1174 – La vie ne peut être un long fleuve tranquille

Voir prose et illustrations

.

Cette métaphore du «fleuve» qui coule

   Lentement mais surement, vers l’océan

     Rejoint celle de la « bougie » qui brûle,

       En prenant l’eau en support, non le feu.

        On peut dire, l’enfant  se lève  vers l’air,

         Lors le vieillard se courbe  vers la terre.

.

         On aura, ainsi, fait appel  aux éléments,

       En renouvelant, tous,  leurs  processus !

      Tranquille, ou non, je ne connais fleuve,

     Qui ne charrie  des  eaux  tumultueuses,

    Parfois pleine de nitrates, de phosphates,

   De même, vie aussi, sera polluée par tout.

.

 La vie n’est pas  un long fleuve tranquille,

Et ainsi de suite pour autant elle n’est pas

Un lit qui récolte toutes les larmes ici-bas

Pensant qu’elle ne vaut rien parmi mille !

.

  Petits ruisseaux font  les grandes rivières,

    Et ainsi de suite ….. ça me dit qu’un fleuve

     N’est autre qu’un réceptacle des matières,

       Et  se remplit d’eau,  pourvu  qu’il pleuve !

.

          L’on ne se baigne jamais,  deux fois,  dans

            Le même fleuve nous a dit Héraclite, tant

              La même eau revient en lui cycliquement

                 Se charge de limons, argile, sable, autant.

                   Son lit ne cesse, de s’envaser, de s’élargir,

                      De sa source  et  jusqu’à son embouchure

                        Où ce dernier  se noyant  en conjectures,

                          Vient se perdre en mer jusqu’à  mourir !

.

                           Le fleuve  Amour  marque une frontière

                          Entre Grande Russie, et Grande Chine ;

                         Le fleuve Amazone des Andes cordillère

                      Vient se jeter  dans une mer  cristalline.

                  Tous les fleuves  seront des lieux de vie,

               De guerres, de transports, et péripéties.

.

          Chaque fleuve charriera tant d’histoires

      Qu’aujourd’hui, l’on a peine  à le croire,

   Que la vie n’est  qu’un fleuve tranquille,

 Où l’on se la coule douce … et sans bile.

Tous les fleuves se jettent en un océan,

Leurs eaux troubles reviennent autant.

.

Quand une pluie  retombe, sur les sols,

  Elle devient, source, ruisseau,  torrent.

      La vie  aussi, coule, se perd, ou, s’isole :

         Elle nous fait passer d’enfant à parent !

 .

.

Extensions

 .

Si la vie ne peut être long fleuve tranquille,

Peut être torrent de vies  mouvementées,

Un ruisseau de méandres… émotionnés

Ou, des fois, une succession des deux.

On ne peut l’envisager que dans un

Cycle permanent bien qu’elle nous

Paraisse linéaire,   tant en son flot

Qu’en son flux, où la mer est morte

Et où la source est enfant, et où la vie

En est le courant. On ne se baigne jamais

Dans le même fleuve parce que la  vie, c’est

Le mouvement répétitif en avançant un peu.

 .

Est-ce que seulement ça existe, un long fleuve tranquille :

Ce dernier peut s’assécher l’été ou déborder au printemps.

Rien ne garantit qu’il demeurera naviguant, en tous temps

Et les ilots, qui le parsèment, se rejoindront, à pied, facile !

Tranquille ou pas, il part de sa source  et débouche en mer.

Il peut être  torrent au départ, chute d’eau, marais à la fin.

Fleuve d’émotions relations n’est pas celui projets, actions

Il est vrai que fleuve coule sans arrêt, représente le temps

Et qu’il abritera sur ses rives, un grand nombre de cités.

  .

Le fleuve se nourrit de sources différentes

Différents ruisseaux et rivières afférentes,

Jusque la mer tout au long de son voyage,

Et peut être pompé pour besoin arrosage.

.

Son lit change peu de place en méandres,

Son débit, par contre, peut être variable :

Ce qu’il supporte, qu’il charrie, honorable

Sinon détestable, polluants à se répandre.

.

Ainsi donc, de ses sources à son estuaire,

Chaque fleuve a son destin, bien modifié

Par humain, ses nuisances, ses activités,

Écoulements n’auront rien de… linéaire.

 .

 .

Épilogue

.

Afin de rendre plus navigable tout fleuve,

Capricieux, on creusera un canal parallèle,

Pour même niveau d’eau,  avec ses écluses.

***

C’est aussi ce qu’on fait pour la vie humaine,

Les hyperactifs,  les capricieux,  les indolents,

On les régule par un nombre de médicaments.

***

Il existe des canaux anciens qui restent à sec :

Sous-sol spongieux absorbant l’eau stagnante,

Comme il existe des fleuves comme Okavango.

***

Mais je vous laisserai deviner sa particularité

On laisse quelqu’un sur sa soif en plein désert

En apercevant un mirage au lieu d’une oasis !

***

Et même, se jetant dans l’océan, en son delta,

Il ne serait pas, non plus, des plus tranquilles

Au vu de courants marées et bancs de sables !

***

Le fleuve «Amour» est une frontière naturelle,

Entre la Chine et la Russie : il prend sa source,

 En montagne dans le Nord-Est de la Mongolie,

Son nom est issu du terme bouriate «boueux».

***

 Je ne vais pas faire, du sujet… un roman fleuve,

Bien qu’un site de 72 recueils  …  lui ressemble,

Par certains côtés : il débouchera sur un océan

De questions que je vous laisserai bien traiter !

.

 .

1174 – Calligramme

 .

L A  V I E   N E   P E U T   Ê T R E

Cette métaphore du «fleuve» qui coule

   Lentement mais surement, vers l’océan

     Rejoint celle de la « bougie » qui brûle,

       En prenant l’eau en support, non le feu.

        On peut dire, l’enfant  se lève  vers l’air,

         Lors le vieillard se courbe  vers la terre.

.

         On aura, ainsi, fait appel  aux éléments,

       En renouvelant, tous,  leurs  processus !

      Tranquille, ou non, je ne connais fleuve,

     Qui ne charrie  des  eaux  tumultueuses,

    Parfois pleine de nitrates, de phosphates,

   De même, vie aussi, sera polluée par tout.

.

 La vie n’est pas  un long fleuve tranquille,

Et ainsi de suite pour autant elle n’est pas

Un lit qui récolte toutes les larmes ici-bas

Pensant qu’elle ne vaut rien parmi mille !

.

  Petits ruisseaux font  les grandes rivières,

    Et ainsi de suite ….. ça me dit qu’un fleuve

     N’est autre qu’un réceptacle des matières,

       Et  se remplit d’eau,  pourvu  qu’il pleuve !

.

          L’on ne se baigne jamais,  deux fois,  dans

            Le même fleuve nous a dit Héraclite, tant

              La même eau revient en lui cycliquement

                 Se charge de limons, argile, sable, autant.

                   Son lit ne cesse, de s’envaser, de s’élargir,

                      De sa source  et  jusqu’à son embouchure

                        Où ce dernier  se noyant  en conjectures,

                          Vient se perdre en mer jusqu’à  mourir !

.

                           Le fleuve  Amour  marque une frontière

                          Entre Grande Russie, et Grande Chine ;

                         Le fleuve Amazone des Andes cordillère

                      Vient se jeter  dans une mer  cristalline.

                  Tous les fleuves  seront des lieux de vie,

               De guerres, de transports, et péripéties.

.

          Chaque fleuve charriera tant d’histoires

      Qu’aujourd’hui, l’on a peine  à le croire,

   Que la vie n’est  qu’un fleuve tranquille,

 Où l’on se la coule douce … et sans bile.

Tous les fleuves se jettent en un océan,

Leurs eaux troubles reviennent autant.

.

Quand une pluie  retombe, sur les sols,

  Elle devient, source, ruisseau,  torrent.

      La vie  aussi, coule, se perd, ou, s’isole :

         Elle nous fait passer d’enfant à parent !

         F L E U VE    T R A N Q U I L L E 

 .

.

Forme

 .

Réduction

.

.

Évocation

.

1174 4

.

Un fleuve qui se transforme

En canal en traversant la ville

Et qui charrie bien des déchets

Sur son cours, et en son sein !

.

(P : forme pleine, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche de la forme)

.

Un canal n’est pas comme fleuve

il est construit de main d’homme

il aura toujours un côté artificiel

qui fait que forme évoque le fond

.

J’imagine une ville avec une rue,

Un canal, où l’eau  s’écoulerait

Paisiblement,  se renouvelle  et

 Reste stable et propre : hélas !

.

Symbolique

.

Pas arrivé depuis 1951 :

L’écluse de la Cascade, derrière

La piscine municipale, a été franchie

Par une péniche. Car la Duchesse Anne,

Accompagnée de la Marne, auront, en effet,

Remonté le canal, hier, jusqu’au bief de la Cascade.

 .

Tout un symbole, un espoir pour  ceux  qui  souhaitent

Voir le canal navigable jusqu’au barrage Guerlédan.

L’émotion était très palpable lors du passage d’écluse :

À la barre, le marinier Armel Debray qui est le petit-fils

Du dernier marinier à avoir franchi l’écluse, y a 65 ans.

letelegramme.fr/morbihan/pontivy/peniche-

l-ecluse-de-la-cascade-a-ete-franchie-2016

 .

.

Fond

 .

Évocation

.

1174 6

.

J’imagine une ville avec une rue,

Canal sans eau ou l’eau s’écoule

Paisiblement, se renouvelle, canal

 Reste stable et  toujours rempli !

.

Symbolique

.

Les péripéties d’un canal sans eau

Ou l’histoire d’une passoire naturelle

En  1805,  l’Empereur  Napoléon  Ier

Visite à Troyes, fait une déclaration:

«Je veux, qu’avant six ans,  les coches

Et les bateaux, puissent  remonter,

Puissent descendre la Seine depuis

Paris à Bar Sur Seine, et au-delà».

 .

1862 on entreprend le creusement

Tronçon Troyes  à Bar Sur Seine.

En 1880, on construit  les ponts,

Les écluses, mais il ne tient pas !

Les  travaux  seront  abandonnés

En 1882, ce canal est une passoire,

Ses terrains ne conservent pas l’eau !

Modifié, source : tourisme-troyes.com/blog/

les-péripéties-d-un-canal-sans-eau-

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

C’est toujours surprenant de voir un cours d’eau

Disparaitre en terre comme absorbé par éponge

Et puis reparaitre, plus loin, comme ressuscité.

Voilà ce qui arrivera aux personnes déprimées

Un temps, enfermées en clinique, et dans elles,

Puis par résilience, rebondissant en vie réelle

 .

.

Pas croire l’histoire

 .

Scénario 

 .

Chaque enfant, chaque ruisseau, pense à sa vie tranquille, grandiose,

qui s’écoule en serpentant, devenant une rivière parmi toutes choses,

pour finir en un fleuve en estuaire très calme comme en apothéose !

.

Voir prose et illustrations

1173 – Toute maladie nous mettrait en danger !

Voir prose et illustrations

.

Tout homme bien portant,

Est  un  malade  qui  s’ignore,

Jules Romain, oui, non, peut-être

En puissance, devenir c’est plus sûr.

Lors notion même de bon ne santé,

Serait,     en fait toute      relative,

Selon les pays, les couvertures.

En France,  on est les deux !

Bonne santé si soignés,

Malades, médicaments,

Qu’on nous fait absorber

Avec bon prix à payer.

.

Une baisse de forme, sinon une chute de tension,

Une fatigue, un rhume, une fièvre, un faux bond

Lors me voici, infecté, et affecté, et pour de bon,

Au point que, j’en deviens ralenti en mon action.

.

Un lit, fauteuil ou chaise, me tendent leurs bras,

Je souffle, je tousse, ou  je marmonne … épuisé,

Où est passé l’être fort, vigoureux et passionné,

Qui ne cesse le combat, ne compte pas ses pas.

.

Fragilisé en santé, en délicatesse, mon esprit,

S’amollit et s’endort et petit à petit, lui aussi,

Il me fait voir la vie dans un cocon d’étourdi.

.

Ce mal ne me tuera pas, je n’en mourrai pas

Avec le temps, soins du corps, s’en libérera,

En a vu d’autres mettant le moral plus bas

Je veux parler, des maladies psychiques :

Celles  n’ayant pas symptôme physique,

Dont douleurs, souffrances intriguent.

.

Heure après heure,  jour après jour,

Par manque d’énergie…d’amour,

Celle de vie, maladie toujours.

Déstabilisé ou déséquilibré,

La maladie vous a mangé

L’esprit, le cœur, santé.

.

Mourant, pour de bon,

Vous êtes à l’abandon,

Votre ciel s’obscurcit,

Son cercle se rétrécit.

.

La maladie vous remet

En question, est-ce la fin,

Une pause, un simple arrêt,

Ou un nouveau sursis demain.

.

Ce n’est pas tant la maladie qui tue

Mais ses rechutes ou ses complications :

Tant qu’on a la santé dit le proverbe, action,

Quand on reste cloué au lit en réflexion, abattu.

 .

.

Extension

 .

Microbes, fièvres, virus, boutons, piqures et compagnies

Autant d’attaques d’intégrité  de notre corps et maladies

Certaines passagères, bien que violentes, telle une grippe,

D’autres insidieuses et mortelles telles le cancer ou le sida

On doit souvent se guérir de quelque chose, bénin… malin.

Quand ce n’est pas le corps, c’est la tête ou cœur ou l’âme :

Danger n’est pas la maladie elle-même que ce qui s’en suit

C’est-à-dire les complications, rechutes et transformations

En voulant guérir ma tête, on a massacré estomac et foie !

.

Nous ne sommes égaux devant la maladie,

D’abord génétiquement, immunitairement,

Puis socialement, voire  professionnellement

Sans parler assurance, remboursement, prix.

.

Y a pas que maladie soignée par médicament

Y a aussi le moral, l’énergie, le tempérament :

La maladie peut être un refuge et fuite de soi,

On peut en guérir en 10 jours, sinon un mois.

.

Et puis il y aura nombre d’hypocondriaques,

Qui sont autant de faux malades perpétuels,

Pour lesquels nul remède  ne leur convient,

Ne leur fait d’effet si leur cœur ne s’y met.

.

.

1173 – Calligramme

.

T  O  U T  E

Tout homme   M   *    R  bien portant,

Est un     A       malade          E    s’ignore,

Dit  Ju     L      oui ou non,       G   peut-être

En puis    A       sance, c’est          N   plus sûr.

Or, la       D         notion bon         A   ne santé,

Serait,      I        en fait toute       D    relative,

Selon les   E         pays, cou        ^    vertures.

En France,  *         on est      N     les deux !

Bonne santé  M                E     si soignés,

Malades, vus   E   T  médicaments,

Qu’on nous fait absorber

Avec bon prix à payer.

.

*********************************************

Une baisse de forme, sinon une chute de tension,

Une fatigue, un rhume, une fièvre, un faux bond

Lors me voici, infecté, et affecté, et pour de bon,

Au point que, j’en deviens ralenti en mon action.

Un lit, fauteuil ou chaise, me tendent leurs bras,

Je souffle, je tousse, ou  je marmonne … épuisé,

Où est passé l’être fort, vigoureux et passionné,

Qui ne cesse le combat, ne compte pas ses pas.

Fragilisé en santé, en délicatesse, mon esprit,

S’amollit et s’endort et petit à petit, lui aussi,

Il me fait voir la vie dans un cocon d’étourdi.

Ce mal ne me tuera pas, je n’en mourrai pas

Avec le temps, soins du corps, s’en libérera,

En a vu d’autres mettant le moral plus bas

Je veux parler, des maladies psychiques :

Celles  n’ayant pas symptôme physique,

Dont douleurs, souffrances intriguent.

Heure après heure,  jour après jour,

Par manque d’énergie…d’amour,

Celle de vie, maladie toujours.

Déstabilisé ou déséquilibré,

La maladie vous a mangé

L’esprit, le cœur, santé.

Mourant, pour de bon,

Vous êtes à l’abandon,

Votre ciel s’obscurcit,

Son cercle se rétrécit.

La maladie vous remet

En question, est-ce la fin,

Une pause, un simple arrêt,

Ou un nouveau sursis demain.

Ce n’est pas tant la maladie qui tue

Mais ses rechutes ou ses complications :

Tant qu’on a la santé dit le proverbe, action,

Quand on reste cloué au lit en réflexion, abattu.

 .

.

 Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1173 4

.

Un petit verre de bon vin fait du bien

Un verre de quelque chose,

Surement, oui mais de quoi 

De vin, d’eau, jus de fruit

Ou de médicaments ?

.

(P : forme pleine, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche ici de forme)

.

Un petit verre de bon vin fait du bien

Au corps et au moral

Sans pour autant aggraver son cas,

Sauf sous maladie.

.

Symbolique

 .

« Seul le  verre  et  l’or,

Donnent une idée du

Prix  de  la  sagesse. »

Dixit  un  proverbe !

Verre  transparent,

Le verre semblable

À l’eau  et  à l’air,

Le verre  fragile,

Le verre   banal,

Le verre  qui ne

Vaut que par ce

Qu’il retient ou

Laisse voir en lui,

Le verre simple

Pourrait-il évoquer

La moindre idée

De mystère ? »

huyghe.fr/actu

.

.

Fond

.

Évocation

.

1173 6

.

Un petit verre de bon vin fait du bien

Au corps et au moral

Sans pour autant aggraver son cas,

Sauf sous maladie.

.

Symbolique

Quels liens y a-t-il entre le soin

Et la symbolique  de maladie ?

L’activité de soin, qui neutralise

Les imaginaires de la maladie

Pour se concentrer sur son

Objectivation scientifique,

Ne le fait que de façon provisoire.

Elle ne prétendra nullement épuiser

En sens de ce qui est vécu et éprouvé,

Ce que l’histoire des représentations

Des maladies, montre assez bien.

Thérapeutique objective, sa symbolique

La reprend dans une herméneutique de soi

Monde, aidant à se la représenter pour vivre ;

Explicitant comment on est malade en maladie.

cairn.info/vulnerabilite–9782130581093-page-79.

 .

.

Corrélations

Fond/forme

.

L’homme est comme le verre, fragile,

L’homme est comme l’or, légèrement ductile

Ce qui fait sa force, intelligence et adaptation,

Fait aussi sa faiblesse, lors maladie, épuisement.

D’un côté le fruit est dans le verre, parlant du vin;

De l’autre, le ver est en  fruit, parlant excès, cancer.

Mais l’homme ne serait pas égal en tout à lui-même

Tantôt il est chêne et tantôt roseau, dit La Fontaine

Notre système immunitaire nous protège de virus

Connus, non de virus, inconnus, mutants, tueurs

Et certains d’entre nous immuno-dépendants

Attrapent tout ce qui passera de méchant

Par contagiosité comme pour le Covid.

Alors mieux vaut prévenir

Que guérir, se prémunir

Que de s’en affranchir

Se confiner chez soi

Plutôt que de répandre

Ses microbes sur ses voisins

Qui vous serrent encore les mains.

.

.

Assurance maladie

.

Scénario

.

Les petites maladies, microbiennes, et à répétition,

toutes les fièvres, qui nous obligent à garder le lit,

méchants virus, sont autant de dangers mortels.

.

Voir prose et illustrations

1172 – Bien réussir en la vie, réussir bien sa vie !

Voir prose et illustration

Nuance peut paraitre subtile

De plus laquelle choisir, premier

Les deux  ne  sont in-com-pa-ti-bles

Pour réussir sa vie : il  faut   la penser,

La définir, projeter  et  puis  la réaliser.

La réussite  n’est ni chance  ni surprise

Quand on l’avoue : «avoir raté sa vie»,

Est-ce par rapport  à carrière, famille

Ou rapport à un  pari sur soi-même,

Car si on laisse  les choses se faire

D’elles-mêmes : sûr, un autre

Décide pour vous avenir.

 .

Pour bien réussir dans la vie

Faut bien penser avant d’agir :

Ceux qui ne pensent qu’à courir,

Tombent de haut, en dents de scie.

.

Réussir c’est quoi, vraiment :

Un métier, conjoint, maison, enfant,

D’accord, mais cela, le monde le sait,

Y a-t-il autre chose qui m’échapperait.

 .

Art, beauté, nature et culture,

Chercher l’absolu, trouver mitan :

L’essentiel est que l’on meurt content,

Qu’on ne regrette rien lors en sépulture.

 .

Pour bien réussir dans sa vie

Il faut bien penser et bien agir :

Si tu passes tout ton temps à gémir,

Tu n’arrives nulle part en ce monde ci.

 .

Plan, rêve, chose, l’important,

Entreprendre, faire et réaliser et sa vie :

Utile ou non, beau ou laid, bon ou méchant

L’important est de décider selon désir, envie.

 .

On peut choisir de ne rien faire

Ou te laisser porter par les événements :

Esclave décisions d’autres rend vie arbitraire

Si on ne peut satisfaire aucun de ses penchants.

 .

Pour bien réussir sa vie,

Penser, réaliser, réévaluer :

Pas de marche arrière, asservie,

N’est jamais trop tard pour avancer

De prises, d’emprises et de surprises,

Vie est faite, bien vécue, bien comprise.

Ainsi dirigée, à maintes reprises, elle saura

T’éviter bon nombre de faux  pas et de tracas.

Un de nos cerveaux  pense, tandis, l’autre agit,

Faut faire travailler les deux pour   réussir ta vie

Ce sera la seule façon d’allier raison e t  passion,

Jusqu’à ce que ta mort soit un échec sans nom.

.           

.                     

Extension

 .

 « Réussir  sa  vie »

 « Réussir dans la vie »

Vont-ils être, à ce point

Incompatibles, que l’on se

Voit obligé de choisir sauf

Si  l’on n’est  en mesure

D’assumer les deux !

 .

Réussir sa vie : tout dépendra de ce qu’on en attend.

Si t’as pas une Rolex à cinquante ans, t’as raté ta vie :

Qui n’a entendu cela… ou quelque chose d’approchant !

Richesse définie comme seul critère de réussite de la vie.

On vous dit : définissez-vous une cible à quinze, vingt ans,

Et passez le restant de votre vie à l’atteindre voire dépasser

Ou laissez-vous porter par l’intuition et par les opportunités,

Que vous entriez par la grande porte ou la petite : qu’importe !

Ce qui compte c’est l’énergie, la passion, que vous y consacrerez !

.

Réussite économique et sociale

Contre  personnelle et familiale :

Les deux ne seront  incompatibles,

À condition de trouver un équilibre !

.

Vivre de peu n’empêche pas vivre bien

Quoique peu serait assez loin de rien,

Il faut un minimum argent, confort

Éviter se retrouver un jour dehors.

 

Assisté n’est pas réussir en la vie

Pas plus que  de réussir  sa vie :

L’autonomie sera seule garante,

De marge de liberté suffisante.

.

.

1172 – Calligramme 

.

Nuance peut   R   *  E paraitre subtile

De plus laquelle   É               I choisir en premier

Les deux ne sont   U                    V    in-com-pa-ti-bles

Pour réussir sa vie   S                        *   : il   faut   la  penser,

La définir, projeter   S                           A        et puis la réaliser.

La réussite n’est ni   I                           L      chance ni surprise

Quand on l’avoue :   R                       *    «avoir raté sa vie»,

Est-ce par rapport   *                 S      à carrière, famille

Ou rapport à un   D  A  N pari sur soi-même,

Car si on laisse    les choses se faire

D’elles-mêmes : sûr, un autre

Décide pour vous avenir.

 .

Pour bien réussir dans la vie

Faut bien penser avant d’agir :

Ceux qui ne pensent qu’à courir,

Tombent de haut, en dents de scie.

.

Réussir c’est quoi, vraiment :

Un métier, conjoint, maison, enfant,

D’accord, mais cela, le monde le sait,

Y a-t-il autre chose qui m’échapperait.

 .

Art, beauté, nature et culture,

Chercher l’absolu, trouver mitan :

L’essentiel est que l’on meurt content,

Qu’on ne regrette rien lors en sépulture.

 .

Pour bien réussir dans sa vie

Il faut bien penser et bien agir :

Si tu passes tout ton temps à gémir,

Tu n’arrives nulle part en ce monde ci.

 .

Plan, rêve, chose, l’important,

Entreprendre, faire et réaliser et sa vie :

Utile ou non, beau ou laid, bon ou méchant

L’important est de décider selon désir, envie.

 .

On peut choisir de ne rien faire

Ou te laisser porter par les événements :

Esclave décisions d’autres rend vie arbitraire

Si on ne peut satisfaire   R  aucun de ses penchants.

 É …

Pour bien   U  réussir sa vie,

Penser, réa   S liser, réévaluer :

Pas de marche  S    arrière, asservie,

N’est jamais trop I   tard pour avancer

De prises, d’empri    R  ses et de surprises,

Vie est faite, bien vé     *   cue, bien comprise.

Ainsi dirigée, à maintes    S   reprises, elle saura

T’éviter bon nombre de faux  A     pas et de tracas.

Un de nos cerveaux pense, tan   *   dis, l’autre agit,

Faut faire travailler les deux pour   V   réussir ta vie

Ce sera la seule façon d’allier raison  I     et passion,

Jusqu’à ce que ta mort soit un échec  E  sans nom.

 . 

.                                         

Forme

 .

Réduction

.

.

Évocation

.

1172 4

.

Une superposition de choses

Et d’autres, tenant debout

Comme par un  miracle

Comme dans la vie !

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche ici de forme)

.

L’équilibre est art du mouvement

Et de toute adaptation :

Se tenir debout quoiqu’il arrive

Est le signe de vie réussie.

.

Symbolique

.

Une posture est définie

Par une position particulière

Des segments corporels les uns

Par rapport aux autres,  instant.

Il existe grand nombre de postures

Pouvant être adoptées par être humain.

 .

Parmi elles, la station debout érigée

Constitue la posture de référence

Et son maintien sur terre

Doit s’opposer à l’action

De la force de pesanteur

Résultante force gravité

Qui  le plaquerait  au sol

Et de la force centrifuge,

Liée rotation de la Terre,

Qui tend à l’en soustraire).

elsevier-masson.fr/la-posture-debout-9782294758607

.

.

Fond

.

Évocation

..

1172 6

.

L’équilibre est art du mouvement

Et de toute interprétation :

Se tenir debout quoiqu’il arrive

Est le signe de vie réussie.

 .

Symbolique

 .

Interprétation postures :

Mains croisées dans le dos

Il est peut-être honnête mais

Il est décidé à faire échouer.

Adossé à une paroi :

Il est timide ou fatigué.

Les deux mains  sur les  hanches :

Il a la folie des grandeurs.

Une  seule main … sur la  hanche :

Il est plutôt prétentieux.

Lors les mains jointes sur le ventre,

Paumes orientées vers haut,

Comme pour faire la courte échelle :

Un gêneur qui peut donner

Dans un  cynisme le  plus morbide.

Pieds posés en angle droit,

Orteils contre la voûte plantaire :

Il est bourré de préjugés

Et il restera  ainsi  pratiquement

Impossible à convaincre.

lentreprise.lexpress.fr/rh-management/

les-gestes-qui-vous-trahissent

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 

.On tiendrait mieux  debout  quand on a réussi

Sa vie que quand on l’aura bradé, raté, souqué

La posture n’est pas étrangère à son élégance :

Être vieux et penché n’est pas vieux mais droit,

L’un a pu réussir en la vie au prix de sacrifices,

L’autre aura privilégié santé  et qualité de vie !

Observer une posture reste riche de son passé :

Ce ne sont là que des observations d’hypothèses

Qui devront être fondés par études statistiques.

.

.

Temps ou film de vie !

.

Scénario

.

Réussir en la vie ou  la parabole des talents, pactole de l’argent ?

Etre  ce que l’on est, l’on fait : sa vie comme un roman ou poème.

Se définir une cible, œuvre, passion, but : l’atteindre ou presque !

.

Voir prose et illustration

1171 – La vie est très courte, alors profitons-en !

Voir prose et illustrations 

.

 La vie est longue ou courte,

Selon  les gens : c’est selon,

Que l’on en profite, ou non,

Selon qu’accident l’écourte.

.

Mais que veut dire profiter :

La brûler par tous les bouts,

L’économiser au maximum,

Conceptions  antinomiques !

.

Elle comprend communauté,

Ou uniquement moi d’abord,

Elle ne parait qu’à l’extérieur,

Ou pleine autant, à l’intérieur.

.

Carpe diem   …   combien de fois

N’aurai-je   entendu  cette voix-là,

C’est la même chose,  à chaque fois,

La mort vous prend  comme autrefois.

On la retarde un peu, on ne lui échappe :

Parfois avant nos vieux jours, vous attrape.

.

Qui ne se sent déjà, un peu mort, quand il est inutile,

À dépenser  son temps, son énergie, voire son argent,

Pour lui-même  en des choses jugées  des plus futiles,

Comme si la vie  n’avait qu’un but : celui de produire

Et ses lumières et ses seuls  progrès : que de reluire !

 .

Seuls, quelques-uns  profiteront  des  brefs instants,

De lucidité leur étant voués et lors autant  de pauses,

Pour n’être plus que pions, de penser seuls, ils osent,

Pour chercher une activité libératrice passionnante.

.

Carpe diem, voulu la veille et, remis au lendemain,

Couper les ponts vie au travail, quitter le quotidien

Contempler le monde que vous allez tantôt quitter

Avec amis proches dont la mort, va vous arracher.

 .

Nouveau monde intérieur  qu’on peut construire,

Dépend que de vous, vous  et  seul, le verrez luire :

C’est bien le seul  que vous  remplirez, en définitive,

En ne cessant d’exister jusqu’ à ce que mort s’ensuive.

.

Extension

 .

La vie est très courte, alors profitons-en !

Leitmotiv du bien-vivre ou du vivre à fond

Qui nos enjoint d’en faire religion au point

Parfois devenir individualiste, avec fameux

«Moi d’abord» et, quant  au reste du Monde,

On verra si l’on peut lui faire quelque chose.

.

En réalité, la vie reste  une  totalité, même si

Elle  apparait, parfois, comme  une  somme

D’événements séparés. En ce sens, la limite

Entre monde intérieur, extérieur, n’est pas

Étanche, constitue une frange commune.

.

La vie est  très courte, à cinquante ans,

Pour celui qui n’a encore rien réalisé,

Et qui ne s’est pas réalisé lui-même

En lui procurant une impression

De vide et de parfaite inutilité.

.

La vie est longue, au même âge,

Pour celui qui a déjà fait dix métiers,

Dix changements de vie tout en se construisant

En un projet de vie cohérent, du moins de son point de vue.

 .

La vie est longue, pour ceux ou celles qui s’ennuient

Ou qui ont décidé  d’en finir, pour l’écourter, enfin !

La vie est courte pour ceux ou celles qui en profitent

Du début à la fin  et n’auront pas le temps de la finir.

Meilleure formule est encore de vivre  chaque instant,

De le privilégier,  de le remplir, à fond,  de la savourer !

C’est plus facile à dire qu’à faire si besoin de se projeter

Ne serait-ce que  pour méditer au calme, se jeter à l’eau,

Le temps d’y penser, c’est déjà trop tard… la vie reprend !

.

À quinze ans, tout le monde vous demande

Ce que vous voulez faire le long de votre vie !

Vous répondez : ne pas savoir : c’est mal parti

Bonne carrière, réussite, très tôt se commande.

.

Ça n’empêche pas  de changer de cap, de métier

Mais au moins la trajectoire  sera bien amorcée,

À l’exception près qu’il y aura vocations tardives,

Qui décollent à trente, voire plus et qui survivent.

.

De toute façon, il n’est jamais tard en lancement

Certains remplissent mieux leur vie, en retraite,

La fin de leur vie est en plein accomplissement

D’eux-mêmes, autres s’écroulent : mal-traite.

