1128 – Devant Dieu, devant les hommes, soi-même

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Devant Dieu,

Devant homme

Devant soi-même

Sont repères connus,

Qui nous positionnent,

Sur nos jugements, sur

Innocence et culpabilité

Dans notre bel Occident,

Ou sur  l’honneur, honte,

En plein Extrême-Orient.

 .

Certains font plus grand cas de Dieu qu’hommes,

Et, si ce n’est Dieu … d’une conscience externe,

Qui connait tout de leurs actes et de pensées,

Un œil regardait Caïn, de Victor Hugo.

.

Certains font plus grand cas d’eux que de Dieu,

Dès lors qu’ils sont athées «pas vu, pas pris»,

Il n’existe pas de faute, en réalité, que

Prouvée par les hommes

Et incontestable.

.

Certains font grand cas de leur conscience

Et ils se culpabilisent, et pour un rien,

Tant ont peur  de faire du mal

À quelqu’un malgré eux.

.

Tant Dieu  est  grand,

Dieu  est  infaillible,

Dieu est miséricorde

L’Homme  fait Justice

Au-dessous des hommes

Et dépassant   tous les cas,

Individuels   et  particuliers,

Elle ne pourra pas se tromper,

Bien qu’existe erreur judiciaire.

.

La conscience est plus souple et plus lâche

À la fois dans le rôle du juge, et  de  l’assassin.

Elle peut choisir,  les circonstances  atténuantes

Ou, tout au moins, quel  que doute sur l’intention.

.

Extensions

 .

Jurer devant Dieu ne

Concernant pas  le  bien

Ou le mal, mais le parjure,

Où   le mensonge   volontaire ;

En Amérique ça revient au même.

On ne peut pas échapper au jugement

En cas de crime, de violence ou faute grave

On fera porter le chapeau à quelqu’un d’autre

En fabriquant même des preuves irréfutables.

.

Engrenage des doutes : plus vous clamer

Votre innocence  et plus l’on s’acharnera à

Vous rendre  coupable. Moralité : dès qu’on

A affaire justice des hommes, coupable ou pas,

On est dans le pétrin, on en sort jamais blanchi,

Par la grande porte. Utile à savoir au moment de

Porter plainte, elle peut se retourner contre vous

Et vous aurez beau  jurer : devant Dieu,  devant,

Les hommes, vous : la machine  vous  écrasera.

.

Dieu voit tout, Dieu juge de tout, Dieu est en tout

Il est le seul à comprendre nos intentions, actions

Justice d’État émane des lois dépassant l’individu

Connue et la même pour tous : simple à appliquer

«En son âme et conscience»,  est point de vue moral

Intériorisé, conditionné, culpabilisant, s’accusant !

Dieu n’a rien vu, Justice n’a de preuve, moi cynique

En somme «un Péché avoué est à moitié pardonné»

 Contre « un péché non avoué, péché non condamné».

.

Quand j’étais enfant …  j’étais très effrayé

Par cette vérité qui n’avait pas d’échappée :

Dieu voit tout, n’oublie, ne laisse rien passer !

.

Je n’avais pourtant pas encore lu Gorge Orwell,

Qui à sa manière, en 1984, défait le communisme

Maintenant je me rends compte que c’est possible.

.

Internet voit tout, lit-tout, et peut analyser tout !

Les informations sur la vie privée  de quelqu’un

Ce n’est pas Dieu qui les interprète : l’homme.

.

Je pense que ce n’est pas mieux, c’est pire :

On aura chassé Dieu et autre le remplace,

Après vous, chaque jour, part en chasse.

.

Fragments 

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Justice divine : divine surprise,

Justice humaine sinon dictatoriale

Justice par soi-même ou immanente !

.

Ces trois formes, trois contenus, de justice,

Tantôt se confondent, se séparent, s’opposent !

Mais si on peut renier celle de Dieu transcendant,

Si on peut échapper à celle sociale en pas vu, pas pris

En aucune manière, l’on se soustrairait à sa conscience.

.

Ce n’est pas tant que l’on mette une justice sociale de coté

Chaque société à ses règles : les oublier, les braver, danger

Que de jouer au chat et à la souris c’est pas moi, monsieur.

Combien de romans policiers seront bâtis sur cette trame

On vous promène ici et là : l’assassin est sous vos yeux !

.

Hygiène de l’assassin, de rien révéler, toujours mentir

Le crime parfait existe mais résolu parfois sur le tard.

Il faut se mettre dans la tête du criminel  pour saisir,

Non par mobiles ou motivations, mais personnalité,

Expliquant le pourquoi  du comment  hors preuves.

.

Bien que justice dise : ne pas commettre d’erreur,

Celles-ci existent bien, c’est  la pire des injustices,

Que de condamner un innocent pour un coupable

Tant cela  ferait  deux victimes, pour le prix d’une,

Et  sans, pour autant, punir,  le  véritable  auteur !

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme

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Devant   D    Dieu,

Devant    E     homme

Devant    V     soi-même

Sont re    A  pères connus,

Qui nous  N     positionnent,

Sur nos    T     jugements, sur

Innocen    *     ce et culpabilité

Dans no   D    tre bel Occident,

Ou sur      I     l’honneur, honte,

En plein   E    Extrême-Orient.

U ………….

Certains font plus grand cas de Dieu qu’hommes,

Et, si ce n’est Dieu … d’une conscience externe,

Qui connait tout de leurs actes et de pensées,

Un œil regardait Caïn, de Victor Hugo.

.

Certains font plus grand cas d’eux que de Dieu,

Dès lors qu’ils sont athées «pas vu, pas pris»,

Il n’existe pas de faute, en réalité, que

Prouvée par les hommes

Et incontestable.

.

Certains font grand cas de leur conscience

Et ils se culpabilisent, et pour un rien,

Tant ont peur    L  de faire du mal

À quelqu’un   E    malgré eux.

Tant Dieu      S     est  grand,

Dieu est         *      infaillible,

Dieu est         H  miséricorde

L’Homme       O    fait Justice

Au-dessous      M   des hommes

Et dépassant     M      tous les cas,

Individuels          E        particuliers,

Elle ne pourra       S    pas se tromper,

Bien qu’existe er     *     reurs judiciaires

*

La conscience est plus  S     souple et plus lâche

À la fois dans le rôle du  O   juge, et  de  l’assassin.

Elle peut choisir,  les cir   I  constances  atténuantes

Ou, tout au moins, quel     * que doute sur l’intention.

.

Forme

.

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Évocation 

.

Une belle fontaine

Dans certains palais,

Ou en places publiques,

Jaillissement jets d’eau.

.

1128 4

.

Fontaine étages : soi, en bas, les hommes,

Et Dieu, tout en haut :

L’eau qui y coule,  y ruisselle, se renouvelle

Comme un jaillissement !

Le jaillissement d‘eau directement su sol

Ou l’intermédiaire d’une fontaine à étage

Demeure toujours des plus spectaculaires

Ce qui fait que sa forme évoque son fond.

.

Symbolique

.

La fontaine est le symbole

De l’immortalité, la purification

Et de la régénérescence et en continu.

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La fontaine de jouvence est une fontaine mythique

Dont l’eau à le pouvoir de régénérer le corps et l’âme

De celui qui la boit, aussi, elle guérit toutes les maladies,

.

Et les chagrins et rend immortel et plusieurs mythes feront

Références  à cette fontaine : dans la mythologie romaine,

Jupiter transforme la nymphe Jouvence  en une fontaine

Qui a la vertu de rajeunir de manière quasi  perpétuelle

Modifié, source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-fontaine

.

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Fond

 

Évocation de fond

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1128 6

.

Fontaine étages : soi, en bas, les hommes,

Et Dieu, tout en haut :

L’eau qui y coule,  y ruisselle, se renouvelle

Comme un jaillissement !

.

Symbolique 

.

Tous les hommes vivent constamment

Au milieu de sentiments plus ou moins profonds

Mais il est difficile de les percevoir avec finesse

Et de les rendre dans la langue humaine,

Car souvent ils se cachent ou nous oppressent.

.

De même qu’il prend dans ses poumons

L’air de l’atmosphère et absorbe dans

Son organisme l’eau des sources

Et les éléments de la terre, l’être

Humain grandit et chemine

Au rythme des sentiments.

.

Alors qu’il invente, crée, pense

Et s’extériorise, l’être humain

Jaillissement sentiments,

 Tantôt sereins

Et tantôt troublés, tantôt

À peine esquissés

Et tantôt débordants.

keulmadang.com/2011/01/13/archives/

essais/le-sentiment-dans-les-poesies

 .

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Fond/forme 

 .

On parle de jaillissement d’eaux

Pour une source ou une fontaine :

Jaillissement de la pensée au figuré,

De la justice quand le couperet tombe

Oui mais  comment faire  se rejoindre

Celui des lois et celui de sa conscience

La conscience sourd de terre ou ciel

Justice est construction sociale !

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1127 – Le divin paradis, inaccessible, septième ciel

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Divin … paradis,

Septième ciel inaccessible

Il n’appartient   à aucune réalité

Du monde visible monde sensible,

Il n’est que projeté par les hommes,

Purement virtuel et non existentiel.

.

Ce n’est pas      l’antimatière

N’est pas ma   tière sombre,

Qu’on ne voit  pas ….. plutôt

Autre monde, où le temps est :

Espaces, mouvements,  énergies,

Seraient substitués par conception

Incluant l’idée inventée, d’Éternité.

.

Monde du divin, de l’âme ou de Dieu,

D’un lieu, où l’on se rend après mort,

La fin du corps d’apparence physique.

 .

Que ce lieu existe ou n’existe pas,

L’homme dans    toutes périodes,

Toutes cultures  ou civilisations,

L’a  promulgué  e n  salut  final :

Il y a, bien entendu, des athées,

 .

Des agnostiques  et des ignorants

Niant la possibilité d’improbable

Ou pour le moins d’in-trou-vable,

Et qui nous échapperait toujours

En dépit de savoir en technologies.

.

Pour autant jour d’aujourd’hui,

Rien ne nous autorise à affirmer

Que ce septième … ne serait  que

Produit de l’inconscient  collectif,

Pour contrer inacceptable destin

.

De notre mort humaine  en fin,

En se projetant sur réincarnation

Résurrection esprit dénué matière

Que sais-je encore, immortalité

Toujours encore à vérifier.

 .

Extensions

 .

En redescendant sur terre,

Regardant d’autre point de vue

Ce « moi initial », ce « moi total »,

S’il lui manque sa dimension spirituelle,

Se rapprocherait, confondrait monde animal.

.

Si nous sommes animaux, notre destin sera scellé :

Sommes appelés à être remplacés, disparaître sans traces.

S’il s’agit d’une expérience qui a mal tournée, erreur de casting

De la part d’un Maitre du Monde alors la boucle se transforme

En dédale où se nouent, dénouent paradoxes, contradictions.

.

Cercle, monde, paradis, demeurant à jamais indécidables,

Ne peuvent satisfaire les esprits rationnels humains

Fonctionnant selon des logiques différentes

En s’appuyant sur le réel, non le virtuel.

.

Et, toutefois l’imaginaire humain, quel qu’il soit

Et quoiqu’il conçoive fait bien partie d’un certain réel

Et c’est bien avec lui, et grâce à lui, que nous avons fait

Des découvertes et des avancées, et, il y aurait dilemme

Si les choses sont équivalentes conséquences différentes.

.

Les cercles de la connaissance n’ont rien de scientifiques,

Initiatiques, métaphysiques et encore moins mystiques :

Ils ne sont qu’une construction de l’esprit pour mieux

Se situer dans le déjà vaste monde que l’on habite.

.

Le septième ciel : pourquoi pas sixième ou le huitième ?

L’on n’en est pas à un, près, dans un tel lieu, suprême,

Lors d’un voyage sans retour en destination extrême

Dépassant et de loin, sept couches de l’atmosphère,

Aucun astronaute ne s’est senti  près d’un Paradis

Mais, on ne sait pas tout, et on ne voit pas tout :

Certes, nous n’avons pas la preuve  qu’il existe,

Non plus qu’il n’existe pas sauf en La Marelle.

.

Le ciel est le seul lieu que l’Homme

N’a pas encore totalement exploré et compris.

Les humains restent fascinés par cette voûte bleue

Constellée d’étoiles s’exhibant au-dessus de leur tête.

Car depuis l’Antiquité, ils tentent de l’expliquer :

C’est à cette période qu’on l’associe à félicité.

.

L’homme veut toujours aller plus haut.

De surenchère en surenchère, nous sommes

Tous montés jusqu’à se rapprocher du dernier,

 Celui qui nous mettra au plus près des dieux

On rejoint un peu, ici, la quête d’un Graal,

Qui serait proche de l’extase amoureuse

Mais le septième ne sera que spirituel.

.

Fragments 

.

Le jeu de La Marelle est des plus pédagogiques,

Pour apprendre cette notion d’un septième ciel.

.

On est censé aller tout droit au ciel après la mort,

Ce n’est pas tant qu’on l’ait mérité…qu’on y croit.

.

Cette croyance s’illustre en action dans La marelle

On n’utilise le pied en sautant, poussant, un palet.

.

Palet empiète  des cases : tout est à recommencer,

L’on passe d’une case à l’autre en un ordre imposé

.

Le Ciel atteint en haut, l’on redescendra sur Terre :

Pourquoi des cases horizontales au milieu, en haut.

.

Je ne suis pas certain d’une interprétation que voilà,

 Comparons un tel chemin à celui de notre propre vie

.

La première étape horizontale  correspond au milieu

De notre vie, c’est-à-dire pas loin de … quarante ans.

.

Première fois pour beaucoup, sens de vie questionne,

On est bien installé, en son métier, son couple, foyer !

.

Seconde fois, on est  au début  de sa retraite d’activité

Dernière étape, en perspective est celle de notre mort.

.

Ces deux périodes seront favorables à toute expérience,

Qui nous mène en recherche de spiritualité à une autre,

.

La deuxième sera  alors  comme une sorte d’achèvement

Dans son choix et de révélation  intime  d’une vraie joie !

.

 Après cela la mort ne sera autre qu’étape supplémentaire,

Qu’on aurait accepté, compris, intégré, sans en avoir peur.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Divin      *       paradis,

Inaccessible  D   septième ciel

Il n’appartient   I  à aucune réalité

Du monde visible  V  monde sensible,

Il n’est que projeté    I   par les hommes,

Mais purement virtuel  N et non existentiel.

.

Ce n’est pas      l’antimatière

N’est pas ma   tière sombre,

Qu’on ne voit  pas ….. plutôt

Autre monde, où temps est :

Espace/mouvement/énergie,

P

Seraient substitués         A        par une conception

Incluant cette idée          R       inventée, d’Éternité.

Monde du divin,              A       de l’âme ou de Dieu,

D’un lieu, où l’on             D         se rend après mort,

La fin du corps d’            I       apparence physique.

S

Que ce lieu existe    *        ou n’existe pas,

L’homme dans        *       toutes périodes,

Toutes cultures       S       ou civilisations,

L’a promulgué               en salut final :

Il y a, bien enten    P        du, des athées,

T

Des agnostiques      I      et des ignorants

Niant la possibili    È      té d’improbable

Ou pour le moins   M      d’in-trou-vable,

Et qui nous échap   E       perait toujours

En dépit de savoir   *      en technologies.

*

Pour autant jour     C         d’aujourd’hui,

Rien ne nous au       I      torise à affirmer

Que ce septième      E        cercle n’est que

Produit d’incons      L      cient … collectif,

Pour contrer inac     *       ceptable destin.

.

I   N    A   C   C   E   S   S   I   B   L    E

.

De notre mort         *     humaine  en fin,

En se projetant     * sur réincarnation

Résurrection esprit dénué matière

Que sais-je encore, immortalité

Toujours encore à vérifier.

 .

Forme

.

.

Évocation 

.

Ça ressemble assez fort

À  un jeu  connu, appelé  

La Marelle pour le ciel

Qu’il faut gagner au pied.

.

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.

Et bien même par jeu La Marelle :

Tout le monde n’atteindrait pas le ciel

Il y a ceux qui poussent l’espoir devant,

Et puis ceux le trainant  vers l’Oméga.

La Marelle n’atteint pas  le ciel

Ce jeu étant sur sol, horizontal :

Il y en a de différentes structures

Mais forme est conforme au fond.

.

Symbolique 

.

La Marelle est un jeu ancestral

D’initiation à la connaissance de soi,

Dont sont issus le jeu du labyrinthe,

La  pétanque  et  le  jeu  de  l’oie.

La plupart des jeux pour enfants

Jeux de société étaient, à l’origine,

Divinatoires  et  initiatiques.

Dans un monde où la raison,

La logique et la science exacte

Font force  de  lois, les principes

Divinatoires initiatiques des jeux

Ont  été  relégués   aux  oubliettes,

Dans un passé dont  nous pensons

Que l’obscurantisme, superstitions

Régnaient en maîtres absolus

Dans les mentalités.

minuit.forum-actif.net/t1010-la-marelle

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1127 6

.

Tout le monde n’atteindrait pas le ciel

Et bien même par jeu Marelle :

Il y a ceux qui poussent l’espoir devant,

Ceux le trainant vers l’Oméga.

.

Symbolique 

.

Comme le remarque Mircea Eliade,

« La prière, la plus populaire, du Monde

S’adresse à notre Père qui est aux Cieux ».

C’est dire l’importance du symbolisme céleste.

Certains, tel P. W. Schmidt, ont même voulu voir

Dans ce dernier la matrice archétypique de tout

Le symbolisme religieux. Nombreuses cultures

Confondent l’appellation du Dieu suprême

Avec dénomination du ciel et des cieux.

universalis.fr/encyclopedie/symbolisme-du-ciel

 .

 .

Fond/forme 

 .

Tout enfant accèdera peu à peu au ciel

En jouant à ce petit  jeu de La Marelle

En poussant son palet à cloche pied

Sans déborder des cases tracées !

.

Un jeu qui n’a rien de religieux,

Un des plus vieux jeu d’enfant

Défiant les lois de l’équilibre

Sans compter précision

Comme aime enfants

Pour tester adresse

Des déplacements.

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1126 – Quand l’enfer me ment, le paradis dément !

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

En jeu de mots,

Enfer me  ment,

Paradis   dé-ment,

Avec force mystère !

.

Lors paradis d’amour

Demeure enfermement

À deux, en  tours  d’ivoire

En ignorant environnement.

.

Enfer dément feu éternel existe

Le paradis ne serait  pas  sexiste,

Du simple fait qu’ange, sans sexe,

Ne s’en font plus  aucun complexe.

 .

Lors enfer me ment, paradis dément,

Que peut vouloir dire cette phrase ci,

Que le paradis pourrait être un enfer

Ou bien  qu’il existe, déjà, sur Terre.

.

Paradis d’amour et d’enfermement,

Ressemblent fort à l’enfer d’autant

Qu’on ne le voit  et qu’on ne le sent

Tant que l’on a des yeux d’amants.

.

Qui souligne comme une évidence

Que tous les contraires se joignent

Avec plus, sinon moins, de poigne.

.

L’enfer dément  qu’un feu … existe

Alors que toutes les visions artistes,

Le met en avant-plan d’avant-scène.

  .

Quelque part entre l’enfer et paradis,

Il y aura la lucidité d’une conscience,

Qui ne se ment pas déjà à…elle-même,

Même quand prise d’émotion extrême.

.

Extensions

 .

Prise entre l’enfer et le paradis, l’Église,

En état d’indigence, en besoin d’indulgences,

Dans les deux sens du terme, pardon et argent,

A inventé le purgatoire dont on ne sait ni le lieu,

Ni la fonction exacte  et ressemble un peu à une

«Garde à vue»  dans  une cellule  de  dégrisement,

Où l’on attend, patiemment, son passeport  pour

Le paradis  ou l’acheminement définitif en enfer,

Selon ses actes de contritions, voire d’expiations.

.

Mais si le purgatoire est provisoire, pourquoi pas

Le paradis, l’enfer, ne le seraient-il pas : illogique ?

L’Église aura fait la distinction entre péchés véniels,

Capables d’être expiés purgatoire et péchés mortels,

Conduisant directement en enfer de Jérôme Bosch.

.

Au Moyen-Âge, le purgatoire est symboliquement

Illustré comme étant un lieu de feu purificateur.

Il aurait été redéployé au milieu du XIXe siècle

Face à la montée du spiritisme ou  d’invocation

Des âmes trépassées par des moyens ésotériques,

Non chrétiens. Son évocation s’est depuis raréfiée.

.

Enfermement et enfer me ment : en un ou trois mots,

L’enfer ce serait  toute  privation de liberté et de vérité,

On peut être enfermé seul ou en couple enfer ou paradis

L’enfer si l’un domine l’autre et l’empêche d’être, de sortir

Paradis  si celui qui est sorti  ouvre la porte à l’autre, vérité

Dément en tant que personne et dément en tant que… verbe

S’écrivent et se prononce  de la même façon,  n’ont rien à voir

Et quand l’enfer dément que le paradis est un lieu de bonheur

Le paradis rétorque que l’enfer est réservé à tous les déments !

.

Entre l’enfermement en paradis dément

Ou rester sur Terre, même si purgatoire,

Mon cœur et mon esprit sinon mon âme,

Ont choisi cette dernière pour agrément.

.

Tant si l’enfer, c’est le mensonge, le faux,

Un paradis de vérité, ne sera pas si beau.

Qui décide, vraiment, du vrai et du faux :

L’Église voire le gouvernement d’en haut.

.

L’on dit que toute prison est enfermement,

Qu’il soit physique, psychologique ou moral

Vivre en un paradis peut être insupportable

Pour ceux qui seront inaptes aux bonheurs.

.

Fragments

.

Il se trouve, comme il se doit,

Que tout paradis et tout enfer,

Ont une porte entrée à franchir

Avec des juges pour son sésame.

.

Il faut s’entrainer avec le Sphinx,

À résoudre des énigmes mortelles,

Sinon l’on serait pris  au dépourvu,

En tombant  de paradis  vers l’enfer.

.

Qui dit porte, dit liberté, enfermement :

Religion adopte second en… manipulant

L’humain pour peur de sa mort, en enfer,

Mort deux fois : sur Terre et en l’éternité !

.

Ce n’est pas que  cette croyance  soit inutile,

Il en faut une, de toute façon, mais  pourquoi

L’imposer  comme seule et unique, sans savoir

Ce qui nous attend réellement autre côté miroir.

.

Comme tout ce qui nous importe et fait sens de vie,

Notre libre-arbitre, si tant est qu’il existe, fonctionne

Nous accorde le choix, venant de l’intérieur, personnel

Suite à notre propre et unique expérience individuelle !

.

Qui ment et qui dément, qui dit vérité et qui dit fausseté :

Allez savoir, ce n’est pas qu’affaire de science, connaissances

Mais d’un processus d’individuation basée sur notre intuition

Venant combler les manques de toutes nos croyances erronées.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme

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     QUAND

     E  *  P  

   En jeu    N       A de mots

Enfer me   F            R      ment

Le paradis  E                A   dément,

Avec force   R                  D     mystère !

Lors para     *                    I   dis d’amour

Demeure     M                   S   enfermement

À deux, en    E                   *    tours   d’ivoire

En ignorant    *                 D   environnement.

Enfer dément  M              É   feu éternel existe

Le paradis ne    E             M   serait pas sexiste

Du simple fait    N             E   qu’ange sans sexe

Ne s’en font plus  T            N   aucun complexe.

                         T

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

 ¤¤¤    Lors enfer me ment, paradis dément,   ¤¤¤

¤¤¤    Que peut vouloir dire cette phrase ci,   ¤¤¤

¤¤¤    Que le paradis pourrait être un enfer   ¤¤¤

¤¤¤    Ou bien  qu’il existe déjà sur Terre !    ¤¤¤

.

¤¤¤     Paradis d’amour et d’enfermement,    ¤¤¤

¤¤¤      Ressemblent fort à l’enfer d’autant     ¤¤¤

¤¤¤      Qu’on ne le voit  et qu’on ne le sent     ¤¤¤

¤¤¤      Tant que l’on a des yeux d’amants.     ¤¤¤

.

¤¤¤      Qui souligne comme une évidence     ¤¤¤

¤¤¤      Que tous les contraires se joignent     ¤¤¤

¤¤¤      Avec plus, sinon moins, de poigne.     ¤¤¤

¤¤¤      L’enfer dément  qu’un feu … existe     ¤¤¤

¤¤¤     Alors que toutes les visions artistes,    ¤¤¤

¤¤¤     Le met en avant-plan d’avant-scène,   ¤¤¤

¤¤¤    Quelque part entre l’enfer et paradis,   ¤¤¤

¤¤¤    Il y aura la lucidité d’une conscience,   ¤¤¤

¤¤¤   Qui ne se ment pas déjà à…elle-même, ¤¤¤

¤¤¤  Même quand prise d’émotion extrême. ¤¤¤

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

Cela ressemble à une grande porte

Avec, au dessus, un grand fronton, 

Et sur lequel serait écrit «paradis»,

Tandis qu’en bas, écrit c’est l’enfer.

.

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.

L’enfer, c’est l’enfermement,

Même racine, et même … réalité :

Paradis on y serait enfermé aussi,

Derrière une porte : confusion !

Pourquoi s’imaginer enfer et paradis

Avec une porte, une sirte de sasd’entrée

Toutes les religions en parle, et l’adopte

Ainsi telle porte évoque bien le fond !

.

Symbolique

 .

Paul Diel interprète l’enfer

En perspective psychologique,

«L’esprit     est         appelé      Zeus ;

Pour     l’harmonie       des    désirs,

Apollon : l’inspiration       intuitive,

Athénée : le     refoulement, Hadès».

L’enfer est à l’intérieur de soi-même,

Enfer de ses démons nous possédant.

Dans  la tradition chrétienne, l’enfer

Est le péché mortel               lui-même

Dans lequel  les damnés  sont morts.

C’est la perte de la présence de Dieu,

Malheur absolu, privation radicale.

La rédemption  du  damné n’est plus

Possible, fixé  dans  sa peine. En une

Conception moderne, existentialiste 

«L’enfer      c’est        les        autres ! »

Selon Jean Paul Sartre

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1126 6

.

L’enfer, c’est l’enfermement,

Même racine, et même … réalité :

Paradis on y serait enfermé aussi,

Derrière une porte : confusion !

.

Symbolique

 .

La porte d’entrée, est un

Passage d’un lieu à un autre,

Un rôle de protection pour être

En totale sécurité, lors chez soi :

 .

Sert autant  à  entrer qu’à sortir,

Ou même  à franchir  un obstacle,

Sinon reculer devant un obstacle ;

Porte gérant l’extérieur, l’intérieur.

 .

Référence à clé  (solution problème)

L’enfermement  ou emprisonnement

Lumière  de  coté / obscurité, autre ;

La vie  et la mort / jugement dernier

Ou l’entrée  au royaume  des morts ;

 .

Ce qui  est  révélé / ce qui est  caché ;

Bien / mal, limite à ne pas franchir :

Ce qui est sacré / ce qui est profané !

euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree

 .

 

.

Fond/forme 

 .

La porte, après vous : fermez-là bien

Car il n’y aura pas de place pour tous

Au paradis où les places sont chères

Entendons-nous bien, pas d’argent

Uniquement vertus don, altérité.

L’enfer est immense et sa porte

Serait cent fois plus grande

Tout comme un porche

Non chas d’aiguille

Pour chameau.

.

Textuels et illustrations  >>

1125 – L’éternité ne serait que concept lié au temps

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

L’éternité …

Ça prend du temps

L’éternité  eh,  attendez :

Pourquoi chercher à la définir

Clairement,  et,  définitivement,

Si on a, tout le temps  d’y penser,

Ni interruption   ni  discontinuité.

.

On ne vous dira jamais sauf à la fin

Si toutefois, par  chance, y parvenez,

Tant la moitié de l’infini, c’est l’infini

On se perd avoir tel début … sans fin.

.

S’il n’y avait pas  de temps,  d’espace

Il n’y aurait pas  d’espace, d’éternité.

L’éternité mais  cela, chacun, le sait,

Ne serait que  concept lié au temps

Qui sera une pure  durée humaine,

Afin de pouvoir mieux le compter.

 .

L’éternité,  qui a  un début,

Sans aucune fin … prévue

Est un non-sens logique,

Au sens mathématique.

.

Pourtant faut y croire,

Pour garder  l’espoir,

Sinon le grand soir,

Serait … trou noir.

.

Troublant  miroir,

Pour    s’apercevoir

Que vie est voyage

Passe comme nuage

.

Et, si la brève éternité

Nous attend l’autre côté

Il vaut mieux se préparer

Pour ne pas  se la regretter

.

Instant, et éternité, n’existant

Que dans un esprit fort chagrin

Qui ne voit mort, sans lendemain

Pour ce faire, recrée infini, temps.

.

Extensions

 .

À quoi bon s’éterniser à écrire et toujours

De vains mots sur l’Éternité

Que personne ne connait et dont personne,

Qui ait vanté ses mérites,

N’en ait revenu pour nous dire à quel point

Elle est désirable,  admirable.

 .

Éternité, assis sur un banc, en pleine solitude,

Et attendant la fin,  s’il y en a une

De quoi d’ailleurs ne me parait pas souhaitable.

Vous vous imaginez mort en pleine

Souffrance  pour une Éternité : c’est déjà  l’enfer.

Mais rassurez-vous, le bonheur même,

Surtout s’il reste intense,  finit par lasser,  énerver.

Il faut donc penser l’Éternité comme une

Sérénité parfaite  que rien ne peut venir perturber,

Que nombre d’agnostiques  appellent ennui.

 .

Et ce dernier peut être pire que douleur le bonheur.

On ne s’en tirerait jamais à si bon compte.

Peut-être est-il préférable de disparaitre et à jamais

Dans le Néant bien que l’esprit y rechigne :

Sa seule mission serait de se projeter dans l’au-delà

De ce qu’il est, dans ce qu’il adviendra

Si on supprime le temps, l’éternité perd son sens

Et son utilité et même l’Homme avec.

L’Éternité nous reste donc des plus nécessaires

Ne serait-ce que pour espérer…

 .

La distinction entre passé, présent et futur ne garde que

La valeur d’une illusion, si tenace soit-elle. » Albert Einstein

Pourquoi lors dire que « nous avons l’Éternité devant nous »,

Alors que nous y sommes déjà, depuis longtemps, toujours,

Si ce n’est que le temps de l’espace, et l’espace du temps,

Se confondent réellement en un seul et même concept.

Et bien que la science de la « relativité restreinte »

 S’opposerait alors à ma philosophie contrainte,

Il n’est pas de mon ressort de les rejoindre

 Dans un artifice jugé métaphysique !

.

Soit une durée qui n’a ni commencement ni fin,

Qui échappe à toute détermination chronologique

Ou durée ayant un commencement, mais pas de fin :

Comme le prône la religion : naissance puis vie future.

.

Dans les deux cas, il y aurait une contradiction interne

Comment concevoir une durée qui est un temps compté,

Puis comment concevoir un début qui n’aurait pas de fin,

Et lors s’il n’y a pas de durée, l’éternité est l’instant présent.

.

Fragments 

.

Si l’on admet qu’espace-temps n’existe pas

Ou du moins échappe à notre connaissance

Et plus encore à l’expérience de la physique

Alors l’éternité non plus, n’a plus lieu d’être.

.

C’est un peu contraire à la raison, je l’admets

Tant comment imaginer, qu’après notre mort

Nous continuerions de vivre : où et comment.

On frise paradoxe, celui quadrature du cercle.

.

Si on va  au-delà : toute la physique quantique,

Qui dit qu’une particule pourra être paradoxale

En deux états, deux espaces différents et reliés :

Vivant et mort d’un côté, voire affecté de l’autre.

.

C’est à n’y rien  entendre, comprendre, accepter :

On est loin de dualités cartésienne, einsteinienne,

Moi, qui suis psychologue… je rends mon tablier !

.

Attendez, non : avant  de mourir, j’aimerais  savoir,

Je ne veux pas  quitter cette Terre, dans un tel noir :

Je suis pris de vertige  et je tombe  dans une spirale !

.

Une spirale  d’un espace-temps, sans espace ni temps,

Qui me fera sentir, éprouver Dieu, à l’intérieur de moi,

Non mais ce serait vraiment merveilleux, j’y crois pas !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

L’éternité …

Ça prend  *      *    du temps

L’éternité    É                    S  eh, attendez 

 Pourquoi cher  T                       /   P    cher à la définir

Clairement et   E                         /       M    définitivement,

Si on a, tout le   R           \              /            E   temps d’y penser,

Ni interruption    N             \          /                T   ni … discontinuité.

 On ne vous dira    I                  \       /                   *     jamais sauf à la fin

Si toutefois par     T                      o                       T    chance, y parvenez,

Tant la moitié de   É                                            P   l’infini,   c’est l’infini

On se perd avoir   *                                           E   tel début … sans fin.

S’il n’y avait pas   E                                       C    de temps,  d’espace

Il n’y aurait pas   S                                   N   d’espace, d’éternité.

L’éternité mais  T                            O    cela, chacun, le sait,

Ne serait que   *                    C   concept lié au temps

Qui sera pure     U    N         durée … humaine,

Afin de pouvoir   mieux le compter !

 .

L’éternité,  qui a  un début,

Sans aucune fin … prévue

Est un non-sens logique,

Au sens mathématique.

Pourtant faut y croire,

Pour garder  l’espoir,

Sinon le grand soir,

Serait … trou noir.

.

Troublant  miroir,

Pour    s’apercevoir 

Que vie est voyage …

Passe comme nuage …

Et, si la brève éternité ….

Nous attend l’autre côté …..

Il vaut mieux se préparer ……

Pour ne pas  se la regretter …….

Instant, et éternité, n’existant …….

Que dans un esprit fort chagrin ……..

Qui ne voit mort, sans lendemain ………

Pour ce faire, recrée infini, temps  ……….

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Cette forme représente

Bien  une main, tenant

Au creux, une lumière,

Brillant pour l’éternité.

.

1125 4

.

Cette main nous parle de lumière

Il existe  plusieurs  représentations

De  ce fameux concept  de l’Eternité.

Dans   laquelle  nous  fusionnerions !

Lumière et éternité vont bien ensemble,

À quoi bon une éternité dans l’obscurité,

Le principal problème est ailleurs : durée

Ainsi la forme évoque un trou sans fond.

.

Symbolique 

.

Y a-t-il une vie après la mort ?

Sur cette question que toute personne

Se pose à un moment ou à autre de sa vie,

C’est peu de dire que les opinions divergent.

.

