754 – En pente douce, je sombre en ma folie !

Visuels et textuels  >>

.

Mais d’abord,

Qu’est la folie

Dé-règle-ment

De  normalité,

Mais qu’est-ce

La  normalité ?

Si,  pas pareil,

Ailleurs qu’ici,

Toutes     folies

Nous guettent

Mais ne nous …

Détruiront pas ;

Celles  d’amour

Se  … guérissent.

.

Pas  mortelle  maladie,

Créant danger corps  esprit.

État amoureux est état second

On perd la tête,  devient abscons,

Mais retour à l’état de départ facile

Dès partenaire a décliné : non, merci,

On n’entre plus avec lui en amour folie.

.

En pente douce,  je sombre  en  ma folie,

La folie me guette, une folie qui me jette,

En des bras inconnus  lors je serais … nue.

Que vais-je devenir, et, que suis-je devenu :

Je suis devenu ce vaurien qui voudrait tout,

Et poursuis comme bon à rien vaudrait tout.

.

Si je ne vous vaux rien,  ne peux rien pour vous

Sauf à vous prévenir  que  folie est aussi en vous.

La même  et différente,  plus calme, plus violente

Si votre  raison  n’est plus seul maitre   des lieux,

Ce n’est jamais raison qui nous mène  aux cieux

Je ne  sais que résoudre les affaires  courantes.

.

Et en pente douce, je sombre en la  folie

Venez  m’y rejoindre et vous serez  ravi,

Notre rencontre sera l’occasion : merci,

Si une même passion vous anime aussi.

.

Je tourne et retourne mot … lie  et…folie.

Il n’est pas faux qu’ils  soient lié … amis.

Au point de partager,  parfois, même lits,

Et l’y faudra voir tout  ce qu’ils y ont mis.

.

.

Extensions

 .

En pente douce, je sombre en ma folie.

Folie douce en pente raide, descente

Toujours vers toi qui te sers de moi

Et seulement pour ton seul plaisir,

Afin de jouir du moment présent.

.

Tandis que je me découvre et

Me livre et entièrement à toi,

Tu sembles ailleurs, je ne sais où

Me rends fou de ne savoir comment

M’y prendre pour tu m’aimes vraiment.

.

Ce n’est pas tant qu’on ne se rencontre pas

Qui me rend fou : c’est le manque de passion,

De sentiment, attachement de ta part comme si

Faire l’amour pour toi n’était qu’un acte réflexe

Se déclenchant au contact de mon corps nu.

.

Que vais-je devenir si l’amour s’en va,

Que suis-je devenu lors amour n’est plus :

Ton ombre qui te suis comme un chien suit,

Son maitre, ta soubrette qui te sert à manger,

Ton esclave qui se soumet à tes fantasmes !

.

L’amour est maladie … l’amour est folie,

Peut-être, mais, qui s’attrape, se vit, au

Même degré et se soigne à deux, sinon.

.

Folie furieuse est comme coup de tonnerre ;

Folie douce, comme une pluie d’atmosphères ;

Folie amoureuse est comme un coup de foudre ;

Folie math comme un gros problème  à résoudre.

Folie bergère est  un abandon  des blancs moutons.

Moi, je me situe entre folie douce  et raide normalité,

N’ai peur que  d’une chose : mon cœur  cesse d’aimer !

.

Je sais que c’est une folie mais je l’aime,

Comprends-tu, n’as-tu jamais toi-même !

On croirait entendre le discours d’une fille

À son père n’acceptant son choix irrationnel

.

C’est là qu’amour passionnel sombre en folie,

Lors on veut prouver à l’autre son choix défini,

Alors que tous les signaux connus sont au rouge

Et que quoiqu’on dise, qu’on fasse, rien de bouge.

.

.

754 – Calligramme   

 .

Mais d’abord,

Qu’est la folie

Dé-règle-ment

De  normalité,

Mais qu’est-ce

 La  normalité ?

Si,  pas pareil,

Ailleurs qu’ici,

Toutes     folies

Nous guettent

Mais ne nous …

 Détruiront pas ;

Celles  d’amour

Se  … guérissent.

.

Pas  mortelle  maladie,

Créant danger corps  esprit.

État amoureux est état second

On perd la tête,  devient abscons,

Mais retour à l’état de départ facile

Dès partenaire  a décliné : non, merci,

On n’entre plus, avec lui, en amour folie.

.

En pente douce  * je sombre  *      en ma folie,

La folie me    E      guette, folie  S     qui me jette,

En des bras  N        inconnus lors   O   je serais…nue.

 Que vais-je    *        devenir et que       M    suis-je devenu

  Et je suis de   P           venu ce vaurien      B  qui voudrait tout

  Je poursuis    E          comme bon à rien       R qui vaudrait tout.

Si je ne vous N         vaux rien,  je ne peux       E    rien pour vous

Sauf à vous  T           prévenir  que  folie est       *     aussi en vous.

La même,  E            et différente,  plus calme,    E  plus violente

Si votre    *          raison n’est plus seul maitre   N     des lieux.

Ce n’est  D        jamais raison qui nous mène    *   aux cieux

  Je ne     O      sais que résoudre les affaires     F  courantes

Et en    U    pente douce, je sombre en la    O       folie

Venez  C    m’y rejoindre et vous serez     L     ravi.

Notre   E  rencontre sera l’occasion,    I  merci,

Si une même passion vous anime E   aussi.

.

Je tourne et retourne mot … lie  et …folie.

Il n’est pas faux qu’ils      soient liés … amis.

Au point de partager,           parfois, même lits,

Et l’y faudra voir tout                 ce qu’ils y ont mis.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

754 4

.

Récipient ancien

Entre vase et fiole

 Cornue  pour folie,

Avec quelle potion ?

.

Folie, potion, vont bien ensemble

Grain de folie en est petite portion,

pour autant chimie ne l’explique pas

mais la forme l’évoque pour son fond.

.

Cette potion servira à augmenter,

Ou à  diminuer la folie :

Mais il arrive que la folie vienne,

Toute seule, de l’intérieur.

.

Symbolique 

.

Potion magique est breuvage imaginaire

Qui donne une force surhumaine à quiconque

La boit dans l’univers d’Astérix,  série de bande

Dessinée créée par René Goscinny, Albert Uderzo.

C’est aussi le nom donné dans le langage populaire,

Aux produits dopants  utilisés par  les sportifs.  Wiki.

.

Connaître  les vertus médicinales  des  plantes,  c’était,

De tout temps, et chez tous les peuples, de disposer  d’un

Pouvoir totalement inaccessible au commun des mortels.

.

L’imaginaire collectif a eu tôt fait d’assimiler aux sorciers

Qui possédait ce savoir ancestral, est capable de préparer

Tisanes, préparations préventives, curatives, purifiantes.

gerbeaud.com/jardin/decouverte/plantes-magiques-sorcellerie

.

Descriptif

 .

754 – En pente douce, je sombre en la folie  

  Alignement central  /  Titre  droit cercle  / Thème  rêve

Forme en ovale / Rimes égales / Fond  approché de forme

Symbole de forme : potion    /   Symbole de fond : folie

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

754 6

.

Cette potion servira à augmenter,

Ou à  diminuer la folie :

Mais il arrive que la folie vienne,

Toute seule, de l’intérieur.

.

Symbolique 

 .

Selon le contexte, les époques et les milieux,

La folie peut désigner ou la perte de la raison

Ou du sens commun, le contraire de la sagesse,

La violation de normes sociales,

Une posture marginale, déviante

Ou anticonformiste, une impulsion soudaine,

Une forme d’idiotie, une passion ou une lubie,

Une obsession, ou une dépense.

.

Et  la  folie  peut être : passagère

Chronique, latente ou foudroyante,

Héréditaire, passagère  ou provoquée.

Elle  peut  être « guerrière »  ou qualifier

Un sentiment aussi fort que «l’amour fou».

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amour, comme chacun sait, et voit,

À une part intrinsèque de folie douce

Un amour raisonnable  et  raisonné,

Pose question quant à l’authenticité,

Paraitra calculé selon norme sociale,

Aucune pente ne viendra le perturber.

Mais  il y a tellement à dire, à son sujet,

Lors ce serait pure folie que de l’enfermer

En une définition admise de tout le monde,

Amour est bohème parfois jusqu’à l’extrême.

 .

.

Folie, A. Monsiau !

.

Scénario

 .

Folie de me sentir sous ta coupe, sous ta houppe,  sous ta croupe.

Folie  de mon enlèvement : mon attachement voulu  et  non forcé !

Folie de penser que seule la mort pourrait nous séparer : statufiés !

 .

Visuels et textuels  >>

753 – Si un jour, tu osais m’aimer, je te ferais !

Visuels et textuels  >>

.

Les promesses n’engagent

Que ceux  qui les écoutent.

Ce qui est vrai en politique,

Est-il autant pour le couple.

Si ceci, cela : vrai pour tout ;

On n’en vient jamais au bout.

Si tu oses, si tu osais… oserais,

Je te fais, je te ferai, je te ferais.

.

Si,  un  jour, tu  osais  m’aimer,

Je te ferais  histoires  et poésies,

Chansons  de   ma  composition,

Pour combler  ton ennui profond

Je serais pour toi, puits sans fond

De ta passion  de ton imagination.

.

Si, un, jour, tu osais  accompagnée,

Je te ferais visiter des lieux, paysages,

Villes aux noms si riches et tranquilles.

Pour combler envie  d’être en toit en ile,

Je serais pour toi, un  guide sans tréfonds

Pénétrations d’intimes  en contemplations.

.

Si un jour, tu osais me suivre, en récréation,

Je te  ferais  retrouver   le  goût  de  l’enfance,

De ta production au lieu de ta consommation.

Pour combler la  question sens de ta révélation,

Étant pour toi comme pygmalion en hors classe

Et jusqu’à ce que tu me surpasses et t’en lasses.

.

Si ceci, si cela mais, les si, n’aiment pas les rais.

Comme chacun sait, chacun fait ce qu’il lui plait

Deux, si ne font pas des ouais : ils font des mais

Et si un jour, tu voulais, et que tu me dirais,

Peut-être,  tu m’aimerais, et je te ferais

Un enfant qui  nous ressemblerait.

.

Grammaire, quelque peu arrangée,

Que décline beaux parleurs patentés

Pour connaitre, authenticité, véracité

Le seul moyen  serait de les   …  piéger.

Piéger au présent, est toujours possible,

Mais  au  futur : totalement  impossible :

Il  faut,  alors,  parier  que   l’engagement,

Tiendra bout de temps, et voire longtemps.

.

.

Extensions

 .

Si, un jour, tu osais m’aimer,

Je te soutiendrais dans tes actions,

Je participerais, de mon mieux, à celles

Qui nous seront affectées, ou communes.

.

Pour équilibrer l’organisation des tâches

Et des charges du foyer, de l’éducation

De nos enfants, des loisirs, passions,

Je ne serai pas le seul juge pour

Prendre  toutes les décisions.

.

Si, un jour ! Il peut être aussi

Bien maintenant que demain.

Combien se projettent  dans un

Changement futur en le repoussant

Toujours à «plus tard, oui plus tard»

.

Ce qui n’aura pas  nécessité  d’attendre,

C’est d’en parler en termes d’immédiate

Possibilité, en fonction  de nos capacités

Et complémentarités d’œuvre commune.

.

Je ferais ceci, je ferais cela : dans un élan amoureux

On ferait n’importe quoi,

La liste s’allonge projet après projet,  simultanément

Comme un puzzle complet,

Tout en sachant qu’on ne fera peut-être rien, pas tout,

Qu’on n’ira pas jusqu’au bout.

De le promettre peut, des fois, amorcer un amour fou.

.

Si tu osais m’aimer je ferais

C’est un pacte, une promesse

Qui fonctionnera  à vide, faute

D’un partenaire,  pour l’écouter

Faute de l’autre, pour le négocier,

Faute d’être deux, pour l’accepter !

.

C’est devant le mur qu’on voit le maçon

En voilà bien un beau, un parfait dicton !

Pour promettre la Lune, il faut l’atteindre,

Si c’est le seul discours que l’on peut feindre,

Il y a pour le partenaire, beaucoup à craindre,

Un amour aussi exaspéré répare une déception.

.

.

753 – Calligramme  

 .

Les promesses n’engagent

Que ceux  qui les écoutent.

Ce qui est vrai en politique,

Est-il autant pour le couple.

Si ceci, cela : vrai pour tout ;

On n’en vient jamais au bout.

Si tu oses, si tu osais… oserais,

Je te fais, je te ferai, je te ferais.

.

Si,  un  jour, tu   osais  m’aimer,

Je te ferais  des histoires poésies,

Chansons de    S  ma composition,

Pour combler   I  ton ennui profond

Je serais pour   *  toi, puits sans fond

De ta passion    U de ton imagination.

Si, un, jour, tu    N  osais accompagnée,

Je te ferais visiter *    des lieux, paysages,

Villes aux noms si   J  riches et tranquilles.

Pour combler envie    O    d’être en toit en ile,

Je serais pour toi, un    U     guide sans tréfonds

Pénétrations d’intimes    R       en contemplations

Si un jour, tu osais me      *     suivre en récréation,

Je te ferais retrouver   *      le     *    goût de l’enfance,

De ta production   T   au lieu de   M ta consommation.

Pour combler la   U   question sens     ‘   de ta révélation,

Étant pour toi   *    comme pygmalion    A   en hors classe

Et jusqu’à ce    O   que tu me surpasses et    I      t’en lasses.

Si ceci, si cela    mais, les  si, n’aiment   M     pas les rais.

Comme chacun  A  sait, chacun fait ce    E      qu’il lui plait

Deux si ne font   I   pas des ouais     R  ils font des mais

Et si un jour tu    S  voulais, et     * que tu me dirais

Peut-être tu m’  *  aimerais,  *    et je te ferais

Un enfant qui   *   nous   * ressemblerait.

J

Grammaire, quel    E  que peu arrangée,

Que décline beaux   *   parleurs patentés

Pour connaitre, aut  F  henticité, véracité

Le seul moyen  serait  E   de les   …  piéger.

Piéger au présent, est  R   toujours possible,

Mais  au  futur : totale  A   ment  impossible :

Il  faut,  alors,  parier     I   que   l’engagement,

Tiendra bout de temps   S    et voire longtemps.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

753 4

.

Lampe à pétrole,

 Probablement,

 Flamme pétrole,

Assurément !

.

Lampe et flamme vont bien ensemble

en outre lampe à pétrole chauffe aussi

pour oser quelque chose, fait voir clair

aussi ici la forme conviendrait au fond.

 .

Cette lampe s’allumera lors j’oserai,

Enfin, me déclarer :

Lors sa flamme brillera tout comme

La mienne, sans s’arrêter !

.

Symbolique

.

La lampe, qu’elle soit électrique,

À huile ou à pétrole, représente

Toujours une  lumière intérieure,

Une énergie, des capacités,

Des talents que nous maîtrisons.

.

C’est l’homme qui maîtrise

La lumière avec un certain pouvoir

D’allumer et d’éteindre.

.

Tant la lumière reste le symbole de la

Connaissance, on apprend

De jour en jour à mieux se connaître,

On évolue grâce à l’information, savoir.

.

Descriptif

 .

753 – Si un jour, tu osais m’aimer, je ferais 

  Alignement central  /  Titre  droit cercle  / Thème  rêve

Forme en ovale / Rimes égales / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : flamme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

753 6

.

Cette lampe s’allumera lors j’oserai,

Enfin, me déclarer :

Lors sa flamme brillera tout comme

La mienne, sans s’arrêter !

.

Symbolique 

.

La flamme est une partie du feu.

Comme  lui, elle émet  de la chaleur

Et de la lumière, mais moins intenses.

Symbole  avant tout  de l’illumination,

Mais aussi de la paix, l’amour, l’espoir.

.

Elle est  même  associée  à la  mémoire.

Sa  lumière  ranime  le  souvenir  d’un

Événement, personne,  ou  tradition :

Flamme qui brûle, continuellement,

Sur la tombe de ce soldat inconnu.

.

Elle ondule à la verticale évoque

Esprit s’élevant vers les cieux,

Associée à la transcendance,

Et à l’élévation spirituelle.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-flamme

 

 

Corrélations

Fond/forme 

.

L’amour n’aime pas le quotidien

L’amour n’aime pas la routine

L’amour n’aimera pas le rien

Il demande toujours estime.

Quoiqu’on en pense, en dise

En fasse, il faut encore oser,

Quitte à se ramasser, planter

Sinon toute flamme retombera,

Et laissera sa place à l’embarras.

 .

.

Aimer, risque à prendre

.

Scénario

.

L’amour, tous les jours, ou presque, dès cinq heures,

les courses, et les choses à faire, que tu auras planifié,

les jeux qui te conviennent et plans qui te surprennent.

 .

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752 – Rêver de rencontrer une femme aimée

Visuels et textuels  >>

.

On rêve de rencontrer

Plusieurs femmes aimées.

Une seule suffit en réalité,

Difficile de multiplier !

.

Mais faut-il encore l’avoir rêvée

Pour s’assurer bien la rencontrer,

Ou c’est juste le moment présent

Que l’on se dit : j’en ai … rêvé !

.

L’inconscient  nous  prépare

À rencontrer femme idéale

Pour nous même si rare :

Première, la principale.

.

Vrai : je peux, toujours, en rêver

De rencontrer belle femme aimée

Je pourrais pour cela me fatiguer,

Ce n’est ni simple ni fait ni gagné.

.

Gagné, il m’arrive d’en frôler une,

Que j’aurais pu toucher  la fortune

Dans les bras d’autre, elle s’est jetée,

Comme demeuré, suis resté… pantois.

.

Pends-toi quand même, y a pas de quoi,

Pendaison est remise  à la prochaine fois

Mais  combien ne se reconnaissent pas,

En marchant à côté et au même   pas.

Pas  de  quoi  m’empêcher  de  rêver

Parfois même, croire l’avoir trouvé,

.

Si elle ne me cherche pas  de son côté,

Inutile de tenter, d’insister  ni d’espérer.

Espérer que la vie ne soit pas dents de scie.

Je t’aime – moi non plus, et tous deux ainsi,

Chantant refrain, allant bien à l’être, chagrin,

Pour reconnaître  qu’amour  ne sera pas divin.

.

Divin, devin  ou  du vin, et, quelle  importance

À partir de ces  moments où  l’on perd la danse

Avec des partenaires  qui voient  tout à l’envers

Et vous mènent  tout droit, du paradis à l’enfer.

.

Vrai que l’enfer est doux, lors on est amoureux,

Voici bien couplet, qui vous couperait le sifflet,

La personne que l’on aimait et qu’on adorait,

Voilà qu’un beau jour, vous hait pour deux.

.

Deux, j’imagine  un  être, une  femme

À qui cœur ému, déclare sa flamme,

Non pour toujours … pour un jour,

Temps que passion passe son tour,

Tour de manège gardant souvenir

Entre reste  d’enfance, innocence

Et  pleine  maturité  à  conquérir.

.

.

Extensions

 .

Mais qu’est-ce qu’une femme aimée

Si un jour on peut la remplacer, doubler ?

Est-ce celle dont on rêve ou celle avec laquelle on vit ?

Est-ce la femme qui aurait quelques défauts supportables

Ou toutes les qualités  ou aucune de celle-là,

Une femme simplement idéalisée.

.

Rêver de rencontrer une femme : et l’inverse alors

Rencontrer sert moins, s’il n’y a pas de réciprocité

Cela dit  lors de rapprochement très rapide et fort

Il n’y aura aucune garantie que le couple est créé !

 Erreur fréquente que croire que le coup est gagnant

L’on ne se transformera pas d’inconnus en amants,

Car tous les autres vecteurs méritent  leurs attraits

Pour vérifier que premier contact, n’est pas surfait,

Que le couple au bout de temps court ne sera défait.

.

Rêver de rencontrer une femme aimée,

A toujours, comme principale variante :

Rêver de rencontrer une femme aimante,

En vue d’aboutir à une totale réciprocité !

.

Le rêve ne peut fournir qu’états d’émotions

Qui tourneront à vide faute d’être confrontés

À leur remise en scène, dans une vraie réalité,

Qui séparera la projection de la concrétisation.

.

Qui dit rêve ni fantasme fort, envie de séduction

On se fait cinéma en sa tête comme si c’était fait,

Mais voilà que tout change en cours de répétition,

Le rôle n’est pas à la hauteur ou scénario est refait.

.

.

752 – Calligramme   

.

On rêve de rencontrer

Plusieurs femmes aimées.

Une seule suffit   R   en réalité,

Difficile de se          E  multiplier !

Mais faut-il encore    N   l’avoir rêvée

Pour s’assurer bien    C  la rencontrer

Ou c’est juste le mo  O  ment présent

Que l’on se dit       N    j’en ai rêvé !

L’inconscient    T  nous prépare

À rencontrer R  femme idéale

Pour nous E  même si rare

Première R    la principale.

.

Vrai que je pourrai, toujours, en rêver

De rencontrer  une belle femme  aimée

Et je pourrais     pour cela, me fatiguer :

Ce n’est  F       ni simple ni fait ni     A gagné.

Gagné      E     il m’arrive  d’en frôler    I      une,

Que j’au   M     rais pu toucher  la for     M    tune

Dans les   M     bras d’autre, elle s’est     É    jetée,

Comme    E    demeuré, suis resté pan   E     tois.

Pends-toi       quand même : y a pas de       quoi,

Pendaison est remise  R   à la prochaine     fois

Mais  combien ne se   Ê  reconnaissent   pas

En  marchant à côté  V  et au même   pas.

Pas  de  quoi  m’em  E pêcher  de  rêver

Parfois même, croire  *  l’avoir trouvé,

.

Si elle ne me cherche pas  de son côté,

Inutile de tenter, d’insister ni d’espérer.

  Espérer que la vie ne soit pas dents de scie.

 Je t’aime – moi non plus,  et tous deux ainsi,

Chantant refrain, allant bien à l’être, chagrin,

Pour reconnaître qu’amour ne sera pas divin…

Divin, devin  ou  du vin, et, quelle  importance…

À partir de ces  moments où  l’on perd la danse…

Avec des partenaires  qui voient  tout à l’envers…..

Et vous mènent  tout droit, du paradis à l’enfer….…

Vrai que l’enfer est doux, lors on est amoureux………

Voici bien couplet, qui vous couperait le sifflet…………

La personne que l’on aimait, et que l’on adorait……….…

Voilà qu’un beau jour, elle vous hait, pour deux……………

.

Deux, j’imagine un être, une femme

À qui cœur ému, déclare sa flamme

Non pour toujours … pour un jour,

Temps que passion passe son tour.

Tour de manège gardant souvenir

Entre reste  d’enfance  innocence

Et pleine maturité à conquérir.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

752 4

.

Silhouette de femme,

Habillée d’un manteau

Mais ici, en vue de dos

Comme passant, fuyant ?

.

Une étrange impression que d’aimer

Une femme, vue de dos :

On ne sait pas si elle est : belle, jeune,

 Intelligente, aimante !

.

Symbolique

.

Tout le XIXème siècle

Est  imprégné d ‘images

Négatives   de  la   femme,

Véhiculées par la littérature et les arts.

.

Ce contexte se reflète dans la peinture

Symboliste,  dans laquelle  s’opposent

Cohabitent deux visions de la femme :

L’une idéalisée et asexuée, séraphique

Ou androgyne, l’autre, au contraire,

Castratrice, fatale, mante religieuse.

.

Si l’art symboliste révèle ainsi

Un nouvel érotisme sulfureux,

Parfois fétichiste, sadique ou

Satanique, Éros, Thanatos,

julien.gadier.free.fr/femmemain

.

Descriptif

 .

752 – Rêve de rencontrer femme aimée 

  Alignement central   /  Titre   analogue   /   Thème  rêve

Forme anthropo / Rimes égales / Fond  approché de forme

Symbole de forme : femme / Symbole de fond : vue de dos

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

752 6

.

Une étrange impression que d’aimer

Une femme, vue de dos :

On ne sait pas si elle est : belle, jeune,

 Intelligente, aimante !

.

Symbolique

.

Le dos est un gros groupe musculaire

Qu’il est indispensable de cibler sous

Plusieurs angles pour améliorer

Le tonus, le volume et le relief.

Et de plus, son développement

Permet d’accentuer l’évasement

Du dos ce qui permet d’affiner la taille.

Quoi de mieux,  lorsqu’on est une femme,

Que d’avoir la taille fine, un dos bien droit

Et une posture à la fois tonique et féminine ?

toutelanutrition.com/wikifit/guide-zone/femme/dos

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

.

Le mal du dos est parait-il

Et selon les ostéopathes,

Appelé le mal du siècle

Or loin d’être le seul

Chaque  discipline

Médicale espère

En prévention

Et  le compte

N’y sera pas

Pourquoi ?

Les  causes

Ont bon dos

Symptômes,

Hélas moins.

 .

.

Femme aimée !

.

Scénario

.

J’ai d’abord fait une fixette, assis de loin sur ses genoux,

flashé ensuite sur son visage, comme s’il s’agissait d’une madone,

et enfin je me suis dit, après l’amour, que cette fois, c’était la bonne !

 .

Visuels et textuels  >>

751 – Il m’arrive de rêver de ma femme !

Visuels et textuels  >>

.

Rêver quelqu’un

Qui dort à  ses côtés,

Est affaire  étonnante :

Il  faut  l’être, amoureux,

Lors il  ’agit   d’une  épouse

Qui vous a, déjà, tout donné.

Pourquoi non pourquoi pas,

Si on l’a choisi, elle valait

Bien toutes  les autres

Réunies, ou presque.

.

J’avoue qu’il m’arrive de rêver de ma femme,

Ça parait étrange ! Non, c’est plutôt normal,

Tant je la vois et je la sens, un  peu partout

Des fois au lit, et tel lieu n’est pas banal :

Elle me sourit  avec ses yeux  pétillants

Et là, je fonds, bien membré l’animal !

.

Il m’arrive de penser à notre   rencontre,

Me paraissant, étant divorcé improbable

Je la désirais pourtant et elle, tout autant.

Lors nos désirs demeuraient impalpables,

Et c’est là que, n’ayant plus rien  à perdre,

J’aurai fait  le premier pas, plus aimable.

.

Il m’arrive de repenser à grande décision

D’acheter ensemble une coquette maison,

Notre second pas, vers  notre belle union,

Comme nid d’amour de propres enfants,

.

Car elle y pensait déjà  et même souvent

Lors moi, j’en avais, déjà, deux, d’avant

Et  il m’arrive, encore, de  songer à elle,

En  vacances, en  région  de  Provence,

En bateau,  comme bain  de jouvence.

.

Pour nous, y a jamais eu, ritournelles

Avons souvent gardé amour d’avance

Avons vécu vie chaque fois nouvelle

Couple commence à consonne

Accouplée  à toutes voyelles.

.

L’enfant que l’on a eu

Nous fait parents

Afin  de   louer

C’est notre vie

Mais il  peut y avoir

Parmi   des  souvenirs

Heureux qui remontent

Nourrissent rêve commun,

Un d’entre eux qui séduise

Au point  de  fantasmer

Nouvelle   rencontre

Ou art  d’aimer.

.

.

Extensions

 

Il m’arrive de rêver de ma femme,

Comme une amante, une mère,

Une compagne et de lui faire

Jouer un tas de rôles,

Les uns, sérieux ;

D’autres, plus légers ;

Derniers, parfois drôles.

C’est dire  à quel point  j’ai

Fait un bon choix et que l’amour

M’a donné  la foi, en lui, jusque là

Tant que ce rêve demeure, en moi,

L’amour persiste, l’amour  survivra.

.

Cela veut dire  que  mon inconscient

Joue aussi  la même partie, est sur la

Même  longueur d’onde, et, peut-être

Que je me trompe,   qu’il me trompe,

Qu’il me fait croire qu’en ma femme,

D’autres présentes tapies en l’ombre

Mais  que m’importe, tout cela, dès

Lors que ma femme me satisfait !

.

Ce qui vient en premier, dans mon rêve, ce sont ses yeux,

Son regard surtout et qui me dévisage

Qui, peu à peu, diffracte d’autres visages lui ressemblant

Comme font mille femmes en une seule

Mais quel que soit le mélange toutes mosaïques nouvelles

Son visage surnage et s’impose à moi :

C’est peut-être parce que je décode à l’intérieur du regard

Une immense tendresse à mon égard !

.

Comment peut-on rêver de sa femme :

Certains diraient absurde c’est insensé,

Elle est, demeure, toujours à vos côtés !

.

Si l’on rêve pour échapper  à sa réalité,

Être marié en est une, qu’on oublie pas,

Mais rêver d’une autre, ne faudrait pas !

.

La solution est tout simple, toute trouvée

Sa femme est la concentration cent autres

Dieu sait si le rêve mélangera les identités.

.

C’est différent de penser à une autre femme

Durant l’acte sexuel comme divorce cérébral :

Rêver de la femme qu’on aime est assez normal

.

.

751 – Calligramme

.

Rêver quelqu’un

Qui dort   à    ses côtés,

Est affaire    *     étonnante !

Il  faut  ô  l’être,  ô amoureux,

Lors il  ’agit   //     d’une   épouse

Qui vous a    //   déjà tout  donné.

Pourquoi  // non pourquoi pas,

Si on l’a  ====  choisi, valait

Bien toutes   les autres

Réunies, ou presque.

.

J’avoue qu’il m’arrive de rêver de ma femme,

Ça parait étrange ! Non, c’est plutôt normal,

Tant je la vois et je la sens, un  peu partout

Des fois au lit, et tel lieu n’est pas banal :

Elle me sourit  avec ses yeux  pétillants

Et là, je fonds, bien membré l’animal !

Il m’arrive de penser à notre   rencontre,

Me paraissant, étant divorcé   A    improbable

Je la désirais pourtant et elle,     R    tout autant.

Lors nos désirs demeuraient        R    impalpables,

Et c’est là que, n’ayant plus          I      rien à perdre,

J’ai fait le premier pas, le           V         plus aimable.

Il m’arrive de repenser à         E        grande décision

D’acheter ensemble une        *        coquette maison,

Notre second pas, vers         D       notre belle union

Comme nid d’amour            E       propres enfants,

Car elle y pensait déjà          *         même souvent

Lors moi j’en avais déjà        R       deux, d’avant

Et il m’arrive encore de         Ê     songer à elle,

En vacances en région          V   de Provence,

Au bateau comme bain      E  de jouvence.

Pour nous, y a jamais eu, R    ritournelle

Avons toujours gardé amour d’avance

Avons vécu vie chaque fois nouvelle

Couple commence à consonne  c

Accouplée à cette voyelle :   o

L’enfant que l’on a eu :  u

Nous fait parents :  p

Afin  de   louer:    l

La     vie     :     e

Il     peut   y  avoir

Parmi   les   souvenirs

Heureux      *  qui remontent

Nourrissent D     rêve commun,

Un d’entre   E         E  eux qui séduise

Au point    *                 M   de  fantasmer

Nouvelle   M                   M         rencontre

Ou art   *  *  A                      E  *  *    d’aimer.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

751 4

.

Silhouette de femme,

Mais  ici, vue de dos,

Et avec des  formes,

Et parfum mystère.

.

Je rêve de ma femme dans toutes

Les tenues, les postures :

Rien ne m’échappe d’elle en dehors

Parfum de son mystère.

.

Symbolique 

 .

L’enjeu auquel font face les femmes

Désirant  être femme, pleinement,

Reste immense, tant il demande un

Investissement personnel de l’ordre

Du don de soi et une réflexion pour

Comprendre l’axe entre sa dignité

Propre et sa relation au monde.

.

La Woman Attitude cherche

À rassembler les femmes qui

«Comprennent que l’homme

Est le résultat  de ce qu’est

La femme et en tirent une

Conscience de leurs responsabilités » :

À chaque femme reviendra de s’épanouir

Et de manière unique en tant que femme !

womanattitude.com/ca-veut-dire-quoi-être-femme

.

Descriptif

 

751 – Il m’arrive de rêver de ma femme !  

  Alignement central  /   Titre   serpente   / Thème  rêve

Forme anthropo / Rimes variées / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : femme / Symbole de fond : mystère

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

751 6

.

Je rêve de ma femme dans toutes

Les tenues, les postures :

Rien ne m’échappe d’elle en dehors

Parfum de son mystère.

.

Symbolique 

 .

Interaction hommes / femmes :

Mystère !  Vous vous en doutiez,

Les hommes et les femmes n’ont

Pas le même  mode  d’emploi !

.

Si  tout le monde  se retrouve

Dans la définition d’intimité

Et la nécessité de  partager,

La   vision   du   corps,  elle,

Reste le point de dissonance

Entre les hommes  et femmes…

L’homme d’aujourd’hui sait parler !

.

