731 – Romantique, amoureux, rêveur, idéaliste

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

 Je te trouve trop romantique,

Je te trouve trop pragmatique,

Comment  réaliser  bel équilibre

Entre ce qui est réaliste  et  libre !

.

Le rêve dépasse, souvent, la réalité,

Qui le rattrape pour le mettre au pas

Plus haut aura été  l’idéal du mariage,

Plus dure sera la chute  pour le divorce.

.

Les petites attentions valent les grandes,

Elles sont  de tous les jours, toutes façons,

Plutôt que de rester camper sur son nuage,

Il vaut mieux créer romantisme de passage.

.

Romantique, amoureux transi,

Rêveur, idéaliste  …    fusionnel,

Malade : sont des noms donnés,

À ceux qui sont d’amour éternel

Face à cela : réalité leur oppose,

.

Jalousies, tromperies, divorces,

Polygamies, voire double vies

Ou  mariage, à trois, aussi,

Union libre, libertinage,

Tout, sauf le mariage,

Désuet, hors d’âge.

.

Aimer qui je veux, quand je veux

Où je veux  enfin comme je veux,

Me parait plus illusoire  qu’espoir

Finir ma vie à deux, pour le mieux.

.

Être volage inconstante nature  de femme

Doit porter le chapeau de toute   zizanie,

Comprenant le mot, sentiment,  mot lit.

Tout cela n’est ni vrai ni faux ni sérieux

Amours sont de brefs jours désillusions

Sont de mauvais mais durent toujours.

.

Sexe, caractère, culture et sentiment,

Ont pris le pas sur sécurité d’argent,

Ce qui ne simplifierait pas le choix

Si amour n’a pas eu force de lois.

.

Si fait qu’inversion de  positions

Fait qu’homme cherchant épouse

S’occupant  de lui, enfant,   maison,

Ne trouve pas que des femmes libérées

Qui de se caser ne se sentent pas pressées

Tant vrai  que d’avoir été bien  oppressées

Et durant des millénaires  étouffant d’air.

.

Romantiques  pragmatiques,  en ménage

S’accordent aussi bien de leur différence

Que ceux qui établissent simples con…trats

D’assistance mutuelle sans aucun sentiment,

Et l’équilibre à trouver dépendrait du partage

Et non d’un modèle venant de voler en éclats,

À chacun de se fixer sa voie, sa limite de choix.

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Extensions

 .

Romantique, amoureux transi,

Rêveur, idéaliste, fusionne…  malade :

Je suis tout cela et rien de tout cela à la fois.

Amour est considéré de certains comme maladie :

On tomberait amoureux comme on tomberait malade.

Une maladie qu’on entretient au lieu de chercher à en guérir.

Le monde à l’envers, tout de même, et quand on est vrai rêveur

Et romantique, cela peut aller en s’empirant jusqu’à en mourir.

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Romantique : évoque les attitudes, et  les thèmes,

Chers à romantique, sensibilité, exaltation … rêverie,

Amoureux : personne qui  aime quelqu’un, avec passion.

Adorateur, galant, tourtereau, aimant, amant… prétendant.

Rêveur : personne absorbée dans ses pensées, dans  sa rêverie

Qui perd, peu à peu, le contact avec toute réalité, en amour fou !

Idéaliste : qui obéit à un idéal, des valeurs absolues, d’ordre moral,

Qui croit que l’amour vrai, pur, peut améliorer la société ou l’homme

Si ces définitions vous qualifient, vous serez amoureux(se) et perdu(e)

 .

Romantique, amoureux, rêveur que je suis peut-être

Sinon vous qui me lisez, votre conjoint, votre demeure.

Voilà qui donne l’impression ne pas vivre dans la réalité

Bien que  le romantisme en fasse partie depuis des temps

En tant que prédominance d’idéalisme et de sentimentalité

Qui, par nature, touche à excès de sensibilité et imagination,

Invite à l’émotion et à la rêverie, à l’expression des sentiments

Encore que : attention, il peut ne s’agir de belle posture d’esprit,

Comme romantique pour les gens, et pas du tout pour les choses !

.

Fragments

.

Accords entre le sexe et la guitare:

Le potentiel érotique de la six cordes

Étrange, subtile, attirance des femmes,

Pour  les  hommes  portant  des  guitares.

.

Est-ce un effet magique sinon romantique,

Qu’avoir six cordes à son arc pour ses flèches

Musicales qui feraient mouche à chaque fois,

Pour l’avoir teste moi-même, un peu, j’y crois.

.

On ne saurait trop si c’est

Plutôt  le son  de la guitare

Sa forme  de caisse, manche

Ou un corps  qui se déhanche,

Lors on en joue devant femmes

Qui suggèreraient  acte érotique

.

Toujours est-il, ça ne marche pas

Toujours, sinon ça se répandrait

Comme une trainée  de  poudre,

Qui mettra le feu a tout amour.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

  Je te trouve trop romantique,

Je te trouve trop pragmatique,

Comment  réaliser  bel équilibre

Entre ce qui est réaliste  et  libre !

Le rêve dépasse, souvent, la réalité,

Qui le rattrape pour le mettre au pas

Plus haut aura été l’idéal du mariage,

Plus dure sera la chute  pour le divorce.

Les petites attentions valent les grandes,

Elles sont  de tous les jours, toutes façons,

Plutôt que de rester camper sur son nuage,

Il vaut mieux créer romantisme de passage.

.

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**********************************

.

Romantique, amoureux transi,

Rêveur, idéaliste  …    fusionnel,

Malade : sont des noms donnés,

À ceux qui sont d’amour éternel

Face à cela : réalité leur oppose,

Jalousies, tromperies, divorces,

Polygamies, voire double vies

Ou  mariage, à trois, aussi,

Union libre, libertinage,

Tout, sauf le mariage,

Désuet, hors d’âge.

.

Aimer qui je    R   veux, quand   A      je veux

Où je veux     O      enfin comme    M     je veux,

Me parait       M        plus illusoire      O    qu’espoir

Finir ma vie   A        à deux et pour       U   le mieux.

Être volage     N     inconstante nature    R  de femme

Doit porter    T      le chapeau de toute    E     zizanie,

Comprenant    I     le mot, sentiment,    U      mot lit.

Tout cela n’est   Q     ni vrai ni faux    X        sérieux

Amours sont de   U   brefs jours    *   désillusions

Sont de mauvais   E    mais  *  durent toujours.

Sexe, caractère        *     *  culture, sentiment,

Ont pris le pas   *  sur  *  sécurité argent,

Ce qui ne    *  simplifie  *  pas le choix

Si amour  *  n’a pas force  *    de lois.

Si fait     *   l’inversion des   *  positions

Fait qu’ *    homme cherchant  *    épouse

S’occu    *    pant de lui, enfant,   *   maison,

Ne trouve *   pas que des femmes  *     libérées

Qui de se     *    caser ne se sentent    I    pressées

Tant vrai       R     que d’avoir été si     D oppressées

Et durant        Ê       des millénaires       É  étouffe air.

Romantiques  V          pragmatiques        A   en ménage

S’accordent      E      aussi bien de leur      L     différence

Que ceux qui   U    établissent simples      I      con…trats

D’assistance    R   mutuelle sans aucun    S    sentiment,

Et l’équilibre  *   à trouver dépendrait     T  du partage

Et non d’un   *  modèle venant de voler  E   en éclats,

À chacun de * se fixer sa voie, sa limite * son choix.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

En haut,  un  grand chapeau

En bas,  silhouette  d’homme ;

En haut, une partition musique

 En  bas, silhouette  de  guitare ?

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731 4

.

Un homme amoureux, rêveur

 Avec une guitare dans le dos

Et s’il était moins amateur

Il serait musicien pro.

La guitare, comme le violon, aurait des

Accointances  avec les  états romantiques

Ils sont perclus par les femmes : séduction

Tant et si bien que la forme touche le fond !

.

Symbolique 

.

Accords entre sexe et guitare:

Le potentiel érotique de la six cordes

Étrange, subtile, attirance des femmes,

Pour  les  hommes  portant  des  guitares.

Tout le monde se souvient de ces guitaristes

De  l’époque  du  Sex,  Drugs  and   Rock’n’roll

Ondulant, sensuellement, dans leurs pantalons

Moulants, mimant accouplements avec guitare.

Un jeu de scène si suggestif, qu’il leur aura valu

D’être interdit  de plateau de télé  pour ne pas

Émouvoir “la ménagère de plus de 40 ans”.

Source : guitar.vanlochem.be/sexe-et-guitare-

le-potentiel-erotique-de-la-six-cordes

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

731 6

.

Un homme amoureux, rêveur

 Avec une guitare dans le dos

Et s’il était moins amateur

Il serait musicien pro.

 .

Symbolique

.

Un auteur

Étant compositeur

Et  en plus, interprète,

Est une personne qui rédige

Les paroles, compose musique

De chansons qu’elle interprète.

.

L’ordre peut varier d’une artiste à l’autre,

Ou d’une œuvre à l’autre pour un même artiste ;

Soit il compose  avant d’écrire le texte, soit après.

Il peut même créer en parallèle texte et musique,

Voire les arranger pour une orchestration.

wikipedia.org/wiki/Auteur-compositeur-interprète

 .

 .

Fond/forme 

.

On ne saurait trop si c’est

Plutôt  le son  de la guitare

Sa forme  de caisse, manche

Ou un corps qui se déhanche,

Lors on en joue devant femmes

Qui suggèreraient acte érotique

Mais pourquoi pas acte héroïque

Est-ce là  une intention  explicite

Où un regard  plus  qu’implicite,

C’est à chacun de se déterminer

Sur ce qu’il faudra interpréter

Fonction de contexte donné,

Selon son état hormonal.

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730 – L’amour est éternel recommencement !

Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Y a,  au  moins, trois façons,

D’interpréter  une telle phrase,

Je recommence avec une autre,

Je recommence avec  la même,

Je recommence  avec les deux !

.

Vous, choisissez lequel est bon sens,

Amour est essence, amour est existence,

Amour est espérance, amour est substance

Qui ne se marie, ne connait pas sa chance

Se remarier n’aura rien d’une évidence.

 .

Détrompez-vous, amour s’en moque

Des promesses et  des  tendresses,

Il a en lui : temporalité, éternité

Et n’aspire qu’à une seule chose,

.

Encore, toujours, recommencer,

L’amour n’est réellement qu’un

Éternel    re-commen-cement :

Combien de   fois, ai-je  exigé,

De toi, un  gage  de  sincérité,

Preuve même, de tes fidélités,

Alors que je mens    de t’aimer.

.

Fidélité se conjugue au pluriel,

Et est bien plus que le singulier,

Même  folle de lui  ou  fou  d’elle,

Trop de fois : dur de se  remarier !

 .

Amour est éternel ensemencement.

À la fin, ça fera bien, vraie rengaine,

Des bisous, et mamours et je  t’aime,

Qui ne sont pas de vous  ni d’amant,

Mais de paroles : routine bien vaine

Mais qui, peu à peu, vous  entraine,

À porter  vos regards vers… ailleurs

Pour  tester  votre constante ardeur.

.

Pour  savoir  si  elle  vous vaut  bien,

Il serait bien  de voir où mène la fin

Nul ne la connait, nul n’en sait rien,

Amour, commencement sans fin,

Amour est toujours éternel

Recommencement !

.

Extensions

.

Amour, éternel recommencement :

Je me répète, un peu, là, ça boucle :

Où se trouve la sortie du labyrinthe

Où l’on se sentirait enfermé et à vie !

.

Mais plutôt que de le recommencer

Si l’on essayait de le démultiplier.

C’est carrément une idée folle,

C’est presque la révolution !

.

Ça existe depuis les humains.

Fidélité se conjugue au singulier,

Sinon c’est une liaison extra conjugale,

Extra maritale, extra ce que vous voudrez,

Jusqu’à la trahison, et la rupture de contrat.

Légal, le mariage a ses lois, amour n’en a pas.

.

L’on ne peut  légiférer  un sentiment  subjectif

Qui  n’est  autre qu’un  consentement mutuel,

Amour peut être un éternel recommencement

Avec même, sans rupture ou avec séparation.

Se remarier avec le, la, même prête à sourire.

.

Enfin il y a ceux qui y renoncent, en brisant

Ainsi le cercle  de la répétition, frustration,

Pour autant deviendront-ils plus heureux,

Ou tout simplement, moins malheureux.

.

Amour est éternel recommencement

Cela demeure vrai au plan individuel,

Tout autant qu’au plan universel,

Il relie chacun d’entre nous,

Comme une seule entité

Ce qui demeure fou

En tous cœurs

Amoureux

Deux.

.

Dire qu’un amour tournerait

Toujours  en  boucle, en courbe,

Jamais en ligne droite est évidence

Sa loi est de s’établir, de progresser

De se stabiliser, puis de descendre

Jusqu’à ce qu’il se renouvellera !

.

On peut déplorer, pas l’éviter

Il est, mouvement en nous,

Il se régénère, ou meurt.

C’est ainsi, comme ça

On y croit ou pas :

Amour boucle.

.

Fragments

.

L’amour, éternel recommencement,

Pensez-vous, ce serait grave erreur

Ce serait n’apprendre rien de la vie

Un change pour un autre  conjoint

Pour un meilleur et bien différent,

Et cette fois c’est le dernier, le bon.

L’amour est essence, est existence,

Amour est espérance, est substance

Qui ne se marie, ne connait sa chance

Se remarier n’aura rien d’une évidence :

 N’est pas que nouvelle bague…en échange.

Boucler un amour n’est, pour autant, bâcler

Le prochain, tant on y réfléchit, à deux fois,

Nouvelle erreur sera comme exponentielle.

À la troisième union, la boucle est bouclée

Il n’y a plus de fidélité et pour l’éternité,

Mais cela,  on le savait,  dès le début,

Ça n’empêche de le recommencer.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

     Y  a  au  moins                            L                              trois façons,

D’interpréter                              ‘                             telle phrase,

Je recommence                      A                    avec une autre,

Je recommence                   M                  avec  la même,

Je recommence                O              avec  les deux !

Vous, choisissez             U          lequel bon sens,

Amour est essence      R   amour,  existence.

Amour est espérance, amour est substance

Qui ne se marie, con    *    nait pas sa chance

Se remarier n’aura        E    rien d’une évidence

Détrompez-vous,             S        amour s’en moque

Des   promesses,               T         et  des  tendresses,

Il a en lui : tem                *           poralité, éternité

 Et n’aspire qu’à              U           une  seule chose,

Encore, toujours         N         recommencer !

L’amour ne serait   *   réellement qu’un

Éternel   re …  commen  …  cement.

Combien  de   fois,   ai-je  exigé,

De toi, un  gage  de  sincérité,

Preuve même, de tes fidélités,

Alors que je mens    de t’aimer.

.

Fidélité se conjugue   *   au pluriel,

  Et est bien plus que   *         singulier,

   Même folle de lui      *          ou fou d’elle,

   Trop de fois, dur   É      T      de se  remarier.

  Amour est un   T     éternel   N ensemencement.

  À la fin,        E       ça fait bien      E  vraie rengaine,

 Bisous,       R         et mamours et      M       je  t’aime,

  Qui ne        N          sont pas de vous        E    ni d’amant,

 Mais de      E            parole     routine        C     bien vaine

Mais qui     L            peu à peu, vous          N       entraine

À porter      *            vos regards vers         E        ailleurs

Pour tester  R          votre constante       M       ardeur.

Pour  savoir  E        elle vous vaut       M           bien,

Il serait bien    C       de voir       O            la fin

Mais nul ne la connait, nul n’en sait rien,

Amour, commencement sans fin,

Amour est toujours éternel

Recommencement !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Bijou tout en volutes,

Et  tout en rondeurs,

Tout  en  fraicheur

Mis en boucles.

.

730 4

.

Une boucle en bijou symbolise

Évocation d’un recommencement,

Toutefois pas toujours … le même,

Et pas toujours avec … la même !

.

Symbolique

.

Boucles

D’oreilles

Sont indispensables

À votre tenue quotidienne,

Comme à vos tenues de soirée.

 

Que savons-nous de plus sur ce

Bijou beauté, mettant en valeur.

 

L’histoire

 Des         bijoux

D’oreilles               remonte

Aux temps les plus    anciens, ce bijou

Autour est utilisé            comme parure

Dans le monde               entier cultures

Qui le portent.              Lors elles sont

Diverses et va            riées  fonction

De leurs formes,        leurs motif,

Fixations, compositions, prix.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une boucle en bijou symbolise

Évocation d’un recommencement,

Toutefois pas toujours … le même,

Et pas toujours avec … la même !

.

Symbolique 

 .

Les bijoux que nous portons

Contribuent à former notre personnalité.

Certains n’aiment que colliers très fins, discrets,

D’autres sont attirés par des formes larges et visibles.

Chaque personne a        spontanément ses préférences,

Qui diront souvent                       quelque chose de nous.

 

Témoins des                                       histoires de chacun

Ou d’un simple                                      coup de cœur,

Nombre                                           pendentifs sont

Comme                                    un ornement

Et livrent                     leur beauté

En harmonie      avec celui

Celle qui les porte.

.

.

Fond/forme 

 .

Ce bijou peut être une boucle d’oreille, ou autre,

Dont on percevrait bien le début et moins la fin.

.

En amour, si on connait la fin : fort  probable

Qu’on ne  le commencerait pas pour l’éviter.

.

À la troisième union, la boucle est bouclée

Il n’y a plus de fidélité et pour l’éternité,

.

Mais cela on le savait,  dès le début :

Ça n’empêche de le recommencer.

.

.Textuels et illustrations  >>

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Textuels : poème, extensions, fragments

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Textuel poème 

.

  • Il y a, au moins, trois façons  d’interpréter une telle phrase : je recommence avec une autre, je recommence avec la même, je recommence avec les deux !  A vous de choisir votre bon sens, l’amour est essence, et existence, l’amour est espérance en substance : se remarier n’a rien d’une évidence ! Mais qui ne se marie ne risquera rien : détrompez-vous, amour s’en moque des promesses, et des tendresses, il a en lui : temporalité, éternité, et n’aspire qu’à une seule chose : encore et toujours, recommencer. Combien de fois ai-je exigé de toi un gage de sincérité, preuve même de tes fidélités, alors que je mens de t’aimer, fidélité se conjugue au pluriel, et est bien plus que singulier. Même folle de lui, ou fou d’elle, trop de fois, il sera toujours plus dur de se remarier, que se marier bien qu’amour ne soit qu’un éternel recommencement. A la fin, ça fait un peu rengaine, ces bisous, ces mamours, ces « je t’aime », qui ne sont plus, de vous, d’amants, mais de routines, voire de paroles vaines. Et, qui, peu à peu, vous entrainent à porter vos regards vers ailleurs pour tester votre constante ardeur, pour savoir si  elle vous vaut bien, il serait bien d’en entrevoir la fin ! Or nul ne la connait, la fin, nul n’en sait rien, de l’amour, commencement qu’on voudrait sans fin : amour ne serait qu’un éternel recommencement !

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Textuel extensions

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  • L’amour est éternel recommencement : je me répète un peu là, ça boucle : où se trouve la sortie d’un tel labyrinthe où l’on se sent enfermé, à vie ! Plutôt que de le recommencer si on essayait de le multiplier. C’est carrément une idée folle, c’est presque la révolution ! Elle existe depuis les humains. Fidélité, au pluriel : elle ne se conjugue qu’au singulier, sinon liaison extra conjugale, extra maritale, extra ce que vous voudrez, jusqu’à la trahison, la rupture de contrat. Légalement, le mariage a ses lois tandis que l’amour n’en a pas. On ne peut légiférer un sentiment subjectif qui n’est autre qu’un consentement mutuel, donc consensuel, sensuel. L’amour peut être éternel recommencement avec le, la même, sans rupture ou avec séparation, y compris divorce. Se remarier avec le, la, même, prête à sourire, mais non à rire. Enfin, il y a ceux qui y renoncent et brisent ainsi le cercle de la répétition : sont-ils plus heureux pour autant ou tout au plus, moins malheureux. Amour est éternel recommencement : cela demeure vrai au plan individuel, tout autant qu’au plan universel. Il relie chacun d’entre nous, comme une seule entité, ce qui demeure fou en tous cœurs amoureux deux. Dire qu’un amour tournerait  toujours  en  boucle, en courbe, jamais en ligne droite est évidence, sa loi est de s’établir, de progresser, de se stabiliser, puis de descendre jusqu’à ce qu’il se renouvellera !  On peut déplorer, pas l’éviter : il est, mouvement en nous, il se régénère ou meurt. C’est ainsi, comme ça, on y croit ou pas : amour boucle.

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Textuel fragments

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  • L’amour, éternel recommencement, Pensez-vous, ce serait grave erreur, ce serait n’apprendre rien de la vie. L’un change pour un autre  conjoint, pour un meilleur et bien différent, et cette fois c’est le dernier, le bon. L’amour est l’essence, est l’existence, amour est espérance, est substance : qui ne se marie, ne connait pas  sa chance, se remarier n’aura rien d’une évidence, n’est pas que nouvelle bague… en échange. Boucler un amour n’est, pour autant, bâcler le prochain, tant on y réfléchit, à deux fois : nouvelle erreur sera comme exponentielle. A la troisième union, la boucle est bouclée, il n’y a plus de fidélité et pour l’éternité, mais cela,  on le savait,  dès le début, cela n’empêche de le recommencer.

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Illustrations : visuels, scénario et fiction

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Visuels 

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730 1

La première fois, seule, l’envie,

parfois une erreur de jeunesse ;

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730 2

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la seconde, le début de florilège

de fleurs et voire, de tendresses ;

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730 3

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et un jour, l’on commence à s’aimer,

romantiquement et passionnément.

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avec un bijou qui tourne en boucle,

comme le socle d’un beau couple.

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Textuels symboliques et corrélations

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Boucles (d’oreilles)

  • Symbolique de forme : Les boucles d’oreilles sont indispensables à votre tenue quotidienne, comme à vos tenues de soirée. Que savons-nous de plus sur ce bijou beauté, vous mettant en valeur. L’histoire des bijoux d’oreilles remonte aux temps les plus anciens et ce bijou est utilisé comme parure dans le monde entier et les cultures qui le portent. Elles sont diverses et variées, fonction de leurs formes, motifs, fixations, compositions, prix.

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Bijoux

  • Symbolique de fond : Les bijoux que nous portons, contribuent à former notre personnalité. Certains n’aiment que colliers très fins, discrets, d’autres sont attirés par des formes larges et visibles. Chaque personne a spontanément ses préférences, qui diront souvent quelque chose de nous. Témoins des histoires de chacun ou d’un simple coup de cœur, nombre pendentifs sont comme un ornement et livrent leur beauté en harmonie avec celui ou avec celle qui les porte.

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Amour (boucle) > début, recommencement, fin,  fidélité, éternité

  • Liens fond/forme : Ce bijou peut être une boucle d’oreille, ou autre, dont on percevrait bien le début et moins la fin. En amour, si on connait la fin : fort  probable qu’on ne  le commencerait pas pour l’éviter. À la troisième union, la boucle est bouclée : il n’y a plus de fidélité et pour l’éternité. Mais cela on le savait,  dès le début : ça n’empêche de le recommencer.

.Textuels et illustrations  >>

729 – La faim de désirer, amour d’advenir !

Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

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L’amour tarde à venir

Pas d’amour advenir :

Crois, amour  me fuit,

Aucun espoir  ne luit !

 Tout  mon  élan  monte

Dès que  je pense  à lui,

Puis ma libido retombe,

Quand il dit : non, merci.

.

Il est vrai que dès qu’il me faut repartir,

Pour une nouvelle quête, ou,  conquête,

Je me mets de suite vite à faire la fête,

À fond en espérant quelqu’un séduire.

.

La faim de désirer, amour, d’advenir

Faim de bouger,  de  vouloir  partir,

Vers l’inconnu nous ferait souffrir.

.

Malgré tout, on préfère à mourir,

D’ennui, lassitude, de désespoir,

De voir sa vie, en blanc et noir.

.

Alors que les couleurs des soirs

Sont d’arc-en-ciel ou brouillard,

Amour reste un commencement !

 .

Oui, mais de quoi,  d’un firmament,

Non mais bien, de  temps en temps,

D’un affleurement de ses sentiments.

.

Ce n’est que dans un tout nouvel élan

Qu’amour  donne  de beaux éléments

Pour sublimer un nombre d’amants,

En un or pur si ce n’est … diamant !

.

Amour n’est que commencement :

Sans autre fin  que celle mourant

Mais si prenant, en l’attendant,

Qu’on mourra, cœur content.

.

Extensions

 .

L’amour est comme le bonheur, éphémère et intermittent.

Leur quête est, elle, perpétuelle et l’un ne va pas sans l’autre.

Il arrive de passer années, sans trouver, le désirant fortement.

Il arrive  qu’on ne le trouve pas, du tout, ou, qu’on s’en réfère

Aux agences matrimoniales pour la perle rare avec laquelle

Tout va naturellement baigner.

.

J’ai rencontré des hommes me disant qu’ils n’avaient pas

Le temps de chercher, de tenter et qu’ils ne voulaient pas

D’échec, qu’ils voulaient trouver la bonne et à coup sûr.

Voilà des hommes qui ne se nourrissent pas d’échecs

Qui font le lit des sentiments et lors il se produira,

En dépit des précautions prises, ne sauront plus

Que faire à l’avenir, autres ont pour principe :

Une de perdue, dix de retrouver.

.

Tous les cas et tous les coups sont dans la nature.

Vaut-il mieux ne connaitre, et, n’en pratiquer qu’un

Seul partenaire mais à fond et s’y adapter ou plusieurs

Pour s’en faire une idée et choisir le meilleur pour soi,

Quitte à se tromper : à chacun devoir, d’en décider et

De l’assumer car en la matière, les conseils ne valent

Que pour soi-même, peu souvent pour les autres

Du fait qu’on n’est pas à leur place,

Qu’on ne vit pas comme eux.

.

Le désir est un concept d’ordre général, mais autant, particulier :

Tendance qui porte à vouloir obtenir un objet connu ou…imaginé ;

Tendance consciente et suscitée par quelqu’un, aux plaisirs sexuels !

Les deux forment le moteur de nos attentions, et, de nos orientations,

Mais la seconde est plus profondément ancrée dans notre inconscient.

Tout désir est semblable au besoin, il cherchera à combler un manque

Désir se représente but à atteindre, volonté mettre en œuvre moyens.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

L’amour tarde à venir

Pas d’amour advenir :

Crois, amour  me fuit,

Aucun espoir  ne luit !

 Tout  mon  élan  monte

Dès que  je pense  à lui,

Puis ma libido retombe,

Quand il dit : non, merci.

.

Il est vrai que dès  F  qu’il me faut repartir,

Pour une nouvelle   A  quête, ou,  conquête,

Je me mets de suite  I     vite à faire la fête,

À fond en espérant   M  quelqu’un séduire.

   *

La faim de désirer,    D  amour, d’advenir

Faim de bouge de      E      vouloir partir,

Vers l’inconnu nous   *     ferait souffrir.

       D

Malgré tout, on pré  É   fère à mourir,

D’ennui, lassitude   S          désespoir,

De voir sa vie en     I     blanc  et noir.

R

Alors que les      E  couleurs des soirs

Sont d’arc     R en-ciel ou brouillard,

Amour reste    *  un commencement !

A

Oui, mais de quoi  M d’un firmament,

Non mais bien de   O  temps en temps

D’un affleurement  U     ses sentiments.

R

Ce n’est que dans   * un tout nouvel élan

Qu’amour donne   A  de beaux éléments

Pour sublimer un  D nombre d’amants,

En un or pur si ce  V n’est … diamant !

  E

Amour n’est que    N  commencement :

Sans autre fin     I  que celle mourant

Mais si pre   R nant en l’attendant,

Qu’on mourra, le cœur content.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Évocation

Corps de femme,

Pro-ba-ble-ment ;

Corps de femme,

Certainement !

.

729 4

.

Le corps de femme peut-devenir un

Pur objet de désir sexuel,

Mais certains s’en lassent, leur désir,

Tout comme le reste, passe.

.

Symbolique 

 .

Teint clair,

 Petit       pied,

Forme généreuse

 

L’idéal  de beauté  du corps de femme

Évolue avec le temps  puis avec les modes,

Puis, autant, selon les envies des hommes.

 

Aujourd’hui, silhouette prônée à la mode

Sur réseaux sociaux, «people» consiste

En fesses fermes et cuisses charnues,

 

Une poitrine  assez généreuse…

Tout    en  gardant   une   taille

Bien marqué  et  un ventre plat.

 

Idéal, difficile    voire impossible,

À atteindre        naturellement,

Ce qui expli        que explosion

De recours       à toute chirur

Gie d’ordre           esthétique.

 Source : ohmymag.com/news/voici-a-quoi-

ressemble-le-corps-ideal-de-la-femme

.

.

Fond

.

Évocation

.

729 6

.

Le corps de femme peut-devenir un

Pur objet de désir sexuel,

Mais certains s’en lassent, leur désir,

Tout comme le reste, passe.

.

Symbolique 

 

Certaines couleurs telles que le rouge

Ont véritable impact sur notre physique

Ou sur notre mental. Cela est souvent fait

De manière inconsciente, mais son pouvoir

Est bel et bien réel.  Le rouge est une couleur

Qui attire l’œil et provoque du désir.

.

Dès qu’une femme entrera en une soirée avec

Robe rouge, les regards se tournent vers elle !

.

Le rouge symbolise la force, le courage,

Mais également la chaleur. C’est une couleur

Puissante  qui dégage  de l’énergie, mais  peut

Également signifier l’interdit, l’attrait du sang.

femmedinfluence.fr/pouvoir-de-couleur-

rouge-symbolique-des-couleurs

 .

.

Fond/forme 

 .

Le corps de femme est objet de désir,

Mais pas plus que celui d’un homme :

Ça dépend de qui et de quoi l’on désire.

.

Le désir n’est autre qu’inclination vers

Qui pourra se transformer en passion,

Ou en une simple attente de résolution/

.

Désir du corps n’est pas désir d’esprit,

C’est mieux quand les deux soupirent,

Pour le mime objet ou le même sujet.

.

Textuels et illustrations  >>

728 – Amour est bien plus que pénétrations !

Textuels et illustrations   >> 

..

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

..

Pénétration : le mot est lâché

À propos d’acte sexuel consenti

Mais qui pénètre l’autre, en réalité,

L’un, par corps et l’autre, par cœur.

Elle suppose un tel abandon de soi

Que sa fusion perd notion d’entre

Soi et l’autre, quel qu’il soit !

.

Quel regard pénétrant,

Dites-vous, à votre amant

Qui vous déshabille et autant

Le corps, le cœur, l’âme, esprit

Par  son  envahissement d’aimé.

 .

Imagine que tu sois loin de moi,

Qu’on se parlerait

De tout, et de …  n’importe quoi,

Ça nous distrairait :

Imagine, tu t’approches, de moi,

Et que je t’écouterais

À raconter tes peines et tes joies,

Ça nous rapprocherait.

 .

Après, un long  silence  viendrait

En gestes esquissés

Nos «si», et «rais», caresseraient,

En  fonds  inespérés

Et silence charnel, nous toucherait

En jeux très érotisés

Fermant nos yeux bouche mordrait

Nos  chairs  attisées.

 .

Il ne s’agirait pas tant, de conclure,

Que d’être à l’unisson

Lors, hussarde pénétration ne dure,

Le temps d’un son,

Il ne s’agirait pas tant, que j’y entre,

En cœur au ventre

Que de trouver l’énergie pour fendre

En corps si tendre.

 .

Puisqu’en jouir seul, serait te prendre,

Faut le comprendre,

Ton âme n’étant ni à violer ni à vendre,

A te gagner diantre,

Que jouir de toi,  ne serait pas que dire,

Entre deux soupirs,

Que tu es «bonne» et cela va sans dire,

Jusqu’à en mourir.