À ce jour, des milliers de livres ont été écrits

Sur ce sujet, les uns affirmant quelque chose

Subsiste, d’autres au contraire postulant

Le retour « au néant de conscience »

Lorsque vie s’achève enfin en

Lumière d’éternité.

Source : belle-emeraude.com/

dans-la-lumiere-de-l-eternite-

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1125 6

.

Cette main nous parle de lumière

Il existe plusieurs représentations

Du fameux concept de l’Eternité.

Dans laquelle nous fusionnerions.

.

Symbolique

.

L’éternité symbolise

Ce qui est privé de limite dans la durée.

C’est l’affirmation de l’existence

Dans la négation du temps.

.

L’Irlande qui ne possédait

Aucun    moyen    de   faire

Comprendre une telle  notion

Aura  brisé le cycle  des  années

À n’en plus finir qui s’additionnent.

.

C’est ainsi que : « Un an et un jour »

Serait devenu le symbole de l’éternité.

Pour  l’homme, le désir  d’Éternité  reflète

Sa lutte incessante contre le temps et plus encore,

Sa lutte pour une vie si intense qu’elle triomphe de la mort.

 .

.

Fond/forme 

.

L’éternité serait mise en lumière en religion

Par l’évocation du fameux tunnel de lumière

Que l’on franchirait à l’instant de notre mort.

Passage d’un temps terrestre, mesuré, mortel

À un temps illimité, fondu dans le grand Tout,

Est une affaire de croyance  et de foi religieuse,

Qui n’a aucune preuve pragmatique scientifique

On parle de cinquième dimension… atemporelle

N’ayant aucune connexion possible avec nous !

 .

Textuels et illustrations   >>

1124 – A part les enfants, qui croit aux contes

 Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Enfants croient aux contes

Parce  qu’ils  ont  besoin

En vue  de  se structurer

Leur double imaginaire

Comportant des niveaux

L’un   de compréhension,

Et le second sur la logique,

Et de passer de l’un à l’autre

Les fait grandir dans leurs têtes.

Ils croiront sans y croire vraiment,

Et, si vous dites   qu’ils sont  faux,

Vous les privez de leur jugement.

.

Qui croit  encore aux  contes,

Les jeunes enfants, et  encore,

Si vrai que tout ce qu’on raconte,

N’est pas la  trouvaille  de trésor.

Que  veut  dire : ni vrai  ni faux !

.

Autant  dire : je  n’en  sais  rien,

Scientifique n’est pas  plus beau

Que poésie,  contes,   entretiens.

.

On adore, tous, belles  histoires,

Nous laissant  entrevoir l’espoir

Que tout ira mieux, en l’avenir :

Se marièrent, enfants pour finir.

.

Douter de tout, n’entendre, rien,

Conduirait à devenir un nihiliste

Qui voudrait vous rendre autiste

Lors le réel n’est, ni mal ni bien.

Ainsi que reflet, dans un miroir,

.

Un conte est  une vérité, révélée,

N’est que  votre image, projetée,

En forme de fictions, d’histoires.

.

Il y a d’ailleurs, conte et contes :

Conte fleur bleue, princesse, fée,

Conte fleur noire, sorcière ronde

Conte cruels, sexuels, nymphées.

.

Au bout du compte… que trouver

D’autre que mèche d’imagination

Qui éclaire un monde, émerveillé,

Où magie opère sans distinctions.

.

Nous en avons tous besoin… pour

Supporter notre sort… et la réalité

De notre monde et au fil des jours

Qui, eux, nous sont bien comptés.

.

Ils nous racontent que,  méchants

Seront punis et bons récompensés

S’ils se battent pour la juste cause,

En usant de ruses et non de forces.

.

Toute écriture est proche de conte,

Même si ce sont faits qu’on raconte

Car l’interprétation toujours seconde

Est en définitive, la seule qui compte !

.

Extensions

 .

Le « compte » y est,

Même si le « conte » y est,

Dans une histoire de «comte»

Telle que  celle de : Dracula !

Un simple jeu sur les mots,

Bien évidemment,

Mais qui en dit long

Sur séries n’en finissant pas.

Le besoin de se projeter, vivre

Par procuration est infini

Dans l’enfance

Où l’imagination est reine.

.

Conte vous raconte,

Et c’est ce qui compte,

Celui d’héros qui affronte

Un roi ou une méchante,

Ou sauve  une héroïne,

Qu’on nomme Prince

Et elle, Princesse

Vous tient en haleine

Par toutes leurs peines,

Ce jusqu’au « happy end »

Vrai ou faux est d’importance

Mais surtout  pour leur morale :

Les gentils vaincront les méchants

Même si c’est pas vrai tout le temps.

.

Psychanalyse des contes de fées est

Un livre de Bruno Bettelheim paru en 1976.

 «Écrit pour aider les adultes, et plus spécialement

Ceux qui ont charge d’enfants, à comprendre

 L’importance des contes de fée»

.

Grands thèmes comme le complexe d’Œdipe

Ou encore la rivalité fraternelle chez les enfants,

Ces contes répondent aux angoisses des enfants

 En les informant sur leurs épreuves à venir,

Efforts à accomplir avant leur maturité.

.

Inspiré de l’article  dans Wikipédia

.

Fragments

.

Le conte est bon

Le comte est bon

Le compte est bon

Lors duquel s’agit-il

Du premier : d’après

Ce que je vous raconte

.

Qui croit aux contes d’enfant

Les enfants,  et  naturellement,

Contes pour adultes existeraient

Mais pas destinée à la progéniture

.

En réalité, il y aurait deux contes en un

Première lecture se ferait au sens propre

La seconde, de manière très interprétative,

Laissant entendre d’autres fins ou moralités.

.

Nombre contes débutent par «il était une fois»

Qui a le mérite de situer l’intrigue dans le passé,

Quelques soient événements, lieux personnages,

Ils se terminent par : « et ils vécurent heureux »

.

Ils reflètent structures psychiques fondamentales.

En mettant en scène, féeries, drames et fantasmes,

Apportant, à leur manière, solutions de problèmes,

Qu’on a du mal à leur faire comprendre autrement.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Q              T

Enfants     U   croient   N  aux contes

 Parce qu’ils  I                            A    ont besoin

En vue de se   *                                F      structurer

Leur  double    C                                    N     imaginaire

Com-por-tant   R                                      E     des  niveaux

L’un   de com     O                                      :       pré-hen-sion,

Et  le  second      I                                     S     sur la logique,

Et   de   passer     T                                E    de l’un à l’autre

Les fait grandir   *                            T  dans  leurs  têtes.

Ils croiront sans  A                     N y croire vraiment,

Et si vous dites  U             O  qu’ils sont faux …

Vous les privez X      C  de leur jugement.

.

Qui     croit      encore      aux      contes,

Les     jeunes    enfants   et   encore,

Si vrai que tout  ce qu’on raconte,

N’est pas la  trouvaille  de trésor.

Que  veut  dire : ni vrai  ni faux !

Autant  dire : je  n’en  sais  rien,

Scientifique n’est pas  plus beau

Que poésie,  contes,   entretiens.

On adore, tous, belles  histoires,

Nous laissant  entrevoir l’espoir

Que tout ira mieux, en l’avenir :

Se marièrent, enfants pour finir.

Douter de tout, n’entendre, rien,

Conduirait à devenir un nihiliste

Qui voudrait vous rendre autiste

Lors le réel n’est, ni mal ni bien.

Ainsi que reflet, dans un miroir,

.

Un conte est  une vérité, révélée,

N’est que  votre image, projetée,

En forme de fictions, d’histoires.

Il y a d’ailleurs, conte et contes :

Conte fleur bleue, princesse, fée,

Conte fleur noire, sorcière ronde

Conte cruels, sexuels, nymphées.

Au bout du compte… que trouver

D’autre que mèche d’imagination

Qui éclaire un monde, émerveillé,

Où magie opère sans distinctions.

.

Nous en avons tous besoin… pour

Supporter notre sort… et la réalité

De notre monde et au fil des jours

Qui, eux, nous sont bien comptés.

Ils nous racontent que,  méchants

Seront punis et bons récompensés

S’ils se battent pour la juste cause,

En usant de ruses et non de forces.

Toute écriture est proche de conte,

Même si ce sont faits qu’on raconte

Car l’interprétation toujours seconde

Est en définitive, la seule qui compte !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un long parchemin

Avec une belle histoire

De  conte à  raconter 

Tel celui de Cendrillon

.

1124 4

.

Bon nombre de contes commencent par :

Il était une fois…

Et on déroule l’histoire, en premier, puis

Second, degré de lecture.

 .

Symbolique

 .

Conte est récit court

Qui est destiné à distraire,

Inspiré de faits réels, historiques,

D’aventures purement imaginaires.

.

Le conte principal est de fée, merveilleux,

Mais il en existe d’autres, apparues après.

Le rêve, la fantaisie, l’absurde, l’humour

Élargissent les thèmes en imaginaire

Et irrationnel dans lequel l’enfant

Investit… ses…  propres … rêves.

.

Andersen introduit un merveilleux

Quotidien où objets et nature s’animent

Pour faire vivre une féérie riche d’émotions.

Ainsi, Alice aux pays des merveilles de Lewis Caroll.

.

.

Fond

 .

Évocation .

1124 6

.

Bon nombre de contes commencent par :

Il était une fois Cendrillon

Et on déroule l’histoire, en premier, puis

Second, degré de lecture.

.

Symbolique 

.

Le saviez-vous ?

La première trace écrite

De Cendrillon et ses sœurs jalouses

Apparaît dans un manuscrit chinois

Qui serait vieux de trois mille ans.

Pourquoi des histoires anciennes

Qu’on peut les croire désuètes,

Inadaptées à notre époque,

Nous parlent-elles encore autant ?

.

Elles  reflèteraient  nos   structures

Psychiques les plus fondamentales.

Bien loin de l’esprit  d’une  simple

« Littérature enfantine », contes,

Mettant, en scène, fantasmes,

Apportent, à leur manière,

Solutions de problèmes.

psychologies.com/Culture/Savoirs

 .

.

Fond/forme

.

Tous les enfants aiment les contes,

Que parents, amis, leurs racontent.

.

Mais ils savent qu’ils sont inventés

Ils font mine d’y croire lors jouant

Sur les deux tableaux,  vrai et faux.

.

Les romanciers, voire les politiciens,

En raconteront  d’autres  aux adultes,

Auxquels ils adhéreront  en disant non :

L’inconscient prend le pas sur le conscient.

.

 Textuels et illustrations   >>

1123 – Croyances d’être dans les bras de Morphée !

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Sommeil  réparateur,

Régulateur,  producteur,

Ou lors trois rôles  dédiés,

Qui restent indispensables

Pour notre  équilibre… vital.

.

Il faudra aimer son sommeil,

Faut écouter insomniaques,

 Nous dire  ne pas réussir

À dormir : passer nuit

Blanche, deviendra

Un enfer éveillé.

.

Dormir dans les bras de Morphée :

Croyance sur sommeil vous laissant,

Abandonné, endormi parfois hors lit !

Morphée fils d’Hypnos dieu du sommeil

.

Ainsi que de Nyx, cette déesse de la nuit :

Qui, dispersant, en l’air, graines de pavot,

Endormait profondément, en faisait rêver,

Les bons, et, même  les mauvais dormeurs.

.

Jean de La  Fontaine aura de même œuvré

En ses fables, et, pour faire de «Morphée »

Un quasi synonyme  français  du  sommeil

«Dans les bras de» est signe de protection,

D’homme conjuguant sommeil nuit, rêve.

.

Qu’espérer de mieux que la douceur infinie

D’un  laisser-aller, voire,  d’un lâcher-prise,

Qui  nous  transporterait  en  autre  temps

Nulle part ailleurs, voire  pour  un voyage

Plein de surprise voire plein d’inventivité.

.

Image du «lancer  de  graines  de  pavot »

A été reprise dans «Marchand  de sable »

Dans l’émission : «Bonne nuit les petits»

Mais on la retrouve dans tous les livres,

Qui servent pour endormir les enfants.

.

Extensions

.

Cette image a ce côté potion magique

Jouant le rôle hypnotique.

Première réduit la lumière dans le jour,

Seconde l’augmente en nuit,

Le cobra hypnotise, la chouette nyctalope.

.

Sommeil pas réservé à la nuit

Et ce que l’on voit dans le jour n’est pas pareil

À ce que l’on voit dans la nuit.

 .

Il arrive que deux réalités, au lieu de se continuer,

De se superposer, se dissocient,

Se scindent en deux, sans liens logiques entre elles :

En état d’éveil et en état de rêve.

Le rêve supprime  toute censure, et permet  de jouer

Tous les rôles toutes les situations.

 .

Le sommeil  aura, longtemps,  été considéré  comme

Un long processus de déconnexion

De la réalité perçue, de reconnexion, en plein éveil :

Il s’agit d’une réalité qui se poursuit

De manière inconsciente, déformée et transformée.

.

Morphée utilise la drogue pour faire

Dormir et rêver, l’écriture, la peinture, la musique,

Les arts sont des drogues à faire rêver

Au réveil, vous en récolte les fruits, ou les oublier.

.

Morphée ou dormir au pays des songes

En un rêve auquel tout le monde songe

Au lieu d’un cauchemar qui vous ronge

Et pour qui, vous serez comme éponge !

C’est un enfant dans les bras d’une mère

Une amoureuse dans ceux de son amant

C’est l’inconscient, en lequel, on se perd !

.

Il fallait bien un  dieu du sommeil

En la panoplie des dieux olympiens

Tout comme dieu/déesse de la nuit :

Hypnos/Nix pour ne pas les nommer

Mais davantage liés aux cauchemars,

.

Phobétor, serait “celui qui épouvante”

Prenant apparence d’animaux féroces.

Lors Thanatos  personnifierait la Mort,

Les Oneiroi (songes) seraient divinités

Qui personnifient les rêves : la totale.

.

Fragments

.

Le sommeil, le rêve, la nuitée

Avaient-ils besoin d’un mage

Afin de se… métamorphoser

En scènes,  plein d’images !

.

Tant, le marchand de sable

A pris la suite aujourd’hui

Vous disant : bonne nuit,

Et vous en serez capable.

.

C’est sûr, l’on dort mieux

Dans des bras bien aimés,

Que seul, voire abandonné,

 Sur un vieux, mauvais pieu !

.

Mais autre  mage  du sommeil,

A pris autant relève : somnifère

Mélatonine, en pilules, merveille,

On ne pourra résister, s’en défaire.

.

Il y a pléthore de mages, divinités,

Pour se couper de toute la réalité :

Morphée,  rêve, Hypnos sommeil,

Nyx, nuit ; Oneroi, pour  songes !

.

Nuits sont aussi utiles ou futiles,

Que nos jours, bien mercantiles,

Nuit  blanche : cauchemar noir,

Lors tueuse  de rêves d’espoirs.

.

J’arrête, je vais vous endormir

De tous mes propos ennuyeux,

Et si je vous racontais Casimir

Ce héros  qu’on dit valeureux !

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Sommeil  réparateur,

Régulateur,    producteur,

Ou trois Ô  rôles   Ô   dédiés,

Qui restent  //    indispensables

Pour notre  //   équilibre …  vital.

Il faudra  //  aimer son sommeil,

Faut écouter des insomniaques,

 Nous dire ===  ne pas réussir

À dormir : passer nuit

Blanche, deviendra

Un enfer éveillé.

.

*************

****************

CROIRE ÊTRE

.

Dormir dans les bras de D  Morphée :

Croyance sur sommeil    A   vous laissant,

Abandonné, endormi    N  parfois hors lit !

Morphée fils d’Hypnos   S   dieu du sommeil

Ainsi que de Nyx, cette    *   déesse de la nuit :

Qui, dispersant, en l’air,     L  graines de pavot,

Endormait profondément,   E   en faisait rêver,

Les bons, et, même  les mau  S  vais dormeurs.

Jean de La  Fontaine aura de  *   même œuvré

En ses fables, et, pour faire de  B   «Morphée »

Un quasi synonyme  français     R du sommeil

«Dans les bras de»  est signe de  A   protection,

D’homme conjuguant sommeil  S  nuit, rêve.

.

***************************************

***************************************

.

Qu’espérer de mieux que la  D  douceur infinie

D’un  laisser-aller, voire,  d’ E  un lâcher-prise,

Qui  nous  transporterait    *     en autre temps

Nulle part ailleurs, voire  M    pour un voyage

Plein de surprise, voire  O  plein d’inventivité.

Image du «lancer de   R     graines de pavot »

A été reprise dans    P «Marchand de sable »

Dans l’émission :   H  «Bonne nuit les petits»

Mais on la ret    É  rouve dans tous les livres,

Qui servent    E     pour endormir les enfants.  

.

Forme

.

.

Évocation

.

Silhouette d’un homme

Aux allures de statue grecque :

C’est peut-être  bien  Morphée, 

Et qui le voit sommeille avec lui.

.

1123 4

.

Morphée : on pense à une femme

Lors il s’agit d’un homme :

Suscitant et gardant son  sommeil,

Favorisant les rêves heureux.

Morphée et sommeil font la paire

Comme un dieu païen hypnotiseur,

Qui régira le monde de l’inconscient,

Et ainsi forme et fond ses confondent.

 .

Symbolique

 

Dans la

Mythologie grecque,

Morphée,  dieu des rêves,

Est le fils d’Hypnos,

Dieu du sommeil

et de Nyx,

Déesse de la nuit.

.

Il est souvent représenté par

Un jeune homme tenant un miroir

À la main et pavots soporifiques de l’autre.

.

Il donne  le sommeil en touchant une personne

Avec ses pavots, donne des rêves pour la nuit.

.

Les bras étant symbole de sécurité et de  force,

On comprend  pourquoi  cette image  est restée

Pour désigner personne qui dort profondément.

linternaute.fr/expression /etre-dans-les-bras-de-morphee

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1123 6

.

Morphée : on pense à une femme

Lors il s’agit d’un homme :

Suscitant et gardant son sommeil,

Favorisant les rêves heureux.

.

Symbolique 

 .

Dans la

Mythologie grecque,

Morphée,  dieu des rêves,

Est le fils d’Hypnos,

Dieu du sommeil

et de Nyx,

Déesse de la nuit.

.

Il est souvent représenté par

Un jeune homme tenant un miroir

À la main et pavots soporifiques de l’autre.

.

Il donne  le sommeil en touchant une personne

Avec ses pavots, donne des rêves pour la nuit.

.

Les bras étant symbole de sécurité et de  force,

On comprend  pourquoi  cette image  est restée

Pour désigner personne qui dort profondément.

linternaute.fr/expression /etre-dans-les-bras-de-morphee

.

 .

Fond/forme 

.

Existe-il encore, de nos jours, un lien direct

Entre le mythe de Morphée et les somnifères: 

.

Ne cherchez pas, consulter le Réseau Morphée,

En lequel il est mentionné de manière très claire

.

« À utiliser uniquement de manière occasionnelle,

Sinon il y aura un risque de certaine dépendance.

.

Pas de prise la veille d’une échéance importante :

 Ils peuvent entraîner une somnolence plus longue

Que prévue, perturber toutes nos performances. »

Alors, à bon entendeur, salut, surtout bon sommeil

.

Textuels et illustrations   >>

1122 – Boite Pandore, mythe fécond et dramatique !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La boite de Pandore est

Un mythe grec … d’Hésiode

Selon lequel, Zeus, pour châtier

Impiété des hommes, aurait fait

Forger par le dieu Héphaïstos

Une toute  première  femme,

Qu’il se dépêcha d’envoyer

Toute, nue, sur notre Terre.

.

Sous le nom ironique de Pandore

«Don universel», munie  d’une boite,

Qu’on lui recommanda de ne pas ouvrir

Mais voilà, curiosité féminine ne tint pas.

.

De la boite, jaillirent maux de l’Age de fer,

Seule, l’espérance, sans objet, reste au fond

Comme l’équivalent païen  de la faute d’Ève,

Voire de l’origine biblique du péché originel.

.

Et depuis, et au sens figuré, et par extension,

La boite de Pandore est un bienfait apparent

Qui cache à l’intérieur, ses effets désastreux.

 .

Tentation  féminine ,malsaine, obsessionnelle,

De découvrir un  secret  du Mal,  et  malicieux

Et curiosité masculine, saine, persistante

De découvrir le secret du Bien précieux

Se renvoient, mutuellement, le débat.

.

Entre religions jusqu’à la science

C’est une différence entre lire

En boule de cristal,  l’avenir

Ou instrument scientifique

Pour comprendre le passé.

.

Toute boite, fermée à clé

Avec consigne de ne jamais

L’ouvrir, ne peut que susciter

Une tentation de passer outre ;

.

Il n’y a aucune raison pour que

Ce soit la femme qui prenne

L’initiative . de braver

L’interdit jusqu’à en

Endosser la faute.

.

Extensions

 .

Il se pourrait que la boite contienne des bienfaits,

Comme pour Ève avec l’Arbre  de la  Connaissance,

Du bien et mal engageant responsabilité de l’homme

Et comme mettant fin  à une innocence paradisiaque.

C’est le même mythe, la même cause, les mêmes effets.

Son universalité  trouvera son origine  dans la nécessité

D’expliquer les malheurs récurrents de notre humanité.

.

La religion chrétienne prend parti, du fait qu’espérance

Est foi en notre rédemption mais en ajoutant qu’elle est

Impossible en notre Monde terrestre mais Jésus-Christ

Nous l’a prouvé, nous l’a promis pour la fin des temps.

La science aussi s’intéresse à ce mythe en l’inversant,

Les bienfaits  qu’elle aurait dispensés  au premier

Degré peuvent  s’avérer  désastreux au second.

.

L’enfer, on le dit, serait pavé des meilleures

Intentions du monde, un médicament qui

Soigne un organe peut créer dommages

Les plus irrémédiables et à tout autre

Si ce mythe  nous renseigne  peu  sur

Le rôle de l’espérance, il nous mettra

En garde  contre  tout faux-semblant

En nous incitant à critique, prudence.

.

Pandore, une femme encore, et accusée d’avoir été tentée

Comme dans la perte du Paradis, en mangeant la pomme.

On n’en sort pas, sauf en conservation d’espoir, rédemption

Pour dire vrai, c’est l’Humanité qui en est seule responsable.

Ce n’est pas punition divine que le réchauffement climatique

La plupart des maux, dont nous subissons  les désagréments :

Soit nous les avons créés, soit nous en avons éradiqué certains.

.

Pandore est  le nom de la première femme,

Mortelle de l’humanité, envoyée sur Terre,

 Par Zeus, en vue de se venger des hommes.

Elle a apporté, dans ses bagages, une boîte

Mystérieuse que Zeus lui interdit d’ouvrir.

.

Celle-ci contient tous maux de l’humanité :

Vieillesse, maladie, guerre, famine, misère

Ainsi que Folie, Vice, Tromperie, Passion,

 L’orgueil, le tout  avec intrus : l’Espérance.

.

Ouvrir la boite de pandore … nous rappelle

Combien les hommes autant que les femmes

Sont vulnérables et succombent à la tentation,

Quitte à en subir des répercussions inéluctables.

.

Fragments

.

Pandore sera un mythe sacré

Faisant partie des archétypes,

Mis en lumière par C. G. Jung,

Révélant l’origine de tous maux

Sur la Terre, avant  un  paradis !

.

Une métaphore, une symbolique

Pour mieux illustrer  la nécessité

La toute la puissance de l’Espoir,

Appelée,  tout autant, Résilience,

 En qui, on a mis toute confiance.

.

Là où mythe d’Ève et de Morphée

Est sujette  à question, déviation,

Est qu’il s’agit  que d’une femme,

Est sans doute  écrit par homme,

Pour la tenir à distance du sacré.

.

Curiosité masculine serait positive,

Féminine, négative et voire fautive,

C’est tout de même leur faire injure

Moi que les pensait  naïves et pures,

Ou bien sont-elles été instrumentées

Pour mieux justifier … l’injustifiable.

.

De conclusion hâtive à tirer : aucune,

Toutes seraient critiques, opportunes,

Autant rejeter toute faute sur la Lune.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

La boite de Pandore est……

Un mythe grec d’Hésiode……

Selon lequel, Zeus, pour châtier

   Impiété des hommes, aurait fait

       Forger par le dieu Héphaïstos

             Une toute  première  femme,

                Qu’il se dépêcha d’envoyer

                  Toute, nue, sur notre Terre.

        Sous le nom   B    ironique de Pandore

     «Don universel»,  O   munie  d’une boite,

        Qu’on lui recommanda I    de ne pas ouvrir

         Mais voilà, curiosité fémi  T  nine ne tint pas,

       De la boite, jaillirent maux   E de l’Age de fer,

      Seule, l’espérance, sans objet,   *  reste au fond

    Comme l’équivalent païen de la  D  faute d’Ève,

    Voire de l’origine biblique péché E        originel.

    Et depuis, et au sens figuré, et    *   par extension

    La boite de Pandore est un   bienfait apparent,

  Qui cache à l’intérieur,   A   ses effets désastreux.

N

    Tentation  féminine   D    malsaine,  obsessionnelle,

  De découvrir un se   O  cret du Mal, et malicieux…

  Et curiosité mas   R   culine, saine, persistante,…..

 De découvrir     E  secret  du Bien  précieux………

 Se renvoient    :    mutuellement le débat………….

Entre religions M    jusqu’à la science…………….

 C’est une diffé     Y    rence entre lire……………..

En boule de cris   T    tal,  l’avenir………………

  Ou instrument sci  H   entifique………………..

  Pour comprendre   E le passé………………..

 Toute boite, fermée  *  à clé,………………

  Avec consigne de ne  F  jamais…………

  L’ouvrir, ne peut que  É  susciter……..

    Une tentation de passer C outre…….

    Il n’y a aucune raison, O  pour que

  Ce soit la femme N qui prenne

L’initiative         D   de braver

  L’interdit           *      jusqu’à en

   Endosser             *              la faute.

D   R   A   M   A   T   I   Q   U   E  !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette de femme

Nue et qui pourrait bien

Ressembler  à   Pandore 

En posture de… curiosité ?

.

1122 4

.

Pandore serait l’envoyée d’un  dieu  olympien,

En nôtre paradis terrestre,

Avec une boite et sa curiosité poussera à l’ouvrir

 Pour le malheur des  humains.

Pandore  et  curiosité   font la paire

il fallait  une femme  pour ce faire :

une femme déchue, bannie sur terre

si bien que forme épousera le fond !

.

Symbolique 

 .

Georges Charachidzé  met en évidence

Que des  éléments du mythe de Prométhée

Ont été empruntés aux légendes géorgiennes.

.

Tous ces contacts avec le Caucase sont aussi

À la base d’un tel mythe de Pandore,

Fondé sur l’idée reprise par Hésiode

Que la femme est à l’origine

Des maux de l’homme.

.

Néanmoins, sa création

Comme celle du premier

Homme à partir de la terre

Glaise est d’origine mésopotamienne.

wikipedia.org/wiki/Pandore#Interprétation

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1122 6

.

Pandore serait l’envoyée d’un  dieu  olympien,

En nôtre paradis terrestre,

Avec une boite et sa curiosité poussera à l’ouvrir

 Pour le malheur des  humains.

.

Symbolique 

 .

La curiosité est une attitude

De disponibilité et/ou d’intérêt

À l’égard  sujet phénomène donné.

Peut être un trait de caractère,

Présente en toutes occasions,

Elle est considérée très positive

Par  la  Science, lorsqu’elle aide

À l’intelligibilité de notre monde.

.

La curiosité est un vilain défaut,

Rappelle, qu’en société, le désir

De connaissance qui nourrit

La curiosité peut heurter

Les sensibilités ou les intérêts

D’autrui et être ressenti gênant.

fr.wikipedia.org/wiki/Curiosite_(faculte)

 .

 

 .

Fond/forme

 .

Il faut bien attribuer les malheurs du Monde

À quelqu’un, mais mieux encore, à quelqu’une

Étrange qu’en monde dominé par la masculin,

Ce soit une femme qui ait le désir de tout savoir

Alors il aura tourné une telle vertu en  un vice

De commérage que, seule, la femme assouvit,

En un tour de passe-passe en quelque sorte,

C’est là, en tous cas, mon interprétation !

.

 Textuels et illustrations  >>

1121 – Nous aurions acquis un sacré sens du sacré !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Sacré n’est seulement pensées

Il est  aussi en actes  pratiques,

Utilisant nombre de rituels

Comme en exorcise de sa foi.

.

En lui à laquelle ne pas déroger

Et cela, depuis la nuit des temps,

Il n’y a qu’à voir nos enterrements

Avec  pour cérémonial  inhumation :

Les bougies et les hosties, les homélies,

Les lumières et les prières et bréviaires,

Sous une forme et voire sous bien d’autres

Faisant de nous, du sens sacré, bons apôtres

 .

Pour survivre  dans ce Monde  ou  pour  y perdurer,

Vide,  néant,  inutilité,  ne pourraient   nous aider :

Il nous faut : but, finalité en laquelle nous croyons

Œuvrons : en somme, cela définira notre religion.

.

Je vous arrête de suite car, un athée, incroyant,

Ni aucun agnostique n’aura pas de de religion :

Il ne croit pas en un dieu : rien qu’en lui-même,

Et trouve insensé toutes finalités téléologiques !

.

Lors impossible de résoudre problème insoluble :

De manière subtile on se contente de le déplacer.

Et idoles de païens sont devenues dieu unique,

Qui s’est transformé en de nouvelles idoles

Virtualisées par l’internet, et le cybernet,

En un cyberespace, une cyber-pensée.

.

Et nous ne pouvons pas y échapper

Sans être taxé de bestial, de bestialité

Car libre à chacun de mettre le «sacré»

Là où  il l’entend : l’amour, liberté, santé,

Le plaisir, les enfants, y compris, l’argent !

.

Tout cela parce que le sacré suppose

Réalité extérieure qui nous dépasse

Et qui nous élève en même temps.

Tous les arts …  s’en approchent,

Par un côté…sublimation de soi,

Humanisme par côté don de soi.

.

Don de soi et sublimation n’ont

Peut-être rien de sacré selon moi,

Ce sont des choix de vie, de valeurs

Auxquelles on croit, et que l’on défend

Pratique : il n’y a ni messe ni prophète !

.

Extensions

 .

Pas de vrai prophète pour sauver notre Monde

Ni annoncer la fin des temps, ni la délivrance

De l’Humanité, du fardeau, qui est le sien

Pour l’accueillir en une Terre promise,

Racheter son âme égarée, la ressusciter.

 .

On croirait synthèse religions monothéistes.

Je ne suis pas prêt à renoncer à liberté de penser,

De rêver, d’imaginer, ni de créer qui me sont sacrées.

 .

Voilà bien deux croyances, qui te tiendront éveillé mais

Ne donne pas un sens à ta vie, t’aident à la supporter.

 .

Le sacré est un sentiment qui fascine et terrifie,

Quelque chose de surnaturel mais qui ne se

Manifeste pas dans notre vie… réelle !

 .

Serait sacré  tout ce qui se donne

Pour tel  aux yeux  d’un croyant,

Qui pense être dans le vrai mais

Cherche à l’imposer aux autres.

.

Notre sens du sacré nous viendrait de ce rite, établi

Pour enterrer nos morts, que les animaux n’ont pas.

Naissance, mariage, enterrement en sont les témoins

Et ce quel que soit la religion et même chez les athées.

Il s’agit de quelque chose d’humain qui se projette divin

Sens sacré, suite à cela, aura pris  deux voies divergentes,

En relation avec Dieu et avec ce à quoi nul ne peut toucher,

Ainsi on parle de sanctuaire, à propos de la défense de l’État,

Comme si c’était un dieu qui gardait le trésor royal inviolable.

.

Tout d’abord, qu’est-ce que la sacré :

Qui appartient au domaine séparé,

 Intangible, inviolable du religieux

Doit inspirer crainte et respect

Lors on l’opposera à profane

En désignant toute réalité

N’étant pas  consacrée ;

Personne non initiée,

Et voire ignorante.

.

Fragments

.

Nous avons acquis un sacré sens du sacré :

Disant cela, n’est pas que jouer sur les mots,

Mais plutôt nous exorciser de bien des maux,

Tels que la peine, la souffrance, surtout…mort.

.

Il n’y a pas une seule civilisation, culture, ethnie,

Qui n’a pas créé puis respecté des rites funéraires

S’il y en a de différents, tous invente une vie après.

.

Les égyptiens sont allés jusqu’à momifier pharaons

Puisqu’il descend d’un dieu, normal qu’il y retourne

Et en conservant son corps dit terrestre en bon état.

.

Pour assurer l’Éternité de la vie, fallait conserver :

Le contenant corps transformé en une «momie»

À traverser «passage vie-mort» sans encombre.

.

Le sarcophage est un coffre associé à la mort :

Le décor du couvercle représenterait… le Ciel,

Tandis que  le fond de la cuve, était  la Terre !

.

Pour chrétiens, on retrouve corps en Paradis

Duquel s’agit-il : du corps réel, ou en esprit :

La question n’est pas tranchée, ne le serait !

.

Le sacré ne se limitera pas à notre fin de vie

Il s’instaure à l’instar sacrements chrétiens

Tel baptême, le mariage ou réconciliation,

En supériorité sacré se distingue profane.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Sacré n’est    A  seulement S     pensées

Il est  aussi  V  en actes     E  pratiques,

Utilisant    O      nombre   N   de rituels

Comme     N   en exorcise  S     de sa foi.

En lui à     S      laquelle ne  *  pas déroger

Et cela        *      depuis nuit  D   des temps,

Y a qu’à       A     voir nos en    U   terrements

Avec  pour     C      cérémonial    *   inhumation

Les bougies,    Q    et les hosties   S   les homélies,

Les lumières      U   et les prières   A   et bréviaires,

Sous une forme   I     et voire sous  C   bien d’autres

Faisant de nous,   S   du sens sacré, R   bons apôtres

                                     É

Pour survivre  dans ce Monde  ou  pour  y perdurer,

Vide,  néant,  inutilité,  ne pourraient   nous aider :

Il nous faut : but, finalité en laquelle nous croyons

Œuvrons : en somme, cela définira notre religion.

.

Je vous arrête de suite car, un athée, incroyant,

Ni aucun agnostique n’aura pas de de religion :

Il ne croit pas en un dieu : rien qu’en lui-même,

Et trouve insensé toutes finalités téléologiques !

.

Lors impossible de résoudre problème insoluble :

De manière subtile on se contente de le déplacer.

Et idoles de païens sont devenues dieu unique,

Qui s’est transformé en de nouvelles idoles

Virtualisées par l’internet, et le cybernet,

En un cyberespace, une cyber-pensée.