Il n’hésite plus à partager son intimité

Et cherche même à vous comprendre

L’homme en connait  plus sur vous

Que vous ne l’imaginez, malgré

Vos préjugés … votre intimité,

A moins de mystère pour lui.

magicmaman.com/l-intimite-

feminine-vue-par-les-hommes,

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Que toute femme soit un mystère :

Voilà bien fantasme qui m’est cher

Et dont je ne saurais pas, de toile,

Par quel bout soulever son voile !

Le voile sur son corps, je devine

Mais voile sur sa face sourdine

Me trompe, parfois, à l’estime

Je le mets en rêve en abyme.

 .

.

Rêve des plus sensuels

.

Scénario

.

Dans mon rêve, son visage apparait, son regard, surtout

qui se mélangent alors à celui d’autres femmes… étrangères :

si diverses, nombreuses soient-elles, reflète maximum d’énergie.

.

Visuels et textuels  >>

750 – La nuit est calme, rien ne bouge

Visuels et textuels >>

.

Nuit calme ne nuit

À personne, bénéficiera

À tout le monde  et chacun

Pour se lever     clair, au matin

Au  lieu  d’en       devenir  chagrin.

Rien ne bouge               à l’extérieur,

Rien ne bouge,                même en soi,

Corps et esprit              sont au repos,

Le cerveau seul,           fait la veille,

Résout  quelques      problèmes

Dont ne voyait d’issues

La nuit devient, amie,

Pour peu, on apprécie

.

La nuit est calme, rien ne bouge

Tout autour, et, le ciel  est rouge,

D’un coucher de soleil,   éclatant,

Face au lever  de  lune,  émouvant.

Le jour  s’en va, la nuit   s’en vient,

Et rien ni personne, ne me retient,

Ce noir, depuis la nuit  des temps,

Qui nous endort le tiers du temps.

Quand tout est serein et ne bouge,

Mes yeux voient, dans infrarouge,

Mes fantômes…autour de minuit,

Envahissent fond de mon  esprit,

Et peuplent mes rêves de songes,

En cauchemars qui me  rongent

Pour exister, dans un  ailleurs,

Exorcisant toutes mes peurs.

La nuit  est calme,  le matin

Me réveille plein  d’entrain

Car les fantômes de minuit

Seront ressortis de mon lit

Lors ainsi je vis deux vies,

Comme  le  jour et la nuit

Jour agité, plein de bruits,

Nuit silencieuse,  assouvie.

Fantôme, fantasme  facétie,

Sont représentations d’esprit,

Jouant une sarabande, de nuit,

En un corps, immobile, qu’ennui

Guetterait si son cerveau se  vide,

Comme une mer, encéphalo  plat

Ni vagues, ondes alpha, ni rides,

Sonnera  crépuscule  ou trépas.

La nuit est  une de mes  amies

Quand,  fatigué,  je  m’y pose,

En ses bras, je m’endors, ravi

De ses tempêtes caresses aussi.

La mer est calme rien ne bouge

Et tout autour, le ciel est rouge,

Corps s’apaise, esprit se  libère :

De ma nuit, n’en suis pas amère.

.

.

Extensions

 .

La nuit, moins il y aura de bruit

Et plus le sommeil sera profond,

À ce qu’on dit, mais, les enfants

En bas âge  peuvent, dormir  en

Une tempête sans discontinuer,

Lors les personnes âgées ont du

Mal à dormir et ce malgré toute

Absence de bruit et d’agitation.

Nous  ne sommes pas  à égalité

Devant nos droits au sommeil.

 .

Je regarde par la vitre de ma fenêtre : rien ne luit

Tout est bleu nuit

Le paysage est figé comme endormi par effet de lune

Point blanc sur lagune

Et lors je rêve que ma nuit avec toi dure éternellement,

En tant que couple d’amants.

.

Le bruit serait l’ennemi du sommeil

La lumière sera son parfait complice

Et bien qu’en beaux draps, me glisse

Mes yeux restent longtemps en éveil.

.

J’ai peut-être abusé sur les excitants,

Du genre cafés, alcools, films violents,

J’ai peut-être trop stressé, la journée,

Lors je paie l’addition, cash, retourné.

.

Ou encore je suis en dette de sommeil

Et mon corps n’arrive plus à l’éponger

Ou je suis amoureux, à ce point excité,

J’attends que tu sois près de moi, éveil.

.

.

750 – Calligramme    

  .

Nuit calme ne nuit

À personne, bénéficiera

À tout le monde  et chacun

Pour se lever     clair, au matin

Au  lieu  d’en       devenir  chagrin.

Rien ne bouge               à l’extérieur,

Rien ne bouge,                même en soi,

Corps et esprit              sont au repos,

Le cerveau seul,           fait la veille,

Résout  quelques      problèmes

Dont ne voyait d’issues

La nuit devient, amie,

Pour peu, on apprécie

.

La nuit est calme, rien ne bouge

Tout autour, et, le ciel  *  est rouge,

D’un coucher de soleil,   L      éclatant,

Face au lever  de  lune,    A    émouvant.

Le jour s’en va, la nuit      *        s’en vient

Et rien, ni personne, ne    N    me retient,

Ce noir depuis la nuit        U    des temps,

Qui nous endort le tiers     I     du temps.

Quand tout est serein et    T     ne bouge

Mes yeux voient en infra     *       rouge,

Mes fantômes…autour de   E   minuit,

Envahissent fond de mon   S     esprit

Et peuplent mes rêves de   T   songes

En cauchemars qui me    *   rongent

Pour exister dans un     C   ailleurs,

Exorcise toutes mes    A      peurs.

La nuit est calme,     L    le matin

Me réveille plein    M   d’entrain

Car les fantômes   E   de minuit

Seront ressortis    *   de mon lit

Lors ainsi je vis    Q   deux vies,

Comme  le  jour    U    et la nuit

Jour agité, plein     A   de bruits,

Nuit silencieuse,      N   assouvie.

Fantôme, fantasme,  D      facétie,

Sont représentations    *    d’esprit,

Jouant une sarabande    R      de nuit

En corps immobile, qu’     I        ennui

Guette si son cerveau se    E        vide,

 Comme mer, encéphalo     N         plat

   Ni vague, onde alpha, ni     *        ride,

      Sonnera  crépuscule  ou      N   trépas.

        La nuit est  une de mes       E    amies

            Quand,  fatigué,  je  m’y      *       pose

                 En ses bras, je m’endors    B         ravi

                   De ses tempêtes caresses   O    aussi.

                        La mer est calme rien ne   U     bouge

                            Et tout autour, le ciel est   G    rouge :

                                Corps s’apaise, esprit se     E    libère :

                                 De ma nuit, n’en suis pas   *   amère.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

750 4

.

Silhouette d’homme

Allongé  et en train de

 Dormir profondément 

Abandonné à Morphée

.

Rester allongé ainsi, je peux dormir

Dans  cette position et toute la nuit,

Sans bouger d’un pouce  et ce afin de

Sans insomnie abandonné à Morphée.

.

Symbolique

 .

Excès de café, stress, anxiété,

Hormones, mauvaise literie,

Sont  parmi   les  causes  des

Problèmes    pour  dormir ?

.

Quels  facteurs  psychologiques,

Physiologiques ou environnementaux

Barrent la route à marchand de sable ?

.

L’insomnie peut autant avoir  une origine

Psychologique (stress, anxiété, problèmes…),

Physiologique (style de vie, maladie, alcool, café),

Environnementale (bruit, luminosité, faible literie…)

Ou pathologique (maladie, génétique, fièvre, douleur).

modifié, source : doctissimo.fr/html/psychologie/bien_dormir

.

Descriptif

 .

750 – La nuit est calme quand rien ne bouge  

  Alignement central   /  Titre   serpente  /  Thème  sommeil

Forme  anthropo /  Rimes égales   / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : dormir / Symbole de fond : Morphée

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Rester allongé ainsi, je peux dormir

Dans  cette position et toute la nuit,

Sans bouger d’un pouce et ce afin de

Me blottir, abandonné à Morphée

.

Symbolique

 .

Mythologie grecque,  Morphée,

Dieu des rêves,  est le fils d’Hypnos,

Dieu du sommeil et de Nyx, déesse de la nuit.

.

Il est souvent représenté par un jeune homme

Tenant un miroir dans une main et

Des pavots soporifiques de l’autre.

Il donne le sommeil en touchant

Une personne avec ses pavots.

Il lui donne également des

Rêves pour la nuit.

.

Les bras étant symbole de sécurité,

Ais aussi de force, on comprend pourquoi

Cette image est restée pour désigner

Une personne qui dort profondément.

linternaute.fr/expression /etre-dans-les-bras-de-morphee

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Chacun sait bien que la mélatonine

Constituerait l’hormone du sommeil,

Qu’elle se diffusera dans notre corps,

Sous l’effet  silence et obscurité totale

Cela dit, y a des causes perturbatrices

Et qui feront que l’effet sera inopérant.

.

Prendre un cachet pour doper, tromper

Ne peut que l’endormir, mais … pas vous

Alors que la nuit est calme, rien ne bouge,

Vous êtes agité comme lièvre en son bouge.

Comme le disait si bien ce bon  La Fontaine.

 .

.

Bien réveillé, bien reposé !

.

Scénario

.

Calme plat, je ne vois ni n’entends aucune mouche voler,

je rêve, toute éveillée, que le temps se sera soudain arrêté,

que le clair de pleine lune va durer, cette nuit, une éternité.

 .

Visuels et textuels >>

749 – Mon sommeil, j’ai tardé à le trouver !

Visuels et textuels >>

.

Trouver   sommeil

Est cette expression

Un peu  étrange pour

État normal, journalier

Entre diurne et nocturne,

Quand la nuit  se fait noire.

Nous avons tous une horloge

Circadienne, à bien  respecter !

Si elle se décale, ou se détraque,

Faudra des jours, pour la recaler.

.

Dettes de sommeil,    s’accumulant,

Insomniaque … nerfs à vif, mettant.

Si l’on  s’active  de trop,  juste avant,

De  s’endormir,  ou joue avec écrans,

Peine à sombrer n’a rien d’étonnant,

Rêveries : sommeil  mal  préludant,

Le sommeil, j’ai tardé à le trouver.

.

Sur  le  dos, le  ventre,  ou  de côté,

Chien  de fusil  ou, parfois, tourné

À l’envers, avec la tête  aux pieds,

Même en essayant autre position

Aucune ne  m’a donné le sommeil

Regardant heure avec un lampion

Elle tourne en rond  et sans pareil.

.

Mais si à mes côtés, tu avais dormi

Comme filtre, en moi, il aurait agi,

Tant  il endort  celui que le prend,

Et puis, le matin, seul,  vous rend

En pleine forme  et  fort heureux

Avoir senti chaleur de ton amour

Contre corps apaisant, généreux,

Ayant gouté la nuit, comme jour.

.

Avec toi,  je m’abandonne et rêve,

En contrées, je voyage sans trêve,

Chevauchant fantasmes, pensées,

Content, au matin, de me trouver

Toujours, et  encore,  à mes côtés,

En   gardienne  de  mon sommeil,

Et,  réciproquement,  lors  nuitée,

Encline à coucher,  tu me réveilles.

.

.

Extensions

 .

Mon sommeil, j’ai tardé à le trouver,

J’ai gambergé, comme il se doit,

Une grande partie de la nuit,

Qui m’aura parue sans fin

Ce jusqu’au petit matin

Où il est venu… enfin !

.

Mais voilà que les bruits,

Les lumières, les obligations

De la journée me stimulent,

Me tracassent tant j’ai dû,

Et, très vite, rouvrir  l’œil.

Ça y est, mon lit  est v ide,

Et tout le monde s’affaire :

Quelle heure est-il : mon dieu !

.

On va me prendre pour un gros fainéant

Et ils ne me croiront pas si je leur dis la vérité.

Je me lève les yeux fermés, je te vois, rêve halluciné.

Je ne sais si je suis encore en mon sommeil ou la réalité.

Je jette un œil sur mon smartphone pour voir si le monde

Continue à tourner, le livre dont j’ai abandonné la

Lecture pour m’endormir est ouvert sur le lit !

.

Entrée en sommeil et sortie de smartphone

Sont incompatibles :

Rien que la lumière bleue, à elle toute seule,

Perturbe la sérotonine

Alors, si vous êtes branché sur vos amis(es),

N’y comptez pas ou plus :

Lisez plutôt un court récit, conte imaginaire

Et, dans les bras de Morphée.

.

.

749 – Calligramme    

.

Trouver   sommeil

Est cette expression

Un peu  étrange pour

État normal, journalier

Entre diurne et nocturne,

Quand la nuit  se fait noire.

Nous avons tous une horloge

Circadienne, à bien  respecter !

Si elle se décale, ou se détraque,

Faudra des jours, pour la recaler.

.

Dettes de sommeil,    s’accumulant,

Insomniaque …  nerfs à vif, mettant.

Si l’on  s’active  de trop,     juste avant,

De  s’endormir,  ou joue  *   avec écrans,

Peine  à sombrer n’a   S  rien  d’étonnant,

Rêverie, sommeil   O            mal préludant !

Le sommeil,       M           ai tardé à le trouver

Sur le dos,       M              le ventre,  ou de côté,

Chien  de       E                fusil ou parfois tourné

À l’envers      I                 avec la  tête  aux pieds,

Même  en      L               essayant, autre position

Aucune ne      *                m’a donné  le  sommeil

Regardant       A               l’heure avec  lampion,

Elle tourne       I           en rond  et sans pareil.

Et si, à mes       *          côtés, tu avais dormi,

Comme filtre      T       en moi, il aurait agi,

Car il endort        A      celui que le prend

Et puis, le matin   R      seul, vous rend

En pleine forme et D     fort heureux

Avoir senti chaleur É   ton amour,

Contre corps apaisant généreux

Ayant gouté nuit, comme jour.

.

Avec toi,  je m’abandonne, rêve,

En contrées T voyages sans trêve,

Chevauche    R  fantasmes, pensées,

Content au      O  matin de me trouver

Toujours et       U    encore,  à mes côtés,

En gardienne      V           de mon sommeil,

Et réciproque      E             ment, lors nuitée

Enclin à coucher   R                tu me…réveilles.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

749 4

.

Lampe de chevet

De type veilleuse,

En vue de  pénombrer

Mon sommeil, la nuit.

 .

Veilleuse et sommeil vont ensemble

à condition que lumière soit faible,

sinon, mélatonine ne m’endormira,

lors ici, la forme aidera bien le fond 

.

L’intensité  et couleur de cette

Veilleuse   s’adapterait   aux

Quatre états  d’un sommeil :

Nul, léger, profond, paradoxal.

.

Symbolique 

.

Une veilleuse est une petite lampe destinée

À rester allumée la nuit ou en milieu obscur.

Elle se présente aussi sous forme d’ampoule,

Dans différentes couleurs, et que l’on pourra

Brancher au secteur, sous forme  de  jouet,

De doudou,

De guirlande…

Elle sert à calmer

Accompagner bébés

Enfants pour sommeil

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

 .

748 – J’avoue que j’ai mal dormi la nuit  

  Alignement central   /  Titre   serpente  /  Thème  cycle

Forme conique /  Rimes égales   / Fond  approché de forme

Symbole de forme : veilleuse / Symbole de fond : sommeil

.

.

Fond

 .

Évocation

.

749 6

.

L’intensité  et couleur de cette

Veilleuse   s’adapterait   aux

Quatre états  d’un sommeil :

Nul, léger, profond, paradoxal.

.

Symbolique 

 .

Le sommeil est la pierre

Angulaire d’organisme en santé.

Il n’est   toutefois pas  évident de

Savoir si sa nuit a été réparatrice. 

La Fondation américaine du sommeil.

Quatre repères de la qualité de sa nuit :

1) Vous vous endormez en moins de 30 minutes ;

2) Vous ne vous réveillez  plus d’une fois par nuit ;

3) Vous vous rendormez rapidement en 20 minutes ;

4) 85% du temps, passé au lit, est consacré au sommeil.

madame.lefigaro.fr/bien-etre/le-mode-demploi-pour-sommeil-de-qualite

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une veilleuse serait faite pour veiller

Mais sur quoi, en réalité, n’ayant pas

D’intentionnalité même pour sommeil,

Ni pour transition nuit/jour, au réveil :

Juste objet transitionnel de mon angoisse.

.

L’insomnie d’une nuit n’est pas un problème

D’une semaine, ça devient un vrai symptôme

Car tant que la dette de sommeil s’accumule,

Il sera difficile de retrouver une nuit calme.

.

On peut bien sûr se droguer pour dormir

Et les somnifères ne peuvent remédier

Sauf à rendre dépendant, c’est pire.

 .

.

Ma nuit : un vrai cauchemar

.

Scénario

.

Ah, ces smartphones : excitants numériques pour gens insomniaques

lors pertes heures de sommeil s’égrènent sans pouvoir fermer l’œil :

suffirait de lire un de mes écrits pour tomber en bras de Morphée.

 .

Visuels et textuels >>

748 – J’avoue que j’ai fort mal dormi cette nuit

Visuels et textuels  >>

.

J’ai très mal dormi la nuit

Oui mais pourquoi : ennui

Même pas, content de moi.

Alors je ne comprends pas !

.

En voilier, tout bouge, un peu,

Oui mais cela vous berce au pieu.

J’avoue que, j’ai mal dormi, la nuit,

Ce n’est pas que j’étais fatigué, stressé,

Il faisait chaud, à crever,  et pas ventilé.

.

Ma couchette,  en  voilier,  ne l’était pas,

Je me suis pris  la tête, à   me retourner,

Comme un rat en cage,  fait prisonnier.

.

Il y avait une comme une atmosphère

Empêchant  dormir à poings ouverts

Comme un bébé, au sein de la mère

Pourtant c’est ce qu’on a de mieux

Pour sommeil des  plus  radieux.

.

Lors, contre mauvaise  fortune,

Bon cœur et …  c’est bien long

Quand une telle nuit blanche

N’en finit pas de s’allonger

Qu’elle  va  durer, encore,

À moitié endormi le jour.

.

Voilier est un peu ventre

L’on y sort, l’on y rentre,

Lors chacun y prospère,

De jour, comme de nuit !

.

En cockpit, carré, couchette

On se sent quelque peu à l’étroit,

Quand on est plus que deux ou trois,

Peut-être aurais-je dû dormir sur le pont

Mais j’étais trop occupé à tourner en rond.

.

J’ai fini par sommeiller ….. au petit matin,

Quand il a fait plus frais,

Avec,  plus  de vingt-cinq  degrés,  la nuit :

J’avais sensation d’un four.

.

La nuit m’a parue longue, parue l’éternité,

Même si pour compenser,

Mes rêveries, dans toutes mes insomnies,

M’ont retourné vers toi,

Pour cette fois encore ça n’aura pas suffi

Car tu n’étais pas là.

.

Même contorsionnant fort, mon esprit,

Ne t’ai fait apparaitre

En tant que gardienne, mon sommeil

Et sa garante, à la fois.

.

C’est dans ta chaleur je me repais,

Et non celle de ce four

Qui cette nuit encore aura joué

Son mauvais tour.

.

.

Extensions

 .

Mal dormi :

Fausse impression

Ou bien  vraie réalité !

Il est rare que l’on fasse

Une nuit blanche complète

Et les temps d’assoupissement

On en n’aurait en pas conscience,

Seul, un observateur extérieur, peut

Témoigner que vous n’avez pas fermé

L’œil de la nuit, ou en fin presque…

Mal dormi :

Est-ce insuffisamment,

D’un sommeil, habité par

Mauvais rêves,  mal réveillé

Durant la phase paradoxale !

.

Tourné d’un côté à l’autre,

Et cela finalement pour tourner en rond

Sans pourtant m’endormir,

En finissant même par compter les moutons,

Mais sans toujours y parvenir

Ressemble assez à un une nuit sans fin et sans fond

C’est rêvant de toi, elle prend fin.

.

Je vais vous livrer un secret personnel,

C’est quand j’ai très bien dormi, la nuit

Qu’au petit matin… après un bon réveil,

J’atteins, pour écrire, maximum énergie

.

Et figurez-vous qu’après le repas de midi,

Je fais une bonne sieste de 30/45 minutes,

Et voilà mon moteur sémantique est reparti

Avant que ma fatigue d’écrire, ne se rechute.

.

Rechute, rechute, attendez donc, chut, chut :

Écrire n’est pas un vice ni addiction, maladie,

Je n’en suis pas au point de me lever…  a nuit :

Mon sommeil est sacré et rien ne me l’ampute !

.

.

748 – Calligramme    

.

J

J’ai très mal     dormi la nuit

Oui mais pour A  quoi : ennui

Même pas, con I   tent de moi.

Alors je ne com  *     prends pas !

En voilier, tout   M  bouge, un peu

Oui mais cela vous  A   berce, au pieu.

J’avoue que j’ai mal     L    dormi la nuit,

Ce n’est pas que j’étais    *  fatigué, stressé,

Il faisait chaud, à crever,     D    et pas ventilé.

Ma couchette,  en  voilier,    O      ne l’était pas,

Je me suis pris  la tête, à      R       me retourner,

Comme un rat en cage,      M      fait prisonnier.

Il y avait une comme        I      une atmosphère

Empêchant  dormir        *      à poings ouverts

Comme  un   bébé       L    au sein de la mère

Pourtant   c’est       A  ce qu’on a de mieux

Pour sommeil     *    des   plus   radieux.

Lors, contre     N   mauvaise  fortune,

Bon cœur       U   et  c’est bien long

Quand une   I  telle nuit blanche

N’en finit   T pas de s’allonger

Et, qu’elle va durer, encore,

À moitié endormi le jour.

.

***********************

***********************

.

Voilier est un peu ventre

L’on y sort, l’on y rentre,

Lors chacun y prospère,

De jour, comme de nuit !

En cockpit, carré, couchette

On se sent quelque peu à l’étroit,

Quand on est plus que deux ou trois,

Peut-être aurais-je dû dormir sur le pont

Mais j’étais trop occupé à tourner en rond.

 .

J’ai fini par sommeiller ….. au petit matin,

Quand il a fait plus frais,

Avec,  plus  de vingt-cinq  degrés,  la nuit :

J’avais sensation d’un four.

 .

La nuit m’a parue longue, parue l’éternité,

Même si pour compenser,

Mes rêveries, dans toutes mes insomnies,

M’ont retourné vers toi,

Pour cette fois encore ça n’aura pas suffi

Car tu n’étais pas là.

 .

Même contorsionnant fort, mon esprit,

Ne t’ai fait apparaitre

En tant que gardienne, mon sommeil

Et sa garante, à la fois.

 .

C’est dans ta chaleur je me repais,

Et non celle de ce four

Qui cette nuit encore aura joué

Son mauvais tour.  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

Modifier l’image ici

.

Deux vases superposés 

De taille, et  de forme,

À  peu  près  égales

Très  différents.

.

Le vase du haut : forme inversée

Celui du bas, forme plus moderne,

Aucun des deux  ne convient à nuit,

Ainsi leurs formes diffèrent du fond.

.

J’étais un peu vaseux, j’aurais préféré

 Autre forme,  un vase  plus creux,

À côté pour m’aider à me blottir

 Tout comme à m’évanouir.

.

Symbolique 

.

Forme, grâce des courbes

Et sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin:

Son creux évoquera celui de l’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides vitaux.

.

Dans l’art, et,  les rites  funéraires, le vase

Apparaît comme emblème de vie éternelle.

.

Bible : le vase est utilisé comme symbole.

Il peut être fait de matériaux différents

Et   contenir   des   choses   totalement

Différentes au fond (eau, vin, trésor)

Source : heraldie.blogspot.com/2014/08  et 

le-vase et  emcitv.com/jeremy-sourdril

.

Descriptif

 .

748 – J’avoue que j’ai mal dormi la nuit  

  Alignement central  /  Titre  serpente / Thème  sommeil

Forme en ovale /  Rimes égales   / Fond  éloigné de forme

Symbole de forme : vase-creux / Symbole de fond : blottir

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

.

J’étais un peu vaseux, lors j’aurais préféré

 Une forme en vase creux

À mes côtés pour m’aider à me blottir

 Tout comme à m’évanouir.

.

Symbolique 

 .

Blottis l’un contre l’autre,

En cuillère, ou encore dos à dos,

La position en laquelle vous dormez

Avec  votre partenaire  serait  révélatrice

De l’ambiance au sein de votre propre couple.

.

Pendant la nuit, le ou la partenaire, viendra

Se blottir tout contre le dos de sa moitié.

.

Ce qu’elle signifie : c’est très bon signe :

Les scientifiques en charge de l’étude

Interprètent cette position comme

Symbole de relation de couple

Parfaitement… équilibrée.

cosmopolitan.fr/,la-position-du-

sommeil-en-dit-long-sur-votre-couple

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Bien se blottir contre un vase

Que l’on prendra dans ses bras

N’aiderait guère à bien dormir.

.

Il vaudrait mieux un bon oreiller

Lors sur lequel, sa tête, appuyer.

Et un bon matelas bien moelleux,

Sur lequel, son corps … allonger.

.

Si la femme serait un vase creux,

Dormir contre elle, encore mieux,

À moins de trouver cela ennuyeux

.

.

Mal dormi sans toi, hélas !

.

Scénario

.

Je me suis retournée si ce n’est cent fois dans mon lit,

j’ai compté plus de cent moutons raconté leurs histoires,

et c’est en te croyant, près de moi, que je me suis endormie.

 .

Visuels et textuels  >>

747 – Le réveil au petit matin est moment opportun

Visuels et textuels  >>

.

Le réveil   …    au matin,

Est  un  moment crucial

Pour   bien  commencer

Programme   de journée

Et, se lever du bon pied,

Sera  un gage de félicité,

En restant, zen, détaché.

.

Le temps qu’il fait météo

En rajoute,  s’il fait beau,

Si l’on obtient  un sourire

De son chéri  ou sa chérie

Tout devient merveilleux.

.

Le réveil,  au petit matin,

Est un moment opportun

Pour goûter  aux silences

En soi, autant  qu’autour.

Les bruits sont …   légers,

Les bruits sont … feutrés,

Et la nuit  devient le jour,

Le jour  devient d’amour.

Le réveil,  au  petit matin,

Est moment  le plus divin

Pour entrer  en une danse

Où tout vit,  recommence.

.

Quelques  oiseaux, crient,

En cherchant une pitance

Lors sortis… de leurs nids

En mal de vols  d’errance.

Des lumières  de maisons,

S’allument  et chien aboie

Quand poubelle passeront

Tous animaux tournoient.

.

Le ciel   estompe  la Lune,

Quand nuages rougeoient

Venant annoncer à la une

Qu’un  beau soleil  est roi.

Ce sera bientôt mon tour,

D’entrer en un tourbillon,

Des mille  choses  à faire,

Essentielles et contraires

Parfois tournant en rond

Dans le temps qui court !

.

Qui court après le temps,

Pas moi, pas maintenant

Je me réserve cet instant,

Pour retarder ce moment

Où toutes les impressions

D’un réveil au petit matin

Disparaitront subitement

Comme paroles, au vent !

.

.

Extensions

 .

Le réveil, au petit matin, devient un moment où

Une nouvelle énergie, rechargée toute la nuit,

Est disponible pour accomplir tous projets

Restés en suspens, en retrait  de la veille.

.

Le dernier rêve reste, toujours, présent,

Le dernier rêve est toujours prégnant.

La réalité n’aura pas  encore  imposé

Ses obligations, même ses priorités.

.

Je me donne  cinq minutes  pour finir

Ma nuit en beauté et puis l’odeur du café,

Déclencher automatiquement par le réveil matin

Vient stimuler mes neurones   qui se mettent  à  danser

Dans mon cerveau qui, du coup, m’empêche de fermer l’œil.

.

Tous mes sens en éveil, je me lève d’un bond, du bon pied

Et d’attaque pour commencer ma longue journée

De travail ou de loisir ou d’aventure !

.

Au réveil, de la brume opaque, dense, où l’on distingue

Vaguement formes sépia

Aux superpositions en profondeurs de tendres couleurs,

Comme en une aquarelle,

On en vient à séparation plus nette, du ciel et du paysage,

Aux formes fines, et filtrées

Par une lumière qui se réfléchit sur elle-même, et par tout,

Dégradé couleur jaune, rouge.

.

Il s’en passe des choses au réveil,

À la lisière inconscient/conscient,

Autant rêve cauchemar/merveille,

Odeurs de café avec des croissants.

.

Un bras, un coude ou main cherche

Partenaire de lit … encore endormie.

Si ce n’est le cas, la belle s’est … tirée,

De là à revenir café, croissant, amour.

.

Quand même,  c’est encore beau cliché,

Faut pas inverser les rôles, femme, mari.

N’empêche que l’odeur à un gout paradis

Si la nuit fut ratée, le réveil, bien rattrapé.

.

.

Épilogue

.

En France, il est courant et fort apprécié,

Être réveillé par odeur de café /croissant,

Sinon par parfums de thé, chocolat, pain,

Stimulant et nos olfactifs et nos papilles !

Sensations qui se mêlent, qui accentuent

Nos souvenirs récents de rêves nocturnes

L’estomac serait-il comme celui des chats

Muni d’une horloge  indiquant une faim !

Ce sera toujours mieux que d’être réveillé

Par le bruit tonitruant d’un réveil intrusif

Qui vous sonne comme par coup de canif,

Coupant votre sommeil, alors si bien rêvé.

.

.

747 – Calligramme

 .

RÉVEIL,  AU MATIN

Le réveil   …    au matin,

Est  un  moment crucial

Pour   bien  commencer

Programme   de journée

Et, se lever du bon pied,

Sera  un gage de félicité,

En restant, zen, détaché.

Le temps qu’il fait météo

En rajoute,  s’il fait beau,

Si l’on obtient  un sourire

De son chéri  ou sa chérie

Tout devient merveilleux.

Le réveil,  au petit matin,

Est un moment opportun

Pour goûter  aux silences

En soi, autant  qu’autour.

Les bruits sont …   légers,

Les bruits sont … feutrés,

Et la nuit  devient le jour,

Le jour  devient d’amour.

Le réveil,  au  petit matin,

Est moment  le plus divin

Pour entrer  en une danse

Où tout vit,  recommence.

MOMENT      CRUCIAL

Quelques  oiseaux, crient,

En cherchant une pitance

Lors sortis… de leurs nids

En mal de vols  d’errance.

Des lumières  de maisons,

S’allument  et chien aboie

Quand poubelle passeront

Tous animaux tournoient.

Le ciel   estompe  la Lune,

Quand nuages rougeoient

Venant annoncer à la une

Qu’un  beau soleil  est roi.

Ce sera bientôt mon tour,

D’entrer en un tourbillon,

Des mille  choses  à faire,

Essentielles et contraires

Parfois tournant en rond

Dans le temps qui court !

Qui court après le temps,

Pas moi, pas maintenant

Je me réserve cet instant,

Pour retarder ce moment

Où toutes les impressions

D’un réveil au petit matin

Disparaitront subitement

Comme paroles, au vent !

 .

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

747 4

.

Un flacon ou plutôt

 Un échantillon de parfum

Favorable à tout réveil matinal

Parfum frais, comme un croissant.

.

Parfum et croissant vont bien ensemble

les deux vous réveilleront, il me semble,

avec des images fraiches plein la tête

ainsi les formes évoqueront le fond.

.

Rien de mieux, pour s’endormir,

Le soir, qu’un parfum,

Comme d’odeurs des croissants

 Le matin, au saut du lit !

.

Symbolique 

.

Le parfum désigne une odeur agréable.

Il symbolise la délicatesse et la subtilité.

Il était déjà utilisé dans la préhistoire.

Aujourd’hui, le parfum est considéré

Comme une sorte de produit de luxe,

Mais accessible au plus grand nombre.

.

Le parfum marque aussi  la personnalité

De l’individu qui le porte, en lui permettant

De se différencier par son odeur et pour ainsi

S’affirmer aux autres, prendre confiance en lui.

C’est en quelque sorte, sa « signature olfactive ».

Modifié, source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-parfum

.

Descriptif

 .

747 – Réveil, au matin, est moment crucial

  Alignement central   /  Titre  intercalé  /  Thème  liberté

Forme droite / Rimes égales  / Fond  approché de forme

Symbole de forme : parfum / Symbole de fond : croissant

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Rien de mieux, pour s’endormir,

Le soir, qu’un parfum :

Comme d’odeurs des croissants

 Le matin, au saut du lit !

.

Symbolique de fond

 .

Symbole du petit-déjeuner français,

Les croissants seront pourtant peu

Recommandés par les nutritionnistes.

Pourquoi  aimons-nous  les croissants :

.

