme perversion,

…….Un pur comportement de manipulation.

…….Je lui ai tendu un piège, il a fonctionné,

……..C’est moi qui mène un jeu mensonger !

QUOI DE

……..Au début, j’y ai cru, à ses  malentendus,

………Par la suite, j’ai excusé ses maladresses,

………..Et, il  m’a paru  brouillon, un peu perdu,

…………Pressé de conclure, sans aucune caresse !

…………. À  la fin je l’ai confondu en malversation,

…………..Là, il aura eu beau me prétendre que non,

..…………Ce fut vite la fin de  notre mauvaise union,

……………Je ne pourrai plus le croire… pour de bon !

…………… .Un malentendu survient suite à maladresse.

…………….Était-ce acte volontaire,  était-ce par paresse

…………….Toujours est-il, pour se rattraper de justesse,

PLUS COMMUN 

……………..Vers l’autre de suite, à fond,  on s’empresse.

……………… Mais, malversation suite à une manipulation,

………………. Comment comprendre et comment pardonner

…………….….Ne fonctionnant que par calcul et par inimitié

…………………Elle est, elles sont, tout l’inverse de la passion.

………………….Un malentendu : quoi de plus commun, certes,

……………………Mais quand il se répète, il ne communique plus,

…………………….Il devient vrai obstacle, avec son plein d’inconnu

……………………… Lors ce n’est pas, simplement, plein non-entendu !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

663 4

.

Une tour penchée,

Bon ou, mauvais côté,

Telle  la Tour  de  Pise 

Ou un autre monument ?

.

La Tour de Pise serait-elle issue

De maladresse ou malversation :

En dépit de quoi, elle tient encore

Debout en monument de siècles !

 .

Symbolique 

 .

Considérée comme un chef-d’œuvre

De l’art roman toscan en marbre,

La  célébrité  vient, notamment,

D’inclinaison caractéristique

(Avec  un  angle  de 3° 59′),

Apparue très rapidement

Pendant  sa  construction,

Du fait qu’elle ait été édifiée

Sur une plaine très alluviale

Légende rapporte que Galilée

Laissa  tomber, simultanément

Du haut  de  cette  Tour de Pise,

Corps sphériques masses différentes,

Afin de montrer «à l’université réunie »

Que, dans une chute,  ces corps arrivent

Simultanément, et non  avec un retard

Entre eux proportionnel à leur masse,

Comme aurait présupposé, Aristote.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

663 – Malentendu : quoi de plus commun ! 

  Alignement central   /   Titre absent    /  Thème  dialogue

Forme  oblique /     Rimes libres /   Fond approché de  forme

Symbole de forme : Tour de Pise / Symbole de fond :

.

Fond

 .

Évocation 

.

663 6

.

La Tour de Pise serait-elle issue

De maladresse ou de malversation :

Autres monuments ont autre problème

Lors chacun le sien, comme il lui convient !

 .

Symbolique 

.

Monument désigne

Une grande  sculpture 

Un ouvrage architectural

Permettant    de    rappeler

Événement ou une personne

Et delà vient sa signification

Première de  … « tombeau ».

Mais, par  analogie, ce terme

Qualifie depuis  tout objet  qui

Atteste l’existence  et la réalité

De quelque chose   et  qui  peut

Servir  de  témoignage  comme

Une   langue, ou  une  peinture.

Dans un sens commun, le terme

«Monument » désigne  plutôt  un

Édifice ou une structure ayant

Valeur historique et culturelle.

Wikipédia modifié : monument

 .

.

Corrélations

.

Liens fond/forme 

La Tour de Pise est connue

Pour pencher sans tomber :

Ce ne serait pas un fait exprès

C’est juste le sol qui aura bougé

Et on ne peut bien  le redresser !

Mais l’on a entrepris des travaux

Pour contrebalancer déséquilibre

C’est ni malentendu, malversation,

C’est peut-être juste une maladresse.

.

.

Malversations ou pas

.

Scénario

.

Vous avez persisté dans la mauvaise direction : votre faute.

Un malentendu avec Trump : vous faites erreur, certainement !

Un malentendu avec votre ordinateur : d’affichage ou programme ?

 .

Visuels et textuels  >>

662 – Je n’étais rien, devenu tout, à nouveau rien

Visuels et textuels  >>

.

Si l’on n’est pas

Rien pour l’aimé

L’on n’est  jamais

Tout         non plus

Ce serait juste une

Fausse impression

Mais,  qui compte,

Plus que la réalité.

Le tout serait bien

Bien        d’y croire

Bien  vivant, parce

Que  mort, terminé.

Amour,  destructeur,

Amour, constructeur,

Seront tour à tour ou

Bien  simultanément,

Mais, par  définition,

Il ne  cesse,  de nous

Tromper si ce n’est

De se tromper.

 .

Je n’étais rien, je suis devenu tout et à nouveau rien :

C’est un scénario bien connu de tant de rencontres :

Lors ce qui nous a fait du mal, nous a fait du bien,

Quand nous étions l’un dans l’autre, tout contre.

.

Je n’étais qu’image … sur laquelle  tu as projeté

Être qui te plaisait  et correspondait à tes désirs,

Puis tu es entré dans ma réalité entre tes soupirs,

Mon image comme miroir déformant s’est brisée.

.

À force de rechercher en l’autre, le parfait amour,

Ou de le projeter à partir de toi ou tes fantasmes,

Tu t’es laissé  à croire, qu’il suffisait d’orgasmes,

Pour que tes liens s’établissent pour… toujours.

 .

Si je n’étais rien, puis tout, et soudain plus rien,

Je me suis trompé sur toi, sur tout, tout le temps,

La faute à qui … à personne… à notre aveuglement

Qui fait que j’ai pris, pour acquis,  tes virtuels liens.

.

L’on s’aime, plus ou moins, en partie, et jamais tout,

Tout est toujours à refaire, et sans cesse à reproduire,

Une partie donnée, au départ, une autre à construire,

Amour est une histoire de croire en histoires de fous.

.

De ses rencontres, de ses essais, ses échecs, erreurs,

On bâtit les bases d’un futur malheur ou bonheur,

Il n’est pire illusion que de se dire qu’on a trouvé,

L’amour par définition, ne cesse de nous tromper.

 .

S’être trompé est une chose, une autre, être certain,

Troisième : avouer à l’autre ; une dernière : le larguer,

Avec un message court, et sans appel : réponse acceptée,

Comme en s’adressant à une ombre perdue dans le lointain.

.

.

Extensions

.

Combien de personnes, pourtant montées sur leur piédestal,

En ont été descendus, de leur vivant,  sinon  après leur décès ?

À un moment, elles sont servies de modèles, guides, prophètes,

Et puis, les temps changeants et les opinions en faisant autant,

Elles ont été reniées, démolies, exclues de la vue, de l’histoire !

Il en est de même en amour, au sujet des célébrités, adorées,

Avant d’être ignorées, ou pires, vilipendées, tels des chiens.

Et il en est de même quand on a été tout, pour quelqu’un,

Et que soudain on devient rien, pas même un souvenir.

 . 

Cela n’est pas vrai qu’on est tout,  ni qu’on est rien,

On demeure, toujours, quelque chose entre les deux,

On bouge comme curseur, entre bonheur et malheur,

Parfois à cause des autres, mais parfois de soi-même.

.

Cela veut dire, en somme, qu’on se sur ou sous-estime.

Quant à savoir pourquoi, et sur quels critères objectifs

Il faudrait que j’en parle à mon docteur  ou à mon psy,

Qui me diraient : vous de juger là où vous vous situez !

.

.

662 – Calligramme 

.

Si l’on n’est pas

Rien pour l’aimé

L’on n’est  jamais

Tout         non plus

Ce serait juste une

Fausse impression

Mais,  qui compte,

Plus que la réalité.

Le tout serait bien

Bien        d’y croire

Bien  vivant, parce

Que  mort, terminé.

Amour,  destructeur,

Amour, constructeur,

Seront tour à tour ou

Bien  simultanément,

Mais, par  définition,

Il ne  cesse,  de nous

Tromper si ce n’est

De se tromper.

.

J E  N’ÉTAIS  RIEN,

Je n’étais rien, je suis devenu tout et à nouveau rien :

C’est un scénario bien connu de tant de rencontres :

Lors ce qui nous a fait du mal, nous a fait du bien,

Quand nous étions l’un dans l’autre, tout contre.

.

Je n’étais qu’image … sur laquelle  tu as projeté

Être qui te plaisait  et correspondait à tes désirs,

Puis tu es entré dans ma réalité entre tes soupirs,

Mon image comme miroir déformant s’est brisée.

.

À force de rechercher en l’autre, le parfait amour,

Ou de le projeter à partir de toi ou tes fantasmes,

Tu t’es laissé  à croire, qu’il suffisait d’orgasmes,

Pour que tes liens s’établissent pour… toujours.

DEVENU    TOUT,

Si je n’étais rien, puis tout, et soudain plus rien,

Je me suis trompé sur toi, sur tout, tout le temps,

La faute à qui … à personne… à notre aveuglement

Qui fait que j’ai pris, pour acquis,  tes virtuels liens.

