499 – La véritable essence des amours !

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

En tant qu’étant vierge,

Voire  en  tant que pute,

Toute  jolie fleur  bleue,

Peut allumer un cierge.

L’essence  de  l’amour,

Est partout, nulle part

Est  à  cœur  d’âme,

Est à fleur de peau.

.

Il est vrai qu’entre ceux qui les

Consomment ou qui les tarifent,

Ceux qui vont jusqu’à les sublimer,

La véritable essence de nos amours,

Resterait à découvrir  en chacun.

L’on  nomme, aussi,  d’amour,

Des pratiques dites bestiales

Où sentiment est absent.

.

Ceux qui consomment des putes,

Troquent leur argent contre un rut,

Déchargent, leurs envies, de brutes,

En des culs dépourvus…d’occiputs.

.

L’essence de l’amour est … ailleurs,

À fleur de peau ou à fleur de l’âme,

Point besoin, de bites, ni de lames,

Pour cueillir  honneur d’une fleur.

.

Il suffira de, voir, sentir, écouter,

Avant même de toucher, goûter,

Essence de l’amour  est en l’air,

Que se partagent  partenaires.

.

Qui fait l’ange, devient bête,

D’accord, et, bien  plus fort,

Qui saute la bête, rate l’ange

Qui est  en elle, il a bien tort.

.

Car si l’essence de nos amours

Passent par les sens… des corps,

La même porte donne sur un séant,

Comme sur un astre en plein firmament.

.

Extensions

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L’amour, défini par les scientifiques

Et par les littéraires semble contradictoires ;

Pour les premiers, il vient d’en bas, des pulsions

Primaires liés aux hormones, à son corps et à son sexe,

Pour les seconds, vient d’en haut, élan de l’esprit, de l’âme.

Contradictoires, en apparence seulement, tant  pulsations

Vertiges du cœur les rassemblent, les rendent cohérentes

Pour le transformer, le cristalliser, faire durer à satiété.

.

La véritable essence de l’amour est dans notre énergie

À aller à la rencontre de l’autre pour éprouver avec lui

Sentiment de complétude, d’attachement, génération.

L’amour est un courant qui passe, qui nous dépasse,

Qui nous trépasse mais qui nous survit, malgré tout,

Dans le souvenir de nos enfants  et… ainsi de suite !

.

Affaire de sexe, sentiment, amour galvaudé, réparé

États de l’amour traversé par désir de s’accomplir,

D’une manière ou d’une autre avec un partenaire,

Qu’il soit libre  et gratuit  ou …  tarifé, et payant.

.

Certains le subliment dans leurs œuvres d’art,

Mission humanitaire, sacerdoce identitaire.

« Dieu reconnaitra les siens », comme

Dit le verbe, si ce n’est pas le proverbe !

.

Tout ce qui touche à l’amour fait sens

Et la haine le prend…à contresens.

Il a une telle force, et, puissance,

Que nul ne lui offre résistance !

Amour est parfois souffrance

Nous apporte connaissance

Des autres et nous-même

Et à tel point, extrême,

Qu’il en est suprême.

.

L’essence de l’amour se trouve

Dans le moteur et le réservoir de vie

Qui nous animent et nous communiquent

Le goût et la nécessité des autres à s’entraider !

.

Autrement dit, plus on découvre et on connait, apprécie

Les autres et plus on ne se sent pas pouvoir exister sans eux

On pourrait croire qu’il s’agit d’une faiblesse, dépendance

Alors qu’il s’agit d’une force face à la condition humaine.

.

Le sens de notre vie passerait par les sens et l’essence,

Les sens nous donnent une partie de notre substance

L’essence nous donne orientation, compréhension :

Et nous aiderait à tirer, de la vie, la quintessence.

.

Fragments

.

L’amour est un niveau de conscience

Altruiste, riche en réalisation de soi,

L’essence même de l’âme qui touche

Le cœur de celui qui s’en approche !

.

La nudité de l’âme  et non sa nullité :

Confiance totale provoque l’abandon

De son corps, en privé, non en public,

L’essence s’enflammerait mieux dans

.

Qu’au dehors chambre de combustion,

Ce n’est pas tant affaire de mécanique

Que d’élan  holistique, quasi mystique

Une énergie, une étincelle, une fusion.

.

Nul besoin de nudité pour faire effusion

Pourtant, c’est bien l’habit qui convient,

Qui accompagne, le mieux, le va-et-vient

Entre les caresses, baisers, pénétrations.

.

Essence d’amour se tient entre extrêmes,

La sexualité au sens du désir voire plaisir,

Spiritualité, au sens inclinaison suprême,

En passant par le corps, le cœur, l’esprit !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme

.

En tant qu’étant vierge,

Voire   en    tant   que  pute,

Toute  Ô  jolie fleur  Ô   bleue,

Peut allumer  //          un cierge.

L’essence     //       de  l’amour,

Est par     //  tout, nulle part

Est à   ===   cœur d’âme,

Est à fleur de peau.

.

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==========

.

Il est vrai qu’entre ceux qui les

Consomment        ou qui les tarifent,

Ceux qui vont        jusqu’à les sublimer,

La véritable es        sence de nos amours,

Resterait à dé         couvrir en chacun.

L’on nomme,      aussi, d’amour,

Des pratiques  dites bestiales

Où sentiment est absent.

LA VÉRITABLE

Ceux qui consomment des putes,

Troquent leur argent contre un rut,

Déchargent, leurs envies, de brutes,

En des culs dépourvus…d’occiputs.

.

L’essence de l’amour est … ailleurs,

À fleur de peau ou à fleur de l’âme,

Point besoin, de bites, ni de lames,

Pour cueillir  honneur d’une fleur.

ESSENCE DE

Il suffira de, voir, sentir, écouter,

Avant même de toucher, goûter,

Essence de l’amour  est en l’air,

Que se partagent  partenaires.

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Qui fait l’ange, devient bête,

D’accord, et, bien  plus fort,

Qui saute la bête, rate l’ange

Qui est  en elle, il a bien tort.

NOS AMOURS 

Car si l’essence de nos amours

Passent par les sens… des corps,

La même porte donne sur un séant,

Comme sur un astre en plein firmament.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Flacon avec bouchon,

Ou corps de femme,

Tête  avec  chapeau :

Même    apparence ?

.

499 4

.

Femme toute habillée, en forme désirable,

Nous rendant curieux!  

L’essence n’est parfois qu’une apparence,

Qui se réveille en nous

 .

Symbolique   

 .

La femme

À une symbolique

Très riche qui a évolué

Au fil du temps.

Toutefois,

Elle a toujours évoqué

La fécondité, pureté,

Mais   aussi  le   vice.

 .

À partir   du xxe siècle,

Mouvements  féministes

Sont apparus  pour tenter

De rétablir l’équilibre entre

Les hommes et les femmes,

Rétablir droits des femmes.

 .

Désormais, ces mouvements

Occupent une place importante

Dans tous les débats publics.

Source : 1001 symboles

.

.

Fond

.

Évocation 

.

499 6

.

Une femme bien que toute nue, nous paraitra

Bien moins désirable !  

Est-ce une question d’apparence ou de pulsion

Qui excite notre séduction.

 .

Symbolique 

Apparence,

Sans vêtement,

 Nudité de femme,

Sexe partout lors est

De bon ton de penser,

 Que     tout  

Déterminisme

Génétique du   sexe   

Reste    accessoire et  

Que   seul,    le    genre

Désiré serait  légitime.

 .

Récents travaux scientifiques

Montrent que le

Déterminisme génétique du sexe

Ne se limite pas

À    la  différenciation   organes

 Génitaux externes

Et des productions hormonales

 Très spécifiques,

Mais que cela influerait aussi

Sur l’ensemble des

Mécanismes physiologiques

 De l’organisme.

Modifié, source : bvoltaire.fr

.

Fond/forme 

 .

L’apparence est différente de la consistance

Cette dernière résistera  à l’analyse de fond

Au niveau superficiel, essence est de façade

Apparence rime beaucoup avec connivence

L’effet recherché atteint son but, prestance

Lors essence se conjugue avec apparence

Le mot, vrai, véritable, referait surface !

.

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498 – Qu’est-ce amour pour de vrai !

Textuels et illustrations   >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Qu’est-ce que  l’amour,

Sinon éternel problème

Chanté sur tous les tons,

Chanté  sur tous les toits,

Vanté comme  une valeur,

Vanté comme pur bonheur

Quoique et chacun sait bien,

Qu’expérience ne se transmet.

.

À chacun  sa  propre définition,

Trop liée rencontre personnelle,

Trop subjective pour la raison,

Trop perturbée par l’émotion,

Amour tarifé, est-ce de l’amour

Allez savoir commenceront jours

Sortir sexe,  argent simultanément

Y a confusion bourses, assurément.

.

Amour fidèle, est-ce encore de l’amour,

S’épuisant entre nous, jour  après  jour,

Trempe glaive dans le même, autre gant

Finit par avoir peine à jouir…sacrément.

.

L’amour volage,  est-ce encore de l’amour

Séduction fortuite, lors conquête gratuite,

À force de confondre deux, trois, puis huit,

Va savoir  qui est qui  à chaque carrefour.

.

L’amour caché,  est-ce  encore de l’amour,

Sans réciprocité, n’est-il trop   platonique.

Pourquoi donner tant de preuves  de cour,

Lors l’autre vous rejette comme bernique.

.

L’amour esprit,  est-ce encore de l’amour,

Si son corps disparaît quand son âme luit,

L’humain se décrépit  et son sexe s’ennuie,

Quand on veut faire l’ange, la bête accourt.

.

L’amour violé est-ce encore  proche amour,

Objet du désir n’est que de mon bon plaisir,

Forcer une inconnue ou un couple pervertir

En violence, le viol est possession toujours.

.

L’amour doublé, est-ce, encore, de l’amour,

Si sa femme et sa maitresse con-cu-binent,

Ressemble aux arrangements et combines,

Qui font  qu’un, autre, comptent  ses jours.

.

L’amour principe et non seulement de fait,

On ne le rencontre qu’une fois dans sa vie,

Bien qu’il se renouvelle au-delà du permis

Et il se voudrait bien  être infidèle  mais !

.

L’amour vrai : personne ne sait vraiment

Ce qu’il est ni même à quoi il ressemble,

Ce qui est vrai : il nous  rassemble

Prétendant atteindre vrai firmament

.

Extensions

Qu’est-ce que l’amour pour de vrai !

Éternelle question à se poser,

À chaque fois que l’on doute

Et que l’on veut se rassurer,

Se raccrocher  à la réalité !

.

Ainsi est-il  galvaudé,  tout

En même temps …magnifié :

Rarement un même mot subit

Autant d’écart en … polysémie.

.

J’aime haïr ceux qui m’aiment,

N’est-ce pas oxymoron… ou bien

Et plus encore : occis… mourons !

.

L’amour, pour de vrai ; l’amour pour de faux,

L’amour discret ; l’amour comme en héros,

Simuler l’amour ne peut durer longtemps

Tant ce n’est pas un rôle mais un élan.

L’amour demande beaucoup ou peu

Il peut être sa vie, n’être qu’un jeu

Certains pensent qu’il viendrait

De Cupidon ou d’horoscope

Peut-être même de Dieu.

.

L’amour c’est comme le bonheur,

C’est ce que l’on veut bien qu’il soit,

Qu’on l’ignore, le rabaisse, le sublime

N’entamera en rien, d’humain, l’estime !

.

Il existe autant en nous qu’en dehors de nous,

Tantôt il nous rend sage et tantôt nous rend fou.

Certains nous disent qu’il nous viendrait d’un dieu

D’autres qu’il n’est qu’un illusion pour garder espoir

.

Espoir en quoi, de croire en la réciprocité des autres

Tandis que des  conflits, des affrontements,  guerres,

Nous mèneraient à notre perte en lieu et place salut,

Peace and love ne se trouvera pas en bout de fusil.

.

Fragments

Amour

Un concept précis ou un fourre-tout

Il se décline en tous cas en bien des choses

À commencer par l’amour maternel, familial

Pour dériver vers l’amour sexuel, voire conjugal

Lors il peut devenir aussi noir que blanc que rose !

L’amour-propre formerait quelque variante éthique,

Après tout rien n’empêche de se trouver sympathique

Sans tomber dans narcissisme considéré pathologique,

En une sorte d’opinion trop avantageuse de soi-même !

Affectivité, volonté nous fait reconnaitre objet inspirant

Comme bon, comme beau, aimable, et voire, désirable.

L’amour peut alors se porter sur l’art, sur l’esthétique,

On peut admirer un tableau, apprécier une musique.

.

La perversion consiste à détruire la valeur de l’autre, pour tenter de l’asservir égoïstement à soi au lieu d’enrichir l’autre et soi-même d’un don réciproque qui fait de chacun d’eux, un être qui désire plus et de devenir plus qu’eux-mêmes.

L’amour est à la fois ce qui transcende notre humanité, nous rapproche de notre source animale. Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent se retrouvent l’un dans l’autre élevé à un degré d’être supérieur, si le don a été total, non limité à un seul niveau de leur être, le plus charnel.

L’amour est une source de progrès dans la mesure où il est union et non appropriation. En amour, les premiers pas sont souvent les plus difficiles ! Trouver l’âme sœur, vaincre sa timidité pour déclarer sa flamme, concrétiser un coup de foudre… sont pour certains de véritables épreuves.

.

Amour quand tu nous tiens … nous lâche !

Mais que ferait-on, sans lui, sur cette Terre,

De toutes nos affections si celui-ci ne nous sert

Qu’à entretenir illusion y compris reproduction.

L’amour est un concept universel mais multiple

Certains en feront la première valeur de leur vie

Lors d’autres y prétendent mais ne la respectent

L’amour a deux visages, l’un libre, autre jaloux.

Comment être certain vivre le véritable amour

Celui qui nous nourrit, nous ravit chaque jour

Il est comme le bonheur, tellement subjectif

Qu’on ne saurait le définir sauf subjonctif.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Qu’est-ce que  l’amour,

Sinon éternel problème

Chanté sur tous les tons,

Chanté  sur tous les toits,

Vanté comme  une valeur,

Vanté comme pur bonheur

Quoique et chacun sait bien,

Qu’expérience ne se transmet.

À chacun sa propre  *  définition,

Trop liée rencontre  *  personnelle,

Trop subjective     *    pour la raison,

Trop perturbée    Q        par l’émotion,

Amour tarifé       U       est-ce de l’amour

Allez savoir où     ‘     commenceront jours

Sortir sexe,         E     argent simultanément

Il y a confusion   S   des bourses, assurément.

L‘amour fidèle,   T    est-ce  encore  de l’amour,

S‘épuisant             –      en nous,  jour  après  jour,

Trempe glaive        C       dans le même, autre gant,

Finit par avoir         E        peine à jouir…sacrément.

L‘amour volage,          *         est-ce encore de l’amour

Séduction fortuite,        Q           lors conquête gratuite,

À force confondre             U            deux, trois, puis huit,

Va savoir qui est qui             E            à chaque carrefour.

L‘amour caché,  est-ce               *          encore de l’amour,

Sans réciprocité, n’est-il              L          trop   platonique.

Pourquoi donner tant de             ‘            preuves  de cour,

Lors l’autre vous rejette            A            comme bernique.

L‘amour esprit, est-ce            M            encore de l’amour,

Si son corps disparaît          O            quand son âme luit,

L‘humain se décrépit         U             et son sexe s’ennuie,

Quand on veut faire         R           l’ange, la bête accourt.

L‘amour violé est-ce       *            encore  proche amour,

Objet du désir n’est       P        que de mon bon plaisir,

Forcer une inconnue      O       ou un couple pervertir,

En violence, le viol est     U         possession toujours.

L‘amour doublé, est-ce        R      encore de l’amour,

Si sa femme et sa maitresse    *      con-cu-binent,

Ressemble aux arrangements    D    et combines,

Qui font  qu’un, autre, comptent   E     ses jours.

L‘amour principe et non seulement  *     de fait,

On ne le rencontre qu’une fois dans   V   sa vie,

Bien qu’il se renouvelle au-delà du  R permis

Et il se voudrait bien être infidèle  A   mais !

L‘amour vrai : personne ne sait  I vraiment

Ce qu’il est ni même à quoi il  * ressemble,

Ce qui est vrai : il nous       *     rassemble

Prétendant atteindre  *  vrai firmament.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

L’amour serait-il comme ce vase,

Bicolore et se transformant

En flacon, si l’énergie, bénéfique,

Ou en pot, si maléfique !

.

498 4

.

Amour est censé être une forme

Reliant deux êtres en un contenant

Pour rester en vase, en homéostasie,

 Dont le contenu est énergie dépensée.

 .

Symbolique   

 .

Un        vase

Est un récipient

Ouvert qui est utilisé

 .

Pour y mettre un bouquet

De fleurs ou décorer une salle.

Il peut être muni ou non d’anse.

 .

Il peut être constitué de divers

Matériaux tels la  porcelaine,

La céramique ou le  verre.

 .

Par sa forme, la grâce

De ses courbes et sa

Fonction de réceptacle,

Il est un symbole féminin.

 .

Son creux évoque celui de l’utérus,

Le  féminin, contenant fluides vitaux.

heraldie.blogspot.com/2014/08/le-vase

.

.

Fond

.

Évocation 

.

498 6

.

L’amour serait-il comme ce vase,

Bicolore et se transformant

En flacon, si l’énergie, bénéfique,

Ou en pot, si maléfique !

  .

Symbolique 

L

L’amour est

Une    énergie

Vitale et universelle

Qui nourrit   nos âmes,

Nos intentions et nos actes

Et sans laquelle, aucune vie

Sur Terre, n’est possible.

 .

Est-ce qu’un végétal  en a besoin, pour se développer ?

Est-ce qu’un animal sauvage en a besoin, pour survivre ?

 .

Il est force présente en l’être vivant qui le pousse vers la vie,

À croître, s’épanouir, selon sa nature plutôt que vers la mort.

.

Une force qui nous pousse à nous incarner davantage,

À élargir notre champ de conscience…

Modifié, source : etre proactif.com

 .

.

Fond/forme 

 .

Énergie est partout, en bouteille, vase, flacon,

Quelle que soit la forme, quel que soit le fond !

Elle rime avec l’amour pour de vrai, abscons,

Rime avec face à face, et côte à côte, fusion,

Chacun se construit sa propre définition !

L’amour est considéré par certains comme le sel de la vie

Par autres comme l’essence même de son âme corporelle,

Par les derniers comme l’énergie qui nous pousse à donner

Le meilleur de nous-même à une compagne, un compagnon

Sans compter ses enfants  et ses amis, toutes ses relations.

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497 – Hais amour, disent déçus, déchus !

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Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Déçu par un copain ou par une copine

Qui vous délaisse se moque de vous

À ce point que vous prenez à haïr

L’amitié que vous avez pour lui.

.

Déchu  par un mari, une épouse,

Qui ne répond plus à vos attentes,

Qui ne vous met plus sur piédestal,

Au point de haïr  votre personnage.

.

Cocu par un amant ou une maitresse,

Qui vous remplace au restaurant, au lit

De façon flagrante, voire même  notoire,

Au point de vous haïr,  de ne pas divorcer.

.

Haine  par-ci, haine par-là, inverse d’amour,

Au sein de ses conflits et de tous ses contours,

Vient   remplir  l’indifférence,  qui  reste vide

De sens, de présence, passion pour l’amour.

.

La haine, que l’on dit  l’inverse  de l’amour,

Elle dure, elle  dure,  court,  court toujours.

Tandis que  nos  amours,  vont et viennent,

Haine,  sans relâche, en chemin, se traine.

.

Deux   êtres, qui s’aiment ou se   haïssent,

Restent  longtemps attachés et  pâtissent

De continuer l’un pour l’autre  d’exister,

Jusqu’à ce qu’un meurt, pour l’oublier.

.

Si personne ne recule ni ne s’esquive,

Son ennemi intime  en douleur vive,

Se nourrit de trop  d’énergie native,

Jusqu’à ce que vengeance s’en suive.

.

Je hais l’amour,  déclarent les déçus.

À force d’y tomber ils n’y croient plus,

Amour me hait,  proclament les cocus,

Par l’un et l’autre, ils se sentent déchus.

.

La haine qu’on dit l’inverse de l’amour,

Est son miroir, son fantôme, faux-jour,

Tant c’est en l’ombre, de sa face  cachée,

Qu’elle vient vous prendre, vous habiter

Lors, de résister à la haine ou à l’amour,

Supprime-t-il nos conflits pour toujours

La haine n’entame ni regrets ni remords

Personne ne saura  qui a raison, ni tort !

.

Extensions

.

 

Hais l’amour déclare le déçu, déchu !

Tout est bon à dire, et à prendre, plutôt

Que de subir l’indifférence qui vous annihile

Complètement au point de devenir transparent.

Vaut-il mieux être cocu, que délaissé, est question

D’amour-propre, de jalousie, de jugement de société !

.

Mon cœur est à toi, mon corps, à moi, disent les femmes.

On dirait presque la séparation de l’Église et de l’État.

Chacun dispose de son corps comme il l’entend,

Se marie pour le consacrer à un seul être !

.

En amour, il y a nombre d’hypocrisies :

L’amour comme la haine peuvent être

Vrais ou feints, être animal ou divin,

Peuvent être, pour autant, humain !

.

Reçu … conçu … convaincu … déçu,

Déchu, cocu, vaincu : ces sept mots

En «cu» forment le lexique du «cul»

Non du «cœur». Lors l’amour est pris

En otage, il est bien loin d’un mariage !

.

Amour déçu, amour déchu, amour refus,  amour cocu,

Sont souvent des sujets de conflits, violences, vengeances

Et parfois ce n’est pas l’autre mais l’amour pris pour cible

Tant  à force de ne  voir le jour, il ne devient plus crédible.

Tant qu’il y a de l’intercommunication, il reste de l’espoir

Mais lors haine et mépris s’installent, se cristallisent

Il n’y a plus rien à en attendre : qu’indifférence ! 

.

« Haïr l’amour », voilà un bel oxymoron

Comment peut-on haïr ce que l’on aime,

Ou, bien plus encore, celui que l’on adore :

Ce serait se faire des nœuds dans le cerveau.

.

Et pourtant, c’est possible, et même fréquent

Amour et haine auraient des liaisons proches

Si fait qu’ils se domineront  alternativement,

L’inconscient accentue brouillage du signal.

.

Amour, déception, désamour, rejet, haine :

Amour et haine sont deux bouts de chaine.

Une chaine si lourde à porter, à supporter,

Que parfois, elle s’en retournera à l’aimer.

.

Pour  un bon mathématicien : haine plus 1

Est-il égal, supérieur ou non à haine moins 1

J’en sais rien, je vous laisse méditer la formule

Je me déchois de la résoudre, ou je vous déçois !

.

Fragments

.

Haine de l’amour n’est-il pas amour de haine :

Est-ce faute d’en avoir eu peu, ou d’en manquer

Ou d’en avoir été trop trompé, déçu, abandonné,

Le sentir comme on refuse le poids d’une chaine !

.

Envié, adoré, puis rejeté, oublié, sont qualificatifs,

Qu’on accorde volontiers à l’amour, non à la haine,

Farouche, invétérée, sourde, violente voire mortelle,

Conviennent et renforcent mieux une haine infidèle

.

Il y a de la rupture et voire de la trahison, en l’air,

Si l’amour va de soi, en seconde nature humaine,

Il faut autre cause connue pour établir sa haine

Sur qui, sur quoi, sur une chose, un être, tout !

.

 «J’ai la haine» avant on disait «j’ai la rage»

Et malgré cela elle n’a guère bonne presse

Combien pour chanter amour, poèmes,

Si peu pour mettre en avant la haine.

.

Vrai que haine rime avec chaine,

Et que par elle, vite se déchaine

Nombre passions, obsessions,

Parfois sans moindre raison.

.

Si « la raison du plus fort »

Reste toujours la meilleure,

L’amour devient un agneau,

Qui est mangé par un loup.

.

L’amour sauvera le monde

Disent certains optimistes,

Quand la haine le détruira,

Pari ouvert : bien humain.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Déçu par un copain   ou par une copine

Qui vous délaisse  *  se moque de vous

À ce point que D   vous prenez à haïr

L’amitié  que   É  vous avez pour lui.

Déchu  par un C   mari, une épouse,

Qui ne répond  L plus à vos attentes,

Qui ne vous met A  plus sur piédestal,

Au point de haïr   R   votre personnage.

Cocu par un amant E   ou une maitresse,

Qui vous remplace N  au restaurant, au lit

De façon flagrante T   voire même  notoire,

Au point  de vous    haïr,   de ne pas divorcer.

.

Haine  par-ci,  haine  par-là : inverse  d’amour,

Au sein de ses conflits     et de tous ses contours,

Vient remplir  l’indiffé   *     rence,  qui reste vide

De sens,  de    *    présence, passion *  pour l’amour.

La haine,     H        que l’on dit l’inverse     S   de l’amour,

Elle dure,  A              elle  dure,  court,  court       U     toujours.

Tandis     I                 que  nos  amours, vont et          H    viennent,

Haine,      R                  sans relâche, en chemin,             C      se traine.

Deux          *                   êtres, qui s’aiment ou se              É       haïssent,

Restent       L                   longtemps attachés et               D       pâtissent

De conti-       ‘                 nuer l’un pour l’autre              *          d’exister

Jusqu’à ce        A             qu’un meurt pour              S            l’oublier.

Si personne        M              ne recule ni                U        ne s’esquive,

Son ennemi           O           intime en            C          douleur vive,

Se nourrit de              U         trop          É        d’énergie native,

Jusqu’à ce que ven        R      *     D  geance enfin s’en suive.

Je hais l’amour,                                déclarent les déçus.

À force d’y tomber                      ils n’y croient plus.

Amour me hait pro                clament les cocus,

Par l’un et l’autre, ils         se sentent déchus.

.

La haine qu’on dit      l’inverse de l’amour,

Est son miroir, son    fantôme, faux-jour,

Tant c’est en l’ombre, de sa face  cachée,

Qu’elle vient vous prendre, vous habiter

Lors, de résister à la haine ou à l’amour,

Supprime-t-il nos conflits pour toujours

La haine n’entame ni regrets ni remords

Personne ne saura  qui a raison, ni tort !

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Objet, vase, probablement,

Avec bonne partie très ventrue

Tellement qu’il en serait rendu,

Au bord même de sa rupture ?

.

497 4

.

Pas grand-chose à voir avec l’amour,

La déception, la haine :

Sauf que si tout s’accumule, un objet

Finit par une rupture !

 .

C’est une histoire de limite, de fil rouge

À ne pas atteindre, à ne pas dépasser, sinon

L’amour comme simple objet se gonfle, se brise.

 .

 Symbolique

 .

Certains objets

Nous ramèneraient

Des années …  en arrière

Nous rappelant notre enfance.

Des objets sans lesquels notre quotidien

En temps qu’enfant aurait été bien différent.

.

Peut-être mieux : ce sont les petites adversités

De tous les jours  qui nous rendent   chaque

Minute  un peu plus fortes, tels roseaux

Qui plient  mais ne cassent, jamais,

Mais quoiqu’il en soit ces objets

Seront symboliques de

Notre enfance.

madmoizelle.com/objets-

symboliques-enfance-152105

.

.

Fond

.

Évocation 

.

497 6

.