S’il fallait trouver fin de chanson,

Amour n’est pas

Simple pénétration :

Engagement

À vie.

..

Extensions

 .

La pénétration n’a rien d’une fin en soi,

Elle n’est qu’un moyen, un geste, un dialogue

Pour prouver à quelqu’un qu’on l’aime à ce point.

Enfin, c’est la théorie car en pratique, on peut

Pour  sûr, dissocier le sexe et le sentiment

Lors c’est à chacun de voir et d’assumer

Ses attentes et ses comportements.

.

On compare amour à une cigarette :

D’accord, les deux partent en … fumée,

D’accord les deux sont limités dans le temps,

D’accord les deux sujets dépendance, répétition,

Mais il n’existe rien d’autre  de si vulgaire

Et de si sublime pour un même acte.

.

Ce ne serait donc pas l’acte, en lui-même

Qu’il faut observer mais plutôt son intention.

La pénétration n’est pas exclusive à la femme :

Pour autant, y a-t-il amour : à vous d’en juger !

.

Un seul geste, un seul acte, un seul coït,

Ne peut ni combler, ni résumer, l’amour :

Si certains s’en prévalent, comme preuves,

C’est qu’ils n’auront pas assez de profondeur

Pour qu’ils en en estiment toute la grandeur !

Et en disant cela je ne dis pas qu’il ne faut pas,

De pénétration, simplement qu’elle ne suffit pas.

.

Faire l’amour… sans pénétrations,

Est-ce déjà, voire encore de l’amour

Faut-il consulter communauté LGBT,

Pour espérer avoir fin mot de l’histoire

.

On peut parler de pénétration des yeux

Tout autant que d’un esprit pénétrant,

Pénétration serait un mot embêtant :

Mot valise, où on met ce qu’on veut.

.

Sinon voire ce qu’on peut, mais là,

On dérive, on délire, on fantasme,

Cent façons d’atteindre orgasme,

Ce sera… sans façon… pour moi.

..

Fragments

.

Amour serait tout autre chose

Même s’il inclut pénétration

Pas uniquement pour sexe,

Aussi corps esprit, et âme.

.

Entre fantasme  et  réalité,

Y a fameux passage à l’acte

Comme de coupe aux lèvres

 Foret, vis, ou boucle  ans fin.

.

Peu  après  avoir fait  l’amour

Par la grâce je me sens pénétrer

Par une sorte d’extase, de légèreté

Abandonnant un corps, poids lourd.

.

Comme regard pénétrant envahit esprit,

Je sens comme un lacher-prise pour la vie

 Le temps s’est suspendu, comme inexistant,

En une autre dimension, réalité, je me sens !

.

Si pour certains, pénétration devient obsession,

Ils n’ont rien compris à l’amour, sauf possessions,

L’amour est, d’abord et avant tout, une révélation,

Qui se transformera peu à peu en nombre passions.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme    

.

AMOUR SEXUEL

Pénétration : le mot est lâché

À propos d’acte sexuel consenti

Mais qui pénètre l’autre, en réalité,

L’un, par corps et l’autre, par cœur.

Elle suppose un tel abandon de soi

Que sa fusion perd notion d’entre

Soi et l’autre, quel qu’il soit !

N’EST PAS QUE

Quel regard pénétrant,

Dites-vous, à votre amant

Qui vous déshabille et autant

Le corps, le cœur, l’âme, esprit

Par  son  envahissement d’aimé.

PÉNÉTRATION

Imagine que tu sois loin de moi,

Qu’on se parlerait

De tout, et de …  n’importe quoi,

Ça nous distrairait.

Imagine, tu t’approches, de moi,

Et que je t’écouterais

À raconter tes peines et tes joies,

Ça nous rapprocherait.

Après, un long  silence  viendrait

En gestes esquissés

Nos «si», et «rais», caresseraient,

En  fonds  inespérés

Et silence charnel, nous toucherait

En jeux très érotisés

Fermant nos yeux bouche mordrait

Nos  chairs  attisées.

Il ne s’agirait pas tant, de conclure,

Que d’être à l’unisson

Lors, hussarde pénétration ne dure,

Le temps d’un son,

Il ne s’agirait pas tant, que j’y entre,

En cœur au ventre

Que de trouver l’énergie pour fendre

En corps si tendre.

Puisqu’en jouir seul, serait te prendre,

Faut le comprendre,

Ton âme n’étant ni à violer ni à vendre,

A te gagner diantre,

Que jouir de toi,  ne serait pas que dire,

Entre deux soupirs,

Que tu es «bonne» et cela va sans dire,

Jusqu’à en mourir.

S’il fallait trouver fin de chanson,

Amour n’est pas

Simple pénétration :

Engagement

À vie.

.

Forme

.

.

Évocation

.

La vis à l’infini est faite

Pour faciliter profondément

Toutes sortes de pénétrations,

Y compris consentantes, résistantes.

.

728 4

.

Qu’est-ce qui évoque plus une pénétration

Qu’une vis sans fin :

Or celle-ci ne peut jamais être une fin en soi,

Elle n’est qu’un moyen !

.

Symbolique

 .

Si l’on regarde, analyse

L’œuvre de Marcel Proust,

Il s’agirait là, d’une sexualité

Essentiellement… masturbatoire,

Dont il semble selon commentateurs

Que pénétration active, passive,

Ait   été, radicalement, écartée.

 

Si l’on s’en tient à la définition

Psychiatrique, Marcel Proust

Fut un impuissant primaire,

«Jamais   parvenu   au    coït,

Ni avec une femme ni avec

Aucun partenaire sexuel.»

www.cairn.info/revue-francaise-

de-psychanalyse-2012-1-page-27

.

.

Fond

Évocation 

.

728 6

.

Qu’est-ce qui évoque plus une pénétration

Qu’une vis à l’infini :

Or celle-ci ne peut jamais être une fin en soi,

Elle n’est qu’un moyen !

 .

Symbolique 

 .

 

Le signe de l’infini

Est  un  dessin  représenté

Par  un  8  allongé,  légèrement

Étiré  de  chaque côté,  ressemblant

Comme ouroboros à forme de serpent,

Symbole proviendrait de la déformation

Progressive de la lettre grecque Omega

Pour symboliser extrémité sans fin,

Aspect géométrique rappelle

Une courbe en ligne

Qui se croiserait au milieu,

Quant au  plan… étymologique,

Le mot « infini » vient du mot latin

«Infinitus» qui  signifie  «sans limites ».

En vue d’immortaliser, quelque chose

Qui est fait pour durer toute la vie,

Quelque chose qui a commencé

 Et ne pourra pas se finir

Se répète sans cesse.

 .

 


 .

Fond/forme 

 .

Pénétration est, par définition,

Un mot fort, un mot  percutant,

Qui va jusqu’au fond,  en forme,

À la fois mouvant et émouvant !

.

Entre son fantasme et sa réalité

Il y a le  fameux passage  à l’acte

Comme de la coupe aux … lèvres

Comme du foret en bois ou fer !

.

Amour serait tout autre chose

Même s’il inclut pénétration

Uniquement pour le sexe

Non corps esprit, âme.

.

Textuels et illustrations   >> 

727 – Comment immortaliser amour éternel !

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

..

Amour seul est éternel,

Enfin tant que les hommes

Vivront et     qu’ils  s’aimeront,

Car  chaque     humain,  naissant,

Le  reçoit,  mourant,    le   transmet

À  ses  enfants    puis     aux suivants.

.

Tous ses aléas    en   manifestations,

Dérives,  trahisons, ne l’entravent

Aucunement en sa conservation

De génération à autre nation.

L’on se dit … plus athée…

On change de religion

Or l’amour  demeure

Une bonne valeur refuge.

.

Comment immortaliser amour,

Amour  ne peut pas  être éternel.

Il n’est venu à l’esprit  rien  de tel,

Que de le voir en un nœud coulant

Qui enserre, un moment, sa gorge,

Et jamais plus ne se laissera délier.

.

Que mauvais sang, en tête, se forge

Un instantané situé hors du temps

Et j’en meurs rien qu’en soupirant,

Que le suivant ira en m’étranglant,

Plus encore  que  le dernier vivant.

.

Or  l’instant  ne  m’appartient pas,

À peine l’ai-je attrapé qu’il s’en va,

Jamais, au grand jamais reviendra,

Que je fixe  ou  que je ne le fixe pas.

.

Et qu’à cela ne tienne  ni le retienne,

Tant chaque instant fait qu’advienne

Une autre chose  qui  me surprenne,

Jusqu’à ce, qu’en bras,  il  parvienne

Par souvenir, qui fasse  qu’en traces

Qu’au  moins, pour moi, aura existé.

.

J’aurais voulu immortaliser l’instant

Où  je t’ai rencontré  mais  j’ai tourné

La tête dans brouillard tu t’es fondue,

N’ai capté de toi qu’un regard perdue,

Comme mien, pourtant près d’avouer

Que  l’on s’aimait, déjà, énormément.

.

Comme  en tous vrais contes  de  fées

En mon lit je me suis soudain réveillé

Pris  à la gorge  par un nœud coulant,

Que tu avais tissé au cou, en dormant

Image d’un mariage ou  d’un  ménage

.

Et  tu me l’as desserré : ce  n’était que

Ma cravate s’étant coincée entre nous

L’incroyable  histoire de  vrais   fous.

On se croit pris, rendus  prisonniers.

Ne confondons cravate et pur diktat

Tout reste, et  restera, à  renégocier.

.

Extensions

 .

Comment immortaliser l’amour !

Tout simplement, en le vivant,

Avec ses hauts et ses bas,

Avec ses élargissements

Et ses étranglements,

En  dents  de  scies

Mais   en  avançant.

Fidèle, immortel, éternel

Ne sont que projections irréelles

Qui, comme foi en je ne sais pas quoi,

Nous entrainent  en un présent immobile

Où l’amour n’est plus mortel, encore vivant.

.

Un diamant au doigt à la clef pour la mariée,

La cravate avec nœud  gordien pour le marié :

Pendaison non de crémaillère mais célibataire,

Mais il y a consentement, mais non… libertaire.

Marié ou pendu à la fin de l’année dit un dicton

Certains ne voient pas la différence, disant non.

.

Quelque chose d’immortel

N’est pas forcément éternel :

Les dieux sont dits immortels

Mais  ils sont bien nés, un jour,

Et s’ils n’ont pas toujours existé :

Ils ont un début et donc… une fin !

.

L’amour, lui, serait qualifié d’éternel,

N’ayant pas de début, n’aura pas de fin

Il y aurait de quoi l’assimiler avec Dieu,

D’ailleurs pour chrétien : Dieu est Amour,

Est-ce un tour de passe-passe, pure réalité,

À chacun, en son libre-arbitre, de le décider.

.

Moi, je ne pense pas être un immortel, patenté,

Et je ne pense pas non plus qu’amour soit éternel :

Je me contente donc d’exister, tant que ma vie dure,

Pour le reste, je fais le pari qu’on verra bien hors azur.

.

Fragments

Si l’on imagine que, la mort est une fin,

Amour se renouvelle sans cesse, à l’infini

Il ne dépend pas de nous ni d’ordre divin,

Avec nous naissant, quittant une fois parti.

.

Amour demeure une affaire de transmission,

Déjà dans le ventre de la mère avant d’être né

Puis au long de l’enfance, enfant désiré, choyé,

Plus tard, adulte, pour former couple en union.

.

Couleur interprétée comme plus représentative

Femme en conception, est la couleur blanche :

Le bébé en elle est symbole de pureté, vérité,

Il représenterait comme lumière d’un ange.

.

Chez   certaines  civilisations,

L’arc-en-ciel, symbole de chance,

Est associé, également, à la grossesse :

Ce serait même pureté, vérité, en couleurs

.

Lors, la seule façon de tenter  d’immortaliser

Son amour pour la vie est de concevoir enfant,

Qui à son tour, etc. … et jusqu’à la fin des temps

La fin des humains, en tous cas, car après cela… !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme    

.

Amour seul est éternel,

Enfin tant que les hommes

Vivront et     qu’ils  s’aimeront,

Car  chaque     humain,  naissant,

Le  reçoit,  mourant,    le   transmet

À  ses  enfants    puis     aux suivants.

Tous ses aléas     en     manifestations,

Dérives,    trahisons,   ne l’entravent

Aucunement  en  sa  conservation

De génération à autre nation.

L’on se dit athée…

Change de religion

L’amour demeure

Une valeur refuge.

Comment immortaliser *   amour,

Amour  ne peut pas  être  *  I  éternel.

Il n’est venu à l’esprit rien   *    M   de tel,

 Que de le voir en un nœud     C       M  coulant

 Qui enserre un moment, sa     O          O      gorge

   Et jamais plus ne se laissera   M             R      délier.

      Qu’un mauvais sang en tête  M               T        se forge

      Un instantané situé hors     E                A     du temps

  Et j’en meurs rien qu’en   N             L     soupirant,

Que le suivant ira en     T           I  m’étranglant,

Plus encore que le     *         S   dernier vivant.

Mais l’instant ne    *     E  m’appartient pas,

À peine l’ai-je   *  R  attrapé qu’il s’en va,

Jamais au    *  grand jamais reviendra,

Que je fixe    ou que je ne le fixe pas.

Et qu’à cela ne tienne ni le retienne,

……Tant chaque instant fait qu’advienne

…………..Une autre chose qui        me surprenne,

………………..Jusqu’à ce qu’en bras            il   parvienne

…………………….Par souvenir, qui fasse              qu’en traces

……………………….Qu’au  moins,  pour  moi,              aura existé.

………………………J’aurais voulu immortaliser      *        l’instant

…………………….Où je t’ai rencontré mais j’ai      *  *        tourné

…………………La tête, dans brouillard, tu t’es   U         É    fondue,

……………..N’ai capté de toi qu’un regard    N               T  perdue,

…………Comme le mien pourtant près à   *                   R    avouer

…. Que l’on s’aimait, déjà, énormé    A                       N    ment.

  Comme en tous vrais contes      M                        E   de fées

En mon lit je me suis soudain  O                       L  réveillé

Pris à la gorge par un nœud   U                     ?  coulant

Que tu avais tissé au cou en  R               *  dormant

  Image d’un mariage,  un     *            * ménage….

Et tu me l’as desserré, ce     *     * n’était que

Ma cravate s’étant coincée *  * entre nous

L’incroyable  histoire de       vrais   fous.

On se croit pris, rendus  prisonniers :

Ne confondons cravate et pur diktat

Tout reste, et  restera, à  renégocier.

.

Forme

.

.

Évocation

.

La silhouette d’une jeune

Femme en conception,

Comme vue de profil 

Avec écho du bébé.

.

727 4

.

À défaut d’immortaliser l’amour,

Pouvoir le concrétiser :

Dans la conception du bébé qui

Le prolonge, à témoin !

 . 

Symbolique 

.

La couleur

Perçue    la     plus

Re-pré-sen-ta-tive

De femme en

Conception est le blanc,

Symbole de pureté et vérité,

 Il représenterait    la lumière

 Et,  avec elle,           les anges,

  Tant la femme             portera,

    En elle, toutes                 les vies.

     Le blanc évoque               ra aussi

    Le lait maternel                  par sa

   Teinte  et  pour sa              pureté.

   Chez   certaines  civi        lisations,

    L’arc-en-ciel, symbole   de chance,

   Est également associé à la grossesse.

En Chine, on dit que l’empereur Fou-Hi

Aurait bien été conçu sous un arc-en-ciel.

.

.

Fond

Évocation 

.

.

À défaut d’immortaliser l’amour,

Pouvoir le concrétiser :

Dans la conception du bébé qui

Le prolonge, à témoin !

.

Symbolique 

 .

Attendu

Durant 9 mois

Bébé est enfin là !

 .

Tout votre quotidien est

Désormais   chamboulé, et

Il  va  falloir  vous  organiser.

 .

Quelle alimentation privilégier :

Lait  maternel   ou  bien  infantile

Et  comment  éveiller  votre enfant

Accompagner  son  développement.

 .

Ensuite quel mode de garde choisir 

Comment constituer sa garde-robe,

Comment prendre soin de sa santé,

Tant physique que psychologique.

parents.fr/bebe

 .

 .

Fond/forme 

 .

Cela se conçoit bien que ce mot aurait

Cinq ou six acceptions en dictionnaire,

Tout serait conception dans les débuts

Qu’il s’agisse d’enfant,  œuvre,  esprit,

Tant le vocabulaire de l’enfantement,

A servi de métaphore pour création,

On trouve embryon pour brouillon,

Développement pour maturation,

On parle d’accoucher une action.

.

Textuels et illustrations >>

726 – Sans toi, je ne serais pas … moi… nous !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Sans toi, que serais-je,

Prisonnier de ma solitude

Il n’y aurait pas de nous,

Et sans toi, pas d’émois,

Me rendant des plus fous.

.

Avec toi, je rentre

Comme en une bulle,

Où rien ne peut  arriver

De fâcheux, de malheureux

Me stressant comme honteux.

.

Sans toi, je ne serais pas moi :

Sans toi, on ne  serait pas nous

Y a rien à ajouter, de vous à moi,

Tout est dit, c’est histoire de fous.

.

Sans toi,  je ne ferais pas  le poids,

Sans toit, je ne serais pas, avec toi,

Restaurant, tu fais  régime, galère,

Fine bouche pour t’envoyer en l’air.

.

Sans émoi, je ne serais pas ton roi,

Sans quoi, je ne serais que pour toi,

Prince éveillant chez toi, un soupir

Qu’un manant éteignant ton désir.

.

Avec toi et moi l’on a fait un nous,

Mélangé  mains avec  nos  genoux,

Et sans aller plus loin à chaque fois,

Que caresse, baiser, regard, bon aloi.

.

J’ai écouté battre ton cœur, cent fois,

Emballé, ralenti par un je ne sais quoi

Qui m’avait semblé  capturer  mystère

Brulant avant que tu retombes à terre.

.

Sans toit, il me parait certain qu’en soi,

Notre amour ne serait dans un tel état-là,

Serait plus raisonnable avec plus d’amitié

Que de cette trempe, des plus folles…à lier.

..

Extensions

 .

Sans toi, je ne serais pas moi :

C’est dingue de penser cela.

Je ne suis pas devenu

Un autre que j’ignorais.

Je suis le même et différent

Et c’est seule chose que je crois.

.

Est-ce moi, est-ce toi ou est-ce nous

Qui avons changé, ce serait ce nous qui,

À lui seul,  nous surprendrait  par la force

De notre désir de nous confondre  dans une

Entité nouvelle ce n’est pas qu’une  addition,

Pas une superposition, est une multiplication

De nos projections présentes, et à venir, pour

Se construire, durer contre vents et marées.

.

Sans toit, je ne me sentirais pas  protégé,

Lors, seul, je me sentirais très calfeutré

En espace vide d’altérité, générosité.

Je ne vivais que pour moi,

Mais aujourd’hui, avec toi,

Je vis pour nous mais pour les gens

Que nous aimons, familles, amis, collègues.

.

Toi et toit se rapprochent le plus souvent

Sans toi, je ne serais plus un bon amant

Sans toit, je ne serais pas bien protégé

Sans foi ni loi je me sentirais aliéné,

Sans ceci et cela, je ne serais rien.

.

Quelle différence … avec  et sans : tester là.

Un bon moyen de creuser un attachement.

On pourrait y associer  un toit  et une foi,

 Toi pour moi, toit sur toi, plus foi en toi !

.

Sans toi, il ne pourrait  y avoir  de nous,

Toutefois, sans toi serais-je encore moi :

À moitié peut-être, encore peut-on l’être,

Mais quelle moitié pourrais-tu m’enlever !

.

Arrêtons de tergiverser sur les mots toi et moi.

Moi je suis bien moi, je reste moi et toi, t’es toi.

Le «nous» qui en serait l’addition est conceptuel,

Est notre enveloppe commune et voire spirituelle !

.

Fragments 

.

À présent,  après tout ce temps

Passé avec toi, comme amants,

Tu fais tellement partie de moi,

Je ne me reconnaitrais sans toi.

.

Doux aveu s’il en est d’un amant,

Mais autant,  dépendance de toi :

C’est pas tant question : comment

Ferais-je sans toi, mais  pourquoi.

.

Mon identité personnelle, croisera

Tant la tienne,  que je me fourvoie,

Si je dis que tu penses comme moi

Sans savoir si c’est moi qui le dira.

.

Mais cela n’entraine aucune fusion

Et lors pas d’avantage de confusion

Nous resterons deux êtres uniques,

C’est  bien cela qui est…fantastique

.

Toi, moi et nous : sommes identités,

Jouant chacun leurs rôles, partitions

Je ne peux te dire moi c’est moi et toi,

Tais-toi, sans me réduire à une nullité !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Sans toi, que serais-je,

Prisonnier de   ma solitude

Il n’y aurait          pas de nous,

Et sans toi,                pas d’émois,

Me rendant                   des plus fous.

.

Avec toi, je rentre

Comme en      une bulle,

Où rien ne          peut  arriver

De fâcheux,           de malheureux

Me stressant                comme honteux.

.

Sans toi, je ne serais pas moi :

  Sans toi, on ne       *   serait pas nous

Y a rien à ajouter S         : de vous à moi

Tout est dit, c’est   A               I    histoire fous.

Sans toi je ne ferais  N              O       pas le poids,

Sans toit je ne serais  S         T       pas, avec toi,

Restaurant, tu fais     *      régime, galère,

Fine bouche pour t’envoyer en l’air.

.

Sans émoi, je ne serais pas ton roi,

Sans quoi, je ne   * serais que pour toi,

Prince éveillant  N        S  chez toi, un soupir

Qu’un manant  E                I  éteignant ton désir

Avec toi et moi   *                 A   l’on a fait un nous,

Mélangé mains   S          R   avec  nos  genoux,

Et sans aller plus   E    loin, à chaque fois,

Que caresse, baiser, regard, bon aloi.

.

J’ai écouté battre ton cœur, cent fois,

Emballé ou ralenti par N  *     un je ne sais quoi

Qui m’avait semblé   I                S capturer mystère

Brulant avant que tu  *                   U retombes à terre.

Sans toit, il me parait  M               O   certain qu’en soi,

Notre amour ne serait  O         N dans un tel état-là,

Serait plus raisonnable  I  avec plus d’amitié

Que de cette trempe, des plus folles à lier.

.

Forme

.

.

Évocation 

On peut voir un bracelet

Tout aussi bien qu’un

 Cairn de pierres 

C’est un choix !

.

 .

Il n’y aura rien ici qui va ensemble

Bracelet, pierre et toi sont distincts

l’on aura beau travailler la forme

elle ne se rapprochera du fond !

.

Symbolique 

 .

Outre ses

 Fon-cti-ons

Décoratives,

Bracelet est au service de multiples

Autres fonctions,  nombre intentions.

 

Ces fonctions sont très variables selon

Les époques et les cultures, mais aussi

 

Selon les croyances ou les perceptions

Propres à l’individu qui porte le bijou.

 

Il est néanmoins possible de distinguer

Quelques  fonctions  plus  spécifiques :

 

Le bracelet, plus que  tout autre bijou,

Signifie le Partage  et  la Communion.

Constitués

De maillons

 En-chaî-nés.

Lyn-et-or-bijoux.com/content

.

Outre ses

 Fon-cti-ons

Décoratives,

Bracelet est au service de multiples

Autres fonctions,  nombre intentions.

 .

Ces fonctions sont très variables selon

Les époques et les cultures, mais aussi

 .

Selon les croyances ou les perceptions

Propres à l’individu qui porte le bijou.

 .

Il est néanmoins possible de distinguer

Quelques  fonctions  plus  spécifiques :

 .

Le bracelet, plus que  tout autre bijou,

Signifie le Partage  et  la Communion.

Constitués

De maillons

 En-chaî-nés.

Lyn-et-or-bijoux.com/content

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

726 4

.

Cinq pierres empilées allant de la plus grosse

 À la plus petite :

C’est notre cairn constituant notre repère

Et un repaire à la fois

.

Symbolique 

 .

Le symbolisme des pierres

Représente la solidité, durée,

Et chaque pierre a le sien

Le cristal, la pureté,

Et le marbre, l’éternité.

.

Sous peine de délire, d’arbitraire,

Symbolique de la pierre reste dans

Le cadre du règne minéral, tient

Compte  des  caractéristiques

De la pierre qui serait une

Matière minérale  solide

Plus  ou  moins…  dure

Que l’on rencontrera

Souvent en masses

Très  compactes

 À la surface,

Dans sol.

Source : Wikipédia

.

.

Fond/forme 

 .

La somme des parties est égale au tout :

Qui ne connait cette équivalence ensemble,

 .

Pourtant je suis entier quand je me regarde

Or il me semble bien manquer quelque chose

Ce petit quelque chose, c’est toi, et c’est tout,

 .

Ne jouons pas sur les mots, tu es ma moitié

Je l’ai même déclaré au maire et au curé.

.

Textuels et illustrations  >>

725 – Tout devient une question de frontière !

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

                           La frontière, entre nous,

                        Le Monde, comme chacun sait,

                      Est notre peau, et sa représentation

                     Agit autant comme filtre qui connait.

                      Fonction des distances proxémiques,

                       Selon origine  des gens, rencontrés,

                         Étranger, plus  loin que   familier,

                           Frontière  psychique… physique.

                            La frontière, ultime, intimité,

                              Nécessite proche séduction

                              Le corps ne pourrait

                              Une âme…toucher,

                              L’intérieur recèle

                               Autre attention !

                     .

                        Tout reste une question frontière,

                     Entre soi, et les autres,  et le monde :

               Les matières et les objets s’agrègent,

        Les êtres vivants restent autonomes.

    Même  en couple, et, dans  l’intimité,

 Demeurera, toujours, cette frontière,

Faisant qu’on ne pourra se mélanger

L’un et l’autre, comme des matières.

 L’extérieur reflète parfois, l’intérieur

   D’une personne, par ses expressions,

      Mais, parfois, c’est tout le contraire ;

           Rien ne filtre comme porte de prison.

                Ne rien communiquer  de l’intérieur :

.

                 À quoi l’on pense, à quoi  l’on réagit,

                      Serait tout un art qui s’apprend petit,

                        Se donnant l’air détaché …  supérieur.

                      Il n’y a que les paroles  et  les pensées

                     Qui se conjuguent, à fond, à volonté :

                  L’esprit ne saurait avoir de frontières,

             Déborde de partout, en fusion entière.

        C’est, qui sait, la principale causalité,

     Pour préférer les images,  aux réalités,

  Esprits se retrouvent après notre mort,

Nos corps ne s’unissent pas aussi  fort.

Entre intérieur  et extérieur : frontière

Le corps nous délimite franchement

À l’intérieur l’esprit, autrement

Se fait voir, miroitière,

L’âme est reflet,

Imparfait,

Aura.

.

Extensions

 .

Tout est question de frontière

Que l’on peut franchir, ou non !

Gardez une distance proxémique

Avec un inconnu est une obligation

Bien plus  qu’avec  un être  familier.

.

Toute  frontière, corporelle, demeure,

L’un  dans d’autre, lors  toute  frontière

Sémantique s’amenuise l’un avec l’autre,

Et spirituelle se confond l’un pour l’autre.

Frontière entre nous et les objets est floue

Dès lors que  l’on peut  les porter  sur soi.

.

Entre  objets, elle  l’est, bien plus, encore

On peut les assembler, combiner, mixer.

Réduire, augmenter frontière, distance,

Entre nous avec les objets, c’est ce que

Nous faisons tous les jours, avec plus

Ou moins de succès voire de rejets.

.

Toute frontière dépend de limite à franchir ou ne pas dépasser

Elle peut être matérialisée  par la jonction de deux territoires.

Comme le « no man’s land » qui  sépare  deux états ennemis,

Elle peut être déplacée ou redéfinie, par contrat entre amis,

Elle peut provoquer  des surprises  ou  des gènes, si violée.

Entre humains, on appelle : la proximité, la proxémique

Souvent, à cinquante centimètres, l’alarme s’allume !

.

Toute frontière désigne ou signifie

Une limite existante ou imaginaire

À ne pas dépasser, voire enfreindre,

Sous peine de fâcheuses contraintes.

.

En matière psychologique, sociologique

Elle reste loin d’être la même, pour tous,

Faut tâter  le terrain, tant, s’il est hostile,

L’inconnu pourrait devenir votre ennemi.

.

Il est des lieux, des moments et situations

Où l’on s’approche de l’autre à le toucher :

Je peux vous citer une danse collée-serrée,

Mais après quoi, envie flirter : pas touche.

.

Fragments

.

Frontières évoque barrières,

Délimitations,  démarcations,

Limite, mur, séparation, lisière,

En deçà et au-delà  de sa nation.

.

Parfois franchir frontière interdite,

Requiert course de plus grand danger

On  peut se faire prendre, rejeter, tuer.

Lois ne sont pas mêmes de chaque côté.

.

En rêve, courir peut représenter la fuite

Qui devient loin d’être toujours positive

Rêver  de courir, mais sans y parvenir

 Est signe que tout va mal, paralysé !

.

La peau est notre frontière ultime,

Si elle est nue, victime d’agression

Physique, physiologique, pudique,

Voire même quelquefois ethnique.

.

L’intimité constitue une frontière

Entre soi et l’autre : de proximité,

Pas de passeport, droit à toucher,

Que permission ou consentement.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme   

 .

                       TOUT RESTE

                     La frontière, entre nous,

                        Le Monde, comme chacun sait,

                      Est notre peau, et sa représentation

                     Agit autant comme filtre qui connait.

                      Fonction des distances proxémiques,

                       Selon origine  des gens, rencontrés,

                         Étranger, plus  loin que   familier,

                           Frontière  psychique… physique.

                            La frontière, ultime, intimité,

                              Nécessite proche séduction

                              Le corps ne pourrait

                              Une âme…toucher,

                              L’intérieur recèle

                               Autre attention !

                      UNE QUESTION

                        Tout reste une question frontière,

                     Entre soi, et les autres,  et le monde :

               Les matières et les objets s’agrègent,

        Les êtres vivants restent autonomes.

    Même  en couple, et, dans  l’intimité,

 Demeurera, toujours, cette frontière,

Faisant qu’on ne pourra se mélanger

L’un et l’autre, comme des matières.

 L’extérieur reflète parfois, l’intérieur

   D’une personne, par ses expressions,

      Mais, parfois, c’est tout le contraire ;

           Rien ne filtre comme porte de prison.

                Ne rien communiquer  de l’intérieur :

   DE FRONTIÈRE   

                 À quoi l’on pense, à quoi  l’on réagit,

                      Serait tout un art qui s’apprend petit,

                        Se donnant l’air détaché …  supérieur.

                      Il n’y a que les paroles  et  les pensées

                     Qui se conjuguent, à fond, à volonté :

                  L’esprit ne saurait avoir de frontières,

             Déborde de partout, en fusion entière.

        C’est, qui sait, la principale causalité,

     Pour préférer les images,  aux réalités,

  Esprits se retrouvent après notre mort,

Nos corps ne s’unissent pas aussi  fort.

Entre intérieur  et extérieur : frontière

Le corps nous délimite franchement

À l’intérieur l’esprit, autrement

Se fait voir, miroitière,

L’âme est reflet,

Imparfait,

Aura.

.

.Forme

.

.

Évocation

.

Silhouette d’un homme,

Vu de profil, qui court,

D’accord, mais vers où, 

Et vers quelle intimité !

.

725 4

.

Pour qui, derrière, devant qui,

Coures-tu, aussi pressé ainsi :

Tout est question,  de distance,

De proximité et de frontière !

  .

Symbolique 

 .

Courir

Est un symbole,

Pour   montrer

Que l’on

Avance, vite, dans la vie,

Mais ça peut  représenter,

Également,  une fuite,   qui

N’est pas toujours positive.