.

L’on s’aime, plus ou moins, en partie, et jamais tout,

Tout est toujours à refaire, et sans cesse à reproduire,

Une partie donnée, au départ, une autre à construire,

Amour est une histoire de croire en histoires de fous.

.

De ses rencontres, de ses essais, ses échecs, erreurs,

On bâtit les bases d’un futur malheur ou bonheur,

Il n’est pire illusion que de se dire qu’on a trouvé,

L’amour par définition, ne cesse de nous tromper.

À   NOUVEAU   RIEN 

S’être trompé est une chose, une autre, être certain,

Troisième : avouer à l’autre ; une dernière : le larguer,

Avec un message court, et sans appel : réponse acceptée,

Comme en s’adressant à une ombre perdue dans le lointain.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

662 4

.

Un piédestal

Avec  célèbre statue

D’un empereur romain

Qui va être déboulonné !

 .

Symbolique

 

Un piédestal est

Un  support,  isolé

Qui sert à recevoir

Colonne ou statue,

Un buste  et  voire

Grand objet d’art

Voire  d’ornement

Vase, candélabre,

Stèle, ou fontaine.

Lors une personne

Idéalise quelqu’un,

De façon  exagérée,

On utilise l’expression

«Mettre sur un piédestal».

Et,  à l’inverse, « descendre

Quelqu’un  de  son  piédestal »

Est être déçu en regard de l’image

Positive qu’on avait de cette personne.

Modifié, source : Wikipédia

 

Descriptif

 

662 – Étais rien, devenu tout, à nouveau rien 

  Alignement central  /   Titre intercalé    /  Thème  amour

Forme  anthropo / Rimes égales / Fond approché de  forme

Symbole de forme : piédestal / Symbole de fond : déboulonné

 .

.

Fond

Évocation

 

Manque l’illustration ici 

De rien que j’étais avant je me retrouve

Sur très un haut piédestal :

Lors bien qu’étant haut, je me sens

Déjà prêt à être déboulonné.

.

Symbolique 

 .

« Le déboulonnage de statues,

C’est de la violence symbolique »,

Nous  explique Françoise Vergès,

Même pas de la violence passée »,

Mais guidée par des injustices

Ou discriminations ressenties

Lors au-delà de l’existence

De  certains    monuments,

Ce qui est critiqué dans ces

Actions de déboulonnages,

C’est la prépondérance d’une partie

De l’histoire, par rapport à une autre.

« Nous ne pouvons pas nous sentir français

Dans  un pays  qui  célèbre  l’esclavagisme,

Ce n’est pas possible » dit Louis-Georges Tin.

bfmtv.com/societe/antiracisme-statues

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Rien ne serait pas être considéré

Comme étant à terre, au ras du sol

Mais, carrément, plus bas que terre

Lors tout est être mis sur un piédestal

Et couvert de vertus voire de louanges,

Jusqu’à faire sa représentation stratifiée

Des deux côtés, sûr, y a de l’exagération !

On est souvent quelque chose entre les deux

Ni totalement intelligent, courageux… idéal,

Ni totalement idiot, asocial, peureux, animal.

 .

.

J’étais, je ne suis plus, serai ?

.

Scénario

 .

Rien et tout ne s’opposeraient pas dans la même personne.

Il faut souvent s’apprêter à n’être plus rien tout, d’un coup !

Tout est possible quand on a été tout qu’on est redevenu rien.

 .  

Visuels et textuels  >>

661 – Encore aurait-il fallu que tu me comprennes

Visuels et textuels  >>  

.

Encore aurait-il fallu

Liste de griefs est sans fin

Mélangeant le faux et le vrai,

Affirme  ce qu’on dit  ou dirait,

Sans même  vouloir  faire exprès

Autre est accusé de tous les maux,

.

Et aucun mot ne pourra le soulager,

Son cas est jugé  et  il est condamné :

Ainsi lors la barre rouge est franchie

Désillusion décille yeux attendris,

.

Tant ce que l’autre a dit,

Ce que l’autre a promis,

Tombe dans l’oubliette,

Ou fait place au mépris.

.

Encore aurait-il fallu que tu…me comprennes,    

Te mettes à ma place, adoptes mon point de vue

Qui s’ajoutera au tien qui ne le soustrait en rien.

      .

Encore aurait-il fallu que tu… m’entreprennes,

Et non me laisser seule à résoudre le problème

De savoir où j’en suis avec toi, puis où je vais.

      .

Encore aurait-il fallu que tu…me surprennes,

Par une tendresse et qui m’ira droit au cœur

À laquelle je ne m’attends pas…attends plus.

       .

Encore aurait-il fallu que tu… m’apprennes    

À échanger avec toi, qui ne m’auras donné,

Aucun mode d’emploi … ni aucun contrat.

       .

Encore aurait-il fallu que tu me retiennes,  

Lors j’en suis  sur le point  de m’échapper,

Lors je ne parviens plus à te … supporter.

     .

Encore aurait-il fallu  que  tu t’éprennes,    

Pas seulement de  mon corps,  mon sexe,

Mais d’abandon de mon âme, complexe.

     .

Encore aurait-il fallu que…tu reprennes,    

D’abord confiance en toi, autant  en moi

Pour que l’on fasse, un nous, qui  tienne.

   .

On pourrait continuer, longtemps, ainsi,

Mais à quoi bon, allonger  une telle liste,

Si essentiel n’y est pas, tout est superflu.

.

.

Extensions

 .

Comprenne, entreprenne,

Surprenne, apprenne, ou retienne,

La liste est longue des verbes en « enne »

Quand il s’agit « d’amour » non de « haine »,

Quand il s’agit du « pour » et non de « peine ».

Une telle plainte en complainte, sent la nostalgie

D’un bonheur perdu, non atteint, voire trompeur.

.

Est-ce à soi que l’on veut, où à l’autre ou aux deux

Si c’est au deux, il y a de l’espoir, erreur partagée,

Si c’est l’autre un peu moins, si c’est à soi, aucun.

« Comment ai-je pu me fourvoyer à ce point,

J’étais sourde et aveugle, je ne le suis plus,

Ne le saurais le redevenir à l’avenir ».

.

C’est dire toute l’exigence pour

Prochain conjoint et panoplie de tests

Qu’il aura à subir avant de lui donner sa main :

Lui donner est un grand mot …  lui prêter plutôt

Jusqu’au jour où nombre de griefs du précédent

Se dissipent comme autant nuages menaçants

Et que le ciel devienne beau un bon moment,

Pour l’éternité, qui sait, avec le temps !

.

Y a des gens qui ne comprennent rien à l’autre sexe

Il manque le mode d’emploi, le manque d’expérience.

Ce n’est pas à l’école qu’on l’apprend, pas une science !

De toute façon, si comprendre un homme est complexe,

Comprendre une femme, serait de l’ordre du compliqué.

Certains disent : y a rien à comprendre chez une femme,

Un propos exagéré et quelque peu sexiste quand même.

Ce n’est pas la faute des femmes si on ne les écoute pas

Ni des hommes si ils ne se livrent pas tels qu’ils sont !

.

Prendre femme ne serait pas, pour autant,

La comprendre : il y a, parfois, malentendus,

Sur intentions de projets de chacun, différents.

.

– Je ne t’ai jamais dit cela, je ne t’ai rien promis.

Je ne sais plus très bien mais moi, j’ai cru que

– On ne s’est pas compris, j’ai dit, pas d’enfants.

– Oui mais moi j’en veux sinon ça va manquer.

.

– Pour le reste, pareil, j’aviserai au fil du temps

– T’avais dit, pour la maison, j’aurais la moitié

– Je crois que tu as pris ton désir pour la réalité

– Mais alors dis-moi, ce que je fais là…avec toi.

.

.

661 – Calligramme

 .

                    Encore aurait-il fallu

                     Liste de griefs est sans fin

                   Mélangeant le faux et le vrai,

                Affirme  ce qu’on dit  ou dirait,

           Sans même  vouloir  faire exprès

       Autre est accusé de tous les maux,

    Et aucun mot ne pourra le soulager,

Son cas est jugé et il est condamné !

Ainsi lors la barre rouge est franchie

Désillusion décille yeux attendris,

Tant ce que l’autre a dit,

Ce que l’autre a promis,

Tombe dans l’oubliette,

Ou fait place au mépris.

.

