1027 – Des gens disent, c’en est assez, finissons-en !

 Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Quand on ne sait pas aimer,

On n’y parviendrait pas bien.

C’est à l’autre de tout accepter,

Et, de son côté, l’on ne fera rien.

Au bout de plusieurs négociations

Au bout de plusieurs changements,

On finit par se faire  bonne raison :

La vie en couple est un châtiment.

Rester seul plutôt que de souffrir,

À deux, reprocher mutuellement

Un désaccord de tempérament,

Plutôt partir, plutôt mourir.

.

Bien des gens, et parfois bien jeunes,

Disent que  c’en est assez, finissons-en,

J’ai tant souffert d’amour déçu…perdu,

Que désormais, rideau je n’en peux plus.

Ce sont, des passionnés, amoureux fous,

Qui vivent  l’amour exclusif,  pour la vie,

Si ce n’est  celui-ci, personne  ne pourra

Le remplacer, être son égal ou sa moitié.

.

Ce terrible aveu,  si  l’en est,  sans appel,

Je l’ai connu aussi, et, je m’en  rappelle :

Ma joie a fini par l’emporter sur la peine,

Souffrance et je me suis à nouveau marié.

Car, vouloir aimer sans jamais en souffrir,

Est comme  de vouloir voler, sans ses ailes,

L’amour n’est pas printemps… d’hirondelle,

Il puise ses racines en une source profonde.

.

Cette source  se remplit  de joie, et se tarira

Dès que l’aimé  s’en va, et s’il ne revient pas,

Assoiffé, l’on devient, en un désert de… mort

Où tout a disparu, où tout n’est  que désastre.

Désarmé, déprimé, dépressionné, tous les dés

Sont jetés avec trois fois rien  à  se raccrocher,

Qui s’appelle  l’espoir de voir  briller en le noir,

Cœur qui bat pour vous,  prêt  à vous consoler !

.

Consolation  n’est pas raison, n’est pas passion :

Il arrive qu’elle fasse effet, et prenne  le dessus :

Les bleus en cicatrices et blessures se referment,

De paralysées, vos jambes se mettent à marcher.

Marcher vers  un nouvel amour, nouvelle liberté,

Qui ajoutera ses joies, souffrances aux premiers,

.

Jusqu’à ce que mort, définitivement vous sépare

D’amants successifs  dont vous en aviez … marre

Je ne veux  plus aimer, je ne veux plus … souffrir.

Comment rester fermer, comment ne pas s’ouvrir

Quand la vie  n’a de sens  que dans l’élan d’autrui

À faire de vous, un ange réjoui, démon  de minuit

La souffrance d’aimer mérite en soi, récompense,

Son énergie vous pousse plus haut qu’on y pense.

.

Extensions

 .

C’en est assez, finissons-en :

Le  rideau tombe, la pièce

De théâtre est terminée,

On passe à autre chose,

On en écrira une autre,

Très bientôt en tenant

Compte  des   erreurs

Toutes  précédentes ;

Erreurs de  casting,

Et même histoires,

Ou mise en scène !

.

Comment peut-on finir avec le sexe, quel que soit l’âge

Surtout s’il englobe en lui, la sensualité  et la tendresse.

Toute pratique du sexe : oui ; toute pensée : j’en doute !

Les sexes, pris pour eux-mêmes,  sont interchangeables,

C’est le reste : corps, cœur, esprit, âme, qui ne l’est pas

Abstinence complète : faire vœu de chasteté  supposée,

Car qu’en est-il au juste, dans les faits, dans la réalité ?

 .

Il ne faut pas confondre nous dit Sigmund Freud,

Le sexe et la sexualité qui est bien plus englobante

.

L’on ne pourrait guère échapper à cette dernière,

Du fait qu’elle est plus dans notre tête que corps.

.

Sa sensualité et libido sont représentations de soi

Et à la fois énergie vitale pour vivre avec d’autres.

.

Lors même en refusant tout plaisir d’ordre sexuel,

Si le désir n’est pas sublimé on en est prisonnier !

.

Il peut en découler  désordres de comportements,

Que la loi réprime, comprime, et voire supprime !

.

Fragments

.

Amour, tendresse, caresse, sexe, attrait corporel,

Arrive un moment dans sa vie ou ce n’est éternel.

.

Amants d’autrefois, conjoints d’hier, deviennent

Compagnon et compagne, ce, quoiqu’il advienne.

.

Le temps n’est plus aux fols émois des érotismes,

On se contente respect de l’autre, de son estime !

.

On fait du ménage dans ses sentiments, émotions,

Du balai par ci, du balai, par-là, un bon nettoyage.

.

Mais attention à ne pas utiliser de balai de sorcière

Sa libido, en panne, reviendrait vite, au triple galop.

.

Pour savoir si c’est fini et bien fini, à couper, à jeter,

Faut pas être dégouté, pouvoir par contre s’en passer.

.

Pour être certain de n’avoir plus de contacts intimes,

Couples font chambre à part qu’ils soient mariés, pas.

.

Si, pour certains, c’est la défaite d’être comme castré,

Pour d’autres, c’est une victoire d’en être débarrassé.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

G  E  N  S    D   I  S  A N T :

 Quand on ne sait pas aimer,

    On n’y parviendrait pas bien.

         C’est à l’autre de tout accepter,

            Et de son côté, l’on ne fera rien.

                  Au bout de plusieurs négociations

                     Au bout de plusieurs changements,

                      On finit par se faire  bonne raison :

                      La vie en couple est un châtiment.

                      Rester seul plutôt que de souffrir,

                     À deux, reprocher mutuellement

                   Un désaccord de tempérament,

               Plutôt partir, plutôt mourir.

                    J’ E  N     A   I     A  S  S  E  Z,

                               Bien des gens, et parfois bien jeunes,

                                 Disent que  c’en est assez, finissons-en,

                                 J’ai tant souffert d’amour déçu…perdu,

                                   Que désormais, rideau je n’en peux plus.

                                   Ce sont, des passionnés, amoureux, fous,

                                  Qui vivent  l’amour exclusif,  pour la vie,

                                 Si ce n’est  celui-ci, personne  ne pourra

                                  Le remplacer, être son égal ou sa moitié.

                                Ce terrible aveu,  si  l’en est,  sans appel,

                                Je l’ai connu aussi, et, je m’en  rappelle :

                                 Ma joie a fini par l’emporter sur la peine,

                                Souffrance et je me suis à nouveau marié.

                                Car, vouloir aimer sans jamais en souffrir,

                                Est comme  de vouloir voler, sans ses ailes,

                                L’amour n’est pas printemps… d’hirondelle,

                               Il puise ses racines en une source profonde.

                            Cette source se remplit de joie, et se tarira

                              Dès que l’aimé  s’en va, et s’il ne revient pas,

                             Assoiffé, l’on devient, en un désert de… mort

                             Où tout a disparu, où tout n’est que désastre.

                            Désarmé, déprimé, dépressionné, tous les dés

                          Sont jetés avec trois fois rien à se raccrocher,

                          Qui s’appelle  l’espoir de voir  briller en le noir,

                         Cœur qui bat pour vous,  prêt  à vous consoler !

                        Consolation  n’est pas raison, n’est pas passion :

                    Il arrive qu’elle fasse effet, et prenne  le dessus :

                   Les bleus en cicatrices et blessures se referment,

                 De paralysées, vos jambes se mettent à marcher.

                A  L  O  R  S   O U I   F I N I S S O N S – E N !

             Marcher vers  un nouvel amour, nouvelle liberté,

            Qui ajoutera ses joies, souffrances aux premiers,…

          Jusqu’à ce que mort, définitivement vous sépare,…

       D’amants successifs  dont vous en aviez … marre…..

       Je ne veux plus aimer, je ne veux plus … souffrir,…….

      Comment rester fermer, comment ne pas s’ouvrir……….

    Quand la vie  n’a de sens  que dans l’élan d’autrui,………..

  À faire de vous, un ange réjoui, démon  de minuit…………..

La souffrance d’aimer mérite en soi, récompense,……………..

Son énergie vous pousse plus haut qu’on y pense………………..

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Que ce soit homme ou femme

Tous deux,  la tête altière,

Sexe en bandoulière :

Allez, du balai !

.

1027 4

.

Du balai, du balai, allez oust,

C’est fini, désormais, dehors, du vent :

Le couple, le sexe, c’est fini, pourtant

J’aurai tout essayé mais en vain.

 .

Symbolique 

 .

Je sens que j’ai besoin

D’un ménage personnel,

D’un bon coup de balai

Comme on dit parfois.

.

Un ménage en mes émotions,

Un ménage dans ma profession

Mes relations, et mes actions, etc.

Je sens que j’ai besoin d’un balai

Pour chasser  les éléments qui

Encombrent  mes  émotions,

Mes pensées et  mes gestes,

Et voire même mes rêves.

.

Mes  mains  seront-elles

Assez fortes rudes pour

Faire un tel nettoyage.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1027 6

.

Du balai, du balai, allez oust,

C’est fini, désormais, dehors, du vent :

Le couple, le sexe, c’est fini, pourtant

J’aurai tout essayé mais en vain.

 .

Symbolique 

 .

La         déchirure             d’amour,

Au-delà      de       la        souffrance,

Douleur        d’amour,        comporte

Souvent  comme corollaire  la haine.

Après l’amour, pourquoi tant de haine

 

Blessés de l’amour souffrent d’un mal

Lié à leur objet d’amour, sans l’objet

Ils se sentent    seuls    abandonnés,

Délaissés,       voire    désespérés,

Ou    simplement     déprimés.

 

Le sujet est ainsi en crise

Dans  une   blessure  du

Souvenir  et  mémoire.

Les destins de l’amour

Divergent entraînant

Retentissements fini.

Cairn.info/revue-cliniques-

mediterraneennes-2004-2-page-147

 .

.

Fond/forme 

 .

Ça ressemble fort à faire le vide en soi,

Trier ce qu’on garde et jette à la poubelle.

La mode est au recyclage : si rien n’est bon

Pourquoi  vider  son grenier  dans sa cave,

Si ce n’est  après tout ça, réciproquement !

Faire table rase du passé est un vœu pieu,

On ne bâtira nouvelle histoire que sur lui.

.

 Textuels et illustrations   >>

1026 – Est-ce ma tête qui gouverne le sexe ou non !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Est-ce tête qui gouverne le sexe

Ou contraire, qui peut le savoir, dire,

Qui peut le prétendre, ou, le contredire !

À quinze ans, sûr, c’est lui  qui commande.

.

L’assouvir requiert du temps, après qu’il ploie

Après qu’il plie, qu’il   se détend, qu’il se retend

Et à soixante-quinze ans, c’est la tête qui reprend

Le gouvernail et lors, vaille que vaille, abandonne

Nouvelle proie à d’autres chasseurs plus bandants.

.

Entre quinze et soixante-quinze, cela fait soixante,

Si le compte est bon, bien qu’à ce que l’on raconte

Que certains joueraient encore  les prolongations.

Et, contre mauvaise fortune, lors, dès cinquante,

Perdu en plein mitan du lit, femmes et hommes

Tempèreraient ardeurs  contre leur bon cœur.

.

Vrai que fougue de la jeunesse reste cadeau du ciel,

Comme une drogue dure, rendant dépendant sexe :

D’autant que premier sexe, ils perdront complexe.

La sagesse, de la vieillesse, est un cadeau de miel

Drogue douce rendant émouvant de tendresse,

Il est moins question  de concave ou convexe.

.

Substance aphrodisiaque peut parfois pallier

À une faiblesse d’un Priape  qui ne peut plus

Plus, à moitié se lever donc en sus de baiser,

Problème  il y a, si concentration, répétition

N’apportent plus aucune satisfaction totale.

.

Là où le sexe va se fourrer, il n’y a que col

Sans tête que col qui s’entête à réclamer

Son   dû   pour  jouir  de tout   superflu.

.

Le sexe n’est rien autre qu’un instrument,

Naturel pour procréer que Dieu en sa bonté,

A donné une carotte à ce bâton.

.

La jouissance de l’orgasme et pas seulement

Un mois, ou deux, dans l’année, mais douze,

Pour bien  multiplier l’humanité.

.

Ah mais vous n’y êtes pas, vous n’y êtes plus :

Que faites-vous des pédés, et puis des homos,

Lesbiennes, transsexuelles, curés.

.

Pardon au curé, abstinence, vœu de chasteté.

Aux autres, si religion ne les aura condamnés,

Ni  la Nature les aura rachetés.

.

Freud aurait dit que cet « obscur objet du désir »

N’est pas sexué comme on prétend, reste à définir.

Le sexe n’est pas le seul lieu du désir ni du plaisir :

J’ai oui dire qu’un chien peut satisfaire madame.

.

Extensions

 .

Une question

À la fois physique

Et … métaphysique,

Tant,   si   l’attraction

Du corps  ne se produit,

Ou  ne se reproduirait pas,

Sans cesse, sans se dégrader,

L’esprit, bien qu’étant toujours

Autant présent, transformera

L’amour charnel en amitié.

C’est bien souvent la tête

Qui gouverne le sexe,

Surtout limbique.

 .

Forcément mon cerveau y est pour quelque chose dans le sexe

C’est lui qui gouverne les tensions, postures, paroles et gestes !

Mais pas que … si j’ose parler ainsi, un flot d’autres sensations,

Tant internes qu’externes vient accompagner, nourrir, émotion

Qui grandit en moi, en nous, dans un acte ou dans le fantasme.

.

Le sexe serait soumis partiellement seulement

Aux phéromones et à quelque réflexe animal !

.

Pour le reste, ce sera l’étage supérieur, la tête

Qui en décide, qui le contrôle et qui l’assume.

.

On a parfois rapproché humains et bonobos :

Y a des points communs mais autres finalités

.

Tel celui de consommer  le sexe  pour le sexe :

Mais attention, un jour la tête décompensera.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Est-ce tête qui gouverne le sexe

Ou contraire, qui peut le savoir, dire,

Qui peut le prétendre, ou, le contredire !

À quinze ans, sûr, c’est lui qui commande :

L’assouvir requiert du temps, après qu’il ploie

Après qu’il plie, qu’il      se détend, qu’il se retend

Et à soixante-quinze ans,    c’est la tête qui reprend

Le gouvernail et lors, vaille    que vaille, abandonne

Nouvelle proie à d’autres  T chasseurs plus bandants.

Entre quinze et soixante    Ê  quinze, cela fait soixante,

Si le compte est bon, bien     T     qu’à ce que  l’on raconte :

Certains joueraient encore         E                les prolongations. —-

Contre mauvaise fortune,                 *              lors, dès cinquante, —–

Perdu en plein mitan du lit,               G            femmes et hommes ——-

      Tempèreraient leurs ardeurs         O        contre leur bon cœur. ——–

       Vrai que fougue de la jeunesse  U   reste un cadeau du ciel, ——–

         Comme une drogue dure, les   V   rendant dépendant sexe : ——–

       D’autant que premier sexe   E        ils perdront complexe. ——–

   La sagesse, de la vieillesse,  R      est un cadeau de miel ———

 Drogue douce rendant     N    émouvant de tendresse, ———

Il est moins question      E      de concave ou convexe. ———-

Substance aphrodisi       *     aque peut parfois pallier ———–

   À une faiblesse d’un       S         Priape qui ne peut plus ————-

     Plus ou à moitié se        E       lever en dépit de baiser. —————

            Problème  il y a si        X        concentration, répétition——————

            N’apportent plus         E     aucune satisfaction totale. —————–

Là où le sexe va se fourrer, il n’y a que col

Sans tête que col qui s’entête à réclamer

Son   dû    pour    jouir   d’un    superflu.

.

Le sexe n’est rien autre qu’un instrument,

Naturel pour procréer que Dieu en sa bonté,

A donné une carotte à ce bâton.

 .

La jouissance de l’orgasme et pas seulement

Un mois, ou deux, dans l’année, mais douze,

Pour bien  multiplier l’humanité.

 .

Ah mais vous n’y êtes pas, vous n’y êtes plus :

Que faites-vous des pédés, et puis des homos,

Lesbiennes, transsexuelles, curés.

 .

Pardon au curé, abstinence, vœu de chasteté.

Aux autres, si religion ne les aura condamnés,

Ni  la Nature les aura rachetés.

.

Freud aurait dit que cet « obscur objet du désir »

N’est pas sexué comme on prétend, reste à définir.

Le sexe n’est pas le seul lieu du désir ni du plaisir :

J’ai oui dire qu’un chien peut satisfaire madame.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Certains y voient une tête ;

D’autres  y  voient  un  sexe ;

D’autres, diverses projections :

Chacun son fantasme après tout.

.

1026 4

.

La tête  gouverne le sexe, chez l’humain,

Ne le remplit pas :

Pour distinguer on parle sexe au-dessus,

En dessous de ceinture.

C’est un peu comme si ma main gauche

Ignorait tout ce que fait ma main droite

La tête et le sexe restent reliés à ce point

Que le sexe ferait parfois perdre la tête.

 .

Symbolique 

 .

La tête est la partie qui

Domine le corps,  le siège de

La pensée  et de  la  communication.

Elle symboliserait : l’identité,  l’émotion,

Intelligence O volonté O communication.

 

La tête est la partie du corps  la plus sensitive.

Elle concentre la vue, l’ouïe, l’odorat  et le goût.

 

C’est la partie du corps qui renferme le cerveau,

Le siège de la pensée et du contrôle de l’ensemble

Des comportements. La tête serait donc la partie

La plus importante, la plus complexe du corps.

———————-

Ainsi, la tête représente en quelque sorte

L’interface entre le monde extérieur

Et la réalité intérieure.

1001symboles.net/

symbole/sens-de-tete

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1026 6

.

La tête  gouverne le sexe, chez l’humain,

Ne le remplit pas :

Pour distinguer on parle sexe au-dessus,

En dessous de ceinture.

 .

Symbolique 

 .

Il est clair que les hommes

Sont des mammifères complexes.

L’excitation sexu          elle  n’est pas  que

Liée à des stimuli               sensoriels du sexe,

 Ne conduit pas tou                   jours  à  l’acte   sexuel

Sans aucune inter                   vention  de   pensées

Ou des émotions                  fort heureusement.

Fondements d’              excitation sexuelle

Chez la femme         tout reste à faire.

Mais l’on pariera, aisément, que

C’est, encore, plus compliqué.

Source : doctissimo.fr/html/sante

/mag_2000…/cerveau/sexe

 .

 .

Fond/forme 

 .

Le sexe est d’abord et avant tout un organe,

Fait pour la reproduction, fait pour le plaisir;

.

Il est aussi une  preuve d’amour, attachement

 et une source d’énergie positive et destructrice,

Sa libido, pour Freud, est logée en son cerveau

S’il n’y a pas de fantasmes : pratique bestiale,

Le sexe pour le sexe, ne construit jamais rien.

.

On croit parfois le tromper avec stupéfiant

Mais s’il revient à la charge : déception !

.

 Textuels et illustrations  >>

1025 – Les fatigués et les déçus des plaisirs du sexe

Textuels et illustrations   >>

.   

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Comment peut-on être fatigué

Comment peut-on être déçu,

Des  plaisirs  liés  au  sexe !

Fatigué d’en user de trop,

Déchu d’être impuissant

Oui, cela  se comprend

Car cela s’est déjà vu,

Mais sinon, voyons,

Quand l’on s’aime

De s’en … priver

On est  frustré.

 D’accord  mais

Pas le temps :

Trop  exténué,

Pris d’activités

Envie  de dodo,

Besoin  de repos

Ou mille excuses,

Qui n’en sont pas !

.

Les fatigués ou déçus des plaisirs du sexe,

Sont souvent des gens, arrivés à certain âge,

Bien plus encore  ayant atteint un âge certain,

Qui ont décidé que ce n’était plus  leur priorité.

Ils dorment seuls bien que parfois même à deux

.

Sans jamais se toucher ni même en être désireux

Et l’orgasme n’est plus là au rendez-vous du tout,

Devient une sorte de souvenir,  non un plaisir fou,

Foin  des pénétrations ; même chose  des caresses,

Qui feront  le lit des amours, basés sur la tendresse.

.

Est-ce plus facile, naturel, pour la femme, l’homme,

Vivre ensemble  sans se toucher, indifférent comme :

Nécessités économiques et/ou liens  avec les enfants,

Font  arrangements de toutes natures  et sans heurts,

Lors chacun peut avoir  vraie vie, amoureuse, ailleurs,

S’il souhaite en sauvant la face d’un couple… s’aimant.

.

Vie  amoureuse, plénitude sexuelle, à quatre-vingt ans,

Est tout à fait possible, et plus fréquente qu’on ne croit

Certains jettent l’éponge, à cinquante, si ce n’est trente,

.

D’autres sont insatiables, à en devenir presque pervers.

Que des lois ou aucune dictent comportements sexuels,

Certains ont besoin d’être amoureux pour les pratiquer,

Et d’autres, surtout pas, par peur de trop… s’y attacher,

Quand amour, sexe, ne se conjuguent, c’est  compliqué.

.

Le sexe est comme argent, un moyen, et non fin, en soi

L’intimité est plus rapprochée, au plus profond  de soi,

C’est le cerveau  qui importe, et, plus encore, la pensée

Et là, aucun sexe, ne peut ni la recevoir ni la pénétrer.

.

Que  de  femmes  attendent, de l’homme, le sentiment

D’affection, et quand il demande  de passer à l’action,

Se retirent, s’éloignent en négociant une belle amitié,

Que l’homme prendra pour le refus de tout partager :

Pour ne pas perdre, certaines finissent par consentir.

.

Extensions

 .

À défaut d’orgasme commun,

On peut quand même grimper

Aux cieux pour peu que l’on soit

Toujours amoureux.

Mais, si l’on n’est pas présent,

Si l’on n’est pas puissant,

Si l’on n’est pas excitant,

Il ne faut s’attendre à ce que

L’autre vous satisfasse !

.

Il est certain que l’alcool potentialise le sexe à un certain degré

Mais comme pour la cigarette, quand c’est trop, c’est plus trop

L’excès de graisse favorise plus la digestion que l’e désir sexuel

En somme, il y a des causes naturelles à une perte de sa libido

Mais, il peut y avoir aussi une lassitude dans un vieux couple

Ou jeune et qui fait que la pulsion, comme la passion, faiblit

Et lors on se retrouve au lit avec un dos tourné qui ne veut.

.

Le sexe ne provoquera systématiquement

Un plaisir à renouveler sans faim … ni fin.

.

S’il y en a qui en usent, confortant l’amour,

D’autres en abusent pour leur propre plaisir

D’autres s’en abstiennent par trop déplaisirs,

Quoiqu’il en soit, fatigue se fait sentir un jour.

.

Alors que faire, d’autre, pour compenser perte

De désirs autant que de plaisirs, de fantasmer

Qu’une femme ou un homme soit à vos pieds.

.

Fragments

.

Le balai et le sexe, ont peu à faire ensemble,

Même si on enfourche  aussi bien ce dernier.

.

Cela resterait une image reliée aux sorcières

Et si sa forme évoque  elle n’époussette fond.

.

Quand on est saturé de sexe, rien ne va plus :

Temps de faire une pause, remettre à demain.

.

Quand on est déçu du sexe, on laissera tomber,

Y a mieux à faire ailleurs en plaisirs, bonheurs.

.

Du balai …  du balai, l’on en peut plus : dehors,

Plus question de l’enfourcher avec une sorcière.

.

Du ballet rose ou balai en paille, parfois un pas :

Y a comme une intolérance et voire une allergie.

.

L’impuissance pour l’homme ; femme, frigidité,

N’aide pas la libido à s’exécuter, ni se sublimer.

.

Sexe complexe en homme ; femme, compliqué :

L’accord parfait ne se fait que lors on se connait.

.

L’excitation  sexuelle  n’est pas que liée au sexe,

Ne se termine pas toujours par une pénétration

.

L’intervention de pensées, fantasmes, émotions,

Précède, accompagne, suit, un orgasme sensuel,

.

Par sensuel, on entend, toutes sortes de caresses,

Qui explorent, manifestent, formes de tendresses.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

DES FATIGUÉS

Comment peut-on être fatigué

Comment peut-on être déçu,

Des  plaisirs  liés  au  sexe !

Fatigué d’en user de trop,

Déchu d’être impuissant

Oui, cela  se comprend

Car cela s’est déjà vu,

Mais sinon, voyons,

Quand l’on s’aime

De s’en … priver

On est  frustré.

 D’accord  mais

Pas le temps :

Trop  exténué,

Pris d’activités

Envie  de dodo,

Besoin  de repos

Ou mille excuses,

Qui n’en sont pas !

ET DES DÉÇUS DU SEXE  

Les fatigués ou déçus des plaisirs du sexe,

Sont souvent des gens, arrivés à certain âge,

Bien plus encore  ayant atteint un âge certain,

Qui ont décidé que ce n’était plus  leur priorité.

Ils dorment seuls bien que parfois même à deux

Sans jamais se toucher ni même en être désireux

Et l’orgasme n’est plus là au rendez-vous du tout,

Devient une sorte de souvenir,  non un plaisir fou.

Foin  des pénétrations ; même chose  des caresses,

Qui feront  le lit des amours, basés sur la tendresse.

Est-ce plus facile, naturel, pour la femme, l’homme,

Vivre ensemble  sans se toucher, indifférent comme.

Nécessités économiques et/ou liens  avec les enfants,

Font  arrangements de toutes natures  et sans heurts,

Lors chacun peut avoir  vraie vie, amoureuse, ailleurs,

S’il souhaite en sauvant la face d’un couple… s’aimant.

Vie  amoureuse, plénitude sexuelle, à quatre-vingt ans,

Est tout à fait possible, et plus fréquente qu’on ne croit

Certains jettent l’éponge, à cinquante, si ce n’est trente,

D’autres sont insatiables, à en devenir presque pervers.

Que des lois ou aucune dictent comportements sexuels,

Certains ont besoin d’être amoureux pour les pratiquer,

Et d’autres, surtout pas, par peur de trop… s’y attacher,

Quand amour, sexe, ne se conjuguent, c’est  compliqué.

Le sexe est comme argent, un moyen, et non fin, en soi

L’intimité est plus rapprochée, au plus profond  de soi,

C’est le cerveau  qui importe, et, plus encore, la pensée

Et là, aucun sexe, ne peut ni la recevoir ni la pénétrer.

Que  de  femmes  attendent, de l’homme, le sentiment

D’affection, et quand il demande  de passer à l’action,

Se retirent, s’éloignent en négociant une belle amitié,

Que l’homme prendra pour le refus de tout partager :

Pour ne pas perdre, certaines finissent par consentir.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une  pelle,  un  flacon,

Ou une brosse à cheveux

Et pourquoi pas un balai 

Pour ramasser poussières ?

.

1025 4

.

Du balai, plus besoin à la maison :

 Bon débarras :

Du sexe, non ; de la propreté sur soi

Et sa conscience, oui.

 .

Symbolique

 .

Si  le  balai

Est     associé

Au nettoyage,

Il est tout aussi

 Bien associé à la

Purification et à l’épuration

Spirituelles. Un nettoyage spirituel

En quelque sorte, une purification de soi

 Et  des lieux  sacrés. En plus de  servir à la

 Purification des lieux, il peut tout aussi bien

Servir à les protéger : il est, parfois,  associé

À symbolique sexuelle  dans nombre de textes  

Et de légendes plusieurs coutumes folkloriques

Comportant  un  balai   peuvent  se  rattacher  

À  un  contexte  que  l’on fantasmera  sexuel.

lailaseshat2.canalblog.com/archives/2008

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1025 6

.

Du balai, plus besoin de cela à la maison :

Bon débarras :

Du sexe, non ; de la propreté sur soi

Et sa conscience, oui.

 .

Symbolique 

 .

Il est clair que les hommes

Sont des mammifères complexes.

L’excitation  sexuelle  n’est  pas

Uniquement liée à des stimuli

Sensoriels du sexe et ne

Conduit pas forcément

À l’acte sexuel sans

Intervention des pensées

Et des émotions (heureusement).

 

Quant aux fondements de l’excitation

Sexuelle chez la femme, tout reste à faire

Et alors, on pariera, aisément, que

C’est encore plus compliqué…

doctissimo.fr/html/sante/mag_

2000…/cerveau/sexe

 .

 

.

Fond/forme 

 .

Tout ce qui aura rapport au sexe, du balai.

Facile à dire, pour un temps, mais toujours :

Comment s’en priver sans perdre aussi amour,

Car si frigide, sans orgasme, le cœur n’y est plus

Il reste la tendresse, les caresses et câlins appuyés

Et la libido, comme chacun le sait, peut se sublimer,

En d’autres jeux, d’autres œuvres, passions nouvelles,

Et ainsi revenir vers de nouvelles dispositions sexuelles

Au lieu de s’affronter à une impuissance, s’en affranchir

En la contournant, en la réinventant, en la ré-energisant.

 .

Textuels et illustrations   >>

1024 – Des hommes préoccupés par besoin du sexe

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Tandis que les hommes demeureraient préoccupés

En permanence, suite aux besoins de leurs sexes,

Leur montant, à la gorge,  tant que le désir agit,

Sur le feu, comme par un vrai soufflet de forge.

Les femmes y pensent aussi, mais en pointillé,

Elles le font même parfois entre parenthèses,

Tant qu’elles portent leur cœur, en filigrane,

Question de différence, voire, de sensibilité.

.

Côté sexe, cœur : mondes,  comportements,

Évoluent peu  même s’il arrive que les rôles

Sont, alternativement, égalitaires, inversés

«L’homme propose, et, la femme dispose »,

Dit le proverbe se traduisant pour certains

«L’homme s’impose, la femme prédispose»

Ou en se travestissant, pour les derniers.

«L’homme s’oppose, femme l’indispose».

.

À chacun de choisir formule consacrée.

On dit que le désir aurait  ceci de vrai

Qu’il se tarirait dès qu’il est satisfait,

Ou que son absence, nous  permet,

De penser ou de faire  autre chose,

Sinon serions pire … qu’animaux,

.

Tant le désir de partager son âme,

N’a pas toujours  à voir avec sexe

L’on n’est pas une femme, en soi,

On ne le devient qu’à chaque fois

Qu’un homme aimant vous honore

Avec l’espoir de le séduire  encore !

.

Il est à la fois sujet, cause  et prétexte,

Sujet, si l’on va jusqu’à  vivre ensemble,

Cause, si l’on en fait son perpétuel amant,

Prétexte si on le tient pour ami d’un jour !

Et c’est alors qu’on peut livrer son corps

À un vivant, soit un  amant, ami, partenaire,

Tout en gardant mais  virtuellement, son  âme,

Pour un mort, amour disparu, un mari décédé.

.

Pour l’homme il n’y a  pas de partage de l’âme

Sans celui du corps tant c’est « à corps perdu »,

Qu’il tente de l’atteindre  en chœur, en flammes.

Pour la femme, il n’y a  pas  de partage  du corps,

Sans celui de l’âme  c’est   «la mort dans l’âme»

Qu’elle fait mine se   livrer      en se réservant,

À  l’homme élu pour le reste de sa vie.

.

Mais voilà mari de tous les jours

Ne serait pas  l’ami  de  toujours

Connu ou  non  depuis  l’enfance,

Avec qui on fait amour en cachette

Lieux secrets, et temps : bien gardés.

.

Extensions

 .

Méandres, arabesques et circonvolutions,

Me direz-vous, et vous n’auriez pas tort.

Toutefois, si les hommes et les femmes

Étaient toujours même longueur d’onde

Lorsqu’ils feraient l’amour, cela se saurait,

Et cela se dirait et cela nous réconforterait !

Il n’en est rien, rarement, temporairement,

Dans cette fusion consubstantielle qui n’a

Rien à voir avec aucun ciel, même de lit.

Il faut donc se rendre à une évidence,

Certes discutable et disputable :

Nous ne sommes pas faits

Pour bien nous entendre,

Nous y sommes contraints

Pour l’équilibre de la Nature

Et son renouvellement et pour

Le bien de la société, l’humanité.

Cela dit, rien ne vous empêche de

Vivre seul, en égoïste …  heureux.

.

Le vin est lié au sexe, à la sensualité, la convivialité :

Il a ce pouvoir de libérer les peurs, appréhensions

Face à l’autre, partenaire potentiel en séduction

Oui mais attention à ne pas dépasser la dose

Parce qu’après, on n’est plus qui propose,

Mais qui trop ose, impose, ou suppose,

Et parfois même s’endort au lieu de…

.

Dieu merci les hommes d’aujourd’hui

Connaitra mieux le désir d’une femme,

Qu’au siècle dernier, siècles précédents

Et cela lui permet de mieux s’y ajuster.

.

C’en serait fini des unions à la hussarde

Où la femme ressent union  proche viol,

Tendresse, préliminaire, a droit de cité,

On attend l’autre, pour l’accompagner !

.

Sinon y a qu’aller de défouler au bordel,

Où aucun acte porno ne satisfait couple.

.

Fragments

.

Un long col de cygne et un  réservoir

On croirait une matrice de la femme :

Lors il s’agit là d’image approximative,

Forme évoque fond sans s’y confondre.

.

Le sexe,  en carafe,  ferait problème :

La libido est essentielle  à  l’existence

Celle des hommes  …  en particulier,

Tant ils ne sauraient …  s’en passer !

.