Pas grand-chose à voir avec l’amour,

La déception, la haine :

Sauf que si tout s’accumule, un objet

Finit par une rupture !

  .

Symbolique

 .

Il est important de    nuancer ou de savoir

Ce que l’on met der    rière le mot rupture :

C’est un concept des    plus forts, qui, a priori,

Nous renvoie à une      cassure plutôt définitive.

 .

La notion de rupture       pourra alors apparaître

Contradictoire  avec       toute démarche éducative,

Où, notions de lien,        continuité, sont importante,

La rupture avec la         famille, les amis, lieux de vie.

 .

Le mode de vie peut       devenir générateur d’angoisse.

Dans le dictionnaire               des symboles,  cette notion

De rupture est cassure                       et aussi renaissance.

Modifié, source : cairn.info/revue

  .

.

Fond/forme 

 .

Rupture est art consommé chez certains

Et cela dès lors que déçu rime avec déchu,

Ils veulent redevenir libres après contraints

La forme ne correspond pas, plus, au fond.

En lui tournant le dos … tout aura disparu

La haine s’installe parfois contre l’amour

Et lors le lien est rompu pour toujours.

.

Textuels et illustrations  >> 

496 – Entre sujets, objets, hochets d’amour

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Sujet d’amour quand je suis

Respecté pour ce que je suis,

Lors l’autre  m’écoute, aussi.

Objet d’amour quand je suis

Traité comme une princesse

Enfermée, en un rôle, forcé.

.

Hochet d’amour  lors  je suis

Manipulé comme corps mort

Sans souci, pudeur d’intimité.

Sujet, objet, hochet, c’est selon

Le désir ou le plaisir de l’autre,

On l’accepte ou bien  on rejette.

.

N’importe qui deviendra l’esclave

D’un autre s’il ne prend pas garde,

Dans une relation étant considérée

 Comme  possible  sadomasochiste !

.

Mais qui ne chercherait à atteindre,

Une telle essence même, de l’amour,

Qui ne chercherait pas à dépeindre,

Sa grâce à travers tout son cours ?

.

Mais  les  libertins  n’en ont cure,

Pour eux : y a pas  d’amours purs,

Il y a seulement  des corps, à jouir,

Puis encore des suivants  à séduire.

Leurs envies remplacent tous désirs

Pour les assouvir, il leur faut mentir.

.

L’important, pour eux, est d’aboutir,

Et au plus vite, pour mieux emboutir.

Lors toutes chairs,  toutes ouvertures,

Se feront traitées, toujours, d’ordures.

En elles, ils seraient, plus vite, dedans,

Celles-ci retiennent pervers, éjaculant.

.

Il est vrai que passer du sujet à l’objet,

Il n’y a qu’un pas, qu’on a vite  franchi,

Pour ceux que leur vice aura affranchis

Tout  corps, devient, pour eux, hochet,

Sujets,  objets    ou   hochets  d’amour

Où femmes  seront  déclinées,  au jour

De leur égoïsme,  ou de leur don total,

Selon qu’homme est un  être, animal.

.

Entre sujets, objets, hochets d’amour : des postures de captures :

Dans le premier, il s’agit de droiture ; en le second, d’emboiture ;

Dans le dernier, de pâture : autant la relation entre sujet et objet,

Se négocie jeu de rôle actif/passif pouvant s’inverser, rééquilibrer

Autant relation sujet/hochet devient humiliante, déshumanisante.

.

Extensions

.

Ce n’est pas un point de vue moral

Balayé au nom de la sacrosainte liberté

Mais de non-esclavagiste contre le droit

De disposer des gens comme  des choses.

.

La  chosification  d’un  être  humain,

Quel qu’il soit, et pour quelque motif

Que ce soit, n’aura jamais lieu d’être.

.

Ce serait se déshumaniser, soi-même,

S’animaliser davantage et à l’extrême.

Sans aller jusque-là ou que mort ou vif

N’ait d’importance, la façon inhumaine,

De rompre, brutalement, avec quelqu’un,

Quelqu’une, peut, parfois, s’en apparenter.

.

Je t’ai rencontré, je t’ai séduite, je t’ai prise,

Je t’ai conquise, à présent j’ai atteint mon but,

Je te jette comme usagée : c’était à toi de savoir

Que tu n’étais qu’un jouet pour moi, ainsi soit-il !

Mais pas ainsi soit-elle : on peut tuer la confiance

En l’amour en quelqu’un d’autre par ces mots :

Il n’y a pas de tribunal pour les poursuivre.

.

La confiance envers l’autre et le respect en continu de l’autre

Sont les deux soubassements amours, jeux, pratiques sexuelles

Il y aura toujours une ligne rouge, à ne pas franchir : la violence.

Une soumission exceptionnelle n’est pas soumission permanente !

Une fois la femme, transformée en objet, et humiliée, elle doutera

Du partage réciproque, du consentement  et du don de l’autre.

Femme objet sera prise et jetée, après usage : en mouchoir.

.

Nombre de psychologues et psychanalystes

Ont relevé une confusion entre sujet et objet

Dans l’amour et notamment érotique, sexuel.

.

On croit qu’une femme passe de sujet à objet

Quand elle n’a plus rien à cacher, or son âme

Mais c’est l’œil de celui qui la regarde qui lui

Confère un statut ou l’autre et non elle-même

.

Une femme  ne peut se déclarer, agir en objet !

D’accord mais vous direz : voyez les prostituées

Mais elles vendent leur corps comme un service

Et non comme un objet qui appartient à l’autre.

.

Les fétichistes parviennent à transformer un objet

En sujet et c’est pour eux qu’on parle de perversion,

Ils finissent alors par aimer l’objet et non plus le sujet,

Autant dire qu’ils abandonnent leur proie pour l’ombre !

.

Fragments 

.

L’amour est sujet permanent,

Pour celui qui aime vraiment.

.

L’amour est objet s’échangeant,

Pour celui qui n’y tient pas tant.

.

L’amour est hochet, insignifiant,

Pour celui profitant uniquement.

.

Voilà bien trois situations pouvant

Paraitre semblables mais différents :

.

Premier est le mieux qui se comprend,

Qu’on traduit par copain, mari, amant ;

.

Second peut être opportuniste, et tentant,

Pourquoi rater telle occasion, en  passant ;

.

Dernier est calculé, égoïste, parfois méchant :

Il faut fuir, ne pas lutter, pas rester dépendant.

.

Un objet, on l’adore, puis l’abandonne en le jetant

Un hochet, on joue avec on le hait en le détruisant.

.

Peu de femmes veulent être traitées en objet payant :

La rupture s’imposera d’elle-même, ses yeux décillant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

..

Calligramme

.

Sujet d’amour  S   quand je suis

Respecté pour   U   ce que je suis,

Lors l’autre m’     J     écoute, aussi.

Objet d’amour       E       quand je suis

Traité comme         T        une princesse

Enfermée, en            S          un rôle, forcé.

Hochet d’          *    amour   *        lors je suis

Manipulé          O     comme      H     corps mort

Sans souci        B        pudeur         O     d’intimité.

Sujet, objet      J           hochet            C     c’est selon

Le désir ou      E           le plaisir             H     de l’autre,

On l’accepte    T              ou bien                 E    on rejette.

N’importe      S               deviendra                 T      l’esclave

D’un autre     *               s’il ne prend                  S   pas garde

Dans une relation, étant considérée  comme  sadomasochiste !

.

Qui ne chercherait à atteindre,

Une telle ‘essence même de l’amour,

Qui ne chercherait pas à…dépeindre,

Sa grâce à travers tout son cours ?

.

Mais les libertins n’en ont cure,

Pour eux : y a pas d’amours purs,

Il y a seulement  des corps, à jouir,

Puis encore des suivants à  * séduire.

Leurs envies remplacent   * tous désirs

Pour les assouvir, il leur  E   faut mentir.

L’important pour eux     N    est d’aboutir,

Et au plus vite, pour     T   mieux emboutir.

Lors toutes chairs,     R     toutes ouvertures,

Se feront traitées,      E   toujours, d’ordures.

En elles, ils seraient,    *      plus vite, dedans,

Celles-ci retiennent per    A    vers, éjaculant.

Il est vrai que passer  du    M   sujet à l’objet,

Il n’y a qu’un pas, qu’on a    O     vite franchi,

Pour  ceux que, leur vice    U     a affranchi :

Tout corps, devient,    R   pour eux, hochet,

Sujets, objets      S      ou hochets d’amour

Où femmes   *  seront déclinées, au jour

De leur égoïsme,  ou de leur don total,

Selon qu’homme est un être, animal.

.

***********************************************

.

Entre sujets, objets, hochets d’amour : des postures de captures :

Dans le premier, il s’agit de droiture ; en le second, d’emboiture ;

Dans le dernier, de pâture : autant la relation entre sujet et objet,

Se négocie jeu de rôle actif/passif pouvant s’inverser, rééquilibrer

Autant relation sujet/hochet devient humiliante, déshumanisante.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un ananas comme pied, en bas,

Un abat-jour ambiance, en haut,

Surement  une  lampe   de chevet, 

Mais  constituant un objet, couple?

.

496 4

.

Si nombre d’objets peuvent s’associer,

Pour former un couple,

Pourquoi pas bon nombre de sujets,

Devenant interchangeables !

 .

Symbolique  

 .

 

Objets  sont réceptacles

Des symboles désaffectés,

Mais retrouvent  néanmoins

Toute une symbolique à l’œuvre

Dans  la  socialisation  de  l’enfant

Création artistique  et leurs langages  

Multiples  ont  orientation primordiale,

Celle de servir d’intermédiaire significatif

 

Entre les deux mondes.

Objets  hybrides   entre

Le vrai et       le simulacre,

L’animé            et l’inanimé,

Le jouet      et        le fétiche,

Le sacré    et    le profane,

Les poupées et figurines,

 

Se livrent en ambiguïté de la nature,

De leurs fonctions et de leurs pouvoirs.

cairn.info/revue-cahiers-jungiens-de-psychanalyse

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

496 6

.

Si nombre d’objets pourraient s’associer,

Pour former un couple,

Pourquoi pas bon nombre de sujets,

Devenant interchangeables !

Symbolique 

 .

Des  femmes en couple    se plaignent  d’être

Considérées, bien qu’    en se disant aimées,

Comme objets par      leurs partenaires.

 

Cette femme se re     fuse  d’être   objet

Pour l’autre mais      simul-tané-ment,

Elle désire, incon      sciemment, l’être

Fait tout, accepte       tout, pour l’être.

 

Cela n’est pas tou      jours  assimilable

Avec le «masochi      sme» de structure,

Tant ce sera la for      ce même de l’amour

Qui pourrait en cer      tains cas, déclencher

Un  fonctionnement     pervers en  un couple.

Modifié, source : cairn.info/revue-clinique

 .

.

Fond/forme 

Si l’objet de l’amour et d’aimer le sujet

Le sujet de l’amour peut devenir l’objet

Et s’ils rimeront, autant, avec hochet,

Amour se trouve dos à dos avec tous.

.

Lampe ne s’allume pas ni ne s’éteint

Elle devient comme simple fétiche,

Comme hochet, déclenche le désir

Fond, forme, ne se correspondent

Femme objet devient substituable.

.

Textuels et illustrations  >> 

495 – Si l’amour n’était que jeu

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Pour sûr il y a part de jeu

Dans  la  séduction, élection.

On y croit,  sans croire,  s’amuse,

On se  fait prendre au piège

On ne peut plus quitter son siège.

.

Jeu comportant part douleur,

Non en perte  d’argent, sentiment.

Argent ne remplacera pas amant,

Argent assure amour fait peur

Ne sont, en rien, équivalents.

.

Billet n’a pas d’odeur

Amour si, persistant.

Le jeu s’arrête quand

Autre jetterait l’éponge.

.

Et si l’amour n’était qu’un petit jeu

De belles paroles, de jeux de mots,

Coucher deviendrai   jeu de peaux,

Caresser : parenthèses et… bravo.

Voilà  qui  enlèverait  du  pathos,

A un acte qui n’en mérite et point,

Partenaire, à partenaire,  conjoints

Et on remplit un creux d’une bosse.

.

Vrai  et  beau  modèle d’immoralité,

Jeu banal,  ou contrat,  jouissances :

Amour, amant : plus de différences,

Amour licence et amante, prostituée,

Amour  sublimé : contrat de dupe ;

Amour soumis : contrat de  brute ;

Amour  partagé : contrat de rut ;

Amour tarifé : contrat de  pute.

.

Amour qui touche  à  toute fleur,

Sans atteindre fruit de son cœur

Ne peut faire jouir de bonheur

Autre que cet instant profiteur.

.

Amour est souffrance/douleur

Pour nous éviter d’avoir peur

Il se transforme en des jeux,

Qui n’ont rien de vertueux :

Jeu d’amour, amour du jeu,

Sont deux miroirs humains

Qui en une spirale sans fin,

Entraine à mort son destin.

.

Si l’amour n’était qu’un jeu,

Vie et argent, deviendraient

Autant, humains resteraient,

Qu’une foule de  malheureux.

L’amour s’inscrit   en deux « je »,

Se poursuit en un : « si  tu   veux »,

Se construit   en « nous être deux »,

S’établit en  « nous serons heureux ».

Je et jeux …   y en a plein en l’amour,

Sans évoquer imaginaires qui courent.

.

Extensions

.

Je, jeu, jeux : une seule lettre les sépare,

Le «jeu», sert le «je» ou l’asservit en passant

De l’un à l’autre et sans, pour autant, s’en méfier.

.

Le jeu est apprentissage amour familial chez l’enfant :

Voire conjugal : «Et si on jouait au papa et à la maman »,

«Si l’on se mariait, ici, tous les deux, pour faire comme eux»,

Voire amical : « Et si l’on se disait être ami, pour toujours »

.

Si ceci, si cela : déclarations ne portant pas à conséquence.

Jeux de l’amour et du hasard, feux de toujours, du bazar,

On pourrait voir, vivre, l’amour, comme casino sensuel.

.

L’amour peut n’être qu’un jeu au départ

Puis devenir sérieux au bout d’un moment

En se renvoyant la balle ou être trop sérieux,

Au point qu’il faudra un peu  baisser la garde.

Il y aurait, presque toujours  une partie  du jeu

En l’amour, ne serait-ce que parce qu’on l’a déjà

Pratiqué lors étant un enfant, sous une forme,

Différente, naïve, ou maladroite, peut-être,

Mais comme un modèle copié sur

Les parents et à reproduire.

.

« Tu m’aimes ou tu m’aimes pas ;

À quoi tu joues, dis-moi franchement »

On pourrait toujours poser cette question,

À sa compagne, et vice et versa, compagnon.

.

La séduction, en elle-même, constituera un jeu,

Qu’on contrôle et gagne parfois quand il faudrait

Perdre pour donner à l’autre une première chance

Au coup suivant, on inverse, à chacun, sa revanche.

.

Ainsi de suite, en multipliant jeux, d’amour, d’esprit

Car la partie est gagnée quand l’autre s’amuse, en rit

Oui mais il y aurait les bons et les mauvais gagnants

Gagner à tous les coups, n’est donné qu’à Don Juan.

.

Le jeu deviendra trouble quand on triche ou abuse

Si séduction se suffit à elle-même, reniant l’autre

Au bout du compte un contrat on devra signer

Sinon, c’est jeu du profit et en rien d’aimer.

.

Fragments

Jeu

.

Activité physique ou mentale

Et purement gratuite, et qui n’a,

En conscience de personne s’y livrant,

D’autre but que le plaisir  qu’elle procure :

Amusement  ou divertissement  ou récréation

Cette activité organisée par un système de règles

Définissant un succès et échec, un gain et une perte.

Le jeu s’avère être beaucoup plus qu’un passe-temps,

Il demeure, composante  de la culture, universelle.

Quelles que soient leurs origines  ou coutumes,

Tous les hommes, en jouant, communiquent

Spontanément, naturellement entre eux.

Le jeu est un symbole de luttes contre,

Les forces hostiles (jeux guerriers)

Les éléments (jeux agraires)

La mort (jeux funéraires),

Soi-même (doutes).

 .

Un vieux  grenier  sont entassé depuis plusieurs générations des jouets en bois qui se réveillent un à un et se remettent à jouer comme si le temps avait repris son cours.

Une salle de jeu vidéo avec 5 alignements à l’infini de consoles et de personnes y jouant  et des cadeaux tombant du plafond quand l’un d’eux, gagne, agitant les bras.

 

Combat, hasard, simulacre ou vertige, le jeu est à lui seul un univers dans lequel il convient avec chances et risques, de trouver sa place. Le jeu associe les notions de totalité, de règle et de liberté.

Les diverses combinaisons du jeu sont autant de vies réelles, personnelles et sociales. Mais sous le respect des règles, le jeu laisse percer la spontanéité la plus profonde, les réactions les plus personnelles aux contraintes extérieures.

.

Le jeu suractive l’imagination, stimule l’émotivité.

Jouer est un rite d’entrée  et prépare le chemin

Vers l’adaptation à l’objet réel, la vie réelle

Le jeu dans le rêve est un révélateur

De nos comportements sociaux.

Jeu en solitaire ou en équipe ?

Et la façon dont on organise

Un jeu correspond à celle

Dont  on organise  sa vie !

Coopératif, individualiste ?

Respect de règles, tendance à tricher

Nous voyons-nous perdants ou gagnants ?

Le voyons-nous comme puéril ou évolué ?

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Pour sûr il y a part de jeu

Dans  la  séduction, élection.

On y croit,  sans croire,  s’amuse,

On se  ô  fait prendre  ô  au piège

On ne peut plus //   quitter son siège.

Jeu compor       //     tant part douleur,

Non en perte   //   d’argent, sentiment.

Argent se remplacera plus qu’amant,

Argent assure == amour fait peur

Ne sont, en rien, équivalents.

Billet n’a pas d’odeur

Amour si, persistant.

Le jeu s’arrête quand

Autre jetterait l’éponge.

*** Et si l’amour  E  n’était qu’un petit jeu

*** De belles paroles,    T    de jeux de mots,

*** Coucher deviendrait      *     jeu de peaux,

  *** Caresser : parenthèses         S       et… bravo.

 **** Voilà qui enlèverait du            I          pathos,

 ****  A un acte qui n’en mérite         *        et point,

   ****  Partenaire à partenaire            L          conjoints

    ****   Et on remplit un creux            ‘       d’une bosse.

   ****   Vrai  et  beau  modèle            A     d’immoralité,

 *****  Jeu banal, ou contrat,            M    jouissances :

*****   Amour, amant : plus de         O    différences,

******   Amour licence et amante,       U   prostituée,

  ******    Amour sublimé : contrat de     R          dupe ;

******    Amour  soumis : contrat de     *       brute ;

******     Amour partagé : contrat       N       de rut ;

******      Amour tarifé : contrat       E        de  pute.

******      Amour qui touche     *     à  toute fleur,

 ******       Sans atteindre    S     fruit de son cœur

******       Ne peut faire E        jouir de bonheur

******       Autre que   R   cet instant profiteur.

  ******       Amour  A    est souffrance/douleur

   ******       Pour    I   nous éviter d’avoir peur

    ******       Il se   T    transforme en des jeux,

     ******      Qui    *     n’ont rien de vertueux :

       ******     Jeu    A     d’amour, amour du jeu,

       ******   Sont    U   deux miroirs humains

         ****    Qui en     T   une spirale sans fin,

           ***  Entraine    R    à mort son destin.

             **  Si  l’amour      E    n’était qu’un jeu,

              * Vie et argent      *  le deviendraient

               Autant, humains    Q   ne resteraient,

            Qu’une foule de       U     malheureux.

            L’amour s’inscrit      E     en deux « je »,

         Se poursuit en un :    *   « si  tu   veux »,

       Se construit en     J   « nous être deux »,

        S’établit en     E  « nous serons heureux ».

      Je et jeux    U    y en a plein en l’amour ;

     Sans évoquer imaginaires qui courent.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une tête et un corps,

Silhouette de femme…

Qui a l’air disponible, 

Mais pour quel jeu ?

.

495 4

.

Une femme qu’on imagine

 Entre deux âges et dénudée,

En  pose suggestive  comme

Si cela fait partie d’un jeu.

 .

Symbolique   

 .

Femmes

Opportunistes

Se retrouvent là où

Leur intérêt est assuré,

Lors, dès qu’une nouvelle

Opportunité     d’avancer

Dans la vie se présente,

Elles la saisissent.

 .

C’est bien d’évoluer en la vie

Mais  le  danger, parfois,  c’est

De prendre des chemins tortueux

Pour gravir, plus vite, des échelons,

Et penser que c’est de l’opportunisme.

Pour rappel, l’opportunisme

N’est pas mauvais en soi.

marsialbenissan.overblog.com

.

.

Fond

.

Évocation 

.

495 6

.

Deux animaux qu’on a du mal à distinguer

Et qui ont l’air de s’accoupler

Est-ce une simple parodie ou est-ce un jeu

Ou pur besoin de reproduction !

 .

Symbolique

 .

En tout début de relation, le

«Jeu du chat et de la souris»

Est normal, même amusant.

Cela attise le désir d’amants

En les poussant  à  chercher

Présence/absence de l’autre.

 

Laisser  quelques  jours  entre

Tous les appels, tous les messages,

Ne pas accepter toutes les invitations,

Inviter l’autre à terminer la nuit chez soi.

 

Toutefois, lors, il devient clair, que l’on est

Officiellement dans une relation  durable,

Ce jeu peut devenir déstabilisant, usant.

Peu de personnes aimeront savoir que

L’autre joue avec notre sensibilité

Jusqu’à la rendre incertaine.

 .

.

Fond/forme 

 .

L’amour c’est pas sérieux, ce n’est qu’un jeu

Prétendent certains que ça arrange bien

Quand il faut l’assumer, devient sérieux

Il n’y a plus qu’à dire, fin, et autre feu

On s’y chauffe mains, grille cerveau.

.

Le jeu fait partie des actes sexuels d’amours

Mais s’il n’est que cela, le face à face s’étoilera

Ne prendra pas une forme qui aurait un fond,

Tant il rime  avec  la légèreté,  la disponibilité :

Je ne joue plus, je suis sérieuse : moi non plus.

Et le jeu s’arrêtera  là où il aura commencé :

En néant de promesses de gain réciproque. 

.

Textuels et illustrations  >>

494 – Y a pas que l’amour dans la vie !

.Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

.

On ne peut vivre d’amour

Et d’eau fraiche : dit-on,

Ni comme les poissons,

De particules, plancton,

Mais on peut vivre sans,

Il est vrai … difficilement,

Refuser de souffrir pour lui,

Préférer l’argent au sentiment

Ou, temps libre, pour s’occuper,

De soi, faire la fête, profiter de tout !

.

Avoir quelqu’un dans sa vie est un souci

Que je ne saurais assumer : égoïste, je suis.

Mais les gens m’aiment sans rien demander.

En ma vie, serais seul si je manquais d’amis.

.

Vaut-il mieux agir, que souffrir,

Vaut-il mieux taire, que frémir,

Vaut-il mieux penser, que dire,

 Vaut-il mieux dire, que d’agir.

.

 J’ai comme le sentiment, que

 Tout ce qu’ici m’habite est que

Je ne saurai, jamais,  trop que

Remuer ma tête ou ma queue.

.

  S’il suffisait de tendre la main

 Lors je suis vu vieux puis vilain

Nul doute, qu’il y a temps divin

Où l’amour est seul va et vient.

.

N’y a-t-il que  l’amour dans la vie,

Point : on  peut bien vivre sans lui,

Sans bon  sommeil… mort garantie,

Retraite  sans amours ne me réjouit.

.

Qu’est-ce que je désire et je n’ai déjà,

Du temps libre, j’en  ai  plus  que  ça,

La vie m’a appris  à m’en contenter

Le reste est  supplément  inespéré.

.

Avec moins  de soucis,  d’ennuis,

Chaque âge a  ses  plaisirs  à lui

Mien : être sage aujourd’hui,

Demain ce sera bientôt fini,

Mais de dire de m’alanguir,

Ou de faire  taire un soupir

Ne seront  pas  des  missions

Qui  me   procureront frissons.

.

Y a-t-il autre chose que l’amour

Dans la vie, cela  bien  sûr que oui.

Y a l’argent que l’on amasse  en jouit,

Seul au prix d’un ennui mortel toujours.

.

Mais  moi  d’être  aimé, d’aimer me suffit

À  quoi bon l’argent et à quoi bon le temps

Si c’est  pour  être égoïste, ennuyer autrui,

En ma vie,  serai seul, si je  manque  d’amis.

Il y a  autre chose  que l’amour dans  la vie :

Les enfants, la famille, les collègues et amis.

.

Extensions

.

Sans parler carrière professionnelle,

De maison, de voyage : sans l’amour,

Tout le reste perd un peu de son sens,

De sa substance voire de son existence

En tous cas, si un ne va pas sans autre,

L’un ira bien mieux mieux avec l’autre.

.

Nombre de gens ont passion qui excite,

Pour quelque chose, leur tenant à cœur,

Qui inclut tous les autres, et leur profite,

Et participera à la société et au bonheur.

.

D’Artagnan : Un pour tous, tous pour un :

Voilà devise donnant de l’espoir à chacun !

.

En dehors des amours, en ce qui les concerne, les habite,

Nombre de personnes vivent pour autre, chose, émotion :

Les sports, les jeux vidéo, les chats d’amis voire les tweets,

Alors que d’autres vibrent pour la nature, pour les voyages,

Et d’autres encore, pour leurs enfants, leurs métiers, loisirs.

.

En dehors de l’amour, il y a mille choses

Qui nous occupent, intéressent,  fait vivre,

Et parmi elles, un grand nombre  d’activités

Familiales, professionnelles, de loisirs, sociales.

.

Il peut y avoir une passion qui dépasse l’amour

En le sublimant sans pour autant le supplanter,

C’est le cas des explorateurs, politiques, artistes

Qui font passer leur passion avant tout le reste.

.

Si la route  de l’amour  est dans un paysage,

Il peut ne pas y avoir  de route  praticable ;

Si le paysage constitue pour nous l’amour,

C’est à nous de la tracer à notre mesure !

.

Fragments

.

Il n’y a pas que l’amour à partager

Même si on le mettrait  en premier,

Et partout et toujours et avant tout :

Réalité apprend qu’il faut … des sous

.

Déjà, il faut bien  se soucier  de nous :

La santé est  un bien  précieux, fragile,

Tant santé physiologique  que mentale,

Important lors perdue comme bonheur.

.

Ensuite bien gagner sa vie, son autonomie,

Le pain ne tombera pas  du ciel, en bouche,

Fonder une famille demande de la ressource

Pas qu’eau fraiche, même de bonnes sources.

.

Enfin les loisirs sa créativité, à soi, personnelle,

Laissant le cours aux productions d’imagination

Est essentielle pour sortir  routine, manipulation,

Un peu comme pour l’école, une bonne récréation.

.

Il y a mille et une choses à faire … n‘incluant l’amour,

De quoi bien nous occuper, de quoi bien nous distraire

Nombre d’expériences, explorations, à faire et à refaire,

Ce n’est pas moi, loin s’en faut qui vous dira le contraire.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

On ne peut vivre d’amour

Et d’eau fraiche : dit-on,

Ni comme les poissons,

De particules, plancton,

Mais on peut vivre sans,

Il est vrai … difficilement,

Refuser de souffrir pour lui,

Préférer l’argent au sentiment

Ou, temps libre, pour s’occuper,

De soi, faire la fête, profiter de tout !