Encore aurait-il fallu que tu…me comprennes,     I

Te mettes à ma place, adoptes mon point de vue    L

Qui s’ajoutera au tien qui ne le soustrait en rien.    *

                                                                                            A

   Encore aurait-il fallu que tu… m’entreprennes,     U

   Et non me laisser seule à résoudre le problème      R

    De savoir où j’en suis avec toi, puis où je vais.        A

                                                                                             I

      Encore aurait-il fallu que tu…me surprennes,     T

      Par une tendresse et qui m’ira droit au cœur       *

      À laquelle je ne m’attends pas…attends plus.       F

                                                                                             A

        Encore aurait-il fallu que tu… m’apprennes      L

        À échanger avec toi, qui ne m’auras donné,      L

        Aucun mode d’emploi … ni aucun contrat.       U

                                                                                           *

        Encore aurait-il fallu que tu me retiennes,      T

        Lors j’en suis  sur le point  de m’échapper,     U

       Lors je ne parviens plus à te … supporter.      *

                                                                                       M

        Encore aurait-il fallu  que  tu t’éprennes,     E

       Pas seulement de  mon corps,  mon sexe,     *

        Mais d’abandon de mon âme, complexe.      C

                                                                                       O

        Encore aurait-il fallu que…tu reprennes,     M

       D’abord confiance en toi, autant  en moi     P

       Pour que l’on fasse, un nous, qui  tienne.     R

                                                                                    E

       On pourrait continuer, longtemps, ainsi,    N

       Mais à quoi bon, allonger  une telle liste,     N

       Si essentiel n’y est pas, tout est superflu.    E

                                                                                    S

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

661 4

.

On dira silhouette,

Des plus  grossières

De femme peut-être, 

Ayant bien l’air ailleurs

.

Une femme, la tête haute,

Restant pleine d’interrogations

Ou alors elle semblerait ailleurs,

Ne s’intéresser qu’à elle-même.

.

Symbolique 

.

La femme a une symbolique

Riche évoluant au fil du temps.

Toutefois, elle a toujours évoqué

Fécondité, pureté, et aussi, le vice.

.

À partir du xxe siècle des

Mouvements féministes sont

Apparus pour tenter de rétablir

Un équilibre entre

Les hommes et les femmes,

Et rétablir le droit des femmes.

.

Désormais, ces mouvements

Occupent une place

Importante dans

Le débat public.

1001 symboles

.

Descriptif

 

661 – Il aurait fallu tu me comprennes

  Alignement central  /   Titre absent /  Thème  couple

Forme  anthropo / Rimes variées / Fond approché de  forme

Symbole de forme : femme / Symbole de fond : ailleurs

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

661 6

.

Une femme, la tête haute,

Restant pleine d’interrogations

Ou alors elle semblerait ailleurs,

Sauf rencontre surprise de l’autre.

.

Symbolique 

 .

Être ailleurs :

En contexte marqué

Par les déplacements et

Les   nouvelles  technologies

De l’information, notre relation

Aux espaces,  s’en trouvera modifiée

Nous sommes de plus en plus nombreux

À être connectés  à  plusieurs  territoires.

.

Territoires  de vie,  d’habitation,  de loisirs,

De luttes, territoire des origines familiales,

Culturelles, religieuses, territoire d’activité

Professionnelle, mais aussi territoires

Rêvés et imaginaires.

ici-ailleurs.net

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

La femme et l’homme

En un couple,  s’ils sont

Toujours partis, ailleurs,

Ne peuvent se comprendre

Ils ne feront  que  se croiser,

Échanger mots ,au téléphone,

Car pour se comprendre il faut

Beaucoup se parler  et  s’écouter

Ce qui suppose  d’être ensemble !

 .

.

Comprendre l’enfance

.

Scénario

 .

Mais tu ne comprends rien, à la fin… tu m’énerves !

Vu de loin, pour ce que j’en perçois, je ne te crois pas !

 Ok, d’accord, comme cela, maintenant, l’on se comprend !

 .

Visuels et textuels  >>  

660 – Quitter l’un pour un autre, pour soi-même

Visuels et textuels  >>

.

Je ne te quitte pour un autre,

Je ne te quitte pas  pour toi-même

Car je n’ai pas d’amant caché… idiot !

Tu crèves de jalousie, rien qu’en ta tête.

.

Quitter ne sera pas toujours se séparer,

Du moins, physiquement,  moralement :

Quitter  peut être  faire  chambre  à part

On quitte l’autre tout en restant avec lui.

.

Lors, s’ils se quittent,  pourquoi rester :

Par commodité et voire  par solidarité.

Ne parlons pas d’amour ni d’affectivité

C’est à peine s’ils peuvent se supporter

Ou ils deviennent des amis, complices,

Lors se revoyant l’un et l’autre, en lice

Pour nouveau couple, encore, essayer !

.

Quitter pour un autre est partir à l’extérieur

En mieux toujours, sinon, à quoi ce serait bon,

Quitter l’autre, est partir aussi mais de l’intérieur

Pour se retrouver seul pour repenser  à un rebond.

.

Il arrive que l’on finisse par se quitter  l’un et l’autre,

Lors l’espoir fondé sur le suivant, est mal concrétisé,

Oblige à revenir vers le premier  et à se faire jeter :

Vous n’êtes plus l’amour dans lequel il se vautre.

Quitter quelqu’un pour un autre, ou soi-même

N’a pas du tout les mêmes conséquences.

.

Je te quitte …. si tu me quittes

Et lors  nous sommes quittes,

Et, à quelqu’un, cela profite,

Et, même  s’il ne le mérite,

J’en aurai mine déconfite

Si tu fais  partie  des gens

Qui  prendront les devants,

De peur de devenir perdant

.

Je savais  qu’un jour, tu allais

Le faire,  j’en ai supporté l’idée

Tchao, à bientôt et voire jamais.

Partant que, la plupart  du temps,

L’on quitte l’autre, tout  en restant.

.

Il est là, il fait fonction, pas méchant :

On se prend  discrètement un bel amant,

Qui un beau jour devient son nouveau mari,

Surprenant son entourage qui ne l’avait appris.

.

.

Extensions

 .

 « Je te quitte si tu me quittes

Et après, nous serons quittes ! »

Et qu’à quelqu’un, cela profite

Mais, même si je ne le mérite,

J’en aurai une mine déconfite,

De savoir, enfin ce que tu vois !

.

Tu fais partie  des  gens, prenant

Les devants de peur d’être perdant.

Je savais qu’un jour, tu allais le faire,

J’en ai supporté  l’idée,  puis la décision

Alors je te dis tchao, à bientôt, ou à jamais !

.

 «Mieux vaut vivre seul que mal accompagné»,

Dit le dicton  qui doit en connaitre un rayon ou

«De deux maux, il faut choisir le moindre».

Ce qui clôt, de suite, toute … discussion.

.

Redevenir célibataire, serait divorcer

De soi-même ou de l’autre ou bien

L’a-t-on été, en dépit de l’autre !

.

Un vase brisé, s’il  l’est en mille morceaux, est bon à jeter,

S’il n’a qu’un seul, ou deux morceaux, on peut le réparer !

Il en est de même, en matière de souple à l’exception près

Que s’il s’agit d’un modèle, jugé unique, et qu’on le jette,

On n’est pas près d’en retrouver le même si on le veut.

.

On quittera, généralement, quelqu’un

Pour quelqu’un d’autre mais, des fois,

Pour personne : être seul et tranquille !

.

Je préfère être seul que mal accompagné,

Voilà la raison et cette formule consacrée :

Il n’y a même pas de tort, regret, à partager.

.

L’on se félicitera de prendre, seule, la décision,

Il ne s’agit pas d’une rupture, simple séparation,

Ne portant pas à conséquence n’ayant pas enfant.

.

Certaines personnes  ne sont pas faites  pour vivre

En couple ni même en famille ou en communauté

Ce n’est pas qu’ils soient asociaux, juste bien égo.

.

.

660 – Calligramme  

.

Je ne te quitte pas                  Q                    pour un autre,

Je ne te quitte que                  U               pour toi-même

Car je n’ai pas d’amant          I                caché, idiot !

Tu crèves de jalousie, rien     T           qu’en ta tête.

Quitter ne serait toujours     T             se séparer,

Du moins, physiquement     E       moralement,

Quitter peut être ou faire    R  chambre à part

On quittera l’autre en        *   restant avec lui,

Lors, s’ils se quittent         pourquoi rester

Par commodité voire       N     par solidarité.

Ne parlons pas d’amour  *     ni d’affectivité

C’est à peine s’ils peu     C vent se supporter

Ou ils deviennent des     amis, complices,

Lors se revoyant l’un    N    et l’autre, en lice

Pour nouveau couple,        encore, essayer !

   O

Quitter pour un autre I est partir à l’extérieur

En mieux toujours, si  N non, à quoi ce serait bon,

Quitter l’autre, est par  T tir aussi mais de l’intérieur

Pour se retrouver seul   *  pour repenser  à un rebond.

Il arrive que l’on finisse   par se quitter  l’un et l’autre,

Lors l’espoir fondé sur le suivant, est mal concrétisé,

Oblige à revenir vers le premier  et à se faire jeter :

Vous n’êtes plus l’amour dans lequel il se vautre.

Quitter quelqu’un pour un autre, ou soi-même

N’a pas du tout les mêmes conséquences.

.

Je te quitte …. si tu me quittes

Et lors  nous sommes quittes,

Et, à quelqu’un, cela profite,

Et, même  si, il ne  le mérite,

J’en aurai   P  mine déconfite

Si tu fais   O   partie des gens

Qui pren  U  dront les devants

De peur   R   devenir  perdant !