.

Et nous ne pouvons pas y échapper

Sans être taxé de bestial, de bestialité

Car libre à chacun de mettre le «sacré»

Là où  il l’entend : l’amour, liberté, santé,

Le plaisir, les enfants, y compris, l’argent !

.

Tout cela parce que le sacré suppose

Réalité extérieure qui nous dépasse

Et qui nous élève en même temps.

Tous les arts …  s’en approchent,

Par un côté…sublimation de soi,

Humanisme par côté don de soi.

.

Don de soi et sublimation n’ont

Peut-être rien de sacré selon moi,

Ce sont des choix de vie, de valeurs

Auxquelles on croit, et que l’on défend

Pratique : il n’y a ni messe ni prophète !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un piédestal pour trois statues

Ou une forme de ciboire religieux

Ou une forme  de  cercueil humain

Voire peut-être, de sarcophage ?

.

1121 4

.

Pour une momie, le sarcophage

 Témoigne  assez du sens du sacré

Tant c’est ce qui nous distingue,

Et pour partie, des animaux !

.

Symbolique 

 .

Momie est également une machine.

En effet, pour les Égyptiens : la mort

Est la dissociation entre le contenant

Appelé son enveloppe charnelle et

Le contenu impalpable, son âme.

.

Pour assurer  l’Éternité de la vie,

Il faut alors conserver également

Le contenant : le corps. Elle est moyen.

C’est une véritable machine à traverser

Le passage  vie-mort» sans encombre.

.

Selon le point de vue de l’embaumeur,

La momie est un produit et résulte

D’une activité,  d’un long procédé

De fabrication mettant lui-même

En jeu, d’autres objets  et  outils,

Vrai savoir-faire du technicien.

fr.wikipedia.org/wiki/Momi

ficationen_Egypte_antique

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1121 6

.

Pour une momie, le sarcophage

 Témoigne  assez du sens du sacré

Tant c’est ce qui nous distingue,

Et pour partie, des animaux !

 .

Symbolique 

 .

Le sarcophage est un coffre

Qui est destiné à recueillir le défunt.

Il est associé à la mort : dans l’antiquité,

Égyptiens  utilisaient nombre  de sarcophages

Pour préserver momie qui se trouvait à l’intérieur.

Il représente la demeure du défunt en l’au-delà,

Le décor du couvercle représenterait le Ciel,

Tandis que le fond de la cuve : la Terre !

1001symboles.net/symbole/sens-de-sarcophage

.

Le sarcophage est un coffre

Qui est destiné à recueillir le défunt.

Il est associé à la mort : dans l’antiquité,

Égyptiens  utilisaient nombre  de sarcophages

Pour préserver momie qui se trouvait à l’intérieur.

Il représente la demeure du défunt en l’au-delà,

Le décor du couvercle représenterait le Ciel,

Tandis que le fond de la cuve : la Terre !

.

 .

Fond/forme 

 .

Tant que nous sommes vivants

L’on représente un être animé,

Et quand nous sommes morts :

Un objet, une chose,  inanimés.

Pourquoi  alors  vouloir durer,

Dans  un  sarcophage, cercueil

En une tombe, en un cimetière,

Sinon pour croire résurrection

Pas  sous  la même forme, sûr,

Mais un autre principe de vie,

Qui lui, ne serait  plus  soumis

À une mort bien trop charnelle.

.

 Textuels et illustrations  >>

1120 – Faut-il croire en son étoile pour lever le voile !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Comment ne pas croire en son étoile !

Il y en a tant,  en l’Univers sombre,

Que de les compter  en nombres,

Impossible, incommensurable

Mais  la mienne  existe  bien,

La mienne, me suit, de loin,

Et j’ai sa lumière en ma tête,

Sinon je serais triste…et bête.

.

Elle me préserve de l’ignorance

Que la Terre est sans importance

L’on peut juste y faire abondance

D’idées pour chasser souffrances !

.

Faut-il alors croire en son étoile

Pour oser enfin lever le voile

Sur une œuvre, sur une toile,

Mais qui vous dévoile,

Nu  et paraître orné

D’une belle qualité,

Qui fait de vous, rêver

D’être doué en créativité.

.

Et si vous ne l’étiez pas

Votre ombre survivra,

Matière de vos pas

Et vous bercera

D’illusions… nées

De pensée insensée

Qu’il suffit de l’espérer

Pour être auteur à succès.

.

Succès, échec confondent

Votre vitalité, en ondes,

Cachent, pudibondes,

Intérieur monde.

.

Croire en son étoile

Persistante, géniale :

C’est oser…diagonale

De fou, extraterritoriale.

.

Telle curiosité, me mène

Aux confins   d’un poème,

Où les vertus de mes peines

Me ramène  au …   je t’aime !

.

Je t’aime, non pas moi,  l’autre

Lecteur d’un labyrinthe … vôtre,

Où on se perd, se retrouve, apôtre

De vérité en laquelle  on se vautre.

.

Entre oser dire la vérité toute nue,

Et fabriquer un mensonge éperdu,

Seule la croyance sera un fil ténu,

Pour les distinguer, entr’aperçus.

.

Extensions

 .

Il faut croire en son étoile,

Étoile étant pris au sens figuré,

Car un étoile, lors on la voit, en ciel

Est morte depuis des millions d’années,

On en perçoit que la lumière et nous-mêmes,

Un jour, ce sera pareil, pour la planète Terre.

L’étoile est en nous, sa lumière nous éclaire

Pour voir, avec notre esprit, les confins

De spiritualité, les limites destinées.

.

La dernière, ultime, source de lumière,

La nuit, quand la Lune ne nous transmet plus

Le reflet du soleil comme la parabole qui tourne

Et il y a l’étoile polaire qui nous indique le nord,

Et bien d’autres qui constellent le ciel, en voûte,

Ce ne seront pas les mêmes au Nord et au Sud,

Aujourd’hui, ou hier, et, il y a  cent mille  ans !

.

« Ah,  lui,  il  est  né  sous  une   bonne   étoile »,

Dit-on, de quelqu’un qui aura  de la chance,

Facilité du succès dans ce qu’il entreprend.

Qui n’espère pas faire partie  de ceux-là.

Cela veut dire aussi qu’il en existerait

De mauvaises …  quelle malchance

Tout de même, injustice même !

.

Enlever son voile n’est pas lever le voile sur son étoile

Découvrir voile n’est pas voir son corps nu, ou sa tête,

Le voile ici est à prendre au sens figuré, hors un visage

Il s’agit d’une connaissance  d’étoile, qui nous échappe,

Et qui, dans son mystère, ferait  référence à notre Terre.

Les astronomes  découvriront, de plus  en plus, d’étoiles,

Et ça ne me dit pas, quelle est  la mienne,  si elle existe !

Mais quand même, quand on a beaucoup de réussites,

On peut y croire : «né sous une bonne étoile», dit-on.

.

Certains prétendent que le sens

De notre vie est dans les étoiles ;

D’autres, qu’il est inscrit en nous,

En réalité, on le cherche  partout !

.

Lever le voile suppose qu’il y en a un

Lors à vrai dire, l’on n’en sait trop rien.

Au final, on ne peut guère se déterminer

Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles !

.

C’est la position d’un sage, qui sait qu’il ne peut

S’extraire de sa propre réalité, réalité environnante,

Qu’il ne peut tout autant s’en satisfaire en conscience :

Connaissance, science n’apportent qu’une part de vérité !

.

Fragments 

.

On vous dit : être né sous une bonne étoile,

Sans préciser au sens propre ou sens figuré.

Au sens  propre,  difficile à  croire : mortes !

Au sens figuré,  on vous laisse l’interpréter !

.

Pour lever le voile en quoi : lumière, ombre,

Lumière céleste voire ombre de vous-même.

Quelque chose de mort, devenu une lumière,

C’est que l’on dira de nous, a près avoir vécu.

.

Cela voudrait-il dire que : tout  est  bien relié,

Que les étoiles  et moi, suivront même destin,

Un simple voile  de connaissance nous sépare.

.

«Divine révélation» : ce ne serait pas  le ciel  qui

Tombe sur notre tête, nous qui montons vers lui,

Cela suppose qu’on ait un bel élan de spiritualité.

.

Mais alors, ceux qui n’en auront pas, ou  iront-ils :

Dans un grand «trou noir» en grande constellation

Voilà qui interpelle, c’est  pour le moins, troublant !

.

Expression les pieds sur terre, la tête dans les étoiles,

Évoquera assez bien notre sort  distinct des animaux,

Encore qu’on l’emploie plutôt pour poètes, mystiques,

Ne me réclamant ni d’un, autre que suis-je, en réalité !

.

Fragments

.

On vous dit : être né sous une bonne étoile,

Sans préciser au sens propre ou sens figuré.

Au sens  propre,  difficile à  croire : mortes !

Au sens figuré,  on vous laisse l’interpréter !

.

Pour lever le voile en quoi : lumière, ombre,

Lumière céleste voire ombre de vous-même.

Quelque chose de mort, devenu une lumière,

C’est que l’on dira de nous, a près avoir vécu.

.

Cela voudrait-il dire que : tout  est  bien relié,

Que les étoiles  et moi, suivront même destin,

Un simple voile  de connaissance nous sépare.

.

«Divine révélation» : ce ne serait pas  le ciel  qui

Tombe sur notre tête, nous qui montons vers lui,

Cela suppose qu’on ait un bel élan de spiritualité.

.

Mais alors, ceux qui n’en auront pas, ou  iront-ils :

Dans un grand «trou noir» en grande constellation

Voilà qui interpelle, c’est  pour le moins, troublant !

.

Expression les pieds sur terre, la tête dans les étoiles,

Évoquera assez bien notre sort  distinct des animaux,

Encore qu’on l’emploie plutôt pour poètes, mystiques,

Ne me réclamant ni d’un, autre que suis-je, en réalité !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

I L   ME    F A U T     C R O I R E

  Comment ne pas croire en son étoile !

Il y en a tant, en l’Univers sombre,

Que de les compter en nombres,

 Impossible, incommensurable

Mais la mienne existe bien,

    La mienne, me suit, de loin,

        Et j’ai sa lumière en ma tête,

             Sinon je serais triste…et bête.

                  Elle me préserve de l’ignorance

                        Que la Terre est sans importance

                           L’on peut juste y faire abondance

                               D’idées pour chasser souffrances !

.

                        EN  MON  ÉTOILE, POUR

                              Faut-il alors croire en son étoile

                          Pour oser enfin lever le voile

                              Sur une œuvre, sur une toile,

                    Mais qui vous dévoile,

               Nu ; paraître orné

                  D’une belle qualité,

                        Qui fait de vous, rêver

                              D’être doué en créativité.

                           Et si vous ne l’étiez pas

                          Votre ombre survivra,

                    Matière de vos pas

               Et vous bercera

              D’illusions nées

                  De pensée insensée

                      Qu’il suffit de l’espérer

                          Pour être auteur à succès.

                        Succès, échec confondent

                  Votre vitalité et ondes,

             Cachent, pudibondes,

         Un intérieur monde.

.

       LEVER  LE VOILE  

     Croire  en  son  étoile

   Persistante,  géniale :

 C’est oser…diagonale

   De fou, extraterritoriale.

Telle curiosité, me mène

Aux confins   d’un poème,

Où les vertus de mes peines

Me ramène  au …   je t’aime !

Je t’aime, non pas moi,  l’autre

Lecteur d’un labyrinthe … vôtre,

Où on se perd, se retrouve, apôtre

De vérité en laquelle  on se vautre.

Entre oser dire la vérité toute nue,

Et fabriquer un mensonge éperdu,

Seule la croyance sera un fil ténu,

Pour les distinguer, entr’aperçus.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une  forme  de  voile

Et qui flotte bien au vent

Et cacherait quelque chose, 

Comme mystère, ou destinée ?

.

1120 4

.

Lever son voile, vaste programme

Et surtout sur son étoile :

Ce, d’autant que le lien, avec elle,

N’est pas des plus évidents.

Le voile est comme un brouillard

entre soi et les choses, êtres, idées,

il cache ce qu’il nous faudra révéler

en ce sens sa forme épouse son fond.

.

Symbolique

.

Hijab veut dire en arabe,

Ce qui sépare deux choses.

On doit parler aux femmes

Derrière un voile.

 

Il signifierait bien

 Selon qu’on le met

Ou  qu’on l’enlève,

 La    connaissance

Cachée ou révélée.

 

Prendre le voile,

Dans la tradition chrétienne monastique,

C’est se sépare du Monde : truchement  et

Obstacle à la fois, le voile, ne cachant qu’à

Demi, invite à connaître : toutes coquettes

Le savent depuis que le monde est monde.

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1120 6

.

Lever son voile, vaste programme

Et surtout sur son étoile :

Ce, d’autant que le lien, avec elle,

N’est pas des plus évidents.

.

Symbolique 

.

Le fait de cacher ses cheveux

Peut, en des contextes, être considéré

Comme le signe d’une éducation convenable.

« Sortir en cheveux », tête-nue, marque de désinvolture

Pour  une  femme, de piètre extraction, de « mauvaise vie »

Dans les années 60 les femmes françaises de milieux populaires

Mettaient un voile sur leurs cheveux, en dehors quartier,

Ainsi qu’en témoignent des reportages d’époque.

Source : Wikipédia

 .

.

Fond/forme 

 .

Le voile est une projection, une figuration

De son destin personnel en son libre-arbitre

Mais ce n’e serait là autre qu’une croyance

Qu’une bonne, ou mauvaise, étoile nous

Gouverne tout au long de notre vie

Etoile est  astre, hormis planète

Continuant émettre lumière

Alors qu’elle est morte

Comment dès lors

Elle rayonne

Sur nous

Non

V

.

Textuels et illustrations  >>

1119 – Dieu aurait-il quelque chose à voir avec nous !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Dieu aurait forcément quelque chose

 À voir avec nous,

Et que ce soit lui

Qui nous ait inventé ou le contraire.

.

Quelque chose mais quoi, mystère,

Sur notre Terre,

Dans   les Cieux,

Enfin les nôtres, et qu’on imagine.

.

Or il se peut que j’en fasse partie,

Et  sans  le savoir,

En un grand Tout

Et le découvrirait : mort, fini !

.

Dieu a-t-il à voir avec les hommes !

Ne serait-ce pas plutôt les hommes

Qui auraient à voir avec leur Dieu !

.

Il y a tant de pensées, de paroles,

De comportements, d’actes,

De visions philosophiques,

De morales, et  de religions

Différentes entre les hommes

Que Dieu lui-même s’y perdrait !

.

Homme, Dieu sait ce que c’est, pour cause,

Fait à son image et à sa ressemblance

Dit la Genèse dans la Bible,

Si ce n’est l’inverse :

Dieu en tant que surhomme,

Tellement divin qu’il en devient abstrait.

.

Etre homme est par définition, être imparfait,

Il comportera des manques, des manquements,

À la sacrosainte loi de déité pour immortalité.

 .

Il y en a qui s’en approchent

Qui s’en seront bien approchés :

Les prophètes, rois, les apôtres,

Les saints, les gou rous ou les guides !

 .

Mais moi je ne suis rien de tout cela :

Je ne suis qu’un homme parmi les autres

Je n’ai vocation à me sanctifier outre mesure.

 .

Que Dieu me pardonne de n’être qu’un homme,

Peut-on lui pardonner de nous avoir fait

Ce que nous sommes : tous mortels !

.

Extensions

 .

Dieu a forcément quelque chose à voir

Avec nous, puisqu’on le nomme,

Puisqu’on l’invoque, bénit,

Et puisqu’on le craint

S’agit-il d’un Dieu vivant,

Qui s’intéressera à notre sort

Un dieu inventé pour compenser

L’idée et réalité même de notre mort,

Inacceptable pour notre esprit humain ?

Là est toute la question, qui reste insoluble,

Depuis origine de l’Univers : ce qui est certain

C’est qu’il a bon dos pour régler des conflits

Proprement humains qu’on transforme

En colères divines et en guerres !

.

Dieu est notre explication d’origine, de vie sur Terre,

Pourquoi alors nous abandonnerait-il, moi, Humanité

Moi, passe encore : je ne sais si je mérite  son attention

L’Humanité passée, présente, et à venir, on en fait quoi

Et pourquoi ceux qui croient, ont cru, seraient sauvés ?

Des milliards de gens ne savaient pas que Dieu existe :

Dieu les a-t-il condamnés pour leur faute de l’ignorer.

.

Que peut-on vraiment dire de Dieu :

Dieu est Amour, disent les chrétiens,

Dieu est Puissant, disaient les païens

Dieu est ceci… cela, n’est rien et tout.

.

Être éternel, unique, créateur et juge.

D’accord mais ce sont là des attributs

Que l’homme aura fort projeté sur lui

Sans lui demander son approbation !

.

Quant à nier …l’existence de Dieu

Ou quant à se prendre pour lui

Cela reviendrait … au même

Comme péché d’orgueil !

.

Fragments

.

Un monde sans Dieu,

Continuerait à exister,

L’Humain … sans Dieu

Se sentirait… orphelin !

.

Nous avons besoin de Dieu,

D’une intelligence supérieure

Mais aurait-il besoin de nous :

Qu’il me soit permis d’en douter.

.

Non en tant que Maitre de l’Univers

S’appuyant commentaire de Voltaire :

L’Univers m’embarrasse et je ne puis songer

Que cette horloge existe et n’ait pas d’horloger.»

.

Mais en tant que rédempteur de nos … péchés,

En plus, chacun à l’aune de ceux qu’il a commis,

Lors nous promettant, en cas de bonne conduite,

Un lieu, état éternel considéré comme  le Paradis.

.

Omniscient, omnipotent, omniprésent, bienveillant

Un Dieu tout puissant, mais très anthropomorphisé

La Science ne prend pas parti, ce n’est pas son objet.

.

Pour Kant, l’existence de Dieu n’est pas démontrable

Vu l’état de nos instruments et de nos connaissances

Voire même au-delà des limites de notre existence !

.

Entre Création/Évolution comment faire le choix,

Pourquoi avons-nous développé sens artistique,

Pourquoi y aurait-il de l’amour… entre nous ?

.

Autant de questions qui nous interpellent,

Tout comme celle des images d’un Dieu,

Dieu n’a rien et tout à voir avec nous.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Dieu aurait forcément quelque chose

 À voir avec nous,

Et que ce soit lui

Qui nous ait inventé ou le contraire.

.

Quelque chose mais quoi, mystère,

Sur notre Terre,

Dans   les Cieux,

Enfin les nôtres, et qu’on imagine.

.

Or il se peut que j’en fasse partie,

Et  sans  le savoir,

En un grand Tout

Et le découvrirait : mort, fini !

.

Dieu a-t-il à voir avec les hommes !

Ne serait-ce pas plutôt les hommes

Qui auraient à voir avec leur Dieu !

.

Il y a tant de pensées, de paroles,

De comportements, d’actes,

De visions philosophiques,

De morales, et  de religions

Différentes entre les hommes

Que Dieu lui-même s’y perdrait !

Homme, Dieu sait ce  D  que c’est, pour cause,

Fait à son image et I   à sa ressemblance

Dit la Genèse  E  dans la Bible,

Si ce n’est  U   l’inverse :

Dieu en tant     * que surhomme,

Tellement divin qu’    A il en devient abstrait.

*

Etre homme est par dé   À  finition, être imparfait,

Il comportera des man     *  ques, des manquements,

À la sacrosainte loi de       V    déité pour immortalité.

O

Il y en a qui s’   I   en approchent

Qui s’en seront   R bien approchés :

Les prophètes,     *    rois, les apôtres,

Les saints, les gou   A  rous ou les guides !

V

Mais moi je ne suis   E      rien  de tout cela :

Je ne suis qu’un hom   C      me parmi les autres

Je n’ai vocation à me      *  sanctifier outre mesure.

N

Que Dieu me pardonne   O  de n’être qu’un homme,

Peut-on lui pardon        U   ner de nous avoir fait

    Ce que nous som    S   mes : tous mortels !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Et comment  donner

Une forme à un Dieu,

Dont on ne perçoit rien, 

Et anthropomorphisé.

.

1119 4

.

Bon nombre des images de Dieu

Seront  plutôt  anthropomorphes.

Dieu nous aurait fait à son image

Qui sait, et si c’était le contraire !

Dieu comme concept, virtualité

Ne peut être anthropomorphisé :

Dans notre imagination, il occupe

Toutes les formes et tous les fonds !

.

Symbolique 

.

Une vraie image de Dieu :

Qu’est-ce que cela peut signifier ?

Idem,  homme  fait  à l’image  de Dieu?

Et la conception intelligente de l’Univers ?

Quel choix  entre   la Création  ou  l’Évolution?

Pourquoi importance de la musique pour nous ?

Pourquoi avons-nous développé sens artistique ?

Pourquoi y aurait-il de l’amour entre nous ?

Voilà autant de questions, lancinantes,

Non tranchées, et qui rapprochent

Ou qui nous éloignent de Dieu.

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1119 6

.

Bon nombre des images de Dieu

Sont plutôt anthropomorphes.

Dieu nous aurait fait à son image

Qui sait, et si c’était le contraire !

 .

Symbolique 

 .

L’anthropomorphisme a mauvaise presse ;

On le considère comme une erreur philosophique

Et comme un blasphème religieux. Il rend Dieu

Humain, il ne perçoit pas sa divinité et il oublie

L’altérité, et il nie différence Dieu et l’homme.

.

On l’accuse de tous les maux.

Il serait responsable des superstitions,

Des idolâtries, des déviances religieuses.

.

À mon sens, tout ce que nous disons de Dieu

Est anthropomorphe mais on ne doit pas se taire,

Se réfugier en silence, refuser discours sur Dieu :

L’assumer, ayant conscience des vertus et limites.

.

Il n’est ni entièrement faux,  ni entièrement vrai.

Le rejeter totalement est tout autant une erreur

Qu’utiliser sans critique. Il faut le relativiser.

andregounelle.fr/vocabulaire-

theologique/anthropomorphisme.

 .

.

Fond/forme

 .

Dieu nous aurait conçus à son image

Ou l’homme, anthropomorphisé Dieu

La question métaphysique, vrai enjeu

Qui fait de nous des fous ou des sages,

Comment faire comprendre un concept

À certains, sans illustration, métaphore

De fil en aiguille, toutes représentations

Aura pris le pas sur toute présentation :

 Dieu devenant inséparable de sa barbe !

 .

Textuels et illustrations  >>

1118 – Croire que l’esprit n’habite que mon cerveau !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Est-il vrai, à ce qu’il parait

Esprit est tout partout en nous,

L’esprit humain peut être ailleurs

Bien  que situé, majoritairement,

Dans le fond  de  notre cerveau.

.

L’esprit est plus que des mots

Il est fait  autant des gestes,

Est fait, aussi, de réflexes.

Lors le  geste est réalisé

Avant que je le décide.

.

Est-ce   le  cerveau

Ou nerf  reptilien

J’ai mal au bras

Qui n’existe pas

Esprit trompe

Ou le recrée.

.

Croire que l’esprit n’habite   que le cerveau.

Les physiologistes, ont, depuis longtemps,

Prouvé le contraire, expérimentalement :

Que serions-nous en effet … sans mains,

Sans pieds, sans yeux et, sans oreilles.

.

Ce sont, pour large  part, organes,

Perceptifs et sensitifs et moteurs,

Qui façonnent notre esprit, pensée,

À la manière de gros calculateurs

.

Qui ordonneraient tous éléments

En   mémoires,  en   traducteurs

Avec les éléments périphériques

Clavier, écran,   souris, et  micro.

     .

L’esprit  sera mon intelligence,

Et se trouve partout, en corps,

Lors quand l’on me dira : mort,

Mon esprit  quittera mon corps,

.

Mais qu’est-ce que cela veut dire,

S’il n’est pas  indépendant  de lui,

Qui anime l’esprit, anime  le corps,

L’esprit mourrait bien avec le corps,

Ne saurait lui survivre, emprisonné.

.

Or les personnes dites tétraplégiques

Qui n’ont donc plus ni jambes ni bras,

Garderaient esprit, parfaitement intact,

 Et ils ont même l’impression d’avoir mal

Aux membres comme présents en cerveau.

.

Esprit  comme pensée ou idée, vie, principe,

Âmes, humeurs  et  attitudes  et imaginaires,

Tout se mélange  en ondes, chimies en l’esprit,

.

En m’éclairant en fonction des contextes choisis

Esprit ne s’oppose au corps que par commodité,

D’accord… d’accord, mais là, pour le coup :

Je crois bien que l’esprit n’y sera plus !

.

Extensions

 .

Encore, encore et encore : je suis d’accord

Mais je crois que l’esprit n’y est plus !

Mais de quel esprit parlez-vous !

De l’esprit du corps ou bien

De l’esprit de l’esprit !

.

Oh là, ça se complique, là,

Un peu, beaucoup, trop même,

Au point de rendre, ici, mon tablier.

Mon esprit est partout et nulle part,

En réflexions autant qu’en actions.

.

C’est dire qu’il ne se cantonne

Pas  qu’au  cerveau, mais en

Notre corps, et tout entier,

Nos mains, nos pieds, etc.

.

Le cerveau est connu pour être le siège de l’esprit

Mais l’esprit ne fonctionnera point sur lui-même

Il lui faut se développer  et pour cela, l’alimenter

Par le système digestif, respiratoire  et sanguin,

De même, par nos cinq sens,  moult sensations.

Un cerveau sans corps, sans visage, sans cœur,

À quoi pourrait-il  bien servir : d’ordinateur !

.

Le corps et le cerveau sont des objets publics,

Accessibles au regard, externalisés et objectifs.

L’esprit est privé, masqué, interne et subjectif,

L’esprit et la pensée sont activités du cerveau !

.

Mythologie : esprit est substance immatérielle.

Philo : âme désincarnée douée de pensée, vie.

Psycho : principe de pensée  et de réflexion !

Lors d’où vient lorsque le corps y participe.

.

Un cerveau  privé sensations, perceptions,

Ne peut alimenter l’esprit très longtemps

Il finirait  par tourner … sur lui-même :

Sans sens, conscience serait non-sens.

.

Fragments

.

La dualité corps/esprit aura fait long feu,

Considérant que corps anime aussi esprit,

La preuve est que sans lui, l’esprit n’existe.

.

Pour sûr, l’essentiel d’esprit est en cerveau,

Mais sans activités réflexes, automatismes,

Il serait, par moments, des plus surchargés.

.

Le cerveau reçoit, régule signaux provenant

Des différents organes et des sens du corps

Et il en sera de même de bien des animaux.

.

On a distingué les manuels, des intellectuels,

En accordant plus d’intelligence aux seconds

On sait, c’est faux : mieux vaut être les deux.

.

Si le corps est malade, affaibli pas blessures

Si les cerveau manque d’oxygène, protéines,

Il fonctionnera, et il raisonnera moins bien.

.

L’esprit contrôle, en partie, système digestif.

Sentiments d’anxiété, de dépression, de peur,

 Affecteront plus ou moins son fonctionnement.

.

Faire de l’esprit supposerait-il un grand esprit

Et cela aux dépens des performances du corps,

La question est absurde, les deux interagissent

.

A contrario, le cerveau rendu en mode végétatif

Empêche-t-il le corps de fonctionner un temps :

Tout dépendrait du stade  auquel il est arrivé !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

                                         Est-il vrai,   C   à ce qu’il parait

                                      Esprit est tout   R   partout en nous,

                                      L’esprit humain   O      peut être ailleurs

                                     Bien que situé,       I       majoritairement,

                                   Dans le fond         R        de notre cerveau.

                                  L’esprit est        E        plus que des mots

                                 Il est fait         *         autant des gestes,

                                Est fait         Q         aussi de réflexes.

                             Lors le       U        geste est réalisé

                          Avant       E    que je le décide.

.

                   Est-ce   le  cerveau

                Ou nerf  reptilien

           J’ai mal au bras

         Qui n’existe pas

    Esprit trompe

Ou le recrée.

.

Croire que l’esprit *  n’habite   que le cerveau.

Les physiologistes,  L  ont, depuis longtemps,

Prouvé le contraire    ‘    expérimentalement :

Que serions-nous en  E   effet … sans mains,

Sans pieds, sans yeux  S     et, sans oreilles.

  Ce sont, pour large      P       part, organes,

  Perceptifs et sensitifs  R      et moteurs,

      Qui façonnent notre   I  esprit, pensée,

         À la manière de gros T     calculateurs

           Qui ordonneraient   *  tous éléments

             En mémoires, en   N     traducteurs

                Avec les éléments   ‘   périphériques

                    Clavier, écran,    H  souris, et  micro.

                  A

                         L’esprit  sera   B   mon intelligence,

                           Et se trouve    I   partout, en corps,

                             Et quand on  T    me dit que : mort,

                               Mon esprit    E  quittera mon corps,

                                Qu’est-ce        *       que cela veut dire,

                                 S’il n’est pas  Q   indépendant  de lui,

                                L’âme pourra U   être ce mouvement,

                                Qui anime l’es E   prit, anime le corps,

                                L’esprit mour   *  rait bien avec le corps,

                              Ne saurait lui     L   survivre, emprisonné.

                 E

                          Or les personnes   *      dites tétraplégiques

                        Qui n’ont donc     C    plus ni jambes ni bras,

                     Garderaient es    E   prit parfaitement intact,

                  Et ils ont même   R    l’impression d’avoir mal

                Aux membres    V  comme présents en cerveau.

            Esprit  comme   E  pensée ou idée, vie, principe,

       Ames, humeurs   A      et attitudes  et imaginaires,

     Tout se mélange   U     en ondes, chimies en  l’esprit,

   En m’éclairant en  *  fonction des contextes choisis :

  Esprit ne s’oppose au corps que par commodité.

D’accord… d’accord, mais là, pour le coup :

Je crois bien que l’esprit n’y sera plus !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une forme humaine

Avec une tête, en laquelle

Un cerveau  surdéveloppé :

Esprit distingue des animaux.

.

1118 4

.

Un cerveau … pour un esprit :

Ça se conçoit, ca se sent, ça se voit :

Que devient le cerveau, sans le corps :

Un esprit qui n’est là qu’en pure survie ?

Cerveau,  tous  les  mammifères  en  ont

Esprit,  seul l’homme  prétend  en avoir

La forme et la taille du sien le suppose

aussi la forme épousera, ici, le fond.

 .

Symbolique 

 .

La perception inconsciente

Des battements du cœur par

Le cerveau influe sur la qualité de la vue :

Le fonctionnement intrinsèque de l’organisme

Modifie  les sens, et probablement la cognition

Et le comportement. En effet, le cerveau

Reçoit et régule les signaux provenant

Des différents organes du corps.

lessymboles.com/le-cerveau-adapte-

la-vue-en-fonction-du-cœur

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1118 6

.

Un cerveau … pour un esprit :

Ça se conçoit, ca se sent, ça se voit :

Que devient le cerveau, sans le corps :

Un esprit qui n’est là qu’en pure survie ?

 .

Symbolique 

 .

Notre asymétrie céré                  brale aura fait couler

Beaucoup d’encre, elle               aura donné  naissance

À  certains mythes, on              peut citer un exemple :

Selon certains,  nous n’            utiliserions     que faible

Partie des capacités de            notre cerveau,  à savoir

10% de nos neurones, ce         n’est que  pure fantaisie.

Nous en avons besoin de       toute  notre tête car il est

En outre difficile d’imagi       ner que fruit d’évolution

Nous aurait pourvus d’un     organe inutile … à 90% !

Le cerveau n’exprime pas  tout son esprit simultané

Modifié, source : www.180-360.net/cerveau-deux-hemispheres

.

.

Fond/forme 

 .

Le cerveau se ramifie, dans notre corps entier,

Qui en retour, nourrit, fait grandir ce dernier.

Au final mon cerveau serait un peu partout

Dans le système nerveux, géré par ma tête

Et s’il ne fonctionne pas à cent pour cent

C’est qu’il n’en a besoin instantanément

Et ce d’autant qu’il délègue des tâches

À nos réflexes peu à peu automatisés.

 .

Textuels et illustrations  >>

1117 – Et si l’amour n’était qu’un rêve, hallucination !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Si amour n’est qu’hallucination

Alors la vie, même la mort, autant.

Formulée, ainsi, la messe  est dite :

Vérité dont personne  n’en profite.

.

Je ne parle pas  d’amour physique

L’un en l’autre, réciproquement

Nos sens ne  nous abusent pas,

Le plaisir  est bien présent là.

.

Mais,  l’amour   dans  l’âme,

Amour  de l’âme  de l’autre

Je n’en dirais pas  autant,

Même le croyant vivant.

.

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

Ou une hallucination, irréalité : trêve

De plaisanterie, ailleurs que sur terre,

Quelque part en un ciel…sans misère.

.

Comme je me sens bien, suis heureux,

Pour le dire, faut encore avoir souffert,

L’extase n’est pas ce. .. nouvel univers,

Où suffit d’être deux, d’être amoureux.

.

Descend sur Terre : tu n’es pas un ange,

L’amour n’est qu’une folie…passagère :

Reviens vite en ce monde … où tu erres,

À sa recherche, pour le perdre en fange.

.

Amour est une maladie jusqu’à la mort

De soi-même …  quand la vie de l’autre

Est beaucoup plus pour vous, que vôtre,

Est unie en un même temps même sort.

.

Tout le monde … ne serait-ce qu’un jour,

Se devrait connaitre un tel état d’amour

Quel que soit la souffrance pour y arriver

Et celle qui se produira, une fois tombée.

.

Toucher du doigt les étoiles de l’éternité,

Est un cadeau des dieux pour l’humanité

Et entre vous et l’autre cet espace existe,

Faut y croire pour, qu’en vous, il persiste

.

Et qu’il ne vous lâche plus comme frappé

Par la foudre d’éclair vous rendant habité

Par une force qui va et ne vous quitte pas,

Tout devient rêve en vous jusqu’au trépas.

.

Extensions

 .

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

Une hallucination de plus, tout comme

Dans le « mythe de la Caverne »  de Platon

Mais sensations, émotions, passions, déraisons,

Constructions qui en émanent nous occupent bien.

C’est déjà ça, car à quoi me servirait  une montagne

D’argent  si je n’en  retire pas  l’émotion, susceptible

De suffire à mon bonheur ou  si attrait et séduction,

Pour une charmante personne, ne me coutent rien,

Lors si elle est réciproque, elle me rapporte joies.

L’amour est un rêve que l’on concrétise à deux,

L’amour est un rêve qui nous rend heureux ;

L’amour est un rêve qui nous consolerait

D’être seul au monde, malheureux !

.