Le plaisir  du petit déjeuner, en  général,

Et le plaisir des croissants en particulier,

C’est en fait un plaisir culturel à travers

Lequel, chaque  matin, après  le  repos

De la nuit dans lequel nous sommes

Seuls   avec  nous-mêmes, nous

Retrouvons  le monde auquel

Nous appartenons et société

Dans laquelle nous vivons…

franceinter.fr/emissions/

la-petite-philo/la-petite-philo-

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le parfum de la nuit ne sera pas le même

Que celui du jour et cela est vrai, toujours.

Le parfum du rêve n’est pas de la réalité,

Et pourtant c’est bien réalité du parfum

Qui nous ferait, le plus souvent… rêver.

.

Plus subtil qu’un bon parfum, tu meurs

Il est là tout en n’existant pas vraiment

Sorti de son flacon, appliqué sur peau,

Il récitera sa chanson  d’embaumement,

Tant du corps, que cœur, esprit, de l’âme.

 .

.

S’étirer pour se tirer du lit !

.

Scénario

.

Réveil au petit matin, est moment opportun pour tenter de voir clair,

lors la brume se dissipera, et de son sommeil, et de son atmosphère,

pour laisser place à un ciel dégagé, chargé de couleurs et lumières.

 .

Visuels et textuels  >>

746 – Mâle, femelle, nous ne pouvons que nous aimer

Visuels et textuels  >>

.

Qui se ressemble, s’assemble

Dit un proverbe pour se marier

Avez-vous déjà vu la belle le faire

Avec un laid, sauf pour son argent.

.

Peut-on  dire  qu’homme  et femme

Se  ressemblent : non  ils  diffèrent,

Au moins  par le sexe, procréation,

Et  voire, par le corps, esprit, âme.

.

Différent  mais  complémentaire,

Mais cela n’a rien  d’un mystère,

Pas même rien d’extraordinaire

La loi du genre, sauf exception.

.

Je suis mâle  et vous femelle,

Je suis révolté  et vous rebelle,

Je suis beau, et  vous  êtes belle,

Je suis jeune, et vous demoiselle,

Nous ne pouvons que nous aimer.

.

Quoi d’autre, mes  parents, origines,

Des plus nobles  et  des plus notables,

Mes études, et mon diplôme et métier,

Je serai l’avocat en  défense incroyable

Nous … ne pouvons que nous… aimer.

 .

Vous êtes la blonde et moi, beau brun,

Avez peau de pêche et moi peau velue

Un sourire  d’ange   et moi, de diable

Des yeux de biche   et moi, de loup,

Nous ne pouvons que nous aimer.

 .

Vous êtes douce et moi, aimable,

Âme   généreuse, moi charitable

Pleine  de  vertu, et moi, de vice,

Vous maternelle, moi complice,

Ne pouvons que nous … aimer.

 .

Je veux une fille, et toi, un garçon,

Je veux un studio et toi une maison

Si tu veux la mer, moi, la campagne,

On vivra quelque  part  en  Bretagne,

Nous ne pouvons que … nous  aimer.

 .

Si tout cela est vrai, alors marions-les.

Bien que c’est à eux de voir, de décider,

Il ne suffit pas  d’être  beau, d’être belle ;

Encore moins un révolté  ou une rebelle,

Pour s’accoupler dans une vie éternelle.

.

.

Extensions

 .

La différence sexuelle n’exclut

Pas une ressemblance culturelle.

On peut être ressemblant, en tout,

Sauf en sexe serait une  âme sœur»,

En quelque sort, en sachant qu’une

Âme n’aura pas de sexe en théorie.

.

De nos jours, on parle davantage

D’orientation sexuelle à propos

Des homosexuels qu’inversion

Car la loi sera passée  par là,

En  suivant, en cela, les  lois

Du choix  facteur génétique,

Et sur lesquels pourront venir

Se greffer des choix d’éducations

Qui renforceront le premier choix

.

«Je  suis  mâle, et, vous, femelle :

Nous ne pouvons pas  que nous

Ignorer, sexuellement parlant»

En  somme, il n’y aurait … plus

Ni choix naturel ni choix forcé.

.

Un mâle et une  femelle en quête l’un de l’autre puis en poursuite

Quoi de plus normal, quoi de plus animal.

Leurs rapprochements de plus en plus intime, sexuels, crée fusion

Et là, miracle, il y a comme une explosion.

De là naitra un nouvel être qui, à son tour un jour, fera succession

Est-ce le fruit d’un amour ou d’un destin fatal

Mais l’humain ne transmet pas que sa génétique avec toute sa suite

Il éduque aussi pour une conscience maximale.

 .

Je ne tiens pas trop à m’embarquer,

Lors d’autres diraient … m’enfoncer

Dans  des théorisations  des genres,

Je ne suis pas un spécialiste de cela.

 .

Je ne pourrais, pas  plus, m’appuyer

Sur l’observation d’un fait de nature,

Qui serait comme une loi généralisée,

Quel que soit l’intention pure et dure.

.

Quand on touche au vivant, à l’aimant,

Rien ne sert d’être pédant,  être clivant,

Sauf à s’appuyer sur ce dogme religieux,

Que Dieu ait fait Ève compagne d’Adam.

.

.

746 – Calligramme

 .

Qui se ressemble, s’assemble

Dit un proverbe pour se marier

Avez-vous déjà vu la belle le faire

Avec un laid, sauf pour son argent.

Peut-on  dire  qu’homme  et femme

Se  ressemblent : non  ils  diffèrent,

Au moins  par le sexe, procréation,

Et  voire, par le corps, esprit, âme.

Différent  mais  complémentaire,

Mais cela n’a rien  d’un mystère,

Pas même rien d’extraordinaire

La loi du genre, sauf exception.

.

Je suis mâle  et vous femelle,

Je suis révolté  * et vous rebelle,

Je suis beau, et    *      *   vous  êtes belle,

Je suis jeune, et    *           *   vous demoiselle,

Nous ne pouvons    M                L    que nous aimer.

Quoi d’autre, mes     Â                      E    parents, origines,

Des plus nobles et     L                            *     des plus notables,

Mes études, et mon   E                                C    diplôme et métier,

Je serai l’avocat en     S                                     H    défense incroyable

Nous… ne pouvons    *                                          O    que nous… aimer.

Vous êtes la blonde    E                                               I    et moi beau brun

Avez peau de pêche  T                                                 X  et moi peau velue

Un sourire  d’ange    *                                                   *   et moi, de diable

Des yeux de biche    F                                                  N    et  moi, de loup,

 Nous ne pouvons    E                                                O    que nous aimer.

Vous êtes douce     M                                              U    et moi aimable,

Âme   généreuse    E                                             S     moi charitable

Pleine  de  vertu    L                                            *    et moi de vice,

Vous maternelle    L                                        A     moi complice,

Ne pouvons que    E                                    I    nous … aimer.

Je veux une fille      S                             M   et toi un garçon

Je veux un studio     :                       E  et toi une maison

Si tu veux la mer,              *       R   moi la campagne,

On vivra quelque             *           part en Bretagne,

  Nous ne pouvons           *           que  nous  aimer.

   Si tout cela est vrai      *          alors marions-les.

Bien que c’est à eux    *        de voir, décider.

Il ne suffit pas d’être *     beau, d’être belle

Encore moins  un  révolté ou une rebelle

Pour s’accoupler, dans la vie, éternelle !

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

746 4

.

Un flacon de parfum,

 Sinon, une gourde d’eau

Ou une flasque d’alcool

Ou liquide qui ressemble.

Flacon et flasque ne se marient pas

Lors mâles et femelles, eux, le feront :

Objets, d’eux-mêmes ne se reproduiront

Tant et si bien formes diffèrent du fond

Peu importe flacon pourvu qu’on ait

Une  véritable  ivresse   d’aimer

Tant ne faudrait confondre

La gourde et la flasque

Ne pas y souscrire.

.

Symbolique 

.

Lorsque l’on parle de parfumerie,

Même si l’essence odorante en elle-même

Est importante, on ne peut ignorer le flacon.

.

Élément essentiel lié à la conservation

Et au transport du parfum, il sert

Aussi à sublimer son image.

.

Grandes maisons de luxe

Sont bien conscientes

De son importance et

Feront donc appel aux

Plus   grands    designers

De la planète pour élaborer

Des  bouteilles, toujours, plus

Audacieuses et plus somptueuses.

Source : tendance-parfums.com/parfum-

femme/choisir-un-parfum/flacon

.

Descriptif

 .

746 – Mâles et femelles : choix de nous aimer

  Alignement central  /  Titre  analogue  / Thème  liberté

Forme en ovale /  Rimes égales   / Fond éloigné de forme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Peu importe le flacon, pourvu qu’on ait

L’ivresse d’aimer

Il faudrait confondre gourde et flasque

Pour ne pas y souscrire.

.

Symbolique 

 .

La flasque

Pour  l’alcool

Est à l’honneur.

Pas n’importe quelle flasque

Non pas  celle  de l’alcoolique

Qui souhaite atteindre l’ivresse

En catimini  à  n’importe quelle

Heure  de la journée,  mais celle

Hédoniste, qui saura  en profiter

Avec parcimonie, partageant son

Contenu avec une belle rencontre.

Remplie de whisky  ou  de cognac,

Elle trouve sa pertinence en nature

Lors d’une grande balade  en forêt,

Ou sur les rivages  iodés  de l’océan,

Ou bien encore en haute-montagne,

Lors  d’une  randonnée  mémorable.

leparadigmedelelegance.wordpress.com/

inspiration-de-la-semaine-la-flasque

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Masculin et féminin ne sont pas liés à l’amour :

il y a des exceptions de personnes de même sexe,

qui s’aiment et fondent un couple, élèvent enfant

mais pour ce qui est de la reproduction, cellules

sexuelles la gouverne, sans aucune dérogation

pour ce qui est des humains que nous sommes

à chacun de déterminer caractère sexualité !

 .

.

S’aimer en toutes occasions

.

Scénario

.

Une cellule sexuée mâle poursuit assidument une cellule femelle,

un rapprochement se décide quand il se font face lors leur union,

un autre être en naitra : de son sexe, ferait-il le choix lui-même !

 .

Visuels et textuels  >>

745 – Je marcherai, sur les chemins, à ta rencontre

Visuels et textuels  >>

.

Marche, chemin, rencontre

Trois mots qui, à l’encontre

Rester, chez soi,  immobile,

N’auraient  rien de   stérile.

.

Au tournant, halte, carrefour,

Seront autant occasions de voir

La vie  sous ses  différents  jours,

Parfois blanc, parfois rose, noir.

.

Marcher ici puis marcher là,

Dans désert, la montagne,

En mer, en campagne,

Jusqu’à te trouver !

.

Je marcherai sur les chemins à ta rencontre

Je partirai, le long des plages, à ta recherche,

Je volerai, traversant les airs, à ta  conquête !

.

En sentiers de randonnée et au milieu du bois

En chemins de campagne, pistes de montagne,

En plages  de sable fin, à perte de vue, désertes,

Et  en surplomb des falaises  aux roches acérées

Dans l’air qui s’élève, jusqu’aux cimes de poètes.

.

Sur mers, qui n’en finissent de souffler tempêtes,

Nos rencontres se feront  au fil d’aventures d’être,

Notre conquête en peut-être en quête de nos êtres

Notre recherche finit à ce qu’il nous plaira d’être.

.

J’irai, et, je m’éloignerai,

Bien  au-delà des  frontières,

Je partirai, puis  je  voyagerai

Et,   bravant  tous  les dangers,

Et je volerai et je nagerai mais

Vers toi, toujours,  reviendrai.

.

Et  j’irai, bien  éveillé,  jusqu’au

Plus   lointain de tous mes rêves,

En  traversant  le long  de ma  vie,

Tous les fleuves du  profond  désir

Et dans lesquels me  baignerai nu,

Et  cela, jusqu’au  dernier  soupir !

.

N’est-ce pas ce  que  l’on imagine

Assez  bien, chacun d’entre nous,

Quelque  chose d’autre à ajouter,

Rien pour moi, et quant à vous !

.

.

Extensions

 .

Je marche,

Sur le chemin,

À ta  …  rencontre :

Cri du cœur, idée esprit,

Acte de foi, d’âme, s’il en est !

On pourrait, toujours, en rajouter

Tant que  la passion, l’amour, l’espoir,

Demeurent intacts, revenir vers quelqu’un

Que l’on cherche jusqu’aux confins du monde :

Cela ne vous sera peut-être jamais arrivé mais un

Voyage peut vous fait voir vos amis sous autre angle.

Chapelet des rencontres  ou  de successions de déserts :

À chacun  de privilégier  la formule, qui lui  corresponde.

En tout état de causes, il faut se retrouver soi-même avant

Trouver l’autre, marche est une métaphore du mouvement.

Ce n’est pas tant la forme prise qui compte que le processus

Qui la décide, qui le remplit, qui lui réussit.

J’ajouterai à cela : il n’y a rien à

Rajouter bien que déjà dit.

.

Chacun marche partout, en ville, campagne, montagne,

Jusqu’à ce qu’une rencontre les fasse marcher, de concert

Et qu’ils continueront à le faire sur la voie qu’ils ont tracé.

En montagne, en forêt, on peut marcher  durant des heures

Sans croiser   âme qui vive, et sans échanger, avec personne,

Mais qu’importent les distances et solitudes, si, au bout, il y a

Une rencontre allant en même direction avec le même plaisir !

.

Rester, chez soi, à attendre

Ou marcher à ta rencontre

Ou se croiser… sans se voir

Trois alternatives à prévoir

.

Je n’aurai trouvé personne,

Personne ne m’aura trouvé,

Mais je continue à chercher,

Celui, celle, un jour, je sonne.

.

Me représentant quelqu’un (e)

Je me livre à ma bonne fortune

Lors ma rencontre est différente

Variation sera plus que tentante.

.

Tant, de modèles, je me défendrai,

M’étant suggéré par communauté,

Ce qui compte n’est pas apparence

Mais le fond du cœur en présence !

.

.

745 – Calligramme   

 .

Marche, chemin, rencontre

Trois mots qui …  à l’encontre

De  rester,  chez   soi,  immobile,

N’ont   Ô    rien de    Ô     stérile.

Lors tournant  //   halte,  carrefour,

Seront autant //  d’occasions  de voir

La vie  sous // ses  différents  jours,

Parfois blanc ==== rose, noir.

Marcher ici puis marcher là,

Dans désert, montagne,

En mer, campagne,

Jusqu’à te trouver !

.

Je marcherai sur les chemins à ta rencontre

Je partirai, le long des plages, à ta recherche,

Je volerai, traversant les airs, à ta  conquête !

.

En sentiers de randonnée et au milieu du bois

En chemins de campagne, pistes de montagne,

En plages  de sable fin, à perte de vue, désertes,

Et  en surplomb des falaises  aux roches acérées

Dans l’air qui s’élève, jusqu’aux cimes de poètes.

.

Sur mers, qui n’en finissent de souffler tempêtes,

Nos rencontres se feront  au fil d’aventures d’être,

Notre conquête en peut-être en quête de nos êtres

Notre recherche finit à ce qu’il nous plaira d’être.

.

J’irai, et, je      M                      V    m’éloignerai,

Bien  au-delà   A                     E   des  frontières,

Je   partirai,    R                    R   et  je  voyagerai

Et   bravant     C                   S   tous les dangers,

Et je volerai     H                  *   je  nagerai   mais

 Vers toi, tou    E                 T   jours,  reviendrai.

 *                A  …..

 Et j’irai, bien    S                 *    éveillé,     jusqu’au

 Plus   lointain   U               R   de tous   mes rêves

 En  traversant   R               E    le long   de ma  vie

  Tous les fleuves   *              N     du  profond   désir

 Et dans lesquels   C             C    me   baignerai nu,

  Et cela jusqu’au   H             O    dernier …  soupir !

 E              N

N’est-ce pas ce      M               T    que l’on imagine…

 Assez  bien  cha      I                  R   cun  entre nous, ….

Quelque  chose        N                  E  d’autre à ajouter …..

 Rien, pour moi,        *                     *   et quant à vous……..

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

745 4

.

Silhouette d’un marcheur

Au pas rapide au pas décidé

 En cours de longue randonnée

Jusqu’à rencontre âme-sœur.

.

Marche, rencontre, vont ensemble

bien mieux que de rester … chez soi,

dès qu’on se met d’humeur vagabonde

toutes ses formes avancent vers le fond.

.

Homme seul mais fort motivé,

Marcheur sur une voie ferrée,

Puis  sur n’importe  quel chemin,

En vue de rencontre âme-sœur.

.

Symbolique 

 .

Les schèmes symboliques

Qui manifestent cette marche

De l’être humain vers l’inconditionné

Se décryptent en expérience spirituelle,

Que celle-ci soit plutôt d’ordre esthétique,

Philosophique, gnostique ou mystique.

.

Le symbole du chemin constitue l’un

Des éléments de l’image archétype

Qu’être humain se forme de lui-même.

Révèle essence humaine «être-en-recherche».

Source : universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

Descriptif

745 – Marche sur le chemin, vers ta rencontre

  Alignement central  /  Titre  dédoublé  / Thème  liberté

Forme anthropo /  Rimes égales   / Fond accordé à forme

Symbole de forme : marcheur / Symbole de fond : rencontre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

745 6

Changer l’image ici 

.

Homme seul mais fort motivé,

Marcheur sur une voie ferrée,

Ou sur n’importe  quel chemin,

En vue de rencontre âme-sœur.

  .

Symbolique 

 .

Chaque rencontre

D’amour aura le sentiment

De ne ressembler à aucun autre.

Dans la lignée des philosophes grecs,

Les psys dégagent pourtant trois profils

Types de l’état amoureux, et dans lesquels

Nous pouvons tous nous reconnaître. :

 .

Éros : L’amour passion ;

Agapè : l’amour-amitié :

Philia : l’amour profond

De l’être humain entier.

psychologies.com/Couple/

Vie-de-couple/Amour

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

La marche est le chemin, l’énergie, l’élan

La rencontre est l’opportunité, l’instant,

Où l’on se croise,  se parle, et  s’entend,

.

Pour poursuivre le chemin ensemble,

Ou l’on se quitte et tout fout-le-camp

Tout est à refaire … à recommencer.

.

Irai-je plus loin ou … abandonner :

Je suis fatigué   à force de marcher,

Mais je sais qu’au bout, te trouverai,

C’est ce que j’espère, c’est ma destinée.

 .

.

Chemin de Compostelle

.

Scénario

.

Je marcherai dans les montagnes et les vallées, pour te chercher,

je marcherai en toutes campagnes et toutes forêts pour te trouver :

et, si on se croise, on ira ensemble, dans la même direction, toujours !

 .

Visuels et textuels  >>

744- Je voudrais être un oiseau, dans les airs

Visuels et textuels   >>

.

Être un  … oiseau,

Colibri  ou  condor,

Minuscule  ou géant.

L’un, battant des ailes,

Près de cent par seconde,

L’autre planant en hauteur

Sans bouger  un bout d’ailes.

.

Sans compter œil de l’épervier

Qui voit dans un trou de souris,

À près de cent mètres de hauteur

Mais, si cela est bien de prendre

De la hauteur,  vouloir monter

Très haut devient très chaud

Au point de risquer chute.

.

Je voudrais être oiseau,

Grimpant en les airs,

Survolant  la Terre,

Planant sur  l’eau,

Un oiseau,  de feu :

S’envolant où il veut,

Pour s’évader de misère

Qu’il voit trop sur la Terre.

 .

Mes ailes déployées

Prendraient de l’envergure

Avec ma vie, au fur et à mesure,

Et me procureraient moyens d’aimer,

Visiter lieux que je n’ai pas découvert,

Rencontrer les gens chez eux au vert

Et toujours, partir … sans se fuir,

Pour être bien  …  pour en finir.

.

Que je sois cormoran ou pétrel

Cigogne ou bien rose flamant,

Qu’importe,  si j’ai leurs ailes,

Migrant du sud au printemps

Et sillonnant  des campagnes,

Survolant mers, et montagnes,

Pour rejoindre  ancien lieu-dit,

Pour y refaire, à deux, leur nid.

 .

Lit d’amour des petits,

Pour les nourrir sans façon,

En fond de lac nous plongerons,

Pêcherons ensemble, compagnons,

Notre vie sera, de nature, toute faite,

Les jours assureront survie et fêtes,

Humains, jamais, ne se posent,

.

Ne pas compliquer choses.

En battant des ailes  … j’irai

Partout où, d’être, je choisirai,

Ma liberté surveillée, non prison,

Ma cage ayant pour limite l’horizon,

J’ai volé cette poésie à l’amante chérie

Qui me l’a fort inspirée, à qui je la dédie.

.

.

Extensions

 .

Je voudrais être un oiseau,

Dans les airs pour prendre de la

Hauteur par rapport à mes activités,

Mes relations, mes affections, humeurs,

Et même mes défauts de caractère, travers.

Pour voir  ce que  les  autres  font de leur vie,

Ce que j’ai, de commun, que j’ai, de différent,

Contraire d’eux ce peu de supplément d’âme

Qui créé mon identité, et ma personnalité,

Ce qui peut changer dans la vie à deux.

Vaste programme et parcours de vol

Quand avec toi je décolle, je survole

Je me trouve à tracer des courbes,

Autour de  notre  planète … intime

Pour tenter de faire œuvre sublime.

J’ai volé cette romance amante chérie

Qui me l’a inspirée, et à qui je la dédie !

.

Voler, rien de plus simple et naturel pour un oiseau

Rien de plus complexe et arrogant pour un homme !

Il n’y a guère que les chefs d’orchestre, avec baguette,

Qui  parviennent, magiquement, à élever  un morceau.

Il parait  que  la raie Manta, ainsi que cousins marins,

Se déplacent, en imitant le vol des oiseaux, dans l’eau.

Lequel s’est inspiré de l’autre : héritage d’évolutions ?

Le poète a été comparé par Baudelaire à un albatros

Qu’il qualifiera de semblable au…prince des nuées !

.

L’oiseau est un symbole de prise de hauteur,

À la fois de légèreté, de survol de toute chose,

Parait moins grand, plus lourd lors il se pose,

Lors s’envole comme albatros, plus marcheur.

.

Ce qui caractérise un oiseau, ce sont ses ailes :

C’est pourquoi l’on en a prêté, donné aux anges,

Qui pourtant évoluent en un lieu en apesanteur :

Tant religion n’en serait pas à un paradoxe près !

.

À défaut d’avoir des ailes, l’homme à une langue

Avec laquelle ses mots s’envoleront de sa bouche

Et que parfois, par écrit, en souvenir, les couche

Pour que feuilles s’envolent selon leur destinée.

.

.

744 – Calligramme   

 .

Être un  … oiseau,

Colibri  ou  condor,

Minuscule  ou géant.

L’un, battant des ailes,

Près de cent par seconde,

L’autre planant en hauteur

Sans bouger  un bout d’ailes.

Sans compter œil de l’épervier

Qui voit dans un trou de souris,

À près de cent mètres de hauteur

Mais, si cela est bien de prendre

De la hauteur, vouloir monter

Très haut devient très chaud

Au point de risquer chute.

Je voudrais être oiseau,

Grimpant en les airs,

Survolant  la Terre,

Planant sur  l’eau,

Un oiseau, de feu :

S’envolant où il veut,

Pour s’évader de misère

Qu’il voit trop sur la Terre.

VOUDRAIS ÊTRE

Mes ailes déployées

Prendraient de l’envergure

Avec ma vie, au fur et à mesure,

Et me procureraient moyens d’aimer,

Visiter lieux que je n’ai pas découvert,

Rencontrer les gens chez eux au vert

Et toujours, partir … sans se fuir,

Pour être bien  …  pour en finir.

Que je sois cormoran ou pétrel

Cigogne ou bien rose flamant,

Qu’importe,  si j’ai leurs ailes,

Migrant du sud au printemps

Et sillonnant  des campagnes,

Survolant mers, et montagnes,

Pour rejoindre  ancien lieu-dit,

Pour y refaire, à deux, leur nid.

UN OISEAU

Lit d’amour des petits,

Pour les nourrir sans façon,

En fond de lac nous plongerons,

Pêcherons ensemble, compagnons,

Notre vie sera, de nature, toute faite,

Les jours assureront survie et fêtes,

Humains, jamais, ne se posent,

DANS LES AIRS 

Ne pas compliquer choses.

En battant des ailes  … j’irai

Partout où, d’être, je choisirai,

Ma liberté surveillée, non prison,

Ma cage ayant pour limite l’horizon,

J’ai volé cette poésie à l’amante chérie

Qui me l’a fort inspirée, à qui je la dédie.

.

.

Forme

Réduction.

.

Évocation 

.

744 4

.

En fait d’oiseau,

Cela  ressemblerait

Plutôt  à  bombarde

Qui crève l’air avec son

.

Bombarde comme instruments musique

est loin d’être comme oiseau dans les airs

même si son chant peut, parfois, l’évoquer

sa forme ne correspond en rien au fond.

.

Qu’y aurait-il de comme entre des oiseaux

Et une bombarde :

Rien sauf qu’éperviers, quand on chasse,

On les bombarde aussi !

.

Symbolique 

.

Connues dès la plus haute antiquité

Et dès le moyen âge, la cornemuse

Et la bombarde, auront très vite

Pris racine  dans les pays bretons.

.

Au gré  des évolutions  techniques,

Modes musicales, pressions sociales

Et des grands évènements historiques,

Le couple  bombarde-biniou est devenu,

L’expression de certaine culture populaire.

.

Culture puisant sa force  en la tradition orale,

Rayonnant des cours de ferme au cœur des bourgs,

Des grèves à la lande, de la Basse Bretagne à péninsule.

Modifié, source : mesgenealogies.blogspot.com/2013/07/la-bombarde.

.

Descriptif

.

744 – Voudrais être un oiseau dans les airs  

  Alignement central    /  Titre  intercalé  /    Thème  oiseau

Forme droite  /    Rimes égales    /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bombarde / Symbole de fond : épervier

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Qu’y aurait-il de comme entre des oiseaux

Et une bombarde :

Rien sauf qu’éperviers, quand on chasse,

On les bombarde aussi !

.

Symbolique de fond

 .

Dans le Dictionnaire des symboles

De Jean Chevalieret Alain Gheerbrant,

On découvre que : « Dans notre langage,

L’épervier est symbole d’usure, de rapacité,

Comme la plupart des oiseaux de même espèce,

Aux serres crochues. Du fait que la femelle est

Plus forte, plus habile que le mâle, symbolise

Aussi le couple où la femme domine.

.

On se souviendra qu’en fonction des

Mœurs de l’époque, le port de l’épervier

Sur le poing fut autrefois un signe

De noblesse et de distinction diem faucon.

Oiseau chasseur et agressif,

Désigne aussi le pénis.

Luminessens.org/post/2017/01/14/lepervier

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

On  voit et  on entend

Rarement en faire autant

De bruit avec un instrument,

Si petit qu’on le mettra en poche

Tout comme  un tout petit  oisillon,

Crie après sa mère comme un sourd.

.

Un épervier crie autant, pour sa taille

Quand on rêve d’être un oiseau en l’air,

Ce n’est chant qui nous attire : son vol

Surtout quand il est haut et planant

Permet contempler les paysages.

 .

.

En un vol plané, planant

.

Scénarios

.

Quand certains rêveraient d’être un aigle, ou  un oiseau de proie,

autres rêvent d’être chef d’orchestre, ou scénariste,  ou réalisateur,

je rêve d’être oiseau fantasque, mythique, fantastique, chimérique !

 .

Visuels et textuels   >>

743 – Des temps forts suivis de temps morts !

Visuels et textuels  >>

.

Temps forts suivis

Par temps  morts

On ne peut rester

Trop longtemps

Sur les crêtes

Des   nerfs

Sans un

Re-pos

Marqué

Avant de

Re-prendre

Toute activité

Avec  gros  effort.

.

L’alternance de temps

Nécessaire indispensable

Autant à  activité, qu’à rêve,

Comme  toute pulsation de vie,

Qu’elle soit vibrante,  soit  vivante.

.

Comment rester sur le fil quand il se profile

Pics d’émotions mettant nos corps en vibration,

Invisible à l’intérieur quand indicible à l’extérieur

Tout vacille quand sexe, indocile en l’âme, se faufile,

Lors explose sensations de grands frissons à l’unisson,

Gonflées par fusion postérieur autant que par œil rieur.

.

La vie s’écoule,  amants  se roulent  sont en pleine houle,

Vient le moment où à contre temps, en plein firmament,

Temps qui s’arrête de conter fleurette à ses amourettes

Chacun se sépare chacun s’écarte  chacun s’écroule

En repliements, étourdiments,  remerciements

Nos interprètes   de l’amour      font retraite.

.

Temps s’est distordu comme en corps nus,

Place au temps mort  au plein de remords,

Et pour recommencer sans jamais se lasser

Faut que ce soit rêve d’être Adam ou Ève !

.

.

Extensions

 .

Temps forts suivis de temps morts :

Mais ne sont pas les mêmes pour tous :

Parfois des repas, parfois sexes, jeux ou arts.

Chacun fait selon ses passions ou ses raisons.

.

Des temps forts  pourront durer  des heures ;

On ne pourrait demeurer sur un temps fort,

Une éternité, temps de penser à une idée,

Le temps de le dire, le temps de l’écrire

Et le temps fort  est  déjà  passé  dans

L’excitation du moment ou relectures,

Modifications ne sont pas aussi créatives.

.

Toute création procèderait d’un temps fort,

Précédé, et, suivi, de différents temps morts

Et  pour son incubation, pour son évolution :

Concentration d’énergie et fluidité de l’esprit,

Activation du corps, tout y est, sauf célébrité !

.

Le rêve est considéré, comme  un temps mort,

Alors  qu’il se révèlera source d’un temps fort,

Au réveil, quand  un scénario  vient à l’esprit.

Les temps forts sont faits pour être partagés

Et ils le sont, d’autant plus, s’ils créent des

Souvenirs se reliant les uns aux autres

Comme ne faisant plus qu’un.

.

Temps fort : exposer ; temps mort,  pause-café,

Encore que le cerveau, lui, continue à chauffer

Temps mort, temps fort est appelé fractionné

C’est le cas en sports, bien d’autres activités !

Jeter un poème, écrit sur le papier ou clavier

Est, sans aucun doute, parmi les temps forts,

Pour autant, modifier, n’est pas temps mort :

La pensée se projette  avant de se matérialiser,

Seul temps mort  est  quand  on a enfin terminé.

.

La vie ne peut être faite que de temps forts,

Le pire serait qu’il n’y ait que temps égaux :

Même ennui tout le temps, quoiqu’on fasse

Serions dans prison, pas couloirs du temps.

.

Les temps forts sont liés à l’activité au défi,

Comportent large part de stress, d’émotions

Et parfois même  d’agitations, palpitations :

C’est son souvenir qui nous les gardera aussi

.

Toute écriture, qu’elle soit textuelle, poétique,

Lors elle jaillit, de son esprit, est un temps fort

Ensuite s’il faut la reprendre, retravailler, fixer,

On considère cela parfois comme temps morts.

.

.

Épilogue

.

Le temps n’aurait rien de linéaire :

Pour autant, il n’est pas circulaire,

Il est fait  de temps morts  et forts,

Alternant  en  éveillé  ou  en  dort !

***

Point de vue  d’activité  conviviale,

Professionnelle, sociale,  familiale,

L’amour serait comme temps mort

Et celui plus personnel, temps fort.

***

Il en est de même lors de créativité,

Temps fort s’il en est, impondérable

Et parfois, en temps mort, enraciné,

Tant il dérive d’inconscient, notable.

***

Cela indiquera qu’il faut respirations

Pour mieux trouver ses inspirations :

Pour qui veut créer son œuvre, sa vie,

Rien n’est inutile ni à jeter,  desservis.

***

Pour finir,  en beauté,  sur temps forts,

Je dirai qu’écrire poésie, l’est pour moi,

Je ne perçois plus le temps espace en soi,

Parfois, le reste me parait être temps mort.

.

.

743 – Calligramme   

 .

Temps forts suivis

Par temps  morts

On ne peut rester

Trop longtemps

Sur les crêtes

Des   nerfs

Sans un

Re-pos

Marqué

Avant de

Reprendre

Toute activité

Avec  gros  effort.

.

L’alternance  T de temps

Nécessaire  E    indispensable

Autant à  M        activité, qu’à rêve,

Comme     P           toute pulsation de vie

Qu’elle       S           soit vibrante,  soit vivante.

.

Comment rester sur le fil quand il       *      se profile

Pics d’émotions mettant nos corps en      F    vibration,

Invisible à l’intérieur quand indicible à        O    l’extérieur

Tout vacille quand sexe indocile en l’âme,         R      se faufile,

Lors explose sensations de grands frissons à        T         l’unisson

Gonflées par fusion postérieurs autant que par     S          œil rieur.

 .