Je savais  *  qu’un jour, tu allais

Le faire   U j’en ai supporté l’idée

Tchao, à    N  bientôt voire jamais.

Partant que, la  *   plupart du temps,

L’on quitte l’autre,   A   tout en restant :

Il est là, il fait fonction    U   pas méchant :

L’on se prend discrètement   T    un bel amant

Qui un beau jour devient son      R   nouveau mari,

Surprenant son entourage qui ne     E     l’avait appris.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

660 4

.

Une forme de vase

Avec un pied, un ventre,

Un buste, et  des bras 

Presque en anses !

.

On peut se lasser d’une forme

Et on recherche la même… ou presque :

Il arrive qu’on la casse en morceaux

 Pour ne plus être tenté par aucun.

  .

Symbolique 

 .

Comme les couleurs,

Les formes  influencent

Notre  perception  des choses

Qui nous entourent, et, que ce soit

Dans le design industriel par exemple.

Dans les vases ou monde de l’automobile,

Le carré, le cercle, la ligne droite, courbe,

Représentent : la masculinité, la rigidité

La féminité, l’harmonie  ou la douceur.

.

Chaque forme, puis chaque symbole a

Une signification, parfois différentes

Selon la nationalité, généralement

Interprété de façon similaire.

multi-graf.com/la-symbolique-des-formes

.

Descriptif

 

660 – Quitter un conjoint pour un autre 

  Alignement central  /   Titre serpente /  Thème  couple

Forme  courbe / Rimes égales / Fond approché de  forme

Symbole de forme : forme / Symbole de fond : morceaux

.

Fond

 .

Évocation

.

660 6

.

On peut se lasser d’une forme

Et on recherche la même… ou presque :

Il arrive qu’on la casse en morceaux

 Pour ne plus être tenté par aucun.

 .

Symbolique 

 .

Récoltez tous les morceaux

Cassés  et  puis  assemblez-les.

Colle époxy, appliquez une petite

Quantité  sur  quelques  morceaux

Puis collez-les, au fur et à mesure.

.

Commencez par petits morceaux

Retenez  le tout, avec un adhésif

Et après  6 heures  de  séchage,

Enlevez  toute colle  superflue

Avec chiffon  imbibé d’alcool

Et avec une lame de rasoir.

maison-travaux.fr/maison-

travaux/conseils-pratiques

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

En cas de fêlure, cassure, rupture,

Qui va, le plus, payer les pots cassés !

Bien que personne ne pourra le prédire

Ce qui est sûr,  c’est que le pot est à jeter,

Sauf  à avoir assez de colle  et bien forte,

Pour recoller proprement les morceaux.

On pourra rechercher un pot identique

Ou en profiter  pour un  plus  solide,

Un plus fidèle, voire à son modèle

Mais sans en être prisonnier,

En cas de nouvelle casse.

 .

.

La porte et fermes-là !

.

Scénario

.

Avoir envie d’être à nouveau seul ou de quelqu’un d’autre,

décider que l’autre n’est pas idéal pour soi et le quitter,

mieux vaut presque vivre seul que mal accompagné !

.

Visuels et textuels  >>

659 – Lors un monde se ferme, un autre s’ouvre

Visuels et textuels  >>

.

L’amour   se   contracte,

Ou l’amour  se rétracte.

Si amour se détraque,

Amour  est patraque,

Et arrivé  en cet état,

Il faut  sauter le pas,

Ouvrir ses écoutilles,

Aller voir autres filles

Quand l’autre a avoué

Qu’amour est du passé.

.

Toute  nouvelle  vie  pourra

Commencer  si, précédente,

Est en cours   d’achèvement,

Si  elle a trouvé  autre amant,

Quand  elle  ne vous importune

De bonne, ou  mauvaise, fortune.

.

Un monde se ferme, un  autre s’ouvre,

Ici, je me rétracte ; là, je m’entrouvre,

Ma nouvelle vie commencera où finit

L’autre pour laquelle ai plus d’appétit.

.

Le plus dur sera de trouver l’énergie,

Pour sauter le pas  et non le conjoint,

Qui en long temps d’amours disjoints,

A dit qu’important est ailleurs…qu’ici.

.

Infidélité !  Ce n’est point la question :

N’est, ici, que castration, humiliation :

Que le meilleur gagne et il aura gagné

Le droit, autant que moi  de … l’aimer.

.

Voilà dans quel état d’esprit je … suis :

Tu t’en fous : c’est que  tout est permis.

Je pars, bientôt, je ne reviendrai pas ici

Rupture consommée, oiseau libre aussi.

 .

Un monde se ferme … un autre s’ouvre,

Tant  d’années  ont  passé : trépassées

Et sonnent le glas d’un cœur blessé

Devant une vérité qu’il découvre !

 

.

Extensions

 

Quand un monde se ferme, soudain

Un autre s’ouvre, à vingt ou soixante,

Tellement il y a du temps, devant soi,

Nombre  de Mondes  restent ouverts

À qui voudra  et  peut les découvrir.

Question du souvenir  du premier,

Qu’on ne peut effacer, a marqué.

.

Se pose la question de l’avenir

Du second,  dont on ne sait

Rien  d’autre, qu’il  existe.

Pour  passer  d’un  Monde

À l’autre,  point n’est  besoin

De renier, liquider, haïr premier

Il y aura toujours un terrain neutre

Ils se rencontrent, ou  se superposent.

.

L’infidélité, qu’elle soit détectée, avouée

Et non seulement, soupçonnée, fantasmée,

Serait la cause de presque toutes les ruptures

Cause ou prétexte, quand on aime, on tolère !

Tolère d’avoir franchi  frontière de l’interdit

Pour aller voir ailleurs et en comparaison

Revenir, sinon à la maison, à la raison

Lors, pour qu’un nouveau Monde

S’ouvre, faut le désirer au fond.

.

Suite à une rupture certains, certaines, se referment sur eux-mêmes

Quand d’autres  en profitent  pour retrouver leur nouvelle liberté,

En la partageant avec un ami ou amant sans penser à contrat

Les engageant : aller loin de l’autre, prendre du bon temps

Qui pourrait leur en vouloir : personne, évidemment !

Et il arrive, même, miracle …qu’ils s’entendent,

 Demandent renouveler escapade souvent.

.

Le message ici, est on ne peut plus clair :

L’échec relation de couple, même longue,

Ne signifie pas la mort d’amour : éteint !

.

Dans certains cas, c’est vrai : jamais plus,

En autres, je vais attendre, j’en peux plus,

En autres, je crois avoir quelqu’un en vue.

.

Dès lors, quoi qu’il en soit, quoiqu’il en fût,

Une petite porte en son cœur reste ouverte,

Et il suffit parfois de regarder par la fenêtre.

.

Le plus souvent, à moins d’avoir prévu le coup

En cas de rupture, surprenante, ou inattendue,

Faudra une paire d’années pour en faire le deuil.

.

.

Épilogue

.

Un divorce, quel qu’il soit, par principe,

Ferme une porte, en entrouvre une autre,

Certains auront devancé annonce départ ;

D’autres resteront sidérés  lors un tel choc.

 

***

 

Plus jamais de conjoint à vivre sous mon toit :

Nul ne sait si c’est sage ou mauvaise décision.

 

Je ne peux rester, longtemps, sans  conjoint :

Quel qu’il soit, il  m’en  faudra, et  vite … un !

 

C’est là deux positions radicales, contraires

Auxquelles s’ajoutent d’autres, arbitraires !

 

Une résilience, qu’on appelle  de ses vœux,

Ne requiert pas  de reconstruction  hâtive.

 

Si  elle se réalise, trop tôt, sauf  exception,

Risque de reproduire même choix, erreur.

 

Un temps pour vivre seul pour s’assumer,

Permet aussi d’observer  d’autres couples.

 

Puis,  le moment arrivé, lors  l’opportunité

Se présente, elle ouvre une nouvelle porte ;

 

***

 

Le deuil est consommé, divorce est terminé,

On construira sur une base  bien  plus solide,

La vie reprendra  dans un couple qui s’entend,

 Nouveau monde s’ouvre, s’établit … s’agrandit.

.

.

659 – Calligramme 

 .

L’amour   se   contracte,

Ou l’amour  se rétracte.

Si amour se détraque,

Amour  est patraque,

Et arrivé  en cet état,

Il faut  sauter le pas,

Ouvrir ses écoutilles,

Aller voir autres filles

Quand l’autre a avoué

Qu’amour est du passé.

.

**********************

**********************

.

Toute  nouvelle  vie  pourra

Commencer  si, précédente,

Est en cours   d’achèvement,

Si  elle a trouvé  autre amant,

Quand  elle  ne vous importune

De bonne, ou  mauvaise, fortune.

 

Un monde se ferme, un   U  *  autre s’ouvre,

Ici, je me rétracte ; là,  N   *   je m’entrouvre,

Ma nouvelle vie com    *      A mencera où finit

L’autre pour laquelle M         U  ai plus d’appétit.