 «La forme, pas les formes», disent les vendeurs de régime

Les idées sont bonnes, il ne reste qu’à les mettre en forme,

La forme déteint sur le fond autant que fond sur la forme.

En matière de fond, pas de limites ; en forme, des normes

En amour  y-at-il besoin de formes pour exprimer le fond

Et si la forme n’a de fond, c’est qu’il s’agit d’hallucination

Ainsi en déclaration d’amour, il faut y mettre les formes,

Tout en mettant à l’épreuve, rêve, en matière de réalité.

.

L’amour serait un rêve qui se réalise, parfois,

Quand il échoue, il était fruit d’une illusion,

Mais quand il est projeté, sans se réaliser,

Il peut constituer comme hallucination.

Hallucinations visuelles, je l’ai aperçu

En la foule, il ne m’a pas remarqué

Vérification faite, il n’y était pas

Hallucinations … auditives

J’ai entendu sa voix :

Ce n’était pas …  lui.

Non mais  dites-moi,

Je rêve toujours de lui,

L’amour serait-il un rêve,

Ou je rêve, sur lui, d’amour !

.

Fragments

.

L’amour est tantôt rêvé

Tantôt rêveries, pensées,

Tantôt une hallucination

Souvent, aussi, passions !

.

On distinguera très bien

Amour parental  et filial,

Amour fraternel, amical,

Amour spirituel chrétien.

.

On appelle amour parfois

Ce qui s’en éloigne de soi :

L’amour du genre humain,

Ca ne mange pas de pains.

.

L’animosité et l’antipathie,

De même, aversion, haine,

Ne seront pas ses cousins :

Plus proches de l’ennemi !

.

Quelle que soit forme prise,

Amour est fait de surprises,

Amour ne sera jamais carré,

Il n’y a que rond qui lui sied.

.

Par contre, couleur se décline,

Allant du vert au jaune, orange,

Sans oublier le rose  et  le rouge :

Tendre bonheur ou forte émotion.

.

Pour certains, ce n’est que maladie,

Pour d’autres, ce n’est que d’hystérie

Mais les deux font référence à la folie,

Il y aura ce que l’on dit et le… non-dit.

.

Le vrai amour  peut être  défini comme

Un sentiment d’affection, d’attachement

De respect engagement envers quelqu’un,

Et cela concerne toutes formes et couleurs.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

 .

E T     S  I

Si amour n’est qu’hallucination

             Alors la vie, même la mort, autant.

          Formulée, ainsi, la messe  est dite :

       Vérité dont personne  n’en profite.

     Je ne parle pas  d’amour physique

  L’un en l’autre, réciproquement

 Nos sens ne  nous abusent pas,

Le plaisir  est bien présent là.

Mais,  l’amour   dans  l’âme,

Amour  de l’âme  de l’autre

Je n’en dirais pas  autant,

Même le croyant vivant.

L’A M O U R   N’ É T AI T

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

    Ou une hallucination, irréalité : trêve

       De plaisanterie, ailleurs que sur terre,

         Quelque part en un ciel…sans misère.

.

               Comme je me sens bien, suis heureux,

                 Pour le dire, faut encore avoir souffert,

                  L’extase n’est pas ce. .. nouvel univers,

                     Où suffit d’être deux, d’être amoureux.

.

                          Descend sur Terre : tu n’es pas un ange,

                            L’amour n’est qu’une folie…passagère :

                               Reviens vite en ce monde … où tu erres,

                                 À sa recherche, pour le perdre en fange.

.

                                 Amour est une maladie jusqu’à la mort

                                De soi-même …  quand la vie de l’autre

                                Est beaucoup plus pour vous, que vôtre,

                              Est unie en un même temps même sort.

.

                             Tout le monde … ne serait-ce qu’un jour,

                         Se devrait connaitre un tel état d’amour

                        Quel que soit la souffrance pour y arriver

                     Et celle qui se produira, une fois tombée.

.

                  Toucher du doigt les étoiles de l’éternité,

               Est un cadeau des dieux pour l’humanité

           Et entre vous et l’autre cet espace existe,

        Faut y croire pour, qu’en vous, il persiste

.

   Et qu’il ne vous lâche plus comme frappé

  Par la foudre d’éclair vous rendant habité

 Par une force qui va et ne vous quitte pas,

Tout devient rêve en vous jusqu’au trépas.

Q  U ’ H  A  L  L  U  C  I  N  A T  I  O  N ?

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une  forme très souple

Ou la fusion est imaginée,

Mais non réelle et en vérité

Et ici double, en couleurs !

.

1117 4

.

Jeu d’ombres de formes d’un théâtre chinois

Derrière un rideau :

L’homme et la femme se doublent, confondent,

Entre sexes et baisers !

Formes et couleurs se complètent

et permettent de jouer sur plastique

changeante selon le focus du regard

ainsi les formes épousent couleurs.

 .

Symbolique

 .

Comme les couleurs, les formes

Influenceront  notre perception

Des choses qui nous entourent

Design industriel des meubles

.

Ou  automobiles : le  carré  ou

Le cercle, et voire la ligne droite

La courbe, représentent la féminité,

Harmonie, douceur ; rigidité, masculinité.

.

Idem en design graphique, création d’affiches

Ou de logo, dont nous analysons consciemment

Ou inconsciemment les formes : chaque forme,

Symbole a une signification selon nationalité,

Interprétés de façon similaire ou arbitraire.

Source : multi-graf.com/la-symbolique-des-formes

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1117 6

.

Effet de chromatisme de tableau de maitre

Qui juxtapose, superpose

Différentes formes, de différentes couleurs

Pour mieux nous émouvoir.

 .

Symbolique 

 .

La couleur est une

Notion très subjective.

Ce qui évoque une sensation

Pour moi en évoquera une différente

Pour une autre personne, parfois

Pour des raisons de préférences

Personnelles, ou culturelles *

 .

Quelle couleur bonheur ?

Orange : Énergie, Bonheur, Vitalité.

Jaune : Bonheur, Espoir, Tromperie.

Vert : Commencement, Abondance, Nature.

Bleu : Calme, Responsabilité, Tristesse.**

* Cameron / * *Chapman.

 .

 . 

Fond/forme

 .

Le rêve a-t-il un fond, une forme, une couleur,

Tout comme  l’amour,  un sexe,  une attraction,

Ou bien les deux participent de la même illusion.

.

Question mérite  qu’on s’y arrête,  approfondisse,

En rentrant dans le vif du sujet, sans restriction,

Mais voilà qu’une grande partie de l’explication

Nous échappe, étant à la fois, réalité et mystère

.

Textuels et illustrations  >>

 

1116 – Sûr que tout le monde ne pense pas comme moi

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

.

Pensée universelle, impensable.

Ce serait, d’ailleurs, détestable,

Pensée propre est honorable,

Nous en sommes capables.

.

Des lecteurs, de ce texte,

Vont dire, je suis d’accord,

Lors d’autres le critiqueront,

Prétexte, fonction du contexte.

.

On ne lit  que ce  que  l’on  veut,

On n’entend que ce que l’on peut

Polysémies et ambiguïtés, à foison,

Interpréter autrement est la raison.

.

Monde ne pense pas comme moi.

Il faut me rendre, à l’évidence :

Nombreux ceux qui pensent

À des choses différentes,

Des choses, auxquelles

Je n’ai jamais pensé.

.

La question «à quoi penses-tu»

Se réfère aux  instants présents,

À quelque chose, ou, à  quelqu’un,

À ce à quoi, l’on pense  plus souvent :

Vie, mort, succès,  métier, famille, amour.

.

On ne peut penser,  à tout, en même temps,

Ni même à tout ce que l’on fait, doit faire

Dans les heures, les jours qui viennent,

Et on peut penser successivement

À des choses n’ayant aucun lien.

.

Si on arrête de penser, tout simplement :

Mais  c’est plus facile à dire, qu’à faire

Cerveau n’arrête jamais de travailler :

Il se repose différemment la nuit

Structurant pensées en rêvant.

.

Certaines pensées sont comme révélations :

On a fait un lien  entre plusieurs choses,

Qui n’en avait pas, pour nous, avant,

Dans un contexte, hors contexte,

On appelle cela, la création.

.

Il y a des gens, aux  pensées  constructives,

Ou destructives, novatrices  ou répétitives.

Il est difficile pour un créatif de se mettre

À la place d’ouvrier qui fait même geste.

«Je ne sais pas, à quoi, vous pensez :

Je ne suis pas dans votre tête ».

.

C’est vrai et en partie faux !

Enchainement tours de paroles

Dans une conversation  très suivie,

Permet une anticipation de la réponse,

Si on connaît l’interlocuteur et le contexte.

.

Extensions

 .

On en arrive à cette fameuse phrase de Descartes :

«Je pense donc je suis » qui est plutôt contradictoire

Car on aurait pu dire autant : « Je marche donc je suis ».

Mon esprit, autrement dit,  ma conscience, me démontre

Que lors je marche, je pense que je marche, donc je suis.

On appelle cela des métadonnées.

.

Parce que l’animal marche aussi mais n’a conscience

Pour autant qu’il existe en tant qu’individu social

Ni même en tant qu’identité isolée qui dispose

De liberté de dire, faire, d’être.

.

Comment se déroule la pensée en mon cerveau !

Les biochimistes  vous disent : par des synapses,

Des flux d’électricité, atomes : d’accord, mais ça

C’est la plomberie, ça ne dit rien du contenu !

.

Peut-on se penser, ailleurs, dans une autre

Époque, dans une autre tête : oui et non,

En partie, par projection, en partie, par

Fiction mais ce ne seront guère que des

Constructions a priori, pas des réalités.

.

Penser, d’accord, tout le monde pense, mais à quoi ?

Sûr que tout le monde ne pensera pas… comme moi :

Je ne suis en rien une référence  pour tout un chacun,

J’admets que les autres pensent différemment de moi

Je pense que c’est une richesse, et non, une faiblesse !

Je pense de trop, et peut-être même mal, qui le sait !

Peut-être faut-il se contenter, de vivre, simplement,

 En méditant, faire le vide en soi sans autour de soi.

Amour et compassion restent à penser pour tous.

.

Souvent opposée à la volonté et au sentiment,

La pensée est définie par Platon comme un dialogue

De la raison avec elle-même sur  des paroles, événements.

Elle est pour Descartes «tout ce que ce qui se fait en nous

De telle sorte que nous l’apercevons  en nous-mêmes ».

Elle est donc un synonyme possible de la conscience.

.

Avoir conscience de quelque chose est-il : penser

La conscience de la même chose est différente

Pour culture française  et  culture chinoise :

Si on ne s’appuie sur acception commune

On pensera les choses… différemment !

.

Fragments 

.

Tout le monde ne pense pas comme moi

Ce sera plutôt une chance en démocratie

Sinon, imaginez que je suis un dictateur,

Déviants de ma pensée en bannissement.

.

Moi-même d’ailleurs, je pourrai très bien

Penser des choses, différentes, contraires,

Comme mal pour bien et réciproquement,

.

La pauvreté de la pensée serait l’uniformité

Je ne veux voir qu’une seule tête : les autres

Comme  confondues, cachées …  disparues !

.

Discussion, confrontation, concluent accord

Sinon  chacun camperait  sur fixes positions,

Et la guerre ne serait plus loin, à raison/tort.

.

Personne ne pourra avoir  entièrement raison,

Donc personne ne peut avoir entièrement tort,

La vérité, si elle existe, est dans un compromis.

.

Enfant, j’ai pensé que les parents avaient raison

Je me suis aperçu qu’ils n’étaient pas infaillibles

Je me suis dès lors mis à penser par moi-même :

Depuis je n’ai cessé de tout remettre en question.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Pensée universelle     L  impensable.

Ce serait, d’ailleurs  E  détestable,

La pensée propre    *  honorable,

Ce dont  sommes  M  capables.

Des lecteurs, de    O    ce texte,

Vont dire je suis  N  d’accord,

Et d’autres le cri  D  tiqueront,

Prétexte fonction  E du contexte.

On ne lit que ce      *   que l’on veut,

On n’entend que   N  ce que l’on peut

Polysémies et am  E   biguïtés à foison,

Interpréter autre   *   ment est la raison

Monde ne pense  P     pas comme moi.

Il faut me ren   E   dre, à l’évidence :

Nombreux    N  ceux qui pensent

À des cho  S    ses différentes,

Des cho   E  ses, auxquelles

Je n’ai  * jamais pensé.

.

La question   P «à quoi penses-tu»

Se réfère aux    A      instants présents,

À quelque cho    S    se, ou, à  quelqu’un,

À ce à quoi, l’on    *      pense  plus souvent :

Vie, mort, succès,    C    métier, famille, amour.

On ne peut penser,  O    à tout, en même temps,

Ni même à tout ce  M    que l’on fait, doit faire

Dans les heures,   M  les jours qui viennent,

Et on peut pen  E     ser successivement

À des choses   * n’ayant aucun lien.

.

Si on arrête de pen    *       ser, tout simplement :

Mais  c’est plus fa   M       cile à dire, qu’à faire

Cerveau n’arrête   O    jamais de travailler :

Il se repose dif    I      féremment la nuit

Structurant      !  pensées en rêvant.

.

Certaines pensées sont comme révélations :

On a fait un lien  entre plusieurs choses,

Qui n’en avait pas, pour nous, avant,

Dans un contexte, hors contexte,

On appelle cela, la création.

.

Il y a des gens, aux  pensées  constructives,

Ou destructives, novatrices  ou répétitives.

Il est difficile pour un créatif de se mettre

À la place d’ouvrier qui fait même geste.

«Je ne sais pas, à quoi, vous pensez :

Je ne suis pas dans votre tête ».

 .

C’est vrai et en partie faux !

Enchainement tours de paroles

Dans une conversation  très suivie,

Permet une anticipation de la réponse,

Si on connaît l’interlocuteur et le contexte.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Forme, avec cire et paraffine

Qui ressemblerait à une bougie

Ou bois  sculpté  d’un chandelier,

Empilement  de  formes  diverses.

.

.

Là où, moi, je chandelier pour bougie

Allumée, bien d’autres

Verront un pur empilement de formes

En segments ronds

.

Symbolique 

.

Un chandelier

Est un objet qui

Sert de support

À des chandelles

Des   cierges   ou

Bien des bougies.

Le chandelier ou

Ménorah   est  un

Emblème biblique,

Devenu également

L’un des symboles

De l’État…d’Israël

Autres institutions.

Pour certains le chandelier

Serait dérivé de l’arbre de

Lumière            babylonien.

soued.chez.com/menora

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Là où, moi, je crois voir une bougie,

Allumée, bien d’autres

Verront un pur empilement de formes

Aux couleurs diverses !

.

Symbolique 

.

Bougie

Est associée

À la lumière, au temps,

À   la  prière : autrefois,  

La    Bougie  était   utilisée

Comme Source  de  lumière,  

Aussi pour mesurer le temps.

Notion écoulement du temps

 Sera  exprimée

Aujourd’hui par des  bougies

D’anniversaire,

Chaque bougie représentant

 Année de vie.

La bougie évoque  l’élévation

  De la pensée,

Mais aussi la communication

Avec le divin,

D’ailleurs, elle  est,  souvent,

Utilisée  en  rituels religieux,

Notamment       pour    prier.

Source  1001symboles.net/symbole/sens-de-bougie

.

.

Fond/forme 

 .

Un chandelier supporte une bougie

Qui éclaire avec flammes vacillantes,

Lumière éclaire aussi symboliquement

Nos lumières, qui elles, sont à l’intérieur

De notre cerveau mais dont les contenus

Demeurent parfois en l’ombre, en retrait,

Ce qui fait que notre histoire, connaissance

Sont différentes de celles de tous les autres !

.

Textuels et illustrations   >>

.

1115 – Dieu est un concept, le Christ est une réalité

Textuels et illustrations  >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Dans la fresque de Michel-Ange,

Peint sur la voûte  de la Chapelle

Sixtine, situé au Vatican, à Rome,

on voit  une   image  de  l’Homme

D’un côté, et de Dieu de l’autre et

entre les deux … le doigt  de Dieu

Comme le moyen  choisi création

de  l’Homme, tout  à  son   image.

Mais le contraire  est  autant vrai,

l’Homme  crée  son  propre  Dieu.

Même si ce n’est pas son intention

Le Christ, juif, nommé aussi Jésus,

Est plus réel, à l’identité  reconnue,

Né d’une femme  comme nous, nu :

Qui contestera  son histoire vécue.

Et si Dieu  reste  un beau concept

Et Jésus-Christ, reste une réalité

Mon égocentrisme  est exacerbé,

Nous aimons l’histoire incarnée.

Si vous avez  des belles pensées

Pensez bien  à les personnifier,

Et  facilitez  une identification

C’est écrit et à votre intention.

Je me  vois  bien, en elle,  lui,

Car c’est moi, je l’ai compris,

Un autre moi et qui pourrait

Bien    penser : si  j’étais lui !

Par  projections comparées,

Je dirais, ferais, comme lui,

En virtualités et en réalités,

Par procuration  d’intimité.

L’histoire d’un homme  qui

A, réellement, vécu  ou  qui

Aurait pu vivre ceci  ou cela

À en confondre la personne

Et  son personnage, inventé

Faire plus vrai  que,  réalité.

Ainsi, débute  un   synopsis

D’un nouveau film  au ciné,

Ainsi, débute  toute histoire

En un gros roman,  raconté :

Pourtant  rien ne se passera

Comme au naturel ou prévu.

Pour finir,  on n’en retiendra,

Que  des émotions, incarnées,

Sinon passent  et vents légers,

Se chargeront de les disperser.

La poésie et la pensée… feront

Partie  d’histoire  ou ne seront

L’un   n’empêche   pas  l’autre,

Et dieu merci, elle ne se vend,

Que ce qui  est incarné chair

Et si possible  pas trop cher.

.

Extensions

 .

Dieu est un concept, Jésus-Christ est une réalité.

Il faut avouer qu’un concept qui a été incarné

Est bien plus compréhensible et visible

Que concept virtuel, désincarné.

.

Si nous n’avons pas la même image

De Dieu et du Christ, est-ce lors parce

Qu’il est caché, parce qu’il est multiple !

.

Personne ne peut nier que le Christ n’ait existé

Sous le nom de Jésus de Nazareth, a été crucifié

Mais l’Histoire, avec un grand  H,  s’arrêtera là !

.

Le reste est affaire  de croyances, sens religieux !

Il est le seul à mentionner «Dieu» comme vivant

Et à affirmer qu’il  en est  le fils, élu, pour sauver

Une Humanité qui, peut-être, ne le mérite pas !

.

Lui-même ne demande à personne de le croire,

Le libre arbitre de chacun donne seul l’espoir.

 .

Combien d’écrits par les apôtres, en témoins

Dans leurs évangiles ou Nouveau Testament

Et St Paul par la suite et l’Église chrétienne,

Historiens anciens,  romanciers modernes,

Auront relaté  et  confronté, voire enquêté,

Sur une existence d’un Jésus de Nazareth

Pour finir par dire qu’il aura bien existé.

.

Fragments

 .

Dieu est ordre de foi ;

Le Christ… une réalité, 

À marquer  d’une croix,

Sur quelque calendrier !

.

 Les religieux parlent et souvent, du Christ,

Et bien davantage, et mieux, que de Dieu ;

Philosophes ne parleront jamais du Christ,

Pour eux, il n’y a aucun lien entre les deux.

.

La croix est un  symbole

Qui existait bien avant

Notamment  d’anciens

Babyloniens de Bagdad

 Elle a été  christianisée,

 Par  la  sainte   Hélène,

Mère de Constantin Ier

.

L’Incarnation de Dieu,

Est le dogme chrétien,

Où le Verbe divin s’est,

Fait chair Jésus-Christ.

.

La croix, symbole culte,

Représente la crucifixion,

Avant tout l’abandon de soi,

Détachement sa personnalité 

.

Croix Jésus, incarnation, et Dieu,

Tout y est pour qu’histoire suscite

L’intérêt de tous, voire de chacun,

Et ainsi fond et forme s’épousent.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Dans la fresque de Michel-Ange,

Peint sur la voûte de la Chapelle

.

Sixtine, situé au Vatican, à Rome, on voit une image de l’homme

D’un côté, et de Dieu de l’autre et entre les deux, le doigt de Dieu

Comme le moyen choisi de la création de l’Homme, à son image.

Mais le contraire est autant vrai, l’homme crée son propre Dieu.

.

Même si ce n’est pas son intention

 Le Christ, juif,   nommé aussi  Jésus,

Est plus réel,   *  à l’identité reconnue

Né d’une femme   D  comme nous, nu,

Qui contesterait    I      l’histoire vécue.

Et si Dieu reste    E    un beau concept

Et Jésus-Christ   U     reste une réalité

Mon égocentris   *    me est exacerbé,

Nous aimons l’  E   histoire incarnée.

Si vous avez      S   des belles pensées

Pensez bien      T  à les personnifier,

Et  facilitez       *  une identification

C’est écrit et    U  à votre intention,

Je me  vois       N  bien, en elle, lui,

Car c’est moi    *   je l’ai  compris !

Un autre moi,    C        qui pourrait

Bien     penser :   O     si j’étais lui 

Par projections    N     comparées,

Je dirais, ferais    C     comme lui,

En virtualités et   E    en réalités,

Par procuration  P     d’intimité.

L’histoire d’un    T    homme qui

A réellement       ;     vécu ou qui

Aurait pu vivre   L    ceci ou cela

À en confondre   E    la personne

Et  son person    *  nage, inventé

Faire plus vrai   C   que, réalité !

Ainsi, débute     H   un   synopsis

D’un nouveau    R   film  au ciné,

Ainsi, débute     I    toute histoire

En un gros ro    S  man, raconté :

Pourtant  rien   T   ne se passera,

Comme au na    *  turel ou prévu.

U

Pour finir, on     N      ne  retiendra,

Que des émot     E   ions, incarnées,

Sinon passent    *     et vents légers,

Se chargeront    R   de les disperser

La poésie et la    É   pensée… feront

Partie  d’histoi   A   re  ou ne seront

L’un n’empê       L  che  pas l’autre,

Et dieu merci     I   elle ne se vend,

Que ce qui  est  T   incarné, chair

Et si possible   É  pas trop cher. 

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une forme de croix

Comme celle où aura

 Été  crucifié le  Christ :

En incarnation de Dieu

.

1115 4

.

Crucifixion du Christ n’est pas fiction :

 Un fait historique :

Et l’incarnation de Dieu serait lui prêter

Une intention humaine.

.

Forme

 .

Évocation 

.

Crucifixion du Christ n’est pas fiction :

 Un fait historique :

Et l’incarnation de Dieu serait lui prêter

Une intention humaine.

.

Symbolique 

 .

La croix, dans

Son symbole culte,

Représente  la cru

Cifixion bien sûr,

Avant tout abandon de soi, détachement de tout ce qui est

Personnalité : c’est la rupture avec  toute  la mécanique de

La personnalité, roue

De  notre personnalité,

Roue des réincarnations.

Lorsqu’il y a crucifixion

’Initié cosmique devient

Bien  détaché du plan

Des   réincarnations.

S’il revient,   ce sera

Uniquement    pour

Apporter     quelque

Chose, ce n’est plus

Pour expérimenter

 Quelque      chose.

Source : conscienceuniverselle.fr/

symbolisme-de-la-croix

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1115 6

.

Crucifixion du Christ n’est pas fiction :

 Un fait historique :

Et l’incarnation de Dieu serait lui prêter

Une intention humaine.

.

Symbolique 

.

L’Incarnation 

Est le dogme chrétien

Où    le Verbe divin s’est

Fait chair en Jésus-Christ.

 .

Et cette notion reste exprimée

Dans le Prologue de l’évangile selon

Jean : Le Verbe s’est fait chair» (1:14).

 .

Elle se situe au centre de la christologie.

La notion d’incarnation a été débattue

Au cours du christianisme primitif.

La controverse la plus vive : le  docétisme.

 .

« Dieu s’est fait homme parce qu’il est plus difficile

D’être un homme que d’être Dieu. » (Voltaire)

« Dieu s’est fait homme pour que l’homme

Devienne Dieu. » (Irénée de Lyon).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Incarnation_(christianisme)

 .

.

Fond/forme 

.

Les religieux parlent plus du Christ que de Dieu

En domaine de certitudes, le premier l’emporte

Les philosophes ne parleront jamais du Christ,

Il n’y aura pour eux aucun lien entre les deux !

.

Quant à la croix, ce symbole existait bien avant

Notamment d’anciens babyloniens de Bagdad

«Elle aura été  christianisée par  sainte Hélène,

Mère même de l’empereur  Constantin Ier,

Qui aurait découvert la Croix de Jésus

 Ainsi  que  celles  des  deux  larrons,

 Lors d’un pèlerinage en Palestine

Entrepris en 326. Wikipédia.

.

Textuels et illustrations  >> 

1114 – Pour certains, la vie n’est qu’un long drame !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La vie n’est qu’un drame

Pour  les  pessimistes,

Pour  les alarmistes,

Pour les fatalistes ;

.

N’est que  bonheur,

Pour les optimistes

Ou  les progressistes,

Pour les non-défaitistes.

.

Or pour nombre de gens,

Comme  le basculement brutal

De l’un vers l’autre, en alternance.

.

Pour  certains la vie ne sera que drame

Entre coupé de brefs moments de brame

Pour mieux supporter un  destin chagrin,

Tout  comme celui de n’en avoir aucun.

.

À d’autres, n’est qu’aventure heureuse,

Entrecoupée de périodes  malheureuses,

Pour mieux leur faire sentir un éphémère

De leur destin basculant vers d’autres fins.

.

Si la vie n’est qu’éternel recommencement,

Chaque jour, même rythme,  geste, toujours,

Infimes évolutions se produisent en pensée

Changeant perceptions du monde, d’idées.

.

Jusqu’au dernier souffle, dernier moment,

Tout peut encore changer et se modifier,

Chacun voit sa vie comme il l’entend,

Chacun peut, sa veste, la retourner.

.

Face à  l’infinitude  de l’Univers,

Nous sommes nus comme ver

Celui qui vous dira contraire

Ne ferait rien que … braire,

Tant certains ont eu une

Enfance malheureuse.

.

Extensions

 .

La mort est un drame éternel,

L’accident, la maladie, le divorce,

L’échec, sont des drames temporaires

Qu’on parvient à surmonter voire oublier ;

Le reste, c’est la vie tout simplement,

Comme le soleil après la pluie,

Comme le jour après la nuit.

.

De ne pas pouvoir, de ne pas vouloir

En profiter parce qu’on pressent qu’un drame

Peut surgir d’un instant à l’autre est une attitude

Plus funeste et pratiquée par les pessimistes :

«Aujourd’hui, pas terrible ;  demain, pire »

Face à l’Univers, l’on est « tout » dès lors

Que l’on ne se connait pas d’équivalent

Et l’on est « rien » dès lors qu’on sait

Que l’on va bientôt disparaitre.

.

Mais entre ce tout et ce rien,

Il y a matière à profiter de tout,

De ce qui se passe, et qui nous arrive,

De ce qu’on veut faire, autres font, de leur côté.

La vie est-elle un drame ou la vie est une chance !

À  chacun d’en décider et d’en faire son parti.

.

La vie est un drame si on la prend par la fin ;

La vie est un charme si on la prend par le début,

Entre les deux, ce sera tantôt l’un et tantôt l’autre :

Mourir à vingt est un drame, à cent, une consolation

L’important est de vivre longtemps, et en bonne santé !

Le drame absolu, comme chacun sait, n’est pas le cancer,

C’est de voir son enfant mourir, pour un père, et  une mère.

La vie n’est autre que comédie, je ne dirais pas ça, encore que,

Le verre à moitié plein je le bois, tandis que le vide, je le perçois.

.

Il y aurait ceux qui sont bien nés

Solides, immunisés, en bonne santé,

Et en plus, positifs et de bonne humeur

Et ceux qui sont mal-nés, mal embouchés

Qui se plaindront de tout, leur vie entière

Souvent prêts à tourner tout en négatif.

.

Comment faire la différence entre ceux

Pour qui la vie sera comme vrai drame,

Qui en font un, pour se mettre en valeur

Et ceux pour qui le drame est passager :

Question nuance, subtilité, pensez-vous

Point du tout : le sens même de sa vie.

.

Fragments 

.

De passer sa vie sans aucun drame

Autre la mort de… ses parents,

Est comme passer à travers

Les gouttes de la pluie,

.

Tandis que d’autres vivront entre

Deux drames puis les suivants

À croire qu’ils les attirent,

Ou voire les suscitent !

.

Mais le pire n’est-il pas : certains

En feraient un drame de tout

Étant mécontent du sort

Qu’on leur a réservé.

.

Face au drame, après la sidération

Et après la conscientisation

On pense à résilience

Ou inconscience.

.

Dernier acte de la vie, drame ou peu,

Est notre mort pour l’éliminer,

L’anxieux la vit en pointillé

Toujours sous ses yeux

.

Drame ultime n’est-il pas son suicide,

On veut le fuir, en l’exécutant,

De croire en dieu déicide,

Acte de foi dans néant.

.

Mais sans drame que serait le bonheur,

Chacun rappelle vulnérabilité,

Solitude, finitude forcées,

En attendant l’heure.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

La vie n’est P  qu’un drame

Pour  les    O  pessimistes,

Pour  les    U    alarmistes,

Pour les     R     fatalistes ;

N’est que    *        bonheur,

Pour les     C       optimistes

Ou  les       E    progressistes,

Pour les    R    non-défaitistes

Or pour   T      nombre de gens,

Comme   A   le basculement brutal

De l’un  I    vers l’autre, en alternance.

Pour   N certains la vie ne sera que drame

Entre  S  coupé de brefs moments de brames

Pour    *    mieux supporter un destin chagrin,

Tout        V       comme celui de n’en avoir aucun.

D’autres,        I             n’est qu’aventure heureuse,

Entrecoupée          E         de périodes malheureuses,

Pour mieux leur          *         faire sentir un éphémère

De leur destin bascu         N         lant vers d’autres fins.

Si la vie n’est qu’éternel          ‘            recommencement,

Chaque jour, même rythme,          E       geste, toujours,

Infimes évolutions se produisent      S          en pensée

Changeant perceptions du monde         T        d’idée.

Jusqu’au dernier souffle,  dernier    *     moment,

Tout peut encore changer     Q   et se modifier,

Chacun voit sa vie     U    comme il l’entend,

Chacun peut,   E    sa veste, la retourner.

Face à  l’ *     infinitude    de l’Univers,

Nous     D  sommes nus comme ver

Celui qui  R   vous dira contraire

Ne ferait    A  rien que braire.

Car certains M    ont eu une

Enfance mal   E heureuse.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase des plus communs

 Mais qui s’est peu à peu fendillé 

Jusqu’à  se  rendre  inutilisable

Lors complétement cassé !

.

1114 4

.

Pour certains, tout comme ce vase,

Collé, rafistolé, de partout,

 Leur vie est devenue et elle restera

Cassée tant qu’ils existeront !

Un vase cassé peut créer un drame

fonction de son prix, attachement :

la vie lui ressemble un tant soit peu

ainsi la forme évoque bien le fond.

.

Symbolique 

 .

Dans la kabbale, le vase

Possède le sens du Trésor.

S’emparer d’un vase, c’est

Conquérir un trésor.

.

Briser  un vase, c’est

Anéantir par le mépris

Le trésor qu’il représente.

.

Un   symbolisme   identique

Se retrouve dans la littérature

Mandéenne  et la Pistis Sophia.

.

Bahir, les six jours de la Création

Sont appelés : les six  beaux  vases,

La Shekina est comparée à un  vase.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1114 6

.

Pour certains, tout comme ce vase,

Collé, rafistolé, de partout,

 Leur vie est devenue et elle restera

Cassée tant qu’ils existeront !

.

Symbolique 

.

Il est, généralement, admis,

Qu’un vase dans la maison

Symbole de bien-être, prospérité.

C’est  une  décoration de l’intérieur,

Donne à la pièce un aspect particulier.

Les vases peuvent être au sol et sur table,

Sont utilisés    pour décorer  des bureaux,

Des hôtels   et    centres     commerciaux.

Le vase      est facile     à casser,    car il

Est composé        principalement       de

Leurs                matériaux       fragiles.

« Pourquoi     ce    vase   s’est-il  cassé,

C’est une bonne chance, vous devez

Dire à                       haute voix « 

Pour la bonne chance ».

kayabaparts.ru/fr/razbitaya-vaza-po-

sonniku-razbitaya-vaza-schastlivaya-zhizn

 .

 .

Fond/forme  

 .

Qui casse, paye, lit-on sur un écriteau

D’une boutique de céramique, bibelots

Si l’on se comparera à un vase et que

Quelqu’un nous casse ou nous-même

On peut le payer de sa vie, paralysie

Nous ne sommes pas en … porcelaine

Dieu merci, pas en acier…  non plus

Pour notre malheur ou  chance !

.

Textuels et illustrations  >>

1113 – Il ne saurait y avoir de paradis, ni d’enfer

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Le paradis

Avec  l’enfer

Sont valeurs contraires,

Bon…heur,  mal…heur,

Dans la vie se mêlent

Intimement et en

Chacun  de  nos  actes

Nos   sentiments.

Et,  sans  compter,

Projection de pensées,

Mais qui nous traversent.

.

Il ne saurait y avoir ni paradis ni enfer ;

Il ne saurait y avoir  ni beauté, laideur ;

Il ne saurait y avoir  ni fortune, revers ;

Il ne saurait y avoir  ni vérités, erreurs.

.

Ce sont là  de fausses, relatives valeurs,

Constituant des rapports  symboliques

Départageant les bonheurs, malheurs,

Faits pour guider notre sens pratique.

.

Ils existent, mais le long de  curseurs,

Tantôt en distance, tantôt en hauteur,

Ressemblant à ce mélange qui évoque

Air d’espéranto jouant sur équivoque.

.

Considérant une même valeur  à tous,

Certains, autres la trouvent différente,

Il n’y a aura jamais universelle entente

Valeurs  langues sont histoires de fous.

.

Aspirer au sens, à  des  valeurs  de  vie,

Représente la question la plus cruciale

À laquelle on ne peut échapper ou mal,

Tant la mort  vous  rappelle  son  souci.

.

Respect de l’autre comme de soi -même

Constitue la principale règle à observer :

En vie, tout n’est pas du pareil au même

Sinon c’est vite l’anarchie et la brutalité.

.

Il ne saurait y avoir  ni paradis ni enfer,

C’est nous  qui les inventons,  projetons,

À force de vivre en misère ou de travers,

Sont fausses réalités, auxquelles croyons.