.

.

Épilogue

.

Parmi les philosophies de la vie

Qui prôneront le Carpe Diem latin,

On trouve les hédonistes en premier :

Philosophie ayant plaisir, but de la vie.

Le principe de plaisir de Freud régulerait

L’énergie psychique par moins d’excitation

 

***

 

Mais tout plaisir ne se limitera pas à satisfaire

Aux besoins primaires, naturels  et  nécessaires :

Accompagne le sentiment du Beau, car selon Kant,

«Est beau ce qui plaît universellement sans concept».

 

***

 

Universel, justement : en Orient, le Bouddhisme prône

Réduction souffrance par dénuements et contemplations.

Chaque civilisation aurait sa propre vision du profit de vie

Mais la religion chrétienne prêchera une voie de souffrance.

 

***

 

Normal pour elle : plus on souffre sur Terre et plus on gagnera

Du plaisir, une fois mort et au paradis mais il y a un problème,

Que fait-on des bébés morts, innocents et pas même baptisés :

Il y a deux poids et mesures en balance, disent les politiciens.

 

***

 

Pour  ma part, si je puis témoigner de ma vieille expérience,

Les plaisirs différent et c’est heureux, pour chacun de nous

Mais accomplir les choses avec une énergie et une passion

Soufflées par l’orientation que l’on a choisie pour sa vie,

Demeure comme une boussole de recherche du plaisir

Sans, pour autant, empiéter sur le plaisir d’autrui.

.

.

1171 – Calligramme 

 .

 La vie est longue ou courte,

Selon  les gens : c’est selon,

Que l’on en profite, ou non,

Selon qu’accident l’écourte.

 

Mais que veut dire profiter :

La brûler par tous les bouts,

L’économiser au maximum,

Conceptions  antinomiques !

 

Elle comprend communauté,

Ou uniquement moi d’abord,

Elle ne parait qu’à l’extérieur,

Ou pleine autant, à l’intérieur.

 

Carpe diem   …   combien de fois

N’aurai-je   entendu  cette voix-là,

C’est la même chose,    à chaque fois,

La mort vous prend  V   comme autrefois.

On la retarde un peu      I       on ne lui échappe :

Parfois avant nos vieux      E     jours, elle vous attrape.

*

Qui ne se sent déjà, un peu      E        mort, quand il est inutile,

À dépenser  son temps, son     S       énergie, voire son argent,

Pour lui-même  en des cho     T    ses jugées  des plus futiles,

Comme si la vie  n’avait qu’    *      un but : celui de produire

Et ses lumières et ses seuls    C       progrès : que de reluire !

 O

Seuls, quelques-uns  profite  U       ront  des  brefs instants,

De lucidité leur étant voués  R      et lors autant  de pauses,

Pour n’être plus que pions,   T      de penser seuls, ils osent,

Pour chercher une activité   E     libératrice passionnante.

*

Carpe diem, voulu la veille   P       et, remis au lendemain,

Couper les ponts vie au tra  R     vail, quitter le quotidien

Contempler le monde que   O     vous allez tantôt quitter

Avec amis proches dont la   F     mort, va vous arracher.

   I

Nouveau monde intérieur   T      qu’on peut construire,

Dépend que de vous, vous     O       et seul, le verrez luire :

C’est bien le seul  que vous      N       remplirez, en définitive,

En ne cessant d’exister jusqu’      S       à ce que la mort s’ensuive.

.

 .

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1171 4

.

Une bouteille

Ou encore un flacon

Avec un énorme bouchon, 

En réserve, pour hédoniste !

.

(P : forme pleine = : rimes égales

Y : le fond s’approche de forme)

.

Que ce soit une bouteille

De parfum, d’alcool ou autre

Ce sont des éléments du désir,

Et du plaisir et de l’hédonisme.

.

Symbolique

 .

Une bouteille

Est un récipient

D’allure cylindrique

À sa base se resserrant

À son sommet expression

 .

«Avoir    de   la    bouteille » :

Pour  avoir  de  l’expérience,

Se dit en général de personnes

D’un certain âge  ou  ayant une

Grande  expérience  sur un sujet.

 .

«Avoir penchant pour la bouteille » :

Apprécier à l’excès l’alcool, alcoolique.

Et « Jeter une bouteille à la mer » :

Est appeler à l’aide avec l’espoir

D’être trouvé, entendu, sauvé.

Modifié, source : Wikipédia

 .

.

Fond

.

Évocation

.

1171 6

.

Que ce soit une bouteille

De parfum, d’alcool ou autre

Ce sont des éléments et du désir,

Et du plaisir, donc de l’hédonisme.

.

Symbolique

 .

Les plaisirs de l’existence

Varient selon les individus, leur éducation.

Les hédonistes orientent leur vie en fonction

De leurs dispositions : amitié, tendresse, sexualité,

Plaisirs de la table, conversation, une vie constituée

Dans la recherche constante  des plaisirs, un corps

En bonne santé ainsi que noblesse d’âme, savoir,

Science, lecture, arts, exercices  et  bien social !

Les douleurs et les déplaisirs  à éviter seront 

Les relations  conflictuelles, rabaissement

Humiliation, soumission ordre imposé

Violence, privations et frustrations

Justifiées par des fables.

fr.wikipedia.org/wiki/Hedonisme

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Maximum de  plaisir dans sa vie :

un bon vivant,  jouisseur,  sensuel ;

homme courageux,  exigeant envers

lui-même, insensible à la souffrance.

ou les hédonistes contre les stoïciens

ou bouteille pleine …  bouteille vide.

on boit toute la bouteille, la remplit

on en consomme peu et fait durer,

soit consumérisme soit frugalité.

 .

.

Ne pas rester à ne rien faire !

 .

Scénario

 .

La vie est souvent comparée à une journée, matin, midi et soir.

Cueille le jour, cueille l’amour, comptés, ne durent pas toujours.

Faut se jeter à l’eau, dès qu’on le souhaite, ou quand il le faut !

.

Voir prose et illustrations 

1170 – Qu’est-ce donc qu’une vie bien remplie !

Voir prose et illustrations

.

Vie  remplie :

Allez savoir

Donc de quoi

Elle  sera faite.

Puis  comment

Elle est réussie.

Est-ce  être riche

Cultivé  et connu,

Et réaliser tout ce

Qu’on aura voulu !

 .

Avoir bien mené éducation enfant

Et être fier de leurs propres réussites.

Le catalogue des critères de vie remplie

Ne finit pas tant sa vie  est  bien  choisie.

.

La vie des uns, n’est pas la vie  des autres,

L’avis des premiers, pas l’avis du dernier,

Simple question  de culture, la leur, vôtre

Font qu’existence  bien remplie, aura été

 .

Faut vivre plus longtemps en bonne santé

Passer d’état pauvre à celui d’humain aisé

Voyager partout, et, par  tous les moyens,

Avoir un métier qui nous tient passionné.

.

Aimer à la folie, un,  voire deux conjoints.

Élever  ses   enfants   jusqu’à  la maturité,

Développer sa vie intérieure, sa curiosité.

 .

Et si ces sept vies étaient réunies, en l’une,

Sans parler de bonne ou mauvaise fortune

Mais, le plus souvent, on n’a qu’un modèle,

.

Et auquel  notre  bonne  société  culturelle,

Nous soumet  en promettant  d’être  fidèle

Ne pas être tenté de   rechercher …ailleurs

Autres vérités toutes des plus … éternelles.

 .

Tant mieux  si le bonheur reste… subjectif :

Le pauvre peut se permettre  d’être  créatif,

Au lieu de demeurer être, toujours, plaintif

Perdre et recommencer  le lendemain, à vif.

.

Que  veut dire : bien  remplir, réussir sa vie.

Ça dépend de société autant  que  de chacun

Et avant de prétendre devenir divin, humain :

Œuvre qui nous prend tout le temps imparti.

.

Pour ce qui est de la vôtre, ou de la mienne,

Faut attendre la suite pour connaître la fin.

Seule, la mort viendra  sceller  notre  destin

D’être quelqu’un à qui  révélation advienne.

.

.

Extension

.

Qu’est-ce donc

Qu’une vie bien remplie

Sinon une vie bien accomplie

Avec la fierté d’avoir fait ce qu’on

Avait choisi et qui nous a bien réussi

En dépit des hauts  et des bas, qui,

Comme  chacun sait, en une vie,

Ne manqueront pas d’advenir

La question à se poser, sera :

«Si je pouvais recommencer,

Ferais-je la même chose».

Ça signifie qu’on  ne sait

Que sa vie sera réussie,

Qu’à la fin et non pas

Au début ni milieu !

 .

Une vie bien remplie est celle dont reste satisfaite,

En tous cas à ses propres yeux, sinon de la société.

Qu’est-ce qu’une vie mal remplie à demi seulement,

C’est comme si on n’avait pas franchi le gué de la vie

Qu’on en était au début, ou milieu, on avait renoncé !

Une vie bien remplie, n’est pas celle que l’on nous dit :

Mais uniquement celle qu’on veut, celle qu’on a choisie.

On peut commencer à se poser la question sur la sienne :

Si frustration, il y a, que peut-on faire pour rectifier le tir.

.

Une vie bien remplie consiste-telle

À faire plein de choses, dans sa vie ;

 Une seule mais la faire jusqu’au bout,

Une question métaphysique s’il en est.

.

La question ne se pose pas en ces termes

Mais de satisfaction, d’accomplissement,

De ses désirs, de ses envies et de ses rêves,

Qu’on aura concocté tout au long de sa vie.

.

Pour beaucoup rempli veut dire accumuler :

Pas manque grande maison à cinquante ans,

Et grand jardin et grande auto et train de vie

Lors autres : avoir satisfait son cœur, esprit !

.

.

1170 – Calligramme

.

Vie          remplie :

Allez          savoir

Donc        de quoi

 Elle       sera faite.

Puis      comment

Elle    est réussie.

Est-ce   être riche

Cultivé  et connu,

Et réaliser tout ce

Qu’on aura voulu !

 .

Avoir bien mené   Q  éducation enfant

Et être fier de leurs U    propres réussites.

Le catalogue des cri       tères de vie remplie

Ne finit pas tant sa       E      vie est bien choisie.

La vie des uns, n’est       S     pas la vie  des autres,

L’avis des premiers,        T       pas l’avis du dernier,

Simple question  de                culture, la leur, vôtre

Qui font qu’existence       *       bien remplie, aura été

C

Faut vivre le plus long      E       temps en bonne santé

Passer d’état pauvre          *         à celui d’humain aisé

Voyager partout, et,         Q          par tous les moyens,

Avoir un métier qui          U        nous tient passionné.

Aimer à la folie, un,           ‘          voire deux conjoints.

Élever  ses   enfants          U         jusqu’à  la maturité,

Développer sa vie in         N       térieure, sa curiosité.

E

Et si ces sept vies étai       *         ent réunies, en l’une,

Sans parler de bonne        V        ou mauvaise fortune

Mais le plus souvent          I        on n’a qu’un modèle,

Et auquel  notre  bon        E         ne société culturelle,

Nous soumet  en pro         *         mettant d’être fidèle

Ne pas être tenté de          B         rechercher …ailleurs

Autres vérités toutes          I       des plus … éternelles !

E

Tant mieux  si le bon        N      heur reste… subjectif :

Le pauvre peut se per        *       mettre  d’être  créatif,

Au lieu de demeurer         R       être, toujours, plaintif

Perdre et recommen         E       cer le lendemain à vif.

Que  veut dire : bien         M      remplir, réussir sa vie.

Ça dépend de société        P      autant  que  de chacun

Et avant de prétendre       L     devenir divin, humain :

Œuvre qui nous prend       I     tout le temps… imparti.

E

Pour ce qui est de la           *       vôtre, ou de la mienne,

Faut attendre la suite        ?          pour connaître la fin.

Seule, la mort viendra                     sceller  notre  destin

D’être quelqu’un à qui                     révélation advienne.

.

.

 Forme

 .

Réduction

.

.

Évocation

.

1170 4

.

Une bouteille, probablement,

Une bouteille assurément,

À moitié pleine, moitié vide,

À moins que ce soit un vase

.

(P : forme pleine, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche de la forme)

.

La bouteille est le contenant

Des possibles et des probables

De la vie, et, le contenu, est  ce

Qui a été réalisé, peu ou prou !

.

Symbolique

.

La silhouette  d’une  bouteille

Se rapproche d’une silhouette

Humaine et serait féminine.

Plus  qu’un choix, la  féminité

De la bouteille vient de sa forme

D’une part, et d’autre de son utilité.

 .

La bouteille est un contenant, utilisé

Pour conserver un liquide, de l’eau,

Ou du vin qui arrive petit à petit

À maturité : elle symbolise le

Contenant de notre esprit,

De notre substance intérieure,

Et part féminine de sa personnalité.

signification-reves.fr/Bouteille

 .

.

Fond

 .

Évocation

.

1170 6

.

Le vase demeure le contenant

Des possibles et des probables

De la vie, et, le contenu, est  ce

Qui a été réalisé, peu ou prou !

.

Symbolique

 .

Par sa forme,

La grâce de ses courbes

Et sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin.

Son creux  évoque celui  de l’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides vitaux.

 .

Dans l’art et les rites funéraires, tout vase

Apparaît comme emblème vie éternelle.

Celui  de la coupe  (le calice)  est lié à

Deux connotations bien opposées :

Positive, signe destin favorable

Dont elle préfigure les agapes

Donc la joie  et  le  plaisir.

Négative,  défavorable

Avec souffrance et douleurs.

heraldie.blogspot.com/2014/08/le-vase

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Remplir une bouteille reste une métaphore

De la vie, comme celle de la bougie allumée

En première, on ajoute, entasse, superpose

En seconde on diminue, soustrait, consume

Mais au final, si cela reviendrait au même,

Seconde ne dépend du temps, pas  de nous.

 .

.

Vie consacrée à communiquer

.

Scénario

 .

C’est méditer sur le mystère et la grandeur de la Nature et la sienne.

C’est s’occuper des autres, et faire partie de leur histoire commune.

C’est s’éclater dans tout ce qu’on est, qu’on entreprend, qu’on fait !

 .

Voir prose et illustrations

1169 – La mort est-elle naissance pour autre vie !

Voir prose et illustrations

.

Avant naissance

Je n’existais pas

Après ma mort,

N’existerai plus.

Avant, j’existais rejeton

D’une famille, héréditaire.

Après, j’existerai en souvenirs,

Survivant en mémoire enfant, ami.

Ce qui fait que mon parcours de vie,

Est bien plus large que ce l’on en dit.

.

La mort est naissance pour autres vies !

Il faut bien que quelque part cela soit dit,

Soit compris, soit  soumis  au libre-arbitre

Pour nous déterminer  à exister tel qu’on est

Non tel qu’on voudrait ailleurs, ne finissant pas.

 .

Avant ma naissance, il  est vrai que je n’existais pas.

Tant mes parents auraient fort bien pu ne pas m’avoir

J’aurais été quelqu’un d’autre mais qui n’a rien à voir

Et lors, j’aurais été le fruit  d’un  hasard avant trépas.

.

J’étais juste un être en puissance  attendant … la vie

Venu du fond des âges et peut-être même du néant,

Pas fini, mais ne cessant, de grandir  par son envie,

Faisant le malheur, et  le bonheur  de mes parents.

 .

La vie passe, hélas, car elle ne dure qu’un temps :

La mort ne serait autre que fâcheux contretemps

Instaurant, à sa naissance  un après et un avant,

Rendant illusionniste imprimant espace-temps.

.

Plus dur que n’être plus, est de perdre un ami :

La mort ne fait problème à celui qui n’est plus

Mille poèmes l’évoquent mais aucun ne suffit

En la vie tout est écrit  mais rien n’est prédit.

 .

Au-delà de soi-même,  croyance de survie,

Un homme  ne peut décider d’apparaître,

Aucun ne peut se résoudre à disparaître

Tous cherchent sens, porte de sortie.

.

Naissant, entrons  en labyrinthe

N’étant de Dédale, Corinthe,

En corps, en prison, à vie,

En esprit en parti pris

D’une     croyance

Fausse,  vraie,

Vo-yan-ce,

Ivraie

Est

 .

.

Extension

 .

Il y a,

Selon peuples

Les  civilisations  et

Les religions, de multiples

Autres vies imaginées possibles.

Loin de moi de réaliser, ici, catalogue

Complet des post-vies : chacun en cultive

L’esprit en fonction de son imagination

Plus que sa raison lors résurrection,

Réincarnation, métempsychose,

Font qu’on revient, tel qu’on

Est  mort, lors  jugement

Dernier dans le corps

D’un autre bébé

Ou  animal

Plante

V

.

Darwin a résolu l’insoluble problème de la poule et de l’œuf

En démontrant que nous venons tous des cellules primaires

Parvenues sur  Terre, de l’Univers, mais sans plus d’indices,

Et ainsi notre vie se perpétue, par cycles naissances-morts.

Si réincarnation il y a, elle ne peut se faire que de manière

Génétique, par des gamètes, non la vertu du Saint-Esprit.

Corps est donc lié à la Terre même si notre esprit au ciel.

.

Je suis unique et multiple, à la fois :

Unique parce que je ne vis qu’une fois

Multiple, tant que  je me reproduirai !

.

En outre il y a toute la lignée génétique,

En moi, qui me précède,  et marquante,

Sans que j’en prenne pleine conscience !

.

La réincarnation me parait improbable

Y compris par l’intermédiaire de l’âme,

Ce serait comme vivre à travers l’autre.

.

.

1169 – Calligramme 

.

 Avant naissance

 Je n’existais pas

Après ma mort,

 N’existerai plus.

Avant, j’existais rejeton

D’une famille, héréditaire.

Après, j’existerai en souvenirs,

Survivant en mémoire enfant, ami.

Ce qui fait que mon     parcours de vie,

Est bien plus large         que ce l’on en dit.

.

La mort est naissance         pour autres vies !

Il faut bien que quelque           part cela soit dit,

Soit compris, soumis    M              au libre-arbitre

Pour nous déterminer   O        à exister tel qu’on est

Non tel qu’on voudrait    R     ailleurs, ne finissant pas.

T ….

Avant ma naissance, il       :   est vrai que je n’existais pas.

Tant mes parents auraient     N  fort bien pu ne pas m’avoir

J’aurais été quelqu’un d’autre     A     mais qui n’a rien à voir

Et lors, j’aurais été le fruit  d’un       I       hasard avant trépas.

J’étais juste un être en puissance       S         attendant … la vie

Venu du fond des âges et peut-être      S          même du néant,

Pas fini, mais ne cessant, de grandir    A             par son envie,

Faisant le malheur, et le bonheur de   N               mes parents.

                        C

La vie passe, hélas, car elle ne         E        dure qu’un temps :

La mort ne serait autre que        *        fâcheux contretemps

Instaurant, à sa naissance    A           un après et un avant,

Rendant illusionniste     U       imprimant espace-temps.

Plus dur que n’être    T       plus, est de perdre un ami :

La mort ne fait    R     problème à celui qui n’est plus

Mille poèmes    E    l’évoquent mais aucun ne suffit

En la vie tout  *     est écrit mais rien n’est prédit.

V ………………………

Au-delà de soi  I    même,  croyance de survie,

Un homme ne  E  peut décider d’apparaître

Aucun ne peut se résoudre à disparaître

Tous cherchent sens, porte de sortie.

Naissant, entrons  en labyrinthe

N’étant de Dédale, Corinthe,

En corps, en prison, à vie,

En esprit en parti pris

D’une     croyance

Fausse vraie,

Voyance,

Ivraie

Est

.

.

 

Forme

 

Réduction

.

.

.

Évocation

.

.

Une toupie, probablement ;

Une toupie, certainement 

Qui tourne à fond, ralentie

Et tombant en fin de vie !

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

.

La vie tourne comme une toupie,

Et avec même énergie :

Sauf que, lorsqu’elle sera tombée,

 On peut encore la relancer.

.

Symbolique

.

Platon en personne

S’interroge, dans «La République»,

Sur le point de savoir si axe de toupie

En mouvement est immobile ou non.

.

C’est le symbole de l’instabilité,

De l’activité incessante,

De l’imprévisible et,

De la grâce d’un personnage.

 .

Dans certaines îles de l’océan Pacifique,

Elle produit son proche voix humaine,

Qui est utilisé dans des cérémonies

Religieuses ou

Guerrières

Parfois

V.

blog.lesoir.be/jour-apres-jour

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

La vie tourne comme une toupie,

Et avec même énergie :

Sauf que, lorsqu’elle sera tombée,

 On peut encore la relancer.

.

Symbolique

.

Le monde tourne

Comme   une   toupie.

Symbolise  l’axe  du  monde 

Sur lequel tourne globe terrestre

Lors son mouvement rotatif évoque 

L’équilibre en un univers en mouvement.

« Et, comme la vie  d’un Homme, la toupie,

 Lancée cherche son équilibre sur son axe

 Puis très rapidement elle tourbillonne

Avec brio, semble avoir l’éternité

Devant elle, avant de perdre

Petit à petit de la vitesse,

S’épuiser et au final,

S’arrêter au sol,

Terrassée par

Sa course folle contre les forces

Physiques qui régissent notre Univers »

toupie-shop.com/informations-toupie-shop/35

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La toupie tourne et tourne encore

Un certain temps, un temps certain

Elle ralentit, puis titube puis tombe,

Mais il ne s’agira pas là, de sa mort

Il suffit de la relancer autant de fois

Qu’on désire pour la recommencer

Comme si elle s’était réincarnée.

 .

.

Se réincarner en d’autres vies !

.

Scénario

 .

Les statistiques  et  les hasards : des causes, faits, conséquences ?

Croyance en une autre vie, ailleurs : viatique de souffrance mort !

Éternel  problème récurrent de l’œuf et la poule ou réincarnation.

.

Voir prose et illustrations

1168 – Je n’ai pas le choix de naître et mourir !

Voir prose et illustrations

.

Avoir le choix,

Mais le choix de quoi,

On ne choisit pas de vivre,

On ne choisit pas … son sexe,

On ne choisit pas ses parents,

 On ne choisit pas… son pays,

On ne choisit pas l’avenir.

Les deux tiers d’avenir

Sont conditionnés

Par son passé,

Son statut.

.

Avant de naitre

On a déjà un passé

Et la santé   en sera  un

Par génétique, par hérédité.

.

Personne  n’a demandé à vivre,

N’a choisi ni son  sexe, son prénom

Ni ses parents ni  même sa religion :

Qu’en sera-t-il son destin à suivre.

.

Combien de choix  au cours d’une vie,

Nous sont imposés, forcés, extérieurs,

Ne se préoccupant  du moindre souci,

De notre bien-être,  bonheur intérieur.

 .

Mort nous demeure des plus étrangères

Qu’aucun ne pourra lui  conter  bergère

Refuser  seul,  d’en  devenir  dépendant,

En grabataire voire  sénile,  Alzheimer !

 .

Et lors, à charge entière de nos enfants,

Choix à mourir  en  paix  et  en être fier

Demeure, dernière   liberté,  et  volonté,

Qui nous soit donné de nous appliquer !

 .

Or là, notre mort est naissance à l’envers

En ne pouvant guère  être   propre  mère

Lors Globe Terre qui nous  aura  nourri,

Peut nous absorber  étant enfant de lui.

.

 .

 Extensions

 .

 .

Depuis le jour même de notre naissance,

On commence à vieillir, je veux dire, par-là,

Que l’horloge du temps qui nous est imparti

S’est mise en marche et ne s’arrêtera

Qu’après notre dernière heure,

Qu’après notre dernier battement de cœur.

.

On pourrait parler de métaphore mais en réalité,

Ce n’en est pas une, c’est juste sort de notre fortune.

La bonne fortune étant de naitre, d’avoir la chance

D’expérimenter bonheur, malheur  d’existence,

La mauvaise étant maladie, perte d’être cher.

.

Disparition de soi-même, que ce soit seul

Ou entouré des siens car il s’en trouve que

Leur naissance inquiète « Suis-je vraiment

L’enfant de mes deux parents» ou qui disent

«Qu’est-ce que j’ai fait au bon Dieu, pour avoir

Des parents pareils» autres qui ont une angoisse

Viscérale de leur propre mort, au point ne pouvoir

La projeter, y compris  pendant  les  enterrements :

.

On appelle cela un : «déni de réalité», lors il y aurait

Ceux qui l’anticipent : à la retraite,  ils se considèrent

En antichambre de la mort, autres qui, restant jeunes,

Actifs et combatifs jusqu’à leur dernier souffle. Le choix

De naitre,  on ne l’a guère, celui de vivre, oui, et  à plein !

.

Celui qui meurt en naissant, peut-on dire qu’il a vécu sa vie

Et  celui qui meurt, à cent ans, peut-on dire qu’il l’a épuisé ?

Ça change quoi : que fait-on de ses actes, pensées, souvenirs.

Que veut dire épargné par la mort, suite à accident, maladie !

Et puis si certains acceptent de mourir, d’autres y rechignent !

Certains s’y préparent, allant en retraite, autres font l’autruche !

L’important finalement n’est ni le début ni la fin : le …… chemin.

.

.

Entre dire : j’aurais préféré ne pas être né,

Et je ne veux pas savoir que je vais mourir,

Il y a là le même déni de réalité, hors choix.

.

L’on est mort, potentiellement,  une fois né :

C’est juste une question  de temps,  de durée,

Tant la question n’est jamais si, mais quand.

.

Une fois traitée et acceptée, l’idée de mourir,

Il reste à vivre, et il y aura de quoi s’occuper

Pour mettre à profit le meilleur de sa santé.

.

 .

Épilogue

.

Épilogue porterait bien son nom ici :

On peut épiloguer  et  tant que l’on veut,

On ne saura jamais le fin mot de l’histoire

Personnelle ni même collective de l’humain,

On ne connait que ses couplets, pas son refrain

Et, ce qui reste vrai aujourd’hui, le sera demain !

 

***

 

N’ayant pas eu le choix de naitre, de vivre, mourir,

Toute vie humaine peut être considérée parenthèse

Inexpliquée, exceptionnelle et voire presque divine,

À moi de tirer maximum profit de telle expérience,

Accumuler maximum de pratiques, connaissances.

 

***

 

Tous mes processeurs, ancêtres, et contemporains

M’auront transmis une partie de leur imaginaire,

Et c’est à moi, de savoir qu’en faire, la prolonger,

Pour la transmettre  à mes enfants, successeurs.

 

***

 

C’est simple : je suis une particule d’un Tout,

Je suis maillon d’une chaine…qui n’en finit

Et qui mènerait l’Humanité dieu sait où !

 

***

 

Vers son destin, probablement, lequel,

Ce ne sont morts qui nous le révèlent.

 

***

 

Et pour moi, ce sera mot de la fin !

.

.

1168 – Calligramme

.

Avoir le choix,

Mais le choix de quoi,

On ne choisit pas de vivre,

On ne choisit pas … son sexe,

On ne choisit pas ses parents,

 On ne choisit pas… son pays,

On ne choisit pas l’avenir.

Les deux tiers d’avenir

Sont conditionnés

Par son passé,

Son statut.

******

******

Avant de naitre

On a déjà un passé

Et la santé   en sera  un

Par génétique, par hérédité.

 

Personne  n’a        C   demandé à vivre,

N’a choisi ni son      H     sexe, son prénom

Ni ses parents ni        O     même sa religion :

Qu’en sera-t-il de        I     son destin à suivre.

 X

Combien de choix       *      au cours d’une vie,

Nous sont imposés     D       forcés, extérieurs,

Ne se préoccupant     E      du moindre souci,

De notre bien-être      *      bonheur intérieur.

N

Mort nous demeure    A    des plus étrangères

Qu’aucun ne pourra    Π    lui  conter  bergère

Refuser  seul,  d’en      T     devenir dépendant

En grabataire voire    R     sénile,  Alzheimer !

E

Et lors, à charge en     *    tière de nos enfants

Choix à mourir en     M     paix et en être fier

Demeure, dernière     O      liberté, et volonté,

Qui nous soit donné   U    de nous appliquer !

R

Or là, notre mort est   I     naissance à l’envers

En ne pouvant guère  R      être   propre  mère

Lors Globe Terre qui      nous  aura  nourris,

Peut nous absorber     *      étant enfant de lui.

.

 .

 Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1168 4

.

Bocal de quelque chose,

Et  peut-être même  de

Souvenirs de la vie 

Comme un coquelicot

.

(P : forme pleine, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche ici de forme)

.

Combien de souvenirs

En autant d’années de vie

Qui peut le dire ou le prédire

Pour m’en divertir : personne !

.

Symbolique

 .

Un souvenir est quelque chose

Dont on se remémore, élément mémoire.

«La vieille armoire en chêne se souvient-elle

Du temps où elle avait des feuilles ? » Paul Valéry.

 .

La description des mécanismes psychologiques

Permet de définir certaines de nos facultés.

Ainsi le souvenir des choses matérielles

Est-il la conservation de certaines

Traces de mouvements provoqués

Dans notre cerveau.

 .

De même, l’imagination ne s’explique

Que par des mouvements corporels joints

À  une certaine  activité  de  l’âme.

 .

Seule la pensée est active, en ce sens

Pas besoin de mouvements matériels.

Selon Descartes, la pensée n’est possible

Sans la perception et sans l’imagination.

fr.wikipedia.org/wiki/Souvenir_(memoire)

.

.

Fond

.

Évocation

.

1168 6

.

Combien de souvenirs

De coquelicots d’une vie

Qui peut le dire ou le prédire

Pour m’en divertir : personne !

.

Symbolique

.

Le coquelicot rouge,

Est une plante indigène

Poussant le long de majeure

Partie du front occidental de la

Première guerre mondiale, et elle

Est  symbole  éloquent  du souvenir.

C’est le principal emblème de la légion

Royale canadienne, qui en distribue des

Millions chaque année aux canadiens,

Qui les portent le jour du souvenir.

«au champ d’honneur les

Coquelicots

Sont parsemés… »

www.museedelaguerre.ca/

premiereguerremondiale/histoire

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Souvenirs, souvenirs, comme dit

 La  chanson de Johny Halliday :

 Je vous retrouve en mon cœur

Et vous faites refleurir

Tous mes rêves de bonheur.

On se croirait chez Ronsard

Quand je serai bien vielle

Le soir…  à la chandelle

Il s’agit  de coquelicot,

Et  non  de  « rose » 

Mais le cœur y est !

 .

.

Parmi quatre raisons de vivre

.

Scénario

 .

Naitre n’est de son propre fait : du désir des parents ou accident !

Le choix de vivre, une fois qu’on a pris conscience, dépend de nous !

Mourir, n’est pas négociable mais on peut la retarder, précipiter !

.

Voir prose et illustrations

.

 

1167 – Naître, apparaître et puis disparaître !

Voir prose et illustrations

.

Naitre, et apparaitre,

Et finalement… disparaitre :

Trois  petits  tours,  et s’en vont,

Voilà le lot  de  tous les humains :

C’est  aussi, c’est autant, le  mien !

En cela nous sommes  tous égaux

Naitre  serait une réelle chance,

À part cette fatalité… imposée,

Vivant nos folles expériences

Qu’on n’aurait pas vécu

Si l’on n’était

Jamais … né.

 .

J’ai pas demandé à naître

Ma vie, l’on me l’a imposée

Par souci de parent peut-être

Pour se reproduire, s’occuper.

.

Pressentant le jour où je suis né

Un sort fatal  pour  ma destinée

En  criant, me suis  senti extirpé

Du trou noir dont je  suis  tombé

 .

Me  repaître  de biens  je  le peux

Boire  et  faire  fortune si  je veux

Face à tout possédant et méritant

Je préférerais n’être que méditant.