La vie s’écoule,    T     amants se roulent  sont       M  en pleine houle,

Vient le moment    E    où à contre temps, en       O   plein firmament,

Temps qui s’arrête   M    de conter fleurette       R    à ses amourettes,

Chacun se sépare     P      chacun s’écarte        T     chacun s’écroule

En repliements,       S     étourdiments,       S      remerciements

Nos interprètes      *     de l’amour           *       font retraite.

.

Temps s’est distordu                    comme corps nus,

Place au temps mort          au plein de remords,

Et pour recommencer sans jamais se lasser

Faut que ce soit rêve d’être Adam, Ève.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

743 4

.

Vase qu’on pourrait

 Faire  passer  pour

Une  belle  cruche

En temps mort.

 .

Les pleins en ce vase : temps forts

et creux en ce vase : temps morts

ou forme bombée, forme rétrécie,

en tous cas, vase évoque les deux.

 .

Un  temps fort et un temps mort

Sont pareils à cette cruche :

La partie bombée est temps fort ;

Celle rétrécie, temps mort !

 .

Symbolique 

 .

Le temps à travers le temps

Ou le voir à travers la  musique.

«Or, tant les coureurs que les désœuvrés

S’entendent pour qualifier de temps mort

Les temps d’arrêt et les moments d’attente,

Heures creuses où rien ne semble se passer.

Le temps vivant, ce serait   le temps occupé,

Qui court, qui sert, le temps   à toute vitesse;

Le temps qui accélère, ou  le temps qui grise,

Les temps forts que pour les forts, seulement.

.

Et s’ils se trompaient ?   Et si le temps vivant

Était ce temps au ralenti qui s’arrête presque

Quand on prend le temps de vivre, un adagio

Baroque, doux et lent, en vent de soir d’été ?»

agora.qc.ca/chroniques/temps-vivant-temps-mort

.

Descriptif

 .

743 – Temps forts suivis de temps morts  

  Alignement central    /  Titre  cercle  /    Thème  rythme

Forme ronde  /    Rimes égales    /  Fond approché de forme

Symbole de forme : temps-mort / Symbole de fond : temps-fort

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

743 6

.

Un  temps fort et un temps mort

Sont pareils à cette cruche :

La partie bombée est temps fort ;

Celle rétrécie, temps mort !

.

Symbolique 

 .

On  me parle de ce temps mort,

ce sont ses propres mots, de ce temps mort,

Juste avant une improvisation, il est musicien de jazz,

Va-t-il se laisser aller au-delà de la technique

Ou penser et jouer seulement  comme tout le monde .

.

Ce léger laps d’attente évoque la mort indéfinissable

Et  inconnu, cet  arrêt  marque  l’étendue  de  la  vie :

Le débordement pulsionnel installe un vide de penser

Et peut se transmuer en un travail créatif associatif.

cairn.info/revue-libres-cahiers-pour-la-psychanalyse

.

 

Corrélations

Fond/forme 

 .

La France est divisée

« Pot » ou « cruche » ici,

« Broc » ou « carafe » là ?

Mais l’on serait stupide

Tout comme une cruche

Et sourd comme un pot

Pour rester en carafe.

Cela  me parait  plein

De bric  et  de  broc !

Je requiers une pause,

Pour faire temps mort,

Et changer  ces symboles

Pour passer un temps fort !

 .

.

Temps mort de Dali

.

Scénario

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temps forts et collectif, lors d’un exposé, d’une réunion, conférence,

temps morts,  pause, mis à profit pour échanger, faire autre chose :

temps forts de la journée par définition, les plus limités, concentrés.

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Visuels et textuels  >>

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Visuels suggestion de scénario

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temps forts et collectif, lors d’un exposé,

d’une réunion, conférence,

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temps morts, pause, mis à profit

pour échanger, faire autre chose :

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temps forts de la journée par

définition, les plus limités, concentrés.

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Textuels calligramme / extensions

£  +   &   #

  • £  Temps forts suivis par temps morts : on ne peut rester trop longtemps sur les crêtes des nerfs sans un repos marqué avant de reprendre toute activité avec gros effort. L’alternance des deux temps est nécessaire, indispensable, autant à l’activité qu’au rêve, comme toute pulsation de vie, qu’elle soit vibrante, vivante. Comment rester sur le fil quand se profile des pics d’émotions mettant nos corps en vibrations, invisibles à l’intérieur quand indicibles à l’extérieur. Tout vacille quand le sexe, indocile, en l’âme, se faufile, quand explose des sensations de grands frissons à l’unisson, gonflé par fusions postérieurs autant que par yeux rieurs. La vie s’écoule, amants se roulent, sont en pleine houle. Vient le moment où, à contre temps, en plein firmament, le temps s’arrête de conter fleurette à ses amourettes.  Chacun se sépare, chacun s’écarte, chacun s’écroule en repliements, étourdissements, remerciements : les interprètes de l’amour ont fait retraite. Le temps s’est distordu comme les corps nus, place au temps morts ou plein de remords. Pour recommencer, sans jamais se lasser, il faut que ce soit un rêve d’être couple Adam et Eve.

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  • + Temps forts suivis de temps morts : pas les mêmes pour tous : parfois des repas, parfois sexes, parfois jeux ou arts. Chacun fait selon ses passions, certains selon leurs raisons. Des temps forts peuvent durer des heures ; des temps morts, des jours entiers, sinon l’inverse : le rapport est déséquilibré. On ne pourra demeurer sur un temps fort, toute une éternité. Le temps de penser à une idée, le temps de le dire, le temps de l’écrire et le temps fort est déjà passé dans l’excitation du moment, relectures, modifications ne sont pas aussi créatives. Toute création procède d’un temps fort, précédé et suivi de temps morts pour son incubation, évolution : concentration d’énergie, fluidité de l’esprit, activation du corps, tout y est. Le rêve, considéré, par définition comme un temps mort, l’est parfois à tort quand il se révèle source d’un temps fort, par la suite, au réveil quand un scénario vient à l’esprit. Les temps forts sont faits pour être partagés et ils le sont d’autant plus qu’ils créent des souvenirs qui se relient les uns aux autres comme ne faisant plus qu’un.

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  • & Temps fort : exposer ; temps mort, pause-café, encore que le cerveau lui, continue à chauffer. Temps mort, temps fort, est appelé fractionné : c’est le cas en sports, bien d’autres activités ! Jeter un poème, écrit sur le papier ou clavier, est, sans aucun doute, parmi les temps forts ! Pour autant, modifier, n’est pas temps mort ! La pensée se projette avant de se matérialiser : seul temps mort est quand on a enfin terminé.

 .

  • # La vie ne peut être faite que de temps forts, le pire serait qu’il n’y ait que temps égaux : même ennui tout le temps, quoiqu’on fasse, nous  serions dans une prison et pas dans les couloirs du temps. Les temps forts sont liés à l’activité au défi, comportent large part de stress, d’émotions, et parfois même d’agitations et de palpitations : c’est son souvenir qui nous les gardera aussi. Toute écriture, qu’elle soit textuelle, poétique, lors elle jaillit, de son esprit, est un temps fort, ensuite s’il faut la reprendre, retravailler, fixer, on considère cela parfois comme temps morts.

 .


 .

Textuels symboliques et corrélations

 .

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Temps mort

  • Symbolique de forme : Le temps, à travers le temps, ou le voir à travers la  musique. «Or, tant les coureurs que les désœuvrés s’entendent pour qualifier, de temps morts, les temps d’arrêt et les moments d’attente, heures creuses où rien ne semble se passer. Le temps vivant, serait le temps occupé, qui court, qui sert, le temps  à toute vitesse, le temps qui accélère, ou  le temps qui grise. Les temps forts que pour les forts, seulement. Et s’ils se trompaient ? Et si le temps vivant était ce temps au ralenti qui s’arrête presque quand on prend le temps de vivre, un adagio baroque, doux et lent, en vent de soir d’été ?»     agora.qc.ca/chroniques/temps-vivant-temps-mort

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Temps mort

  • Symbolique de fond : On me parle de ce temps mort, ce sont ses propres mots, de ce temps mort, juste avant une improvisation, il est musicien de jazz, va-t-il se laisser aller au-delà de la technique ou penser et jouer seulement comme tout le monde ? Ce léger laps d’attente évoque la mort indéfinissable et inconnue, cet arrêt marque l’étendue de la vie. Le débordement pulsionnel installe un vide de penser et peut se transmuer en un travail créatif associatif. cairn.info/revue-libres-cahiers-pour-la-psychanalyse

 

Temps fort > division, pause, temps mort, symboles

  • Liens fond/forme: La France est divisée en « pot » ou « cruche » ici, « broc » ou « carafe » là ? Mais l’on serait stupide tout comme une cruche et sourd comme un pot pour rester en carafe. Cela me parait plein de bric et de broc ! Je requiers une pause, pour faire temps mort, et changer ces symboles pour passer un temps fort ! 

742 – La belle distorsion du temps des amants !

Visuels et textuels >>

.

Le temps est

Pure   notion,

Ou  objective,

Ou subjective

Poly-sémique.

Celui d’amant

Est spécifique

Du  fait  qu’il

Vit  en   bulle.

.

Il se tord, se retord

Ou encore,  se distord,

En fonction de sensations,

Bien plus que fonction mort

Ne pouvant mettre fin passion

Dévorante, voire chronophage,

En tous cas toute  en illusions.

.

Temps s’étire et plus il se tire,

Temps soupire, plus il expire

Temps secrète bel air de fête,

Temps s’arrête et j’ai l’air bête.

.

Veux dormir pour  mieux m’embellir,

Tant la nuit, je rêve  enfin de m’épanouir

Lors bête à deux dos  en peau contre peau,

En bête deux faces   en laissant ses traces

Sur grand lit blanc sur mes tourments,

Pour qu’il fasse  pour qu’il refasse

Saut l’arrière   et saut devant.

.

À ce tempo   de mon dodo

Belle fenêtre  que je pénètre

En ouvertures puis fermetures

En mouvements juste pour temps

De bien paraître  ou de mieux être,

Longue… armure, profond murmure,

Et à tous instants,  les rendra excitants.

.

.

Extensions

 .

Une distorsion du temps d’amants :

«Mon Dieu, il est déjà cette heure-là,

Il faut que je file, je suis  en retard. »

Cela se dit après  évidemment : avant,

Plus encore pendant, le temps n’existe

Plus vraiment en tête nombre amants.

.

Autre distorsion du temps d’amants :

«Je  suis  arrivé  une   heure  en avance

À mon rendez-vous,  tellement j’avais

Peur de le manquer   ou ne pas savoir

Où me garer, jusqu’à le ou (la) rater.»

Cela ne se fait pas  pour un rendez-vous

À Pôle Emploi ou chez autre employeur :

Question de priorité, à gérer, pour la vie.

.

Autre distorsion  du temps  des amants :

«J’ai égaré  ma montre,    mon  téléphone,

Si fait je ne regarde,  ne sait pas l’heure,

Si fait que je ne réponds plus personne.»

Cela veut dire que l’extérieur, clairement,

N’a plus aucune espèce d’importance tant

Que l’on est, reste en présence de l’amant.

.

Et autre  distorsion  du temps  d’amants :

«L’on ne devait pas diner  chez des amis !

Ce soir ils peuvent attendre longtemps

Cela se transforme en coup de téléphone

Pour  annoncer  un  empêchement  de

Dernière  minute, ou  de la migraine

Carabinée pour s’excuser de n’avoir

Pas eu le temps de décommander.

.

Que le temps se distorde, s’accélère, s’arrête, se ralentisse,

Rien de plus normal

Il est perçu ainsi, dans un déroulement subjectif, non lisse,

Comme pour un animal.

Même s’i l’on en fait rien, le temps passera et notre cerveau

De toute façon nous rappellera

Qu’il faut manger, qu’il faut s’activer, et qu’il faut dormir,

Pour les amants, qu’il faut en finir.

.

Il existe encore des gens à notre époque

Qui n’ont pas de montre ni de smartphone :

On se demande comment ils évaluent le temps.

Chacun sait que nous avons une « horloge interne »,

Biologique pour les passages de jour à sommeil de nuit

Mais pour chaque heure et prendre ses repas : comment !

Quand le corps réclame à manger, quand le sommeil gagne :

Mais on n’est pas des chats et l’on n’est pas non plus des poules

Nous faut croire que notre cerveau distord le temps à notre profit

.

.

Épilogue

.

Il n’y a pas que le temps qui se distord,

Qui se réduirait ou qui se perpétuerait,

Il y a aurait aussi l’espace où l’on dort,

En bras du partenaire qu’on aimerait !

***

Temps des amants est temps présent,

En concentré chaque minute passant

Absents  de tous les bruits ambiants,

De tous les espaces …  environnants.

***

Point  besoin  d’horloge, balancier,

Ni même de jour  ni de calendrier,

Répétitions actes sexuels suffisant

À gommer le temps : rendu néant.

***

Distorsions vécues, de l’intérieur,

L’amour se pointe  à l’improviste,

Et il montre  qu’encore on existe,

Gommant une action extérieure !

***

On bouge, se tord à raison ou tort,

On en perd le Sud et puis le Nord :

L’amour est tout  sauf temps mort,

Surtout  quand il agit  au plus fort !

.

.

742 – Calligramme  

 .

Le temps est

Pure   notion,

Ou  objective,  

Ou subjective 

 Poly-sémique.

 Celui d’amant

 Est spécifique

Du  fait  qu’il

 Vit  en   bulle.

.

****************

*****************

.

Il se tord, B se retord

Ou encore,    E   se distord,

En fonction     A    sensations,

Bien plus que   U fonction mort

Ne pouvant met X   tre fin passion

Dévorante, voire  *      chronophage,

En tous cas toute  A         en illusions.

Temps s’étire        M          plus se tire,

Temps soupire       A         plus il expire

Temps secrète         N         bel air de fête,

Temps s’arrête         T        et j’ai l’air bête.

Veux dormir pour      S      mieux m’embellir,

Tant la nuit, je rêve       *      enfin de m’épanouir

Lors bête à deux dos       D       en peau contre peau,

En bête deux faces      I     *    U    en laissant ses traces

 Sur grand lit blanc  S         *         *   sur mes tourments,

Pour qu’il fasse   T              *            T  pour qu’il refasse

  Saut l’arrière   O   *  *  *  O  *  *   *  E    et saut devant.

  À ce tempo    R               *              M     de mon dodo

Belle fenêtre   S            *            P  que je pénètre

En ouvertures      I     *    S     puis fermetures

En mouvements        O        juste pour temps

De bien paraître       N       ou de mieux être,

 Longue… armure       *       profond murmure,

 Et à tous instants        *         le rendra excitant.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

742 4

.

Une silhouette

 D’un couple fusionnel

 Sinon  horloge  comtoise 

Datant de   son   grand   temps ?

L’horloge mesure et indique le temps,

Est en phase  avec celui  qui le consulte :

Le tic-tac du balancier sert de métronome,

Tant et si bien que la forme épouse le fond

Temps d’horloge des amants est bien

Plus distordue qu’une heure exacte,

Avec distorsion du temps subjectif,

Par  rapport  au  temps dit  objectif !

  .

Symbolique 

 .

Cet objet familier a été d’emblée

Très chargé de symbolisme et les

Hommes ont projeté sur l’horloge

Tous questionnements quant au temps.

.

Le temps en états, quantitatif et qualitatif,

Le temps qui passe, le temps qui presse,

Le temps qui fuit, le temps de l’oubli,

La marque du  temps … l’horloge

Scande chaque étape de la vie,

Par  ses  coups  horaires  et  son

Tic-tac nous encourage à l’activité.

.

Regarder une heure  à une horloge :

Quand on a retenu l’heure, c’est mieux

Mais  pas fondamental. L’horloge invite

À respecter  des étapes, à ne rien négliger

Dans ses affaires privées ou professionnelles

Pour obtenir résultats, faute de quoi, c’est l’échec.

wikireve.fr/dir/2422-horloge

.

Descriptif

 .

742 – Bons amants et distorsion du temps

  Alignement central   /  Titre  cercle  /   Thème  amants

Forme courbe  /  Rimes égales    /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : horloge /   Symbole de fond : temps

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

742 6

.

Horloge des amants est bien

Plus distordue que l’’heure exacte

Avec distorsion du temps subjectif,

Par  rapport  au  temps  objectif !

.

Symbolique

 .

La montre, l’horloge et la pendule

Symbolisent  une  prise  de  conscience

Sur le temps qui passe, la montre insiste

Sur  le mot « montrer », ton  rêve  vient  te

Montrer qu’il est temps d’agir et d’analyser

D’où viennent tes blocages qui t’empêchent

D’accepter la transformation  dans ta vie.

Elle symbolise  les cycles  qui se répètent

Dans une vie, des histoires qui dans les

Grandes lignes se ressemblent, toutes

Rythment le flux de notre quotidien.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles

-de-reve/horloge-pendule-montre

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le temps est ce qui nous manque toujours,

On a beau faire il nous manquera des jours,

Il est une chose qui  prend du temps : l’amour

Pour certains, trop et pour d’autres pas assez !

Quand on tient bien à quelqu’un, quelque chose,

L’on trouverait souvent du temps à lui consacrer

Ce n’est pas le temps qui manque, c’est l’agenda,

Et ceux qui n’en n’ont pas, ou plus, s’ennuieront

Le temps ne se distord pas, il vous dévorera

Le temps, toute votre vie vous retardera,

Votre dernière heure ne vous oubliera.

 .

.

Temps de l’un, pas autres !

.

Scénario

.

À midi, pour l’amour, si permis ; à minuit, si l’amour est un crime,

quand l’on se trompe, ou mélange les deux,  temps se distord ainsi,

mais ma mécanique a perdu l’heure,  elle tournera pour elle-même.

.

Visuels et textuels >>

741 – S’allier pour faire quelque chose ensemble

Visuels et textuels >>

.

S’allier en un projet commun :

Quoi de plus banal, commun,

Toujours, avancer ensemble,

Et, dans la même direction,

Est mieux que  de s’éloigner

Ou… ne plus communiquer.

.

Banalité, évidence, tout cela :

Pourquoi les gens ne le font pas

Et, si l’on ne fait pas tout ensemble,

Au moins, choses auxquelles on tient,

Renforcent couple, du moins le soutient

Choses qui nous ressemblent, rassemblent.

.

Et lors de s’allier

Pour  faire  ensemble

Voilà parcours, me semble,

D’amoureux voulant faire route

En vue de s’extraire  de leurs doutes,

Sur leurs prétendues    belles intentions.

 .

Mais il faut faire très  attention

Car la voie est, très dure,  instable,

En dépit de moments forts agréables,

Qui nous rapprochent,  nous ressoudent,

Le lien est rompu dès que l’un d’eux boude.

.

Car ce n’est plus l’autre, que l’on aperçoit,

Mais son image, enfin celle que l’on croit

Comme en miroir, l’un et l’autre se voit,

Le moindre flou ou la moindre ombre

Viendront ternir les visages sombres.

.

Car tel est bien l’effet cristallisation

Qui, d’une branche, jetée sur le sel,

Rassemblera tant d’éclats sur elle

Au point  de masquer sa vision.

.

L’envol d’essai des amoureux

Est fait de pleins et de creux

Certains le trouvent joyeux,

Lorsque d’autres : ennuyeux

 .

Voler, survoler puis  convoler,

En justes noces ou en juste ciel

S’apparente à la…. Lune de miel

En forçant à s’aimer, ou à tomber.

.

.

Extensions

 .

S’allier pour une chose ensemble,

Quelque chose de simple, de naturel,

Beau, de grand  et voire d’exceptionnel.

Qu’importe le but premier, atteint ou non,

Tant ce dernier évolue en cours de parcours :

C’est le processus qui compte, lui qui se nourrit

D’énergie qu’on dépense, repense, compense

Par un soutien sans faille. Un enfant !

Mais ce serait vous qui le seriez

Si vous ne pensiez pas déjà

À son éducation,  à son avenir,

Insertion en famille, école, société.

.

Faire quelque chose ensemble, que ce soit utile ou pas

Est le premier pas

Vers la longévité d’une rencontre qu’on aime ou pas

Un projet est canevas

Où s’inscrit la capacité, de chacun, à s’allier ou pas

Avec celui on connait pas

Surtout quand l’échange verbal ne suffit pas

À jauger l’autre en tous cas.

.

Parmi les choses que l’on peut faire ensemble,

La liste peut être très courte ou très longue :

Habiter ensemble,   construire sa maison,

Élever ses enfants,  travailler ensemble,

Sont les plus  communes, minimales.

.

Auxquelles l’on peut bien rajouter :

Voyager, et prendre mêmes loisirs

Voir et recevoir les mêmes amis

Partager ses soins,  ses soucis,

Et beaucoup d’amour, au lit.

.

Grande passion commune,

Pour une cause,  à la une,

Garde des petits enfants

Et le reste, à l’avenant !

.

.

741 – Calligramme  

 .

S’allier en un projet commun :

Quoi de plus banal, commun,

Toujours, avancer ensemble,

Et, dans la même direction,

Est mieux que  de s’éloigner

Ou… ne plus communiquer.

 .

Banalité, évidence, tout cela :

Pourquoi les gens ne le font pas

Et, si l’on ne fait pas tout ensemble,

Au moins les choses auxquelles on tient,

Qui renforcent couple, du moins le soutient :

Des choses qui nous ressemblent, rassemblent.

.

*****************************************

*****************************************

.

S’allier

Pour faire  P  ensemble

Voilà parcours  R   il me semble,

D’amoureux vou   O  lant faire route

Afin de s’extraire     J    de leurs doutes,

Sur leurs prétendues  E  belles intentions.

      T

Mais il faut    S       faire très       P   attention

Car la voie     ‘        est très dure,     O    instable,

En dépit     A      de moments forts  U   agréables,

Qui nous   L  rapprochent et nous   R   ressoudent,

Le lien est   L   rompu dès que l’un  *  d’eux boude.

Car ce n’est   I   plus l’autre que    F   l’on aperçoit,

Mais son image E    enfin celle  A   que l’on croit

Comme en miroir R     l’un,    I   l’autre se voit,

Le moindre flou      *  la    R  moindre ombre

Viendront ternir        E    visages sombres.

Car tel est           *   l’effet cristallisation

Qui d’une       E branche jetée sur sel,

Rassemble  N   tant d’éclats sur elle

Au point  S  de masquer sa vision.

L’envol   E  d’essai des amoureux

Est fait   M de pleins et de creux

Certains  B    le trouvent joyeux,

Lorsque   L  autres,  ennuyeux

E …………

Voler, survoler   puis  convoler,

En justes noces ou en juste ciel,

S’apparente à la …. Lune de miel

En forçant à s’aimer, ou à tomber.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

741 4

.

En haut, chapeau de cheminée

En bas, un conduit avec son foyer.

On peut y voir une soupière profonde,

J’y verrais  plutôt  une bonbonnière !

 .

Bonbon et bonbonnière s’accordent

mais pas avec s’allier ensemble pour

en tous cas pas pour les amoureux

et ainsi la forme diffère du fond.

.

Bon  bonbon, bonbonnière,

Riche tout de même, c’est une affaire :

Attention au piège, bonbons

Sont très sucrés et nocifs pour la santé.

.

Symbolique 

 .

La bonbonnière

Est d’origine italienne où la tradition,

Lors d’un mariage, veut que les jeunes mariés

Offriront un petit présent, à chaque convive,

Ou à tous ceux qui leur ont présenté leurs

Vœux, et voire, offert  un  cadeau.

Petit présent, également offert

À  l’occasion  d’un   baptême

Ou bien d’une communion,

Reste confectionné  dans

Petit morceau de  tulle

Ou de soie entouré de

Ruban  et  contenant,

Des  dragées  et  carte

Rappelant cet évènement.

Wikipédia : bonbonnière

.

Descriptif

.

741 – S’allier pour faire projet ensemble

  Alignement central   /  Titre  serpente  /   Thème  projet

Forme conique  /  Rimes égales    / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bonbonnière / Symbole de fond : bonbon

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

741 6.

.

Bon  bonbon, bonbonnière,

Riche tout de même, c’est une affaire :

Attention au piège, bonbons

Sont très sucrés et nocifs pour la santé.

 .

Symbolique de fond

 .

Un bonbon, c’est délicieux,

Mais c’est avant tout un morceau de sucre.

L’OMS recommande de ne pas dépasser 50 g

De sucres par jour, l’équivalent de 8 bonbons.

.

Lors d’Halloween, le 31 octobre dernier,

Enfants s’en sont donnés à cœur joie

En collectant bien des friandises.

.

Le problème : elles ne sont pas

Composées uniquement de sucre.

Ils sont également constitués d’additifs

Dont certains peuvent se révéler néfastes

Pour la santé ; notamment ceux qui pétillent

Dans les bouches : ils sont bourrés  d’un  additif

Très concentré qui attaque l’émail dents et estomac.

tf1info.fr/sante/les-bonbons-sont-ils-

si-mauvais-pour-la-sante-2069336

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Bon, bon, on ne va pas en faire

Toute une bonbonnière d’alliance

Matrimoniale, semi commerciale,

Mais juste garder la dragée haute,

Pour que l’alliance ne périclite pas,

Et il y a de quoi faire en la matière,

Tellement certaines sont prenantes,

Comme  éduquer enfants, ensemble,

Et jusqu’à leur propre mariage, etc.

L’amour demeure une alliance pour

Construire quelque chose, ensemble,

Si ce n’est en plus, quelqu’un, enfant

Mais à condition de bien s’entendre.

 .

.

Faire tout ensemble !

.

Scénario

.

Faut faire n’importe quoi qui nous passionne et nous rend utile

ca peut être aussi construire son propre nid, maison commune,

ou son jardin, qu’on dessine, plante, cultive, entretient à deux

 .

Visuels et textuels >>

740 – Trop haut, trop bas, trop vite, trop lent !

Visuels t textuels >>

.

Trop haut, trop bas,

Trop vite, trop lent ;

Trop loin, trop près,

Trop ceci, trop  cela !

Pourquoi  si difficile,

Et pourquoi si délicat

De  devoir  s’accorder,

Durant  toute une vie !

.

Que l’on aime, aime pas

Qu’on soit mari, amant,

Lors, leurs beaux corps,

S’accorderont sur le  la,

Et sur le même tempo

Jusqu’à  jouer  un air,

Un bien joli morceau.

.

L’on entendra vibrer

Les sons  à l’unisson,

Mais quelques ratés,

Les feront s’arrêter :

Tout recommencer !

.

Est-ce  leur chanson,

Trop mal interprétée

Ou manque ces halos

Qui la font…résonner

D’harmoniques,  sons

Légèrement…décalés.

C’est  avec  les  cœurs,

Qu’on joue   en chœur,

Autant que par la voix,

Et les mains  qui voient

Exécuter des partitions,

Leur intime  suggestion,

De ne faire qu’un … cor.

.

Sortie, de  ses  entrailles

Lors  notre  voix  déraille,

Elle ne vaut rien qui vaille :

Lors nos violons ferraillent,

Lors nos écarts se font jour :

On n’entendrait plus qu’eux,

Finis, sont finis nos amours,

Chacun joue son propre jeu.

.

.

Extensions

 .

La tonalité et le tempo, d’un air, d’une chanson

Sont des fondamentaux de l’harmonie et du rythme.

Une mauvaise clé, une mauvaise cadence, et, les corps

S’accordent mal, ne s’accordent plus, il en est de même

Pour faire l’amour : certains sont si pressés de conclure,

Que l’autre n’a pas fini  d’accorder son violon, c’est fini,

Et d’autres retardent, ralentissent la montée suprême

Au point de la faire capoter : c’est un pic, d’un côté,

À escalader, c’est une grotte de l’autre, à explorer.

.

Le lapin magique d’Alice au pays des merveilles,

Tient l’horloge, compte les temps, sonne la fin

Des festivités : un soupir par ci, un autre par là,

Un dernier cri pour finir, langoureux point d’orgue.

Et puis un jour, voilà les instruments se désaccordent,

Grincements, cacophonies, couacs, canards et compagnie.

.

La musique s’en va, les chœurs se taisent, cors s’essoufflent,

Il faudra revoir ses partitions, réaccorder ses instruments,

Sur une note et une fréquence commune, or, cela prendra

Du temps, énergie, retrouvailles du plaisir sont à ce prix.

.

Et puis quand l’enchantement renait, la magie des sons

Crée nouvelle caisse de résonnance où amour se refait

En harmonie et en cadence, tant et si bien qu’on ne

Souhaite que rejouer la partition jusqu’à ce qu’il

Faudra changer d’air, de chanson, partenaire !

.

 «Trop, c’est trop» de toute façon, et en toutes situations,

Et «du pareil au même» quand ce n’est pas «pas assez»

Quant à être trop bas, trop haut, faire  vite ou trop lent,

Quand on est en avance, trop tôt et en retard, trop tard.

.

De quoi s’agirait-il, ici, au juste :

D’un parfait accord de deux corps

Ou au contraire : parfait désaccord !

.

Ressentir intensément l’instant présent

Et décupler une sensation de jouissance :

En bref, de  ressentir l’autre  en soi-même.

.

Mais la fusion  des deux corps, qui s’aiment,

Ne se résumerait pas en rapport à l’orgasme :

Sexe, corps, cœur, esprit, âme forment un tout.

.

La beauté d’un rapport se trouverait … avant tout,

Dans l’émotion, dans le partage dans l’écoute de soi,

De l’autre et non la finalité d’une fusion la plus totale.

.

.

Épilogue

.

De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l’Impair
Plus vague et plus soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.

***

Cette strophe écrite par Paul Verlaine

Parlant de mots, de rimes en fredaines

S’applique autant aux ébats amoureux,

Tantôt fortissimo et tantôt langoureux !

***

Personne ne vous apprend à faire l’amour

Cela s’avère une expérience au long cours,

Or avec autant de reculs que … d’avancées,

Patiemment, on finira toujours par arriver.

***

Certains pensent qu’il s’agit de performance

En tout, en longueurs, postures, endurances

Alors qu’il  n’en est rien, rien  de mécanique,

L’amour est autant psychique  que physique.

***

Trop haut … trop bas … trop vite …  trop lent :

On dit quelqu’un : viser dans le mille, voulant,

Et puis s’acharnant… le bon rythme, à trouver,

Ce qui ne rime à rien, il suffit de tout partager.

.

.

740 – Calligramme  

 .

TROP HAUT,

Trop haut, trop bas,

Trop vite, trop lent ;

Trop loin, trop près,

Trop ceci, trop cela !

Pourquoi  si difficile,

Et pourquoi si délicat

De  devoir  s’accorder,

Durant  toute une vie !

.

TROP BAS

Que l’on aime, aime pas

Qu’on soit mari, amant,

Lors, leurs beaux corps

S’accorderont sur le la

Et sur le même tempo

Jusqu’à  jouer  un air,

Un bien joli morceau.

L’on entendra vibrer

Les sons  à l’unisson,

Mais quelques ratés,

Les feront s’arrêter :

Tout recommencer !

.

TROP VITE,

Est-ce  leur chanson,

Trop mal interprétée

Ou manque ces halos

Qui la font…résonner

D’harmoniques,  sons

Légèrement…décalés.

C’est  avec  les  cœurs,

Qu’on joue   en chœur,

Autant que par la voix,

Et les mains  qui voient

Exécuter des partitions,

Leur intime suggestion,

De ne faire qu’un … cor.

.

TROP LENT 

Sortie, de ses entrailles

Lors notre voix déraille,

Elle ne vaut rien qui vaille :

Lors nos violons … ferraillent

Quand nos écarts se feront jour :

On n’entend guère plus qu’eux

Finis sont finis nos amours

Chacun joue son jeu.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

740 4

.

Un capteur quelconque,

Pour le niveau d’émotion

Pour variation d’humeur

Ou pour la température.

.

L’amour sexuel, chacun le sait

fait grimper toute température

celle des corps, en premier lieu,

sensations environnement après

Tant qu’on est en vert, on s’accorde ;

Dans jaune, on discorde :

Mais parvenu température rouge,

Vaudra mieux la réguler

.

Symbolique

 .

Selon la culture,

La température

Chaleur d’environnement,

D’un habitat,  de vêtements,

D’objets voire de la nourriture

Évoquerait différentes choses et

Favorise comportements sociaux.

.

Les mots «chaleureux» ou «froid»

Entre en des expressions telles que

«À mains froides   …    cœur chaud »

Montrent l’importance sous-jacente

De chaleur en interactions humaines.

.

Descriptif

 .

740 – Trop haut, trop bas, trop vite, trop lent !

  Alignement central   /  Titre  analogue  /   Thème  tempo

Forme courbe  /  Rimes égales    / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : température / Symbole de fond : anthropo

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

740 6

.

Tant qu’on est en vert, on s’accorde ;

Dans jaune, on discorde :

Mais parvenu température rouge,

Vaudra mieux la réguler

.