Rêver  de faire  un  footing

Pourra traduire  un besoin

De faire, un peu, de sports,

Prendre soin de son corps.

Si tu rêves  que tu veux  te

Mettre à courir, mais  que

Tu n’y arrives pas …  c’est

Le signe que tu as du mal

À avancer en ce moment

Profession-nel-lement,

Sen-timen-talement

Spirituellement.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-

symboles-de-reve/courir/

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Pour qui, derrière, devant qui,

Coures-tu, aussi pressé ainsi :

Tout est question,  de distance,

De l’intimité et de frontière !

 .

Symbolique

 .

L’intime n’est pas une valeur

         Appartenant en propre à l’individu

               Mais dépasse, les frontières du charnel

                   Et transcende alors les limites du corporel

                  Que l’on s’était fixé au départ,  par le respect

                  Nécessaire de la pudeur (socle indispensable à

                La relation de confiance). Cet aspect de l’intime,

            Prend naissance dans l’espace de la rencontre.

         Il est facilité par le rapport au corps dénudé,

     Il est la possibilité d’un espace de création

Où l’intime émerge dans l’entre deux

D’une relation de soins ou autre.

cairn.info/revue-gerontologie

-et-societe1-2007-3-page-211.

 .

.

Fond/forme 

 .

Si la peau est notre frontière ultime

Je veux dire si elle est nue ou  victime

D’agressions physiques, physiologiques.

 .

Alors  toute distance  et  toute proximité,

Prendront des connotations existentielles

Tendre la main n’est pas… tendre la joue.

 .

Parler  face hygiaphone, est non direct,

Respecter frontière avec un inconnu :

Prêt à courir si l’on perçoit danger

Qu’il percute fort notre intimité.

.

Textuels et illustrations >>

724 – Mon corps qu’un bel amour subordonne

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

 C’est sûr : l’état amoureux

Conditionne notre corps

Par plein d’hormones

Encore … et encore

Et plein de choses

Vont  se modifier.

Déjà … l’appétit

Puis  le sommeil

Fatigue   et  stress,

Plus vite disparaissent

Bonne humeur, humour

Plus vite … apparaissent.

.

C’est mon corps qu’un bel

Amour en moi subordonne

Mon corps qui  … se repose,

Qui lutte et qui s’abandonne

Qui s’active,  souffre  et jouit,

Toujours, en  donnant, de lui,

Sa part  belle, des plus actives.

L’amour,  de quoi,  ou, de qui ?

.

D’abord, et, avant tout : de lui !

Mais de l’estime d’autres, aussi.

Il donne en aucun cas, le change

Duran  son plus intime  échange,

De fait si mon esprit parti ailleurs

Mon âme deviendra hors bonheur

.

Je   demeurerai fatigué comme lui

Si ce n’est même très fatigué de lui,

Même si pour tout il  me  supporte,

Même quand je   frappe, à sa porte,

Toujours il m’aide  il me transporte

Mon  corps, beau, pour lui, est laid

Pour d’autres, du moins, commun,

Est seul  que  j’ai, et  qui  lui plait.

.

Il n’a, pourtant, rien  de  si divin.

Pour qu’on  le prenne  en main

Lové  en ce creux où il se met,

Se met  à bouger   et à jouir,

Jusqu’à  n’en  plus dormir,

Jusqu’au dernier soupir,

Qu’il  laisse  s’alanguir.

.

Et je remplis ma nuit

De ma folle  pensée,

De recommencer,

Et, aujourd’hui,

À me reposer,

À  réactiver,

Mon désir

Incarné.

.

Extensions

 .

Corps qu’un bel amour subordonne,

Qu’un tendre baiser déboutonne,

Relâchant de tous ses muscles

Lors les caresses le parcourent, du haut en bas.

Il vibre, à fond, à l’intérieur, rempli de joies et d’hormones

Et, à l’extérieur, en sa peau, pétrie de pores  qui  frissonnent,

Le tout montant jusqu’au cerveau, ou des pieds jusqu’à la tête.

.

Le matin, il se lève d’un bon pied, prêt à affronter la journée

Émaillée de mille et une péripéties mais qui le rendront

Des plus aguerris. On le croit, fatigué, lassé, exténué,

Mais en un lit, il retrouve un fond secret d’énergie

Qu’il a préservé pour faire honneur à sa chérie.

.

Le corps trouve de l’énergie… insoupçonnée

Par l’intermédiaire de l’amour… physique,

Le corps de l’homme sera constitué ainsi

Qu’il est presque toujours prêt à emploi.

Celui de la femme est soumis à des lois

Qui la mettent en condition ou pas,

Si ce n’est prétexte, ne veut pas !

.

Mon corps est mon apparence, identité,

Mon corps est ma corpulence et agilité,

Mon corps est résonnance émotionnée,

Mon corps apporte énergies d’activités.

.

Et en deçà, au-delà, de lui, de tout cela,

Mon corps, par amour, est subordonné,

N’est autre que véhicule de mes pensées,

Ressent, en lui, comme frisson d’éternité.

.

Il faiblit, vieillit, parfois même en maladie

Mais il reste fidèle à l’amour que j’ai de lui,

Et que je distribue, à tout alentour, çà et là,

Dont je réserve, la majeure partie, pour toi !

.

Fragments

.

Amphore et iceberg sont métaphores

La première pour parler de la femme,

Seconde pour parler de l’inconscient,

Pour les deux, elles se correspondent.

.

Corps est ce qui  se voit, se sent,  agit,

L’amour est ce qui est invisible en lui,

En lui, disons plutôt en cœur et esprit

Toute son histoire personnelle, sociale

.

Tant la forme évoquera comme fond

La tête, le corps,  la jambe, le pied,

L’amphore a un peu de tout cela,

À l’intérieur,  contenu est subtil.

.

L’amour est  sujet d’hormones,

L’amour est sujet d’émotions,

L’amour est affaire de cœur

 Et autant de l’inconscient !

.

La symbolique amphore

Est très représentative

 De  l’origine  de la vie,

Est liée  à la femme,

Génératrice de vie.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

C’est sûr : l’état amoureux

Conditionne notre corps

Par plein d’hormones

Encore … et encore

Et plein de choses

Vont  se modifier.

  Déjà   M     l’appétit

 Puis le  O      sommeil

Fatigue   N       et stress,

Plus vite    * disparaissent.

Bonne hu     C   meur, humour

Plus   vite        O        apparaissent.

C’est mon           R        corps qu’un bel

Amour en             P        moi subordonne

Mon corps             S               qui se repose

Qui lutte et             *           qui s’abandonne

Qui s’active,            Q            souffre, et jouit,

Toujours, en            U            donnant, de lui,

Sa part belle,             ‘             des plus actives.

L’amour,  de             A         quoi,  ou, de qui ?

D’abord, et,              M      avant  tout : de lui !

Mais de l’est              O      ime  d’autres, aussi.

Il donne, en               U     aucun cas, le change

Durant   son              R     plus intime échange,

De fait si mon            *     esprit, parti, ailleurs

Mon  âme  devi         S      endra hors bonheur

Je   demeurerai        U        fatigué comme lui

Si ce n’est même      B        très fatigué de lui,

Même si en tout      O          il  me  supporte,

Même quand je      R         frappe, sa porte,

Toujours il aide     D        il me transporte

Mon corps, beau   O        pour lui est laid

Pour d’autres       N       sinon commun,

Est seul que j’ai  N      et qui lui plait.

Il n’a pourtant   E    rien de si divin.

Pour qu’on le      prenne en main

Lové dans le creux où il se met

Se met  à bouger   et à jouir,

Jusqu’à n’en  plus dormir,

Jusqu’au dernier soupir,

Qu’il  laisse  s’alanguir.

Et je remplis ma nuit

De ma folle  pensée,

De recommencer,

Et, aujourd’hui,

À me reposer,

 À  réactiver,

Mon désir

Incarné.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un beau corps est

 Aussi  une  belle

Mé-ta-phore,

Amphore.

.

724 4

.

L’amour devenant très fort se renferme

En son amphore

Où les deux corps n’en feront plus qu’un

Belle métaphore !

.

Symbolique 

 .

La  symbolique

De l’amphore

Est connectée avec

 L’origine de la vie

 .

Est indubitablement liée à la femme

Et  à sa qualité  génératrice  de vie.

 .

La   métaphore est, toujours, celle

De la femme  comme  conteneur

Comme dispensatrice de la vie

 .

De même que Le graal étant

Lui-même un conteneur,

Il possède  aussi   cette

Image  du  vase  en

Symbole créé

Divin.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

724 6

.

L’amour en devenant très fort se renferme

En son amphore

Où les deux corps n’en feront plus qu’un :

Belle métaphore !

 .

Symbolique 

.

Une métaphore

Figure de style consistant

À désigner une idée ou chose

En employant un autre mot

Que  celui  qui  conviendrait.

.

Il est  lié  à la chose  que l’on

Veut  désigner   par  rapport

De ressemblance approchée.

Elle est  régie   par l’analogie,

Constituée de deux éléments,

Le comparé et le comparant,

Premier  est  l’objet, personne

Ou la chose  que l’on compare

Second ce à quoi on rapproche.

.

Lors par exemple, si l’on dit ceci :

«Cette femme est une véritable déesse»,

« Femme» est bien évidemment le comparé

Et « Déesse» bien évidemment le comparant !

Source : Alanguefrancaise.com/litterature/metaphore

 .

.

Fond/forme 

.

Amphore comme métaphore du corps

Aucune ne pourrait bien lui ressembler

Mais la forme, l’évoquera comme fond ;

 .

La tête,  le corps,  la jambe,  le pied

L’amphore a un peu de tout cela

À l’intérieur, contenu est subtil.

 .

L’amour est sujet d’hormones,

L’amour est sujet d’émotions,

L’amour est affaire de cœur

 Et autant de l’inconscient :

Tout amour subordonne !

.

Textuels et illustrations  >>

723 – Les hommes ne savent pas ce qu’ils veulent !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Hommes ne savent pas

Ou bien   ne savent plus,

Ce qu’ils veulent, désirent

Confondant amour, plaisir.

La femme  est  alors, à la fois

Objet  et sujet  d’un processus,

Qui les attire   ou  qui les rejette

Idéal féminin fait de soumission,

Mâle domination battu en brèche

Les perturbent, en détermination

Du choix de femme au niveau,

.

Lorsque c’est dans

L’égalité différence

Que se joue, l’inten-

Sité et permanence.

.

Lors il s’attache à une femme même par jeu,

Autre, il ne sait qu’en faire mais reste envieux.

Envie, désir, besoin, sexe, tromperie, jalousie :

Une sémantique que l’on nous distille à foison

Avec pour but d’élargir, restreindre la liberté :

Pommes, de discordes, d’amours, de poisons,

L’un se retrouve en enfer, l’autre en paradis

Pour crime d’infidélité, ou excès de félicité.

 .

  Car, si c’était l’homme qui faisait la femme,

Ce serait, parfois, la femme qui le défait :

Même si  c’est  le couple, amour, sésame,

Car l’un dans l’autre, rien n’est parfait.

.

Pendant que l’homme prend la femme,

La femme le comprend ou  l’enflamme,

Ils sont en interaction, pour atteindre

Des points culminants à enfreindre.

Le véritable amour, serait ailleurs,

Et, le chercher  au fond d’un trou,

Ou devant lu,i se mettre à genoux,

N’enchaine pas  un vrai  bonheur.

 .

Ce serait l’homme qui fait la femme

Un tant soit peu, et réciproquement,

Ce serait l’enfant,  qui fait le parent,

Cœur, corps, esprit, sexe, puis âme !

.

Voir, écouter, sentir, toucher, goûter :

Les voilà bien  nos cinq sens  corporels

Et friands de sensations émotionnelles,

Pour combler un grand vide existentiel,

Nous empêchant de vivre non de rêver,

Et amour fait naître sentiment d’amitié

Pour le rendre, désormais, permanent :

L’un, recevant, quand l’autre, donnant,

 .

Femme n’est  pas  l’envers  de l‘homme,

Elle est en tout également  complément,

Si, c’est bien  l’homme  qui fait la femme,

 La femme fait l’homme et réciproquement.

.

Extensions

 .

Les hommes ne savent pas

Souvent   ce   qu’ils  veulent,

Alors que les femmes sauraient

Toujours ce qu’elles ne veulent pas

Vrai, faux, voire ce n’est le contraire.

.

Il n’y a pas de loi générale ni universelle

D’une  telle différence entre les deux sexes,

C’est aussi, surtout une question de caractère

Et d’éducation et de culture et voire civilisation.

.

L’égalité en tout est un leurre et n’a pas lieu d’être

Comme si homme/femme étaient interchangeables.

Ils ne le sont pas, il ne le faut pas : différents

Mais complémentaires, reste naturel !

.

Les hommes ne savent pas ce qu’ils veulent,

Nombreuses femmes, non plus : c’est la vie.

Tout dépend de ce que l’on attend de l’autre

Et de ce qu’il pose, propose et voire impose

Relation amoureuse, un contrat compose !

.

Les hommes demandent en mariage

Ils font même une belle déclaration,

En offrant bague  d’alliance, sacrée.

.

Les femmes demanderont le divorce

Hommes ont peu courage pour cela

S’il trompe, il n’arrive pas à choisir.

.

Fragments

.

Hommes ne savent pas ce qu’ils veulent

Les mots mêmes de nombre de femmes,

Lors il faut s’engager  pour fonder foyer,

Donnent la réponse : plus tard, on verra

.

Un nombre d’hommes seront interpellés

Par demandes  d’égalité totale, sexuelle,

Sans compter économiques et sociétale,

Fin de la femme, au foyer, fini, circulez !

.

Un faux problème qui ne fait plus débat,

Tout accord, au sein d’un couple, se fera,

Même si, en texte,  ne font partie contrat,

Trahir ses promesses, serait très indélicat.

.

De nos jours nous vivons dans l’instabilité :

Il faut s’y adapter c’est pas près de changer

Les cartes son rebattues, sont redistribuées,

À chacun d’en tirer parti, selon ses volontés.

.

La volonté permet d’effectuer une sélection

Entre tous  désirs, et choisir d’en accomplir

Certains d’entre eux et renoncer à d’autres,

«Sublimation» de sentiment et de la raison.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Hommes ne savent pas

Ou bien   ne savent plus,

Ce qu’ils veulent, désirent

Confondant amour, plaisir.

La femme  est  alors, à la fois

Objet  et sujet  d’un processus,

Qui les attire   ou  qui les rejette

Idéal féminin fait de soumission,

Mâle domination battu en brèche

Les perturbent, en détermination

Du choix de femme au niveau,

Lorsque c’est dans

L’égalité différence

Que se joue, l’inten-

Sité et permanence.

.

Lors il s’attache à une femme même par jeu,

Autre, il ne sait qu’en faire mais reste envieux.

Envie, désir, besoin, sexe, tromperie, jalousie :

Une sémantique que l’on nous distille à foison

Avec pour but d’élargir, restreindre la liberté :

Pommes, de discordes, d’amours, de poisons,

L’un se retrouve en enfer, l’autre en paradis

Pour crime d’infidélité, ou excès de félicité.

HOMME

  Car, si c’était l’homme qui faisait la femme,

Ce serait, parfois, la femme qui le défait :

Même si c’est le couple, amour, sésame,

Car l’un dans l’autre, rien n’est parfait.

.

Pendant que l’homme prend la femme,

La femme le comprend ou  l’enflamme,

Ils sont en interaction, pour atteindre

Des points culminants à enfreindre.

Le véritable amour, serait ailleurs,

Et, le chercher au fond d’un trou,

Ou devant lui se mettre à genou,

N’enchaine pas un vrai bonheur.

NE SACHANT

Ce serait l’homme qui fait la femme

Un tant soit peu, et réciproquement,

Ce serait l’enfant,  qui fait le parent,

Cœur, corps, esprit, sexe, puis âme !

Voir, écouter, sentir, toucher, goûter :

Les voilà bien  nos cinq sens  corporels

Et friands de sensations émotionnelles,

Pour combler un grand vide existentiel,

Nous empêchant de vivre non de rêver,

Et amour fait naître sentiment d’amitié

Pour le rendre, désormais, permanent :

L’un, recevant, quand l’autre, donnant,

PAS CE QU’IL VEUT 

Femme n’est  pas  l’envers  de l‘homme,

Elle est en tout également  complément,

Si, c’est bien  l’homme  qui fait la femme,

 La femme fait l’homme et réciproquement.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

La silhouette d’un homme

D’âge mûr et  en vue de dos,

En une posture immobile, 

Ne sachant que vouloir.

.

723 4

.

Des hommes  et pas un en particulier,

 Au le contraire :

Un homme sait ce qu’il ne veut pas,

Pas ce qu’il veut !

.

Symbolique 

 .

Symboles

De masculinité

Évoluent  avec

Le temps

Et selon

L’endroit du globe où on se trouve.

On retrouve des symboles phalliques

Aux temps, reculés, de notre histoire !

 .

Ces symboles  représentaient, à la fois,

La virilité, et la fécondité de l’homme.

 .

En Europe,  lors  de la  christianisation,

Ils ont, peu à peu, disparu, trop associés

 .

 Purement, et simplement, à l’acte sexuel.

over-blog.com/Quel_est_le_symbole_de_lhomme_

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

723 6

.

Des hommes en général, pas un en particulier,

 Au le contraire :

Chaque homme sait-bien ce qu’il ne veut pas,

Pas ce qu’il veut  ni combat !

 

Symbolique

.

La volonté

Peut, d’une part,

Valider  et  voire 

Con-fir-mer

 Un désir :

Je désire si fort réussir à réaliser un objectif

Que je dis le « vouloir », ce qui n’est pas le cas

Pour de simples souhaits voire de vagues désirs,

Elle peut d’autre part s’opposer  à certains désirs.

Je désire dormir or je veux cependant d’abord finir

Un travail, ce qui me poussera à agir à l’encontre de

Mon désir spontané. Volonté permet ainsi d’effectuer

Une sélection entre nos désirs, choisir d’en accomplir

Certains d’entre eux et donc  de renoncer à d’autres.

La volonté apparaîtra donc comme la reprise ou la

Sublimation d’un désir au niveau de l’intelligence

Ou de la raison. En ce sens, elle est plus réfléchie

Et moins spontanée que le désir seul.

fr.wikipedia.org/wiki/Volonte (philosophie)#Desir_et_volonte

 .

.

Fond/forme 

.

L’homme aura  treize définitions

Dans  le   dictionnaire  Larousse

Et il n’y en a que six pour femme

Allez-vous y retrouver avec cela !

.

La femme ne serait-elle que moitié

Un faux débat, s’il en est : égalité !

.

On confond parfois homme et mâle

Synonymes : hardi, vigoureux, viril.

.

Kipling Tu seras un homme, mon fils.

Est-à-dire tout le contraire d’efféminé !

.

Textuels et illustrations  >>

722 – Des jours avec et des jours sans…sans toi

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

^

Sans

Et  avec,

Avec et sans,

Avec qui et sans,

Comblé, ou frustré,

Ou pourquoi exister !

.

Car si je compte l’année

Combien de jours …  avec,

Combien de jours  …   sans :

Balance penche  de quel côté ?

.

Sans, c’est évidemment, sans toi :

Tu es la seule qui compte pour moi !

Qu’en est-il de ta part, pressée ou non,

De me revoir pour encore se rencontrer.

.

      Des jours avec et des jours sans,

  Sans qui,  sans toi,  au demeurant :

  Car jours sans sont surtout… sans toi,

    Toi  qui m’accueille  lors j’ai foi en toi !

.

  Je doute de tout y compris de moi-même,

    Mais de ton amour, pas, exception extrême,

    M’aimeras-tu assez pour supporter mon être,

    Sans cesse hésitant entre : oui, non, peut-être !

.

     Saches qu’un jour, avec,  compte double avec toi

    Et même triple ou quadruple quand je suis à toi !

   De dire que  je ne suis rien, ne fait pas de toi, tout,

   Dépendant, pour sûr, mais, pas toujours pour tout.

.

  Moi, j’ai ma vie, à finir, de construire, et de réaliser,

  Mais, je le pressens, qu’elle ne finira pas sans t’aimer

   Car j’ai bien plus de jours «avec» que de jours «sans»  

   Avec toi, tout près de moi et même loin au demeurant.

.

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

.

Extensions

 .

Un jour «sans», n’est pas tout à fait sans,

Même si ça peut paraitre paradoxal :

Tu es toujours là, en pensée.

Un jour «avec» peut devenir «sans»

Si tu ne t’intéresses à moi,

Réciproquement, bien que présente.

.

Jamais tout à fait sans,

Jamais tout à fait «avec» ou le contraire

De ceux qui sont toujours collés l’un à l’autre.

Certains paraissent «avec» l’autre en communauté,

Public, se comporteront en réalité «sans», en privé.

Y a des jours  sans»  de chaque côté  de l’Atlantique,

Et «avec» par téléphone, par courriel ou visiophone.

.

Y a des jours «sans» quand l’autre est parti «avec»

Un autre, plus encore s’il a disparu, définitivement.

Apprendre à faire «sans», on l’a fait pour sa mère

Dès l’âge de deux ans  mais c’est plus un «sans»

Provisoire, on se doute bien qu’elle va revenir,

Qu’elle ne peut que revenir, qu’elle a disparu

Physiquement, mais non, affectivement !

.

Tout le monde emploie l’expression : des jours avec et sans

Avec quoi et sans quoi : la réside la question et la solution

Avec toi, tes  paroles m’envoûtent et au point le plus haut

Avec toi, ma guitare retrouve sons et accents langoureux

Avec toi, mon cœur bat fort, lors, sans toi, électro… plat

Avec toi, mon sang bout : je perds vite mon sang froid.

Sans toi, que deviendrai-je tant tu es la moitié de moi.

.

Amour impliquera non sans

Sinon que serait-il vraiment

Bien que pauses s’imposent,

Et que peu de couples, osent.

.

L’amour est comme un soupir,

L’amour inspire comme expire,

Même la musique a des silences

Qui feront comme son d’absence

.

Ce ne sont pas les absences courtes

Qui pousseront à tentative tromperie

Ce sont les occasions, les opportunités,

Sachant que chair est faible, esprit aussi.

.

Les premières années du couple, on les subit,

Les suivantes on les espère, pour elles, on prie,

Et lorsqu’ainsi vont les choses et ainsi va la vie :

L’absence fait prendre recul en prendre son parti.

.

Fragments

.

Sans et avec ne serait jamais pareil

Ce, en toute occasion,  circonstance,

On passerait de l’ennui à… merveille,

Impensable de les mettre en balance.

.

Avec toi et sans toi, mais cela va de soi,

Les jours avec sont marqués d’une croix,

Jours sans sont effacés de mon calendrier

Sont comme jours gâchés ou mal appariés

.

Un jour avec toi, compense la semaine sans,

Un jour avec toi,  et me voilà  au firmament,

Un jour avec toi, sera comme sapin de Noël,

Un jour avec toi, lors ma vie sera  très belle.

.

C’est dire si tu me manques à  quel point,

Que sans toi, je me sens n’être plus rien,

Que chien délaissé attendant à la porte

Cet être  qui, cœur et âme, l’emporte.

.

L’on dirait presque  une supplique,

Attendant qu’on donne la réplique

Qui conviendra pour que « sans »,

Se transforme en « avec » autant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

.

^

Sans

Et  avec,

Avec et sans,

Avec qui et sans,

Comblé, ou frustré,

Ou pourquoi exister !

Car si je compte l’année

Combien de jours …  avec,

Combien de jours  …   sans ?

Balance penche  de quel côté ?

Sans, c’est évidemment, sans toi :

Tu es la seule qui compte pour moi !

Qu’en est-il de ta part, pressée ou non,

De me revoir pour encore se rencontrer.

.

    L    Des jours avec et des jours sans,

E    Sans qui,  sans toi,  au demeurant :

S    Car jours sans sont surtout… sans toi,

*     Toi  qui m’accueille  lors j’ai foi en toi !

J    Je doute de tout y compris de moi-même,      J

O    Mais de ton amour, pas, exception extrême,     O

U    M’aimeras-tu assez pour supporter mon être,     U

R    Sans cesse hésitant entre : oui, non, peut-être !     R

S                                                                                              S

*     Saches qu’un jour, avec,  compte double avec toi     *

S    Et même triple ou quadruple quand je suis à toi !    A

A   De dire que  je ne suis rien, ne fait pas de toi, tout,    V

N   Dépendant, pour sûr, mais, pas toujours pour tout.   E

S                                                                                                    C

*   Moi, j’ai ma vie, à finir, de construire, et de réaliser,    *

T   Mais, je le pressens, qu’elle ne finira pas sans t’aimer   T

O   Car j’ai bien plus de jours «avec» que de jours «sans»  O

I   Avec toi, tout près de moi et même loin au demeurant.  I

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Si ce n’est pas un sapin,

Quand bien même artificiel,

Lors ce serait quoi d’autre sinon

Pour  ma  part : très  éphémère !

.

722 4

.

Un sapin, d’accord que ça couvre,

Ça protège, et même rassure :

Mais un sapin sans moindre racine,

Ne pourra être qu’éphémère

.

Symbolique 

 .

«En haute

Montagne, il enlace

Rochers de racines puissantes,

S’enfonce dans les nuages

.

Et produit lui-même, en répandant

Ses aiguilles, le peu de terrain

Nourricier  dont il  a besoin  pour vivre.

.

En  plaine,  le sapin  commun

Protège Ses rejetons de ses vastes

Ailes comme une poule des plus majestueuses.

.

La tempête éclate, on entend craquer

Dans leur chute, toutes branches mortes

Grincer mystérieusement les cimes qui se heurtent.

.

Magique est l’antique forêt de sapins,

Magique et sacrée comme notre Mère originelle,

Comme la venue au monde »

reliance9.free.fr/Page_verte/sapin

.

.

Fond

 .

Évocation

.

722 6

.

Un sapin, d’accord que  ça couvre,

Ça protège, et même rassure :

Mais un sapin sans moindre racine,

Ne pourra être qu’éphémère

Symbolique

.

La fleur de cerisier dure

À peine plus d’une semaine.

Sa beauté et sa luminosité

Ne sont que passagères.

.

Elle symbolisera  ainsi

La fragilité de la vie,

Son caractère éphémère.

.

C’est aussi une métaphore

De  l’impermanence

Des phénomènes,

Notion centrale

Bouddhisme.

ecoutelebois.com

.

.

 Fond/forme 

Un jour avec un sapin, jour sans,

N’a ni queue ni tête, est éphémère

Tandis que, pour toi, aura un sens

Ainsi  la forme différera  du  fond.

 .

Le manque est salutaire, voire destructeur :

C’est selon si on le supporte ou pas du tout.

 .

Un jour ça va, deux jours, ça va … trois …

 .

Bonjour les dégâts comme verres d’alcool

On est pressé de faire l’amour, pas différé

 .

Peut-être que l’amour reste trop sexualisé,

Ou qu’on aurait peur de ne plus  être aimé !

.

 Textuels et illustrations  >>

721 – Amour n’est pas chose que l’on possède

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Amour de possession,

Possession de l’amour :

Ça sent  la manipulation,

Manque certain d’humour.

.

L’amour n’appartiendra pas,

À l’un des deux  …   conjoints :

Partagé,  certes,  entre les deux,

Mais, pas  sans égale  réciprocité.

.

Celui qui  prétend  détenir l’amour,

N’y connait rien, ne le vend pas bien,

Il prendra ses désirs pour des réalités.

.

L’amour  commence par  un a : l’autre !

Amour n’est pas chose que l’on possède

Processus aimant  auquel … l’on cède !

Présent naissance, nous est transféré

Par nos parents en faisant de nous

Fille ou garçon,  bons à marier.

.

Amours  humaines, combien

Manières  sont autorisées,

Ne   sommes  animaux

Que l’on prive libertés.

.

Nos jeux  et positions,

Sont tous inventoriés,

Rien dans nos unions

À perdre  ni à gagner.

.

À tort,  sinon  à  raison,

On échappe de sa prison,

À moindre envie de liberté

Pour en retrouver le frisson,

 Par échanges   et   nouveautés,

Espérant échapper à la répétition

D’un vécu en rêve ou en imagination

Avant de le pratiquer, remettre passion.

.

Passion se partage, processus, se fusionne

En union en état de grâce après  effet extase

Qui se prolonge le long de   jours d’inaction.

.

L’homme, très  vite  son cerveau  se remet

À gamberger met son membre en tension

Lors, chez femme  cette pause de félicité

Dépend d’humeur hormones, émotions.

.

Différences notables  bien que subtiles,

Parfois entre   être une fille, un garçon.

L’amour est passion  et pas  possession,

Affaire d’émotions, plus que de raisons !

.

Amour ne se conquiert pas, à coups de bâton :

Ne pas confondre séduction et argumentation,

Et ne voilà-t-il pas pourtant, que votre passion

Aurait, soudainement  pris, de vous, possession,

Amour de possession devient alors un oxymoron.

.

Extensions

 .

Toute possession, en amour,

N’est pas gage de propriété.

L’autre restera propriétaire

De son corps, de son esprit

De son âme, plus  encore !

.

Toute possession humaine

Est tentante et rassurante

Mais d’un tout autre côté,

Délirante, voire aliénante.

.

On ne possède que choses,

À la rigueur,  des animaux,

L’esprit, la culture, et  l’art,

Nous échappent par nature.

.

Possession par un diable, possédé par un violeur :

La première n’est que  fantasme, lié à ange mauvais,

La seconde est bien sexuelle et laisse des traces réelles

L’exorcisme : sort de cet être qui ne t’appartient pas,

Outrage, sujet aliéné n’est pas indemne de l’objet.

.

On dit d’une personne possessive :

Qui éprouve un besoin de domination

Excessive sur son conjoint, ses enfants.

.

La possession révèle un certain égoïsme ;

 La jalousie peut être une preuve d’amour.

.

Possessif vient du manque de confiance,

 Du besoin d’avoir le contrôle, complexe !

.

Quoiqu’il en fût, voire quoiqu’il en soit

Possesseur est une personne toxique.

.

À quitter, à fuir, s’il ne change pas :

On perd son temps, ne gagne pas :

Facile, conjoint ; difficile, enfant.

.

Fragments

.

Si l’on peut prétendre à posséder

Quelqu’un, quelqu’une,

En aucun cas, l’on ne l’enfermera,

En amour, qu’il n’a pas.

.

L’amour, comme l’air, pluie, vent,

Ne s’achèterait pas,

Même avec la plus grosse fortune,

Cela n’y suffirait pas.

.

C’est comme tonneau des Danaïdes,

L’amour est sans fond,

Plus on le remplit, plus il s’échappe,

L’amour est sans nom.

.

Un courant d’air entre deux orifices,

Un bonheur, ne reste

Même en consentant à tous sacrifices

S’en va, mauvais geste.

.

L’amour sexuel est des plus éphémères

L’amour filial, demeure

L’amour maternel rappelle notre mère

Et ce jusque l’on meurt.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Amour de possession,

Possession de l’amour :

Ça sent  la manipulation,

Manque certain d’humour.

L’amour n’appartiendra pas,

À l’un des deux  …   conjoints :

Partagé,  certes,  entre les deux,

Mais, pas  sans égale  réciprocité.

Celui qui  prétend  détenir l’amour,

N’y connait rien, ne le vend pas bien

Il prendra ses désirs pour des réalités.

.

*************************************

*************************************

.

L’amour  commence par  un a : l’autre !

Amour n’est pas chose que l’on possède

Processus aimant  auquel … l’on cède !

Présent naissance,  nous est transféré

Par nos parents,  en faisant de nous

Fille ou garçon,  et, bons à marier.