 .

Avant disparaître  aimerais savoir

Si l’humanité va et court à sa perte

Autant que moi en  son  grand  soir

De fin de la planète   bleue et  verte.

 .

Paraître, n’être rien, trois fois rien

Est le privilège  que je veux  garder,

Si Terre est le Néant de l’Humanité,

En poussière aussi   je  deviendrais.

.

Quel maître, nous  aurait créés,

Pour, après, nous  abandonner

Radeau  de la Méduse, océan,

Des galaxies : fin  des temps.

.

 .

Extensions

Naître, apparaître, puis disparaître,

Comme si l’on n’avait pas existé ou avec

De vagues traces qu’on a quand même été,

Tel est sort commun de totalité des humains,

Dont je fais partie.

 .

Certains  disparaissent, à peine né, et  d’autres,

Enfants, quelque temps  plus tard, autres, jeunes

Entre vingt et quarante ans, mais, la plupart, entre

Soixante et quatre-vingt ans.

 .

Il est des jeunes comme Rimbaud ou d’autres artistes

Qui sont morts jeunes mais qui sont toujours présents

Dans nos esprits, et d’autres, qui mourront plus que

Centenaires et seront vite oubliés.

.

Il est même de certains personnages, nés de l’esprit

Des auteurs qui continueraient à vivre, et dont on

Demande des nouvelles, quand ils ont disparu

En quel cimetière ils ont été enterrés.

 .

Faut avouer : c’est tout de même le monde

À l’envers d’oublier le nom d’un auteur

Mais pas de ses personnages.

Né sans savoir d’où je viens,

Mort sans savoir  où je vais :

Tel est  notre destin, humain.

Il faut avec …  dans la mesure

Où nous n’avons  autre choix :

Né incarné, notre corps vieillit

Et au bout du compte, pourrit,

Mais se renouvelle-t-il ailleurs,

Ou autrement, nul ne le saura.

.

Naitre, apparaitre, disparaitre,

Le lot de notre condition humaine,

Que l’on peut retarder, non modifier,

Et qui marque au cœur, notre fragilité.

Certains ont peu d’impression d’apparaitre

Tant on les ignore, les met de côté : ostracisés,

Tandis que d’autres, disparaissent de leur vivant,

Soit physiquement, socialement, intellectuellement.

Enfin, il y a ceux qui tentent, et parfois réussissent,

À laisser une trace durable d’eux par leurs œuvres

Comme s’ils n’avaient existé que pour faire cela

Pour se payer tel plaisir, ersatz d’éternité.

.

.

1167 – Calligramme

.

Naitre, et apparaitre,

Et finalement… disparaitre :

Trois  petits  tours,  et s’en vont,

Voilà lot  Ô     des     Ô humains :

C’est  aussi, c’est //autant, le  mien !

En cela nous // sommes  tous égaux

Naitre  se //rait  une réelle chance,

Pas fatalité    =====     imposée

Vivant nos folles expériences

Qu’on n’aurait pas vécu

Si l’on n’était

Jamais … né.

                 N

J’ai pas demandé  A  à naître

Ma vie, l’on me l’a   Î    imposée

Par souci de parent  T    peut-être

Pour se reproduire,   E    s’occuper.

             *

Pressentant le jour    A  où je suis né

Un sort fatal  pour      P    ma destinée

En  criant, me suis      P     senti extirpé

Du trou noir dont je     A    suis  tombé ….

         

Me  repaître  de biens   A       je  le  peux   …

Boire  et  faire  fortune  R        si  je  veux  .….

Face à tout possédant    A         et méritant …..

Je préférerai n’être que  Î       un méditant ……

     T

Avant disparaître         R   aimerais savoir …..

Si l’humanité va           E   court à sa perte .…

Autant que moi en       *   son  grand  soir …

De fin de la planète     D   bleue et  verte. ..

        I

  Paraître n’être rien    S      trois fois rien

    Est privilège  que je   P     veux  garder.

     Si Terre  est Néant   A    d’Humanité,

      En poussière aussi   R    deviendrait.

                A

       Quel maître, nous    Î   aurait créés,

       Pour, après, nous    T  abandonner

       Radeau  de la Mé   R duse, océan,

        Des galaxies : fin   E   des temps.

.

 .

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1167 4

.

Image de statue

D’une  jeune femme,

Immortalisée à cette age 

Printanier, exquis, séduisante.

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche ici  de forme)

.

Statue de femme sera faite pour

apparaitre mais non disparaitre

lors figurant une sorte d’éternité

et ainsi la forme évoque le fond

.

Une  statue aura beau représenter

Une femme même identifiée :

Il n’empêche qu’elle n’est qu’un objet,

Qu’elle ne sera pas la personne.

.

Symbolique

.

Auguste Rodin, sculpteur

Ayant abordé le néobaroque,

Le  symbolisme et  le  réalisme,

Est considéré comme l’inventeur

De sculpture statue moderne.

Avec son Monument à Balzac,

Il expose  son  manifeste  de

La modernité en sculpture

Et provoque  un scandale

Lors  de  sa  présentation

Publique mais ses disciples

Camille Claudel, Antoine Bourdel

Assureront la transition vers le xxe siècle.

Wikipédia  Sculpture moderne

 .

 .

Fond

 .

Évocation

.

1167 6

.

Une  statue aura beau représenter

Une femme même identifiée :

Il n’empêche qu’elle n’est qu’un objet,

Qu’elle ne sera pas la personne.

.

Symbolique

 .

Hommage féminin

S’intègre bien  dans    les

Rituels  dits républicains,

Dont il faut de déceler

Le rôle public et politique,

Soit qu’il montre invariablement

La femme en sa spécificité genrée,

Par exemple en tant que mère

Génitrice fort utile à la société,

Soit  annonçant conformément

Au  modèle  universel   français,

La  reconnaissance  de  la femme

Comme  citoyenne  à part  entière.

Tout en rendant compte des valeurs

Libératrices normatives ayant guidé

Ces  femmes,  exceptionnelles,  l’étude

De la  représentation, formes  statues,

Permet d’évaluer   degré d’objectivation

Qu’elles ont pu subir, a pu les assujettir !

cairn.info/revue-societes-et-representations-2008-2-page-153

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Rares sont les statues de femmes

Qui sont des symboles du pouvoir

Et bien plus de grâces et de désirs

Comme si leur forme l’emportait

Sur leur personnalité intérieure

Mais il n’en restera pas moins

Qu’elle influe sur notre idée

De la beauté de la nature.

 

 .

.

juliettebourdier.net/2020/01/21/201-revision-passe-compose

 .

Scénario

.

 Né puis mort : deux mots suffisent pour borner une vie, la résumer.

Deux fleurs, rouge coquelicot, qui se ressemblent, s’attirent en herbe.

Des personnages naissent, meurent sous la lumière de leurs auteurs

.

Voir prose et illustrations

800 – Quels petits arrangements entre amis !

Visuels et textuels  >>

.

Amants

Avec ran-ge-ment

Dérangement couple

On n’en voit peu, beaucoup

Arrangements  on ne sait tout.

Il y en aura bien tant mieux sinon

Ça ne durerait pas longtemps

Qui a tort  qui a raison

Les deux, sûr,

Point de vue !

.

Dérangements, arrangements,

Ou racines de, conflits, solutions,

Permettent au couple, une rémission

Afin de vivre leurs passions autrement.

Quels  petits arrangements, entre amis

Pouvons-nous faire au sein du couple !

.

Chut, on en parle pas juste entre nous :

Les autres nous jugeraient comme fous.

Secrets d’alcôves, de couples, de familles,

Remplissent nombre romans d’éducation

Où on délivre  les deux faces du mariage :

Face pile, vraie valeur, autre,  sa noirceur.

.

On y trouve ceux qui sont sans  carapaces,

Vivent comme leur temps le permet, tolère,

Autres qui veulent, surtout   sauver  la  face,

Lors ils ont le dos tourné, se mettent  colère.

.

Quand on leur parle de soupçon d’infidélité,

Ou moindre problème de communications,

Avec un conjoint  se faisant suivre, soigner

Par le psy pour tenter  de trouver solution.

.

Petit arrangement de couples, entre amis,

Sont aussi fréquents que coups de canifs,

Un contrat de mariage   revu à la baisse :

Mal pour un bien, c’est à chacun  de voir.

.

Quels  petits  arrangements  entre amis,

Pouvons-nous faire  au sein  du couple !

Chut, on en parle pas, juste entre nous :

Les autres nous jugeraient comme fous.

.

.

Extensions

 .

Des arrangements, il y en a

De toutes sortes, dans les couples,

Étant basées sur l’amitié ou sur l’amour.

Dans les divorces, le point le plus critique s’il

Y a des enfants, est leur garde et l’autorité parentale.

.

Il y a quantité de recours aux juges pour trancher

Les positions statiques, sauver l’avenir et confort

Affectif des enfants : l’amour, la vie commune

Et la gestion des conflits sont trois choses

Complétement disjointes parfois alors

Qu’ils devraient vraiment aller de soi.

.

Il y a de la vengeance, de la jalousie,

De l’amour non soldé, de l’incapacité de

Résilience chez certains ex-conjoints qui font

Qu’au lieu de trouver des arrangements, se battent

Pour obtenir le maximum de droits et de prérogatives.

.

Entre la guerre entre peuples et entre couples, il existe

De nombreux points communs, idem au sein des

Couples qui veulent rester ensemble tout

En gardant leur liberté sexuelle,

Sinon sentimentale.

Chambre à part !

.

Qui dit arrangement dit négociation et compromis,

Le tout est d’en trouver un acceptable pour le couple

Qui dure  jusqu’à nouvel ordre,  lors on ne sait quand,

Les choses allant  en s’améliorant, stagnant, empirant,

Autant lire  dans la boule de cristal, mais  l’important,

Est que le lien n’est pas rompu, et  que le contrat, tenu

En privé, on peut toujours faire quel qu’amendement.

Il y a des couples ou principe de fidélité est en avant

Et le conjoint floué, ne reviendra jamais en arrière

À chacun de déterminer si c’est prétexte, cause.

.

Nombre arrangements en un couple

Sont souvent possibles, pas toujours.

.

Le premier d’entre eux est de choisir,

De continuer à vivre sous même toit.

.

 Second, de ne pas imposer à l’autre,

Nouvelle compagne ou compagnon

.

Troisième, de continuer à recevoir

Ensemble,  les enfants du couple.

.

Le dernier de porter assistance

À l’autre en cas de problèmes.

.

.

800 – Calligramme

.

Amants

  Avec ran-ge-ment

  Dérange  P   ment couple

On n’en voit  E   peu, beaucoup

Arrangements T     on ne sait tout.

Il y en aura bien I     tant mieux sinon

Ça ne durerait T      pas longtemps

Qui a tort  S    qui a raison

Les deux, sûr,

Point de vue !

.

Dérangements, arrangements,

Ou racines de, conflits, solutions,

Permettent au couple, une rémission

Afin de vivre leurs passions autrement.

Quels petits arran *   gements, entre amis

Pouvons-nous faire    A    au sein du couple !

Chut, on en parle pas       R    juste entre nous :

Les autres nous jugeraient     R      comme… fous.

Secrets d’alcôves, de couples,       A         de familles,

Remplissent nombre romans d’        N         éducation

Où on délivre les deux faces du            G          mariage :

Face pile, vraie valeur, autre, sa            E            noirceur.

On y trouve ceux qui sont  sans            M            carapaces,

Vivent comme leur temps le               E         permet, tolère,

Autres qui veulent, surtout              N           sauver  la  face,

Lors ils ont le dos tourné,            T           se mettent colère.

Quand on leur parle de            S            soupçon infidélité,

Ou moindre problème        *            de communications,

Avec un conjoint           E       se faisant suivre, soigner

Par le psy pour            N   tenter de trouver solution.

Petit arrangement     T      de couples, entre amis,

Sont aussi fréquents    R     que coups de canifs,

Un contrat de mariage    E   revu à la baisse :

Mal pour bien : à chacun    *           de voir !

Quels petits arrangements  A      entre amis,

Pouvons-nous faire au sein  M        du couple !

Chut, on en parle pas, juste    I        entre nous :

Les autres nous jugeraient      S      comme…fous.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

800 4

Un flacon de parfum

Dont   la  forte  odeur

Nous suit  en chemin 

Comme une trainée ?

.

Un parfum d’amitié existe bien

et apporte du soleil en un cœur,

pour peu qu’il soit diffusé amour

et ainsi sa forme évoquera le fond

.

Nouvel arrangement du couple sera,

 Pour les uns,  un nouveau  parfum,

Alors  que pour d’autres, ce sera un

Nouveau poison à éviter à tout prix.

  .

Symbolique 

.

Votre parfum est révélateur

De votre personnalité et en dit long

Sur votre caractère. Oui mais voilà,

Pas toujours  facile  de s’y retrouver

Parmi la foule d’essences présentes

Sur  le marché : pour  vous aider,

Sachez que toute  la parfumerie

Se découpera  en  sept groupes

D’odeurs dites fondamentales

Les hespéridés,  les floraux,

Les fougères,  les chyprés,

Les boisés,  les orientaux

(ambrés), aromatiques.

.

Descriptif

 

800 – Petits arrangements entre amis !

  Alignement central  /  Titre  serpente   / Thème  amitié

Forme ronde  /Rimes égales /Fond approché  de forme

Symbole de forme : parfum /  Symbole de fond : parfum

.

.

Fond

 .

Évocation

.

800 6

.

Nouvel arrangement du couple sera,

 Pour les uns,  un nouveau  parfum,

Alors  que pour d’autres, ce sera un

Nouveau poison à éviter à tout prix.

.

Symbolique de fond

.

Choix d’un parfum,

Des normes non-écrites

Socialement reconnues,

Dirigent nos choix et notre

Utilisation de tels produits.

Tant l’odeur en tant que telle

Peut projeter une image symbolique.

.

Une fragrance épicée, relevée, ou fruitée

Ou florale peut exprimer plusieurs images

Diverses en l’esprit de celui qui le porte,

Comme pour celui qui le sent. Ainsi,

Certaines odeurs  peuvent avoir

Une symbolique  référant à la

Sensualité,     à la fraîcheur,

Comme c’est souvent le cas

Des    parfums     floraux,

Ou encore à la richesse.

joiedevie.forumpro.fr/t15923

-symbolique-des-parfums

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

On ne choisit pas le même parfum

Pour une amante, voire un amant,

 Que pour un ami, proche,  lointain :

L’attraction, l’effet sexuel, en moins.

Mais après si tout se mélange, au lit,

Parfum n’a s même importance aussi

Puisqu’il y en un déjà  qui les dépasse,

Faisant en sorte que rien ne les classe.

 .

.

Petit arrangement lit

.

Scénario

.

Une amie qui veut vous conquérir, tout entier sera des plus jalouses.

Tu as ta liberté, moi j’ai la mienne, on sera bien d’accord là-dessus.

Des lits jumeaux pour sauver les apparences parfois trompeuses.

 .

Visuels et textuels  >>

799 – L’ami éprouve de l’affection, sympathie

Visuels et textuels >>

.

L’ami serait bien celui auquel,

On se confie, sans querelle,

Celui qui vous écoutera,

Quand vous serez bas.

.

Affection, sympathie

Sont ses mots à lui ;

Aucun lien  avec lit,

Désir reste assoupi.

.

Et quand il s’agira,

D’un ex conjoint

Désir exclu

Point

Hormone

Parfois revient

Faut toujours faire

Avec lui, elle, le point.

.

Ami éprouve affection, sympathie

Pour celles  ceux  à qui  il se  confie.

Amant éprouve quelque attrait sexuel,

Pour une autre si  réciproquement belle.

.

L’attaché approuve  la  relation familiale

Au sein de cette cellule  qu’il jugera vitale

Et combien sont les couples  ayant évolué,

D’états d’amants puis amis puis  attachés.

.

Chemins, soudés d’avantage aux souvenirs

De vie commune que leur amour a changé.

Une tromperie, un orgueil,  une vengeance,

Prétextes à une séparation feront diligence

Cachez-moi cet échec que je ne saurai voir !

.

Avec l’ancien conjoint, il n’y a plus  d’espoir.

Attachement de femme entre l’ami, l’amant,

Et son mari va au-delà de nobles sentiments

Il vient combler  l’impermanence du  temps,

Qui fait que cent histoires n’en font pas une

.

Ou pour les hommes, comme une infortune

De n’avoir pas trouvé,  substitut à maman.

Quoi de plus normal et quoi de plus banal

Qu’amour, tant qu’il  n’est qu’hormonal.

.

.

Extensions

 

L’ami éprouve de l’affection,

Sympathie, d’accord et parfois

Aussi attrait réel et désir concret.

.

Changements de nature sentiments

Au sein d’un couple quel qu’il soit,

Sont bien fréquents et bien réels

Mais ne fonctionnent vraiment

Que quand ils sont discutés,

Négociés et puis acceptés.

.

Dans la plupart des cas,

Il y a un décalage, et une

Non-réciprocité, qui font que

L’un souffre et l’autre pas, d’autant

Que l’autre ne comprend, comprend plus.

.

Il ne s’agit pas d’une balance qui, penche d’un côté,

Il s’agit plus d’un curseur et qui évolue en permanence

Selon état intérieur, humeur, circonstances, événements.

.

L’ami, c’est qui, c’est quoi, c’est comment, c’est pourquoi :

Différence de sexe, d’âge, de profession, de culture …  etc.

Si l’on ne peut être mi avec tout le monde, c’est un choix

Qui détermine qui le sera et où, comment et pourquoi !

On partage, facilement, la même passion avec un ami

Avec un conjoint, c’est parfois risqué parfois comblé

Passion de toute façon est faite pour être partagée.

.

L’ami ne serait pas forcément

Quelqu’un comme soi, identique,

Au contraire, il peut être différent,

Et ainsi, nous être complémentaire !

.

L’amitié avec la personne de même sexe

Ne sera pas la même qu’avec l’autre sexe :

La première tombe sous le sens, pas les sens,

La seconde aurait plus à partager avec les deux

.

La chose se complique encore si on a été marié,

Ce qui sera moins le cas si l’on a été qu’amant,

Sinon l’ami d’un jour pourra être de toujours,

Pour peu que cœur, esprit, âme, s’accordent.

.

.

799 – Calligramme 

 .

L’ami serait bien celui auquel,

On se confie, sans querelle,

Celui qui vous écoutera,

Quand vous serez bas.

Affection, sympathie

Sont ses mots à lui ;

Aucun lien  avec lit,

Désir reste assoupi.

.

Et quand il s’agira,

D’un ex conjoint

Désir exclu

Point

Hormone

Parfois revient

Faut toujours faire

Avec lui, elle, le point.

.

Ami éprouve affection, sympathie

Pour celles     A    ceux à qui il se  confie.

Amant éprouve   M  quelque attrait sexuel,

Pour une autre si    I  réciproquement belle.

L’attaché approuve     *      relation familiale

Au sein de cette cellule   É   qu’il jugera vitale

Et combien sont les couples   P   ayant évolué,

D’états d’amants puis amis puis  R    attachés.

Chemins, soudés d’avantage aux   O  souvenirs

De vie commune  que leur amour U   a changé.

Une tromperie, un orgueil une   V    vengeance,

Prétextes à une séparation   E  feront diligence

Cachez-moi cet échec que   *   je ne saurai voir !

Avec l’ancien conjoint, il   A  n’y a plus  d’espoir.

Attachement de femme   F   entre l’ami, l’amant,

Et son mari va au-delà   F    de nobles sentiments

Il vient combler  l’im     E  permanence du  temps,

Qui fait que cent his      C   toires n’en font pas une

Ou pour les hommes      T       comme une infortune

De n’avoir pas trouvé      I           substitut à maman.

Quoi de plus normal         O         et quoi de plus banal

Qu’amour, tant qu’il          N              n’est qu’hormonal.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

799 4

Inverser l’image haut-bas 

.

Un simple verre,

 Vide  ou   bien  plein,

Posé là pour trinquer

Sur un support ordinaire.

.

Verres de vin ou de champagne

sont faits pour trinquer amitiés

ou tout au moins la convivialité

ainsi la forme vide bien le fond

.

Le verre d’amitié, expression populaire

Après une réunion de travail

Etre ami, c’est aussi et d’abord trinquer

Son verre avec un proche !

 .

Symbolique 

 .

« Seul le verre et l’or donnent

Une idée du prix de la sagesse. »

Dit le proverbe : verre transparent,

Le verre semblable à l’eau et à l’air,

Le verre fragile, le verre banal,

Le verre qui ne vaut que par

Ce qu’il retient ou laisse voir,

Le verre simple contenant

Qui ne cache rien, pourrait-il

Évoquer la moindre idée de mystère ?

Apparente capacité de se faire oublier,

Faculté d’emprunter l’aspect  de ce qu’il

Ne dissimule pas, tout suggère un statut

Particulier qui est de montrer et refléter.

huyghe.fr/actu

.

Descriptif

 

799 – L’ami éprouve affection, sympathie 

  Alignement central  /  Titre  serpente   / Thème  amitié

Forme conique  /Rimes égales /Fond approché  de forme

Symbole de forme : verre /  Symbole de fond : trinquer

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

799 6

.

Le verre d’amitié, expression populaire

Après une réunion de travail

Etre ami, c’est aussi et d’abord trinquer

Son verre avec un proche !

 .

Symbolique de fond

.

Cette pratique de

Trinquer son verre

Remonte au Moyen-âge.

À cette époque, il n’était pas

Rare de mourir  en empoisonné,

Ingérant un poison lors d’un repas.

Et pour limiter les risques, il était de

Coutume de cogner les verres, les uns

Contre les autres avant débuter boire

Pour faire passer  un peu de liquide,

D’un verre à l’autre. Si la personne

À qui vous proposiez de trinquer

Refusait net de faire de même,

Vous pouvez avoir de sérieux

Doutes quant au contenu

De votre verre…

culture-generale.fr/histoire/

85-pourquoi-trinque-t-on

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Trinquer son verre est preuve

Sinon d’affection : camaraderie

On ne trinque avec  n’importe qui

Quand on trinque l’on se regarde

En principe, droit dans les yeux.

Le ferait-on  avec son ennemi !

Sûr que non, plutôt tête basse

Et sans toucher son verre !

 .

.

Une très forte amitié, complice

.

Scénario

.

On se ressemble bien  et même au point on pêchera ensemble.

Attention, toucher n’est pas gagner, pas davantage l’inverse.

On se retrouve pour prendre un café, et pour …  échanger.

 .

Visuels et textuels >>

798 – Etre l’ami, compagnon, amant ou mari !

Visuels et textuels >>

.

Donner un nom à relation

Amoureuse,

Bien sûr et bien évidemment,

Bienheureuse

Mais variera d’un pays, culture

Ou religion

À autre, engage, plus ou moins,

Le partenaire.

 .

Certains sont directement mari,

D’autres seront passés par ami ;

D’autres, encore  par …  amant,

Ou compagnon  toute  leur vie.

On en a vu ami, amant, mari,

Advenir et successivement

Si c’est alternativement

Par différences, au lit.

.

Etre l’ami, c’est reposant.

Etre compagnon, c’est dopant.

Etre l’amant, c’est plus charmant.

Etre le mari, c’est le plus engageant !

.

Ainsi vont les choses, ainsi vont les temps

Passat de l’un à l’autre  et réciproquement :

Le mariage est statut, est profond changement

Mais l’on pourra bien s’en  passer, en se pacsant.

 .

Des amis, amants, on peut  en avoir  plusieurs :

Compagnon et mari, il ne peut qu’être unique ;

Quatre hommes en le même… serait pratique,

Lors quatre différents serait le vrai bonheur.

.

Compagnon : unis pour le cours de la vie,

Mari : unis  par noms  de  ses  enfants,

Amant : unis par le cœur, corps ravi,

Ami : unis par esprits, sentiments.

.

Compagnon, ami, mari, amant

Cama, camara, camarade :

Quatre lettres, en rade,

Mais tous contents.  

.

.

Extensions

L’ami n’est pas le compagnon,

Le compagnon, pas le mari,

Le mari n’est pas l’amant,

L’amant  n’est pas  l’ami

Et la boucle est bouclée.

.

Quant à être les deux, rois,

Voire les quatre, à la fois, je me

Demande comment cela est possible

Sans se faire des nœuds dans le cerveau.

L’amant et l’ami n’ont pas légitimité maritale.

.

Le compagnon appelé parfois  concubin  ou pacsé,

N’en a qu’une partie, le mari, seul, a tous les droits :

Pour autant est encore  loin d’avoir tous les pouvoirs.

« Je   vous   présente   l’homme   qui  vit   avec moi … »

Une formule ambiguë s’il en est tant qu’on ne sait pas,

Depuis combien de temps  ni quels seront leurs projets.

.

C’est juste pour un essai» Mais ça fait combien d’essais !

La famille, les amis, ce qui les  intéresse, c’est de connaitre

Et de fréquenter le bon sinon c’est un peu perdre son temps.

Si cela change trop souvent, mieux vaut attendre le suivant,

Voire le suivant du suivant du suivant jusqu’à stabilisation.

.

Après, on peut ne pas vouloir s’engager près de personne,

Ne pas avoir d’ami, d’amant, de compagnon, de mari

Et faire ainsi le vide autour de soi, un vide qu’on

Reprochera plutôt que s’en prendre qu’à soi-même !

.

Comment être l’être ami, l’amant, le compagnon, le mari,

Le tout en même temps, alternativement, successivement

Est tout l’art de la relation du couple, persistant à s’aimer.

J’étais ami avec toi et je suis devenu l’amant : pas évident,

J’étais le mari, je suis devenu  le compagnon : plus courant.

Toutes ces postures, attitudes, jeux de séduction ou de rôles

On les trouve au théâtre, cinéma, série télé ou bd ou romans

Tout autant que dans la vie, même si, rarement, on ne les dit.

Ce qui est sûr, est qu’en pensée, rêve, on peut tous les épouser !

.

Cinq états et cinq formes,

Cinq évolutions de l’amour :

Il est rare de les épouser toutes

En choisir un serait plus conforme

.

J’ai voulu être mari : ne suis que l’amant,

J’ai voulu être mari, ne suis que compagnon,

J’ai voulu être l’amant,  et je ne suis qu’un ami,

On pourrait continuer ainsi à toujours se tromper.

..

.

Épilogue

.

L’union, entre deux êtres,

Pour bien vivre aux côtés,

À la fois concept et réalité,

Tantôt porte tantôt fenêtre.

***

On dit mariage : institution,

On dit mariage : célébration,

Dit mariage,  consommation,

Mariage, simple coopération.

***

Au début, on serait … l’amant,

Le sexe, cœur, esprit, contents

Jusqu’à ce qu’on soit un mari :

Sécurité  assurée : amour fini !

***

Enfin, passé  un certain temps :

La passion dit-on dure trois ans

On parle alors d’un compagnon,

Le sexe d’accord, mais oui/non !

***

Et en vieillissant, se distanciant,

L’on se dira, pour toujours, amis

Et chacun  pourra  refaire sa vie :

Moi je préfèrerais rester l’amant.

***

Tout est une question de formes :

Ronde, carrée et voire en triangle

On peut en changer, tout essayer,

Et revenir à la première, ou non !

***

Tout est une question  de volume,

Et son complémentaire, intensité.

Formes / volumes donneront une

Palette complète : six possibilités.

.

.

798 – Calligramme

 .

Donner un nom à relation

Amoureuse,

Bien sûr et bien évidemment,

Bienheureuse

Mais variera d’un pays, culture

Ou religion

À autre, engage, plus ou moins,

Le partenaire.

.

***********************

***************************

C

Certains sont di   O   rectement mari,

D’autres seront   M  passés par ami ;

D’autres, encore  P      par …  amant,

Ou compagnon   A     toute leur vie.

On en a vu ami  G     amant, mari,

Advenir et suc  N     cessivement

Si c’est alter   O    nativement

Par différen   N      ces, au lit.

.

Etre l’ami, c’est reposant.

Etre compagnon, c’est dopant.

Etre l’amant, c’est plus charmant.

Etre le mari, c’est le plus engageant !

.

Ainsi vont les choses,   ainsi vont les temps

Passat de l’un à l’autre   M      et réciproquement :

Le mariage est statut, est  I       profond changement,

Mais l’on pourra bien s’en  *        passer, en se pacsant.

   A       

Des amis, amants, on peut  M          en avoir  plusieurs :

Compagnon et mari, il ne    A         peut qu’être unique ;

Quatre hommes en le mê    N        me… serait pratique,

Lors quatre différents se    T         rait le vrai bonheur.

Compagnon : unis pour  M          le cours de la vie,

Mari : unis par noms               de ses enfants,

Amant : unis par le     R       cœur, corps ravi,

Ami : unis par esp    I      rits, sentiments.

  *

Compagnon, ami, mari, amant

Cama, camara, camarade :

Quatre lettres, en rade,

Mais tous contents.  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

798 4

.

Un volume en forme,

Qu’on pourrait remodeler

À volonté, dès lors qu’il est

Dans une matière molle ?

.

fabriquer, mettre volume en forme

ou soumettre une forme à un volume

volume amour prend maintes formes

et ainsi sa forme évoquera son fond

.

Comme un volume qui, tant d’amour, peut contenir

Sans spolier l’avenir

Tantôt dans une forme, et tantôt dans une autre,

Et selon désir 

.

Symbolique

.

Le physicien français

Jacques Charles (1746-1823)

A démontré qu’il existe une relation

Entre le volume et la température d’un gaz.

.

Il a établi que, à pression constante et pour un

Nombre de moles donné, le volume d’un gaz varie

En fonction de sa température. Ainsi, plus la température

Du gaz augmente, plus son volume augmentera aussi.

.

L’inverse est aussi vrai: si la température du gaz

Diminue, son volume diminuera. Cette relation

Se nomme la loi de Charles.

qc.ca/fr/eleves/bv/chimie/la-relation-

entre-le-volume-et-la-temperature

.

Descriptif

.

798 – Compagnon, ami, amant, mari ?

  Alignement central  /  Titre  droit  / Thème  amitié

Forme en ovale /Rimes égales /Fond approché  de forme

Symbole de forme : volume  /  Symbole de fond : forme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

798 6

.

Tantôt dans une forme, et tantôt dans une autre,

Et selon désir :

Qui n’en rêve pas mais la société, la conscience,

Veillent au grain

.

Symbolique

 .

Angles, carrés, rectangles,

Triangles, losanges… ces formes

Apportent  agressivité et fermeture

Ou, le contraire : la stabilité et force.

Cercles et courbes apportent douceur,

Convivialité, ouverture,  dynamisme,

Mouvement,   ascension,  plénitude,

Lâcher-prise,  féminité : contraire

Chute ou déclin  ou décroissance,

Abaissement, retour en arrière,

Soumission, manque courage

En fonction du contexte en

Lequel elles sont utilisées.

tonempreinte.fr/symbolique-des-

formes-geometriques-en-communication

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Volumes, formes, se complètent :

Pas de formes sans … Volumes,

Pas de volumes   sans formes.

Lors  n’importe quel volume,

Peut prendre toutes formes,

Et tout comme les amours,

Se conforme à différences

Ou à complémentarités,

Voire incompatibilités.

 .

.

Six différentes formes, d’amour

.

Scénario  

 .

Entre une amitié qui se fortifie avec le temps,

et une passade pour vibrer en agréable tourment,

et un mariage : pourquoi pas les trois, alternativement ?

.

Visuels et textuels >>

797 – Certains l’appellent attachement, amitié

Visuels et textuels  >>

.

L’amour et l’amitié varient

Dans le couple … heureux,

Du jour  où  l’on se marie,

.