Carafe symbole féminin qui promet

Fécondité, richesse à moyen terme.

Encore faut-il qu’elle soit féconde !

.

Carafe pleine, annonce  de  la joie,

Grâce à des événements agréables

Qui vous donnent force et vigueur.

.

Carafe vide, évoquera des abandons,

Frustrations et autres désagréments,

Qui vous donne une mauvaise humeur

.

Certains hommes boivent un verre de vin

Voire d’alcool, pour mieux passer à l’acte,

Sexe et vin, deviendront unis par un pacte

Qui rendrait tous les accouplements divins.

.

Mais attention, trop de vin, affecterait le sexe,

On ne peut plus bander, carrément débandant :

Heure n’est plus de se vanter être sans complexe

On ne sortirait plus des galipettes en triomphant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Tandis que les hommes demeureraient préoccupés

En permanence, suite aux besoins de leurs sexes,

Leur montant, à la gorge,  tant que le désir agit,

Sur le feu, comme par un vrai soufflet de forge.

Les femmes y pensent aussi, mais en pointillé,

Elles le font même parfois entre parenthèses,

Tant qu’elles portent leur cœur, en filigrane,

Question de différence, voire, de sensibilité.

Côté sexe, cœur : mondes,  comportements,

Évoluent peu  même s’il arrive que les rôles

Sont, alternativement, égalitaires, inversés

«L’homme propose, et, la femme dispose »,

Dit le proverbe se traduisant pour certains

«L’homme s’impose, la femme prédispose»

Ou en se travestissant, pour les derniers.

«L’homme s’oppose ; femme l’indispose».

À chacun de choisir formule  consacrée.

L’on dit que le désir aurait  ceci de vrai

Qu’il se tarirait dès qu’il est  D  satisfait,

Ou que son absence, nous      E   permet,

De penser ou de faire autre     S     chose,

Sinon serions pire…qu’ani        *    maux,

Tant le désir de partager son     H      âme,

N’a pas toujours à voir avec        O       sexe

L’on n’est pas une femme en        M        soi,

On ne le devient qu’à chaque       M         fois

Qu’un homme aimant vous          E     honore

Avec l’espoir de le séduire            S       encore !

Il est à la fois sujet, cause          *      et prétexte,

Sujet, si l’on va jusqu’à          P     vivre ensemble,

Cause, si l’on en fait son       R         perpétuel amant,

Prétexte si on le tient        É            pour ami d’un jour !

Et c’est alors qu’on           O                   peut livrer son corps

À un vivant, soit un           C                   amant, ami, partenaire,

Tout en gardant mais          C                       virtuellement, son  âme,

Pour un mort, amour           U                     disparu, un mari décédé.

Pour l’homme il n’y a             P                      pas de partage de l’âme

Sans celui du corps tant        É                     c’est « à corps perdu »,

Qu’il tente de l’atteindre         S                   en chœur, en flammes.

Pour la femme, il n’y a    Q    pas     L      de partage  du corps,

Sans celui de l’âme       U     c’est     E  «la mort dans l’âme»

Qu’elle fait mine se   E      livrer      *        en se réservant,

À  l’homme élu      *      pour le    S    reste de sa vie.

Oui mais voilà   P     mari de   E   tous les jours

Ne serait pas    A   l’ami de  X         toujours

Connu ou non  R  depuis  E      l’enfance,

Avec qui on fait l’amour en cachette

Lieu secret, temps : bien gardés.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Vase avec un col

Et une anse, servant

 Probablement pour le vin 

Appelée généralement carafe ?

.

1024 4

.

Pour certains, il n’y aurait nul

Besoin d’une carafe pour baiser.

Bien que le vin comme chacun sait,  

Excite  esprit  et  voire  sa  bestialité.

Symbolique 

 .

Toute  carafe 

Est plus que

 Bouteille,

Car on a pris

La peine d’y transvaser

Liquide,  précieux  liquide

 Qui  méritait   un contenant

À sa hauteur  et  est symbole

Féminin  promettant fécondité,

Richesse  à court,  moyen  terme.

Encore faut-il  qu’elle  soit pleine !

Elle annonce des joies,  événements

 Agréables rendant force et vigueur.

L’expression   «Rester en carafe»

Renvoie aussi  à interprétation

De la carafe vide,  abandons,

Frustrations, arrêts dus

Aux          oublis.

wikireve.fr/dir/4446-carafe

 

.

Fond

 .

Évocation 

.

1024 6

.

Pour certains, il n’y aurait nul

Besoin d’une carafe pour baiser.

Le vin, comme chacun sait, excite

Son esprit et voire sa bestialité.

.

Symbolique

..

Le  vin  est  une  boisson

Alcoolisée  obtenue  par  la

 Fermentation raisin, symbolise :

Ivresse, plaisir,  folie,  convivialité.

Mythologie grecque, le vin est associé

À Dionysos, l’équivalent de Bacchus

Dans   la   mythologie    romaine,

Le vin fait partie des symboles

 De la Culture française,

Au même titre que

La  baguette   ou

Il   représente  l’art

De vivre à la française en Monde.

1001symboles.net/symbole/sens-de-vin

.

.

Fond/forme 

 .

À confondre

L’amour du vin,

Et le vin de l’amour,

Trop saoul, l’on devient,

À en être dépendant des deux.

On peut se passer de l’un, l’autre,

Et même de deux, sobriété, chasteté,

Mais toute sublimation a ses limites

À quoi bon la vie si l’on en profite !

Vaut-il mieux finir toute carafe,

Que d’y rester prendre baffe :

Le sexe débande lors saoul,

Le vin, à terre, vous roule.

.

 Textuels et illustrations  >>

.

1023 – Grain de sable fait grincer le corps et l’âme

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Grain de sable : rien, peu de chose

Placé  au  mauvais  endroit, il s’oppose.

Grain de sable ferait grincer corps et âme.

.

Car nous  sommes des organismes complexes

Bien huilées : multiples rouages sophistiqués,

À se demander si ça fonctionne sans déraper

De près on voit qu’il peut   être différent.

.

Machine humaine, en dépit des faiblesses,

Fragilités, est comme un sommet de l’art

Dont on ne sait quel artiste l’a signé.

.

On dit qu’il l’a fait à son image

Ou en premier brouillon raté.

Impossible de voir créateur

Et impossible de l’y mettre.

.

Cette merveilleuse machine

Depuis  l’aube  de l’Humanité,

Peut être … rapidement… entravée,

Voire perturbé par dysfonctionnements,

Effet papillon  contamine  tous  les  organes

Et produira une grande quantité de maladies.

.

On pourrait croire, que ce grain de sable n’affecte

Que le corps : il conditionne aussi humeur de l’esprit

Paix de l’âme par un je ne sais quoi d’atmosphère

Mais qui devient vite très insupportable.

.

Irritation des corps, irritation d’esprits

Peinant à comprendre ce qui se passe

Produisent anticorps pour limiter, voire

Circonscrire  l’étendue de telle hémorragie

Autant de signaux d’alerte clignotant partout.

.

Alors que les molécules immunitaires  endiguent

Épidémie dans bon nombre organes, déjà grippés,

En aggravant encore plus détérioration des voisins.

.

D’où provient, grain de sable endogène  ou exogène,

Était-il là, tapi, dans  un  coin,  sur son  petit  terrain,

En attendant que la machine ralentisse afin de monter

Dans le train, ou alors vient-il  d’une substance inhalée,

Ingurgitée et dont le corps ne peut guère se débarrasser.

.

Extensions

 

Il vient de conjonction des deux

Ou de facteur génétique : la médecine

N’a pas qu’un seul modèle de fonctionnement

De notre organisme, comme l’ont les physiciens

Pour l’atome, particule, ou matière.

Ce grain de sable est d’autant méchant,

Qu’il est invisible et on en prouve l’existence

Qu’au travers des traces ou des marqueurs.

.

Lors il n’y a pas de symptômes cliniques,

Spécifiques, évidents, diagnostiqués,

Isoler puis globaliser est un travail préalable

À la mise en œuvre de la moindre thérapeutique

Si l’on veut qu’elle soit efficace, corresponde

Au phénotype et caractère du malade.

.

Un grain de sable dans l’âme :

Comment cela est rendu possible

L’âme étant par définition, dépourvue

De la moindre parcelle de matière :

Par sublimation métaphorique

Ou prise de conscience de quelque chose

Qui ne va pas alors que, partout, par ailleurs,

Notre organisme fonctionne parfaitement !

.

Le grain de sable est à prendre

Soit au sens propre en machine

Soit au sens figuré, en rouages,

D’un projet,  d’une entreprise :

Administration, généralement,

Dû à norme d’usage, modifiée.

Du grain à moudre, et encore !

.

Les détails ont parfois grande importance

Non par eux-mêmes de façon individuelle

Mais soit lors venant après un gros stress

Soit suite à une accumulation des petits,

Comme en influx nerveux : sommation,

Déclenchant un signal pour le cerveau.

.

On en a assez, on n’en veut plus, stop.

On ira pas plus loin, faut explication

Et voire suivi d’actions réparatrices.

.

Si dans les rouages d’une machine,

Il peut être bloquant et pas mortel

Il en est tout autrement, en corps,

Provoquant cancer, AVC ou autre

Maladie fonctionnant à bas bruit.

.

Fragments

.

Un grain de sable est comme un virus

Voire une bactérie, un aliment, poison :

Met les défenses immunitaires en action,

C’est la guerre aux envahisseurs étrangers.

.

Au sens propre, un grain de sable, ça mine,

Ça peut bloquer les mécanismes, machines,

On en trouve grande quantité sur les plages,

Les enfants en font des châteaux périssables

.

En hiver, des grains de neige appelés flocons

Certains, avec le grand froid, devient glaçon,

Il en faut peu  sur mains, visage, voire pieds,

Pour attraper un rhume grippe ou une toux.

.

Les enfants en font des bonhommes de neige,

Qui chacun sait dure un certain temps, fond :

Un seul grain, comme seul glaçons ne fait rien

Mais des centaines, milliers, feront des dégâts.

 .

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Grain de sable : rien, peu de chose

Placé  au  mauvais  endroit, il s’oppose.

Grain de sable  ferait grincer, corps et âme.

  Car nous    sommes des organismes   complexes

Bien  huilées *   multiples rouages   * sophistiqués.

À se demander *   si ça fonctionne  *  sans déraper :

De près on voit   *     qu’il peut    *    être différent.

Machine humaine  * en dépit *    des faiblesses,

Fragilités, est  comme  *  un sommet  de l’art

Dont on ne sait quel artiste l’aura signé.

On dit qu’il l’a fait à son image

Ou en premier brouillon raté.

Impossible de voir créateur

Et impossible de l’y mettre.

.

*************************

*************************

.

Cette merveilleuse machine

Depuis l’aube  de l’humanité,

Peut être… rapidement…entravée,

Voire perturbé par dysfonctionnements,

Effet papillon contami   G   ne tous les organes

Et il produira une grande   R    quantité de maladies.

On pourrait croire, que ce    A    grain de sable n’affecte

Que le corps, il conditionne    I     aussi humeur de l’esprit

Paix de l’âme par un je ne   N   sais quoi d’atmosphère

Mais qui devient vite    *    très insupportable.

Irritation des corps,     D   irritation d’esprits

Peinant à compren     E  dre ce qui se passe

Produisent anticorps   *    pour limiter, voire

Circonscrire  l’étendue   S   de telle hémorragie

Autant de signaux d’aller  A   te clignotant partout.

Alors que les molécules im B    munitaires endiguent

Épidémie dans bon nombre L     organes,  déjà grippés,

En aggravant encore plus dé E     térioration des voisins.

D’où provient, grain de sable *        endogène ou exogène,

Était-il là, tapi, dans un coin  F           sur son petit terrain,

En attendant que la machine  A    ralentisse afin de monter

Dans le train, ou alors vient-il  I      d’une substance inhalée,

Ingurgitée et dont le corps ne  T   peut guère se débarrasser.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un ourson, en chocolat

Ou un pion  sur un échiquier,

Bonhomme château de sable

Ou  un  bonhomme de neige ?

.

1023 4

.

Le grain de sable, ici,

Est que la température fait fondre

Un bonhomme de neige

Qui avait l’air pourtant bien éternel.

Rien à voir  avec  un grain  de sable,

Ni avec autre sorte de grain, d’ailleurs

On est là, totalement, en autre domaine,

Tant et si bien que forme et fond diffèrent.

.

Symbolique 

 .

Quoi de plus banal

Qu’un château de sable

Sur une plage ! D’une pelle et d’un seau,

Les enfants s’amusent à construire

D’improbables forteresses aux multiples tourelles.

 .

Le sable humide est modelé, tassé, lissé.

Il faut l’arroser pour qu’il ne sèche pas trop vite.

La marée montante envahit les douves.

 .

À peine terminé, le château est détruit

Par les vagues et bientôt il ne reste

Que des ruines amollies ou rien du tout,

Selon la marée.  Nostalgiques de l’enfance,

Des adultes continuent à jouer avec le sable

Mais ils ne se limitent plus aux châteaux.

archeologue.over-blog.com/article-19323066

.

.

Fond

.

Évocation

.

1023 6

.

Le grain de sable, ici,

Est que la température fait fondre

Ce bonhomme de neige

Qui avait l’air pourtant bien éternel

 .

Symbolique 

 .

La

Construction

D’un bonhomme

De   neige  est

Est un loisir

 Pour enfants

Et adultes, souvent, pratiqué

Lors des périodes  de l’année où

Neige est disponible en abondance.

Dans la culture occidentale, et dans

L’hémisphère Nord, le bonhomme

De neige est un symbole associé

À  Noël   et   à   l’hiver.

Au  Japon,  on  a  plus

Tendance à  mettre un seau

Retourné sur tête de bonhomme

De neige en guise de chapeau.

Source : wikipedia/Bonhomme_de_neige

 .

.

Fond/forme 

 .

Château de sable, l’été, sur une plage,

Bonhomme de neige, l’hiver, sur place,

L’enfant joue en s’amusant à construire,

Avec les matériaux, fonction de saisons :

Au printemps, c’est bourgeon qui pousse,

En automne ce sont feuilles qui tombent.

Toute l’année il joue dans le bac à sable

Qui abrite balançoires et toboggans ! 

.

Textuels et illustrations  >>

1022 – Etre quinze jours à moitié malade, c’est long

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

J’ai  été à moitié-malade ….. pendant quinze jours :

À moitié, car, en vérité, je ne me suis jamais alité !

.

 Avec écriture, ménage, bricolage  et  même voyage,

Un peu ralenti ou beaucoup  gêné, tout de même,

Heureux de retrouver  la  santé, tonus  habituel.

.

Le temps se distord  en charpie,  mal en point,

Car là, j’ai senti se profiler  ce que sera la fin,

Si cela continuait ainsi des mois entiers.

.

Voilà, ça a commencé par légère fièvre

Suite coup de froid  Fête de la Science

Front  fiévreux  et   un mal  de crane.

.

J’ai pris quelques cachets d’aspirine

Mais,  le  virus  s’en est  bien  sorti,

En se transformant en un rhume.

.

Médicament n’a eu aucun effet

À part provoquer une laryngite

Allant à mon extinction de voix.

.

 Autre médication, transformation,

Mais, cette fois ce seront les bronches,

Se mettant à tousser par quintes successives

À me réveiller la nuit et m’empêcher de dormir.

.

Chacun sait que, quand le sommeil n’est pas bon,

Récupération ne se fait pas, c’est un cercle vicieux

Et qui l’emporte, largement,  sur le cercle vertueux.

.

Je commençais à aller mieux, à la fin de la semaine,

Et voilà qu’un voyage, dans la famille dans le Nord,

Lors changeant d’air, ou changeant d’alimentation,

Je me donne un mal à l’estomac, et  qui m’éreinte !

.

À la fin, mon estomac a produit des borborygmes,

Je me dis alors que le virus s’en est allé, ailleurs !

Mais, voilà qu’à peine, de retour,  en la maison.

.

Une diarrhée, carabinée,  suivie vomissement

De repas me torde de spasmes insoutenables.

.

Aujourd’hui,  quinze jours  après le début,

C’est fini : j’aurai été visité  par bon virus,

Du haut du crane jusqu’au fondement.

 .

Extensions

 .

Pour une vaccination complète,

C’en est une si tous les organes

Ont  été  concerné : nez, gorge,

Poumons, cœur, estomac, foie,

Reins, intestin …  et j’en passe.

.

Chacun sait que l’on appréciera

Bien mieux, encore, la santé à la

Sortie d’une très  longue maladie !

.

Il m’est parfois arrivé d’être à moitié

Malade pendant un jour ou deux mais

Rarement quinze jours durant avec cette

Panoplie de symptômes : serait-ce une

Des marques du commencement

De la vieillesse ou simplement

Check-up auto-immune du

Corps entier pour mieux

Me préparer pour l’hiver à venir :

Travailler dans un tel état est pénible

Et écrire en devient aussi très fatigant.

.

La durée est une donnée importance dans toute maladie

Une grippe  ou un rhume, dure une semaine, en général :

Si c’est le double ou d’avantage,  il faudra médicamenter :

Il vaut mieux prendre un traitement préventif que curatif

Depuis dix ans, la moyenne se situe  à 350 morts  par an.

.

Je ne suis pas souvent malade

Je l’ai été enfant, lors cela à dû

Fortifier défenses immunitaires

Je ne m’en plains pas, c’est sûr.

.

Il m’arrive d’être comme grippe,

En dépit d’un vaccin administré,

De ce fait, je la subis moins forte,

Vaccin protège du mauvais sort !

.

Gens bien portants  sont malades

Qui s’ignorent et je le croirai bien

Comme Jules Romains, en Knock,

Il vaut mieux prévenir que guérir.

.

Fragments

.

Un  jour, deux jours, trois jours,

À moitié malade … c’est embêtant

Mais quinze,  ça devient inquiétant,

On compte les heures, les nuits, jours.

.

On se dit qu’il ne faut pas oublier de boire

On met un pichet et une verre à côté de soi

Sinon l’on risque de devenir comme cruche,

Prendre un cachet, de toute façon, il en faut !

.

On hésite à se médicamenter jusqu’à outrance,

On ne sait de quoi, il s’agit, met tout en balance,

En voilier trousse de secours n’est pas pharmacie

Il vaut mieux compter sur repos et des expédients.

.

Et au final, il ne s’agirait que d’un rhume, carabiné,

Procurant un mal de crâne comme je ne vois dit pas

Je me suis cru guéri au bout d’une semaine, normal :

Suis sorti prendre l’air, courant d’air : rhume reparti.

.

Moralité, si l’on se prépare à faire une longue croisière,

Il faut penser avant à sa santé, se reposer suffisamment,

En mer, le vent passant du chaud au froid, vous fragilise,

Un simple quart, mal protégé et vous êtes moitié malade.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

J’ai  été à moitié-malade ….. pendant quinze jours :

À moitié, car, en vérité, je ne me suis jamais alité !

 Avec écriture, ménage, bricolage  et  même voyage,

Un peu ralenti ou beaucoup  gêné, tout de même,

Heureux de retrouver  la  santé, tonus  habituel.

Le temps se distord  en charpie,  mal en point,

Car là, j’ai senti se profiler  ce que sera la fin,

Si cela continuait ainsi  L  des mois entiers.

Voilà, ça a commencé O   par légère fièvre

Suite coup de froid  N Fête de la Science

Front fiévreux  et  G  un mal de crane,

J’ai pris quelques cachets d’aspirine

Mais, le virus s’en est     bien sorti,

En se transformant  en  un rhume.

.

Médicament n’a eu   Q    aucun effet

À part provoquer     U      une laryngite

Allant à mon extin     I              ction de voix.

 Autre médication,       N                transformation,

Mais, cette fois ce                      seront les bronches,

Se mettant à tousser       E          par quintes successives

À me réveiller la nuit          *         et m’empêcher de dormir

Chacun sait que, quand        J         le sommeil n’est pas bon,

Récupération ne se fait pas      O             c’est un cercle vicieux

Et qui l’emporte, largement,      U            sur le cercle vertueux.

Je commençais à aller mieux,       R          à la fin de la semaine,

Et voilà qu’un voyage, dans la fa       S          mille dans le Nord,

Lors changeant d’air, ou changeant     *             d’alimentation,

Je me donne un mal à l’estomac, et     M          qui m’éreinte !

À la fin, mon estomac a produit des    A          borborygmes,

Je me dis alors que le virus s’en est    L         allé, ailleurs !

Mais, voilà qu’à peine, de retour,    A       en la maison,

Une diarrhée, carabinée, suivie    D      vomissement

De repas me torde de spasmes  E   insoutenables.

Aujourd’hui,  quinze jours    *   après le début,

C’est fini : j’aurai été visité   par bon virus,

Du haut du crane jusqu’au fondement.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

On aura beau boire, en ce pichet

Toutes sortes de potions magiques

Quand l’on est  pris  par  un virus

Y a que médicament patience !

.

1022 4

.

Un gros pichet d’eau miraculeuse,

En flacon, médicamentée :

Ça ne m’a pas guéri mais ça a

Empêché d’autres complications.

Que  peut  bien  faire  un  pichet,

Dans traitement  conte un virus

Sauf peut-être en apothicairerie

Et on est loin d’une telle époque.

 .

Symbolique

 .

En héraldique, le pichet

Est, très souvent, représenté

Avec une anse et un col verseur.

Sa  déformation  suggère  l’étain.

.

Aujourd’hui, les fabricants  français

Garantissent étains 100% alimentaire,

Usage du plomb dans leurs usines est

Totalement  interdit  depuis  1995.

.

Une cruche est un vase de terre

Ou de grès, à anse, ayant

La panse large et le col étroit.

La cruche est destinée à contenir

De l’eau voire parfois même du vin.

Source : heraldie.blogspot.com/2014/

08/la-cruche-et-le-pichet

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Un gros pichet d’eau miraculeuse,

En flacon,  médicamentée :

Ça ne m’a pas guéri mais ça a

Empêcher d’autres complications.

 .

Symbolique 

 .

Les médicaments non-utilisés

Ou périmés sont à déposer en pharmacie.

Que devient-il ? Jetés dans la poubelle,

Dans l’évier ou dans les toilettes,

Les médicaments peuvent polluer

Les sols et les rivières

Car ils contiennent des principes actifs.

.

Cyclamed  valorise les Médicaments

Non Utilisés (M.N.U.) à usage humain,

Périmés ou non, dans le respect des règles

Environnementales à des fins de valorisation

Énergétique, ce qui permet d’éclairer et de

Chauffer l’équivalent de 7 000 à 8 000

Logements tout au long de l’année.

 .

.

Fond/forme 

.

Pour sûr, bien des médicaments,

Sous quelque forme  qu’ils soient,

Et administrés avec  ou  sans eau,

Aident bien à guérir des maladies

Ou, pour le moins,  empêcheront

Toutes sortes de complications.

.

Pour certaines, comme rhume

On pourra certes s’en passer

Mais avec, c’est un confort,

Qui améliore notre moral

Et dieu sait si ça compte.

.

Textuels et illustrations  >>

1021 – Etre ballotté de tous côtés, lors en un bateau

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Grosse tempête, non seulement

De progresser  où vous voulez  aller,

Mais elle vous fait peur  de sombrer.

Ça fait du bruit, ça bouge de partout,

Vent et mer, deviennent comme fou,

Même plus parler  et on ne s’entend,

Impossible modifier  le  gréement.

S’imaginer disparaitre sans trace

Devient plus fréquent et crasse

On a plus la force de penser,

En un voilier ainsi ballotté.

.

Balloté de tous côtés, en un bateau,

En bravant la tempête au vent mauvais

Je m’agrippe au mât comme à un arbre,

Pour ne pas sombrer au fond de l’océan,

Où je navigue, et à vue, et en désespéré,

De vie qui me met,  comme  en sursis !

Le moindre, mouvement, déplacement,

Me met en danger de tomber… glisser.

.

Alors que, le voilier est prêt à chavirer,

Il s’enfonce au creux de grande vague,

Et, submergé par des montagnes d’eau,

Vrille un peu sur lui-même, ou remonte,

La pente pour grimper, jusqu’à sa crête.

Le bruit assourdissant m’étreint la tête,

M’empêche de penser pour y faire face,

Demain, c’est sûr : on aura perdu  trace,

Du bateau, et de son occupant, dérouté

Par les forces des éléments, contraires,

Contre lesquels,  il ne pouvait… lutter.

.

J’aurais dû couler … dû, être, vite, noyé,

Je me demande comment j’ai échappé

À cette mort certaine, cette lutte vaine,

Tant j’avais le corps et l’âme en peine.

Ma survie me surprend, me ravit aussi

Balloté mais pas englouti, par la vague

Tueuse, venue de l’arrière  ou par côtés,

Alors même que l’esquif allait chavirer.

.

Le seul fait de m’accrocher, à mon mât,

Comme à une vraie bouée de sauvetage,

Et de ne plus bouger, pour ne pas glisser,

M’a sauvé la mise, malgré ma peur bleue.

Peur bleue devant la mer blanche en furie,

Peur bleue, devant mort, comme ennemie,

Peur bleue, devant marre, de souffrir ainsi,

Peur bleue devant mât, vibrant, en sa folie.

Balloté, et de tous côtés, dans mon bateau,

J’ai gardé les yeux ouverts sur …  les eaux,

Entre la mort et la vie, espoir au cordeau :

Que temps me préserve, se mette à beau !

.

Extensions

 .

Un roulis, augmenté d’un tangage, rend tout bateau, instable

Lors de s’accrocher au bastingage restera des plus honorables,

Tant vouloir rester et avancer droit, tient impossibilité notoire,

C’est un coup à vomir ses tripes par-dessus ou sur les…hiloires !

Se faire balloter sur un bateau est comme en mauvaise histoire :

Rien de vrai, de cohérent : un coup c’est blanc, un coup c’est noir

En bateau au moins on a un pilier central où s’accrocher, espoir.

.

Sur un voilier, on ne titube pas,

On cherche souvent bon équilibre

Lors c’est le bateau qui nous mène

Il faut s’adapter à lui, non l’inverse.

.

Auquel cas, c’est sûr, on sera balloté,

En rythmes, en contretemps, toujours,

Ce n’est pas avec la tête qu’on compense

Mais avec le corps, en acquérant réflexes.

.

Sinon, gare au mal de mer ou cognements,

Au point que l’on ne tiendra pas longtemps,

Et que l’on se dégoutera d’être sur un bateau

Qui, il faut le dire, vous mène alors en bateau.

.

Fragments

.

Lors on titube, on sera souvent

En de très mauvaises postures,

Qu’il faudra tenter  de rectifier,

Ainsi la forme évoquera le fond.

.

Dans une forte tempête, postures fixes,

N’existeront plus

Tout bouge… tout tremble … tout remue,

En soin, autour de soi

On entre dans une danse, même immobile,

Si on avance, parfois, titube.

.

Par précaution lors on bouge dans un voilier,

Une main pour soi, autre pour lui,

C’est la consigne pour ne pas se cogner, blesser

Si on ne s’attache, on aura vite compris

Que la seule danse qu’on sera en mesure de faire

Serait la danse de saint gui, en épileptique

.

Mouvements brusques, brefs, rapides, irréguliers

Désordonnés, comme les enfants trop turbulents :

En tempête, c’est l’environnement qui nous oblige :

On est balloté de tous côtés, secoué comme prunier.

.

Curieusement, c’est arrimé au ponton, arrivé au port,

Qu’on se met à titubé en marchant sur la panne, le sol

Le monde à l’envers, tout de même, si le sol se dérobe :

Et là, il n’y a plus rien à quoi s’agripper, comme saoulé.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

     .

                                   B   A   L   L   O   T   T   É,

                                    Grosse tempête, non seulement

                                     Elle vous embête et vous empêche

                                    De progresser  où vous voulez  aller,

                                  Mais elle vous fait peur  de sombrer.

                                 Ça fait du bruit, ça bouge de partout,

                                Vent et mer, deviennent comme fou,

                                 Même plus parler  et on ne s’entend,

                               Impossible modifier  le  gréement.

                               S’imaginer disparaitre sans trace

                              Devient plus fréquent et crasse

                             On a plus la force de penser,

                               En un voilier ainsi ballotté.

.

                  D  E    T O U  S    C Ô T É S,

                      Balloté de tous côtés, en un bateau,

                         En bravant la tempête au vent mauvais

                       Je m’agrippe au mât comme à un arbre,

                     Pour ne pas sombrer au fond de l’océan,

                 Où je navigue, et à vue, et en désespéré,

             De vie qui me met,  comme  en sursis !

           Le moindre, mouvement, déplacement,

     Me met en danger de tomber… glisser.

.

 Alors que, le voilier est prêt à chavirer,

Il s’enfonce au creux de grande vague,

   Et, submergé par des montagnes d’eau,

        Vrille un peu sur lui-même, ou remonte,

               La pente pour grimper, jusqu’à sa crête.

                 Le bruit assourdissant m’étreint la tête,

                  M’empêche de penser pour y faire face,

                   Demain, c’est sûr : on aura perdu  trace,

               Du bateau, et de son occupant, dérouté

            Par les forces des éléments, contraires,

        Contre lesquels,  il ne pouvait… lutter.

.

   D A N S     M O N    B A T E A U   

     J’aurais dû couler … dû, être, vite, noyé,

    Je me demande comment j’ai échappé

      À cette mort certaine, cette lutte vaine,

       Tant j’avais le corps et l’âme en peine.

           Ma survie me surprend, me ravit aussi

             Balloté mais pas englouti, par la vague

                Tueuse, venue de l’arrière  ou par côtés,

                Alors même que l’esquif allait chavirer.

.

              Le seul fait de m’accrocher, à mon mât,

             Comme à une vraie bouée de sauvetage,

          Et de ne plus bouger, pour ne pas glisser,

       M’a sauvé la mise, malgré ma peur bleue.

    Peur bleue devant la mer blanche en furie,

  Peur bleue, devant mort, comme ennemie,

 Peur bleue, devant marre, de souffrir ainsi,

Peur bleue devant mât, vibrant, en sa folie.

Balloté, et de tous côtés, dans mon bateau,

J’ai gardé les yeux ouverts sur …  les eaux,

Entre la mort et la vie, espoir au cordeau :

Que temps me préserve, se mette à beau !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

 

Une silhouette d’homme

Titubant et en ayant

Du mal à avancer 

En postures ?

.

1021 4

.

Il est très difficile de se tenir droit,

Sans tenir à quelque chose, en bateau,

Si l’on attrape la danse de saint Guy,

Postures branlantes, on titubera!

 .

Symbolique

 .

               Le terme

                      «Posture»

                    Renvoie à la

                      Réalité  du corps :

           Une  posture est

  Une     attitude,

       Une    façon  de  se tenir,

De  placer son      corps,  ses membres

Se tenir debout, pen          ché, raide, détendu,

Mais  ce sens initial est           lié    à   une    situation

Dans      laquelle  s’opère          cette   prise  d’attitude.

Exemple : lors des céré               monies de funérailles,

Il est d’usage de se tenir             debout la tête baissée,

Mains   jointes, avec  un            air triste et recueilli,

Et  qui  agirait autrement         courrait   le  risque

De se faire remarquer  en      mauvaise part.

ressources-socius.info/index.php/

lexique/21-lexique/69-posture

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1021 6

.

Il est très difficile de se tenir droit,

Sans tenir à quelque chose, en bateau,

Si on attrape la danse de saint Guy,

On ne la quittera plus, titubant !

 .

Symbolique 

.

«Je restais  à tituber  comme  je l’avais  fait 

Tout à L’heure, un pied sur le pavé plus élevé,

L’autre pied sur le  pavé le plus bas.

 .

Chaque fois            que je          refaisais rien que

Matériellement             ce pas             il me restait  inutile,

Si je réussissais,              oubliant            matinée Guermantes,

À retrouver ce que             j’avais senti           posant ainsi mes pieds

 .

De nouveau la vision           éblouissante       et indistincte, me frôlait. »

fr.wikisource.org/wiki/Page:Proust_-_Le_Temps_retrouvé

 .

 .

Fond/forme 

.

Le temps ne se retrouve pas, il est linéaire,

Il n’y a que dans le souvenir  qu’on le garde

Être déstabilisé par faux équilibre des pieds

Conduira à retrouver sensation semblable !

.

En bateau, on a sensation que  sol  échappe

Et  que  tout  est branlant, secoué, chaviré.

Au premier temps, on s’accroche, titube

Et plus avec le temps, les mouvements,

L’on s’adapte, n’y fait plus attention,

On court pour lever,  affaler voiles.

.

C’est en posant le pied sur ponton,

Que sensation déséquilibre revient

Alors que ce dernier  ne bouge pas.

Le monde à l’envers, tout de même :

Avoir le pied marin en pleine tempête

Et le pied qui dévisse sur le terre-plein !

.

Textuels et illustrations   >>

 

.

 

1020 – Tout va bien et puis tout va mal : pourquoi !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Pourquoi !

Question / réponse

Parce que ci ou bien ca

Ou parce que tout à la fois

Une goutte  a  fait déborder

Verre  de  bon  vin,   humeur

Pleine de  joie  en  main, moi.

Ce n’est  qu’un  excès  de  bile

Tiens-toi donc plus tranquille

M’aurait  dit  un  psychiatre

Ou un médecin opiniâtre.

 .