Le plus dur sera de   O            T   trouver l’énergie,

Pour sauter le pas   N                R  et non le conjoint,

Qui en long temps   D                 E  d’amours disjoints

A dit qu’important  E                  *  est ailleurs… qu’ici

Infidélité !  Ce n’est  *                   S point la question :

N’est ici que castra    S                   ‘  tion, humiliation

Que le meilleur gagne   E               O et il aura gagné

Le droit, autant que moi              U   de… l’aimer.

Voilà dans quel état d’esprit  F         V    je … suis.

Tu t’en fous : c’est que tout est   E     R   permis.

Je pars, bientôt, je ne reviendrai   R  E pas ici

Rupture consommée, oiseau libre   M  aussi.

                                                     E

Un monde se ferme,      un autre s’ouvre,

Tant  d’années  ont  passé : trépassées

Et sonnent le glas d’un cœur blessé

Devant une vérité qu’il découvre !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

659 4

.

Une quille,

Une bouteille

Ou alors un vase

Des plus expansifs ?

.

Vase, expansion et le Monde,

ne se correspondent pas du tout

et que ce soit une bouteille ne change

si bien que la forme se distingue du fond.

.

Un monde est comme un vase,

 Il s’ouvre, il s’expanse, il se ferme 

Or pour changer un monde, il ne

Suffira pas de changer contenu

 .

Symbolique

 .

Il est dit, parait-il, en 

Le Nouveau   Testament,

La femme est le vase faible

 Si   fait  que  les  livres  sacrés 

Des Juifs, sont  dans leurs styles

 Très proche  de  la  poésie, remplis 

D’expression  étant empruntées aux

Symbolismes  sexuels, expressions 

Qui  n’auront pas, toujours,  été

Exactement    comprises    et 

Dont l’interprétation  dans

Cantique des Cantiques, 

Exemple donnera lieu 

A des malentendus. 

Wikisource.org

.

.

Descriptif

 

659 – Un monde se ferme, un autre s’ouvre 

  Alignement central  / Titre analogue /Thème  monde

Forme ovale / Rimes égales / Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : expansion

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

659 6

.

Un monde est comme un vase,

 Il s’ouvre, il s’expanse, il se ferme 

Or pour changer un monde, il ne

Suffira pas de changer contenu

 .

Symbolique

 .

Le physicien français

Jacques Charles (1746-1823)

A démontré qu’il existe une relation

Entre le volume et la température d’un gaz.

Il a établi que, à pression constante, et  pour un

Nombre molécules données, volume d’un gaz varie

En fonction de sa température :  plus la température

Du gaz augmente plus son volume s’expanse aussi

L’inverse est aussi vrai: si la température du gaz

Diminue, son volume diminue. Cette relation

Se nomme la loi de Charles.

qc.ca/fr/eleves/bv/chimie/la-relation-

entre-le-volume-et-la-temperature

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Un grand vase qui s’expanse

Est appelé vase d’expansion :

Une fausse image dès lors que

C’est le contenu, non contenant

Elle est, plus souvent, appliquée

Au gaz sous une forme liquide !

Mais l’idée générale est remplir,

Un espace étant auparavant vide

De tout ce qui gonfle, voire bande.

.

.

Monde fermé, monde ouvert

.

Scénario

.

Quelque part dans une destination inconnue, en bord de mer,

une rencontre des plus amoureuses sous un parapluie rouge,

et leurs valises de problèmes deviennent, alors, communes.

.

Visuels et textuels  >>

658 – Comme un volcan, qui, soudain explose

Visuels et textuels  >>

.

De se retenir posséder

Femme qui  n’en peut,

Mais  veut  tendresses,

Plus que  jeu de fesses.

Lors, son attrait cesse :

Elle ne sera  plus dispo,

Un très cher ami servira

Un moment  de tampon,

Elle n’est pas  qu’un trou,

À ta disposition, eh Ducon.

.

Ce week-end,  je serai absent

Calme-toi avec autre et de bon,

C’est pas qu’elle le rejette, déteste,

Elle aime ça aussi de temps en temps

Mais c’est qu’elle n’ait pas son mot à dire

Qui lui déplait  alors que  lui, s’y complait !

.

Comme un vieux volcan qui, de nouveau, explose

Un jour, suite à nombre de ses détonations et qui ose

Venir dénier ses vraies, réelles capacités à se réaliser

Comme un être entier, comme être bien membré.

Comme le jaillissement d’une volonté  de survie,

Depuis fort longtemps et, qui sourdait, à l’envi,

Propulsant son geyser de feu, sinon de braise.

.

Qui se révolterait contre une telle  fournaise !

Amoureuse, le voyant cracher langue et dent

Est partie, ailleurs, chercher amour, amant,

Attendant une nuit et un jour  en se disant

Qu’il va calmer, son sens mâle, autrement.

Mais la nuit est dévastatrice et à souhait

En tous cas bien  plus qu’il  n’y  parait :

Amoureuse est intervenue…trop tard :

Il ne sait plus que faire, de son dard.

.

La leçon  de cette histoire est nulle

Si sa belle n’est pas là lors il brule,

C’est qu’il n’existe plus, pour elle,

Qu’elle peut reprendre ses ailes.

Si du couple, cette métaphore,

En vaut bien d’autres, encore

Elle illustre, bien, la cassure

Qui révèle profonde fêlure,

Fêlure, de quelle nature !

.

Allez savoir, d’inculture

Est l’amour, sans sexe

À en faire  complexe,

De cratère où jaillit

Des mots,  vérités

Laissant penser

Tout est fini.

S’aimer,

Plus

V

.

.

Extensions

 .

Comme

Un volcan qui,

Soudain … explose,

L’amour, coup de foudre,

En fait  de même  et il suppose

Que l’énergie qui s’en dégage durera

Longtemps éructant ses laves et fumées

Durant des jours, mois et voire des années.

Sauvage serait l’amour quand il vous secoue ;

Sauvage est l’amour,  quand  il vous fait  le coup

De pénétrer dans vos entrailles, et fendre l’armure

Qui vous défend d’une intrusion violente en intimité.

.

Du rouge, sang, du rouge, feu, du rouge lave …  partout,

Dès qu’il s’agit d’irruption d’amour, d’éruption de volcan

Tant quelque chose, à l’intérieur des entrailles, s’explose,

Sous la poussée de trop fortes émotions, réarrange tout,

Et font qu’il y aura désormais un profond changement

Mais qui peut s’amoindrir, s’amincir, avec le temps

Dès que l’un des deux, se refroidir plus vite, ose

Et l’on quitte alors vertiges des apothéoses.

.

Le sexe, dans l’amour, serait  comme  explosion,

Que certains  nomment désir ; d’autres, pulsion.

Toujours est-il qu’il est, en l’instant, consommé,

Ne saurait être ni retardé, ni différé, ni annulé.

.

Si on parle d’explosion on parle aussi orgasme,

Si possible en montée progressive et simultané,

Qui culmine pour l’homme quand il va éjaculer

Pour la femme, corps en soubresauts, spasmes.

.

Ici, les choses se seront précipitées, mélangées,

Il fallait, pour la femme, un exutoire à son envie

Si fait qu’elle se sera trompée entre mari et ami,

Chose qui, avouez-le, serait une sorte d’infidélité.

.

.

658 – Calligramme

.

De se retenir     C           posséder

Femme qui      O        n’en peut,

Mais  veut       M     tendresses,

Plus que         M     jeux fesses

Lors, son at   E   trait cesse :

Elle  ne sera  *     plus dispo.

Un très cher  V   ami servira

Un moment   O  de tampon,

Elle n’est pas  L   qu’un trou,

À sa dispositi  on eh Ducon,

Ce week-end,    A  je serai absent

Calme-toi avec    N  autre et de bon

C’est pas qu’elle le, *    rejette,  déteste,

Elle aime ça aussi  Q   de temps en temps

Mais c’est qu’elle   U  n’ait pas son mot à dire

Qui lui déplait       I    alors que lui, s’y complait !

Comme vieux vol   *    can qui, de nouveau, explose

Un jour, suite à nom   S  bre de ses détonations et qui ose

Venir dénier ses vraies  O   ou réelles capacités à se réaliser,

Comme un être entier       U         comme être bien membré.

Comme le jaillissement      D        d’une volonté  de survie,

Depuis fort longtemps        A     et, qui sourdait, à l’envi,

Propulsant son geyser         I     de feu sinon de braise.

Qui se révolterait contre     N     une telle  fournaise !

Amoureuse, le voyant cra     *     cher langue et dent

Est partie ailleurs chercher  E          amour amant,

Attendant une nuit et un    X    jour  en se disant

Qu’il va calmer, son sens   P    mâle, autrement.

Mais la nuit est dévasta  L    trice et à souhait

En tous cas bien  plus  O   qu’il  n’y  parait :

Amoureuse est inter  S  venue…trop tard :

Il ne sait plus que  E  faire, de son dard.

La leçon  de cette *   histoire est nulle

Si sa belle n’est    pas là lors il brule,

C’est qu’il n’existe  plus, pour elle,

Qu’elle peut reprendre ses ailes.

Si du couple, cette métaphore,

En vaut bien d’autres, encore

Elle illustre, bien, la cassure

Qui révèle profonde fêlure,

Fêlure, de quelle nature !