Si vrai  que  belle amitié,

Véri-ta-ble  attachement

Peut  aider  à supporter

L’autre suffisamment

 .

Pour  rester  ensemble,

Et cohabiter  faux amis

Pour refaire  comme  si

L’amour  les  rassemble.

 .

Couple de vieux, lors ainsi

Vieux   couple  ne   signifie,

Qu’attouchement … au pieu,

Ne sera pas  aussi … radieux.

.

On l’appellerait l’attachement,

D’autres : l’amitié  amoureuse,

Ce n’est pas le nom, comptant,

Que   sa  réalité  bienheureuse.

.

Ce  qui  peut  arriver de  mieux

À  un   couple marié, vieillissant

Pour  se retenir  plus longtemps

À se  regarder en blanc des yeux.

.

Il en va ainsi de la vie ainsi du temps,

Que toute passion ne dure que moment,

Et l’on ne sait s’il faut s’en aller ou rester

Pour  peu  que  l’on  sache … la revivifier.

.

Avec, ou sans, le sexe,  par intermittence,

Amour est, avant tout,  œuvre de patience

Lors  l’amitié  s’exprime,  jour après jour,

Renforce  projets communs  de toujours.

.

La passion n’est jamais gage de stabilité,

Chacun le sent bien ; cela, chacun le vit,

Si l’amitié dure  vie entière,  assumée :

Amour n’est autre que passagère folie.

 .

.

Extensions

 .

L’attachement n’est pas comme l’amitié,

Il est plus proche de l’habitude que de l’amour :

On est bien ensemble, on a l’habitude l’un de l’autre,

On connait l’autre par cœur et défauts ne sont pas

Incompatibles, on finira bien sa vie  avec lui,

Pour peu qu’il accepte de changer un peu,

Pour rendre la vie quotidienne, vivable,

Plus supportable, et voire plus aimable.

.

Ce n’est pas non plus l’art du compromis

Parce que chacun campe sur ses positions

Et s’est fait une vision intangible de l’autre

Assez difficile à faire évoluer qui au contraire

Se cristallise  dans le temps.

.

On appelle cela « un vieux couple »,

Non pas qu’ils soient âgés, et non pas

Qu’ils soient ensemble depuis longtemps,

Non, simplement parce qu’ils ne changent pas,

Parce qu’ils ne veulent ou ne peuvent plus changer.

.

Chacun vit sur ses réserves, occupations et passions

Et supporte l’autre plus qu’il ne l’aime en colocataire.

Il est vrai que l’autre passe pour témoin, dépositaire

De leur histoire commune et qu’en recommencer

Une autre, quel que soit son âge ou son métier,

Requiert à réfléchir deux fois plutôt qu’une.

.

Passer  de l’amour, en couple, à l’amitié  de couple :

L’habitude d’être ensemble si ce n’est le … confort,

Une sorte de contrat de solidarité loin de la haine

Qu’entraîne parfois des douloureuses séparations

On remplace une chaîne, agrafe, par un trombone

Et ainsi la vie continue à être plus ou moins bonne,

Chacun s’occupant de lui, sans renier l’autre en ami.

.

Amour…  amitié … attachement,

Ou les trois « A » d’accouplement

Encore que, c’est pas fatalement :

Si on se renouvelle assez souvent !

.

Si on s’en arrange, s’en accommode,

Pourquoi pas, à chaque couple de voir

Plaisirs devinent différents selon modes

De vie, selon qu’on entrevoit ou non espoir

.

Sinon envie de terminer leur vie ensemble,

Quoiqu’il arrive, et quoiqu’on leur prédise,

Histoire commune, enfants, les rassemble,

Ils n’auront plus le courage d’une reprise.

.

.

Épilogue

.

L’amitié entre gens du même sexe

Entre personnes, de sexe différent,

Tout le monde connait et apprécie,

Entre maris et épouses : rarement.

***

Lorsque l’on fait  les  présentations,

Le couple marié, depuis longtemps,

S’il n’est pas en instance de divorce,

Ne vous dit pas, on est que des amis

***

Et pourtant, il s’agirait bien de cela,

Et à l’observer, on ne s’y trompe pas

Qu’est-ce qui fait qu’on ne s’entende

Et qu’on reste ensemble malgré tout

***

Les affaires ou des intérêts communs

Qui font qu’on peut compter  sur l’un,

Comme sur l’autre… ou des souvenirs,

Si ce  ne serait  juste : chambre à part.

***

Attachements  ira  avec arrangements,

Détachement  ira  avec déménagement

Qui ne peut se passer  de vous, restera,

Qui  s’en moque, au diable, même, ira !

***

Il suffira de sonder  le cœur des couples,

Pour se rendre compte  qu’il n’y est pas :

L’amour passion perdu, bel attachement

Ne suffira pas à satisfaire l’union sacrée.

***

Après quoi est-ce demi-erreur  ou vérité :

Ce  serait, à chaque couple, d’en décider :

Étant unique  et ayant sa propre histoire,

Donner un conseil, on ne devrait devoir !

.

.

797 – Calligramme 

 .

L’amour et         A                 A   l’amitié varient

Dans le cou          T               T     ple … heureux,

Du jour où           T              T       l’on se marie,

Jusqu’à de          A             A         venir vieux.

C            C

Si vrai que          H           H       belle amitié,

Véri-ta-ble                  E      attachement

Peut  aider        M        M      à supporter

L’autre suf        E        E       fisamment

  N      N

Pour rester        T      T        ensemble,

Et cohabiter        *  *         faux amis

Pour refaire        A         comme si

L’amour les        M     rassemble.

       I

Couple de vieux,   T    lors ainsi

Vieux couple  ne    I     signifie,

Qu’attouchement   É   au pieu,

Ne sera pas aussi   *   radieux.

.

Certains l’appellent l’attachement,

D’autres : l’amitié       amoureuse,

Ce n’est   pas le     nom, comptant,

Que   sa   réalité         bienheureuse.

.

Ce  qui  peut       arriver    de  mieux

À  un   couple     marié      vieillissant

Pour   se    retenir   plus     longtemps

À se  regarder  dans  le  blanc des yeux.

.

Il en va, ainsi, de la vie,  ainsi du temps,

Que toute passion ne dure  que moment,

Et l’on ne sait s’il faut s’en aller ou rester

Pour  peu  que  l’on  sache … la revivifier.

.

Avec, ou sans, le sexe,  par intermittence,

Amour est, avant tout,  œuvre de patience

Lors  l’amitié  s’exprime,  jour après jour,

Renforce  projets communs  de toujours.

.

La passion n’est jamais gage de stabilité,

Chacun le sent bien ; cela, chacun le vit,

Si l’amitié dure  vie entière,  assumée :

Amour n’est autre que passagère folie.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

797 4

.

Un    vase    nourrissant

Les racines de deux fleurs

Qui vont, peu à peu, s’étioler 

Faute de racines communes !

.

Quand l’amour n’est plus, et qu’il faut

Vivre en même vase :

Il se remplace par attachement ou

Par amitié, avec fleurs !

.

Symbolique

.

Le vase est un symbole féminin.

Le creux du vase évoque celui

De l’utérus, le ventre féminin,

Contenant des fluides vitaux.

Par la grâce de ses courbes

Fonction de réceptacle fleurs,

Le vase évoque le corps féminin.

.

Les fleurs en sont le principe vivant

Et l’expression de la beauté intérieure

De la rêveuse car l’eau qu’il contient  et

Qui nourrit les fleurs  est  le  fluide vital,

Énergies féminine bénéfique nourricière.

L’éclat des fleurs reste le témoin de la

Bonne circulation du fluide vital.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/

Dictionnaire-des-reves/Vase

.

 

Descriptif

.

796 – Ne suis le bon amant au bon moment  

  Alignement central  /  Titre  droit  / Thème  amitié

Forme courbe /Rimes égales /Fond approché  de forme

Symbole de forme : vase  /  Symbole de fond : fleurs

.

.

Fond

 .

Évocation d

.

797 6

.

Quand l’amour n’est plus, et qu’il faut

Vivre en même vase :

Il se remplace par attachement ou

Par amitié, avec fleurs !

Symbolique de fond

On appelle symbolisme des fleurs

Le fait d’attribue à certaines fleurs,

Des vertus et voire  de servir d’emblème.

.

L’iconographie des cinq sens représenterait

L’odorat sous la forme de compositions florales,

Ou sous l’aspect d’une figure qui tient à la main

Un bouquet de fleurs ou en hume les parfums.

.

Depuis l’antiquité, l’image de la fleur est

Associée à l’idée brièveté de la vie,

De la beauté et des vertus.

Source : wikipedia.org/wiki/

Symbolisme_des_fleurs

.


.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Vase et fleurs vont bien ensemble :

Rien de mieux pour égayer maison,

Encore que, il faudra bien accorder

Le type de fleurs avec le type de vase

Sinon il y aura comme vrai divorce 

Ou l’on se trouvera en attachement

Plus qu’en amour, voire en amitié

Les fleurs ont un langage propre

Quand on les offre, vases aussi.

 .

.

Attachement à quelqu’un !

.

Scénario

.

Quand l’autre en couple ne passe plus en premier,

quand les liens ne sont plus que simples d’attachements :

on risque d’osciller entre l’amour et puis la haine !

 .

Visuels et textuels  >>

796 – Je ne suis pas le bon amant, au bon moment

Visuels et textuels >>

.

Chacun connait formule

Au mauvais moment ;

Au mauvais endroit :

Ici c’est un peu çà

Le cœur est pris,

Non compris :

Rarement,

Le bon

Et l’on

Pourra

Encore

Espérer,

Le temps

La patience

Persévérance

Jouera avec soi

Sinon contre soi

Je  ne   suis   pas

Le  bon  amant,

Je n’étais pas là,

Au bon moment,

Et, je n’ai pas su

Bien te … parler

Et puis, en plus,

Je suis … marié :

Je ne saurai pas,

De toi,  pourquoi

Tu  ne   veux  pas

Me voir t’aimer ;

En  quoi le choix,

De  se  rencontrer

Est tombé sur toi.

J’en demeure coi.

Dès   aujourd’hui,

Tout va  changer :

Ce que  tu me dis,

Je  vais  le   croire,

Tant rien ne vient

Tromper  l’espoir,

Car vraie passion,

Demeure cachée ;

Et nous resterons

Vrais,  bons amis,

Et  nous n’aurons

Pas à le regretter,

Tant plus-values,

Ne seront… plus,

De nous… aimer,

Serons… libérés.

Mon … émotion

Mes. ..  larmes

Mon   regard,

Mon… arme

Ma poésie

Vacarme

Ou pis.

.

.

Extensions

 .

Être au bon moment, au bon endroit,

Être libre et disponible et porter attention à…

Voilà bien une formule choc qui a pouvoir de vérité

Et qui en même temps, ne marche pas à tous les coups.

Après on peut dire : ça devait arriver ou ça ne pouvait pas

Se produire, confier son sort à la fatalité, d’un côté ou l’autre.

.

De toute façon, l’amant et l’amante possèderaient d’emblée,

Un statut éphémère et qu’il leur faut accepter et assumer ?

Dans le cas contraire, l’amant se transforme en mari,

Le mari en amant ou l’amant avec deux maitresses

.

Ou l’amante avec deux maris… tous les cas sont

Dans la nature et toutes les formes d’unions

Dont pratiquées  dès lors  qu’il suffirait

D’être majeur et d’un consentement.

.

Le reste est affaire de morale, ou de religion,

Pas de juridiction : qui ne connait de mariage

Par dépit avec un mari de compensation faute de

N’avoir pas réussi à transformer son amant en mari !

.

Et puis après, les enfants, le métier, la maison, et le reste,

Font que l’on regrettera ou non, plupart du temps, c’est non,

Car l’autre, l’amant jeune a changé entre temps, s’est marié

De son côté, a pris du ventre et distance, sa prestance ;

Son attirance s’en trouve d’autant diminuée.

.

Être amant l’un de l’autre serait question couleur d’habillement.

Se coordonner, avec même teintes, serait se déclarer habilement !

Bleu, blanc, rouge, il faut choisir, sans se questionner ni se tromper.

Après  la  coloration, il y a les intensités, selon les humeurs, les envies.

Je ne suis pas le bon amant si je suis en blanc ou bleu, délavés, troués.

Pensez, prochaine fois à ce qu’on dit de vous lors vous vous habillerez,

Si vous hésitez, optez donc pour un manteau ou une veste réversible.

.

Etre,

Avoir été,

 Devenir amants,

Tout un programme

Prenant une vie entière

.

J’ai connu des gens qui ont

Été amants dans leur jeunesse

Et après dix ans de mariage

Sont  revenus  ensemble.

.

J’ai connu des gens,

Qui le sont restés

Étant mariés

Double vie.

.

.

Épilogue

.

Chacun connait cette formule célèbre,

En coups durs, attentats, voire crimes,

Mauvaise personne, moment, endroit :

On en ferait presque un drame du sort.

***

C’est la même chose pour chance amant,

Sauf qu’on ne meurt pas,  ni n’est blessé :

Encore qu’en ce dernier cas, le cœur brisé

Qui vous laisse sur le carreau un moment.

***

Le bon amant, le bon moment, bon endroit,

Quel trio de circonstances malencontreuses,

Qui rendrait chaque personne malheureuse,

On attend bonheur, mais ce n’est pas la joie.

***

On était venu, avec, au cœur, un beau bijou,

Qu’on espérait lui offrir et le voir, à son cou,

Il est resté en sa poche  comme rien du tout,

La preuve que quand on est amoureux, fou !

***

Et pour la prochaine, je lui écrirai une lettre

Je n’aurai à me déplacer ni à me commettre

J’aurai une réponse en : oui, non, peut-être,

Lors déciderez si poursuivre sera bien être.

***

Si je poursuis, au bout d’un bon moment

Et au bon endroit,  et en tant qu’amant,

Lorsque je lui offrirai enfin, mon bijou

C’est elle, bijou, qui se jettera au cou.

.

.

796 – Calligramme

.

JE NE SUIS  PAS LE

Chacun connait formule

Au mauvais moment ;

Au mauvais endroit :

Ici c’est un peu çà

Le cœur est pris,

Non compris :

Rarement,

Le bon

Et l’on

Pourra

Encore

Espérer,

Le temps

La patience

Persévérance

Jouera avec soi

Sinon contre soi

BON AMANT

Je  ne   suis   pas

Le  bon  amant,

Je n’étais pas là,

Au bon moment,

Et, je n’ai pas su

Bien te … parler

Et puis, en plus,

Je suis … marié :

Je ne saurai pas,

De toi,  pourquoi

Tu  ne   veux  pas

Me voir t’aimer ;

En  quoi le choix,

De  se  rencontrer

Est tombé sur toi.

J’en demeure coi.

BON MOMENT  

Dès   aujourd’hui,

Tout va  changer :

Ce que  tu me dis,

Je  vais  le   croire,

Tant rien ne vient

Tromper  l’espoir,

Car vraie passion,

Demeure cachée ;

Et nous resterons

Vrais,  bons amis,

Et  nous n’aurons

Pas à le regretter,

Tant plus-values,

Ne seront… plus,

De nous… aimer,

Serons… libérés.

Mon … émotion

Mes. ..  larmes

Mon   regard,

Mon… arme

Ma poésie

Vacarme

Ou pis.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

796 4

.

Un long bijou en pointe

Comme une vraie balle

Avec son accroche

Et son collier ?

.

Le bon amant serait pendu comme un  bijou

Au cou de l’autre :

Et pas pour un moment, pour très longtemps,

À renouvellement.

  .

Symbolique

.

Un bijou les sciences

Humaines  et  sociales

Ont connu Depuis une

Vingtaine         d’années

 Un «tournant matériel»,

C’est-à-dire  comme    une

 Attention  portée aux objets,

Comme pris dans leur réalité

Physique et envisagé en support

De signification, facteur explicatif

Du monde  économique puis  social

 Et encore davantage  symbolique.

Psl.eu/agenda/lobjet-en-question

-de-lusage-au-symbole

.

Descriptif

 .

796 – Ne suis le bon amant au bon moment  

  Alignement central  /  Titre  intercalé  / Thème  amitié

Forme conique /Rimes égales /Fond approché  de forme

Symbole de forme : bijou  /  Symbole de fond : bijou

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

796 6

.

Le bon amant serait pendu comme un  bijou

Au cou de l’autre :

Et pas pour un moment, pour très longtemps,

À renouvellement.

 .

Symbolique

.

Outre ses fonctions décoratives,

Le bijou est au service de multiples

Autres fonctions ou autres intentions.

Ces fonctions sont très variables selon

Les époques et les cultures, mais aussi

Selon les croyances ou perceptions

Propres à l’individu qui le porte.

.

Il est possible de distinguer

Quelques fonctions spécifiques.

Fonction érotique : l’objet soulignant

Telle partie du corps, va attirer l’attention

Du « regardant », faisant appel à ses sens

Vision, ouïe, toucher  etc. en érotisant

Le corps du porteur ou porteuse.

Source : lyn-et-or-bijoux.com/content/

la-symbolique-des-bijoux-pouvoirs-légendes

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Amant et bijou vont bien ensemble :

Bracelet, collier, bague puis anneau,

Forment un quarté gagnant bijoutier

Mais parfois, chaine cadeaux s’arrête

Dès le premier, si ce n’est  au dernier,

Signifiant ce n’est pas le bon moment

Au dernier, on est pas le bon amant.

Ainsi parle le langage des cadeaux 

Autant de tests, avant le suivant

Et le tout rendu si les rejetant.

 .

.

L’atmosphère est froide

.

Scénario

.

Toi en rouge et moi en bleu : je ne suis pas le bon amant ;

toi, toute blanche, moi tout bleu : je ne  suis pas au bon moment ;

toi, fleur bleue, chevalier blanc : je  ne suis pas au bon endroit !

 .

Visuels et textuels >>

795 – Je t’aime comme ami, pas comme conjoint !

Visuels et textuels  >>

.

Dialogue entre amis

Voilà je suis au bout

Au bout  de quoi :

Je ne le sais pas.

Comme conjoint,

C’est …  terminé :

Je resterai  ton ami.

.

Voilà, on s’aime ainsi,

 Page tourne, sans retour,

Je ne regrette rien, bonjour.

 .

Oui mais après, tout a changé

  Ne me suffit plus,  pas,  amitié,

  Avec toi, on redevient  conjoint.

.

 – Con, oui ; joint, non : c’est ainsi

  J’ai été ton amant, bien avant toi,

Je resterai ton ami, bien après toi !

 .

Je t’aime comme ami, pas conjoint :

Tu voudrais, ici, à brûle pourpoint,

Que je me soucie de toi au point

Que, rien d’autre, n’advienne,

Rien d’autre ne me retienne,

Pour que  je  t’appartienne.

.

Ce qui se passe entre nous,

Est comme entre rien et tout

Amour n’est pas avare est fou

De toute rencontre authentique

En mêlant couleurs  et musiques,

A ce qui semble être  gymnastique.

.

J’étais ton amant, un temps d’avance,

Toi mon amie est-ce faute ou chance

Rien ne s’est passé c’est évidence

Et voilà que le contraire arrive

En fusion qui nous en prive

Amour n’est que méprise.

.

Que de l’autre, attendons

Alors que nous observons

Qui fera du premier pas don

Mais le temps, et les distances,

Nous enlèvent moindre espérance

De vivre, entre nous, vraie romance.

.

.

Extensions

 .

Je t’aime comme ami, pas comme conjoint :

Se conjugue autant au féminin qu’au masculin.

Être ami, n’est pas rien, frustrant parfois pour l’un

Qui en veut plus, alors que l’autre, en veut moins !

.

Comment être plus quand on dresse une barrière

Qu’on sait on ne franchit sans savoir pourquoi.

Il arrive que les postures  évoluent  et changent,

S’inversent: question d’acceptation, renoncement.

.

Dans ce cas-là, les deux seront perdants car aucun

Ne peut tenir seul sur la pente raide trop longtemps.

Si j’avais dit «conjoint» : serait-on mariés à présent !

.

Nul ne peut l’affirmer surtout si tu es déjà avec autre

Qu’il faudrait quitter : tant un ami, c’est fait pour

Compatir, pour comprendre, pour rassurer.

.

Un mari c’est fait pour tenir compagnie,

Pour être le père de ses enfants,

Pour réaliser tous ses projets.

.

Sauf à être polygame, un mari, on en a un

À la fois alors que des amis, on peut avoir plusieurs,

Autant qu’on veut et sans que personne ne s’en étonne.

.

De l’ami au conjoint : quelle différence dans les postures ?

Certaines sont franches, appui, conseil, écoute et c’est tout,

D’autres  sont ambiguës, ambivalentes, et voire, équivoques,

D’autres sont carrément des déclarations d’amours étreints.

À vous de savoir, les voir, décoder, interpréter, sans erreur.

.

L’ami n’est pas le conjoint,

Le conjoint n’est pas l’ami :

Il n’y a pas que la sexualité,

Qui les différenciera le plus :

Il y a soucis vie quotidienne,

Enfants, habitation, mobilité

.

L’ami n’est là que pour aider :

C’est bien, c’est déjà beaucoup,

Lors faut pas trop lui demander

Il aura d’autres chats à fouetter !

.

On était conjoint et on reste ami :

Changement de statut,  changement

De projection sur l’autre, ajustement

Des désirs, des postures, des décisions.

Ami, on est témoin, en secours, recours,

On est plus rien dans les conflits en cours.

.

.

795 – Calligramme  

 .

JE T’AIME

Dialogue entre amis

Voilà je suis au bout

  Au bout  de quoi :

Je ne le sais pas.

 Comme conjoint,

C’est …  terminé :

Je resterai  ton ami.

Voilà, on s’aime ainsi,

 Page tourne, sans retour,

Je ne regrette rien, bonjour.

Oui mais après, tout a changé

  Ne me suffit plus, pas, amitié,

  Avec toi, on redevient conjoint.

 – Con, oui ; joint, non : c’est ainsi

  J’ai été ton amant, bien avant toi,

Je resterai ton ami, bien après toi !

 .

*************************************

*********************************

COMME AMI,

Je t’aime comme ami, pas conjoint :

Tu voudrais, ici, à brûle pourpoint,

Que je me soucie de toi au point

Que, rien d’autre, n’advienne,

Rien d’autre ne me retienne,

Pour que  je  t’appartienne.

Ce qui se passe entre nous,

Est comme entre rien et tout

Amour n’est pas avare est fou

De toute rencontre authentique

En mêlant couleurs et musiques,

A ce qui semble être  gymnastique.

.

*************************************

*********************************

PAS CONJOINT !

J’étais ton amant, un temps d’avance,

Toi mon amie est-ce faute ou chance

Rien ne s’est passé c’est évidence

Et voilà que le contraire arrive

En fusion qui nous en prive

Amour n’est que méprise.

Que de l’autre, attendons

Alors que nous observons

Qui fera du premier pas don

Mais le temps, et les distances,

Nous enlèvent moindre espérance

De vivre, entre nous, vraie romance.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

795 4

.

Deux sièges superposés,

Ou encore deux tambours

Inversés et à bien battre

L’amour ou l’amitié !

.

Un petit et un grand tambour,

étant superposés, voir inversés,

comme un amant avec une amie

ainsi la forme évoque bien le fond

.

Deux tambours qui auront résonné

De concert l’un avec l’autre

Et, bien que demeurant très proches,

 Ne résonnent plus pareils !

.

Symbolique

 

Le bruit du tambour est associé

À l’émission du son primordial,

Origine de la manifestation

Et du rythme de l’Univers.

Dans la Chine antique,

Le tambour reste associé

À la course apparente du soleil.

Roulement accompagne le tonnerre.

Le tambour africain appelle la venue

Des faveurs célestes de divinités locales.

L’usage du tambour de guerre qui défait,

De  l’intérieur, toute   résistance  ennemie.

Il sert aux initiations et il scande les rites

De passage, on dit qu’il prend au ventre.

.

Descriptif

.

795 – Je t’aime comme ami, pas conjoint !

  Alignement central  /  Titre  intercalé  / Thème  amitié

Forme conique /Rimes égales /Fond approché  de forme

Symbole de forme : tambour / Symbole de fond : tambour

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

795 6

.

Deux tambours qui auront résonné

De concert l’un avec l’autre

Et, bien que demeurant très proches,

 Ne résonnent plus pareils !

.

Symbolique 

.

Ainsi, le tambour,

De tout temps, incarne

Battement du cœur de l’Univers,

Et son rythme, régulier voire  monotone

Équivaudrait au battement du cœur humain.

D’où sa forte symbolique pour quiconque souhaite

Entrer en contact avec la Nature et ses mondes secrets.

Le tambour est donc considéré comme sacré par bien

Des peuples et des cultures.

echange-spirituel.kazeo.com/

le-tambour-et-son-symbolisme

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le tambour ne fait pas la musique

Il l’accompagne,  n’a pas de mélodie

Comme le violon ou un simple pipeau,

Or ce sera lui qui fera le plus de bruit :

On ne lui tend pas son sexe, que sa peau

Les amis rythmeront votre vie de couple

L’agrémenteront mais ne s’accoupleront.

 .

.

Deux amis au bord de l’eau

.

Scénario 

.

Là, nous sommes bons amis et nous discutons, bien, ensemble,

on peut faire illusion d’un couple, en se prenant bien par la main,

là, en cette posture, ça voudrait dire pour nous : sommes conjoints.

 .

Visuels et textuels  >>

794 – On se connaît à peine que, déjà, l’on s’aime

Visuels et textuels  >>

.

Le temps joue pour soi

Et,  parfois  contre  soi

En relation amoureuse,

Forte,  mais trompeuse.

.

Au début, tout  allait bien,

Au début en commun ressenti

Puis soudain, tout a ralenti :

Je ne comprenais  plus rien.

.

Pour une fin, je me suis décidé,

Je  n’en pouvais  plus  de douter

J’ai rompu,  lui ai  communiqué

Si elle  en rêvait  encore  terminé.

En tous cas, pour moi, de mon côté,

Attente était trop lente étais  excédée.

.

On se connaît à peine

Que déjà, l’on s’aime,

Sans vouloir extrême

Sans poser problème.

.

Quelle chose se cache,

En nos vies qu’on gâche

Qu’attends-tu belle amie,

Ne comprends ce que tu dis.

.

Ne dis rien, mais, sache alors

Qu’il n’est pire  amour qui dort

Et, si des années nous séparent,

Sentiments de nous, s’emparent.

.

Qu’attends-tu de moi, belle amie,

Je ne suis, ne serai pas beau parti,

Je ne referai pas, pour toi, ma vie,

Même partager  ta couche, ton lit.

.

Comment sera comme on le dit,

Avenir commun et aussi indécis

Si nul des deux,  ne sait  encore,

S’il est au sud … s’il est au nord.

.

Belle amie, ne suis  et ne serai

Que celui que tu as  imaginé,

Un rêve, que tu t’es forgé,

Le mien… s’en est allé.

.

.

Extensions

 .

On se connaît à peine que déjà l’on s’aime

Et puis le temps a passé, le temps s’est suspendu.

Et puis, un jour, las de t’attendre, je suis parti ailleurs,

Et je ne suis plus revenu : peut-être n’étions-nous pas faits

Pour que cela se concrétise, que cela ne dure entre nous.

.

Peut-être y avait-il un problème épineux, un détail

Qui ne convenait pas, une apparence trompeuse.

Peut-être  était-ce  entre trop tôt  et trop tard,

Ce n’était, ni le bon moment, ni le bon espoir.

On s’est aimé pour rien, a pour rire ainsi soit-il !

.

Cela convient à lettre de rupture en sorte de cri :

«Je t’ai attendu et tu n’es pas venue» ou encore

«Je suis parti, las de n’avoir pas su te retenir »,

Ce qui montre que le temps est bien paramètre

Essentiel dans une relation, que le manque en

Est un autre, tout aussi capital, mais autant

Le premier est en mesure de durer,

Autant le second ne peut que

Se combler ou se casser.

.

Le premier représente les liens

Qui les relient tandis que le second,

Mesure les tensions qui les délieront.

Relier et délier sont le propre de la vie

Amoureuse et parfois,  de la vie tout court !

.

 «Les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics»

Vous connaissez tous la chanson de Georges Brassens.

Nous, on se rencontrerait, d’abord, sur un banc public,

Puis on s’embrasserait, un peu partout,  selon l’humeur,

On attendrait l’autre, à la sortie  de chez lui, avec fleurs !

Qu’y a-t-il de plus simple, plus naturel, plus romantique.

N’allez pas jusqu’ à proposer tel scénario à un cinéaste :

Il ne le prendra pas : c’’est trop réel, c’est pas vendeur

Gardez-le pour vous, dans le secret de votre cœur !

.

L’on se connait à peine et pourtant bien mieux

Que quiconque, disent amants, coup de foudre,

Comme si le temps avait peu d’emprise sur eux.

.

Autres peut-être plus lents à la détente, soucieux,

Disent, il faut prendre du temps, laisser voir venir

Les choses sans les précipiter pour bien les assurer.

.

Éclairer sera bien le « maitre mot » pour tout savoir

Les premiers diront avoir tout compris, en un éclair,

Les seconds qu’après avoir assuré, il faudra assumer.

.

.

Épilogue

.

L’impression de s’aimer est un sentiment,

Qui nous vient comme cela soudainement,

Et qui se voudrait certitude en ce moment.

***

Mais, il y aurait loin de la coupe aux lèvres,

Et je parle ici de passion et non de boisson :

À mesure que temps passe,  qu’on se revoit :

Le lien s’établit, se renforce ou bien se casse.

***

Pour y voir plus clair,  il faudra de la lumière :

Bougie, lampe de poche, lampe de chevet, etc.,

Afin de traverser part d’ombre qui nous sépare

Et ne pas faire de la rencontre … pure illusion !

***

Quand on rencontrerait  une personne désirée,

Très vite on se ferait  des romans  dans sa tête :

Il ou elle, est bien comme ça, comme je voulais,

Mais ce ne sera que projection, non réalisation.

***

En des romans, choses passent comme on veut :

On est maitre des deux côtés, réaction, heureux,

En la réalité, que de supposer vrai, on ne le peut

Et il arrive que l’on se trompe une fois sur deux.

***

Au final, que voudra dire se connaitre, s’aimant,

Je n’ai pas de réponses,  sensations,  sentiments,

C’est pas nous qui choisissons notre inconscient.

.

.

794 – Calligramme  

.

Le temps joue pour soi

Et, parfois  O     contre soi

En relation      N   amoureuse,

Forte,  mais          *     trompeuse.

Au début, tout           S        allait bien,

Au début en com         E    *    mun ressenti

Puis soudain, tout       *             E       a ralenti :

Je ne comprenais     C                        N      plus rien.

Pour une fin, je me    O                             I   suis décidé,

Je  n’en pouvais  plus  N                               E       de douter

J’ai rompu, lui ai com   N                              P            muniqué

Si elle en rêvait  encore    À                            *               terminé.

En tous cas, pour moi, de    I                      À                 mon côté,

Son attente était trop lente        T        *               étais  excédée.

.

On se connaît à peine

Que déjà, l’on s’aime,

Sans vouloir extrême

Sans poser problème.

.

Quelle chose   se cache,

En nos vies         qu’on gâche

Qu’attends-tu  E      belle amie,

Ne comprends  T    ce que tu dis.

*

Ne dis rien,     D     mais, sache alors

Qu’il n’est pire    É       amour qui dort

Et, si des années     J      nous séparent,

Sentiments de nous     À      s’emparent.

                *

Qu’attends-tu de moi    O        belle amie,

Je ne suis, ne serai    N     pas beau parti,

Je ne referai pas      *      pour toi, ma vie,

Même partager      S     ta couche, ton lit.