Symbolique

 .

Être frileux, ou avoir chaud, ou avoir de la fièvre.

Que signifie la notion de chaleur pour le corps ?

Régulation de la  température dite ressentie

De sensation de chaleur ou encore frilosité

Pointe, souvent, un conflit  de séparation,

Et voire de manque de chaleur humaine.

.

Si on estime  qu’on mérite  cette chaleur,

On la produira  nous-même, et, à l’excès.

Si au contraire, on ne s’en sent pas digne,

On ne produit chaleur manquante, on a froid.

santenatureetcie.com/temperature-du-corps-symbolique

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Notre température intérieure se maintient

À 37 degrés par mécanisme de régulation :

Chaleur excessive sera évacuée par sudation

Mais quand il s’agit d’assouvir désir sensuel,

Le désir élève le corps  en température haute.

.

Lors  on utilise, d’ailleurs, l’adjectif : « chaud »,

Pour désigner quelqu’un d’addict quant au sexe.

L’acte sexuel requiert un certain nombre d’efforts

Procure chaleur peau contre peau, sexe contre sexe

Jusqu’au plateau commun atteint lors de l’orgasme.

 .

.

Idem le temps avant et après

.

Scénario

.

Pour bien s’accorder, il faut déjà trouver le lieu d’un trésor caché,

et pénétrer ensuite l’entrée secrète qui conduit à un Graal d’Amour,

le lapin d’Alice nous fait savoir  que vous êtes en retard … trop tard !

 .

Visuels t textuels >>

739 – Yeux, fenêtres de l’âme, métaphoriquement

Visuels et textuels  >>

.

On se fait image de l’âme

À travers émission de lumière

Or, si l’œil en reflète sur son iris,

Il n’en produit pas, il fera illusion !

.

Pourtant regard lumineux, perçant,

Des uns, contraste, avec celui, terne

Des autres comme éteint,  ombrant

Loin  d’un phare,  simple lanterne.

.

L’on sourit, aussi, avec les yeux,

Le regard ne ment pas ou peu

Nos yeux  sont bien fenêtres

Sur le Monde, certes oui :

De nous, métaphorique

Autres existent, aussi.

 .

Yeux, fenêtres âmes, métaphoriquement,

Pourquoi pas autres sens tout simplement.

La bouche est porte du ventre et goulument,

Et le nez celle de la respiration, en soupirant,

.

Et l’oreille, le pavillon musical, en résonnant,

La main, masseur  émotions, étonnamment

Tant vrai  qu’ils  ont contribué  tout autant

À bien façonner toutes âmes toutes gens.

.

Lors nos bouches  profèrent des mots

Qui vont bien  chatouiller  notre ego

Nos nez vont  ressentir  le parfum,

L’odeur de notre bon  plat  divin.

Nos  oreilles  restant  très  fines,

Nous murmurent belles ondines.

.

Et  mains se font  comme caresses

En grands tourbillons  de tendresse,

L’association  des  deux et voire trois

Sens  sont relais,  parfaits, des  élans,

Et augmentent d’autant le sentiment

De se livrer totalement à nos émois.

.

Quand  son âme, se reflète, se dilate,

Elle pourrait se contracter pulsations

Harmoniques qui, soudain,  s’éclatent

En un corps, en un cœur, en un esprit

Qui fondent en  seul  cocon  spirituel

Émotions, actions bien corporelles.

.

Nos yeux ne seraient pas nos fenêtres,

Ne seraient que  sortes de  «peut-être»

Parce que  c’est l’ensemble de nos sens,

Qui sublime  une pure, noble, essence.

.

.

Extensions

 .

Qui dit fenêtre,

Dit ouverture, intérieur, extérieur,

Du monde, du corps ;

 .

Qui dit verre,

Dit reflet d’une image spéculaire

Et pourquoi pas de l’âme ;

 .

Qui dit vision,

Dit perception d’une pensée ou

Objet interne ou externe ;

 .

Qui dit projection,

Dit interprétation de ce qu’on

L’on voit, fonction de ce qu’on a vu.

.

Fenêtre est un objet vitré et transparent comme l’œil

Qui laisse pénétrer la lumière et la voir, à l’extérieur,

Mais l’œil n’est qu’un appareil photo, sans le cerveau

Qui interprètera et en permanence tous ses signaux.

L’âme fait aller bien plus loin que l’esprit en lumière

Elle métaphorise toute réalité pour lui donner sens !

Ce que je vois est aussi  ce que j’imagine en pensées.

.

Forme, fonction, transparence, symbolique,

L’œil est fenêtre de l’Homme sur le Monde,

Ainsi que fenêtre du Monde sur l’Homme.

.

Ses pensées, caractères, qualités, défauts,

Ses sensations, émotions  et sentiments,

Connaissances, croyances, expériences.

.

La palette des sentiments, que reflète,

Transmet les regards, reste très vaste,

Lors emprunte l’éventail des possibles.

.

Tout autant amour, charme, séduction,

Que la haine, colère, indignation, conflit,

Détermination et ce jusqu’à l’impuissance.

.

.

739 – Calligramme   

.

On se fait image de l’âme

À travers émission de lumière

Or, si l’œil en reflète sur son iris,

Il n’en produit pas, il fera illusion !

Pourtant regard lumineux, perçant,

Des uns, contraste, avec celui, terne

Des autres comme éteint,  ombrant

Loin  d’un phare,  simple lanterne.

.

********************************

*******************************

.

L’on sourit, aussi, avec les yeux,

Le regard ne ment pas ou peu

Nos yeux  sont bien fenêtres

Sur le Monde, certes oui :

De nous, métaphorique

Autres existent, aussi.

 .

Yeux, fenêtres de l’âme : métaphoriquement !

Pourquoi pas  N   autres sens tout *    simplement.

La bouche est  O     porte du ventre     M     goulument,

Et le nez celle   S     de  la  respiration     É  en soupirant,

  Et l’oreille        *     le pavillon   musical    T   en résonnant,

  La main          Y     masseur  d’émotions    A étonnamment

    Tant vrai       E      qu’ils  ont   contribué    P  et tout autant

  À bien           U    façonner    toute âme    H   toutes gens.

Lors nos      X    bouches    profèrent     O    des mots

Qui vont    *    bien    chatouiller      R  notre ego

Nos nez     F     vont  ressentir      E  le parfum

L’odeur de   E       notre bon     *    plat divin.

Nos oreilles     N      étant      *        très fines

Nous murmurent    Ê             belles ondines.

Et  mains se font        T          comme caresse

En tourbillons             R        L   de tendresse.

L’association de     E   deux,   U     voire trois

Sens sont relais     *    parfaits   M    des élans,

Et augmentent   D    d’autant le   I   sentiment

De se livrer       E    totalement à   N  nos émois.

Quand son       *     âme se reflète   O     se dilate,

Elle pourrait   L     se  contracter     P   pulsations

Harmoniques        qui, soudain       H      s’éclatent

En un corps,         en un cœur,     O    en un esprit

Qui fondent    M        en  seul       R  cocon spirituel

Émotions         E        actions    E bien corporelles.

Nos yeux ne  seraient   pas    nos seules fenêtres,

Ne seraient que     des sortes   de  «peut-être»

Parce que  c’est     l’ensemble      de nos sens,

Qui sublimera  leur pure, et noble, essence.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

739 4

 .

On dirait un objet avec des yeux 

Or c’est juste un flacon de parfum,

Oui mais combien se ressemblent,

Au point de tous les confondre ?

.

Un objet, quel qu’il soit, peut être

ne ressemblera jamais à d’un œil

y compris un œil factice en verre,

si bien que forme diffère du fond.

.

N’importe quel objet peut être muni

 D’yeux mais sans d’âme :

C’est l’imaginaire du regard humain

 Qui l’anthropomorphise.

.

Symbolique de forme

 .

La symbolique de l’automobile

N’échappe à personne, surtout pas

À ceux qui l’utilisent tous les jours.

.

C’est dans la relation entre le

Conducteur et l’automobile

Que celle-ci prendra vie

Et deviendra voiture.

.

La  portée  symbolique

De cet objet peut s’appréhender

Autour de deux pôles que seraient

L’aspect identitaire et  émotionnel.

.

«L’évolution  des valeurs  automobiles

A contribué  à déplacer  l’investissement

De l’extérieur  vers l’intérieur  des voitures,

Lui conférant statut d’espace plus que d’objet »

carfree.fr/index.php/2010/09/24/la-voiture-un-objet-symbole

.

.

Fond

 .

Évocation

.

739 6

.

N’importe quel objet peut être muni

 D’yeux mais sans d’âme :

C’est l’imaginaire du regard humain

 Qui l’anthropomorphise.

.

Symbolique 

.

Pendant deux siècles, la pensée rationnelle l’a snobé :

L’anthropomorphisme appartenait décidément

À un passé des plus obscurs de l’humanité.

.

La révolution numérique conduit pourtant

Des chercheurs à lui porter un regard neuf :

Et si  personnifier  les animaux, ou, les objets,

Nous aidait à mieux définir nos relations avec eux ?

.

C’était,  car on ne s’en débarrasse pas aussi facilement :

Boursicoteurs s’inquiètent d’entendre le marché est « fébrile » ;

Tel designer sera sûr de convaincre son patron en lui montrant

Combien ce nouveau modèle de voiture est « souriant »…

lejournal.cnrs.fr/articles/la-revanche-de-lanthropomorphisme

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le mot «objet» fera l’objet de  pas loin,

De quinze définitions au dico Larousse,

Voilà ce qu’on appelle : «un vrai sujet»

Que l’on épuisera, je le crois,  jamais !

.

Fenêtre et œil seront bien deux objets

Mais en quoi faudrait-il les associer

Sinon par analogie, ou métaphore,

L’œil est actif et la fenêtre passive

Par une fenêtre,  l’on ne peut voir

Que partie fixe d’environnement

Or plus, s’y penchant vraiment.

 .

.

Œil de Caïn, de Wells ou mien

.

Scénario

.

L’œil est à la fois le reflet de soi-même et du monde environnant :

il arrive qu’il se cachera, derrière sa fenêtre, pour mieux observer,

sans lumière ni fenêtre ni œil, notre âme ne pourrait rien capter !

 .

Visuels et textuels  >>

738 – De perdre mon âme, à force de la chercher !

Visuel et textuels  >>

.

De perdre mon âme,

Ça, je ne  risque  pas !

Du moins avant la mort

Elle est prédestinée à ça !

.

À défaut,  je peux la ternir,

À défaut, je peux la maudire

Ou encore, ne pas l’entretenir,

Ou la chercher où elle n’est pas.

.

La sensibilité est une qualité d’âme

Qu’on accorde volontiers à la femme,

Celle de l’homme, de quoi est-elle faite :

Son aura serait-elle entièrement surfaite.

.

Danger perdre mon âme à force de la chercher.

L’âme nous dit à quoi bon pénétrer tous les corps

Si de leurs âmes on ne tire aucune bonne vibration,

Ou alors, de leur déception  à répétition, elle ne serait

Que pure consolation de n’être pas comme  demi-dieu.

    .

Semi-animal plus demi-dieu, ne font pas homme entier,

L’animal nous serait imposé,  et Dieu nous serait inspiré

Entre  extrêmes, restons coincés en plein milieu d’un gué

Avec personne pour nous dire : en quelle direction, aller !

.

De ce fait j’aurai perdu mon âme  à force de la chercher,

L’âme est fenètrable tandis que le corps est pénétrable,

Qui plus est, j’aurais confondu un Dieu avec un Diable

   Et personne  pour me croire,  pour me le pardonner.

.

Mis à part vous fidèles lecteurs bien aimables,

À qui j’ai confessé honteusement cette fable.

Soyez rassurés, indulgents, un tel brame,

Ne pourrait conquérir cœur de dame.

.

L’âme damnée du poète maudit

Seule au monde : incompris

Lors je n’aurai pas réussi,

Ni pour elle, ni avec lui

.

À chercher,  à trouver,

Car pour finir, perdre,

Est l’humaine condition

De notre mort sans raison.

.

Chercher  une  chose  que  l’on

Va perdre dès qu’on l’aura trouvé,

Est comme remplir un puits sans fond,

Qui au bout du compte finit par vous noyer.

.

.

Extensions

 .

Le danger de perdre mon âme

À force de la chercher devient aussi

Celui de se plonger en une introspection

Trop poussée, trop fouillée ou isolée

Des réalités qui nous entourent.

.

Une perception extracorporelle

Ou lévitation d’une forme consciente

Juste au-dessus  de  notre  propre  corps,

Reste encore un phénomène des plus

Étranges et des plus troublants.

.

À  notre mort, notre âme  revêt

Plusieurs formes, celle de lumière,

D’un oiseau, d’un souffle, d’une énergie,

Ou râle, que sais-je encore comme

Si quelque chose s’en échappait.

.

Comment peut-on perdre quelque chose de virtuel :

L’âme étant connue pour n’avoir de réalité tangible,

Elle ne peut être le sujet, d’une recherche… éligible :

Il faut se persuader qu’elle existe pour croire en elle

Mais ce ne sera pas parce que je ne la trouverai pas

Qu’elle se perd à tout jamais en les limbes de l’oubli

Dans mon âme, tout ce que j’ai vécu, je l’aurai mis !

.

Chercher ce qui n’existe pas

Faudrait pas y passer sa vie

Pas vu d’âme sous bistouris

A proclamé mon chirurgien

.

Y a mieux à faire, poursuit-il

Déjà assurer sa propre santé,

Réfléchir au monde où on vit,

Reste sera donné par surcroit

.

Un supplément d’âme, on dit,

Que la science ou la technique,

Ne peut jamais nous apporter :

Qu’art, poésie, musique, culture.

.

Et c’est bien ce que j’ai pressenti,

En me lançant dans des écritures :

À force de chercher en elles, un âme

Je finirai bien par me la … façonner !

.

.

738 – Calligramme 

 .

Perdre   P     son  âme,

Ça, je ne  E  risque  pas !

Du moins  R  avant la mort

Elle est pré  D  destinée à ça !

R ….

À défaut, je    E    peux la ternir,

À défaut, je     *   peux la maudire

Ou encore, ne    S   pas l’entretenir,

Ou la chercher    O    où elle n’est pas.

  N …

La sensibilité est    *   une qualité d’âme

Qu’on accorde vol     Â   ontiers à la femme,

Celle de l’homme,       M de quoi est-elle faite :

Son aura serait-elle      E  entièrement surfaite.

  *

Danger perdre mon âme       à force de la chercher.

L’âme nous dit à quoi bon  *     pénétrer tous les corps

Si de leurs âmes on ne tire   F   aucune bonne vibration,

Ou alors, de leur déception    O   à répétition, elle ne serait

Que pure consolation de n’êt   R  re pas comme  demi-dieu.

     C

Semi-animal plus demi-dieu    E   ne font pas homme entier,

L’animal nous serait imposé,     *   et  dieu nous serait inspiré

Entre  extrêmes, restons coin     L   cés, plein milieu d’un gué,

Avec personne pour nous dire     A   en quelle direction, aller !

De ce fait j’aurai perdu  l’âme      *    à force  de  la  chercher,

L’âme est fenètrable : seul le        C     corps   est pénétrable,

Qui plus est, aurai confondu       H     Dieu avec un Diable

   Et personne pour me croire        E    et me le pardonner.

                        R

Mis à part vous fidèles lecteurs    C  bien aimables,

À qui j’ai confessé honteusement   H  cette fable.

Soyez  rassurés, indulgents, un tel  E brame,

Ne pourrait conquérir cœur dame   R …

Car l’âme damnée du poète maudit

Est seule au monde : incompris

Lors je n’aurai pas  réussi,

Ni pour elle, ni avec lui,

À chercher,  à trouver,

Car pour finir, perdre,

Est l’humaine condition

De notre mort sans raison.

.

Chercher  une  chose  que l’on

Va perdre dès qu’on l’aura trouvé,

Est comme remplir un puits sans fond,

Qui au bout du compte finit par vous noyer.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

738 4

.

Forme possible

Parmi   d’autres

Pour représenter

L’âme en lumière

.

L’âme : substance immatérielle,

comme lumière faite de photons,

qu’on ne peut saisir manuellement

et ainsi la forme épouserait le fond

.

En supposant que l’âme soit lumière,

Elle pourrait être verte

Ou rose, ou grise, ou blanche, ou noire,

Ou lumière lointaine.

.

Symbolique 

 .

Lumière, symbole de la vérité,

De  la  révélation  et  du  savoir.

Elle est indissociable de l’ombre.

.

Ainsi alors que l’ombre symbolise

À  la  fois  les ténèbres  et  la  mort,

La lumière évoque la clarté et la vie

Par   analogie,  l’ombre  symbolisera

L’ignorance,  tandis  que  la   lumière

Représentera  la  lucidité  et  le savoir.

.

«Avoir besoin des lumières de quelqu’un»

Illustre bien l’idée d’une telle connaissance.

Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-lumiere.

.

Descriptif

 .

738 – Perdre son âme, à force de la chercher 

  Alignement central  /  Titre  oblique  / Thème  âme

Forme conique / Rimes égales /Fond accordé à forme

Symbole de forme : lumière / Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

738 6

.

En supposant que l’âme soit lumière,

Elle pourrait être verte

Ou rose, ou grise, ou blanche, ou noire,

Ou lumière lointaine.

.

Symbolique 

.

Expression d’une puissance supérieure,

Issue d’un centre, d’une source primordiale,

La lumière  crée, éclaire, ordonne, clarifie.

Mais sa force peut devenir très  aveuglante.

.

À l’inverse, peut, en certains cas,  s’éclipser,

Ou rencontrer des obstacles qui empêchent

La dissolution des ténèbres plus profondes.

.

En son sens le plus profond,  la lumière est

L’intuition et de la conscience  qui  s’ouvre

Par un chemin  qui mène  à l’illumination,

C’est l’accès à la connaissance, à la vérité,

C’est l’entrée dans une vie plus  véritable !

https://www.jepense.org/symbolisme-de-la-lumiere

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Savons-nous seulement si notre âme

Est dans l’ombre, ou dans la lumière,

Du côté conscient  ou bien inconscient,

Si elle nous est personnelle ou commune

C’est-à-dire antérieure à notre existence

Nous la revivons, complétons, assumons.

.

Il semble que l’âme dépasse entendement

Humain, et sans, pour autant, être divine

Si fait que chacun se définirait la sienne,

Y compris sa source, devenir en religion

 .

.

Les couleurs de mon âme

.

Scénario

.

La vue de dos, de mon apparence, qui s’envole au ciel, accompagnée.

La vue de face de mon apparence, extraite d’un enfer  vers un … ciel.

D’accord mais finalement, mon âme en telle majesté, sera étrangère.

 .

Visuel et textuels  >>

737 – La traversée du miroir sans le fendre à cœur !

Visuels et textuels  >> 

.

Narcisse se penche

Pour deviner approcher

Son image et  puis il tombe

La brisant puis  la dénaturant.

L’image   spéculaire  est  fidèle

Tant qu’il n’est pas   déformé,

Portrait sera comme  voix,

On  ne la  reconnait  pas.

Miroir   de  la  marâtre

Dans  Blanche  Neige

Lui renvoie  un jour

Son image  qu’elle

Ne supporte pas.

Tout beau et bon  miroir,

Ne renverra que votre image

Spéculaire, même spectaculaire

Ce n’est que  diffractions  d’un air,

Plaisant  ou   pas,   révélant votre âge.

 .

Nous la voyons comme étant impossible,

Parfois elle  nous est pourtant profitable,

Bien  qu’il  n’ait  aucun  retour  probable,

À ce point de nous la rendre  souhaitable.

 .

Se regarder dans son miroir aura mystère

Narcisse s’y noie en approchant trop près.

Concave, convexe, nous déforme,  exprès,

À ce point que notre image  nous atterre,

Diffusée, alternée, en autant  d’esquisses,

Deux miroirs, en face à face, se renvoient

Les images multipliées lors indéfiniment.

 .

En fuite en des points d’horizons finissent

Par converger  en une image authentique

Composée   par   des    faisceaux photons

Qui nous semble  être  une unique façon,

Pouvoir   traverser  un  miroir  magique.

 .

Magique car d’une seule image pratique,

On fait plusieurs des illusions d’optiques,

À croire que nous sommes des canassons,

Capables  de manipuler les idées à foison.

 .

Une idée est miroir aux multiples facettes

Ne menant pas toujours à concrétisation.

Argents  et  amours miroir, aux alouettes,

Ne se cristallisent pas  en consommation.

 .

Et les animaux  ne s’y  reconnaissent pas,

À part  chimpanzés, qui eux, se peignent,

Voyant son congénère, le singer, feignent

De regarder derrière, voir s’il n’y est pas !

 .

Beau miroir, dis-moi : je suis la plus belle,

S’inquiète une Marâtre de Blanche Neige,

Miroir ne sachant mentir, la voilà rebelle,

Et sa pomme, verte-rouge, sera son piège.

.

.

Extensions

 .

La traversée du miroir

Est un des thèmes classiques

Pour passer d’un monde à l’autre

De manière métaphorique ou pour

Communiquer d’avec son double.

.

Peut refléter une autre réalité,

Sans fard et sans tain, une fois

Traversé mais attention au retour

Car il n’est pas sans danger, comme

En la lévitation, sortir de son corps

Physiologique et ne plus pouvoir

Y retourner : de toute façon.

.

Devant le miroir, il n’y a que son reflet

Et  derrière, il n’y a que soi, en rapport

Avec sa face cachée qui peut être mort !

.

Miroir, miroir, les miroirs réfléchissent trop

Ils renversent, prétentieusement, les images,

Et se croient profond, nous dit Jean Cocteau

Quant à vouloir le traverser, dans la réalité,

Serait s’exposer à des déconvenues, blessé.

.

Traverser le miroir signifiera se confronter

À une certaine intimité de son psychisme,

L’opportunité de visiter  son inconscient !

Consciemment et voire inconsciemment

L’on se regarde comme dans un miroir

 Pour ajuster comportement social :

On tente de percevoir son image

Dans le regard  des autres !

.

Ce qui se passe réellement

Quand on se voit dans l’iris,

D’autre : on se voit regardant

L’autre comme dans un miroir,

Or ce n’est qu’artefact physique !

.

.

737 – Calligramme

.

           T

Narcisse se    R   penche

Pour deviner    A   approcher

Son image et     V    puis il tombe

La brisant puis   E    la dénaturant.

L’image  spécu    R     laire  est fidèle

Tant qu’il n’est    S       pas   déformé,

 Portrait sera      E     comme    voix,

On ne la re        *      connait pas.

Miroir  de        M    la marâtre

Dans  Blan     I   che  Neige

Lui renvoie   R    un jour

Son image   O   qu’elle

Ne supporte  I  pas.

                   R

**************

Tout beau et bon  miroir,

Ne renverra que votre image

Spéculaire, même  spectaculaire

Ce n’est  que  diffractions   d’un     air,

Plaisant  ou    pas,         révélant  votre   âge !

Nous la voyons,   *        S      *     comme impossible,

Parfois elle  nous    *           A      *    est pourtant profitable,

   Bien qu’il  n’               *           N      *     ait aucun retour probable,

À ce point de                  *           S      *    nous la rendre souhaitable.

Se regarder dans                *          *     *          son miroir, aura mystère :

Narcisse s’y noie                         F   *   R                en approchant trop près.

Concave, convexe,                  E                    U                  nous déforme exprès

À ce point que notre               N                       E                   image nous…atterre.

Diffusée, alternée, en              D                       O                       autant d’esquisses,

Deux miroirs, en face                R                   C                         à face, se renvoient

Les images multipliées                  E   *   À                             lors,  indéfiniment.

En fuite en des points           *                       *     *                d’horizons finissent

Par converger  en une       *      *        *         *         *           image authentique

Composée   par   des     *      *           *              *          *    faisceaux photons

Qui nous semble être      *              *                  *         une unique façon,

Pouvoir traverser un  *                *                    *      miroir magique.

Magique car d’une        *           *           *   seule image pratique,

On fait plusieurs,         *       *    * des illusions d’optiques,

À croire que                nous sommes des canassons,

Capables  de manipuler des idées à foison.

.

**************************************

Une idée est miroir aux multiples facettes

Ne menant pas toujours à concrétisation.

Argents et amours miroir, aux alouettes,

Ne se cristallisent pas  en consommation.

Et les animaux  ne s’y  reconnaissent pas,

À part  chimpanzés, qui eux, se peignent,

Voyant son congénère, le singer, feignent

De regarder derrière, voir s’il n’y est pas.

Beau miroir, dis-moi, je suis la plus belle,

S’inquiète une Marâtre de Blanche Neige,

Miroir ne sachant mentir, la voilà rebelle,

Et sa pomme, verte-rouge, sera son piège.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

.

La silhouette d’un arbre

En un miroir convexe,

Concave, mais  souvent

Des plus narcissiques.

.

Une traversée du miroir évoque

Une recherche narcissique :

Elle n’est pas innocente, anodine

Et on en revient transformé.

.

Symbolique 

 .

Le miroir,

Surface réfléchissante,

Couvre symbolisme riche

Complexe   et   ambivalent.

« Symbole   du    symbolisme »,

Et  passerelle  entre   le  monde

Du connaître  et le monde de l’être

Le miroir fascine mais aussi dérange.

Le miroir renvoie  notre propre image :

Elle peut être, fidèle, illusoire,  inattendue.

Le miroir n’est pas qu’un objet ; il est autant

Une parole, une comparaison, une métaphore,

Ou une parabole peuvent jouer le rôle de miroir.

Un journal, une caricature, une œuvre d’art

Sont aussi des miroirs.

jepense.org/symbolisme-du-miroir

.

Descriptif

 .

737 – Traverse miroir sans fendre à cœur

  Alignement central  /  Titre  cercle  / Thème  miroir

Forme courbe / Rimes égales /Fond accordé à forme

Symbole de forme : miroir / Symbole de fond : narcisse

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une traversée du miroir évoque

Une recherche narcissique :

Elle n’est pas innocente, anodine

Et on en revient transformé.

.

Symbolique 

 .

Pour européens, terme de « narcissisme »

Est très couramment employé pour

Désigner   cette   part  de   libido

Étant tournée vers soi-même,

Constitutive, et, essentielle,

.

Mais  il  est  aussi  porteur

De négativité, de pathologie,

Puisqu’il prend comme référence

Narcisse, être mythique destin tragique.

.

Il n’a visiblement pas réussi à se reconnaître

Dans l’image en miroir que lui renvoyait l’eau.

.

Il ne peut quitter du regard ce reflet

De lui-même, symbolique ou réel,

Qu’il prend pour quelqu’un d’autre

Sous peine de se sentir disparaître.

cairn.info/revue-cahiers-jungiens-

de-psychanalyse-2009-1-page-43

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Qu’il soit droit, concave ou convexe

Miroir ne réfléchit pas de lui-même

Il vous envoie toujours votre image

Sans savoir qu’il s’agit de la vôtre !

S’il est fendu, cassé, il peut diviser

Ou bien multiplier votre image !

 .

.

Mythe de Narcisse

.

Scénario

.

Traverser un miroir, sans le fendre, serait de la pure magie,

et derrière le miroir, on ne trouverait que son propre reflet,

des morceaux de glace, fragmentés, et colorés par son sang.

 .

Visuels et textuels  >>

736 – Âme humaine est des plus impénétrables !

Visuels et textuels >>

.

^^^^^^^

La belle âme

Im-péné-trable,

Âme insaisissable,

Âme inconnaissable,

Âme …indémontrable.

.

Tout cela  est vrai  et faux,

Âme ne se définit  par mots,

On y associe le bien et le beau,

Elle est au creux à fleur de peau.

.

Impossible de la voir,  de la toucher,

À peine si on peut la sentir, la deviner,

Quant à la sonder, quant à en faire le tour

On a beau s’y atteler : l’on y serait toujours.

.

Parait que l’âme  humaine

Serait des plus impénétrables,

Passe encore   celle du prochain,

Mienne est bien  trop misérable.

.

Elle serait bien cachée,  à l’intérieur,

Comme une intruse, venue  d’ailleurs,

Je ne la discernerais, reconnaitrais pas

Sa vue, sur elle, ne m’appartiendrait pas.

.

Notre âme serait principe de vie animation.

Il est vrai que vu sous cette basique définition

Quand le souffle de vie, s’arrête, elle s’évanouit,

 Nul ne sait en quel enfer, purgatoire ou paradis.

.

Si on l’examine microscopique, côté  biologique

L’esprit n’en fait pas partie même   très logique,

Si on l’examine, macroscopique,  côté  spirituel,

Mon corps ne serait plus que véhicule de pensée.

.

C’est ainsi on dit âme humaine est impénétrable,

Même des plus indiscernables incompréhensibles

Et c’est pourtant d’elle dont parle si bien l’amour,

Qui fait le sel non pas d’un jour mais de toujours.

 .

Au-delà    des sexes,

Corps       des cœurs,

Esprits  nous relient :

Le plus  puissant  lien

Et le plus inconscient

Qui puisse, ici, exister

..

Extensions

.

Insaisissable, impénétrable, inexprimable…  impubliable :

Seuls mots dont les dictionnaires sont capables d’un souffle

De nous définir l’âme en la confondant avec l’esprit, pensée

On a coutume d’attribuer son origine et sa destinée au ciel

Mais duquel s’agit-il, celui qu’on voit ou qu’on pressent ?

Notre âme est spirituelle, virtuelle, vue comme irréelle

À l’intérieur de notre corps et à l’extérieur en l’aura.

.

L’âme est, à la fois, un principe vital,

 Spirituel, immanent ou transcendant,

Qui animera le corps d’un être vivant

Selon une définition dans Wikipédia.

.

Bien des gens  qui prétendent définir

L’âme lui ajouteront plus de mystère.

.

Âme blanche, âme grise, âme noire :

Ce qu’on ne voit aurait des couleurs !

.

On peut le renier, on peut la vendre :

Achetons sa nouvelle âme innocente.

.

J’ai bleu à l’âme dites-vous : docteur,

Dites-moi où l’on trouve l’infirmerie. !

.

Impénétrable,  avez-vous dit, comme

Les desseins d’un Dieu à notre sujet !

.

.

736 – Calligramme  

 .

^^^^^

Belle âme

 Impénétrable,

Âme insaisissable

Âme inconnaissable,

Âme …indémontrable.

Tout cela  est vrai et faux,

Âme ne se définit  par mots,

On y associe le bien et le beau,

Elle est au creux, à fleur de peau.

Impossible de la voir, de la toucher.

À peine  si on peut la sentir, la deviner,

Quant à la sonder, quant à en faire le tour

On a beau s’y atteler : l’on y serait toujours !

 ……………………….….

Parait M  que  l’âme  humaine

Serait des    E   plus impénétrables,

Passe encore       *    celle du prochain,

Mienne est bien         H      trop misérable.

Elle serait bien cachée,      U        à l’intérieur,

Comme une intruse, venue       M          d’ailleurs,

Je ne la discernerais, reconnai-        A          trais pas :

Sa vue sur elle ne m’appartien-             I           drait pas.

Notre âme serait principe de vie               N        animation.

Il est vrai que vu sous cette basique             E          définition,

                                              *

Quand le souffle de vie s’arrête, elle       I   s’évanouit,

Nul ne sait en quel enfer, purgatoire     M   ou paradis.

Si on l’examine microscopique, côté      P       biologique

L’esprit n’en fait pas partie même          É       très logique,

Si on l’examine, macroscopique            N        côté  spirituel,

Mon corps ne serait plus qu’un            É         véhicule pensée.

C’est ainsi on dit âme humaine           T        reste impénétrable,

Même des plus indiscernables           R            incompréhensibles,

Et c’est pourtant d’elle dont              A              parle si bien l’amour

Qui fait le sel non pas d’un              B                jour mais de toujours.

L

Au-delà    E   des sexes,

Corps       *   des cœurs,

Esprits     *    nous relie

Le plus  puissant    lien

Et  le plus   inconscient

Qui puisse         exister.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

736 4

.

Un sapin probablement,

Certainement … sinon

Quelle autre réalité

Aussi conique

.

Qu’est-ce qu’un sapin aurait-il à voir avec

Notre âme humaine :

Sans doute du fait de ses formes coniques,

 Pointées vers le ciel.

.

Symbolique

 .

Pont entre ciel et terre.

Sapin exprime fluidité lien

Qui  relie  le  haut  et  le bas,

Le spirituel   et le matériel,

L’esprit et puis la matière.

.

Et  depuis  les Celtes  c’est

Le  symbole   de   l’espoir

Renouvelé  des forces  de

Lumière sur les ténèbres,

Puis de la vie sur la mort.

.