Allez savoir, d’inculture

Est l’amour, sans sexe

À en faire complexe,

De cratère où jaillit

Des mots, vérités

Laissant penser

Tout est fini.

S’aimer,

Plus

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

658 4

.

Pointe de lance

Ou apparenté,

C’est certain,

Sinon cratère ?

 .

Pointe de terre et de volcan cratère

vont avec possible explosion de laves,

si ce n’est de fumées dans l’atmosphère,

tant et si bien que la forme évoque le fond.

.

Volcan ne pointe vers le bas :

Le plus souvent ….  Vers le haut,

Mais sa cheminée et son cratère,

Sont toujours évasés, non évasifs !

.

Symbolique 

 .

Les

Éruptions

Volcaniques

Sont particulièrement

Commentées en mythologie,

En religion, puis en littérature.

Phénomène spectaculaire terrifiant,

Il n’a cessé de pointer des  curiosités,

Voire des  légendes  et  des superstitions.

Associées à l’extraordinaire et à la figure

Du monstre, les colères de la terre ont été

À l’origine des histoires …  les plus folles !

lepoint.fr/culture/les-volcans-machines-a-mythes

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

658 6

.

Volcan ne pointe vers le bas :

Le plus souvent ….  Vers le haut,

Mais sa cheminée et son cratère,

Sont toujours évasés, non évasifs !

  .

Symbolique

 .

Un cratère

Volcanique …..  est

Une dépression circulaire

Elliptique se trouvant au sommet

Ou parfois sur flancs d’un volcan formé

Par l’explosion ou l’effondrement du volcan.

Il peut avoir des tailles variables allant de quelques

Mètres à plusieurs dizaines de kilomètres de diamètre.

Les cratères peuvent se remplir d’eau et former des lacs.

Wikipédia : cratère

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Nombre de gens  pointent  du doigt

La comparaison sinon la métaphore,

Entre l’amour passion et une éruption

Volcanique, puissante, emportant  tout

Sur son passage  et parfois destructrice

De vies humaines tout comme à Pompéi,

Quand on ne l’associe pas à colère divine

Qui vient punir les humains, d’une faute !

 .

Amour volcanique

.

Scénario

.

Explosion, c’en est une, volcanique, grandeur phénoménale.

Qu’est-ce c’est ? C’est chaud bouillant, et même, explosif.

Une main froide donne un doigt à une main chaude !

 .

Visuels et textuels  >>

657 – Comment faire comprendre qu’on aime plus

Visuels et textuels  >>

.

Faire comprendre  qu’on n’aime plus,

Sans prendre la peine de le lui dire,

Trouver raccourci  qu’elle décode,

Rien  n’est plus simple,  ni facile.

.

Elle le devinera,  lors  en voyant,

De ses propres yeux  … c’est sûr,

Que je me suis entiché, d’autre,

Et que je n’ai rien à faire d’elle.

.

Mais  … voici qu’elle m’aborde,

Ma nouvelle  relation, saborde,

En me giflant, pour goujaterie,

Attitude en plus de flagornerie.

.

Hier encore serrés de très près

Aujourd’hui : autre  conquête.

Demain, à qui ce tour de bête,

Explication, inutile : compris !

.

Comment faire comprendre que l’on aime plus,

Alors même qu’hier, on s’avouait, encore, ému.

Sommes-nous distants sans nous être aperçus

Ou bien, l’un aura créé  un trouble, malvenu !

.

Comment faire entendre  qu’on s’aime plus,

Lors même  on dit, c’est qu’un malentendu,

Ça va  revenir, repartir, on en jouira  plus :

Nous serons, dans notre peau,  remordus.

.

Comment faire prendre la seule décision

S’imposant d’elle-même, sans passions,

Pour quelques temps : une séparation,

Servant de test  pour nouvelle union !

.

Comment rendre justice pour aimer

Alors qu’il n’y a pas de réciprocité,

Quand tout s’en va de tous côtés

Sans rien  pouvoir y changer.

.

C’est simple, faut trouver

La cause  …  profonde,

De l’incompatibilité

Qui, à  elle  seule,

Suffit à casser

Un couple

Marié

V

.

.

Extensions

 .

Lui dire par Sms qu’on en a fini avec elle,

Qu’on lui dit « merci pour tout et basta »,

Notre Terre est peuplée de gens qui s’aiment

Ne s’aiment plus : on peut le prendre à la légère,

Se projeter: on en a fait le tour, on a épuisé le sujet

Variété est, dans sa nature, dans la nature humaine.

On peut le prendre au sérieux, et mettre des gants,

Attendre le bon moment, dire il ne s’agit pas tant

De lui, d’elle, que de soi : pas prêt, assez mûr,

Autonome, ou que sais-je encore !

.

Ou on peut ne rien dire du tout

Et sortir au bras d’un, d’une autre

Fin à la relation devant fait accompli

Et laisser à l’autre le soin de tirer les

Conclusions qui s’imposeront à lui.

.

On peut imaginer de rester amis

En prenant  le temps  pour que

L’autre  accepte, comprenne,

Que ce n’est pas choix forcé

Qui pourra  bâtir une vie

Commune sur la durée.

On peut aussi lui faire

Comprendre qu’on ne l’a

Jamais aimé : bonjour tristesse !

.

L’on entend que ce que l’on veut bien entendre

On l’entend mieux quand on est prêt à l’écouter

On le devine quand on est au point d’anticiper !

La forme aura autant d’importance que le fond

Un simple mot peut dire en résumé ou blesser

Certains ajoutent l’humour, d’autres, l’ironie

Pas de formule bateau, le minimum requis

Certains le laissent entendre, d’un geste

Quand d’autres disparaissent au loin.

.

Si l’on explique à quelqu’un, quelqu’une,

Pourquoi on va rompre de suite, avec lui,

Il faut ajouter : est-ce que et as compris !

.

Et tout cela pour deux raisons principales :

La première parce qu’il s’agit de sentiments

Et qu’il n’est pas prêt à entendre des raisons.

.

La seconde parce que  même s’il les comprend

Avec son esprit, il les refuserait avec son cœur :

D’autant si cela se passe de manière très rapide.

.

Lors on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage,

Même si c’est un mensonge,  cela fera même effet,

Que si c’était vrai, en amour, y a pas de certitude !

.

.

Épilogue

.

Certes, l’amour n’a pas d’âge,

Certes l’amour ne sera pas sage

Certes l’amour est  parfois volage,

Certes amour peut mettre en rage.

***

L’on pourrait continuer à lister ainsi,

Tout ce qu’amours viendront susciter :

Mot valise, fourre-tout, qui nous réussit,

Et qui, parfois, est conjugué, parfois, raté.

***

Faire comprendre  qu’on ne l’aimerait plus,

Serait, soit très simple, soit très compliqué,

Simple s’il y a, s’il y a eu peu d’engagement,

Compliqué dès qu’il va falloir s’en justifier !

***

S’aimer, est, pour le moins, trouver la flèche

Qui nous indique même et bonne direction :

On accompagne l’autre, partageant son sens,

Sans en connaitre ni la durée, ni la distance.

***

Au moindre arrêt de l’un,  ou réorientation,

L’on serait en droit de se poser la question :

Est-ce temporaire, définitif, un échec, aveu,

De son impuissance à poursuivre ensemble.

.

.

657 – Calligramme

.

FAIRE COMPRENDRE 

Faire comprendre  qu’on n’aime plus,

Sans prendre la peine de le lui dire,

Trouver raccourci  qu’elle décode,

Rien  n’est plus simple,  ni facile.

Elle le devinera,  lors  en voyant,

De ses propres yeux  … c’est sûr,

Que je me suis entiché, d’autre,

Et que je n’ai rien à faire d’elle.

.

Mais  … voici qu’elle m’aborde,

Ma nouvelle  relation, saborde,

En me giflant, pour goujaterie,

Attitude en plus de flagornerie

Hier encore serrés de très près

Aujourd’hui : autre  conquête.

Demain, à qui ce tour de bête,

Explication, inutile : compris !

.

QU’ON N’AIME PLUS !

Comment faire comprendre que l’on aime plus,

Alors même qu’hier, on s’avouait, encore, ému.

Sommes-nous distants sans nous être aperçus

Ou bien, l’un aura créé  un trouble, malvenu !

.

Comment faire entendre  qu’on s’aime plus,

Lors même  on dit, c’est qu’un malentendu,

Ça va  revenir, repartir, on en jouira  plus :

Nous serons, dans notre peau,  remordus.

.

Comment faire prendre la seule décision

S’imposant d’elle-même, sans passions,

Pour quelques temps : une séparation,

Servant de test  pour nouvelle union !

.

Comment rendre justice pour aimer

Alors qu’il n’y a pas de réciprocité,

Quand tout s’en va de tous côtés

Sans rien  pouvoir y changer.

.

C’est simple, faut trouver

La cause  …  profonde,

De l’incompatibilité

Qui, à  elle  seule,

Suffit à casser

Un couple

Marié

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

657 4

.