Coup de cafard, c’est sûr ;

Coup de cafard,  c’est mûr :

Si j’envoie   tout  promener,

Qu’il ne faut plus me parler.

.

Trop d’alcool, ou, mal dormi,

Trop mangé ou trop de soucis,

Trop fatigué ou trop mal aimé,

Et au petit matin trop chagrin,

Un refus de sortir trop tôt du lit

Pour aller au travail…  pas divin.

Être cajolé, faire  enfant attristé,

Etre autiste pour ne rien  écouter

Envie de tout envoyer promener,

Comme remède, voire  solution,

Rejet mari, amant, compagnon

Amour est en berne, en cocon.

.

Comme une idiote, pour de bon,

Se dire qu’horoscope  a dit non,

Qu’il faut voir un psy, attention.

.

Après la douche ça va bien déjà,

Après le café, je crois que  ça ira,

Un bon bol d’air frais et l’on y va.

.

Bon coup  de cafard, c’est l’orage

Noircissant, soudain, les nuages,

Imbibant, comme en marécages,

Le cœur, les tripes  et le cerveau,

S’emmêlent  fort,  les  pinceaux,

Ternissent  couleurs  des  eaux.

.

Finalement rencontrant autres,

Mon humeur noire, se fait rose,

Et puis s’en est allée gentiment,

Tout va bien, et puis tout va mal,

En fait, je ne sais trop, pourquoi :

Bipolaire est mon tempérament !

.

Extensions

 .

Tout va bien et puis soudain tout va mal

Quand on est, souvent, d’humeur instable,

D’humeur aimable et devenant détestable :

Il suffirait alors du moindre grain de sable

Pour tout vous gâcher.

.

À cran, à fleur de peau, comme un écorché,

À prendre  avec des pinces, avec des gants,

Prêt à vous sauter à la figure, pour autant,

Point  du  tout  mécontent : juste  stressé,

Dès qu’on sait pourquoi.

.

On est de mauvaise humeur,  ça éclaircit

Le paysage, on commence à aller mieux,

Le pire est le flou menant au marasme,

Et, parfois, même jusqu’au sarcasme.

 .

Tout va bien, tout va mal :

On passe vite du bien au mal

Comme si cela était très banal,

Bien que changement : infernal !

Ainsi va la vie, ainsi vont les choses

Tout dans la vie ne peut pas être rose

Et tout ne se termine  dans l’apothéose.

Il parait que  pour atteindre  les hauteurs,

Faut au moins une fois, avoir touché le fond.

 .

« Tout va bien, tout est sous contrôle »

Combien de fois aurai-je entendu cela,

Sans qu’il me soit possible de le vérifier,

L’important serait d’y croire, n’est-il pas.

.

Quand tout va mal, ça se sent, ça se voit,

D’avantage,  on dira : y a l’eau dans le gaz

 Pour signifier que tout ne tourne pas rond,

Il faut purger le problème pour le résoudre.

.

Quand ça va bien on a besoin de personne

On se voit confiant, énergique, autonome

Quand tout va mal : allo  maman, bobo,

Aide-moi s’il te plait, je m’en sors pas.

.

Fragments

.

Tout va bien puis tout va mal

Et peu importe de quoi il s’agit,

On veut mettre du sel dans sa vie,

Rien de plus humain, de plus normal.

.

Chacun y va, de son petit grain… de sel,

Quand on en manque, la vie devient fade,

Au point qu’elle devient du coup, maussade,

L’on n’est pas tous les jours sur une balancelle.

.

Le sel, comme chacun le sait, donnera du goût,

Aux aliments, les conserve, les préserve de tout

Mais si l’on y met trop de sel, c’est le contraire

Tout est question de dosage, non d’arbitraire.

.

De fait, le sel rend l’eau de mer, imbuvable :

Tout va bien en nageant dans son eau tiède

Tout va mal lors, soudain, on boit la tasse :

Perception de bien et mal est instantanée.

.

Il en serait ainsi, parait-il, de vie, en général,

Tout va pour le mieux en meilleur de mondes,

Et puis un détail cloche, tout va de mal en pis

Sans savoir pourquoi, on est au fond du trou !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Pour    T   quoi !

Question    O      réponse

Parce que ci    U        ou bien ca

Ou parce que      T        tout à la fois

Une goutte a         *         fait déborder

Verre de bon          V          vin,   humeur

Pleine de joie         A         en main moi.

Ce n’est qu’un        *        excès   de  bile

Tiens-toi donc      B      plus tranquille

M’aurait  dit       I     un  psychiatre

Ou un méde      E    cin opiniâtre.

N

Un coup de cafard, c’est sûr ;

Coup de cafard,  c’est mûr :

J’envoie   tout  promener,

Il ne faut plus me parler !

.

Trop d’alcool, ou, mal dormi,

Trop mangé ou trop de soucis,

Trop fatigué ou trop mal aimé,

Et au petit matin trop chagrin,

Un refus de sortir trop tôt du lit

Pour aller au travail… pas divin.

Être cajolé, faire  enfant attristé,

Etre autiste pour ne rien  écouter

Envie de tout envoyer promener,

Comme  remède, voire  solution,

Rejet mari, amant, compagnon

Amour est en berne, en cocon.

.

Comme une idiote, pour de bon,

Se dire qu’horoscope  P  a dit non,

Qu’il faut voir un psy,    U     attention.

Après la douche ça va     I     bien   déjà,

Après le café, je crois       *     que  ça ira,

Un bon bol d’air frais                V     et l’on y va.

Bon coup  de  cafard,      A    c’est l’orage

Noircissant, soudain,     *     les nuages,

Imbibant, comme en   M  marécages,

Le cœur, les tripes et   A   le cerveau,

S’emmêlent  fort, les   L   pinceaux,

Ternissent couleurs  *   des eaux.

.

Finalement rencontrant autres, humeur noire s’est faite rose

Puis s’en est allée gentiment, tout va bien, puis tout va mal :

En fait, je ne sais trop, pourquoi : c’est mon tempérament !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une tour donjon,

Ou alors une simple

Salière de cuisine

Avec du sel fin ?

.

1020 4

.

Chacun y va de son grain de sel de salière,

Et dieu sait si, sur une plaie

Moindre parcelle de sel attisera ma douleur

Jusqu’au point capital.

 .

Symbolique 

 .

Romains, la salière

Était considérée comme

Ustensile   de  culte   familial

Et les familles les plus pauvres

Tenaient à honneur de posséder

Une salière souvent en argent.

 .

La placer devant un convive,

C’était lui faire honneur.

Au Moyen-Âge la salière devient

Une importante pièce d’orfèvrerie

 .

Au XVIe siècle, première moitié,

La salière proprement dite

Est devenu un luxe princier.

 .

Elle prend aussi le nom de navette.

Avec le XVIIe siècle, elle se simplifie.

Et elle ressemblera plus à une bobine.

meubliz.com/definition/saliere

.

.

Fond

.

Évocation

.

1020 5

.

Chacun y va de son grain de sel de salière,

Dieu sait si, sur une plaie

Moindre parcelle de sel attisera ma douleur

Jusqu’au point capital.

 .

Symbolique

 .

Le sel

 Donne goût

Aux aliments et

 Il permet de bien les

Conserver.   Symbole  de

Pureté, et   de   préservation

Tout autant altération, alliance.

Il demeure  un produit  très apprécié,

 Très  consommé,   parce qu’il relève le goût

Des nourritures. Et ses vertus  de  préservation

D’aliments  étant à l’origine d’échanges importants

 Entre  civilisations  en   l’Antiquité. Et on lui  attribuait

Le   pouvoir  d’éloigner  le  mauvais  œil, mais, cependant,

 Malgré  toutes ses  qualités,  il  revêtira  aussi   une dimension

Destructrice, tant    dessèche, ronge, altère, rend l’eau imbuvable.

1001symboles.net/symbole/sens-de-sel

 .

.

Fond/forme 

 .

Le sel de la vie, désignerait

Les moments où tout va bien

Le poivre de la vie serait alors

Les moments où tout irait mal,

Est-ce une question de couleur

Sinon d’aspect et voire de goût

C’est  à chacun  d’assaisonner

Ses plats comme il l’entend.

.

Textuels et illustrations  >>

1019- Il est bien long le chemin qui mène vers toi !

 Textuels et illustrations   >>

                  .

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Long est le chemin

Qui mène, vers toi ;

Long est le chemin,

Qui nous a… réuni ;

Long est  le chemin,

Qui nous tient à vie ;

Long est  le chemin,

Qui me sépare de toi.

.

Lors nous avons tant

D’obstacles, à sauter,

Lors, nous avons tant,

D’épreuves, à … subir,

Lors, nous avons tant,

De barrières, à ouvrir,

Lors, nous avons tant,

Frontières, à franchir.

.

Que je ne suis pas sûr

D’y consentir ;

Que je ne suis pas sûr

D’y parvenir ;

Que je ne suis pas sûr,

De revenir ;

Que je ne suis pas sûr,

De  réussir.

 .

D’être sous… ton toit,

Avec    toi,

D’être sous … ton toit,

Crois-moi,

D’être sous …  ton toit,

Me  ravira,

D’être sous  …  ton toit,

Me protégera.

 .

Lors quand … j’y pense,

Mon pas s’avance ;

Alors quand …  j’y pense,

Mon cœur s’élance ;

Et lors quand …  j’y pense,

C’est ma préférence ;

Et depuis quand …  j’y pense,

C’est mon espérance.  

.

Extensions

 .

Long est le chemin… sauf, bien sûr,

En cas de coup de foudre,

En raccourci émotionnel et spirituel.

Dans la majorité des cas,

Cristallisation prend  un peu de temps,

Plus ou moins court ou long

Selon les circonstances,  les réciprocités.

En nombreux romans et films,

Ce n’est qu’après épreuves que prétendant

Accède enfin à princesse adorée.

Il y aura mille et une façons de se rencontrer

De se séduire, voire de se quitter

Mais  ceux qui ont jeté leur dévolu  sur un être

Leur étant cher auquel ils tiennent

Par-dessus tout, se font du souci  si la résistance

S’installe chez l’autre comme une

Impossibilité  sociale, et voire  un interdit sociétal.

L’amour facile, déconcerte certains :

Il faut qu’il gravisse une pente, conquiert un sommet,

Prouve à l’autre qu’ils sont prêts à tous

Les sacrifices, d’autres préfèrent s’adresser à une  agence

Pour « régler, et une fois pour toutes,

Problème de conjoint avec l’assurance de ne pas se tromper.»

.

On peut imaginer toutes sortes de chemins

Dont les uns mènent vers des lieux incertains,

D’autres s’approchent de la quête de quelqu’un,

Mais  avant de rencontrer  quelqu’un, quelqu’une

Il ne faut déjà pas se tromper de chemin, le choisir

Fonction de désirs secrets, d attentes bien formulées

Et penser à le poursuivre ensemble, la quête terminée

Sinon le chemin s’efface et ne vous laisse aucune trace

Et tout est alors à reprendre à zéro et à recommencer.

.

Suivre un chemin, déjà tracé par quelqu’un

Avant nous ou par la communauté, le société,

Ou bien construire soi-même, son propre tracé,

Reviendra-t-il finalement au même ou non point

.

Le chemin que tu me traces, celui que j’emprunte

Vont-ils ou non se rejoindre, et jusqu’à quel point,

Le chemin sera aussi à prendre en son sens figuré

Partage ou non  des valeurs, des rêves, passions

.

Qui se ressemble s’assemble, dirait un dicton,

Or il n’y a pas que le chemin pour se trouver

Aussi celui qu’on trace, parcourt ensemble

Se contentant du passé, on sera dépassé.

.

Fragments 

.

Le chemin est court, quand on a vingt ans :

On ne sait pas qui ni où mais on sait quand.

C’est tout de suite, au risque de se tromper,

L’on procède par essais-erreurs : au suivant.

.

Chemin est long lors on en a cinquante sonné,

Nombre potentiels amants, mariage ont scellé,

Il ne reste que des divorcés, veufs, ou dépités :

Soi-même on prendra le temps pour s’engager.

.

Quel que soit l’âge, les opportunités, le temps,

L’essentiel est, avant, tout de pouvoir finaliser

Une union qui satisfasse, dure, projet enfants,

On oublie les autres, amours passés, dépassés.

.

Attendre le bon parti, attendre le bon moment

Serait un choix de vie, qui nous réussit ou raté

S’il vaut mieux être seul  que mal accompagné,

Comme dit un dicton, alors courons lentement.

.

Parfois le chemin se fait en deux ou trois temps,

On se mariera, une première fois et puis enfants,

Le divorce rouvrira un chemin, qui s’était arrêté,

Avec un nouveau bagage en quête de l’être aimé.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

               .                                       QU’IL EST

                                                       Long est le chemin

                                                         Qui mène, vers toi ;

                                                   Long est le chemin,

                                                Qui nous a… réuni ;

                                            Long est  le chemin,

                                       Qui nous tient à vie ;

                                Long est  le chemin,

                             Qui me sépare de toi.

.

                      LONG, LONG,

                      Lors nous avons tant

                D’obstacles, à sauter,

             Lors, nous avons tant,

         D’épreuves, à … subir,

      Lors, nous avons tant,

  De barrières, à ouvrir,

 Lors, nous avons tant,

Frontières, à franchir.

.

CHEMIN VERS TOI !  

Que je ne suis pas sûr

D’y consentir ;

Que je ne suis pas sûr

D’y parvenir ;

Que je ne suis pas sûr,

De revenir ;

Que je ne suis pas sûr,

De  réussir.

 .

D’être sous… ton toit,

Avec    toi,

D’être sous … ton toit,

Crois-moi,

D’être sous …  ton toit,

Me  ravira,

D’être sous  …  ton toit,

Me protégera.

 .

Lors quand … j’y pense,

Mon pas s’avance ;

Alors quand …  j’y pense,

Mon cœur s’élance ;

Et lors quand …  j’y pense,

C’est ma préférence ;

Et depuis quand …  j’y pense,

C’est mon espérance.  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Tracé d’un chemin

De  campagne   avec

Une courbe au milieu

Allant l’on ne sait où !  

.

1019 4

.

Un chemin, plus ou moins,

Large, droit, montant, sinueux

Dont le mérite sera de le parcourir

Par un choix de conquête incertaine !

  .

Symbolique 

.

Dans nombre de     traditions         religieuses

Ou métaphysique,       l’image         du chemin

Est d’abord symbole      de la       quête de l’Être,

 .

L’autre, l’amour          on dit que      bonheur n’est

Pas  au bout          du chemin, il est        le chemin !

 .

La marche est       sans aucun doute     une activité

Enrichissante qui     a inspirée bien       des hommes

 .

Écrivains, philoso        phes ou d’il    lustres inconnus

 Ont tous été fasciné         par sa     marche, symbolique

Par opportunité de la              réflexion qu’elle favorise.

Source : Hélène Payet

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1019 6

.

Un chemin, plus ou moins,

Large, droit, montant, sinueux

Dont le mérite sera de le parcourir

Par un choix de conquête incertaine !

.

Symbolique

.

Un choix          de     vie

Résulte de        la décision

 D’un individu        ou d’un groupe

Conf      ronté  à  une        situation  ou      à  un

Système      offrant une        ou plusieurs    options.

Le terme      «choix»         pouvant       désigner le

Processus     par le          quel cette    opération

Est me      née à        bien        résultat

De la        dite    opé      ration.

En   philo                      sophie,

La question            de savoir

Si un individu         effectue

Des choix  libre        ment  ou

Est déterminé       renvoie au

Problème de        l’existence

Ou non du    libre arbitre.

Wikipédia : choix de vie

 .

.

.

Fond/forme 

 .

Le chemin que l’on se tracera

Est parfois le bon ou mauvais,

Et il est fait d’embranchements,

Requérant, chaque fois, un choix

Qu’il faut négocier  avec conjoint,

Sinon chacun partira de son côté.

Cheminer de concert, est ce qu’il y

De mieux pour couple qui s’aiment

Côte à côte, non l’un suivant autre.

.

 Textuels et illustrations   >>

1018 – Chute en spirales du bonheur, accélération

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Une chute en spirales

On en ressent quelques effets

Quand l’on tombe dans cauchemar

Juste avant de se réveiller en sursaut

Sursaut de vie, évitement,  injonction

De son cerveau en émotion trop forte

Qui le sait qui le saura, qui le dira,

Mais bonheur, on n’y croit pas.

.

Chute en spirale dans un trou

Noir ou blanc ou en couleurs

Dont  on ne voit  pas le fond

Pour pouvoir enfin rebondir

Et retrouver le vrai bonheur

Chute en spirale  du bonheur,

Son accélération et sa hauteur,

Avant de m’affaisser, en évanoui,

En une chute qui jamais n’en finit.

.

Emotion jusqu’à la peur du trou noir

Reste ce qu’il y a de plus…troublant,

Que  l’on soit, l’ami, ou …  l’amant,

Quand l’on frôle tant,  désespoir,

Après s’être déclaré puis rejeté

Pire encore par autre ignoré.

Sur le versant du malheur :

.

Quand l’on en touche le fond,

Rien d’autre ne peut nous arriver,

Car tout nous est égal… à cette heure !

De l’un à l’autre, en dents de scie, râteau,

Voir des gens des plus laids aux plus beaux

Une spirale se transforme en cercle normal,

Où l’on maintient carré  …  d’envies vitales,

Comme  en un sanctuaire … impénétrable

Où le précieux espoir parait … désirable.

.

De toi, à moi, il n’y a que  flux d’ondes

Négatives ou positives qui s’échange

Perçu tantôt démon et tantôt ange

Fonction d’imagination  féconde,

Je suis, ou non … un réceptacle,

De ton amour   en ton cénacle.

.

Si je pouvais  changer de peau

Ou jeter très loin, mes oripeaux

Et, redevenir bien jeune et beau,

Je revendrais mon âme au diable,

Pour que tu puisses la lui racheter.

.

Car l’amour miracle, a souvent fait,

Ou vaincu, à  jamais, l’irrémédiable,

Mais mon âme  n’est pas à … vendre,

Et la tienne, pas davantage à prendre,

Car elle est juste très douce à entendre

Quand elle parvient mon cœur, fendre.

.

Extensions

 .

En la spirale d’un tel, vrai,

Bonheur, je ne crains plus rien,

Que le vertige d’une telle… hauteur.

Peut-être est-ce une chute en parachute

Dont  je le délecte, à ravir, en contemplant

Le paysage qui s’ouvre devant moi, tombant

À pleine vitesse, du ciel.

.

La spirale, comme chacun sait, évoque la chute potentielle :

Avions de combats tombaient en faisant des spirales en ciel

Aujourd’hui ils ne le font plus, pour autant il n’y a pas que

Les escaliers qu’on peut réaliser, voir, monter, en spirale.

Il y a les idées noires dans son cerveau fatigué, délirant

Et bien sûr, nos rêves de chutes, la nuit, en dormant !

Il y a aussi la spirale de la chance, plaisir, bonheur.

.

Chute brutale, en spirale, en douceur :

 Le bonheur s’en va, peu importe l’heure,

Il nous quitte à sa manière sans prévenir

Et, il pourra mettre longtemps, à revenir !

.

Si on regarde bien une spirale, on observera

Qu’une partie de la courbe semble s’approcher

D’un point fixe, tout en tournant autour  de lui,

Alors que l’autre extrémité semble s’en éloigner !

.

 Spirale infernale de mes pensées reste ma création

 Poétique se nourrissant de réalités et d’imagination,

Tournant sur elle-même, elle explore par ses lumières

Les contours réels de notre société, et de ses chimères !

.

Fragments

.

«Plus on s’élève, plus dure sera la chute»

Proverbe chinois

Je me suis élevé grâce à toi, à ton amour

Tombé, sans toi.

.

Ravi d’être en ta maison au chaud

Me voilà sans toit.

J’ai basculé jusqu’en bas de ton escalier,

En spirale, chez toi.

.

Une fois la rue, et au pied d’un lampadaire,

Je ne suis plus ton roi

J’ai repensé à ce que je t’ai fait ce que j’ai dit

Et je ne comprends pas.

.

Lampadaire réverbère en moi, autour de moi

Mon profond désarroi

En amande honorable en demandant pardon,

Pour la prochaine fois.

.

Spirale tout comme escalier, échelle, ascenseur,

Évoque sens contraires :

Plus positif en s’élevant, plus négatif en tombant

Bonheur ou bien malheur.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

LA CHUTE

Une chute en spirales

On en ressent quelques effets

Quand l’on tombe dans cauchemar

Juste avant de se réveiller en sursaut

Sursaut de vie, évitement,  injonction

De son cerveau en émotion trop forte

Qui le sait qui le saura, qui le dira,

Mais bonheur, on n’y croit pas.

Chute en spirale dans un trou

 Noir ou blanc ou en couleurs

Dont  on ne voit  pas le fond

Pour pouvoir enfin rebondir

Et retrouver le vrai bonheur

Chute en spirale  du bonheur,

Son accélération et sa hauteur,

Avant de m’affaisser, en évanoui,

En une chute qui jamais n’en finit.

Emotion jusqu’à la peur du trou noir

Reste ce qu’il y a de plus…troublant,

Que  l’on soit, l’ami, ou …  l’amant,

Quand l’on frôle tant,  désespoir,

Après s’être déclaré puis rejeté

Pire encore par autre ignoré.

Sur le versant du malheur :

EN SPIRALE

Quand l’on en touche le fond,

Rien d’autre ne peut nous arriver,

Car tout nous est égal… à cette heure !

De l’un à l’autre, en dents de scie, râteau,

Voir des gens des plus laids aux plus beaux

Une spirale se transforme en cercle normal,

Où l’on maintient carré  …  d’envies vitales,

Comme  en un sanctuaire … impénétrable

Où le précieux espoir parait … désirable.

De toi, à moi, il n’y a que  flux d’ondes

Négatives ou positives qui s’échange

Perçu tantôt démon et tantôt ange

Fonction d’imagination  féconde,

Je suis, ou non … un réceptacle,

De ton amour   en ton cénacle.

Si je pouvais  changer de peau

Ou jeter très loin, mes oripeaux

Et, redevenir bien jeune et beau,

Je revendrais mon âme au diable,

Pour que tu puisses la lui racheter,

Car l’amour miracle, a souvent fait,

Ou vaincu, à  jamais, l’irrémédiable,

Mais mon âme  n’est pas à … vendre,

Et la tienne, pas davantage à prendre,

Car elle est juste très douce à entendre

Quand elle parvient  mon cœur, fendre.

DE N’IMPORTE QUEL BONHEUR. 

.

Forme

.

.

Évocation

.

Colonne  de  soutènement  d’église

Ou tronc d’arbre un peu spiralé

Ou  pied de table en bois tourné

Ou lampadaire en fer forgé ?

.

1018 4

.

Lampadaire formant une image

Spirale, volute, courbe, sculpture  

Pour     indiquer  que   le  bonheur

Pourrait devenir plus tourmenté.

.

Symbolique 

 .

Un lampadaire extérieur

Est un dispositif d’éclairage

Placé en périphérie de voie

De circulations publiques

Et qui s’allumera le soir.

.

L’usage   des  réverbères

Date de fin du XVIII siècle,

Avant utilisation de l’électricité.

.

En 1776, les premiers  d’entre  eux

Viennent remplacer, pour  Paris, les

Lanternes éclairées par des chandelles.

L’effet réverbère, parabole de l’ivrogne

Cherchant ses clés, la nuit, en la rue.

Il sait les avoir perdues ailleurs,

Il les recherche  pourtant sous

Le réverbère car c’est le seul

Endroit éclairé de la rue.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1018 6

..

Lampadaire forment images

Spirale, volute, courbe, sculpture 

Pour indiquer que le bonheur

Pourrait devenir plus tourmenté.

.

Symbolique 

 .

La spirale, dont

La  formation           naturelle

Est très fréquente dans le règne végétal

Vigne, volubilis ; animal escargot, coquillage

Évoque l’évolution               d’une force, d’un état.

C’est un motif                        ouvert  et  optimiste :

Rien n’est plus                              facile, lorsque l’on

Est  parti                                 d’une  extrémité,  que

D’atteindre                                  l’autre, hélicoïdale,

En double volute                                 et avec cornes.

    

                                                                                  La double spirale

                                                                                  C’est    l’enroulement

                                                                                De deux serpents autour

                                                                                 D’un    caducée  de médecins.

 .

.

Fond/forme 

 .

Lampadaire, réverbère … luminaire

Vous étiez dans la lumière et le noir

Vous a gagné, surpris … agrippé !

.

Vous avez  recherché le bonheur,

Là où il n’était pas,  n’était plus,

Ou là où il ne pouvait plus être !

.

Comme pour descente aux enfers

Vous êtes tombés tout  en  travers

Et la porte s’est refermée sur vous,

Vous abandonnant en pleine misère.

 .

.

Textuels et illustrations  >>

1017 – Qui n’a pas connu de traversée du désert

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

 .

Une traversée du désert

Fera penser à une épreuve

Où l’on était seul abandonné

Sans savoir si un jour terminée

Lors certaines seront provoquées,

Par cause, par événement extérieur,

D’autres seront volontaires, décidées,

Premier semble exil, et second retraite.

Certains s’en sortent vainqueurs, aguerris,

D’autres, abimés  pour le restant de leur vie.

En  tous cas, un rendez-vous  avec  soi-même,

Où l’on se déterminera sur sa valeur suprême.

.

Qui n’a connu

De traversée

Du   désert,

En solitaire,

Au sens figuré,

Petite au grande

Courte ou longue,

Parfois  renouvelée.

Mais à quoi  cela sert,

Sinon … à se retrouver,

Avec soi-même, ses idées,

Ses projets, qui capotent,

Ses amis qui s’en vont

Et parfois sa femme

Voire son emploi :

La totale quoi !

Bien se recentrer

Après s’être dispersé

Pour revenir à l’essentiel,

Ce qui compte le plus pour soi

Après s’être fait bien coupé les ailes :

Faut dire que c’est loin d’être chose aisée.

.

Traversée est rupture

Energie provenant de soi

Pour décisions qui feront lois

Avant de se remettre au combat,

Entrainant les autres en son sillage

Jusqu’aux limites de leur partage,

S’agissant étude, emploi, amour

Ou d’art, même de politique,

Voire, tout  cela, à  la fois !

Cela  peut être  un objectif

De création ou production

Ou une affaire de relations

Tant vrai, qu’en  définitive,

Notre vie se résume à cela :

Traiter de ce qui ne va…pas.

Étayer vos valeurs profondes.

Émonder vos…accaparements.

.

Extensions

 .

Le désert, où il n’y a rien

Ou presque est l’un des lieux

Qui excitera le plus l’imaginaire,

Chez ceux qui n’ont pas de pratiques

Désert  froid, désert aride, désert chaud

Sa valeur symbolique est telle qu’elle s’est

Déclinée en nombre de domaines  qui n’ont

Rien à voir avec lui  tels que désert des idées,

Désert des sentiments,   désert des ressources

Humaines, désert des espoirs de changement

Pour eux, conduisant des électeurs sceptiques

À l’absentéisme, le traverser n’est pas y vivre,

Y compris dans ses oasis : le traverser seul,

En groupe, à pied, ou  en chameau, avec,

Sans  vivres, de jour, ou  de nuit, n’ont

Pas grand-chose  à voir  et les récits

Les plus poignants sont ceux qui

Ne sont pas  préparés, jetés là

Par accident d’avion, sans

Savoir où ils sont vers

Où ils doivent aller.

.

Une traversée du désert est toujours un défi et une épreuve

Qu’elle soit projetée, réalisée, vécue, au sens  propre et figuré.

Pour avoir connu les deux, dans ma vie, je peux en témoigner,

Mais je ne suis pas le seul et je suis prêt, avec tous, à partager.

Si  on en sort  vivant, on en sort grandi, par le sable, raffermi,

En ses projets, en ses actions, ses relations, ses coopérations

Tant le désert vous met à nu, force à essentiel en sa survie.

.

Traversée du désert correspondrait, pour moi,

Aux périodes de vie où j’ai connu des difficultés,

Qui m’auront procuré l’impression d’un abandon,

Le plus souvent, d’ordre relationnel, voire affectif.

.

Un grand moment de solitude mais sans isolement,

Sorte d’incompréhension de ce que j’étais, faisais :

Comme si j’étais en marge, original, trop différent

Attendre réussite pour être reconnu, il me fallait.

.

C’est ce que j’ai le sentiment de vivre à l’instant

Tant chaque moment où j’écris,  m’en éloigne

Et m’en rapproche de même bon an mal an,

Lors, c’est avec humour que je me soigne.

.

Fragments 

.

Traversée du désert : sens propre, figuré ?

Le second est plus fréquent que le premier,

Voilà bel exemple de métaphore, analogie :

Il n’y a rien autour de soi évoquant une vie.

.

C’est différent de se retirer, volontairement,

Dans un endroit secret, caché…  d’un désert

Qu’être contraint de le traverser totalement,

Sachant qu’on s’en sortira vivant, on espère.

.

Le désert au sens propre est multiple et varié,

De sable, d’eau, de glace, de verdure,  marais,

Tout comme au sens figuré, voire sans raison,

Sans voir personne, sans voir avenir, passion.

.

Pour certains, c’est manque de foi, de lumière

Sens de leur vie leur échappe : puits sans fond,

Tout leur semble égal,  leur vie n’a de de raison,

Autre que  de naitre  puis de mourir : cimetière.

.

Une bonne traversée du désert  parfois vous sert

À faire le point, à prendre décisions, bifurcation,

Si  elle dure longtemps, faite à moitié, rémission,

Elle n’ouvre aucune porte vers une nouvelle ère !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

QUI N’A CONNU

Une    L  traversée L  du désert

Fera   A  penser à     A    l’épreuve

Où l’   *  on était seul   *   abandonné

Sans    T  savoir si un jour   T     terminée

Lors      R   certaines sont pro    R      voquées,

Par cau   A       se,   par événement    A      extérieur,

Aut           V        res sont volontaires,      V      décidées,

Premier    E         semble exil  et second         E        retraite.

Certains    R         s’en sortent vainqueurs,         R      aguerris,

Autres,        S          abimés pour le restant de            S        leur vie.

En  tous       É           cas, un rendez-vous  avec  soi         É         -même,

Où l’on        E            se déterminera sur sa valeur su           E        prême.

DU  DÉSERT

Qui n’a connu

De traversée

Du   désert,

En solitaire,

Au sens figuré,

Petite au grande

Courte ou longue,

Parfois  renouvelée.

Mais à quoi  cela sert,

Sinon … à se retrouver,

Avec soi-même, ses idées,

Ses projets, qui capotent,

Ses amis qui s’en vont

Et parfois sa femme

Voire son emploi :

La totale quoi !

Bien se recentrer

Après s’être dispersé

Pour revenir à l’essentiel,

Ce qui compte le plus pour soi

Après s’être fait bien coupé les ailes :

Faut dire que c’est loin d’être chose aisée.

*************************

*************************

Traversée est rupture

Énergie provenant de soi

Pour décisions qui feront lois

Avant de se remettre au combat,

Entrainant les autres en son sillage

Jusqu’aux limites de leur partage,

S’agissant étude, emploi, amour

Ou d’art, même de politique,

Voire, tout  cela, à  la fois !

Cela  peut être  un objectif

De création ou production

Ou une affaire de relations

Tant vrai, qu’en  définitive,

Notre vie se résume à cela :

Traiter de ce qui ne va…pas.

Étayer vos valeurs profondes.

Émonder vos…accaparements.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une toute petite lampe de chevet

qui, allumée,  éclairera très peu

et posée sur une sorte de support, 

qui est la clé de sortie d’un désert.

.

1017 4

.

Généralement sans lumière 

Se fait sa traversée du désert

Je veux   dire, pour  se  guider,

Pour retrouver une vraie issue.

.

Symbolique 

 .

Frontières sont indécises

Entre  lumière    symbole

Et      lumière       métaphore.

Mais     la    lumière       est mise

En     relation    avec     l’obscurité.

La     lumière    succède  aux   ténèbres,

Si la   lumière  solaire   meurt chaque soir,

Elle renaît chaque matin, assimilant le destin

De l’homme  à   sa  pérennité   et   sa   puissance.

 

Les psychologues et

Analystes observent

Qu’à         l’ascension

Sont      liées images

Lumineuses,       avec

Sentiment d’euphorie,

Tandis qu’à la descente

Images   plus   sombres,

Et sentiments de crainte.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1017 6

.

Généralement  sans lumière :

Se fait sa traversée du désert

Je veux   dire, pour  se  guider,

Pour retrouver une vraie issue.

 .

Symbolique 

 .

Indifférenciation

Originelle ou bien

Encore  l’étendue

Superficielle sous

Laquelle  doit être

Cherchée  la réalité.

.

Symbolisme de la bible,

Autant terre aride, désolée,

Et  sans  habitants, le désert

Signifie, pour l’homme, le  monde

Éloigné de Dieu,  repère  des, démons,

Le lieu du châtiment d’Israël et de la tentation.

.

Traverser désert sera s’en remettre à la grâce de Dieu.

C’est pourquoi les moines du christianisme se retirent au désert

Ermites pour y affronter leur nature et celle du monde à l’aide de dieu.

 .

 .

Fond/forme 

 .