Avoir quelqu’un dans sa vie est un souci

Que je ne saurais assumer : égoïste, je suis.

Mais les gens m’aiment sans rien demander.

En ma vie, serais seul si je manquais d’amis.

.

****************************************

.

Vaut-il mieux agir    I     que souffrir,

Vaut-il mieux taire     L   que frémir,

Vaut-il mieux penser     *  que dire,

 Vaut-il mieux dire que     N   d’agir.

 J‘ai comme le sentiment     ‘   que

 Tout ce qu’ici m’habite est  Y  que

  Je ne saurai jamais trop      *   que

   Remuer ma tête ou ma    A  queue.

  S‘il suffisait de tendre    *   la main

 Lors je suis vu vieux   P  puis vilain

Nul doute, il y a      A      temps divin

Où l’amour est     S     seul va et vient.

N‘y a-t-il que    *    l’amour dans la vie,

Point : on      Q    peut bien vivre sans lui,

Sans bon     U       sommeil… mort garantie,

Retraite       E       sans amours ne me réjouit.

Qu’est-ce      *        que je désire et je n’ai déjà,

Du temps       L      libre, j’en  ai  plus  que  ça,

La vie m’a        ‘       appris  à m’en contenter

Le reste est      A       supplément  inespéré.

Avec moins       M       de soucis,  d’ennuis,

Chaque âge a     O       ses  plaisirs  à lui

Mien être sage   U        au-jour-d’hui,

Demain ce sera   R       bientôt  fini,

Mais de dire de     *      m’alanguir,

Ou de faire  taire      D      un soupir

Ne seront  pas  des     A       missions

Qui  me   procureront     N       frissons.

Y a-t-il autre chose que      S       l’amour

Dans la vie, cela  bien  sûr     *      que oui.

Y a l’argent que l’on amasse       L     en jouit,

Seul au prix d’un ennui mortel       A    toujours.

Mais  moi  d’être  aimé, d’aimer         *     me suffit

À  quoi bon l’argent et à quoi bon          V       le temps

Si c’est  pour  être égoïste, ennuyer          I           autrui,

En ma vie,  serai seul, si je  manque           E             d’amis.

Il y a  autre chose  que l’amour dans           !                 la vie :

Les enfants, la famille, les collègues           *                et amis.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Robe très longue enfilée par

Une femme mince  et  longiligne,

Un paysage qui défile à l’extérieur,

Avec une belle  route, à l’intérieur ?

.

494 4

.

Le paysage, ce serait la vie,

Et la route,  ce serait l’amour,

Parcourir la route, sans aucun

Paysage, serait vite … lassant !

.

.

Symbolique

 .

Un  paysage

       Est la vue d’une

          Portion d’espace

             Terrestre, perçue

              Par sens humains

           Arts visuels  créés

          Ou  observés  en la

      Majorité    des   cas

    Et   à    l’horizontale

Et     photographique

Par    un     observateur.

 Il  implique un point de vue,

      Son caractère «résulte de l’action

          Et l’interaction de facteurs naturels

            Et/ou humains». Notion de paysage

                   A une dimension esthétique très forte,

                          Et voire picturale ou littéraire, en tant

                                     Que représentation de situation donnée.

.

.

Fond

.

Évocation

.

494 6

.

.

Le paysage, ce serait la vie,

Et la route, ce serait l’amour,

Parcourir la route, sans aucun

Paysage, serait vite … lassant !

 .

Symbolique 

.

«Ceux qui connaissent la vie

De l’éternel voyageur sur la route

Savent à quel point l’amour

Peut être une chimère.

Les autres aussi, peut-être.

.

J’ai pourtant eu mon lot de rencontres:

Certaines, belles et enrichissantes,

De  celles qui  vous  font, parfois, sourire,

Dans l’intimité du futur

Et les autres, destructrices, violentes.

.

Ces dernières sont celles qui vous laissent

La cicatrice de plus, la cicatrice

Qui n’était pas nécessaire.

J’en suis couverte. »

Modifié et mis en forme, source :

vie-nomade.com/2015/amour-route

 .

.

Fond/forme 

.

La route de l’amour et l’amour de la route

Riment ensemble, émotion, en avant toute.

Pour autant il ne suffirait pas de se marier

Pour continuer à faire route …  ensemble,

Tant il y a croisement, choix, bifurcation

Et la forme passe parfois avant le fond

De face à face à côte à côte, dos à dos

Changer paysage vers autre chose

Qu’aimer est possible et tentant !

.

.

La route est longue entre la naissance et la mort,

Entre les deux, y a de l’eau à couler sous les ponts,

On a le temps de changer plusieurs fois de femme

Sans compter de carrières, de loisirs, de passions

Et puis il y a les enfants à nourrir, éduquer, aider

La maison à construire, à entretenir, à changer !

Parfois on bifurque, on se passe même d’amour !

.

.Textuels et illustrations  >>

493 – On aime quelqu’un, aime l’amour !

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Aimer l’amour, ou  aimer quelqu’un !

Le  premier  est  purement conceptuel,

Alors que  second, incarné, est sensuel.

Un amour disparait, l’amour … jamais.

.

Parents, enfants, et  conjoints, les amis,

Sont parmi  quatre  formes de relations,

Les plus fréquentes   et les plus patentes

Aimer l’amour n’en  contiendra aucune.

.

Lors face à la vie et  face aux problèmes,

Bon   nombre  de conflits,  voient le jour

Amour se dissout en eux pour toujours.

 Aimer quelqu’un, plus qu’aimer l’amour

Sont choses différentes  pour  toujours.

.

C’est  chose   surprenante lors  l’amour

Survient, et puis s’en va …. tour à tour,

S’éloignant, revenant   de     l’attirance

Et puis,   quand  la dernière   est finie.

.

Parfois un autre attachement, la suit,

Qu’il faut  saisir comme une chance.

Se marier représente  autre   chose

Qu’une vie toujours, aussi  rose !

Lors on élève ses enfants chéris

 .

Que de jours et nuits

Leurs soins requièrent des habitudes

Et complétudes.

Si ce sont enfants qui font, de nous,

Des parents

Ce ne sont pas eux faisant de nous,

Des amants,

Les parents, avec eux, entre nous,

Indifférents.

Sans liberté d’aimer, impertinente,

Plus d’entente ;

Poids  des  chaines,  nous  retiennent,

Font qu’adviennent

Fatigue, lassitude, dégoût, énervement,

Et jamais contents.

Un contrat  se renégocie, se renouvelle,

Quand votre tolérance

L’emporte sur différences… rebelles

Qui vous balancent,

Du mauvais côté, si votre vie, se vit

Comme en crédit.

Auriez-vous déjà…aimé quelqu’un,

Pour lui-même,

Ne serait-ce que pour propre bien,

Vrai tandem.

Face à la vie,  ou  à  ses  problèmes,

Les mêmes,

Ou  si  trop  de   conflits    se   font   jour

Alors amour

Ne     les     dissoudra    plus    dans    le   pour.

.

Extensions

.

L’amour est une chose indépendante

De tous les gens qui s’en réclament,

D’autant qu’elle prend des formes

Très différentes et très surprenantes.

L’amour des enfants … par ses parents,

N’est pas l’amour des parents pour l’enfant :

Pas de symétrie bien que réciprocité et pas

De garantie dans le temps, ni dans la vie !

Aimer quelqu’un, comme aimer amour

Est quelque part entre réalité et idéal,

Entre le moins pire et … le meilleur :

Chaque fois qu’on ne trouve pas l’idéal,

On se dit que le prochain s’en approchera.

Chaque fois qu’on croit l’avoir trouvé, on déchante.

Chaque fois qu’on vient d’y renoncer en se mariant,

On en trouve un : à chercher l’amour sans le trouver,

L’on finit en pleine solitude et on mesure sa finitude.

.

Aimer quelqu’un, tout le monde sait bien de quoi il s’agit.

Aimer  l’amour, comme un principe, une valeur, une vertu,

Serait l’apanage des ermites, des mystiques, mystificateurs

Il est vrai que l’amour est partout et nulle part, comme l’air,

Mais dès qu’il est incarné, il devient exclusivement humain.

.

Aimer l’amour pour lui-même

Quelle question … sûr que non !

Aimer l’amour serait conceptuel,

Ou encore  quelque peu spirituel,

Alors qu’aimer quelqu’un serait

D’ordre affectif, voire sensuel.

.

Amour serait devenu un mot valise :

Je m’aime, l’autre, mon chien, mon lit,

En anglais on les distingue : I love, I like !

L’amour c’est tout, l’amour c’est toi, c’est rien

Et que ferait-on de clamer : j’aime haïr les gens !

L’amour a une limite tout de même, celui de l’enfer.

.

Les psychologues décèlent trois profils types

 De l’état amoureux, afin de s’y reconnaître :

Éros : amour passion … le cœur  s’emballe,

L’excitation alterne entre la peur et le désir

Insatiable : manque de l’autre, permanent !

Agapê : amour-amitié, ouvert sur l’extérieur.

On est complice, on se comprend,  on s’écoute,

On s’intéresse plus l’un à l’autre et au vaste monde

Philia : amour profond alliant le mieux désir et raison :

On sait, on peut, veut vivre librement ensemble, on s’aime,

 Mais on ne s’appartient pas : on respecte de l’autre tel qu’il est.

.

Fragments 

.

Aimer l’amour, n’a aucun sens, en soi,

Comme aimer un dieu qui n’existe pas,

L’amour est énergie… qui ne faiblit pas,

Pouvant être tourné vers autre vers soi.

.

Lorsqu’on a dit cela, on aura tout dit,

L’on aura rien dit, on se sera diverti :

Aimer n’est pas d’amour quelqu’un

Ni aimer l’amour de ce quelqu’un.

.

Tant s’il n’y a pas de réciprocité,

Il n’y a pas de relation d’égalité,

C’est bien là, le mystère, le lien,

D’amour, mi animal, mi divin !

.

Ce qui distingue l’amour de tous

D’amour quelqu’un, on est marié,

Sera, le plus souvent, l’exclusivité,

Comme si l’amour en soi : incarné,

.

Qu’il ne pouvait y avoir rien de si bien

Qui comble l’amour au plus haut degré.

Attention à prendre rêves pour réalités :

On peut projeter amour sur presque rien.

.

L’amour dont il fait défaut, on le projettera,

« Qu’à cela ne tienne, j’en ai assez pour deux »

On aime l’amour, c’est là que le bât blessera :

Il ne vous fera rien, pour vous rendre heureux.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Aimer l’amour              A       ou aimer quelqu’un !

Le  premier  est               I        purement conceptuel,

Alors que second,            M           incarné, est sensuel.

Un amour disparait,         E                  l’amour… jamais.

Parents, enfants, et            R                conjoints, les amis,

Sont parmi   quatre             *                 formes de relations,

Les plus fréquentes             Q                  et les plus patentes

Aimer l’amour n’en              U                  contiendra aucune.

Lors face à la vie et               E                 face aux problèmes,

Bon   nombre  des                 L               conflits voient le jour

Amour se dissout                  Q               en eux pour toujours.

 Aimer quelqu’un,                  U               plus qu’aimer l’amour

Sont choses diffé                    *                rentes pour toujours.

C’est  chose  sur                                prenante lors l’amour

Survient, et puis                  N              s’en va …. tour à tour,

S’éloignant, reve                  *              nant   de     l’attirance

Et puis,   quand                  L            la dernière   est finie,

Parfois un autre                ‘             attachement  la  suit,

Qu’il faut  saisir             A           comme une chance.

Se marier repré          M         sente  autre   chose

Qu’une vie tou         O       jours, aussi  rose !

Lors on élève         ses enfants chéris

R ..

Que jours et nuits

Leurs soins requièrent des habitudes

Et complétudes.

Si ce sont enfants qui font, de nous,

Des parents

Ce ne sont pas eux faisant de nous,

Des amants,

Les parents, avec eux, entre nous,

Indifférents.

Sans liberté d’aimer, impertinente,

Plus d’entente ;

Poids  des  chaines,  nous  retiennent,

Font qu’adviennent

Fatigue, lassitude, dégoût, énervement,

Et jamais contents.

Un contrat  se renégocie, se renouvelle,

Quand votre tolérance

L’emporte sur différences… rebelles

Qui vous balancent,

Du mauvais côté, si votre vie, se vit

Comme en crédit.

Auriez-vous déjà…aimé quelqu’un,

Pour lui-même,

Ne serait-ce que pour propre bien,

Vrai tandem.

Face à la vie,  ou  à  ses  problèmes,

Les mêmes,

Ou  si  trop  de   conflits    se   font   jour

Alors amour

Ne     les     dissoudra    plus    dans    le   pour.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un pinceau ou un grattoir,  

Les deux pour peindre le mur

Sinon, pourquoi pas un verre

Forme,  fabrication exclusive ?

.

493 4

.

Aimer l’amour, c’est aimer boire un verre,

Et quel qu’il soit :

Aimer quelqu’un, c’est aimer une boisson

Précise, exclusive

 .

Symbolique

 .

Seul le verre     et  l’or

Donnent une       idée du

Prix  de  la            sagesse. »

Transparent,              le verre

Est semblable             à l’eau et

À l’air,  le verre             fragile,

Le verre banal,            le verre

Qui  ne vaut   que        par ce

Qu’il retient, laisse     voir,

Verre simple  contenant

Qui ne cacherait  rien,

Pourrait-il évoquer

La moindre idée

De mystère ?

Son apparente

Capacité de se faire

Oublier, suggère un statut

Particulier  qui  est  de   tout

Montrer  et   de  tout refléter.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

493 6

.

Aimer l’amour, c’est aimer boire un verre,

Et quel qu’il soit :

Aimer quelqu’un, c’est aimer une boisson

Précise, exclusive

 .

Symbolique

 .

Nous pensons tous savoir

Ce  que  signifie : « aimer »,

Mais  l’amour  inconditionnel,

Nous n’avons pas la moindre

Idée   de   ce  que cela

 Implique vraiment ?

 

Plupart  d’entre  nous

Connaissent en théorie

Ce que cela veut dire,

Pour ce qui concerne

Son application, bien

 Peu l’applique réellement

En toutes circonstances, amour tel que

Nombre de couples  l’entendent  est un

«Sentiment   exclusif »,  mais     celui-ci

Devient vite détourné au profit de l’ego

Qui le manipule pour arriver à ses fins !

.

.

Fond/forme 

 .

Sur quoi, porte exactement l’exclusif,

Sur le sexe,  sur le corps,  sur le corps,

Voire sur l’esprit, si ne c’est  sur l’âme,

Ou bien le tout, mais ça fait beaucoup

Ce n’est plus l’amour, c’est la jalousie.

.

Amour et exclusif,  tantôt s’accordent

Tantôt se désaccordent et totalement

Rien à voir avec un verre, en cristal,

Qui se brisera au moindre faux pas

Il rime avec possession réciproque

Et pourtant fausse note provoque.

.

 Textuels et illustrations  >> 

492 – Amour épanoui de femme mûre

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Femme, jeune, tendre, jolie, 

Fait toujours rêver les hommes

Qu’en est-il, des femmes mûres

Sont-elles  toutes  en déconfiture,

Point, et surtout  n’allez  pas croire

Qu’avec elles y aura moins  d’espoirs,

D’avoir une écoute trouver une entente

Qui satisfasse à plein votre égo de mâle.

Si c’est fort bien d’être heureux au pieu,

L’être en ménage c’est encore mieux

Ça dure plus longtemps rassurant

Temps a moins de prise, vieux !

 

Homme ne l’entend pas,

Toujours de cette oreille,

Tend  autre, à une jeune,

Illusionnant sa  jeunesse.

 

Aujourd’hui, bien   que,

Une femme mûre surtout, veut,

Un homme, qui soit beau  et  qui

Pense à elle, d’abord, et  avant lui,

Et ce, pour avoir été délaissé après

Son mariage et après deux enfants.

 

Elle se sera  bien rendue compte que

Disponibilité d’un en vaut bien deux,

Et que dans tous les cas il vaut mieux

Être  heureux en ménage  qu’au pieu.

 

Rarement, un homme est aimé pour

Lui-même, pour ce  qu’il représente,

Son image est bien plus importante,

Que  ses vraies  qualités,  ses atours.

 

Si pour l’avoir appris, à  vos dépens

Aujourd’hui, son mépris  méprend.

Renoncer est, comme  fuir  devant

Une déception  certaine  bien que

Un miracle  se produise, parfois,

Et   vous   surprend   tellement,

Que  vous n’y  croyez  pas.

 

Il  vous faudra du temps,

Et le temps vous  manque,

Il manque  à tout le monde.

Pourtant du temps pour vous,

Ce serait grandement précieux,

Pour vous trouver un amoureux,

Et  qui soit  digne  de vous deux.

 

L’homme,   redevenu  ordinaire,

N’a plus rien … d’extraordinaire,

À moins d’haïr tout son contraire,

On aura bien peine à s’en satisfaire.

.

Extensions

.

Il se peut qu’une femme mûre

Sur deux, se contente de ce qu’elle a,

Ou elles en attendent beaucoup mieux.

En Europe, ce seraient, de plus en plus,

Les femmes qui demandent le divorce

Et  beaucoup  moins … les hommes :

Changement de culture et société.

Que fait-on des femmes-enfants

Ou de femmes-immatures, qui

Ne murissent que très tard ou

Qu’on enferme en leur image !

.

Faire l’apologie de la jeunesse, contre la vieillesse, est un leurre

Une femme plus jeune n’apporte pas forcément plus de bonheur.

Ce n’est pas tant la question de l’âge  que des passions communes

Et personnelles au sein du couple,  avec la confiance  et la liberté !

Si on tient  ce raisonnement, attitude de la femme  pour l’homme

Elle préfère un homme mûr à l’esprit jeune, ouvert avec humour

À un jeune sans culture qui s’installera vite dans ses habitudes.

.

À partir de quand dit-on d’une femme

Qu’elle est mûre et qu’on en est sûr :

Une femme autour quarante ans,

Avec sensibilité plus épanouie,

Voire un savoir  plus grand !

.

Elle fut autrefois mais est

Parfois encore, perçue  

Comme la maîtresse

Comme initiatrice

Voire matrone.

.

On passe de la

Connotation sexuelle

À connotation intellectuelle

Puis à la connotation affectueuse

Pour finir par celle spirituelle, vertueuse.

.

Fragments

Les  femmes mûres, femmes d’expériences,

Troquent performance  contre compétence.

.

Lors prenant de l’âge, et, malgré leurs soins,

Elles savent qu’elles séduiront, certes, moins.

.

Le charme demeure même si la grâce, envolée,

Échange prend de la profondeur ; sexe, légèreté.

.

Plus de connivence, plus de complicité, caractère :

Les désaccords, disputes, colères, restent passagères.

.

L’amour s’est établi sur le fond plus que sur la forme,

La discussion sur séparation prendrait temps énorme.

.

Quant au regard, comme l’amour, lui, ne vieillira pas,

Tant il garde encore la même étincelle dans ses yeux.

.

Étincelle qui aura mis un feu de folies à ses amours

Et dont elle garde le même souvenir pour toujours !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Femme, jeune, tendre, jolie,

 Fera toujours rêver les hommes

Mais qu’en est-il, des femmes mûres

Sont-elles   Ô  toutes en  Ô déconfiture,

Point, surtout n’allez  //               pas croire

Qu’avec elles y aura  //      moins  d’espoirs,

D’avoir une écoute //  trouver une entente

Qui satisfasse  à  plein  votre égo de mâle.

Si c’est fort bien  ===  heureux au pieu,

L’être en ménage    c’est encore mieux

Ça dure plus longtemps rassurant

Temps a moins de prise, vieux !

Homme ne l’entend pas,

Toujours de cette oreille,

Tend  autre, à une jeune,

Illusionnant   A sa  jeunesse.

     M

Aujourd’hui,                  O                bien   que,

Une femme mûre            U            surtout, veut,

Un homme, qui soit         R               beau et qui

Pense à elle, d’abord,        *              et avant lui,

Et ce, pour avoir été          F         délaissé après

Son mariage, et après        E        deux enfants.

Elle se sera bien rendue     M         compte que

Disponibilité d’un en vaut  M          bien deux,

Et que dans tous les cas il   E         vaut mieux

Être  heureux en ménage     S        qu’au pieu.

Rarement un homme est     *         aimé pour

Lui-même, pour ce qu’il    M      représente,

Son image est, bien  plus   U   importante,

Que  ses vraies  qualités,   R   ses atours !

Si pour l’avoir appris, à    E  vos dépens

Aujourd’hui, son mépris  S  méprend.

Renoncer  est, comme  fuir   devant

Une déception  certaine  bien que

Un miracle  se produise, parfois,

Et   vous   surprend   tellement,

Que     É  vous n’y  croyez  pas.

Il  vous    P    faudra du temps.

Le temps   A      vous  manque,

Il manque     N    à tout le monde.

Pourtant du       O  temps pour vous,

Ce serait gran         U   dement précieux,

Pour vous trouver        I        un amoureux,

Et qui soit digne de          S             vous deux.

Car l’homme redevenu        S             ordinaire

N’a plus rien d’extra             A            ordinaire

À moins d’haïr  tout son        N          contraire,

On aura bien peine à s’en    T        satisfaire.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une silhouette de femme mure

Mais toujours élégante  et mince

Tout est dans le regard, sourire,

 Les  gestuelles,   plus que formes !

.

492 4

.

Une femme mure : quel âge … lui donnez-vous :

40, 50 ou 60 ans ?

Croyez-vous qu’en fonction de l’âge elle renonce

Ou non au sexe ?

L’épanouissement amoureux se traduit autant

Dans la volupté du corps qu’intensité du regard,

Les deux s’accordent pour établir leurs harmonies.

  .

Symbolique 

  .

Dans la décennie de la quarantaine,

De nombreuses femmes mûres,

Maitriseraient davantage leurs

Comportements … émotionnels

Horloge biologique déclenche

Une  alarme nécessaire  pour

Qu’elle prenne encore ou enfin,

Soin d’elle-même, se fasse plaisir

En se consacrant  à  une meilleure

Connaissance d’elle-même pour leur

Épanouissement personnel et recherche

De qualité supérieure dans leur relationnel.

.

.

Fond

.

Évocation

.

492 6

.

Tout est dans le regard et autres expressions

Le regard vieillit assez peu

Puis il y a le maquillage et les soins esthétiques

Qui pourront faire illusion.

 .

Symbolique

.

Le regard

 Désigne mouvement

 Ou la direction des yeux vers

Objet par  O  métaphore,   O   capacité 

Intellectuelle      d’un   individu

À        appréhender         une

Situation jusqu’à y

Mettre,   un

Peu de lui.

 .

Le regard est un support important

De la communication entre individus

Y compris chez de nombreuses espèces

Animales, il porte, quel qu’il soit, une

« Intention » parfois inconsciente

De  la part  de l’émetteur  mais

Très facilement décodable pour

Celle ou celui qui reçoit ce regard.

antiochus.over-blog.com/article-le-regard

 .

.

Fond/forme 

.

Pourquoi femme dite «mure» à quarante ans

Mais pour un homme ce serait cinquante ou plus

Par rapport  à  leur attrait, sensualité, sexualité !

.

C’est plus qu’injuste, cela ne serait en rien mérité

C’est redonner exclusivité d’attrait à la jeunesse,

Qui est autant en l’esprit voire plus qu’en corps,

Que fait-on de celle qui divorcent, se remarient.

.

Femme mûre c’est par comparaison au fruit

Mais ici, ce n’est même pas la moitié de sa vie

À quarante ans : il en reste au moins autant

Interprétation à la fois  libre et contrainte,

Mûre rime mi-temps, non avec vieillerie.

Peut-être se regardant dans son miroir

On se dit sur le début de la descente,

Pas de la décrépitude, la solitude,

Et l’amour n’est pas en finitude.

.

Textuels et illustrations  >>

491 – Aimer les, la, aimer une femme

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Aimer les femmes,

Aimer  une femme,

Aimer … la femme :

Trois  déclinaisons !

.

D’aimer les femmes,

C’est une inclination,

Orientation…sexuelle

Rien que de naturelle

.

Et d’aimer une femme

Est la choisir de désir

Devenir sa compagne

Et quitte à la quitter.

.

Et, d’aimer la femme,

C’est lui voué  un culte

Mettant  sur  piédestal,

Et non pute ou vassale !

.

Les, une, la, trois à la fois

Après tout,   pourquoi pas,

Qui l’interdira  …  personne,

Mi femmes  et mi hommes !

Et ainsi l’on passe du général

À l’abstrait et au plus concret,

.

En un tel cas, aimer une femme

Bien particulière mais incarnée,

Avec qui l’on vit, l’on s’est marié,

 Va incarner  la, ou les, en un tout

    Qui lui ressemble, les rassemblent!

.

  Autres les voient, comme diamants,

   Profitent,  chacun  de  leurs  facettes,

  D’autres les voient, comme des perles

 Que l’on ne pourrait jamais qu’enfiler

 Ou hommes sont pris pour des dieux

 Lors ce ne sont que diables hideux.

.

Ou, c’est un détail qui comptera,

Ou bien silhouette l’emportera

Ou réminiscence  des parents,

On se connait  en s’unissant.

 .

Représentations femmes

Nous conditionnent

Nos divers choix

Bien que pourtant

D’aimer les femmes,

Une femme, la femme,

Sont des choix  différents,

Et idem aimer les  hommes,

Un homme, voire  l’Homme,

Ou bien, d’Adam, la pomme.  

.

Extensions

  .

Ce qui est valable pour un sexe,

L’est souvent pour l’autre, comme en miroir,

À différence que les rôles n’étant pas les mêmes,

Aucune superposition ni échange n’est possible.

.

Aimer sa femme et à travers toutes les autres

Et aimer les femmes et à travers la sienne,

N’est pas équivalent même si c’est  égal.

.

Le masculin, le féminin, et le pluriel.

Même si en grammaire, le premier

L’emporte sur la seconde, ce n’est

Que  par  pure convention  et non

Domination naturelle ou culturelle.

.

Aimer la femme, est n’en aimer aucune,

En faire un objet virtuel et pour certains,

Inaccessible, tandis qu’aimer les femmes,

Les aimer toutes, par conséquent aucune !

.

 «La plus belle fille du monde ne peut donner que… ce qu’elle a»

Proverbe attribué à Alexandre Dumas, donc pas tout loin de là,

Mais, de toute façon, elle ne correspondra pas à tous les canons !

Alors il vaut mieux se fixer sur son choix et aux autres, dire : non.

Aimer les, la, une, femme, c’est assez subtil, mais pas insignifiant

Et même, pour certains hommes, non dénué d’un ego gratifiant.

On aime la femme en général, de manière poétique, sublimée

On aime les femmes si on les recherche et  les collectionne

On aime une femme quand elle nous suffit, satisfait.

.

Aimer la, les, une, des, toutes, ou aucune,

Voilà bien une belle déclinaison qui s’impose

Tant au sexe  qu’au corps, cœur, esprit, âme :

.

Le sexe, c’est toutes ou presque ou sa maitresse ;

Les corps, X, H, O, V, A, 8, six formes différentes :

Le cœur, comme princesse qui a vous se confesse ;

L’esprit, l’intuition même plus toute sa richesse,

L’âme-sœur, mais aussi sa muse, da déesse !