Comment sera         A    comme on le dit,

Avenir commun        I    et aussi indécis

Si nul des deux,  ne    M    sait  encore,

S’il est au sud, s’il est   E     au nord.

.

Belle amie, ne suis    et ne serai

Que celui que tu as  imaginé,

Un rêve, que tu t’es forgé,

Le mien… s’en est allé.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

794 4

.

Une lampe de chevet

Qui se devait d’éclairer

Notre si bel  amour 

Un peu idyllique !

.

La lampe est par nature éclairante

et donc éclairera aussi un bel amour

en créant une intimité sous abat-jour

et ainsi sa forme évoque bien le fond.

.

Une lampe de chevet,  éteinte

N’est autre qu’objet de décoration.

C’est vrai, mais, dès qu’on l’allume,

Elle éclairera l’amour d’un couple.

.

Symbolique 

 .

Une lampe de chevet

Est une  lampe près du lit,

À  hauteur  de  la  tête dans

Chambre à coucher, ailleurs

Elle est soit accrochée au mur,

Soit posée sur une  table de nuit

Elle sert à éclairer toute personne

Qui est assise ou allongée, de façon

À lui permettre par exemple de lire.

Wikipédia : lampe de chevet

.

Descriptif

 .

794 – On se connaît à peine et déjà on s’aime

  Alignement central  /  Titre  cercle  / Thème  amitié

Forme conique /Rimes égales /Fond approché  de forme

Symbole de forme : lampe-chevet / Symbole de fond : lampe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

794 6

.

Une lampe de chevet,  éteinte

N’est autre qu’objet de décoration.

C’est vrai, mais, dès qu’on l’allume,

Elle éclairera l’amour d’un couple.

 .

Symbolique 

 .

La lumière est le symbole de la connaissance,

Tu apprends de jour en jour à mieux te connaître,

Tu évolues, grâce à ces informations  et ce savoir.

.

Si la lampe est éteinte, les tensions du moment

En ta vie familiale, professionnelle ou dans

Ta vie de couple : ces tensions te fatiguent

Psychologiquement et font ressortir

De la colère ou de la tristesse.

.

Rappelles-toi que tu ne peux

Pas changer ceux qui t’entourent,

Mais tu peux changer tes réactions.

Source : psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/lampe

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Une lampe bien que n’étant pas d’Aladin

Ferait briller le bonheur de deux amants

Qui s’entretiennent mais sous couverture

Pour ne pas se déclarer, trop tôt, au jour.

Tant l’intensité lumineuse de son ampoule

Dépend de leurs sentiments, engagements,

Jusqu’à ce qu’ils décident enlever abat-jour

Pour affirmer union passionnée et durable

Et remettre l’abat-jour, au moindre doute !

 .

.

Rapprochement : couverture opportune

.

Scénario 

.

On s’est rencontré lors d’une pause amicale en parc bien arboré,

on se connait à peine que déjà l’on s’aime un peu … beaucoup,

et jusqu’à passionnément et jusqu’à la folie lors y retournant.

.

Visuels et textuels  >>

793 – Je ne suis dans tes rêves, ni dans tes désirs !

Visuels et textuels  >>

.

Comme

 À  la suite de

Dépit amoureux

Dans cette lettre, je

 T’écris ici mes adieux,

Amitié que  tu me consens

Ne répondant  à  mon vœu.

Je  te confie d’arrêter ton jeu,

Lors frustré de ne pas pouvoir,

Me donner  en ma pleine mesure,

En tes rêves  comme  en  tes désirs,

Échanger entre nous, caresse, soupir,

Avec moi et pour une relation qui dure,

Chaque jour, chaque nuit … chaque soir.

Je suis à me demander ce que je représente

Vraiment pour toi et comme je ne parviens

Pas  à le deviner, je préfère abandonner.

 .

Je ne suis dans tes rêves,

Ni dans tes désirs,

Je ne suis plus sur tes lèvres,

Ni dans tes soupirs,

Avec toi conventionnelle amitié

Point extraordinaire,

Entre homme et femme non-initié,

Des paroles en l’air,

Pas d’engagements, ni d’enlacements,

Echange puritain ;

Rien à voir avec ces fiévreux… amants

Se tenant la main.

Si vrai que l’autre… on ne l’étreint plus,

Le laissant de côté,

Demeurent l’émotion, et le sentiment, nu,

De deux personnalités 

Si vrai que jouir mène, des fois, à souffrir,

C’est pour s’en protéger,

Qu’on fait taire passion  en quelque raison

Plutôt que d’en… profiter !

Amitié, coûte, rapporte, cela va  sans dire,

C’est juste qu’on se sente bien

Ensemble, on peut, vraiment, tout se dire,

Sans rien craindre demain !

Si vrai, qu’on peut passer d’ami, à amant,

Comme cela  …  en passant,

Le contraire se ferait plus difficilement,

En vrai, moins jouissant ;

L’un amant mais l’autre ami seulement.

.

Qu’est-ce que je représente, pour toi :

Le premier être … qui t’aura compris

Le premier être qui t’aura conquis

Le premier être mis dans ton lit

Le premier être  pour…la vie,

Le premier être aussi ami.

.

.

Extensions

 .

Je ne suis ni en tes rêves, ni tes désirs,

C’est moi qui dis cela, mais comment

Le saurais-je sans t’avoir questionnée,

Et si je fais les questions et les réponses,

Autant te zapper de suite sans tergiverser.

.

J’ai déduit tu étais une amie conventionnelle

Mais déduit de quoi et comment le savoir si je

Ne t’observe pas dans toutes les circonstances,

Et dans tous les échanges que l’on a pratiqués.

.

Entre une rencontre amoureuse…  fantasmée

Et jamais, je n’ose, bien que je sois avec toi

En amitié et peut-être parce qu’on s’y est

Installé : poser cette question d’amour.

.

 « Tu délires un max : même pas en rêve »

Qui n’aura jamais entendu ce «râteau» là !

Il est vrai que, si rêves et désirs vont de pairs,

Rêve et réalité ne se confondent même à l’envers

Désir et incarnation ne seront pas toujours frères

Le désir entraine, maintes fois, de la frustration

Lors le rêve la compense, en faisant fonction,

C’est ainsi que marche cinéma, télévision

J’ai rêvé d’être, mais ne le suis pas !

.

.

793 – Calligramme  

.

Com  N      me

 À  la      I   suite de

Dépit a    *    moureux

Dans cet    E   te lettre, je

 T’écris ici   N    mes adieux,

Amitié que   *    tu me consens

Ne répon      R  dant à mon vœu.

Je  te confie   Ê     d’arrêter ton jeu,

Lors frustré     V      de ne pas pouvoir,

Me donner     E    en ma pleine mesure,

En tes rêves    S      comme  en  tes désirs,

Échanger en    *    tre nous, caresse, soupir,

Avec moi et     D    pour une relation qui dure

Chaque jour   É      chaque nuit … chaque soir.

Je suis à me  S    demander ce que je représente

Vraiment    I pour toi et comme je ne parviens

Pas  à le   R    deviner, je préfère abandonner.

S …………………………………….

Je ne suis dans tes rêves,

Ni dans tes désirs,

Je ne suis plus sur tes lèvres,

Ni dans tes soupirs,

Avec toi conventionnelle amitié

Point extraordinaire,

Entre homme et femme non-initié,

Des paroles en l’air,

Pas d’engagements, ni d’enlacements,

Échange puritain ;

Rien à voir avec ces fiévreux… amants

Se tenant la main.

Si vrai que l’autre… on ne l’étreint plus,

Le laissant de côté,

Demeurent l’émotion, et le sentiment, nu,

De deux personnalités 

Si vrai que jouir mène, des fois, à souffrir,

C’est pour s’en protéger,

Qu’on fait taire passion  en quelque raison

Plutôt que d’en… profiter !

Amitié, coûte, rapporte, cela va  sans dire,

C’est juste qu’on se sente bien

Ensemble, on peut, vraiment, tout se dire,

Sans rien craindre demain !

Si vrai, qu’on peut passer d’ami, à amant,

Comme cela  …  en passant,

Le contraire se ferait plus difficilement,

En vrai, moins jouissant ;

L’un amant mais l’autre ami seulement.

.

Qu’est-ce que je représente, pour toi :

Le premier être … qui t’aura compris …

Le premier être qui t’aura conquis………..

Le premier être mis dans ton lit………………

Le premier être  pour…la vie,……………………..

Le premier être aussi ami……………………………..

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

793 4

.

Un poisson mort

Dont on ne projette

 Plus que ses arêtes 

Pour le reconnaître !

.

Seul, un amour charnel,

Consommé, lui donnerait du corps.

Comment peut-on rêver,

De désirer tel poisson avec arêtes !

.

Symbolique

 .

Le poisson reste l’emblème de l’eau,

Élément avec lequel il partagera

Son aspect le plus symbolique,

Il  est  symbole  de  fécondité

Mais tout autant de sagesse.

.

Il est occulte dans les

Profondeurs des eaux,

Domaine d’une force sacrée

De l’abîme dont il est pénétré.

.

Cet espace aquatique

D’une profondeur

Insondable est

Associé aux mystères

De l’inconscient humain,

Aux pulsions les plus cachées de l’esprit.

Source : les-voies-libres.com/symbolisme-du-poisson

.

Descriptif

.

792 – Je l’ai, un soir, rencontrée, imprimée

  Alignement central  /  Titre  courbe  / Thème  amitié

Forme animale  /  Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : poisson / Symbole de fond : arête

.

Fond

 .

Évocation 

.

793 6

.

Seul, un amour charnel,

Consommé, lui donnerait du corps.

Comment peut-on rêver,

De désirer tel poisson avec arêtes !

.

Symbolique 

.

L’arête attire l’attention sur

Un environnement très discutable

Qui a atteint, et entaché, son humanité :

Elle dit que l’on s’est laissé décharner, user.

.

Il est temps  de  reprendre  sa vie  en main,

Matérielle  et affective, et  de se recentrer

Sur des satisfactions simples et sereines.

.

Avoir mal à la gorge est problématique

Et avec la parole est mis en évidence

On aura à avaler une contrariété,

Un affront, une peine à venir !

Source : wikireve.fr/dir/3673-arete

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

-Arrêtes, arrêtes car si tu oses allez plus loin

Je noierai ton poisson dans ton verre de vin.

– Tu es sérieuse, là : c’était pas mon intention.

– Non mais c’est ma réponse par anticipation.

.

On peut continuer avec un peu d’imagination

Sauf à considérer l’approche, pétard mouillé

Dans les films il y aura toujours une réplique

Pour vous sortir de mauvais pas, dit guêpier.

.

En réalité on appelle cela prendre un râteau.

Je vous aurai prévenu, il fallait pas le tenter.

 .

.

Rêves d’amours interplanétaires

.

Scénario

.

Je ne suis ni dans tes rêves, le jour,

en aucun de tes rêves sur l’oreiller, la nuit,

ni même pas en le moindre de tes désirs envers moi !

 .

Visuels et textuels  >>

792 – Je l’ai, un beau soir, rencontrée, imprimée !

Visuels et textuels  >>

.

Le jour où je l’ai rencontrée.

Ainsi commence belle histoire

Qui peut être d’amour, amitié,

En tous cas nourrie de l’espoir.

 .

On s’observe, puis  on s’écoute,

Parfois même, on se projette :

Rien n’est fait, rien ne rejette

Avec un frein, en avant toute.

Elle m’aurait  trouvé  sympa,

Et rien de plus rien de moins,

Ou elle m’aurait trouvé extra,

Veut, avec moi,  faire le point.

 .

Combien de  commencements

Finissent  par  le renoncement

De l’un, l’autre, voire des deux,

Et puis, soudain,  gagne au jeu.

Je l’ai, un beau soir, rencontrée,

Elle a tourbillonné en ma pensée

Dans l’instant, elle s’est imprimée

En l’esprit : elle ne m’a pas quittée.

 .

Et, nous voilà, à discuter, tous deux,

Juste histoire pour mieux… combler,

Le fossé qui nous sépare … fort creusé

Par nos différents parcours, chanceux.

Elle n’est pas ceci …  moi je ne suis cela,

Ne réagit pas comme-ci, moi, comme ça,

Elle se tient à l’écoute  et moi aucun doute

J’attends avant m’engager… en avant toute.

 .

Son attrait en deux ans a quelque peu changé

Ce n’est pas qu’il soit plus ouvert ou plus fermé,

Il est juste un peu plus mûr, changé, hâlé, décalé,

Celui d’une femme cherchant encore amour égaré.

Ses regards et sourires et paroles qui m’interpellent,

Soulignent ses interrogations sur ses amours…irréels,

Docile, facile : oui et non, car d’elle, il y a plus à espérer,

Qu’à craindre, en vengeance, en violence, d’effarouchée !

.

.

Extensions

 .

Je l’ai, un beau soir, rencontrée,

Puis nous avons échangé puis nous

Nous sommes  perdus de vue  et  puis

À nouveau rencontrés et c’est alors que

Mais je vous laisserai  imaginez la suite,

Vous êtes assez grand   pour la concevoir.

.

Il y a plusieurs scénarios qui se dessinent,

Mais, généralement,     celui qui l’emporte

Est celui qu’on a vécu,     personnellement,

Parce qu’on s’y projette      et entièrement.

.

Elle ne m’a plus quittée : faut-il le prendre

Au premier degré  «nous sommes mariés»

Ou bien second «nous nous sommes revus

Chaque année » ou troisième : « elle est

Devenue mon modèle, mon égérie ».

.

Forcément tout à une fin

Un but proche ou lointain

Or chacun  imagine  le sien,

Comme le fruit de son destin

Si ce n’est de son choix, libre !

Rencontrée, imprimée,  effacée,

Ou les trois phases de rencontre,

Et qu’on pensait durer à jamais,

Que voilà, et déjà vite, terminée

Jusqu’à la prochaine et idem !

.

La première impression dit-on, est la bonne,

Mais si je ne me trompe,  qu’on me pardonne,

Ce qui n’est pas toujours les cas des deux cotés

Et l’on se leurrera, ainsi, sur celui, celle, aimé.

.

Une impression peut disparaitre rapidement

Contraire, s’installer à demeure en mémoire,

En tel cas, elle refera surface quand la cible

Ou un des possibles sosies se représentera.

.

C’est pourquoi on parle de première fois

Comme une sorte empreinte indélébile,

Qui conditionne une suite de sexualité,

Comme si l’image s’était superposée.

.

.

792 – Calligramme

.

Le jour où je l’ai rencontrée.

Ainsi commence belle histoire

Qui peut être d’amour, amitié,

En tous cas nourrie de l’espoir.

JE L’AI,

On s’observe, puis  on s’écoute,

Parfois même, on se projette :

Rien n’est fait, rien ne rejette

Avec un frein, en avant toute.

Elle m’aurait  trouvé  sympa,

Et rien de plus rien de moins,

Ou elle m’aurait trouvé extra,

Veut, avec moi,  faire le point.

UN SOIR,

Combien de  commencements

Finissent  par  le renoncement

De l’un, l’autre, voire des deux,

Et puis, soudain, gagne au jeu.

Je l’ai, un beau soir, rencontrée,

Elle a tourbillonné en ma pensée

Dans l’instant, elle s’est imprimée

En l’esprit : elle ne m’a pas quittée.

RENCONTRÉE,

Et, nous voilà, à discuter, tous deux,

Juste histoire pour mieux… combler,

Le fossé qui nous sépare … fort creusé

Par nos différents parcours, chanceux.

Elle n’est pas ceci …  moi je ne suis cela,

Ne réagit pas comme-ci, moi, comme ça,

Elle se tient à l’écoute  et moi aucun doute

J’attends avant m’engager… en avant toute.

IMPRIMÉE

Son attrait en deux ans a quelque peu changé

Ce n’est pas qu’il soit plus ouvert ou plus fermé,

Il est juste un peu plus mûr, changé, hâlé, décalé,

Celui d’une femme cherchant encore amour égaré.

Ses regards et sourires et paroles qui m’interpellent,

Soulignent ses interrogations sur ses amours…irréels,

Docile, facile : oui et non, car d’elle, il y a plus à espérer,

Qu’à craindre, en vengeance, en violence, d’effarouchée !

.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

792 4

.

Un vase pour une fleur,

Verre de bière   à l’envers

Pourquoi pas  cheminée

D’une centrale atomique ?

.

Cheminée et cheminer on même racine :

cheminée, vers le haut ;  cheminer, en bas,

il y en a des très grandes et des toutes petites

mais ici, leur formes diffèreront du fond

 .

Une cheminée d’une telle taille,

Cela  ne se rencontre pas  partout,

Si elle vous intrigue  énormément :

Impossible de ne pas la mémoriser !

  .

Symbolique 

 .

Toutes les fumées blanches

S’échappant grandes tours

Cheminée   réfrigération,

Des centrales nucléaires ne

Sont pas  très  dangereuses.

Elles ne sont que des nuages

De  vapeurs  d’eau,  formant

Un  panache  variable   selon

Conditions   atmosphériques.

Les tours    aéroréfrigérantes

Ne  sont  pas  très   spécifiques

Aux      centrales       nucléaires.

Elles   peuvent   équiper d  ‘autres

Centrales  tels : gaz, charbon, fioul.

Connaissancedesenergies.org/ les-fumees-

Des-centrales-nucléaires-sont-elles-dangereuses

.

Descriptif

 .

792 – Je l’ai, un soir, rencontrée, imprimée

  Alignement central  /  Titre  intercalé  / Thème  amitié

Forme conique  /  Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : cheminée / Symbole de fond : cheminée

.

.

Fond

 .

Évocation

.

792 6

.

Cheminée est faite pour

Faire du feu,  se chauffer

Pour  cuire  des  aliments

Et se rassembler devant !

.

Symbolique

 .

À l’époque du chauffage électrique,

Nos jeunes lecteurs peuvent méconnaître

Que nos ancêtres se chauffaient non pas avec

Des convecteurs à gaz, ni même avec des poêles

À charbon, mais  avec un âtre : un endroit  où l’on

Brûlait des bûches en bois, ce qui réchauffait la pièce

Qui devait avoir un plafond haut afin que les occupants

Ne suffoquent pas, et les gaz âcres  et  la fumée  étaient

Évacués par conduit débouchant sur la cheminée.

Source : ora-et-labora.frenchboard.com/t605-la-cheminee

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Romantique, cette rencontre… au pied

D’un feu de cheminée, un verre à la main

Une bouteille au frais, et il fait très chaud !

.

Non ce n’est pas scénario du prochain ciné,

C’est juste un cliché et même des plus éculés

L’on se rencontre plutôt les sites d’internet

Et là non plus, faut pas rêver, faut bruler.

Beaucoup d’énergie pour y harponner !

Laisse faire le hasard, bon conseiller

Matière de divorce à venir un jour.

 .

.

Rencontré, imprimé, aimé, épousé

.

Scénario

.

Je l’ai un beau soir, rencontré

et puis je l’ai un beau jour, imprimé,

alors je vous laisse imaginer la suite … !

 .

Visuels et textuels  >>

791 – Appairés, accouplés, deux amis forment duo

Visuels et textuels >>

          .

Appairés,

Est mettre par deux

Côte à côte  est comme

La paire de chaussures

.

Accouplés serait  n’en

Plus   faire   qu’un seul

Appairé, mariage arrangé ;

Accouplé, mariage d’amour.

.

Peuvent encore s’inverser,

Cours du temps  et des jours

Un duo d’amitié  est appairé,

Mais de manière spi-ri-tuelle.

Il  n’y  aura  pas  de querelle,

Qui ne soit pas  solutionnée.

 .

Appairés ou accouplés,

Deux amis forment  duo,

Deux pareils, deux beaux,

Comme si frère,  sœur, nés.

.

Et ils dialoguent en chœurs,

Et ils se touchent   par esprits.

Ils  se connaissent    par cœur :

Quand l’un blague, autre en rit.

   .

On les voit  trainer  et  heureux,

Dans tous les coins  du quartier

Rencontre  couples  d’amoureux,

Serrés au corps en contre-amitié.

.

Amis  sont fidèles amants, pas !

Accoupler n’est pas qu’apparier,

Semblables  ne  diffèreront  pas,

Différents semblent…non durer.

.

Faudrait-il faire alors comme si,

Faudrait-il encore, laisser croire

Que l’amitié a sa propre histoire

Chaque couple  et autres, aussi.

.

Appairer n’est pas accoupler

Si tous pareils, tous beaux :

Le mariage est un cadeau,

Le divorce, un merdier.

.

.

Extensions

 .

Appairé n’est pas synonyme d’accouplé.

Appairés sont les chaussures, la paire qui va

Bien ensemble, qui se complète, qui se ressemble,

Accouplés peut réserver des différences importantes :

Un grand et un petit, un vieux et un jeune qui sont

Ensemble alors, qu’en rien, ils ne se ressemblent.

.

Le mieux est : à la fois appairés  et accouplés,

Un peu comme  des faux, et vrais, jumeaux :

Pas identiques  mais pas vraiment différents.

Un ami, pour commencer, comme pour le tester,

Un frère par la suite, pour l’intégrer dans sa famille,

Pour finir, un autre moi-même, presque comme un clone.

.

Voilà qui rejoint bien l’idée d’avoir trouvé son « âme sœur »,

À supposer qu’il n’y en ait qu’une seule sur terre et qui nous

Convienne et que l’on rencontre, après une longue quête

Avec qui vous verriez-vous appairés, voire accouplés

Et le choix des autres : loin, proche des vôtres ?

.

On est souvent surpris des rapprochements

Que font les autres avec soi-même :

«Je te verrais bien ami avec lui…

Je te verrais bien en couple avec elle ! »

Je n’y avais pas pensé mais  pourquoi pas !

.

Une relation de couple peut n’être que de forme animale

Ou de confiance, mutuelle, et  en tous domaines, et totale,

Et on peut y ajouter  une communion  physique, artistique,

Tout est question  d’équilibre,  d’harmonies,  d’instruments.

Lors  appairés  se ressemblent … accouplés, se complètent !

Être appairés c’est certainement  mieux pour faire la fête,

Accouplés est de loin mieux en ce qui sexe, cœur et âme.

.

Appairer pour être mis … deux par deux,

Comme des paires de chaussures ou gants

Accoupler pour s’unir de manière sexuelle,

Comme un homme avec une femme au lit.

.

Début d’union, partenaires sont accouplés.

Peu à peu, ils se distancient puis s’ignorent

Cela n’étonne plus, on les dit mal appairés

Alors peut-être devraient-ils en changer !

.

Changer étant appairés, être accouplés

Facile, logique, cela va presque de soi,

Dans le sens inverse, plus compliqué

On est plus appairé avec personne.

.

.

791 – Calligramme    

 .

                    A    Appairés,

Est mettre    P      par deux

Côte à côte   P    est comme

La paire de    A     chaussures

Accouplés        I       serait  n’en

Plus   faire        R         qu’un seul

Appairé, mari   É     age arrangé ;

Accouplé, mari   S      age d’amour.

*

Peuvent encore     A             s’inverser,

Cours du temps     C            et des jours

Un duo d’amitié     C            est appairé,

Mais de manière    O           spi-ri-tuelle.

Il  n’y  aura  pas     U            de querelle,

Qui ne soit pas      P           solutionnée.

L

Appairés ou            É               accouplés,

Deux amis for         S               ment  duo,

Deux pareils,           *             deux beaux,

Comme si frère,       *                 sœur, nés.

 *

Et ils dialoguent     A              en chœurs,

Et ils se touchent    M             par esprits.

Ils se connaissent    I                par cœur :

Quand l’un blague   S             autre en rit.

*

On les voit trainer   F              et heureux,

Dans tous les coins  O             du quartier

Rencontre couples  R            d’amoureux,

Serrés au corps en  M        contre-amitié.

E

Amis  sont fidèles    N           amants, pas !

Accoupler n’est pas T             qu’apparier,

Semblables ne diffè *                reront pas,

Différents semblent *                non durer.

*

Faut-il faire alors    U                 comme si,

Ou faut-il encore   N           laisser croire

Que l’amitié a sa  *     propre histoire

Chaque couple   *    d’autres aussi.

.

Appairer n’est   D     pas accoupler

Si tous pareils,   U         tous beaux :

Le mariage est     O             un cadeau,

Le divorce, un        *                   merdier.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

791 4

.

Un homme à gauche,

Et une femme à droite,

Et  tous deux, dansent

En couple, amoureux !

.

Couple et danse vont bien ensemble

s’ils s’entendent en plus, il me semble.

les pas, les gestes, rythmes, mélodies,

font que la forme s’accorde au fond.

 .

Un homme danse avec une femme

Et  un beau couple  se sera formé :

Bien prometteur,  s’il ne l’est  déjà,

D’une longue et profonde relation.

.

Symbolique 

 .

La danse est le symbole

Du mouvement, le mouvement du corps

Et celui de la vie en perpétuel changement.

.

Danser est une forme d’expression

Permet de traduire émotions,

De  libérer  nos  sentiments

Et   d’avoir   une  certaine

Conscience de notre corps.

.

C’est  être  vivant, animé,

Joyeux, libre, dynamique,

Plein d’énergie. Mentalité

Positive,  et optimiste.

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/danse

.

Descriptif

.

791 – Appairés, accouplés : amis forment duo  

  Alignement central     /   Titre  droit    / Thème  amitié

Forme anthropo / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : danses  / Symbole de fond : couple

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

791 6

.

Un homme danse avec une femme

Et un beau couple se sera formé :

Bien prometteur,  s’il ne l’est  déjà,

D’une longue et profonde relation.

.

Symbolique 

 .

Ce n’est pas la qualité des rapports

Qui détermine si on reste sexuellement

Actif dans son couple mais l’importance

Accordée au sexe  par les deux partenaires,

Nous révèlera une étude récente américaine !

.

À  l’époque  où  les représentations   dominantes,

Ont l’idée que l’âge  nuit à l’épanouissement sexuel,

La réalité serait finalement beaucoup plus rassurante :

Maturité vis-à-vis de la sexualité, clé du bonheur sexuel,

Implique bienveillance, respect du rythme désirs de l’autre.

Modifié, source : sante.lefigaro.fr/sexualite-secrets-longevite-couple

 .

 .

Corrélations

 Fond/forme 

 .

Qu’est-ce donc qu’un couple, s’il n’est pas accouplé :

Une association des deux, pour mieux se découpler,

Ou alors,  en matière de quête du sexe : se décupler,

Au risque en fin d’avoir à accoucher de quadruplés

Et là c’est trop, n’en jetez plus, la coupe est pleine !

.

Pour la danse être appairés est une bonne chose,

Mais qui ne signifierait, en rien, être accouplés.

Il n’y a pas  si longtemps, c’était un rite obligé,

Lors à présent d’autres rites ont pris le relais.

Il y a des gens qui dansent très bien ensemble

et qui n’ont pas de rapports sexuels entre eux

 .

.

Deux amis autour d’une bière

.

Scénario

.

C’est sûr que c’est deux-là  forment un beau duo,

eux aussi, dans la vie, dans le métier, dans le spectacle,

ceux-là : j’aimerais beaucoup que ce soit … vous avec moi !

 .

Visuels et textuels >>

790 – Cent amis, et proches, remplissent votre vie

Visuels et textuels  >>

.

Des milliers d’amis : qui n’en rêvent !

Mais en réalité, lors problème, il n’en

Reste que très peu : petit  cercle fidèle

Qui en comprendra entre dix et…cent !

 .

Qu’importe amitié, c’est pas le nombre

Qui compte,

C’est la qualité, l’intensité, authenticité,

Qui vous conte

Tel que  vous êtes, et, qui vous accepte,

Et  sans  honte

Tandis que d’autres vous abandonnent

L’air fort sombre

Certains confondent amis et relations,

Et en bon nombre

Se retrouvant seul, et ne comprenant

Pas  … leur ombre.

 .

Cent amis, proches remplissent votre vie,

Je veux dire : la vie de la plupart des gens.

Il y a des exceptions, tant en moins que plus

Moyenne n’est autre qu’un curseur prépointé.

 .

Faisons les comptes  des hommes, des femmes,

Mariés, une seule fois,  admettons deux ou trois

Ça ne ferait jamais que  quatre nouveaux arrivés

Comptant les enfants    entre deux et trois … sept.

 .

Les  parents de chaque côté : mettons quatre, six,

Oncles et tantes, six ; cousins  et  cousines : neuf :

On en arrive  à trente pour la famille de votre côté.

 .

Et, si l’on  multiplie par deux, par le, les conjoints,

Cela ferait soixante, et sans compter  sur les amis,

La  vingtaine me paraitra être un nombre  moyen

 .

Demeurent les collègues et les  anciennes relations

Qui vous auront  marqué, ici ou là, dans votre vie,

Comme bons modèles ou comme aides passions.

 .

Sans personne, nul ne va nulle part, au début,

Sans personne, on se fait du souci, au milieu,

Sans personne, certains finissent ainsi la vie.

 .

Cent personnes, c’est rien  sur sept milliards,

Cent personnes, c’est suffisant pour relations

Cent personnes, c’est un monde plein action.

 .

Car il y a de tout, et, de tous les genres,

En une dispersion autant courbe ronde

Se répercutant en cercles sur le monde.

Ceci reste une vraie magie relationnelle

Que cent soit  échantillon représentatif,

Sur sept milliards dont je n’ai que faire

Pure statistique d’humanité insondable.

.

.

Extensions

 .

Le chiffre «cent» est pratique

Et suffisant dès lors que l’on peut le

Contrôler, l’embrasser, en rendre compte

Pour chacun de ses amis pris individuellement

Tandis que le chiffre «mille», donnera comme tournis,

Tout comme mille et un poèmes, projet de départ pour site.

«Dix, vingt, trente» paraissent être du domaine du raisonnable,

Proche de soi, de son premier cercle, voire de son second,

Alors que cinquante approcherait  du troisième cercle.

Entre trente et trente-six serait le bon compromis.

.

Cent amis : pourquoi cent, pourquoi pas et pas mille :

À moins de faire partie d’un réseau d’artistes à succès !

Cent est le maximum lors cinquante c’est déjà beaucoup

Vous me direz, à votre mariage, vous étiez plus que cent

Mais étaient-ils vraiment tous amis …proches de vous ?

Si vous allez sur un réseau social… le monde est à vous

Tout dépendra ce qu’on désigne par amis, après tout !

.

Cent amis, sur sept milliards de possibles,

Plus ou moins vingt, cent est nombre rond,

C’est presque mieux  que de gagner au loto.

Quant à profiter d’eux : vaut mieux l’argent,

D’autant que les amis sont souvent liés à lui,

Quoiqu’on dise, vous n’avez rien, peu d’amis

.

J’ai compté les miens et  ils sont nombreux,

Or ceux que je qualifie de proches : très peu.

Les vrais amis sont des amis de longue date,

Aux liens très forts, unis  par des  histoires,

Parfois des malheurs et des joies intenses,

Qui pourront même durer tout votre vie.

.

.

790 – Calligramme 

.

Des milliers d’amis : qui n’en rêvent !

Mais en réalité, lors problème, il n’en

Reste que très peu : petit  cercle fidèle

Qui en comprendra entre dix et…cent !

.

Qu’importe amitié, c’est pas le nombre

Qui compte,

C’est la qualité, l’intensité, authenticité,

Qui vous conte

Tel que  vous êtes, et, qui vous accepte,

Et  sans  honte

Tandis que d’autres vous abandonnent

L’air fort sombre

Certains confondent amis et relations,

Et en bon nombre

Se retrouvant seul, et ne comprenant

Pas  … leur ombre.

 .

Cent amis, proches  C   remplissent votre vie,

Je veux dire : la vie   E   de la plupart des gens.