Toutes traversées d’un désert,

 Que ce soit au propre, figuré

Nous mettra dans l’ombre

Et si ce n’est  l’obscurité,

Du milieu  et la société,

Et nous met en lumière

Intérieur de nous-même

Pour faire tri, sauvegarder

Valeurs et projets essentielles

Qui méritent intérêt à nos yeux :

On revient gonflé à bloc ou déprimé.

.

Textuels et illustrations >>

1016 – Son bonheur : on ne le saurait qu’après !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

D’être heureux

Et ne pas le savoir,

Et enfin s’en apercevoir,

Lors on ne l’est plus du tout

Est le lot de nombre d’humains,

Croyant que le bonheur est que divin

.

Alors qu’il peut être des plus quotidiens

Qu’il peut être fait d’un tout, ou d’un rien.

Aujourd’hui plus que hier, moins que demain

Qu’en savons-nous si demain, il se tire, et bien !

 .

Bien étrange constat, bien mystérieux plat,

À consommer, qu’un tel bonheur qui ne dit

De nom qu’après être parti loin en catimini

Au point que certains ne le connaissent pas,

 .

Alors qu’il était sur le pas de porte, fantasmé,

Voilà qu’une fois entré,  redevenu pure réalité,

Il perd toute substance si ce n’est toute essence,

En se retournant, nous claque la porte aux sens.

.

Le monde devient terne après avoir été enflammé

De désirs que ne l’on ne pouvait sursoir à son côté,

Il en est ainsi  d’amour consommation/possession

Tant de choses, d’êtres  échappant  à nos passions.

.

Vaut-il mieux continuer à bruler qu’être consumé,

À chacun de décider s’il préfère envier  ou  goûter,

Chose, représentée, plus attractive   que sa réalité,

Et comment se satisfaire  d’un tel bonheur frustré.

.

Tel est bien le paradoxe  de l’amour  des humains

Relatif  mais à condition de ne jamais  le toucher,

Hier plus qu’aujourd’hui bien moins que demain,

Certain mais à condition de ne jamais le coucher.

.

Extensions

 .

Son bonheur : on ne le saurait qu’après

Qu’il soit passé comme un mot laissé

Par le facteur en la boite aux lettres

Ou sur notre porte comme quoi

Un message nous attend au bureau

Avec prière d’aller le quérir au plus tôt !

.

Gens sont dits, se prétendent eux-mêmes

Inaptes au bonheur et ne le recherchent même

Plus comme s’il ne les intéressait plus, ne s’en

Jugeait plus digne ou en avait été victime !

.

Ceux qui ont perdu un enfant en bas âge,

Leur conjoint, leurs parents, tout ce qui

Touche à l’affectif, à l’intime, l’émotion,

Imprime marque indélébile au bonheur.

.

Savoir  qu’on a été,   qu’on est, que l’on va

Encore bientôt être heureux est ce qui forme

Le fondement de l’espoir, même s’il s’agit d’un

Bonheur trivial, familial qui nous guérit du mal.

.

La nostalgie du bonheur est une maladie qui nous ronge le cœur,

Un supplice de Tantale et qui vous dévore le foi et la foi en l’autre.

Laissez-lui, toujours, la porte ouverte,

Il s’immiscera en vous à tout moment,

Laissez-le partir pour mieux… revenir,

Il aura besoin de prendre l’air et le bon,

Pour ne pas se sentir prisonnier d’un bon nombre de vos illusions

Qui fait que recherche forcée ferait, de vous, être le plus abscons !

.

Mon bonheur n’est plus,

Mon bonheur n’est pas,

Il s’en est allé  là-bas :

Il ne reviendra plus.

.

Est-ce moi qui l’ai fait partir

Ou lui qui s’est lassé de moi,

Je n’aurais pas su  le retenir,

 Négligence l’a mis aux abois !

.

Je fais tout pour qu’il revienne

Je fais tout pour qu’il comprenne

Qu’il pourra rester tant qu’il voudra

Sans lui je ne suis que moitié de moi !

.

Mais de regretter le bonheur que l’on avait

À rien ne servirait, bonheur dont on se gavait,

Il n’y a rien d’autre à faire qu’attendre le suivant

Accueilli comme un cadeau du ciel : bien différent.

.

Fragments

.

Le bonheur d’une rencontre

C’est avant, quand on l’attend,

L’on se fait une sorte de roman.

.

Autres le bonheur d’une rencontre

Serait dès instant  où il est présent,

Tant comme en un cocon on se sent.

.

Autres, le bonheur  d’une  rencontre

Sera bien après, quand il est absent,

Du fait, on pense à lui, tout le temps.

.

Première rencontre  ouvre  une porte,

La fin,  la ferme  avec  un claquement,

L’entre-deux, un sas  de  confinement.

.

Bonheur à venir est plein de promesse,

Bonheur passé est rempli de souvenirs,

Bonheur présent est le plus émouvant !

.

On peut voir le bonheur en fer-à-cheval

Mais ce dernier vise plutôt une chance,

Protection sur une porte de sa maison.

.

J’aurai reconnu le bonheur à son bruit

Qu’il a fait quand il a fermé… sa porte,

Jacques Prévert aurait dit, en partant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 

D’être     S  heureux

Et ne pas    O     le savoir,

Et enfin s’en     N       apercevoir,

Lors on ne l’est     *          plus du tout

Est le lot de nom      B         bre d’humains,

Croyant que le bon      O       heur est que divin

Alors qu’il peut être        N        des plus quotidiens

Qu’il peut être fait d’        H       un tout, ou d’un rien.

Aujourd’hui plus que         E    hier, moins que demain

Qu’en savons-nous si           U  demain, il se tire, et bien !

R

Bien étrange constat              *            bien mystérieux plat,

À consommer, qu’un             O           tel bonheur qui ne dit

De nom qu’après être            N            parti loin en catimini

Au point que certains            *            ne le connaissent pas,

N

Alors qu’il était sur le            E         pas de porte, fantasmé,

Voilà qu’une fois entré                 redevenu   pure   réalité,

Il perd toute substance         L        si ce n’est toute essence,

En se retournant, nous          E        claque la porte aux sens.

*

Le monde devient terne         S       après avoir été enflammé

De désirs que ne l’on ne         A     pouvait sursoir à son côté.

Il en est ainsi   d’amour          I     consommation/possession

Tant de choses, d’êtres           T      échappant à nos passions.

*

Vaut-il mieux continuer         Q       à bruler  qu’être consumé

À chacun de décider s’il          U        préfère envier  ou goûter,

Chose, représentée, plus           ‘          attractive  que sa réalité,

Et comment se satisfaire         A         d’un tel  bonheur frustré.

P

Tel est bien le paradoxe           R          de l’amour  des humains

Relatif  mais à condition          È          de ne jamais  le toucher.

Hier plus qu’aujourd’hui          S           bien moins que demain,

Certain mais à condition          !            de ne jamais le coucher.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Deux personnes très fusionnelles,

Pignon, cheminée,  d’une maison,

Deux piles d’objets avec couvercle

Ou alors une porte avec arrondi.

.

1016 4

.

Le bonheur est parfois évoqué comme

La  porte  qui se  fermerait  soudain

Et  lors, on le reconnaitra au bruit

Qu’il fait en la claquant très sec.

Le bonheur entre par une porte

Et il sort, parfois, par une autre,

En ce cas, il la forme derrière lui,

La forme  se confond avec le fond.

.

.

Symbolique 

 .

 

Les portes  

Sont   un   symbole

D’ouverture   et de passage.

Elles perm        ettent la bonne

Communi             cation     entre

Nos espa               ces intérieurs.

Une porte                   qui s’ouvre

Vers l’exté                   rieur  vous

Met en com               munication

Avec  le Mon             de,  la porte

Qui  s’ouvre        vers  l’intérieur

Est un accès à   compréhension

Plus grande,  nature profonde.

Modifié, source : Catharsis.ch

.

.

Fond

.

Évocation

.

1016 6

.

Porte-bonheur ou porte chance

 Sous la forme d’un fer-à-cheval

Qu’on cloue sur porte d’entrée

Pour attirer bonnes grâces.

.

Symbolique 

           

                                                                                 Pour plusieurs personnes,

                                                                     Suspendre un fer à cheval

                                                   Au-dessus de la porte d’entrée

                                De sa maison ou de sa grange

                     Était symbole  de chance et

            Signifiait  bonne protection

     Contre des mauvais esprits

 L’on peut  observer  encore

  Aujourd’hui un fer accroché

   En haut ou près d’une porte

       D’entrée  nombre  bâtiments.

          C’est chose certaine, même si

                Aujourd’hui, il est plutôt rare

                        De trouver le fer à cheval sur

                                La route, bijoux  décorations

                                           Mettent tous objet en valeur

                                                          Et lui accordent une chance

                                                                    Comparable  au   trèfle   à

                                                                                 Quatre  feuilles  pareilles.

                                                 L-express.ca/porte-bonheur-

                                             la-legende-du-fer-a-cheval

 .

.

Fond/forme 

 .

Le bonheur, à venir,

Bonheur  du  moment,

Celui qui vient de passer,

Ne  sont en rien, différents

Mais,  sa reconnaissance, si

Quand on l’a perdu, il manque

Drastiquement et cruellement !

.

 Textuels et illustrations  >>

1015 – T’es qui, toi, t’es quoi : fils de manant, roi !

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

 

Poème

.

Il était une fois, comme dit la chanson

Parole de troubadour en goguette

Eh, là,  t’es qui, toi … tais-toi

Tu es un fils de manant,

Pas  un  fils  de roi.

Et cela  te rend

Triste… bois.

De la noble

Nais-sance,

N’exclut   pas

Pauvre existence

Et si l’on s’en fiche,

On est quitte de jouer

Apparences de potiches.

On est riche chez pauvres

Mais pauvre chez les riches

Tant cela est vraiment relatif

Eh, là, t’es  qui,  toi,  t’es quoi :

Un fils de manant,  ou fils de roi.

.

Tu es triste, lorsque  autour de toi

On s’amuse, on rit, fait la fête quoi.

Tu n’en as pas  le cœur à chaque fois,

Tu ne te sens  aimable : c’est ton droit,

Les autres n’auront pas à subir un choix

Et, le sourire, appelle le sourire,  je crois !

.

T’as peur que bonheur file entre tes doigts,

Comme vent, eau, sable, il ne se retient pas :

Tu sais qu’une fois passé, il ne reviendras pas,

Mais, il en est de nouveaux et qui pointent déjà.

Sûr qu’il y a bien plus heureux au monde que toi.

Encore faut-il s’assurer qu’ils sont vraiment en joie

T’es-tu posé la question : qui est malheureux en soi,

Celui qui n’a qu’espérance, que lendemain, pourvoit.

.

Tout est relatif on peut être un pauvre chez les riches

Et un riche  chez les pauvres, qui n’auront  pas miche,

Qui te feront la manche,  pour manger  leur sandwich,

Et, de penser  à eux, empêcherait  que tu pleurniches !

Mais non, rien n’y fait, car, tu te sens, bête, incompris,

Pour supporter les autres, tu aurais besoin de hachich,

D’anxiolytiques, de psychotropes,  avec qui, tu affiches,

Un air, venu d’ailleurs et qui te fait tourner… derviche.

.

De moi, personnellement, je  sens, que  tu  t’en  fiches !

Je voudrais  t’aider, mais, tu ne  bouges plus : potiche :

Alors que  tu pourrais,  gambader, avec moi : pouliche !

Tu n’y consens pas, alors que  moi, je te disais : chiche !

Je ne sais que te dire, ni te faire, tandis que je pastiche,

Sinon que te faire rire avec mes vilains vers acrostiches,

Pour toi, je voudrais cultiver  une terre, laissée en friche,

Qui produirait fleur authentique, parce qu’elle ne triche.

 .

Extensions

 

Je ne suis ni fils de manant, ni fils de roi :

Homme simplement, j’ai la vie devant moi,

Pour garantir, pour chérir  et pour réussir

La tienne, qui sera aussi la mienne, pour

Peu que tu y tiennes et pour peu qu’on

La construise, ensemble, et en dépit

D’évènements nous déconcertant,

Nous séparant pour un instant.

 .

Un fils de manant peut un jour devenir le roi de quelque chose.

Un destin ne sera pas rémanent, de père en fils, tout le temps,

Faut juste avoir du courage  et  de la ténacité  et  sans pause,

Faut saisir les bonnes opportunités, sentir le bon vent passer,

Sinon on risque de passer sa vie à nourrir, soigner les cochons

Ça n’empêche pas être heureux mais ça réduit toute possibilité

D’évoluer, de progresser, de faire autres expériences souhaitées.

Il n’y a pas qu’une différence d’égalités,

Entre riches et pauvres : de possibilités !

.

La possibilité de devenir tout autre chose,

Pour un riche, tient avant tout à son statut

Il a de l’argent, des relations et quand il ose,

Et ne réussit pas, il pourra revenir en arrière.

.

La possibilité pour un pauvre, est très limitée,

Aucune porte  ne lui sera ouverte, sans  appuis,

Il a peu d’argent, de relations  et quand il osera,

S’il se plante, il risquera de se retrouver à la rue.

.

Il a pour honneur que sa réussite tient avant tout

À lui, à son travail,  son efficience et son efficacité.

.

Fragments

.

Il n’y a pas si longtemps

Fils de paysan

Équivalait,  en péjoratif,

Fils de manant

.

Et même s’il était riche,

Mais non noble,

Il aurait préféré naitre

De sang royal

Plutôt qu’être roturier.

.

Rois boivent dans un verre

En cristal ou métal

Manants boivent en chope

En glaise ou en bois.

.

Révolution, tous se mettront

À boire en des verres

De formes très différenciées

Mais tous bien fragiles

Cassant dès qu’ils tombent !

.

Mon verre n’est pas grand,

 mais je bois dans mon verre,

.

On peut se dire, cela me suffit,

Ou en boire plusieurs, de suite,

.

Boire  dans  un très grand verre,

Est étalé sa richesse,   voir grand,

.

Et puis de toute façon, le contenant,

Compte moins que tous les contenus.

.

Manant ou roi, chacun boit et mange.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

T’ES QUI, TOI :

Il était une fois, comme dit la chanson

Parole de troubadour en goguette

Eh, là,  t’es qui, toi … tais-toi

Tu es un fils de manant,

Pas  un  fils  de roi.

Et cela  te rend

Triste… bois.

De la noble

Nais-sance,

N’exclut   pas

Pauvre existence

Et si l’on s’en fiche,

On est quitte de jouer

Apparences de potiches.

On est riche chez pauvres

Mais pauvre chez les riches

Tant cela est vraiment relatif

Eh, là, t’es  qui,  toi,  t’es quoi :

Un fils de manant,  ou fils de roi

Tu es triste, lorsque  autour de toi

On s’amuse, on rit, fait la fête quoi.

Tu n’en as pas  le cœur à chaque fois,

Tu ne te sens  aimable : c’est ton droit,

Les autres n’auront pas à subir un choix

Et, le sourire, appelle le sourire,  je crois !

T’as peur que bonheur file entre tes doigts,

Comme vent, eau, sable, il ne se retient pas :

Tu sais qu’une fois passé, il ne reviendras pas,

Mais, il en est de nouveaux et qui pointent déjà.

Sûr qu’il y a bien plus heureux au monde que toi.

Encore faut-il s’assurer qu’ils sont vraiment en joie

T’es-tu posé la question : qui est malheureux en soi,

Celui qui n’a qu’espérance, que lendemain, pourvoit.

FILS  DE  MANANT 

Tout est relatif on peut être un pauvre chez les riches

Et un riche  chez les pauvres, qui n’auront  pas miche,

Qui te feront la manche,  pour manger  leur sandwich,

Et, de penser  à eux, empêcherait  que tu pleurniches !

Mais non, rien n’y fait, car, tu te sens, bête, incompris,

Pour supporter les autres, tu aurais besoin de hachich,

D’anxiolytiques, de psychotropes,  avec qui, tu affiches,

Un air, venu d’ailleurs et qui te fait tourner… derviche.

OU  FILS  DE  ROI ?  

De moi, personnellement, je  sens, que  tu  t’en  fiches !

Je voudrais  t’aider, mais, tu ne  bouges plus : potiche :

Alors que  tu pourrais,  gambader, avec moi : pouliche !

Tu n’y consens pas, alors que  moi, je te disais : chiche !

Je ne sais que te dire, ni te faire, tandis que je pastiche,

Sinon que te faire rire avec mes vilains vers acrostiches,

Pour toi, je voudrais cultiver  une terre, laissée en friche,

Qui produirait fleur authentique, parce qu’elle ne triche.

.

Forme

.

Évocation 

.

Un verre à l’envers

Et avec un petit pied,

Une cravate très large

Totem pour information.

.

1015 4

.

Verre de riche ou de pauvre,

Verre à l’endroit ou à l’envers

Allez savoir …  en tous cas, fin

Ou gros, il est toujours fragile !

.

Symbolique

.

Le verre est l’un des

Pre-miers

Matériaux,

 Créé par l’homme.

Il est le symbole de la fragilité,

La finesse et la transparence :

Par  exemple,  la pantoufle  de

Verre   de    Cendrillon   utilisé

Le conte de  Charles Perrault

Dessin  animé   Walt Disney.

Il est  parfois  considéré que

Dans le vrai  conte original,

La pantoufle  était de vair,

Mais  Perrault  a  écrit  sa

Version de l’histoire  avec

Une pantoufle  de  verre

Dessin  animé reprend

Également cette idée.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

Verre de riche ou de pauvre,

Verre à l’endroit ou à l’envers

Allez savoir … en tous cas, fin

Ou gros, il est toujours fragile !

.

Symbolique 

 .

Jean-Louis Chrétien écrit :

« Le  verre  forme  le symbole

Le plus courant et le plus banal

De la fragilité, étant cela qu’on

Peut aisément briser» mais  il  ne

Faudrait pas entendre par là, que

Le verre est comme un emblème de

Toutes les choses fragiles, mais  que

«Ce symbolisme  du verre ferait  de lui

Un miroir de notre propre fragilité ».

La description de la fragilité  physique

«Du verre et de l’argile à la bulle de savon»

Trouve son sens en l’évocation de la fragilité.

cairn.info/revue-rue-descartes-2018-2-page-45.htm

 .

 .

Fond/forme 

.

Mon verre n’est pas grand

 Mais je bois dans mon verre,

Nous clame Alfred de Musset,

Mieux vaut être modeste, libre

 Que puissant  et  que dépendant

Ou  un petit,  chez soi,  est mieux

Qu’un plus grand chez les autres.

Ce n’est pas que problème de taille

Ou de quantité mais bien de qualité.

Notre  bonheur ne doit pas  dépendre

Que de bonne volonté, service d’autres.

.

Textuels et illustrations  >> 

1014 – Le bonheur est dans l’instant d’être vivant

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Le bonheur se vit

Dans … l’instant,

Bonheur se veut

D’être … vivant,

.

Il faut  savoir le

Prendre, gouter

Quand  il  passe,

Tant, disparaitre,

Tant  il ne saurait,

Des fois …    tarder !

.

Petits, grands bonheurs

Ne durent que moment,

Mais un tel moment peut

Peut durer très longtemps.

.

Le bonheur est en l’instant d’être vivant,

Ne dure que le temps de le sentir passer

Un courant d’air frais en pleine chaleur,

Courant d’air chaud en pleine fraicheur.

.

Avant même de se lever … de bon matin,

L’on projette sa journée, en mal, en bien,

L’heure qu’il est, le temps qu’il fait … fera

Où chaque moment, pour nous comptera.

.

Le bonheur est dans notre passé, souvenir,

Qu’on se remémore, avec émotions, plaisirs,

Ce n’est pas tant qu’on le vit et le reconstruit,

Mais, plutôt, qu’au temps présent, on l’associe.

.

Le bonheur est dans l’espoir  d’un futur meilleur

Qui nous motive à persévérer … aller voir  ailleurs

Si les choses reviennent  comme elles ont déjà, été,

N’ont disparu à jamais par de nouvelles remplacées.

.

Quoiqu’il en soit, qu’ils viennent du passé, ou présent,

Les petits, grands bonheurs, ne durent qu’un moment,

Savoir les détecter, savoir en profiter est art consommé,

Quoi de plus beau et de bon, que de pouvoir les partager.

.

Extensions

 

Le bonheur est

Déjà en tout instant

D’être vivant, tant dans un

«Je  suis  heureux  d’être  en  vie»,

Il y a comme un élan vers la seule chose

Qui compte pour nous pour pouvoir encore

En profiter pleinement, en bonne santé, liberté.

Il est en l’instant d’être aiment car dans un

«Je  suis  heureux  d’être  à  tes  côtés»,

Il y a comme une réassurance que

L’autre compte autant sinon plus

Que nous, nous est indispensable

À un bonheur, quotidiennement.

Ce n’est, donc pas tant, le contenu

Du bonheur qui compte que l’impression,

L’émotion qu’il procure être encore en vie,

Être  à côté de, ne sont pas  des  contenus,

Des choses  mais des états  dont on prend

Conscience   qu’ils   peuvent  disparaitre.

Disparaitre,  réapparaitre,  comme cela,

Soudainement voire brutalement, sans

Raison, cause apparente simplement

Dans le flot de l’eau, le flux du vent,

Dans le feu, la terre ou néant !

.

L’instant, le vivant, le bonheur ;

Le bonheur, l’instant,  le vivant ;

Le vivant, le bonheur,  l’instant ;

Et ainsi de suite en les déclinant.

Juste l’instant de vous l’affirmer,

Il est déjà  presque parti, envolé,

L’instant suivant, à le rattraper,

Mais je l’ai senti tellement vivant

Que je n’aurai pas à le regretter !

.

De se sentir, pleinement, vivant,

Et de vouloir arrêter ces instants,

Sont des ingrédients du bonheur,

Faisant passer minute pour heure.

.

Heure pleine surement, non creuse

En  suppléments, éclats d’existence,

En élixir, nectar, de joies, généreuse,

Donnant à sa vie toute son appétence.

.

La fragilité d’un bonheur et sa fugacité,

Ne tient pas d’un mythe mais de réalité :

À vouloir le garder à tout prix, on le perd,

Vernis quelconque  ne saurait le protéger !

.

Fragments

.

Pour certains, le bonheur serait d’être

vivant ;

.

Pour d’autres, le bonheur se vit  dans

l’instant ;

.

Le bonheur, sain de corps et d’esprit

tout le temps ;

.

Le bonheur, avoir une belle famille

avec des enfants ;

.

Le bonheur, exercer une métier

des plus passionnants ;

.

Le bonheur, c’est un peu tout

cela en même temps et longtemps ;

.

Le bonheur, serait beaucoup de vernis,

sur ongles comme, d’âme, un supplément ;

.

Le bonheur, est d’avoir beaucoup d’amis

qui vous soutiennent en vous aidant ;

.

Le bonheur est d’écrire chaque jour

une page de votre vie la recréant ;

.

Bonheur simple comme bonjour

dès lors que l’on reste aimant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Le bonheur se vit

Dans … l’instant,

Bonheur se veut

D’être … vivant,

Il faut  savoir le

Prendre, gouter

Quand  il  passe,

Tant, disparaitre,

Tant  il ne saurait,

Des fois …     tarder !

Petits, grands bonheurs

Ne durent que moment,

Mais un tel moment peut

Peut durer très longtemps.

LE BONHEUR

Le bonheur est en l’instant d’être vivant,

Ne dure que le temps de le sentir passer

Un courant d’air frais en pleine chaleur,

Courant d’air chaud en pleine fraicheur.

.

Avant même de se lever … de bon matin,

L’on projette sa journée, en mal, en bien,

L’heure qu’il est, le temps qu’il fait … fera

Où chaque moment, pour nous comptera.

EST À L’INSTANT

Le bonheur est dans notre passé, souvenir,

Qu’on se remémore, avec émotions, plaisirs,

Ce n’est pas tant qu’on le vit et le reconstruit,

Mais, plutôt, qu’au temps présent, on l’associe.

.

Le bonheur est dans l’espoir  d’un futur meilleur

Qui nous motive à persévérer … aller voir  ailleurs

Si les choses reviennent  comme elles ont déjà, été,

N’ont disparu à jamais par de nouvelles remplacées.

D’ÊTRE VIVANT  

Quoiqu’il en soit, qu’ils viennent du passé, ou présent,

Les petits, grands bonheurs, ne durent qu’un moment,

Savoir les détecter, savoir en profiter est art consommé,

Quoi de plus beau et de bon, que de pouvoir les partager.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

 

Une balayette, une pelle

Aussi bien que flacon 

De vernis à ongle 

Pour se les parer.

.

1014 4

.

Mot vernis, selon définition,

Manquerait   de  …   couleurs,

Or  étant  heureux,  on déclare,

Souvent    que   l’on   est   vernis !

C’est une forme classique, répandue

De nombre flacons de vernis à ongles :

Si le bonheur lui empreinte son clinquant

Sa couleur, c’est qu’il l’évoque quelque peu.

 .

Symbolique 

 .

Rapport

Au   vernis

Et à la beauté

Évolue au  cours 

Des  divers  siècles.

Signe de richesse pour certains

Et autres, simple produit esthétique,

Vernis a eu différentes  significations.

Chinois utilisaient une laque de couleur

Pour ongles. Les Égyptiens quant à eux,

Teintaient ongles de couleur brun-rouge

Obtenue avec henné.   Couleurs utilisées

Avaient une symbolique des plus fortes

Servant à déterminer un  rang social,

Tel que le rouge et noir, la royauté.

meanail.com/blog/fr/manucure-

l-histoire-du-vernis-a-ongle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1014 6

.

Mot vernis, selon définition,

Manquerait   de  …   couleurs,

Or étant heureux, on déclare,

Souvent que l’on est vernis !

 .

Symbolique 

 .

On peut révéler  sa      personnalité

Par   son         vernis      à    ongles :

Le choix       de la         couleur    en   dit

Long sur   nous    et    sur notre humeur

 

On   ne  vous  surprendrait  pas,  disant

Que rouge  évoque  glamour, féminité,

Amour et sensualité. Et  le  cramoisi,

Synonyme de passion, sang chaud !

 

Lorsque vernis à ongles tire vers orangé,

Il parle d’impulsivité, d’été, bonne humeur.

Source : fourchette-et-bikini.fr/beaute/make-up/ongle

.

.

Fond/forme 

 .

Un vernis est une couche de surface protectrice

Et souvent embellisante qui s’effrite avec l’usage

Pour les ongles, il s’agit de  les mettre en valeur,

En même temps de suivre des modes éphémères.

.

En ce sens il serait comme le bonheur : rutilant

Mais passager tout autant vivant mais fragile

À supposer qu’il ne dure que quelques instants

Faudrait-il  le souhaiter, l’oublier, le snober !

.

Textuels et illustrations  >>

1013 – Le bonheur est comme l’œuf sur coquetier

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

L’œuf frais,

L’œuf  mollet

Aurait le besoin

D’un bon support

Pour  être  dégusté !

Notre bon heur aussi

Mais ce support n’est

Ni d’or,  ni  d’argent,

Diamant  nullement

Du  regard  brillant

Et de l’être aimant,

Qui nous observe

Sans réserve.

.

Pour peu,

Je leur dirai merci

J’envie tous ceux

Qui ont peu d’esprit

Pauvres, bienheureux

Qui auront bien compris

Qu’il ne faut mettre     œufs

Même panier  même si vernis.

.

N’ayant ni œufs ni paniers pourris

Ils ne sont rien et  ne  sont  que gueux

Qui n’ont que leurs habits enfants chéris

Et, leurs lendemains  seront jours où peureux

Se demanderont si soir, ils seront, encore, en vie.

.

En vie, envie : envie de vivre, un jour de plus, heureux,

Ils trainent leur mort derrière eux, sans moindre préavis,

Quand ici on nourrirait cent, ailleurs on en  nourrit deux,

Pourtant les premiers, toujours à l’envi, à la vie, sourient.

Va comprendre pourquoi riche, argenté est malheureux

De ne pouvoir acheter éternité des pauvres, affranchis

D’accumulations, sans fin, de perpétuels  convoiteux

Qui pensent que, leur seul monde, serait  le paradis.

.

Œuf miroir, œufs sur le plat, ou alors, œuf baveux

Le pauvre avec le blanc, elle en serait bien vernie,

Lors riche, avec le jaune, elle en sera bien servie,

L’œuf dévoré, par quelqu’un de  nanti, ou pas,

Je vous souhaite bon appétit en un tel repas.

.

Le bonheur dans tout cela me direz-vous,

Il ne sera pas dans une coquille pleine

Mais vide de substance, dont tout

Ce qu’elle apporte est sereine.

Le bonheur est dans la tête

Nullement sous les dents,

Encore moins en argent,

Chaque jour est une fête

Le bonheur, faut être bête

Pour  le chercher … ailleurs

Que dans nos amours qui reflètent

Nos pulsions de vie qui ne sont leurres.

.

Extensions

 .

Le bonheur est comme

Un œuf sur coquetier :

Il ne tient pas  droit,

Il ne tient pas debout,

Il ne  tient  pas, du tout,

Alors qu’avec son support,

On le maintient ferme et droit.

En bref le bonheur serait toujours

En équilibre, et si on ne le soutient,

Ne  le retient pas, il tombe, il roule,

Il s’en va et puis il disparait au loin

Sans pouvoir le retrouver de sitôt.

Le  bonheur,  c’est  un œuf  qui

A besoin d’amour en support.

.

Trois formes originales de coquetier,

Et situations totalement différentes,

 Au milieu, il est seul avec lui-même,

En haut, il est avec un observateur,

Et en bas ils sont deux à se causer.

Qu’y aurait-il d’autre, à rajouter :

L’histoire de la poule et de l’œuf !

.

La relation entre le bonheur et l’œuf

N’est pas évidente au premier abord,

Tant l’œuf a l’air fermé sur lui-même.

.

L’œuf serait comme un  microcosme,

Avec tous les ingrédients du bonheur,

Son coquetier, c’est vous : réceptacle.

.

Il doit lui-même devenir, rester stable

Car au moindre mouvement d’humeur

Il dérapera et fera chuter son bonheur.

.

Fragments

.

Bonheur est comme œuf sur coquetier,

Rapprochement demande à commenter

Un œuf, déjà, est un espace  très  fermé,

Et pourquoi, sur un piédestal, le jucher.

.

Un œuf, est un œuf,  ne change de forme

Un coquetier change  de design, matière,

Et de ce fait la différence devient énorme.

.

Œuf constitue  le premier stade de la vie,

Le coquetier ressemblerait à son berceau.

.

D’accord on mangera l’œuf avec bonheur,

.

Mais pourquoi pas sur le plat, en omelette

Sauf si c’est un œuf de Pâques, en chocolat

.

Le bonheur ne se trouvera dans une coquille

Pleine d’espoir mais vide de toute nourriture

Apportant, confortant, vie meilleure, sereine.

.

L’œuf et sa coquille évoquent plutôt  le sein

De la mère dans lequel  l’enfant est protégé,

C’est peut-être cela le souvenir du bonheur,

Qui poursuit notre existence au long de vie.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

BONHEUR

L’œuf frais,

L’œuf    B  mollet

Aurait le O   besoin

D’un bon  N  support

Pour être   H  dégusté !

Notre bon    E heur aussi

Mais ce sup  U    port n’est

Ni d’or,  ni     R    d’argent,

Diamant       *   nullement

Du regard  E      brillant

Et de l’être S    aimant,

Qui nous  T  observe

Sans réserve.

*********

*********

EST

COMME

.

Pour peu,

Je leur dirai merci

J‘envie  *        tous ceux

Qui ont    O   *    C   peu d’esprit

Pauvres,    E      *      O  bienheureux

Qui auront  U         *        Q  bien compris

Qu’il ne faut  F            *       U   mettre     œufs

Même panier  *            *         E   même si  vernis.

N‘ayant ni œufs  S           *       T  ni paniers pourris

Ils ne sont rien et  U         *      I    ne  sont  que gueux

Qui n’ont que leurs   R      *     E    habits enfants chéris

Et, leurs lendemains    *   *    R   seront jours où peureux

Ils se  demanderont  si, le  soir, ils  seront, encore, en vie.

En vie  et envie : envie de vivre, un jour de plus, heureux,

Ils trainent leur mort derrière eux, sans moindre préavis,

Quand ici on nourrirait cent, ailleurs on en  nourrit deux,

Pourtant les premiers, toujours à l’envi, à la vie, sourient.

Va comprendre pourquoi riche, argenté, est malheureux

De ne pouvoir acheter éternité des pauvres, affranchis

D’accumulations sans fin de perpétuels convoiteux

Qui pensent que leur seul monde est le paradis.

Œuf miroir ou œufs sur le plat, ou alors, œuf baveux

Le pauvre, avec le blanc, elle en serait bien vernie,

Lors riche, avec le jaune, elle en sera bien servie,

L’œuf dévoré, par quelqu’un de  nanti, ou pas,

Je vous souhaite bon appétit en un tel repas.

Le bonheur dans tout cela me direz-vous,

Il ne sera pas dans une coquille pleine

Mais vide de substance, dont tout

Ce qu’elle apporte est sereine.

Le bonheur est dans la tête

Nullement sous les dents,

Encore moins en argent,

Chaque jour est une fête

Le bonheur, faut être bête

Pour  le chercher … ailleurs

Que dans nos amours qui reflètent

Nos pulsions de vie qui ne sont leurres.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un œuf sur un coquetier,

Surmonté petite cuillère 

Pour mieux le manger

Avec pincée de sel !