Fer de lance ou pic :

En tous cas,  flèche,

Pointée  vers  le  bas,

Pointée à direction.

.

Flèche tombant vers le bas,

Jusqu’au sol et ne remontera pas

C’est fini, c’est juste faut le faire,

Voir, entendre, comprendre !

.

Symbolique 

 .

En tant qu’outil ou instrument,

Et non plus seulement en tant que signe,

Flèche est symbole pénétration, ouverture.

Elle symbolise aussi la pensée, qui introduit

La lumière, plus encore l’organe créateur.

Par opposition à la fourche, double choix

La flèche est l’objectivation : suivez là.

Symbole, aussi, de la pointe acérée,

Qui vole pour surprendre et tuer

Au loin sa victime,  symbolise

Ainsi la mort foudroyante.

Associe pour Bachelard,

 La vitesse, la droiture. 

Comme celles dieux,

Flèches  d’amours

Sont infaillibles

Sem-bla-bles

À l’éclair.

.

657 – Faire comprendre qu’on n’aime plus !

  Alignement central  / Titre intercalé  /Thème  amour

Forme ovale  /   Rimes égales   /  Fond accordé à  forme

Symbole de forme : flèche / Symbole de fond : direction

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

657 6

.

Flèche tombant vers le bas,

Jusqu’au sol et ne remontera pas

Flèche vers le côté droit, sortie

Pointée vers direction.

 .

Symbolique 

 .

     Montrer une direction,

                    Le long de la ligne, en suivant  >

       Sens indiqué par pointe ;

                               Sur une carte géographique, boussole,

                                               La rose des vents est constituée d’un ensemble >

                            De flèches indiquant directions telles

       Que les points cardinaux.

                   Des flèches sont utilisées sur les

                                      Panneaux de signalisation, pour guider  >

                Nombre de voyageurs égarés.

                                  fr.wikipedia.org/wiki/fleche_(symbole)

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une flèche indique  une direction 

Et  s’il n’y en a qu’une : à suivre !

Mais, parfois, il y en a plusieurs,

Et dès lors, il faut faire un choix.

Ici,  elle indique  la porte, sortie,

Pas que du lieu,   aussi de sa vie.

C’est donc  à prendre au figuré ;

La flèche n’a qu’un sens : dehors.

Et si on lui adjoindra un coureur,

C’est lui dire qu’il y aura urgence !

.

.

Révision des croyances

.

Scénario

.

Le jeu d’amours est terminé, au suivant, pas de temps à perdre.

Une autre façon, plus personnelle et définitive de se quitter.

Mais rien n’empêche d’innover, de tourner en dérision.

 .

Visuels et textuels  >>

656 – Un dialogue, une dispute, une distanciation

Visuels et textuels >>

.

Un dialogue qui dérape

Se transforme  en une dispute,

Et se termine en une distanciation :

Quoi de plus fréquent,   plus commun,

En un couple, ce, qu’ils s’aiment ou pas,

C’est la loi du genre et on n’y coupe pas.

.

On entend éclats de voix, puis vaisselle,

Les nerfs à vif, ils déchargent leur fiel,

Pour ces deux-là, fini amour éternel.

.

Ne vous y fiez pas, le septième ciel

Les attend… pour les réconcilier,

Amour, histoire de  folle  à lier,

Mais,  si l’un  brise  une glace,

Miroir ne reflétera plus rien

.

Laissent… tous

Deux, chagrin.

.

Dialogue, dispute, distanciation

Quand  ces  trois dés  seront jetés,

Lors de quel côté vont-ils retomber,

L’amour, le conflit ou la séparation.

.

Premier, amants, s’adoreront,

Et pour le second, s’étriperont,

Pour le troisième  se casseront

Tout passe, lasse, tourne rond.

.

Premier cas : ils s’entretiennent

Pour le second … se contiennent,

Pour le troisième, ils se séparent,

Se lassent de baisers, de bagarres.

.

Si, à quarante ans : facile, de trouver

Un autre partenaire à aimer, contenter,

À cinquante, déjà plus difficile à garder,

À soixante : improbable  à  accrocher,

Et plus tard, un vœu pieu à oublier.

.

Si une dispute violente pressante,

Est cri du cœur  de plaignante,

La réconciliation sur  oreiller

Redonne de la force à baiser.

.

Lors la distanciation froide,

Parlera plus,  d’un ailleurs

Quand  tous  deux  partis.

.

Il est futile, voire inutile

De   tenter  de   recoller

Les   morceaux   brisés,

Lors le miroir, en entier,

Est cassé en plus de  mille.

.

.

Extensions

.

Il devient évident

Qu’ils ne pourront

Réparer les dégâts,

Même en y mettant

La meilleure volonté

Du monde, et voire en

Commençant de suite la

Psychothérapie du couple.

.

La colère, comme chacun sait, est mauvaise conseillère,

Elle aura entraîné  plus d’un divorce, plus d’une guerre,

Et pourtant, en cas de conflit aigu, plus que nécessaire,

Pour tirer  la sonnette d’alarme, crever une sale affaire

D’ailleurs personne non plus ne vous dira le contraire

Il faut attendre qu’elle avant de prendre une décision

Parfois s’en excuser, avoir été  sous coup d’émotion.

Toute dispute entraîne, de facto, une distanciation

Mais portera moins préjudice  s’il y a discussion.

.

Le dialogue sert, en premier lieu, à s’entendre

à échanger, information, opinions, décisions

mais il sert parfois à se créer des disputes,

autant qu’à les résoudre, normalement !

.

Il arrive que dispute éclate pour un détail

qu’on prend au pied de la lettre, qui étonne

faut comprendre que ce sera la goutte d’eau,

qui déborde et qui submerge comme tsunami.

.

Une dispute ce serait mots sur maux qui, selon,

dépassent largement sa pensée, font monter le ton

une pause s’impose pour reprendre un peu de recul

sinon vu de l’extérieur, des disputes semble ridicules.

.

.

656 – Calligramme 

 .

Un dialogue       *******            qui dérape

Se transforme        ******        en une dispute,

Et se termine en       *****     une distanciation :

Quoi de plus fré        ***   quent, plus commun

En un couple, ce,       qu’ils s’aiment ou pas,

C’est la loi du genre, et on n’y coupe pas !

On entend éclats de voix, puis vaisselle,

Les nerfs à vif, ils déchargent leur fiel

Pour ces deux-là, fini amour éternel

Ne vous y fiez pas, le septième ciel

Les attend… pour les réconcilier,

Amour, histoire de  folle  à lier,

Mais,  si l’un  brise une glace,

Miroir ne reflétant plus rien

.

Laissent… tous

Deux, chagrin.

.

Dialogue, dispute, distanciation

Quand  ces  trois dés  seront jetés,

Lors de quel  côté vont-ils retomber,

L’amour,   le conflit ou    la séparation !

.

Premier, amants      D    *    S        s’adoreront,

Et pour le second   I                      E     s’étriperont,

Pour le troisième  A                            T    se casseront

Tout passe, lasse   L                              U    tourne rond.

Premier cas : ils    O                               P s’entretiennent

Pour le second       G                             S  se contiennent,

Pour le troisième      U                       I      ils se séparent,

Se lassent baisers          E   *   D           et de bagarres.

Si, à quarante ans,           :              facile, de trouver

Un autre partenaire, à     D     aimer, à contenter,

À cinquante, déjà plus    I     difficile à garder,

À soixante improba       S      ble à accrocher,

Et plus tard, un vœu     T       pieu à oublier.

Si une dispute viol       A    ente pressante,

Est cri du cœur de     N     la plaignante,

La réconciliation      C        sur  oreiller

Redonne de la for    I        ce à baiser.

Lors la distanci     A     ation froide,

Parlera plus,        T     d’un ailleurs

Quand  tous       I      deux  partis.

Il est futile,     O      voire inutile

De tenter       N         de recoller

Les   mor    *    ceaux   brisés,

Lors le miroir,      en entier,

Est cassé en plus de  mille.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

656 4

.

Flacon probablement,

De parfum, mais de quoi :

De phéromones sexuelles

Ou d’attraction de peaux ?

.

On n’ose pas dire flacon parfum

Ou  alors  qui repousse, soudain :

Dieu sait si  les disputes sont aussi

Influencés par des phéromones.

 .

 Symbolique 

 .

Les phéromones,

Sont des combinaisons

De molécules complexes

Provenant  des  produits

De sécrétions des glandes

Que  l’on   dit   spécialisées.

.

Et la palme d’or des parfums

Revient jusqu’ici au Chanel n° 5

Qui rend les femmes irrésistibles

Grâce à  son musc, naturel, allié

À des essences subtiles secrètes.

.

Aujourd’hui, ce parfum  aurait

Perdu  ses principales  vertus,

Tant il ne serait plus composé

Comme  autrefois, matières

Premières naturelles  mais

De molécules synthétiques.

source : sciences-et-magie.com

.

Descriptif

 .

656 – Dialogue dispute : distanciation 

  Alignement central  / Titre cercle droit /Thème  conflit

Forme ovale   /   Rimes égales   /  Fond approché de forme

Symbole de forme : phéromone / Symbole de fond : phéromone

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

656 6

.