Il y a des exceptions,  N   tant en moins que plus

Moyenne n’est autre     T        qu’un curseur pointé.

Faisons les comptes       *    un homme, une femme,

Mariés, une seule fois     A    admettons deux ou trois

Ça ne fait jamais que       M      quatre nouveaux arrivés

Comptant les enfants       I        entre deux et trois : sept.

Et parents de chaque    S    côté,    *  mettons quatre, six,

Oncles et tantes,   *   six ; cousins et    *   cousines, neuf :

On en arrive   P     à trente pour famille    *   de votre côté.

Et, si l’on     R   multiplie par deux, par le, *  les conjoints,

Cela ferait    O    soixante, sans compter    *   sur les amis,

La  vingtaine    C     me parait être le   *   nombre  moyen.

Demeurent les    H     collègues et   *  anciennes relations

Qui vous auront   E     marqué,   * ici ou là, en votre vie,

Comme modèles   S      ou     *   comme aides passions.

* ……………………

Sans personne      R    nul ne va nulle part, au début,

Sans personne,     E    on se fait du souci, au milieu,

Sans personne      M   certains finissent ainsi la vie.

Cent personnes    P    c’est rien sur sept milliards,

Cent personnes    L    c’est suffisant en relations,

Cent personnes     I     c’est un monde en action

S …………

Car il y a de tout     E       et, de tous les genres,

En une dispersion   N      autant courbe ronde

Se répercutant en    T    cercles sur le monde.

Ceci est une vraie      *     magie relationnelle

Que cent soit échan    V   tillon représentatif

Sur sept milliards dont  I     je n’ai que faire

Pure statistique d’huma  E  nité insondable.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

790 4

.

Une bouteille Thermos,

Un beau flacon de parfum

Avec un bouchon diffuseur

Pour tester son odeur ?

.

Un parfum, une odeur quelconque,

ne pourraient représenter cent amis,

mauvais parfum peut vous en éloigner

et ainsi la forme différera bien du fond.

.

Peut-on, humainement, et même

Si l’on disposerait  d’un  bon  nez,

Distinguer plus de cents parfums

Ou odeurs, pour humains, pareils !

.

Symbolique 

 .

Votre parfum

Est révélateur de

Votre personnalité

Et de votre caractère.

Oui  mais  voilà : il n’est

Pas toujours  facile  de s’y

Retrouver  parmi   la  foule

D’essences trouvées marché.

Pour vous aider, sachez  que

La  parfumerie  se  découpe

En  sept   groupes  d’odeurs

Les hespéridés, les floraux,

Les fougères, les chyprés,

Les boisés, les orientaux

Et les aromatiques.

.

Descriptif

.

790 – Cent amis, proches, remplissent vie 

  Alignement central     / Titre  absent    / Thème  amitié

Forme ovale /  Rimes égales    / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : parfums  / Symbole de fond : odeurs

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

790 6

.

Peut-on, humainement, et même

Si l’on disposerait  d’un  bon  nez,

Distinguer  plus  de  cents parfums

Ou odeurs, pour humains, pareils !

.

Symbolique de fond

 .

Dans le choix d’un parfum,

Des normes sont non-écrites

Mais socialement reconnues,

Dirigeant choix  et utilisation

De  tels, ou tel produit choisi !

.

Mais l’odeur, en tant que telle,

Projeter une image symbolique

Une  fragrance  épicée,  relevée,

Fruitée ou florale, peut exprimer

Plusieurs images différentes dans

esprit de celui qui porte, supporte

Tout comme pour celui qui le sent.

.

Certaines  odeurs  pourront avoir

Une  symbolique se  référant  à la

Sensualité à la fraîcheur, comme

C’est, souvent, le cas de parfums

Floraux ou encore à la richesse.

Modifié, source : joiedevie.forumpro.fr/

t15923-symbolique-des-parfums

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il serait parait-il plus simple de vivre

Sans ami, qu’avec cent,  bien présents.

Cela dit, n’en avoir aucun, ne remplira

Pas votre vie : à la rigueur …  un chien.

.

Encore  faudra-t-il le mettre au  parfum

Que vous êtes son seul ami et pas chienne.

Tel chien tel maitre, ou tel maître, tel chien,

Parfum de chien  n’est pas chien de parfum !

 .

.

Mieux vaut cent amis que sans

.

Scénario

.

Ici, en présence, ils sont quatre, et, très proches,

là, le noyau dur au centre et les autres, plus épisodiques,

mais, avec les réseaux sociaux, une diaspora d’une centaine !

 .

Visuels et textuels  >>

789 – Je suis entouré d’amis tout autant qu’ennemis

Visuels et textuels  >>

.

D’être    entouré

D’amis    est      plaisant

D’ennemis  est s   tressant

Ses  ennemis    on  les  fuit,

Ses  amis,   on  les  chérit.

.

De nuire   à    quelqu’un,

Ferait    vivre   l’ennemi,

Raison   de    poursuivre,

Se  sentir  exister,  enfin !

.

Pardonner …  à ses ennemis

Est une grande force humaine

Mais il faut prendre de la graine

Pour ne pas s’en ressentir soumis.

.

De  tout  pardonner  à ses  ennemis

Serait   une  grande   force  humaine,

Mais il faut bien en prendre de la graine

Pour ne pas s’en ressentir, toujours soumis.

.

Je suis entouré d’amis,  autant que d’ennemis,

Déclare ami celui qui m’aide, me protège, nourrit

Et déclare ennemi, celui qui m’attaque, ou me nuit.

.

Ce peut être, une personne, animal, plante…  produit,

La liste se multiplie, par ses associations  …   à l’infini,

De plus  aucune protection totale  ne nous est garantie,

Et nous-mêmes demeurons, encore, notre pire ennemi :

.

L’homme  est un loup … pour l’homme, à ce que l’on dit,

Tant que  guerre et paix, n’en finissent,  avec les conflits.

.

Mais notre ennemi intime, toujours au fond de soi, tapi,

Veille à ce que nos bonheurs deviennent des plus ternis,

Par quelques sens meurtris : vrais contre-sens de la vie.

Je suis l’ami de mon ennemi  et l’ennemi  de mon ami,

.

Je me  bats, contre moi, l’autre, environnement, aussi,

Et je gagne autant que je perds nombre de mes paris.

.

Lors me crois seul, fort, protégé de tout, que nenni,

Maladie, accident, manipulation autant ennemis

Et au final, ma mort l’emportera, ce sera fini.

.

Ses amis, on les chérit, nuire à quelqu’un

Fait vivre l’ennemi, faut poursuivre,

Se sentir exister, enfin !

.

.

Extensions

 .

Je suis entouré d’ennemis

Tout autant que d’amis :

Sans être parano,

Je suis surveillé en toutes

Les occasions, communiquant

Par un média, un réseau quelconque.

.

Mon ennemi attendra que je me dévoie

Pour m’attaquer en tous les faits précédents

Qui s’y rapporte  ou non : il mènera l’enquête

À charge et jamais à décharge auprès de juge.

.

Autrement dit il ne se met jamais à ma place

N’entendra, jamais, ma version des faits

Alors même qu’il développe, pour moi,

Une projection de ce qu’il aurait

Fait lui-même : l’ennemi porte

Contradiction vérité suprême !

.

L’ami du jour peut devenir ennemi de demain

Par suite de trahison, de rejet,  autres chemins

Sinon encore passer de partenaire à adversaire

Il passerait alors de «vrai» frère à «faux» frère

Exemples sont rapportés en politiques et arts !

.

L’ennemi est celui que j’ai déclaré tel

Et même s’il ne l’est de moi qu’à demi

Jamais, de ma vie, à lui, je me confie :

Déjà que c’est compliqué avec un ami !

.

Pour les uns, ennemis sont autour d’eux,

Ne se manifestent, demeurent silencieux,

Et à la moindre occasion, ils se révéleront

Et dans leur témoignage, vous détruiront.

.

D’autres vous parlent de votre paranoïa :

Ennemis en démocratie, ça n’existe pas !

Adversaires peut-être sinon concurrents

Fondant leurs avis sur sorte de jalousie !

.

.

789 – Calligramme

.

D’être    entouré

D’amis    est      plaisant

D’ennemis  est s   tressant

Ses  ennemis    on  les  fuit,

Ses  amis,   on  les  chérit.

.

De nuire   à    quelqu’un,

Ferait    vivre   l’ennemi,

Raison   de    poursuivre,

Se  sentir  exister,  enfin !

.

JE SUIS ENTOURÉ

Pardonner …  à ses ennemis

Est une grande force humaine

Mais il faut prendre de la graine

Pour ne pas s’en ressentir soumis.

.

De  tout  pardonner  à ses  ennemis

Serait   une  grande   force  humaine,

Mais il faut bien en prendre de la graine

Pour ne pas s’en ressentir, toujours soumis.

.

D’AMIS  TOUT  AUTANT

Je suis entouré d’amis,  autant que d’ennemis,

Déclare ami celui qui m’aide, me protège, nourrit

Et déclare ennemi, celui qui m’attaque, ou me nuit.

.

Ce peut être, une personne, animal, plante…  produit,

La liste se multiplie, par ses associations  …   à l’infini,

De plus  aucune protection totale  ne nous est garantie.

Et nous-mêmes demeurons, encore, notre pire ennemi :

.

QUE  D’ENNEMIS LATENTS

L’homme  est un loup … pour l’homme, à ce que l’on dit,

Tant que  guerre et paix, n’en finissent,  avec les conflits.

Mais notre ennemi intime, toujours au fond de soi, tapi,

Veille à ce que nos bonheurs deviennent des plus ternis,

Par quelques sens meurtris : vrais contre-sens de la vie.

Je suis l’ami de mon ennemi  et l’ennemi  de mon ami,

.

Je me  bats, contre moi, l’autre, environnement, aussi,

Et je gagne autant que je perds nombre de mes paris.

Lors me crois seul, fort, protégé de tout, que nenni,

Maladie, accident, manipulation autant ennemis

Et au final, ma mort l’emportera, ce sera fini.

Ses amis, on les chérit, nuire à quelqu’un

Fait vivre l’ennemi, faut poursuivre,

Se sentir exister, enfin !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

.

Une quille d’un jeu

Mais va savoir lequel

De bowling peut-être?

De bowling, surement

.

Amis m’entourent comme quilles

Autour  de  sa boule  à  lancer:

Me donnant un espace et une

Possibilité de jeux … libres.

.

Symbolique

 

Elle  ne peut  pas  agir,

Ne peut qu’être manipulée

La quille,  symbole  de  mon

Existence ballottée, et, offerte,

Aux  règles  sociales et politiques,

Économiques décidées par d’autres.

Un symbole extrême, c’est bien sûr !

.

Pour vrai dire, quille que je suis,

Celle que nous sommes tous,

A bien un peu de liberté.

Un bout d’humérus,

Une phalange par-ci

Par-là, des tronçons

De tibia ou de fémur.

Source : commeunequille.fr

/a-propos/la-quille

.

Descriptif

.

789 – Suis entouré d’amis autant qu’ennemis

  Alignement central     / Titre  absent    / Thème  estime

Forme ovale / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : quille  / Symbole de fond : jeu-quille

.

.

Fond

 .

Évocation

.

789 4

.

Amis m’entourent comme quilles

Autour  de  sa boule  à  lancer:

Me donnant un espace et une

Possibilité de jeux … libres.

.

Symbolique 

 .

Le jeu de quilles

Est une activité sportive

Et Dans laquelle le joueur

Fait rouler  ou bien  jette

Un projectile,   en boule

Vers les quilles afin de

Les faire    tomber.

Il existe  diverses

Variantes de jeux

De quilles, que ce soit

Dans le nombre de quilles,

Dans les règles du jeu,

La surface de jeu,

Etc.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

 .

Rien ici

 .

 .

.

Ami, collègue, concurrent, adversaire

.

Scénario

.

Mes amis ou mes ennemis, comment le savoir :

en jouant des jeux de rôles où ils seront impliqués,

et la vérité, lors de conflits, apparaitra au grand jour.

 .

Visuels et textuels  >>

788 – Si l’on tient à faire «ami-ami» avec soi-même

Visuels et textuels >>

.

Ami-ami avec soi-même

C’est être bien dans sa peau,

C’est, être bien, avec les autres,

C’est positiver, choses, événements.

Si l’on est ennemi  avec soi-même.

Cela révèle  un conflit latent,  intérieur,

Qui ne se résout  qu’en trouvant  la paix,

Et en la faisant, avec les siens, et Monde.

.

L’ennemi ne serait pas  celui  qu’on croit

Quand on projette sur  lui, mauvaise foi

Alors qu’on ne la doit  qu’à  soi-même,

Au point d’en être la victime extrême.

 .

Si on tient à faire «ami-ami» avec soi-même,

Il vaut mieux connaitre ses joies et ses peines

Sinon, c’est un combat sans fin perdre haleine,

L’on finit par tout haïr  même ceux qu’on aime.

 .

L’ennemi est intime, si l’on a peur de soi-même

Ou l’on se prend  pour  un autre, même bohème,

Que l’on envisage, son  refus, la honte, suprême,

Lors il faudrait lui montrer à quel point, l’aime.

 .

Comment faire la guerre voire la paix avec l’intime,

Et comment être simple  en voulant  rester sublime

Deux défis qui ne manquent pas  de piquant, de sel

Pour ne pas se compromettre, auprès de lui, d’elle !

 .

Mon ennemi, caché, ennemi juré, m’est intime :

Ce n’est pas, toujours, l’autre, mais, moi-même

C’est difficile de se déclarer, en être la victime

Quand on est son propre bourreau extrême

.

Des ennemis, l’on en a tous … quelque part,

Au sein de sa famille ou bien de son travail

Et ils ne le sont pas  devenus, et par hasard

Impossible de plaire  à tous, où qu’on aille !

.

Extensions

 .

Si l’on tient à faire «ami-ami» avec soi-même,

Faut s’aimer soi-même, s’apprécier tel qu’on est.

 « Je ne vaux rien, je ne suis rien … je me hais ».

Toute négation de soi abolit toute possibilité

De retrouver toute confiance en soi, et donc,

Par ricochet, dans les autres par ricochet.

.

Dans une guerre, sans pitié, entre soi et soi,

On est certain qu’il n’y aura que des perdants.

Pour sûr, dans la vie on n’est pas toujours gagnant

Mais dans l’échec, faut pas se tromper d’ennemi :

« Je n’aime que moi » est aussi mortifère que

« Je n’aime réellement que les autres ».

.

S’aimer soi-même, dans une juste mesure,

N’est pas enlever un peu, voire beaucoup aux autres :

L’estime et le respect sont deux valeurs qui se partagent,

Se répandent, dès lors qu’on les pratique déjà pour soi :

Ne pas faire aux autres ce qu’on ne ferait pas pour soi !

.

Pour être ami avec tout  autre,

Il faut l’être, d’abord, avec soi,

Ça s’appelle  «l’estime de soi»

De soi en être comme apôtre.

Si l’on est son propre ennemi,

Amitié sincère … non permis :

On dénoncerait les compromis.

Faire ami-ami,  avec soi-même,

Sera plus dur qu’avec tout autre :

Car ne vous séparerez pas de vous.

.

Faire ami-ami avec soi-même,

C’est avoir de la considération,

Du respect, de l’estime pour soi,

Juste une question de confiance !

.

Ça parait simple, évident, naturel,

Au final, ça ne l’est pas tant que cela

Tant de gens douteraient d’eux-mêmes

Avant même de douter de tous les autres.

.

A contrario, il y a des gens ne doutant de rien

Et surtout pas d’eux-mêmes dira-t-on, des gens

N’ayant peur de rien, respectant pas grand-chose,

Se sentant, se disent, supérieurs en tout aux autres.

.

.

788 –  Calligramme

 .

Ami-ami avec soi-même

C’est être bien dans sa peau,

C’est, être bien, avec les autres,

C’est positiver, choses, événements.

Si l’on est ennemi    P     avec soi-même

Cela révèle  un conflit O  latent,  intérieur,

Qui ne se résout  qu’en  U trouvant  la paix,

Et en la faisant, avec les R  siens, et Monde.

L’ennemi ne serait pas   *  celui  qu’on croit

Quand on projette sur   F   lui, mauvaise foi

Alors qu’on ne la doit   A       qu’à soi-même,

Au point d’en être la     I      victime extrême.

    A

Si on tient à faire «ami R  ami» avec soi-même,

Il vaut mieux connaitre    ses joies et ses peines

Sinon, c’est un combat     *   sans fin perdre haleine,

Et l’on finit par tout haïr  A    même ceux qu’on aime.

L’ennemi est intime, si       I       l’on a peur de soi-même

Ou on se prend  pour                  un autre, même bohème,

Que l’on envisage, son       A         refus, la honte suprême,

Lors il faudra lui mon      M        trer à quel point, l’aime.

I ……

Comment faire la guerre  *      voire la paix avec l’intime,

Et comment être simple  A      en voulant  rester sublime

Deux défis qui ne man    V  quent pas de piquant, de sel

Pour ne pas se compro   E   mettre auprès de lui, d’elle.

C …….

Mon ennemi, caché        *         ennemi juré, est intime

Ce n’est pas souvent      S      l’autre, mais, moi-même

C’est difficile de se        O      déclarer, en être victime

Quand on est son           I     propre bourreau extrême

* …..

Des ennemis, on en        M        a tous, quelque part…..

Au sein de sa famille  *    Ê    *   ou bien de son travail…

Et ils ne le sont pas   *      M       *  devenus, et par hasard

Impossible de plaire  *       E          *   à tous, où qu’on aille.

.

.

Forme

Réduction

.

Évocation

.

.

Ça ressemble beaucoup

Plus à ours animal  qu’à

Quelqu’un de bien humain,

Ou alors un ours peluche!

.

Ours et peluche évoque l’enfance

amour objet fétiche, transitionnel

qu’on abandonne pour amour réel,

et ainsi la forme s’approche du fond

.

Si l’on ne parvient même pas à faire

Ami-ami avec soi-même

C’est qu’on est pire qu’un ours et

Il n’y a plus rien à espérer !

.

Symbolique

.

L‘ours animal fut

Considéré    comme

Double  de  l’homme,

Un  ancêtre   tutélaire,

Symbole  de   puissance,

De renouveau du passage

Des saisons,  même royauté

Puisqu’il fut symboliquement

Le roi des animaux en Europe.

L’ours fut également un symbole

De protection  très prisé  en Chine.

L’ours est le symbole de la transition

Entre pulsion animale, maîtrise humaine.

L’ours est donc le symbole de la maîtrise

Des instincts et voire de la bestialité.

guillaumedoucere.canalblog.com/archives

.

Descriptif

 .

788 –  Pour faire «ami-ami» avec soi-même

  Alignement central     / Titre  droit    / Thème  estime

Forme animale / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : ours  / Symbole de fond : ours-peluche

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

788 6

.

Si l’on ne parvient même pas à faire

Ami-ami avec soi-même

C’est qu’on a pas eu le plaisir de serrer

Ours peluche objet transitionnel

 .

Symbolique de fond

.

Époque moderne, l’ours

Est associé aux enfants par

L’ours peluche, devenu l’un

Des jouets   les   plus  populaires

De tous  les  temps  dans  le Monde.

Ainsi sont apparus les «ours mignons»

Qui consolent les enfants et en particulier

Dans de nombreux films, nombreuses séries,

Ainsi que  les  confiseries  en forme  d’ours.

Le lien symbolique entre l’ours et l’enfant

Est purement affectif, voire émotionnel

Et l’animal familièrement surnommé

« Nounours » ou « Teddy bear ».

Wikipedia : Teddy bear

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Ami, ami avec un ours peluche

Allez donc le faire avec un vrai.

Il faudra innocence d’un enfant

Pour croire à la douceur d’ours.

Cet objet, fétiche, parfois doudou

Le rattache à lui-même, et à vous

Simule amour autre que parents

Être unique parmi tout le monde

Qu’il jetterait s’il était immonde.

 .

.

Face à soi, miroir

.

Scénario

.

 D’abord savoir de quoi on est capable, compétent

ensuite, toujours développer une estime de soi,

enfin, savoir de qui on tient et où on va !

 .

Visuels et textuels >>

787 – J’aimerais dire que je m’aime à travers toi

Visuels et textuels  >> 

.

S’aimer à travers autre,

En devenir comme apôtre

Faire, de son désir, le vôtre.

.

Nous avons tous en nous, un

Modèle,  préprogrammé, d’un

Meilleur choix,  futur conjoint.

.

Reine-mère se conjugue  en une

Pour l’homme en bonne fortune,

Qui recrée sa famille, en son sein.

.

Lors, père-roi, se confond,  en un,

Pour la femme qui reproduit bien

L’idéal, selon elle … du masculin.

.

J’aimerais pouvoir dire

Que je m’aime à travers toi

Mais, tu vas  me  contredire :

On aime  l’autre et jamais  soi,

Car on aime ni l’un  ni l’autre,

N’aime que l’amour d’autre.

.

Images de moi  que tu as  capté

De face ou de  dos  ou  de  profil

Que tu  as construite en  amitié,

Avec le temps … partent en exil,

Même, se déforment, se renient

Jusqu’à devenir fantôme  honni.

.

Quelqu’un me cherche quelque part

C’est vrai,  mais, je ne le trouve pas

Quand je le rencontrerai au hasard,

Voilà, je ne le reconnais même pas.

.

Je cherche quoi : des êtres ou images,

J’en ai vu des beaux, et laids, de passage.

Mon modèle n’est pas devant moi, derrière,

Je l’ai fixé  dans les bras d’un père, une mère.

.

Et tous les êtres qui ne me les rappellent pas,

N’ont pas  de chances que je  les aime ici-bas :

C’est dur d’entendre dire ça, comment y croire.

.

C’est dur comme un message subliminal et noir.

Mais ma  liberté déchirera image de faux espoir,

Cela pour reconstruire autre modèle, auditoire.

.

.

Extensions

 .

J’aimerais pouvoir dire que

Je m’aime et à travers toi

À partir du moment où

Tu ne ressembleras pas  à

Aucun modèle presqu’imposé.

.

Comment savoir, sans psychanalyse,

Comment le savoir, sans vraie comparaison

Avec les parents et voire avec les beaux-parents !

Aimer l’amour de l’autre : curieuse formule s’il en est !

.

Je t’aime parce que tu m’aimes, tu me rappelles quelqu’un.

Que penser  des mariages ethniques, où rien ne ressemble,

Ni les parents, les éducations, les cultures, les religions.

C’est un vrai miracle de l’amour, que d’avoir choisi

Un modèle différent, que de tenter une union.

.

Aimer une personne pour ce qu’elle est :

«Je t’aime comme tu es» ;

Aimer une personne comme un modèle

«Tu n’es pas mon genre» ;

Aimer une personne parce qu’inconsciemment

Il, ou elle, aura des airs de déjà vu, déjà connu.

.

S’aimer à travers l’autre,

Aimer l’autre à travers soi,

Est-ce une simple inversion,

Ou un début de réciprocité,

Ou un  égoïsme  renforcé ?

Amour a différents degrés

Différentes phases, états

Il se renouvelle ou pas,

Vous convient ou non

En plein abandon !

.

L’on dit que l’amour n’existe pas,

Que des preuves d’amour … il n’y a,

Qui se traduisent par bonnes actions

Qui ne sont pas que des déclarations.

.

Le don de soi, en est-il une ou prédation,

Le don d’un enfant est-il une procréation,

Le don de sa vie  commune : consécration,

Le don d’un diamant : promesse éternelle !

.

Je suis le roi, tu es ma reine et mes enfants,

Mon prince  et ma princesse, naturellement.

Alors qu’en fait, on est numéros, statistiques

Tentant de mettre notre amour en musique.

.

.

787 – Calligramme 

 .

S’aimer à travers autre,

En devenir comme apôtre

Faire, de son désir, le vôtre.

Nous avons tous en nous, un

Modèle,  préprogrammé, d’un

Meilleur choix,  futur conjoint.

Reine-mère se conjugue  en une

Pour l’homme en bonne fortune,

Qui recrée sa famille, en son sein,

Lors, père-roi, se confond,  en un,

Pour la femme qui reproduit bien

L’idéal, selon elle  …  du masculin.

.

J’aimerais pouvoir    dire

Que je m’aime à  *  travers toi

Mais, tu vas  me    J    contredire :

On aime  l’autre          et jamais  soi,

Car on aime    ni l’un   A   ni l’autre,

N’aime     I    que l’amour d’   I      autre.

Images    M   de moi  que tu as  M     capté

De face   E    ou de  dos  ou  de   E     profil

Que tu    R   as construite  en   R   amitié,

Avec le    A    temps, partent   A    en exil,

Même se   I    déforment se   I     renient

Jusqu’à     S     fantôme       S       honni.

*

Quelqu’un me cher D  *  che quelque part

C’est vrai,  mais   I      À je ne le trouve pas

Quand je le ren   R      *   contre   au hasard,

Voilà, je ne le     E        T reconnais même pas.

Je cherche quoi  *           R    des êtres ou images,

J’en ai vu des    J   beaux   A  des laids, de passage.

Mon modèle   E   n’est pas     V  devant moi, derrière,

Je l’ai fixé      *    dans les bras    E   d’un père, une mère

Et tous les     M   êtres qui ne me   R     les rappellent pas,

N’ont pas      ‘    de chances que je     S      les aime ici-bas !

C’est dur      A   d’entendre dire cela  *    comment y croire.

C’est dur     I    comme un message   T  subliminal et noir.

Mais ma   M     liberté déchirera    O  image faux espoir.

Cela pour E   reconstruire autre   I  modèle, auditoire.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

787 4

.

Une femme avec des formes,

De longs cheveux  sur sa nuque

Et vue, ici, statique, et de dos, 

Une femme amour mystère.

.

femme et amour iraient toujours

ensemble comme valeur humaine,

qu’elle soit de face, ou bien de dos,

sa forme converge vers tel fond

.

Toi, t’es qui, toi : t’es l’autre, t’es quelqu’une …

Tu es la femme,

Qui a attiré mon attention, intérêt et aura

Déclenché l’amour.

  .

Symbolique 

 .

La femme a une symbolique

Très riche qui a évolué au fil du temps.

Toutefois, elle a toujours évoqué la fécondité,

La pureté et aussi le vice, la séduction, impureté.

.

À partir du xxe siècle, des mouvements féministes

Sont apparus pour  tenter de rétablir  un équilibre

Entre les hommes et les femmes, et  afin de rétablir

Les droits  des femmes. Désormais, ces mouvements

Occupent une place importante dans le débat public.

Modifié, source : 1001 symboles

.

Descriptif

 .

787 – J’aimerais dire : je m’aime à travers toi 

  Alignement central  / Titre  dédoublé  / Thème  estime

Forme anthropo  /  Rimes égales   / Fond accordé à forme

Symbole de forme : femme  / Symbole de fond : amour

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

787 6

.

Toi, t’es qui, toi : t’es l’autre, t’es quelqu’une …

Tu es la femme,

Qui a attiré mon attention, intérêt et aura

Déclenché l’amour.

.

Symbolique 

 .

En début d’amour,

Le « jeu du chat et de la souris »

Est normal, voire même amusant.

Cela attise désir d’amants poussant

À chercher la présence de l’autre.

.

Laisser quelques jours entre

Les appels, messages, ne pas

Accepter toutes les invitations,

Ne pas inviter l’autre à terminer

La  nuit  chez soi. Toutefois, lorsqu’il

Devient clair que l’on est officiellement

Dans une relation  durable, ce jeu peut devenir

Déstabilisant et usant. Peu de personnes aiment savoir

Que l’autre joue avec notre sensibilité jusqu’à la rendre incertaine.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

La femme a plus de rondeurs, de vêtements

Et de symboliques et  d’attraits pour elles

C’est déjà cela, reste à conquérir en lutte

Une égalité avec les hommes de pouvoir.

.

On y croit, même, on croise les doigts :

On dit : tant pis, tant mieux pour elles

Femme dite éternelle reste un mythe !

.

Et son amour ne sera pas de toujours

Mais elle ne peut  que s’y employer

Pour assurer l’avenir des enfants

Dans une cellule …  protectrice !

 .

.

Croire en l’autre est croire en soi

.

Scénario

.

Amour tel qu’il est représenté en peinture, de manière idéalisée,

des femmes ont un modèle d’homme attitré, et incontournable,

il suffira que l’un d’eux l’aime, pour qu’elle s’aime elle-même !

 .

Visuels et textuels  >>

786 – Les trois A ou l’amor, l’amour, l’amitié !

Visuels et textuels  >>

.

Amor, c’est le corps,

Amour, c’est le cœur,

Amitié,   c’est l’esprit :

Le tout, bien compris !

.

Lors,   cette déclinaison

Fait appel à … l’émotion

Bien plus  qu’à la raison,

Ils se soutiennent à fond.

.

Argent,  art …  arbitraire,

Trois  A  se forment ainsi

Et ne sont pas contraires

À   l’amour   pour  la vie.

.

Amor, c’est le sexe : celui de la reproduction,

Et celui  du plaisir, de la peine et de l’addiction,

Plus que n’importe autre animal, moi j’en jouis

Et j’en meurs aussi : telle est la loi sa nature ici.

.

Amour, c’est la passion, celle de l’attachement,

Celle de  la peur de perdre, celle des sentiments,

Qui nous prend, tout entier, pour un être amant,

Sinon nous ne sommes rien autre que vide béant.

.

Amitié, alter-ego nous ressemblant au plus haut,

Accompagnant notre vie durant et irremplaçable,

Plus encore que l’amor  et l’amour, inconsolables,

Sa mort nous prive du reflet qui nous tient chaud.

.

Argent, Art, Arbitraire, trois A qui m’interpellent

Contre lesquels  je ne cesse de me dresser, rebelle

Mais aucun d’eux ne pourra  jamais faire partager

Corps, cœur, âme, autant qu’amor, amour, amitié.

.

Amor et à mort, je prends,  je consomme et je jette

Amour et à jour, j’en jouis, me réjouis, j’abandonne,

Amitié et aimer,  je partage,  je soulage et me donne

Trois A à qui je confie tout et tout, je leur pardonne.

.

.

Extensions

 .

Amor, amour, amitié :

Les trois sont distincts

Et les trois sont reliés :

Le corps, le cœur et l’esprit,

Tous les trois sont réunis en un

Sentiment fort et qui vous nourrit

Et qui vous dévore, qui vous séduit

Et qui même, parfois, vous honore.

.

Lettre «A» est première d’alphabet

Et aussi le premier des sentiments.

«Amour» autant  que la finance,

«Argent»  de  la culture  «Art».

«Arbitraire »   sèmera   quelque

Peu la zizanie en cette harmonie,

«Artifice» donne un côté peu naturel

Et « Artefact » un côté carrément virtuel.

.

On peut rapprocher des mots du lexique en mettant

En avant connotation sémantique et dénotation culturelle.

Aucune définition d’un concept, sentiment, valeur n’épuise

Son sujet car il y a toujours des synonyme, des antonymes.

Aimer vient d’âme, qui signifie: « mouvement vers »

Que les romanciers ont traduit par inclination ;

Psychologues, penchant ; poètes, cupidon !

.

Amour, à mort ;

Amour, à cœur ;

Amour,  à sœur ;

Amour.… à tort !

Amour… encore ;

Amour, en corps ;

Amour,  à l’heure !

.

.

786 – Calligramme

 .

AMOR,

Amor, c’est le corps,

Amour, c’est le cœur,

Amitié,   c’est l’esprit :

Le tout, bien compris !

.

AMOUR,

Lors,   cette déclinaison

Fait appel à … l’émotion

Bien plus  qu’à la raison,

Ils se soutiennent à fond.

.

AMITIÉ ! 