.

1013 4

.

Tant pour le manger, à la coque

Il faut coquetier, sinon instable 

Le bonheur serait comme un œuf

Qui ne tient pas debout tout seul.

Que ce soit un grand ou petit bonheur

On peut toujours le poser sur un cocotier

On ne sait pas ce qu’il contient jusqu’à c

Qu’on l’ait brisé et puis mangé, digéré.

 .

Symbolique 

 .

Amateurs  d’œufs  à  la coque,

Unissons-nous : mouillettes

Sont sacrées  et  méritent

Mieux qu’un coquetier

Tout fadasse, sans âme.

.

Grâce à cette sélection, plus

De risque de voir les fans d’œufs

Brouillés, ces fumistes, s’imposer

Dans tous les brunchs dominicaux.

topito.com/top-coquetiers-originaux

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1013 6

.

Tant pour le manger, à la coque

Il faut coquetier sinon instable !

Le bonheur sera comme un œuf

Qui ne tient pas debout tout seul,

.

Symbolique

 .

Œuf est premier stade de vie

Il symbolise   la fécondité, la vie,

La renaissance         et la protection,

Représente                    renouvellement

De tout cycle                         de la nature.

Aussi certai                          nes traditions

Marqueront                       ce symbolisme.

Le cas de                          l’œuf de Pâques,

Œufs colorés                        qu’on trouve

Dans   de                    nombreux  pays.

L’œuf et sa             coquille évoquent

Le sein de la        mère dans lequel

Enfant se sentira mieux protégé.

 Mais le vivant  aspire à sortir

Le poussin à briser coquille

Sécurisante, confortable

Pour trouver la

 Li-ber-té.

1001symboles.net

.

.

Fond/forme 

 .

L’œuf serait un tout monde en soi,

Se développant s’il a été fécondé

Et de manière quasi autonome

Pour  concevoir  un poussin,

Qui survivra bien que seul

Vrai miracle de la nature

Rapport à nous, humain.

Qui  avons encore  besoin  

De parents ou de tuteurs,

Durant de longues années

Et  pour se nourrir, certes,

Mais   aussi  trouver  le sens

De la vie, chemin du bonheur.

.

 Textuels et illustrations  >>

1012 – On se lasse de tout, dit un vieux proverbe !

 Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Lassé de tout

Comment  cela

Est-il   possible !

.

Quand même d’avoir

Et, de quoi  voir  venir,

Réconfortera son moral.

.

Quand  même  les paysages

Qui sont  si beaux, si plaisant

Réjouissent passage sur Terre.

.

Quand même la famille, enfants

Sans compter les amis et fidèles,

Délassent de  tous  embêtements.

.

Quand même toujours apprendre

Toujours découvrir du nouveau,

Empêche d’éprouver lassitude.

.

On se lasse de tout,

Dit un vieux proverbe

Même actions et verbes

Si  l’on n’en vient  à bout.

.

Que reste-t-il si on oblitère

L’avoir qu’offre notre Terre,

Le savoir offert par humains,

Que reste-t-il pour notre bien.

.

Demeurent, paysages naturels,

Inépuisable source atemporelle,

Par dizaines, centaines, milliers,

Personne  ne se dit las d’admirer.

.

Demeurent, la famille, et  les amis,

Formant notre cercle du sans souci,

Qu’ils soient dix, cent, mille,  réunis,

Seul qualité compte  donne garantie.

.

Demeurent métiers qui auront évolué

En autres savoirs, autres défis, de plus

Qui nous forgeront et forceront, en sus,

À faire de notre vie continuelle montée.

.

Montée vers qui, vers  quoi : vers l’amour

D’un jour, ou promesse de tous les jours,

Où s’enlacent mais jamais ne se lassent

Amants s’aimant lors passion passe.

.

Extensions

 .

Las, lassé, lassitude, on sent comme

Une fatigue du désir, et du plaisir :

Une passion s’émousse, disparait

Quand elle ne récompense plus,

Quand elle ne s’auto-stimule plus.

.

Il y a et  dieu merci des choses dont

On se lasserait moins vite que d’autres :

La nature, l’art, le sport, le savoir, l’amour,

Et le métier, la famille, la maison, le voyage.

.

Le zapping continuel, qu’impose, les médias

Ou nous privilégions pour avoir l’impression

De tout connaitre et puis de tout contrôler,

Aboutit à l’effet inverse : il y en a trop dont

On ne sait que faire ne sait où les classer :

Tout devient équivalent et on s’en lasse.

.

Matraquage publicitaire en est l’exemple :

Pourquoi acheter ce produit plutôt qu’autre :

Ils se valent, rien ne les distingue, les privilégie.

.

On se lasse de tout et parfois même de soi,

Que l’on soit valet ou bourgeois ou bien roi :

Quand  on s’ennuie, on s’encroute, rien ne va,

Y a plus qu’à  s’endormir  sur le premier sofa.

Si, malgré moi,  je vous ennuie avec tout cela

C’est que vous avez l’esprit, ailleurs, en deçà

Des mots, images qui vous feraient plaisir.

.

Fragments

.

On se lasse de tout, dit un vieux proverbe :

De différentes choses, gens divers et variés,

Qui nous tenait à cœur

Faisant  notre  bonheur

Jusqu’à les mettre de côté, s’en débarrasser,

Avec parfois commentaire des plus acerbes.

.

Il en est de même des formes et des couleurs

Une peinture un peu défraichie ne nous ravit

On songe à rénover lieu

Selon son humeur, vœu

On procède par élément, change sans préavis

Une pièce entière et pour lui refaire honneur.

.

On se lasse de tout et voire jusqu’à soi-même,

Lors se dépréciant, de jour en jour, vieillissant

Rénover sa garde-robe

Sa coiffure, ses bijoux

En devient comme un remède à la mélancolie

Pour ne pas subir, des autres … un opprobre !

.

Certains préfèrent style, environnement sobre

Pour ne pas dire, minimaliste, voire intimiste

Le blanc reste la couleur

Ne projetant d’humeur

Autres, que ce soit, objet, décor, habillements,

Se lassant vite de tout ce qui n’est pas la mode.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Lassé de tout

Comment  cela

Est-il   possible !

 .

Quand même d’avoir

Et, de quoi  voir  venir,

Réconfortera son moral.

 .

Quand  même  les paysages

Qui sont  si beaux, si plaisant

Réjouissent passage sur Terre.

 .

Quand même la famille, enfants

Sans compter les amis et fidèles,

Délassent de  tous  embêtements.

 .

Quand même toujours apprendre

Toujours découvrir du nouveau,

Empêche d’éprouver lassitude.

.

**********************

********************

.

On se lasse de tout,

Dit un vieux proverbe

Même actions et verbes

Si  l’on n’en vient  à bout.

Que reste-t-il  si on oblitère

L’avoir qu’offre  notre  Terre,

Savoir offert   *   par humains,

Que reste-t-il   O   pour notre bien

N …….

Demeurent,   *    paysages naturels,

Inépuisable    S    source atemporelle,

Par dizaines    E       centaines, milliers,

Personne ne      *       se dit las d’admirer.

Demeurent, la     L       famille, et les amis,

Formant notre       A    cercle du sans souci,

Qu’ils soient dix,      S      cent, mille,  réunis,

Seul qualité compte   S          donne garantie.

Demeurent métiers     E       qui auront évolué

En autres savoirs,         *    autres défis de plus

Qui nous forgeront       D  et forceront, en sus,

À faire de notre vie       E  continuelle montée.

    *

Montée vers qui,  vers   T   quoi : vers l’amour

D’un jour, ou promesse   O  de tous les jours,

Où s’enlacent mais jamais  U ne se lassent

Amants s’aimant lors passion  T  passe.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Deux vases superposés,

Ayant l’air se ressembler

Sur le  fond  et la forme,

Comme deux jumeaux.

.

1012 4

.

Voilà un beau vase, bien fleuri,

D’une belle couleur émeraude,

Mais pourtant l’on s’en lasse,

De le voir et tous les jours, là.

.

Symbolique 

 .

Dans la littérature

Médiévale, le vase

Possède le sens de trésor.

S’emparer d’un   vase, c’est

Conquérir un trésor (Graal) ;

Briser un vase,    c’est anéantir

Tout le  trésor    qu’il représente.

Vase alchimique vase hermétique

Signifient toujours lieu en lequel

Toutes les merveilles s’opèrent.

C’est     le       sein    maternel,

L’utérus   dans    lequel  une

Nouvelle vie se forme d’où

Croyance que,  le vase

Contient le secret de

 Métamorphoses.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Un beau vase de forme flatteuse

Comme un couple qui s’étreint,

Et pourtant l’on s’en lassera,

Cela même s’il reste blanc pur.

.

Symbolique 

 .

Le blanc ne sera pas, toujours, considéré

Comme couleur, or selon Michel Pastoureau,

« Le blanc est la couleur   qui donne leur équilibre,

Leur valeur  et  beauté           à toutes les autres ».

Dans la nature, blanc                «pur»  est  très  rare.

En effet,  dès l’instant                       où  le  blanc   intègre

   Des   pigments   même                           en    légère    quantité,

Blanc cassé, blanc bleuté,                       coquille d’œuf, écru…

Si dans le monde occiden                    tal le blanc est assimilé

À la pureté, à la paix et qu’il      est le symbole de la sagesse,

L’innocence, la pureté, le Divin, en Asie, couleur du deuil.

marieclaire.fr/maison/le-blanc-sa-symbolique-ses-harmonies

 .

.

Fond/forme 

 .

Rien ici

 .

Textuels et illustrations >>

1011 – Une maison et un jardin afin de s’occuper

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Tout le monde se doute bien qu’une maison et un jardin,

Cela prend du temps  pour s’occuper : c’est une  banalité.

Ce qui l’est moins : l’ardeur avec  laquelle gens le font.

 .

Certains sont maison, homme ou femme, d’intérieur,

Lors d’autres : jardin tout à l’extérieur au grand air

Certains  font ménage, cuisine, courses, bricolages,

Mais pas le repassage ni  soins aux plantes vertes.

.

Certains feront les pelouses, haies, massifs, bois

Mais, pas les soins, aux légumes, ni aux fleurs.

.

J’en connais qui consacrent la majeure partie

De leur temps, entre le dedans   et  le  dehors,

Et  d’autres, seulement une  heure  par  jour.

 .

Estivants, possédant  maison de vacances

Y consacre, presque, semaine, dès arrivée

Tant il y aurait et réellement de quoi faire.

.

Cela peut être un vrai plaisir,  vraie  corvée

Monotone, ennuyeux sauf si l’on est deux,

À le faire tout en discutant, de tout, un peu.

.

Dans un appartement en ville et bien carré

Où tout est rangé à sa place il y a beaucoup

Moins à faire pour habiter pour entretenir.

 .

Car en campagne,  il y a toujours un grenier

Un garage quand  il n’y pas une cave et tout

Est bien vite encombré.

 .

Ranger, déranger, reranger : c’est travailler,

Et l’on ne compte pas le temps à rechercher

Où on a mis ceci ou cela.

 .

Si on reçoit des hôtes, c’est le grand ménage

Les lits à faire, changer et y consacre à deux

Une bonne demi-journée.

.

Un jardin serait écrin visible de sa maison,

Il est le mini cadre de verdure où il se niche

Parfois endroit  pour  parquer  sa voiture.

.

Il reste étonnant  de  voir  herbes  folles,

Envahir  les  bords ou centre du jardin

Pour l’éviter, il faut lutte permanente.

.

J’envie, presque, qui habite en ville,

Et qui a peu, pas,  de jardin à faire

Fort heureux de s’en satisfaire !

.

Extensions

.

Une maison et un jardin

Pour s’occuper et le corps et l’esprit :

Maison petite, grande, voire ombragée

Ou lumineuse, bien décorée, meublée

Avec du style et de la personnalité,

Avec un poêle, feu de cheminée ;

Jardin naturel, jardin culturel,

Jardin discret,  jardin secret,

Bien arboré et fleuri, potager,

Avec ou sans pelouse, terrasse,

Avec puits, tonnelle, et, massifs,

On s’y attache  dès lors qu’ils ont,

Maison et jardin, besoin de soins.

On s’en détachera  dès lors qu’ils

Nous prendrons  trop de temps,

À en être prisonnier, journée !

.

Si je ne suis pas occupé en ma maison :

C’est que je suis au fond  de mon jardin

Ma maison est grande et le jardin aussi

J’écris le matin, je bricole l’après-midi

C’est  la vie de retraité  que j’ai choisi !

Une maison, ça vit, puis, ça se répare,

Il y a toujours des choses  à modifier,

Quant au jardin, mis à part en hiver,

Tondre  la pelouse, planter, récolter.

.

J’ai un ami résident, pas bricoleur

Et qui, en outre, n’aime pas jardiner,

Prétextant avoir deux mains gauches

Et même pas une de ses mains, verte !

.

Il a acheté un appartement… tout neuf,

En se disant tranquille durant vingt ans.

Ce n’est pas mon cas,  j’ai acheté maison

Traditionnelle bretonne pierres/ardoise.

.

Lors depuis quarante ans,  je l’améliore,

L’agrandit et parfois même, la restaure.

Le jardin aura vu de nouvelles plantes,

Sans compter fleurs, arbres fruitiers.

.

Fragments

.

Ce que souhaitent en majorité, les familles :

Une grande maison, dans un grand jardin.

.

Quand ce n’est ni possible ni souhaitable,

Ils y pensent pour le temps de leurs retraites.

.

On les comprend, l’espace, l’air pur, le temps :

Qui n’en voudrait pas toute leur vie … durant.

.

Quand on vit dans un appartement en hauteur,

La météo aurait moins d’importance, en valeur

.

Mais dans un jardin, on mettra un pluviomètre

Pour contrôler, assurer l’eau ou non à y mettre.

.

Il peut très bien pleuvoir dans le jardin du voisin,

Et pas une goutte ou très peu ou trop dans le sien.

.

On tient compte de l’humidité du sol, pour planter,

On coupe sa pelouse à une certaine hauteur d’herbe.

.

Pour la maison, c’est différent, c’est un espace privé

Mais qui demande de la décoration et de l’entretien.

.

En appartement, on en a vite fait le tour pour bricoler ;

En maison il y a toujours des choses à faire, améliorer.

.

Maison, jardin permettront une grande fête de famille :

Des meubles garage, on s’étale et les invités fourmillent.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

U

Tout le monde se doute bien     N      qu’une maison et un jardin,

Cela prend du temps  pour s’   E    occuper : c’est une  banalité.

Ce qui l’est moins : l’ardeur    *       avec  laquelle gens le font.

M

Certains sont maison, hom   A    me ou femme, d’intérieur,

Lors d’autres : jardin tout    I     à l’extérieur au grand air

Certains  font ménage, cui  S    sine, courses, bricolages,

Mais pas le repassage ni    O    soins aux plantes vertes.

Certains feront les pelou   N    ses, haies, massifs, bois

Mais, pas les soins, aux    *     légumes, ni aux fleurs.

J’en connais qui consac  U    rent la majeure partie

De leur temps, entre le   N   dedans   et  le  dehors,

Et  d’autres, seulement   *     une  heure  par  jour.

J

Estivants possédant      A      maison de vacances

Y consacre presque       R      semaine dès arrivée

Tant il y aurait et réel   D    lement de quoi faire.

Cela peut être un vrai    I     plaisir,  vraie  corvée

Monotone, ennuyeux    N    sauf si l’on est deux,

À le faire tout en discu  *   tant, de tout, un peu.

Dans un appartement  P     en ville et bien carré

Où tout est rangé à sa  O   place il y a beaucoup

Moins à faire pour ha  U  biter pour entretenir.

R

Car, en campagne,   il y a   toujours un grenier

Un garage  quand  il n’y pas   une cave, le tout

Est bien vite encombré.

Ranger, déranger, reranger : c’est travailler,

Et l’on ne compte pas le temps à rechercher

Où on a mis ceci ou cela.

Si on reçoit des hôtes, c’est le grand ménage

Les lits à faire, changer et y consacre à deux

Une bonne demi-journée.

.

Un jardin serait écrin  S    visible de sa maison,

Il est le mini cadre de   ‘   verdure où il se niche

Parfois endroit pour   O     parquer sa voiture.

Il reste étonnant de    C       voir  herbes folles,

Envahir  les  bords     C    ou centre du jardin

Pour l’éviter, il faut   U    lutte permanente !

J’envierais presque   P    qui habite en ville,

Et qui a peu, pas      E       de jardin à faire

Fort heureux de      R        s’en satisfaire !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase,  un verre,

Un bocal  et   voire

Un pluviomètre

Dans   un   jardin

.

1011 4

.

Pluviomètre transparent installé

Quelque part  dans son   jardin :

Ce n’est pas lui qui fait la pluie,

 Beau temps, mais il témoigne.

Pluviomètre dans un jardin,

Pluviomètre pour un jardin :

Rien de plus normal commun,

Ainsi la forme évoque le fond !

Symbolique

Le pluviomètre est un instrument

Météorologique destiné à mesurer

Quantité de précipitations, pluies,

Tombée pendant un intervalle de

Temps donné et dans cet endroit.

.

Les relevés d’un seul pluviomètre

Ne sont donc pas caractéristiques

De la pluie qui tombe  en la  région.

.

Les  premières  mesures  des quantités

De pluie connues furent faites par les Grecs

Vers 500 av. JC. Cent ans  plus tard, en Inde,

La population  utilisait des bols, pour recueillir

L’eau de pluie et la mesurer et dans ces deux cas,

La mesure de pluie aidait à estimer le rendement

Futur des cultures.

Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Pluviomètre transparent installé

Quelque part  dans son   jardin :

Ce n’est pas lui qui fait la pluie,

 Beau temps, mais il témoigne.

.

Symbolique 

 .

Le jardin est

Un      symbole

Du       Paradis

 Terrestre, Cosmos

Dont il est le centre,

 Du       Paradis    céleste

Dont il est la figure et des états

Spirituels correspondant aux séjours

Paradisiaques. Il apparaît dans les rêves

 Comme l’expression d’un désir pur anxiété.

Il est  le lieu de la croissance,  de la culture

Des phénomènes vitaux      et   intérieurs et 

Le  déroulement  de saisons   s’y accomplit.

 .

 .

Fond/forme 

 .

Une maison et un jardin,

Une maison dans un jardin,

Un jardin devant ou derrière,

Un jardin intérieur de maison :

Tout cela est fait pour être habité

Et tout cela est fait pour s’occuper

Autant le corps, le cœur, l’esprit,

D’autant si on est propriétaire,

D’autant si on lui donne âme,

D’autant famille s’épanouit.

.

Textuels et illustrations  >>

1010 – Est-ce une chance d’avoir un mari jaloux !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

 

Poème

.

La jalousie,  qu’est-ce que c’est :

Une vraie qualité, pour les uns,

Un vilain défaut selon autres.

.

Gage d’amour, possession ;

Au début… c’est plaisant ;

À la fin … c’est méchant,

À se faire  …   interdire,

Tout contact,  ou pire !

.

Se libérer, impossible

En tous cas … délicat

Divorce est faux pas,

Conjoint,  irascible !

.

Est-ce chance d’avoir un mari jaloux

Qui s’occupe de moi,

Qui s’occupe de tout :

Jamais, de lui, je ne viendrai  à bout.

.

Il veille  sur mon corps, cœur et âme,

Comme tendre époux,

Se met à mes genoux,

Lors désire ce que  lui doit  sa femme.

.

Mes paroles, et mes regards, censurés,

Me gênent, des fois,

Me révoltent parfois

Me mettent hors de moi de tant aimer.

.

Où se situent les limites de tout amour,

Entre une possession

Et franche libération,

Jaloux, un peu, mais pas trop, beaucoup.

.

Il voudrait  me garder pour lui, tout seul,

Comme un trésor,

Je ne suis pas d’or,

Et ne suis plus moi-même, qu’une moitié.

.

Extensions

 .

Un bonheur jaloux n’est pas un bonheur du tout :

Il repose sur soi-même, absorbe l’autre comme chou.

Dès lors, ce n’est pas une chance d’avoir un mari jaloux,

Au début cela peut ressembler à un doux paradis, mais,

Avec le temps, à la fin, cela devient un véritable enfer

Dont on ne peut en sortir : ce n’est pas tant que

L’on soit prisonnier dans une prison dorée,

C’est le manque de liberté qui vous pèse

À vous étouffer sous sa contrainte

Implacable allant jusqu’à tuer.

Il y a des épouses qui trouvent

Cela grandiose, voire merveilleux

Et d’autres, intolérable et inhumain ;

Et il vaut mieux le savoir avant qu’elles,

Ne leur donnent leur main : tout y passera,

Rien ne restera, sauf les regrets, remords,

Si ce n’est la mort sur un coup de sang,

Un coup du sort d’un mari, jaloux,

Vengeur  d’un honneur, bafoué,

Devenu son propre justicier.

.

La jalousie rend vert, le mari et, rouge, sa femme,

Tandis que le nouvel amant qui devient tout jaune,

D’avoir osé de faire en sorte que sa femme le trompe

En somme, le trio passerait  par toutes les couleurs !

Qui est coupable et qui ne l’est pas : à chacun de voir.

Il est arrivé que, sous  le coup de l’émotion, le surprise

Le mari tue la femme ou  l’amant en  crime passionnel,

Ce n’est pas  qu’il ne sera pas condamné  que pardonné,

Et au final, quelqu’un est bien mort pour faute… d’aimer.

.

La jalousie est un peu  comme le stress :

Un peu ne fera pas de mal  ni de dégâts ;

Trop mènera à homicide au premier cas,

À l’essoufflement, burn-out,  au second !

.

Lors ne pas être jaloux ne veux pas dire

Laisser tout faire,  voire être libertaire :

Simplement être tolérant  à une liberté,

Pour ne pas étouffer  fidélité  de couple.

.

Il n’y aura ni règle ni morale, ni justice,

Sauf à être sou l’emprise d’une religion,

C’est au couple de définir sa ligne rouge

Et de savoir à quoi s’attendre derrière !

.

Fragments 

.

Jaloux, moi : pas du tout,

C’est juste, je tiens

À ce que je possède, bien,

Reste, je m’en fous.

.

On dira que je surveille bien

Mon lait sur tous feux,

Je ne veux pas  qu’un voisin,

Y goute un tant soit peu.

.

C’est tout à mon honneur, non

Que d’être jaloux un peu

Et pas trop : ce serait  abscons,

Amour n’est pas que jeu.

.

Jaloux de quelqu’un, est courant

Et ce n’est pas méchant

Il a plus que moi, je veux être lui

Je vois qu’il a plus réussi

.

Mais de sa femme ou de son mari

C’est pas que question de lit

C’est avant tout une affaire de cœur

Aimer autre sera une horreur.

.

Qui n’est jaloux, de perdre, sera risquer

Et à jamais, sa seule bien aimée

Pensez-vous, si vous lui faites confiance

Elle n’aura pas besoin de surveillance.

.

D’ailleurs, où il ne se passera rien du tout,

Ce serait  juste  dans votre tête  à vous

Ou si elle fait un écart, accroc ou tentative,

Elle reviendra pour qu’elle … survive !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

 .

LA CHANCE

La jalousie,  qu’est-ce que c’est :

Une vraie qualité, pour les uns,

Un vilain défaut selon autres.

Gage d’amour, possession ;

Au début… c’est plaisant ;

À la fin … c’est méchant,

À se faire  …   interdire,

Tout contact,  ou pire !

Se libérer, impossible

En tous cas … délicat

Divorce est faux pas,

Conjoint,  irascible !

 

D’AVOIR UN

Est-ce chance d’avoir un mari jaloux

Qui s’occupe de moi,

Qui s’occupe de tout :

Jamais, de lui, je ne viendrai  à bout.

 

Il veille  sur mon corps, cœur et âme,

Comme tendre époux,

Se met à mes genoux,

Lors désire ce que  lui doit  sa femme.

 

Mes paroles, et mes regards, censurés,

Me gênent, des fois,

Me révoltent parfois

Me mettent hors de moi de tant aimer.

 

Où se situent les limites de tout amour,

Entre une possession

Et franche libération,

Jaloux, un peu, mais pas trop, beaucoup.

 

Il voudrait  me garder pour lui, tout seul,

Comme un trésor,

Je ne suis pas d’or,

Et ne suis plus moi-même, qu’une moitié.

MARI JALOUX !  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

La jalousie semble  être

Une  vis, qui vous pénètre,

Persistante dans votre tête

Et qui deviendrait  un vice.

.

1010 4

.

En jouant sur le mot, la forme,

L’on dirait qu’un mari jaloux,

Est à la fois «une vis sans fin»

Avec  « un vice …  sans fin » !

Jalousie s’entendrait, parait-il

Autant avec une vis qu’un vice,

Au point de presque les marier

Si fait que forme rejoint fond.

 .

Symbolique 

 .

Le vice désigne

D’une manière générale

Et non morale ce qui est

Défectueux, le défaut.

.

En morale, c’est un penchant

Devenu habitude que la morale

Réprouve (en matière sexuelle

Mais pas seulement),

Ou un défaut excessif.

.

Parmi défauts   humains,

À savoir l’avarice, l’égoïsme,

L’hypocrisie, l’intempérance, la jalousie,

L’oisiveté, l’orgueil, lparesse, la vanité, etc.,

Qui  peuvent, plus ou moins, recouper  certains

Des sept péchés capitaux de la morale chrétienne

fr.wikipedia.org/wiki/Vice

.

.

Fond

Évocation 

.

1010 6

.

En jouant sur le mot, la forme,

L’on dirait qu’un mari jaloux,

Est à la fois «une vis sans fin»

Avec  « un vice … sans fin » !

 .

Symbolique 

 .

La jalousie est un mélange

D’émotions comme de la colère,

La tristesse, la frustration et dégoût,

Ne doit pas être confondue avec l’envie.

Nombreux proverbes évoquent la jalousie

Et ses conséquences  et à travers les âges.

.

Ainsi,  dans l’Afrique francophone, et plus

Particulièrement  dans  la   Côte  d’Ivoire,

L’expression   « Les jaloux vont maigrir »

Symbolise la force puissance de la jalousie,

Travaillant le jaloux jusque dans ses chairs.

Modifié, source : Wikipédia / jalousie

 .

 .

Fond/forme 

 

La jalousie à a longtemps été prônée,

Comme preuve d’attachement, amour,

Jusqu’à ce que violence, meurtre, suicide

Ait été traduit en justice et largement puni

L’homicide sous le coup de colère de l’amant,

Voire d’épouse, des deux ne passe plus du tout.

.

Il faut demeurer, en tout, maitre de ses actes,

Et on ne peut se faire justice par soi-même,

Comme par le passé ou certaine religion

Qui tolère lapidation femme adultère.

.

Textuels et illustrations  >>

1009 – Comment savoir si quelqu’un est heureux

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Comment savoir si quelqu’un est heureux ou pas :

Cela doit se voir, s’inscrire en lui, quelque part,

Cela se doit même d’être un peu contagieux.

À quoi cela sert  d’être tout seul, heureux.

.

Y a l’expression, extérieure, d’un regard

Un peu détaché et celle plus intérieure

Du sourire, quelque peu mystérieux.

.

Le bonheur comme chacun le sait,

Est insoutenable à celui qui le vit

Et le partage : il n’est pas classé,

En les états fréquents, normaux,

Bien qu’il soit     des plus désirés !

.

Bonheur d’enfant n’est pas qu’avoir

Parents qu’ils l’aiment réciproquement.

Être heureux sans avoir vécu avec parents,

Pour certains enfants, oui, pour d’autres, non.

C’est l’injustice de ne pouvoir vivre  sans, ni avec.

.

Rebondir  est  ce que  le  bonheur  ferait  de mieux,

Tant il nous faut saisir la balle au premier  bond, non

Au dernier rebond, il sera trop tard pour profiter de son

Énergie devenue beaucoup trop faible, déjà bien atterrée.

.

Je ne sais pas, davantage, qu’un autre, ce qu’est le bonheur,

Je sais, simplement, le voir passer et lui dire : « bonjour, viens

M’habiter le temps que tu voudras … plaira, seconde éternité »

Oui mais voilà, il ne connaît pas le temps  ni l’espace,  n’est pas

Mouvement, il se fige en nous, plus rien et d’autre, n’existe que

L’instant présent qui nous réconforte des vicissitudes de la vie.

.

Le bonheur ne serait pas selon moi l’amour et l’amour comme

L’argent  ne rendrait, jamais, ou à lui tout seul, le bonheur.

Le bonheur parle à l’âme, plus  qu’au corps : il ne servira,

Que de traducteur des états intérieurs, insaisissables.

.

Il est intarissable, il ne l’est pas ou il se fait rare,

Se fait parfois hasard ou  arrive parfois tard

Pour qui qui durant sa vie, s’est déclaré

Inapte à le revoir voire  à le recevoir.

 .

Il fait fuir ceux qui en ont peur que ce soit

Le premier, et le dernier, à la fois, pour vivre

Le reste de leur vie dans un enfer insupportable,

Ils sont exclusifs, prétendent  n’aimer qu’une fois.

.

Faut-il les plaindre, les blâmer   ou les voir dépérir,

À chacun son bonheur, car, c’est   à lui de le forger.

Nul ne peut décider pour lui ce qu’  est le bonheur.

.

Extensions

 .

Le bonheur a deux versants, comportements :

L’un, des plus extériorisés, voire exhibitionniste,

L’autre, des plus intériorisés, et voire…  intimiste !

C’est pourquoi,  certains  feront  éclater  leurs joies,

Quand d’autres  la tairont, pour mieux  la savourer.

Idée de  la communiquer, de  la partager, n’est pas

Universelle mais il y en a peu qui en sont rebelles

Qu’on le goûte tout seul, à deux ou à plusieurs,

Si l’on en profite sur le moment, il s’en ira.

.

Vivre, longtemps, un bonheur insoutenable,

Sera comme guérir d’une maladie incurable

Plupart du temps, il nous met en rémission

Trop de bonheur peut achever une passion !

.

Ne vous inquiétez pas, de cela, pour autant,

Il y a tant et tant de nos bonheurs différents

Que pour les explorer, vie n’est pas suffisant,

Reste que meilleur est celui des plus aimants.

.

Fragments

.

Le bonheur est un état qui ignore

Le trouble, l’inquiétude, la souffrance,

En lien avec l’image de soi et par rapport,

 À tout ce qui nous entoure en notre existence

.

Suffit-il, pour savoir si quelqu’un est heureux,

D’observer son comportement, ses sentiments,

Ou de lui en poser la question tout simplement,

Il vous répond je suis heureux parce que…mais

.

Parce que et mais introduiraient une relativité

Qui viendrait contrecarrer  un bonheur absolu,

Dont on ne sait trop bien comment il est conçu

Pour les autres, et soi, manière pareille, exister.

.

Et lors, se mettre à la poursuite de son bonheur,

Similaire à celle de la recherche du temps perdu,

Beaucoup n’apprécierait que peu sa vraie valeur,

N’en garde que souvenir une fois celui-ci disparu

.

Un porte-bonheur serait le plus souvent un leurre,

Une croyance que l’objet donne un coup de pousse

Un aimant qui attire le bonheur qui passe,  tousse,

Rien à voir avec un gri-gri, protégeant du malheur.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Comment savoir si quelqu’un est heureux ou pas :

Cela doit se voir, s’inscrire en lui, quelque part,

Cela se doit même d’être un peu contagieux.

À quoi cela sert  d’être tout seul, heureux.

Y a l’expression, extérieure, d’un regard

Un peu détaché et celle plus intérieure

Du sourire, quelque peu mystérieux.

Le bonheur comme chacun le sait,

Est insoutenable à celui qui le vit

Et le partage : il n’est pas classé,

En les états fréquents, normaux,

Bien qu’il soit     des plus désirés !

Bonheur d’enfant     S  n’est pas qu’avoir

Parents qu’ils l’aiment   A  réciproquement.

Être heureux sans avoir vécu  V   avec parents ?

Pour certains enfants, oui, pour   O  d’autres, non.

C’est l’injustice de ne pouvoir vivre    I  sans, ni avec.

Rebondir est ce que le bonheur ferait      R     de mieux,

Tant il nous faut saisir la balle au premier    *   bond, non

Au dernier rebond : il sera trop tard pour pro  S  fiter de son

Énergie devenue beaucoup trop faible déjà bien  I       atterrée.

Je ne sais pas, davantage, qu’un autre, ce qu’est   *    le bonheur,

Je sais, simplement, le voir passer et lui dire : Q   « bonjour, viens

M’habiter le temps que tu voudras… plaira    U   seconde éternité »

Oui mais voilà, il ne connaît pas le temps   E    ni l’espace, n’est pas

Mouvement, il se fige en nous, plus rien   L      d’autre,  n’existe que

L’instant présent, qui nous réconforte  Q  des vicissitudes de la vie.

Le bonheur ne serait pas selon moi   U  l’amour et l’amour comme

L’argent ne rendrait, jamais, ou     ‘     à lui tout seul, le bonheur.