 

Extensions

 .

Pourquoi s’en faire paradis !

Et pourquoi paradisiaque enfer !

C’est juste qu’il faut  trouver un lieu

Pour y mettre tous les hommes de bien

Et autre, les suppôts du mal : point barre !

.

Un paradis  où l’on serait seul, serait un enfer,

Un enfer où on serait convivial, serait un paradis ;

L’homme n’est pas fait pour vivre seul, ni sur Terre

Ni ailleurs, il communique : l’enfer serait de ne

Pouvoir satisfaire le moindre de ses désirs,

Le paradis, de les avoir tous satisfaits.

.

Mais le Paradis se transformerait

Alors en enfer plus aucune envie.

L’enfer, c’est la lutte et c’est la fuite

Mais c’est surtout l’ennui lors le paradis,

C’est le bien-être, le plaisir, la joie, le bonheur.

.

Chacun a sa propre vision de l’enfer et du paradis.

Distinction entre celui que l’on vit sur Terre  et celui

Projeté après mort : y a que premier qu’on vit, subit !

.

Portes du Paradis sont ouvertes sur une grande lumière

Portes de l’Enfer sont condamnées par une entrée en fer,

Des anges  en  Paradis, des démons en Enfer : est-ce nous,

Ou ceux qui nous accueillent ou bien s’occuperont de nous,

C’est à chacun d’en décider selon le fruit de son imaginaire.

.

L’enfer est cité en toutes les religions

Et il n’est nulle part en même temps :

Ce n’est pas vraiment un lieu, lequel ?

Pas plus vraiment  un temps : lequel ?

.

Quelque paradis terrestre aurait existé

Avec Adam et Ève, sous le nom d’Éden,

Entre Tigre et Euphrate, Mésopotamie,

Parfois ailleurs aussi en lieux inconnus.

.

Le plus curieux, le plus extraordinaire :

Enfer et paradis ont traversé les siècles

Suite à fausses traductions, croyances

Il nous faut croire on a besoin d’eux !

.

Fragments 

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Le paradis

 Avec  l’enfer

Sont valeurs contraires,

Bon…heur,  mal…heur,

Dans la vie se mêlent

Intimement et en

Chacun  de  nos  actes ……….

Nos   sentiments.

Et,  sans  compter,

Projection de pensées,

Mais qui nous traversent.

.

Il ne saurait y avoir I ni paradis ni enfer ;

Il ne saurait y avoir     L    ni beauté, laideur ;

Il ne saurait y avoir         *       ni fortune, revers ;

Il ne saurait y avoir            N       ni vérités, erreurs.

Ce sont là de fausses              ‘        relatives valeurs

Constituant des rapports       Y         symboliques,

Départageant les bonheurs      *          malheurs,

Faits pour guider notre sens    A        pratique.

Ils existent, mais le long de       *     curseurs,

 Tantôt en distance, tantôt en     N    hauteur,

Ressemblant à ce mélange qui    I    évoque

Air d’espéranto jouant sur équi   *    voque.

Considérant une même valeur     P   à tous

Certains, autres la trouvent dif    A  férente

 Il n’y a aura jamais universelle    R entente,

Valeurs  langues sont histoires     A  de fous.

Aspirer au sens, à des valeurs       D     de vie,

Représente la question la plus      I     cruciale

À laquelle on ne peut échapper      S         ou mal,

Tant la mort vous rappelle son       *               souci.

Respect de l’autre comme de         N         soi -même

Constitue la principale règle        I            à observer :

En vie, tout n’est pas du pa       *            reil au même

Sinon c’est vite l’anarchie    E             et la brutalité.

Il ne saurait y avoir       N        ni paradis ni enfer,

C’est nous qui les      F       inventons, projetons,

À force de vivre    E    en misère ou de travers,

Sont fausses  R  réalités, auxquelles croyons.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un trophée sportif,

Ou alors  une lampe

 À pétrole, avec ampoule 

Pour bien mieux… s’éclairer.

.

1113 4

.

Le feu de la lampe et du brasier

Seront des symboles  identiques :

Leur différence sera en l’intensité,

Pour éclairer comme l’ampoule.

Que vaudrait une lampe, sans feu,

Ni ampoule ni ressources pour durer

En enfer, des lampes sans ampoule ;

En paradis, ampoules sans lampe.

.

Symbolique

 .

La lampe,

Qu’elle soit

Électrique,

Ou   à huile 

Ou  à pétrole,

Représentera toujours une

Sorte de lumière  intérieure,

Une énergie, et des capacités,

Talents que nous maîtrisons.

L’homme maîtrise lumière,

Avec  un  pouvoir

Allumer, éteindre.

Psycho2rue.fr/dictionnaire-

Des-symboles-de-reve/lampe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1113 6

.

Le feu de la lampe et du brasier

Seront des symboles identiques :

Leur différence sera en l’intensité,

Pour éclairer comme l’ampoule.

.

Symbolique

 .

Eu-re-ka !

L’ampoule,

Symbole de l’idée

Qui jaillit sans qu’on

L’ait vraiment cherchée :

Hasard heureux, erreur fructueuse !

Tant   qu’il s’agisse  d’une lampe  à huile,

À pétrole ou d’une lampe moderne, électrique,

Elle symbolise l’énergie que nous contrôlons,

Celle que nous maîtrisons. Dans la bande

Dessinée et le dessin animé, l’apparition

D’une idée est souvent représentée

Par une lampe à incandescence

Qui s’allume au-dessus de la

Tête du personnage.

 .

 .

Fond/forme 

 .

La lampe serait éclairée, éclairante,

Au paradis

La lampe serait éteinte, obsurcissante

En  plein  enfer

Sauf que nous n’avons pas de lumières

Ni sur l’un ni l’autre

Et  que  leur obscure clarté, oxymoron,

Brouille bien notre raison

Au point de faire une  totale confiance

Dans notre propre imagination.

.

Textuels et illustrations >> 

 

1112 – Chemin du paradis est même pour enfer

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Des choses pouvant nous faire

Du bien tout comme de se marier,

Peut faire du mal comme de divorcer.

Le bien et le mal, sont autant de valeurs

Tout à fait  relatives et  voire, subjectives !

Personne ne détient sa mesure, ni sa vérité.

Et l’on prône parfois, un mal pour un bien !

 .

Tant, s’il n’y  avait pas le mal, il n’y  aurait pas,

Non plus  de bien,  bien que ce soit  antinomique.

Le chemin du paradis est le même que pour enfer.

Il est en sens inverse, et, sur  vous, haine, il déverse,

Et dès lors, vous aurez beau dire  ou aurez beau faire

Rien ne vous serait épargné, en été  comme en  hiver,

Quand il pleuvra des maux tombant  à seaux à verse.

 .

L’amour ferait      des ravages,

Coup de canif, ou de bambou,

Vous poussant à aller au bout

Révision  contrat  de mariage,

Tant votre blessure, profonde,

Et aura provoqué la déchirure

D’un état naturel,  grâce pure,

En d’autres mauvaises ondes.

.

La douleur et la souffrance se mêlent au désespoir

De ne plus entrevoir : l’avenir, bonheur, assurance,

Remplacé à nouveau par une profonde incertitude

De retrouver, un jour, en  quelqu’un,  la  confiance,

Que  tourments  tristesse du désamour empêchent

De refixer en foyer, accroché comme une idée fixe,

Où la folie et ou  frénésie ne seront plus   prolixes.

.

Avec le temps, souci mélancolique,

Desserrera  son étreinte, résilience,

Reprendra goût à  vie sympathique

Qu’émotion réserve  et en nuances,

Lors plus serein, hors dépendance,

.

On se met à courir après la chance,

Qui ne sera autre qu’une croyance,

Qui vous aide  par la bienveillance,

S’appuyer sur quelqu’un, nouveau,

Pour se sauver,  pour se retrouver,

.

À condition de ne plus se reperdre

En lui, ni lui, en vous,  en tous cas,

Sinon cela aura été fait, et en vain,

Si l’autre s’en ira, lui direz  merde,

Pardon, en paradis… antichambre

.

De l’enfer vous glisserez et êtes

À terre ou, atterrés, d’avoir

Été autant aveuglés.

.

Extensions

Le chemin du paradis

Est le même que pour l’enfer,

Mais fait en sens inverse, tombant

Ainsi, de pas en pas, jusqu’au plus bas.

Stress, angoisse, dépression en sont étapes.

On ne s’en sort jamais seul, qu’avec l’appui

Des autres, si l’on est à même  de vouloir

Prendre  la main  qu’il nous tend  pour

Nous aider  à nous relever, marcher,

Nous aider non vivre à notre place

Afin de sortir de l’enfer sournois

Où l’on vit  pour  le Paradis

Qu’on espère par ce que

On l’appellera déjà la

«Porte de l’espoir ».

.

Le paradis et l’enfer se croisent, à chaque carrefour

Chacun peut se tromper de route, allez y faire un tour.

Dans aucun des deux, personne n’en reviendra indemne,

Tant le bien et le mal se confondent en un brouillard moral

Qui nous a fait créer les deux pour les distinguer en autre vie.

.

L’enfer est pavé de bonnes intentions :

Est à dire que le ciel est de mauvaises !

Je en sais que penser de ces affirmations.

.

De même : qui veut faire l’ange, fait la bête :

Faut-il alors «faire le bête» pour être un ange.

Je sais, c’est jouer sur les mots : quand même !

.

On pourrait lui donner le bon dieu sans confession

Cela n’engage pas à faire confiance aux apparences

Le diable se cacherait sous le manteau d’un bon dieu.

.

Le bien le mal, qu’est-ce que c’est, comment distinguer

Si nous en sommes les seuls juges, c’est pas très normal,

Comment savoir ce qui est amoral de ce qui est immoral.

.

Le chemin de l’égoïsme et du cynisme, est visible,  balisé,

Celui de la générosité et de la vertu est bien plus hypocrite

Distribue quelques miettes aux pauvres pour être apprécié.

.

Fragments

.

Le bien serait comme le mal,

Est-ce bien  chrétien, normal,

Nous avons conscience vitale,

Nous éloignant statut animal.

.

Certains croyant faire du bien,

Feront, en réalité, bien du mal,

Si l’intention peut être louable,

La réalité, des plus détestables.

.

L’enfer serait, parait-il… pavé

Des meilleures …  intentions,

Le paradis, qui sait s’il n’est

Non exempt de mauvaises !

.

De même que qui veut faire

L’ange, fait la bête :

Faut-il lors «faire le bête»

Pour être un ange.

.

Un peu de bien ne peut faire du mal

Dira-ton, faisant l’amour

Ça ne fait pas de mal de se faire du bien

Est, un peu, l’équivalent.

.

Jeu de La Marelle, est chemin à cloche pied,

Poussant un palet de la Terre jusqu’au ciel :

Bouddhisme, Islam, chrétienté, distinguent

Sept cieux, autant d’états spirituels, gravis.

.

Le chemin d’un paradis est envers de l’enfer

Pour le savoir allez-y, et surtout, revenez-y,

Pour dire  ce que vous avez-vu,  entendu,

Qu’on sache, enfin, à quoi s’attendre !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

          *                        C

Des choses pouvant nous   H    faire

Du bien tout comme de se  E    marier,

Peut faire du mal comme   M  de divorcer.

Le bien et le mal, sont au  I    tant de valeurs

Tout à fait  relatives et  N   voire, subjectives !

Personne ne détient    *    sa mesure, ni sa vérité.

Et l’on prône par    D    fois, un mal pour un bien !

U ………………………

Tant, s’il n’y        *    avait pas le mal, il n’y  aurait pas,

Non plus  de bien,    P   bien que ce soit  antinomique.

Le chemin du paradis est  A    le même que pour enfer.

Il est en sens inverse, et, sur   R   vous, haine, il déverse,

Et dès lors, vous aurez beau dire  A   ou aurez beau faire

Rien ne vous serait épargné en été    D  comme en  hiver,

Quand il pleuvra des maux tombant  I    à seaux à verse.

                                    S

L’amour ferait      des ravages,

Coup de canif, ou de bambou,

Vous poussant à aller au bout

Révision  contrat  de mariage,

Tant votre blessure, profonde,

Et aura provoqué la déchirure

D’un état naturel,  grâce pure,

En d’autres mauvaises ondes.

.

La douleur et la     E souffrance  se mêlent Q  au désespoir

De ne plus entre    S    voir avenir, bonheur   U    assurance,

Remplacé à nou    T    veau par une profonde  ‘   incertitude

De retrouver un     *     jour, en  quelqu’un,  la  E   confiance,

Que  tourments    M    tristesse  du désamour   N empêchent

De refixer en foy  Ê      er accroché comme une  F   idée fixe,

Où la folie et ou  M      frénésie ne seront plus    E   prolixes.

             E                                                      R

Avec le temps, souci mélancolique,

Desserrera  son étreinte, résilience,

Reprendra goût à  vie sympathique

Qu’émotion réserve  et en nuances,

Lors plus serein, hors dépendance,

.

On se met à courir après la chance,

Qui ne sera autre qu’une croyance,

Qui vous aide  par la bienveillance,

S’appuyer sur quelqu’un, nouveau,

Pour se sauver,  pour se retrouver,

.

À condition de ne plus se reperdre

En lui, ni lui, en vous,  en tous cas,

Sinon cela aura été fait, et en vain,

Si l’autre s’en ira, lui direz  merde,

Pardon, en paradis… antichambre

.

De l’enfer vous glisserez et êtes

 À terre ou, atterrés, d’avoir

 Été autant aveuglés.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Ça ressemble assez fort

 À un jeu pour atteindre ciel

Un jeu  appelé : la Marelle 

Joué à cloche-pied avec palet.

.1112 4

.

Qui n’aura pas connu et pratiqué,

 Jeu de La Marelle,   étant enfant :

Un chemin assez rude, à cloche pied,

Poussant le palet de terre vers le ciel.

.

Symbolique 

 .

La marelle 

Est un jeu ancestral

D’initiation à  la connaissance

De soi sont issus le jeu  du labyrinthe,

La  pétanque  et  même  le jeu de l’oie.

Plupart des jeux pour enfants

Et  des jeux  de société  étaient,

À  l’origine,   divinatoires,   initiatiques.

Dans un  monde moderne  où la raison,

La logique et plus encore science exacte

Font force de loi, ces principes

Jeux divinatoires et initiatiques

Ont été relégués aux oubliettes,

En un passé dont nous pensons

Qu’obscurantisme, superstition

Régnaient en maîtres

Dans toutes les

Mentalités.

Source : minuit.forum-

actif.net/t1010-la-marelle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1112 6

.

Qui n’aura pas connu et pratiqué,

 Jeu de La Marelle,      étant enfant :

Un chemin assez rude, à cloche pied,

Poussant un palet de terre vers le ciel.

.

Symbolique 

 .

Le ciel est symbole

Des puissances supérieures à l’homme,

Bienveillantes ou redoutables, l’insondable immensité,

Sphère de rythmes universels, celle des grands luminaires,

Le gardien des secrets de la destinée.  Séjour des divinités,

De   toute   puissance  divine    et    des     bienheureux ?

Bouddhisme,     Islam,     chrétienté      distinguent

Sept cieux : autant     d’états    spirituels   gravis

Les langues  modernes   distingueront le ciel

Religieux du ciel atmosphérique qui pour

Les Gaulois est voûte d’où leur crainte

Qu’elle ne leur tombe sur la tête.

 .

 

.

Fond/forme 

 .

Le chemin d’un paradis

Serait le même que l’enfer

Mais, en miroir,    l’envers,

Si on croit ce qu’on nous dit.

Mais pour le savoir : allez-y !

Et surtout revenez-y, mais vite,

Pour dire  ce que vous avez-vu,

Entendu,  senti, pour qu’enfin

 L’on sache à quoi s’attendre !

.

Textuels et illustrations  >>

1111 – Tout ne serait qu’apparences sur Terre !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le mythe de la caverne,

Mythe hautement platonicien

Est brume, en notre ignorance,

Apparence  nous  va  très bien !

Apparence  du  Soleil  tournant

Autour de notre Planète Terre,

Comme le centre du Monde

Pour des fervents croyants.

Mais voilà que le temps

Nous échappe autant

Il ne serait que

Pul-sa-tions

D’après le

Big Bang.

.

Tout ne serait

Qu’apparence sur notre Terre,

Pouvoir, avoir, savoir, égale misère,

Lors, tout se termine, dilue, poussière,

Lors notre mort demeure pur mystère.

.

Relié à bien d’autres comme par un fil,

M’attirant, repoussant autant invisible

Mais, qui s’épaissit et devient tangible,

Quand nouvel amour en moi, le surfile,

En un cocon que l’on appelle … famille.

.

Je suis et je resterai, un temps, encore,

De moins en moins  plaisant, de corps,

Tout en gardant mon bel esprit retors,

Qui s’amusera, de lui, jusqu’à sa mort.

.

Vie se charge, parait-il … de m’assurer,

Mon avenir  dans une éternité méritée,

Elle m’accorde cent ans, pour y penser,

À moi d’en jouir, pour en bien profiter.

.

Alors en attendant Goddot, dit Beckett,

N’attendons pas la fin, et faisons la fête,

Même si dans notre vie bien imparfaite,

Elle ne satisfera pas toutes nos requêtes.

.

Extensions

.

On dit que les apparences sont parfois trompeuses

C’est sans doute vrai, elles ne sont que

Ce qu’elles sont, ce qu’elles nous donnent à percevoir.

À nous de les interpréter en fonction de

Ce que l’on sait d’elles, qu’elles peuvent  être  un miroir

Déformant, embellissant ou enlaidissant,

De la réalité, tant  il sera humain, que  chacun  essaye de

Se présenter au mieux de sa forme, agréable

À voir ; ne serait-ce que  pour attirer  l’attention sur lui et

Pour qu’on s’en souvienne et qu’on y revienne.

Il peut  en être, de même,  s’agissant  des  comportements,

Des attitudes : quelqu’un  de  timide  peut  être

Entreprenant, sous  l’effet  de l’alcool, quelqu’une  de  triste,

Peut être gai en compagnie, quelqu’un d’agressif

Peut être tendre  pour séduire  et comment alors  distinguer

Le vrai du faux : nous avons  en notre cerveau,

Tout un catalogue de portraits physiques et psychologiques

Auxquels nous pouvons comparer, cataloguer

Les nouvelles personnes que l’on rencontre un peu partout.

Nul besoin d’être psychologue pour ce faire :

L’observation, l’intuition  la comparaison suffisent à jeter

À bas des masques pourtant trompeurs.

 .

Apparences, avez-vous dit : réalité ou surface des choses,

Un peu les deux, forcément, tant, son apparence fait partie

Des images qu’on souhaite ou qu’on  veut imposer à l’autre !

On y distingue, le plus souvent, sa surface,  de sa profondeur :

Chez certains, la surface leur en tient lieu, il n’y a rien derrière.

Je suis moi-même le complice et la victime de mes apparences.

J’ai l’air d’être un poète, philosophe et ne suis rien de tout cela :

Contraire  aux apparences, le succès rendrait  plus grand que soi

On est là dans un paradoxe absolu, lors passant du rien au tout !

.

Fragments 

.

L’apparence est humaine,

La vraie forme sera divine :

Idée des reflets est de Platon,

 Sans faire références à un ciel !

.

On n’en pas si loin avec l’Olympe

Pays des dieux dans le monde grec

Ayant liens de pouvoir sur l’humain,

Une religion imaginaire pour le sacré.

.

Une transposition, aujourd’hui, martien,

Des êtres venus d’ailleurs … nous asservir,

Voire, au mieux, nous aider à mieux vivre :

Un monde surgit encore d’une imagination.

.

Tout ne serait qu’apparence sur Terre, un credo

Qui plairait bien aux agnostiques et aux platistes.

À partir du moment où l’on émet le moindre doute

Tout est possible, égal, en tout et… réciproquement.

.

En tous cas, en sociétés, communautés, voire  familles,

Il est parfois question de moyen à sauver les apparences

Certains considérant le Monde  comme un théâtre vivant,

Où ce qui importe est ce qu’on dit et voit, non ce qu’on est.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Le mythe de la caverne,

 Mythe hautement platonicien

 Est brume, en notre ignorance,

             Apparence                 nous va très bien !

               Apparence                   du Soleil tournant

        Autour de la               Planète Terre,

Comme  le  centre  du Monde

Pour des fervents croyants.

Mais voilà que le temps

Nous échappe autant

Il ne serait que

 Pul-sa-tions

D’après  le

Big Bang.

.

Tout ne serait

Qu’apparence sur notre Terre,

Pouvoir, avoir, savoir, égale misère,

Lors, tout se termine, dilue, poussière,

Lors notre mort demeure pur mystère.

.

Relié à bien d’autres comme par un fil,

M’attirant, repoussant autant invisible

Mais, qui s’épaissit et devient tangible,

Quand nouvel amour en moi, le surfile,

En un cocon que l’on appelle … famille.

.

Je suis et je resterai, un temps, encore,

De moins en moins  plaisant, de corps,

Tout en gardant mon bel esprit retors,

Qui s’amusera, de lui, jusqu’à sa mort.

.

TOUT NE SERAIT

Vie se charge, parait-il … de m’assurer,

Mon avenir  dans une éternité méritée,

Elle m’accorde cent ans, pour y penser,

À moi d’en jouir, pour en bien profiter.

.

QU’APPARENCE SUR TERRE  

Alors en attendant Goddot, dit Beckett,

N’attendons pas la fin, et faisons la fête,

Même si dans notre vie bien imparfaite,

Elle ne satisfera pas toutes nos requêtes.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette d’une statue

Voire  d’un martien dont on

Ne sait rien, hors apparence,

Si elle reste, et vraiment, réelle !

.

1111 4

.

Pour les martiens : quelles différences

 Entre l’homme et le … robot ?

Ils se ressemblent, ont un comportement

D’apparence identique !

.

Symbolique 

 .

Si H. G. Wells a

Popularisé la menace

Venue de la planète Mars,

La figure du Martien dans la

Science-fiction, littéraire

Ou cinématographique,

Est devenue le symbole

Ambivalent de l’extraterrestre.

.

Les  dits « petits hommes verts »

En 1912, Edgar Rice Burroughs, auteur de Tarzan,

Projette le héros de son Cycle de Mars, John Carter,

Un combattant immortel, au passé planète Mars,

Et lors il croise différentes races de Martiens,

Dont des humanoïdes verts à quatre bras,

Fondant ainsi une imagerie … populaire

De l’extraterrestre martien qui devient

Autre nous-même aux mille visages.

historia.fr/les-metamorphoses-du-martien

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1111 6

.

Pour les martiens : quelles différences

Entre l’homme et le … robot ?

Ils se ressemblent, ont un comportement

D’apparence identique !

.

Symbolique

.

Les métiers, les choix de groupes et les opinions,

Les uniformes officiels et les codes vestimentaires

Nous rattachent à un groupe, ou une catégorie.

.

Plus personnels : les gestes  et  les  attitudes,

Les façons de marcher, le ton de la voix,

Le choix des mots, positionnements

À l’intérieur d’un groupe.

.

Les choix se mélangent avec les expressions,

Le verbal avec le non-verbal.

Volontaire peut même finir  par se confondre

Avec l’involontaire.

.

Ça ne permet pas de savoir qui est «derrière»

Ni comment il arrive à fonctionner,

Vivre avec ses apparences.

Source : lessymboles.com/

les-apparences-utilité-et-pièges

.

.

Fond/forme 

 .

Que connaitrait-on réellement de l’apparence

D’un martien ou n’importe quel extra-terrestre,

Rien, évidemment lors  on les aura juste inventés

À des fins littéraires, voire cinématographiques

On peut confondre le réel  sous une apparence

Mais ce qui existe avec ce qui n’existe pas

Apparences peuvent être trompeuses

Mais nous ne le sommes pas.

.

Textuels et illustrations  >>

1110 – A quoi bon la vie si l’on ne croit en rien !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Il y a,  je le crois,  la foi de l’enfant,

Qui fait confiance  à  ses  parents ;

La foi du charbonnier

Qui fait  confiance  à une Église ;

La foi des religieux

Et, qui la mettent en pratiques ;

.

La foi du gnostique

Qui doute de toute mystique ;

La foi de l’athée

Qui croit qu’on va Néant ;

La foi du prosélytiste.

.

Mais qui va vivre en conquérant !

Il faudrait, déjà, avoir une foi

En soi, en l’autre, l’humain

Pour se trouver en un bon sens

Pour une vie, qui nous fait du bien !

 .

Il y a la foi de l’enfant qui croit au Père Noël,

Mensonge de parents de société que sur l’autel

De la vérité, jamais il ne faut penser  à sacrifier,

Pour ne pas faire s’écrouler les jouets sur marché.

 .

Il y a la foi du charbonnier, qu’il érige, en principe :

C’est comme ça et pas autrement, et le sera toujours,

C’est la source de sa vie, de ses douleurs,  ses amours,

L’homme est semblable à un Dieu duquel il participe.

 .

À l’opposé, il y a le positiviste, l’agnostique et l’athée,

Qui s’accordent pour détruire sens divin de l’Univers,

Ils n’ont rien à mettre, proposer, à l’endroit, l’envers

Qui le remplace, dont l’homme se réclame,   destiné.

 .

À errer d’une croyance à l’autre, sans buts ni fins,

Mourir, disparaître au néant, arrivé aux  confins

Du rien qu’il était, qu’il est, qu’il sera, et vivre,

Malgré tout, heureux d’exister à en être ivre,

 .

D’un espoir, dont il a du mal à se départir :

L’immortalité, de son corps, esprit, âme :

À quoi bon vivre si l’on ne croit en rien,

Pourquoi être humain  plus que chien.

.

Pour moi elle aura ce quelque chose

De magique et, à la fois, tragique

Comme on le vivra qu’une fois

Attention à ne pas la rater !

.

Extensions

.

Il y a la foi de l’enfant

Qui croit au monde magique,

Lorsqu’il mêle le merveilleux et le réel

Comme étant équivalents, puis petit à petit,

Établit  une distinction  entre  ce qui  est  virtuel,

Ce qui est réel et ce qui apparait comme si c’était irréel

Mais ne l’est pas vraiment. On prétend qu’il croit aux contes

Jusqu’au jour où il vous confie, comme pour vous avertir, que

«C’est pour faire comme ci mais qu’en vrai, ça n’existe pas »

.

C’est vous qui êtes pris à votre propre piège,

Arroseur arrosé en quelque sorte !

.

Les Évangiles,  la  Bible,  la religion,

Constituent un Monde, à part, puisqu’on

Lui demande d’y croire et ce sont les parents,

Les adultes, les autres, les prêtres qui le certifie.

De toute façon, notre  esprit  humain  fonctionne

De telle façon qu’on aura besoin qu’on lui raconte

Des tas d’histoires  pour qu’il  les intègre  dans la

Nôtre et notre humanité et les faits scientifiques

N’ont pas d’effet de conviction  par eux-mêmes,

Il faut les mettre en scènes et y croire vraiment.

.

À quoi bon la vie : question lancinante mais inutile

La vie nous est donnée, nous est reprise, c’est ainsi !

Bon, c’est vrai, qu’elle ait un sens, nous aidera à vivre

Mais  c’est à chacun de nous, de bien trouver  le sien !

Avec une réponse  comme celle- là : chacun  est servi !

Les athées, agnostiques, vivent bien  sans  aucun  sens

Et je ne parle pas  des épicuriens, ni, des bons à rien !

Alors finalement de  croire à rien, c’est encore croire :

Rien devient un objet de mes croyances, grand Dieu.

.

Pour certains, la vie est comme un rêve :

On ne sait pas si on dort ou on est éveillé

C’est la conception de Platon et du reflet

La vie est ailleurs, sommes spectateurs !

.

Pour chrétiens, vie est épreuve terrestre,

En attendant rejoindre le paradis au ciel,

Plus on est bon et plus on souffre douleur

Et plus on échapperait aux feux de l’enfer

.

Athée,  est un voyage,  est une expérience,

Dont on a aucune idée de son sens, finalité

Mais qui nous serait donné d’approfondir,

En exerçant notre liberté et libre-arbitre !

.

Fragments 

.

Avant nos derniers siècles

L’on avait coutume de diviser

 Les gens en croyants et incroyants,

Ou encore en fidèles contre infidèles :

Aujourd’hui on parle de religieux/athée,

Les formes changent, le fond reste le même.

.

Les religieux pratiquants ne remplissent plus

Les vases, ils se limitent à des tasses ici ou là.

Religions ne sont plus localisées : mélangées,

Souvent issues d’une conviction personnelle.

.

On ne va pas refaire l’histoire des religions,

Elles ont des côtés positifs et côtés négatifs

Elles sont créées, dirigées par des humains

Et sont donc le reflet  de leurs vicissitudes.

.

J’ai moi-même,  je le confesse,  ne le renie,

Avoir fait études secondaires en séminaire,

Poursuivi au-delà, après, jusqu’au moment

Où j’ai perdu la foi n’y croyant pas, ou plus.

.

Aujourd’hui, religion parait  peu catholique,

Qu’elle soit chrétienne, juive ou musulmane.

Pour autant je reste en quête  de spiritualité :

Avoir trouvé autre sens à ma vie, point athée !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Il y a,  je le crois,  la foi de l’enfant,

Qui fait confiance  à  ses  parents ;

 La foi du charbonnier

Qui fait  confiance  à une Église ;

La foi des religieux

Et, qui la mettent en pratiques ;

La foi du gnostique

Qui doute de toute mystique ;

La foi de l’athée

Qui croit qu’on va Néant ;

La foi du prosélytiste.

****************

.

Mais qui va vivre en conquérant !

Il faudrait, déjà, avoir une foi

En soi, en l’autre, l’humain

Pour se trouver en un bon sens

Pour une vie, qui nous fait du bien !

À ……………….

Il y a la foi de l’en   *   fant qui croit au Père Noël,

Mensonge de parents  Q   de société que sur l’autel

De la vérité, jamais il ne   U   faut penser  à sacrifier,

Pour ne pas faire s’écrouler  O   les jouets sur marché.

                 I

Il y a la foi du charbonnier, qu’il érige, B     en principe :

C’est comme ça et pas autrement, et le    O  sera toujours,

C’est la source de sa vie, de ses douleurs    N    ses amours,

L’homme est semblable à un Dieu duquel   *    il participe.

                                                     L

À l’opposé, il y a le positiviste, l’agnostique    A      et l’athée,

Qui s’accordent pour détruire sens divin de    *      l’Univers,

Ils n’ont rien à mettre, proposer, à l’endroit,   V         l’envers

Qui le remplace, dont l’homme se réclame,     I         destiné.

                                                       E

À errer d’une croyance à l’autre, sans buts     *          ni fins,

Mourir, disparaître au néant, arrivé aux      S          confins

Du rien qu’il était, qu’il est, qu’il sera,        I          et vivre,

Malgré tout, heureux d’exister à en          *        être ivre,

                                         O

D’un espoir, dont il a du mal à          N    se départir :

L’immortalité, de son corps,          *    esprit, âme :

À quoi bon vivre, si l’on ne       N     croit en rien,

Pourquoi être humain         E   plus que chien.

             *

Pour moi, elle aura     C   ce quelque chose

De magique et, à    R   la fois, tragique

Comme on le vi    O   vra qu’une fois

Attention à ne    I     pas la rater.

     T

E N      R  I  E   N   !  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Évocation

Vase     ancien,

Et assez commun,

 D’origine  étrusque 

Pas comme la tasse.

.

1110 4

.

Un beau vase, si beau soit-il, vide,

S’il  ne contient matières,

Ne sert à rien, il n’est qu’une forme

 À remplir, comme sa vie. !

.

Symbolique

 .

Le vase possède le sens du Trésor.

S’emparer d’un vase, c’est conquérir un trésor.

.

Briser un vase, c’est anéantir par le mépris le trésor

Qu’il représente, un symbolisme identique se retrouve

En littérature mandéenne et dans la Pistis Sophia.

.

Dans le Bahir, les six jours de la Création sont

Couramment appelés les six beaux vases.

La Shekina est comparée à un vase.

.

Et dans la littérature médiévale,

Le vase contiendrait le trésor

Le Graal,  les Litanies, etc.

Source : expatmosaïque.fr/le-

symbole-de-la-semaine-le-vase

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1110 6

.

Cette belle tasse si belle soit-il, vide,

Si elle ne contient d’amour

Ne sert à rien, elle n’est qu’une forme

 À remplir, comme sa vie !

.

Symbolique

 .

Au XVIIIe siècle, d’abord

En Allemagne et en Autriche

Puis en France, les manufactures

De porcelaine commencent à fabriquer

Des «trembleuses », autrement dit des

Tasses très  profondément  enfoncées

Dans leur soucoupe, ce qui empêche

Le récipient de                      glisser.

Et l’origine          de telles tasses

Serait, parait-il, espagnole.

fr.wikipedia.org/wiki/Tasse

 .

 .

Fond/forme 

 .

Vase et tasse ne nous apprennent rien

Sur quelle qu’origine de nos croyances

Les deux seront vides  et ne demandent

Qu’à être remplis   de divers breuvages,

Dont chacun se serait épris de passion,

Pour ne pas sombrer  dans le non-sens,

Mais une fois remplis ils ne se videront

Il faut faire avec et  jusqu’à sa mort : 

Réviser sa croyance serait se renier :

Qui serait assez fou pour faire cela.

.

Textuels et illustrations  >>

1109 – L’Univers en expansion n’a pas de sens !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Si l’Univers connu n’aurait pas de sens :

Comment lors notre vie  en aurait un,

Sinon, ce serait un profond mystère

Qui ne serait  d’ordre de l’humain.

Il a un sens : il est  en  expansion.

Savez-vous  en quoi, dans le vide.

Et  quand  s’arrêtera-t-il : jamais

Avec tout ça, on est bien avancé !

.

Question métaphysique sidérale :

L’univers, lui, il s’en fout pas mal,

Il n’y a qu’homme pour se targuer

De chercher un sens à lui  trouver !

L’homme est à ce point orgueilleux,

Qu’il en vienne à vouloir égaler Dieu,

À l’origine et à la fin de toutes choses,

La Terre serait femme qu’il…engrosse.

Ce n’est pas parce qu’il ne le trouve pas,

Qu’un sens, ou un autre…n’existerait pas

Mais  l’humain  ne peut vivre  sans raison,

Tout autant  fait de chair,  que de passions.

.

Question métahistorique à notre conscience :

Pourquoi suis-je né,  pour partie … animal :

Je ne suis, dans une chaine,  qu’un élément

De l’humanité, venu par hasard de parents.