Amours    L  humaines, combien

Manières         sont autorisées,

Ne   som   A      mes animaux

Que l’on   M   prive libertés.

Nos jeux   O   et positions,

Sont tous   U  inventoriés,

Rien dans    R  nos unions

À perdre ni   *    à gagner.

À tort, sinon  N      à raison,

On échappe   ‘   de  *  sa prison,

À moindre     E  envie  *   de liberté

Pour en re    S     trouver        O    le frisson

 Par échan    T          ges et nou         N       veautés,

Espérant      *         échapper à la        *      répétition,

D’un vécu   P         en rêve,  ou en           P imagination

Avant de    A       le pratiquer, remet        O   tre passion.

Passion       S     se partage, processus,     S     se fusionne

En union      *   en état de grâce après     S       effet extase

Qui se prolon  C     ge le long de          È  jours d’inaction.

L’homme, très  H     vite  son       D    cerveau  se remet

À gamberger met  O     son    E     membre en tension

Lors chez femme   S      *     cette pause de félicité

Dépend d’humeur       E hormones, émotions.

Différences   notables   bien que  subtiles,

Parfois entre   être une fille, un garçon.

L’amour est passion et pas possession,

Affaire d’émotions, plus que de raisons !

.

Amour ne se conquiert pas, à coups de bâton :

Ne pas confondre séduction et argumentation,

Et ne voilà-t-il pas pourtant, que votre passion

Aurait, soudainement  pris, de vous, possession.

Amour de possession devient alors un oxymoron.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un  vase  commun

Et doté d’un col étroit

Comme en  bel  orifice 

Ouvert sur tous désirs ?

.

721 4

.

Tout orifice n’est pas un vase,

Bien que doté, que l’on possède,

Et que droit d’usage  fasse partie

Intégrité de femme est inaliénable.

.

Symbolique

.

Le vase est un contenant :

La boîte, le sac, l’armoire,

Le vase et un symbole féminin.

Dans  le  vase,  on  met  de  l’eau,

Symbole de la vie,  de la terre aussi,

Une plante, qui pourra s’y développer.

Les alchimistes appelaient aussi  vase

Le creuset dans lequel ils projetaient

Leurs transformations intérieures.

Ce lieu clos est propice à image

De    renfermement    sur  soi

Le temps   d’une  élévation

Niveau de sa conscience.

signification-reves.fr/Vase

.

.

Fond

 .

Évocation

.

721 6

.

Tout orifice n’est pas un vase,

Bien que doté,  que l’on possède,

Et que droit d’usage fasse partie

Intégrité de femme, inaliénable.

.

Symbolique 

.

Les orifices naturels ne

Sont pas les seuls à être étudiés :

Il est aussi parfois question d’orifices

Artificiellement créés, ouvertures du corps

Qu’il faut fermer ou d’orifices symboliques.

Au travers  des orifices, d’autres relations,

Entre intérieur, extérieur se construisent

Soit dans la perception de l’autre par

Les odeurs  ou par l’emploi d’injures,

En France, faisant référence aux

Orifices du corps de l’autre

Ou de ses proches.

journals.openedition.org/amades/955

.

.

Fond/forme 

 .

Ouverture servant d’entrée

Ou d’issue à certains organes,

Selon le dictionnaire Larousse !

Oribouche pour l’entrée aliments,

Orifesses pour la sortie de déchets.

On trouve aussi trou, en synonyme,

Mais il y a aussi le nez et les oreilles,

Sans oublier sexe masculin, féminin.

L’un plein, l’autre vide, et à remplir,

Mais c’est vue mécaniste de choses,

Qu’on ne possède, qu’on suppose.

.

Textuels et illustrations  >>

720 – Amour, très tard, n’est jamais trop tard

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Amour très tard,  mais trop tard :

Jamais, tant  que l’on est  vivant,

Même s’il paraît très prétentieux,

Vouloir convoler en justes noces,

Sur  son  lit, de  mort, funèbre !

.

L’amour prendrait des formes

Et différentes  et divergentes,

Fonction âge et de maturité.

Mais cet élan restera même,

De cœur, d’esprit, à l’autre,

Lorsque son corps vieillit.

.

Beaucoup   renoncent,

Pour des raisons qui

N’en    seront  pas ;

Autres  continuent

Pour   raisons   qui

 N’en sont pas  plus !

.

Amour,  lors  très tard,

Ne sera jamais trop tard

Comme un enfant, bâtard,

Conçu par un pur hasard.

.

Tant que  la sève  monte

Elle remplit sans honte

Sa fonction d’orgasme,

Guérit tout sarcasme.

.

Lors  cerveau  prévaut

Sur une bête à deux dos,

Quand  poèmes jaillissent,

En fluides, entre les cuisses.

.

Avant, ou pendant voire après,

Pareil  à  quelque    chose près,

Comme un mystère qui court.

.

C’est fini, pour cette fois, tandis que  rien n’est

À refaire, tout  reste à traduire, dans  les  faits,

Sinon, dans d’autres façons, d’être  aussi  bon :

L’amour en tous cas peut tirer parti de la leçon.

.

Extensions

 .

L’amour n’a pas d’âge, ne saurait en avoir :

Dès  trois ans, et jusqu’à  cent ans, et plus,

Il se manifeste sous ses formes possibles,

Dont la plus simple et, la plus courante

Est connue  sous le nom  d’empathie.

.

L’amour sexuel, en a un, certes mais

Quand il a débuté, il n’a plus de fin,

À ce que l’on dit bien que les exemples

Ne soient pas légion … parvenus à cent ans,

Noces de papier, noces d’argent, d’or, de platine…

Forment comme un chapelet qu’on égrène à exhiber

Sinon sa fidélité, constance, avec le même partenaire.

.

Ce sont les enfants et petits-enfants qui en seront fiers

Tout en disant que cela ne risque pas de leur arriver !

Mais les noces d’or ne se pratiqueraient plus guère,

Lorsque par ailleurs découvrir le véritable amour,

À soixante ans, vrai coup de tonnerre, en sa vie.

.

On aura quitté son premier conjoint, quand

Les enfants sont partis  et l’on consacrera

Le restant de sa vie à répare cet erreur

De casting du début qu’on a trainé

Avec soi à cause des enfants.

.

L’amour n’a pas d’âge mais pour autant il ne sera pas éternel

 À supposer qu’il le soit, comme une valeur, comme un principe,

Pour nous il est fatalement, définitivement, inscrit dans la durée

S’il est vrai aussi qu’il ne serait jamais trop tard pour le déclarer

Il y a un âge d’or où il fleurit naturellement, comme toute rose

Voir un couple voit très âgé s’embrasser en choque certains

Et pourtant c’est le signe que l’amour dure toute la vie

Monde où l’on devra cacher son amour à un âge

Sera déshumanisé et vidé de tous son sens.

Qu’on se le dise, qu’on s’en persuade

Avant qu’il ne soit trop tard

Pour le défendre

Fendre.

.

Fragments 

.

L’amour, comme chacun sait,

N’a pas d’âge, est parfois volage,

Quand il ne se tient  sur un nuage,

Tant il se cache bien où ça lui plait !

.

Je suis trop vieux… je vais tombant :

Le temps est venu, du renoncement :

Si compagne me sera sympathique,

L’amante me rendrait pathétique.

.

Et si le cœur ne tiendrait plus,

De faire l’amour serait malvenu,

Pour tout y a un temps bienvenu,

Si on ne l’a pas vécu avant : foutu !

.

L’on peut en avoir gros  sur le cœur,

De se dire qu’on va finir, sa vie, seul,

Mais existe autre forme de bonheur,

Comme de revivre beaux souvenirs.

.

J’ai été  comme vous êtes : jeune,

Vous serez comme je suis, vieux.

Le sablier se vide  tout le temps,

Amour ne dure qu’un moment.

.

L’amour se vit différemment,

Lors on s’en va en vieillissant

Mais se tient en nous encore,

Tant que l’on n’est pas mort.

.

Lors,  que faut-il  en retirer :

Tout arrêter, tout continuer,

Amour n’est jamais trop âgé

C’est à chacun d’en décider !

.

Illustrations : visuels, scénario et fiction

.

Calligramme

.

Amour très tard,             A           mais trop tard :

Jamais tant  que           M            l’on est  vivant,

Même s’il paraît         O         très prétentieux,

Vouloir convoler      U           en justes noces,

Sur  son  lit, de      R            mort, funèbre.

L’amour pren      *          dra des formes

Et différentes    T         et divergentes,

Fonction âge    R      et de maturité.

Mais cet élan  È     restera même,

De cœur, es   S     prit, à  autre,

Lorsque son  *  corps vieillit.

Beaucoup   T     renoncent,

Pour des   A  raisons  qui

N’en        R    sont pas ;

Autres    D continuent

Pour rai   !   sons  qui

 N’en sont     pas  plus !

Amour,  lors  très tard,

Ne sera jamais trop tard

Comme un enfant, bâtard,

Conçu par un    pur hasard.

Tant que la     *    sève monte

Elle remplit      T     sans honte

Sa fonction         R     d’orgasme,

Guérit  tout           O        sarcasme.

Lors cerveau            P             prévaut

Sur une bête à            *           deux dos,

Quand  poèmes            T           jaillissent,

En fluides entre              A           les cuisses.

Avant, pendant                 R           voire après,

Pareil à quelque                 D            chose près,

C’est un mystère                  !               qui court.

********************************************

À  ……..

C’est fini, pour cette    *      fois, tandis que  rien n’est

À refaire, tout  reste     V      à traduire, dans  les  faits,

Sinon, dans d’autres     O      façons, d’être  aussi  bon :

L’amour en tous cas      I     peut tirer parti de la leçon. 

R ……….

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un sablier mesurant

Le temps  des  amours

 Comme celui  de la vie,

Étant affaire de cœur.

.

720 4

.

Quand on est plus âgé, on est plus tendre,

Faire l’amour est sous sablier.

Le cœur il est vrai est plus fort, rapide,

Animal, quand on est jeune !

.

Symbolique 

 .

Le sablier représente le temps qui s’écoule.

Selon iconographie, est parfois représenté

Avec des ailes d’oiseau, de chauve-souris,

Symbolisant la fugacité temps qui passe.

.

Les allégories  du  Temps  ou  de  la Mort

.

Portent souvent un sablier, par extension

Celles de la mélancolie : il a pu être utilisé

Comme symbole d’attente en informatique,

Remplaçant le curseur de la souris indiquant

Que le système d’exploitation est en train d’agir.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

720 6

.

Quand on est plus âgé, on est plus tendre,

Faire l’amour prend du temps.

Le cœur il est vrai est plus fort, rapide,

Animal, quand on est jeune !

 .

Symbolique 

.

Le cœur est un symbole courant

Utilisé depuis l’Antiquité pour représenter

Le centre, organe cœur, d’activité émotionnelle,

Tout autant que spirituelle, morale, intellectuelle.

Cœur de couleur rouge est principalement utilisé

Comme un des symboles universels de l’amour

Et il sera, parfois, traversé par une flèche

Illustrant ainsi l’intervention d’Éros,

Ou brisé, et représentera alors

Déconvenue amoureuse.

Selon le contexte,

Symbolise

Santé

Vie

 .

 .

Fond/forme 

 .

Certains mettront un long moment

Pour découvrir le véritable amour,

Restent célibataire, faute de temps,

.

Et soudain, l’amour est dans le pré

Et il y restera pendant une éternité

D’autres s’y reprennent, divorçant,

Plutôt que de s’aimer en se forçant.

.

Que ce soit à quinze ou soixante ans

L’élan reste le même avec sentiment

Que c’est la bonne, bon an, mal an !

.

Textuels et illustrations  >>

719 – L’un dans l’autre, amants ne s’entendent

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

L’un dans l’autre, et, réciproquement,

Amants ne s’entendent pas toujours baisant

Quand l’un parle sexe et l’autre  parle sentiment

Comment savoir, lequel, des deux, aime vraiment !

Corps d’athlète, et rempli d’épithètes, d’un homme,

En pleine virilité,

Laisse augurer, pour la femme, le vrai plaisir d’être

Pour l’aimer.

Vrai que, lors la femme dira  connaître un homme,

En  largeur,

Cela voudra dire qu’elle aura testé   son sentiment,

Et s’est confiée

À lui, pour être sûre de son authenticité toujours

Meilleure défense  

Est de dire « non » à ses avances contre et pour,
Diktats d’amours.

Les yeux, la bouche,  l’extérieur,  d’une femme,

Son   apparence,

Laisse augurer chez l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand l’homme dit connaître  une femme,

Hors   hauteur,

Ça signifie qu’il a pratiqué son intimité,

En profondeur.

Pour éteindre tous désirs en flammes

A l’intérieur,

Leur corps devient seul oriflamme

Du bonheur. 

L’un en l’autre, réciproquement,

Belle redondance,

S’il en est, mais  bien  inutile,

Et bien cependant,

Pas souvent facile à utiliser

Profondeur de l’un

Qui n’atteindrait, jamais,

Intensité de l’autre.

Tant l’un  dans   l’autre,

Et réciproquement,

 Amants ne s’entendent,

Ou bien   se distendent,

Lors de trouble étrange

Qui jetterait un doute,

Sur l’accord parfait

Qui sans cesse

Renaitrait,

Ou faux

Vrai

V

.

Extensions

 .

L’un dans l’autre,

Et réciproquement,

Amants se cherchent,

Amants     se trouvent,

Amants s’entrouvrent,

Amants s’éprouvent,

Se quittent et se

Retrouvent,

Ne projettent

Que bénéfice du sexe

Et lorsqu’il s’étiole font

Un complexe de vide,

Et voire    de néant.

Perte du contact,

Perte du désir :

Substitutions

Des plaisirs !

.

L’amour d’un couple d’amants a donné lieu à nombre de tableaux,

Tous expressifs, voire interprétatifs, dans nombre des plus beaux

Et que ce soit dans l’adoration de la chair de l’amante au repos

Ou dans l’aveuglement d’un baiser …  des plus fantomatiques

Ou dans l’abandon d’un corps dénudé en nature bucolique.

L’amour ne souffre pas d’être traité de manière vulgaire,

Ne se contente pas davantage du sentiment de plaire,

Il se veut être : le sujet, et l’objet, de tous les soins,

Transpire d’un tableau comme un pur parfum.

.

Les amants par ci, les amants par-là,

Amants font ceci … amants font cela,

Mais que veut dire amants, en ce cas,

Sont-ils autant spirituels  que sexuels

Durent-ils le temps qu’une hirondelle

Que se passe-t-il, après lui, après elle.

.

Il y aurait comme une faille ou fêlure

Pour que jamais toute la vie ne dure,

Tel bel élan ayant fait, d’eux, amants,

Or, sur des socles inconnus, baisant.

.

Lentement, insidieusement, le doute

S’instaure sur intention, projection,

De l’un sur l’autre, réciproquement,

Jusqu’à ce que, plutôt brutalement,

.

La vérité éclate, faute d’authenticité

Je croyais que … tu m’avais dit que,

Et voilà que… l’on se serait trompé.

.

Fragments

.

Le pouvoir de pénétration d’une plume

Peut être direct et  fort :

Je parle de l’esprit et du cœur mais cela

Transpire dans cette écriture !

.

Chacun des amants cherche mêmes choses

Désir et plaisir, sont des choses qu’ils osent,

Même que pour cela multiplient leurs poses,

Perçoivent, à ce moment-là, leur vie en rose.

.

J’ai pris ma plus belle plume, pour apothéose,

Écris poème de ma main : défendre leur cause

Et sa calligraphie me conduit vers calligramme

Texte original, appliquant nouveau programme

.

Transformant la matière  de ce que j’aurais dit,

Dans une forme où compte, autant, la manière,

Pour peu qu’on utilise un poème  comme pivot,

Pour qu’ainsi texte/image, s’entendent amants.

.

Il en serait de même  pour nombre des amours,

On écrit texte comme un brouillon, d’une traite,

On le corrige, on le peaufine, l’améliore et le fige

Et lui donne une forme le sublimant plus encore.

.

Exercice à deux où l’homme apporte arguments,

La femme le contrarie lors apportant sentiment,

Un tel dialogue se déroulant aussi entre amants,

Pourra se faire sous une seule tête, en l’écrivant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

L’UN DANS L’AUTRE

L’un dans l’autre, et, réciproquement,

Amants ne s’entendent pas toujours baisant

Quand l’un parle sexe et l’autre  parle sentiment.

Comment savoir, lequel, des deux, aime vraiment !

AMANTS NE

Corps d’athlète, et rempli d’épithètes, d’un homme,

En pleine virilité,

Laisse augurer, pour la femme, le vrai plaisir d’être

Pour l’aimer.

Vrai que, lors la femme dira  connaître un homme,

En  largeur,

Cela voudra dire qu’elle aura testé   son sentiment,

Et s’est confiée

À lui, pour être sûre de son authenticité toujours

Meilleure défense  

Est de dire « non » à ses avances contre et pour,
Diktats d’amours.

Les yeux, la bouche,  l’extérieur,  d’une femme,

Son   apparence,

Laisse augurer chez l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand l’homme dit connaître  une femme,

Hors   hauteur,

Ça signifie qu’il a pratiqué son intimité,

En profondeur.

Pour éteindre tous désirs en flammes

A l’intérieur,

Leur corps devient seul oriflamme

Du bonheur. 

L’un en l’autre, réciproquement,

Belle redondance,

S’il en est, mais  bien  inutile,

Et bien cependant,

Pas souvent facile à utiliser

Profondeur de l’un

Qui n’atteindrait, jamais,

Intensité de l’autre.

Tant l’un  dans   l’autre,

Et réciproquement,

S’ENTENDENT

 Amants ne s’entendent,

Ou bien   se distendent,

Lors de trouble étrange

Qui jetterait un doute,

Sur l’accord parfait

Qui sans cesse

Renaitrait,

Ou faux

Vrai.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Plume de stylo encre

Probablement,

Pour composer une écriture

 Assurément !

.

719 4

.

Le pouvoir de pénétration d’une plume

Peut être direct et  fort :

Je parle de l’esprit et du cœur mais cela

Transpire dans cette écriture !

 .

 Symbolique 

.

La plume, le stylo,

Symboles du pouvoir ?

Les chefs d’État font-ils

Partie d’un club

Qui vise le contrôle

Du monde par le stylo ?

Y aurait-il dans le stylo

Un pouvoir  puissant

Que  le   peuple   ne

Soupçonne pas ?

Serait-ce-ce un

Objet de culte,

Un accessoire

Un peu sexuel

Présentation

Du   plein

 Pouvoir

VV

slate.fr/tribune/38883

/stylo-symbolique

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

719 6

.

Le pouvoir de pénétration d’une plume

Peut être direct et  fort :

Je parle de l’esprit et du cœur mais cela

Transpire dans cette écriture.

 .

Symbolique 

.

On considère qu’une simple écriture

Peut  évoquer  un sens  complètement

Différent selon la  manière présentée.

Toute connotation  ferait appel à des

Références culturelles, une émotion,

Voire même une histoire commune.

Par exemple, il est aisé d’apporter

Une connotation asiatique à une

Typographie  faisant  des tracés

À la fois plus vifs plus courbés.

De la même manière, on peut

Sentir l’orient  en observant

De la  calligraphie  arabe.

Mais alors  comment  créer

Ce caractère et cette connotation

Pour une typographie numérique ?

graphiste.com/blog/signification-typographie

 .

 .

Fond/forme 

.

L’écriture ne manque jamais de caractères,

S’assemblant à bon escient formant des mots

Qui eux-mêmes constituent des paragraphes

Avec un sens propre, figuré, métaphorique,

Dans un style littéraire, et voire poétique.

Hors de toute typographie systématisée

L’écriture se fait dessin en calligraphie

Il y en a ainsi pour tous les amants.

.

Textuels et illustrations  >>

718 – Nous nous sommes croisés, de très près

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Nous  nous  sommes  croisés,

Un  bref  instant … ignorés,

Et  puis, enfin  reconnus,

Temps, pour souvenirs,

De mieux se rétablir.

C’est  fou  ce  qu’en

Un simple éclair,

Flots d’images

Reviennent 

À l’esprit.

 

Émotions 

En surnagent

Mais  l’on ne sait

Trop  quoi  se   dire,

Pour bien  s’entretenir

Ou balbutier des mots,

Comme regret en trop,

Bien connus de près

Ne parle exprès.

 

Nous  sommes  croisés,

De très près, à nous frôler :

J’ai senti le soyeux de ta peau

Me donner frissons dans le dos.

Tes yeux hagards   m’ont scruté,

Ton regard, s’est porté vers moi :

J’étais un pur inconnu… pour toi,

Toutefois tu t’es mise à me parler.

 

Alors … quand  je me suis retourné,

Comme te sentant  je me suis arrêté,

Je ne saurais dire ce  qui s’est passé,

Mais un éclair, en nos yeux, a zébré,

Et tu t’es sortie, de ton rêve éveillé,

Je suis venu vers toi  l’air étonné

Que  tu  ne  m’aies  reconnu,

Souvenir de moi, perdu.

 

Et, ta vue m’a rappelé,

Que je t’avais aimé,

Parfum   soudain

Regard  divin,

Tes     yeux

Ébahis

Is.

.

Extensions

Riant de ce que nous avions fait ensemble

Hurlants comme fous, grands adolescents,

Pour qui le Monde n’existe  que  passant :

Pour qui l’instant vécu est encore grand.

.

Grand  comme un trou béant, aspirant

Tous nos élans, tous  nos  tourments,

Tous nos néants, de ne pas être fixés

Encore, d’avoir aimé en chaque port.

.

Port où  nous  nous  retrouvions  seuls,

Secrètement pour nous livrer sauvagement,

Sans souci des conséquences, sans précaution,

Sans même raison, pour maximiser l’émotion.

.

Émotion de faire nos premières armes sur un

Chemin qui nous mène à d’autres rencontres

Où niais, et niaises,  nous ne le serions plus :

Bien au contraire, étions tout à notre baise !

.

Baise : première, premier, ne s’oublient  pas,

Tant l’empreinte est forte  et durable, surtout

Quand elle est adorable et porte à poursuivre,

Ni dégouté ni trompé, jusqu’à en être saturé.

.

Saturés, c’est en commun accord avons mis

Fin à nos ébats et que nous nous sommes

Jurés de ne jamais nous revoir. Oui

Mais  le hasard, un tel contrat,

Jamais il ne l’honorera !

 

Combien de personnes se croisent de très près, par hasard

 Et, sans savoir  pourquoi, en le faisant, s‘adresse  un regard :

Fugitif, éphémère mais curieux, intéressé, chargé de mystère

Qui sait si, pendant une seconde, ils n’ont partagé une sphère,

En laquelle, ils avaient mis  les mêmes parfums d’atmosphère,

Inconnus, certes mais tellement proches à tous points de vue,

Qu’on se reconnaisse parmi mille si on se croisait à nouveau.

.

L’indifférence ne tient pas devant

Souvenir de la preuve, du constat

Que l’on s’est aimé et puis séparé

Quand brutalement l’inconscient

Vous remet en selle, une intimité

Que l’on croyait, à jamais, oublié.

.

Cela marche beaucoup moins lors

Il n’aura été question que de sexe

Mais quand on y a mis son corps,

Son cœur, son esprit et son âme :

L’empreinte en devient indélébile

Ce d’autant qu’elle a été juvénile.

.

Fragments 

.

Se croiser au hasard des rues,

N’est pas rencontre convenue,

Même si l’on s’est bien connu,

Comme souvenir on est perdu.

.

Quelqu’un autre, cela peut être

Mais elle croit  me reconnaitre,

Elle s’est retournée : elle, facile.

De se tromper, à deux, difficile !

.

Son sourire,  de  ses  yeux  doux,

M’a  fait  revivre  passé  heureux,

Qui  m’avait  rendu  presque fou,

Lors aujourd’hui un peu nerveux

.

J’y ai cru, qu’elle  allait  s’arrêter,

Mais   après  qu’elle  ait …  hésité,

Elle a détourné  regard  et  visage

Et s’est remise  sur  son passage !

.

Ce fut, pour moi, comme un éclair

Souvenir remonte  en fond de l’air,

Son parfum  me revient, c’est clair,

Demeure, en moi, comme mystère.

.

Son prénom, son nom…son adresse,

Sont restés, longtemps,  en mémoire,

Je n’ai pas saisi l’occasion de la revoir,

S’étant évanouie en vitesse, délicatesse.

.

Je ne me rappelle  quand on s’est distanciés,

Est-ce mieux ainsi, elle ne m’était pas destinée

C’est l’histoire d’un rêveur, d’un idéaliste obstiné

Qui, une fois de plus, a pris son désir, pour réalité..

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

.

Nous  nous  sommes  croisés,

Un  bref  instant … ignorés,

Et  puis, enfin  reconnus,

Temps, pour souvenirs,

De mieux se rétablir.

C’est  fou  ce  qu’en

Un simple éclair,

Flots d’images

Reviennent 

À l’esprit.

.

É-mo-ti-ons 

Surna     S        gent

Mais l’on    O         ne sait

Trop quoi      M          se  dire,

Pour bien        M      s’entretenir

Ou balbutier   E          des mots,

Comme reg   S     ret en trop,

Bien connus    de près

Ne parle   exprès.

.

Nous  sommes  croisés,

De très près, à nous   C   frôler :

J’ai senti le soyeux      R      de ta peau

Me donner frisson       O         dans le dos.

Tes yeux hagards        I          m’ont scruté,

Ton regard, s’est       S        porté vers moi :

J’étais un pur         É     inconnu… pour toi,

Toutefois tu          S   t’es mise à me parler.

.

Alors … quand      D     je me suis retourné,

Comme te sentant    E     je me suis arrêté,

Je ne saurais dire ce    *    qui s’est passé,

Mais un éclair en nos   P   yeux a zébré,

Tu t’es sortie, de ton   R  rêve éveillé :

Je suis venu vers toi  È l’air étonné

Que tu ne m’aies     S   reconnu,

Souvenir de moi est perdu.

.

Et, ta vue m’a rappelé,

Que je t’avais aimé,

Parfum   soudain

Regard  divin,

Tes     yeux

Ébahis

Is.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Ca ressemblerait assez

À un beau pendentif

Avec une belle attache

Pour  sa mise en cœur.

.

718 4

.

Tes yeux, aussi verts, étincelants et profonds,

Que ce pendentif:

Ont soudain fait resurgir en moi tout le passé

De notre cœur !

Un pendentif et un cœur se conjuguent

Exerçant parfois mouvement balancier

En vue de procurer encore plus d’éclats

D’existence, tant à la forme qu’on fond.

.

Symbolique

 .

Les tendances et les modes

Sont parfois vite oubliés, remplacées.

Pourtant il y a nombre de bijoux qui durent,

Des petites choses qui resteront comme un

Pendentif, avec une émeraude verte.

Leur symbolique nous permettrait

De nous retrouver et tant dans

Notre personnalité que dans

Notre manière de vivre

Que d’être et de

Méditer

VV

hernandizjose.coma-

symbolique-des-bijoux

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

718 6

.

Tes yeux, aussi verts, étincelants et profonds,

Que ce pendentif:

Ont soudain fait resurgir en moi tout le passé

De notre cœur !

.

Symbolique 

.

Le cœur, ou “viscère rouge en forme de cône

Renversé, situé dans le médiastin, constitué

D’un muscle (le myocarde) doublé de deux

Tuniques (la péricarde, et l’endocarde) …

Selon sa définition médicale, a, toujours,

Été l’objet de mythe, avant même d’être

Associé à l’amour lors le cœur humain

Symboliserait, du fait  de sa position

Supposée  dans  un corps  humain,

Le siège  de  tout  son organisme.

Lorsqu’une   médecine  se   fera

Science  du cœur,  expression

Consacrée  trouvera  sens :

Le  cœur bat la chamade

À la vue de l’être aimé

Ou se brise lors de

Grand chagrin

Amoureux

Regret

V

franceculture.fr/histoire/le-coeur-organe-de-lamour

 .

Fond/forme 

.

Se croiser du regard entraine parfois

Mouvements, ébranlements,  du cœur.

La surprise déclenche certaine émotion

Que l’on n’est pas à même de contrôler

Et qui bien que sans paroles ni gestes

Échangés, continuera à nous titiller

Comme si fenêtre ne s’était fermée

Ou voire un parfum, évaporé !

.

Textuels et illustrations  >> 

717 – Matin, au réveil, je pense à toi, merveille

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le matin au moment du réveil

Je me  tourne  vers toi, absente !

Dans un premier temps : frustré,

Puis, dans un second,   émerveillé.

.

Émerveillé de penser déjà bien  à toi

Tu sois l’objet  de mon  premier désir,

Tout comme de mon dernier…soupir,

Avant de m’endormir  dans tes bras.

.

Suis-je victime de mon imaginaire,

Lors qu’en réciprocité, rien à faire,

Je ne peux empêcher l’inconscient

Penser à toi matin, tout le temps.

.

Dès le matin … dès mon réveil,

Je pense  à toi,  oh  merveille,

Et  mon corps,  hypertendu,

Se jette   en tes  bras… nue.

Lors m’y glisse, en pensée

Afin de mieux   m’enivrer

De torpeur qui m’envahit

À ne pouvoir sortir du lit.

.

J’y suis, et j’y reste encore

Et, mon cœur bat plus fort,

Quand tes jambes s’écartent

Sang, en tes joues, s’écarlate.

.

Ce n’est plus tant ton … corps

Que je pénètre, que ton esprit,

Que je fenêtre et qui me réjouis

Par tes yeux en parfaits accords

Cette nuit, noire  sous  tes voiles,

Au creux  de  ta claire… obscurité

Tes yeux brillent comme les étoiles,

En reflets de ton âme…  intériorisée.

.

Je communie avec toi,   toute en éveil,

De tous tes sens   de  toutes tes pensées,

Nos imaginaires auparavant bien séparés

Deviennent superposés à nuls autres pareils

Ce n’est pas  que toi,  en femme,  à mes côtés.

.

C’est tout un monde ou  univers tout un cahier,

Que j’explore et à loisir  et en cette belle matinée

Tout, de fond en comble,  et de la cave au grenier,

Et, avec la douceur  de ton corps, des plus apaisés,

Sans parler parfum de ta peau finement pigmentée.

.

Avec toutes les lueurs de tes regards, des plus étonnés,

Qui m’accompagnent, dans mes délires, durant éternité,

Eternité de cet instant rêvé, où je pense à toi réveil sonné

Remerciant le ciel que tu sois là entre mes bras bien serrée

À tenir ma main pour qu’en tous points, l’on se sente bien !

.

.

Extensions

 .

Seule, dans mon grand lit douillet aux draps bien blancs

Je me réveille après une bonne nuit de sommeil en rêvant

Que tu es là, à mes côtés comme mon merveilleux amant,

Voilà que mon espoir s’évanouit : fausse réalité troublante

Et je me retrouve, en état de blues complet en m’habillant.

.

Le matin, après une bonne nuit de sommeil,

De quelques rêves, émaillée

Je me réveille, te sens, te touche à mon coté

Et je me dis « merveille »

.

Il y a, dans l’air, comme parfum d’érotisme,

Et je me blottis contre toi

Te désirer fort ne serait pas un euphémisme

Tant mon désir me festoie

.

Tu bouges un peu, tu tressailles et tu bailles

Tu n’ouvres pas les yeux

Que les bras pour m’accueillir sans bataille

En ton corps, en creux !

.

Je me pince afin de savoir si je ne rêve pas

Sensations sont bonnes

La journée à deux débute sans un faux pas

Si plaisir, on s’adonne.

.

Fragments

.

Au petit matin, à mon réveil,

Tout va bien, mais j’hallucine

Ta présence juste à mon côté,

Je me dis que c’est merveille,

Voilà que la réalité assassine,

Te fait disparaitre…évaporée.

.