.

Si on aime toutes, l’on n’en aime aucune,

Si on aime la femme, on n’en aime une,

Si on aime certaines, bonne fortune.

.

Fragments

.

Pour ne pas rester pas obscur : soyons clair !

Pour autant nul besoin d’être grande lumière :

Aimer femme se décline de différentes manières

Il s’agit de savoir laquelle est mieux en première.

Aucune, en réalité, c’est à chacun de voir, sursoir !

.

Aimer les femmes : les rechercher toutes ou presque

Ça en tourne parfois à l’obsession, voire à une drogue

On laissera, ici, de côté, les plus vielles, les plus laides,

Sans compter les caractères qui ne s’en laissent conter.

.

Aimer la femme est tout à l’opposé rechercher son idéal,

Qui, par définition, n’existe pas dans le domaine humain

Cela provient de l’inconscient, du rêve, substitut de mère,

Femmophile, dit ma voisine …  à la fois toutes et aucune !

.

Aimer une femme, c’est idée, il y en a tant et tant, se valant

Et lors, laquelle choisir, sur laquelle parier sur le long terme,

Mais si l’on garde à l’esprit qu’une seule représenterait toutes

On a des chances d’avoir fait le bon choix une fois pour toutes.

.

Si j’ai l’air de bien connaitre les femmes et de les aimer toutes,

Ce n’est qu’une impression, n’est qu’une illusion, fausse raison,

En réalité, chacune se construit, entretient sa part de mystère

Je n’ai, pour perspective, que lever juste un coin de son voile.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Aimer les femmes,

Aimer  une femme,

Aimer … la femme :

Trois  déclinaisons !

.

D’aimer les femmes,

C’est une inclination,

Orientation…sexuelle

Rien que de naturelle

.

Et d’aimer une femme

Est la choisir de désir

Devenir sa compagne

Et quitte à la quitter.

.

Et, d’aimer la femme,

C’est lui voué  un culte

Mettant  sur  piédestal,

Et non pute ou vassale !

Les, une, la, trois à la fois

Après tout,   pourquoi pas,

Qui l’interdira …  personne,

Mi femmes  et mi hommes !

Et ainsi l’on passe du général

A l’abstrait, et au plus concret,

.

En ce cas aimer   A       une femme

Bien particulière    I          et incarnée,

Avec qui l’on vit       M          s’est marié,

 Va incarner la ou        E            les en un tout

    Qui lui ressemble          R            les rassemblent.

  Autres les voient              *           comme diamants

   Profitent, chacun              L             de  leurs  facettes.

  D’autres les voient,            E              comme des perles

 Que l’on ne pourrait          S               jamais qu’enfiler

 Ou hommes sont pris      *              pour des dieux,

 Lors ce ne sont  que                diables hideux.

Ou, c’est un détail       A           qui comptera,

Ou bien silhouette   *           l’emportera

Ou réminiscence       des parents,

On se connait    N   en s’unissant.

E

Représentations femmes

Nous      * conditionnent

Nos         F  divers choix

Bien que    E     pourtant

D’aimer les   M    femmes,

Une femme,    M  la femme,

Sont des choix   E différents,

Et idem aimer les  !   hommes,

Un homme, voire   *  l’Homme,

Ou bien, d’Adam,    *  la pomme.  

.

Forme

.

.

Évocation

 

Une lampe à pétrole avec verre,

Qui éclaire a cinq mètres, alentour,

En créant clair/obscur atmosphère.

.

491 4

.

Bien des femmes demeurent un peu éteintes,

Sans aucun amour :

Il suffirait d’une étincelle d’amour pour que

Leur lampe s’allume.

 .

Symbolique  

 .

La lumière

Est le symbole

De la connaissance,

Tu   apprends  de  jour

En jour à mieux te connaître,

Tu évolues grâce à ces informations

Et ce savoir. Si la lampe est éteinte,

Tensions du moment en ta vie familiale,

Professionnelle, et lors, dans  ta  vie

De  couple, toutes ces  tensions  te

Fatiguent psychologiquement

Et  font  ressortir  de  la colère

Ou de la tristesse.

Rappelles-toi que tu ne peux

Pas changer ceux qui t’entourent,

Mais tu peux changer tes réactions.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles lampe

.

.

Fond

.

Évocation 

.

491 6

.

Bien des femmes demeurent un peu éteintes,

Sans aucun amour :

Il suffirait d’une étincelle d’amour pour que

Leur lampe s’allume.

 .

Symbolique 

 .

«Étincelle» et

Non « éteint celle» 

Affreux jeux de

 Mots en oxymoron

À la fois phoné

Tique, sémantique.

 .

L’étincelle amour n’est pas

Toujours    dans    le   regard,

Elle peut être  aussi  en l’odeur,

Dans la voix, l’écoute, la caresse,

Dans l’humour ou en une foule

De diverses combinaisons de

Manifestations d’amour.

 .

L’étincelle,  pour sûr,  met

Ou non, le feu aux poudres

Qui vont exploser émotions à

 Leur plus fort degré d’intensité

Deux cailloux suffiront, dans le

 Réel, deux cœurs dans le sensuel.

 .

.

Fond/forme 

 .

Étincelle est comme l’explosion d’émotions

En ce sens ressemble allumette allumant feu,

Qui, si bien alimenté, peut s’intensifier, durer,

Être libre ou contraint comme la versification

Sans, pour autant, se confondre avec le fond

Lampe, métaphore d’amour parmi d’autres

Qui se font face à face pour rendre compte.

.

On dit de certains que la moindre étincelle

D’amour les ferait, de suite, prendre feu !

On l’appelle en littérature : donjuanisme

Ou aimer «la femme» à travers toutes,

Et être incapable d’en conserver une 

.

 Textuels et illustrations  >> 

490 – Amour : envolée, chute, rideau

Textuels et illustrations >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Amour est envolée

Lors il est  démarré !

L’amour devient chute

Quand il est …. retombé !

.

Mais, après avoir tout donné,

Que peut-on d’amour, en retirer

Soi-même ou pour s’en protéger,

Ou en faire son deuil, des années.

.

Le rideau tombe  définitivement,

Quand l’acte sexuel  est terminé,

Ne reste que  parfum qui a viré,

Et qui laissera  son goût, amer !

.

Tant d’envolées  ont été narrées,

Tant chutes ont été… disséquées

Qu’il faudra  cent livres pour les

Coucher, voire, les comprendre.

.

Un  matin,  midi,   soir   ou  nuit,

Qu’importe le moment  et  l’heure,

Quand on crève plafond du bonheur

Il n’y a plus, ni lieu, ni chambre, ni lit !

.

Que reste-t-il à la femme qui a tout donné

L’amour n’est plus son fantasme consommé

Il lui reste la rage ou l’envie de recommencer !

.

À cheval l’un sur l’autre pour a une longue envolée

Qui des deux se retient le mieux de ne pas s’envoler,

S’envoler pour tomber  comme la pierre en … abîme,

De s’être trop brûlé les ailes,  de les avoir surchauffées.

.

Vient le moment où la chute perçue définitive, mortelle,

Amants passent autre côté du miroir inversé/spéculaire,

L’image de leurs natures échangeant un geste, plus clair,

Les aura fait transcender  condition humaine, corporelle.

.

À présent que représentation est finie le rideau est tombé,

Flotte dans leur pièce comme parfum d’ersatz d’éternité,

Comme si les yeux fermés, voyaient lumière dans le ciel,

Les oreilles entendaient chanter un grillon champêtre

Comme si enfant pouvant naitre souriait déjà d’être

Les cerveaux s’illuminaient en deux arbres Noël.

.

C’est vrai qu’il y aurait tant, à dire, raconter

Que dix livres ne suffisent à tout épuiser.

Quand on crève plafond du bonheur,

Demeure l’envie de recommencer

Rideau tombé pièce terminée :

Il reste le parfum éternité.

.

Extensions

.

L’amour est une envolée suivie d’une chute en rideau

Ou encore une montée progressive suivie d’un plateau,

Près d’un col avant une descente rapide vers état repos.

.

Un repos qui ne sera pas  un sommeil, mais, bien plutôt

Réveil de sa plénitude, sans stress, sans manque,  désir,

Comme en état zéro du corps, un état infini de l’esprit.

.

L’amour ne serait pas une drogue dure pour le sexe

Ou pour le corps mais plutôt une drogue douce

Pour son cœur ou pour son cerveau et qui

Se sont reliés sur les mêmes canaux.

.

L’amour n’avancerait jamais en ligne droite ni sur le plat :

À chaque tournant, carrefour, occasion,  celui-ci  s’envolera,

Si on ne le retient pas, n’est pas assez fort, pour vous recoller.

Il est adepte des montagnes russes comme des émotions fortes

Et parfois, quand vous les croyez tout en haut, il est tout en bas.

Dieu merci, il suffit qu’il en reste un peu … pour qu’il regrossisse,

Pour qu’il finissant par éclairer vos jours au lieu de les obscurcir !

.

Sachant que de nos jours,

Un couple sur deux, divorce

Pourquoi  prendre  tel  risque

De se marier,  y a qu’à pacser :

Ni vu ni connu le tour est joué.

C’est pas si simple, en réalité.

Y a toujours le prix à payer

Avec un enfant, assumé.

.

Tant que la lampe s’allume

Tout va bien, pour le mieux

Si elle vacille : cahin caha

Plus rien si elle s’éteint.

.

Parfois c’est plus subtil

Seule l’intensité diminue

Sans qu’on s’en aperçoive

On se retrouve en ombre.

.

Fragments

.

L’amour est envolée quand il est sexuel

Lors il fait partie des plaisirs essentiels,

Qu’on espère renouveler en vie actuelle,

À moins qu’on se contente du spirituel !

.

Parfois partenaires s’envolera au plafond,

Quand l’autre et fera tapis, sur le sol resté,

Le rideau n’est pas tombé, même pas levé :

À quoi ça servirait alors de toucher le fond.

.

Bon, le sexe est complexe et voire compliqué

 Ca parait simple pourtant mais faut pratiquer

N’étant sexologue, ne m’étend pas sur ce sujet,

Il est question de blocage, frigidité,  voire rejet.

.

C’est aussi, et avant tout, une histoire de couple :

Cela suppose rigidité d’un membre pour l’homme,

Et laisser-aller, abandon, souplesse pour la femme,

Pour autant les deux sont partie prenante à égalité.

.

 Il est bien loin, enfin je le crois, l’espère, en tous cas,

Où l’homme seul, avait un rôle actif et femme, passif,

La femme prend initiative plus souvent, de nos jours :

Envolée plus grande, chute moins forte, rideau différé.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Amour est envolée

Lors il est  démarré !

L’amour devient chute

Quand il est …. retombé !

Mais, après avoir tout donné,

Que peut-on d’amour, en retirer

Soi-même ou pour s’en protéger,

Ou en faire son deuil, des années.

Le rideau tombe  définitivement,

Quand l’acte sexuel  est terminé,

Ne reste que  parfum qui a viré,

Et qui laissera  son goût, amer !

Tant d’envolées  ont été narrées,

Tant chutes ont été… disséquées

Qu’il faudra  cent livres pour les

Coucher, voire, les comprendre.

.

Un  matin,  midi,   soir   ou  nuit,

Qu’importe le   A  moment et l’heure,

Quand on crève    M plafond du bonheur

Il n’y a plus, ni lieu,   O   ni chambre, ni lit !

Que reste-t-il à la femme U     qui a tout donné

L‘amour n’est plus son fan   R   tasme consommé

Il lui reste la rage ou l’envie    *   de recommencer !

À cheval l’un sur l’autre, pour a  E une longue envolée,

Qui des deux se retient le mieux   N  de ne pas s’envoler,

S‘envoler pour tomber comme la    V   pierre en … abîme,

De s’être trop brûlé les ailes, de les    O    avoir surchauffées.

Vient le moment où la chute, perçue   L   définitive, mortelle,

Amants passent autre côté du miroir    É     inversé/spéculaire,

L’image de leurs natures échangeant      E     un geste, plus clair,

Les aura fait transcender  condition        *    humaine, corporelle.

À présent que représentation est finie     C     le rideau est tombé,

Flotte dans leur pièce comme parfum     H       d’ersatz d’éternité,

Comme si, les yeux fermés, voyaient       U        lumière en le ciel,

Les oreilles entendaient chanter un      T       grillon champêtre

Comme si enfant pouvant naitre        E    souriait déjà d’être

Les cerveaux s’illuminaient en        *     deux arbres Noël.

C’est vrai qu’il y aurait tant,       R       à dire, raconter

Que dix livres ne suffisent       I        à tout épuiser.

Quand on crève plafond    D         du bonheur,

Demeure l’envie de     E     recommencer

Rideau tombé    A  pièce terminée :

Il reste le  U  parfum éternité.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Flacon avec son diffuseur

Voire une grenade  au gaz,

Ca peut être une ampoule,

Avec variateur d’intensité ?

.

490 4

.

Et ce  jusqu’à son maximum

D’un coup, baisse d’intensité

à  s’éteindre, complètement !

 .

Symbolique 

 .

Eu-re-ka !

Ampoule,

Symbole  idée

Jaillit  sans  qu’on

L’ait vraiment cherchée

Hasard heureux,   ou erreur

Fructueuse,   voire sérendipité !

Qu’il s’agisse    d’une lampe à huile,

À pétrole  ou  d’une lampe électrique,

Symbolise énergie que nous contrôlons

Celle que nous maîtrisons  plus en plus

En la bande dessinée le dessin animé,

L’apparition d’une idée est souvent

Représentée   par une lampe

À  incan-des-cence  qui

S’allume au-dessus

Personnage.

.

.

Fond

.

490 6

.

Plus ou moins d’intensité, plus haute ou plus basse

Qu’on tiendrait ici, à la main,

Et donc fragile et sensible à la moindre chute

Surtout dans l’obscurité totale.

  .

Symbolique 

 .

Les  tous  premiers  instants  d’une  rencontre,

Les premiers émois,  le sont avec intensité.

Ils sont importants pour la relation future,

Lors constituants marqueurs, pour jours

Plus communs d’une histoire construite

Pour  la relation  durable ultérieure.

L’amour tient  plutôt du choix

Maintenu   ou   renouvelé

 Que  de  l’intensité  du    

Com-men-ce-ment,

Bien qu’elle peut

 Se reproduire

Encore et

Même

Plusieurs fois

Relation amour  renouvelée.

 .

Fond/forme 

L’intensité d’une rencontre ne peut durer longtemps.

Autrement dit, si coup de foudre, il y a : il diminuera.

Comme le désir et plaisir se renouvellent sans cesse

Rien n’empêche de retrouver les mêmes intensités

Que celle des rencontres, ou des premières fois !

.

L’intensité acte sexuel est toujours éphémère

C’est une chute brutale après haut sommet

Mais bien vite on s’en remet  et on remet

Le couvert jusqu’à plus faim, plus soif. 

.

Textuels et illustrations >>

 

489 – Pas d’amour vrai sans preuves

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

 

Poème

.

La preuve de l’amour est parfois une épreuve

L’épreuve de l’amour, constituera ses preuves,

Des preuves, il y en a des milles … et des cents,

Certaines sont plus authentiques  que d’autres,

La confiance et  fidélité constituent l’essentiel,

Pas besoin  fleurs, ni même cadeaux, achetés.

S’il est vrai que le lit  constitue  une preuve :

Pas, forcément, amour vrai, qu’on abreuve.

.

Si, loin des yeux, loin du cœur, dit dicton,

Mais, parfois, c’est le contraire, en passion.

Lors la présence  n’est pas  gage amour fou,

Lors si une méfiance  s’instaure, et sur tout,

Arrive moment où la preuve ne suffit plus,

Matérielle, corporelle, voire, spirituelle.

L’amour s’en est allé vers grand ennui,

Qui ne vous quitte  plus, seul, en nuit.

.

Certains disent que l’amour n’existe pas,

Qu’il n’y a pas d’amour en soi… ni de soi !

Sensitifs, visuels, verbaux, tactiles … en fait

On n’en contrôle pas  la cause : que les effets.

Pour éprouver  un amour,  il faut des preuves,

Dont la littérature, journaux,  nous abreuvent.

Il n’est pas question d’intentions ni de réalités,

L’amour sera campé  du côté de la matérialité.

 .

Mais qu’est-ce qu’une preuve de notre amour :

Il y en a cent,   des milliers, diverses et variées.

Comme le bonheur, amour en nous se fait jour

Qu’avec manière  dont chacun  l’a expérimenté.

Loin des yeux, loin du cœur : preuve de l’oubli !

Au pied de la lettre, c’est présence permanente,

D’être aimé est la seule garantie qu’il  est établi

Amour, qui n’est pas pensé, n’est pas  entente.

.

Que faire de pensée comme preuve rémanente,

L’amour, l’amitié, ont besoin  d’être réassurées.

Les preuves d’amour  ne sont pas seule fidélité.

La confiance en est la seule preuve permanente.

Le doute s’installe  entre deux preuves, vécues :

Cadeau surprise  ou   bouquet fleurs, inattendu.

Preuve contraire s’insinue  à l’intérieur, poison,

Se distillant, faisant son œuvre jalousie passion.

.

Arrive un moment où preuves ne suffisent plus,

Matérielles, corporelles,  si  ce n’est, spirituelles.

Elles se détruisent, et le cœur ne les ressent plus,

L’amour en devient alors comme preuve irréelle.

Avec ou sans preuves, incarnées ou désincarnées,

Dans ce dernier cas, il existe, au-delà d’humains.

Il y a quelque chose  de religieux, sinon  de divin,

Qui nous échappe en nous en tous points  limités.

.

Extensions

.

Alors, c’est quoi une vraie preuve d’amour : faire un enfant ?

En cas de divorce ce n’est plus une preuve, c’est un combat !

Léguer tous ses biens  ou ne plus fréquenter parents, amis ?

Tout quitter, pour quelqu’un, est comme suicide d’amour !

.

La plus belle preuve d’amour,

Serait de mourir pour quelqu’un

Mais nous n’allons pas jusque-là :

Nous offrons des cailloux en chemin

.

En guise de cailloux, de beaux diamants

Sertis sur un anneau, une fortune coutant

Ça fait l’affaire du bijoutier plus qu’amants,

Lors on le jette à la figure du mari trompant.

.

 On a beau cadenasser amour, il s’évade souvent,

Quel que soit sa prison, sa beauté, on s’en lasse

À quoi sert d’enfermer dans son coffre, à clef,

Une perle sans âme, sans esprit, sans cœur !

.

Preuve d’amour est, de ne pas se défausser

Quand l’autre a vraiment besoin de vous.

Rien, en apparence, mais, à tel instant,

Pour qui compte sur vous, c’est tout.

.

Fragments

.

La plus grande preuve d’amour,

Est, jusqu’à preuve du contraire

De faire  et d’élever  des enfants,

Et même si cela ne suffirait pas,

À sauver le couple, tel lien  réel,

Inscrit l’amour dans une durée.

.

Certains la base sur la confiance

Pour peu qu’elle soit réciproque

D’autres sur l’argent et cadeaux,

Pour peu qu’ils n’en manqueront

Les derniers sur le sexe à tout va,

Comme un rite qui scelle union !

.

Mais pourquoi faut-il des preuves

Celle du serment mariage suffirait,

Normalement à en faire l’économie,

Amour n’est ni un droit ni un devoir

Devoir et fidélité sont anti libertaire :

Auraient-ils pour but : nous faire taire

.

Les enfants aussi ont besoin de preuves,

Attention quotidienne qu’on leur accorde

Que l’on porte sur eux pour confort avenir,

Du côté des parents, l’amour inconditionnel

Est probablement le seul du genre, pratiqué,

J’en ai pour preuve celui que j’ai pour miens !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

.

La preuve de l’amour est parfois une épreuve

L’épreuve de  Y  l’amour, constituera ses preuves,

Des preuves     *      il y en a des milles, et des cents,

Certaines sont   A    plus authentiques que d’autres,

La confiance et     *    fidélité constituent l’essentiel,

Pas besoin  fleurs,   P    ni même cadeaux, achetés.

S’il est vrai que le lit   A   constitue  une preuve :

Pas, forcément, amour S  vrai, qu’on abreuve.

*

Si, loin  D  des yeux, loin du cœur, dit dicton,

Mais parfois    ‘    c’est le contraire, en passion.

Lors la présence     A      n’est pas gage amour fou

Lors si une méfiance   M         s’instaure, et sur tout,

Arrive moment où la      O     preuve ne suffit plus,

Matérielle, corporelle       U       voire, spirituelle.

L’amour s’en est allé vers      R      grand ennui

Qui ne vous quitte  plus, seul,    S    en nuit.

*

Certains   V  disent que l’amour n’existe pas,

Qu’il n’y a pas      R    d’amour en soi… ni de soi !

Sensitifs, visuels,       A    verbaux, tactiles … en fait

On n’en contrôle pas       I     la cause : que les effets.

Pour éprouver un amour,      S        il faut des preuves,

Dont la littérature, journaux,    *     nous abreuvent.

Il n’est pas question d’intentions   S  ni de réalités,

L’amour sera campé du côté  A  de la matérialité.

N

Qu’est-ce    S  qu’une preuve de notre amour :

Il y en a cent,   des milliers, diverses et variées.

Comme le bonheur  V   amour en nous se fait jour

Qu’avec manière dont     R   chacun l’a expérimenté.

Loin des yeux, loin du cœur,   A        preuve de l’oubli,

Au pied de la lettre, c’est présence  I     permanente,

D’être aimé est la seule garantie qu’il  E   est établi

Amour, qui n’est pas pensé, n’est pas  S  entente.

*

Que faire P  de pensée comme preuve rémanente,

L’amour,   R   l’amitié, ont besoin d’être réassurées.

Les preuves     E    d’amour ne sont pas seule fidélité.

La confiance en     U     est la seule preuve permanente.

Le doute s’installe      V      entre deux preuves, vécues :

Cadeau surprise ou         E   bouquet fleur, inattendu.

Preuve contraire s’insinue  S    à l’intérieur, poison,

Se distillant, faisant son œuvre *  jalousie passion.

.

Arrive un moment   où preuves ne suffisent plus,

Matérielles, corporelles,        si ce n’est, spirituelles.

Elles se détruisent, et le cœur       ne les ressent plus,

L’amour en devient alors comme         preuve irréelle.

Avec ou sans preuves, incarnées ou        désincarnées,

Dans ce dernier cas, il existe au-delà        d’humains.

Il y a quelque chose de religieux, sinon      de divin,

Qui nous échappe en nous en tous points  limités.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Il y aurait…quelque chose

De matériel, de mécanique

 Dans l’amour et qui nécessite

Révision, contrat, preuve.

.

489 0

.

L’amour ne saurait être statique 

Il aurait  besoin  de mouvements:

Mécanique serait établie lorsque

La roue tournerait sur pas de vis !

Un engrenage qui s’imbrique, tourne, avance,

Constituera une preuve mécanique d’existence,

Il met en mouvement le mécanisme de l’amour.

 .

 Symbolique 

.

Symboles utilisés

Ingénierie    mécanique

Électrique, représentations

Stan-dar-disées

Dans les schémas

En vue d’indiquer certaines

 Informations   en   lien  avec

Fonctionnement et

Construction objet.

Lors, pour mieux visualiser

Objet   en    fonctionnement,

On ajoute symboles

À un schéma ad hoc.

Et  les symboles utilisés  sont

Standardisés  afin  d’assurer

Une communication

 Entre   différentes   personnes

 Impliquées dans la fabrication

Ou l’analyse d’un objet.

alloprof.qc.ca/fr/eleves/bv/sciences/les-schemas-

et-les-symboles-utilises-en-ingenierie

.

.

Fond

.

Évocation 

.

489 6

.

L’amour ne saurait être statique 

Il aurait besoin de mouvements :

La preuve serait établie  lorsque

Étant l’un pour l’autre, sans vice !

 .

Symbolique de fond

.

Si le couple va bien,

Les preuves d’amour

Peuvent être : sourire baiser,

Une parole dite  avec tendresse…

Suffit de parfois pas grand-chose

Pour se sentir pleinement

Et, sincèrement, aimé.

Elles peuvent, aussi,

Certaines occasions

Se  remanifester par

Un bouquet de  fleurs,

Un diner au restaurant,

Un bijou voire un voyage.

Cette réassurance permet

De réarmer un lien fort,

D’un amour, partagé,

D’union renouvelée.

Inspiration personnelle

 .

.

Fond/forme 

.

Les preuves sont, toujours, de nature, matérielles,

Du moins pour la justice : acte, objet, parole, écrit !

Pour ce qui est de l’amour, ce serait… plus délicat,

On pourra les accumuler sans vraiment convaincre

La meilleure preuve d’amour en plus d’un mariage

De concevoir, assumer, élever enfants en commun, 

Est tenir dans la durée, par évolutions, compromis

À négocier pour trouver, ou retrouver, une égalité,

Dans les rôles, dans les attentions, dans les projets.

.

La roue tourne, la vis sans fin tourne

Le tout sans à-coups comme bien roder

Rimant, et rythmant, comme un horloge

Or un grain de sable pourra tout bloquer,

Reposer l’interrogation  d’un amour vrai ?

On était côte à côte et on revient  face à face

De nouveau, avec regard droit dans les yeux,

Cherchant au fond d’eux une forme de preuve.

.

 Textuels et illustrations  >> 

488 – Amour d’humains, vieillissants

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ce n’est pas qu’ils soient restés beaux

Ou devenus peu à peu de plus en plus laids

Mais ils pensent  qu’ils ne sont  plus attirants,

Ni  même  devenus  de plus  en  plus  exigeants

Et, puis, l’amour, dit-on, n’aurait qu’un temps :

Il est peu à peu remplacé par sorte attachement

Tant repartir à zéro  demandera  tant d’énergie

Que le cœur n’y est plus, qu’il nous auto-suffit.

Chacun suit sa voie, son chemin, instinct.

Pour certains, sensuel  et d’autres, divin.

Vieillir n’est pas un problème, c’est bien.

.

L’amour n’a pas d’âge,

N’a que des lendemains !

Vieillissant on espère encore être

Amoureux de notre légitime conjoint

Qui devient beaucoup moins beau

Mais de plus en plus présent.

.

Pendant  longtemps, j’ai cru,

Que les femmes n’étaient pas

Amoureuses  d’hommes   qui

Ne sont pas beaux, ce à cause

D’un je ne saurais  trop quoi :

Leur physique voire leur aura !

.

Amoureuses elles leur  trouvaient

Des qualités et qu’ils n’avaient pas,

Cristallisées : elles  leurs suffisaient,

.

Pour qu’elles en fassent un grand cas

Et jusqu’à  aller  se marier  entre  eux,

Devenir  de  grands benêts … heureux,

L’amour, hélas, ne durera qu’un temps,

La vue se décille  au bout d’un moment.

.

Que de prétendues beautés s’affadissent,

Puis vers ennui, lentement, elles glissent,

Lors un autre prétendant par-là, passant,

L’entreprendront vite fait, en les chopant.

.

Des hommes et femmes, lors vieillissant,

Se rendraient de plus en  plus mollissant,

Mais il ne saurait  toutefois être question

D’abandonner son mari   pour un amant,

Dans les faits, et, à leur corps  défendant,

S’accommoderont de notables  situations.

.