Le bonheur parle à l’âme, plus   U    qu’au corps : il ne servira,

Que de traducteur des états   N    intérieurs, insaisissables,

Il est intarissable, il ne       * l’est pas ou il se fait rare,

Se fait parfois hasard    E  ou  arrive parfois tard

Pour qui qui durant   S    sa vie, s’est déclaré

Inapte à le revoir         T    voire  à le recevoir.

    *

Il fait fuir ceux qui en    H   ont peur que ce soit

Le premier, et le dernier,  E     à la fois, pour vivre

Le reste de leur vie dans un U  enfer insupportable,

Ils sont exclusifs, prétendent   R  n’aimer qu’une fois.

Faut-il les plaindre, les blâmer   E   ou les voir dépérir,

À chacun son bonheur, car, c’est   U    à lui de le forger.

Nul ne peut décider pour lui ce qu’  X     est le bonheur.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un vase ancien,

Probablement grec,

Sinon voire étrusque :

Imageant le bonheur ?

.

1009 4

.

À une époque le bonheur n’avait

Rien d’une  recherche  plus  égoïste :

Les gens, ou bien  appartenaient   à une

Communauté ou bien ils n’existaient pas.

Le   bonheur   n’a  rien  à voir  avec  vase

Quel  qu’il  soit  et  quoiqu’il  contienne :

À la limite, peut être un porte-bonheur

Par le sentiment qu’on lui associera.

 .

Symbolique 

 .

Il y a de nombreux

Signes   et   symboles

Venant du Monde entier

Qui  sont  considérés  comme

De véritables porte-bonheur.

Et d’autres sont censés apporter

Bonne fortune à qui les possèdent.

Certains croient que ces symboles

Peuvent exaucer certains vœux

Ou même guérir les malades.

Il y a de nombreux  symboles

Pour conjurer le mal et les sorts.

Les  points  de  vue  culturels  sur  la

Chance varient depuis fait de percevoir

La chance comme une question de hasard

Aléatoire jusqu’au fait d’attribuer à la chance

Des explications de la foi, ou, de la superstition !

Source : ancient-symbols.com/french/good_luck_symbols

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1009 6

.

À une époque le bonheur n’avait

Rien d’une  recherche  plus égoïste :

Les gens, ou bien  appartenaient   à une

Communauté ou bien ils n’existaient pas.

 .

Symbolique 

 .

La conception de l’homme

Comme un individu calculateur

Qui cherche en  toutes  circonstances

À « maximiser »                  la satisfaction

De ses intérêts   o      ou      o  à promouvoir

Ses préférences,                           constitueront le

Paradigme domi                            nant en  sciences

Humaines    dites                             contemporaines,

Psychologie, soci                             ologie,  économie.

Nombre des  théo                          ries du lien social

N’admettent-elles                        d’autre principe

Qu’affirmation                        en fin de compte

C’est la satisfac          tion des intérêts

Égoïstes que      nous visons.

Cairn.info/revue-du-mauss-2004-1

 .

 .

Fond/forme 

 .

Ce n’est pas un porte-bonheur

Qui nous dira si on est heureux

Ce n’est que gri-gri, objet fétiche

Qui augmenterait notre croyance,

Mais après tout, c’est coup de pouce,

Pour tenir le coup, pour espérer mieux

Pourquoi pas, tous les moyens sont bons

Et les objets, les rituels seront par millions

Le fait de porter des alliances est un symbole

Mais ne suffira pas à créer ni garder bonheur.

.

Textuels et illustrations >>

1008 – On est désir latent mais plaisir, patent

eclats-existences.fr/on-est-desir-latent-mais-plaisir-patent

Textuels et illustrations  >>

 

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Latent : qui  est  en  dessous ;

Patent : qui apparait clairement

Si le désir  est latent, inconscient,

Le plaisir patent  ne l’est pas tant

Parce  qu’on le sent, on le ressent,

Et  qu’on le voit, ou non,  efficient :

Désir sans plaisir, réciproquement,

Sont actes ratés … communément.

Si échelle du plaisir fait sensation,

Celle du désir n’a de limitations

Que celle qu’on veut lui donner,

Fonction moyen et contexte.

 .

On est désir, latent

Mais plaisir, patent,

Son bonheur tenant,

Souvenir émouvant.

.

Autant d’événements

Qui seront marquants,

Tout au long du temps,

Qui font jours, instants.

 .

Instants où découvrant,

Que l’on m’aime  autant,

Par  attentions   d’amant

Qui me rendent content.

.

Le bonheur, évidemment

S’échappe    instamment

Dès qu’on  le   surprend

À jouer comme l’enfant.

 .

L’événement marquant

Est celui qui vous prend,

 Et lorsqu’il  vous  reprend

La nuit bien que dormant.

.

Il vous  cajole et, d’autant,

Qu’il fait inconsciemment ;

Une inscription marquant

En le souvenir du temps.

Extensions

 .

Le désir et le plaisir entrent

Parfois en phase ou opposition :

Un désir fort et un plaisir intense ;

Un désir faible et un plaisir minimal :

Le désir a ceci de particulier qu’il existe

Et continue  en deçà et au-delà du plaisir :

Le désir s’imagine, le plaisir se consomme.

C’est ce qui fait de nous aussi, bien plus

Qu’animaux, parait-il : des hommes !

Cela dit, notre désir nous échappe

Il est conditionné par notre expérience

Passée et renforcé à chaque fois que le plaisir

Est au rendez-vous selon mécanisme récompense.

Si le plaisir ne se manifeste plus : le désir disparait,

«Je n’aime plus faire l’amour, ça ne me fait plus rien ».

Comme si c’était un simple acte physique, alors que

L’imaginaire et le symbolique, crée joie de l’esprit

Et de l’âme, bien supérieure, bien plus durable

Qu’un va et vient soit  inférieur ou éphémère.

Toute notre culture, toute notre consommation

Nous pousse à privilégier plaisir intense et immédiat

À l’irrigation de nos cellules corporelles et nerveuses :

Un feu d’artifice des sensations et pulsions plutôt

Qu’un feu sous la cendre du rêve, enchantement.

.

Le désir, c’est toujours avant

Après, il ne le serait pas tant,

Mais, comme il se renouvelle,

L’on peut tirer sur ses ficelles,

Autant qu’on veut, à  condition

Qu’on soit capable de son action

Car, saoul on ne tient pas debout,

Car flapi, on n’en vient plus à bout

Car dormant, on ne le sent, du tout.

.

Tout désir sera toujours latent,

Tant bien caché en inconscient,

Tout plaisir est toujours patent

Tant il est manifeste… évident.

.

Les deux s’émoussent d’autant,

À force, leur mousse,  goutant,

Si leur désir devient frustrant,

Si le plaisir n’est pas suivant !

.

Désir de l’âme est peu sensuel,

Est, tout le contraire, spirituel,

Bien que complémentaire, réel,

Plaisir ne serait jamais éternel.

.

Fragments

 .

Désir latent, absent ou … présent,

Plaisir patent, bien fort ou pas tant,

Le désir se conjuguerait tout le temps,

Le plaisir, lui, se déclinera en moments.

.

Il est de mon plaisir qu’être sujet au désir :

Force de ce dernier peut être mon seul plaisir

Mais  il peut aussi engendrer de la frustration,

Qui me fera bien  de la peine, ou de l’irritation.

.

La perte d’un désir est comme en faire un deuil,

Il arrive, qu’avec l’âge, sexualité se met en berne,

Ce n’est pas une fatalité, n’est pas qu’on le veuille,

Simplement, la réveiller : elle demeure trop terne.

.

On ne peut vivre sans désir, pas forcément amour

On peut le remplacer par collections de richesses,

D’objets, lieux, pour lesquels  certaine tendresse

Compense un manque, fondamental, d’amour. 

.

En disant cela, je vous ai tout dit,  et rien dit,

Tous les cas sont dans la nature, tous désirs

Moindre petits plaisirs, remplit, en partie,

Une insatisfaction à n’en jamais … finir.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Latent : qui est en dessous ; patent : qui apparait clairement

Si le désir est latent inconscient, le plaisir patent ne l’est pas tant

Parce qu’on le sent, on le ressent, et qu’on le voit, ou non, efficient :

Désir sans plaisir, réciproquement, sont actes ratés communément.

Si échelle du plaisir fait sensation, celle du désir n’a de limitation.

Que celle qu’on veut bien lui donner, fonction moyen, contexte.

D

On est dé     É     sir, latent

Mais plai     S   sir, patent,

Son bonh     I   eur tenant,

Souvenir      R    émouvant.

Autant d’é    *    vénements

Qui seront    L   marquants,

Tout au long A      du temps,

Qui font jou  T   rs, instants.

Instants où    N    découvrant,

Que l’on m’ai T    me   autant,

Par attenti     *    ons d’amant

Qui me ren    P dent content :

Le bonheur    L  évidemment,

S’échappe      A   instamment

Dès qu’on       I   le   surprend

À jouer com    S     me l’enfant.

I

L’événement    R         marquant

Est celui qui      *        vous prend,

 Lors qui vous     P       vous reprend

La nuit, bien       A       que dormant

Il vous  cajole       T          et, d’autant,

Qu’il fait incon      E           sci-em-ment

Une inscripti          N           on marquant

En le souve               T            nir du temps.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Évocation

 .

Ça m’a tout l’air d’un simple «T»

Comme pour clé à serrer l’écrou,

Ou tire-bouchon désir, plaisir,

Comme pour gouter un bon vin.

.

1008 4

.

 

Le désir c’est si on se sert du tire-bouchon

Pour ouvrir bouteille :

Le plaisir, c’est quand on apprécie ou non,

Le vin  contenu dedans !

Désir et plaisir vont bien ensemble

comme envie de bon vin et le boire,

si fait que tire-bouchon est bien utile

pour que sa forme ouvre… son fond !

 .

Symbolique 

 .

Il faut bien  différencier  le besoin du désir :

Le besoin est issu des pulsions d’autoconservation

Il est associé à la survie de par ses besoins vitaux

Manger, boire, dormir, etc..

.

Le désir a pour seul et unique

But le plaisir : on peut se passer

D’un désir mais pas d’un besoin.

Le besoin nécessite un objet réel

Pour  être  assouvis, tandis  que

Le désir peut se contenter d’un

Objet fantasmatique et l’objet

N’est cependant pas la cause

Du désir mais moyen

D’accomplis

Sement.

philippeblazquezpsychanalyste.

com/desirs

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1008 6

.

Le désir c’est si on se sert du tire-bouchon

Pour ouvrir bouteille :

Le plaisir, c’est quand on  apprécie, ou  non,

Le vin  contenu dedans !

 .

Symbolique 

 .

Que dit Épicure du rapport

Entre désir, plaisir et bonheur ?

Pour le philosophe, il ne faut pas

Confondre le désir et le plaisir :

Tout plaisir est bon, alors qu’il

Y a de bons et mauvais désirs.

.

Il distingue les désirs naturels

Et nécessaires – manger, boire

Des désirs  naturels  mais non

Nécessaires  tel   faire l’amour

Et de ceux qui sont ni naturels,

.

Nécessaires auxquels il convient

De  se soustraire   du  fait   qu’ils

Ne seront  jamais ….   satisfaits :

Désir de pouvoir, gloire, richesse.

franceculture.fr/philosophie/philosophie-

pour-comprendre-autrui-et-le-desir

 .

.

Fond/forme 

 .

Très proches sont : latent et patent,

Homophonique ment et en changeant

 L en p, on inverse le sens, évidemment,

Les deux ne se confondent pour autant.

.

Lors, si on peut supprimer tout plaisir

On n’en ferait pas de même du désir,

Constituant essence même de la vie

Dont on se passera sans mourir

Sinon aux autres, à soi-même

Flottant en l’inconsistant !

.

Textuels et illustrations  >>

1007 – Météo, qu’il pleuve, qu’il vente ou brille

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La météo … à l’extérieur,

Influe sur celle, intérieure,

Sauf quand  on  s’en moque

Parce  qu’elle  ne   provoque

Bonne,  mauvaise,  humeur.

Car la météo  des  émotions

Lors  elle est  au  beau fixe,

En aimant,   avec passion,

En joies, se rend prolixe.

 De jour comme de nuit

Un rayon de joie luit

En moi  en Éclats

D’existences,

J’en suis

Ravi

V

.

Et dès lors

Qu’il pleuve, vente, brille

Le cœur en fête, tête  scintille,

De mille éclats de joies, de désirs.

 .

Il  n’a  prise,  sur moi,  lors  respire

Luxe,   calme,  volupté,   intérieures,

Que la vie m’a donné comme cadeau,

Ce n’est pas ciel  mais grand bonheur

Qu’aimer quelqu’un et   au plus haut.

.

Qu’il fasse, jour, obscur   voire, nuit,

Un soleil, en moi,  toujours    reluit,

Éclaire  mon passé, présent  avenir,

Nul  ne saurait me le faire  partir !

.

Cet état de grâce, si ce n’est magie,

Souvent, sur mon humeur, rejaillit

Je ne vis pas  sur  un  petit nuage :

C’est juste  amour, vie, en partage.

.

Que ma vie  soit  rose  ou  morose,

Ma manière de la considérer, pose

Un  regard,  sur  elle,  bienveillant,

Qui me rend,  toujours,   plaisant.

.

Extensions

 .

La pluie, le vent, le soleil m’importent peu

Si à l’intérieur de moi-même, je suis et reste heureux.

Combien de gens se disent chagrinés par un mauvais temps

«Encore une journée de foutue, ce n’est que la énième à suivre ».

Ils souhaitent la pluie pour la nature, végétation, fraicheur,

Mais pas pour eux, en tous cas, pas dans la journée

Quand ils ont besoin de s’activer à l’extérieur.

L’amour de la vie et la vie de l’amour

Se rejoignent, plutôt bien, en météo

De nos sentiments et nos humeurs.

Il n’est pas faux qu’un grand soleil

Qui dure plusieurs jours  d’affilée,

Rendrait  les gens  plus détendus,

Moins renfermés  sur eux-mêmes,

Plus disponibles aux autres que pluie

Qui n’en finit pas à rester calfeutrer chez soi

Ou dans son bureau pour ne plus communiquer

Que par téléphone ou messagerie, et voire courrier.

Mais, s’il suffisait de vivre, sous un soleil, permanent,

Pour être heureux, Afrique est continent le plus joyeux

Or il n’en est rien, du moins, à mes yeux  d’Européen.

Météo extérieure, intérieure se renforcent, nuisent.

.

Qu’il  pleuve,  qu’il  vente, ou  qu’il  brille :

Mon cœur, en fête, ma  tête  scintille,

De mille  « éclats d’existences »

Qui me mettent en transe,

Me rendent… joyeux.

Sous …parapluie,

Sous  parasol,

En terrasse

Ou plage.

.

Météo extérieure influencerait, de plus en plus,

Météo propre humeurs dans notre for intérieur :

Le soleil est le bienvenu, la pluie plutôt malvenue,

Sauf pour gens heureux où le soleil est en le cœur.

.

Le mauvais temps conditionne le temps qui passe :

Il n’a ni la même valeur, intensité que beau temps !

Est-ce pour autant qu’en les pays  où il ne pleut pas,

Gens sont, depuis leur naissance, toujours contents :

.

Apparemment non, surtout s’ils sont affamés, pauvres,

Il faut croire que la météo est un facteur parmi d’autre.

Sans doute qu’il est nécessaire mais loin d’être suffisant,

Et il ne peut être compensé par sa créativité tout autant.

.

Fragments 

 .

Vent, pluie … soleil,

Un trio de la météo,

Temps est merveille,

Mauvais, vers beau !

.

Il est un souci majeur

Avec une climatologie

Propre  à  un malheur,

Bien  plus  aujourd’hui

.

Il influencera l’humeur

Et nos activités, dehors,

On le consulte à l’heure,

Pour connaitre  le sort !

.

La météo de mon cœur,

N’est pas soumise à lui,

Il échappe à mélancolie

Du temps qui fait peur.

.

Pluie, soleil, voire vent,

M’importe peu dès lors

Que je serai ton amant,

Et nos corps, plus forts.

.

Pas le même sur planète

Pays où il vente souvent,

Où il pleut tout le temps,

Où le soleil  reste en fête.

.

J’aime bien changement,

Pas monotonie du temps,

En  Bretagne,  il fait beau,

Plusieurs fois …  par jour !

.

Un vent léger vous caresse

Pluie fine … vous vaporise,

Rayon soleil  est tendresse

Et ensemble,  vous irisent !

.

S’il pleuvra trop longtemps,

S’il ventera … tout le temps,

S’il fera soleil  trop de jours,

C’est pas bon pour l’amour !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

La météo … à l’extérieur,

Influe sur celle, intérieure,

Sauf quand  on  s’en moque

Parce  qu’elle  ne   provoque

Bonne,  mauvaise,  humeur.

Car la météo  des  émotions

Lors  elle est  au  beau fixe,

En aimant,   avec passion,

En joies, se rend prolixe.

 De jour comme de nuit

Un rayon de joie luit

En moi  en Éclats

D’existences,

J’en suis

Ravi

V

***

***

***

Et dès lors

Qu’il pleuve, vente, brille

Le cœur en fête, tête   P  scintille,

De mille éclats de joies,  L    de désirs.

                     U

Il  n’a prise sur moi           I    lors respire

Luxe, calme, volupté        E   intérieures,

Que la vie m’a donné  V    comme cadeau

Ce n’est pas ciel mais   E   grand bonheur

Qu’aimer quelqu’un et   N    au plus haut.

Qu’il fasse, jour, obscur    T    voire, nuit,

Un soleil, en moi, toujours        S   reluit,

Éclaire mon passé, présent      O   avenir,

Nul ne saurait me le faire       L    partir !

Cet état de grâce, si ce n’est  E      magie,

Souvent, sur mon humeur,  I       rejaillit

Je ne vis pas  sur un petit  L          nuage :

C’est juste d’amour, vie   =      en partage.

Que ma vie soit rose     M        ou  morose,

Ma manière de la      É    considérer, pose

Un  regard,  sur      T     elle,  bienveillant,

Qui me rend,       É     toujours,   plaisant.

O ………….

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un trophée sportif

Placé sur un piédestal,

Et plutôt du genre massif,

Bien plus qu’un pluviomètre.

.

1007 4.

Il est vrai que ce trophée ne craint

Ni le vent ni la pluie ni le soleil.

Et rien à voir avec la météo à moins

Que ce ne soit pluviomètre.

La météo n’aura rien à voir ni faire avec trophée

Même si un pluviomètre en peut prendre la forme,

D’un côté c’est de la sueur et de l’autre que de l’eau

Tant et si bien que la forme se distingue du fond.

.

Symbolique 

 .

Le trophée est remis au vainqueur

Et des titres symboliques à ses seconds

Lors d’une cérémonie officielle par un membre

Éminent de la discipline ou  instance fédérale.

.

L’objet du trophée pourra être symbolique

Ça peut être une coupe ou une médaille,

Financier (un bon d’achat, un chèque,

Ou un contrat : un contrat d’édition.

.

La cérémonie sera souvent enjolivée

D’un discours, et remise de bouquet

Ou  d’une  couronne,  d’une  montée

Des couleurs drapeau, de l’exécution

D’un  hymne spécifique, voire national.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

Il est vrai que ce trophée ne craint

Ni le vent ni la pluie ni le soleil.

Et rien à voir avec la météo à moins

Que ce ne soit pluviomètre.

.

Symbolique 

 .

Le pluviomètre est

Un instrument

Météorologique destiné

À mesurer la quantité

De précipitations (pluie)

Tombée pendant un intervalle

De temps en un endroit :

Les relevés d’un seul pluvio

Mètre ne seront donc pas

Caractéristiques de la

Pluie qui tombe en région.

Les premières mesures

Des quantités de pluie

Connues furent faites par

Les Grecs  500 av. JC.

Cent ans plus tard, en Inde,

La population utilisait

Des bols pour recueillir l’eau

De pluie et la mesurer.

Dans les deux cas, la me

Sure de pluie aidait

À estimer le rendement

 Futur des cultures.

Wikipédia : pluviomètre

 .

.

Fond/forme 

 .

Un trophée donne grande valeur à son effort consenti

Non pas en soi, mais par rapport autres compétiteurs.

La météo pourra l’augmenter s’il se passe en extérieur

Rarement l’empêcher sauf en cas d’orage ou  tempête.

.

Le pluviomètre n’est autre qu’un réservoir indicateur

D’une quantité de pluie, tombée, en un temps donné

Il objectivera le sentiment  d’un certain inconfort,

Alors qu’il peut être salvateur pour agriculture.

.

 Textuels et illustrations  >>

1006 – Ne cherchez pas le bonheur en vous, sûr !

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le bonheur,

C’est parfois

C’est  souvent

Quand on rend

L’autre heureux.

C’est aussi … simple

Que cela et pour autant,

Ne vous en contentez-pas,

Pensez au vôtre, également !

.

Ne cherchez pas …. le bonheur

En vous, pour sûr, il n’y est pas,

Il ne sera qu’entre vous et milieu,

Est-ce dire que, pour être heureux,

Qu’il faudrait  toujours être … deux,

Même y compris  à l’intérieur de soi,

Et sans, pour  autant, que l’on en soit

Bien  certain, lorsqu’il est  très fébrile,

De son occiput et jusqu’à son nombril.

.

Ne cherchez pas le bonheur, en l’autre,

Il n’y sera pas,

Ce serait un bonheur de …  procuration,

Non de passion.

Il est  entre le plus, moins, des deux piles

Magnétiques.

Est-ce à dire, qu’aucun autre, sur la Terre,

Durant  sa vie,

Ne peut vous l’offrir, le rendre, l’apporter !

.

Non, que nenni,

Mais il vous faudra faire moitié de chemin,

Vous-même ver lui.

Ne cherchez pas le bonheur  dans la fusion,

Car  il n’y serait pas

Ce serait un bonheur, de très  courte durée,

Trop  interpénétré 

Car, votre, vous ne pourriez pas le détacher,

Sans risque tomber.

.

Est-ce à dire, qu’on ne doit pas consommer

Notre parfait amour

Nous garder des rapprochements de corps

Et bien trop forts !

Point, mais, ne pas prendre  l’acte  sexuel

Pour  consensuel.

.

Le bonheur se vit et surtout se partage

Avec d’autres,

On ne peut rester seul sur son nuage,

Pour qu’il s’engage,

Il faut être à deux sous parapluie

Où aucune pluie ne lui nuit !

.

Extensions

 .

Ne cherchez pas le bonheur

Car c’est lui qui vous trouvera.

Et, de l’état d’humeur, où vous êtes,

Il s’en accommoder et il le transformera

En état de grâce ou tout est beau, bon, bien.

.

L’expression même du bonheur par procuration.

Tout en imaginant que l’autre finira être heureux,

On l’est un peu, beaucoup, passionnément, pour lui.

.

Bonheur collectif ne tiendrait-il pas d’une euphorie

Qui, par contagion, gagne même le plus triste,

Mélancolique, retombe quand les autres

Ont disparu, comme après un beau concert !

Comment saurais-je je suis rempli de bonheur !

.

C’est simple, vous vous en souviendrez lors il sera évanoui

Sans savoir  d’où il vient, où il va, qu’il est passé chez vous.

Bonheur, finalement ne se cherche ni ne se trouve, il se vit.

.

Le bonheur, on ne sait pas où, on ne sait pas quand,

Tant, quand on l’espère, on l’anticipe, on l’attend

Il n’est pas au rendez-vous ou il est déjà parti

Sans se faire, pour vous, le moindre souci.

Comme l’amour, un enfant de bohème

Il est là où  on  ne le cherche plus,

Et même, en des cas extrêmes,

Un peu comme en surplus.

.

Le bonheur n’est pas qu’un état intérieur

Que l’on produirait soi-même et à volonté,

N’est pas plus conditionné  par l’extérieur,

Soit par influence d‘autrui,  soit par pilule.

.

Je suis heureux pour vous en est expression

Parfois c’est bien réel mais par procuration

Ce  sera plutôt du domaine de sa projection

Comme une envie jalousie, par procuration.

.

Le bonheur restera quelque chose entre vous,

Comme l’amour n’est ni autonome, personnel.

.

Fragments

.

De faire le bonheur de quelqu’un,

Contribuerait à construire le sien :

L’on ne pourrait être heureux seul,

Quoiqu’on fasse, quoiqu’on veuille

.

Comme jeune poulain avec sa mère

Gambadant, en pré, sans se soucier

Son bonheur est en son insouciance

De tout ce qui pourrait  lui arriver !

.

Tout cheval possédera trois allures :

Il se met au pas quand il a le temps

Au trot quand il  agite son encolure,

Au triple  galop quand il est content

.

Ceci dit le bonheur peut s’approcher,

Yoga vous mettra en état de méditer

Il s’agit d’un bonheur, tout intérieur,

Rendant votre corps, esprit, meilleur.

.

Sophrologie préconise un lâcher prise,

Mettant en état de planer  sur un nuage,

En aidant ainsi les autres à faire de même

Tant, sans les autres, vrai bonheur n’existe.

.

Calligramme

 .

NE

Le bonheur,

C’est parfois

C’est  souvent

Quand on rend

L’autre heureux.

C’est aussi … simple

Que cela et pour autant,

Ne vous en contentez-pas,

Pensez au vôtre, également !

Ne cherchez pas …. le bonheur

En vous, pour sûr, il n’y est pas,

Il ne sera qu’entre vous et milieu,

Est-ce dire que, pour être heureux,

Qu’il faudrait  toujours être … deux,

Même y compris  à l’intérieur de soi,

Et sans, pour  autant, que l’on en soit

Bien  certain, lorsqu’il est  très fébrile,

De son occiput et jusqu’à son nombril.

CHERCHEZ PAS

Ne cherchez pas le bonheur, en l’autre,

Il n’y sera pas,

Ce serait un bonheur de …  procuration,

Non de passion.

Il est  entre le plus, moins, des deux piles

Magnétiques.

Est-ce à dire, qu’aucun autre, sur la Terre,

Durant  sa vie,

Ne peut vous l’offrir, le rendre, l’apporter !

Non, que nenni,

Mais il vous faudra faire moitié de chemin,

Vous-même ver lui.

Ne cherchez pas le bonheur  dans la fusion,

Car  il n’y serait pas

Ce serait un bonheur, de très  courte durée,

Trop  interpénétré 

Car, votre, vous ne pourriez pas le détacher,

Sans risque tomber.

LE BONHEUR

Est-ce à dire, qu’on ne doit pas consommer

Notre parfait amour

Nous garder des rapprochements de corps

Et bien trop forts !

Point, mais, ne pas prendre  l’acte  sexuel

Pour  consensuel.

Le bonheur se vit et surtout se partage

Avec d’autres,

On ne peut rester seul sur son nuage,

Pour qu’il s’engage,

Il faut être à deux sous parapluie

Où aucune pluie ne lui nuit !

EN VOUS !  

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un vase très fin et long

Un peigne ou  écouvillon,

Ou un flacon  mais  décoré

D’un motif illustrant cheval.

.

1006 4

.

 

Le bonheur serait-il comme un cheval

Au galop  sur un flacon,

Pour son seul plaisir, et sans se soucier

Nullement de son entourage.

.

Symbolique 

 .

Méditez sur votre animal totem,

Voir un cheval courir, librement,

Est bien le signe que  votre volonté

Est libre, liberté d’expression, forte.

Un cheval sauvage au galop pourrait

Également,  symboliser tout, ou partie,

De votre  personnalité  ou  des  émotions

Qui sont difficiles à gérer  et qui dominent

Vie au lieu que ce soit vous qui les dominez.

Comme un animal totem,

Se rapporte à la capacité

De  s’exprimer, librement,

Et   avec   assurance  dans

D’environnements sociaux

Tels que le travail, l’école ou

Les cercles de la famille, amis.

animal-totem.fr/animal-totem-cheval

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1006 6

.

Le bonheur serait-il comme un cheval

Au galop  sur un flacon,

Pour son seul plaisir, sans se soucier

Nullement de son entourage.

.

Symbolique

 .

L’insouciance est

Une forme de plénitude

De sensations et pensées positives

Par  rapport  à  certaines  choses.

Quelqu’un ayant de l’insouciance,

C’est quelqu’un qui ne se prend

Pas la tête avec les problèmes

Et qui pense que tout

Va pour le mieux.

C’est une sorte

D’optimisme.

On dit qu’enfants 

Resteraient insouciants

Car comme ils sont jeunes,

Ils ne seront que peu préoccupés

Par les problèmes de la vie courante.

 .

 .

Fond/forme 

 .

Dire que le cheval est insouciant de son utilisation

Serait en partie faux : il n’est ni un esclave ni objet :

Il n’y a guère que les enfants, les fous et les vieillards

Qui le sont, chacun à son degré et chacun à sa façon.

.

Cela dit, adulte on peut la cultiver de temps à autre

En pratiquant ce qu’on appelle un « lâcher prise »

Qui nous met en un état de planer sur un nuage

Tout en en aidant les autres à faire de même

Tant sans les autres, le bonheur n’existe !

.

Textuels et illustrations   >>

1005 – La joie de vivre existe : je l’ai expérimentée

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Joie de vivre, je l’ai  connue,

Lors étant enfant, je l’ai reconnu,

Lors adolescent et jusqu’à   présent.

.

La joie est gratuite  spontanée, fortuite,

En enfance elle est en plein mouvement

Intériorisée, lors l’inverse,  vieillissant.

.

Joie de vivre  reste une drogue  douce,

Qui à créer vous  pousse et ce jusqu’à

En devenir ivre  mais non ivre mort,

Ivre vivant, toujours renouvelée.

.

Joie de vivre existe,

Et même, en égoïste,

Maintes fois, désirée

Mais le plus souvent

Elle est contagieuse .

.

Joie sert de stimulant

En journée laborieuse

La joie produit en soi

Un parfum des émois

Qui modifie le temps

Absorbe mouvements.

.

Réenchantez le monde

Et le monde rechantera

En  humeurs  fécondes

Le temps qui  passera.

.

L’œuvre qui réalisera

Votre projet création,

Empreinte de  sa joie,

Fruit de votre passion.

.

Jours, tagués de croix

Inscrits traits   blancs,

Iront en augmentant

Sur l’agenda adéquat.

.

La joie de vivre excite,

La joie de vivre suscite

La joie de vivre profite,

Joie de vivre, se mérite.

.

Se mérite, et, comment,

En jouant,   simplement,

Pas se prendre au sérieux

Et toujours rester curieux.

.

Et  alors, tout irait mieux,

Fin  même   merveilleux :

Inaptes, aux joies, existe,

Si l’on vit en défaitiste.

.

Extensions

.

La  joie  de  vivre  existe,

Suffit la cultiver, comment :

Demeurant d’un tempérament

Optimiste  et caractère curieux.

Il y en a qui  ne  parviennent  pas

À gouter  les situations  où tous les

Gens qui les entourent  sont heureux.

Il suffit d’un rien,  un coucher de soleil,

D’un paysage montagneux, chant d’oiseau,

Du passage d’une biche, d’un vol de papillon

Ou de la pose d’une coccinelle sur sa peau.

La joie est l’antichambre du bonheur,

C’est elle qui ouvre la porte pour

Nous inviter à la rejoindre.

Quand la vie devient routinière,

Stressante, pénible, absurde, les souvenirs

Des moments joyeux et l’assurance qu’il y en aura

D’autres prochainement nous aidera à faire le lien,

À prendre le recul nécessaire pour ne pas sombrer

Dans la dépression, la mélancolie et à se réjouir

Par avance des nombreux moments de joie :

Une bonne bière à la terrasse d’un café

Avec des amis, une randonnée

Cadeau d’anniversaire

Est cadeau de vie.

.

Bonheur à la portée de tous,

Pour peu qu’on le veuille simple,

Fait  de  petites  choses, agréables,

Ou  de  sensations, indéfinissables,

Et  pas gourmandes, très humbles,

Mais qui nous rendent un peu fou

Tant en gestes qu’en mouvement

Etre heureux déjà, toute seule,

Etre heureux en compagnie

Etre heureux … à deux.

.

C’est le bonheur que ressent une personne à être en vie,

L’expression de sa confiance en soi, vitalité, optimisme :

Sa créativité et sa réflexion y contribuent… grandement.

.

Pour certains, il en faut beaucoup et pour d’autres, peu,

Or tout dépendra aussi de l’état où on se trouve, se plait

«Carpe diem» est sa devise et optimisme, son crédo !

.

Savoir saisir, pour soi-même ou pour autrui,

Ce qui survient  comme  par une chance,

Hasard heureux serait sa sérendipité !

Entre espérance, action, ouverture

D’esprit, une telle joie de vivre

S’apprend et s’entretient.

.

Fragments 

 .

Un bonheur, une joie de vivre, serait comme

L’élégance, faite de nombre détails en somme,

Mais  dont l’addition  ne suffirait, pour autant,

À dire, de quelqu’un, qu’il l’est ou pas, élégant !

.

Comme pour un texte philosophique ou profond

Il demandera, plus d’une forme d’interprétation :

L’élégance se lit sur les lignes, en plus entre elles !

.

Il ne suffit pas d’être beau,  il ne suffit d’être belle,

Faut-il, encore, le dégager, de soi et comme irréel.

.

Le bonheur est un parfum de joie qu’on diffusera.

.

Il est en soi, il est autour de soi,  il communique,

Et il vous rend, à la fois, élégant et sympathique.

.