Une fois remis de ma méprise

Je me dis, il n’est plus de mise

De continuer à te … téléporter,

Je suis seul, mais accompagné,

Par flot continuel de ta pensée,

N’allant se détacher, la journée.

.

J’ai fumé produit hallucinogène

Ayant induit mon hallucination,

L’altération de mes perceptions,

De la cohérence de mes pensées,

La régularité de mes… humeurs

Sans trop causer de confusions.

.

Mais je ne suis pas le seul, à qui

Cela est, plusieurs même, arrivé,

Si on aime trop, on est perturbé,

On mélange ses rêves avec réalité

Comme si fantôme, apparaissait,

Que l’on n’a pas envie de chasser !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

 .

Le matin au       M        moment du  réveil

Je me  tourne       A       vers toi, absente !

Dans un premier      T      temps : frustré,

Puis, dans un second,     I        émerveillé.

Émerveillé de penser déjà  N    bien  à toi

Tu sois l’objet  de mon    * premier désir,

Tout comme de mon R    dernier soupir,

Avant de m’endormir   É  dans tes bras.

Suis-je victime de mon  V  imaginaire,

Lors qu’en réciprocité    E rien à faire,

Je ne peux empêcher   I  l’inconscient

Penser à toi, matin  L  tout le temps.

.

*******************************

.

Dès le matin       J      dès mon réveil,

Je pense à toi,      oh  merveille,

Et  mon corps     *     hypertendu,

Se jette  en tes        bras, nue.

Je  m’y glisse,      E   en  pensée

Afin de mieux     N   m’enivrer

De torpeur qui     S  m’envahit

À ne pouvoir sor   E   tir du lit.

.

J’y suis, et j’y reste  À     encore

Et, mon cœur bat   *   plus fort,

Quand tes jambes   T  s’écartent

Sang en tes joues,  O  s’écarlate.

Ce n’est plus tant   I  ton … corps

Que je pénètre,    *  que ton esprit,

Que je fenêtre    M   qui me réjouis

Par tes yeux en   E   parfait accord !

Cette nuit noire  R      sous tes voiles,

Au creux  de  ta   V      claire obscurité

Tes yeux brillent  E  comme les étoiles,

En reflets de ton     âme  intériorisée !

Je communie avec  L  toi,   toute en éveil,

De tous tes sens   de  L   toutes tes pensées,

Nos imaginaires aupa E ravant bien séparés

Deviennent superposés * à nuls autres pareils

Ce n’est pas  que toi,    en femme,  à mes côtés,

C’est tout un monde ou   univers tout un cahier,

Que j’explore et à loisir   et en cette belle matinée

Tout, de fond en comble,  et de la cave au grenier,

Et, avec la douceur  de  ton corps, des  plus apaisés,

Sans parler parfum de ta peau, finement pigmentée.

.

Avec toutes les lueurs  de tes regards, des plus étonnés,

Qui m’accompagnent, dans mes délires, durant éternité,

Éternité  de cet instant rêvé, où je pense à toi réveil sonné

Remerciant le ciel que tu sois là entre mes bras bien serrée

À tenir ma main pour qu’en tous points,  l’on se sente bien !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un vase, forme conique

Avec un bouquet de fleurs

Ou cheminée… surmontée

De fumée hallucinogène.

.

717 4

.

Qu’y aurait-il de commun

Entre une femme et un tel vase :

Rien, en apparence, sauf si on la voit

Dans une sorte de fumée hallucinogène

.

Symbolique 

 .

Par sa forme,

La grâce de

Ses    courbes

Et sa fonction

De    réceptacle,

Le   vase   est un

Symbole  féminin.

Son   creux   évoque

Celui         de    l’utérus,

Féminin,   contenant  les

Fluides vitaux. Dans art et les

Rites funéraires,  vase apparaît

Emblème de   la   vie   éternelle.

Celui de la coupe est lié à deux

Connotations       opposées :

Positive,    elle    est  signe

D’un destin   favorable

Dont  elle   préfigure

Les agapes donc la

Joie et le plaisir.

heraldie.blogspot.

com/2014/08/le-vase

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

717 6

.

Qu’y aurait-il de commun

Entre une femme et un tel vase :

Rien, en apparence, sauf si on la voit

Dans une sorte de fumée hallucinogène

.

Symbolique 

.

Un hallucinogène est

Substance chimique psychotrope

Qui induirait des hallucinations,

Des altérations des perceptions,

De la cohérence de la pensée et

De la régularité de l’humeur,

Et sans causer de confusion

Mentale persistante ou de

Troubles de la mémoire.

Cet  état,   appelé  état

Modifié de conscience

Par certains usagers,

Peut être  atteint par

Démarche spirituelle,

Méditation   ou    art.

Fr.wikipedia.org/wiki/Hallucinogene

 .

 .

Fond/forme 

.

On n’en finirait donc jamais de rapprocher

Le vase de la femme tant en courbe, en creux

Ou, qu’en contenu, qu’il reçoit et qui fermente.

À vrai dire, après libération, ce symbole, éculé,

Aurait, pour beaucoup d’humains, fait  long feu !

.

Nombre d’entre elles sont encore  en sa tourmente,

C’est à croire que leur feu qui dormait sous la cendre

Se sera soudain réveillé pour un long combat d’égalité.

.

Mais si l’on fait référence au même poème, numéro 694

On voit que c’est la lampe qui l’emporte sur le vase passif.

Comme quoi avec même texte ou presque, on peut changer

De forme, de symbole, de vision globale de la femme actuelle

Tout est une question d’éducation, de culture, d’interprétation.

.

 Textuels et illustrations  >>

716 – Quand je pense à toi : téléportée, je te vois

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

À chaque  fois,  je pense à toi

Comme téléportée, je te  vois.

Ça rime, assez  bien,   ma  foi,

Avec un grand cœur  qui   bat

.

Pour toi, de  te voir   présente,

Même  si  pour de vrai absente

De cette  image  je me contente,

Tant elle est pour moi, éloquente.

.

Mon cerveau, seul, se représentera

Le fruit de nos rencontres   intimes

Et  je me  dis, lors  tu m’es présente,

Notre  plaisir  sera des plus  ultimes.

.

Quand je pense à toi,

Téléportée,  je te vois

En pensée,  en corps,

Tu ne me croiras pas.

.

Émotions remontent,

Sensations  abondent

Et  je baise  tes lèvres,

Et ta bouche en fièvre.

.

Plus je descends et plus

Tu t’abandonnes et au vu

De mes caresses, données

Sur tes seins … encapsulés

.

Par mes mains qui dansent,

Et sur ton ventre en cadence

Oserai-je  plus loin, plus bas :

Rideau : l’on n’en parlera pas !

.

Tant ton image en moi reste pure

Même si écornée par temps durs,

Lors même, partagée entre jours,

Elle restera la première toujours.

.

Extensions

 .

Voir une image virtuelle qui bouge

Devant soi, serait-ce vraiment voir

Ou seulement tromper son cerveau,

Projeter imaginaire en fausse réalité !

.

À vrai dire, la frontière est ténue entre

Ces deux faces d’une seule et même réalité,

La partie virtuelle n’est qu’autre interprétation

Du réel parmi tous les possibles : l’esprit humain

À ceci de particulier sur celui des autres animaux

Sa capacité à se projeter images qu’il fabrique

En son cerveau et qui n’ont aucun support

Physique, aucune substantialité.

.

Peut-être est-ce là l’explication des apparitions

Des fantômes et autres objets en environnement :

Ce ne serait que simple et banal artefact du cerveau.

De toute façon, il me faut bien créer  une telle  image

Intériorisée pour reconnaitre quelqu’un de familier :

Ce que n’ont plus les malades atteints d’Alzheimer

Qui ne reconnaissent plus leurs proches.

.

On peut jouer à transformer cette image

Comme un peintre, un dessinateur, un caricaturiste

Mais il en restera toujours l’esprit, caractère, identité,

Le minimum pour la reconnaitre parmi des milliers.

..

Quand l’on entre dans un virtuel

Que certains nomment métavers

Service en ligne,  donnant accès à

Simulation espaces 3D temps réel,

Restant partagées  et  persistantes,

Pour vivre expériences immersives.

.

Bien, bien,  on est bluffé … d’accord,

Mais ce n’est pas de la téléportation.

Moi je me sens davantage transporté,

Fermant les yeux : je te sens, je te vois,

Devant moi, c’est  comme si tu étais là !

Il n’y aurait rien de magique, là-dedans,

Rien que la force de ma pensée intérieure

Parce que je te connais, me projette en toi.

.

Fragments

.

Je peux me téléporter chez toi

Par la pensée, l’image projetée

.

Je peux me téléporter chez toi,

Par la parole, télécommunicant

.

Je peux me téléporter chez toi,

 Par écrit, par message, poème.

.

Je peux me téléporter chez toi,

Image virtuelle en visiophonie

.

Je peux me téléporter chez toi,

Et te voir vivre, travers fenêtre.

.

Ces cinq façons, de t’apercevoir,

Ne valent en aucun cas présence.

.

Entre encrier et lettre en papier,

Entre téléphoné et être téléporté

.

Je n’ai que l’embarras  du choix

Tout dépendra, au final… de toi.

.

Téléporté, je le serai, le suis déjà,

Si je ne peux me passer…de moi.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

J

À  chaque  fois,      E         je pense à toi

Comme télépor        *         tée, je te  vois.

Ça rime, assez           P         bien,   ma  foi,

Avec un grand           E         cœur  qui   bat

Pour toi, de  te           N         voir   présente,

Même  si  pour            S          de vrai absente

De  cette  image,         E          je me contente,

Tant elle est pour         *          moi,  éloquente.

Mon cerveau seul,       À          se  représentera

Le fruit de nos ren       *          contres   intimes

Et  je me  dis, lors         T         tu m’es présente,

Notre  plaisir  sera       O        des plus  ultimes.

 I

.

********************

********************

.

Quand je pense à toi,

Téléportée, je te vois

En pensée, en corps,

Tu ne me croiras pas.

.

Émotions   T remontent,

Sensations  É   * abondent.

Et je baise     L       T tes lèvres,

En ta bouche    É             E   en fièvre,

Plus je descends  P                *           et plus,

Tu t’abandonnes   O                V            et au vu

De mes caresses   R              O          données

Sur tes seins        T            I      encapsulés

Par mes mains    É      S   qui dansent

Et sur ton ventre  E  *   en cadence

Oserai-je plus loin  *   plus bas.

Rideau, on n’en parlera pas,

.

Tant ton image en moi reste pure

Même si écornée par temps durs,

Lors même, partagée entre jours,

Elle restera la première toujours.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un voile pudique, en haut,

Sur usage d’encrier, en bas.

Ou encore une lampe à pétrole

Ou un sas de téléportation.

.

716 4

.

Encrier n’a pas d’intention ;

C’est juste support pour écrire

Mais lors écrivant à quelqu’un

On se téléporte : un peu vrai !

Aucun lien direct entre encrier, téléporté

L’on peut tremper son doigt dans l’encrier

Pour écrire nom sur papier, pas son corps

La forme ne correspondra pas avec le fond.

.

Symbolique 

 .

Un encrier est

Un récipient permettant

De contenir de l’encre dans

Un endroit pratique pour la

Personne qui écrit avec

Une plume ou un stylo-.

.

Les encriers sont sans doute

Devenus répandus dès la diffusion

De l’écriture à l’encre, manifestant

Une grande diversité de formes et

De tailles  tout  en  partageant

Comme point commun une

Ouverture réduite pour

Limiter l’évaporation.

wikipedia.org/wiki/Encrier

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

 .

Encrier n’a pas d’intention ;

C’est juste support pour écrire

Mais lors écrivant à quelqu’un, 

On se téléporte : un peu vrai !

.

Symbolique 

.

On nomme téléportation

Le  transfert  d’un corps  dans

L’espace, sans parcours physique

 

Points intermédiaires départ  arrivée :

Thème a été traité tant en science-fiction

Qu’en physique ou en … parapsychologie.

 

Nous n’avons aucune raison de croire que

La téléportation de tout  être humain

Préserverait  la continuité  de  la

Conscience en nouveau corps.

Wikipédia : téléportation

 .

 .

Liens fond/forme 

On peut se téléporter par télécommunication,

Ses paroles, ses écrits ses images, ses vidéos,

Pas son corps, même si  on peut  le figurer,

Par image 3D projections holographique.

Et si certains  prétendent communiquer,

Par télépathie, transmission de pensées

Ce ne sera que par ondes, non matière

L’esprit en est bien capable d’émettre,

Encore faudra-t-il un bon récepteur.

.

 Textuels et illustrations >>

715 – Retrouvailles de ta peau et de tes formes

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ma main accompagne ma vue,

Tes courbes, tes mouvements

Le sucre de ta peau laiteuse,

En la bouche, sa saveur bue.

.

Ma main se souvient du grain

De ses ronds … et, de ses creux,

Et rien que de te toucher des yeux,

Apaise en moi tout ce qui est chagrin.

.

Retrouvailles de ta peau et de tes formes,

Quelques heures avant  ’angoisse, l’horreur,

Peur, peut-être, de ne pas être  à  la  hauteur,

Prédicteur peut-être d’un manque de chaleur.

.

Premier contact  de ta peau fraiche, de pèche,

Une mèche  de  sensation  m’enflamme, lèche,

La mienne, un  peu  plus  rêche, plus  revêche.

.

Ma main colle  à ta peau, comme  à ton  âme,

Douce  chaleur  l’atteint  comme  en flammes,

Et  comme  pour épouser  plus qu’une femme.

.

Point besoin  de lumière  pour  me réassurer,

Entre mille, à ton parfum,  je te reconnaitrai,

Je sais que c’est toi, je te  couche,  à t’aimer.

.

Tes formes s’épanouissent sous ma caresse,

Prennent  poses, intimant mes tendresses,

En massages érotiques qui   te   déstresse.

.

Entre mes jambes, les tiennes   s’ouvrent,

Tandis que, de mille baisers, je te couvre

Parlant d’amour que tu me prou  S  ves

Et c’est là, qu’enfin, que je te trouve.

.

Extensions

 .

En un

Beau lieu

Quelque part,

Des   musiques,

Des  voix  célestes,

Nous  berceraient  de

Leurs accents bienveillants

Et l’on décolle pour un voyage

Aux confins de notre imaginaire

Sans même faire un seul pas

Pour quitter un tel lieu :

Ta peau, tes formes

Dansent devant

Mes …  yeux,

Pénètrent

 En eux.

.

La forme et les formes, les courbes et les creux,

Tous les endroits, tous les touchers, désireux :

Une danse des mains pour l’un, et pour deux,

Et qui en feront des corps et cœurs heureux

Et qui les mèneront, peu à peu, aux cieux.

.

Un homme, une femme,

Qui perdrait ses formes,

N’attirera plus le regard,

Sauf pour les ostraciser !

.

Les formes sont soumises

À des modèles récurrents,

Dont on n‘est pas conscient

Notre émotion envahissant !

.

Ainsi feront les lignes courbes,

Attirant bien des regards fourbes

Si elles se mettent en mouvements

Jusqu’à jouir de ses contentements.

.

Mais dans l’ombre de ta clarté lunaire

Ta peau, tes formes, paraissent extraire

Comme un parfum léger, extraordinaire,

Dont corps et âme, ne peux s’y soustraire.

.

Fragments

 .

Aperçue dans mon imaginaire,

Ta peau,  tes formes : désirables,

Mais en contact : extraordinaires,

Des plus pulpeuses et plus palpables.

.

Tout un ensemble de bosses et creux,

Me font penser à un vase qui se forme,

Sous mes mains, mes doigts aventureux

 Sur ton corps en s’agitant qui le déforme.

.

Cette image, que dis-je, fantasme de potier

N’est pas sans évoquer, la naissance d’Êve :

En Paradis, de la côte d’Adam ou en glaise

Au final, création femme : belle à tomber !

.

Il n’y a pas  que ta silhouette  qui fouette,

Douceur de ta peau, est la plus chouette,

Tant je ne m’en lasse, quand je t’enlace,

Et qu’amour entre nous, s’entrelace !

.

De par ta nudité, par ta tendresse,

Tu mets ton âme à fleur de peau,

Je la sens bien sous ma caresse

Et je t’en remercie du cadeau.

..

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Ma main accompagne ma vue,

Tes courbes, tes mouvements

Le sucre de ta peau laiteuse,

En la bouche, sa saveur bue.

Ma main se souvient du grain

De ses ronds … et, de ses creux,

Et rien que de te toucher des yeux,

Apaise en moi tout ce qui est chagrin.

                                                            R

Retrouvailles de ta peau et de tes for  E   mes,

Quelques heures  avant  l’angoisse   T   l’horreur,

Peur, peut-être, de ne pas être      R   à la  hauteur,

Prédicteur peut-être d’un man    O     que de chaleur.

Premier contact de ta peau       U        fraiche de pèche

Une mèche de sensations         V        m’enflamme, lèche

La mienne, un peu plus           E         rêche, plus revêche.

Ma main colle à ta peau         *           comme  à  ton  âme,

Douce chaleur l’atteint,          P           comme en flammes,

Et comme pour épouser         E            plus qu’une femme.

Point besoin de lumière         A            pour me réassurer,

Entre mille, à ton parfum      U            je te reconnaitrai,

Je sais que c’est toi, je te         *          couche à t’aimer.

Tes formes s’épanouissent       F        sous ma caresse

 Prennent poses qui intiment   O     mes tendresses,

   En massages érotiques qui       R     te    déstresse.

Entre mes jambes, les tiennes   M    s’ouvrent,

Tandis que, de mille baisers, te  E    couvre

Parlant d’amour que tu me prou  S  ves

Et c’est là, qu’enfin, que je te trouve.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un vase,  à n’en pas  douter,

 Formes et dimensions parfaites

Selon les canons de la céramique,

Et tout  comme celle des femmes !

.

715 4

.

Un vase, à n’en pas douter

Et dont on aimerait disposer,

Mais comparaison avec femme,

S’arrête  là : sujet n’est  pas  objet !

Vase prendra la forme qu’on lui donne :

Parfois  plus féminines  que … masculines,

Souvent très éloignées, symboliques, autres,

Mais forme pouvant toujours évoquer femme.

.

Symbolique 

.

Par sa forme, la grâce de ses courbes

Sa fonction de réceptacle, le vase

Est un symbole féminin.

 .

Son creux évoque celui de l’utérus,

Le féminin contient des fluides vitaux.

Dans l’art et les rites funéraires, le vase

Apparaît, parfois, comme l’emblème de

La vie éternelle : lors celui de la coupe

Est lié à des connotations opposées.

 .

Positive, elle est signe d’un destin

Favorable dont elle préfigure les

Agapes, donc la joie et le plaisir.

heraldie.blogspot.com/2014/08/le-vase

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

715 6

.

Un vase, à n’en pas douter

Et dont on aimerait disposer,

Mais comparaison avec femme

S’arrête là : sujet n’est pas objet !

.

Symbolique

.

Il est

Difficile décrire

Beauté d’une

Femme.

Chacun aura ses critères.

Une belle  femme  peut  ne

Pas plaire à tout le monde.

Malgré  tout, au-delà  de  la

Beauté physique, une femme

A beauté intérieure sur laquelle

Il y a plus régulièrement consensus.

Une femme belle serait à mes yeux

Cette femme qui mélange avec

Harmonie grâce, intellect,

Présence et charme.

C’est cette femme chez laquelle

L’on se perdra en sa nudité.

fr.answers.yahoo.com/question

.

.

Fond/forme 

.

Le vase est un contenant

La peau est une enveloppe,

Alors, quelque part, les deux

Se rejoignent, se ressemblent.

Derrière, et je veux dire, dans,

Le vase, il  y aurait la matière

Et dans la peau, sorte d’âme

Qu’elle a ou qu’on lui prête.

Peau d’une femme aimée,

Qu’on caresse, exprime

Ame à fleur de peau !

Mais il s’agit bien là

D’une métaphore.

.

 .Textuels et illustrations  >>

714 – Ton âme, effarouchée, cœur, tout effrayé

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ton âme,  défrayée ;

Ton cœur,   effrayé ;

En ton sexe,   frayé :

Et ça y est,   j’y suis :

Et j’y reste,  le temps

Qu’il faut   pour saut

De plein  soubresaut,

En ventre  et sur dos

Et au fond d’un puits,

Des plus satisfaisants

.

Ton âme, effarouchée,

Ton cœur tout effrayé,

Marguerite  effeuillée,

Peau,  toute  effleurée,

Ta taille,    efflanquée,

Tes ridules,   effacées,

Tes jambes,    effilées,

Ton corps,   efféminé.

 .

Je respire tes essences,

Touffes  efflorescences,

Je bois tes indécences,

Sources effervescentes

De tes désirs  effrénés,

De résistance  effritée,

Quand te gagne  effroi

D’intrusion effrontée !

 .

Tes derniers endroits,

De postures effondrées

Lors de belles effractions

De ton bassin vite franchi,

Et jusqu’à ses effacements

Par membre fort effarant,

Amours sont insatiables

Amour est effraction.

.

Extensions

 .

Les derniers endroits, de postures effondrées

Lors des effractions de ton bassin vite franchi,

Jusqu’à ses effacements par membre effarant :

Amours sont insatiables et amour est effraction.

.

L’émotion se rend  à  son  comble, il n’y aura plus

La moindre résistance, le moindre effarouchement,

Sauf peut-être pour l’âme qui ne peut être pénétrée.

.

La pudeur reste  un sentiment  et  un  comportement

Essentiellement féminin, du fait qu’intimité d’homme

Se situe davantage à l’extérieur que celle d’une femme,

Se dévoiler pour une femme, c’est se mettre en danger.

.

Celui d’être conquise et prise pour ce qu’elle n’est pas

Et ne souhaite pas : être un objet plus qu’un sujet,

Être un hochet avant de devenir rejet du fait

Qu’on la jette comme un mouchoir taché.

.

La pudeur est un mécanisme de défense

Naturelle qui fait partie de loi proxémique

À quelques centimètres car pouvant être perçu

Comme un viol de son intimité  par qui que ce soit.

.

La pudeur de l’âme est différente de l’intimité physique

Qui pour les femmes, n’engage à rien ou parfois à tout.

Livrer son âme est fendre l’armure et ne plus avoir

Aucun recours possible pour sa défense.

On comprend que dans ce cas une confiance

En l’autre requise sinon exploitation, trahison !

.

Effarouchée, effrayée, effroi et froid :

Avoir peur de quoi, vouloir cacher quoi :

Son corps, son cœur, son esprit,  son âme.

Peut-être bien l’ensemble, le tout,  à la fois,

Quand les regards d’un autre me damnent

Ou que, en dépit de tout,  me condamnent

À n’être qu’objet plaisir entre ses mains.

.

De quoi s’agirait-il ici, de pudeur,

De perdre sa vertu ou son honneur

L’on me taxerait de pudibonderie :

Lors, une fois  nue : de moi, l’on rit.

Là où il y a de la gêne, pas de plaisir

Dit un dicton, appuyant tous  désirs,

Il y a femmes nues,   sans complexes,

Et autres semi dénudées,  qu’on vexe.

Ce n’est pas nudité qui pose problème

C’est l’œil qui la regarde,  en lubricité,

Quand l’âme se dissout dans un corps,

Il ne reste plus qu’un objet, fantasmé.

.

Fragments 

.

On parle souvent de colliers, pendentifs

De bagues, d’anneaux, boucles d’oreilles

Moins de bracelets fantaisie  ou montre,

Mais que signifiera derniers, pour elles !

.

Bracelet serait  devenu un « mot valise»

Polysémique  pour les poignets et pieds,

Jusqu’à mettre en valeur, montre chère,

Si ce n’est en cuir, en différents métaux.

.

Lors, si elles t’embrassent : en bracelets,

Polysémique aussi, manière phonétique :

Un peu moins drôle bracelet électronique

Mais c’est mieux que collier de prisonnier

.

Le bracelet offert serait un témoin d’amitié,

Lors d’un voyage, séjour pour bien marquer

Le souvenir d’attachement affectif commun,

C’est pour cela qu’elles en portent  plus d’un.

.

Il fut un temps, où, communautés primitives

S’échangeaient des colliers avec des bracelets

Aux époques où l’individuation, n’était actée :

Certains ne pouvaient même plus être enlevés.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

TON ÂME,

Ton âme,  défrayée ;

Ton cœur,     effrayé ;

En ton sexe,      frayé :

Et ça y est,       j’y suis :

Et j’y reste,       le temps

Qu’il faut       pour saut,

De plein      soubresaut,

En ventre     et sur dos

Et au fond  d’un puits,

Des plus satisfaisants

EFFAROUCHÉE,

Ton âme, effarouchée,

Ton cœur  tout effrayé,

Mar    guerite effeuillée,

Peau,      toute effleurée,

Ta taille,        efflanquée,

Tes ridules,       effacées,

Tes jambes,       effilées,

Ton corps,   efféminé.

TON CŒUR,

Je respire tes essences,

Touffes    efflorescences,

Je bois     tes indécences,

Sources      effervescentes

De tes désirs       effrénés,

De résistance      effritée,

Quand te gagne    effroi

D’intrusion effrontée !

EFFRAYÉ !

Tes derniers endroits,

De postures  effondrées

Lors de belles effractions

De ton bassin vite franchi,

Et jusqu’à ses effacements

Par membre fort effarant,

Amours sont insatiables

Amour est effraction.

 .

Forme

.

.

Évocation

.

Bracelet de montre

Probablement,

Bracelet de montre

 Certainement !

.

714 4

.

Qu’y a-t-il de commun entre un bracelet

Et une émotion particulière :

Rien, en apparence, sauf si variété bracelets

Vous importe beaucoup !

Rien de commun entre bracelet et une âme

Je n’aurai de bracelet même si je me damne :

Bracelet montre pour que temps me condamne

La forme de bracelet ne convient en rien au fond

.

Symbolique

.

Un bracelet

Forme tête-de-mort

Exprimera la rébellion,

L’insoumission aux règles.

 .

Un shamballa  tête-de-mort,

Une  critique  de la société  de

Consommation et de ses excès.

Un  shamballa   de  méditation

A une signification  spirituelle.

 .

Un  bracelet   brésilien  est   un

Symbole  d’amitié,  prospérité.

S’il s’agit de bracelet de  force

Évoquera puissance, virilité.

Source bijoux4men.com/blogs/info/

bijoux-homme-que-symbolisent-ils

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

714 6

.

Qu’y a-t-il de commun entre un bracelet

Et une émotion particulière :

Rien, en apparence, sauf si variété bracelets

Vous importe beaucoup !

.

Symbolique 

.

Un bracelet est un cercle,

Une chaîne ou un ornement

Porté au bras

 Ou au poignet

Mais bon nombre des gens

Ne sont pas conscients de sa

Signification

Sym-bo-lique

Comme  tout  autre  bijou,

Bracelet  a un symbolisme

Et signification

Bien différente

Selon type  bracelet  donné

Sociétés culturelles utilisent

Le bracelet pour

Signifier symboles

Liés à leur société, voire à

Leur histoire particulière,

Et pouvant    jouer

Rôle énorme en vie.

rochesens.fr/porter-un-bracelet/

quelle-signification-offrir-un-bracelet

 

.

Fond/forme 

.

Il existe des centaines de bracelets

Ce depuis l’antiquité, la préhistoire

Aujourd’hui on  parlera de bracelet

Électronique posé sur … la cheville !

.

On parlera aussi  de montre-bracelet

Quand ce dernier  est en métal, acier !

Fut un temps où l’on mettait le bracelet

Aux avant-bras, surtout  pour hommes !

.

Bref, imaginons : bracelet pouvait parler,

Ils nous raconteraient des histoires variées

Bracelets pour embellir, bracelet pour punir

.

Ou bracelets branchés pour des informations,

Bracelets pour le rythme cardiaque ou diabète,

Et j’en passe … bracelets pour discothèques, etc.

.

 Textuels et illustrations  >> 

713 – Un, deux, trois, nous irons au bois !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Cette comptine

Pour … les enfants,

Qui  ne  la  connait  pas,

Pour  apprendre  à  compter

Et pour apprendre à raconter,

En  deux niveaux  de lecture,

Enfant, et puis, adolescent,

Innocent puis amoureux,

Imaginaire et puis jeu.

.

Un, deux, trois, nous irons au bois,

Comptine pour apprendre à compter,

Pour apprendre à chanter sur les doigts,

Un vrai début de conte de sorcière ou fée.

.

Quatre,  cinq,  six,  cueillir des  …  cerises,

Un beau dimanche en grimpant bien vêtus,

Toi, d’une robe, moi, de pantalon, chemise,

Et ensemble, dans l’arbre  du  fruit défendu !

.

Sept, huit neuf … dans  mon panier …  neuf,

Pour  gouter  le  nectar  d’une  chair   désirée,

De queue, jusqu’à noyau, plein  comme  œuf :

N’en descendre qu’après  une pleine  ventrée.

.

Dix, onze, douze, elles seront toutes …rouges

Et nous verts d’en avoir, sans retenue, profité,

On ne vit qu’une fois et si jamais on ne bouge,

On ne vivra jamais paradis sur Terre retrouvé.

.

Comptine en forme de chansonnette revisitée,

S’adressant à nombre d’amoureux d’autrefois,

Au bois, sans cerises … ou cerises,  sans bois

Chimie, aujourd’hui, remplacera l’alchimie.

.

Chimie qu’une chair, un noyau ou queue,

Des cerises croquées, avec plaisir, à loisir

Belle  alchimie  des  saveurs  et des désirs

 Qui  en ferait, ainsi,  des fruits savoureux,

.

Auréolé d’un certain  parfum ….  mystère

Qui en ferait comme un péché sur…Terre

Tant  cerises  sont    accouplées  par deux

Et font, pour nous     pendentifs, curieux.

.

Un, deux, et trois,      retournons au bois

Voir si l’amour y est encore ou n’y est pas

Grimper ensemble   arbres, risques, périls

Resterait grand moment d’activité fébrile.

.

Extensions

 

La cerise évoque le printemps, forcément

Mais tout autant le gâteau, comme supplément.

Le bonheur en sus du plaisir, n’est-ce pas là l’apogée

Du désir, celle qui ne se produit que de temps en temps

Et qui demeure comme un soleil rouge dans un ciel sans nuage,

S’en allant couchant.

.

Le bois évoque la cachette sous les arbres,

La protection de la nature, la communion avec elle,

Le lit de feuillages et la lumière tamisée : un univers

En demi-teinte e semi obscurité ou seuls

La lumière de l’amour parvient à jaillir

Des amants en pleine étreinte

Et pleine sérénité.

.

1, 2, 3
Nous irons au bois
4, 5, 6
Cueillir des cerises ;
7, 8, 9
Dans mon panier neuf

10, 11, 12
Elles seront toutes rouges !

.

Fragments

.

Comptine ou chanson,

C’est comme on veut,

Et dernier quatrain,

En guide de refrain

.

Et nous, c’est deux

Deux en amoureux,

Homme avec femme,

Un beau programme !

.

Étant enfant, on va au bois

Pour courir dedans, s’amuser,

Étant adolescent pour s’embrasser,

Étant adultes pour aller au fond de soi.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

 .

Cette comptine

Pour … les enfants,

Qui  ne  la  connait  pas,

Pour  apprendre  à  compter

Et pour apprendre à raconter,

En  deux niveaux  de lecture,

Enfant, et puis, adolescent,

Innocent puis amoureux,

Imaginaire et puis jeu.

.

Un, deux, trois, nous irons au bois,

Comptine pour apprendre à compter,

Pour apprendre à chanter sur les doigts,

Un vrai début de conte de sorcière ou fée.

.

Quatre,  cinq,  six,  cueillir  des  …  cerises,

Un beau dimanche en grimpant bien vêtus,

Toi, d’une robe ; moi, de pantalon, chemise,

Et ensemble, dans l’arbre du fruit défendu !