À chacun de  bien s’y préparer et de bien

S’y adapter car il est impossible  de revivre

Une jeunesse  comme à trente quarante ans

En atteignant, soixante soixante-dix ans.

.

Extensions 

.

L’amour d’homme, femme, vieillissants,

Aura changé de forme plus que de nature.

S’aime-ton moins à soixante qu’à vingt ans :

On le montre moins, physiquement du moins,

Mais tout autant, et  voire plus, cordialement.

.

Les hommes attacheraient plus d’importance

Au physique, qui peut le nier, que  femmes !

Ce n’est pas tant qu’une question de sexe,

Mais, le plus souvent, de personnalité.

.

Il est vrai que leurs hormones ne les

Travaillent plus de la même façon

Et que si la femme supporte mal

Son manque de désir : l’homme

Supporte mal le manque d’érection.

.

L’amour n’a pas d’âge : cela,  tout le monde le sait et pourtant,

On l’attribue toujours aux jeunes et rarement aux vieillissants.

Il est certain que forme et intensité changent avec la maturité :

À croire qu’il s’agit d’une maladie de la jeunesse dont on guérit.

Mais si je guéris de l’amour ce sera

Pour être malade d’autre chose :

De l’argent, de la santé, l’ennui,

Ou bien pire encore, de la folie.

Alors à tout prendre si l’amour me garde sain de corps et d’esprit,

Pourquoi le troquer contre un médicament à prendre chaque jour.

.

L’amour n’est pas une question d’âge

Même si l’on qualifie la belle jeunesse,

De temps des amours avant d’enfanter.

.

Cette époque-là est révolue, âge d’aimer

C’est toujours et jusqu’au être centenaire

C’est juste formes et forme, qui changent

Mais le fond lui, demeurera inépuisable !

.

Il est touchant de voir un couple de vieux,

Se tenir la main,  s’embrasser,  s’étreindre,

Lors pour certains, comportement déplacé,

Et pourquoi ne pas dire, autant : inadapté !

.

Lors je serai bien vieille, le soir à la chandelle,

 Ronsard me célébrait du temps que j’étais belle.

Qui ne connait tel poème, en forme de ritournelle,

Et aujourd’hui à chaque âge, l’amour se renouvelle.

.

Fragments 

Avant, on parlait de la période,

Des amours, celle de l’adolescence

Dont elle était, par nature, l’essence,

Et puis aujourd’hui,  c’est toute la vie !

.

Au point qu’on dit qu’amour n’a pas d’âge

Il naitra dès qu’on entre en relation, fusion,

Il grandit, disparait, se transforme, il enrage,

Au dernier souffle, on dit, l’amour, remercions.

.

Deux jeunes amoureux s’embrassant sur un banc,

Évoquent amour passion, sont toujours touchants.

Les mêmes, ou d’autres, ayant passés soixante ans,

Paraitront à beaucoup, déplacés, décalés, gênants !

.

Pourtant il s’agit bien du même, où est le problème,

Il ne s’agit pas là, de situations anormales, extrêmes

En vieillissant les démonstrations d’amour changent

Mais pas leurs profondeurs : cela n’a rien d’étrange.

.

Je le comprends d’autant plus et mieux que je le vis

Et tous les jours, sans douter qu’un jour, il ne cesse

Il n’est plus le même qu’à vingt ans, je le confesse,

Mais reste tendre et bon, au point qu’il me ravit.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Ce n’est pas qu’ils soient restés beaux

Ou devenus peu à peu de plus en plus laids

Mais ils pensent  qu’ils ne sont  plus attirants,

Ou rendus    ô    de plus en plus    ô    exigeants

Et, puis, l’amour, dit // on, n’aurait qu’un temps :

Il est peu à peu rem  // placé par sorte attachement

Tant repartir à zé  // ro demandera tant d’énergie

Que le cœur n’y est plus,   qu’il nous auto-suffit !

Chacun suit  son  ==== son chemin, instinct.

Pour certains, sensuel, pour d’autres, divin.

Vieillir n’est pas un problème, c’est bien.

.

L’amour n’a  A   pas d’âge,

N’a que des   M   lendemains !

Vieillissant on  O   espère encore être

Amoureux de   U notre légitime conjoint

Qui devient  R  beaucoup moins beau

Mais de      S    plus en plus présent.

Pendant    *       longtemps, j’ai cru,

Que les    D    femmes n’étaient pas

Amou            reuses d’hommes qui

Ne sont    H    pas beaux, ce à cause

D’un je      O    ne saurais  trop quoi :

Leur phy     M    sique voire leur aura !

Amoureuses   M    elles leur  trouvaient

Des qualités et   E    qu’ils n’avaient pas,

Cristallisées : elles    *     leurs suffisaient,

.

Pour qu’elles en fassent   F   un grand cas

Et jusqu’à aller se marier     E     entre eux,

Devenir  de grands benêts    M     heureux !

L’amour, hélas, ne durera   M  qu’un temps,

La vue se décille au    E   bout d’un moment.

Que de prétendues   *     beautés s’affadissent,

Puis vers ennui      V   lentement, elles glissent

Lors autre pré        I     tendant par-là, passant,

L’entreprendront     E   vite fait, en les chopant.

Hommes et femmes      L             lors vieillissant,

Se rendraient de plus en      L       plus mollissant,

Mais il ne saurait toutefois       I        être question

D’abandonner son mari pour       S           un amant,

Dans les faits, et, à leur corps         S          défendant,

S’accommoderont de notables        A           situations.

À chacun de  bien s’y préparer        N              et de bien

S’y adapter car il est impossible      T                 de revivre

Une jeunesse  comme à trente         S              quarante ans

En atteignant, soixante à               *            soixante-dix ans.

.

Forme

.

.

Évocation

Un personnage de Lego,

Ou un pion sur un échiquier

 Pourquoi pas vieillard hésitant 

Quant à marcher avec sa canne ?

.

488 4

.

L’amour aurait-il un age, on se pose la question :

Sur le fond, certes non, mais bien plus sur la forme

Il ne se tiendra plus droit quand le corps fléchira !

 Homme, se tenant debout et marchant,

À l’aide d’une canne,   

Serait bien chancelant : s’il la lâchait,

Et l’amour… de même !

 .

 Symbolique

 .

Les cannes

Merveilleux objets.

Des objets, étonnants,

Pleins de surprises

De mystères,

Des objets

Familiers qui, tous,

Véhiculent histoire de

Quelqu’un quelqu’une

Ce sont, en définitive,

Objets sentimentaux,

Qu’il faut regarder

 Avec subjectivité.

Quarante ans,     après-guerre,

Les cannes sédu       isent à nouveau

Leur séduction est        autre que  l’utilité

Les amateurs objets,        les collectionneurs,

Les amoureux de souve          nirs qui, dorénavant,

Retrouvent du charme à           cet objet un peu désuet.

Modifié, source : lacannede grandpere.unblog

.

.

Fond

.

Évocation 

.

488 6

.

Un couple de vieillards qui se penchent ensemble

Et qui se soutiennent l’un à l’autre

Un pur stéréotype de notre destin en vieillissant

Qui n’a pourtant rien de fatal

 .

 Symbolique 

Vieillesse

Répond à injonc

Tions sociales et

Médiatiques.

 

Les efforts visent      davantage

À prévenir les alté    rations de l’âge

Par un mode de vie   sain qu’à soigner

Des altérations une     fois  apparentes

Et pour le moment     peu réversibles.

 

Sciences soci        ales et humaines

S’intéressent         à la dimension

Culturelle              vieillissement,

Représen        tations,  discours

   Sur les per       son      nes âgées,

      Aux ques        tions      d’âgismes,

              De technolo     gies et de sexualité :

                    La vieillesse,      construction sociale.

Wikipédia : vieillesse

.

Fond/forme 

Qui dit porter une canne dit vieux

L’usage a diminué, et voire, disparu,

Sauf comme objet souvenir, collection

Tant les vieux, d’autrefois, ne sont plus

Ceux d’aujourd’hui, alertes, mis à part

Ceux qui se déplacent, déambulateur,

C’est le sexe qui en a besoin, parfois.

.

L’amour s’applique aux formes humaines, soit

Mais n’implique pas de stabilité dans la durée

N’est pas canne de vieillesse sans tendresse,

Si celle-ci tombe et l’amour tombera avec :

Libre  ou contraint : à chacun  de voir !

.

Textuels et illustrations   >> 

487 – Amour : différence avec, sans

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Pour  certains, il y a  peu, et voire  pas, de  différences

L’amour resterait un supplément ou une apparence,

Qui affecterait la raison avec les prises de décision

Il ne tiendrait pas plus de trois ans, lors passion.

.

Pour d’autres, il est le cœur, la raison, de vivre :

Sans lui, ils ne pourraient, voudraient survivre.

Amour est la première  de leur valeur humaine

Qu’ils transmettent à la naissance, aux enfants.

.

Un lot de prédilection, quand on a trouvé le bel,

Lot de consolation, lors, en autre,  se renouvelle.

Parfois, faut avoir été sans, pour apprécier avec,

Un manque qui ne se comble totalement, jamais.

.

Ceux vivant sans, le trouvent, désirant, infantile,

Ceux vivant avec, le trouvent magique, idyllique,

Ceux en changeant souvent le trouvent versatile.

.

Les  personnes,   qui  n’ont  jamais   rencontré

L’amour,

Ne sont  pas tous  célibataires,   ont un enfant,

Autour.

Il  leur  arrive,  de chercher,  d’espérer, encore,

Toujours

Sinon  d’abandonner  à d’autres, cette maladie

De cour.

 .

D’autres, ne  l’ont rencontré, qu’une  seule  fois,

Par hasard,

Foudroyés, ils ne s’en sont  jamais remis depuis,

Trop tard,

Lors se contentent du second lot de consolation,

Bâtard,

Vivant en souvenirs ou projections, d’un meilleur

Avatar.

 .

Les derniers passeront volontiers de l’un à l’autre,

Écorchés,

Leur passion, consommée, et consumée, retombe,

Oubliées.

Angoissés, ils ont peur d’être dominés ou délaissés,

Prisonniers.

Leur plein crée leur vide et leur vide fait leur plein !

Il arrive, miracle, de rencontrer, et réciproquement,

L’amour,

De le reconstruire au fur et à mesure, et le conserver

Des jours,

Quand ce n’est pas des mois, années … sans compter

Toujours.

.

Extensions

.

Ceux vivant « sans », le trouvent désirant,

Encombrant, infantile.

Ceux vivant « avec », le trouvent magique,

Bénéfique et  idyllique.

Ceux qui en changeront, souvent, le trouvent

Éprouvant, ou  versatile.

Enfin, ceux vivants, plus d’un, simultanément,

De nature plus partageuse

Cherchent, en quelque sorte, un équilibre délicat

Entre le sexe et la tendresse

Et si possible, sans conflits majeurs ni sans heurts.

Différence avec amour et sans

Est perceptible de suite quand on aborde un couple

Pour la première fois : l’on sent

S’ils sont en accord et complices, se font confiance

Ou sont simplement côte à côte

Et en perpétuel chamaillement, tant, sans amour,

En principe, un couple de dure

Pas longtemps mais il y a parfois des tolérances

Ou des compensations faisant

Ils durent encore, à se demander comment.

.

L’amour est une épreuve à subir et un  plaisir à découvrir

Les blessures qu’il produit ne sont pas physiques, visibles,

Et doutes, qu’il enchaîne, ne sont jamais tout à fait levés !

Là comme ailleurs, il y a nombre de personnes résilientes,

D’autres pas, tournant en rond, en dépression, sur l’échec

S’il est vrai que « sans », on s’en démunit, d’un tel danger

«Avec» c’est l’aventure et, peut-être, au bout, le bonheur !

.

Ce n’est pas tant l’amour qui pose problème,

Que le choix du conjoint puis son engagement

Tout comme ce n’est pas se tromper de femme

Mais tromper la sienne, et lui jurant fidélité.

.

Voilà qui est dit : il y aura ceux, celles qui

Ne voudront pas se marier, ou se pacser ;

Qui pensent amour ne dure qu’un temps

Qu’après on pourra très bien faire sans.

.

Il y a des amours de jeunesse, ratés :

L’âme sœur était la seule rencontrée

Et après inutile d’y penser, espérer,

La porte est close à ne pas entrer !

.

Pour les derniers, veufs, veuves,

Même si avec, c’était pas terrible

Au bout d’un temps, sans, horrible,

Tout amour gardera le goût du neuf.

.

Fragments 

.

Mieux vaut avec que sans,

On peut vivre  sans argent,

On se morfond  sans amour,

On y goute un jour, toujours.

.

Avec l’amour, l’on se baigne

Dans un océan de tendresse,

Sans l’amour, l’on déambule

Sur une grande mer de sable.

.

Avec l’amour, respire l’air pur,

Et qui, pour tout, nous rassure,

Sans l’amour …  rien ne va plus,

On arrive pas à prendre le dessus

.

Avec l’amour, on sourit, même rit

Sans être euphorique, on positive,

Sans l’amour, gare à la dépression,

La haine, la violence, voire suicide !

.

Avec l’amour, l’on devient irradiant,

Notre enthousiasme, communiquant

Sans l’amour, l’on dépérit,  l’on survit,

On ne se donnerait pas de sens à sa vie

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Pour  certains, il y a  peu, et voire  pas, de  différences

L’amour resterait un supplément ou une apparence,

Qui affecterait la raison avec les prises de décision

Il ne tiendrait pas plus de trois ans, lors passion.

Pour d’autres, il est le cœur, la raison, de vivre :

Sans lui, ils ne pourraient, voudraient survivre.

Amour est la première  de leur valeur humaine

Qu’ils transmettent à la naissance, aux enfants.

Un lot de prédilection, quand on a trouvé le bel,

Lot de consolation, lors, en autre,  se renouvelle.

Parfois, faut avoir été sans, pour apprécier avec,

Un manque qui ne se comble totalement, jamais.

Ceux vivant sans, le trouvent, désirant, infantile,

Ceux vivant avec, le trouvent magique, idyllique,

Ceux en changeant souvent le trouvent versatile.

L’AMOUR :

Les  personnes,   qui  n’ont  jamais   rencontré

L’amour,

Ne sont  pas tous  célibataires,   ont un enfant,

Autour.

Il  leur  arrive,  de chercher,  d’espérer, encore,

Toujours

Sinon  d’abandonner  à d’autres, cette maladie

De cour.

DIFFÉRENCE

D’autres, ne  l’ont rencontré, qu’une  seule  fois,

Par hasard,

Foudroyés, ils ne s’en sont  jamais remis depuis,

Trop tard,

Lors se contentent du second lot de consolation,

Bâtard,

Vivant en souvenirs ou projections, d’un meilleur

Avatar.

AVEC ET SANS 

Les derniers passeront volontiers de l’un à l’autre,

Écorchés,

Leur passion, consommée, et consumée, retombe,

Oubliées.

Angoissés, ils ont peur d’être dominés ou délaissés,

Prisonniers.

Leur plein crée leur vide et leur vide fait leur plein !

Il arrive, miracle, de rencontrer, et réciproquement,

L’amour,

De le reconstruire au fur et à mesure, et le conserver

Des jours,

Quand ce n’est pas des mois, années … sans compter

Toujours.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Un ressort d’un matelas de lit,

Ou une vis de pressoir à cidre,

Un peigne cheveux de femme

Ou un tube à éprouvette ?

.

487 4

.

Toute  éprouvette, remplie,

 Jusqu’à la moitié, d’un liquide,

Sera différente de vide, pleine,

 Sans parler de sa … couleur !

L’amour n’aurait jamais fait l’objet de tests

On ne peut l’enfermer dans un tube à essai :

Il est de l’ordre du qualitatif, pas quantitatif.

  .

Symbolique 

Des moments à ne jamais oublier :

Moments courts éphémères essentiels,

Dont nous voulons en capturer essences

En une grande éprouvette de l’amour.

 

Un sourire, une  étincelle dans les yeux.

Un geste tendre et des plus inattendus.

Voire la naissance  d’une bonne idée,

Une volonté qui force l’admiration.

 

Ce ne sont que traces…éphémères

Mais où se croisent et créativité

Et l’intelligence  collective, qui

Font passer du vide au plein

Plutôt … que  … de rester

 Entre  …   les  …  deux !

.

.

Fond

.

Évocation

.

487 6

.

La couleur et la texture ont de l’importance

Dans chaque éprouvette

Et surtout en fonction des différents réactifs

Pour les révéler, modifier.

 . 

Symbolique 

 .

Blanc, bleu, brun,

Gris,      jaune,        noir,

Orange, rouge, vert, violet.

 

Le   premier    caractère du

Symbolisme des couleurs

Est      son   universalité.

 

Sept couleurs arc-en-ciel

Ont été en correspondance

Avec les sept notes de musiques,

Cieux, planètes, jours de la semaine.

 .

.

Fond/forme 

 .

Amour est une expérience naturelle

Qui n’a rien à voir avec éprouvette :

On ’éprouve certes mais des sentiments

Qui riment  avec conscience, non science

Science amoureuse ressemble à oxymore

Tant ce face à face nous parait contraire,

Et tant mieux, profitons de sa subjectivité

L’amour ne  serait  jamais  reproductible

Dans un laboratoire, que sur le terrain.

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486 – L’amour serait valeur à part

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

L’amour serait perçu,

Comme belle valeur :

Un bonheur qui n’est

Pas coté … en Bourse

Une valeur, qui ne se

Vend, ni  ne s’achète

Mais se renouvelle et

Qui coule,  de source.

.

Argent, sport, culture

Art : en quoi, l’Amour

Est-il si différent, et si

Engageant, et si vivant

Qu’on ne peut se passer,

Si ce n’est  tous  les jours,

Pour son temps  sur Terre,

Bien  qu’animaux,  pourtant.

.

L’amour, instable, renégociable,

Nous séduit, transforme, construit

Mais, combien de fois, nous réduit,

À être prisonnier d’autres, en diable.

.

L’argent nous possède, nous enrichit,

Et, bien  qu’il  reste d’infinie richesse,

Aide les gens  autant qu’il les démunit,

Si gagné est noblesse ; si volé, bassesse.

.

Le sport nourrit   et   entretient son corps,

Renforce  sa  santé, et, physique  et mentale

Car si l’on  grossit, c’est   que  l’on  se sent mal

Renoncer  et,    pour    toujours,   on  l’édulcore.

.

La culture augmente  notre  ouverture  d’esprit,

Et savoirs, somme  de connaissances pratiques

Si lecture  est non maitrisée : point critique,

Pour vivre  en une société de  biens  appris.

.

Et en quoi  amour serait-il valeur  à part,

Un mystère que chimie n’a pas élucidé,

Phéromones ont pour effet d’attirer

Sans jurer amour, fait de fidélité.

.

L’argent,  le  sport ou la culture,

En quoi  l’amour  est  différent,

Il séduit  et   aussi nous réduit.

Le sport  conserve  notre  corps,

La culture  ouvrirait notre esprit,

Sauf si l’argent possède notre âme.

.

Extensions

.

Il nous renverse et nous disperse,

Il nous coûte, ou nous rapporte,

Mais surtout, il nous construit

Tout autant qu’il nous détruit.

Le sport entretient notre corps,

La culture ouvrirait notre esprit,

L’argent seul possèdera notre âme.

Amour rend les gens irremplaçables,

Mais il ne les rend pas indispensables !

.

L’amour est une valeur à part tant qu’il est gratuit, valeur d’échange

Entre deux être, non deux comptes, deux bourses, deux portefeuilles

Il se donne, il est transmet, il se scelle, il se conforte et il réconforte

Peut-on s’en passer : sans dommage, sans manque, sans bonheur.

Oui par la force des choses (orphelin)  ou par antisocial (crétin)

C’est une valeur à part parce que non marchande mais aussi

Parce qu’on ne peut : la définir, la tenir, la fixer, l’assurer,

Une valeur où l’on gagne quelque chose en la donnant,

Une chose nous satisfaisant, donnant sens à sa vie !

.

Amour, enfant, amitié

Ou amitié, enfant, amour

Ou enfant, amour, amitié :

Quel que sera  l’ordre choisi,

Les trois finissent par arriver.

.

Différence entre amitiés, amours,

Des amis, on en a tant qu’on veut,

Des amours aussi dit-on à la pelle,

Mais l’un après l’autre, pour trier.

.

Enfants,  après trois : compliqué !

On peut en avoir à soi ou adoptés

Des demi-frères, des demi-sœurs

.

L’amour reste une valeur à part,

Et que l’on s’y attachera ou non

.

Ça ne changera rien en bourse.

.

Fragments

.

Tout comme le vin reste un breuvage à part

Par les goûts,  les imaginaires, qu’il répand,

L’amour serait comme les vins, vieillissants,

Plus on a d’exigence, plus on le choisit tard.

.

L’amour du vin entraine le vin de l’amour :

Si ce n’est l’inverse,  j’en ai connu nombre

Aimant mieux leur vin que… leur conjoint,

Au moins le vin ne les aura déçus, trompés.

.

Dans des films, séries télévisées : merveille,

La rencontre amoureuse  est accompagnée,

De verres de vin  d’une excellente bouteille,

Le vin, s’il ne crée l’amour, sert à le sceller !

.

Le vin a les mêmes qualificatifs qu’amour :

On parle de nez, de robe, de charnu, de sec,

Évoquant qu’il a de la charpente, souplesse

Cette comparaison y ajoute de la tendresse

.

L’amour comme valeur à part, c’est certain,

Il n’est pas marchandé, pas côté en bourse :

Il n’est plus de l’amour dès lors on débourse,

Bien que jour sans amour, comme sans pain.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

L’amour serait perçu,

Comme belle valeur :

Un bonheur qui n’est

Pas coté … en Bourse

Une valeur, qui ne se

Vend, ni  ne s’achète

Mais se renouvelle et

Qui coule,  de source.

Argent, sport, culture

Art : en quoi, l’Amour

Est-il si différent, et si

Engageant, et si vivant

Qu’on ne peut se passer,

Si ce n’est  tous  les jours,

Pour son temps  sur Terre,

Bien  qu’animaux,  pourtant.

L’amour, instable, renégociable,

Nous séduit, transforme, construit

Mais,  combien de fois,  nous réduit,

À être   prisonnier, d’autres, en diable.

Argent     *    nous possède et   *   enrichit

Et, bien   *    qu’il  soit d’infinie   *   richesse,

Aide les   L    gens autant qu’il les    U  démunit,

Si gagné   ‘    est noblesse, et, si volé    N   bassesse.

Le sport    A      nourrit   et   entretient      E   son corps,

Renforce   M       sa    santé,  et,  physique       *  et mentale

Car si l’on   O       grossit,   c’est    que   l’on        V se sent mal

Renoncer   U        et,    pour    toujours,   on         A  l’édulcore

La culture  R          augmente  son  ouverture        L    d’esprit,

Et savoirs   *          somme  de connaissances       E pratiques

Si lecture    *         est non maitrisée : point        U  critique,

Pour vivre   R         en une société de  biens       R    appris.

Et en quoi   E         amour serait-il valeur       *     à part,

Un mystère  S        que chimie  n’a  pas       *    élucidé,

Phéromones T        auront pour effet       A   d’attirer,

Sans jurer    E       d’amour   fait         * de fidélité.

L’argent,     R       le  sport    ou      P  la culture,

En quoi       A       amour est      A    différent,

Il séduit     I      et   aussi    R nous réduit.

Le sport    T    conserve  T notre  corps,

Culture    *    ouvrira *  notre esprit,

Sauf si l’argent possède notre âme !

.

Forme

.

.

Dans des bouteilles hermétiques

Comme le vin, et pour le protéger,

L’amour se gardera à température

Craignant trop d’écart de chaleur.

.

486 4

.

Bouteille peu habituelle, non standard

Pour conserver des vins italiens

Bien entourée par robe de paille  tressée

Pour protéger de trop de chaleur

 .

Symbolique 

 .

Silhouette

Bouteille

Se    rappro

Cherait   d’une

Silhouette humaine,

Serait  plutôt  féminine.

Plus qu’un choix, féminité

Bouteille vient  de sa forme

Pour part, utilité autre part.

Elle est un contenant,  utilisé

Pour  conserver  un  liquide,

De l’eau ou vin qui arrivera

Petit à petit, à  maturité ;

Symbolise  le contenant

De  notre esprit, notre

Substance intérieure,

Féminine de notre

Personnalité.

signification-reves/Bouteille

.

.

Fond

.

Évocation

.

486 6

.

Symbolique de fond

 .

Si le vin a eu de tout temps

Des vertus antalgiques, euphorisantes,

Aphrodisiaques, réconfortantes,

Anxiolytiques, ou, encore, désinhibitrices,

Reste qu’il demeure, dans la mémoire

De l’humanité, l’élixir qui s’est le plus prêté,

Aux jeux de l’amour : en petite quantité,

Le vin fluidifierait la membrane des cellules,

Lors facilite les échanges et la libération

Des messagers chimiques d’amour.

 femivin.com/vin-et-amour

.

.

Fond/forme

L’amour du vin et le vin de l’amour

Riment-ils ensemble ou …  le contraire

Semblant, tous deux, libres comme l’air,

Tout comme poésie du vin et vin de poésie

Mais, on filerait  cette métaphore, en vain,

Les mettant face à face comme étant divins

Le fond de l’amour n’est pas le fond du vin

À moins de boire les deux, jusqu’à la lie,

Et de s’en dégouter à jamais, contrit.

.

Le vin, à une dose normale, réjouit

Et cela tant le corps  que l’esprit ;

Une fois  dépassée,  nous détruit,

Lors plus rien  ne nous réussit !

Le vin de l’amour ne craint pas

L’ivresse, il est une  promesse,

De jours meilleurs  alors que

L’amour du vin est chagrin

S’il remplace … l’humain !

.

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485 – Qu’importe flacon pourvu ivresse !

 Textuels et illustrations   >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

 L’ivresse peut provenir de différents flacons

Même si, l’un, plus beau, que d’autres, attire

Ou au premier regard parait plus prometteur

Il n’est pas dit  qu’un autre, ne soit meilleur.

Quelques défauts, ici, et là, ne nuisent pas,

À consommation d’un breuvage  douceur

Qui nous mène, directement, aux cieux,

Bien qu’en, premier lieu : pas joyeux !

Qu’importe, le flacon, voire sa façon,

L’essentiel sera ce qu’on en retire,

En termes de… profonds soupirs

Qui nous laisseront moribonds.

Ce flacon-ci voire ce flacon-là,

C’est lors, en le consommant,

Que viendra l’ivresse ou non

Qui me décidera à y revenir,

Sinon apparence fait mentir.

 .

Qu’importe l’ivresse

Pourvu qu’on ait le flacon !

Mais duquel est-il, ici, question :

N’importe quel avaloir  où l’on laisse

Son spleen se répandre au  plus profond,

Ou bien,  la vue d’une forme,  plus altesse,

Qui remplira nos yeux d’une forte émotion,

Car la vraie beauté est une vraie délicatesse,

Fait tourner la tête, et  le regard, tout rond,

Au point qu’on la  revoit, en princesse.

 .

Ivresse du flacon, flacon d’ivresse,

Il y en a deux, dix et cent façons

Pour sentir, en  soi, leur caresse,

Pour souscrire  à leur abandon

Lors j’ai le cœur en détresse,

Manque l’image  ou le son,

Bouteille, saute  bouchon,

Qui donne à  mon vers :

Profondeur  livresque.