Argent,  art …  arbitraire,

Trois A  se forment ainsi

Et ne sont pas contraires

À  l’amour   pour  la vie.

.

LES TROIS A :

.

Amor, c’est le sexe :          celui de la       reproduction,

Et celui  du plaisir         de la peine        de l’addiction,

Plus que n’importe        autre animal      moi j’en jouis

Et j’en meurs aussi        telle est la loi      sa nature ici.

.

Amour,       c’est la passion      celle de l’attachement,

Celle de        la peur de perdre     celle des sentiments,

Qui nous        prend tout entier   pour un être amant,

Sinon nous       ne sommes rien       qu’un vide béant.

.

Amitié, alter-    ego nous ressemblant    au plus haut,

Accompagnant    notre vie durant et    irremplaçable,

Plus encore que     l’amor et l’amour     inconsolables,

Sa mort nous prive    du reflet qui   nous tient chaud.

.

Argent, Art, Arbitraire,    trois A     qui m’interpellent

Contre lesquels je ne       cesse de      me dresser rebelle

Mais aucun d’eux ne     pourra    jamais faire partager

Corps, cœur, âme,    autant qu’   amor, amour, amitié.

.

Amor et à mort,      je prends,   je consomme et je jette

Amour et à jour,     j’en jouis,   me réjouis, abandonne,

Amitié et aimer,    je partage,    je soulage et me donne

Trois A, à qui je    confie tout     et, tout,   je pardonne.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

786 4

.

Piédestal pour objet d’art

Une grosse bougie, en cire

Avec sa flamme qui brûle 

Pour éclairer nos relations

.

Ces trois A sont pourvus d’une seule,

Et même, flamme :

Brûlante en nous, elle éclaire toutes

Sortes de relations.

.

Symbolique 

 .

Au sens premier

Le mot flamme désigne

La manifestation lumineuse

Et mobile d’un feu, en poésie

Comme synonyme d’amour.

.

« De  déclarer  sa  flamme »

Ou un symbole de paix :

La flamme de la paix.

.

Le feu représente les passions,

L’enthousiasme et les amours.

Symbole sexuel illumination.

.

La flamme est un symbole

De purification d’embrasement

De même  qu’amour spirituel,

C’est l’âme du feu et de l’amitié.

.

Descriptif

 .

786 – Les trois A : amor, amour, amitié ! 

  Alignement central  / Titre  absent  / Thème  famille

Forme carrée   /  Rimes égales    / Fond accordé à forme

Symbole de forme : flamme  / Symbole de fond : relations

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

786 6

.

Ces trois A sont pourvus d’une seule,

Et même, flamme :

Brûlante en nous, elle éclaire toutes

 Sortes de relations.

 .

Symbolique de fond

 .

Dans le fonctionnement symbolique,

Les relations affectif/cognitif  sont très diverses.

Même série de symboles, désignant  objets  célestes,

Est productrice d’activités mentales très différentes,

Et contradictoires, chez l’astronome et l’astrologue.

La « reconnaissance » d’un symbole s’opère à partir

De repères « appris »… par des conditionnements.

.

C’est ainsi  qu’ont été inventés  les « smileys »,

Figures humaines expressives fabriquées

Avec des signes typographiques.

Le caractère affectif toujours

Présent dote le symbole

D’une « valeur » positive

Ou négative . Pensez aux

« Porte-bonheur » et aux « porte-poisse »…

blogs.mediapart.fr/edition/pas-si-sapiens/

article/170713/les-humains-2

 .

.

 

Corrélations

Fond/forme 

.

.

.

.

Scénario

.

L’amor, c’est le corps, le sexe ;

 l’amour, c’est le cœur et la passion ;

et l’amitié, c’est l’esprit, complémentarité.

.

Visuels et textuels  >>

785 – Famille est à la fois un repère et un repaire

Visuels et textuels >>

.

La famille est à la fois un repère et repaire,

On touche à tout en matière culturelle et sociale,

Sauf à la famille constituant,

 .

Le premier et dernier de nos repères, pilier du reste.

Pour autant, la famille ne serait pas…le seul repaire,

Où l’on se sentira si bien :

 .

Les adolescents s’y sentent mal à en être en rupture

À se chercher une autre famille d’adoption ailleurs,

Ou encore à rester entre eux.

 .

On peut perdre son conjoint, ses amis, sa famille

Quand tous les ponts se seront coupés avec eux,

Mais l’on y reviendra plus tard,

.

Ma famille est tout

 Pour moi, eh bien, pourtant,

La première fois, petit, à cinq ans,

La seconde, à onze, j’ai été en internat,

Pour mes études, très loin de mes parents.

.

Dans ma famille, à présent, on s’entend bien,

On a plaisir à se revoir et à échanger ensemble,

Mais ce n’est pas le cas pour toutes les familles :

J’en  connais, où, je  n’y  mettrais pas  les  pieds.

.

Une famille peut être  un repaire d’individus,

Se supportant pas, peu, pour des questions

De tempéraments, d’événements passés

Qui n’auront, jamais, été pardonné.

.

«Famille ………….   je vous hais»

A écrit  André Gide, et non :

«Famille …….. je vous ai »

À laquelle ……. chacun

Rêve comme repère.

.

Comment peut-on

Arriver jusqu’à

 Transformer

Repaire

 Vipère

V

.

 « Vipère au poing » a écrit Hervé Bazin :

L’ennemi intime est à l’intérieur de sa famille

Autant qu’en soi-même et cela au point de

Souhaiter la mort de sa propre mère

En lui faisant des misères.

 .

.

Extensions

 .

Il y a les parents vieillissants à en déblatérer,

Alzheimer, dont on ne sait que faire à se déchirer

Pour savoir qui va payer pour eux, qui va hériter d’eux !

.

Pour un enfant, une famille, ce n’est pas qu’un père et une mère,

Une mère ou un père, minimum ou deux mères ou deux pères :

C’est un lieu d’accueil, de soin, d’éducation, responsabilité,

Tendresse, sécurisation, d’amour, comme repaire.

.

Dans une famille, les enfants s’en viennent,

Les ados s’en vont puis lors parents reviennent

Avec leurs enfants, suivant loi intergénérationnelle.

.

La normalité, qu’est-ce que cela représente pour des

Orphelins, des bâtards, rejetés, fugueurs, révoltés :

Faudrait déjà commencer par le leur demander.

.

Un sentiment d’abandon les aura tous marqué

Mais cela ne les empêcherait pas de fonder

Leur propre famille et s’y attacher pour

Compenser leur manque de : repère.

.

Dans un grand repaire, on retrouve ses amis, fidèles.

Dans un petit ou tour on retrouve ses propres repères,

Tout comme en haut d’un phare, ou d’un haut clocher :

Des points géodésiques  qui ne trompent ni ne bougent,

Mais même dans son repère on peut perdre tout repère.

.

Pour ce qui est des jeux de mots

Repère et repaire s’y prêtent bien.

Au deuxième enfant : être re-père,

Et au deuxième emploi : re-perds !

.

Je sais d’accord, l’on s’y perd un peu,

Quand je suis en forme, je fais mieux

Il faudra que je sorte de mon repaire,

Pour trouver autre chose de nouveau.

.

Repaire demeure synonyme de refuge

Même si à l’origine, s’agit de brigands

Repère est un point, un objet, un lieu,

Pour se retrouver ou pour s’orienter.

.

J’espère, qu’un jour, l’on me repère

Et me fasse sortir de mon repaire,

Pour mon bien et le bien de tous,

Pour parler d’Éclats d’existences

.

.

785 – Calligramme 

.

La famille est à la fois un repère et repaire,

On touche à tout en matière culturelle et sociale,

Sauf à la famille constituant,

FAMILLE EST

Le premier et dernier de nos repères, pilier du reste.

Pour autant, la famille ne serait pas…le seul repaire,

Où l’on se sentira si bien :

À LA FOIS

Les adolescents s’y sentent mal à en être en rupture

À se chercher une autre famille d’adoption ailleurs,

Ou encore à rester entre eux.

REPÈRE ET REPAIRE ! 

On peut perdre son conjoint, ses amis, sa famille

Quand tous les ponts se seront coupés avec eux,

Mais l’on y reviendra plus tard,

.

*********************************

*********************************

.

Ma famille est tout

 Pour moi, eh bien, pourtant,

La première fois, petit, à cinq ans,

La seconde, à onze, j’ai été en internat,

Pour mes études, très loin de mes parents.

Dans ma famille, à présent, on s’entend bien,

On a plaisir à se revoir et à échanger ensemble.

Mais ce n’est pas le cas pour toutes les familles :

J’en  connais, où, je  n’y  mettrais pas  les  pieds.

Une famille peut être  un repaire d’individus,

Se supportant pas, peu, pour des questions

De tempéraments, d’événements passés

Qui n’auront, jamais, été pardonné.

«Famille ………….   je vous hais»

A écrit  André Gide, et non :

«Famille …….. je vous ai »

À laquelle ……. chacun

Rêve comme repère.

Comment peut-on

Arriver jusqu’à

 Transformer

Repaire

 Vipère

V

.

 « Vipère au poing » a écrit Hervé Bazin :

L’ennemi intime est à l’intérieur de sa famille

Autant qu’en soi-même et cela au point de

Souhaiter la mort de sa propre mère

En lui faisant des misères.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

785 4

.

Rond avec un point central

Et une pointe pour marquer,

Ce ne peut être qu’un repère, 

Mais qui ne dira quel repaire ?

.

Repère et repaire sont proches,

si on me repère en mon repaire

je suis mort, foutu, découvert,

ainsi la forme rejoint le fond

 .

Un repère peut être parfois signalé

 Par cette marque, comme ici ou but :

Aussi un repaire jouant sur les mots,

Phonétiquement et sémantiquement.

.

Symbolique 

.

À quoi correspondent

Tas de pierres sur sentiers ?

Ce sont des repères laissés par les

Précédents randonneurs permettant de

Baliser le chemin ou matérialiser un pic,

Ainsi permettre d’identifier clairement

Le chemin prenant la forme d’un tas

Monticule de pierres, pyramide,

Et sont le plus souvent situés

À  des endroits  où  il  est

Difficile    d’entretenir

Un sentier délimité

Ou un balisage

Peinture

V

.

Descriptif

.

785 – Famille est à la fois  repère et repaire !

  Alignement central  / Titre  intercalé  / Thème  famille

Forme pointue / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : repère / Symbole de fond : repaire

.

.

Fond

 .

Évocation

.

785 6

.

Un repaire est un lieu, habitation

 Ou l’on ira se réfugier, se protéger,

Aussi un repère : on  joue, les mots,

Phonétiquement, sémantiquement.

 .

Symbolique 

.

« J’ai  vu  le  renard  retourner dans  son repaire.

J’ai laissé sur l’arbre un repère afin de l’identifier.»

Il ne serait pas  rare  de confondre  le sens  des deux

Homophones  en français. En  voici un bon exemple :

Quelle est la différence entre « repaire » et « repère » ?

.

On écrit « repaire » pour  désigner  le lieu, l’abri  qui sert

De refuge aux animaux sauvages, ensuite par métonymie,

Le mot désigne la maison, l’habitation, ainsi le tout est joué.

Modifié, source : lalanguefrancaise.com/orthographe/repaire-ou-repere

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

À son deuxième enfant, on devient re-père

Tel jeu de mots est  nul, est des plus faciles :

Je perds tous repères dans mon vocabulaire,

Je vais de repaire en repaire, comme imbécile.

.

«Famille je vous hais », et « famille, je vous ai »

Presque homonyme, phonétiquement, bien que

Cela veut dire tout le contraire : extraordinaire

Je devrais prendre votre famille comme repère,

Et aller lui rendre visite en son lointain repaire.

 .

.

Famille au chaud face au feu

.

Scénario

.

Repère si on s’y sent bien, si on y prend ses marques.

Repaire lors on se sentira menacé, on court vite s’y réfugier.

Repère pour se situer dans un endroit désertique et voire en mer.

 .

Visuels et textuels >>

784 – Je n’ai de richesses que toi, enfants, amis

Visuels et textuels  >>

.

Je n’ai richesses que toi,

Avec enfants, amis, parents !

Vrai, cela s’emble  aller  de  soi

Mais, parfois, notre  nature  ment.

Car sans une famille, vrai qu’on erre.

.

Et  alors, en société, que devient-on :

Une vieille fille   ou   un vieux garçon

Si  ce n’est de statut … de caractère !

L’État lors en plein risque de guerre

Protège, sauve, garantit sanctuaire

L’homme, lui,  en  crise,  misère,

N’a que sa famille en repère.

.

Je peux me passer de tout,

Je ne peux me passer de vous,

Sans ce lien,  je deviendrais mou,

Le sens de ma vie  me paraitrait fou.

.

Pourtant ma vie se déroule sans heurts,

Chaque mois, chaque jour et chaque heure,

Sont marqués par cette pensée d’être entouré,

Par êtres exceptionnels  et, toujours, familiers.

.

Parfois, je ne suis pas facile à vivre, ni à gérer,

Parfois ce sont eux qui le sont et pas à moitié,

Dans l’ensemble, cahin-caha, bon an, mal an,

Ma famille en vaut d’autres : je l’aime tant.

.

Car en ces temps de crise et de chômage,

Compter sur sa communauté, partage,

Devient la seule assurance sans nuage,

Qu’on pourra souscrire pour son image.

.

L’argent et le temps, ne sont pas tout,

Pour qu’homme, femme, restent debout

Il faut un noyau pur,  il faut un noyau dur,

Que l’on soit jeune ou bien vieux ; bien mûr,

Je n’ai de richesse que toi, mes enfants, amis.

.

Je  reste  ouvert à  l’autre  qui  m’aurait dit

Que nous pouvons tous vivre en solidaires

Sans être ennemi  de personne sur Terre

Peut-être que je    crie   en plein désert

Et réveillez-moi si je vis en un enfer.

.

Si ma poésie fait l’effet d’un désert

Roi de la planète est argent Lucifer

Je n’ai guère envie de me réveiller moi

Pour compter les coups dans cette guerre

.

Que feront les puissants,  par devers moi,

Disparaissant comme moi de cette Terre,

Tant pour finir, de tout ce que je préfère

C’est l’amour des miens non des biens

Perdre ma petite fortune, n’est rien,

Alors que ma famille : mortifère.

.

.

Extensions

.

Demandez, donc, à tout pauvre

La seule richesse qu’il lui reste

Et  ce dernier  vous répondra,

Sans  la  moindre  hésitation :

.

Ma femme,  avec mes enfants,

En second lieu : famille  élargie,

Et en troisième, ma communauté.

.

Il ne vous parlera guère de son argent,

De projet d’acquisition, de fortune, non :

Que de relations les plus proches, intimes !

.

Le premier cercle est le couple, surtout s’ils sont parent ;

Le second, c’est eux avec un, ou deux, ou plusieurs enfants ;

Le troisième cercle est le restant de la famille et qui s’entend ;

Le quatrième est celui des amis que l’on fréquente très souvent :

Ces quatre cercles concentriques seront mon réseau de sympathies.

.

Il n’y aurait de richesse que

 La famille et le réseau d’amis,

Mais, vraiment là, tu délires,

Que fais-tu d’argent, société !

.

Qu’est-ce que l’argent : moyen,

Qu’est-ce que la société : une fin

Pour, progresser, tous, ensemble,

Vers paradis, qui nous ressemble !

.

Richesses et beautés seront plusieurs,

Elle peut être extérieure ou intérieure :

Extérieure,  c’est de la poudre aux yeux,

Intérieure,  c’est pour être plus heureux !

.

Quels que soient notre statut, nos moyens,

Nous avons tous au moins ce bien commun,

Que de faire partie d’une famille, d’un réseau

D’amis qui peut s’étendre en cercles nouveaux.

.

.

784 – Calligramme  

 .

Je n’ai richesses que toi,

Avec enfants, amis, parents !

 Vrai, cela s’emble   J  aller  de  soi

Mais, parfois, notre  E  nature ment.

Car sans une famille   *          l’on erre !

Et alors, en société,   N que devient-on :

Une vieille fille   ou     ‘   un vieux garçon

Si ce n’est de statut   A       de caractère !

L’État, lors en plein    risque de guerre

Protège, et sauve  * garantit sanctuaire

L’homme, lui,  en   D  crise,  misère,

N’a que sa famille E       en repère.

.

Je peux me passer de tout,

Je ne peux me passer de vous,

Sans ce lien,  je deviendrais mou,

Le sens de ma vie  me paraitrait fou.

R

  Pourtant ma vie se    I   déroule sans heurts,

   Chaque mois, chaque  C   jour et chaque heure,

        Sont marqués par cette    H    pensée d’être entouré,

        Par êtres exceptionnels       E     et toujours familiers.

       Parfois, je ne suis pas facile    S     à vivre, ni à gérer,

     Parfois ce sont eux qui le sont   S    et pas à moitié,

    Dans l’ensemble, cahin-caha, bon  E    an mal an,

  Ma famille en vaut d’autres : je l’aime  S    tant.

Car en ces temps de crise et de chômage,

Compter sur sa communauté, partage,

Devient la seule assurance sans nuage,

Qu’on pourra souscrire pour son image.

 Q

L’argent, le temps       U         ne sont pas tout

  Pour que l’homme       E    femme, reste debout

     Il faut un noyau pur      :        il faut un noyau dur

      Que l’on soit jeune ou    T  bien vieux ou bien mûr

         Je n’ai, de richesse que O      toi, mes enfants, amis

      

            Je reste ouvert à  l’        *           autre qui m’aura dit

                Que nous pouvons        E          tous vivre en solidaires

                   Sans être ennemi         N             de personne sur Terre

                    Peut-être que je            F                 crie   en plein désert

                   Et réveillez-moi,           A                si je vis en un enfer

                Si ma poésie fait          N               l’effet d’un désert

              Roi de la planète          T           est argent Lucifer

              Je n’ai guère envie de    S          me réveiller moi

                Pour compter les coups  *        dans cette guerre

                    *

         Que font les puissants A   par devers moi,

                  Disparaissant com    M    me moi, en la terre.

                   Tant pour finir, de   I   tout ce que je préfère

                   C’est l’amour des   S   miens non des biens

                   Perdre ma petite *    fortune, n’est rien,

            Alors que ma famille : mortifère.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

.

Silhouette d’une jeune femme,

Enceinte  de  quelques  mois 

Présence enfant restera floue

Tant on ne la voit entièrement.

.

Enceinte et enfant vont bien avec richesse

non pas du tout d’argent mais d’humanité

on ne peut quantifier le prix perte d’enfant

tant et si bien que la forme enfante le fond

.

Enceinte, enfant est une richesse avec 

Famille, amis, autres :

Le Monde autour de soi peut s’écrouler,

Restera toujours ça !

.

Symbolique 

.

Pour  certains,    la  grossesse

   Rend  la femme  resplendissante.

      Mais,  à l’inverse, d’autres  auraient

        Comme un mouvement réflexe de recul

           En face du ventre d’une femme enceinte.

.

         Cette  oscillation : fascination,  répulsion,

       N’a rien  d’étonnant  mais  tout le monde

       Trouve  rigolo, de voir  ventre  de femme

     Qui se déforme  quand le bébé bougeait.

.

   Ou encore à beaucoup de personnes de

  Regarder avec un sourire bienveillant

  Femmes enceintes, croisées en la rue.

Modifié, source :  lexpress.fr/styles/enfant/

pourquoi-le-ventre-des-femmes-enceintes

.

Descriptif

.

784 – N’ai de richesses que : toi, enfants, amis  

  Alignement central   / Titre  serpente   /  Thème  famille

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : enceinte / Symbole de fond : enfant

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

784 6

.

Le Monde autour de soi peut s’écrouler,

Restera toujours ça :

Enceinte, enfant est une richesse avec 

Famille, amis, autres.

.

Symbolique 

.

Que l’on se voit bébé,

Père ou mère d’un enfant,

Ou bien encore en train d’assister,

Voire vivre soi-même accouchement,

Rêver de bébé est un rêve très fréquent

Plus souvent chez rêveuses que rêveurs.

La maternité a  à voir  avec la grossesse

Et beaucoup, aussi, le corps des femmes.

Ce rêve est-il, pour autant, à interpréter

Comme un désir d’enfant, parentalité ?

Cela est lié à «l’instinct de maternité»,

Parfois très contesté ? Oui, mais

Pas seulement.

doctissimo.fr/psychologie/

dictionnaire-des-reves/reve-bebe

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Enceinte veut-il dire quelque chose

        De clos ou de fermé  ou d’inaccessible,

           Mais, pour couple  de parents, ce sera,

              La première merveille du désir d’un soi

                  Qui se renouvelle pour une vie plus rose.

                  Voilà des rondeurs  qui ne font pas peur,

               Même à l’ainé, que ce soit frère ou sœur

          Voulant toucher, sentir coups de pieds

       Avant de l’adopter, une fois  accouché.

   Tant la plus grande richesse, au Monde,

  C’est nous, mère féconde qui la concevons.

    Aucun diamant le plus pur ou le plus cher,

        Ne pourrait remplacer trésor qu’est enfant.

 .

.

Groupe des enfants et amis

.

Scénario

.

je suis riche de toi

avec le plus de nos enfants

avec le plus de mon groupe d’amis.

 .

Visuels et textuels  >>

783 – Lors j’observe mes amis en couple ou famille

Visuels et textuels  >> 

.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Observer n’est pas expliquer,

Regarder n’est  pas comprendre,

Projeter est toujours se méprendre

Conseiller est souvent mal s’y prendre

Couple reste un mystère car s’il n’échappe

Pas à l’analyse psycho ni à, statistique socio,

Il est toujours unique faut le prendre en solo

Sinon, par effet bords c’est le vôtre, il happe.

Conseiller un couple ne sera pas comparer

Au sien mais se mettre bien à distance,

Pour ne pas prendre parti, privilégier

L’un car l’autre, battu d’avance.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

.

Il n’est pas

Utile observer

Ce que sont, font

Autres pour savoir où

 L’on se situe, l’on est.

.

Chacun trace sa voie

Et décisions des uns

Ne sont celle d’autres

Dans un cas identique :

«A ta place, moi je ferais»

Entend-t-on dire … parfois.

.

Lors j’observe mes amis en couple, famille

Je me dis que leur vie est bien ou mal faite,

Mais que, de toute façon, chacun interprète

Son sort, à sa façon, solide, ou, de pacotille :

.

Un modèle dominant et qui ne peut changer

Qui ne changera rien s’il n’est pas réinventé.

Un homme, une  femme, ou des semblables,

Du divorce accepté jusque mariage éhonté.

.

Un système de  pensée que l’on exécute.

Famille, travail, patrie et pain, et jeux :

Une mise, en boite  ou en foyer, réglée,

Comme du papier à musique sous clef.

.

Leur sexualité  donne dans  la banalité,

Est parfois une chose rare ou de divinité,

Beaucoup se plaignent, sans rien  changer,

Lors me contente alors de bien les écouter.

.

Comme si j’étais l’ami fidèle  et transparent,

Comme si j’étais un frère, un conseiller, parent

Qu’on sonne, on ignore, selon gravité du moment,

Je ne ferais partie, en aucun cas, du projet, d’avant.

.

.

Extensions

 .

Lors j’observe mes amis en couple,

Famille, je me dis j’ai été comme eux,

Ils seront comme moi, enfants partis.

.

À part que cette précarité de l’emploi

Qu’ils ont, je n’ai pas subi, la retraite,

Que j’ai eu, ils ne l’ont pas, garantie !

.

À part que l’enfant est roi, et qu’il a

Tous les droits, ai dû me construire

Seul, et ainsi, trouver, seul, ma voie.

.

À part que la liberté des mœurs, était

Très encadrée par la religiosité lors eux

Auront le choix de leur orientation sexuelle.

.

Se marier, enceinte, s’appelait lors: «avoir fauté.»

Aujourd’hui, ce serait « avoir deux chances au lieu d’une

D’une seule en se pacsant d’abord avant décider se marier.

.

Observer un couple, qu’ils soient conjoints, partenaires ;

Observer un groupe d’amis mixte, adolescents,  adultes ;

Observer une famille, avec un ou deux ou trois enfants ;

Observer votre attitude  et votre jugement, par rapport

Vous verrez qu’il y a beaucoup de projections de vous,

Vous êtes, vous avez été ou allez devenir comme eux,

En avez-vous envie, êtes tenté de faire autrement ?

.

On se veut, on se croit, on se dit,

Différents d’une famille à … l’autre.

C’est en partie vrai et en partie faux,

On a tous un socle, des plus communs

Et les apparences resteront à la marge,

Tant il n’y aura pas cent façons de vivre.

.

Bon nombre d’anthropologues, ont cet art

De repérer des constantes  dans les familles,

Au point de les appelés constantes nucléaires.

En dépit des gens seuls  ou familles disloquées,

Le seul modèle qui prévaut est familial ou social,

Comme mode de substitution, non de répudiation.

.

.

783 – Calligramme 

 .

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Observer n’est  *    pas expliquer,

Regarder n’est     O   pas comprendre,

Projeter est tou       B   jours se méprendre

Conseiller est sou      S    vent mal s’y prendre

Couple reste un mys    E   tère car s’il n’échappe

Pas à l’analyse psycho   R    ni à, statistique socio,

Il est toujours unique   V   faut le prendre en solo

Sinon, par effet bords  A   c’est le vôtre, il happe.

Conseiller un couple   N      n’est pas comparer

Au sien mais se met  T   tre bien à distance,

Pour ne pas prendre  * parti, privilégier

L’un car l’autre, battu d’avance.

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

Il n’est pas

Utile observer

Ce que sont, font

Autres pour savoir où

 L’on se situe, l’on est.

Chacun trace sa voie

Et décisions des uns

Ne sont celle d’autres

Dans un cas identique.

«A ta place, moi je ferais»

Entend-t-on dire … parfois

Lors j’observe mes amis en couple, famille

Je me dis que leur vie est  * bien ou mal faite,

Mais que, de toute façon,  A chacun interprète

Son sort, à sa façon, solide,  M ou, de pacotille :

Un modèle dominant et qui ne  I    peut changer

Qui ne changera rien s’il n’est pas  S    réinventé.

Un  homme, une  femme,   ou des   * semblables,

Du divorce     accepté au mariage        éhonté.

Un système de  pensée que       O      l’on exécute.

Famille, travail,    patrie     U       et pain, et jeux :

Une mise, en boite          P         ou en foyer, réglée,

Comme du papier      L        à  *  musique sous clef.

Leur sexualité        E       donne dans  *   la banalité,

Est parfois,         *         chose rare ou     * de divinité,

Beaucoup        F      se plaignent sans rien  *  changer,

Lors me       A      contente alors de les bien  *  écouter.

Comme      M     si j’étais l’ami fidèle et trans *   parent,

Comme        I   si j’étais un frère, un conseiller  *   parent

Qu’on sonne,  L     qu’on ignore, selon gravité du moment,

Je ne ferais partie, L   en aucun cas, de leur projet, d’avant !

E   ………………….

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

783 4

.

Un trophée sportif

Foot, probablement :

Un trophée de ballon,

Comme une médaille !

.

Un trophée avec support et ballon :

Une récompense métaphorique

Comme  n’importe quelle médaille

Mais de forme plate et inversée.

  .

Symbolique 

 .

La conception,

Voire réalisation

De tous trophées

Peut être  confié  à

Un sculpteur célèbre,

C’est  en  général  une

Forme   sur  un  socle :

Une allégorie de victoire

Ou d’honneur, empruntée

Aux figures de mythologie ;

La représentation d’un objet

D’une attitude de la discipline;

Ou encore une forme abstraite !

Wikipedia.org/wiki/Trophée-dans-sport

.

Descriptif

 

783 – Observant amis en couple, famille 

  Alignement central   / Titre  serpente   /  Thème  famille

Forme ronde droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : trophée / Symbole de fond : médaille

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

783 6

.

Une médaille est aussi une récompense 

Qui, elle aussi, se mérite

Elle vous distingue, sert

 De reconnaissance de communauté, société

 .

Symbolique 

.

L’objet du trophée peut être symbolique

Cela peut être une coupe, une médaille,

Financier, un bon d’achat, un chèque,

Ou un contrat (contrat d’édition).

.

Toute  cérémonie sera souvent

Enjolivée par un discours,

Une remise de bouquet

Ou d’une couronne,

parfois de montée

Des couleurs, drapeau

De l’exécution d’un hymne 

Spécifique ou national.

Ou bien autre chose

Et originale

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

On aura jamais trophée,

Pardon, jamais trop fait,

Pour aller gagner, ce nez

Plein milieu de la figure

Comme une distinction

Qui vous démarquera

De tous les autres

Ou presque.

j’en ai bien eu une

une fois, je m’en souviens

comme si c’était hier, souvenir

que j’ai gardé en un tiroir

comme un trophée

une victoire

 .

.

Couples amis, vacances

.

Scénario

 .

Que ce soit ce couple qui a l’air uni et ravi ;

ou mon groupe d’amis  qui me soutiennent ;

ou les voisins d’à côté lors de photo de famille.

 .

Visuels et textuels  >> 

782 – Qui n’a jamais eu besoin de quelqu’un pour

Visuels et textuels >>

.

Avoir besoin

De quelqu’un,

Pour un secours

C’est  banal,  c’est

Normal, c’est fatal !

.

Pour satisfaire nombre……………… besoins quotidiens,

Éduquer, aider à grandir……….….. jusqu’à son autonomie

Plus complète jusqu’à …………… faire de lui un affranchi :

C’est banal, c’est nor……………… mal, c’est même fatal !

 .

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

Un jour ……… découvrir

Tout autre……..  amour

Que celui…….. parents,

Sa famille……. ses amis

C’est normal… et fatal !

.

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’un …….. pour

Lui tenir la………. main,

Les jours de… détresse,

Les jours de désamour,

Ou profond … chagrin !

 .

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’un ……… pour

L’aider à……….. vaincre

Sa peur, ima…. ginaire,

Réelle, en lui…. autour,

Et l’en con…….vaincre !

.

Qui  n’a  jamais eu  besoin

De quelqu’…..…un pour

L’aider……..….à grandir

Lors dom….… iné senti,

Révolté………. à rebours

De se l’……….interdire !

 .

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

De quelqu’……..un pour

Lécher ………ses pleurs,

Coulant …….de ses yeux

Parfois au… grand jour

Sinon à……..l’intérieur !

.

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’………..un pour

Pour le his…… ser haut,

Au-delà de ce qu’il est

Point de non-retour

À se subli

Mer

.

.

Extensions

 .

Nous sommes tous dépendant de quelqu’un,

Dépendant des autres, non pas incapable

De vivre seul, en parfaite autonomie,

Mais nous sommes conditionnés

Par la recherche de liens et de témoins

Permanents pour avoir la sensation d’exister.

.

D’être seul sur une île déserte, même pourvue

De provisions pour survivre et voire paradisiaque,

Revient à vivre en un enfer ou personne à qui parler.

Bien sûr, on pourra se parler à soi-même, un moment,

Tenir un journal, voire le documenter par des photos

À quoi bon si l’on sait que cela disparaitra avec soi,

Qu’il n’y a ni moindre témoignage ni transmission.

.

Histoire de Robinson et Vendredi reste instructive

À ce point  mais demeure, quelque peu, irréaliste,

Mis à part le fait que Robinson  tient à inculquer

À Vendredi les bienfaits de sa  propre  éducation

En espérant qu’il lui survivra, pourra témoigner

D’être passé de l’état sauvage vers l’état civilisé.

Le monde à l’envers tout de même si l’inverse !

.

Ce n’est pas tant que, quelqu’un, en particulier, nommément,

Ait besoin de quelqu’un que tous, cela sans exception aucune.