.

Sept, huit neuf … dans mon panier …  neuf,

Pour gouter  le nectar  d’une  chair  désirée,

De queue, jusqu’à noyau, plein comme œuf :

N’en descendre qu’après une pleine ventrée.

.

Dix, onze, douze, elles seront toutes … rouges

Et nous verts d’en avoir, sans retenue, profité,

On ne vit qu’une fois et, si jamais on ne bouge,

On ne vivra jamais, paradis sur Terre retrouvé.

.

Comptine  en forme de   chansonnette, revisitée,

S’adressant à nombre      d’amoureux d’autrefois,

Au bois sans cerises  U        I   ou cerises sans bois

Chimie, aujourd’hui  N        R   remplace alchimie.

Chimie qu’une chair  *         O  un noyau ou queue,

Des cerises croquées D        N   avec plaisir à loisir

Belle  alchimie  des   E         S    saveurs  des désirs

 Qui  en ferait ainsi    U        *     un fruit savoureux,

Auréolé de certain     X        A     parfum…. mystère

Qui en fait comme     *        U   un  péché sur Terre

Tant  cerises  sont     T         *  accouplées par deux

Et font, pour nous     R        B   pendentifs curieux.

Un, deux, et trois,     O       O   retournons au bois

Voir si l’amour y est  I        I  encore ou n’y est pas

Grimper ensemble    S       S  arbres risques périls

Restera   grand  mo  *        * ment activité fébrile.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une silhouette d’homme

Parvenu à la maturité,

Mais vu ici,  de dos :

De sexe ambigu.

.

713 4

.

Enfant devenu homme

Ses jeux auront changé :

Aller au bois,  c’est pour 

 Goûter au sexe préféré !

.

Symbolique 

 .

Les symboles

De la masculinité

Évoluent avec le temps

Et selon  les ‘endroits

Du globe où

On se trouve.

 .

Ainsi, on retrouve des symboles

Phalliques aux temps les plus

Reculés  de   notre  histoire.

Ces symboles représentent

À la fois la virilité et la

Fécondité de l’homme.

 .

Et en Europe, lors de  la

Christianisation, ils   ont

Peu à peu disparu, car ils

Étaient associés à l’acte sexuel.

over-blog.com/Quel_est_le_symbole_de_lhomme_

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Enfant devenu homme

Ses jeux auront changé :

Aller au bois, c’est pour 

 Goûter au sexe préféré 

.

Symbolique

.

Il vous arrive de devoir réfléchir pour

Savoir quel signe correspond à quel sexe ?

Petit truc  pour ne plus jamais vous tromper !

.

Le symbole féminin est en fait, dans la mythologie,

Miroir de déesse Vénus au pied en forme de croix.

.

Et le symbole masculin est celui du Dieu Mars

Un bouclier et une flèche prête à être tirée.

Source : jeretiens.net/masculin-ou-feminin

 .

.

Fond/forme 

 .

Qui ne connait la chanson pour compter

Les chiffres qu’on énumère comme série,

Pour les apprendre  aux jeunes  enfants,

De manière ludique,  mnémotechnique !

.

Il  existerait des centaines d’illustrations

Comme celle-ci notamment pour le sexe

Le miroir à pied en croix pour la femme

Le bouclier avec la flèche pour l’homme.

.

Et pour les lacs de l’Amérique du Nord :

Sherlock Holmes : la série, le détective :

Huron, Ontario, St Laurent, Michigan,

Erie, Supérieur, rien d’autre à ajouter.

 Textuels et illustrations  >>

712 – Pour trouver la paire, choisir chaussure

 Textuels et illustrations  >>

        .

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Paire de chausse

Trouver la chaussure

À son pied très exactement

Trouver un pied, à chaussure,

Les  deux  prennent  leur temps,

.

Sans  compter  une  énergie  folle,

Pour être sûr de ne pas se tromper

Tant, du talon, à la pointe des pieds,

Certaines sont dures,  autres molles,

Il y en a même  qui vous  déchausse.

 .

Pour trouver paire choisir chaussure,

Mais pas d’impair sinon meurtrissure

Je me mets en tête,  et mets en quête..

D’un de ces gars  qui conte fleurette….

M’aime-t-il que pour ma devanture….

Quant au reste, mauvaise pointure,…..

.

Poule caquette mais pas galipettes……

Baiser est non  poudre escampette……

Ai-je eu affaire  à une grosse enflure….

Qui se satisferait,  mon enfourchure,…

Comme soubrette, comme coquette,…

Ne m’aimerait que  pour  trinquettes.

Un refus brutal – une intime blessure,

Un coup  de  canif – une éclaboussure,

Et tu te répètes – tu es bien trop bête :

Tu t’es mis  trop tôt – le cœur, en fête.

.

Eh,  toi, là,  Ducon – en  déconfiture :

T’as sorti ton jeu, hors température :

Remets  ta liquette, ferme baguette,

Ne m’appelle pas Suzette : Juliette.

.

Extensions

 .

La chaussure, comme chacun sait,

Est un symbole de sexualité, sans doute

Parce qu’on y glisse un pied dans l’intérieur

Et que l’on doit s’y sentir bien au point de vouloir

Y rester et de partir et voire même de se marier avec !

.

Comme il y en a de tous les genres, de toutes les pointures

Et pour toutes les bourses, et pour tous les goûts, le choix est

Des plus larges et des plus éclectiques, et voire excentriques.

La chaussure peut être : lourde ou légère, haute ou basse,

Sèche ou fourrée, en matière n’écorchant pas les pieds.

.

Les chaussures ont un rapport évident au couple,

Du fait même qu’elles marchent par paires

Mais aussi un rapport à soi-même,

En particulier pour les femmes.

.

Un produit de compensation

Du mal-être, symptomatique de

Celle qui achètera des chaussures

Qu’elle ne portera pas par la suite !

.

Dix magasins pour une paire de chaussures

La vie des femmes, sur pieds, est plutôt dure :

Il y a tellement de choix que toutes, et pas une,

Ne conviennent  parfaitement, sont communes.

Ah oui, le prix, j’oubliais, deux pour prix d’une,

Une chaussure qui leur coûterait une fortune,

Elles se sentiraient mal de…  marcher avec.

Ce ne sont pas les pieds qui choisissent :

Rien que la tête, rien qu’à leur tête !

.

Pas question ici de mettre les deux pieds

Dans la même chaussure, le même  sabot,

On passerait et vite, pour un double idiot,

On ne peut enfourner  avec chausse-pied !

.

Quand on dit que : les deux  font la paire :

S’agit surtout ne pas commettre d’impair,

Lors n’importe qui ne pourra faire l’affaire

Il faut trouver un conjoint extraordinaire !

.

Vous voyez si je suis bien en une chaussure,

Et pas l’autre : je marcherai lors en boitant.

L’un dans l’autre, et ajustés…  parfaitement

On durera longtemps, avec même baisure !

.

Fragments 

.

En quoi une chaussure serait-elle symbole

Union accordée entre deux êtres accouplés,

Par ce qu’on y enfonce le pied, côté féminin,

Parce qu’elles marchent par paire, masculin !

.

Est-ce pour cette raison que  les femmes auront

Dix paires de chaussures, lors, l’homme, moins :

L’érotisme du pied féminin ne se limiterait point

À ses pieds nus : à ses bottes,  à ses hauts talons !

.

Chaussure deviendra aussi multiple, sophistiquée

Au fur et à mesure femmes se seront émancipées :

Bien plus elle ne s’accordera pas qu’avec leur teint

Avec leur parure pour approcher ensemble divin !

.

C’est un peu le monde à l’envers, que les femmes

En essayeront une dizaine, pour en trouver une,

Tandis que les hommes feraient pareilles mais

Avec les femmes, pas pour leurs chaussures.

.

Je m’égare, des chaussures, il y en a mille,

Je cherche celle que Cendrillon a perdue,

C’est juste histoire d’essayer plus d’une

Et quand je la trouve enfin : fortune.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

 Paire de chausse

   Trouver la chaussure

   À son pied très exactement

  Trouver un pied, à chaussure,

  Les  deux  prennent  leur temps,

 Sans  compter  une  énergie  folle,

Pour être sûr de ne pas se tromper

 Tant, du talon, à la pointe des pieds,

Certaines sont dures,  autres molles,

Il y en a même  qui vous  déchausse.

.

P O U R  T R O U V E R  P A I R E,

Pour trouver paire choisir chaussure,

Mais pas d’impair sinon meurtrissure

Je me mets en tête,  et mets en quête..

D’un de ces gars  qui conte fleurette….

M’aime-t-il que pour ma devanture….

Quant au reste, mauvaise pointure,…..

Poule caquette mais pas galipettes……

Baiser est non  poudre escampette……

Ai-je eu affaire  à une grosse enflure….

Qui se satisferait,  mon enfourchure,…

Comme soubrette, comme coquette,…

Ne m’aimerait que  pour  trinquettes.

.

C H O I S I R     C H A U S S U R E

Un refus brutal – une intime blessure,

Un coup  de  canif – une éclaboussure,

Et tu te répètes – tu es bien trop bête :

Tu t’es mis  trop tôt – le cœur, en fête.

Eh,  toi, là,  Ducon – en  déconfiture :

T’as sorti ton jeu, hors température :

Remets  ta liquette, ferme baguette,

Ne m’appelle pas Suzette : Juliette.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Cela ressemble autant

À une grosse chaussette

Qu’à   une  chaussure 

Qu’il faudra trouver.

.

712 4

.

Ce

Chaussure seule est comme

 Égarée, perdue, est veuve :

On peut en essayer des dizaines

Avant de trouver la bonne.

Trouver chaussure à son pied :

Voilà bien  expression consacrée,

Si ce n’est pas pied pour chaussure

Comme dans Cendrillon, autre conte.

.

Symbolique 

 .

Pendant très longtemps,

Chaussure plus que toute

Autre  partie  du   vêtement,

A présenté  et  a été  chargée,

De symboles très importants :

Symbole  de  richesse,  symbole

De puissance, symbole  magique,

Et religieux, de  cultes   et   de  rites.

.

Une coutume venue de la nuit des temps

A fait considérer  l’offrande de la chaussure,

Comme la ratification sans appel de la conclusion

Soit d’un mariage ou un marché, chez les Romains,

Les règles élémentaires du savoir–vivre exigeaient

Qu’on ôta ses chaussures en arrivant chez un hôte.

fanny-chaussures.com/symboles-dans-l-histoire-de-la-chaussure

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

712 6

.

Chaussure seule est comme

 Égarée, perdue, est veuve :

On peut en essayer des dizaines

Avant de trouver la bonne.

.

Symbolique de fond

.

Freud a identifié la chaussure

Comme un vrai symbole sexuel,

Pied comme symbole phallique.

Or il se glisse en la chaussure.

On en déduira que  chaussure

Est symbole du sexe féminin.

Trouver  chaussure à son pied

Prendra  dès lors  tout son sens.

Chaussures servent  à marcher.

Être bien chaussé est le meilleur

Moyen d’avancer sans douleur,

Sur tous  les chemins  de la vie.

Se sentir bien dans ses baskets

Est  présage positif en rêves.

heraldie.blogspot.com/2014/10/

psychanalyse-de-la-chaussure

.

.

Fond/forme 

.

Chaussure et pied vont ensemble, certes

Et chaussure et partenaire pour le sexe

Si ce n’est pied pour couple en mariage

Qui avance sur deux, ou quatre pieds.

Si on a trouvé chaussure à son pied,

Qui dit qu’il n’y a pas d’équivalent

Meilleure chaussure, inconnue !

Certains ne les enlèveront pas

Pour  prendre  leurs pieds :

Trop fétichistes, peut-être.

.

 Textuels et illustrations  >>

711 – Les pieds, faut savoir les rimer, conter

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Les pieds peuvent être droits

Les pieds peuvent être croisés

Les pieds  peuvent être ouverts

ABAB     ou  ABBA      ou AABB.

.

Les rimes peuvent être… suivies,

Les rimes peuvent être… croisées,

Les rimes peuvent être embrassées

ABAB  ou bien ABBA   ou bien AABB.

.

Cela rime à quoi de comparer les pieds,

Qui n’ont pas, du tout, la même fonction

Les uns chaque jour  nous  supportent,

Même si les  autres nous importent.

.

Les pieds, il faut savoir les rimer,

Les pieds,  il faut savoir  les conter,

Et les pieds, faut savoir  les allumer,

Et les pieds,  faut savoir  les allonger !

Mais au fait de quels pieds s’agirait-il

De ceux des poètes, ceux  d’amoureux,

Mais s’ils se confortent  tous les deux,

Lesquels  seront  les  plus   versatiles !

.

Y a aucune  hésitation, c’est le second

Amoureux  enfonce  le pied  en creux

Des touffes en vrais  poils  visqueux,

Pour séries de va-et-vient hors non

Mais avant  cela,  pas de  panique,

Ce n’est pas tant le temps : nique,

Qui compte même si  la musique

La rendrait si forte, fantastique.

.

Ce sera plutôt, explorant canons

Beauté de son corps en abandon

Qu’on entend, le mieux, les sons

Des cœurs en mêmes pulsations.

L’un puis l’autre,  puis les deux,

Puits de caresses, lance de feux,

Danse à deux dos, à pourfendre,

En soupirs, agréables à entendre.

.

Mais avant de la pénétrer et fendre

Faut la mouiller  et bien la détendre,

Et cela l’un dans l’autre  à la demande,

En rythmes ils se calquent et se tendent,

Les yeux, tantôt  ouverts, et tantôt fermés,

La belle chevauchée peut, lors, commencer,

Au plus loin des galops effrénés d’un poète,

S’il est vrai, que, aujourd’hui, c’est sa fête.

.

Et que dire de la suite, sinon  l’absence

De retenues, l’absence  des réticences

Les secouant aux fonds  en leurs sens

En corps se réjouissant très intenses,

En vos cerveaux, vos corps et peaux.

.

Extensions

 .

Quels pieds faut-il croiser,

Quels pieds faut-il embrasser,

Quels pieds faut-il chausser,

Quels pieds faut-il ouvrir,

Quels pieds  faut-il suivre,

Quels pieds faut-il rythmer !

.

Des questions métaphysiques

À se poser avant d’entreprendre

La moindre, écriture ou  poésie,

Sans parler moindre acrobatie

Lors quels liens  entre elles :

Si partez du mauvais pied,

Vous le verrez de suite ;

Si vous partez du bon

Vous le sentirez !

.

Entre pieds de vers et …  verres à pieds,

Sans compter les pieds qui nous portent,

Il y a de quoi se les prendre dans le tapis

Surtout, si,  excès de vins vous emportent.

Les pieds de vers sont en portées musicales

Qui rythmeront un texte, en plus des rimes,

Faut savoir les manier pour bien les conter.

.

Peu de gens s’intéressent  aux pieds :

Sauf pour marcher, sauf pour baiser !

Pour le prendre, parfois, le surprendre

Mais attention à ne pas se méprendre.

.

Voilà bien une strophe rimée en AABB

Aux rimes faibles et tronquées par AA,

Aux rimes  égales et plus riches en BB :

C’est un peu  le b à ba de toute poésie !

.

Remarquez  qu’on l’écrit aussi : béaba

Parfois même : b-à-ba, et voire, baba.

On peut s’amuser de nombre de mots,

En y ajoutant des préfixes ou suffixes.

.

Fragments

.

Pour rapporter une histoire

 Il faut savoir conter,

Pour composer alexandrins

Il faut savoir compter,

Pour associer belles sonorités

Il faudra bien les rimer

Et pour faire accorder le tout,

Il faudra savoir… les arrimés !

.

Vous voulez savoir béaba poésie,

Il vous faudra jongler avec A et B.

Les figures, mouvements imposés

Seront ABAB  ou ABBA  ou AABB.

Attention à ne pas mélanger pieds

Vous perdriez le rythme, tomberiez

Sur une fausse note pour les rédiger,

Résonnance et harmonier, au panier.

.

Pieds ça rime en tous cas visuellement

Cinq doigts de chaque côté, deux creux,

Pour la symétrie, il n’y aura guère mieux

Et  l’on peut s’améliorer, continuellement,

En pratiquant la danse des pieds, sonnant,

Une volée de mots des plus métaphoriques,

Qui ont pour effet, vous rendre euphorique,

Et voire même vous mener jusqu’aux cieux !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

Les pieds peuvent être droits

Les pieds peuvent être croisés

Les pieds  peuvent être ouverts

ABAB     ou  ABBA       ou AABB.

Les rimes peuvent être… suivies,

Les rimes peuvent être… croisées,

Les rimes peuvent être embrassées

ABAB  ou bien ABBA   ou bien AABB

Cela rime à quoi de comparer les pieds,

Qui n’ont pas, du tout, la même fonction

Les uns chaque jour  nous  supportent,

Même si les  autres nous importent.

.

******************************

.

Les pieds, il faut savoir les rimer,

Les pieds,    L faut savoir  S   les conter,

Et les pieds,  E   faut savoir  A   les allumer,

Et les pieds,   *    faut savoir     V   les allonger !

Mais au fait   P      quels pieds     O  s’agiraient-il,

De ceux des   I       poètes  ceux      I     d’amoureux

Mais s’ils     E       se  confortent     R tous les deux

Lesquels      D      seront   les plus    *     versatiles !

Y a aucune  *      hésitation, c’est     L   le second :

Amoureux   F      enfonce  le pied     E     en creux

Des touffes  A       en  vrais  poils      *   visqueux,

Pour séries   U      de va-et-vient    R    hors non

Mais avant   D      cela,  pas de     I    panique,

Ce n’est pas   R    tant temps   M     la nique

Qui compte   A   même si    E  la musique

La rendrait    *  si  fort   R  fantastique.

C’est  plutôt,   explorant   les canons

Beauté de son corps   en abandon

Qu’on entend   le mieux les sons

Des cœurs en même pulsation.

L’un puis l’autre, puis les deux,

Puits de caresses, lance de feux

Danse à deux dos, à pourfendre,

En soupirs, agréables  à entendre.

Mais avant de la pénétrer et fendre

Faut la mouiller   *  bien la détendre,

Et l’un dans l’autre     *   à la demande,

En rythmes se calquent,   L    se tendent,

Les yeux, tantôt  ouverts,    E      et fermés,

La chevauchée pourra         *     commencer,

Au plus loin du galop          C          d’un poète,

Vrai, que aujourd’hui        O          c’est sa fête.

Que dire de la suite,          N        sinon absence

De retenues, absence       T         des réticences

Les secouant aux fonds    E        en leurs sens

En corps se réjouissant     R  très intenses,

En vos cerveaux, vos corps  vos peaux.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

En haut, liste pieds, métrique,

En bas, un pied, asymétrique

Qu’il soit raccourci,  rallongé,

Pied bot ne sera beau-pied !

.

711 4

.

Prendre son pied, au propre,

N’est pas pareil qu’au … figuré :

Si, parfois, les deux ne riment à rien,

Cela peut être autant le contraire !

.

Symbolique    

Pensez-vous qu’il est normal

Que je ne puisse jamais vraiment

Regarder plante de mes pieds

Lorsque je me tiens debout ?

Le  pied  est  ce qui  me relie

À la Terre Mère : grâce à lui,

Je prends contact avec la réalité.

Si   mon corps  est  un  arbre, alors

Il est ce qui me permet  de  m’ancrer

Sans pied,  je suis à plat …  déraciné.

Mon  pied  peut contenir  mon corps.

Réflexologie plantaire : je m’aperçois

Que les énergies d’une partie de mon

Corps peuvent se retrouver,  relier

Quelque part  dans mon pied.

toulouseosteopathe.com/pied-symbolique

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

711 6

..

Prendre son pied, au propre,

N’est pas pareil qu’au … figuré :

Si, parfois, les deux ne riment à rien,

Cela peut être autant le contraire !

 .

Symbolique 

 .

Le pied pour se déplacer.

C’est lui qui porte le corps.

 .

Il symbolise le mouvement,

 L’impulsion   et  la  liberté.

 .

   Le  pied  provoquera  une

     Impulsion  pour avancer,

      Pour  bloquer  ses  appuis

 .

        Camper sur ses positions :

        Il  symbolise nos  attitudes

        Tout  autant  nos  positions.

 .

     Le pied devient  également

    Représentation symbolique

  Des appuis relationnels, et

Donc rapport au monde.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-pied

 .

.

Fond/forme 

 .

ABAB  ou ABBA  ou AABB,

A le pied gauche, B, le pied droit

A, première rime, B, seconde rime ;

A, unité syllabique première, B, seconde

Y a de quoi y perdre son latin ou son grec,

Dont ils seraient issus  et pour tout mesurer.

Le rythme et la sonorité comptent tout autant

que les rimes qui peuvent être fixes ou libres

ainsi que le compte qui nous conte histoire

que nous découvrons, nous interprétons

comme une musique qui nous séduit

et qui dans notre âme, s’éblouit.

.

 Textuels et illustrations  >>

710 – Leçons, numéro un, deux… vingt et un !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Les leçons de séductions

Sont nombreuses, variées,

L’amour s’apprend  comme,

Tout  le reste, mais  les livres,

Ne servent à rien, ou  presque,

Seule, la rencontre est efficace.

C’est pas le permis de conduire

Et pas plus celui de se conduire

Alors pourquoi celui de séduire

Ne pourrait jamais nous nuire.

.

Leçons numéro…un

Deux … vingt et un,

Vous faites aubade,

Comme un malade

Point  n’est besoin

D’aucuns dessins,

Pour  baiser bien,

Tendre  la   main,

Et  le reste suivra,

Comme il se  doit.

.

Emmenez-le moi :

Comme il  se doigt,

Au meilleur  endroit,

Celui qu’on    fourvoie,

Esprits, sens, plein éveil

Représentant… merveilles

Et s’il caresse vos deux seins

C’est qu’ils les méritent bien :

Ils ne sont pas ronds pour rien,

Enfants les savent bien, coquins.

.

Si plus bas, votre  ventre se creuse

De votre appétit  à nul autre pareil,

C’est qu’il effleure  le simple appareil

Au milieu  d’une  cicatrice trompeuse

Très    profonde,   pour ovaire, utérus,

Mais pour y avoir accès, que de ruses,

Pour la pénétrer, à l’endroit à l’envers,

.

Comme  une cathédrale, gelée, l’hiver.

Chacun, chacune nous avons séjourné

Neuf mois, du  monde entier, abrité

Pour se forger corps sexe, identité,

Avant franchir le col de sa réalité !

.

Combien de femmes pensent encore

Dans la perfusion de leur jeune corps

Quand   orgasmes seront au plus fort,

Lors sexe y pénètre ou lors enfant sort !

.

Prenez une femme et qui se donne à vous

 Elle  vous prendra  ce qui n’est qu’un bout

De vous mais qui   devient en plein envol

Un nouveau cerveau  sexe, ou symbole !

.

Extensions

 .

Des seins à demi voilés,

Des jambes bien galbées,

Postures   de  laisser-aller,

Et voilà que le tour est joué,

L’homme pourra être séduit.

Chaque leçon profite aux deux

Tant lors on prend, on apprend

À combiner plaisir, être heureux

Jusqu’à ce qu’on se dise content,

D’être amants des plus chanceux.

.

Pour apprendre ce que c’est que le sexe

L’acte sexuel, voire cycle menstruel, etc.

Leçons d’anatomie, biologie, physiologie

Sont utiles et d’une évidence hygiénique

Et pour ce qui est de l’amour, séduction,

On plonge dans un abîme de subjectivité

Si vous entendez  vous dire un truc fatal,

Qui marche à tous les coups, méfiez vous

Du râteau, gifle, que vous allez  prendre !

.

Sûr qu’érotisme et lingerie  sont armes,

Vous vont droit au cœur, vous désarme

Si ça marche pour un soir  en faiblesse,

Le lendemain, dégrisé, la tête est lucide

Cela dépendra de ce que vous cherchez :

Le plan cul qui rencontre un plan cœur,

Ne fera d’aucun des deux, son bonheur

 Les leçons remettent pendules à l’heure.

.

Fragments

.

Drôle d’idées que d’associer

Amour et prendre des leçons,

Ne s’agit pas de  nager, danser,

Mais d’approche et de séduction.

.

Pour bon nombre de jeunes garçons

Information enseignée cours biologie

Si ce n’est sur internet, pornographie ;

Pour la pratique, la copine ou le boxon

.

Si tout tournait autour d’une initiation,

Il faudrait organiser une orgie libertaire

Où nous ne serions plus : sœurs et frères

Que des mâles et femelles en jubilations.

.

Voilà c’est direct et de plus sans leçons :

Bouteille de champagne, une invitation,

Deux verres et voilà le bel emballement,

On va faire mousser les bons moments !

.

La plupart du temps, rien n’est si simple :

On ne sait s’y prendre, on commet impairs,

Le verre est vide et pas d’amour, atmosphère

Et même les sexes ne grimpent pas en épingle.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Les leçons de séductions

Sont nombreuses, variées,

L’amour s’apprend  comme,

Tout  le reste, mais  les livres,

Ne servent à rien, ou  presque,

Seule, la rencontre est efficace.

C’est pas le permis de conduire

Et pas plus celui de se conduire

Alors pourquoi celui de séduire

Ne pourrait jamais nous nuire.

.

***************************

***********************

Leçons numéro…un

Deux … vingt et un,

Vous faites aubade,

Comme un malade

Point  n’est besoin

D’aucuns dessins,

Pour  baiser bien,

Tendre   la   main,

Et  le reste  suivra,

Comme  il  se  doit,

Emmenez –le – moi :

Comme il    *    se doigt,

Au meilleur  L      endroit,

Celui qu’on    E      fourvoie,

Esprits, sens    Ç      plein éveil

Représentant     O       merveilles.

Et s’il caresse       N       deux   seins

C’est que vous              le valez bien,

Ils ne sont pas           *    ronds pour rien.

Enfants les savent     U          bien, coquins,

Si plus bas, votre        N        ventre se creuse

De votre appétit           *      à nul autre pareil,

C’est qu’il effleure        D      le simple appareil

Au milieu  d’une           E    cicatrice trompeuse

Très    profonde,           U     pour ovaire, utérus

Et, pour y avoir             X    accès, que de ruses,

Pour pénétrer à             *      l’endroit à l’envers,

Une telle cathé              T      drale, gelée, l’hiver.

Chacun,  cune               R    nous avons séjourné

Neuf mois, du               O   monde entier, abrité

Pour se forger               I     corps sexe, identité,

Avant franchir              S      le col de sa réalité !

Combien de fem           *     mes pensent encore

Dans la perfusion         *       de leur jeune corps

Quand   orgasmes        V      seront au plus fort,

Lors sexe y pénètre      I     ou lors enfant sort !

Prenez une femme      N et qui se donne à vous

 Elle vous prendra       G ce qui n’est qu’un bout

De vous mais qui        T  devient en plein envol

Un nouveau cerveau  *         sexe, ou symbole !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une des meilleures  bouteilles,

Probablement :

De champagne, certainement

Avec ou sans lingerie.

.

710 4

.

On apprend plus de l’amour

En  buvant  du  champagne

Qu’en  feuilletant n’importe

Quel ouvrage de lingerie.

 .

Symbolique 

.

Naissances,

Ou mariages,

Nouvelle année.

Le champagne

Serait de toutes les

Grandes occasions !

On l’apprécie     dans le

Monde entier,    légèreté

Des bulles,   goût unique

De ce vin,        né à Reims

Au  IXe        siècle : 2005,

Plus de         307  millions

De bou        teilles  ont été

Vendues,           les  ventes

De Cham          pagne ont

Bondi  de             20 % en

Chine et             au Japon

Annonçant             record

De  consom           mation

Pour  l’année          2006.

Source : linternaute.com/actualite/savoir/

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

On apprend plus de l’amour

En buvant du bon champagne

Qu’en  feuilletant  n’importe

Quel ouvrage de lingerie.

 .

Symbolique

.

La lingerie un simple vêtement

Hygiénique pour  certaines tandis que

Pour d’autres, est  un accessoire  sensuel.

La couleur  de la  lingerie  reste aussi un

L’élément essentiel  dans  notre  choix.

 

Le noir chic amincissant est aussi

Symbole du raffinement mystère.

Le blanc  est  considéré comme la

Couleur de la pureté, d’innocence.

 

Valeur sûre, intemporelle et indémodable,

Le rouge est souvent porté par des femmes

Passionnées,    énergiques,  et      sensuelles.

C’est    une  couleur   liée  à  la   séduction,

L’excitation,   au  pouvoir  et au désir :

Celle préférée vitrine Saint Valentin.

passeportsante.net/fr/Actualites/

Dossiers/DossierComplex

 .

.

Fond/forme 

Le champagne reste autant

Symbole de fête, événement

Qu’un bon vin bien pétillant,

De fines bulles, avec mousse,

En laquelle est recommandé.

De faire un vœu pour l’année.

Qu’importe  s’il se  ne réalisera

Pas dès  toute  première gorgée

À force d’en boire cela finira bien

Par arriver et par être bien arrosé,

De nouvelle bouteille de champagne.

.

Textuels et illustrations  >>

709 – Pour le sexe, on dit, même fort bien établi

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Pour certains hommes, le sexe

Est lié, dimensions du membre,

Long et gros et longtemps tendu,

Et ainsi définira-t-on le bel étalon.

.

En réalité, les deux sexes s’adaptent

Leur élasticité est la qualité naturelle

Qui permettra à tous d’être satisfaits

Nombre croyances en ce domaine

Ont la vie dure et, l’âge venant,

Mâle est moins performant.

.

En réalité on fait amour

Autant avec sa tête

Que son sexe

Et le faire

Moins

Souvent

Longtemps,

N’empêche pas

D’être bon amant

Peut-être plus disponible

Surtout moins égoïste, tendu.

.

Pour   le    sexe,   l’on    dit,

Même fort   bien   établi

Que performance au lit

Un beau jour,  faiblit,

Compétence,  l’on dit,

Jour après jour grandit.

.

Or l’amour dans  son lit,

N’est pas tout,  en sa vie,

Une fois, effusions  finies,

Le désir du sexe est parti.

.

Dialogue à quatre   mains,

Réclame temps  et entrain,

Pour que l’accord soit plein

Ressenti toucher, soit divin

Aussi pénétrant et opportun

Qu’un sexe qui  va  qui vient

Son impression, son parfum

Vous faisant un  grand bien.

Notes s’égrènent, sur la peau

Comme  touches    d’un piano

Dans la multitude   des échos,

Qu’on ne saurait  le plus beau.

Le sexe  laisse   peu  de temps,

À vraie montée   du sentiment,

Faut conclure au  bon moment,

Ressentiment après, en dépend.

Faut garder, en soi,  ce mystère,

D’être seuls, ou deux, sur Terre.

.

Extensions

 

Pour certains, le sexe, est tout :

C’est le vrai but à atteindre, lors

Le reste ne serait que de surcroit.

Oui mais que donnera-t-on  de soi

Dans un acte sexuel : un  désir  qui

Se promène ou corps qui se démène

Pour finir, un orgasme qui entraine,

Toujours et encore à recommencer.

.

On en vient  à penser  que : l’amour

C’est  comme  une  cigarette  tandis

Qu’est  rencontre  entre  deux êtres

Pour échanger plus profond d’eux

Et en toute confiance, et  non que

De se donner du plaisir, mutuel.

.

Discours sur le sexe y en aurait

Des centaines et dont certains

Le prônent  comme  trophée.

Une  séparation  du  sexe  et

Du  sentiment  n’aurait plus

Rien d’humain, elle se réduit

À une  gymnastique  qui vise  à

Performance plus qu’à compétence.

Le sentiment sans sexe ne vaut guère mieux :

Les amours platoniques se transforment vite en amitiés.

.