 .

Qu’importe  le  flacon,

Pourvu qu’on  ait l’ivresse !

Mais de laquelle est-il question

De celle donnant  liesse, bourdon,

De celle qui se résume à paire de fesses

Car le plus souvent, ce dicton fait allusion

Au vin et à l’alcool ou au sexe, ses prouesses,

Ils sont ce qui fait de nous des dieux ou cochons

Tout en évoquant bon parfum d’une beauté, déesse,

Aux seins bien ronds, aux creux des reins, en flacons.

 .

Qu’importe le flacon, qu’importe le  breuvage, l’ivresse,

Le flacon, c’est le corps, quand  le breuvage, est l’esprit,

Lors l’ivresse, chacun le sait bien que c’est une émotion

Lors j’ai le cœur en détresse il me   manque image et son

D’une bouteille, qui me ferait l’effet d’un saute-bouchon.

.

 Ou : peu importe l’édition pourvu qu’on soit livresque !

.

Extensions

.

Qu’importe le flacon, chacun a sa façon

De trouver qu’il est beau, de se déclarer

Qu’il est bon ou génial, bien qu’abscons !

.

Cette métaphore, si appliquée à la femme,

Pèche par son côté violent d’obscurantisme

Ou méconnaissance  tant on y trouve autant

Ce qu’on y apporte que ce qu’on consomme.

.

Voilà  la vérité, tant au fond, ce n’est plus

Ce que je vois, qui compte, c’est ce que

J’entrevois, si ce n’est, y projette !

.

Peu importe… pourvu que… une formule qui va droit au but :

Qui va à l’essentiel, qu’il s’agisse de vin, de parfum ou de pute

Qu’il s’adresse aux pieds, au coccyx, au ventre ou à l’occiput,

Quelque chose apportant beaucoup de plaisir qui ne rebute

Comme ce  flacon apparaissant en face à face, entre sexes.

Le plus souvent, quand on parle d’ivresse, s’agit d’alcool,

Ou de substances, de drogues, de musiques délirantes.

.

Ah le beau flacon dit-on d’une femme désirée

Avant même de l’avoir bien consommé ;

Ah la belle ivresse, dirait-on, comblé,

Par belle illusion d’avoir été aimé.

.

Attention : il y a cruche et flacon,

Comme il y a sensation, émotion,

Corps et sexe peuvent se dire ravis

Tandis que cœur et esprit : contrits.

.

Et puis de toute façon si tous les flacons

Sont interchangeables, leur parfum, lui, non

Un flacon qui vous parait commun, voire jetable

Peut receler un parfum subtil, attachant, durable.

.

Fragments

.

Peu importe le flacon,

Il faut le dire très vite,

La forme influe le fond

Je ne dis pas contraire

En éclats  d’existences 

Et même que la forme,

Équivaut bien au fond.

.

Ivresse, parfois, livresque

Lors on en jouit ou presque,

À ce point de ne pas s’arrêter,

Avant voir suspense se dénouer

L’on est en droit de se demander

Si les supports papiers  ou écrans,

Ne change rien à l’ivresse de lecture.

.

En matière de flacon, il y a les matières,

Les corps d’abord mais aussi, vêtements,

Une robe peut être considérée comme tel,

Pour peu qu’elle embellirait toutes formes,

Flacon en forme de robe si ce n’est inverse

Moi je préférerais robe en forme de flacon

Surtout lorsque je serai en état d’ivresse !

.

Des flacons, il y en a des cents, des milles

Et des formes humaines, jeunes et jolies

Pas plus d’une centaine, une fois à nu :

Idée même anthropomorphiser flacon,

Est d’établir un espace de projections

Pour mieux favoriser  sa possession,

Créer un lien dépendance affection.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme 

.

 L’ivresse peut provenir de différents flacons

Même si, l’un, plus beau, que d’autres, attire

Ou au premier regard parait plus prometteur

Il n’est pas dit  qu’un autre, ne soit meilleur.

Quelques défauts, ici, et là, ne nuisent pas,

À consommation d’un breuvage  douceur

Qui nous mène, directement, aux cieux,

Bien qu’en, premier lieu : pas joyeux !

Qu’importe, le flacon, voire sa façon,

L’essentiel sera ce qu’on en retire,

En termes de… profonds soupirs

Qui nous laisseront moribonds.

Ce flacon-ci voire ce flacon-là,

C’est lors, en le consommant,

Que viendra l’ivresse ou non

Qui me décidera à y revenir,

Sinon apparence fait mentir.

QU’IMPORTE

Qu’importe                    l’ivresse

Pourvu qu’on             ait le flacon !

Mais duquel est-il,        ici, question :

N’importe quel avaloir     où l’on laisse

Son spleen se répandre au  plus profond,

Ou bien,  la vue d’une forme,  plus altesse,

Qui remplira nos yeux d’une forte émotion,

Car la vraie beauté est une vraie délicatesse,

Fait tourner la tête, et     le regard, tout rond,

Au point qu’on la ¤¤¤¤¤¤ revoit, en princesse.

LE FLACON

Ivresse du flacon,  ¤¤¤¤¤¤¤¤  flacon d’ivresse,

Il y en a deux, ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  dix et cent façons

Pour sentir, en  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  soi, leur caresse,

Pour souscrire  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ à leur abandon

Lors j’ai le cœur ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  en détresse,

Manque l’image  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  ou le son,

Bouteille, saute  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  bouchon,

Qui donne à  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ mon vers :

Profondeur  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  livresque.

POURVU

Qu’importe  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  le  flacon,

Pourvu qu’on  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ ait l’ivresse !

Mais de laquelle ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤   est-il question

De celle donnant  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  liesse, bourdon,

De celle qui se résume ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  à paire de fesses

Car le plus souvent, ce ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤dicton fait allusion

Au vin et à l’alcool ou au ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  sexe, ses prouesses,

Ils sont ce qui fait de nous ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ des dieux ou cochons

Tout en évoquant bon parfum ¤¤¤¤¤¤¤¤ d’une beauté, déesse,

Aux seins bien ronds, aux creux ¤¤¤¤¤¤¤¤ des reins, en flacons.

L’IVRESSE !

Qu’importe le flacon, qu’importe ¤¤¤¤¤¤¤¤¤ le  breuvage, l’ivresse,

Le flacon, c’est le corps, quand  le ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ breuvage, est l’esprit,

Lors l’ivresse, chacun le sait bien ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ que c’est une émotion

Lors j’ai le cœur en détresse il me   ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤  manque image et son

D’une bouteille, qui me ferait l’effet ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤d’un saute-bouchon.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Pour  un  flacon,

C’est un  beau flacon :

On dira presque une robe 

Quelle femme en a l’ivresse !

.

485 4

.

L’on a peine à croire qu’il s’agit

Bien d’un  flacon  de parfum :

L’ivresse arrivera à confondre

 Un flacon avec une telle robe !

 .

Symbolique    

 .

Le flacon importe

Autant qu’ivresse :

Lors chaque année,

 Pour  grandes fêtes,

Parfumeurs éditent,

 Lors en petit nombre

Flacons d’exception,

 

 Et  ils se collectionnent

Se    contemplent   comme

De      vraies    œuvres d’art !

 

C’est Lalique, dans les années 1920,

Qui a lancé la mode du «contenant».

 

Jusqu’alors, les parfums étaient vendus

«En  vrac»,  dans  des fioles  d’apothicaire.

 

On transvasait ensuite les précieux liquides

Dans des flacons plus élégants.

Modifié, source : marianne.net

.

.

Fond

.

Évocation 

.

485 6

.

Ivresse alcoolique ou bien amoureuse

Quand ce n’est pas les deux

Sans trop savoir lequel domine l’autre

Ou simplement le magnifie.

 .

Symbolique

.

Pourvu qu’on        ait l’ivresse !

Tour à tour crain        te et recherchée,

Symbole de célébra       tion et déchéance,

  L’ébriété  porte  bien        des    ambivalences

Si, peu de  personnes         osent la défendre

Elle accompagne pour      tant    l’humanité

Et ce, depuis ses tous        premiers   pas.

 

Synonyme de désor       dre, l’ivresse

A   aussi  fait   l’objet       de  tentatives

D’encadrement à tra      vers les âges:

Elle est  redoutée  de       puis  toujours,

Lorsque ce sont aut       res étant ivres.

letemps.ch/culture/une-hygiene

-lalcoolique-selon-charles-bukowski

 .

.

Fond/forme 

.

Si le flacon serait le corps, la forme

Et, si l’ivresse serait l’esprit, le fond,

Alors les deux seront en conjonction

Mais il existe de très beaux flacons

Dont le fond ne mérite attention,

Ne provoquant aucune passion,

Rien d’autre qu’une déception !

.

Du flacon à la robe à la femme, il y a de l’air

Les deux premiers ne sont qu’amours d’objet

Tandis que la dernière  rimerait avec sujet.

La différence est des plus extraordinaires

D’autant qu’ivresse d’une autre nature

Et ne peut  se confondre avec le fond,

Et lors le face à face, flacon ivresse

Ne sera autre qu’une métaphore

Mal choisie pour être humain.

 .

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484 – Beauté intérieure n’est pas cliché

 Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Si beauté intérieure reste cachée,

Comment faire  pour l’entrevoir,

Comment faire  pour la décrire,

Comment faire  pour la capter.

Il n’y a pas d’appareils  photos

Et pas d’instantané  de cliché

Qui puisse en rendre compte

Et qui, à chacun la raconte.

.

C’est un pur  reflet  miroir,

Seul celui qui y croit  verra

Seul celui qui voit partagera.

Pur  diamant brillant e  le noir

Beauté intérieure ne se force pas

Reste au-delà du spectre du visible,

Reste hors du domaine    du sensible

Sous votre nez, elle ne  se ver ra pas.

.

Une beauté intérieure,

N’a rien  d’instantané :

Non flashée par voyeur,

Échappe tous les clichés.

Faut-il encore la chercher

Multipliant les  rencontres,

Avant, au hasard,  de tomber,

En cœur à cœur ou tout contre.

Lors la forme occulte tout fond,

Elle trouble sa vision extérieure.

Dès lors, en explorer le tréfonds

 Ne pourra la rendre supérieure.

.

Faut-il donc se l’imaginer,

Pour croire en ses valeurs,

Faut-il encore la projeter,

Pour croire en sa blancheur.

Non : il ne s’agit que de lumière,

Que l’on ne capte qu’yeux fermés,

Qu’aucune caméra même la dernière

D’aucune façon ne peut enregistrer.

Si en pointant votre esprit ne perçoit

Pas l’invisible ou bien au-delà

De la simple beauté extérieure,

Inutile de la chercher ailleurs.

.

Elle pourrait être sous votre nez,

Lors même, parfois, vous …aveugler,

Vous avez beau regarder,  observer,

Elle n’est, pas vôtre, n’est clichée.

Pour qui ne pense avec le cœur,

Pas de chemin vers le bonheur.

.

Extensions

.

Une beauté intérieure n’a rien d’un instantané,

Elle ne surprend pas les yeux, ne crève le regard,

Elle reflète tout un monde qu’il vous  faut explorer

Pour connaitre, apprécier la valeur et son intimité.

.

Arrive qu’on la projette, de toutes pièces, nourrisse

De ses fantasmes et jusqu’à découvrir lors en place,

Qu’on aurait forcé la porte  d’une forteresse … vide

Voire un décor de façade de cinéma … sans corps.

.

Le problème est que celui ou celle qui n’en a pas,

Ne peut ni percevoir celle d’un ou d’une autre,

Ni ne peut s’enrichir, mutuellement, d’elle,

Ni ne pourra continuer à s’en satisfaire,

Lors le corps s’affaisse ou se délaisse.

.

Des gens, me paraissant moches,

Et sont mariés, ont sans doute

Vu lumière intérieure, briller.

.

Est-il nécessaire d’avoir une beauté intérieure pour en parler :

C’est à chacun d’en décider comme devant un tableau de maître

Lors certains diront qu’elle ne peut être qu’une projection de soi

D’autres que toute  beauté a des critères objectifs, donc hors soi !

Je n’ose moi-même en parler n’étant pas sûr de toujours la capter

Je la trouve plus, chez un poète, romancier, cinéaste, qu’en réalité.

Et, quand un photographe, parvient à capter la beauté d’un regard

Tout en lui préservant son mystère  …  je lui en suis reconnaissant !

Sauf si ce ne sont qu’instantanés parfois plein d’artifices du métier.

.

Ici ça se corse un peu et d’ailleurs

Quand on parle de la Corse, attention

Les susceptibilités et les nationalismes,

Referont vite fait surface lors agressions !

.

Ile de beauté, sûr, elle ne vole pas son nom,

Pour autant elle n’est pas la seule à le mériter

Si on ne la regarderait  que par son extérieur

C’est un simple rocher tout comme Madère

Si on ne la regarde que par son intérieur,

C’est une beauté un peu sauvageonne.

.

En tant que breton, je ne produirai

Aucune remarque à son endroit,

Ni envers tout être en général

Me contenterai d’affirmer

Que beauté intérieure

N’est pas cliché.

.

.

Fragments     

.

Attention à ne pas confondre,

Profondeur  pleine de mystère,

Difficile  à cerner, décoder, voir,

Et une beauté qui… s’extériorise.

.

Il en est ainsi de nombre célébrités

Sous tous les angles, photographiées

 Ne parlons pas des portraits retouchés

C’est sûr que là, beau cliché fait beauté.

.

Comme nous vivons souvent dans l’illusion,

On peut être séduit par regard manipulateur

Qui ment comme il respire, surjoue émotions

Et l’on se retrouverait dans son lit de laideurs.

.

Un ange de l’extérieur ; un démon à l’intérieur,

Bien que ce soit raccourci, parfois même cliché

La bonne façon de découvrir  beauté intérieure,

Reste encore de vivre avec elle, un temps donné..

.

Laideur intérieure signifie parfois envers décor :

On creuse, on creuse et on ne trouve rien encore,

Quant à la vraie beauté intérieure, elle ne se perd

Elle se bonifie avec le temps, l’âge, les rencontres.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Si beauté   B   intérieure reste   N  cachée,

Comment    E  faire  pour l’ent       revoir,

Comment   A   faire pour la   E  décrire,

Comment   U   faire pour la S   capter.

Y a pas       T   d’appareils  T    photos

Pas d’ins    É     tantané    *  de cliché

Qui puis    *    se rendre    P   compte

Et qui, à    I     chacun la   A  raconte.

C’est un   N     pur reflet     S    miroir,

Seul      T   celui qui y croit   *      verra

Seul    É   celui qui voit par   C   tagera.

Pur    R  diamant brillant en  L    le noir

Beau   I   té intérieure ne se for  I    ce pas

Reste  E   au-delà du spectre du  C  visible,

Reste  U  hors du domaine    du  H sensible

Sous  R  votre nez, elle ne  se ver É  ra pas.

  E                                            * …..

Une beauté intérieure,

N’a rien  d’instantané :

Non flashée par voyeur,

Echappe tous les clichés.

Faut-il encore la chercher

Multipliant les  rencontres,

Avant, au hasard,   de tomber,

En cœur à cœur ou …… tout contre.

Lors la forme occulte .………. tout fond,

Elle trouble sa vision ……..…… extérieure.

Dès lors, en explorer …….…..…….. le tréfonds

 Ne pourra la rendre …..….…..…….…. supérieure.

Faut-il donc se …….…..…….…….…….… l’imaginer,

Pour croire en …….…..…..…..……..….… ses valeurs,

Faut-il encore …….……….……….….….… la projeter,

Pour croire en ………………..……….… sa blancheur.

Non : il ne s’agit ……..……………… que de lumière,

Que l’on ne capte ………………….. qu’yeux fermés,

Qu’aucune caméra …….………  me la dernière

D’aucune façon ne …….………  peut enregistrer.

Si en pointant votre …….….. esprit ne perçoit

Pas l’invisible ou …….………..…. bien au-delà

De la simple beau ……………… extérieure,

Inutile de la chercher …….……… ailleurs.

Elle pourrait être sous …….. votre nez,

Lors même, parfois, vousaveugler,

Vous avez beau regarder,  observer,

Elle n’est, pas vôtre, n’est clichée.

Pour qui ne pense avec le cœur,

Pas de chemin vers le bonheur.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

On dirait une poterie,

Avec La Corse, au centre 

Comme peint  sur l’extérieur,

Une ile de beauté, s’il en est !

.

484 4

.

La Corse bénéficie-t-elle d’une beauté

Que l’on considère intérieure ?

C’est son regard sur elle qui le détermine

Plus que sa forme extérieure.

 .

Symbolique    

 .

Légendes

   Ex-is-tent,

     Sur l’origine

     De nom donné

      À île  de  Corse.

Parmi  les  plus   tenaces,

Celle qui veut que les grecs

L’aient   appelée   « Kallistê »

Du grec  ancien : « la plus belle »

«Aucun historien n’a jusqu’à ce jour…….

Donné une étymologie satisfaisante……..

Des noms de «cynos»  et de «corse»………

Les uns  assurent Cynos, fils d’hercule,…..

Autres prétendent que nom de Cyrne…..

Voulant dire, en langue phénicienne,

Couvert de forêts, ce nom dut être

Imposé à la corse d’aujourd’hui

Par les voyageurs phéniciens

Qui furent frappés de

Richesse de ses

 Forêts.

fr.wikipedia.org/wiki/Corse

 

.

Fond

.

Évocation 

.

484 6

.

La Corse bénéficie-t-elle d’une beauté

Que l’on considère intérieure ?

C’est son regard sur elle qui le détermine

Plus que sa forme extérieure.

.

Symbolique.

 .

       La

         Corse

         Ou ile de

         Beauté ne

        Doit son nom

           Au  pur hasard.

On y découvre paysages

Splendides mêlant les mers

Et les montagnes, des plages,

Des forêts, rivières  et  maquis.

Elle  séduit  aussi  par  ses  villes

Villages typiques et traditionnels,

Patrimoine historique et  naturel,

Chemins randonnée en montagne

Ses plages, baignées par le soleil.

La corse se livre tout entière.

On la découvre fascinante

Lors elle vous charme

Beauté couleurs

Et d’atmos

Phère.

 .

.

Fond/forme 

 .

Il n’y a pas de relation entre beauté/Corse

Ce n’est que juste un nom qu’on lui a attribué

Toutefois pour y être allé la visiter, j’y souscris

Elle rime avec la beauté autant que primauté !

Comparaison avec beauté intérieure d’un être

Ne tient pas, face à face : nature, personne 

Ne peut en rien s’appliquer aux vivants.

.

 Textuels et illustrations   >> 

483 – Inégaux, face à beauté, amour


Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

En principe, les beaux épousent les belles,

Et réciproquement, sauf rares exceptions,

Au point on se dit beau marié à une belle

Au point que belle trouve son mari beau.

Quand on est beau, on se croit séduisant

Irrésistible, tant les canons vous portent

De succès en succès, assurance conforte

L’idée qu’un seul échec serait…fatalité.

.

Et les parents beaux, font enfants beaux,

À croire que la beauté dépend génétique,

Même si l’on voit parfois quelques ratés,

Ou deux laids, faire des enfants parfaits.

Voilà au moins qui rétablira, pour partie,

Équilibre des chances, non déterministe.

Inégaux, demeurons en beauté, en amour

Mais parfois, la laideur passerait son tour

Et l’on se prend à rêver, que, quelque part,

On a de beaux enfants parce qu’on est beau.

 .

Nos échecs amoureux nous auront plus appris

Sur nous-mêmes  et les autres, que nos succès.

Et, l’on ne saurait dire … pourquoi l’on s’aime,

Alors même que l’on sait les raisons des refus.

Quand succès entraine autre succès en chaine,

L’on se croit devenir un séducteur irrésistible.

Pour faire juste balance… ou vierge équilibre,

On aurait pu être repoussoir à s’en détourner.

À ce jeu, on devrait marier beaux aux belles,

Comme dans un conte, chanson, ritournelle.

Les beaux ne devraient avoir qu’enfant beau

Mais parfois hasard change la règle d’égaux.

.

Quand les laids se marient bonjour la chance,

S’ils ont eu bel enfant, justice leur est rendue.

Ainsi, la société se renouvelle, et se perpétue,

Tous les amours sont permis, égalité chances.

Chacun croit se voir dans un miroir… impair,

Souvent épouse autre image du père ou mère.

L’important est le présent, pourvu qu’il dure,

Quand passé est refuge et l’avenir…aventure.

.

Un passé qui colle à nos corps et nos figures,

Un avenir qui d’aventure longtemps perdure.

Un passé qui colle à notre histoire en épures.

Un avenir qui à vos jours est fin d’aventure.

Ce n’est pas que l’amour, la vie ou la beauté,

Soient autant loteries  que cadeaux  nature,

C’est que nous sommes plus que pour moitié

Autre et ce sera à nous d’en porter fardeau.

Est-il vrai que l’amour, la vie, la beauté,

Sont des loteries ou cadeaux de nature.

.

Extensions

.

Est-il vrai que l’amour, la vie, et la beauté,

Soient des loteries ou cadeaux de nature !

La beauté serait-elle un cadeau des dieux

Qui ferait des plaignants, plus qu’heureux.

.

Elle devient empoisonnée, si elle vous quitte,

D’autant qu’on sait qu’elle ne reviendra jamais.

.

La laideur ou attrait quelconque ne changera pas

Avec l’âge et on a plus de temps pour s’y habituer :

Le pire étant le beauté qui n’est faite que d’artifice,

Qui vous prend temps argent et autant de sacrifice.

.

Une âme belle en un corps beau,

Ou un cœur beau, en encore belle,

Un charme toujours à fleur de peau

L’esprit intelligent  et l’esprit rebelle,

Feront plus bel ensemble, et chapeau !

.

Certains êtres sont beaux et d’autres moins

Pour ne pas dire «laids», voire peu attirants,

Sauf selon Serge Gainsbourg, heureux de l’être

Même si Quasimodo n’épousera pas Esméralda.

.

Nous sommes inégaux,  face à une beauté canon,

Certes mais selon certaines personnes ça s’arrange

Avec un bon régime, un bon coach, bon chirurgien.

Personne  n’a rien contre  mais  ça ne suffirait pas !

.

Face à l’amour, certes la beauté jouera un grand rôle

Mais une fois les liens amoureux solidement établis

Ils deviennent aveugles et sourd un certain temps

Ou plutôt se voient, s’écoutent, en amoureux !

.

Fragments

.

Sommes inégaux face à la beauté et à l’amour,

C’est peu de le dire, on le constate chaque jour,

L’amour de la beauté pour la beauté de l’amour,

Se conjuguent, s’entretiennent, et, se répondant,

On dit que l’amour rend beau et réciproquement,

Il faudrait se le dire souvent et voire tout le temps.

.

On ne cesse de vanter les bienfaits des traitements

Des produits de beauté, dans nombre de dépliants,

Traces du cours biologique, de votre vieillissement,

N’auront plus lieu d’être avec les progrès nouveaux

Soyez, redevenez puis rester, jusqu’à mourir, beau,

Faire autrement sera manquer, passer pour un sot.

.

Oui mais voilà, beauté est perçue telle, par le regard

De l’autre selon qu’il vous connait ou pas tôt ou tard,

L’on trouverait toujours beau quelqu’un qu’on aime,

Ce n’est pas que l’amour rend beau, réciproquement

C’est que l’amour  et  la beauté  dépendent des gens,

Que certains y dépenseraient de sommes extrêmes !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

.

En principe, les beaux épousent les belles,

   Et réciproquement, sauf rares exceptions,

       Au point on se dit beau marié à une belle

             Au point que belle trouve son mari beau.

                 Quand on est beau, on se croit séduisant

                      Irrésistible, tant les canons vous portent

                          De succès en succès, assurance conforte

                              L’idée qu’un seul échec serait…fatalité.

                     SOMMES

                                 Et les parents beaux, font enfants beaux,

                                A croire que la beauté dépend génétique,

                             Même si l’on voit parfois quelques ratés,

                       Ou deux laids, faire des enfants parfaits.

                   Voilà au moins qui rétablira, pour partie,

              Equilibre des chances, non déterministe.

         Inégaux, demeurons en beauté, en amour

     Mais parfois, la laideur passerait son tour

  Et l’on se prend à rêver, que, quelque part,

On a de beaux enfants parce qu’on est beau.

INÉGAUX

     Nos échecs amoureux nous auront plus appris

         Sur nous-mêmes  et les autres, que nos succès.

            Et, l’on ne saurait dire … pourquoi l’on s’aime,

                Alors même que l’on sait les raisons des refus.

                     Quand succès entraine autre succès en chaine,

                        L’on se croit devenir un séducteur irrésistible.

                          Pour faire juste balance… ou vierge équilibre,

                             On aurait pu être repoussoir à s’en détourner.

                                À ce jeu, on devrait marier beaux aux belles,

                                   Comme dans un conte, chanson, ritournelle.

                                      Les beaux ne devraient avoir qu’enfant beau

                                       Mais parfois hasard change la règle d’égaux.

        FACE À BEAUTÉ

                                      Quand les laids se marient bonjour la chance,

                                    S’ils ont eu bel enfant, justice leur est rendue.

                             Ainsi, la société se renouvelle, et se perpétue,

                        Tous les amours sont permis, égalité chances.

                 Chacun croit se voir dans un miroir… impair,

              Souvent épouse autre image du père ou mère.

           L’important est le présent, pourvu qu’il dure,

        Quand passé est refuge et l’avenir…aventure.

ET À L’AMOUR 

    Un passé qui colle à nos corps et nos figures,

   Un avenir qui d’aventure longtemps perdure.

     Un passé qui colle à notre histoire en épures.

        Un avenir qui à vos jours est fin d’aventure.

               Ce n’est pas que l’amour, la vie ou la beauté,

                   Soient autant loteries  que cadeaux  nature,

                         C’est que nous sommes plus que pour moitié

                             Autre et ce sera à nous d’en porter fardeau.

                              Est-il vrai que l’amour, la vie, la beauté,

                                Sont des loteries ou cadeaux de nature.

.

Forme

.

.

Évocation

 

Un dépliant artistique vantant

Les bienfaits de la beauté et amour

Lors  de  sa belle écriture,  il vante

Ses  produits  pour  rester  belle !

.

483 4

.

Que dit dépliant artistique :

Beauté et amour vont de pair :

Être beau vous rend  amoureux

Être amoureux vous rend beau.

  .

Symbolique 

 .

Facilement reconnaissable

À son aspect de feuille pliée,

Dépliant est support

De communication permettant

De se faire connaître.

 .

———————————-

 .

Son contenu résumant l’essentiel

D’’activité entreprise ou

Association devra être attrayant

Pour attirer l’attention

 .

———————————-

 .

Du lecteur : support publicitaire

Qui véhicule des messages,

Peut être utilisé  par  entreprises

Ou associations désirant

Élargir, et au mieux, sa clientèle.

le-guide-dimpression-des-depliants

.

.

Fond

.

Évocation

.

483 6

.

Il ne suffit pas d’être beau

Belle, pour être en amour :

Ne suffit pas d’être en amour

Pour être beau  … ou belle !

Symbolique 

 .

«Que c’est un

Dur   métier       que

 D’être o belle o femme»

Écrit  Baudelaire dans 

 « Les Fleurs du Mal ».

———-

Tant il semblerait,

Qu’en un couple

 .