De nos jours, au solstice d’hiver,

Le sapin de Noël est devenu symbole

De don et générosité : toujours vert il est

Un messager qui nous encourage à poursuivre

Notre chemin, à supporter les problèmes

De l’existence comme ses branches

Supportent poids de la neige.

lecameleon.wifeo.com/sapin

.

Descriptif

 .

736 – L’âme humaine est impénétrable  

  Alignement central  /  Titre  courbe  / Thème  âme

Forme conique / Rimes égales /Fond éloigné de forme

Symbole de forme : sapin / Symbole de fond : cône

.

.

Fond

Évocation 

.

736 6

.

Qu’est-ce qu’un sapin aurait-il à voir avec

Notre âme humaine :

Sans doute du fait de ses formes coniques,

 Pointées vers le ciel.

.

Symbolique de fond

 .

Le cône   demeure

Figure géométrique

Comme  symbolisme

Du cercle et triangle.

.

Son symbolisme  a été

Rapproché   également

De celui de la pyramide.

On pourrait bien évoquer

Celui de la tour et ziggurat.

.

Ce  seront  des  constructions

Mésopotamiennes inspirantes

La tour de Babel,  porte du ciel.

.

Suivant la tradition babylonienne

Elle-même, attribue  aux  ziggurats

La valeur  symbolique    de  l’échelle :

.

Ces    gigantesques     tours      devaient

Faciliter    la     descente    des   …   dieux

Sur terre, montée des hommes vers le ciel

asdstewart.free.fr/Representer le lieu du recit

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Rien de plus commun que le sapin

Il y en a partout en Europe et ailleurs

Et lors c’est grâce à la fête de Noël

À laquelle il sera toujours associé

Qu’il a trouvé quelques couleurs,

Car il n’a pas la valeur du chêne

Imposant, centenaire, légendaire

Surtout chez les druides, les celtes

Et qui en auront fait leur emblème !

Le sapin a pour lui, d’être toujours vert

Et pourtant l’on dira que : ça sent le sapin

Quand on est vieux, malade, près de mourir.

 .

.

Ame : regard mystique 

.

Scénario

.

Socrate n’aurait pas dit le contraire.

Napoléon n’aurait rien pu y faire.

L’âme vient du ciel et y revient.

 .

Visuels et textuels >>

735- Perdre son âme pour mieux la retrouver !

Visuels et textuels  >>

.

Me perdre en toi pour me retrouver

Est seul risque que je vais tenter

Lors, perdre mon âme en toi,

N’est  ni l’étouffer, noyer.

.

Je plonge … en confiance,

Remonte… sans souffrance,

Ma vie, mise, entre tes mains,

L’espoir, me parait mieux plein !

.

Perdre son âme n’est pas la vendre,

Gagner une âme n’est pas la prendre

C’est l’ouvrir à l’autre,  lui faire place,

Pour l’accueillir comme en un palace !

.

Sang coule  en  mes  veines,

Nourrissant âme en peine,

Larme coule de mes  yeux,

Calmant  chagrin  anxieux,

De  te  perdre  en mon cœur,

Lors mes envies errent ailleurs,

Mes sourires  ont formé, pour toi,

Leur trame de mystères  et d’émois.

 .

Ce sont ces liens qui me tiennent droit

Quand tout va de travers … de guingois

La vie et sentiments, ne seront linéaires,

Les hauts et bas,  font des courants d’air,

Quelle que soit distance  qui nous  sépare,

.

Nous nous retrouvons toujours quelque part

Lors, en ma  mémoire,  l’empreinte indélébile,

De ton être  me  donne  la confiance  tranquille

De ne jamais couper les  ponts, qui nous relient,

Quand bien même  l’on  passe  d’amant  à l’ami.

 .

En attendant  le retour  de nouveau  cœur  épris,

Je me suis perdu en toi, et me suis  retrouver ici.

Ici, ce n’est point l’enfer c’est proche du paradis,

 Que l’on atteint jamais, car il n’est point permis

 D’être deux en un même lit même s’il est béni,

  De se prendre pour  anges ayant désobéi.

.

   Se perdre en toi pour me retrouver

C’est la seule chose à gagner

Et, réciproquement,

Comme amants

Pa-ten-tés,

À oser

Être

V

.

.

Extensions

 .

Perdre son âme, pour mieux la retrouver :

Quand on a confié son âme, à quelqu’un,

Quelqu’une, nous n’aurons plus jamais

Rien d’aussi précieux à lui donner.

.

Bague ou diamant, pour sceller une alliance,

Y compris hors mariage, qu’affaire d’argent

Qui n’empêchera pas l’élu de la rendre,

N’importe quand, n’importe où.

.

De donner son âme à un diable,

À diable, diablesse, c’est prendre le risque

De sa faiblesse, vulnérabilité face à une

Force et une volonté manipulatrice

Qui vous la détruira … à jamais.

.

Toupie or not to be : quel vilain jeu de mots

Et, qui profite d’une confusion phonétique,

Entre deux langues et deux significations !

Perdre son âme serait comme… la vendre

Au plus offrant, voire pour presque rien

Et comment la retrouver si l’on ne sait

Si elle existe et de quoi elle est faite !

Perdre son âme ici est la fusionner

En autre, la retrouver commune.

.

L’âme perdue, en mythologie, est

La substance d’esprit désincarné,

Condamné  à errer, éternellement

À la suite d’une perte inaccessible,

Ou d’un sentiment  de  culpabilité,

Qui ne disparaît pas : des esprits !

.

L’âme perdue, en psychologie, est

Cet état, dans lequel une personne

Peine à reconnaître ce  qu’elle est.

Elle ne sait plus ce qu’elle ressent

Ce qu’elle veut : sa perte renforce

Toute sa tristesse, toute anxiété !

.

Pour la religion l’âme équivaut à

Substance immatérielle en corps

Lors dans le langage populaire :

Référence au monde intérieur.

.

.

735 – Calligramme 

.

Me perdre en toi pour me retrouver

Est seul risque que je vais tenter

Lors, perdre mon âme en toi,

N’est  ni l’étouffer, noyer.

Je plonge … en confiance,

Remonte… sans souffrance,

Ma vie, mise, entre tes mains,

L’espoir, me parait mieux plein !

Perdre son âme n’est pas la vendre,

Gagner une âme n’est pas la prendre

C’est l’ouvrir à l’autre,  lui faire place,

Pour l’accueillir … comme en palace !

.

****************************************

***********************************

.

Sang coule en P     mes veines,

Nourrissant    E  âme en peine,

Larme  coule    R  de   mes  yeux,

Calmant  cha     D   grin   anxieux,

De  te  perdre      R     en mon cœur,

Lors mes envies   E     errent ailleurs,

Mes sourires  ont   *     formé, pour toi,

Leur trame de mys     tères  et d’émois.

M

Ce sont ces liens qui  E      me tiennent droit

Quand tout va de tra  *       vers… de guingois

La vie et sentiments    P      ne seront linéaires

Les hauts et bas, font   O       des courants d’air,

Quelle que soit distan   U       ce qui nous sépare,

R

Nous nous retrouvons     *     toujours quelque part

Lors, en ma  mémoire,     L    l’empreinte indélébile,

De ton être  me donne      A     la confiance tranquille

De ne jamais couper les    *    ponts, qui nous relient,

Quand bien même  l’on    R      passe d’amant à l’ami.

E

En attendant le retour      T     de nouveau cœur épris,

Je me suis perdu, en toi,   R   et me suis  retrouver ici.

Ici, ce n’est point l’enfer   O   c’est proche du paradis,

 Que l’on atteint jamais  U  car il n’est point permis

 D’être deux en un mê  V    me lit  même si béni,

  De se prendre pour   E   anges ayant désobéi.

   Se perdre en toi   R  pour me retrouver

C’est la seule    * chose à gagner

Et, réciproquement,

Comme amants

Pa-ten-tés,

À oser

Être

V

.

.

Forme

Réduction

..

.

Évocation

.

735 4

.

En haut, un chapeau ;

Mais en bas, une toupie  

Pour le moins  clownesque,

Si on lui dessine un visage !

.

Aucun lien entre toupie et âme,

ou bien alors que l’on me damne

peut-on lui en donner une, comme

créateur de Pinocchio : est-ce sûr !

.

En simple évocation sur une toupie

Avec des points d’intérêts.

Voici une âme et qui nous parait

Des plus facétieuses :

.

Symbolique 

 .

Monde tourne comme toupie :

Pour certain, la toupie symbolise

L’axe du monde   sur lequel tourne

Le globe terrestre  que nous habitons

Son mouvement rotatif évoque l’équilibre

Dans  un univers  en perpétuel  mouvement.

«Comme  la vie   d’un  Homme, la toupie, lancée,

Cherche son équilibre sur son axe et très rapidement

Tourbillonne avec brio, semble avoir l’éternité devant elle.

Avant de perdre petit à petit de la vitesse, s’épuiser, au final

S’arrêter au sol, terrassée par sa course folle contre les forces

Physiques qui régissent notre Univers»

toupie-shop.com/informations-toupie

.

Descriptif

 

735 – Perdre son âme pour la retrouver ! 

  Alignement central  /    Titre  droit    /   Thème  âme

Forme ovale / Rimes égales /Fond éloigné de forme

Symbole de forme : toupie / Symbole de fond : toupie

.

Fond

 .

Évocation

.

.

En simple évocation sur une toupie

Avec des points d’intérêts.

Voici une âme et qui nous parait

Des plus facétieuses :

.

Symbolique 

.

La toupie apparaît dans le film Inception

De Christopher Nolan    afin de     symboliser

Le fait que scène se déroule ou non en rêve :

Le film se termine sur une toupie en train

De vaciller sans que le spectateur sache

Si elle finit par s’arrêter. Jouet connu

Depuis  l’Antiquité, c’est encore jeu

Traditionnel populaire de Chine,

Où faire tourner une toupie

Consistera   à   fouetter

Con-tinu-elle-ment

Un objet conique

Pour le faire

Tourner

Sur la

Glace

V

Ou sur un terrain lisse.

fr.wikipedia.org/wiki/Toupie_(jouet)

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Certains représenteraient l’âme,

Qui, en soi, ne peut avoir d’image,

Comme une spirale, un tourbillon,

Pouvant voyager et dans le corps,

Et à l’extérieur avec sa conscience

Autant dire qu’on tourne en rond

On la perdrait pour la retrouver

Une théorie fumeuse, peut-être

Mais quelle preuve  inverse !

 .

.

Air mystique quand même

.

Scénario

.

Parfois elle devient si complexe, voire si compliquée,

qu’on ne  perçoit plus, d’elle, que son ombre, voilée,

mais lors on la retrouve, sa lumière nous illumine.

 .

Visuels et textuels  >>

734 – Nos yeux sont bien nos miroirs de l’âme

Visuels et textuels  >> 

.

Yeux, miroirs vont bien ensemble ;

Miroirs et âmes,  très bien, il  semble ;

Tous trois émettent les reflets de ce qui est

Et on y voit ce que l’on y met, à ce qu’il parait.

Projection de l’autre, de soi  ou mélange des deux

Mais qui fera que l’on soit émoi ou bien très nerveux.

.

Car ce que nos yeux voient,

Le cerveau nous l’interprète,

Et notre  esprit  le complète,

Tandis que notre âme le projette

Voire même, parfois, le rejette.

.

Tant le    regard  ne triche

À  part  si  perçu  éteint

Il  serait  doux, soyeux,

Ou méchant, miséreux.

.

Nos yeux sont bien nos miroirs de l’âme

Et  sont-ils les seuls, et, les plus fidèles,

Lors nos paroles, nos gestes l’évoquent,

.

Tout autant qu’ils ne la révoquent,

Ou que nos cris ne la provoquent

Ou que nos actes  la convoquent.

.

Si miroir n’existe pas réellement

Tout est hormone est vraiment,

Amour  en devient transparent

Et plus besoin des  sentiments.

.

L’âme nous fait souffrir autant

Que notre corps en se blessant

Bien que en devenant mourant,

C’est à elle que l’on tient,  partant.

.

L’âme voit sans yeux de son regard,

Parle sans bouche et entend sans ouïe,

Demeure la même, hier, qu’aujourd’hui.

Blanche, grise, noire  ou pas sans phare.

Phare de notre vie et de notre  destinée,

Personne encore ne l’a jamais cernée

Comme si elle était immatérielle,

En notre aspiration spirituelle.

.

Partager  l’âme  de quelqu’un,

Est parfois considéré  plus fort

Que toutes les intimités du corps

Ou de cœurs, des esprits et encore

Elle nous fait rapprocher  du divin.

.

Divine, l’âme l’est-elle : allez savoir

Si ce n’est  produit de   l’imaginaire

Elle a quelque chose à voir  et revoir

Avec l’au-delà, le noir, et la lumière !

.

Si nos yeux ne voient  plus l’extérieur,

Le monde intérieur continue en miroir,

À exister, pour  nous, comme autre coté

De la face   cachée de notre personnalité.

.

.

Extensions

 .

Nos yeux font partie

Des miroirs de l’âme :

Ces miroirs sont partout

Où il y a sensation, sensation

D’être une conscience innée,

Innée, d’avoir été élu,

D’avoir été sauvé.

.

Fenêtre, porte, miroir : toute surface réfléchissante y compris l’eau,

Pour le Narcisse de la mythologie jusqu’à ses émules d’aujourd’hui

Les yeux ont toujours eu la vertu de révéler, au grand jour, l’âme

De ceux qui savent montrer l’éclat de leur lumière intérieure

Et du mystère qui l’entoure jusqu’à nous en émouvoir.

En majorité des regards, c’est l’iris et la pupille

Qui créent l’illusion d’un monde interne,

Parfois reflètent son vrai miroir.

.

Miroir fenêtre d’âme n’est

Qu’une simple métaphore,

Le principal  problème est

L’âme n’est de son ressort.

.

L’âme nait du simple reflet

De notre vision intérieure :

À  toute autre,  supérieure,

Dès lors, d’invisibles effets.

.

Jumeaux, jumelles n’auront

Besoin miroirs pour se voir,

Regardent l’autre, c’est bon,

En première approximation

.

Et est-ce à dire qu’ils auront

Âme commune et dédoublée

Âme n’est ni génétique, innée

L’autre, faux reflets, trahiront.

.

.

734 – Calligramme    

.

Yeux, miroirs vont bien ensemble ;

Miroirs et âmes,  très bien, il  semble ;

Tous trois émettent les reflets de ce qui est

Et on y voit ce que l’on y met, à ce qu’il parait.

Projection de l’autre, de soi  ou mélange des deux

Mais qui fera que l’on soit émoi ou bien très nerveux.

Car ce que nos yeux voient,

C’est le cerveau qui  l’interprète,

Et notre  Ô  esprit  le   Ô  complète,

Tandis que notre //  âme le projette

Voire même,  //  parfois, le rejette.

Tant le      //      regard ne triche

À part si ==== perçu éteint

Il peut être, doux, soyeux,

Ou méchant, miséreux.

.

Nos yeux sont bien nos miroirs de l’âme,

Mais, sont-ils les seuls, et, les plus fidèles,

Nos paroles, nos gestes      *       l’évoquent,

.

****************************************

****************************************

.

Tout autant qu’ils ne      N       la révoquent,

Ou que nos cris ne       O      la provoquent

Ou que nos actes       S       la convoquent.

Si miroir n’existe     *      pas réellement

Tout est hormone   Y        est vraiment,

Amour en devient   E         transparent

Et plus besoin des    U       sentiments.

L’âme nous fait souf    X      frir autant

Que notre corps, en se    *       blessant :

Bien que en devenant        S      mourant,

C’est à elle que l’on tient,      O     partant !

L’âme voit sans yeux de son     N      regard,

Parle sans bouche, elle entend  T   sans ouïe,

Demeure, la même, hier, qu’     aujourd’hui.

Blanche, grise, noire pas      I  et sans phare.

Phare de notre vie et de   L  notre destinée,

Personne encore ne l’   S  a jamais cernée

Comme si elle était     *      immatérielle,

En notre aspiration   *        spirituelle.

Partager l’âme de        M    quelqu’un,

Est parfois considéré     I      plus fort

Que toutes les intimités  R  du corps

Ou de cœurs, des esprits  O et encore

Elle nous fait approcher    I   du divin.

Divine, l’âme l’est-elle       R  allez savoir

Si ce n’est produit de          S     l’imaginaire

Elle a quelque chose à        *     voir et revoir

Avec l’au-delà, le noir,      D      et la lumière !

Si nos yeux ne voient       ‘        plus l’extérieur,

Le monde intérieur         continue, en miroir,

À exister pour      M   nous comme autre coté

De la face   E  cachée de notre personnalité.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

734 4

.

En haut, visage d’enfant

Et dont  son regard   nous

Paraitra  être  un  miroir

Et en bas… son chemin.

.

Miroir et regard vont bien ensemble :

pour son propre regard, faut un miroir !

ce sont plutôt les autres qui voient regards

mais un miroir évoque bien tous les regards.

.

Ame d’un enfant parait plus simple et

Limpide, dans son regard.

Qu’est-ce que l’âme, comment peut-elle

 Être vue en miroir !

 .

Symbolique 

 .

Et si l’on s’aventurait à penser

Que ce qui se tisse, dès les

Premiers moments de la vie d’un enfant,

Dans un corps à corps  total avec sa mère,

Avait quelque analogie avec ce qui se joue

Dans une classe qu’un enseignant

Aborde pour la première fois ?…

.

Je  veux  parler,  essentiellement,

Des effets du regard, de la voix,

Et de ce qui en émane. Son visage,

Son regard, les accueille au travers

De   toutes   sortes  de   mouvements.

Frémissement, a besoin, pour grandir,

De se sentir vivant, donc  d’être regardé !

cairn.info/revue-enfances-et-psy-2003-4-page-50.htm

.

Descriptif

.

734 – Nos yeux sont-ils miroirs de l’âme ?  

  Alignement central  /Titre  serpente  / Thème  âme

Forme anthropo / Rimes égales /Fond approché de forme

Symbole de forme : regard / Symbole de fond : miroir

.

Fond

 .

Évocation 

.

734 6

.

Ame d’un enfant parait plus simple et

Limpide, dans son regard.

Qu’est-ce que l’âme, comment peut-elle

 Être vue en miroir !

.

Symbolique 

.

Le miroir,

Outre son aspect décoratif

Et sa grande utilité dans les foyers

Aujourd’hui, il possède de nombreuses

Symboliques  selon les religions  et les pays.

.

Il n’est plus un accessoire, il devient objet sacré,

Un symbole important : quel que soit la culture,

Le miroir garde la même fonction, symbolique :

Il  permet  de se voir, et cela, tel que l’on est !

.

Il ne ment pas, il est révélation de la vérité.

On y perçoit traces enfant que l’on a été.

boite-a-design.com/content/

31–la-symbolique-du-miroir

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Cocteau : Les miroirs feraient bien de réfléchir 

Un peu plus avant de renvoyer…  les images.

En déformant un peu cette citation célèbre

Je dirais « renvoyer mon image de moi»

De toute façon,  qui est satisfait de la sienne

Devant sa glace, comme de ses photographies :

.

Il y aurait comme un déficit de projection réaliste

Dans l’autre on se regarde comme dans un miroir

Ils nous renvoient  une image positive ou négative,

Ils perçoivent nos défauts cachés, inconnus de nous

Ce qui ferait que notre perception de nous-mêmes

Et des autres ne se superposent parfois en rien.

.

On se mélange un peu les pinceaux à vouloir

Les comparer, et, voire, les additionner !

Mais si neuf personnes, sur dix, disent

Exactement la même chose sur vous,

Il devrait y avoir un fond…de vrai.

 .

.

Enfant, conscience du miroir

.

Scénario

.

L’âme d’une femme serait clarté, transparence de son regard,

l’âme d’un homme serait  sincérité, authenticité  de son regard,

les deux se regardent, âmes se joignent ou non en un seul visage.

.

Visuels et textuels  >> 

366 – De quoi se souvient-on d’un voyage !

Visuels et textuels >>  

.

De quoi se souvient-on

    Après  un  long voyage,

         De détails,  d’émotions,

              D’instants, de paysages.

.

                     Lors les milliers  d’images

                          Prises comme instantanés,

                              Vous serviront d’hommage,

                                      En tant que purs succédanés.

.

                                           Lors l’on verra alors s’empiler

                                                Sur des étagères … non rangés,

                                                     Albums car temps le fera défaut,

                                                      Pour exploiter toutes vos photos.

.

                                                  Chacun  se  souviendrait  mieux

                                                 Des moments partagés heureux,

                                             Et chacun, pour autant, diffère,

                                       Dans des détails  qu’il préfère.

.

                               Qui notent dépenses, horaires,

                          Comme un bel organisateur né

                      Qui, aux émotions s’en réfèrent,

                    Comme un poète perdu, déclaré.

.

              Nous étions là tel jour telle heure

           Et avons mangé un … local menu,

         Et nous nagions, en plein bonheur,

      Où, quand, je ne me  souviens  plus.

.

  À chacun sa propre façon mémoriser

  Tel ou tel détail,  tel ou tel  événement. .

De les extérioriser,  de les intérioriser, …

Et demeurera, souvent, le seul garant………

.

Le Temps, filtre sans filet, oubliera tout ………..

Et bien plus, souvent, il mélangerait tout : ………..

Si aucune note écrite, aucune photographie …………

Ne peut vous servir, de support, repère : fini. …………..

.

.

Extensions

.

Des personnes se souviennent de tout,

Quelques autres : de rien ou  …  presque,

La majorité, de quelques faits marquants :

Randonnées, et paysages, visites, et soirées,

Rencontres, voyages, incidents, surprises !

.

Passant trop peu de temps à un endroit,

On n’a pas le temps d’imprimer, en soi,

De l’intérioriser, et c’est l’étonnement.

.

Quand l’on regardera la photo  qu’on

A prise et rapidement à cet endroit :

 «C’est  où,  ça,  c’est moi  qui  l’ai  prise

Cette photo, ne m’en souviens pas»

Et voilà comment on se fait piéger.

.

Combien de photos  de paysages,

Panoramas  à couper  le souffle,

Ai-je vu chez des amis ou relations,

Gâchées par leurs portraits en avant plan !

.

Dix fois, quinze fois, vingt fois même paysage,

Même pris sous tous les angles, ne remplaceront

Jamais le fait d’y être physiquement.

Différence entre les souvenirs

De lecture et photos de voyage :

Y être, y avoir été, en témoigner !

.

Les souvenirs s’adressent autant au copieur qu’à la raison

On ne demande pas ce qu’on a découvert d’astucieux,

On demande, et en premier, ce que l’on a aimé :

L’un n’empêche pas l’autre, curieux émeut

Mais il ne restera que… l’essentiel,

Et seul vous le déterminera,

Vous, s’en souviendra.

.

Il arrivait avant le retardateur et le selfie

Que ce soit la même personne  qui prenne

Toutes les photos d’un voyage en reportage

Et qui, après, au retour, n’apparaissait pas

Sur aucune et sans que cela soit volontaire.

.

Mieux est de demander à quelqu’un d’autre

De prendre la photo, s’il le veut bien, le sait

Avec smartphones, plus besoin de réglages.

Là aussi on a parfois des surprises de flous

Ou de doigt qui dépasse ou de mitraillage.

.

.

Épilogue

.

Presque tout le monde … souvenir gardera

De ses voyages et surtout hors de son pays,

Bien que ce ne soit pas… ce que l’on en dit,

Dépend de ce qu’on y cherche et y trouvera.

***

J’en ai connu se souvenant de presque tout,

Étaient intarissables, et précis, malgré tout,

On aurait cru qu’un guide ils avaient appris

Et le récitaient… sans le moindre parti pris.

***

J’en ai connu parlant des plages, des loisirs,

Ayant passé un mois en un club de touristes,

Sans le moindre mot sur coutumes, cultures :

Venus pour consommer, non visiter, partager.

***

Et j’en ai connu qui ont passé tout leur séjour

À participer aux fêtes, aux événements locaux

Communiquant, recevant, prenant des photos

De leurs meilleurs amis pour en revoir un jour.

***

Le pire que j’ai vu, à n’en pas croire ses yeux :

Nombre photos de chambres d’hôtels luxueux,

Ou de casinos… voire de tables de restaurants,

Au point : quels pays visités, les questionnant !

***

Y aller avec gens du pays est le mieux qui soit.

On constate qu’intérêts, souvenirs, sont variés,

Selon une échelle allant de un à cinq barreaux,

Mais faites vous-même votre classement perso.

***

Souvenirs, comme chacun sait, s’estomperont,

Avec le temps et parfois même se mélangeront.

Le mieux est rédiger un journal + album photo

Parfois ça ne suffira pas : un trou de mémoire.

.

.

366 – Calligramme

 .

De quoi se souvient-on

    Après  un  long voyage,

         De détails,  d’émotions,

              D’instants, de paysages.

 .

DE QUOI ……

                      Lors les milliers  d’images

                          Prises comme instantanés,

                              Vous serviront d’hommage,

                                      En tant que purs succédanés.

                  .        

                            SE SOUVIENT-ON

                                           Lors l’on verra alors s’empiler

                                                Sur des étagères … non rangés,

                                                     Albums car temps le fera défaut,

                                                      Pour exploiter toutes vos photos.

            .                           

                                     APRÈS UN VOYAGE !

                                                  Chacun  se  souviendrait  mieux

                                                 Des moments partagés heureux,

                                             Et chacun, pour autant, diffère,

                                       Dans des détails  qu’il préfère.

 .

  DE QUOI

                               Qui notent dépenses, horaires,

                          Comme un bel organisateur né

                         Qui, aux émotions s’en réfèrent,

                       Comme un poète perdu, déclaré.

 .

 SE SOUVIENT-ON…

               Nous étions là tel jour telle heure

             Et avons mangé un … local menu,

           Et nous nagions, en plein bonheur,

         Où, quand, je ne me  souviens  plus.

 .

APRÈS UN VOYAGE ! ……………

  À chacun sa propre façon mémoriser

  Tel ou tel détail,  tel ou tel  événement. .

De les extérioriser,  de les intérioriser, …

Et demeurera, souvent, le seul garant………

.

Le Temps, filtre sans filet, oubliera tout ………..

Et bien plus, souvent, il mélangerait tout : ………..

Si aucune note écrite, aucune photographie …………

Ne peut vous servir, de support, repère : fini. …………..

.

..

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

366 4

.

Une route en campagne

Ou des rails bord de mer

Ou une échelle … infinie,

Qui se perd en souvenir.

.

Échelle et souvenir grimpent ensemble

et même  s’ils ne se rejoindront  jamais,

ils se renvoyant leurs différentes images

si fait que la forme évoquera les fonds.

.

Tout voyage est envolée, embellie,

 Échelle pour notre imaginaire :

Lors les souvenirs restants seront,

Forcément, les plus marquants !

.

Symbolique

.

Symbole entre la terre et le ciel,

De l’ascension et de la valorisation,

L’échelle indique ascension graduelle

Et une voie communication  à double sens.

.

Hauteur, dimension d’un être vu de l’extérieur,

Tandis que la profondeur, sera vue de l’intérieur.

L’arc en ciel conduit à l’idée même de l’échelle.

Dans la  psychanalyse, l’escalade, l’escalier,

L’échelle tiennent une place importante.

.

Dans les rêves, l’échelle en tant que

Moyen d’ascension fait  peur,

L’angoisse ou contraire

La joie et la sérénité.

Crainte qu’échelle

Ne se renverse.

.

Descriptif

 .

366 – De quoi se souvient-on après voyage !

Alignement central / Titre absent / Thème  Réunion

Forme courbe/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : échelle / Symbole de fond : souvenirs

.

Fond

.

Évocation 

.

366 6

.

Tout voyage est envolée, embellie,

 Balance pour notre imaginaire :

Lors les souvenirs restants seront,

Forcément, les plus marquants !

.

Symbolique 

 .

Offrir des souvenirs

Signifie simplement

« Je   pense   à    vous ».

C’est la fleur qui permet

De dire que l’on a,  a eu,

Une pensée… affectueuse

Envers un de ses  proches.

.

Elle est utilisée pour exprimer

Le souvenir : mythologie grecque,

La jeune Io fut transformé en génisse

Par son amant Zeus en vue d’échapper

À la vengeance d’Héra

Puis déposée dans un champ, de pensées,

Pour y passer  la fin  de  sa vie, à déguster

Le souvenir de son amour.

des-fleurs-pour-vous.com/les-fleurs-langage-pensee

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les souvenirs ont une échelle de temps

Mais surtout d’importances, sentiments

Photos de familles, de groupes, de fêtes,

Étant placés au plus haut de l’échelle :

Celles auxquels, toujours, l’on tient,

Comme un trésor irremplaçable

Comme un résumé de sa vie

Qui lui donnera un sens

Qui nous appartient.

 .

Scénario

.

Par exemple, de la délicieuse vanille bourdon de l’Ile de La Réunion,

qu’on trouve au marché local, en forme de bâton, parfumé naturel,

de la bière locale du nom volatil disparu, indigène de La Réunion.

 .

.

Carnet, crayon, appareil photo

.

 .

Scénario

.

Par exemple, de la délicieuse vanille bourdon de l’Ile de La Réunion,

qu’on trouve au marché local, en forme de bâton, parfumé naturel,

de la bière locale du nom volatil disparu, indigène de La Réunion.

 .

Visuels et textuels >>

365 – Des pays où il fait toujours beau

Visuels et textuels  >>  

.

Des pays où il fait beau

Pays où il fait toujours bon,

Vivre sans se soucier de la météo,

Il en existe peu,  sur notre planète !

Et l’ile de La Réunion  en fait partie,

Non pas que ce soit le royal paradis

Mais l’on y vit près de la Nature,

Sans oublier bienfait Culture.

.

Tout se passerait dehors :

Dedans, cuisine sommeil,

Randonnée, ici, visite là :

Avec son boléro/chapeau.

.

Il est des pays où il fait toujours beau

Au point quelquefois susciter tel ennui,

L’on souhaite que tombent fortes pluies,

Pour rythmer les périodes avec et sans eau.

.

Le soleil est bienfait, tant pour vue que moral,

Car il permet de prévoir, et cela n’est pas banal,

Des activités poursuivies sur des longues durées,

Sans se soucier intempéries possibles annoncées.

.

Beaucoup se prétendent malheureux dès qu’il pleut,

Au point de relever, et très souvent la tête, aux cieux,

Comme si  aucun rayon de soleil ne pouvait se loger,

À l’intérieur d’eux-mêmes pour nuage, compenser.

.

C’est vrai que gens du nord sont plus besogneux

Que ceux du sud, qui préfèrent, de loin, mieux,

Musarder, bronzer, ou s’étaler, en plein soleil,

Quand tous les touristes aiment à faire pareil.

.

Le soleil est comme manne tombant d’un ciel

Où la vue de ce dernier vous rendrait si joyeux

Que, ne manquez de rien   d’autre, êtes heureux,

D’un  peu  que  vie ……………. sous  bel  arc-en-ciel.

.

.

Extensions

.

On ne peut pas dire qu’il fait du soleil

Tous les jours à l’ile de La Réunion.

Il arrive qu’il pleuve quinze jours

De suite et  sans discontinuer !

.

Le ratio soleil/pluie reste favorable

Au tourisme aux activités de plein air.

C’est la brume qui est la plus fréquente,

Dans les hauteurs et qui bien peut vous

Gâcher le paysage, en fin de matinée,

Au moment même où vous parvenez

Enfin au sommet  de votre marche,

Pour  profiter, à plein, du, spectacle

Des cirques de Mafat,  Salazie,  Cilaos.

.

Sur nos quinze jours de séjour fin mars

Deux de pluie et un en plein brouillard :

La vie  sous soleil, qui dure  quinze jours,

Est  organisée  autour du jardin, ou treille,

Terrasse qu’à l’intérieur même des habitations.

C’est typiquement ce que l’on recherche en congé :

Ne se soucier du temps qui passe, du temps qu’il fait !

.

Nous avons eu quinze jours de beau temps, et à suivre :

Qui s’en plaindrait, d’autres n’ont pas eu cette chance

Enfin La Réunion ce n’est pas l’Islande ni l’Irlande

Il peut pleuvoir toutefois  une semaine de suite

La preuve  en  est, le climat tropical du sud

Alors  qu’en nord,  il fait chaud  et sec :

Y a plusieurs climats, en la saison :

Soleil, plage, orage, montagne :

Rester zen avant tout, météo.

.

Pour ce qui est de nous changer

 De notre Bretagne, ça nous change

Un mois de beau temps … inespéré.

.

Gens vivent dehors et rien ne rangent

Il n’y a pas de météo  qui les dérange :

Vêtir, bermuda/tee-shirt tout le temps.

.

On en viendrait à croire en un… paradis

En creusant, même s’il y a bonne entente

Beaucoup se disent isolés et loin de Paris.

.