L’univers en expansion  n’aura aucun sens

Il est bâti sur du vide…bien gratuitement,

Il existe, peut-être, un Monde … parallèle,

Qui échapperait, à nos sens et à notre zèle

Faut-il plus, le souhaiter, que le craindre :

De le rechercher on ne peut s’en plaindre :

À chacun d’y répondre, voire s’y confondre,

Sinon toutes convictions et fois s’effondrent !

.

Question métaphysique échappant à la science

Malgré ses découvertes, son fond et obédiences,

Notre humanité, notre destin, notre âme n’en font

Pas partie et plus on en sait plus on ignore qui sont

Humains, à la fois arrogants modestes, nobles, sages.

Avec les paris de : Pascal, Voltaire, Nietzsche : élégants :

Tout aussi bien, Néant peut se retourner, comme un gant,

Matière noire, être pleine d’esprits, invisibles, à nos visages,

Aux yeux regardant ailleurs, aux oreilles ne nous écoutant pas

Mais qui, au travers de l’immensité du Cosmos et ses contresens

Reflètent en nous, nos désirs humains des plus hauts aux plus bas

Sans communiquer avec nous, faute de sens ou pétris de non-sens.

.

L’Univers, la Terre et l’Humain, auraient-il un même sens caché !

Notre propre d’orgueil consisterait à vouloir le trouver et prouver :

La vie reste un mystère, et pas seulement la nôtre, ailleurs aussi !

.

Extensions

 .

L’Univers,

La Terre et l’Humain

Auraient-ils un même sens, caché :

Notre défaut d’orgueil consisterait à vouloir

Le trouver et plus encore à le prouver : la vie reste

Un mystère et pas seulement la nôtre, ailleurs aussi !

«Homme de peu de foi» comme dit l’Évangile, révélation !

.

Une chose en expansion a forcément du sens,

Dès lors qu’elle  grandit, dès lors quelle grossit,

Elle prend plus d’importance, ou remplit du vide,

Comme un gaz liquide qui se dilate puis qui s’étend

Mais vers où il va, et dans quel temps : nul ne le sait,

Et c’est bien cela qui pose question, pas le phénomène :

Mais là je crois que je m’étends, moi aussi, et pour rien !

.

L’Univers aurait-il un sens

Questionnent astrophysiciens.

Oui, il est en expansion en l’infini.

Oui d’accord mais où s’arrête l’infini.

On ne peut observer, concevoir de limite.

Comment définir un sens, à quelque  chose,

Dont on n’a pas d’idée, c’est presque absurde.

.

S’il n’a de sens, en lui-même, comment peut-il

En avoir un, pour nous : c’est le vide complet,

Et ainsi, aller jusqu’aux confins de l’Univers,

Aller jusqu’au fond de l’Humain, est pareil,

Nous n’en découvrions pas …  leurs sens.

.

Fragments

.

L’Univers… en expansion,

N’a aucun sens :

C’est faux, s’élargit en vide

Et en tous sens !

.

Mais l’on peut  l’entendre

Comme insensé

Nous laisse dès lors penser

Que nous, autant.

.

Une question astronomique

Au premier rang

Une question métaphysique

Second, important.

.

Science traite question comment

À partir de Bigbang

Ne dit presque rien du pourquoi :

Ça n’aurait aucun sens.

.

N’étant pas un expansionniste

Je ne  crois  qu’en ce qui existe :

Tout cela me parait bien étranger

La science reste sans cesse corrigée

.

Finalement : avant, l’on sait rien, et après, non plus,

Au mieux il s’expand dans rien et qu’est-ce que ce rien.

Voilà qui me laissera dubitatif et, pour le moins, rêveur !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Si l’Univers connu n’aurait pas de sens :

Comment lors notre vie  en aurait un,

Sinon, ce serait un profond mystère

Qui ne serait  d’ordre de l’humain.

Il a un sens : il est  en  expansion.

Savez-vous  en quoi, dans le vide.

Et  quand  s’arrêtera-t-il : jamais

Avec tout ça, on est bien avancé !

L’UNIVERS,

Question métaphysique sidérale :

L’univers, lui, il s’en fout pas mal,

Il n’y a qu’homme pour se targuer

De chercher un sens à lui  trouver !

L’homme est à ce point orgueilleux,

Qu’il en vienne à vouloir égaler Dieu,

À l’origine et à la fin de toutes choses,

La Terre serait femme qu’il…engrosse.

Ce n’est pas parce qu’il ne le trouve pas,

Qu’un sens, ou un autre…n’existerait pas

Mais  l’humain  ne peut vivre  sans raison,

Tout autant  fait de chair,  que de passions.

EN EXPANSION,

Question métahistorique à notre conscience :

Pourquoi suis-je né,  pour partie … animal :

Je ne suis, dans une chaine,  qu’un élément

De l’humanité, venu par hasard de parents.

L’univers en expansion  n’aura aucun sens

Il est bâti sur du vide…bien gratuitement,

Il existe, peut-être, un Monde … parallèle,

Qui échapperait, à nos sens et à notre zèle

Faut-il plus, le souhaiter, que le craindre :

De le rechercher on ne peut s’en plaindre :

À chacun d’y répondre, voire s’y confondre,

Sinon toutes convictions et fois s’effondrent !

N’A AUCUN SENS !

Question métaphysique échappant à la science

Malgré ses découvertes, son fond et obédiences,

Notre humanité, notre destin, notre âme n’en font

Pas partie et plus on en sait plus on ignore qui sont

Humains, à la fois arrogants modestes, nobles, sages.

Avec les paris de : Pascal, Voltaire, Nietzsche : élégants :

Tout aussi bien, Néant peut se retourner, comme un gant,

Matière noire, être pleine d’esprits, invisibles, à nos visages,

Aux yeux regardant ailleurs, aux oreilles ne nous écoutant pas

Mais qui, au travers de l’immensité du Cosmos et ses contresens

Reflètent en nous, nos désirs humains des plus hauts aux plus bas

Sans communiquer avec nous, faute de sens ou pétris de non-sens.

.

L’Univers, la Terre et l’Humain, auraient-il un même sens caché !

Notre propre d’orgueil consisterait à vouloir le trouver et prouver :

La vie reste un mystère, et pas seulement la nôtre, ailleurs aussi !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Spirale partant d’un point central,

 Big bang, en expansion :

Le fait d’aller partout, et à l’infini,

Ne lui donne pas son sens !

Expansion, univers, infini

Trois réalités se complétant

Formant un tout mystérieux

Forme et fond se confondent.

.

1109 4

.

Spirale partant d’un point central,

 Big bang, en expansion :

Le fait d’aller partout, et à l’infini,

Ne lui donne pas son sens !

Expansion, univers, infini

Trois réalités se complétant

Formant un tout mystérieux

Forme et fond se confondent.

.

Symbolique 

.

L’expansion  de   l’Univers  est

Le phénomène  d’éloignement  des

Galaxies distantes les unes des autres.

 .

Le taux d’expansion  actuel   de l’Univers

Est rappelé  par « la constante de Hubble».

 .

Expansion dénote  la tendance  d’un ensemble

De géodésiques  à  s’éloigner  les unes des autres

Selon la forme de la métrique expansion continue.

Modifié, source : wikipedia.org/wiki/Expansion

.

.

Fond

.

Évocation

.

1109 6

.

Spirale partant d’un point central,

 Big bang, en expansion :

Le fait d’aller partout, et à l’infini,

Ne lui donne pas son sens !

.

Symbolique 

.

Infini vient du mot latin « Infinitus »

Ce qui signifie sans limites, c’est à dire

Quelque chose  qui dure, pour toujours.

Ce symbole désigne le fait que l’Univers

Est indéfini, sans début ni fin, symbolise

Que rien n’est créé et que rien ne meurt.

 .

En      spiritualité,    l’infini      représente

Interaction    du      physique,      spirituel,

Et     l’’interconnexion     entre    les      deux.

 .

Le signe infini se représente comme un 8 couché,

Il a une signification dans chaque culture  et  religion :

En civilisation indienne, ce symbole viendrait du dieu Shiva

Serpent enroulé sur lui représentant la forme du symbole infini.

Bijouxindiens.net/content/73-bagues-fines-bague-infini

 .

 .

Fond/forme 

 .

Cycle fermé et expansion ouverte

Sont parfaitement antinomiques

Soit l’univers se referme sur lui,

Soit il se diffusera  et à … l’infini

Mais on imagine mal, dans quoi,

Tout autant, comment,  pourquoi ?

.

Réponse de cosmologue surprenante

« C’est  un phénomène purement interne,

 Indépendant de toute notion de contenant,

Ou d’extérieur, de fait, réponse  à la question

Initiale est la suivante : l’Univers  ne   s’expand

Dans rien, il s’expand en lui-même, de lui-même. »

.

Finalement : avant, l’on sait rien, et après, non plus,

Au mieux il s’expand dans rien et qu’est-ce que ce rien.

Voilà qui me laissera dubitatif et pour le moins, rêveur.

.

Textuels et illustrations  >>

1108 – La quête du Graal est éternelle et vaine !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De légendes en légendes,

Depuis mort du Christ,

Celle-ci est parvenue

À rester d’actualité.

.

Sang, dans le vase

Qu’il  contiendrait,

Est prétendu divin :

Humain n’appartient !

.

Alors, à  quoi  s’obstiner,

Mais, son mystère fascine,

Tant qu’on ne peut qu’espérer

Sinon, le trouver …  l’imaginer !

.

Je cherche, cherche encore et toujours

Le sens  de  ma  vie mes folles amours,

En l’heure qui passe   jours qui s’écoulent,

En ce moment où toute vie s’écroule.

.

Que je me perde, religion art, nature, autrui, extrême,

Quelques soient les modes d’actions et mes… opinions,

Je serais condamné à ne me déterminer que par moi-même,

En vrai, une quête du Graal qui peut dire où elle nous mène.

.

Elle  nous  mène, tambour  battant, à faire des expériences,

Qui  nous  apportent connaissances parfois des sciences

Sur quoi est fait l’homme, sur sa différence, son essence,

Mettant à part ceux qui  mettent leur âme en vacances.

.

Si la vôtre ne l’est pas  et, si vous croyez qu’il existe

En le destin particulier chaque homme qui existe,

Interrogez-le pourquoi et comment  vous êtes là,

Cherchez en vous quel  Graal vous conviendra.

.

Sage, celui qui trouve réponse à cette question,

Elle n’est point folie pas plus que de raison,

Est juste  parcours parfois même poursuite

Pour autant n’est pas  celle de lâche en fuite.

.

Il n’est rien de plus vain, que de se connaître,

Ni de plus  courageux,  que de vouloir renaitre,

Attendant  d’autres vies : la sienne, bien lucide,

Quand le diable  nous offre  son contrat perfide

.

Celui d’être, riche, jeune, beau, en bonne santé,

Mais tout pourri de l’intérieur et pour l’éternité

J’aime mieux encore mendier voire vagabonder

Qu’être artificiel, flatté, vivre dans telle fausseté

.

L’homme  veut se dépasser, se surpasser,  défier

Pour ne pas se réifier et au contraire, se déifier :

Sa chute n’en est pas  moins cruelle, et, mortelle,

Étant seul à savoir  en quoi son âme, immortelle.

.

Immortel n’est contraire, complément  de mortel

Nous le sommes, tous, et, bien avant, que  naitre,

Il faudra une vie pour apprendre à bien connaître

Le sort, qui sera le nôtre, est bien au-delà  du réel.

Le réel n’a rien à voir  avec quête du Graal, éternel,

Elle fait, de nous, des êtres bien au-delà du charnel.

.

Extensions

.

Une quête éternelle, cela a-t-il du sens :

S’agit-il de résurrection, ou prolongation,

De la vie corporelle ou de la  vie spirituelle,

De l’éternité d’un homme ou de l’Humanité :

Par définition si cette quête est bien éternelle

C’est qu’elle est, par avance,  des plus vaines.

Homme serait-il à ce point croyant stupide

Pour rechercher cette chose, inaccessible

Pour lui ou qu’il a inventé lui-même.

.

À chacun son Graal,

Quête de vérité et justice,

Pour  les  chevaliers  arthuriens

Pour chacun, de sa réussite suprême !

.

Graal corne d’abondance, nourriture qu’on désire ;

Pierre tombée du front de Lucifer  et creusée en vase ;

Récipient utilisé ; par Jésus, à son dernier repas, la Cène.

.

Lors, pour cette dernière raison, certaines légendes  racontent

Que quiconque boirait dans un tel vase atteindrait l’immortalité !

À la recherche du Graal, le chevalier chrétien doit avoir le cœur pur.

.

Fragments

.

La quête d’un Graal,

Reste Graal problème

Et comment le définir,

Pour enfin, l’atteindre !

.

 À chacun le sien : certain,

Et si on ne le trouvera pas :

On peut toujours en changer,

On n’a pas qu’un Graal en sa vie.

.

Tant pour l’histoire de l’Humanité,

Le Graal est une légende, des légendes,

Celle de la coupe du Christ après sa mort

Puis celle des Chevaliers de la Table ronde

.

Ces deux cas, la vie éternelle leur est associée

Ce qui n’est pas une moindre quête : irréaliste

 Mais s’agit-il  du corps, du cœur, esprit ou âme :

N’est dit nulle part personne n’ayant expérimenté

.

Un symbole  d’élévation  suprême, dans  le  sport,

Et toute autre discipline, et toute autre religion :

Atteindre le Graal serait touché le doigt de Dieu

Boire dans la coupe est avoir accès vie éternelle.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

De légendes en légendes,

Depuis mort du Christ,

Celle-ci est parvenue

À rester actualité.

Sang dans le vase

Qu’il  contiendrait,

Est prétendu divin :

Humain n’appartient !

Alors, à  quoi  s’obstiner,

Mais, son mystère fascine,

Tant qu’on ne peut qu’espérer

Sinon, le trouver …  l’imaginer !

.

*******************************

***************************************

.

Je cherche, cherche ¤¤¤ L ¤¤¤¤¤¤¤ encore et toujours

Le sens  de  ma  vie ¤¤¤¤ A ¤¤¤¤¤¤¤  mes folles amours,

En l’heure qui passe  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ jours qui s’écoulent,

 En ce moment fatidique  ¤ Q ¤¤¤¤¤¤¤ où toute vie s’écroule.

Que je me perde, religion ¤ U ¤¤ art, nature, autrui, extrême,

 Quelques soient les modes   Ê   ¤¤ d’actions et mes… opinions,

Je serais condamné à ne me  T   déterminer que par moi-même,

En vrai, une quête du Graal   E   qui peut dire où elle nous mène.

Elle  nous  mène, tambour      *    battant, à faire des expériences,

Qui  nous  apportent con       D    naissances parfois des sciences

Sur quoi est fait l’homme,     ‘      sur sa différence, son essence,

Mettant à part ceux qui      U   mettent leur âme en vacances.

Si la vôtre ne l’est pas         N     et, si vous croyez qu’il existe

En le destin particulier      *         chaque homme qui existe,

Interrogez-le pourquoi    G        et comment  vous êtes là,

Cherchez en vous quel    R          Graal vous conviendra.

Sage, celui qui trouve   A     réponse à cette question,

Elle n’est point folie     A       pas plus que de raison,

Est juste  parcours      L     parfois même poursuite

Pour autant n’est pas !     celle d’un lâche en fuite.

ÉTERNELLE

Il n’est rien de plus vain,  *   que de se connaître,

Ni de plus  courageux,  que de vouloir renaitre,

Attendant  d’autres vies : la sienne, bien lucide,

Quand le diable  nous offre  son contrat perfide

Celui d’être, riche, jeune, beau, en bonne santé,

Mais tout pourri de l’intérieur et pour l’éternité

J’aime mieux encore mendier voire vagabonder

Qu’être artificiel, flatté, vivre dans telle fausseté.

ET VAINE !   

L’homme  veut se dépasser, se surpasser,  défier

Pour ne pas se réifier et au contraire, se déifier :

Sa chute n’en est pas  moins cruelle, et, mortelle,

Étant seul à savoir  en quoi son âme, immortelle.

Immortel n’est contraire, complément  de mortel

Nous le sommes, tous, et, bien avant, que  naitre,

Il faudra une vie pour apprendre à bien connaître

Le sort, qui sera le nôtre, est bien au-delà  du réel.

Le réel n’a rien à voir  avec quête du Graal, éternel,

Elle fait, de nous, des êtres bien au-delà du charnel.

 .

Forme

.

.

Évocation

.

Un vase,

Ou  bien  calice

La coupe du Graal ?

pour une vie éternelle !

.

1108 4

.

Le Graal est multiforme, est généralement

Une coupe ou vase :

Sa quête s’avère longue, vaine lors il s’agit

 D’atteindre vie éternelle.

.

Symbolique

.

Le Graal est une coupe,

Objet mythique de la légende

Arthurienne, et objet de la quête

Des  chevaliers  de la  Table ronde.

À partir du XIII e siècle, il est assimilé

Au Saint Calice (utilisée par Jésus-Christ

Et ses douze disciples au cours de la Cène,

Et qui aurait recueilli le sang du Christ)

Et prend alors le nom de Saint Graal.

La nature du Graal et le thème

De la quête qui lui est

Associé ont donné lieu

À des interprétations

Type symboliques

Voire ésotériques

Ainsi qu’à multiples

Illustrations artistiques.

Source, modifiée, de Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1108 6

.

Le Graal est multiforme, est généralement

Une coupe ou vase :

Sa quête s’avère longue, vaine lors il s’agit

 D’atteindre vie éternelle.

.

Symbolique 

 .

Graal ou scène apôtres

« Je crois  à  la  vie  éternelle »

Est   un   article         du     Credo  selon   la

Formule originelle           du Symbole des apôtres,

Prolongeant  « je crois à la résurrection de la chair »,

Où terme «chair» désigne l’homme   dans  sa   condition

Faiblesse, mortalité   rachetée par le «Verbe fait chair».

Le credo selon       le symbole      de Nicée-Constantinople

Professe, lui,  la                     « résurrection des morts ».

Signifiant que                     l’état définitif  de l’homme

Ne sera pas                   seulement l’âme spirituelle

Séparée du                  corps mais que les corps

Mortels,            appelés à reprendre vie,

Au dernier  jour, incorruptibles.

fr.wikipedia.org/wiki/Vie-eternelle

 .

.

Fond/forme 

 .

La coupe du graal a subi de nombreux avatars

Dont le plus connu serait celui de la Table ronde

D’objet mythique et introuvable, il serait devenu

Le symbole de l’élévation suprême dans le sport,

Et toute autre discipline, et  toute autre religion

Atteindre le Graal serait touché le doigt de dieu

Boire dans la coupe, avoir accès vie éternelle !

.

Textuels et illustrations  >>

1107 – Mais où se trouvent l’enfer et le paradis !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

L’enfer et le paradis ne seraient pas  des  lieux

Ou, dans un Néant, ne seraient pas des temps,

Ou bien alors, en toute l’éternité  de  l’instant.

En notre vaste Monde,  on   prétend  moderne,

On leur a conservé une vie, virtuelle, existence.

.

Sauf  que, par analogie, c’est plaisir, souffrance

L’enfer peut être joyeux, le paradis…  être terne.

Selon certains penseurs ou selon autres  athées

Nul besoin  d’aller  chercher si loin ou de trop :

Les paradis, enfers, sont tous des communautés

Proches de nous, et enfermées dans un huis-clos.

.

Pour de nombreux chrétiens, l’enfer se situe  dessous,

Il serait isolé de tout, dans des flammes  perpétuelles,

Tandis que leur paradis serait au firmament de belles

Et des beaux anges sinon, des angelots, et  c’est tout.

.

Pour de nombreux athées, l’enfer  serait … les autres,

Enfer est  soit de leur manquer, soit de les supporter,

Le paradis sur Terre est rempli  de très bons apôtres,

Qui peuvent bien jouir, de trop, soit nous manipuler !

.

Pour de nombreux agnostiques, enfer est vide sidéral

Nous sommes faits de matière bien plus que d’esprit.

Il n’y aura d’autre paradis que celui  que l’on se bâtit,

L’enfer est dans tout absolu, l’enfer est dans le … mal.

.

Pour les scientifiques : l’Éternité englobe  le Paradis,

Dans le temps, avant le Big Bang, incluant  un  Dieu :

Mais ni l’un ni l’autre, n’ont jamais pu exister jadis :

Créations d’hommes  pour sortir d’enfer d’un tel jeu !

.

Pour les romantiques, l’enfer serait  au même endroit

Que le paradis, à savoir … dans les yeux  de son aimé,

Prolongé  par ses cuisses, par son ventre, et  ses bras,

Il se trouve autant, en haut,  qu’au centre,  qu’en bas.

.

Mais pour moi, le paradis et l’enfer, ne seraient situés,

Ni en des lieux, ni des temps, bien que,  par moments

J’ai l’impression d’y aller, voire d’en revenir vraiment.

L’enfer serait, d’y rester, et sans pouvoir y échapper !

.

Le paradis entre humains ne serait autre que lien ténu

Accordant bonheur instable à certain, autre, détestable

J’apprends à le reconnaître, car il n’est qu’un processus

Faisant de moi, un ange ou minable, un saint ou diable.

.

Extensions

 .

Mais où se trouvent l’enfer et le paradis !

Non là où ils seraient, là où l’homme les a mis :

Paradis d’évasion sens de la vie, paradis d’évasion

Touristique, et voire même, paradis d’évasion fiscale.

Chacun  a  sa vision  d’enfer  et paradis, à  commencer

Par les siens, ceux qu’il voit vivre lui-même sur Terre.

Nous n’avons aucune description ni de témoignage

De ceux qu’ils sont au-delà, si vrai ils existent !

.

Le paradis au ciel ressemble à celui sur terre des croyants :

Une assemble de fidèles méritants, clergé d’autorité et Dieu.

Ça manque un peu d’imagination et c’est  bien trop humain.

On cherche encore porte de l’enfer puisqu’elle est sous terre

Il y en a forcément une, sinon un gouffre comme trou noir

Et dans lequel, l’on disparaîtrait, et à jamais, sans espoir

Un jour de revoir ni le paradis ni la terre, purgatoire !

.

Pour les religieux, l’enfer est sous Terre

Pour les non croyants, il est sur Terre :

Pour moi, il serait en chacun de nous !

.

Pour les religieux, le paradis est au ciel

Pour les non croyants, il est sur Terre :

Pour moi, il serait en chacun de nous !

.

Et pour humoriste, paradis est en enfer,

Lors voulant dire, par-là, qu’il est en fer.

Dur, dur, quand même : c’est pas crédit,

Lors faut pas s’en faire d’un tel paradis !

.

Fragments

.

Où se trouvent le paradis et l’enfer :

Voilà une bonne question : jack pot,

Pour celui qui les trouve et les vend,

Mais à qui, mis à part des croyants.

.

Puis il faut encore chercher la porte,

Que d’aucuns auraient peint, sculpté

Que derrière J. Bosch  aura imaginé,

Et que Dante aura, si bien, expliqué.

.

Sartre aura trouvé la porte en disant,

«L’enfer, c’est les autres» en Huit clos :

Problème est résolu, problème est clos

Autres c’est soi-même : tourne en rond.

.

Quant au Paradis, la drogue l’introduit,

Provoquant vision, voyage paradisiaque

Mais dès qu’on en manque : c’est l’enfer,

Lors on monte très haut, tombe très bas.

.

Porte d’entrée oui mais entre quoi et quoi

Entre morne réalité et imaginaire sublime

Qui est d’ordre du personnel, voire intime,

Et qui me contente, pour ce qui est de foi !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

   *                  P

L’enfer et le paradis ne     O       <>      A    seraient pas  des  lieux

Ou, dans un Néant, ne      Ù       <>      R   seraient pas des temps,

Ou bien alors, en toute      *        <>       A    l’éternité  de  l’instant.

En notre vaste Monde,      S       <>       D   on   prétend  moderne,

On leur a conservé une     E       <>       I    vie virtuelle, existence.

Sauf  que, par  analogie,   *        <>       S   c’est plaisir, souffrance

L’enfer peut être joyeux    T       <>       /    le paradis…  être terne.

Selon certains penseurs    R       <>      E    ou selon autres  athées

Nul besoin  d’aller  cher    O       <>      N   cher si loin ou de trop :

Les paradis, enfers, sont    U       <>      F     tous des communautés

Proches de nous, et enfer   V       <>      E   mées dans un huis-clos.

   E  …                 R

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

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.

¤¤¤   Pour de nombreux chrétiens, l’enfer se situe  dessous,   ¤¤¤

¤¤¤    Il serait isolé de tout, dans des flammes  perpétuelles,   ¤¤¤

¤¤¤    Tandis que leur paradis serait au firmament de belles   ¤¤¤

¤¤¤    Et des beaux anges sinon, des angelots, et  c’est tout.     ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour de nombreux athées, l’enfer  serait … les autres,    ¤¤¤

¤¤¤    Enfer est  soit de leur manquer, soit de les supporter,    ¤¤¤

¤¤¤    Le paradis sur Terre est rempli  de très bons apôtres,    ¤¤¤

¤¤¤    Qui peuvent bien jouir, de trop, soit nous manipuler !   ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour de nombreux agnostiques, enfer est vide sidéral    ¤¤¤

¤¤¤    Nous sommes faits de matière bien plus que d’esprit.    ¤¤¤

¤¤¤     Il n’y aura d’autre paradis que celui  que l’on se bâtit,    ¤¤¤

¤¤¤     L’enfer est dans tout absolu, l’enfer est dans le … mal.   ¤¤¤

.

¤¤¤     Pour les scientifiques : l’Éternité englobe  le Paradis,    ¤¤¤

¤¤¤     Dans le temps, avant le Big Bang, incluant  un  Dieu :    ¤¤¤

¤¤¤    Mais ni l’un ni l’autre, n’ont jamais pu exister jadis :     ¤¤¤

¤¤¤    Créations d’hommes  pour sortir d’enfer d’un tel jeu !    ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour les romantiques, l’enfer serait  au même endroit    ¤¤¤

¤¤¤    Que le paradis, à savoir … dans les yeux  de son aimé,     ¤¤¤

¤¤¤     Prolongé  par ses cuisses, par son ventre, et  ses bras,     ¤¤¤

¤¤¤     Il se trouve autant, en haut,  qu’au centre,  qu’en bas.     ¤¤¤

.

¤¤¤   Mais pour moi, le paradis et l’enfer, ne seraient situés,    ¤¤¤

¤¤¤   Ni en des lieux, ni des temps, bien que,  par moments     ¤¤¤

¤¤¤   J’ai l’impression d’y aller, voire d’en revenir vraiment.     ¤¤¤

¤¤¤    L’enfer serait, d’y rester, et sans pouvoir y échapper !      ¤¤¤

.

¤¤¤   Le paradis entre humains ne serait autre que lien ténu    ¤¤¤

¤¤¤   Accordant bonheur instable à certain, autre, détestable    ¤¤¤

¤¤¤   J’apprends à le reconnaître, car il n’est qu’un processus    ¤¤¤

¤¤¤   Faisant de moi, un ange ou minable, un saint ou diable.   ¤¤¤

.

Forme

.

.

Évocation

.

Ça ressemble fort à  porte

 D’entrée avec beau fronton,

Au-dessus  comme  un livre

Ou encore comme balance.

.

1107 4

.

Le paradis et l’enfer disposeraient

Chacun, d’une porte d’entrée :

C’est là, pure métaphore pour un

Pur produit de notre imaginaire !

Symbolique

Porte  d’entrée, symbolise  le   passage

D’un lieu à un autre, rôle de protection

Pour être mieux en sécurité chez soi.

Entrer, sortir, franchir un obstacle,

Ou bien reculer devant l’obstacle ;

Dépassement de soi ; sublimation

Ou encore échec devant la porte ;

Passage extérieur  et l’intérieur :

Référence  à la clé ;  la solution à

Enfermement, lumière, obscurité

La vie, la mort  (jugement dernier

Et l’entrée  au royaume des morts ;

Ce qui est révélé et ce qui est caché ;

Bien / mal et limite à ne pas franchir ;

Ce qui est sacré  et ce  qui  sera  profané.

Source : euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1107 6

.

Le paradis et l’enfer disposeraient

Chacun, d’une porte d’entrée :

C’est là, pure métaphore pour un

Pur produit de notre imaginaire !

.

Symbolique

.

L’imaginaire peut être défini sommairement

Comme le fruit de l’imagination d’un individu,

D’un groupe ou d’une société, produisant

Des images, des représentations,

Des récits ou des mythes plus

Ou moins détachés de ce qu’il

Est d’usage de définir comme la réalité.

.

Il s’agit de la capacité d’un groupe

Ou d’un individu à se représenter

Le monde à l’aide d’un réseau

  D’associations        d’images

Qui lui donnent un sens.

Wikipédia : imaginaire

.

 .

Fond/forme 

 .

Porte du paradis,

Ou porte  de l’enfer

Pourquoi  une  porte,

Là où on n’en sait rien !

.

Une anthropomorphisation non pas

De l’homme, de l’Espace, sauf à penser,

Qu’il ne s’agit là que de pures métaphores

Il s’agit davantage d’ouverture que mobilier,

De passage d’un état à un autre, non d’un lieu

.

Textuels et illustrations  >>

1106 – Le paradis naturel ou paradis artificiel !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Plutôt que d’attendre

Hypothétique paradis

Après la mort, au ciel,

Ne vaut-il pas  mieux,

Admirer sur  la Terre,

Beautés de la Nature,

Ou se créer  …  le sien

À  l’aide  de  drogues !

.

Mensonge, simulation

Me direz-vous, certes,

Mais, seul,  le résultat

Compte, en définitive

Et si je m’y complais,

Qui m’en  empêchera,

Ce n’est pas ma perte

Bien que gain factice.

.

Le Paradis, l’Éden comme on l’appelle

N’existe nulle part comme chacun sait :

Pure invention pour « on se sait jamais »

Mais, depuis  lors, aucune autre nouvelle,

Le paradis naturel est dénommé bonheur.

.

C’est plus un moment, qu’un temps … lieu,

Qui dépend de soi et ne doit rien aux cieux,

Si on ne l’atteint pas : on risque le malheur,

Malheur, ou ennui de la condition humaine.

.

Malheureux au jeu, heureux en amour se dit.

Est-ce ainsi qu’on va gagner un autre paradis,

Qui peut s’avérer tout aussi artificiel, non réel,

Quand la belle se tire, et, ses enfants, avec elle.

.

Ah je vais me donner tout entier, à ma carrière

Au moins au bout j’entrerai au paradis, très fier

De moi, ma réussite d’aujourd’hui, celle de hier,

Car une fois viré, dehors, pour moi, c’est l’enfer.

.

L’enfer je ne peux le supporter sauf avec drogue,

Qui me ferait tout oublier, tout supporter : apaisé

Mes problèmes couleront sur moi comme douché

Par une force invisible qui en dessine… l’épilogue.

.

Ces substances, drogues nous rendent dépendants

Bien plus violents avec un pouvoir déshumanisant,

Elles nous transforment en…  zombies décérébrés :

Je n’ai rien dit lors nous sommes majeurs, vaccinés.

.

Jeunes se droguent pour rêver d’un monde, ailleurs,

Adultes se droguent pour fuir ce monde de frayeurs,

Les vieux ne se droguent plus ou bien ils sont morts,

Ou bien ils ont, de leur vie gâchée, bien des remords.

.

Seul organe produisant propre drogue, est le cerveau,

Oui mais, comment stimuler sa chimie, de l’intérieur :

Cela demande trop de temps, d’effort : risqué de trop,

Tandis qu’intraveineuse, vous lévite : un pur bonheur.

.

Réversible est le mot clé, de la drogue, douce ou dure,

Répressible est le mot de la société que la police épure,

Compréhensible est le mot des humanistes sans épures.

.

Extensions

 .

L’homme a-t-il, vraiment,

Un vrai moyen de choisir entre

Un trop lent paradis, bien naturel,

À se construire, et un paradis artificiel

Bien plus rapide pour la réalité apportant

La capacité de fuir de sa vie, devenue pour lui

Insupportable, et peut-être même innommable.

Les notions de paradis, comme lieu, d’éternité

Comme temps et de bonheur, comme état,

Se conjuguent ainsi et jusqu’à l’infini.

.

Paradis par ci, paradis par-là,

Le paradis est toujours ailleurs

Qu’autour de soi ou bien en soi,

Sauf évidemment, dans l’alcool,

Voire en une drogue  plus forte,

Et là, c’est tout de suite et vite :

Nul besoin de chercher un coin

Aux antipodes et plus au soleil.

L’artificiel remplace le naturel.

.

Il y a les petits paradis et enfers

Au sens propre et au sens figuré.

Ma maison et mon ile, en seront

Pour moi petit paradis c’est vrai

Un petit enfer  peut être  famille

Qui se déchirera et qui se haïra !

.

Les grands paradis sont fiscaux,

En iles Atlantiques et Pacifiques,

Où l’argent des riches coule à flot,

Sans la moindre taxation impôts.

Les grands enfers sont les guerres,

Qui mettent leurs pays en misère !

.

Fragments

.

En matière de paradis

Il en existerait … trois,

Et dès lors on a le choix

D’y bien croire… ou pas.

.

Dans  l’ordre  de réalité :

Paradis céleste, spirituel,

Paradis de Terre, naturel

Paradis humain, artificiel

.

Le premier concerne l’âme,

Second  concerne ses yeux,

Troisième, son portefeuille,

Le tout, devinette, mystère.

.

Faut-il en faire son ménage

N’en garder que le meilleur

Les autres… que poussières

Dernier, seul, se mériterait.

.

Qui veut envoyer quelqu’un … en enfer

Commence par balayer devant sa porte

Afin de faire un grand ménage chez lui.

Mais lors je dis cela, je n’aurai rien dit :

Le paradis des uns est enfer des autres.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

P A R A D I S      

Plutôt que d’attendre

Hypothétique paradis

Après la mort, au ciel,

Ne vaut-il pas  mieux,

Admirer sur  la Terre,

Beautés de la Nature,

Ou se créer  …  le sien

À  l’aide  de  drogues !

Mensonge, simulation

Me direz-vous, certes,

Mais, seul,  le résultat

Compte, en définitive

Et si je m’y complais,

Qui m’en  empêchera,

Ce n’est pas ma perte

Bien que gain factice.

N  A  T  U  R  E L

Le Paradis, l’Éden comme on l’appelle

N’existe nulle part comme chacun sait :

Pure invention pour « on se sait jamais »

Mais, depuis  lors, aucune autre nouvelle,

Le paradis naturel est dénommé bonheur.