Tel  constat  pourrait

En  effet  affecter  certaines

Relations amoureuses,

Alors que l’on parle toujours

De la tyrannie de la

Beauté et du poids des appa

Rences, on ignore

Que la beauté elle-aussi peut

 Être un handicap

En amour.

Modifié, source : loveintelligence.fr

 .

.

Fond/forme 

 .

Belle est un qualificatif  de nature très subjective

Lors il n’est pas lié à l’âge, appréciation culturelle

Mais il est vrai que l’amour embellit l’expression

Comme si bonheur d’aimer devenait contagieux

Qu’il soit proclamé en vers libres ou contraints

Ne change rien à la beauté mais ne  confond

Pas pour autant  ses formes avec son fond.

.

Des parents quelconques, des enfants beaux

Des enfants quelconques, des parents beaux

On a coutume d’associer au beau ce qui l’est

Comme une loi de nature, comme destinée !

Être né beau ou belle serait cadeau du ciel,

Lors provisoire, en vieillissant, se dégrade

Tandis que la laideur, c’est pour…  la vie !

.

Textuels et illustrations  >> 

 

482 – Dictat beauté pour les femmes

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Belle comme le jour

Belle comme l’amour :

Tel semble être le refrain,

De celles  qui plaisent bien.

.

La beauté … pour la publicité,

Est «parce que je le vaux bien»

Telle beauté sera marchandisée,

Pour choisir celle qui convient !

.

S’il suffirait, d’y mettre le prix,

Pour que résultat soit garanti

Cela  suffirait, en différences,

Amplifiant traits d’attirance.

.

Ne leur voilons  pas la face,

Leur beauté… aux femmes

Reste leur principal atout

Elle  peut  être  naturelle,

.

Quand, jeune  et pucelle,

Mais déjà bien apprêtée

Après que s’être mariée

L’enfant    la   déforme,

Changent ses  formes :

Si elle ne prend garde,

.

Ses kilos elle les garde

Jusqu’à  quarante ans,

Elles sont  au parterre,

Si leurs  murissements

Affirme leur caractère !

 .

Après cinquante années

Si  elles  s’entretiennent,

Ça passe  encore … sinon

Des différences  notoires,

.

Font que leur ménopause,

Survenant : leur plastique,

S’affaisse, ou, ne s’impose,

Qu’aux regards, lubriques.

.

Soins, coiffure, manucure,

Sinon, c’est la déconfiture,

Et un régime toute l’année

Sinon, c’est emmagasiné !

 .

Elle ne sera  plus regardée

Ni par plaisir  ni par désir

Lors se plaire à elle-même

Serait la dernière volonté,

Qu’elle souhaitera s’offrir.

.

Et  même si, de l’intérieur

Elle se  saura  supérieure,

De vieillir, et de s’enlaidir

Chez la femme serait pire

Que l’homme même étant

Quelque peu…bedonnant ! 

.

Extensions

.

Cela, elles le savent bien dès leur prime jeunesse

Mais elles savent très bien aussi qu’aucune femme

Ne peut remonter le temps rien qu’en se maquillant.

.

Ne leur voilons pas la face, tant la beauté, aux femmes,

Est leur destinée si elles veulent attirer le regard sur elles.

.

Elles n’ont pas  le choix, elles y sont obligées, conditionnées.

Il suffit de feuilleter un magazine consacré au monde féminin.

.

Ce qui fait la beauté n’est pas sa plastique, plaisante, attirante

Mais le regard porté sur elles, on pourra dire par les hommes,

Mais par les femmes aussi, et parfois encore bien plus cruel,

Quand elles se montrent des plus  jalouses ou dégoutées.

.

La femme que vous mettez en votre lit, ou qui vous entraine en le sien,

Est-elle bien même en tous points le lendemain matin, démaquillée ?

C’est possible après tout, l’amour est aveugle, pas certain, probable 

Sans porter de jugement quelconque, de quel droit, ni souhaitable,

Celle qu’on aime sera celle de tous les jours, non d’artifice du jour.

Arrive même parfois, dans le cas d’une beauté naturelle sans fard

Que maquillée à outrance, la change, au point de la peinturlurer

Attention que sous la pression d’un dictat, trop ajouté, surjoué

On laisserait tomber la proie pour l’ombre, par trop de clarté.

.

Selon certaines femmes, la beauté,

N’est pas une option : une injonction !

Leur corps est pour être vue, être désiré

Alors que d’autres le voudront à égalité,

Avec les hommes et les autres femmes.

.

Attention à ne pas commettre d’excès

Vous menant tout droit à des impairs.

Quand trop c’est trop : effet contraire,

Comme parfum virant et lors n’attrait

Pot de peinture loin de tableau vivant.

.

Fragments

Visage

.

Partie antérieure de la tête de l’homme.

Face, figure ou, plus couramment : tête.

Lignes du visage : trait, faciès, masque.

Couleur naturelle du visage : teint.

Plis du visage : quelques rides.

Figuré : aspect reconnaissable

Particulier de quelque chose

Caractère, forme, image.

.

Dans les relations interhumaines de proximité,

Le visage est, avec les mains, un organe majeur

De communication non verbale, qu’il exerce

Sur de multiples dimensions : mimiques

Sourires, regards, tensions, émotions.

 .

Morphopsychologie : recherche sur

les variations de la nature de chaque personne

par  analyse  des traits propres  à  son visage.

Tous les visages sont composés des mêmes

éléments, tous les hommes sont dotés,

ontologiquement, même nature ; 

tous visages sont différents.

Le visage est un dévoilement incomplet

et passager de la personne, comme dévoilement :

jamais personne n’a vu directement son propre visage,

sauf en  miroir. Le visage n’est pas pour soi : pour l’autre.

La partie la plus vivante et plus sensible  (cinq sens)

que, bon gré, mal gré, on présente aux autres.

.

Le visage est le moi intime,

Bien que partiellement dénudé,

Plus révélateur que reste du le corps.

Pour comprendre un visage,

Il faut et de la patience,

Et de la lenteur,

Et du respect,

De l’amour.

C’est avilir un visage

Que de l’analyser sans l’aimer.

Quand  son visage n’exprime plus

Aucune vie, authenticité intérieure,

Il n’est plus qu’un masque élastique !  

 .

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

.

Belle comme le jour

Belle comme l’amour :

Tel semble être le refrain,

De celles  qui plaisent bien.

La beauté … pour la publicité,

Est «parce que je le vaux bien»

Telle beauté sera marchandisée,

Pour choisir celle qui convient !

S’il suffirait, d’y mettre le prix,

Pour que résultat soit garanti

Cela  suffirait, en différences,

Amplifiant traits d’attirance.

LE DICTAT

Ne leur voilons  pas la face,

Leur beauté… aux femmes

Reste leur principal atout

Elle  peut  être  naturelle,

Quand, jeune  et pucelle,

Mais déjà bien apprêtée

Après que s’être mariée

L’enfant    la   déforme,

Changent ses  formes :

Si elle ne prend garde,

Ses kilos elle les garde

Jusqu’à  quarante ans,

Elles sont  au parterre,

Si leurs  murissements

Affirme leur caractère !

DE LA BEAUTÉ

Après cinquante années

Si  elles  s’entretiennent,

Ça passe  encore … sinon

Des différences  notoires,

Font que leur ménopause,

Survenant : leur plastique,

S’affaisse, ou, ne s’impose,

Qu’aux regards, lubriques.

Soins, coiffure, manucure,

Sinon, c’est la déconfiture,

Et un régime toute l’année

Sinon, c’est emmagasiné !

POUR LES FEMMES

Elle ne sera  plus regardée

Ni par plaisir  ni par désir

Lors se plaire à elle-même

Serait la dernière volonté,

Qu’elle souhaitera s’offrir.

Et  même si, de l’intérieur

Elle se  saura  supérieure,

De vieillir, et de s’enlaidir

Chez la femme serait pire

Que l’homme même étant

Quelque peu…bedonnant ! 

.

Forme

.

.

Évocation

Bâton pour marcher,

Pinceau pour peindre:

Finalement, j’aurai choisi

Un  coffret  de  maquillage.

.

482 4

.

Pinceau à fard estompeur,

Sont des pinceaux trompeurs,

Maquillage joues et paupières

Pour attirer tous les regards.

 .

Symbolique 

Un  pinceau

Latin peniculus

Ou petite queue

Est  une  variété

De brosse à poils

Souples terminée

En pointe, destiné

À enduire surfaces

D’une couche mince

Matière de peinture

Encre, vernis, fard.

Un   pinceau   sert

En   calligraphie,

En  illustration,

En décoration,

En bâtiment,

En peinture,

Artistique,

Et dessin.

 Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

482 6

.

Le coffret à maquillage

Pour joues yeux, cils, paupières

Permet d’attirer tous les regards,

Sur soi,  comme un «faux phare » !

 .

 Symbolique 

 .

Le maquillage est logiquement porteur

Du paradoxe dont le féminin est porteur :

Il sera critiqué sur toute femme ordinaire,

S’il est autre chose que … des plus discrets,

Obligatoire sur actrice, femme d’exception

Tant considéré comme malade, ou en crise

Si le fard reste absent de leur visage

Ou insuffisamment criard.

 echodecythere.com

.

Fond/forme 

.

Maquillage, comme son nom l’indique,

Consiste à embellir d’avantage par artifice

Il rime avec  poudre, crème, lotion, rimmel.

La plupart du temps, nécessite un pinceau

Et il s’applique pour la gent féminine

Si bien fond de teint rejoint forme

Comme double peau de crème

Peut-on leur en vouloir : non,

C’est leur liberté, notre attente.

.

Tout est une question d’application et de degré

Pas assez ne sert à rien, trop trompe pour rien

Dessous le maquillage, on percevra la personne

Qui en rajouterait de trop et ne devient crédible

Un maquillage, léger, donnerait plus d’éclats

À celle qui en aurait assez, naturellement :

S’agit de souligner non surligner le trait.

 .

.

Visuel

.

.

Canons de beauté

.

Beauté

.

Agréable à voir ou à entendre.

Qui fait éprouver une émotion esthétique

Qui plaît beaucoup à l’œil en étant opposé à laid.

Dont physique, visage, répond aux canons de beauté.

.

On le qualifie de : joli, magnifique, superbe,  admirable,

Quand ce n’est charmant, gracieux, éclatant, harmonieux

.

Quand il s’agit de vêtement on dit : bien habillé, apprêté.

Il, elle, est parvenu à se faire beau, belle, chic, élégante.

Dans le « beau monde », la société élégante, brillante.

.

La beauté ferait naître  un sentiment d’admiration,

Ou de satisfaction en opposé à mauvais, médiocre.

.

Quel joli grain de beauté, vous avez, là, ma chère !

.

 « Edmund Burke, dans Recherche philosophique sur l’origine de nos idées du sublime et du beau (1757), distingue le beau du sublime. Pour lui, le beau est harmonieux, attirant, le sublime disproportionné et terrible. Cette distinction sera reprise par Emmanuel Kant dans sa Critique de la faculté de juger (1790). »     Wikipédia/beau

.

BEAU, JOLI. Le joli n’est qu’un diminutif du beau ; il n’en a ni la grandeur, ni la régularité, ni la généralité, ni l’idéal. La chaîne des Pyrénées vue du haut du pic du Midi est un beau spectacle ; un joli paysage est quelque chose de bien plus restreint. Un vieillard peut avoir une belle tête, n’a jamais joli visage.

.

Hegel affirme une différence conceptuelle entre le beau de nature et le beau artistique. Pour lui, le beau artistique est « très au-dessus de la nature », parce qu’il est œuvre de l’esprit. Il a pour but « la présentation de la vérité » sous sa forme sensible et permet à l’homme d’accéder à la conscience de soi.

.

Pour Platon, c’est par l’amour que l’on désire

Et découvre des choses de plus en plus belles

Beauté est à la fois un concept et une réalité

Qui dépend de celui qui regarde, qui écoute

Autant que de la chose regardée, entendue.

.

Mais dans la beauté il y a une dimension

Supérieure, sublime, parfois intérieure,

Qui en étant cachée demeure invisible

Aux yeux qui ne pénètrent l’intime !

.

Le beau, pour l’un, peut être laid

Pour l’autre …  subjectivement !

Et, ce qui n’est  ni l’un ni l’autre,

Est souvent qualifié de commun.

.

Ce que j’en dis vous parait-il commun ?

.

.

à mettre dans la page et non dans cet l’article

.

Visuels scénario 

.

.

Le fait de sur-maquiller ses yeux,

ses paupières,  sourcils, et joues,

.

.

afin de leur donner plus d’éclats,

plus de présence, ou de couleurs,

.

.

peut aboutir à l’effet contraire :

perdre l’attrait beauté naturelle.

.

.

Textuel calligramme

.

  • Belle comme le jour, belle comme l’amour : tel semble être le refrain de celles qui plaisent bien ! La beauté, pour la publicité, est parce que, je le vaux bien : telle beauté est marchandisée pour choisir celle qui convient. Il suffira d’y mettre le prix et le résultat sera garanti : cela fera la belle différence, amplifiant ses traits d’attirance ! Ne leur voilons pas la face, leur beauté, aux femmes, est leur principal atout : elle peut être naturelle, quand jeune, pucelle, quand, déjà apprêtée, après s’être mariée. L’enfant la déforme, changent ses formes et, si elle n’y prend garde, ses kilos, elle les garde. Elle a moins le temps et l’envie de s’occuper d’elle, consacre son énergie à l’éducation et à l’économie de son foyer. Jusqu’à quarante ans, elles sont au parterre, si leurs murissements affirment leur caractère, elles n’ont besoin de rien faire ou presque quand leur personnalité compense leur manque de fraicheur et de jeunesse naturelle. Après cinquante années, si elles s’entretiennent, ça passe encore, sinon des différences notoires font que leur ménopause survenant, leur plastique s’affaisse, ne s’impose qu’aux regards lubriques. Il leur faudrait quantité de soins, coiffure, manucure, sinon c’est la déconfiture et le régime toute l’année, sinon c’est emmagasiné et les vacances en thalasso pour massage, soins au visage, pour continuer à plaire à l’entourage. Elle n’est plus regardée par plaisir ni par désir et se plaire, à elle-même, est la dernière beauté qu’elle peut s’offrir même si l’intérieure est bien supérieure ! Oui, pour ceux qui peuvent la détecter et l’apprécier, non, pour tous les autres. De vieillir, s’enlaidir, pour la femme, est pire que pour l’homme, même étant bedonnant.

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Textuel extension

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  • + Cela, elles le savent bien dès leur prime jeunesse mais elles savent très bien aussi qu’aucune femme ne peut remonter le temps rien qu’en se maquillant. Ne leur voilons pas la face, tant la beauté, aux femmes, est leur destinée, si elles veulent attirer le regard sur elles. Elles n’ont pas le choix, elles y sont obligées, conditionnées. Il suffit de feuilleter un magazine consacré au monde féminin. Ce qui fait la beauté n’est pas sa plastique, plaisante, attirante mais le regard porté sur elles, on pourra dire par les hommes, mais par les femmes aussi, et parfois encore bien plus cruel, quand elles sont jalouses, dégoutées.   La femme que vous mettez en votre lit, ou qui vous entraine en le sien, est-elle bien la même en tous points le lendemain matin, démaquillée ? C’est possible après tout, l’amour est aveugle : pas certain ni probable ! Sans porter de jugements quelconques, et de quel droit, ni souhaitables, celle qu’on aimera sera celle de tous les jours et non d’artifices du jour. Il arrive même parfois, dans le cas d’une beauté naturelle et sans fard, que le maquillage, à outrance, la change au point de la peinturlurer. Attention alors que sous la pression d’un dictat, on rajoute, surjoué au point de laisser tomber proie pour l’ombre, par trop de clarté.  Selon certaines femmes, la beauté, n’est pas une option : une injonction ! Leur corps est pour être vue, être désiré alors que d’autres le voudront à égalité, avec les hommes et les autres femmes. Attention à ne pas commettre d’excès  vous menant tout droit à des impairs. Quand trop c’est trop : effet contraire, comme parfum virant et lors n’attrait, pot de peinture loin de tableau vivant.

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Textuels symboliques 

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Pinceau

  • Symbolique de forme : Un  pinceau, du Latin peniculus ou petite queue, est une variété de brosse à poils souples terminée en pointe, destinée à enduire, des surfaces,  d’une couche de mince matière de peinture, d’encre, de vernis, de fard. Un pinceau sert en calligraphie, en  illustration, en décoration, en bâtiment, en peinture artistique et en dessin.  Wikipédia

 .

Maquillage

  • Symbolique de fond : Le maquillage est logiquement lié  au paradoxe dont le féminin est porteur : il sera critiqué sur toute femme ordinaire, s’il est autre chose que … des plus discrets. Il est obligatoire sur une actrice, ou une femme d’exception, tant considéré comme malade, ou en crise si le fard reste absent de leurs visages ou insuffisamment criard. Modifié, source : echodecythere.com

 

Maquillage > 

  • Liens fond/forme : Le maquillage, comme son nom l’indique, consiste à embellir d’avantage, par un artifice. Il rime avec  poudre, crème, lotion, rimmel. La plupart du temps, il nécessite un pinceau et il s’applique pour la gent féminine. Si bien que le fond de teint rejoint la forme comme double peau de crème. Peut-on leur en vouloir : non, c’est leur liberté, c’est notre attente. Tout est une question d’application et de degré : pas assez ne sert à rien, et trop, trompera pour rien. Sous le maquillage, on perçoit la personne qui en rajouterait de trop et ne devient plus crédible. Un maquillage, léger, donnera plus d’éclats à celle qui en aurait assez, naturellement : il s’agit de souligner et non de surligner les traits.

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Beauté

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Agréable à voir ou à entendre.

Qui fait éprouver une émotion esthétique

Qui plaît beaucoup à l’œil en étant opposé à laid.

Dont physique, visage, répond aux canons de beauté.

.

On le qualifie de : joli, magnifique, superbe,  admirable,

Quand ce n’est charmant, gracieux, éclatant, harmonieux

.

Quand il s’agit de vêtement on dit : bien habillé, apprêté.

Il, elle, est parvenu à se faire beau, belle, chic, élégante.

Dans le « beau monde », la société élégante, brillante.

.

La beauté ferait naître  un sentiment d’admiration,

Ou de satisfaction en opposé à mauvais, médiocre.

.

Quel joli grain de beauté, vous avez, là, ma chère !

.

 « Edmund Burke, dans Recherche philosophique sur l’origine de nos idées du sublime et du beau (1757), distingue le beau du sublime. Pour lui, le beau est harmonieux, attirant, le sublime disproportionné et terrible. Cette distinction sera reprise par Emmanuel Kant dans sa Critique de la faculté de juger (1790). »     Wikipédia/beau

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BEAU, JOLI. Le joli n’est qu’un diminutif du beau ; il n’en a ni la grandeur, ni la régularité, ni la généralité, ni l’idéal. La chaîne des Pyrénées vue du haut du pic du Midi est un beau spectacle ; un joli paysage est quelque chose de bien plus restreint. Un vieillard peut avoir une belle tête, n’a jamais joli visage.

.

Hegel affirme une différence conceptuelle entre le beau de nature et le beau artistique. Pour lui, le beau artistique est « très au-dessus de la nature », parce qu’il est œuvre de l’esprit. Il a pour but « la présentation de la vérité » sous sa forme sensible et permet à l’homme d’accéder à la conscience de soi.

.

Pour Platon, c’est par l’amour que l’on désire

Et découvre des choses de plus en plus belles

Beauté est à la fois un concept et une réalité

Qui dépend de celui qui regarde, qui écoute

Autant que de la chose regardée, entendue.

.

Mais dans la beauté il y a une dimension

Supérieure, sublime, parfois intérieure,

Qui en étant cachée demeure invisible

Aux yeux qui ne pénètrent l’intime !

.

Le beau, pour l’un, peut être laid

Pour l’autre …  subjectivement !

Et, ce qui n’est  ni l’un ni l’autre,

Est souvent qualifié de commun.

.

Ce que j’en dis vous parait-il commun ?

.

Textuels et illustrations  >> 

481 – Beauté intérieure, hors regard

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Beauté extérieure change,

Peut changer à tout instant,

Et changera au cours de sa vie,

Se transformera et puis se perdra

Mais  la beauté intérieure demeure

Fidèle,   à elle-même,  et étincelante.

.

En vieillissant, elle gagne en intensité

Lors ses couleurs, plus d’éclats, encore,

Chacun sait que, sa vue, voit l’extérieur,

Tandis que le regard reflète son intérieur

Lors, si la beauté intérieure vous échappe

C’est que vous n’avez point le beau regard,

Pour vous, elle reste cachée ou reste voilée.

.

Rien ne pourra  vous  la faire… apparaitre,

Au grand jour encore moins, grand amour,

Elle demeurera, pour vous,  et  pour

Toujours,  en pleine obscurité. 

******

******

******

Beauté ne sera pas panacée d’amour,

Beauté ne dure ni longtemps, toujours.

Beauté ne ferait pas de religion sans foi,

Laquelle si on la croit, ferait de vous roi.

Entre  la beauté, extérieure,  intérieure,

Faudra choisir … pour vous : meilleure.

.

Beauté intérieure … appelée ainsi à tort

Ne se  perçoit pas, d’emblée  au dehors

Rien  ne la laisse supposer  meilleure,

Sur  apparence physique d’un corps

Qu’il soit beau, ou laid, faible, fort.

.

Elle échappe à tous  vos regards

Tous vos gestes, et votre écoute

Qui  demeureront   extérieurs,

Trop  rapides voire trop épars

Car de la découvrir vous coûte

Des efforts cent fois supérieurs.

.

Il  est  rare,  ou fruit  du hasard,

Qu’une aura  de beauté,  envoute,

 Par ses   grands  éclairs    très forts,

Provoquant  flash     émotion  bizarre

De   voir   son   âme,   comme   dissoute,

À     l’intérieur     de    son    propre     corps.

.

Extensions

.

La beauté intérieure échappe au regard extérieur,

Elle est  comme un diamant caché, encore entouré

Par sa gangue, de terre faite, d’argile, de poussière.

.

Tapie en ombre des autres, enfermée en son monde,

Elle brille encore de cette lumière douce et profonde

Qui émane  de sa pensée, qui, par amour, vagabonde.

.

Discrétion, observation, réflexion, ses armes secrètes :

Elle dirait peu de choses  à la cantonade, mais elle voit,

Entend, sent, enregistre tout comme par septième sens.

.

Un sens proprioceptif qui nourrit, qui entretient, éclaire

L’âme  de quelqu’un, quand ils se croisent, se rencontrent

Sur même longueur d’onde, septième sens  les illuminent :

D’accord et comment peut-on être illuminé, de l’intérieur !

.

Lors on parle d’un illuminé, c’est loin d’être à son avantage

Mais si on parle de quelqu’un d’éteint, ce n’est guère mieux.

La beauté intérieure est un état permanent, un état éclatant.

.

Son regard, m’a déshabillée, transpercée : je me suis sentie nue,

Pourtant, bien que pudique, je suis : pas gênée, comme ingénue,

En un éclair  et en échange, sa beauté intérieure, j’ai entraperçu,

Et  sur le fond de sa pensée, j’ai déposé les miennes, confondues.

Il ne restait plus qu’à cueillir leurs harmoniques, faites d’échos.

.

Comment dire à quelqu’une,

Qu’elle est une belle personne ?

Qu’est-ce que cela  peut qualifier :

Qu’elle demeure, toujours, souriante,

Qu’on pourra, toujours, compter sur elle,

Que  plus on la connait  et plus  on l’apprécie,

Qu’elle est aussi belle à l’intérieur qu’à l’extérieur.

.

Voilà qui nous octroie large panel  pour faire un choix

Tu es une «personne belle», tu es une «belle personne» 

Ne sont pas le fruit d’un simple inversion d’un mot doux :

Signifie autre chose comme homme grand, grand homme

.

Toute beauté intérieure échapperait au regard malveillant

Un artiste entrant sur scène ou un poète écrivant un texte,

Ont tous deux la même réaction : je me suis mis tout nu :

Pourtant très habillé : cherchez l’erreur sinon la saveur.

.

Fragments 

.

À quoi peut bien servir une beauté

Qui ne se voit pas, qu’il faut deviner

Au risque de se tromper, se planter,

Faut avoir scanner pour intériorité !

.

Lampe de chevet, avec son abat-jour

Constitue un symbole ou métaphore.

Normal, une lampe est luminophore

Elle met ce qui serait caché, au jour.

.

Une beauté intérieure ne se cache pas

Elle se préserve et ne se donne à voir,

Qu’à ceux, celles, en qui elle a l’espoir

De se refléter comme en beau miroir.

.

Voilà, peut-être, le pourquoi du voile

De la mariée, provoquer la révélation

Prétendant impatient qu’il la dévoile,

Bien que, de nos jours, pose question 

.

Si le regard ne suffit pas,  les paroles

Constituent un autre moyen d’entrée

Parfois, suffit simplement  d’écouter,

Et se retrouver sur longueur d’ondes.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

.

Beauté extérieure change,

Peut changer à tout instant,

Et changera au cours de sa vie,

Se transformera et puis se perdra

Mais la beauté  intérieure  demeure

Fidèle,   à elle-même,     et étincelante.

Vieillissant elle       L   gagne en intensité

Lors ses couleurs     A   plus d’éclats encore

Chacun sait que sa             vue voit l’extérieur,

Tandis que le regard     B       reflète son intérieur,

Lors, si la beauté inté      E          rieure vous échappe

C’est que vous n’avez         A            point le beau regard

Pour vous, elle reste            U               cachée, reste voilée.

Rien ne pourra  vous              T                la faire… apparaitre,

Au grand jour, encore              É                  moins, grand amour,

Elle demeurera, pour vous,  et  pour toujours,  en pleine obscurité. 

******

******

******

Beauté ne sera pas panacée d’amour,

Beauté ne dure, ni longtemps, toujours.

Beauté   ne ferait pas de religion   sans foi,

Laquelle  *   si on la croit, ferait  É  de vous roi.

Entre  la   I    beauté, extérieure    C    intérieure,

Faudra    N     choisir… pour vous     H     meilleure.

Beauté    T       intérieure … appelée   A   ainsi à tort

Ne se      É      perçoit pas, d’emblée    P     au dehors

Rien       R       ne la laisse supposer    P      meilleure,

Sur        I       apparence physique    E      d’un corps

Qu’il      E       soit beau, ou laid,     *       faible, fort.

Elle       U       échappe à tous      R      vos regards

Tous     R       vos gestes, et      E    votre écoute

Qui      E      demeureront    G      extérieurs

Trop      *   rapides voire    A       trop épars

Car de   *  la découvrir  R     vous coûte

Effort  *   cent fois   D  supérieurs.

.

Il est  rare, ou fruit du hasard,

Qu’une aura de beauté,  envoute,

 Par ses   grands  éclairs    très forts,

Provoquant  flash     émotion  bizarre

De   voir   son   âme,   comme   dissoute,

À     l’intérieur     de    son    propre     corps.

.

Forme

.

.

 Évocation

.

Un vase avec un col,

Surmonté  d’abat-jour

Une  lampe de chevet, 

Une beauté  intérieure.

.

481 4

.

Une lampe de chevet très stylée avec un vase

Et qu’on a plaisir à voir

Une fois allumé, le regard devient plus éclairé

Et l’on admirera sa beauté.