Petit, on a besoin de grands mais grands tout autant de petits.

C’est ainsi en la communauté et ça s’appelle : «vivre ensemble»

Et qui compense, un tant soit peu, l’individualisme et l’égoïsme.

Aider quelqu’un ce n’est pas forcément donner ou rendre service,

Ça peut être simplement être là, disponible, pour l’écouter parler.

.

Avoir besoin de quelqu’un serait souvent

Synonyme de quelqu’un a besoin de moi.

.

Un besoin de compagnie… d’attachement,

N’est pas même chose qu’un besoin d’aide.

.

Mais le besoin d’être reconnu par quelqu’un

Est un besoin fondamental de l’être humain.

.

On ne peut vivre seul, même dans un réseau,

Amis Facebook  n’auront pas besoin de vous !

.

C’est lors on est dans le besoin, comme on dit,

Qu’on trouve ou non quelqu’un pour nous aider.

.

.

Épilogue

.

Avoir besoin de : on en a tous,

Non pas que de quelque chose,

Mais tout autant de quelqu’un,

Pour nous aider, tenir la main !

***

Et réciproquement car une aide

Appelle une autre, ainsi de suite,

Et ainsi se crée, renforce les liens,

Et se créera de nouveaux besoins.

***

La première aide qui vient en tête :

La mère, c’est sûr, inconditionnelle,

Suivie du père, de la fratrie, famille,

Et après, on contacte les vrais amis.

***

Être dans le besoin est bien différent

Il s’agit de nourritures, ou vêtements

S’adresser aux organismes de charité

Ou à défaut, d’aller jusqu’à  mendier !

***

Besoin d’écrire, de peindre, de danser :

Non à moins de les assimiler aux loisirs

Besoin de rêver  de penser ou de croire :

Non, à moins les assimiler à spiritualité.

***

Pour quelque raison, si vous avez besoin,

Désir, de moi, j’ai autant besoin de vous :

Je n’écris pas que pour moi en un journal,

Partage est besoin qui deviendra convivial.

***

On pense convivial, on pense tire-bouchon

et il y a toujours une bouteille pour la fêter.

On a plus besoin de partager que de saouler

après on a besoin de quelqu’un pour arrêter.

.

.

782 – Calligramme

.

QUI N’A

Avoir besoin

De quelqu’un,

Pour un secours

C’est  banal,  c’est

Normal, c’est fatal !

Pour satisfaire nombre……………… besoins quotidiens,

Éduquer, aider à grandir……….….. jusqu’à son autonomie

Plus complète jusqu’à …………… faire de lui un affranchi :

C’est banal, c’est nor……………… mal, c’est même fatal !

JAMAIS EU

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

Un jour ……… découvrir

Tout autre……..  amour

Que celui…….. parents,

Sa famille……. ses amis

C’est normal… et fatal !

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’un …….. pour

Lui tenir la………. main,

Les jours de… détresse,

Les jours de désamour,

Ou profond … chagrin !

BESOIN DE

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’un ……… pour

L’aider à……….. vaincre

Sa peur, ima…. ginaire,

Réelle, en lui…. autour,

Et l’en con…….vaincre !

Qui  n’a  jamais eu  besoin

De quelqu’…..…un pour

L’aider……..….à grandir

Lors dom….… iné senti,

Révolté………. à rebours

De se l’……….interdire !

QUELQU’UN !

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

De quelqu’……..un pour

Lécher ………ses pleurs,

Coulant …….de ses yeux

Parfois au… grand jour

Sinon à……..l’intérieur !

Qui  n’a  jamais  eu  besoin

 De quelqu’………..un pour

Pour le his…… ser haut,

Au-delà de ce qu’il est

Point de non-retour

À se subli

Mer

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

782 4

.

Une croix en haut,

Une vis sans fin en bas :

Ou  bien  tire-bouchon 

Pour la fête des mères

.

La bouteille, le bouchon, le vin : ne pas oublier  

Le tire-bouchon.

Le champagne pour célébrer la fête  des mères,

Reste belle occasion

.

Symbolique 

 .

XVIIe siècle, apparait le tire-bouchon.

Il est contemporain de l’invention

De la bouteille dite « moderne ».

Déboucher un une bouteille

Aurait, d’emblée, nécessité

L’invention d’un outil spécifique

Et ainsi  le tire-bouchon était né !

.

Objet précieux, et voire aristocratique,

À l’origine, le tire-bouchon est vite devenu

Un symbole de bien-vivre et de partage,

En Angleterre et en France d’abord

Pour se démocratiser et devenir

Universel, et devenant de ce fait

Magnifique objet de collection !

Source : club-francais-du-tire-bouchon

.

782 – Qui n’a jamais eu besoin de quelqu’un !

  Alignement central  / Titre  intercalé  / Thème  famille

Forme droite    /  Rimes égales   /    Fond éloigné de forme

Symbole de forme : tire-bouchon / Symbole de fond : fête-mères

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

La bouteille, le bouchon, le vin : ne pas oublier  

Le tire-bouchon.

Le champagne pour célébrer la fête des mères,

Reste belle occasion

.

Symbolique 

 .

 XVIe siècle,  les Anglais fêtent  « Mothering Sunday »

Et les Américains, le « Mother’s Day »  au XXe siècle.

En France, à Lyon, en 1918  que la première journée

Des mères est instaurée en vue de rendre hommage

Aux mères et aux épouses, qui ont perdu leurs fils,

Ou mari,  pendant  la Première Guerre Mondiale.

.

Elle a été  propagée  par  les soldats  américains.

Et,  le maréchal Pétain,  le 25 mai 1941,  inscrivit

Journée nationale des mères    dans le calendrier.

Fête des mères aura été, officiellement, instaurée

Après la Seconde Guerre Mondiale par Vincent Auriol

Président de la République,  avec la loi du 24 mai 1950 !

laposte.fr/fete-des-meres

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Fête des mères, fête des pères,

Voire fête des grands-parents :

En somme trois fêtes de famille

Et ceux qui n’en ont pas ou plus,

Que peuvent-ils  bien  fêter, eux !

Pour certains leur groupe d ‘amis

Comptent bien plus que la famille,

Surtout pour couples lors divorces

Besoin de se refonder, reconstruire

Avec quelqu’un(e) sur qui compter.

 .

.

Mères se succèdent : matriochka

 .

Scénario

.

Pour se sortir d’une affaire, quel qu’elle soit,

pour s’interroger sur tout et avoir des réponses,

pour se faire conseiller sur son avenir, opportunités !

 .

Visuels et textuels >>  

781 – Parents et enfants : nature d’attachements

Visuels et textuels >>

.

Les enfants s’attachent aux parents

Naturellement et réciproquement

Les enfants en sont  dépendants,

Les parents en sont répondants.

.

Vient moment où les premiers

Quittent le second  et se font

Autres nouvelles, amitiés,

Bientôt, conjoints seront.

.

Liens familiaux, fraternels,

Comme le socle, demeurent

De leur histoire  personnelle,

 Ce, jusqu’à  ce qu’ils  meurent.

.

Entre les parents et les enfants,

Nature différente d’attachement,

Tant déjà chacun d’eux est unique,

En sentiments, émotions pudiques.

.

Nos mères, nos pères… vieillissants,

Meurent chacun …  prématurément,

Tandis que les enfants, grandissants,

Pacsés, ou, mariés : font  des enfants.

.

Ainsi va la vie et ainsi vont les choses,

 Vie de parents n’est pas toujours rose,

L’avenir de leurs enfants ne se … pose

Pour autant, en termes d’apothéoses !

.

La cellule familiale est ce noyau…vital,

Demeurant au-delà des torts et heurts,

Lien inconditionnel, ou, garant moral,

Affectif, historique, social … bonheur !

.

Les amis, ça va, ça vient, dit un dicton,

Bien que certains soient devenus anciens

De vieux à jeunes, problème de génération

Car ami est quelqu’un qui vous fait du bien.

  .

Or, le conjoint est bien plus qu’un témoin,

De votre vie quotidienne parfois chienne,

Un conjoint est le seul qui prenne soin

De vous et le seul qui comprenne

Qu’il faut bien vous retenir

De le fuir, trop loin,

À tire d’ailes,

Ou de lui,

D’elle

V

.

.

Extensions

 .

Enfants s’attachent aux parents

Qui les aiment naturellement

Et ils en sont dépendants

Jusqu’à autonomie complète.

.

C’est à travers les petits enfants

Que les liens se renouent s’ils auront

Été distendus pendant un bon moment.

Les  parents  tiennent  à leurs  enfants

Comme  à la  prunelle de  leurs  yeux.

.

Perdre un est malheur les rendant

Inconsolable alors qu’enfants

Savent que les parents

Mourront avant eux.

Ça n’empêche pas de garder

Le souvenir de ce qu’ils ont été.

.

Quand les parents affichent une

Préférence pour un enfant, ça finit

Par poser problèmes de jalousie en la fratrie :

« T’as toujours été le chouchou, t’as toujours tout eu

Et nous rien, le minimum et te faire hériter de tout ».

.

L’attachement de l’enfant aux parents est de nature animale

L’inverse est accompagné de condition, pression, sociétales :

L’enfant n’a de responsabilité vis-à-vis de ses propres parents

Les parents ont des obligations, des devoirs … des injonctions

L’enfant est autant une transmission d’affection

Pas que génétique : je redonne ce que j’ai reçu !

C’est simple comme bonjour, ça marche toujours

Un jour ce sera peut-être le contraire : parents pris en charge

Par enfants pour accompagner, à leur tour, leurs vieux jours.

.

Intergénérationnel ne se limiterait pas

Famille, enfant, parents, grands-parents

Bon nombre de liens intergénérationnels

Ne sont d’ordre d’un attachement affectif

Mais plutôt : social, économique, culturel,

Par la solidarité et la transmission savoirs.

.

L’attachement est considéré en des cultures

Comme un droit, un devoir, une obligation :

On pense, naturellement, aux pays du Japon.

Le respect des aînés est une valeur très ancrée

 Dans la culture, dans le quotidien des Japonais,

Bien plus qu’en Occident … plus individualiste.

.

.

781 – Calligramme 

 .

Les enfants s’attachent aux parents

Naturellement et réciproquement

Les enfants en sont  dépendants,

Les parents en sont répondants

Vient moment où les premiers

Quittent le second  et se font

Autres nouvelles, amitiés,

Bientôt, conjoints seront.

PARENTS,

Liens familiaux, fraternels,

Comme le socle, demeurent

De leur histoire  personnelle,

 Ce, jusqu’à  ce qu’ils  meurent.

Entre les parents et les enfants,

Nature différente d’attachement,

Tant déjà chacun d’eux est unique,

En sentiments, émotions pudiques.

ENFANTS 

Nos mères, nos pères… vieillissants,

Meurent chacun …  prématurément,

Tandis que les enfants, grandissants,

Pacsés, ou, mariés : font  des enfants.

Ainsi va la vie et ainsi vont les choses,

 Vie de parents n’est pas toujours rose.

L’avenir de leurs enfants ne se … pose

Pour autant, en termes d’apothéoses !

NATURE

La cellule familiale est ce noyau…vital,

Demeurant au-delà des torts et heurts,

Lien inconditionnel, ou, garant moral,

Affectif, historique, social … bonheur !

Les amis, ça va, ça vient, dit un dicton,

Bien que certains soient devenus anciens

De vieux à jeunes, problème de génération

Car ami est quelqu’un qui vous fait du bien.

ATTACHEMENTS  

Or, le conjoint est bien plus qu’un témoin,

De votre vie quotidienne parfois chienne,

Un conjoint est le seul qui prenne soin

De vous et le seul qui comprenne

Qu’il faut bien vous retenir

De le fuir, trop loin,

À tire d’ailes,

Ou de lui,

D’elle

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

781 4

.

Une pointe de quelque chose

Une cravate, probablement,

Une cravate certainement 

Cadeau de fêtes de pères.

.

Cravate n’est pas signe de reconnaissance

Au sein d’une famille

C’est est fini d’offrir une belle cravate le jour

 De la fête des pères !

.

Symbolique

« Symbole d’autorité »,

Contrainte « ridicule ».

Pourquoi   la  cravate

N’est plus dans le coup.

Longtemps   considérée

Comme  un   accessoire

Indispensable dans  de

Nombreux       secteurs

Professionnels       afin

D’incarner  le  sérieux

 L’élégance, la cravate

Est,  de plus en plus,

Laissée au placard

Sauf, ringards.

« francetvinfo.fr/economie/tendances/

symbole-autorite-contrainte-ridicule

.

Descriptif

 .

781 – Parents, enfants : nature attachement 

  Alignement central  / Titre  intercalé  / Thème  famille

Forme droite   / Rimes égales  /    Fond éloigné de forme

Symbole de forme : cravate / Symbole de fond : fête-pères

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

781 6

.

Cravate n’est pas signe de reconnaissance

Au sein d’une famille

C’est est fini d’offrir une belle cravate le jour

 De la fête des pères !

.

Symbolique 

 

Début du xxe siècle, la première fête non religieuse voit le jour

États-Unis le 19 juin 1910, à l’initiative de Sonora Smart

Qui souhaitait qu’on rende hommage aux papas,

Au même titre que la Fête des mères.

.

Depuis ce jour, la fête des pères, se déroule

Le 3e dimanche de juin aux États-Unis.

En France la Fête des pères date de 1952

Est officialisée par un fabriquant de briquet,

Par Flaminaire, mais  à des fins commerciales.

.

La Fête des pères est fixée au 3e dimanche de juin

Comme aux États-Unis et cette tradition se poursuit

Encore aujourd’hui mais avec bien d’autres cadeaux.

laposte.fr/fete-des-peres

 

 

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

L’attachement entre parent et enfant

Nous parait n’être qu’un fait de nature

Or il intègre autant de faits de cultures

Tout comme réciprocité de générations,

Je t’ai donné sans compter, maintenant

C’est toi qui prend soin de moi : normal.

On le sent bien  on le voit, on le pratique

Lors des fêtes de famille et anniversaires

Tant des petits enfants que grand-mères,

En sus de jour de la fête des pères, mères.

 .

.

Meilleur papa qui soit !

.

Scénario

.

Parent-enfant : l’importance et la différence de la main !

Parent-enfant : l’importance  et la différence du baiser !

Parent-enfant : l’importance et différence de protéger !

 .

Visuels et textuels >>

780 – Fête de famille, conviviale, comme vitale !

Visuels et textuels  >>

.

Une famille est une communauté

Liée  par les liens, du sang, hérédité,

Mais cela ne suffit plus pour constituer

Une famille liée en plus en lien d’amitié.

De nos jours, on appelle cela convivialité

Et cela se vérifie à chaque fête de famille

Dans certaines, tout se passe à merveille

Dans d’autres, conflit à nul autre pareil

Les enfants jouent comme entre amis,

Les enfants se narguent en ennemis :

Ils ne font que copier leurs parents

Manque d’amour viscéralement.

.

Fête

De famille

Con-vi-viale !

Le noyau familial,

Considéré comme vital,

Nous  rend plus  qu’animal,

Mais très loin d’être cannibales.

.

Fête de famille : qui  ne connaît pas,

Elle sert à rassembler enfants, parents,

Parfois trois, six voire douze petits-enfants

C’est grâce  à elle, que nous sommes en vie là.

Élever ses enfants, il est vrai, c’est bien fatigant,

Mais recevoir ses petits-enfants, sera plus reposant,

Jouer avec eux comme des  complices, en leurs tours,

Est, toujours, très riche, d’un amour,  et au grand jour.

.

C’est mieux de vivre en famille que seul,

L’on devient plus vite vieux sans enfants :

Tant ces derniers vous rajeunissent d’autant

Qu’ils vous retiennent vivants, hors du linceul.

Même si sa propre famille, on ne l’a pas choisie,

Elle ne sera pas que de sang, sera autant d’amour,

Lors même bien vrai qu’il arrive qu’on la reproduit,

Bonne ou mauvaise et ce serait à chacun a son tour.

.

Une fête de famille serait

Moment  de  convivialité,

Car c’est là où l’on se sent

Soi-même en toute vérité.

Il y en a tournant  à l’aigre

 Quand d’autres   à vinaigre,

Et la majorité    vous garde,

Longtemps,      vous intègre.

.

.

Extensions

 .

Fête

De famille,

Conviviale, vitale :

C’est plus qu’un rite,

C’est un  besoin  normal,

Besoin animal de se prouver

Qu’on est bien de la même racine.

.

Certains  sont très attachés, lorsque

D’autres y sont par politesse, obligation,

Jusqu’au jour où une naissance, un mariage

Ou un deuil les rendent soudain plus concernés.

.

Secret de famille, règlement de compte, captation

D’héritage : on trouve de tout dans toute une famille,

Sans compter  inceste et homicide, parricide, chacun,

.

Y trouve, y modifie, y conteste,  voire y rejette sa place.

Du patriarche au dernier né, se perpétue comme  lignée

De ceux qui bénéficient ou non célébrité, honorabilité.

.

L’histoire de notre famille est verticale, et unifiée,

Celle ses amis, horizontale et plus diversifiée.

Une forte convivialité rejoindrait les deux,

Bien que chacun vivra mais de son côté.

.

À l’apéritif, c’est la joie arrosée des retrouvailles

Entre la poire et le fromage, c’est déjà la canaille,

Et après café ou  digestif : ouille, ouille, ouille, aie !

Il n’y  a pas que cravate et veste qu’on laisse tomber,

Sa dignité aussi, les chaises rendues à moitié cassées.

.

Convivialité n’est pas liée qu’à la famille,

Les amis, voisins, et les collègues autant,

Si ce n’est avec gens que l’on rencontre :

 Ce qui a ambiance similaire  à ambiance

Chaleureuse des repas pris en commun.

.

Y a des familles ou moments en famille,

Où  l’ambiance  n’y sera, vraiment, pas :

Où conflits, disputes, invectives, éclatent

Et parfois même se terminent en pugilat,

L’alcool, la jalousie, voire l’hystérie  aidant.

.

Ce qui  n’est pas encore arrivé dans la nôtre,

Et que je n’espère pas mais je touche du bois !

.

.

780 – Calligramme   

 .

Une famille est une communauté

Liée  par les liens, du sang, hérédité,

Mais cela ne suffit plus pour constituer

Une famille liée en plus en lien d’amitié.

De nos jours, on appelle cela convivialité

Et cela se vérifie à chaque fête de famille

Dans certaines, tout se passe à merveille

Dans d’autres, conflit à nul autre pareil

Les enfants jouent comme entre amis,

Les enfants se narguent en ennemis :

Ils ne font que copier leurs parents

Manque d’amour viscéralement.

.

****************************

***********************

.

Fête

De famille

Con-   vi-   viale !

Le noyau fa F      milial,

Considéré com Ê        me vital,

Nous rend  plus  T         qu’animal

Et très loin d’être   E      un cannibale.

   *

Fête de famille : qui  F       ne connaît pas,

Elle sert à rassembler A       enfants, parents,

Parfois trois, six voire   M    douze petits-enfants

C’est grâce  à elle, que     I        sommes,  en vie,  là.

Élever ses enfants, il est    L       vrai est bien fatigant,

Mais recevoir ses petits-en  L     fants, est plus reposant,

Jouer avec eux comme des    E     complices, en leurs tours,

Est toujours très riche, d’un    *     amour,     et au grand jour.

C     

C’est mieux de vivre   O    en famille que seul,

L’on devient plus vite   N      vieux sans enfants :

Tant ces derniers vous    V     rajeunissent d’autant

Qu’ils vous retiennent       I      vivant hors du linceul.

Même si propre famille      V          on ne l’a pas choisie,

Elle ne sera pas que de         I        sang, elle sera d’amour,

Lors bien même vrai que       A          parfois on la reproduit,

Bonne ou mauvaise et ce          L        sera à chacun a son tour !

E

Une fête de famille serait

Moment  de  convivialité,

Car c’est là où l’on se sent

Soi-même en toute vérité.

Il y en a tournant  à l’aigre

 Quand d’autres   à vinaigre,

Et la majorité    vous garde,

Longtemps,      vous intègre.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

780 4

.

Une boule au sommet d’un cône,

Une flèche atteignant cœur de cible

Ressemble à sapin probablement,

Sapin de Noël avec cadeaux

.

Sapin de Noël et cadeaux,

iront bien avec la famille,

c’est la fête d’elle-même :

la forme épouse le fond.

.

Qu’est-ce qui évoque la convivialité plus

Que sapin de Noël :

C’est autour de lui que se réunit toute

La famille, pour cadeaux

.

Symbolique

 

Le

Sapin

Dit   de   Noël

Trouve bien son origine

Dans les religions païennes

Qui ont précédé le christianisme.

Ce qui ne serait guère surprenant,

Tant la date de la Nativité du Christ

A  été choisie  de manière  à supplanter

Toutes fêtes païennes du solstice  d’hiver !

croire.la-croix.com/Definitions/Fetes-religieuses/Noel

.

Descriptif

 .

780 – Fête de famille : conviviale, vitale   

  Alignement central  / Titre  droit  / Thème  famille

Forme conique   / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : sapin-Noël / Symbole de fond : cadeaux

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

780 6

.

Qu’est-ce qui évoque la convivialité plus

Que sapin de Noël :

C’est autour de lui que se réunit toute

La famille, avec cadeaux.

.

Symbolique 

.

Si on prend cas particulier de Noël,

On peut comprendre que la dimension

Ultra-consumériste de cette fête, abondance

De cadeaux que l’on étalera au pied du sapin,

Tout cela soit devenu, pour certains, écœurant.

.

Possibles que ceux-là soient peut-être mus par

Convictions politico-économico-écologiques,

En tout cas, ils sont sans doute en attente

D’un mouvement de don,  d’un cadeau

Qui soit plus naturel,  plus spontané,

Moins  « obligé ». Au fond, un cadeau

Qui soit plus affectif, finalement,

Alors même que cette façon

Qu’ils ont de refuser ce jeu

De l’offre et de l’accueil du cadeau

Les ferait passer pour des goujats !

francetvinfo.fr/replay-radio/modes-de-vie/

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La famille ce sont les liens du sang

Héritage génétique forme l’hérédité

À moins qu’ils ne deviennent du sol,

Par immigrations, rapprochements,

Créant ainsi diverses communautés,

Qui vivent en harmonie convivialité

Formant des mixages des origines

Qui enrichissent notre humanité.

.

.

Fête doyenne familiale

.

 .

Scénario

.

Une famille d’aujourd’hui face à face lors d’une fête.

Une famille d’autrefois réunie autour d’un bon repas.

Caricature de règlement de compte, bataille familiale.

 .

Visuels et textuels  >>

779 – Une famille est toujours un beau cadeau

Visuels et textuels >>

.

Sa  famille  est  un  cadeau

Merveilleux  selon  certains,

Empoisonné  selon d’autres :

C’est selon comme on l’a vécu

.

Ceci reste vrai, en toute société

Et cela depuis la nuit des temps,

Comme pilier  de sa personnalité,

Comme  repaire   à  se  ressourcer.

.

L’on y règlera des fois  ses comptes,

Mais, toujours,  l’on restera  attaché.

La confiance, en  elle, sera  viscérale,

Et lors, des plus difficiles à extirper !

.

Une famille est toujours un beau cadeau,

Faut dire, sans elle, nous serions orphelin

Parfois,  c’est autan t un mal pour   un bien,

Quand, de ses gènes, on porte tous fardeaux.

.

Famille et belle-famille, un fameux distinguo

Quand l’une est en bas, qu’autre est   en haut,

Dans l’une, il se passe une chose, l’autre, rien,

L’on passera son  temps à se réunir, et en vain.

.

Pièce rapportée dit-on, de beau-fils, de belle-fille,

Qui mettront parfois dix ans pour se faire adopter

Par l’autre,  la  belle, l’étrangère,   l’étrange famille

Lors petits-enfants seront membres accueillis, nés.

.

« Famille, je vous hais », aurait écrit   Gide André,

Beau cri d’amour, faut croire qu’elle lui a manqué,

C’est pourtant la seule  structure  hors  l’inimitié

S’engueulant,  mais s’aimant toujours d’éternité.

.

Pourquoi  celui  qui  n’en  a  pas,  la  réclame,

Que celui qui en a  plus   d’une   proclame

Qu’il s’en serait bien passé,  en envier

Celle d’un troisième plus idéalisée.

.

.

Extensions

 .

Famille est toujours beau cadeau :

Quoiqu’on dise et quoiqu’on fasse,

On y revient toujours, la première

Question qu’on pose à l’être seul :

Est-ce que vous avez une famille !

.

Tant c’est la seule cellule qui vous

Accompagne jusqu’en fin de la vie :

Tout peut changer, tout peut bouger,

Tout peut vous rejeter, disparaitre autour,

Elle reste là, sur son rocher comme incontesté.

.

On peut en être fier  ou tout le contraire, lui faire

Porter le chapeau de nos maux ou la bénir de nos florilèges

De mots mais on ne peut lui être indifférente, même orphelin.

Une famille  peut manquer à l’un, pour le faire respirer, grandir,

S’épanouir comme elle peut étouffer l’autre par trop de sollicitude,

De protection ou d’être taxé d’ingratitude.

.

La famille peut être reconstituée avec des amis

Qui forment une communauté basée sur plusieurs générations :

On parle alors de famille d’accueil, de cœur, de choix, de solidarité.

La famille, en somme est un mixte des deux : un choix en

Relations de confiance en interne, autre externe, à égalité.

.

La photo de famille est celle de la famille unie, idéale

Tout le monde fait d son mieux pour paraître heureux

Et ce encore plus  dans la  plus haute famille d’un État.

Derrière elle, il y a moult définitions, réalités familiales

Qui font parfois tache  dans les solidarités présumées,

Le chacun pour soi et les jalousies voire vengeances

Font délices des repas de familles avec violence

L’unité de surface de la famille vole en éclats

Y a plus personne pour réparer dégâts.

.

Mono parentale ou duo, une famille,

Est constituée au moins d’un parent

Et d’un enfant, ou reconnu, adopté,

Vivant sous le même toit, ou non !

.

 À l’autre bout de la petite chaine,

Vous avez parfois la très grande,

Celle des cousins… des cousins,

À la mode appelée de Bretagne

.

Et  moi, j’ai eu  quatre enfants,

Six petits enfants de 22 à 4 ans

Mes deux sœurs, trois chacune,

Cinq  plus  trois   petits-enfants,

 Et  si j’ajoute aussi  les conjoints,

De mon côté, famille de dix-huit !

.

.

Épilogue

.

La famille, mais qu’est-ce que c’est vraiment

Ce n’est pas celle de la Mafia … heureusement,

C’est la cellule nucléaire, de base, nommément,

Étant la seule existante depuis la nuit des temps

Plus petite cellule comporte un parent, un enfant,

La plupart du temps : deux parents, deux enfants,

Il y en a qui établissent des records, vingt enfants,

Et d’autres qui l’élargissent, demi-frères et sœurs.

Et il s’en passe des choses dans toutes les familles.

Il y en a  qui gardent, en terre, leurs petits secrets.

J’aurai connu des pugilats durant fêtes de famille,

Mais je n’aurais renié la mienne,  quoiqu’il arrive.

La famille est ce qui reste quand on a tout perdu,

Son emploi, sa maison, et  voire même, ses amis,

Combien s’en seront allés puis s’en sont revenus

Nulle part ailleurs où aller, ni gens à qui parler.

Les orphelins se fondent u ne nouvelle famille

Avec des personnes ressources  qu’ils aiment,

Et ainsi la confiance revient après l’abandon,

Il y en a aussi qui filent un mauvais chemin.

.

.

779 – Calligramme 

 .

Sa  famille  est  un  cadeau

Merveilleux  selon  certains,

Empoisonné  selon d’autres :

C’est selon comme on l’a vécu

.

Ceci reste vrai, en toute société

Et cela depuis la nuit des temps,

Comme pilier  de sa personnalité,

Comme  repaire   à  se  ressourcer.

.

L’on y règlera des fois  ses comptes,

Mais, toujours,  l’on restera  attaché.

La confiance, en  elle, sera  viscérale,

Et lors, des plus difficiles à extirper !

.

Une famille  * est toujours un beau  *    cadeau

Faut dire  U   sans elle nous serions    U   orphelin

Parfois,    N    c’est autant un mal pour  N    un bien,

Quand       E    de ses gènes, l’on porte le    *     fardeau.

Famille,       *     belle-famille, un fameux    B   distinguo

Quand l’une      F  est en bas, qu’autre est    E      en haut,

Dans l’une, il se   A      passe chose, autre,     A             rien,

L’on passera son     M      temps à réunir,     U         en vain.

Pièce rapportée dit-   I      on de beau-fils     *   de belle-fille,

Qui mettront parfois  L     dix ans pour     C se faire adopter

Par l’autre,  la  belle,   L      l’étrangère,      A  étrange famille

Petits-enfants  sont    E      membres        D   accueillis nés.

Famille, je vous hais  *     aurait écrit       E     Gide André,

Beau cri d’amour   E     sûr, elle lui        A     a manqué,

Car c’est la seule  S  structure  hors     U     l’inimitié

S’engueulant,    T s’aimant toujours  * d’éternité.

Pourquoi  celui  qui  n’en  a  pas,  la  réclame,

Que celui qui en a  plus   d’une   proclame

Qu’il s’en serait bien passé,  en envier

Celle d’un troisième plus idéalisée.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

779 4

.

Un flacon quelconque

Pour  y   mettre   une

 Famille  de   liquides

En même solidarités.

.

Une famille est une concentration

De personnes  diverses

Et qui forme aussi un noyau sacré

De vraies solidarités.

.

Symbolique 

.

Famille refuge,

Famille prison, sans-famille.

La famille est partout dans notre vie,

Qu’elle soit présente ou non en réalité.

.

Dans le monde interne de l’enfant

Apparaît  la  mère  puis  le père

Puis le  frère  ou  la sœur  puis

Les grands-parents et toutes

Représentations ultérieures

Seront issues  de ce monde

Intérieur appelé familial.

.

En famille, on revit des

Moments  de sa vie où

Accords et désaccords

Se  seront re produits.

Famille rêvée ou regret

Qu’elle ne le soit pas dans la réalité ?

.

Descriptif

 .

779 – Une famille est un beau cadeau 

  Alignement central / Titre  dédoublé  / Thème  famille

Forme ovale / Rimes égales   /  Fond approché de forme

Symbole de forme : famille  / Symbole de fond : famille

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

779 6

.

Une famille est une concentration

De personnes  diverses

Et qui forme aussi un noyau sacré

De vraies solidarités.

.

Symbolique 

 .

La photo de famille :

On projette sur elle une imagerie

Stéréotypée (la famille nucléaire),

Des imaginaires (des identités et

Des rôles   quant  aux figures

Parentales    et    maternelle

Et paternelle, une certaine

Façon  de tisser  des liens,

De  les  raconter et  de  les

Instituer dans des postures.

Source : cairn.info/revue-le-

divan-familial-2010-1-page-167.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une famille est un beau cadeau.

Merci du cadeau disent certains.

La mienne, je m’en passerais bien,

Pour bien choisir  celle qu’il me faut 

Le problème, c’est que,  pour un ado,

Aucune, de connue,   ne  lui convient,

Mais, devenu  adulte, il y  …  revient.

Quand on aura   un gros problème,

Vos amis, parfois,  se défausseront

Ne subsistera que noyau familial

Qui répondra souvent présent.

En liens du sang ou du cœur

Ou bien les deux en chœur.

.

.

Enfants, parents, grands-parents

.

Scénario

.

Un père, une mère et quatre grands enfants.

Sa constellation s’étend aux neveux, cousins, etc.

Un modèle de famille heureuse, en Outre-Atlantique.

 .

Visuels et textuels >>