Sensibilité, sensualité, sexualité, sexe alité, sexué,

Cette  gamme de mots vient à l’esprit, et en bouche,

Pour vivre l’amour  comme sous une chaude douche,

Où le plaisir l’emportera sur toute autre considération

Et qui fera monter et descendre toutes fébriles tensions.

.

Les troubles de dysfonction sexuelle

Ou de la déficience sont, pour la majorité :

 Troubles du désir sexuel, troubles de l’excitation

Troubles de l’orgasme, troubles sexuels avec douleur.

.

Autrement dit, en langage commun,  voire vulgaire :

On n’en a pas envie, et voire on n’y pense même pas,

On arrive pas ou plus à s’exciter pas même à bander

On ne parvient à l’orgasme ou alors il est très faible.

.

Douleur au lieu de plaisir, le dernier est particulier,

C’est le moins qu’on puisse dire, il faudra consulter.

La panne passagère,  y aurait rien de spécial à faire,

Nombre hommes l’ont connu sans raison, ordinaire.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Pour certains hommes, le sexe

Est lié, dimensions du membre,

Long et gros et longtemps tendu,

Et ainsi définira-t-on le bel étalon.

En réalité, les deux sexes s’adaptent

Leur élasticité est la qualité naturelle

Qui permettra à tous d’être satisfaits

Nombre croyances en ce domaine

Ont la vie dure et l’âge venant

Mâle est moins performant

En réalité on fait amour

Autant avec sa tête

Que son sexe.

Et le faire

Moins

Souvent

Longtemps,

N’empêche pas

D’être bon amant

Peut-être plus disponible

Surtout moins égoïste, tendu.

********************************

*********************************

Pour   le    sexe,   l’on    dit,

Même fort   bien   établi

Que performance au lit

Un beau jour  S    faiblit,

Compétence,     E   l’on dit,

Jour après jour,   X  grandit.

Or l’amour dans     E    son lit,

N’est pas tout en      *     sa vie,

Une fois, effusions,    M     finies,

Le désir du sexe est     Ê       parti.

Dialogue à quatre       M       mains,

Réclame temps et      E      entrains,

Pour  qu’accord        *         soit plein

Ressenti toucher     F           soit divin

Aussi pénétrant     O        et opportun

Qu’un sexe qui      R         va qui vient

Son impression     T        son parfum,

Vous faisant un      *        grand bien.

Notes s’égrènent    É        sur la peau

Comme touche        T       d’un piano

Dans multitude       A        des échos

Qu’on ne sait le      B        plus beau.

Le sexe  laisse       L  peu de temps,

À vraie montée   I   du sentiment :

Faut conclure au *   bon moment,

Ressentiment, après,  en dépend.

Faut garder,  en soi,   ce mystère,

D’être seuls, ou deux, sur Terre.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Évocation

 

Un verre à pied en haut,

 Une chope de bière en bas,

Qui trinquent entre eux,

Pour le sexe appeal !

.

709 4

.

Prendre un verre, remplir un verre,

Puis vider un verre, rassasié:

Cela ferait partie de l’ordinaire sauf

Amour dépend du sex-appeal

 .

Symbolique 

 .

Le verre, la coupe,

Le gobelet, la tasse,

Ne seront, en réalité,

Qu’un   seul  et   même

Objet  à variantes près.

Comme  tout  réceptacle,

C’est un symbole féminin,

C’est pourquoi, le verre vu

En songe, peut figurer  une

Femme  qui   joue   un   rôle

Déterminant  dans  sa  vie.

Compte tenu transparence

Prévient éclaircissements

Permet une clarification

Des affaires obscures.

wikireve.fr/dir/211-verre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

709 6

.

Prendre un verre, remplir un verre,

Puis vider un verre, rassasié:

Cela ferait partie de l’ordinaire sauf

Amour : trop ou pas assez.

 .

Symbolique 

 .

Une chope signifie

Grand verre à bière

Est un récipient, un 

Gobelet cylindrique,

Muni d’une anse où

 On boit de la bière.

Peut  être  en  bois,

 En     terre      cuite,

Grès,   métal,    por

Celaine,   ou   émail,

Et on la trouve souvent

 En verre chope un type

De verre à bière.

source : wikipedia.org/wiki/Chope.

.

 .

Fond/forme 

 .

Rien à voir entre un sexe masculin et un verre,

Cela va sans dire même si le verre sert d’étalon

 .

Croyance que plus il est grand plus il est fort,

N’a aucun fondement empirique, statistique.

 .

La performance n’est pas une compétence

Pour satisfaire toutes les femmes au lit

 .

Demandez-leur  si  un plus long sexe,

Leur procure un plus long orgasme.

 .

C’est lors dialogue que ça se passe.

 .

Textuels et illustrations  >>

708 – Imaginez-vous amant excité, sexe devant

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Partie majeure de toutes les postures

Liées à toutes sortes accouplements

Entres les humains, positionnent

Souvent l’homme au-dessus

Comme  membre actif

Alors que la femme,

Serait réceptacle,

Plus passive :

.

Est-ce  en  la

Nature des choses

Voire dans les gènes

Ou appris, culturel,

Qui peut le dire !

.

Toujours est-il,

Que   l’homme,

S’en  satisferait

En croyant en sa

Mâle… domination

Lors, pour la femme,

Il n’en  est rien, certain.

.

Imaginez-vous amant excité

Sexe devant, cuisses écartées :

N’a qu’à se dépêcher  d’y entrer,

Comme fier bateau entrant au port,

Quand la retenue d’elle se met au vert

Lors cet abri, bien douillet, lui est offert.

.

Il ne sait faire demi-tour en courants forts

Lors  il se coule en elle … elle roucoule de lui.

On peut imaginer une femme dans chaque port

Qui vous attend pour calmer la tempête…qui sort

De son bas ventre et de sa tête, embrumée d’alcool.

.

Voilà bien image machiste, qui a fait long feu, école.

La plupart du temps, l’amant fait l’amour…à la même

Débarrassée de toutes pudeurs, et voire, de sentiments,

Sa porte, serrure, est un porche, que l’on ouvre, souvent,

Grâce à cette clef qui la pénètre  et jusqu’aux … extrêmes.

.

Toute femme, avec son corps, représente  dix, cent … mille,

Chaque fois que marin  pense à une autre, vise dans le mille,

C’est ainsi, qu’aucun sexe, porte secrète, n’en existe vraiment.

Après dépucelage, défloraison, demeure ouverte, ouvertement.

.

Vouloir la refermer soi-même est courir en vain jusqu’à sa perte

Il n’est plus doux désir  que rester songer longtemps à sa fenêtre.

Il y a aura un après, si, l’avant est le fruit d’une belle …  conquête.

Elle se renouvelle à chaque fois, en plaisirs et en joies, lors de fête.

.

La dernière porte secrète et qui demeurera impénétrable est l’âme.

Faut y être invité, autorisé tant, en aucun cas impossible à forcer.

Impossible de la manipuler,  la rendre esclave, indigne, infâme :

Sa clef, personne ne l’a et des lors, il ne pourra ni l’ouvrir ni fermer.

.

Extensions

 .

Porte,  fenêtre, pour la métaphore,

Soupirail, trappe, vasistas, lucarne

Ouvertures  évoquent   emboitures

En mur, en dur, aveugle  à lumière

Extérieure, du soleil, ou  d’ailleurs.

.

Une fois  son seuil franchi, la porte

Peut rester ouverte  et voire offerte

Et elle pourra se refermer sur vous,

Pour vous transformer  prisonnier.

.

Pour vous jeter dehors et se fermer

Pour vous, et, jusqu’à  double tour.

La pousser n’a donc  rien d’un acte

Gratuit  ni d’innocent  ni de futile !

.

Renversés, couchés au sol, imbriqués l’une dans l’autre

Toutes attitudes et postures en deviennent renversantes.

Le fait accompli, le repos mérité  comme de bons apôtres,

Les postures  se  transformeront  en « statues dormantes »

C’est ainsi que cela, se profile, et se passe, quand  on tente

Le diable, le tirant par la queue, assouvissant son plaisir.

.

L’homme actif, la femme passive,

Vieux cliché qui n’a jamais existé,

Dans le secret d’alcôves d’intimité,

La force de désir de femme est vive

.

Et dieu merci la libération sexuelle

Est passée par la et elle aura libéré

La parole de la femme … éternelle,

Qui est pour l’homme…  à égalité.

.

Je ne saurais en dire plus pour

Ne pas m’attirer les foudres

Des uns  ou   des autres

Ne pensant pas cela.

.

Fragments

.

«Cachez-moi ce sein que je ne saurais voir !»

Clame Tartufe en pièce de théâtre de Molière.

.

Cachez-moi ce sexe, que je ne saurais … voir,

Qui me crée des fantasmes à ne plus surseoir.

.

Mais la nature de l’homme est ainsi faite, que

L’homme, sans sa queue, ne serait autre… que

.

Qu’incapable de bander devant un être désiré,

Quand le membre représente amant en entier.

.

Verre à l’endroit, verre trinqué, verre renversé

Bien rempli, on le boira d’un seul jet…déversé

.

Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse,

Quitte à le trouver au fond de paires de fesses.

.

On en ferait, volontiers, un beau calligramme,

Si l’on pouvait le conformer vertu de son âme.

.

S’imaginez amant excité, avec sexe mythique,

Peut être romantique autant pornographique.

.

Renversant ou renversé, ça dépend du versant,

Il faut voir l’être comme il est en sexe puissant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

.

Une   partie   majeure    de   toutes   les   postures

Liées  à    toutes  sortes   d’accouplements

Entres les humains,     positionnent

Souvent l’homme au-dessus

Comme  membre actif

Alors que femme,

Réceptacle,

Passive.

Est-ce en la

Nature des choses

Voire dans les gènes

Ou appris, culturel,

Qui peut le dire !

Toujours est-il,

Que l’homme,

S’en satisferait

En croyant en sa

Mâle… domination

Lors, pour la femme,

Il n’en  est rien, certain.

IMAGINEZ-VOUS :

Imaginez-vous amant excité

Sexe devant, cuisses écartées :

N’a qu’à se dépêcher  d’y entrer,

Comme fier bateau entrant au port.

AMANT EXCITÉ,

Quand la retenue d’elle se met au vert

Lors cet abri, bien douillet, lui est offert.

Il ne sait faire demi-tour en courants forts

Lors  il se coule en elle … elle roucoule de lui.

SEXE DEVANT 

On peut imaginer une femme dans chaque port

Qui vous attend pour calmer la tempête…qui sort

De son bas ventre et de sa tête, embrumée d’alcool.

.

Voilà bien image machiste, qui a fait long feu, école.

La plupart du temps, l’amant fait l’amour…à la même

Débarrassée de toutes pudeurs, et voire, de sentiments,

Sa porte, serrure, est un porche, que l’on ouvre, souvent,

Grâce à cette clef qui la pénètre  et jusqu’aux … extrêmes.

.

***************************

****************************

.

Toute femme, avec son corps, représente  dix, cent … mille,

Chaque fois que marin  pense à une autre, vise dans le mille,

C’est ainsi, qu’aucun sexe, porte secrète, n’en existe vraiment.

Après dépucelage, défloraison, demeure ouverte, ouvertement.

Vouloir la refermer soi-même est courir en vain jusqu’à sa perte

Il n’est plus doux désir  que rester songer longtemps à sa fenêtre.

Il y a aura un après, si, l’avant est le fruit d’une belle …  conquête.

Elle se renouvelle à chaque fois, en plaisirs et en joies, lors de fête.

La dernière porte secrète et qui demeurera impénétrable est l’âme.

Faut y être invité, autorisé tant, en aucun cas : impossible à forcer !

Impossible  de  la manipuler, de la rendre esclave, indigne, infâme :

Sa clef, personne ne l’a et des lors, il ne pourra ni l’ouvrir ni fermer.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Flacon de parfum

Avec bouchon

Ou un verre à pied

Renversé après trinqué.

.

708 4

.

L’amour, c’est le temps de boire un bon verre à pied,

Le renverser après avoir trinqué, affirment certains 

Et puis pour s’en remettre, de fumer bonne cigarette,

Prétendent d’autres, encore dans les vapeurs !

  .

Symbolique 

 .

Parmi les synonymes,

Expressions  équivalentes

De   « renverser  un  verre ».

 

On trouve : faire tomber,   répandre un liquide,

Mettre le haut en bas et le bas en haut,   inverser,

Incliner en arrière, au sens figuré ou pour corps

Plonger dans l’étonnement, démolir, saper

Se renverser    s’incliner en arrière,

Tomber, chavirer,  voire verser.

 

Pas besoin de faire un dessin

Pour imaginer à quoi tout

Ça peut bien s’appliquer.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

708 6

.

L’amour, c’est le temps de boire un bon verre à pied,

Le renverser après avoir trinqué, affirment certains 

Et puis pour s’en remettre, de fumer bonne cigarette,

Prétendent d’autres, encore dans les vapeurs !

.

Symbolique 

.

Des sources      font remonter

La pratique      de trinquer

 Son verre          à l’antiquité

 La  coutu           me  de boire

 À  la  santé          des   vivants

Provient pro       ba-ble-ment

 Du rite anti          que de boire

En l’honneur        des dieux et

Des morts : Eu     rope, trinque

Avec un verre à    pied  d’alcool

De bière, vin, ci  dre, vodka, etc.,

Mais on pourrait le faire avec un

Verre non alcoolisé, lors avec qui,

Quoi et pourquoi trinquez-vous ?

 .

.

Fond/forme 

.

Un calligramme est un poème

Dont la disposition graphique,

Sur la page formera un dessin,

 .

Souvent en rapport avec le sujet du texte,

Mais il arrive parfois que la forme apporte

Un sens qui s’oppose au texte.

 .

Lors   cela  permet  d’allier

l’imagination  type visuelle

 À celle portée  par les mots. 

 .

Il s’agit parfois  d’une dérive

Parfois bifurcation complète,

Ouvrant  vers d‘autre univers,

On pourrait ainsi, par rebonds,

Aboutir à des liens très éloignés.

.

 Textuels et illustrations  >>

707 – En écrin de lumière mon vaisseau avancé

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Belle

Métaphore,

Que      l’écrin

De lu        mière,

Pour          imager

Creux          profond    

Du vrai         mystère

Qu’est              l’amour

Partagé              à deux,

En une              posture,

Sur nue                litière.

Une autre           et belle

Métaphore          en est

Serait  le      vaisseau

Qui le       parcourt

Même       espace

.

Pour re chercher

Un  tré sor  jugé

In-esti-ma-ble :

Mais  que, seule,

Une vraie lumière,

Viendrait lui révéler !

.

En un bel écrin de lumière

Mon vaisseau s’est avancé,

En avant  puis  en  arrière,

À  l’explorer,  et à  volonté.

.

En des  mouvements  lents,

Où chacun prend son temps

De s’accrocher  à ces parois,

De cette caverne  d’Ali-baba.

.

Pour emporter  …  son trésor,

Par le dedans,   par  le  dehors,

Attendant : sésame    ouvre-toi,

Que la porte  se  fende,  sous soi,

.

En  vaisseau, de  pleine  tempête,

Qu’il  trouve  refuge, sur  la crête,

Sur  le  fond  d’une  longue  quête,

Partagée  entre l’ange … et la bête.

.

Cette  belle symbolique des fluides,

Mécanise de mouvement plein/vide

Mais l’intention,  énergie en retour,

Sont généralement signe d’amour !

..

Extensions

 .

Branché sur l’être tout entier

Qui produit sa lumière en toute intimité :

On imagine comme aura entourant les amants,

Les protégeant de distraction de leur environnement.

Il ne s’agit pas, pour autant, d’une totale fusion mais

De la recherche d’une parfaite connexion des corps,

Des cœurs, des esprits, qui sait, parfois, des âmes.

Ce n’est pas pour autant de l’amour sublimé,

Mais c’est souvent de l’amour consommé.

.

Dans le sexe pour le sexe, il y a comme

Une dimension comique ; dans le sexe

Pour l’amour, une dimension cosmique.

Ce « s » que l’on rajoute, fait la différence.

De la fusion physique à communion Nature,

Le même acte, en apparence, change de valeur

L’un procure le plaisir, mais l’autre, le bonheur.

.

Cela dit, chacun fait l’amour     comme il l’entend

Et comme il le sent et le sentiment qu’il en ressent

Souvent, et impressions qu’il en retire, demeurent,

Pour  une large partie, des moins  intransmissibles.

Ce qui est plus certain serait qu’ayant connu le vrai,

Le parfait bonheur qu’engendre le véritable l’amour.

.

Le retour à une simple et banale jouissance physique

En devient vite frustrant et lors on peut comprendre

Que l’on ira chercher auprès de quelqu’un d’autre,

Ce même état vécu et désormais paradis perdu.

Pour ceux ou celles qui ne l’ont pas connu,

Ça ne leur manque pas, c’est déjà ça !

.

La femme est-elle un écrin : oui, non… ça craint :

Ne serait-elle pas bien plutôt le bijou qu’il contient

Certains y voient comme une lumière, très attirante,

Lors d’autres comme un piège quand elle vous tente

Vous réclame un bijou pour montrer ses attentes.

.

Un trou  de serrure  mais pour  quelle clef !

Clef mystérieuse, pour porte  aventureuse,

De femme assoiffée de sexe ou amoureuse

Ce n’est souvent qu’après qu’on sera fixé !

Quant à traiter sexe masculin de vaisseau,

Ça dépendra pour qui : affectueux ou sot :

Pour ce dernier, image ne vaut pas ce mot,

On fait l’amour aussi avec un beau cerveau.

Ceci dit la femme ne sera pas qu’un bel écrin

À qui il manquerait un bijou pour la combler

Elle serait  aussi active, réflexive, que le marié,

Qui lui passe la bague au doigt, un beau matin !

.

Fragments

.

En un écrin lumière,

Un esquif s’est avancé,

Nul besoin de l’esquiver

En  sa très belle  rivière !

.

En chambre buissonnière

Réceptacle de nos amours,

Un diamant brut, minière,

Dormait au fond, glamour.

.

Un écrin qui ne craint rien,

Qu’être trompé, abusé, sali,

Il ne s’ouvre  que pour bien

Accueillir  diamant … ami !

.

L’un dans l’autre,  on ne sait

Plus qui est le plus précieux,

Tant les deux seront parfaits

Pour  parvenir … aux cieux !

.

Finalement écrin ne contient

Que des moments d’émotion

Que l’on tient, et l’on retient

Comme élixir de sa passion.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

 .

Belle

Métaphore,

Que  É       E  l’écrin

De lu   C              S    mière,

Pour    R                      Q   imager

Creux    I                           U   profond    

Du vrai  N                               I    mystère

Qu’est      *                                  F    l’amour

Partagé  L                                     *     à deux,

En une    U                                   A    posture,

Sur nue    M                                V       litière.

Une autre  I                              A       et belle

Métaphore È                         N   s’il en est

Serait  le   R                     C   vaisseau

Qui le       E                 É  parcourt

Même           *            espace

Pour re      *     chercher

Un  tré    *   sor  jugé

Inesti     *   mable :

Mais   que,   seule,

Une vraie    lumière,

Viendrait  lui  révéler !

.

En un bel écrin de lumière

Mon vaisseau s’est avancé,

En avant  puis  en  arrière,

À  l’explorer,  et à  volonté.

En des  mouvements  lents,

Où chacun prend son temps

De s’accrocher  à ces parois,

De cette caverne  d’Ali-baba.

Pour emporter  …  son trésor,

Par le dedans,   par  le  dehors,

Attendant : sésame    ouvre-toi,

Que la porte  se  fende,  sous soi,

En  vaisseau, de  pleine  tempête,

Qu’il  trouve  refuge, sur  la crête,

Sur  le  fond  d’une  longue  quête,

Partagée  entre l’ange … et la bête.

Cette  belle symbolique des fluides,

Mécanise de mouvement plein/vide

Mais l’intention,  énergie en retour,

Sont généralement signe d’amour !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Piédestal avec un trophée,

Ou ses deux mains jointes,

Ou alors  un écrin ouvert,

Mais sans un sexe dedans.

.

707 4

.

Un écrin est quelque chose

Qui  absorbe et  qui protège :

L’allusion  sexe  femme  parait

Évidente  et  parfois  brillante !

Écrin  et sexe vont bien ensemble

Même si des fois, direct et craint,,

On peut y mettre bijou ou caillou,

Ainsi la forme comblera le fond.

.

Symbolique

 .

Définition  mot  écrin

Petit coffret          ou  étui où

L’on met                    des bagues,

Des pier                                 reries et

Des objets                                précieux.

Ensemble                              des joyaux

Contenus                      dans ce coffret.

L’écrin de la            reine : poétique

Contenant, en     tourage, d’une

Chose précieuse, jolie.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

707 6

.

Un écrin est quelque chose

Qui absorbe et qui protège :

L’allusion sexe femme parait

Évidente et parfois brillante !

.

Symbolique 

.

De nos jours, nous employons couramment

Le signe formé de croix surmontée d’un cercle

Pour désigner le sexe  ou encore genre féminin.

 .

À  l’origine, ce symbole est associé

À la déesse romaine

De l’amour et de la beauté : Vénus.

Il représenterait plus

Particulièrement le miroir à un pied,

En  forme  de  croix,

Que Zeus lui aura offert comme

Cadeau de mariage.

 .

Celui-ci aurait renfermé « les grâces, attraits,

Le sourire  engageant, le doux  parler, le soupir

Persuasif, silence expressif, éloquence des yeux ».

 .

Ce symbole représente également la planète Vénus

Et revient, fréquemment, dans d’autres cultures

Avec connotation de féminité, fertilité, ou de vie.

sillonbelge.be/4166/article/2019-05-05/

le-symbole-feminin-dou-ca-vient

 .

 .

Fond/forme

Pour visualiser le sexe féminin,

Certains parleront d’une lumière

Et le sexe masculin : d’une torche,

Lors d’autres  parlent  d’un porche.

.

Avouons que ça fait une différence :

Difficile de faire la lumière sur objets,

Qui ne seront que purs sujets de désirs,

Qui ne demanderont qu’à … s’assouvir !

.

Textuels et illustrations  >>

706 – En un gant huilé, mon doigt s’est enfoncé.

Textuels et illustrations  >>

..

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Une     belle

Mé-ta-phore

S’il  en  est,

Que ce gant,

Bien trempé

Pour   cavité,

Fort avide de

Mouvements,

Pour l’activer,

Jusqu’au  fond

Des    entrailles.

.

En une autre belle

Et pure métaphore

S’il en était, en est,

Que ce    long doigt,

Adroitement dressé,

.

S’il vient  et parvient

En    ces    va-et-vient,

D’humeurs  bien roses

Jusqu’à une apothéose,

Amour, qu’on dit sexuel,

Ou bien encore…charnel.

.

En un gant, fort bien huilé,

Mon doigt  se sera  enfoncé

Et  le caressant,   à le frotter,

Jusqu’à en devenir contracté.

.

Coups  de  piston   s’explosant

En cette chambre d’admission,

La tension  grimpe, au plafond.

.

Deux temps,  trois  mouvements,

Affolement  général,  et, physique,

Descente rapide, et, piston bloqué,

Les freins viennent juste  de lâcher.

.

Impossible, de se sauver : panique :

Le gant se tord et sous une crampe,

Pressé/tiré voire pompé sans façon

Le doigt lui remplira  tout le fond,

L’enduit, l’enfume, et, le  trempe.

.

Cette belle mécanique des fluides,

Symbolise mouvement, plein, vide,

Mais l’intention, énergie sans retour

Seront, rarement, des signes d’amour.

.

Extensions

.

L’amour, il convient de le faire, plus qu’en parler.

Soit ! Mais nous  ne sommes pas  des animaux,

Nous avons la parole, une parole faut l’utiliser.

Celle-ci nous procure maintes représentations,

De ce qu’est l’acte sexuel, symbolique associée.

.

Un acte sexuel totalement étranger au langage

Entre des inconnus peut-il avoir un autre sens

Que de se procurer du plaisir et mutuellement.

L’acte sexuel reste un langage différent de celui

De la parole, une autre manière de dire à l’autre

À quel point on l’aime, tant, dans le cas contraire,

On risque l’interchangeabilité corps, insatiabilité !

.

L’aspect gestuel, mécanique des pratiques sexuelles

Est le même pour tous : ce n’est que sens qui varie.

En ce sens la pornographie singera l’amour alors

Que l’amour n’a rien en lui de pornographique.

Apprendre le sexe, ce n’est pas apprendre

L’amour : il y a un abime entre eux

Qu’il faut combler avec bien plus

Qu’un membre à agiter.

.

On distingue  il y a le doigt, et il y a les doigts :

Le doigt d’une main, les doigts des deux mains,

À faire attention  où  on met le doigt, les doigts,

Pour avoir  mauvaise réaction  comme il se doit.

Le doigt levé d’aujourd’hui  n’est pas de demain ! 

 .

Toute bonne littérature érotique,  regorgera

D’allusions au sexe autant que descriptions,

Portée qu’elle est  entre séduction et action,

Met son doigt pour nous toucher…du doigt.

.

Poésie, littérature  érotique, pornographie :

Ou trois états, visions d’un même acte, fini.

Première vue il peut s’agir de même chose :

C’est selon qu’on l’évoque, le décrit ou l’ose.

.

Une œuvre érotique  peut être  …  poétique,

L’inverse aussi, jamais image pornographie

En la dernière, n’existe pas de sémantiques,

De passer vite à l’action reste son seul souci.

..

Fragments 

 .

N’allez pas croire, ici, ce que je ne dis pas

Votre imagination vous jouerait des tours,

Il ne s’agit que d’un doigt comme il se doit

Qui compte autant que sexe, dans l’amour.

.

Un doigt s’enfile en gant, presque tout seul,

Et bien mieux encore quand on a du doigté,

Il s’agira moins d’enfoncer que de caresser,

Un gant ne ressemble jamais à une gueule.

.

Une loi animale, sous la pression du désir

Ouvre en grand l’entrée du doigt du gant

Et il se produira ce qui doit se produire

Remplissage, et tapissage du dedans !

.

Orgasme ne tient qu’à un doigt près

Le plaisir se donne, à pleine mains,

Se rassasiera en un fond de vagin,

Comme deux doigts coupe-faim.

.

Arrive qu’on soit mal à doigts,

Agisse à l’envers, pas endroit,

Et le gant se fige,  se rétracte

Et  impossible  d’y pénétrer.

.

Érotisme est art consommé,

On  ne le dira, jamais, assez,

Celui qui est trop maladroit,

Ne le fera, la prochaine fois !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

..

 Calligramme

 .

Une   *     belle

Méta      phore

S’il     A   en  est

Que     N   ce gant

Bien     T   trempé

Pour     *      cavité

Fort     H  avide de

Mou     U  vements

Pour      I  l’activer,

Jusqu’   L   au fond

Des ent  É     railles.

.

En  une    autre, belle

Et  pure   métaphore,

S’il  en   D    était, est,

Que ce    O   long doigt

 Adroite    I  ment dressé

S’il vient  G   et parvient

En  ces      T  va-et-vient,

D’une hu   *     meur rose

Jusqu’à     E   l’apothéose

D’amour    N    dit  sexuel

Ou  bien     F    dit charnel

En un gant O     bien huilé,

Mon doigt   N  s’est enfoncé

Caressant,    C     à le frotter,

Gant s’est     É   décontracté.

.

Coups  de piston   s’explosant

En cette chambre d’admission

La tension  grimpe, au plafond.

Deux temps,  trois  mouvements,

Affolement  général, et, physique,

Descente rapide, et, piston bloqué,

Les freins viennent juste  de lâcher.

Impossible,  de se sauver, panique :

Le gant se tord et sous une crampe,

Pressé/tiré voire pompé sans façon

Le doigt lui remplira  tout le fond,

L’enduit, l’enfume, et, le  trempe.

Cette belle mécanique des fluides

Symbolise mouvement plein, vide

Mais intention, énergie sans retour

Seront rarement des signes d’amour.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Ça  ressemble à un doigt,

Probablement,

Ça  ressemble à un désir

Certainement !

.

706 4

.

L’allusion acte sexuel provoquée

Par  ce  doigt  est,  ici,  tangible :

On  n’y verra  alors  qu’un désir,

De force, plaisir, soumission. 

  .

Symbolique

.

Le    doigt 

Est le symbole

De  la  précision

En   mouvements,

Il représente détails

Du  moment présent :

Ce peut être   également

 Parce     que    l’on   ressent

Regret, remords, on se mord

Les doigts, on culpabilise pour

Une situation,    comportement

Que l’on a eu. Lever l’index est

Le  symbole  de  la  force de

Caractère, décisions, l’autorité.

psycho2rue.fr/doigt

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

706 6

.

L’allusion acte sexuel provoquée

Par  ce  doigt  est, ici,  tangible :

On n’y verra  alors qu’un désir

De force, plaisir, soumission. 

.

Symbolique

 .

Il faut dif        férencier

Le besoin     …    du désir :

Le besoin est is     su de pulsions

D’autoconserva   tion, il est associé

À la survie de par      ses besoins vitaux

Tels que : manger,     boire …  dormir,  etc.

 .

Le désir a, pour seul      et  unique  but, le plaisir.

On peut se passer d’un    désir mais pas d’un besoin.

 .

Le besoin nécessite un    objet réel pour être assouvis,

Le désir peut se conten   ter d’un objet fantasmatique.

 .

L’objet n’est cepen    dant pas la cause du désir

Mais son moy      en d’accomplissement.

philippeblazquezpsychanalyste.com/desirs

 .

 .

Fond/forme 

.

Le doigt du désir peut être myope

Et ne désigner, voir que sexe offert

Ou plus lointain, en visant l’amour,

Sinon,  après lui  … court toujours !

.

Faut-il prendre des gants en amour

Très certainement plus…qu’en sexe

Ou un simple  préservatif suffira

À garantir bonne lubrification

En sus de bonne protection.

.

Textuels et illustrations  >>

705 – Consentir sensuellement au profit du sexe

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le sexe n’est pas que … physique,

Le sexe n’est pas que mécanique,

Le sexe  n’est pas  qu’hystérique,

Le sexe n’est pas que  pratique,

Le sexe n’est pas que la nique,

Le sexe n’est pas  que piques.

.

Il peut être métaphysique,

Il peut être  romantique,

Il peut être    mystique,

Il peut être   poétique,

Il peut être  onirique.

.

Il peut être magique,

Il peut être consenti

Au profit des sexes,

Sans être amants :

Jeux   complexes !

.

Regards   partagés,

Regards   échangés,

Regards transpercés.

Regards   énamourés.

.

Amour suffit, une fois,

Amour se rempli de soi,

S’il faut le faire deux fois

C’est qu’il vous       déçoit.

.

Rien de tout cela  en sexe,

C’est   le corps    convexe,

C’est  le même  concave,

On remplit de sa lave.

.

Profonds  sentiments,

La fusion de  nos amants,

Leurs amours,  partageant,

Leur don de soi,  pratiquant.

.

Le désir devient un prologue,

Lors le sexe, un monologue,

Le sentiment,  analogue

L’amour : dialogue.

.

Extensions

 .

Consentir et sexe sont les deux mots clés

Servant de sésame pour ouvrir les portes

De deux corps enamourés.

Le consentement mutuel  reste une notion

D’acceptation  de contrat  afin que chacun

En tire bénéfice équivalent.

Le consentement forcé est proche d’un viol,

Même si, après, partenaire

S’en trouve finalement, réjoui et le remercie

Entre  volontaire  et  forcé,

Le curseur  se déplace, allant de l’acceptation

Complète  et  bien souhaitée

Au refus total à ce  point de s’en sentir … mal.

Acceptation pour avoir paix,

Est commune  dans les couples, consentement

De réparation avant de passer

À autre chose ou revenir à l’état d’auparavant.