Et  par conséquent, ils veulent  venir vivre,

Ou travailler  en Métropole, sinon étudier :

Comme quoi nul n’est prophète de son pays.

.

.

Épilogue

.

Un flacon en forme, couleur, du soleil,

C’est un peu l’image de pays tropicaux

Où, quel que soit la saison, il fait beau,

Pour les pays du Nord : c’est merveille.

***

On a beau faire, on ne pourrait jamais

Mettre en bouteille de soleil condensé,

Faut aller le chercher là où il apparait,

Ce n’est pas le cas sous ciel… ennuagé.

***

Or, comme rien n’est stable ni parfait,

Toute une année : monotonie survient,

Chez les humains, des plus insatisfaits,

On aimerait la pluie, soleil on se plaint.

***

Pour ce qu’il en est d’Ile de La Réunion,

Alternance, sans chute de températures

Sauf exceptions  quelques jours par an,

Avec moyenne autour de trente degrés.

***

De mai à novembre, climat … variable,

Ni trop chaud, ni trop froid : agréable.

Et de janvier à mars il fera plus chaud,

Avril, en montagne, temperature zéro !

.

.

365 – Calligramme

 .

Des pays où il fait beau

Pays où il fait toujours bon,

Vivre sans se soucier de la météo,

Il en existe peu,  sur notre planète !

Et l’ile de La Réunion  en fait partie,

Non pas que ce soit le royal paradis

Mais l’on y vit près de la Nature,

Sans oublier bienfait Culture.

Tout se passerait dehors :

Dedans, cuisine sommeil,

Randonnée, ici, visite là :

Avec son boléro/chapeau.

L A     R  É  U  N  I  O  N 

Il est des pays où   P  il fait toujours beau

Au point quelquefois   A    susciter tel ennui,

L’on souhaite que tom      Y    bent fortes pluies

Pour rythmer les périodes      S   avec et sans eau.

                        *

Le soleil est bienfait, tant pour     O    vue que moral,

Car il permet de prévoir, et cela        Ù   n’est pas banal,

Des activités poursuivies sur des lon     *         gues durées,

Sans se soucier intempéries possibles     I            annoncées.

                                      L

Beaucoup se prétendent malheureux        *        dès qu’il pleut,

Au point de relever, et très souvent         F     la tête, aux cieux,

Comme si  aucun rayon de soleil           A    ne pouvait se loger,

À l’intérieur d’eux-mêmes pour          I      nuage, compenser.

                      T

C’est vrai que gens du nord          *    sont plus besogneux

Que ceux du sud, qui préfè      B    rent, de loin, mieux,

Musarder, bronzer, ou s’é    E    taler, en plein soleil,

Quand tous les touristes   A  aiment à faire pareil.

  U

Le soleil est comme manne tombant d’un ciel

Où la vue de ce dernier vous rendrait si joyeux

Que, ne manquez de rien   d’autre, êtes heureux,

D’un  peu  que  vie ……………. sous  bel  arc-en-ciel.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Evocation 

.

.

Une poivrière ou une salière

Un pion dans un jeu de société

Ou une concentration soleil,

Ou un flacon de parfum ?

.

Soleil et parfum vont bien ensemble :

chaleur magnifie, exhausse ce dernier

et son odeur persiste jusqu’en soirée :

forme en soleil évoque fond chaleur.

.

C’est un flacon de parfum

Qui évoquera bien un soleil :

Son odeur nous met souvent

 Dans même  joie …  pareille.

 .

Symbolique 

 .

Plus qu’un simple contenant

Qui protège le parfum de la lumière,

Le flacon est un véritable écrin invitant

À la découverte du jus qu’il renferme

Et en faire un objet de désir,

En véhiculant l’image de

La maison de parfum ou marque.

À charge pour le designer de jouer

Sur les volumes et sur les couleurs

Et sur les matériaux pour imaginer

Un flacon d’exception, qui deviendra

Un véritable objet de collection.

Modifié, source :cosmopolitan.fr/

les-parfums-et-leurs-flacons

.

Descriptif

.

365 – La Réunion : pays où il fait souvent beau  

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme anthropo/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : flacon   /  Symbole de fond : soleil

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

C’est un flacon de parfum

Qui évoquera bien un soleil :

Son odeur nous met souvent

 Dans même  joie, pareille.

 .

Symbolique 

.

Lorsque coucher

De  soleil  apparaît  à

L’horizon du rêve, le message

Est à l’ensoleillement de l’univers de

La vie du rêveur lors ce dernier sort des

Ténèbres, il bénéficie des énergies possibles.

.

Si fait que contempler un soleil rayonnant,

Est signe irradiation, force, affirmation

Toutes actions et sentiments d’éclats,

Illuminés par des joies intérieures.

Soleil noyé dans les nuages ;

Une dose de tristesse

En présage.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La météo en hiver est des plus chaleureuses

Atteignant parfois jusqu’aux quarante degrés

Plus on grimpera,  plus on trouvera plus frais,

Lors faut se mettre au parfum pour bien dormir

À moins d’être adepte, nuits blanches sur plage,

En bord de mer, les nuits resteront très chaudes,

Vers les mille mètres, l’air reste doux, respirable.

Parfois il y a quinze jours de pluies ininterrompues.

C’était le cas, deux semaines avant, coup de chance.

 .

.

Toute l’année, rafraichir

.

 Scénario

.

Soleil vous accompagne de l’Est en Ouest, jusqu’à son dernier rayon.

Carte thermique températures été La réunion : chaud quand même !

La nuit il fait parfois au-delà de vingt-cinq degrés : sommeil difficile.

 .

Visuels et textuels  >>

364 – Sept vacanciers, quinze jours à La Réunion

Visuels et textuels >> 

.

Sept vacanciers, quinze jours,

À peine le temps de faire le tour,

De l’Ile de La Réunion  …  d’amour,

Tant choses à voir, au centre, autour.

.

Nombre paysages, et climats, changent,

Du nord au sud, et  autant, d’est en ouest,

Sans compter du rivage jusqu’au sommet,

Il fait chaud, en bas, il fait froid en haut.

.

Pour bien faire, il faudrait trois mois,

Pour approcher toutes ressources,

Que cette île recèle en son sein :

C’est un minimum de temps !

.

Trois femmes, quatre garçons,

Couple de résidents au Tampon

En ville, au  cœur  de  La Réunion !

Voilà la belle troupe faisant trempette

À peine arrivé en eau chaude d’un lagon,

Loin de leur Bretagne, loin de ses tempêtes,

Sans moindre cri ni moindre vol de mouette.

.

Chacun appréciera, à sa façon et à sa mesure,

Ces atmosphères ondes dans des eaux pures,

Et que, La Réunion  sait offrir, aux estivants,

De métropole, parfois, en grands tourments,

De gouter, charme  de randonnée, matinale,

En cirque volcanique,  ou, en parc  régional,

Au-dessus des nuages,  de vapeur virginale,

Chaque journée, même très bien préparée,

Réserve  ses  flots  de problèmes  à régler.

.

La vie à La Réunion réclame pour moitié,

De l’organisation, doses d’improvisation

Fait appel  à la raison, et à l’imagination,

C’est cela qui fait son charme  et  passion

Cette ile est recouverte pleine végétation,

Gorgée de fruits et cela en toutes saisons.

.

Ce caillou  est Volcan  de l’Océan Indien.

Chacun s’approprie et chacun le fait sien

De vouloir flirter le piton de sa fournaise

On s’y sent comme un invité très à l’aise,

Et cela, bien qu’aucune herbe n’y pousse,

Et cela, bien que le cratère, ouvert, tousse.

.

Les filles d’ici, habillée, parfois, en pagnes

Font impressions, d’agréables compagnes,

À leurs hommes, hâblés, de ces montagnes,

Ou races, cultures et religions, se mélangent,

On trouvera autant, ici, de dieux que d’anges.

.

.

Extensions

.

L’Ile de La Réunion ne peut que

Nous laisser des souvenirs inoubliables,

Non pas parce qu’elle est française, volcanique,

Équatoriale, parce qu’elle est, simplement, magique.

Peu d’iles en Pacifique, peuvent prétendre à un tel statut.

N’étant pas une agence de tourisme, je n’en dirai pas plus.

Un avantage certain est de connaitre et de  fréquenter

Les habitants du coin, cela est vrai partout,

Cela est vrai à tous les coups.

.

Le tourisme, de voyage d’exploration, d’initiation, comparaison

Est devenu peu à peu une exploitation et une industrie de masse

Et ce mouvement mondial, planétaire est loin de son pic d’affaire

Nous sommes sept, pour quinze jours, logés en location vacances,

Mais il y a des autocars entiers remplissant les hôtels et les plages.

Tant mieux pour les uns tant pis pour autres, touriste est passager.

Il est matière première autant, sinon plus, qu’un humain, un frère !

Un instant, j’ai pensé, avec ma femme, m’y installer comme résident

L’envie est passée, nous nous sommes dit qu’on y reviendra souvent !

.

En famille ou en groupe,

Un voyage restera différent

Que tout seul, voire en couple

Souvenirs marqués par temps.

.

Nous avons avantage sur touristes,

Débarquant sans lien, ni connaissance,

Femme originaire de l’ile avec ses parents

Et une fratrie, toujours résidente, et jeune.

.

Lorsque nous les rencontrerons, plusieurs fois,

Nous échangeront, avec eux, sur le climat social

Qui nourrit les élections municipales prochaines

Les principaux problèmes qui se posent sur l’Ile.

.

.

364 – Calligramme  

.

Sept vacanciers, quinze jours,

À peine le temps de faire le tour,

De l’Ile de La Réunion  …  d’amour,

Tant choses à voir, au centre, autour.

Nombre paysages, et climats, changent,

Du nord au sud, et  autant, d’est en ouest,

Sans compter du rivage jusqu’au sommet,

Il fait chaud, en bas, il fait froid en haut.

Pour bien faire, il faudrait trois mois,

Pour approcher toutes ressources,

Que cette île recèle en son sein :

C’est un minimum de temps !

.

Trois femmes,   S   quatre garçons,

Couple de rési      E  dents au Tampon

En ville, au cœur    P      de La Réunion !

Voilà la belle troupe T     faisant trempette

À peine arrivé en eau   *    chaude d’un lagon,

Loin de leur Bretagne,   V   loin de ses tempêtes,

Sans moindre cri ni mo   A  indre vol de mouette.

      C

Chacun appréciera, à sa    A  façon et à sa mesure,

Ces atmosphères ondes,   N       en des eaux pures,

Et que, La Réunion sait   C      offrir, aux estivants,

De métropole, parfois     I     en grands tourments,

De gouter, charme de     E    randonnée, matinale,

En cirque volcanique,    R     ou, en parc  régional,

Au-dessus des nuages,    S      de vapeur virginale,

Chaque journée, même     *     très bien préparée,

Réserve ses flots  de pro   À        blèmes  à régler.

            *

La vie à La Réunion réc      L   lame pour moitié,

De l’organisation, dose        A     d’improvisation

Fait appel  à la raison, et       *    à l’imagination,

C’est cela qui fait son char     R     me et passion

Cette ile est recouverte plei    É    ne végétation,

Gorgée de fruits et cela en      U  toutes saisons.

                        N

Ce caillou est Volcan  de        I  l’Océan Indien.

Chacun s’approprie et cha   O   cun le fait sien

De vouloir flirter le piton   N   de sa fournaise

On s’y sent comme un in   * vité très à l’aise,

Et cela, bien qu’aucune     herbe n’y pousse,

Et cela, bien que le cratère, ouvert, tousse.

.

Les filles d’ici, habillée, parfois, en pagnes

Font impressions, d’agréables compagnes,

À leurs hommes, hâblés, de ces montagnes,

Ou races, cultures et religions, se mélangent,

On trouvera autant, ici, de dieux que d’anges !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

364 4

.

Un pion sur un échiquier,

Un flacon avec un bouchon

Une silhouette de touriste,

Réalisée en forme de LEGO ?

.

Difficile de reconnaitre silhouette de dos,

En étant immobile :

Et qui plus est quand il s’agit d’un touriste

Et donc non natif.

.

Symbolique 

.

Réflexion sur ce que

Nous voyons, croyons de nous,

Ou que nous donnons à voir,

Notre aspect, notre

 Silhouette.

.

Ce que nous pensons logique, normal,

Ce que majorité des personnes veulent,

C’est-à-dire une silhouette, dite parfaite,

Plutôt mince, est loin d’être l’évidence

Pour notre cerveau-ordinateur.

.

Le seul régime qui marche

Vraiment et à long terme

C’est l’amour inconditionnel

Que nous devons nous donner.

Plus   nous  nous  acceptons,

.

Plus nous aurons le poids

Qui nous  convient  et

La silhouette que

 Nous devons avoir.

ladv.biz/la-silhouette-en-decodage

.

Descriptif

.

364 – Vacanciers, quinzaine à La Réunion  

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme anthropo/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : silhouette  / Symbole de fond : touriste

.

.

Fond

.

Évocation 

.

364 6

.

Difficile de reconnaitre silhouette de dos,

En étant immobile :

Et qui plus est quand il s’agit d’un touriste

Et donc non natif.

.

Symbolique 

.

Manuel de l’Antitourisme,

Rodolphe Christin observe que

« L’un  des  paradoxes  du   tourisme,

D’aujourd’hui est : de tuer ce dont il vit,

Comme  véritable  parasite  mondophage.

Elle préfère le divertissement à la diversité.

.

Le premier est en effet plus confortable car

Il ne remet rien en cause. Ainsi le touriste

Déclare son amour à cette planète dans

Ses moindres recoins, ce faisant, pourtant,

Il contribue à l’épuiser et  impitoyablement »

Source : wikipedia.org/wiki/Tourisme_de_masse

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Comment distinguer un touriste, d’un natif :

Partout où l’on va, on se posera la question

La langue, bien sûr et, parfois, la couleur

La Réunion : y a tant de métropolitains,

Qu’on prendra le risque de se tromper,

Au moins une fois sur deux sinon plus.

.

Mais bon les indiens ça se verra bien,

Et les malgaches, pas très loin, aussi,

Mais le reste serait tellement métissé,

Que ce n’est même pas peine d’essayer,

Pour ma part, je ne m’y suis pas risqué !

 .

.

Le centre et le tour de côte de La réunion

.

Scénario

.

Résidence proposée aux touristes, tout  comme la nôtre,

pas très loin d’un plage, où l’eau est à vingt-cinq degrés,

nombreux lacs intérieurs au bord desquels piqueniquer.

 .

Visuels et textuels >> 

363 – Notre bain dans une cascade

Visuels et textuels  >> 

.

Notre bain dans une cascade,

Disons plutôt au pied, en mare,

Creusée par chute bouillonnante,

Participe bien être, contraste fort,

Entre douche froide, et bain chaud,

Entre bruit tonitruant et murmure.

..

Et, c’est là, qu’a été prise ma photo,

 Figurant en ce site dans «A propos»

Et c’était avant le bain pour mettre

Mon esprit en train de s’immerger

Dans cette eau, pure … et bleutée

Ce bonheur j’ai pu me permettre.

.

En partant  de  la  côte  marine,

En remontant  moitié de ravine,

Des paysages verdoyants défilent,

En voiture ou à pied, on s’y faufile.

.

Au fond  d’une  gorge  profonde,

Où l’eau se laisse tomber en onde,

On entend des cailloux, tout contre,

Chanter sa mélodie claire qui gronde.

.

Une rivière  s’alimente, et  serpente,

Au pied du volcan de La Fournaise,

Voici que nous en sommes bien aise

Au pied de sa cascade, sous sa pente.

.

Tombe  son eau  claire, moussante,

Et tombe son eau saine et mouvante,

Son eau pure et bleue, et si décapante,

De sensation eau fraiche, eau glaçante.

.

Un bain, un  plongeon, s’imposent

Dans le creux de son bassin … à flot

Accumulant les énergies de cette eau

Glissante en roches qui nous reposent.

.

Ces bruits,  incessants,  tonitruants,

Bercent nos oreilles de leurs… chants

Racontent les frasques de son parcours

Depuis les hauteurs d’un volcan en four.

.

.

Extensions

.

De remonter une rivière jusqu’à sa source,

Marcher le long de ses méandres et grimper

Sur ses cascades, se baigner  dans ses torrents.

Ce n’est pas ce qui manque en Ile de La Réunion.

.

On  y  trouvera, tout  aussi  bien,  des  cascades  en

Bordures  de  mer   qu’en  contrepentes  de  monts.

Toutefois   les   endroits   propices  à  la   baignade,

Ne sont pas légions sinon totalement inaccessibles.

.

L’eau est beaucoup plus fraiche que celle de plage :

Cinq à six degrés de moins et bien plus tonifiante.

Une fois que l’on y est, dedans, se forçant un peu.

Le bruit de la cascade n’est pas non plus celui

Du sac et du ressac en vagues de la mer.

.

En cascade, il est puissant, continu,

Il vous tombe sur la tête de haut.

Ce sont là deux opportunités parmi d’autres,

Pour se baigner laissant deux impressions différentes

En souvenir et qui n’ont rien à voir avec un bain dans

Une piscine, à laquelle avions accès en hébergement.

.

Quoi de plus rafraichissant que de se baigner

Au pied d’une cascade en bassin bouillonnant !

Son écume vous apporte un peu de son oxygène

Tant l’on peut y nager sans crainte ni sans gêne

Il y a comme une crique, un cirque de verdure,

Où bruit d’eau tombante, sans cesse, perdure

Et l’on en frisonne de joie, d’émotion pure

Comme en paradis perdu et retrouvé

Où le temps s’est soudain arrêté.

.

Une cascade, la possibilité de baignade,

Cela peut faire cliché  pour ile exotique.

Il est vrai qu’en métropole, montagnes,

Bassins cascades sont autour 15 degrés.

.

Attention  à ne pas se laisser emporter,

Par le courant de cascades à répétition,

À moins d’être  un adepte du canyoning,

Toujours bien équipé, bien accompagné.

.

L’eau qui stagne et l’eau qui bouge, court,

Ne fournit pas mêmes sensations au corps

Cette dernière  est vraie cure de jouvence,

Dont on se réjouit et on profite, d’avance.

.

.

Épilogue

.

Un bain sous une cascade

Vous imaginez quelle douche,

Mieux que les jets de la thalasso,

Avec tout sur les épaules, buste, dos.

***

Je n’ai pu y rester  qu’une minute  dedans

Tant la pression d’eau écumeuse, était forte,

 J’ai nagé après  dans son bassin bouillonnant :

Je me suis senti de suite au mieux qu’on se porte.

***

Attendez, y a partout des tas de cascades différentes,

Vous imaginez, si elle avait été très grosse, très longue,

Elle m’aurait assommé groggy dès les première seconde,

Je ne serais peut-être pas là à vous raconter sa descente !

***

Vingt minutes à : nager, buller, plonger…dans son bassin,

Les piscines des jeux ludiques : très cher, il faut les payer,

Lors ici, c’est gratuit, c’est très agréable  et c’est très sain,

Bien que sans  confort et il faut marcher pour y accéder.

***

Dans les chutes du Niagara, je n’irais pas me doucher

Je n’en sortirais pas vivant, tant ce serait suicidaire

Dans une mare dormante, non plus …  meurtrière,

Tant en microbes, substances polluées, chargée.

.

.

363 – Calligramme

 .

BAIN ………………………………

Notre bain dans une cascade,

Disons plutôt au pied, en mare,

Creusée par chute bouillonnante,

Participe bien être, contraste fort,

Entre douche froide, et bain chaud,

Entre bruit tonitruant et murmure.

EN UNE ………………………..……………

Et, c’est là, qu’a été prise ma photo,

 Figurant en ce site dans «A propos»

Et c’était avant le bain pour mettre

Mon esprit en train de s’immerger

Dans cette eau, pure … et bleutée

  Ce bonheur j’ai pu me permettre.

CASCADE ……………………………

   En partant  de  la  côte  marine,

      En remontant  moitié de ravine,

           Des paysages verdoyants défilent,

                En voiture ou à pied, on s’y faufile.

RÉUNIONNAISE ……

                Au fond  d’une  gorge  profonde,

                     Où l’eau se laisse tomber en onde,

                           On entend des cailloux, tout contre,

                                 Chanter sa mélodie claire qui gronde.

BAIN ………………

                                  Une rivière  s’alimente, et  serpente,

                                  Au pied du volcan de La Fournaise,

                                     Voici que nous en sommes bien aise

                                        Au pied de sa cascade, sous sa pente.

EN UNE ….

                                       Tombe  son eau  claire, moussante,

                                            Et tombe son eau saine et mouvante,

                                                Son eau pure et bleue, et si décapante,

                                                  De sensation eau fraiche, eau glaçante.

    CASCADE

                                            Un bain, un  plongeon, s’imposent

                                                Dans le creux de son bassin … à flot

                                                   Accumulant les énergies de cette eau

                                                      Glissante en roches qui nous reposent.

                       RÉUNIONNAISE

                                                    Ces bruits,  incessants,  tonitruants,

                                                       Bercent nos oreilles de leurs… chants

                                                           Racontent les frasques de son parcours

                                                              Depuis les hauteurs d’un volcan en four.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

363 4

.

Grosse cascade bouillonnante

Qui tombe dans un bassin d‘eau

Comme une douche sur une tête

Comme une fraicheur de vivre.

 .

Se baigner sous une cascade,

Dans un grand bassin de plaisir :

On s’imagine au paradis naturel

Des tous premiers hommes !

.

Symbolique 

.

Contrairement à la rivière,

À la mer, au lac, étant en relation

Avec la symbolique de l’horizontalité,

La cascade demeure sans équivoque

En relation avec toute sa verticalité.

La chute d’eau qui part d’un haut

Pour tomber et arriver, en bas.

.

La cascade, après la source,

Fait les rivières, les torrents, les lacs.

Cela dit en d’autres termes, elle évoque

De manière imagée l’incarnation

De l’homme sur Terre.

.

Comparée à un rideau

Cachant une grotte ou une caverne,

Elle symbolise le tissu ou voile séparant

 Bien  le monde visible  du  monde  invisible.

Modifié,  source :  wikireve.fr/dir/4420-cascade

.

Descriptif

 .

363 – Bain en une cascade réunionnaise

Alignement central / Titre absent / Thème  Réunion

Forme oblique / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : cascade  / Symbole de fond : bassin

.

.

Fond

.

Évocation

.

363 6

.

Se baigner sous une cascade,

Dans un grand bassin de plaisir :

On s’imagine au paradis naturel

Des tous premiers hommes !

.

Symbolique 

 .

Le site des bassins de Saint-Gilles-les-Bains

Est un lieu remarquable parmi les plus prisés

Et fréquentés  de l’ouest de l’île  de La Réunion.

.

Situés dans ravine Saint-Gilles, les trois bassins

Et leurs cascades seront  facilement  accessibles

En 10, 20 ou 30 minutes de  marche  seulement.

.

Les bassins se succèdent, étant nichés au milieu

D’un magnifique paysage verdoyant, et offrent

Chacun un décor différent, l’eau douce, claire

Et très rafraîchissante des bassins invite

Les visiteurs à la baignade, l’’endroit

Est également idéal pour

Effectuer pause

 Pique-nique.

cartedelareunion.fr/listings/les-

bassins-de-saint-gilles-les-bains

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Cascades et bassins parfois s’enchainent

Tout dépend de comment l’eau se déchaine

Sur des pentes abruptes avec des parapets

Ici, c’est un large, c‘est un profond bassin

Où l’on se baigne en une eau à 20 degrés

Quand, à l’air libre : près de 35 degrés.

Le contraste est très fort  et bénéfique,

Pour la peau, et pour le corps entier,

Tant et si bien qu’on finit par rester,

Une heure ou deux sans s’y lasser !

 .

.

Formation naturelle de bassin cascade

.

Scénario

.

Des cascades dans l’Ile de La Réunion, il y en a beaucoup,

y a des simples avec de grands bassins pour s’y baigner,

et des multiples, d’où l’eau tombe de haut et de partout !

.

Visuels et textuels  >> 

362 -La visite du temple Tamoul

Visuels et textuels >> 

.

Faut montrer

Pattes blanches,

Lors bons chrétiens,

Lors… métropolitains,

Car si vous voulez visiter

Le moindre Temple…Indien,

Religion Tamoul n’est pas rien !

.

Faites d’abord ablutions

Des mains et des … pieds.

Le pantalon, et la chemise,

Sont de rigueur pour femmes

Pas de chaussures, de ceintures

En cuir tanné : faut rien d’animal,

Sur vous, qui souillerait votre âme !

.

Les statues, des plus bigarrées,

Avec plein de symboles convenus,

Nous aurons toutefois ouvert l’esprit

Sur un monde,  qui nous était inconnu.

On dit que toutes les religions  se valent,

Tamoul parait, bien sincère, et, bienvenue !

.

D’abord, trois tours d’un temple carré,  rond 

Par guide, faites-vous mener ensuite au vestibule

Où, grand garçon, marqué d’un point rouge au front,

Prie pour ses dieux Tamoul, en gardien …   en émule.

.

À l’extérieur, cent statues, des colorées, variées,

Divinités symboliques, moitié animale, humaine ;

D’autres sur le toit, empilées sur trois étages au carré

À toutes, les fidèles font leurs dévotions, par centaines.

.

À l’intérieur, sanctuaire des divinités sacrées,

Dans un patio étant réservé à la crème des fidèles,

Avec en plus sur les côtés, les sept planètes modèles

Qui faisaient naturellement objets de différentes piétés.

.

Saint des saints, protégé derrière porte ouverte

Était totalement inaccessible, à nous, les impurs,

Réservé aux prêtres et aux autres guides de l’azur :

Stop, ici ce serait sacrilège, serait même votre perte.

.

Grand seigneur, le guide, pour nous consoler,

Nous montre en la remise un grand char en bois :

Bien que de taille importante, onze tonnes, de poids,

Tous les ans il est, cérémonie, par fidèles Tamouls, tiré.

.

.

Extensions

.

Chaque religion a ses temples,

Rites, dévotions, interdictions, profanations.

On peut les critiquer, sans fondements, dépassés :

Jugement porté à partir de notre culture et civilisation.

.

Nous avons dans la religion catholique et chrétienne,

Nos rites et nos processions que d’autres religions

Ont du mal en en saisir le sens, voire la portée.

.

Traverser  des  feux de braise, en  marchant

Dessus, se percer la langue ou mutilation

Symboliques et cependant bien réelles

Peuvent  nous  sembler  inhumaines.

Mais toute religion,  par définition,

Comporte  bonne  part d’irrationnel

Et bien des traditions se poursuivent

Et se transmettent sans qu’on connaisse

Ni l’origine ni la raison : que traditions !

.

Des temples, lieux de cultes, il y en a pour toutes les religions

Chacune avec ses croyances, ses rites, ses coutumes, ses fêtes.

Résidents d’ile de La Réunion les accueille toutes, ou presque,

Et il ne se souciera pas d’en imposer une parmi tant d’autres :

Cette tolérance ou cette neutralité ou cette égalité religieuse,

Est rendue possible sur rocher loin de toute folie pour dieu

On peut en trouver, peu catholique en tous sens du terme

Lors il s’agit de troquer une croyance, contre une autre,

Toutes les religions se valent si elles ne sont déviantes

La secte et sectarisme ont conduit souvent à l’enfer.

.

.

362 –Calligramme

 .

UN

Faut montrer

Pattes blanches,

Lors bons chrétiens,

Lors… métropolitains,

Car si vous voulez visiter

Le moindre Temple…Indien,

Religion Tamoul n’est pas rien !

TEMPLE

Faites d’abord ablutions

Des mains et des … pieds.

Le pantalon, et la chemise,

Sont de rigueur pour femmes

Pas de chaussures, de ceintures

En cuir tanné : faut rien d’animal,

Sur vous, qui souillerait votre âme !

TAMOUL

Les statues, des plus bigarrées,

Avec plein de symboles convenus,

Nous aurons toutefois ouvert l’esprit

Sur un monde,  qui nous était inconnu.

On dit que toutes les religions  se valent,

Tamoul parait, bien sincère, et, bienvenue !

RÉUNIONNAIS

D’abord, trois tours d’un temple carré,  rond 

Par guide, faites-vous mener ensuite au vestibule

Où, grand garçon, marqué d’un point rouge au front,

Prie pour ses dieux Tamoul, en gardien …   en émule.

UN

À l’extérieur, cent statues, des colorées, variées,

Divinités symboliques, moitié animale, humaine ;

D’autres sur le toit, empilées sur trois étages au carré

À toutes, les fidèles font leurs dévotions, par centaines.

TEMPLE

À l’intérieur, sanctuaire des divinités sacrées,

Dans un patio étant réservé à la crème des fidèles,

Avec en plus sur les côtés, les sept planètes modèles

Qui faisaient naturellement objets de différentes piétés.

TAMOUL

Saint des saints, protégé derrière porte ouverte

Était totalement inaccessible, à nous, les impurs,

Réservé aux prêtres et aux autres guides de l’azur :

Stop, ici ce serait sacrilège, serait même votre perte.

RÉUNIONNAIS

Grand seigneur, le guide, pour nous consoler,

Nous montre en la remise un grand char en bois :

Bien que de taille importante, onze tonnes, de poids,

Tous les ans il est, cérémonie, par fidèles Tamouls, tiré.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

362 4

.

Un escalier pour monument

Ou un toit  à multiples étages

Servant de modèle  au temple

Plutôt indien, plutôt bouddhiste.

.

Temple est mot, édifice, générique

pour un bon nombre de religions :

dieu sait combien y en a hindoues,

aussi la forme convient au fond !

.

Temple Tamoul  ressemble  autre

Temple tout en étant différent :

Codes et rites, seront particuliers :

Il ne faudra pas porter de cuir !

.

  Symbolique

.

Importance du Temple,

Tant pratique que symbolique,

Tient en cela que c’est un objet matériel,

Ayant utilité, utilisation, précises et évidentes.

C’est un contenant. Il est possible d’y pénétrer,

De s’y tenir, d’y demeure, de s’y recueillir.

.

Le Temple est une unité de lieu

Où les hommes  sont  ensemble,

Où ils deviennent  un  Ensemble

Au sens mathématique du terme.

Ils y acquièrent   caractéristiques

Sans le Temple dirait  Bachelard,

L’homme serait un ordre dispersé.

Modifié, source : symbuli.pagesperso-orange.fr/

inaccessible_etoile/pages_etoile/s18-temple.

 

Descriptif

 .

362 – Un Temple Tamoul Réunionnais

Alignement central / Titre absent / Thème  Réunion

Forme superposée / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : temple    /     Symbole de fond : temples

.

.

Fond

.

Évocation 

.

362 6

.

Temple Tamoul ressemble autre

Temple tout en étant différent :

Codes et rites, sont particuliers :

Il ne faudra pas porter de cuir !

.

Symbolique d

.

Les

Temples

Hindouistes

Sont souvent dédiés,

À une divinité primaire,

Appelée la divinité tutélaire,

Et à d’autres divinités subalternes

Associées à cette divinité principale

En matière d’architecture, l’on peut

Dégager quelques règles générales.

.

Tout temple hindouiste  se compose,

Au minimum d’un cœur de sanctuaire

Appelé  garbha  griha  et  ensuite d’un porche

Permettant d’y accéder  mais   tout  sanctuaire

Est recouvert  et protégé  par une, ou des tours,

Plus ou moins haute, plus ou moins nombreuses.

Lors l’entrée s’effectuera toujours par un porche.

wikipedia.org/wiki/Architecture_des_temples_hindouistes

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Divers temples et nombres de religions

Ce n’est cela qui manque à La  Réunion,

Chacun peut pratiquer selon croyance,

Cette liberté est comme une évidence

Cela en fait un pays, pour tolérance,

Cela vous fait du bien en vacances.

 .

.

Maha Shiva Lingam

.

Scénario

.

Un temple hindou et qui visiblement n’est pas de chez nous,

avec ses statues, statuettes nichées en haut, un peu partout,

char hindou trainé à la main le jour de célébration rituelle !

.

Visuels et textuels >> 

361 – Seconde, longue randonnée

Visuels et textuels  >> 

.

Tout là-haut,

Sur la montagne,

Étant bien plus haute

Que notre belle Bretagne,

L’authentique forêt primaire

Nous attend et elle comprend,

Arbre, arbuste… fleur d’antan.

.

C’est un vrai, et un pur régal,

L’endroit est bien silencieux

Le paysage,  bien en creux,

Un long sentier en gravit

Sa colline impénétrable

En tous points, divine !

.

Lors nous y enfonçons,

D’un pas plus que léger,

En paysages  de fin d’été

Regorgeant  des verdures,

Et, de plantes,  si  sauvages

Que  l’on pourrait   en parler

Comme legs,  ou   sauvetages !

.