Quel que soit sa coupe de cheveux, et vêtements,

Son sourire, flamme dans ses yeux les illuminent

Jusque dans ses gestes, grand bonheur  culmine.

.

Le bonheur, élégance, ne sont pas qu’apparences,

Tous deux proviennent de l’intérieur, conscience,

Changer de tenues ou se maquiller différemment,

N’étioleront pas lumière brillant en pur diamant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Joie de vivre, je      l’ai  connue,

Lors étant enfant              je l’ai reconnu,

Lors adolescent et                      jusqu’à   présent.

La joie est gratuite                         spontanée, fortuite,

En enfance elle est                          en plein mouvement

Intériorisée, lors l’                        inverse,  vieillissant.

Joie de vivre reste                      une  drogue  douce,

Qui à créer vous                pousse et ce jusqu’à

En devenir ivre     mais non ivre mort,

Ivre vivant, toujours renouvelée.

*****************

*****************

¤¤¤ Joie de vivre        J                   existe, ¤¤¤

¤¤¤ Et même, en        O                 égoïste, ¤¤¤

¤¤¤  Maintes fois        I               désirée    ¤¤¤

¤¤¤ Mais le plus         E             souvent    ¤¤¤

¤¤¤ Elle est con         *           tagieuse    ¤¤¤

¤¤¤  Joie sert de       D      stimulant     ¤¤¤

¤¤¤  En journée       E     laborieuse    ¤¤¤

¤¤¤  La joie pro      *    duit en soi     ¤¤¤

¤¤¤  Un parfum      V     des émois    ¤¤¤

¤¤¤  Qui modifie     I      le temps     ¤¤¤

¤¤¤  Absorbe mou  V     vements.    ¤¤¤

¤¤¤  Réenchantez    R   le monde     ¤¤¤

¤¤¤  Et le monde     E  chantera      ¤¤¤

¤¤¤  En humeurs     *    fécondes     ¤¤¤

¤¤¤   Le temps qui   E   passera.     ¤¤¤

¤¤¤   L’œuvre qui    X réalisera     ¤¤¤

¤¤¤   Votre projet    I  création,    ¤¤¤

¤¤¤    Empreinte     S    de joie,   ¤¤¤

¤¤¤   Fruit de votre T   passion   ¤¤¤

¤¤    Jours, tagués  E  de croix    ¤¤

 ¤¤    Inscrits traits  *       blancs,   ¤¤

 ¤¤¤  Iront en aug    J    mentant ¤¤¤

¤¤¤  Sur l’agenda     E    adéquat. ¤¤¤

¤¤¤  La joie de vivre  *       excite,  ¤¤¤

¤¤¤  La joie de vivre   L       suscite  ¤¤¤

¤¤¤  La joie de vivre     ‘        profite,  ¤¤¤

 ¤¤¤  Joie de vivre, se    A         mérite.  ¤¤¤

¤¤¤   Se mérite, et,     I      comment,   ¤¤¤

¤¤¤   En jouant,        *     simplement,   ¤¤¤

¤¤¤   Pas se prendre   V     au sérieux   ¤¤¤

¤¤     Et toujours rester  É     curieux.      ¤¤

¤¤     Et alors, tout ira      C   mieux,       ¤¤

¤¤¤    Fin même merveil    U    leux.     ¤¤¤

¤¤¤   Inapte, aux joies,    E   existe,    ¤¤¤

Si l’on vit          *  défaitiste.

.

Forme

.

.

Évocation

.

L’élégance d’une belle femme

Avec belle coupe de cheveux 

Qui lui agrandit toute sa tête

Comme un champignon ?

.

.

On devine un vrai bonheur :

Celui de la jeunesse, de l’insouciance,

De la beauté et de l’élégance

Rien que par une coupe de cheveux.

La joie de vivre tient parfois à un détail

L’élégance due à une coupe de cheveux,

Qui fait gonfler le cœur, remuer sangs,

Si fait que forme accroche sentiment.

 

Symbolique 

 

En vie sociale,

 L’élégance    est

La qualité de celle  

Qui présentera une

Certaine grâce 

Harmonieuse caractérisée

Légèreté, aisance en forme et le mouvement,

Dans le domaine du vêtement, de la mode.

Elle est l’un des objectifs  des couturiers.

Ce n’est pas  une question de moyens :

Si une tenue vestimentaire indiquera

Un statut social et un état d’esprit.

Une femme, par ses assortiments

Par compléments ou  retouches,

Est indiscutablement élégante.

wikipedia.org/wiki/elegance

.

.

Fond

 

Évocation

.

1005 6

.

On devine un vrai bonheur :

Celui de la jeunesse, de l’insouciance,

De la beauté et de l’élégance

Rien que par une coupe de cheveux

 .

Symbolique 

 .

Le cheveu exprime une 

 Symbolique très  profonde.

Racine portant nos mémoires,

L’antenne  qui nous relie au ciel.

.

Il est  aussi le « fil de notre âme ».

Le  lavage  du  cheveu  purifie  l’âme

Coiffage la forme, la module, la canalise.

.

Coupe de cheveux, quant à elle, structure

L’âme, sa limite, elle représente la coupure

Des racines de l’être, de ses mémoires,

De ses habitudes, de ses croyances,

De ses idées ou de ses pensées,

La taille de sa personnalité.

annie-masfaraud.com

/symbolisme

 .

 .

Fond/forme 

 .

L’élégance serait faite de choses et d’autres :

Habillement, coiffure, maquillage, chaussure

Tout autant que  port de tête, allure, marche,

Un assemblage, une parure allant au visage

Coupe de cheveux mettant le tout en valeur.

Comme la joie de vivre illumine l’ensemble

Et nous donne un air  qui nous ressemble. 

.

Textuels et illustrations  >>

1004 – Le bonheur est dans le pré, faut-il encore

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le bonheur est dans le pré :

Faudrait-il encore y aller

Si l’on y est pas déjà,

Vrai, il nous suffira

À compenser ennuis

Qui contrarient envies

Qui font le lot quotidien

D’une pauvre vie de chien.

.

Le bonheur est dans le pré,

Mais ce pré, il est loin,

Faut prendre le train,

Se prendre en main,

Un  peu se fatiguer,

Pour  bien  y arriver,

Avant qu’il s’échappe,

Et nous passe à la trappe.

.

Le bonheur est dans le pré,

Je le sais bien, j’en viens,

Mais je n’ai pu y rester,

Soucis  m’ont rattrapé,

M’ont happé tout entier,

N’ai pu remettre à demain

Tout ce que j’ai programmé,

Bonheur est de courte durée.

.

Le bonheur est dans le pré,

Essayez voir de l’attraper,

Il est comme un papillon

Et vole, autour de vous,

A vous en rendre … fou.

A deux … c’est plus aisé

En filet…pour le ramasser

En roulant sur le sol du pré.

.

Le bonheur est dans le pré,

Le pré quoi : le prélude,

A vos jeux,  innocents,

Vous  faisant  amants,

De la vie, de ses désirs

A deux et de reconquérir,

En l’herbe, votre plénitude :

Il ne vous reste qu’à gamberger.

.

Le bonheur est dans le pré,

Préparation de rencontre,

Préoccupation amour,

Prévision commune,

D’un avenir, radieux,

Vous menant aux cieux

Tout pour et tout… contre

Et ce jusqu’au dernier jour !

.

Extensions

.

Le bonheur est dans le pré :

C’est vrai et c’est faux :

Vrai pour les nouveaux amoureux,

Faux pour les vieux couples

Car c’est évident que ce n’est pas le pré

Qui fait le bonheur, un endroit

Comme un autre,  bucolique et romantique

Par essence, en tous cas bien plus

Que tout bouchon d’autoroute ou prison dorée.

Le pré, on n’y vit pas, on n’y reste pas,

C’est simplement un moment, disposition d’esprit

Et corps qui nous pousse naturellement

Vers le bonheur si petit et voire si éphémère soit-il.

Pré peut être remplacé en ville par le parc

Avec ses bancs publics mais aussi avec ses endroits

Plus discrets où amants s’aiment en secret.

En tous cas, il faut y aller, le préparer, le mériter :

Il ne vient pas à vous, par miracle,

Où que vous soyez, ni avec qui vous êtes.

L’enchantement n’en est que plus grand

Quand on a pris le temps de l’espérer.

.

Le bonheur est là où l’on est, y compris dans un pré

Tant il n’a aucun lieu à lui, et  n’en est pas à un près.

Il suffit des fois d’être en joie, lever les yeux aux cieux

Pour que ce petit miracle  se produise, d’être heureux,

De voir des fleurs, des papillons, un couple de chevaux,

De communier avec la nature, comme en faisant partie

En respirant  à  fond, son parfum de toutes les senteurs.

.

Le bonheur est ici, il est là, il est ailleurs

Des fois, bien que cherchant : nulle part.

.

Car le bonheur n’est ni en un lieu, temps

Il est juste en état intérieur, il est en soi.

.

Et puis le bonheur, c’est nous qui savons

S’il existe en nous, et non autres, société.

.

D’autant qu’il n’est pas relié qu’à l’amour,

Il est de toutes passions, de tous les jours.

.

Bonheur d’écrire  en est un, qui ne mange

Pas de pain, fait de nous, démon ou ange.

.

Fragments

.

Le bonheur est dans le pré

On ne le dira jamais assez,

Or suffirait-il de se baisser

Pour le garder  à ses côtés.

.

Tant pour qui n’a pas de pré,

Comment faire pour le trouver,

Bonheur serait à la bonne heure

Peu importe le lieu ou… sa valeur

.

Nombre bijoux sont porte-bonheur,

Le seul fait de les posséder, les porter,

Exprime une chance de plus pour cœur

C’est pour cela qu’on les offre aux aimés.

.

Valeur sentimentale de lien avec donneur

Valeur refuge pour cas de défaut d’argent,

Bonheur devient doublement symbolique,

En attachement et en détachement de soi.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

LE BONHEUR

Le bonheur est dans le pré :

Faudrait-il encore y aller

Si l’on y est pas déjà,

Vrai, il nous suffira

À compenser ennuis

Qui contrarient envies

Qui font le lot quotidien

D’une pauvre vie de chien.

 .

Le bonheur est dans le pré,

Mais ce pré, il est loin,

Faut prendre le train,

Se prendre en main,

Un  peu se fatiguer,

Pour  bien  y arriver,

Avant qu’il s’échappe,

Et nous passe à la trappe.

.

Le bonheur est dans le pré,

Je le sais bien, j’en viens,

Mais je n’ai pu y rester,

Soucis  m’ont rattrapé,

M’ont happé tout entier,

N’ai pu remettre à demain

Tout ce que j’ai programmé,

Bonheur est de courte durée.

EST DANS LE PRÉ 

Le bonheur est dans le pré,

Essayez voir de l’attraper,

Il est comme un papillon

Et vole, autour de vous,

A vous en rendre … fou.

A deux … c’est plus aisé

En filet…pour le ramasser

En roulant sur le sol du pré.

 .

Le bonheur est dans le pré,

Le pré quoi : le prélude,

A vos jeux,  innocents,

Vous  faisant  amants,

De la vie, de ses désirs

A deux et de reconquérir,

En l’herbe, votre plénitude :

Il ne vous reste qu’à gamberger.

.

Le bonheur est dans le pré,

Préparation de rencontre,

Préoccupation amour,

Prévision commune,

D’un avenir, radieux,

Vous menant aux cieux

 Tout pour et tout… contre

Et ce jusqu’au dernier jour !

FAUT-IL ENCORE

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Bijou six anneaux

En forme de bracelet

Saphir bleu au milieu,

Amour vaut bien de l’or.

.

1004 4

.

Le bonheur est souvent évoqué

Par l’achat d’un bijou :

Il étincelle quand il est courant

Dans le pré de l’amour !

Bijoux et amour, si on ne peut les confondre,

on convient qu’ils sont souvent en association

mais que  pour la gent féminine, en majorité,

pour autant, la forme évoque aussi le fond.

 .

Symbolique 

 .

Si le bijou souligne la féminité,

Il ne la décrète pour le moins.

L’habit n’ayant jamais fait le moine,

Le bijou ne fait pas la femme.

.

Valeur symbolique, affective très forte,

Il  est un marqueur existentiel

De notre histoire … la plus personnelle.

.

«Les miens expriment ancrage

Spirituel et lien à la terre », dit Flavia,

S’amusant à mélanger les styles :

« Une bague de fiançailles, une de famille

Semainiers indiens en turquoise. »

Source : psychologies.com/Beaute/Style/

Articles-et-Dossiers/Ce-que-les-bijoux

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1004 6

.

Le bonheur est souvent évoqué

Par l’achat d’un bijou :

Il étincelle quand il est courant

Dans le pré de l’amour !

 .

Symbolique 

 .

Le cœur est le symbole de l’amour

Par excellence. Rien  n’est caché :

L’on affiche ses sentiments pour

L’être aimé. Lors la  flèche  fait

Référence à Cupidon qui par

 Sa pointe, rend  amoureux,

Couple pour  …  toujours.

Alors que       la couleur

 Rouge     représentera

Fougueuse passion

De grand  cœur

En-flam-mé.

Et flambo

Yant.

V

Les ailes représenteraient également

La liberté à deux. Il faut forcément

Une paire d’ailes pour s’envoler.

 .

 

.

Fond/forme 

.

Premier bijou est souvent une bague

De fiançailles et le suivant, de mariage.

Avec le temps, amour s’en va diminuant

Les bijoux servent alors de compensation

Ou de marquage d’un souvenir émouvant

Et sinon voire de sceller un nouvel élan

À  dix, vingt, trente, quarante ans

De mariage, de vie commune

Dans un pré défraichi

Énormé-ment

De cœur.

.

 Textuels et illustrations  >>

1003 – C’est le cœur heureux et l’esprit joyeux

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Le cœur joyeux

Fait esprit heureux

Voire réciproquement,

Quand   on   est   aimant,

Quand  on  est  bon  vivant,

Qu’on est communiquant,

Et il suffirait, pour cela,

D’être  bien accordé

À sa compagne

Et ses enfants,

.

À  sa  maison, occupation.

Cœur heureux, esprit, joyeux,

Je vois succéder les jours, les nuits

Ayant fait de ma vie parcours accordé,

 .

Bien accordé à mon destin,

Que j’aurai construit, et bien

Que l’on  m’ait voulu  autre,

Et accordé  à mon  chemin,

En quête de connaissances,

Et ce depuis ma naissance.

.

Accordé… à ma compagne,

Enfants, qu’elle m’a donnés,

Avec amour,  autant félicité,

Accordé à cette … demeure,

Où en retraite, je consomme,

En  simple, honnête homme,

.

Accordé au plaisir… d’écrire,

Occupant  bien des matinées,

Voire plus et dans la journée.

C’est le cœur un peu chagrin,

Que je quitterai  les  humains

Qui m’ont déçu  et …  surpris,

Qui m’ont entouré  et …  ravi,

Mes instants, avec eux, bénis,

Me rappelant ce que je… suis.

Je suis comme  saltimbanque,

Avec peu d’avoirs,  en banque,

Homme, me contentant d’être

Humble plutôt que de paraître

Important sinon indispensable

Un grain parmi grain de sable.

Sable de dune, ou, sable  d’une

Fondation  de mes convictions

Qu’il n’y a,  en  la vie,  au fond,

Qu’une seule et… bonne raison

D’exister et de mourir : aimer.

.

Extensions

.

C’est le cœur heureux,

C’est l’esprit joyeux que je

Vous écris ces quelques mots

Qui n’engagent  que moi  et ma

Sollicitude envers vous  pour me

Lire si temps, envie vous le permet.

Il est paradoxalement plus difficile

Mais sans doute aussi plus intime

De bien parler de son bonheur

Que des nombreux malheurs.

Peut-être a-t-on juste peur

Qu’il s’en aille en l’évoquant

Tandis que les autres l’invoquent

Peut-être qu’ils n’aiment pas en parler

Par timidité parce qu’il ne peut se donner

À tout le monde, il faut bien et fort, mériter.

Le bonheur est davantage dans ce que l’on fait

Que dans ce que l’on a, dans ce qu’on partage

Que dans ce qu’on garde, il en est ainsi selon

Le philosophe français Alain et dans ses

Fameux « Propos sur le bonheur».

.

Joyeux, heureux, fougueux, chanceux, chaleureux,

Tous ces qualificatifs sont liés un certain bonheur

Dont fréquentes icones sont le sourire et le cœur

Auxquelles il faut rajouter  un saut en hauteur !

Un débordement incontrôlé crée cette émotion

Qui, n’a d’autre but que monter sa sensation

Et si possible, de la partager  avec proches.

.

«Le cœur a ses raisons que la raison ne connait pas»

Nous dit Pascal pour expliquer phénomène amoureux

.

Si on prend esprit pour raison, il a à la fois tort, raison :

On ne perd rien de son esprit, on le soumet à la question

.

Il n’est pas obligé d’y répondre,  la maintient en suspens,

Ce n’est pas qu’il soit aveugle, seulement plus insouciant.

.

Insouciant pour avenir, comment ne pas l’être en amour

Le cœur heureux, l’esprit joyeux si ce n’est le contraire !

.

Fragments

.

Quand on est aimant,

Quand on est bon vivant,

Quand on est communiquant,

On a des chances d’être exubérant.

.

Exubérant de joie, et voire de bonheur,

À tout moment de la journée, toute heure,

L’on ne connait plus ni l’angoisse ni la peur,

Même si cours de vie pas rose, pas trompeur.

.

La vie en une famille unie, y est pour beaucoup

Et si son métier passionne, ajoute un bon bout.

Lors l’esprit joyeux, le cœur devient affectueux,

N’y a pas loin de se sentir comme en amoureux.

.

Mon esprit gouverne mon cœur, mon humeur

Cœur aurait de l’esprit, esprit aurait du cœur,

Et quand les concepts deviennent insuffisants

Pour exprimer émotion, le cœur s’en charge.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Le cœur joyeux

Fait esprit heureux

Voire réciproquement,

Quand   on   est   aimant,

Quand  on  est  bon  vivant,

Qu’on est communiquant,

Et il suffirait, pour cela,

D’être  bien accordé

À sa compagne 

Et ses enfants.

.

À  sa  maison, occupation.

Cœur heureux, esprit, joyeux,

Je vois succéder les jours, les nuits

Ayant fait de ma vie parcours accordé,

.

Bien accordé            L          à mon destin,

Que j’aurai con       E         struit, et bien

Que l’on  m’ait       *          voulu  autre,

Et accordé  à         C       mon  chemin,

En quête de          O    connaissances,

Et ce depuis         E     ma naissance.

  U

Accordé à ma        R         compagne,

Enfants, qu’elle     *       m’a donnés,

Avec amour,  au     J     tant félicité,

Accordé à cette        O        demeure,

Où en retraite, je      Y   consomme,

En simple, honnête   E        homme,

                 U

Accordé au plaisir     X      d’écrire,

Occupant  bien des   :   matinées,

Voire plus, dans la    L     journée.

C’est cœur  un  peu   ‘     chagrin,

Que je quitterai les  E   humains

Qui m’ont déçu  et   S    surpris,

Qui m’ont entouré   P    et  ravi,

Instants, avec eux,  R      bénis,

Rappelant ce que    I     je suis.

Je suis vrai  saltim  T   banque,

Avec peu d’avoirs     *    banque,

Homme, me conten  H   tant être

Humble plutôt que de E     paraître

Important sinon indis  U     pensable

Un grain parmi grain     R      de sable.

Sable de dune, voire,      E           d’une

Fondation de mes con   U       victions

Qu’il n’y a,  en  la vie,    X    au fond,

Qu’une seule et bonne  *      raison

D’exister et de mourir  *  aimer.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une borne à pointe ronde,

Flèche indiquant bonne santé

L’esprit et le cerveau, en haut,

Le cœur  et  le  corps : en bas.

.

1003 4

.

Un homme debout et en bonne santé,

Et sans souci majeur,

C’est ce qu’on souhaite être : de corps,

 D’esprit, puis de cœur.

Esprit, cœur, sont faits pour s’entendre

comme un et autre aident à se détendre

si ce n’est, parfois, à mieux se défendre :

la forme ne peut mieux épouser le fond.

.

Symbolique

 .

L’homme utilise le mot parlé ou écrit

Pour transmettre à autrui ce qu’il a à l’esprit.

Mais son langage est rempli d’une foule de symboles.

C’est parce que d’innombrables choses se situent au-delà

Des limites  de  notre esprit humain  que nous utilisons

Constamment des termes symboliques pour représenter

Des concepts que nous ne pouvons ni définir ni situer

Ni comprendre pleinement ou au premier abord.

C’est aussi l’une des raisons pour lesquelles

Religions utilisent langage symbolique

S’exprimant par images, y compris

Pour son émotion et sa santé.

adhes.net/l-homme-et-ses-symboles.aspx

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1003 6

.

Un homme debout et en bonne santé,

Et sans souci majeur,

C’est ce qu’on souhaite être : de corps,

 D’esprit, puis de cœur.

.

Symbolique 

 .

Dans toutes les traditions modernes,

Le cœur est devenu   et resté le symbole

De l’amour profane      comme de la charité

En tant qu’amour,        ou amitié ou droiture.

Le cœur, organe            central  de  l’individu,

Correspondrait             à la notion de centre.

L’occident en                aura fait le siège des

Sentiments                 lors que toutes  les

Civilisations                traditionnelles

Y   localisent             l’intelligence

Et  une  bonne          intuition.

Dans nombre        cultures

Dites  traditionnelles,

Toute connaissance

N’exclurait pas

Les  valeurs

Affectives

Étant

V

 .

 .

Fond/forme 

 .

L’esprit aurait, parfois, du cœur,

Le cœur aurait-il aussi  de l’esprit :

En tel étonnant mélange d’influences

Lequel, sur l’autre, l’emporte souvent.

Après tout, l’on dit bien, de quelqu’un,

Qu’il aura tout son cœur sur la main,

Alors même qu’il a l’esprit…ailleurs.

.

Textuels et illustrations  >>

1002 – Pour vivre heureux, faut-il vivre caché !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Si, pour vivre  heureux,

Faut cacher son bonheur,

Serait-il  envieux ou honteux,

Et, ce à tel point qu’on en parle,

Point ou peu. Certains ont  du mal

À se déclarer  heureux,  par une peur

D’être jalousé  par inaptes  au bonheur,

Comme pour l’orgasme on peut le simuler,

On peut le stimuler : de là, à être malheureux,

Jusqu’à s’en cacher, il n’y aurait plus qu’un pas !

.

Tant chacun sait que

Les  peuples  heureux

N’ont pas  d’histoires,

De conte ni de compte

Au singulier, ni pluriel.

.

D’aller ici …  d’aller là ?

De faire ceci, faire cela ?

Penser ceci ou après, cela.

Rencontrer  qui vous voulez

Quel bonheur et quelle liberté,

Si, en même temps, vrai besoin

De reconnaissance ou  célébrité,

Se fait jour en nous pour exister.

.

Paradoxe interne qui nous pousse

À nous soigner  quand l’on tousse,

Pour  paraître  en meilleure santé

Devant les autres,   la maisonnée,

Qui fait  que la forme   l’emporte,

Souvent, sur le fond, ouvre porte,

Du moins l’introduit ou la ferme,

En écoutant des chants attirants.

.

On peut renverser la chaussette,

Vivre caché sans être heureux,

C’est sans aucun doute, le lot

De nombre de gens peureux,

Ou pas très fiers de leur tête,

Ou dominés beaucoup trop.

.

Être heureux à la fois caché,

Être heureux sans être caché,

Être malheureux à s’en cacher,

Être caché, en être malheureux :

Grammaire des cas aussi nombreux

Qu’on ne saurait se placer parmi eux.

.

Je ne m’en cache pas, je suis si heureux,

Tout seul dans ma maison et sous les feux

Cela  dépend  de mon humeur, de mes jeux,

Je cache une partie de moi et j’expose l’autre,

Laquelle est la plus authentique : nul ne sait !

Sauf à me rencontrer un jour et pour de vrai.

.

Extensions

.

Pour vivre heureux,

Faudrait-il vivre caché !

Sûr que non, fortunément

Le bonheur, comme l’amour,

Le pain, le vin, se partagent

Et même devient parfois

Contagieux par effet

De proximité, par effet

De disponibilité, d’amitié,

Bonheur, c’est ce qu’on veut

Mais c’est bien mieux à deux.

.

Cacher est tout le contraire de montrer

Sauf si l’on montre quelque chose,

Pour en masquer une autre :

L’arbre qui cache la forêt

Qu’on ne saura voir.

Cacher être enceinte

Est toujours possible,

Mais le bébé : impossible :

C’est pire que se voiler la face !

.

Si la liberté des uns, finissait

 Où commence celle des autres,

Une petite marge de manœuvre,

Subsisterait à peine, pour exister.

.

Si fait que, forts de leur argent, célébrité

Certains forcent trait d’intérêt de leur coté

Leur vie publique leur sert alors à influencer

Ceux qui ne pensent, disent, demandent rien !

.

Toutefois ces derniers, il ne faut pas  les imaginer

Malheureux en pauvres esclaves, toujours exploités,

Ils vivent leur vie tout simplement, ils se débrouillent.

Bien que cachés, voir invisibles, ils continuent à en rire !

.

Fragments 

.

On se focalise beaucoup trop, par médias

Sur le bonheur de gens riches ou célèbres

Ou qui détiennent  beaucoup de pouvoirs,

Lors le bonheur n’a, avec eux, rien à voir !

.

Tant c’est  parfois même  tout le contraire,

Richesse, pouvoir, détruisent leur bonheur

Qui était d’arriver  à ce qu’ils sont devenus.

.

Cela est mieux d’être riche  et bien portant,

Que pauvre et malade : question ne se pose.

.

On peut vivre  à l’abri du besoin, sainement

Et ne pas s’en vanter, rester  discret, caché !

.

C’est d’ailleurs lot, nombre de gens heureux,

 Pourtant n’auront gagné au loti aucun d’eux.

.

Pour vivre heureux vivons cachés, le bel adage

Mais qui ne signifiera pas  qu’on s’emprisonne

En une habitation où personne ne vous sonne.

.

Cela veut dire qu’on n’en fait pas de publicités,

Une vie simple et normale, banale, en somme :

Le bonheur est à l’intérieur, de son esprit, âme

Là où on ne pourra l’extraire en aucune façon.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Si, pour vivre  heureux,

Faut cacher son bonheur,

Serait-il  envieux ou honteux,

Et, ce à tel point qu’on en parle,

Point ou peu. Certains ont  du mal

À se déclarer  heureux,  par une peur

D’être jalousé  par inaptes au bonheur !

Comme pour l’orgasme on peut le simuler,

On peut le stimuler : de là, à être malheureux,

Jusqu’à s’en cacher, il n’y aurait plus qu’un pas !

.

Tant chacun sait que

Les  peuples  heureux

N’ont pas  d’histoires,

De conte  ni  de compte

Au singulier,    ni pluriel.

D’aller ici,     P    d’aller là ?

De faire ceci     O   faire cela ?

Penser ceci ou      U  après, cela.

Rencontrer qui vous  R       voulez

Quel bonheur et quelle   *    liberté,

Si, en même temps vrai  V     besoin

De reconnaissance ou     I    célébrité,

Se fait jour en nous     V   pour exister.

Paradoxe interne     R    qui nous pousse

À nous soigner       E    quand l’on tousse,

Pour paraître          *   en meilleure santé

Devant les autres       H      la maisonnée,

Qui fait que la forme       E      l’emporte,

Souvent sur le fond, ouvre  U       porte,

Du moins l’introduit ou la   R     ferme

En écoutant des chants  E  attirants.

On peut renverser  U  la chaussette,

Vivre caché   X  sans être heureux,

C’est sans     :   aucun doute le lot

De nombre  V   de gens peureux,

Ou pas très   I   fiers de leur tête,

Ou dominés  V   beaucoup trop.

Être heureux  O   à la fois caché,

Être heureux    N  sans être caché

Être malheureux    à s’en cacher,

Être caché, en être *       malheureux :

Grammaire des cas  C   aussi nombreux

Qu’on ne saurait se    A  placer parmi eux.

Je ne m’en cache pas,  C   je suis si heureux,

Tout seul dans ma mai  H son et sous les feux

Cela dépend  de mon hu  É meur, de mes jeux,

Je cache une partie de moi  et j’expose l’autre,

Laquelle est la plus authentique : nul ne sait !

Sauf à me rencontrer un jour et pour de vrai.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Ça peut être  une  lampe  de chevet

Comme un tire-bouchon bouteille

 Tout comme un flacon de savon

Des plus discrets qui soient ?

.

1002 4

.

On ne peut pas dire qu’un tel flacon

De savon se fait remarquer :

Mais il lui plait d’opérer et d’exister

Dans cette discrétion totale !

.

Symbolique

.

Les nouvelles étiquettes

Comportent de nouveaux

Pictogrammes de danger,

Des indications de danger,

Des mesures de prudence

Ainsi que des mentions

D’avertissement, qui

Donneront   plus

D’informations

À propos de la

Manière  dont

Vous         pouvez

Utiliser ces flacons

De produits dangereux

Sans nuire  à votre santé,

À l’environnement ou encore

Sans   risquer  d’occasionner

Un incendie, une explosion.

Source : symbolesdanger.be/fr

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

On ne peut pas dire qu’un tel flacon

De savon se fait remarquer :

Mais il lui plait d’opérer et d’exister

Dans cette discrétion totale !

 .

Symbolique 

 .

Littérature

Montre qu’un

Problème  sera

 Pris    en   charge

Dans la mesure où

Il   a  été  investi  par

Entrepreneurs en ayant

 Fait  un   problème    public,

Médiatique imposant prise en

 Charge acteurs institutionnels.

Un tel schéma d’analyse serait

Mobilisé dans  une   analyse de

L’émergence  risques collectifs

Problèmes publics  tel risque

Naturel  et  technologiques,

Il  s’agit,  ici,  de    mettre

En  lumière  lien   étroit

Changement approche

Luttes définitionnelles

Que nous analysons 

Luttes  de pouvoir,

 .

Intérêt porté aux espaces discrets, confinés

Où sont stabilisés des compromis entre acteurs

Avec leurs rapports de force et de faiblesse.

cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2012-1

 .

 .

Fond/forme 

 .

Avec la publicité, l’affichage de qualités séduisantes,

Les flacons sont devenus de moins en moins discrets,

On sait tout de leur contenu par le détail, à leur dos !

Il en est de même pour l’information par les média :

Une simple enquête, votre vie privée se voit étalée,

De vivre caché devient de plus en plus illusoire !

.

Textuels et illustrations  >>

1001 – Qui vivra, verra, mais verra-t-il bien !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De catastrophes en tueries

Ou de misères en pandémies

L’on nous abreuve,  sur  Terre,

Des abominations,  des guerres.

Ce qui se passe sur notre planète

On  ne le voit pas,   ne le sait pas,

Ou que de trop,  c’est trop bête,

Passer ainsi très vie à trépas.

Monde ne tourne pas rond

Monde deviens abscons

Vaque, enfer joyeux,

Et paradis en feu.

.

Qui vivra, verra, verra-il bien

Que le monde ne tourne pas rond,

Qu’il en devient même plus abscons

À force de rendre le mal pour le bien !

 .

Réellement, un mort, ne verra plus rien,

Pour autant que voit vraiment un vivant,

Il n’y a pas que les yeux, seuls, qui voient

Y a bien le cerveau  comme entendement.

.

Car si chacun voit bien midi, à sa porte,

Si, son  avis,  sur   tout autre l’emporte

Ne détenant que  peu  d’information,

Il peut en tirer  fausse conclusion.

.

Qui vivra verra, mais verra quoi :

Pas un dicton  ne vous le dira :

Verra ce qu’il peut, qu’il veut

Enfer joyeux, paradis en feu.

 .

Tant le monde ne change guère

 Et y a toujours  autant de misère

À ce point d’en envier aveugle-né

Lui qui n’aura plus à se soucier.

 .

Qui vivra verra, mais verra bien

Que le monde ne tourne pas rond,

Qu’il en devient même plus abscons,

À force de rendre  le mal  pour le bien !

Qui vivra… verra,  ou bien ne verra rien,

On peut vivre en dieu  ou bien vivre chien.

 .

Extensions

.

Un mal pour un bien, sinon l’inverse :

Les deux, équivalent si on s’abstrait de morale.

Le Monde ne change pas bien que civilisation tende

À nous extirper, à nous éloigner de plus en plus loin

Du  monde  animal, d’où nous sommes  originaires,

Et la probabilité  d’y  retourner,  brutalement, reste

Forte en flattant  nos bas instincts  de domination,

De cruauté,  de satiété de pouvoirs, et  de cupidité.

On voit  des  civilisations,  prospères, humanistes,

Décliner, non pas  par manque d’idées   mais  par

Apathie, sclérose  institutions,  dictature des lois.

Qui peut dire, prédire de quoi  demain sera fait !

Toutefois, si l’on convient que les mêmes causes

Produiront les mêmes effets, il y a les questions

De société, de l’intérêt général et les questions

D’égos, de pouvoir national  qui se percutent

Et qui, tantôt vont  dans la même direction,

Tantôt  dans un sens  tout à fait  contraire !

Y a ceux  promettant  de décrocher la Lune,

Et ceux qui se satisferont d’un rayon de soleil

À travers la brume en attendant qu’elle se lève

Et qu’elle éclaire tout le monde, pas seulement les

 Nantis, et pas seulement les pauvres, et les pervertis.