Et c’est parfois pour l’homme,

L’occasion de tester  son pouvoir  de séduction

Ou d’asseoir, une fois de plus,

Son pouvoir de domination : l’enjeu consentir

À l’acte sexuel n’est pas toujours

Identique pour les deux partenaires sans pour

Autant que l’autre le sache, suppose.

 .

Consentir : un mot clé qui ouvre une porte

Consentement mutuel : mots qui emportent

L’espoir d’une jouissance partagée, du moins,

Sur le plan sexuel et plus, si affinité spirituelle.

La femme peut dire non et alors «non c’est non»

Mais l’homme tout autant, s’esquiver, ou refuser.

Comme dit  Gainsbourg« je t’aime, moi non plus »

.

Le sexe n’est pas ceci, cela,

Le sexe peut être : aime cela,

Qui peut prétendre le qualifier

Qui peut prétendre, l’embrasser.

Au-delà plaisir chair, cher plaisir,

Il y aura la finesse et force du corps

Qui prendra le cœur, l’esprit et l’âme,

Comme en tout en sa vision holistique.

.

Consentir au sexe : le maitre mot, lâché,

Dont on ne sait ni le centre ni les contours,

Chacun se croit en son périmètre sémantique

Jusqu’à interpréter un «non» comme un «oui».

Elle a consenti après du seul fait qu’elle aura joui.

Ce qu’on appelle : mettre la charrue avant les bœufs

À moins que ce ne soit prendre ses désirs pour réalité

.

Fragments 

.

Qu’est-ce donner son consentement :

Son accord, assentiment, permission.

Il est curieux, qu’en matière  sexuelle,

On ne parlera pas  de lui : que d’elles !

.

Permission n’inclurait pas soumission,

Soumission ne permettrait  perversion :

Ne faudrait pas verser dans l’exagération

En pleine fouge, sans moindre discussion.

.

Il ne saurait y avoir  de plaisir, forcé, violenté

D’un partenaire ou de l’autre, pas que de genre

Mais cela, il est vrai, on ne le dirait jamais assez,

L’amour à la hussarde est comme lance enfoncée.

.

Elle préfèrera un pendentif qui se balance, un peu

Beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout :

Prenant son temps  et son rythme  jusqu’au bout,

Où tout n’est que plaisir,  où tout n’est que jeux.

.

Pour la femme, non dira non et pas peut-être

Un non qui veut dire oui, n’existent chez elle

Cela deviendra une interprétation abusive,

Qui se rapproche d’un viol non consenti.

.

Or, parfois, en amour, femme varie

Elle a dit oui, et au milieu du gué

Elle vous dit non, c’en est assez,

Le partenaire devra accepter.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

Le sexe n’est pas        S            que physique,

Le sexe n’est pas       E       que mécanique,

Le sexe n’est pas      N        qu’hystérique,

Le sexe n’est pas     S       que  pratique,

Le sexe n’est pas   U       que la nique,

Le sexe n’est pas  E        que piques.

Il peut être mé    L      taphysique,

Il peut être ro    L       mantique,

Il peut être       E      mystique,

Il peut être     M     poétique,

Il peut être    E    onirique,

Il peut être   N  magique,

Il peut être  T   consenti

.

Au profit    du sexe

Sans être  amants

Jeux complexes.

.

Regards partagés,

Regards    *   échangés,

Regards   C      trans      A   percés.

Regards   O         énam         U     ourés,

Amour     N             suffit           *  une fois,

Amour se  S            remplit           P      de soi,

S’il faut le  E              faire               L   deux fois

C’est qu’il  N             vous              A       déçoit.

Rien        T            de cela          I    en sexe,

C’est      I         le corps     S   convexe,

C’est     R    même    I   concave,

Remplit      R    ses laves.

.

Profonds  sentiments,

La fusion de  nos amants,

Leur amour  S     partageant,

Don de soi,    E      pratiquant.

Le désir est   X   un prologue,

Lors le sexe  E   monologue,

Le sentiment,  analogue

L’amour,  dialogue.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une décoration d’un ordre

 Militaire,  civil,  ou privé,

Ou encore un pendentif

D’amour par soi-même.

705 4

.

De l’amour, très probablement,

Du sexe, très certainement :

Les deux se mêlent en pendentif  

Parfois difficile à séparer.

Pendentif et amour,  pendentif d’amour,

L’un ne va pas sans l’autre pour médaillon

Lors, si la forme ne ressemble pas au fond,

Elle l’évoque tout de même plus qu’un peu.

 .

Symbolique 

 .

Courant utilisé depuis l’Antiquité

Pour représenter le centre : organe

Du cœur de l’activité … émotionnelle,

Spirituelle, morale voire intellectuelle.

.

Un cœur rouge sera… principalement

Utilisé comme symbole de l’amour

Il est, parfois, traversé  de  flèche,

Illustrant l’intervention d’Éros,

Ou bien brisé, représentant

Alors une  déconvenue

 Amoureuse.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

705 6

.

De l’amour, très probablement,

Du sexe, très certainement :

Les deux se mêlent en pendentif  

Parfois difficile à séparer.

.

Symbolique

 .

Les

Pendentifs

Peuvent avoir  diverses  

Utilités  au-delà de leur fonction

Prétendue strictement ornementale,

Le rôle esthétique sera aujourd’hui l’une

Des motivations  du port de tous pendentifs,

Mais Le rôle identitaire restera également une

Une des raison fréquentes du port de pendentifs.

 .

Ceux-ci

Peuvent être

D’origine religieuse

Tels  croix, étoile, talisman

Mais aussi à connotation sexuelle,

Ou, en signe de soutien pour certaines

Mouvances comme les tendances punk.

Modifié, source : Wikipédia

 

. 

Fond/forme 

 .

L’amour sous forme de pendentif

Qu’on porte au cou et sur le cœur,

Voilà l’objet symbole d’un bonheur

Si tant est qu’elle reflète sentiment,

.

Il peut représenter tout autre chose

Tout comme tatouage noir ou rose,

Tout comme appartenance à secte

Ou à l’écologie comme les insectes

Le cœur reste d’amour, étendard

.

Textuels et illustrations  >>

704 – Tout va bien, tout est bien en va-et-vient

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De  qui,

De  quoi

Le désir,

Le plaisir

.

Dépendra,  si ce   n’est, quelquefois,

De cette nécessité absolue et ultime,

De rapide r approchement,  intime,

 Comme preuve d’une très bonne foi

D’amour charnel pas que spirituel,

.

Laisse parfois

Bien  pantois,

Lors  on croit,

Que le  plaisir,

Seul comptera

.

Mais, la fusion,

Est aussi cœurs

Et de bonheurs,

Qui va et retient

Couple uni sein.

.

Tout     va   bien

Tout   est   bien,

En   va-et-vient,

Entre   tes reins.

.

À ceci près, que,

Il y a  des enjeux,

Qui avaient en eux

De se fondre au jeu.

.

Lors belle différence,

En toute… conscience,

En plaisirs, souffrances,

De se trouver en transes !

.

Car dans l’amour… il s’agit

Aussi d’âmes qui fusionnent

Lors dans le sexe ça se réduit

À bosse, creux qu’on entonne !

.

La belle affaire … qui peut dire,

À la vue de rapports  très étroits,

À la vue d’un rapport  très adroit,

Qui aime qui   …    pour tout dire !

.

Tout va bien,   dans une telle bulle,

Lors il n’y  a  plus  que  nous  deux :

L’un de l’autre, tellement amoureux,

 Et  l’un dans l’autre, follement joyeux,

Jusqu’à ce que la mort,  de nos désirs,

Réciproques nous séparent, révoquent.

.

Extensions

 .

Tout va bien … tout est bien :

L’amour sensuel, amour sexuel,

Créent  comme une bulle où, rien

Ne peut plus vous arriver  tant que

Vous êtes à deux en un autre monde,

Autre planète qu’on appelle «paradis»

D’autres « voyage sur un tapis volant »

Enfin,  d’autres,   « cocon  sécurisant »

Plaisir, de la répétition  ferait  le reste,

Fait que  cela dure, encore, et  encore,

Comme un air  de musique, chanson

Qu’on reprend en boucle jusqu’à ce

Que le cercle, enfin, se rompe  et

Comme ressort, devenu cassé,

Se détende et sans solution !

.

Tout va bien pour l’un  et pas

Pour l’autre qui demeure frustré

De n’avoir pas été   jusqu’au bout,

D’avoir été stoppé en chemin : rien

Ne va plus, c’est alors pour les deux,

La magie a soudain disparu, le corps

Reste pesant, mécanique, lors moins

Enthousiasmant, excitant, enivrant.

.

Que dire de plus sinon que,

Le sexe sera d’autant mieux

Que l’on s’entend … heureux,

De faire l’amour  en ces lieux,

Avec  un  partenaire, désireux,

De vous faire monter aux cieux

Pour en descendre tête-à-queue

Retrouver  un  corps voluptueux,

Un  esprit  des plus … savoureux,

Et un amour redoublé, fougueux.

.

Tout va bien, tout est rien, va-et-vient,

Rien n’existe que super concentration

Dès lors que tout ne tient qu’à un fil,

À un pieu assez pointu qu’on enfile.

.

Mais il ne faudra pas se contenter

Des effets mécaniques des fluides

De la tête à la queue tout se passe

Avec eux, autant qu’entre les deux.

.

Avec le temps, le sentiment, le naturel,

L’expérience acquise deviendra exquise,

Si cela ne peut marcher, à tous les coups,

Ce sera toujours plus qu’une fois sur deux.

.

Fragments 

.

Tout va mâle

Et tout va bien,

Comme un animal

Dans ses va-et-vient !

.

Pour approcher l’union

Pour entrer en effusion,

Jusqu’au fond du frisson

Qui conclut pénétration !

.

À quoi tu joues là Bill, eh :

Est-ce toupet  ou bouquet,

Que tu m’offres, ou un jeu,

Qu’on dit pour amoureux !

.

Ça ne marche à tous coups

L’on n’en verra pas le bout

Concentre-toi,  bel amant :

On n’a pas tout son temps.

.

J’ai perdu mon fil, adresse,

Trop attardé sur tendresse,

La plongée entre tes fesses,

Serait devenue maladresse.

.

Lors Éros, en aide, est venu

J’ai senti,  sous ta peau nue,

Un mouvement de hanches,

Me  disant : ça  te  branche !

.

Enfin … tout   est  synchrone,

En  nos  va-et-vient, rythmés,

L’on n’en peut de se détacher,

Après en avoir fait des tonnes !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

De  qui,

De  quoi

Le désir,

Le plaisir

Dépendra,    si ce      T   *    N   n’est, quelquefois,

De cette nécessité    O               E   absolue et ultime,

De rapide rappro     U                   I   chement,  intime,

 Comme preuve d’     T                B   une très bonne foi

D’amour charnel        V     A       pas que spirituel

Laisse parfois

Bien  pantois,

Lors  on croit,

Que le  plaisir,

Seul comptera

Mais, la fusion,

Est aussi cœurs

Et de bonheurs,

Qui va et retient

Couple uni sein.

Tout     va   bien

Tout   est   bien,

En   va-et-vient,

Entre   tes reins.

EST BIEN

À ceci près, que,

Il y a  des enjeux,

Qui avaient en eux

De se fondre au jeu.

Lors belle différence,

En toute… conscience,

En plaisirs, souffrances,

De se trouver en transes !

Car dans l’amour… il s’agit

Aussi d’âmes qui fusionnent

Lors dans le sexe ça se réduit

À bosse, creux qu’on entonne !

EN VA-ET-VIENT 

La belle affaire … qui peut dire,

À la vue de rapports  très étroits,

À la vue d’un rapport  très adroit,

Qui aime qui   …    pour tout dire !

Tout va bien,   dans une telle bulle,

Lors il n’y  a  plus  que  nous  deux :

L’un de l’autre, tellement amoureux,

 Et  l’un dans l’autre, follement joyeux,

Jusqu’à ce que la mort,  de nos désirs,

Réciproques nous séparent, révoquent.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Grande croix,

Ou un bilboquet 

Avec un  fil  à la patte,

Pour  se  prendre  au  jeu ?

.

704 4

.

Grande croix,

Ou un bilboquet 

Avec un  fil  à la patte,

Pour  se  prendre  au  jeu ?

.

Symbolique 

 

L’origine

 Du  jeu  de

Bilboquet

Demeure toujours  assez obscure.

Certaines sources  disent  qu’il serait

Apparu pour première fois en France

En fin XVIe siècle

 Mais les vêtements

Des  plus anciennes

  Gravures     montrant

Joueurs  de  bilboquet

 Sont    du    XVIIe siècle.

Le mot aura étymologie

Contestée. Inventé France,

Au XVIe siècle,  fait mention

Du mot « bille » « boucquet »,

Bouquer, encorner, comme bouc.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Une forme de bilboquet,

Évoquant pur jeu d’adresse :

Mais,  au-delà,  voire  en  deçà,

On peut imaginer d’autres jeux.

 .

Symbolique 

 .

En début de relation,

Le « jeu du chat et de la souris »

Est normal, amusant. Il attise le désir d’amants

Les poussant à chercher la présence de l’autre :

Laisser quelques jours entre appels, messages,

Ne pas accepter toutes les invitations,

Ne pas inviter l’autre à terminer

La nuit chez soi.

 

Toutefois, lors il devient clair que l’on est

Officiellement dans une relation  durable,

Ce jeu peut devenir déstabilisant et usant.

Peu de personnes aiment savoir que

L’autre joue avec notre sensibilité

Jusqu’à la rendre incertaine.

 .

.

Fond/forme 

 .

Vous êtes-vous bien entrainés

À ce jeu, perfide, du bilboquet :

Si la main droite, tremble un peu,

Vous n’avez qu’une chance sur deux

C’est plus dur si l’un tient la partie fixe

Quand l’autre la partie creuse, et mobile.

.

Mais je ne vais pas  vous faire un dessin,

Il ne s’agit pas toujours de deux mains !

Apprenez donc à bien viser souple, droit

Quel que soit la position, celle d’autre.

.

Textuels et illustrations  >>

703 – Arrêtes, tu me chatouilles, mouilles !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Est-il vraisemblable que

Les chatouilles, les papouilles

Histoire d’enfant, pas d’amant.

Nenni, car ce n’est jamais fini,

De se faire rire, mutuellement,

Pour se mettre en condition

De s’aimer tout follement.

.

Des préliminaires

En quelque  sorte,

Sans la profondeur

Pas encore  mouillée,

Faut   s’arrêter  de  rire,

Pour    mieux   en    profiter.

Tes joues se remplissent de sang

Et ta bouche s’ouvre en plus  grand,

Écartelée sur le dos  et au milieu du lit,

Tes bras et jambes, s’abandonnent  aussi.

Regards se croisent, s’accrochent,  se fixent,

Pénètrent au plus profond de l’autre, préfixent

Lors effusion  lascive de nos deux corps accordés,

Comme deux serpents s’enlaçant jusqu’ à s’étouffer.

Nos moiteurs chaudes de nos frottements balancés,

En subliment nos odeurs de leurs parfums, saturés,

Tu n’as plus rien, ni à me montrer,  ni à me cacher,

Nos mouvements  un temps, s’arrêteront en bulles

Viendra s’établir autour de nos corps émoustillés,

Lequel, de l’un, ou de l’autre, viendra la craquer.

Et pour finir, cric et cric, crac-crac sur l’oreiller,

Centième fois comme la première, vrai prodige

Tant dans le creux de reins d’une, bien ramée,

Tu sais si bien faire monter ma sève en tige

.

Arrêtes, arrêtes, tu me chatouilles,

Faudrait-il déjà  que tu mouilles,

Et ce bien avant que je te fouille

Je glisse ma main où je parviens

En ton entrecuisse afin que divin

Effet, tu réagisses… t’arc-boutant

À ce qui te dépasse, ce qui te tend.

.

Arrêtes, arrêtes,  tu me chatouilles,

Commences pas à me recommencer,

D’accord si tu veux, pour la papouille,

Je suis bien réveillé et j’ai assez donné.

.

Faut-il opter  pour avoir  le  dos  tourné,

Chacun, de son côté, embrasser l’oreiller,

L’heure est au repos du guerrier et sa fée,

La tête vide, comme en un néant, tombée.

.

Matin, je me demande si je n’ai pas rêvé,

Mais tu es là toute souriante à mon coté

Et glissant mes mains dans les tiennes,

Il n’y a plus rien … qui nous retienne.

.

Extensions

 .

Les chatouilles,

Certains, certaines

En raffolent et d’autres

Les insupportent voire les

Considèrent comme neutres,

Sans aucun effet sur eux, elles.

Cela va sans dire,  qu’il faut que

Ce soit un tiers qui les prodiguent

Car de soi-même, attente, surprise

Sont fortement  compromises  et ne

Donneront de ce fait que peu d’effet.

.

Rires et chatouilles  font bon ménage,

Encore que chatouille, au sens figuré,

Est plutôt  dans le sens d’un divorce :

Et peut-être l’êtes-vous en me lisant,

Tant sur la forme  que sur les fonds.

Bon, ici il s’agit de jeux amoureux,

Et si l’on ne peut se chatouiller soi

Le faire à l’autre sera de bon aloi

Ou pas, y en a qui n’aiment pas.

.

Toutes les postures sont dans la nature,

Le Kamasoutra en présente bon nombre

Quant à se chatouiller on touche serpent

Qui se remue beaucoup pour y échapper.

.

Les jeux amoureux sont un vrai langage,

Chacun des deux partenaires s’engagent

À stimuler l’autre, mettre sur un nuage

Cas contraire : tu m’embêtes, dégage !

.

Ce jusqu’au premier/dernier outrage

Jusqu’à  ce qu’il ne puisse : en nage,

Avoir  force recommencer, courage,

De chatouilles et caresses, partage.

.

Fragments

.

Papouilles et chatouilles

Sont comme des caresses,

Sont pleines de tendresses,

Remèdes contre la brouille !

.

Ça fait partie de préliminaires,

Et qui feront que l’on se mouille

Pour aller plus profond en chair

Si l’on y tient  et que l’on fouille.

.

Rires se propagent, font ravage

On ne tient plus, trop sauvage,

On se plie en deux, crie pouce,

Reprend son souffle en douce.

.

Dos en arrière, seins en avant

Femme comme un arc se tend

Elle se fend, puis s’en défend,

Se laisse aller, elle aime tant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme 

.

          Est-il vraisemblable que

           Les chatouilles, les papouilles

         Histoire d’enfant, pas d’amant.

       Nenni, car ce n’est jamais fini,

         De se faire rire, mutuellement,

       Pour se mettre en condition

       De s’aimer tout follement.

Des préliminaires

En quelque  sorte,

Sans la profondeur

Pas encore mouillée,

Faut s’arrêter  de rire,

Pour   bien  en   profiter.

Tes joues se remplissent de sang

   Et ta bouche s’ouvre  en plus  grand,

     Écartelée sur le dos    *  et au milieu du lit,

    Tes bras et jambes,  A  s’abandonnent  aussi.

    Regards se croisent, s’ac   R  crochent se fixent,

       Pénètrent au plus profond de   R  l’autre, préfixent

        Lors effusion  lascive de nos deux   Ê   corps accordés,

           Comme deux  serpents s’enlaçant jusqu’   T     à s’étouffer.

             Nos moiteurs    chaudes de nos frottements     E       balancés,

            En subliment     nos odeurs de leurs parfums,    *           saturés,

          Tu n’as plus  ……. rien, ni à me montrer ni à   T        me cacher

        Nos mou …………  vements  un temps, s’arrê  U   tent en bulle

         Viendra ………….  s’établir autour de nos  *  corps émoustillés,

          Lequel ……….…. de l’un, ou, de l’autre, M  viendra la  craquer.

         Et pour……..…….. finir : cric et cric  E crac-crac sur l’oreiller

          Centième ……..…… fois comme  *  la première, vrai prodige

            Tant dans ….….…    le creux de  C  reins d’une bien ramée

                Tu sais si……….bien faire  H monter ma  sève en tige

                                      Arrêtes, arrêtes   A    tu me chatouilles,

                                   Faudrait-il déjà    T   que tu mouilles,

                                 Et ce bien avant    O   que je te fouille

                              Je glisse ma main  U   où je parviens

                            En ton entrecuisse   I   afin que divin

                          Effet, tu réagisses    L   t’arc-boutant

                        À ce qui te dépasse   L  ce qui te tend.

                      Arrêtes, arrêtes, tu  E  me chatouilles,

                     Commences pas, à   S me recommencer,

                  D’accord si tu veux  *  pour la papouille,

              Je suis bien réveillé et j’ai assez donné.

           Faut-il opter pour avoir  le  dos  tourné,

       Et chacun de son côté  embrasse oreiller,

    L’heure est au repos du guerrier et sa fée,

 À la tête vide, comme  en  néant, tombée.

Matin, je me demande si je n’ai pas rêvé,

Mais tu es là toute souriante à mon coté

Et glissant mes mains dans les tiennes

Il n’y a plus rien qui nous retienne.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Belle silhouette

D’une jeune femme,

De profil, le dos cambré

Nue  et offerte aux touchers !

.

703 4

.

 

Bien des préliminaires qu’ils soient de face,

De dos ou profil,

Font, de l’amour sexuel, un jeu sensuel

Qui éveille le sens du toucher.

 .

Symbolique 

.

Un profil,

Est, bien sûr,

  Une vue  de côté

        Celui  d’une  femme

              Est  différent  de  celui

                    D’homme quel qu’il soit,

                         Il est plus petit et cambré,

                          Où la femme laissera voir,

                            Sinon  entrevoir,  marquer,

                           La  présence  de  ses  seins,

                       Vers   l’avant : en   somme

              C’est un profil en courbes

     Avec une pointe où bras

Rendus  derrière le dos,

 Long du corps dégagent

     Un vide comme lumière.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Bien des préliminaires qu’ils soient de face,

De dos ou profil,

Font, de l’amour sexuel, un jeu sensuel

Qui éveille le sens du toucher.

.

Symbolique

 .

Un des sens          est mis en œuvre

Par la main, nous per       met de mieux connaitre

Environnement    peut          pallier à  tous dangers.

 .

La main  est la  partie           la plus mobile du corps,

Touche, palpe, discerne         volume  ou  une matière.

 .

Le toucher implique           une notion de proximité,

De   contact    d’où          vient    l’attouchement.

 .

Au   plan   intéri         eur, le toucher serait

Délicatesse,      tact, raffinement

Et dis         cernement.

ledifice.net

 .

 .

Fond/forme 

 .

De face, de dos, de trois quarts, de profil :

Autant de positions et postures différentes

Qui jouent sur la perception des silhouettes

À chacun de présenter son meilleur profil.

.

Il est certain que de dos, c’est plus délicat,

Ça veut dire que l’autre on ne fait pas cas

Tandis que de face, tout est grand ouvert

On pourra se parler tout en se tortillant.

.

Textuels et illustrations  >>

702 – Allongé, au lit, contre ton dos, une main

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Épouser les formes

D’un corps comme parfait

 Double  féminin de soi-même,

Complément idéal, pour se faire,

Pour se complaire et se satisfaire,

De doux divins  contacts  qu’il lui

Procurerait, et ce,  en tous lieux

Tous temps   comme amants.

Ses courbes    très lascives

S’étalant     sur un lit,

Aban-don-nées,

Aux bons soins

De  son  aimé !

.

Allongé, au lit, contre ton dos,

Ma main arrondissant ton sein,

L’autre, enfouie entre tes jambes

Le ventre, contre belles  hanches,

Je me sens comme lové, nu sur toi.

.

Je me sens comme  un enfant et roi,

Tu dors, tu respires de tout ton corps,

J’écoute les frémissements de ton âme,

Qui rêve d’un amour pur et total encore.

.

En toi, un ange  et un démon, se blâment,

Jusqu’où notre amour demeurera sublime

Comment éviter  qu’il ne tombe en abîme :

Surtout, te réveille pas,  ne te retourne pas,

Si le temps s’arrête, tu ne peux le brusquer.

.

Restons là, collés l’un à l’autre, par pensées,

Ton corps étranger au mien épouse, fatigué,

Si ton sommeil ne m’appartient pas, il est là

Il  inscrit, en l’esprit, nos  profonds  soupirs.

.

Soupirs de plénitudes, loin de toute solitude,

Nous sommes deux à combler notre finitude

Je me sens comme entier, bonheur  premier,

Si je ne dors pas, c’est pour mieux… profiter

.

De cette nuit d’enfer, passée contre ton dos

Brulant mes ailes contre ton feu d’amour

Et si demain ne rime pas avec toujours

La nuit était belle  et ton corps beau.

.

Corps  beau : pardon, encore  belle,

Tant ne marquant le poids des ans,

L’amour serait-il  une  ritournelle,

Contentant amants intermittents.

.

Vie d’artiste est-elle  impromptue

Est-elle un rôle principal, dévolu

À vivre une musique en concert,

Pour des jours avec des zestes 

D’amours, comme desserts.  

 

Extensions

 .

Presque tous les dos nus de femmes

Se ressemblent, de loin,

Mais certains  sont plus évocateurs

 Qu’autres de sensualité.

 .

Lors ce n’est pas même de sexualité.

Plus encore que de face

 Ou de côté, ressemble à un abandon

Ou une offrande, allongée.

 .

Enfin ses courbes sont révélatrices

De grâce naturelle sans

Qu’on puisse réellement s’expliquer

Ni pourquoi ni comment !

 .

Le creux des hanches et de la taille

Souligne les rondeurs ou

Les maigreurs des côtes et cuisses :

Rien n’échappe à la colonne.

 .

Ah, le  dos… ré… mi… fa… sol… la… si… do !

Le dos d’une femme ressemble au dos du violon

Et main de l’amant est l’archet que le fait résonner

Allons, allons, on se calme avec toutes comparaisons,

Photographes et sculpteurs nous ont donné le la du dos,

Poètes et littérateurs n’ont plus grand-chose à … rajouter :

Sculpture, dessin, photo d’art, transfigurent le corps féminin

Que ce soit de face, de profil, voire de dos, une âme transpire

Et quand on les contemple et les admire, la sienne soupire !

.

Lovés l’un sur l’autre : ventre contre dos,

À même de sentir moindre désir de peau,

Le plaisir ne pourra monter que très haut.

.

Formes s’épousent pour former seul corps

Les caresses demandent  encore et encore,

Et les désirs grimpent  de plus en plus fort.

.

Le va et vient instaure comme une musique,

Où la moindre note n’a plus rien de pudique,

Et le tout finit sur point d’orgue orgasmique.

.

Dos contre dos, position d’avant, et d’après,

Position d’éveil de son désir et son sommeil,

En un silence qui respire, soupire, bonheur.

.

Fragments

.

Allongé au lit, contre ton dos :

Je m’y suis lové, en amoureux :

Faut croire qu’amour a bon dos

Jamais je ne serai plus heureux.

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Que ce soit, de dos, de face, côté,

Toutes les positions, les postures

Seront à prendre, sont à épouser

Augmentent envie, température.

.

Mais un dos n’est rien qu’un dos,

Il ne pratique  aucune ouverture :

On s’y colle s’y frotte sauf froidure,

Mais pour moi, toujours un cadeau.

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Ce qui a lieu en dos, ne nous est visible,

Son aspect symbolisme est comme tourné

Vers ce qui nous est inconscient et invisible

Pour connaitre son visage, faut le retourner.

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Pour autant, il n’en reste pas moins désirable

Comment, d’ailleurs pourrait-il être détestable

À défaut de la toucher, il demeurera honorable,

Rien que de l’admirer, je me sentirais coupable.

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Illustrations : visuels, scénario et fiction

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Calligramme

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Épouser les formes

D’un corps comme parfait

 Double  féminin de soi-même,

Complément idéal, pour se faire,

Pour se complaire et se satisfaire,

De doux divins  contacts  qu’il lui

Procurerait, et ce,  en tous lieux

Tous temps   comme amants.

Ses courbes    très lascives

S’étalant     sur un lit,

Aban-don-nées,

Aux bons soins

De  son  aimé !

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Allongé, au lit,   A  contre ton dos,

Ma main arron    L  dissant ton sein,

L’autre, enfouie     L   entre tes jambes

Le ventre, contre    O     belles  hanches,

Je me sens comme   N       lové, nu sur toi.

Je me sens comme    G       un enfant et roi.

Tu dors, tu respires    É      de tout ton corps,

J’écoute les frémisse    *       ments de ton âme

Qui rêve d’un amour    A     pur et total encore,

En toi, un ange et un    U      démon se blâment,

Jusqu’où notre amour   *     demeurera sublime,

Comment éviter qu’il    L     ne tombe en abîme.

Surtout te réveille pas  I       ne te retourne pas

Si temps s’arrête, tu   T      peux le brusquer.

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Restons là, collés l’un à l’autre, par pensées,

Ton corps étranger au mien épouse, fatigué,

Si ton sommeil ne m’appartient pas, il est là

Il inscrit, en l’esprit   *  nos  profonds soupirs

Soupir de plénitudes   C    loin de toute solitude

Nous sommes deux à     O    combler notre finitude

Je me sens comme en     N     tier, bonheur  premier

Si je ne dors pas c’est      T     pour mieux en profiter

De cette nuit d’enfer,      R      passée contre ton dos

Brulant mes ailes con    E        tre ton feu d’amour

Et si demain ne rime    *           pas avec toujours

La nuit était belle et    *             ton corps beau.

Corps beau, pardon   T                encore belle

Tant ne marquant    O        le poids des ans

L’amour serait-il            la  ritournelle,

Contentant amants *         intermittents.

Vie artiste est-elle  *         impromptue

Est-elle rôle prin  D         cipal dévolu

À vivre musique  O         en concert,

Pour les jours     S          des zestes 

D’amours com   *     me desserts.  

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Forme

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Évocation 

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Un flacon de parfum

Dos de femme nue,

 Jusqu’à  mi-jambes

Bien désirable !

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Un dos de femme sera différent

De celui d’un homme :

Taille, bassin, jambe, épaule, tout est

Désirable enveloppant.

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Symbolique 

 .

Le symbolisme du dos

Rappelle ce qui est caché

Et essentiel dans l’homme

Finalement : c’est  le  sacré.

Notre  expérience  de  l’espace

Implique  ce  fait  incontournable.

Ce qui a lieu en dos ne nous est pas visible,

D’où premier aspect du symbolisme du dos,

Le côté du corps tourné vers le non-visible,

C’est-à-dire l’inconscient, qui échappe à

Notre conscience vigilante habituelle.

Ce qui se passe, derrière notre dos

Représente ce que nous ignorons

De nous-mêmes, notre ombre.

lemondeduyoga.org/la-vie-

du-yoga/le-symbolisme-du-dos

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Fond

 .

Évocation

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Un dos de femme sera bien différent

De celui d’un homme :

Taille, bassin, jambe, épaule, tout est

Désirable enveloppant.

 .

Symbolique 

 .

Être désirable, c’est quoi ?

C’est, par définition, une femme

À laquelle on ne peut pas résister.

 .

Mais  surtout,  c’est une femme

Qui connait parfaitement ses

Charmes  et  atouts  et  sait

Les utiliser à bon escient…

 .

Et comme en chaque femme

Se cache quelque chose, nous

Avons fait  le tour de ces détails

Qui changent tout,  petits charmes

 .

Sur  lesquels nous pouvons  compter

Et avec lesquels, sûrs, nous pourrions

Contrôler monde, sachant les révéler.

aufeminin.com/vie-de-couple/

charme-femme-s2491718.html

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Fond/forme

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Dos de femme désirable avec le reste

Aux bons mots s’ajoutera le bon geste

Mais où commence je dos et ou finit-il

De la nuque jusqu’aux  ras des fesses !

Avec ces courbes galbées, à la taille,

Prééminence de colonne vertébrale

Et lors se met à bouger, se lover,

Prend l’allure d’une couleuvre

Dont le soupir est en œuvre.

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