C’est plus un moment, qu’un temps … lieu,

Qui dépend de soi et ne doit rien aux cieux,

Si on ne l’atteint pas : on risque le malheur,

Malheur, ou ennui de la condition humaine.

E T   P A R A D I S     

Malheureux au jeu, heureux en amour se dit.

Est-ce ainsi qu’on va gagner un autre paradis,

Qui peut s’avérer tout aussi artificiel, non réel,

Quand la belle se tire, et, ses enfants, avec elle.

Ah je vais me donner tout entier, à ma carrière

Au moins au bout j’entrerai au paradis, très fier

De moi, ma réussite d’aujourd’hui, celle de hier,

Car une fois viré, dehors, pour moi, c’est l’enfer.

L’enfer je ne peux le supporter sauf avec drogue,

Qui me ferait tout oublier, tout supporter : apaisé

Mes problèmes couleront sur moi comme douché

Par une force invisible qui en dessine… l’épilogue.

A  R  T  I F  I  C I  E L !  

Ces substances, drogues nous rendent dépendants

Bien plus violents avec un pouvoir déshumanisant,

Elles nous transforment en…  zombies décérébrés :

Je n’ai rien dit lors nous sommes majeurs, vaccinés.

Jeunes se droguent pour rêver d’un monde, ailleurs,

Adultes se droguent pour fuir ce monde de frayeurs,

Les vieux ne se droguent plus ou bien ils sont morts,

Ou bien ils ont, de leur vie gâchée, bien des remords.

Seul organe produisant propre drogue, est le cerveau,

Oui mais, comment stimuler sa chimie, de l’intérieur :

Cela demande trop de temps, d’effort : risqué de trop,

Tandis qu’intraveineuse, vous lévite : un pur bonheur.

Réversible est le mot clé, de la drogue, douce ou dure,

Répressible est le mot de la société que la police épure,

Compréhensible est le mot des humanistes sans épures.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une lampe de poche

Piédestal  avec statue,

Ou balayette commune

pour faire grand ménage.

.

1106 4

.

La balayette, c’est pour balayer tous

Les soucis et angoisses :

Tant un paradis ne saurait souffrir de

Vous mettre dans la poisse !

.

Symbolique 

.

La balayette est

Un petit balai à main,

Utilisé   pour  rassembler

La poussière  vers  une pelle,

Nettoyer endroit peu accessible.

Les balais  sont  autant  un  outil

Qu’un symbole social. En effet,

Les tâches  ménagères sont

Souvent déléguées aux

Classes populaires.

Son utilisation peut

Avoir une connotation

Négative pour certains ;

Les balais sont le symbole

De la « femme  au foyer »,

Un stéréotype marquant

Les siècles précédents.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1106

.

La balayette, c’est pour balayer tous

Les soucis et angoisses :

Tant un paradis ne saurait souffrir de

Vous enfermer dans le ménage !

.

Symbolique

.

En ménage, on nettoie

Son psychisme,   on remet

Toutes  les choses à leur place.

C’est un écho à la règle feng shui

Qui précise que tout objet cassé

Doit être jeté. Le ménage est

D’ailleurs  un rituel dans

Toutes les religions et,

Dans toutes les cultures,

Un symbole de purification :

D’avant pâques chez les orthodoxes,

Printemps les chrétiens, pessah, les juifs,

L’aïd chez les musulmans, mais aussi au Japon,

En Chine pour le nouvel an. On atteint là, une réalité

Universelle, qui n’a rien à voir avec statistiques, sociologie.

Homme ou femme, nous avons besoin d’ordre et de propreté.

psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Epanouissement

 .

.

Fond/forme 

 .

Qui veut envoyer quelqu’un … en enfer

Commence par balayer devant sa porte

Afin de faire un grand ménage chez lui.

Voilà une expression qui résumera bien

Côté naturel, artificiel de tout paradis

Que l’on invente, et protège, entre soi

Y compris  dans  son petit chez soi.

Mais je dis cela, je n’aurai rien dit

Paradis des uns… enfer d’autres.

.

Textuels et illustrations  >>

1105 – Le paradis, l’enfer, demeurent mystères !

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le paradis, en haut

L’enfer, en bas :

C’est … faux :

Du simple fait

Que tous les deux

On les aurait inventés.

.

Paradis ne manque pas d’air,

Ses ressortissants sont aux anges,

D’un Dieu, ils chantent les louanges,

Ses saints font des miracles : mystères.

Enfer, à l’inverse, ne manque pas de feu,

Ses ressortissants brûlent… une éternité,

Un diable avec trident vient les torturer

Et des montres hideux, les terroriser.

.

L’un, l’autre n’existent pas,

Pure invention cela va de soi,

L’enfer c’est les autres, c’est soi,

On y entre, et on n’en revient pas !

On n’en revient pas qu’il en soit ainsi,

Que ce ne soit pas tous les jours paradis,

Paradis, enfer sont-ils des lieux, des temps,

Sont-ils longs, courts, sont-ils petits, grands !

.

Tenez … prenez  l’exemple de  l’enfer-me-ment,

Ce n’est pas que privations de liberté… de vérités,

L’enfer devient hallucinant, quand tout devient faux.

Lucifer doit adorer qu’on lui parle de paradis…fiscaux.

Pourquoi s’enferrer dans ses propres mensonges et pièges,

D’un paradis que l’on a mérité allant jusqu’à en faire le siège,

L’enfer de l’un peut-être le paradis de l’autre et réciproquement

En amour : prison dorée est un enfer dans un paradis charmant !

.

Mon paradis, à moi, est sur terre : ce sont les gens, que je côtoie :

Ils l’ont construit autour de moi et même, parfois bien malgré moi,

Mais, surtout, ils le partagent dans leurs esprits en pensant à tous :

Que serait un paradis si c’était un enfer : une vraie histoire de fous.

Les religions s’en sont emparées, pour nous culpabiliser, faire peur

Jusqu’à nous affirmer, que l’enfer est abîme, que paradis est cime.

.

Chacun sait que  le chapeau de la cime est tombé dans … l’abîme,

Restez couverts, en enfer où il gèle, vous pourriez attraper froid,

Et dévêtus au paradis où il pèle, votre peau morte serait intime

En douceurs veloutées, touchers, caresses, en frissons de soie.

Descente aux enfers, montée en paradis : de belles allégories

Pour des lieux qui n’existent pas où il n’y a, ni haut ni bas :

La droite de Dieu n’est que vœu pieux pour Lucifer déchu

Sur terre, son purgatoire est le nôtre, il nous est dévolu.

.

J’aurai approché  du paradis,  deux fois dans ma vie :

La première fois, en naissant, l’autre en mourant :

La même lumière, la même mère, le même air,

On ne voit pas clair…se croit au firmament.

Ventre de mère a été mon premier paradis

Celui de la terre deviendrait mon enfer

Ou est-ce réplique de même matrice

De glèbe dont corps se pétrisse.

.

Extensions

.

Un paradis peut être  un enfer, pour les uns,

Et réciproquement

«L’enfer, c’est les autres», dira Jean Paul Sartre.

Ça en ferait des milliards

Et pourquoi n’y aurait-il pas des intermédiaires,

Pour intercéder, plaider sa cause

À moins d’acheter sa place avec somme d’argent.

.

À défaut  de découvrir, ou  d’expliquer,

Sinon comprendre la vie après la mort,

On en a fait tout un mystère, comblant

Vide sidéral de notre sens d’existence !

.

Faut avouer que c’est bien vu et moral :

Le bien, tout en haut, et, en bas, le mal !

Et avec les deux incarnations virtualisées

Que son Dieu et son ange, déchu : démon !

.

Fragments

.

Paradis et enfer ne seront pas tant, mystère,

Si on n’a pas de religion à laquelle on adhère

Ce ne sont autres que des … fables humaines,

Destinées à nous récompenser et…faire peur.

.

Quand j’étais enfant, me disaient mes parents

Si tu fais des bêtises, tu ne fais pas tes prières,

Le diable viendra te tirer par les pieds en enfer

Et que voulez-vous j’y croyais dur…comme fer !

.

Depuis, j’ai grandi un peu, j’ai réfléchi beaucoup

J’ai trouvé  qu’on m’avait manipulé, sur ce coup,

Paradis, ni d’Enfer, il n’en existe point… du tout.

.

Lors je pense à un mystère, je vois un coléoptère

Une coccinelle  «bête à bon Dieu» pour Paradis,

Et lucane, suite à sa forme hideuse, pour l’Enfer !

.

Entretenir le mystère sur la Vérité, est la stratégie

Qu’auront choisie nombre religions monothéistes :

On ne sait pas tout, on n’a pas de preuve, c’est vrai,

Mais s’il y en avait, il vaut mieux de ce côté, en être.

.

C’est le pari de Blaise Pascal comme une assurance-vie

«Pesons le gain et la perte, prenant croix que Dieu est :

Estimons ces deux cas : si vous gagnez, vous gagnez

Tout et si vous perdez : vous ne perdez rien !»

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

PARADIS

Le paradis, en haut

L’enfer, en bas :

C’est … faux :

Du simple fait

Que tous les deux

On les aurait inventés.

ET ENFER

Paradis ne manque pas d’air,

Ses ressortissants sont aux anges,

D’un Dieu, ils chantent les louanges,

Ses saints font des miracles : mystères.

Enfer, à l’inverse, ne manque pas de feu,

Ses ressortissants brûlent… une éternité,

Un diable avec trident vient les torturer

Et des montres hideux, les terroriser.

DEMEURENT

L’un, l’autre n’existent pas,

Pure invention cela va de soi,

L’enfer c’est les autres, c’est soi,

On y entre, et on n’en revient pas !

On n’en revient pas qu’il en soit ainsi,

Que ce ne soit pas tous les jours paradis,

Paradis, enfer sont-ils des lieux, des temps,

Sont-ils longs, courts, sont-ils petits, grands !

UN MYSTÈRE 

Tenez … prenez  l’exemple de  l’enfer-me-ment,

Ce n’est pas que privations de liberté… de vérités,

L’enfer devient hallucinant, quand tout devient faux.

Lucifer doit adorer qu’on lui parle de paradis…fiscaux.

Pourquoi s’enferrer dans ses propres mensonges et pièges,

D’un paradis que l’on a mérité allant jusqu’à en faire le siège,

L’enfer de l’un peut-être le paradis de l’autre et réciproquement

En amour : prison dorée est un enfer dans un paradis charmant !

Mon paradis, à moi, est sur terre : ce sont les gens, que je côtoie :

Ils l’ont construit autour de moi et même, parfois bien malgré moi,

Mais, surtout, ils le partagent dans leurs esprits en pensant à tous :

Que serait un paradis si c’était un enfer : une vraie histoire de fous.

Les religions s’en sont emparées, pour nous culpabiliser, faire peur

Jusqu’à nous affirmer, que l’enfer est abîme, que paradis est cime.

Chacun sait que  le chapeau de la cime est tombé dans … l’abîme,

Restez couverts, en enfer où il gèle, vous pourriez attraper froid,

Et dévêtus au paradis où il pèle, votre peau morte serait intime

En douceurs veloutées, touchers, caresses, en frissons de soie.

Descente aux enfers, montée en paradis : de belles allégories

Pour des lieux qui n’existent pas où il n’y a, ni haut ni bas :

La droite de Dieu n’est que vœu pieux pour Lucifer déchu

Sur terre, son purgatoire est le nôtre, il nous est dévolu.

J’aurai approché  du paradis,  deux fois dans ma vie :

La première fois, en naissant, l’autre en mourant :

La même lumière, la même mère, le même air,

On ne voit pas clair…se croit au firmament.

Ventre de mère a été mon premier paradis

Celui de la terre deviendrait mon enfer

Ou est-ce réplique de même matrice

De glèbe dont corps se pétrisse.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un beau flacon de parfum

Une bouteille avec bouchon

Forme d’insecte, du genre

Coléoptère, coccinelle.

.

1105 4

.

Le paradis et l’enfer sont deux inventions

N’ayant rien à voir

Avec un insecte  coléoptère ou coccinelle

Mystère en commun !

.

Symbolique 

 .

Beaucoup d’espèces

Ou des groupes d’espèces

Ont des noms dits vernaculaires

Les scarabées, les coccinelles, lucanes,

Hannetons, charançons, sont coléoptères.

.

«Véritable panacée, le lucane-cerf-volant était

Autrefois utilisé pour soigner les œdèmes,

Soigner les rhumatismes, la goutte

Et les problèmes de rein aussi.

.

Une simple goutte d’huile,

Extraite du lucane, placée

Dans l’oreille devait

Même guérir de surdité.

wikipedia.org/wiki/Coleoptera

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1105 6

.

Le paradis et l’enfer sont deux inventions

N’ayant rien à voir

Avec un insecte  coléoptère ou coccinelle

Mystère en commun !

.

Symbolique 

.

Symbolisme coccinelle

Plus connu le fait qu’elles sont

De  formidables   porte-bonheur !

 

Si une coccinelle se pose

Sur votre doigt, faites-la s’envoler

En pensant, très fort, à l’un de vos

Souhaits le plus cher.

 

Si elle s’envole, il y aura de grande

Chance  qu’il se réaliserait dans les

Semaines suivantes.

 

Soyez attentif et  écoutez bien votre

Instinct,  mettez alors tous vos sens

En éveil afin de guetter

Tous les signes  qui confirment

Ou non que le vœu s’exauce.

wemystic.fr/guides-spirituels/

symbolisme-coccinelles

.

.

Fond/forme 

 .

Ni en paradis ni en enfer

On ne trouva  aucune trace

De coccinelle ni de coléoptère,

Si coccinelle est : bête à bon Dieu

Ce n’est que légende, moyenâgeuse,

Rapportée comme grâce de supplicié !

.

Coléoptère s’avère être symbole religieux.

En Égypte ancienne mais nullement en enfer

Mais peut-être, en serez un, dans un des lieux

Tant ce qui l’y a,  s’y passe, demeurent mystère.

.

Textuels et illustrations   >>

1104 – Mystères que l’amour, l’art, la religion !

 Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Amour, art, religion : triptyque,

Trois mystiques ou passions selon

L’importance qu’on leur accordera,

Avec sa foi, ou raison : mais l’amour

A besoin de croyances : il est naturel.

L’art, de vrai réalisme : il est culturel.

La religion, ni de preuve  ni de raison,

Elle est avant tout, surtout spirituelle.

 .

Trois choses, dans ma vie, demeurent mystérieuses :

Le sexe, l’art et la religion,

Bien que je les découvre, entreprenne, pratique : étrange,

Je ne vois pas d’explication

Aux choses irrationnelles en mon désir mais bien humaines,

Comme toutes mes passions.

 .

L’amour d’abord : attrait physiologique et besoin hygiénique,

Prenant, produisant énergie

Capable de déclencher en moi, pour l’autre sexe, pour toujours,

L’amour  de toute une … vie,

Bien plus : concevoir l’enfant de ma confusion et de mes fusions,

Pour  m’assurer  ma… survie.

 .

L’art ensuite, un plaisir symbolique, un besoin de cristallisation,

De mes rêves d’interprétation,

Capable de sublimer en moi, pour d’autres regards, un talent fou

Pour exprimer ma jubilation

De concevoir, partager, d’inexprimables, admirables attractions

Pour  mes  contemplations.

 .

La religion enfin : désir lointain, qui m’a fait, chrétien, croyant,

Pour enterrer mes morts,

Pour donner comme semblant de sens à mon existence, aimant

Mon  créateur  de  sorts

D’avoir conçu un au-delà de vie, bien meilleur, bien différent :

Qui  a  raison  ou  tort !

 .

Face à tout cela, la Science avance hypothèses, supputations

Par bribes et preuves :

Sommes différents d’autres animaux vivants en évolution,

Nous faisons peau neuve

À chaque civilisation démontrant le contraire en action,

Guerres, misères, veuves,

 .

À ne savoir qu’en faire de notre bilan extraordinaire,

Traces de nous sur Terre,

N’avons rien à faire qu’enfants pour nous refaire,

Qu’arts pour nous parfaire.

.

Des religions, comment s’en défaire !

C’est sûr que cela me parait énorme

C’est pourtant ce qui me forme,

C’est ce qui me transforme,

Qui fait de moi, homme.

.

Extensions

 .

L’amour, l’art et la religion

Font partie des comportements

Spirituels voire rituels qui distinguent

L’homme des animaux, même supérieurs.

Ils auraient comme points communs,

De développer, s’appuyer sur,

Un tas de croyances qui

Nous subliment.

.

L’amour n’existe pas par lui-même,

Il doit être incarné, pour se dévoiler.

L’art est une interprétation sublimée

De ce qui nous entoure,  de la réalité !

La religion est  une certaine croyance,

Pas pour autant une croyance certaine

Le tout est puzzle d’Éclats d’existences.

.

Trois attachements pour trois sublimations,

Qu’amour, art et religion, qu’on peut cumuler

Mais que l’on pourra, parfois, même confondre

Quand on dit que l’amour est toute ma vie, etc…

Lors en fait tout cela tient d’une part de mystère.

.

Quoiqu’il en fût, et quoiqu’il en soit, l’homme

Ne peut se passer des trois : en témoignera

L’art pariétal des cavernes  et des grottes ;

La religion comme croyance en l’au-delà ;

L’amour comme soubassement du couple.

.

Fragments

..

Une chose est claire :

Trois choses, en ma vie,

Demeurent mystérieuses,

Le sexe, l’art et la religion !

.

L’amour n’existe  par lui-même,

Doit être incarné, pour se dévoiler ;

L’art est une interprétation sublimée

De ce qui  nous  entoure,  de la réalité ;

La religion reste  une certaine croyance,

Pas, pour autant, une croyance certaine !

.

Quoiqu’il en fût, quoiqu’il en soit, l’homme

Ne peut se passer des trois, en témoignera

L’art pariétal des cavernes  et des grottes ;

La religion comme croyance  en l’au-delà ;

L’amour comme soubassement du couple.

.

Et parmi les mystères, il y a les miracles

Et Jésus de Nazareth aura ouvert le bal

Et par la suite, milliers emboite le pas

Incroyants, incrédules en ont inventé

Une goutte d’huile de lucane placée

En oreille devait guérir de surdité.

.

Peu importe que ce soit vérité ou pas :

L’important c’est d’y croire, n’est-il pas !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

MYSTÈRES

Amour, art, religion : triptyque,

Trois mystiques ou passions selon

L’importance qu’on leur accordera,

Avec sa foi, ou raison : mais l’amour

A besoin de croyances : il est naturel.

L’art, de vrai réalisme : il est culturel.

L’AMOUR,

La religion, ni de preuve ni de raison,

Elle est spirituelle.

Trois choses, dans ma vie, demeurent mystérieuses :

Le sexe, l’art et la religion,

Bien que je les découvre, entreprenne, pratique : étrange,

Je ne vois pas d’explication

Aux choses irrationnelles en mon désir mais bien humaines,

Comme toutes mes passions.

L’amour d’abord : attrait physiologique et besoin hygiénique,

Prenant, produisant énergie

Capable de déclencher en moi, pour l’autre sexe, pour toujours,

L’amour  de toute une … vie,

Bien plus : concevoir l’enfant de ma confusion et de mes fusions,

Pour  m’assurer  ma… survie.

L’art ensuite, un plaisir symbolique, un besoin de cristallisation,

De mes rêves d’interprétation,

Capable de sublimer en moi, pour d’autres regards, un talent fou

Pour exprimer ma jubilation

De concevoir, partager, d’inexprimables, admirables attractions

Pour  mes  contemplations.

La religion enfin : désir lointain, qui m’a fait, chrétien, croyant,

Pour enterrer mes morts,

Pour donner comme semblant de sens à mon existence, aimant

Mon  créateur  de  sorts

D’avoir conçu un au-delà de vie, bien meilleur, bien différent :

Qui  a  raison  ou  tort !

Face à tout cela, la Science avance hypothèses, supputations

Par bribes et preuves :

Sommes différents d’autres animaux vivants en évolution,

Nous faisons peau neuve

À chaque civilisation démontrant le contraire en action,

Guerres, misères, veuves,

À ne savoir qu’en faire de notre bilan extraordinaire,

Traces de nous sur Terre,

N’avons rien à faire qu’enfants pour nous refaire,

Qu’arts pour nous parfaire.

L’ART

Des religions, comment s’en défaire !

C’est sûr que cela me parait énorme

C’est pourtant ce qui me forme,

C’est ce qui me transforme,

Qui fait de moi, homme.

 LA RELIGION

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon de parfum stylisé

Insecte du genre coccinelle,

Même voire un coléoptère

tant telle forme : mystère.

.

1104 4

.

Amour, art et religion n’ont rien à voir

Avec ce coléoptère :

Mais certains insectes demeureront

Pour nous, un mystère.

Coccinelle ou autre coléoptères,

 Scarabée, hanneton, charançon,

De loin, on pourra les confondre,

Si fait que forme diffère du fond.

.

Symbolique

 .

Beaucoup d’espèces

Ou des groupes d’espèces

Ont des noms dits vernaculaires

Les scarabées, les coccinelles, lucanes,

Hannetons, charançons, sont coléoptères.

.

«Véritable panacée, le lucane-cerf-volant était

Autrefois utilisé pour soigner les œdèmes,

Soigner les rhumatismes, la goutte

Et les problèmes de rein aussi.

.

Une simple goutte d’huile,

Extraite du lucane, placée

Creux de l’oreille, devait

Même guérir de surdité.

wikipedia.org/wiki/Coleoptera

.

.

Fond

 .

Évocation 

1104 6

.

Amour, art et religion n’ont rien à voir

Avec ce coléoptère :

Mais certains insectes demeureront

Pour nous, un mystère.

.

Symbolique 

.

La théologie catholique

Distingue les mystères naturels

Dont nous pouvons connaître l’existence

Et le contenu par analogie ; les vérités

Qui ne sont révélées que par Dieu,

Dans l’Histoire du salut ;

Les vérités   inaccessibles.

.

La  Trinité,   l’Incarnation,

La Rédemption : mystères

Selon les dogmes catholiques.

La mystique ou le mysticisme, 

Est ce qui a trait    aux mystères,

Des choses cachées voire  secrètes.

wikipedia.org/wiki/Mystère_(christianisme)

 

.

Fond/forme

.

.

.

 Textuels et illustrations   >>

1103 – Quand l’homme se prend pour un Dieu !

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Ne pas savoir Dieu

Ni même s’il  y en a un

Homme  s’en   serait  fait

Nombreuses représentations

Auxquelles,  il   voudrait   bien

Ressembler et s’en rapprocher.

.

Les mythes grecs, des divinités,

Sont rendus bien trop humains

L’homme ne peut s’en  passer

Il ne cesse de les réinventer,

.

Dieu de ceci, dieu

De cela ou de tout,

Avoir besoin Dieu,

 Aurait toujours été.

.

De par la taille de son cerveau et de par ce qu’il peut contenir,

L’homme peut vivre le présent regardant son passé, son avenir,

Anticiper sa mort, qui met fin à son destin d’humain individuel :

Autant sa naissance lui parait belle ; sa mort, lui devient cruelle !

.

Toute une vie vouée à se parfaire, pour finir six pieds sous terre,

L’homme connaît les autres, le monde, mais lui-même, mystère

Toutes ses relations sont, à la fois, construites, prédéterminées,

Attractions, répulsions, indifférences, compassions, codifiées :

.

Se hisser, au plus haut point de son humanité

Pour  de son vivant, toucher le  doigt  de  Dieu,

Quelques  savants artistes politiciens  religieux

Ont traqué en vain cet invisible doigt  et déifié.

.

La tentation suprême n’est-elle pas elle-même

De s’y substituer jusqu’à mourir en bienfaiteur

De notre Humanité, qui n’est autre que vacuité.

.

La perfection n’étant pas de ce monde étant leurre

Nous entraine, voire nous enchaine, pour nos peines

Afin de parvenir, dans une transcendante spiritualité.

Homme est animal intelligent, ou, animal dominant :

Cela fait-il une grande différence avec un fossé béant,

.

Sommes-nous des demi-dieux, des animaux parlants

Appelés à se perpétuer, jusqu’à disparition, en néant.

Quand, un conjoint,  un parent,  un enfant, meurent,

Ces derniers emportent avec    eux une partie de soi,

.

Tant et si bien qu’à la fin,  on ne sait, à cette heure,

Ce qu’il reste de soi, on  est pour l’autre, émoi.

Supposons Dieu existe il est plutôt entre nous,

Qu’en chacun de nous, ou au-dessus de nous.

Il est lien, non un bien il est esprit, non objet,

Nous l’avons créé pour vivre comme en sujet.

.

Ce qui fait qu’histoire  boucle sur elle-même

Sommes juge et partie  ce, nous voulons être

Plus que comprendre  on s’efforce paraître,

Etre dieu et non bête  idée qu’on a en tête.

.

Et ni dieux ni diables  simple ange déchus

D’olympe ou paradis  endroit céleste déçu

Condition d animalité qu’on ne sait défaire

L’homme est un père  l’animal, son frère !

.

Extensions

 .

N’est pas Dieu qui veut et il n’y aurait qu’un seul !

Mais l’homme serait-il son représentant sur Terre !

La loi darwinienne de l’évolution conteste ce credo,

Lequel ferait foi devant l’Humanité, toute entière,

À moins que la Genèse, dans la Bible, c’est Dieu.

De représenter Dieu sous  une forme humaine

Est une aberration,  anthropomorphisme.

Dieu ne se prend pas pour un homme

Et réciproquement, ça va de foi !

.

Fils de dieu, un demi-dieu, un Dieu :

Que fils de rien, c’est toujours mieux !

.

Dieu est mort, l’homme est surhomme,

Nous proclame le philosophe Nietzsche :

Idée de la supériorité qu’un homme idéal

Aurait acquise sur reste du genre humain.

Ce qui nous refait penser à la quête de l’élu,

Rassurez-vous, ce ne serait pas moi, ni vous.

.

Je ne pratique pas grand mépris du bonheur,

 Au sens des stoïciens,

Pas davantage que  de la raison, en conscience

Morale vue par Kant,

De la vertu ou disposition au bien, qui ne serait

Qu’obéissance morale !

.

Fragments

.

Et Dieu dans tout ça,

L’on dira cela parfois,

Quand on ne sait pas,

Résoudre mauvais cas.

.

L’on aspire tous au divin,

Sans prétendre en être un :

Prendre quelqu’un pour Dieu

Est lui faire injure en ses cieux.

.

Le mieux  que l’on puisse  espérer,

Est d’être par doigt de Dieu, touché,

Être pénétré par sa grâce rédemption,

Et de passer sa vie sur Terre en passion.

.

Entre Dieu et l’homme : y a le surhomme,

Nous dit Nietzsche, dans son  Zarathoustra,

Prometteur meilleur des mondes possibles,

Mais cela restera, sans, doute, un vœu pieu !

.

La mythologie grecque nous avertit des dieux,

Ils sont comme nous, voire même pire que nous

Les dieux que nous fabriquons sont faits d’argile,

Ne sont connectés au Ciel, ne nous sont pas utiles.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Ne pas savoir Dieu

Ni même    s’il    y en a un

Homme  ô  s’en   ô  serait fait

Nombreuses   //   représentations

Auxquelles,    //   il   voudrait  bien

Ressembler // et s’en rapprocher.

Les  mythes  grecs,   des divinités,

Sont passés ==== trop humains

L’homme ne peut  s’en  passer

Il ne cesse de les réinventer,

.

Dieu de ceci, dieu

De cela ou de tout,

Avoir besoin Dieu,

 Aurait toujours été.

QUAND  L’HOMME  

De par la taille de son cerveau et de par ce qu’il peut contenir,

L’homme peut vivre le présent regardant son passé, son avenir,

Anticiper sa mort, qui met fin à son destin d’humain individuel :

Autant sa naissance lui parait belle ; sa mort, lui devient cruelle !

Toute une vie vouée à se parfaire, pour finir six pieds sous terre,

L’homme connaît les autres, le monde, mais lui-même, mystère

Toutes ses relations sont, à la fois, construites, prédéterminées,

Attractions, répulsions, indifférences, compassions, codifiées :

Se hisser,              au plus haut point de son              humanité

Pour de                son vivant, toucher doigt                 de Dieu,

Quelques           savants artistes politiciens                religieux

Ont traqué         en vain cet invisible doigt                et déifié.

SE PREND  POUR

La tentation suprême n’est-elle pas elle-même

De s’y substituer jusqu’à mourir en bienfaiteur

De notre Humanité, qui n’est autre que vacuité.

La perfection n’étant pas de ce monde étant leurre

Nous entraine, voire nous enchaine, pour nos peines

Afin de parvenir, dans une transcendante spiritualité.

Homme est animal intelligent, ou, animal dominant :

Cela fait-il une grande différence avec un fossé béant,

Sommes-nous des demi-dieux, des animaux parlants

Appelés à se perpétuer, jusqu’à disparition, en néant.

Quand, un conjoint,  un parent,  un enfant, meurent,

Ces derniers emportent avec    eux une partie de soi,

UN DIEU !  

Tant et si bien qu’à la fin,   on ne sait, à cette heure,

Ce qu’il reste de soi, on          est pour l’autre, émoi.

Supposons Dieu existe        il est plutôt entre nous,

Qu’en chacun de nous,           ou au-dessus de nous.

Il est lien, non un bien         il est esprit, non objet,

Nous l’avons créé pour         vivre comme en sujet.

Ce qui fait qu’histoire           boucle sur elle-même

Sommes juge et partie          ce, nous voulons être

Plus que comprendre            on s’efforce paraître,

Etre dieu et non bête             idée qu’on a en tête.

Et ni dieux ni diables             simple ange déchus

D’olympe ou paradis             endroit céleste déçu

Condition d animalité          qu’on ne sait défaire

L’homme est un père             l’animal, son frère !

 .

Forme

.

.

Évocation 

.

Une silhouette d’homme

D’allure très  imposante

Ressemblant  à un dieu

Mais n’en étant pas un !

.1103 4

.

Autant  de postures pour un

Surhomme proche d’un dieu.

Dieu du stade,    roi du muscle,

Chef d’œuvre de la  Nature !

.

Symbolique 

.

Notion de Surhomme

Est à la fois la plus connue

De  Nietzsche,  mais,  aussi,

Surtout la plus complexe.

 .

Elle traverse son œuvre mais

Apparaît de manière éclatante dans

Ainsi parlait Zarathoustra. Zarathoustra

Est présenté comme l’annonciateur

D’un retournement complet,

Prophète d’une nouvelle culture,

Faite de création    et de spontanéité,

D’art, dont le jeu,   l’activité enfantine

Ou la danse, sont   la meilleure image,

Et dont Dionysos,     le dieu de l’ivresse

Et de la danse, et      non plus Socrate,

Serait le       symbole.

la-philosophie.com/nietzsche-surhomme

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Autant  de postures pour un

Surhomme proche d’un dieu.

Dieu du stade,  roi du muscle,

Chef d’œuvre de la  Nature !

.

Symbolique

.

Dieu

Désigne un être

Ou une force suprême

Structurant    l’Univers ;

Il s’agit selon les croyances

Soit d’une personne physique,

D’un   concept  philosophique

Ou  d’un   dogme  religieux.

La notion  de  Dieu  revêt

Un considérable impact

Culturel, notamment

Dans la musique,

La littérature,

Le cinéma,

La peinture,

La représentation

De Dieu  et  la façon

De le nommer, varient

En fonction des époques,

Et systèmes de croyances.

 .

.

Fond/forme 

.

C’est nous, les humains qui définissons Dieu

Il ne s’est jamais défini lui-même et y compris

Dans la bible. Yahvé est celui qui suis, qui est,

Nous voilà bien avancé avec cela, avec si peu

Néanmoins on ne peut s’empêcher, s’interdire

De se le représenter par conception, l’image.

.

Religieux en ont une, philosophes une autre

Artistes, une troisième ; astronomes, etc…

Par ailleurs, le fait que  nous n’ayons pas

La preuve scientifique existence de Dieu

N’est pas la preuve de son inexistence.

.

Textuels et illustrations >>

1102 – Religion catholique nous rend coupable !

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Dans la religion catholique

 Eve serait coupable,

De s’être laissée

Tenter Diable

Et depuis

Chassé

Du

Paradis

Avec   Adam,

Bien qu’ +   innocent,

Depuis il   +    le cherche

Et, depuis    +       est mortel

Etant perdu  +++++    sur la Terre.

.

Et voici qu’il prétendrait que la femme serait

Coupable, de n’être pas devenue, demeurée,

Egale en responsabilité comme  l’homme

Qu’elle ne pouvait,  qu’elle ne pourrait

S’en prendre   rien   qu’à elle-même.

Religion catholique rend coupables

De ne pas devenir l’homme parfait,

Et la faute à qui : à Adam et  à Eve,

Chassés du paradis en éternelle vie.

Je n’y étais pas et je n’y souscris pas.

Faudrait encore qualifier leur faux pas

D’avoir choisi le seul arbre de la science,

Celui du bien et du mal…en connaissance !

Depuis, je suis responsable, même coupable,

Et je n’en serai acquitté qu’en royaume de Sion

Que je ne connais que de nom, sans descriptions,

Comment croire que j’en suis moi-même, capable !

Six milliards de misérables et autant …  d’incapables

Qui ont vécu et avant nous sans rien résoudre du tout,

Pourquoi les mille suivants  en seraient-ils moins fous,

Pour nous fabriquer  une éternité, humaine, agréable !

Faut-il voir la Terre comme seul paradis, seul conquis,

Fonction de quoi : non coupables, mais responsables,

Laissés seuls à nous-mêmes en serons-nous grandis

Si toute croyance repose sur cette Terre de sable !

Angoisse de disparaître, à jamais  insoutenable,

La religion est une réponse en forme d’espoir,

De petite lumière qui nous éclaire en le noir

Univers ne délivrant pas de clef, vérifiable.

Religion n’est  ni coupable, ni détestable :

Elle ne nous fait pas sourd, aveugle en tout,

Chacun a foi en quelque chose … d’impalpable,

Sinon en soi, en l’humanité fait de sages et de fous.

.

Extensions

 .

La

Religion

Catholique nous

Rend coupable, c’est nous

Et non Dieu,  qui l’avons décidé

Alors même que les lois de l’évolution

Nous démontrent que nous sommes issus

De la lignée des animaux appelés supérieurs.

Vérité révélée, lot de consolation que ce paradis

Auquel nous aspirons bien après notre disparition :

Qu’importe notre futur, l’essentiel, pour nous, est ce qui

Se passe maintenant et donc le vivre pleinement au mieux

Et non de remettre à plus tard.  D’un autre côté, plus tard ce

Sera trop tard : la religion nous tient dans cet illogisme

Et nous demande de parier à défaut de croire…

.