.

Il ne suffit pas de voir avec ses yeux mais avec son esprit.

Ceux qui ne voient qu’avec eux sont aveugles ou incompris.

Nombre messages ne seront pas à prendre au premier degré,

Nombre images ne sont pas à décoder  au premier coup d’œil.

Dans un monde où tout devient complexe, voir est compliqué :

Pourquoi des optimistes  face aux réchauffements climatiques,

Pessimistes alors qu’on leur présente les mêmes statistiques ?

Pourquoi des  nationalistes et des mondialistes, en politique,

Partisans de la dictature et démocratie face à la violence ?

.

On a coutume d’opposer les optimistes  aux  pessimistes,

Comme s’il n’y avait que ces deux catégories sur la Terre :

Il y en a d’autres, et de plus en plus, étant intermédiaires.

Malgré les 50% de fausses nouvelles, nombreux résistent !

.

Problème n’est pas que déni du changement climatique :

On le comprend, il nous parait loin, pas de quoi s’affoler :

Il est que nous réagissons après la catastrophe non avant

On l’a compris cette fois ci, prochaine fois, on fait mieux.

.

Le Monde est tout aussi sage que fou, il doit en être ainsi

Tant l’homme est multiple, partagé entre le bien et le mal

Chacun ne voit que son intérêt, la planète, bien commun

En subit les conséquences et nous les renverra en retour.

.

Fragments

.

Qui vivra, verra, mais verra … quoi :

Quels événements  pour quel avenir ?

.

On ne pourra prévoir ce qui nous attend

Encore que plus sur la forme que le fond.

.

Changement climatique d’ores et déjà acté

Les climato-sceptiques se seraient trompés,

.

Mais où, quand comment et voire combien,

Différents scénarios, peuvent encore se jouer.

.

Et de même pour les guerres et les pandémies :

Les éradiquer paraitra une mission impossible.

.

En réalité le monde entier va de mieux en mieux

Par certains côtés et de pire en pire, sur d’autres.

.

Le verre à moitié plein, vide : facile, me direz-vous,

La forme du verre ou flacon évoque-t-elle contenus.

.

Quels mécanismes d’autocorrections de nos erreurs :

Faut-il défendre, faire évoluer, conserver, supprimer.

.

Là où  il n’y en aura pas, c’est sûr, on va dans le mur :

Dictature s’en moque, n’y a que leur pouvoir qui dure.

.

Tandis que des pays, se rétracteront  sur eux-mêmes,

Prêchant leurs séparations plutôt que leurs… unions,

Autres ne croient qu’en leur extension par annexions

Au prix de guerres  génocidaires, chaudes, extrêmes.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

De catastrophes en tueries

Ou de misères en pandémies

L’on nous abreuve,  sur  Terre,

Des abominations,  des guerres.

Ce qui se passe sur notre planète

On  ne le voit pas,   ne le sait pas,

Ou que de trop,  c’est trop bête,

Passer ainsi très vie à trépas.

Monde ne tourne pas rond

Monde deviens abscons

Vaque, enfer joyeux,

Et paradis en feu.

.

Qui vivra, verra,   Q  verra-il bien

Que le monde ne    U  tourne pas rond,

Qu’il en devient        I même plus abscons

À force de rendre         *     le mal pour le bien !

V

Réellement, un mort,     I           ne verra plus rien,

Pour autant que voit       V         vraiment un vivant,

Il n’y a pas que les           R       yeux seuls qui voient

Y a bien le cerveau         A    comme entendement.

*

Car si chacun  voit        V   bien midi, à sa porte,

Si, son  avis,  sur         E   tout autre l’emporte

Ne détenant que       R  peu  d’information,

Il peut en tirer        R  fausse conclusion.

A

Qui vivra verra     :   mais verra quoi :

Pas un dicton      V  ne vous le dira :

Verra ce qu’il      E   peut, qu’il veut

Enfer joyeux       R   paradis en feu.

R

 Tant le monde     A   ne change guère

  Et y a toujours        autant de misère

À ce point d’en     T envier aveugle-né

Lui qui n’aura           plus à se soucier.

I

Qui vivra ver              L   ra, mais verra bien

Que le monde              *    ne tourne pas rond,

Qu’il en devient             B      même plus abscons,

À force de rendre            I       le mal  pour le bien !

Qui vivra… verra,             E       ou bien ne verra rien,

On peut vivre en dieu       N      ou bien vivre en chien.

.

Forme

.

.

.

Évocation 

.

Aussi bien silhouette d’homme

Qu’une silhouette de  femme

Qu’un flacon de parfum, 

Et sa représentation.

.

1001 4

.

Les torsades sur ce flacon le rendent

Un peu  bizarre, lors tournoyant :

La réalité serait  déformée par son

Propre prisme des représentations !

Il n’y aura rien de bien commun

entre un flacon et de voir l’avenir

se dessiner représentations réelles

la forme se distingue bien du fond.

 .

Symbolique 

 .

Lorsque l’on parle

De parfumerie,

Même si l’essence odorante

En elle-même est importante,

On  ne  peut ignorer  le  flacon.

Élément essentiel à conservation,

Transport du parfum, il sert aussi

Largement  à  sublimer  image.

Grandes  maisons  de   luxe

Conscientes    d’importance

Ils font appel aux plus grands

Designers  de  la planète  pour

Élaborer   des    bouteilles   plus

Audacieuses    et     somptueuses.

tendance-parfums.com/parfum-

femme/choisir-un-parfum/flacon

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Les torsades sur ce flacon le rendent

Un peu  bizarre, lors tournoyant :

La réalité serait  déformée par son

Propre prisme des représentations !

 .

Symbolique 

 .

En psychologie représentation

Renvoie à   l’image  mentale  du

Monde extérieur en associant

Une perception à une idée,

Une catégorie de faits,

Un  symbole  ou  un

Modèle explicatif.

.

Selon Émile Jalley,

La  représentation »

N’est pas  significative,

Ni représentative  du réel.

.

Effectivement personne n’arrive

À définir, de façon claire,  ce qu’est

Une     représentation,      autrement

Que  par  référence   à   un   ensemble

De dénomination purement verbales,

Toujours plus ou moins empruntée

Au langage de l’informatique.

fr.wikipedia.org/wiki/Representation

 .

 .

Fond/forme

 .

Il y a ceux qui prédisent, entrevoient, projettent avenir ;

Il y a ceux qui le font, qui le vivent, qui le subissent ;

Ceux qui le commente ou démente dans un déni ;

Ceux qui ne s’en soucient pas parce qu’ils sont

Trop pauvres ou trop affamés pour penser

Ceux qui affirment que tout est foutu !

.

Textuels et illustrations  >>

633 – Quand il manque corde à votre arc

Visuels et textuels  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

La corde, l’arc,  la flèche, cible,

L’énergie, précision, fait mouche,

Tout est dit dans cette  métaphore

De l’amour qui soudainement touche

Point sensible … jusqu’à lui succomber

Avant même d’avoir ouvert … la bouche.

.

Mais cela ne marche pas à tous les coups,

Ce serait trop simple et trop conditionné,

Où serait notre libre arbitre,  de décider,

Si la flèche nous atteint, passe par trou,

Si amour est parfois un gruyère éventé

Ou que Cupidon est bien trop pressé,

De nous toucher, se moque de nous

.

Et puis certains ont une carapace,

Fendre l’armure  n’est pas donné,

Aucune flèche ne pourra percer

Quelqu’un qui chasse  en  rapace.

.

Quand il vous manque une corde à votre arc,

Vous ne pouvez  le tendre, décochez  flèches :

Votre bois n’est pas assez souple,  il est rêche

Car vous ne serez pas sûr de prendre marque.

Pour vous introduire, en cœur même de cible,

.

Et y rester planté comme à demeure en place,

Si la cible parfois se tord, bouge… se déplace,

C’est  qu’elle a un cœur, trop fragile, sensible

Cupidon, que l’on sait, d’un amour sans nom,

Tire à bout pourtant à la moindre inclination,

.

Et, il rate, une fois sur deux : il est trop pressé,

S’il  s’occupe  du  suivant, qu’il vient  observer.

Certains ont un carquois, un arc, trois flèches

La nuit et le jour s’en servent comme mèches,

Pour allumer tout feu, là où il devient brûlant,

.

Pour qu’en partant, cible fasse de vous amant.

Mais  il existe de ces flèches, qui rebondissent

Et ne perforent jamais leur cible, les rejettent

Comme si, impénétrable à vos tirs trop précis,

Déjà vous disent adieu ni sans vous dire merci.

.

Extensions

 .

                    La corde, l’arc, flèche et cible, force, trajectoire :

                    Autant de mots accouplés et qui vont de pair

                    Avec un but à atteindre, la mort ou l’amour,

                    Tout comme deux côtés d’une même pièce

                    Sur laquelle l’amour sera au sens figuré.

                    La cible est vue passive, dans la mort :

                    Celui qui la reçoit ne la voit pas venir

                    Lors elle est vue active, dans l’amour :

                    Celui qui la reçoit, la fait rebondir vers

                    L’archer, pour signifier qu’il l’a acceptée.

                    Métaphore, pour sûr, que ce messager que

                    L’on ne peut plus fort, et, des flèches, comme

                    Celles-là, l’on en espère encore, et … en corps,

                    Jusqu’à la fin de ses jours, la fin de ses amours.

.

Arc, flèche, cible, archer, intention, centre, but, tension, décochage

Tout un vocabulaire, balistique, sportif, mais  souvent  guerrier

Accompagne la corde qui se tend et se détend brusquement

Si la flèche n’atteint pas son but c’est la faute à Zénon

Soutenant que l’évidence des sens est fallacieuse

Et donc que le mouvement est impossible

Ce qui a été résolu en mathématique

Par résultats sur suites infinies

Ceux portant sur l’analyse.

.

Une corde représentera ici, l’adresse au tir.

En tout, même en amour, il faut s’exercer,

Et ce d’autant qu’il n’existe pas de manuel

Expliquant comment toucher à tous coups.

.

Il n’y a que Cupidon, à qui l’on aura attribué,

Un tel talent, hélas… il ne se manifesterait guère

De nos jours où rien n’est plus aussi manipulatoire

Et lors s’adresser à lui n’est pas cibler, crier, victoire.

.

Il n’empêche  qu’on parle du coup de foudre amoureux

Comme de flèche qui vous  frappe, touche en plein cœur

Et qu’on ne pourrait retirer, sans mourir sur le champ

En finissant à bout de souffle et vidé de son sang !

.

Fragments

.

Quand il manque corde, à votre arc :

On peut fort bien rater cœur de cible.

.

De quel arc et de quelle corde s’agit-il :

Il s’agit ici d’un choix d’une métaphore

.

En l’occurrence, de qualité, compétence,

Signant l’arrêt d’un amour  ou d’alliance.

.

On le dit, le voit bien pour une profession,:

N’avez pas le bon profil,  bonne motivation.

.

En amour un petit détail peut vous écarter :

La taille,  poids,  visage,  manque de vivacité.

.

En amour, la cible est loin d’être fixe et stable :

Elle bouge, s’éloigne, se rapproche selon envies ;

.

Un arc, une flèche, une cible, une corde,  un archer,

Une intention, tension, un but, décochage, parcours.

.

Autant de paramètres  qui entrent en ligne de compte,

Comme autant de critères pour rencontrer son conjoint

.

Ce peut demander nombre d’essais-erreurs et du temps,

Comme, cas de coup de foudre, réussir du premier coup.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

La corde, l’arc,   M  la flèche, cible,

L’énergie, précisi  A   on, fait mouche,

Tout est dit dans    N   cette  métaphore

De l’amour qui sou   Q   dainement touche

Point sensible … jus  U   qu’à lui succomber

Avant même d’avoir   E   ouvert … la bouche.

.

Mais cela ne marche    C  pas à tous les coups,

Ce serait trop simple    O   et trop conditionné,

Où serait notre libre    R   arbitre,  de décider,

Si la flèche nous atte   D    int, passe par trou,

Si amour est parfois   E     un gruyère éventé,

Ou que Cupidon est    *       bien trop pressé,

De  nous  toucher     À   se moque de nous

  .

Et puis certains      A ont une carapace,

Fendre l’armure     R    n’est pas donné,

Aucune flèche ne    C        pourra percer

Quelqu’un qui chas  *         se  en  rapace.

.

Quand il vous manque une corde à votre arc,

                     Vous ne pouvez le tendre, décochez flèches :

                                            Votre bois n’est pas assez souple, il est rêche >

                       Car vous ne serez pas sûr de prendre marque.

 Pour vous introduire, en cœur même de cible,

.

Et y rester planté comme à demeure en place,

                       Si la cible parfois se tord, bouge… se déplace,

                                            C’est qu’elle a un cœur, trop fragile, sensible >

                       Cupidon, que l’on sait, d’un amour sans nom,

Tire à bout pourtant, à la moindre inclination,

.

Et, il rate, une fois sur deux : il est trop pressé,

                        S’il s’occupe du suivant, qu’il vient observer.

                                             Certains ont un carquois, un arc, trois flèches >

                          La nuit et le jour s’en servent comme mèches,

Pour allumer tout feu, là où il devient brûlant,

.

 Pour qu’en partant la cible fasse de vous amant.

                        Mais il existe de ces flèches, qui rebondissent

                                                 Et ne perforent jamais leur cible, les rejettent >

                             Comme si, impénétrable à vos tirs trop précis,

Déjà vous disent adieu ni sans vous dire merci !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

En haut, un bel arc, tendu 

Et en bas, un lot de flèches

Disponibles à cible, tirer

Et jusqu’en plein cœur !

.

633 4

.

Sans corde, arc ne peut lancer de flèche,

Atteindre une cible 

Et on aura beau avoir plusieurs flèches :

Paradoxe de Zénon !

Un arc bien tendu avec quatre flèches

Ne manquera que choix cible à toucher,

Cible sans doute de quel qu’amoureuse,

Si fait que forme épouse bien le fond.

.

Symbolique 

 .

                              En tant qu’outil ou instrument,

                              Et non plus seulement en tant que signe,

                              La flèche, symbole pénétration,

                             .

                              La flèche symbolise aussi la pensée,

                              Qui introduit la lumière et l’organe créateur.

                              La flèche est l’objectivation, le choix,

                              .

                              Symbole aussi de la pointe acérée

                              Qui vole pour surprendre et tuer sa victime.

                              Symbolise la mort foudroyante.

.

                             G. Bachelard : vitesse et droiture.

                              Comme celles des dieux, les flèches de l’amour

                              Sont infaillibles, comme  un éclair.

.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

633 6

Changer l’image ici

.

Sans corde, arc ne peut lancer de flèche,

Atteindre une cible 

Et on aura beau avoir plusieurs flèches :

Paradoxe de Zénon !

.

Symbolique 

 .

L’arc symbolise l’adresse.

En effet, c’est       une  arme qui

Nécessite de la            concentration,

Mais  aussi  de                    la  force  pour

Atteindre cible                       en  plein cœur.

 

Dans  la mytho                         logie, les  flèches

Que   Cupidon                         tire avec son arc,

Sym-boli-sent                     le coup  de foudre.

 

D’ailleurs, la               foudre reste associée

Aux flèches de           l’arc chez les indiens.

En effet, pour      ces derniers la flèche

Envoyée par     l’arc est comparée à

Un éclair qui perce l’obscurité,

C’est-à-dire l’ignorance.

1001symboles.net/symbole/sens-de-arc.html

 .

.

Fond/forme 

 .

                           On dit parfois de quelqu’un

                           Ce n’est pas une flèche … celui-là >>>

                           Il ne termine pas vite projet.

                            Et ce qui est vrai au travail

                           L’est encore davantage en amour >>>

                           Remettre est perdre toujours.

                          Quatre éléments interviendront

                          Arc, flèche, cible, en tant qu’objets >>>

                          Le tireur et son adresse autant.

.

Visuels et textuels  >>

632 – Un afflux de sang n’est jamais innocent

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

.

Un afflux  de sang  et  qui  monte  aux joues

Les  faisant rosir,  ou  rougir, malgré  soi,

De honte, de gêne,  de désir,  de plaisir,

Parfois plaisant,  souvent  embêtant.

.

S’il est  de sang, n’est pas innocent

Dépend pourquoi, dépend de qui.

Entre femmes  juste  événement,

Avec homme,   c’est déclaration.

.

Afflux de sang augmente encore,

En proportion  d’un corps  à  corps,

Qu’emprunte, qu’affronte, qu’effronte

L’émotion vers la joie,  ou vers la honte,

Lors tel afflux de sang, atteint le cerveau,

Il  est trop tard pour espérer le contrôler.

.

Un afflux de sang n’est, jamais, innocent,

Qu’il soit aux joues  au  ventre ou partout,

Il  en résulte  la cause,  l’effet,  d’émotions,

Que l’on ne contrôlera  et  d’aucune  façon.

.

Celui-ci enflamme bien corps, fille, partout,

La mettant en embarras et cause son tracas,

Comme si, elle  s’avouait  en  être … touchée,

Choquée par ce que vous  avez  dit,  ou  fait !

.

Celui-ci monte aux lèvres, petites  et grandes

Les rosissent sans fards  ni rouges  artificiels,

Lui fait sentir quel qu’antichambre  d’un  ciel

Quand homme, en son sein, l’habite, la hante.

.

Il arrive que ce soit de peur ou voire de honte

Qu’il s’agisse de son front, subissant affronts,

Rougir d’avoir été insulté, parfois malmené

Quand en les yeux s’éteint sa pudeur salie.

.

Un afflux de sang n’est jamais innocent

Surtout pendant l’effort très important

Pour le contrôler, ne pas  s’épancher,

Avant qu’il soit tard pour l’éponger.

.

Allumer, en ses yeux, une  lumière

Qui scintille, sous un flux  de sang

Parvenant à illuminer en cerveau,

Cet arbre de noël   des plus beaux,

Affolant ses  nerfs, et ses  humeurs,

Tout autant sinon plus que son sang

Pour les retrouver comme innocents,

D’interdits partagés venant de tomber.

.

Extensions

 .

Un afflux de sang ne serait jamais innocent,

En quel qu’endroit du corps qu’il arrive,

Rougir de plaisir après rugir de désir :

Nos sensations, des plus animales

Conditionnent à se sentir bien, mal,

Femelle, mâle, terne, original.

Est-ce mieux d’avoir sang chaud

Que d’avoir du sang-froid.

 .

Le sang chaud démarre

Au quart de tour quand

Le sang-froid demande un temps

À monter en température.

Le sang chaud se doit de garder

Son sang-froid pour ne pas

Partir avant  que l’autre  n’atteigne

Son plateau pour que tous deux

Montent encore ensemble au plus haut.

.

Vasodilatation et vasoconstriction ont racine commune avec vase

Par remplissage ou par gonflement  ou par  conjugaison les deux

Mais pour autant que le sang  afflue  aux joues, ne les gonfle pas,

Il indique seulement fort état émotionnel inconscient qui se voit

Et qui est le fruit d’une certaine timidité maladive, incontrôlée.

Le pire serait de le faire remarquer, provoquant honte ou gène

Et en contrepartie un rejet de celui qui l’a dit,  comme goujat !

.

Le sang étant rouge, dès lors que la peau

Sur les joues se teinte de la même couleur,

De façon innocente, inconsciente, incontrôlée

On peut parier apparition très fortes émotions

.

Il peut aussi bien s’agir  d’une joie très intense,

Que de timidité maladive sous effet de surprise

Ou encore conséquemment à une humiliation,

Culpabilité ou honte suite à une réprimande.

.

Bien qu’ici il s’agirait plutôt d’un amour

Que quelqu’une cherche à dissimuler

Afin de ne pas trahir ses émotions,

De se trouver en vulnérabilité.

.

Comme  quoi  un cœur

Pas  qu’un   muscle :

Est le modérateur

De flux sanguin

Amoureuse

Transie.

.

Fragments

.

Un afflux de sang est souvent bienveillant,

Quand on accentue émotions et sentiment.

.

Afflux de sang devient,  parfois,  perturbant,

Lors on aura fini  long parcours,  en courant.

.

Notre cœur est un muscle pompant notre sang

Pas un vase, et  encore moins, un vase  battant.

.

.

Peut-être un vase  qui se contracte, se rétracte,

Si ce n’est un vase qui se fendille et se détracte.

.

Quand même un tant soit peu, ce dernier émule

Le cœur, avec ses oreillettes, ventricules, valvule.

.

On pourrait y mettre cœur gros en appropriance

Voire le porter sur soi, en externe, avec ses anses.

.

Un cœur en forme de vase, vase en forme de cœur

Voilà qui sait la meilleure promesse d’un bonheur.

.

Il y en a qui rougissent dès leur moindre émotion,

Sur laquelle ils n’auront de contrôle avec la raison.

.

Après son sport, un visage rouge reste en réactivité

Naturelle  du corps, pour, sa température, réguler.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Un afflux  de sang  et  qui  monte  aux joues

Les  faisant rosir,  ou  rougir, malgré  soi,

De honte, de gêne,  de désir,  de plaisir,

Parfois plaisant,  souvent  embêtant.

 S’il est  de sang, n’est pas innocent

Dépend pourquoi, dépend de qui.

Entre femmes  juste  événement,

Avec homme,   c’est déclaration.

Afflux de sang augmente encore,

En proportion d’un corps à corps,

Qu’emprunte, qu’affronte, qu’effronte

L’émotion vers la joie,  ou vers la honte,

Lors tel afflux de sang, atteint le cerveau,

Il  est  trop  tard, pour  espérer  le  contrôler.

.

Un   afflux    de   sang  n’est,    jamais, innocent,

Qu’il soit aux joues      A         J   au ventre partout,

Il en résulte la cause   F                 A   l’effet d’émotions,

Que l’on ne contrôlera  F                       M  et d’aucune façon.

Celui-ci enflamme bien  L                            A  corps, fille, partout,

La mettant en embarras  U                               I   et cause son tracas,

Comme si, elle  s’avouait  X                                 S  en  être … touchée,

Choquée par ce que vous   *                                  *   avez  dit, ou  fait !

Celui-ci monte aux lèvres  D                                I   petites et grandes

Les rosissent sans fard ni  E                              N  rouges artificiels,

Lui fait sentir quel qu’anti *                           N chambre d’un ciel

Quand homme, en son sein S                       O l’habite,  la hante.

Il arrive que ce soit de peur A                 C ou voire de honte,

Qu’il s’agisse de son front    N             E subissant affront,

Rougir d’avoir été  insulté   G       N parfois malmené

Quand en les yeux s’éteint   *  T    sa pudeur salie.

.

Un afflux de sang n’est    jamais innocent

Surtout pendant l’effort très important

Pour le contrôler,  ne pas  s’épancher

Avant qu’il soit tard pour l’éponger

Allumer, en ses yeux, une  lumière

Qui scintille, sous un flux  de sang

Parvenant à illuminer en cerveau,

Cet arbre de noël   des plus beaux,

Affolant  ses  nerfs, et ses  humeurs,

Tout autant sinon plus que     son sang

Pour les retrouver comme         innocents,

D’interdits partagés venant             de tomber.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Vase ancien, décoré

Peut-être période étrusque

Mais qui est de toute beauté

Avec comme cœur en corps !

.

632 4

.

 

Quel  rapport  entre un vase ancien

Et un afflux de sang :

Aucun, bien qu’il ressemblerait un peu

À un cœur qui bat !

Vase ancien, avec ou sans anse

Manipulé toujours avec aisance

Se comporte comme cœur qui bat,

Et évoquera dès lors afflux de sang.

  .

Symbolique 

 .

 

L’assimilation

Symbolique

Du cœur au

Vase ancien

À la coupe remonterait

Assez  loin  dans le  passé.

Déjà, en ancienne Égypte,

Il serait hiéroglyphe  cœur.

En druidisme,  existait, aussi

Quelque chose de tel et la coupe

Présentée par la jeune fille à

Celui qu’elle avait choisi,

Pendant  son  repas

De  fiançailles,

Signifiait très

Clairement

Un don du cœur.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

632 6

.

Quel  rapport  entre un vase ancien

Et un afflux de sang :

Aucun, bien qu’il ressemblerait un peu

À un cœur qui bat !

 .

Symbolique 

.

Dans les traditions modernes,

Le cœur  est devenu  le symbole

De  l’amour profane,  de la charité

De l’amour, amitié et de la droiture.

Cœur, l’organe central de l’individu,

Correspondra à la notion de centre.

L’occident en aura fait  le siège des

Sentiments  tandis  que  toutes les

Civilisations  viendront  ajouter

L’intelligence  puis    ’intuition

Tant culture traditionnelle,

Connaissance, n’excluent

Pas toutes  valeurs

Affectives.

 .

.

Fond/forme 

.

Un vase en forme de cœur

Un cœur en forme de vase :

Il est plus fréquent d’évoquer

Un utérus  en  forme  de vase

Mais le cœur y sera autant,

Vase peut contenir sang 

Qui coule, se répand

Pour quelqu’un,

En vous

Oui

.

Textuels et illustrations  >>

631 – Trois états de moi-même, d’elle, de nous

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Trois états de moi-même, d’elle,

Et   de   nous,

Mais quels sont-ils, clairement,

C’est fou :

États, entre ombre et lumière,

Et en tout

Trois couleurs, pour chacun,

Arc en ciel,

Si on les ajoute font qu’un

Seul et même

Rayon qui nous entoure

D’un prisme

Qui le décompose jour

Ou de source

De notre bel amour

Se  renouvelle !

.

Projection  de  ce,

Qui nous embrasse,

Voire,  nous tracasse,

Parfois,  nous  dépasse,

Mais jamais ne nous lasse.

.

Trois états de moi-même, d’elle et de nous.

Oui mais lesquelles, soit dit entre nous

Le premier, c’est moi-même je l’avoue,

Le second, mon ombre  avant tout,

Le troisième,  ma lumière floue.

.

Et pour elle la même chose,

À ceci près qu’elle est rose,

Sa lumière sur toute chose,

Qui me fait voir, bien bleus,

Le fond, de  ses beaux yeux.

.

Univers en devenant le nôtre,

Que nous partageons, apôtres

Éclairé par les ciels des autres,

Qui nous met à l’ombre,  vautre

Deux corps et esprit, patenôtres.

.

Entre  nos deux ombres, lumières,

Nous éclairant demain comme hier,

D’un amour  dont nous sommes fiers

Lors  voyageant sur notre Terre entière

De moi, elle et puis de nous, d’états tiers.

.

Si en la nuit je te vois comme dans le jour,

C’est  que ta présence  m’entoure toujours,

Toute aussi forte que la chaleur de ton four,

Alimentant sans cesse, sincérité de l’amour,

Qui depuis lors éclaire ombre âme, humour.

.

.

Extension

 .

Trois états

De moi-même

D’elle, de nous !

.

Ce nous  n’est pas

Qu’une … addition,

Pas plus soustraction,

Division, multiplication,

Plutôt projection  de ce qui

Nous embrasse, nous tracasse

Voire bien souvent nous dépasse.

.

Ce jeu d’ombres et lumières,  permet

De jouer  sur divers points de vue, pour

Éclairer portrait changeant avec le temps,

Les événements, les rôles et les contextes

Qui constituent la toile de personnalité

Et le sujet, l’histoire du personnage.

Notre vie privée est dans l’ombre

Et vie publique dans sa lumière.

.

Chacun, chacune a sa part d’ombre et donc le couple aussi

Ce n’est pas qu’une addition, un recouvrement, c’est un récit,

Qui met, en lumière, ce qu’il y a, de commun, de clair, partagé,

Tente de masquer ce qui est du non-dit, du déni, du pas permis.

C’est ainsi que la part d’ombre augmente ou diminue sans cesse,

Selon que l’on est clair, transparente, en confiance avec l’autre,

En un couple, même uni, il y a donc bien trois états d’ombre.

.

Trois états de nous : objet, sujet et une part d’ombre.

.

Objets, sommes éclairés  par la lumière extérieure

 Comme tout autre objet de notre environnement,

 Et l’ombre qu’elle projette en est toute  dérivée ;

.

Sujets, sommes éclairés par lumière intérieure,

De par un principe vital et spirituel, immanent

En sus de notre sensibilité et notre intelligence ;

.

Ombres, nous errons comme fantômes sur Terre

Ne sachant, in fine, à quoi  nous sommes destinés,

Sauf à nous inventer des mythes, croyances, religions.

.

Fragments

.

États du corps, état du cœur, états d’âme :

Du corps, en pleine forme, fatigué, malade,

Du cœur, plein d’entrain et plein empathie,

D’âme,  pleine de joie, tristesse, mélancolie.

.

États  varient fonctions des situations de vie :

Corps a souvent besoin d’exercices physiques,

Cœur a besoin  des émotions, des sentiments,

Âme est dans l’ombre d’inconscientes pensées

.

États entre nous se rapprochent, se distancient,

Nos deux corps tentent  de n’en faire plus qu’un,

Nos cœurs battent la chamade et à cent à l’heure

Nos âmes perdent leurs ombres en notre lumière.

.

État entre nous passe alternativement objet/sujet

En objet quand on travaille, on s’active ensemble,

Sujet quand on échange, quand on se questionne.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

                         Trois états de moi-même, d’elle,

Et   de   nous,

                                 Mais quels sont-ils, clairement,

C’est fou :

                                     États, entre ombre et lumière,

     Et en tout

                                     Trois couleurs, pour chacun,

         Arc en ciel,

                                   Si on les ajoute font qu’un

             Seul et même

                              Rayon qui nous entoure

         D’un prisme

                       Qui le décompose jour

    Ou de source

          De notre bel amour

Se  renouvelle !

.

********************

********************

.

Projection  de  ce,

Qui nous embrasse,

Voire,  nous tracasse,

Parfois,  nous  dépasse,

Mais jamais ne nous lasse.

.

Trois états  É  de moi-même, d’elle et     *  de nous.

Oui mais   T     lesquelles, soit dit   * entre nous

Le premier A   c’est moi-même  *   je l’avoue,

Le second   T  mon ombre  *    avant tout,

Le troisième   S    ma  *    lumière floue.

Et pour elle       *   *     la même chose,

À ceci près         D     qu’elle est rose,

Sa lumière        E   sur toute chose,

Qui me fait       *    voir, bien bleus,

Le fond, de       M   ses beaux yeux.

Univers en de   O    venant le nôtre,

Que nous parta I    geons en apôtre

Éclairé par les    *    ciels, des autres,

Qui nous met à   D    l’ombre et vautre

Deux corps et        ‘      esprit, patenôtre.

Entre nos deux   E om *     bres lumières,

Nous éclairant  L demain  *    comme hier,

D’un amour      L dont nous    *  sommes fiers

Lors  voyage    E  ant sur notre   *   Terre entière

De moi, elle     *     et puis de nous   *   d’états tiers.

Si en la nuit     N    je te vois comme    *    dans le jour,

C’est que ta      O   présence m’entoure     *         toujours,

Toute aussi     U    forte que la chaleur de     *        ton four,

Alimentant     S       sans cesse, sincérité de       *        l’amour,

Qui depuis     *      lors éclaire ombre d’âme         *       humour.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Euh, je ne vois pas trop :

Peut-être bien l’ombre

D’un adepte de l’Aïkido

En plein exercice !

.

631 4

.

S’agit-il de moi-même,

Mon ombre ou ma lumière floue ?

En voilà déjà un d’état,

D’un exercice physique mais lequel !

L’ombre ne met pas tout en pleine lumière

Mais si l’on apprend à la décoder, elle éclaire

Un geste, posture, intention, voire une activité

Tant et s bien que sa forme évoquera son fond.

  .

Symbolique 

 .

L’ombre est une partie

De la psyché formée de la part

Individuelle qui ne se connaît pas

Elle-même, et dont l’existence même

Est   souvent    ignorée. Figurée en de

Nombreuses             cultures et mythes

Sous la forme                 du personnage

Maléfique,                   patibulaire mais

Néanmoins                  ayant statut de

Double héros, représentant le moi

L’ombre se retrouve également

Dans les rêves, et projections

Psychiques liées souvent

À la peur de l’autre.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

S’agit-il de moi-même,

Mon ombre ou ma lumière floue ?

En voilà déjà un d’état,

D’un exercice physique mais lequel !

.

Symbolique

 .

L’exercice physique

Modéré et adapté,

Permet de conserver

Des articulations souples et fonctionnelles.

Elle augmente  notre force,  notre souplesse,

Notre endurance, nos capacités d’adaptation

Résistance physique, mentale et immunitaire

Avec large  accroissement de l’énergie vitale.

.

Une activité équilibre le  système hormonal.

La sécrétion de sérotonine et la régulation

Naturelle de la glycémie sont améliorées.

.

Toutes les fonctions du corps peuvent se

«Dé-fragiliser» grâce aux efforts sportifs,

N’outrepassant certaines limites biologiques.

maloxxx8.wixsite.com/malonaturo/post/activite physique

 .

.

Fond/forme 

 .

 L’ombre est doublure d’objet sans sa matière

Reflète, d’un seul côté, le manque de lumière

Autant de de couleur mais évoque sa forme

Qu’on devine et qu’on complète : conforme

À ce que l’on attendait comme une partie

Suggère le tout au risque de se tromper.

.

Textuels et illustrations  >>