On n’ose pas dire flacon parfum

Ou  alors  qui repousse, soudain :

Dieu sait si les disputes sont aussi

Influencés par des phéromones 

 .

Symbolique 

 .

Les phéromones sont

Des substances sécrétées par le corps

Qui suscitent l’intérêt pour le sexe opposé

Et augmentent la libido et le désir sexuel.

Ils n’ont pas d’odeur et leur perception

Est subconsciente, il est donc impossible

De se défendre contre eux.

.

Tout le monde ne dégage pas

Des   phéromones   aussi  fortes.

Il existe sur le marché des parfums

Aux phéromones sous forme pure, inodore.

Grâce à eux, littéralement n’importe quelle

Personne, même la plus inconvenante,

Peut attirer l’attention de

Quelqu’un d’intéressant.

fr.pheromone-ranking.eu

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Qui dit phéromones, dit

Un attrait physiologique,

Auquel nul  ne résisterait :

Il ne faudrait pas confondre

Entre nécessaire  et suffisant.

Quelque chose en plus d’autre :

Substance, onde, parole, regard

Agirait autant en rapprochement.

 .

.

Non, pas d’accord du tout

.

Scénario

.

Schéma classique où le ton monte et les gestes s’amplifient,

puis c’est le silence, à quoi bon, aucun des deux ne lâche rien,

on ne va pas rester indéfiniment à se tourner le dos comme ça.

 .

Visuels et textuels >>

655 – S’avouer que sa vie de couple se termine !

Visuels et textuels  >>

.

Faut s’avouer que,

Faire un constat…de,

Ouvrir grand,  les yeux,

Lors c’est fini,  entre eux.

.

Après, une fois décider…que

Mieux vaut être seul que deux

Il faut voler  vers  d’autres cieux,

Sinon on se passe d’être amoureux.

.

C’est un désir  qui ne meurt  jamais :

Seuls : l’objet, fond,  forme,  changent,

Vont et viennent,  font  leurs  échanges,

Vie de couple, qui se  termine ou renait.

.

S’avouer que sa vie de couple se termine

Se disant est-ce échec ou simple constat

Après tant d’années communes passées

Où tout allait bien sans jamais  penser

Qu’un jour à l’autre ce serait terminé.

Et on peut s’en vouloir au désespoir

Ou se dire que l’on n’a rien à y voir,

C’est juste temps qui se sera passé,

Autre façon  venue  de vous aimer

Parce que  la vie vous a distancié.

 .

Une fois telles constatations faites,

Une fois cette discussion terminée,

Une fois cette décision, bien actée,

La mettre en œuvre  et se séparer,

Et dès lors,  autre futur, projeter.

.

Se porter vers aventure à venir

Pour peu qu’on la tient d’advenir,

Plutôt que ronger son frein désespoir

Lors autre rentrera tard chaque soir,

Vous ignore, vous zappe à  vos côtés.

.

Il se pourrait qu’un déphasage existe

Que chez l’un, un fond amour persiste,

Mais si au fil du temps, aucun ne résiste

Si aucun désir commun ne leur coexiste,

Faut songer à combler manque  sur liste.

.

.

Extensions

.

S’avouer que sa vie

De couple …  se termine,

Après avoir changé de formes,

Tout essayer n’est pas constat d’échec

Mais un passeport pour d’autres horizons.

Le premier pas franchi, autres suivent,

Opportunités font le reste.

Gardant en main son destin,

Le futur ne peut être pire que le présent.

.

Une période, un état de sa vie, son couple se termine

Péripétie utile pour rebondir ou pour y mettre fin

À chacun de savoir si c’est sérieux ou bénin :

C’est le temps, l’attitude, qui le détermine

On dit que c’est le sexe, jamais l’âme.

.

À partir de quand, l’on est convaincu

Que son couple bat de l’aile : c’est foutu !

La réponse la plus courante est, ça dépend,

 Ça se fait en plusieurs étapes ou brutalement.

.

On interroge  ses amis  pour voir  si l’on  fabule.

Pour eux, tout va bien, faut juste faire des efforts,

Dans  un couple, s’il y a dispute, chacun  a ses torts

Faut peut-être prendre de l’air  et sortir de sa bulle !

.

La question du pourquoi est parfois laissée en suspens

Ou on invente bonne raison paraissant vraisemblable :

On s’est trompé, pas la bonne personne : pas aimable

En bref, la confiance n’est plus, même si l’on ment.

.

Et pour finir, survient la question du comment

Qu’est-ce qu’on fait, l’on se donne du temps

Ou tout de suite, prend la porte, va-t’en

Surtout ne revient plus, adieu !

.

.

655 – Calligramme  

 .

Faut s’avouer que,

Faire un constat…de,

Ouvrir grand,  les yeux,

Lors c’est fini,   entre eux.

Après, une fois décider…que

Mieux vaut être seul que deux

Il faut voler  vers  d’autres cieux,

Sinon on se passe d’être amoureux

C’est un désir  qui ne meurt jamais :

Seuls : l’objet, fond, forme,  changent,

Vont et viennent,  font  leurs  échanges,

Vie de couple, qui se  termine, ou renait.

                                   A

S’avouer que sa vie de couple se  V   termine

Se disant est-ce échec ou simple    O   constat

Après tant d’années communes      U    passées

Où tout allait bien sans jamais     E    y penser

Qu’un jour à l’autre ce serait    R      terminé.

Et on peut s’en vouloir       :     au désespoir

Ou se dire que l’on        V   a rien à y voir,

C’est juste temps    I    qui se sera passé,

L’autre façon    E   venue de vous aimer

Parce que   *     la vie vous a distancié.

C ………………………

Une fois   O  telles constatations faites,

Une fois   U  cette discussion terminée,

Une fois   P  cette décision, bien actée,

La mettre  L    en œuvre et se séparer,

Et dès lors,   E     autre futur, projeter.

* ………….

Se porter vers      S      aventure à venir

Pour peu qu’on la    E     tient d’advenir,

Plutôt que ronger son   *   frein désespoir

Lors autre rentrera tard    T     chaque soir,

Vous ignore, vous zappe à      E        vos côtés.

Il se pourrait qu’un déphasage   R            existe

Que chez l’un, un fond amour        M      persiste,

Mais si, au fil du temps, aucun         I     ne résiste

Si aucun désir commun ne leur         N      coexiste,

Faut songer à combler manque          E       sur liste.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

655 4

.

Quelque objet décoratif

Tout  aussi  bien   qu’une

Lampe économe moderne

 À leds  au lieu d’une ampoule

.

Une lampe avec ampoule, éclaire

le fond de sa pensée de son couple,

l’ampoule peut s’obscurcir, se briser,

tant et si bien la forme évoque le fond.

.

La silhouette de cette lampe

 De chevet se distingue à peine 

Par conséquent n’éclaire plus

Sauf si changement ampoule.

  .

Symbolique 

 .

La lampe

Représente un point

De lumière en l’obscurité.

Par analogie, elle symbolise

Notre  entendement  dans la

Confusion mentale profonde,

Et voire encore la révélation

D’un savoir  enfoui, caché.

D’ailleurs telle expression

« Éclairer sa lanterne« ,

Qui signifie clarifier

Quelque chose,

Exprime bien cette

Notion de savoir

Qui est dévoilé.

1001 symboles

.

Descriptif

.

655 – Avouer : vie de couple se termine  

  Alignement central   /  Titre serpente  / Thème  couple

Forme conique/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe /  Symbole de fond : ampoule

.

.

Fond

 .

Évocation

.

655 6

.

La silhouette de cette lampe

 De chevet se distingue à peine 

Par conséquent  n’éclaire  plus

Sauf si changement ampoule.

.

Symbolique

.

L’ampoule, est

Le symbole de l’idée

Qui   jaillit  sans  qu’on

L’ait vraiment cherchée :

Hasard heureux ou erreur

Fructueuse, ou sérendipité !

Qu’il   s’agisse   d’une  lampe

À  huile, à  pétrole   ou  d’une

Lampe  moderne, électrique,

Elle symbolise  l’énergie que

Nous contrôlons, celle  que

Nous maîtrisons. Dans la

Bande dessinée, dessin

L’apparition  d’une

Idée est présentée

Par l’ampoule qui

S’allume au-dessus

Tête personnage.

 .

.

Corrélations

Fond/forme

.

Lors la lampe s’allume,

Éclaire, plus ou moins fort,

De façon directe, ou indirecte

Selon que l’on voudra tout voir

Ou être plus dans une intimité

Pour la lecture voire le sexe

Elle éclaire aussi l’esprit,

Dissipe tout ombre

Qui l’encombre

Au  salon

Ou au lit

 .

.

C’est râpé, foutu, terminé

.

Scénario

 .

Les explications prennent la tournure d’une dispute de couple,

tant et si bien qu’à la fin, à bout d’arguments, ils se séparent,

se rapprochent à nouveau pour se réconcilier ou se quitter !

.

Visuels et textuels  >>