Des lieux de péché, de confession, rachat, rédemption.

«Faites pénitence, mes frères, tant vous avez tous … péché,

Dieu, en sa grande miséricorde, vous accorde son pardon»

Ainsi parlait Zarathoustra, comme Dieu, du bien  et du mal :

L’homme en ayant conscience s’élève de sa condition animale.

C’est le thème de sermons en chaire, église : «la chair est faible

Mais l’esprit et fort, peut  lutter en  suivant préceptes religions.

Une façon d’excuser les faiblesses humaines face aux tentations

 De la vie : boissons, bonne chère, sexualités, argent…infidélités !

.

Nous sommes tous et toutes responsables

De ce qui nous arrive, sauf de notre mort !

Mais pour autant avons-nous été coupable

D’un péché originel quelconques : curiosité

Et qui daterait d’un pseudo paradis perdu,

La faute à Ève, serpent, arbre, voire Adam.

.

Face à vérité, on a les crocs, on a les dents

L’homme ne serait pas né il y a 2 000 ans

Avant Jésus-Christ mais il a des millions,

Depuis l’évolution naturelle a fait œuvre,

De sélection, maturation, humanisation

Jusqu’à nos jours, issu d’homo habilis.

.

Fragments

.

Responsable mais non coupable :

C’est la justice humaine qui parle

.

Responsable et donc … coupable :

La  religion catholique qui édicte.

.

Comme cette dernière, infaillible

Y a plus qu’à demander pardon !

.

La faute à Êve, au Démon serpent,

Depuis : l’enfer, au nez, nous pend.

.

On oppose la science à la religion ;

On oppose notre âme contre esprit.

.

Religion est un grand vase… éternel,

Une fleur représente  chacune d’elle.

.

Comme Dieu est amour, miséricorde,

Il nous pardonnera …  lors à sa porte.

.

Coupable ou non,  chacun peut choisir

D’y adhérer, d’y croire selon sa volonté

.

Cathos disent que, de mémoire de rose,

Il n’y aurait  qu’un jardiner  au Monde !

.

Si on se pose la question qui c’est jardinier

Chacun de nous est le sien, sans culpabilité.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

En la religion catholique

 Ève serait coupable,

De  s’être  laissée

Tenter Diable

Et depuis

Chassé

Du

Paradis

Avec   Adam,

Bien qu’ +   innocent,

Depuis il   +    le cherche

Et, depuis    +       est mortel

Étant perdu  +++++    sur la Terre.

.

*******************************************

************************************************

.

Et voici qu’il prétendrait que la femme serait

Coupable, de n’être pas devenue, demeurée,

Égale en responsabilité comme  l’homme

Qu’elle ne pouvait,     qu’elle ne pourrait

S’en prendre rien       * qu’à elle-même.

Religion catholique  R    rend coupable

De ne pas devenir   E  l’homme parfait

Et la faute à qui    L   à Adam et  à Ève,

Chassés du para   I   dis en éternelle vie.

Je n’y étais  pas   G  et je n’y souscris pas.

Faudrait encore   I    qualifier leur faux pas

D’avoir choisi     O   seul Arbre  de la Science

Celui du bien     N    et du mal en connaissance.

Depuis, je suis    *     responsable, même coupable

Et je n’en serai    R      acquitté qu’en royaume de Sion

Que je connais      E       que de nom,  et  sans descriptions,

Comment croire    N        que j’en suis, moi-même …capable !

Six milliards de     D          misérables, et, autant … d’incapables

Qui ont vécu et      *           avant nous, sans rien résoudre du tout,

Lors pourquoi     C           mille suivants seraient-ils… moins fous,

Pour nous fab     O          riquer une éternité, humaine, agréable !

Faut-il voir la    U         Terre comme seul paradis, seul conquis,

Fonction   de     P        quoi, non coupables mais responsables,

Laissés seuls    A       à nous-mêmes en serons-nous grandis

Si toute croy   B     ance repose sur cette Terre de sable !

Angoisse de  L  disparaître, à jamais  insoutenable,

La religion  E  est une réponse en forme d’espoir

De petite lumière  qui nous éclaire en le noir.

Univers ne délivrant pas de clef, vérifiable.

Religion n’est  ni coupable, ni détestable :

Elle ne nous fait pas sourd, aveugle en tout,

Chacun a foi en quelque chose … d’impalpable,

Sinon en soi, en l’humanité fait de sages et de fous.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un grand vase pour y mettre

Un petit bouquet de fleurs ?

Comme on en voit souvent

En nombreuse églises !

.

1102 4

.

Religion est comme un vase

La culpabilité,   comme fleurs 

Et les fleurs une fois fanées sont

Jetées mais sont vite remplacées.

.

Symbolique 

 .

Dans la littérature médiévale,

Le vase possède le sens de trésor.

.

S’emparer d’un vase, c’est conquérir un trésor

Briser  un vase, c’est  anéantir  par  le  mépris,

Le trésor qu’il représente. Le vase alchimique,

Le vase hermétique signifient toujours le lieu

Dans lequel les merveilles s’opèrent.

.

C’est le sein maternel, l’utérus dans

Lequel une nouvelle vie se forme.

D’où cette croyance que le vase

Contient le secret des métamorphoses.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1102 6

.

Religion est comme un vase

La culpabilité,   comme fleurs 

Et les fleurs une fois fanées sont

Jetées mais sont vite remplacées.

.

Symbolique

.

Le

Bonheur

Est  une  fleur

Qu’il ne faut cueillir »,

Écrivait   André   Maurois.

S’il ne faut pas  cueillir  la fleur,

Mieux vaudra, sans doute, se mettre

À son école: ne serait-ce pas occasion de

S’en remettre, en toute confiance, aux mains

Du jardinier  qui lui aura donné  de s’épanouir ?

Car d’après le poète lumières Bernard de Fontenelle:

«De mémoire de rose, il n’y a qu’un jardiner au monde»

Modifié, source : www.cathobel.be/2018/03/30/100097

.

.

Fond/forme 

 .

Notre religion catholique ne nous a pas fait une fleur

Nous tenant coupable d’avoir mangé le fruit défendu !

.

De là dépendrait notre sort, notre condition humaine,

Alors qu’elle n’est que résultat  de l’évolution  continue

Des espèces vivantes et ce depuis des millions d’années.

.

Mais on ne pourrait guère opposer religions et fleurs,

Dès lors que tous leurs rites en utilisent un maximum

Et sans pour autant se poser la question du jardinier

Chacun de nous serait son jardinier sans culpabilité

.

Textuels et illustrations   >>

1101 – Qu’est-ce qu’une belle âme, belle intention !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Si Dieu n’existait pas,

L’homme l’aurait inventé

Afin de pouvoir décharger en lui

Les peines  qu’il n’a pas méritées,

Elles  sont  imposées  par   hasard,

Pour bien  le  remettre  à l’épreuve

Et cela, même si de paradis, enfer,

Nous n’avons moindre de preuves.

Il nous faut croire en des choses

Immatérielles, voire invisibles,

En des promesses des vérités

En des mystères indicibles,

Notre vie avec  notre âme

Est le projet d’amour,

Étincelle  spirituelle

Nous serait donnée

À notre   naissance

Et venant de qui :

Du Grand Éternel.

.

Notre âme s’accroche et nous nous quitte plus,

Sauf à notre mort, pour aller où, et quoi faire ensuite :

La religion répond : au Paradis pour qu’enfin elle profite

D’un bonheur qu’elle a perdu sur terre et qui lui serait dû !

Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est…le bon,

On me dit que c’est inscrit dans les écrits : versets, refrains :

Chaque religion serine : «lutte contre le mal et fais le bien» !

Ce sont des productions humaines… on connaît la chanson.

À qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon,

Serons-nous plus avancés d’avoir, sur le néant béant, misé,

Rien ne nous est confirmé, personne n’est venu le  prouver.

.

Qu’est-ce que je risque à croire que le pari de Pascal est le bon.

Qu’est-ce qu’une belle âme : un être paré des belles intentions,

Mais l’enfer, comme chacun le sait en est pavé, jusqu’au fond,

Jugez «en votre âme et conscience» dit-on aux jurés d’assises,

Rien en ce monde, ne ressemble, peu ou prou, à terre promise.

Pour les uns, notre âme est cachée au tréfonds  de notre être,

Pour d’autres est tapie en notre regard   comme dans miroir,

Pour certains, vous la caresserez, à fleur de peau, peut-être :

Elle peut se trouver partout, nulle part ni blanche ni noire.

.

Catholique, islamique, bouddhiste, animique ou mystifiée,

Les religions se vaudraient toutes par le principe du sacré,

«Sacré Pater» et «Sacré Ave»,  hommes, femmes, imaginés

Pour qu’on puisse mieux les représenter, les chérir, adorer.

Dieux, religions, ne sont pas vierges de sang sur leurs mains

Que de guerres, que de morts ont été perpétré en leur nom,

Pourquoi faut-il  se convertir, défendre telle ou telle religion

Prophétisant bon lendemain, tout en violentant le prochain.

Chacun en définitive, est libre de croire,  en ce, en qui, il veut,

Avant tout, l’important n’est-il pas qu’il passe sa vie, heureux,

Et  qu’il se cherche son propre  chemin de vie, droit, tortueux,

Pour qu’à la fin, il se dise, je le   referais encore, nom de Dieu.

.

Extensions

.

Une belle âme : qui dit cela de quelqu’un, quelqu’une ?

Personne, mis à part lorsqu’il s’agit du fait religieux !

On dit pourtant que l’âme n’est pas liée à la religion

Mais bien plutôt an principe de vie qui nous agit.

Serait-elle invention de l’homme pour se sauver

De sa condition animale lui collant à la peau,

Et pour quelle intention, pour quel paradis.

.

L’intention dépend plus de la conscience

Que de l’âme dont on ignore l’existence,

Sinon le contenu et voire les contours,

Que ce soit en raisons ou en amours.

.

On nous parle d’une hauteur d’âme,

Quand l’intention est belle, humaine,

C’est-à-dire totalement désintéressée,

Comme si, par elle, par le bien, dictée !

.

Fragments

.

Qu’est-ce qu’une « belle âme »,

Qu’est-ce qu’une belle intention

Je dis cela pour ceux en relations,

Avec des personnes, dites infâmes.

.

Âme est déjà une réalité subjective,

Belle le sera, encore bien davantage,

Une intention peut être bien cachée :

On est en plein délire sur authenticité

.

Par un pouvoir mystérieux, âme suggère

Une force supranaturelle, voire un esprit,

Affirmée par religion, rejetée par science,

Pour qui elle n’est rien qu’une imposture.

.

Si la tête et l’âme vont très bien ensemble,

Le corps y participe aussi … évidemment :

De toute façon âme, point d’interrogation,

Sa réalité et sa complexité nous dépassent.

.

À dire qu’elle est «belle» si on ne sait pas même

Ce que c’est où elle est, ce qu’elle fait, nous survit,

C’est comme si on savait tout  sur l’avant-Big bang,

Dieu aurait une intention, qu’aux chrétiens, révélée !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Si Dieu n’existait pas,

L’homme ?    l’aurait inventé

Afin de pouvoir   ?  décharger en lui

Les peines  qu’il n’     ?  a pas méritées,

Elles  sont  imposées      ?     par  hasard,

Pour bien le  remettre         ?     à l’épreuve

Et cela, même si de pa          ?  radis, enfer,

 Nous n’avons moindre          ?    de preuves.

Il nous faut croire en            ?     des choses

Immatérielles, voire           ?      invisibles,

En des promesses            ?     des vérités

En des mystères          ?      indicibles,

Notre vie avec         ?       notre âme

Est le projet      ?        d’amour,

Étincelle     ???   spirituelle

Nous  serait  donnée

À notre   naissance

Et venant de qui :

Du Grand Éternel.

Notre âme s’accroche et nous nous quitte plus,

Sauf à notre mort, pour aller où, et quoi faire ensuite :

La religion répond : au Paradis pour qu’enfin elle profite

 D’un bonheur qu’elle a perdu sur terre, et qui lui serait dû !

Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est…le bon,

On me dit que c’est inscrit dans les écrits : versets, refrains :

 Chaque religion serine : «lutte contre le mal et fais le bien» !

Ce sont des productions humaines… on connaît la chanson.

 À qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon,

Serons-nous plus avancés d’avoir, sur le néant béant, misé,

  Rien ne nous est confirmé, personne n’est venu le  prouver.

.

*****************************************************

.

     Qu’est-ce que je risque à croire   Q    que le pari de Pascal est le bon.

   Qu’est-ce qu’une belle âme : un    U   être paré des belles intentions,

  Mais l’enfer, comme chacun le sait  ‘       en est pavé, jusqu’au fond,

 Jugez «en votre âme et conscience»  E   dit-on aux jurés d’assises,

   Rien en ce monde, ne ressemble, peu S    ou prou, à terre promise.

   Pour les uns, notre âme est cachée, au   T  tréfonds de notre être,

     Pour d’autres est tapie en notre regard    *   comme dans miroir,

         Pour certains, vous la caresserez, à fleur  U  de peau, peut-être :

          Elle peut se trouver partout, nulle part    N  ni blanche ni noire.

                                        E

               Catholique, islamique, bouddhiste,     *   animique ou mystifiée,

              Les religions se vaudraient toutes   B   par le principe du sacré,

              «Sacré Pater» et «Sacré Ave»,      E   hommes, femmes, imaginés

              Pour qu’on puisse mieux les      L  représenter, les chérir, adorer.

           Dieux, religions, ne sont pas    L  vierges de sang sur leurs mains

      Que de guerres, que de morts    E     ont été perpétré en leur nom,

   Pourquoi faut-il  se convertir,    *   défendre  telle ou telle religion,

 Prophétisant bon lendemain,        tout en violentant le prochain.

 Chacun en définitive, est libre   M   de croire,  en ce, en qui, il veut,

Avant tout, l’important n’est-il  E    pas qu’il passe sa vie, heureux,

Et  qu’il se cherche son propre   ?    chemin de vie, droit, tortueux,

 Pour qu’à la fin, il se dise, je le   *     referais encore, nom de Dieu.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une forme  avec  une  tête

Mais  qui voilerait son âme

En haut   et  un corps évoqué

En bas comme d’un fantôme !

.

.

Elle m’appartient, elle me tient tête,

Compagnie, me survit.

Qu’est-ce qu’une âme, une belle âme

Une bonne âme ?

Si la tête et l’âme vont bien ensemble

Le corps y participe aussi évidemment.

De toute façon âme, point d’interrogation

Tant et si bien que la forme épouse le fond.

.

Symbolique 

 .

Le mot âme évoque

Un pouvoir invisible :

Être distinct, partie d’un vivant,

Principe de vie, d’organisation, d’action.

.

Par son pouvoir mystérieux, elle suggère

Une force supranaturelle, un esprit,

Un centre énergétique.

Affirmée par la religion,

Rejetée par la science

L’âme est une imposture.

.

Pas d’âme au bout d’un scalpel.

Elle est acceptée  comme  évocatrice

D’une invisible puissance et provocatrice

D’un savoir, d’une croyance ou d’un rejet.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1101 6

.

Elle m’appartient, elle me tient tête,

Compagnie, me survit.

Qu’est-ce qu’une âme, une belle âme

Une bonne âme ?

.

Symbolique 

.

La tête est la  partie

Dominant    le     corps,

Et  le   siège  de  la  pensée

Et   de   la    communication.

Elle     symbolisera    l’identité,

L’émotion,       et      l’intelligence,

La communication   et    la  volonté.

Partie  du  corps    la   plus  sensitive.

En effet,   elle concentre : la vue, l’ouïe,

L’odorat  et le goût, parties du corps qui

Renferme le cerveau, siège de la pensée

Contrôle ensemble des comportements.

La tête est la partie la plus importante

Et la plus complexe de tout le corps.

Représente interface entre monde

Extérieur et réalité intérieure.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-tete

 .

.

Fond/forme 

.

La tête est perçue comme étant le siège de «l’âme»

 Et beaucoup d’autres  organes, processus, facultés,

Et sans qu’aucun neurologue n’ait su où la placer :

De là à dire qu’elle est belle   si on ne sait pas même

Ce que c’est où elle est, ce qu’elle fait,  si nous survit,

C’est comme si on savait tout  sur l’avant-Big bang.

.

Peut-être y a-t-il confusion  entre âme et conscience

D’un côté, et entre science  et conscience, de l’autre !

De même que nous avons cerveau gauche, rationnel

Et  cerveau  droit, poétisée,  émotionnel, imaginaire

Et un corps calleux, au milieu, connectant les deux.

.

Vision un peu simpliste, voire  mécaniste, s’il en est,

C’est un mythe sui perdure, tout comme notre âme

Comme nous ne pouvons guère nous passer d’eux,

Nous persistons à les croire voire à les renforcer.

 .

Textuels et illustrations  >>

733 – Mille et une facettes de ta beauté féminine !

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Beauté des femmes

Serait-ce bien la Nature

Qui l’aurait faite, inventée

Ou le fruit d’un pur hasard,

En tous cas,  sûr,  elle existe ;

En  tous cas,  sûr,  elle excite ;

En  tous cas, sûr, elle illumine ;

En tous cas,  sûr, est  sublime.

Mais, parfois, elle en rajoute,

Quand  c’est  trop écœure,

On ne maquille cœur

Ôte masque beauté.

.

Les mille et une facettes

De ta beauté … féminine

Sont autant  de  brillants,

D’un seul, unique diamant.

.

Chacun voit  quelques reflets,

Et en premier, ceux qui lui plait

Plus rare de percevoir belle aura,

Que  le  monde    entier  admirera.

Or  la  femme  n’a pas ce seul  talent

De la beauté pas plus que de  laideur.

.

La nature y participe fruit du hasard

Et la culture au travers de tous ses arts

Ajoutant au tableau, cadres émouvants,

Ajoutant    à nos yeux,    grand bonheur.

.

D’où viendra cette impression  du beau,

S’imposant  à tous sens et malgré nous,

Venant de  la rencontre  entre attente

Intérieure   contexte réel, extérieur.

.

Arrive  on le  perçoive comme faux,

Mal préparé, le recevoir  en  cœur,

Arrive  qu’on voit presqu’en tout,

Qu’il  soit,  à   l’esprit,    présent,

Regard  se projette   au  dehors,

Bonheur d’avoir  un cœur d’or.

.

Nous avons, tous, des facettes

Beautés parmi les plus nettes

Mais d’autres, plus cachées

Et, voire,  plus  réservées.

.

Tant il faut des lunettes

Pour bien  les  …  voir

Briller en plein noir

Comme en miroir,

Beauté … cachée,

Beauté,   révélée,

Faces et facettes,

De sa bien-aimée.

.

Extensions

 

Les mille et une facettes

De ta beauté me surprennent

À chaque fois que je me réveille,

Que je t’aperçois,  que je t’observe.

.

L’aura, l’aura pas, je me demande si

Je suis le seul à la voir briller de tous

Ses éclats d’existence avec autant

De gentillesse et bienveillance !

.

Et  les jours  où  tu es  triste,

L’aura diminuera d’intensité

Et lors il suffira d’un bon mot

De ma part au petit-déjeuner

Pour refaire miroiter ton aura

Le baromètre de tes humeurs,

Le thermomètre de ta chaleur,

L’anémomètre de ta … vigueur.

.

Trois dixièmes de la beauté féminine sont dus à la nature,

 Les sept dixièmes, à la parure… selon un proverbe chinois !

Y a de quoi méditer sur ce qui est vrai, ce qui est universel,

Et ce qui tient à un regard porté par des époques et modes

La beauté intérieure semble toujours absents des canons

Sur le plan individuel, influencés par modèle maternel

Qu’on se fixe un type de femme, ignorant les autres

Et puis la beauté change avec l’âge, la maturité

 Femmes s’embellissent, autres dépérissent.

.

Un visage féminin diffère ce celui d’un homme

Un visage féminin est  glabre, fin, non anguleux.

Ovale dégage comme une expression de douceur

Les yeux  expriment regard lumineux et ouvert,

Le sourire  est enveloppant,  grâce à des lèvres

Charnues et sensuelles, pulpées, soulignées !

.

Soignant son apparence, une femme  décide

De l’image qu’elle tient à donner, d’elle-même,

 Au monde extérieur et son entourage immédiat

En agissant ainsi, elle met en avant la valeur,

Qu’elle accorde à sa personne et aux autres

Son naturel reflète sa beauté intérieure.

.

La beauté d’une femme fascine parce

Qu’elle montre une partie d’elle-même

 Pour mieux  cacher une autre, intérieure

Elle attire notre attention sur jolies formes,

Pour mieux nous offrir … admiration profonde.

Sa beauté nous fascine lors suscitant belle émotion.

.

Fragments 

.

Le beau suppose, une double harmonie,

Harmonie en l’objet, le sujet  lui-même,

Entre l’objet perçu,  sujet qui le perçoit.

.

Visage féminin sans contours anguleux

Qui  dégage une expression de douceur

Avec un regard lumineux : bien ouvert.

.

 Sourire enveloppant…lèvres sensuelles,

Posture, charisme,  accueil : attrayants,

Sans parler de profondeur, esprit, âme !

.

Voilà qui dégage ses différentes facettes,

Et  certaines, demeurent indéfinissables,

Et demeureront longtemps mystérieuses.

.

Les canons de beauté varient avec le temps

Ainsi que les cultures, les modes, personnes

Y aurait un fond commun et des spécificités.

.

Quoiqu’on dise, quoiqu’on fasse, on analyse,

La beauté ne se laisse réduire somme détails

Se perçoit d’une manière globale holistique.

.

La tienne ne m’a pas échappée et demeure

Au jour le jour, et même, prenant de l’âge,

Sans artifice, comme naturelle : bonheur.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Beauté des femmes

Serait-ce bien la Nature

Qui l’aurait  *   faite, inventée

Ou le fruit      M d’un pur hasard,

En tous cas,     I    sûr,  elle existe ;

En  tous cas,     L     sûr,  elle excite ;

En  tous cas,     L sûr, elle illumine ;

En tous cas     E   sûr est sublime.

Mais, parfois, elle en rajoute,

Quand  c’est  trop écœure,

On ne maquille cœur

Ôte masque beauté.

.

Les mille et une facettes

De ta beauté … féminine

Sont autant  de  brillants,

D’un seul, unique diamant.

 Chacun voit quelques reflets,

   Et en premier, ceux qui lui plait

       Plus rare  de percevoir  belle aura,

         Que le monde  F       entier admirera.

            Or la femme    A   n’a pas, ce seul  talent

              De la beauté   C   pas plus que de  laideur.

              La nature y     E   participe fruit du hasard

                Et la culture    T   au travers de tous ses arts,

                 Ajoutant au     T  tableau, cadres émouvants,

                 Ajoutant    à     E   nos yeux,    grand bonheur.

                D’où viendra    S    cette impression  du beau,

              S’imposant  à   *     tous sens et malgré nous

           Venant de  la   B    rencontre  entre attente

          Intérieure        E  contexte réel, extérieur.

         Arrive  on le    A    perçoive comme faux,

      Mal préparé    U   le recevoir  en  cœur.

     Arrive qu’on   T   voit  presqu’en tout,

 Qu’il soit,        É  à l’esprit, présent,

Lors regard  projette au dehors,

Bonheur    d’avoir    cœur  d’or.

.

***************************

  Et nous avons tous, des facettes

  Beautés, parmi les plus nettes

Mais d’autres, plus cachées

Et, voire,  plus  réservées.

Tant il faut des lunettes

Pour bien  les  …  voir

Briller en plein noir

Comme en miroir,

Beauté … cachée,

Beauté,   révélée,

Faces et facettes,

De sa bien-aimée.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une belle silhouette

De canon de beauté

Féminin qui a été statufié 

En vue de… l’immortaliser ?

.

733 4

.

Que dire de ces canons de beauté

Féminins, sinon qu’ils sont multiples.

D’un modèle corporel bien  culturel,

Que ce soit en sculpture, peinture.

.

Symbolique 

 .

Le fort ma

Traquage publicitaire

Des médias occidentaux

Avait fini par faire

 Croire aux Français et imposer

Aux mentalités européennes que les

Canons de beauté étaient des

Femmes minces type Claudia

Schiffer ou  Naomi Campbell.

Les jeunes  et  les moins jeunes,

À qui nature avait été généreuse,

En les dotant  d’une poitrine forte,

D’un  corps  voluptueux  et  captivant,

Du coup exprimaient d’énormes complexes

À exhiber leurs formes, un mal-être les couvrait.

L’évolution du corps, à travers les âges, nous était

Enseignée par les arts. On apprend sur les grosses

Femmes bien plus qu’on en sait, plus qu’on en croit.

temoignages.re/chroniques/point-de-vue/

l-evolution-des-canons-de-la-beaute-feminine

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

733 6

.

Que dire des canons de beauté

Féminins, sinon qu’ils sont multiples.

D’un modèle corporel et culturel,

On en déclinera cent et mille.

.

Symbolique 

 .

Canons

De beauté 

Sont basés sur

Des mesures.

Avec les communications

Modernes, ils ont simplement

Laissé la place aux modes, plus

Éphémères mais aux effets encore

Plus  forts  sur les  femmes, l’image 

Qu’elles doivent dégager  or  la liberté

Grandissante chez les femmes aura fait

Qu’elles s’assujettissent moins à simples

Mesure : canons de beauté ont donc été 

Abandonnés. Mais parfois, la servitude

De l’image, a besoin de se conformer  

Aux autres, seront restés

Présent malgré tout.

Modifié, source : absurdephoton.fr/

Les-canons-de-beaute-feminins

 .

 .

Fond/forme 

 .

La beauté est dans le regard

Autant que dans  toute chose :

Certains la voient comme avatar

Lors autres la verront comme rose.

L’on ne pourra pas mettre une beauté

En conserve dans un coffre-fort secret

Ni la garder, pour soi, sous une parure

D’autant qu’elle est fragile, est éphémère

Beauté féminine est un moment de grâce

Additionnant son extérieur, son intérieur. 

.

Textuels et illustrations >>

732 – Escapade de week-end en amoureux

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

 Une escapade serait       On cherche, on trouve

Comme la parenthèse       Beau coin,  bien sympa,

 Pour rompre quotidien      Etre  en tête à tête,  à un

    Il faut un  dépaysement      Restaurant gastronomique

   On parle, de tout et rien      On rit beaucoup, se détend

On y va valise à l’arrache     Et sur  la route, s’attache

 .

Escapade de week-end

Ensemble en  amoureux,

Qui ne l’a pas  fait, encore,

Qui n’en rêve  pas, très fort,

On sait que l’amour, s’il dort,

Atterrit en bien d’autres ports.

 .

Réserver un bel hôtel ,d’abord,

Être entier à l’autre à l’aéroport,

Accepter toute distance surprise,

Être prêt à toute dépense exquise.

 .

Ici, vous croisiez  trop de relations,

Mais là personne ne vous reconnaît

Ici, vous réalisiez nombre d’actions

Là,  personne  ne vous en réclamait

 .

Complicité entre vous  devient feu,

Vous fait, allumé, vers fin de soirée

Recharge  la  batterie pour flâner,

Le jour à faire ce que  l’on   veut.

 .

Cela est un vrai réflexe de survie,

Quand morosité  s’installe en vie

Et s’il coûte  un peu  d’énergie,

Il illumine son cœur alangui.

.

Alangui, et allant,    l’envie

Se faire des vœux pieux,

N’engageant que ceux

Qui se disent impies

Du parfait amour,

Lors deux jours

D’esca-pade,

Incartade

Aubade

Ade

V

 .

Extensions

 .

L’escapade d’un week-end ensemble

Est une parenthèse au milieu du tumulte

Des événements qui nous tirent ou poussent,

Sans interruptions, tant prisonniers d’agendas.

.

Elle n’a rien de fuite, c’est juste la sauvegarde,

Le renouvellement de l’essentiel dans sa vie,

À savoir la priorité de l’autre sur tout ce

Qu’on avait entrepris de faire et qui

Peut attendre un jour et voire plus.

.

Cent pour cent à l’écoute de l’autre,

Cent pour cent à la découverte du parcours,

Cent pour cent à  fabriquer souvenirs marquants,

Du genre photos, achats, textes, restaurants à l’appui.

Il y a les rencontres qu’on ne fait pas près de chez soi

Et les échanges qui n’allaient pas de soi, de peur

De se livrer, choquer ou que sais-je encore.

.

Escapade avec la même ou un autre,

Escapade en famille ou avec des amis,

Escapade en solitaire pour s’ouvrir à autrui,

Escapade pour faire le point sur le sens de sa vie.

.

L’exotisme amoureux est une arme fatale de séduction

Même si elle n‘atteint pas son but à chaque escapade,

Elle  favorise bonnes conditions d’atteindre la cible

En deçà but lointain, c’est  partager un moment

Ou on se cherche, s’active  en tant qu’amants

« Carpe diem » en quelque sorte en autant

Plaisirs de vie de gagner sur le temps

Qui passe et nous réduira à néant.

.

Faut-il aller loin pour se voir de près :

Le sujet n’est pas là : c’est l’exotisme,

C’est éloignement  du lieu résidence,

C’est se mettre à l’abri des regards !

.

Bonjour madame, bonjour monsieur,

Que font-ils ainsi ensemble ces deux là

En solitaire, escapade endroit magique,

Permet de sauvegarder, secret, mystère !

.

Et, si jamais, ça ne va pas, ça ne colle pas :

Autant le savoir de suite, à moins que ce soit

Pour raffermir un couple qui bat de l’aile déjà,

Il y a bien des raisons d’escapades en amoureux.

Fragments 

.

Escapade, échappement,  évasion,

Voire libertinage pour des amants

À vivre seul, ou en accouplement :

Sortir de  dépendance : libération.

.

Non une fugue, fuite : parenthèse,

Qui peut, doit, s’avérer enchantée,

Qui resterait longtemps imprimée

Comme de l’aliénation, antithèse !

.

Plus on va loin,  l’exotisme agirait,

Or on peut rester au coin de la rue,

Les amoureux ne le contrediraient,

L’amour est un bonheur, parcouru.

.

Parcouru par frissons de bien-être,

Monde  n’existe ; autres, peut-être,

Le couple restera seul sur la Terre :

Un  parfum  divin, entre eux, erre !

.

Pour autres, ce serait la destination

Qui compte  et pour contemplation,

L’espace est propice à imagination,

Exacerbe, en tout, l’amour passion.

.

Couple éphémère bien que sincère,

Ou couple renoué après séparation

Couple s’espérant comme en prière

Fusion, réparation, consommation.

.

Happé par contraintes routinières,

Plus le temps  de s’envoyer en l’air,

Pas même d’échanger  sentiments,

Escapade comme : médic… amant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

 .

Une escapade serait     E  On cherche, on trouve

 Comme la parenthèse     S  Beau coin,  bien sympa,

Pour rompre quotidien    C   Etre en tête à tête, à un

     Il faut un  dépaysement    A   Restaurant gastronomique

      On parle, de tout et rien    P    On rit beaucoup,  se détend

   On y va valise à l’arrache   A     Et sur  la route, s’attache

 D

Escapade de                      E                          week-end

Ensemble en                    *                      amoureux,

Qui ne l’a pas                W                 fait, encore,

Qui n’en rêve              E             pas, très fort,

On sait que l’a           E          mour s’il dort,

Atterrit en bien       K        d’autres ports.

Réserver un bel       E          hôtel d’abord,

Être entier à l’au     N       tre à l’aéroport,

Et accepter toute    D    distance surprise

Être prêt à toute      *      dépense exquise.

E

Ici, vous croisiez      N     trop de relations,

Mais là personne      *     ne vous reconnaît

Ici, vous réalisiez     A     nombre d’actions

Là,  personne  ne     M    vous en réclamait

O

Complicité entre      U     vous  devient feu,

Vous fait allumé       R      vers fin de soirée

Recharge  la  bat      E       terie pour flâner

Le jour à faire ce      U       que   l’on    veut.

**************************************

**************************************

.

Cela est un vrai          réflexe de survie

Quand morosité        s’installe en vie

Et s’il coûte un        peu d’énergie,

Il illumine son    cœur alangui.

 .

Alangui, et  allant,  à  l’envie

Se faire  des  vœux pieux,

N’engageant  que ceux

Qui se disent impies

Du parfait amour,

Lors deux jours

D’esca-pade,

Incartade

Aubade

Ade

V

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une  silhouette  d’un couple

Dont l’effusion est si proche

Suscitant bientôt la fusion 

Vers une probable union !

.

732 4

.

 

Escapade : le mot lui-même fait penser

À couple amoureux :

La transgression est, dans son air,

Et son temps, et à tout âge !

  .

Symbolique 

 .

Un jeune couple

Et leur enfant      de deux ans

S’offrent dix jours à    la pointe du Finistère

Alternant le bleu et le     vert, l’Armor et l’Argoat.

 .

Un itinéraire sécurisé de     Concarneau à l’île de Batz

À bicyclette à travers la     lande et chaos granitiques

Et les plages  de sables       fin … Dix jours  de répit.

Dix jours que l’on s’of      fre avec mon conjoint

 .

Et notre petit gar      çon de deux ans.

Dix jours de belles    retrouvailles

Où l’on s’est promis juré de

Prendre le temps.

toutcommenceenfinistere.com/

escapade-velo-concarneau-roscoff-finistere

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

732 6

.

Escapade : le mot lui-même fait penser

À couple amoureux :

La transgression est, dans son air,

Et son temps, et à tout âge !

 .

Symbolique 

 .

Ce ne sont pas tant les partenaires

Qui  comptent, c’est le couple, l’unité.

 .

Il n’y a plus d’individu, homme, femme,

Il n’y a plus que des couples.

 .

Il n’y a donc plus de cocufiage,

Plus personne n’est ridicule ou malheureux,

Il n’y a plus que   des problèmes…  de couple.

 .

De nos jours, on  pourrait  justifier  quasiment

N’importe quoi  avec cette simple déclaration :

«Je  l’ai  fait  par  amour,

Tu peux pas comprendre».

diaryfrenchpua.com/le-couple-

symbole-de-réussite-sociale

.

.

Fond/forme 

 .

Qui dit couple ne dit pas nécessairement

Amoureux, ni même pas bien accouplés

Il s’agit, en réalité, de deux personnes,

Ou  de deux choses  qui se complètent.

Expression «hors couple  n’a de sens

Que si le couple est légitime, marié.

Et puis à partir de quand dira-t-on

Qu’il s’agit notoirement d’un couple

Quand les séparations ou abandons

Se feront de plus en plus facilement !

.

Textuels et illustrations >>