Entre haies roses,  qui jaunissent,

Ça monte, tourne, descend,   glisse,

Il faut tenir sa main qui tire et hisse

Afin que nos montées  ne rompissent

Le tour de chauffe, première montée.

.

Au bout  de  trois quatre, randonnées,

Vous serez roi des monts haut-perchés

Vous procurant points de vue extasiés.

Ici,  forêts  de  l’ile, vierges,  inhabitées,

Métropole : toutes exploitées,  spoliées ;

Ici, si vous jetez  une graine, elle pousse,

Là-bas, que chiendent, ronces, mousses !

.

Pour finir, la brume nous a pris et surpris

Par sa candeur, sa fraicheur sans la pluie,

Bien que, vite, chaleur du soleil, la dissipe,

Ça glisse encore assez pour se casser la pipe.

.

Une longue randonnée vous plongera et d’avantage,

Dans le paysage, dans la nature et jusqu’aux nuages

Car tout change, à chaque montée, à chaque virage,

Qui plus est, vous perdez du poids, finissez en nage.

.

La marche en montagne se compte en heures plus

Qu’en distance, vrai qu’il faut compter un quart

De temps en moins pour descente régulière.

Indications pancartes correspondent,

Temps des pauses non compris.

.

.

Extensions

.

Une petite

Randonnée fait ici

De quatre à cinq heures

Sur terrain pas trop dénivelé,

Une grande, de six à sept heures,

Sur terrain beaucoup plus accidenté.

.

Les forêts primaires, on ne les trouvera

Qu’à quinze cent mètres en les hauteurs,

Aussi faut-il grimper pour les atteindre,

Le silence est très impressionnant :

L’on peut se croire à mille lieux

De civilisation, d’habitations !

.

Une  boussole,  et  une carte,

Sont indispensables en lieux

Couverts des forêts primaires

Où les sentiers se ressemblent,

Et carrefours sont mal orientés :

On perd une heure si l’on se trompe.

.

Mon épouse devant, et moi derrière, et l’ami Pierre, qui suit :

Sommes tous trois en bermuda, tee-shirt et chapeau adéquat

Une première partie, facile, en pente légère, et bien régulière,

Suivie de quelques raidillons qui vous raidissent les tendons,

Et pour finir, un pic qui nous met l’estomac dans les talons.

Nous aurons fait quinze kilomètres et bu deux litres d’eau,

Sous un soleil frisant les 35 degrés en bas, et 25 en haut !

 Nous ne regrettons pas au vu du panorama imprenable,

Deux heures à le contempler entre le repas et la sieste.

.

L’on commence à grimper dans les hauteurs,

Et c’est de là qu’on voit la mer, de tous côtés,

On prend conscience des dimensions de l’ile,

Et de son caractère volcanique … accidenté.

.

Ce qui nous impressionne le plus : cirques,

Au nombre de trois et chacun son charme,

Et bien sûr la Fournaise encore en activité

Où l’on s’est promis d’aller jour prochain.

.

.

361 – Calligramme

.

Tout là-haut,

Sur la montagne,

Étant bien plus haute

Que notre belle Bretagne,

L’authentique forêt primaire

Nous attend et elle comprend,

Arbre, arbuste… fleur d’antan.

C’est un vrai, et un pur régal,

L’endroit est bien silencieux

Le paysage,  bien en creux,

Un long sentier en gravit

Sa colline impénétrable

En tous points, divine !

***************************

**************************

Lors nous y enfonçons,

D‘un pas plus que léger,

En paysages  de fin d’été

Regorgeant  des verdures,

Et, de plantes,  si  sauvages

Que  l’on pourrait   en parler

Comme legs,  ou   sauvetages !

Entre haies roses qui jaunissent,

Ça monte, tourne, descend   glisse,

Il faut tenir sa main qui tire  et hisse

Afin que nos montées  L ne rompissent

Le tour de chauffe   O    première montée.

Au bout de trois   N        quatre, randonnées,

Vous serez roi      G     des monts haut-perchés

Vous procurant    U         points de vue extasiés.

Ici, forêts de l’ile      E               vierges, inhabitées,

Métropole : toutes      *              exploitées, spoliées ;

Ici, si vous jetez une       R              graine, elle pousse,

Là-bas, que chiendent,       A               ronces, mousses !

Pour finir, la brume nous       N              a pris et surpris,

Par sa candeur, sa fraicheur        D                 sans la pluie,

Bien que, vite, chaleur du soleil        O                   la dissipe,

Ça glisse, encore assez, pour se casser    N                 la pipe !

Une longue randonnée vous plongera, et     N      d’avantage,

Dans le paysage,  dans la nature  et  jusqu’aux  É      nuages,

Car tout change, à chaque montée,   à chaque    E  virage,

Qui plus est, vous perdez du poids, finissez en   *  nage.

La marche, en montagne, se compte en heures plus

Qu’en distance, vrai qu’il faut compter un quart

De temps en moins pour descente régulière.

Indications pancartes correspondent,

Temps des pauses non compris.

À   L A   R  É  U  N  I  O  N  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

Lors on randonne,

Il faut toujours garder

Une poire, pour la soif,

Voire des letchis locaux.

.

Poire et fruit exotique ont peu à voir

avec une randonnée en cirque, ou pic

au delà des mille mètres, il y en a peu

si fait que la forme diffèrera du fond.

.

Une poire est bien issue d’une fleur de poirier

 Qui ne produit le fruit exotique letchi

Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtus et goutés.

.

Symbolique 

.

Les grecs

L’auraient appréciée

La poire puisque Homère

Disait d’elle que c’était cadeau

Des dieux. Mais c’est aux romains

Que l’on doit  sa véritable  diffusion

Dans le reste de l’Europe,  l’auraient

Plusieurs fois croisée et auraient créé

Une cinquantaine de  variétés. Chine,

La fleur du poirier est le symbole du

Caractère éphémère de l’existence,

Car elle est très fragile. Occident,

Dans l’univers onirique, poire

Symbole érotique féminin.

patybio.over-blog.com/article-

petite-histoire-de-la-pyra-ou-poire

.

Descriptif

.

360 – Longue randonnée, à La Réunion   

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme  en courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : poire    /     Symbole de fond : letchi

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

Une poire est bien issue d’une fleur de poirier

 Qui ne produit le fruit exotique letchi

Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtus et goûtés.

 .

Symbolique 

 .

Il s’agit du véritable symbole

Pour la belle  île de la Réunion !

Un letchi agréable à consommer,

Surtout pour les fêtes de fin d’année,

Letchi n’a pas que qualités gustatives.

.

Il s’agirait, aussi, d’un fruit  qui  possède

De nombreux bienfaits   pour notre santé,

Véritable source de fibres, le letchi est aussi

Très riche en vitamine C et en vitamine B9.

.

En dégustant le letchi de l’île de la Réunion,

Vous ferez du bien à vos papilles et santé !

blog-colipays.com/739/le-letchi-

le-symbole-de-lile-de-la-reunion

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le letchi est un arbre majestueux

Atteignant 20 mètres  de hauteur :

Il présente un houppier  volumineux,

Il est de forme  généralement arrondie.

Cultivé depuis plus de 4.000 ans en Chine,

 Et il aura été introduit à La Réunion en 1764.

Le fruit arrive à maturité au mois de décembre.

Gourmandise prisée  des Réunionnais,  les letchis

 Ornent tables de Noël et Jour de l’An à La Réunion.

 .

.

Belle forêt primaire

.

Scénario

.

Ma femme et moi, un ami, lors partie de montée facile, verdoyante,

qui nous procure vue panoramique  et  imprenable  sur un cirque,

projet de grimper sommet : sept heures de marche aller-retour !

 .

Visuels et textuels  >> 

360 – Première, courte randonnée

Visuels et textuels >> 

.

Facile sur le papier,

Facile, sur une carte,

Facile par les sentiers,

Facile avec… pancartes.

.

Au début, avons pied léger,

Grimpons  vers  les montées,

Descente, avons cœur, fatigué

Notre entrain nullement altéré.

.

Même quand une très raide pente

Ralentit notre marche, rendue lente

Quand racines nous feront trébucher,

Ferons bien attention à ne pas glisser.

.

Une petite pause, bienvenue et Petit-Lu,

Boire de l’eau n’est pas non plus, superflu,

Nous n’avons pas fini,  ne sommes pas d’ici,

Encore trois heures de marche, courage parti.

  .   

Nous traversons quantité de bois et de sous-bois,

Longeons quelques haies de plantes, fleurs des bois,

Et toutes ces végétations luxuriantes, de la fin de l’été,

Nous mettent nos yeux en émois, notre cœur aux abois.

   .

Une dernière pause, s’impose, avant d’attaquer la montée,

Casse-croûtes, bouteilles d’eau, commencent  à nous peser :

Oh hisse on s’arrache on s’agrippe à quatre pattes, grimper

On sue, on suffoque, on expire, soupire : cette fois on y est.

   .

Au bout d’un haut sentier en plein milieu de la randonnée

Il ne nous reste plus qu’à descendre quelque peu fatigué,

Notre journée aura été très longue,  dès six heures levés

Cela dit, à aucun moment, ne songerons à la regretter.

.

Facile sur le papier  ….  plus dur sur la montée :

Notre sort  de  randonneurs   réunionnais,

N’est pourtant pas des plus mauvais,

Il y en a d’autres à nous envier.

.

.

Extensions

.

Vrai que petite mise en jambes

Avant d’attaquer les plus longues

Et hautes randonnées, s’avère  plus

Que nécessaire, puis vital, à l’arrivée.

.

Vous débarquez, station  de ski, l’hiver,

Vous n’attaquez pas d’emblée piste noire

Prenant le risque de vous casser, de passer

Votre semaine de vacances dans un hôpital.

.

Une marche est  moins dangereuse,  violente.

Corps s’habitue à endurer, de mieux en mieux,

À se dépasser, à se surpasser,   jusqu’à vous faire

Comprendre le moment, l’endroit où  il serait bon

De souffler  ou, parfois, de s’arrêter, voire renoncer.

.

Chaleur, fraicheur, compteront autant que longueur,

Et hauteur de randonnée, boire est impératif absolu

Au-delà trente-cinq degrés, le corps se déshydrate

Nettement plus vite, et le fait faire une pause

Pour grignoter retarde l’hypoglycémie.

.

La première randonnée sera une, d’échauffement, d’acclimatation.

Elle ne sera pas trop longue, pas trop haute, et pas trop fatiguante.

Un sac léger sur le dos, contenant rien que le pic-nic, et  boissons,

Une marche non rapide, avec des arrêts fréquents pour souffler.

Il y a quand même et avant tout décalage, déphasage, horaire

À compenser et ce n’est pas en forçant que l’on va y arriver.

On risquerait de plus de se faire des ampoules ou entorse.

.

Faut se mettre en train, sans se forcer :

Dix kilomètres, premier jour, c’est assez,

Vingt nous auraient cassés genoux, pieds

En plus des trois heures d’horaire décalé,

.

Avec métropole  et  un coucher fort tard,

On est un peu zombies,  dans le coltard :

 Mal réveillé, lors en état de somnolence,

Randonnée ne doit pas être pénitence.

.

.

360 – Calligramme

 .

Facile sur le papier,

Facile, sur une carte,

Facile par les sentiers,

Facile avec… pancartes.

.

Au début, avons pied léger,

Grimpons  vers  les montées,

Descente, avons cœur, fatigué

Notre entrain nullement altéré.

.

Même quand une très raide pente

Ralentit notre marche, rendue lente

Quand racines nous feront trébucher,

Ferons bien attention  à ne pas glisser.

.

Une petite pause, bienvenue et Petit-Lu,

Boire de l’eau  n’est pas,  non plus, superflu,

Nous n’avons pas fini  *    ne sommes pas d’ici,

Encore trois heures de    C marche courage parti.

   

Nous traversons quantité    U   de bois et de sous-bois,

Longeons quelques haies de  R      plantes, fleurs des bois,

Et toutes ces végétations luxu  T      riantes, de la fin de l’été,

Nous mettent nos yeux en ém    E     ois, notre cœur aux abois.

     *

Une dernière pause, s’impose,      R      avant d’attaquer la montée,

Casse-croûtes, bouteilles d’eau,      A       commencent  à nous peser :

Oh hisse on s’arrache on s’agrip      N       pe à quatre pattes, grimper

On sue, on suffoque, on expire,         D       soupire : cette fois on y est.

              O

Au bout d’un haut sentier en plein       N        milieu de la randonnée

Il ne nous reste plus qu’à descendre       N        quelque peu fatigué,

Notre journée aura été très longue,         É     dès six heures levés

Aucun moment, ne songerons                E      à la regretter.

À     L A     R É U N I O N   

.

Facile sur le papier  ….  plus dur sur la montée :

Notre sort  de  randonneurs   réunionnais,

N’est pourtant pas des plus mauvais,

Il y en a d’autres à nous envier.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

.

Lors on randonne,

Il faut toujours garder

Une poire pour la soif,

Voire fruit exotique.

.

Poire et fruit exotique ont peu à voir

avec une randonnée en cirque, ou pic

au delà des mille mètres, il y en a peu

si fait que la forme diffèrera du fond.

 .

Une poire est bien issue d’une fleur de poirier

 Qui ne produit de fruit, de fleur exotique 

Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtues et goutés.

.

Symbolique 

 .

En chine,

La fleur du poirier

Est symbole du caractère

Éphémère de notre existence,

Tant elle est perçue comme fragile.

.

En occident dans notre univers onirique

La poire serait un symbole érotique féminin,

Les noms, qu’on lui a donnés, au fil  des siècles.

.

En témoignent assez bien : comtesse d’Angoulême

Belle lucrative, doyenne comice, duchesse Orléans

Galien y voit le fruit le plus propre à désaltérer,

Et de fait l’expression désormais populaire

Qui est de  » garder une poire pour la soif « 

N’est pas tout à fait dénuée de sens.

Source : patybio.over-blog.com/article-

petite-histoire-de-la-pyra-ou-poire

.

Descriptif

.

360 – Courte randonnée, à La Réunion   

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme  en courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : poire    /     Symbole de fond : fruit

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

.

Une  poire n’est pas ce qu’on peut appeler

Un fruit exotique :

Mais dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtues et goutés.

.

Symbolique 

.

Il est assez courant

De se voir dans des jardins fruitiers

Ou bien même devant un potager dans ses rêves.

Il est possible, aussi, de voir apparaître des fruits

Exotiques bien mûrs, appétissants en sa vision.

Tout cela n’est évidemment pas dû au hasard

Car tous ces fruits, légumes, ont un sens

Au niveau symbolique spirituelle.

crystallia.unblog.fr/symbolique

-des-fruits-et-legumes

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les poires et les fleurs de poiriers,

Pour sûr, seront des plus communes

Lors fruits exotiques sont découvertes

Pour un métropolitain, de la Bretagne.

.

En voit en certains magasins spécialisés,

Mais pas sur des plantes, arbres, pousser.

C’est vrai plaisir que de pouvoir les cueillir,

En saison ou les acheter sur les étals locaux.

Des ananas Victoria, mangues et bananes.

Letchis,  longanis,  papayes,   goyaviers,

Anones, jusqu’aux fruits de la passion,

Et j’en passe…  tant il y en a, y en a !

 .

.

Temps pour contemplation

.

Scénario

.

Une allée couverte d’arbustes sauvages se profilant en montant.

Plus en hauteur, la même avec une végétation sèche et tombante.

Arrivés à destination sur les bords d’un cirque, le moment pic-nic.

 .

Visuels et textuels >> 

359 – Conservatoire botanique

Visuels et textuels  >>

.

C’est vrai, difficile,

Comment vous décrire

Un tel plaisir de nos yeux,

Que d’observer, de contempler,

Une telle nature,  vierge, en ce lieu !

Il  faut  des jours,  si ce n’est semaines,

Pour prétendre en  avoir bien fait le tour,

Pour bien connaître, pour bien apprécier,

Quels sont fruits indigeste, fruit amour.

Tant vrai qu’homme  n’a jamais cessé

De bouleverser, ou modifier,

       Équilibre culture ile,

      Sur   floraisons,

   Étagées

.

Près de la mer, cannes,

Mi-hauteur, géraniums,

Tout en haut : orchidées,

Sa déforestation a grimpé

Sévi, faisant place à profit.

.

Conservatoire est concentré

Des plantes  et des végétaux,

On en trouve partout sur l’ile,

À différents endroits, niveaux.

.

Un coin de vallée  merveilleux :

Un parc de sept hectares, arboré

D’espèces de plantes par milliers,

Faisant des jaloux et des heureux.

.

Un paradis floral  pour les oiseaux,

Nulle part, n’avons vu  de plus beau

Partout, on les voit  voleter, chanter,

Du cardinal … au tisserin bien niché.

.

En fond d’allée,  en palier, champêtre,

L’on voit la grande maison, de maitre,

Flanquée  d’une  cuisine, dépendances,

Construites par un  Marquis de France.

.

Un jardin, paradisiaque et dans une ile,

Qui ne l’est pas moins, et, d’après nous,

Contraste fort avec les forêts primaires

   Qu’on trouve encore, en quelques coins.

.

      Une église … en forme de croix romaine,

          Sise à l’orée du parc, ouverte en semaine,

              Nous invite à remercier dieu, d’avoir créé,

                 Arbres, plantes, fleurs, et tant de diversité.

.

                    Toute végétation mérite  notre  attention :

                        Chacune raconte son histoire, colonisation,

                         Les espèces indigènes sont les plus rares,

                           Ce caillou est volcanique et sans tare.

.

.

Extensions

.

Il est difficile d’imaginer

Qu’à partir de rien ou de laves,

Voire de pierres ou cendres chaudes,

Refroidies peu à peu, il y est une végétation

Des plus florissantes après des milliers d’années.

Comme ne croyant pas à une génération spontanée,

Elles sont forcément venues d’ailleurs mais comment.

.

Ce sont, probablement, des oiseaux qui ont emporté

Des graines puis, plus tard, avec une colonisation

Par les premiers hommes,   quelques vaisseaux

Lors aujourd’hui, vous jetez n’importe quelle

Graine sur le sol et elle se prend à pousser.

Si cela n’a pourtant rien d’un miracle,

C’est quand même extraordinaire !

.

Un conservatoire dans une ile qui l’est elle-même, cela a-t-il du sens !

En un seul endroit se trouve rassemblées,

Nombre espèces végétales endémiques de La Réunion : ce n’est pas rien.

Et puis cela a été un apport de la métropole :

Marquis de France, Joseph Antoine Sosthènes d’Armand de Chateauvieux

1804 – 1885, domaine acheté par La Réunion 1986.

Voilà, vous savez tout ou presque, de l’histoire, en tous cas autant que moi !

Je vous conseille d’aller y faire un tour, voire long détour.

Rien que la collection d’orchidées, vaut à elle-seule, le prix du billet d’entrée.

.

Il y a comme des … différences

 Entre nombre de plantes et fleurs,

Dans la nature et jardin botanique :

C’est leurs proximités et leurs densités

.

Séduits par leurs arrangements en allées,

Leurs densités dans des serres spécialisées,

Le parcours s’avère être un plaisir des yeux,

En plus d’odeurs, parfums parfois capiteux.

.

Ce qui m’a le plus impressionné, n’a pas été

La gousse de la vanille, mais la marguerite.

J’ai appris qu’on en extrayait la substance

Ayant longtemps servie fixateur parfum !

.

.

359 – Calligramme

.

Vrai,     difficile :

Com  B  ment vous  C décrire

Un tel plaisir O             O     de nos yeux,

Que d’observer,  T        N     de contempler,

Une telle nature,      A   S      vierge, en ce lieu !

Il faut des jours,            E        si ce n’est semaines,

Pour prétendre en            R   N       avoir bien fait le tour,

Pour bien connaître,        V         I         pour bien apprécier,

Quels sont fruits indi   A               Q       geste, fruit amour.

Tant vrai qu’homme  T                     U        n’a jamais cessé

De bouleverser, O                           E      ou modifier,

       Équilibre I                                   *    culture ile,

      Sur   R                                 flora *   isons,

   E                                  étagées  *

L  A      R   É   U   N   I   O   N  

.

Près de la mer, cannes,

Mi-hauteur, géraniums,

Tout en haut : orchidées,

Sa déforestation a grimpé

Sévi, faisant place à profit.

Conservatoire est concentré

Des plantes  et des végétaux,

On en trouve partout sur l’ile,

À différents endroits, niveaux.

Un coin de vallée  merveilleux :

Un parc de sept hectares, arboré

D’espèces de plantes par milliers,

Faisant des jaloux et des heureux.

Un paradis floral  pour les oiseaux,

Nulle part, n’avons vu  de plus beau

Partout, on les voit  voleter, chanter,

Du cardinal … au tisserin bien niché.

En fond d’allée,  en palier, champêtre,

L’on voit la grande maison, de maitre,

Flanquée  d’une  cuisine, dépendances,

Construites par un  Marquis de France.

Un jardin, paradisiaque et dans une ile,

Qui ne l’est pas moins, et, d’après nous,

Contraste fort avec les forêts primaires

   Qu’on trouve encore, en quelques coins.

      Une église … en forme de croix romaine,

          Sise à l’orée du parc, ouverte en semaine,

              Nous invite à remercier dieu, d’avoir créé,

                 Arbres, plantes, fleurs, et tant de diversité.

                    Toute végétation mérite  notre  attention :

                        Chacune raconte son histoire, colonisation,

                         Les espèces indigènes sont les plus rares,

                           Ce caillou est volcanique et sans tare.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

359 4

.

Sauf  erreur  grossière, de ma part,

Je pencherais pour un champignon

Qui correspondra bien à pleine nature,

Bien qu’il s’agisse de jardin de fleurs.

.

Champignon, quel qu’il soit,

 Évoquerait toutes les botaniques 

Et puis, il y a tellement de fleurs

Qu’il serait dur de les représenter.

 .

Symbolique

 .

Les champignons

Sont tous des plantes qui,

Sous une apparence identique,

Sont  comestibles  ou   vénéneuses.

Champignons symbolisent soupçon.

En Asie, et, notamment, en  Chine,

Le champignon reste le symbole

De la longévité et fertilité.

En mythologie,

Il figure  parmi

Attributs du dieu

De cette longévité.

Cette  association

Tient, sans doute,

Qu’une fois séché,

Il se conserverait

Très longtemps.

1001symboles.net/symbole/

sens-de-champignon.

.

Descriptif

.

359 – Conservatoire botanique, La Réunion  

Alignement central / Titre oblique / Thème  Réunion

Forme  en X   /  Rimes libres    /    Fond accordé à forme

Symbole de forme : champignon / Symbole de fond : fleurs

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Champignon, quel qu’il soit,

 Évoquerait toutes les botaniques 

Et puis, il y a tellement de fleurs

Qu’il serait dur de les représenter.

.

Symbolique 

 .

Les fleurs sont l’attribut

De Flore et parfois de l’Aurore

Ainsi que les figures allégoriques

Du Printemps, de la Logique,

De l’Espérance et de l’odorat.

.

La Logique, un des sept arts libéraux,

Portera, parfois, un bouquet de fleurs.

L’Espérance détient aussi cet attribut,

Fleur annonce future naissance fruit.

.

Niveau mythique, Zéphyr,

Le  vent  du  printemps,

S’étant  épris de Flore,

L’enlève et s’unit à elle

En mariage : en gage

De son amour, il lui offre de régner

Sur les champs et jardins cultivés.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_fleurs

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les plantes exotiques et indigènes

Sont, souvent, des plantes exquises,

Qu’on voit par milliers à La Réunion,

En quelques exemplaires, en Métropole !

Champignon frais : faible valeur énergétique.

.

Ami indispensable de cuisine saine et savoureuse.

On trouve du cuivre, du potassium, du phosphore

Il y a, aussi, ceps et bolets, bella rosé, portobello.

Agrémentés de plantes à cuisiner, un vrai régal,

Sans oublier les orchidées et les cannes à sucre

 .

.

Fleur appelé Oiseau du paradis

.

Scénario

.

On a vu plantes et  fleurs aux allures peu communes en Métropole.

Ancienne demeure de Marquis de France, s’y intègre parfaitement.

Végétation est flamboyante, bien fleurie, bien odorante en la saison.

 .

Visuels et textuels  >>

358 – Programme des visites

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.

Lors nos deux amis, locaux,

Sont prévenants charmants

Seul fait de les voir arriver

Nous voilà déjà contents.

Et La Réunion comment

Lui consacrer du temps,

Y demeurer  longtemps,

Y revenir,  plus souvent.

.

Flâner et puis farnienté,

Pied manguier, cocotier,

Ou la valse à trois temps,

Nager, cuisiner, marcher.

Il n’est jamais … trop tard

Pour visiter et s’acculturer,

À  un si  accueillant caillou,

Que pleurerons en quittant.

.

Comme  en fous  de nature,

Demeurons  en émerveillés

De sa richesse  botanique,

Toute  en  fleurs, boutons.

Sans oublier sa … cuisine

Parfumée ou bien épicée

Dont toutes nos papilles

S’émoustillent, encore.

.

Chaque journée bien que programmée,

Réserve ses flots de problèmes à régler,

La vie à La Réunion réclame la tension

De l’organisation et de l’improvisation

Fait appel à la raison, à l’imagination,

Lors cela lui donne charme, passion.

.

L’ile est recouverte de végétations,

Gorgée de fruits en toutes saisons,

Ce caillou, volcan d’Océan Indien,

Chacun se l’approprie, le fait sien.

.

De flirter avec piton de Fournaise

On s’y sent comme invité, à l’aise

Bien qu’aucune herbe n’y pousse

Bien que cratère s’ouvre, tousse.

.

Les filles, d’ici, parfois, en pagnes,

Constituent d’agréables compagnes,

Aux hommes hâblés hors montagnes,

Races, cultures  religions se mélangent

On trouve ici autant dieux que d’anges.

.

Nos yeux, narines, oreilles pores, palais,

S’ouvrent  sur paysages, coutumes, mets,

Zoreilles pour blancs, Zarabes pour autres,

Deux semaines à passer, parmi eux apôtres

De nos us et coutumes,  de notre métropole,

Que beaucoup ne connaissent, n’étant créole.

.

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Extensions

.

Présents en l’ile de La Réunion,

Il y aura de quoi faire pendant

Au moins deux mois, et, nous

N’avions que deux semaines.

.

Ce qui est frappant,

C’est cette correspondance

Harmonieuse, entre la diversité

Des climats, celle des végétaux,

Des maisons  et  des résidents.

Tout ici se côtoie, se mélange

 .

Se fréquente, se marie,

Sans exclusion, sans hiérarchie.

On aimerait bien connaitre ça,

En Métropole, faut pas rêver.

Huit  cent  mille  habitants

 .

En Ile La Réunion,

Huit millions en Ile de France,

Ce n’est pas qu’une question d’échelle

Mais de quantité, densité cohabitations.

.

Mais qu’est-ce qu’on est donc allé faire si loin et sur un caillou ?

Il parait qu’il y a de quoi et on peut se prélasser de rien du tout !

Il y a, la mer, les villes, les montagnes, les cirques, et les vallées :

De quoi marcher deux semaines en diversifiant, sans se reposer,

Sauf à faire la Diagonale du fou,  à toute vitesse, en deux jours !

Très peu pour moi je l’ai supprimé de la liste de mes randonnées

Je crois que je peux faire le fou autrement, même en diagonale.

.

Un programme de visites, rencontres, randos,

Sur une durée de deux semaines, ça fait court,

Et il faut l’adapter chaque fois au gout du jour

Pour ne pas, lors fatigués en avoir plein le dos.

On commence naturellement par une rencontre,

Des locaux, des amis de la famille ou des parents

Nous aidant par leur présence à être dans le bain

Que nous reverrons, certainement, jour prochain.

.

Comme c’est la première fois que je débarque ici

Je n’ai que peu d’informations et aucun a priori,

Je me propose de jouer l’éponge et au fil de l’eau

Me faire à l’idée que c’est lieu d’accueil et rando.

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358 – Calligramme

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Lors nos deux amis, locaux,

Sont prévenants charmants

Seul fait de les voir arriver

Nous voilà déjà contents.

Et La Réunion comment

Lui consacrer du temps,

Y demeurer  longtemps,

Y revenir,  plus souvent.

Flâner et puis farnienté,

Pied manguier, cocotier,

Ou la valse à trois temps,

Nager, cuisiner, marcher.

Il n’est jamais … trop tard

Pour visiter et s’acculturer,

À  un si  accueillant caillou,

Que pleurerons en quittant.

Comme  en fous  de nature,

Demeurons  en émerveillés

De sa richesse  botanique,

Toute  en  fleurs, boutons.

Sans oublier sa … cuisine

Parfumée ou bien épicée

Dont toutes nos papilles

S’émoustillent, encore.

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P  R  O  G  R  A  M  M  E

.

Chaque journée      D     bien que programmée,

Réserve ses flots de     E       problèmes à régler,

La vie à La Réunion      S       réclame la tension

De l’organisation et de      *        l’improvisation

Fait appel à la raison, à      V       l’imagination,

Lors cela lui donne char         I       me, passion.

L’ile est recouverte de               S      végétation,

Gorgée de fruits en toutes             I        saisons,

Ce caillou, volcan d’Océan              T       Indien,

Chacun se l’approprie, le fait          E          sien.

De flirter avec piton de Four         S           naise

On s’y sent comme invité :          *            à l’aise

Bien qu’aucune herbe              À         n’y pousse

Bien que cratère                *        s’ouvre, tousse.

Les filles, d’ici,            L        parfois, en pagnes,

Constituent d’         A       agréables compagnes,

Aux hommes         *      hâblés hors montagnes,

Races, cultures      R       religions se mélangent

On trouve ici autant    É       dieux que d’anges.

Nos yeux, narines, oreilles   U       pores, palais,

S’ouvrent sur paysages, coutumes   N        mets,

Zoreilles pour blancs, Zarabes pour   I    autres,

Deux semaines à passer, parmi eux    O apôtres

De nos us et coutumes, de notre mé   N tropole,

Que beaucoup ne connaissent : n’étant créoles !

.

.

Forme

Réduction

.

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Évocation 

.

358 4

.

Un piédestal avec sa statue,

Une brosse à cheveux, ronde,

En haut,  notre première liste,

En bas, la première randonnée.

.

Une liste de choses à faire, acheter, voir :

quoi de plus normal, arrivant pour séjour,

et qui plus est pour prépare une randonnée

tant et si bien que la forme converge à fond.

 .

Les listes seront diverses et variées

En fonction des souhaits :

Nous, nous sommes venus, ici, pour

Visiter et pour randonner.

.

Symbolique 

 .

En poésie, la liste

Peut être une figure de style

Économe, efficace comme en vers :

« Adieu veau, vache, cochon … couvée »

.

Ou comme dans la prose, plus descriptive

« Les  arbres  des  boulevards,  les  vespasiennes,

Les bancs, les grilles, les becs de gaz, tout fut arraché».

.

Prévert a intitulé un de ses poèmes inventaire  commençant

« Une pierre deux maisons trois ruines quatre fossoyeurs ».

Source : wikipedia.org/wiki/Liste

.

Descriptif

 .

358 – Programme des visites à La Réunion  

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme  droite  /  Rimes égales  /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : liste  / Symbole de fond : randonnée

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Fond

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Évocation de fond

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358 6

.

Les listes seront diverses et variées

En fonction des souhaits :

Nous, nous sommes venus, ici, pour

Visiter et pour randonner.

.

Symbolique 

.

La marche est un

Exercice physique

Très complet et un temps

Propice pour délier sa pensée,

Rêver, se ressourcer.

Elle participe d’un éveil

Sensoriel au monde :

Les odeurs, les bruits,

La lumière, les couleurs

Et d’un retour à l’essentiel,

Qui permet de se désencombrer,

De s’alléger des surcharges inutiles

Et de reprendre son souffle.

Le sens de la marche Cairn.info

 .

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Corrélations

Fond/forme 

.

La liste est longue des raisons d’aller à La Réunion,

Et une à la Prévert ou Boris Vian, n’apporterait rien,

Quand il s’agit  de s’y rendre  comme par vraie passion

Des iles exotiques, qui nous feraient le plus grand bien !

.

Voilà bien tel refrain méritant un nombre de couplets,

Je m’en vais de ce pas, vous en écrire quelques-uns !

.

Quelques-uns, pas trop, il suffit d’entendre chants

Créoles pour comprendre l’amour des résidents

Et de participer à nombre des joyeuses fêtes

Qu’ils ne manquent pas de vous concocter,

Comme devenus, zoreilles, l’un de leurs.

 .

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Un petit point sur le Globe

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Scénario

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Vue aérienne de l’Ile de La Réunion, Pacifique, près de Madagascar.

Cirques creusés par volcans rapprochés et le cratère de la Fournaise.

La ville de Saint-Denis de La Réunion : contraste mer et montagne.

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