On ne peut dire que lampe reflète beauté intérieure

À la rigueur un miroir, or personne en peut apprécier

Son intérieur, que les autres par rapprochement intime.

 .

 Symbolique 

 .

La lampe,

Qu’elle soit électrique,

À huile  ou  bien à pétrole,

Représentera    toujours      une

Lumière    intérieure,    une    énergie,

Capacités, des talents que nous maîtrisons.

Tant   c’est l’homme  qui  maîtrise   la  lumière

Avec  un  certain  pouvoir

D’allumer  et  d’éteindre.

Lumière  est  le symbole

De toute connaissance

On apprend au  jour

À bien se connaître,

On évolue grâce à ces

Informations et ce savoir.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

  481 6

.

Beauté intérieure ressemble

 À lumière  tamisée  en  abat-jour,

Elle reste  éclairante pour  ceux qui

La perçoivent, éteinte pour d’autres.

 .

Symbolique 

 .

On a en notre entourage,

Personnes ne répondant pas  

Aux standards  de la beauté

Établis   par  une  société,

Pour  autant, nous  les

Considérons  comme 

Belles personnes !

 

Au-delà de leur propre apparence physique,

De leur coiffure,  leur look, leur habillement,

Nous les apprécions  pour ce qu’elles … sont.

 

L’apparence  physique  ne nous  dit pas  tout

De nos valeurs  ou état d’esprit et caractère,

C’est mystère qui nous sommes vraiment.

Nous devons aller à la rencontre d’autre

Découvrir richesse beauté intérieure.

 .

.

Fond/forme 

 .

Comment voir quelque chose de précieux, unique,

En quelqu’un, là où nombre d’autres ne verra rien

Beauté intérieure ne se voit pas de l’extérieur :

Peut-être est-ce une question de longueur d’ondes

Ou de conjonction entre deux êtres d’âmes pures.

.

On pourra se représenter une beauté intérieure

Comme une lumière pas forcément d’abat-jour

Mais comme venant du regard pour celui qui

Saura la capter, la décoder, et  l’apprécier,

.

Elle est contrainte en rime pour certains

Et libre pour d’autres, en tous les cas,

Elle s’adresse à quelqu’un de choisi

Il n’y a donc de confusion possible

Si vous la percevez : réceptif !

.

 Textuels et illustrations  >> 

480 – Beauté intérieure, hors sexe

Textuels et illustrations >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Beauté intérieure

N’est   pas   leurre,

Elle ne  vieillit  pas,

Au fil …  des heures,

Au  contraire  …  elle

S’enrichit des lueurs

Que  lui   apporterait

Expérience et valeur.

 .

Ta beauté si n’est pas

Indifférente  au  sexe,

Elle   ne   dépend   pas

De lui  …  pour autant.

Ta  beauté   intérieure,

Demeure    complexe :

Elle ne  se verra  qu’en

Reflet correspondant.

 .

Ta beauté,  ton bonheur

Sont attendus, par dehors,

Apparence n’est plus que leurre,

Seul comptera ce merveilleux trésor

Qu’on a trouvé caché en lui, en elle,

Vogue la vie en joie, temps éternel.

 .

Ta beauté intérieure

N’a pas du Sud ni du Nord,

Elle n’est pas lieu, ni météore,

Elle est partout et elle est ailleurs,

Est présence d’enveloppe de corps

Dont aura lui donne couleur d’or.

 .

Ta beauté … intérieure

Est perméable à l’extérieur,

Indépendamment, jour, heure.

Elle vient d’une âme, d’un cœur

Il faut soi-même en avoir et fort

Pour voir transparence d’amor.

 .

Ta beauté est double-vue perçante

Qui fera de toi, plus belle des amantes,

Si ce n’est  amant : l’âme  n’a pas de sexe.

Ta beauté extérieure en a, donne complexe,

Tant demeure, inatteignable, impénétrable

Nonobstant soin on est, en elle, capable.

.

Ta beauté intérieure n’est pas géolocalisée,

La tienne  n’est pas : du nord, sud, est, ouest :

Elle est universelle, elle est même intemporelle,

Comme  un  reflet d’humaine, en beauté divine !

Elle vient, de l’âme,  vient de l’esprit,  du cœur,

Qui respire, transpire d’authentique bonheur

D’exister  au  monde, cachée,  mystérieuse,

Excepté qui la perçoit comme délicieuse.

.

Extensions

.

La beauté intérieure n’a pas de commune mesure

Avec la beauté extérieure sauf analogie de pensée

Ce n’est pas un visage, ce n’est pas un paysage.

.

C’est un état de conscience qui transparait

Au dehors comme une lumière tamisée

Qui n’a d’ombre portée : clair-obscur,

Dont certains ne voient que le côté clair.

.

D’autres que le côté obscur, on ne peut voir

La beauté intérieure de quelqu’un, si tant est

Qu’il en dispose, à travers filtre de son regard.

Une simple projection, illusion, direz-vous.

.

Non, sa lumière de vient pas de vous,

Vient de lui,  est indépendant de

Toute fausse  interprétation,

Lui appartient en propre.

.

Qu’est-ce qu’une âme et déjà en a-t-on une, blanche, noire, grise

Bonjour les inventions, illusions, et, après sa mort, les surprises.

Qu’est-ce qu’une beauté intérieure quand l’extérieur ne l’est pas

Quasimodo en avait-il une qu’Esméralda ne reconnaissait pas !

Elle est, et c’est certain, impossible, à cerner, à photographier,

Mais elle peut  transparaître dans le regard, sourire, attitude,

Faut-il encore être attentif pour parvenir à bien la discerner.

.

Comment pourra-on percevoir la beauté

Intérieure de quelqu’un ou de quelqu’une :

Elle demeurera cachée, secrète, par définition,

Laisse apparaitre peu d’elle, en toutes situations.

.

Chacun a son antenne, représentation, interprétation,

Freud dirait que tout cela n’est autre que projections

De soi, mais est-ce certain quand une foule le voit,

Ne disait-on pas déjà cela de Maryline Monroe !

.

On dit, au cinéma, qu’un acteur, une actrice,

Occupe tout l’écran, et voire  le transperce :

Il faudra voir «La rose pourpre du Caire»

Qui ira plus loin … jusqu’à l’enlèvement.

.

Vrai qu’on peut pousser le bouchon,

À ce point aussi loin, jusqu’au rapt,

Frappé par une âme toute en beauté

Rien ne peut, lors, vous en empêcher.

.

Fragments

Beauté

.

Agréable à voir ou à entendre.

Qui fait éprouver une émotion esthétique

Qui plaît beaucoup à l’œil en étant opposé à laid.

Dont physique, visage, répond aux canons de beauté.

On le qualifie de : joli, magnifique, superbe,  admirable,

Quand ce n’est charmant, gracieux, éclatant, harmonieux

Quand il s’agit de vêtement on dit : bien habillé, apprêté.

Il, elle, est parvenu à se faire beau, belle, chic, élégante.

Dans le « beau monde », la société élégante, brillante.

La beauté ferait naître  un sentiment d’admiration,

Ou de satisfaction en opposé à mauvais, médiocre.

Quel joli grain de beauté, vous avez, là,  ma chère !

.

Joli n’est qu’un diminutif du beau ;

il n’en a ni la  grandeur, ni la régularité,

ni la généralité, ni  l’idéal.

La chaîne des Pyrénées vue du haut du

pic du Midi est un beau spectacle ; un joli

paysage est quelque chose plus  restreint.

Un vieillard peut avoir une belle tête,

même sil n’a pas un si joli visage.

Hegel affirme une différence  conceptuelle

entre le beau de nature et le beau artistique.

Ce dernier est « très au-dessus de la nature »,

 est  l’œuvre exclusivement , de l’esprit humain.

Il a pour but « La présentation  de la vérité »

sous sa forme sensible et permet à l’homme

d’accéder à la conscience de soi.

.

Pour Platon, c’est par l’amour que l’on désire

Et découvre des choses de plus en plus belles

Beauté est à la fois un concept et une réalité

Qui dépend de celui qui regarde, qui écoute

Autant que de la chose regardée, entendue.

Mais dans la beauté il y a une dimension

Supérieure, sublime, parfois intérieure,

Qui en étant cachée demeure invisible

Aux yeux qui ne pénètrent l’intime !

Le beau, pour l’un, peut être laid

Pour l’autre … subjectivement !

Et, ce qui n’est ni l’un ni l’autre,

Est souvent qualifié de « commun ».

Ce que j’en dis vous parait-il commun ?

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Beauté intérieure

N’est   pas   leurre,

Elle ne  vieillit  pas,

Au fil …  des heures,

Au  contraire  …  elle

S’enrichit des lueurs

Que  lui   apporterait

Expérience et valeur.

BEAUTÉ

Ta beauté si n’est pas

Indifférente  au  sexe,

Elle   ne   dépend   pas

De lui  …  pour autant.

Ta  beauté   intérieure,

Demeure    complexe :

Elle ne  se verra  qu’en

Reflet correspondant.

INTÉRIEURE

Ta beauté,  ton bonheur

Sont attendus, par dehors,

Apparence n’est plus que leurre,

Seul comptera ce merveilleux trésor

Qu’on a trouvé caché en lui, en elle,

Vogue la vie en joie, temps éternel.

QUEL QUE

Ta beauté intérieure

N’a pas du Sud ni du Nord,

Elle n’est pas lieu, ni météore,

Elle est partout et elle est ailleurs,

Est présence d’enveloppe de corps

Dont aura lui donne couleur d’or.

SOIT LE SEXE

Ta beauté … intérieure

Est perméable à l’extérieur,

Indépendamment, jour, heure.

Elle vient d’une âme, d’un cœur

Il faut soi-même en avoir et fort

Pour voir transparence d’amor.

 .

Ta beauté est double-vue perçante

Qui fera de toi, plus belle des amantes,

Si ce n’est  amant : l’âme  n’a pas de sexe.

Ta beauté extérieure en a, donne complexe,

Tant demeure, inatteignable, impénétrable

Nonobstant soin on est, en elle, capable.

.

Ta beauté intérieure n’est pas géolocalisée,

La tienne  n’est pas : du nord, sud, est, ouest :

Elle est universelle, elle est même intemporelle,

Comme  un  reflet d’humaine, en beauté divine !

Elle vient, de l’âme,  vient de l’esprit,  du cœur,

Qui respire, transpire d’authentique bonheur

D’exister  au  monde, cachée,  mystérieuse,

Excepté qui la perçoit comme délicieuse.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Amoncellement de cailloux

 Allant du plus gros au plus petit

Gardant équilibre grâce à son âme

Qui former comme un repère fragile.

.

480 4

.

Les soutiens les plus gros

Et les plus solides, facilitent

Et la grandeur de son esprit

Et la hauteur de son âme !

Ce qui caractériserait le plus l’âme est son élévation

Tout comme pierres empilées et gardant l’équilibre

Bien qu’il s’agirait plutôt de condition humaine.

.

 .

 Symbolique

 .

Mot

Âme

Évoque

Pou-voir

 In-vi-si-ble,

Être distinct,

Partie d’un  vivant,

Vrai  principe de  vie,

Organisation,   action :

Sauf fugaces apparitions,

Reste toujours invisible

Ne se manifeste en actes.

Par un pouvoir mystérieux

Elle suggère une réelle force

Supranaturelle, un esprit,

Centre énergétique.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

480 6

.

Au milieu de multiples couches concentriques

Un seul et précieux repère

Qui représente et qui symbolise sa propre âme

Qu’on préserve, sanctuaire.

 .

Symbolique 

  .

À quoi

Correspondent

Les tas de pierres

Sur tous  sentiers ?

 .

Ce sont  des repères

Laissés par précédents

Randonneurs,    permet 

De  baliser  le  chemin ou

Matérialiser   un    pic,   et

Ainsi permettre  d’identifier

Plus clairement le bon chemin.

 .

Ils  prennent  la  forme  d’un  tas

Monticule de pierres, en pyramide,

Et sont le plus souvent situés à des endroits

Où il est difficile d’entretenir un sentier délimité

Ou un balisage  à l’aide des couleurs de peintures.

.

.

Fond/forme 

 .

L’âme est un principe, concept qu’on ne peut figurer

Sans substrat physique, l’on ne  peut que l’imaginer

Bien qu’il rime parfaitement avec amour toujours

Aucune forme ne  peut se confonde avec le fond,

Même sous forme d’ange ou de flamme, esprit.

.

Beauté intérieure se rapproche de l’âme pure

Qui ne se laissera approcher que par un regard

Qui l’est tout autant, ou tend à l’être, en amour !

.

Elle relie intérieur, extérieur en laissant poindre

Des signes de sa présence et de son aura divine

Dès lors qu’elle relie corps et esprit aux cieux

Tout cela demeure, en nous, mystérieux !

 .

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479 – Ton visage reflète ta beauté

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Un visage reflète une image,

Une image reflète une beauté

Qu’on ne cesse  de percevoir :

En pleine lumière  ou en noir.

Lors, j’ai cru aimé  ton visage,

Je n’aurai étreint que l’image

 Que  je me suis forgé, de toi,

Lors, l’ayant  vue,  de  dos.

Voyant  ton vrai visage,

J’ai continué à t’aimer,

Tant reflet de ta beauté,

Y était, déjà … imprimé.

Demain, je  me réveillerai,

Et,  mes yeux  se décilleront,

En découvrant la  belle illusion,

Qu’aura provoquée ton apparition.

J’avais cru t’aimer, ta beauté factice,

A dévoilé son mystère plein d’artifices.

Image … reflet … mystère,

Ces trois, vite, m’exaspère,

Lors pensant que sur Terre,

L’autre vous attend, préfère.

Surtout ne vous retournez pas,

Avancez droit  et d’un bon pas,

Le cortège de ses fantômes, las,

Vous étouffera dans leurs bras.

Lors j’ai cru aimé ton visage,

Je n’ai étreint que ton image,

Que je me serais forgé  de  toi,

Et ce n’est que ma faute à moi.

Demain je  me  réveillerai, décillé,

Je te verrai quelconque  et moi laid,

Mais, si je le suis c’est que tu l’étais,

 Car c’était ton mystère  que j’aimais.

Ton visage et ton image et ta beauté,

M’auront, durant un temps subjugué,

Il me reste à faire ce constat de réalité,

Qu’en dépit, de cela, continue à t’aimer,

Lorsqu’en   cherchant       l’amour, j’erre,

Tu as été,  pour moi,    un   bref  passage.

Je   te    vois     quelconque,   et   toi,  laid,

Je crois que c’est ton mystère que j’aimais.

.

Extensions

.

Un visage reflète quantité de choses

Pour qui sait très bien lire sur ses traits

La nervosité ou la tranquillité ou l’angoisse

Sérénité, joie intérieur, mélancolie morose.

L’amour s’y lit et bonheur d’être amoureux,

Tout autant, la frustration de s’être trompé,

D’avoir été délaissé, de même que mal jugé.

Le visage est ce livre ouvert, où la vie écrira

Thèmes de prédilections, voire de passions !

Visage amoureux  est marqué  par des yeux

Qui sourient à la vie même à tout le monde.

«J’ai cru entrevoir  de l’amour … pour moi

Sur un visage : ce n’était qu’un masque.»

«J’ai  cru  reconnaitre, mais, de dos, la tête

Quelqu’un que j’aime, c’était son clone !»

Autant de confusions d’états et d’erreurs,

Appréciations, autant de beautés  plates,

Qui n’ont pas d’âme pour moi mais dont

L’ombre continue à me hanter la nuit

Tant le désir est fort de te chercher

De te rencontrer, de nous aimer.

.

Reflet évoque miroir

Miroir évoque reflet,

Une  image, virtuelle,

Réelle de lui, ou d’elle,

En lumière, ou en noir :

Visage mal fait, parfait :

On se reconnait, s’accepte

Ou, au contraire, se rejette

Et si l’on s’aime bien ou pas,

Ouvert ou fermé, l’on en sera.

.

Le visage d’un homme est carré,

S’il n’est pas rectangle ou losange

Celui d’une femme est  rond, ovale,

Quand  il n’est pas  disharmonieux !

Entre le visage d’un bébé, d’un enfant,

D’un jeune, d’un adulte ou d’un retraité,

Il y aura des marquages bien apparents,

Pourtant chacun garde traces de beauté.

.

On parle parfois de beauté plate voire vide

Tout juste bonne pour illustrer  magazines,

Mais aussi de beauté rayonnante ou typée,

Où son intérieur concorde à son extérieur.

Quoiqu’il en soit, quoiqu’il en fût, beauté,

Est un canon soumis aux aléas du temps

Et la technologie si ce n’est photogénie

Qui est comme charme insaisissable.

.

Fragments 

.

Deux différences essentielles en un visage :

Il demeure fidèle à lui-même en vieillissant,

Il se distingue  plus ou moins  de tout autre,

Sauf sosie, jumeau ou chirurgie esthétique !

.

Celui de femmes est plus ovale ou plus rond,

Celui d’hommes plus rectangulaire ou carré,

Mais ce ne serait là que de faux stéréotypes,

Il existe femmes ayant des traits masculins.

.

Et réciproquement posant sur le genre doute

N’entrons dans ce débat au multiples visages

Ton visage à toi est bien ovale, fort bien sage,

Ne manque pas de charme, ni de grâce toute.

.

Il y a de nombreux vases en forme de visages

Longiligne, ovaline,  ou aux courbes  graciles,

Et de plus un symbole féminin par excellence

En plus ou déjà par sa fonction de réceptacle.

.

Certains lisent sur un visage, comme en livres,

Ils voient des traits marquants, autres subtils,

Il est vrai que dans le tien, il y a bien de quoi :

Tout le contraire d’un visage fermé, très étroit.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Un visage       ^        reflète      ^        une image,

Une image     T      reflète      E     une beauté,

Qu’on ne       O     cesse de    G     percevoir :

En pleine    N    lumière    A   ou en noir.

Lors, j’ai    ^   cru aimé  S    ton visage

Je n’aurai  V  étreint  I que l’image

 Que je me ^ suis ^  forgé de toi,

Lors, l’ayant  vue,  de  dos.

Voyant  ton vrai visage,

J’ai continué à t’aimer,

Tant reflet de ta beauté,

Y était, déjà … imprimé.

Demain,  je  me  réveillerai,

Et,  mes yeux    se    décilleront,

En découvrant la            belle illusion,

Qu’aura provoquée              ton apparition.

J’avais cru t’aimer,                   ta beauté, factice,

A dévoilé son mystère ^^^^R^^^^^ plein d’artifices.

Image, reflet ^^^^^^^^^^^^E^^^^^^^^^^^^mystère,

Ces trois, vite  ^^^^^^^^^^^^F^^^^^^^^^^^^ exaspère

Lors pensant que ^^^^^^^^^^L^^^^^^^^^^^^sur Terre

L’autre vous attend  ^^^^^^^^È ^^^^^^^^^^^^^préfère.

Surtout ne vous ^^^^^^^^^^^T^^^^^^^  retournez pas,

Avancez droit   ^^^^^^^^^^^^E^^^^^^^  d’un bon pas,

Le cortège de ses  ^^^^^^^^^^^^^^^^^^^ fantômes las

Vous étouffera dans   ^^^^^^^^I^^^^^^^^  leurs bras.

Lors j’ai cru aimé ton    ^^^^^^M^^^^^^^^^^ visage

Je n’ai étreint que ton    ^^^^^^A^^^^^^^^^^image

Que je me serais forgé   ^^^^^^G^^^^^^^^^ de  toi

Et ce n’est que ma faute ^^^^^E^^^^^^^^   à moi.

Demain ^^^^^^^^^^^^ je  me  réveillerai, décillé,

Je te verrai ^^^^B^^^^ quelconque  et moi laid,

Mais, si je le suis^^^E^^^^^ c’est que tu l’étais,

 Car c’était ton mystère^^^A^^^^^que j’aimais.

Ton visage et ton image et  ^^U^^^ ta beauté,

M’auront, durant un temps ^^T^^ subjugué

Il me reste à faire ce constat^ É ^de réalité

Qu’en dépit, de cela, je continue à t’aimer,

Lorsqu’en   cherchant       l’amour, j’erre,

Tu as été, pour moi,    un   bref  passage.

Je   te    vois     quelconque,   et   toi, laid,

Je crois que c’est ton mystère que j’aimais.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un vase, tout naturellement

J’y vois aussi un visage féminin.

Surmonté d’une chevelure en palmier

Reflétant l’intérieur d’une belle pensée !

.

.

Évocation

.

Un beau vase, des plus stylés,

Du moins selon les apparences :

Tant sa beauté serait en équilibre,

Harmonie, entre toutes les parties !

Visage féminin est, le plus souvent, oval,

Chevelure plus ou moins droite, abondante,

Un vase à col ouvert accorde un peu les deux.

.

Symbolique 

Par sa forme,

La grâce de ses courbes

Et sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin.

Son creux évoque  celui de l’utérus

Féminin contenant les fluides vitaux

En l’art et les rites funéraires, le vase

Apparaît parfois comme emblème de

Vie éternelle. Celui de la coupe calice,

Est lié à deux connotations opposées

Positive, elle est signe d’un destin

Favorable dont elle préfigure

Les agapes, et  donc la

Joie et le plaisir.

Négative, celui

De la peine, mort.

heraldie.blogspot.com

/2014/08/le-vase

.

 .

Fond

.

Évocation

.

 

.

Un visage des plus féminins,

Du moins selon les apparences :

Tant sa beauté serait en équilibre,

Harmonie, entre toutes les parties !

 .

Symbolique 

 .

Le visage reste

Dévoilement incomplet

Passager                personne,

Comme    o      o  dévoilement

Personne                      n’aurait  vu

Directement     son     vrai visage,

Sauf en mi       roir      : le visage

 N’est pas  ———    pour soi,

Est pour autre,  moi intime

Dénudé, plus

Révélateur que

Reste de son  corps.

 .

Pour le comprendre il faut de la patience,

De la lenteur, du respect, et, de l’amour.

C’est avilir le visage que de l’analyser

Sans l’aimer lors visage n’exprime

Plus aucune vie …… intérieure,

C’est un masque élastique.

.

 . 

Fond/forme 

.

Visage ovale correspond à celui d’une femme

À la chevelure qui l’entoure ou le surplombe.

La forme ovale rime avec beauté, féminité

L’interprétation est ici très contrainte

Tant que le fond épouse la forme

Traits viennent s’y conformer

Élimant toute confusion

Voire transgression

Ou ambiguïté !

 .

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478 – Argent, sexe et beauté : dieux

Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Si la mer, le sexe et le soleil

Sont les dieux  du bien-être,

L’argent, le sexe et la beauté,

Sont les dieux de la séduction.

.

Si  vous les avez, tous les trois,

Les dieux  seront de votre côté,

Si  vous n’avez  aucun des trois,

Les dieux  vous ont abandonné.

.

Beauté, intérieure, bien cachée,

Démon intérieur … bien malin,

Dieu intérieur … bien humain,

Ne vous serviront tous, à rien.

.

L’argent, le sexe, et la beauté,

Peuvent aussi  se monnayer :

Si femme a déjà tout donné

Il ne lui reste que vacuité !

.

Argent et sexe et beauté,

Sont trois dieux à célébrer,

Sont trois vœux à … sacrifier,

Sur l’autel de nos amours ratés

.

Ce  n’est pas  qu’il faille  renoncer,

Aux trois … pour cesser … d’exister,

Mais, avec tels prédateurs, acharnés,

Je n’atteindrai jamais, beauté sacrée.

.

Elle demeure,  à l’intérieur, invisible :

Dédiée à, un seul être,  inaccessible :

Et fait en sorte,  vues d’apparences,

Qu’elle soit prise pour indécence.

.

Vivre en l’instant pour profiter

De l’autre, ou de son image :

Voilà le plus grand mirage,

Que désir plaise à inventer.

.

Quand femme, déshabillée,

Quand femme a tout donné,

Que lui reste-t-il à monnayer,

Hors argent, sexe, ou, beauté !

.

Vivre en l’instant, le moment présent,

Sans se projeter, sans histoire commune passée,

Sans fils parfois ténus à relier est toujours possible,

Parfois même, souhaitable, pour se vider, ou se remplir

La tête d’illusions, mais au long terme, cela ne construit rien.

.

Extensions 

.

Dire qu’amour ne prend pas en compte

Argent, sexe et beauté, serait une erreur,

Une contrevérité, et s’ils sont nécessaires,

Ils ne s’avèreront pas suffisants pour tisser

Liens solides, construire une relation stable.

.

Je ne suis pas riche,  je ne suis pas séduisant,

Je ne suis pas beau : une fois ce constat établi,

Renforcé par entourage que reste-t-il à l’homme

Ou à la femme à espérer, sinon trouver quelqu’un,

Quelqu’une, de même condition, or « La plus belle

Femme du monde ne peut donner que ce qu’elle a»

.

L’expression n’est pas de moi, mais, elle illustrera

Le fait que, même en possédant tous les atouts,

Le manque peut subsister  ou  réapparaitre,

Tant l’être humain a besoin de renouveler

Et de diversité, ne peut se satisfaire,

Ni de ce qu’il a ni, de ce qu’il est !

.

Il en faut des stimuli, et des émotions, pour déclencher l’amour

Et dans ce lot, argent, sexe et beauté feront un ménage à trois,

Pour rapprocher les corps, les cœurs : c’est ainsi, c’est une loi !

L’argent seul, ne suffit pas ; le sexe seul, non plus ne suffit pas :

La beauté de l’amour est toute entière dans l’amour de la beauté

Que dire de plus quand on aura tellement sublimé l’amour entier,

Qu’il s’imposera, à vous, tout comme un dieu, comme une divinité.

.

On peut sembler tout avoir en sa vie

Et pour autant, un beau jour, tout rater,

Une dépression peut, brutalement, enlever,

Le masque que vous portez pour plaire autres

Alors qu’en vous-même ne cherchez qu’être aimé

Par un seul être à même de vous satisfaire, combler

.

Le cas de Maryline Monroe est emblématique à ce sujet

Si elle est loin d’être la seule, elle demeure la plus célèbre

Il en est de même pour hommes, riches, beaux et célèbres

Devenus des références, des idoles, voire presque des dieux

Et tombés de leur hauteur dans un enfer de haines ou rejets

Au point de vouloir finir avec la vie, n’étant qu’une illusion.

.

Fragments

.

Des dieux sont souvent représentés statufiés,

C’est peut-être une façon de les sentir vivants,

Chacun sait qu’ils n’existent qu’en virtualités,

Amoureux, en éternité, ont même traitement.

.

Aujourd’hui on aura choisi trois dieux d’adorer

Qui ne se disputent guère : en complémentarité

Il s’agirait de l’argent et du sexe et de la beauté,

S’ils ne seront pas les seuls, ils sont haut placés.

.

L’argent vient en premier, avec lui, tout s’achète

Avec lui on peut voir sa vie  comme éternelle fête

On passerait  es trois quarts de sa vie à le gagner

Et le quart, et  au mieux, à trouver à le dépenser.

.

Le sexe, sous toutes ses formes et toutes coutures

Que l’on consomme comme mets, de la confiture

Vient en second quand on performe et à l’extrême

Cerise sur gâteau si ce n’est pas gâteau lui-même.

.

La beauté, quoiqu’on en dise viendrait en dernier

Et pour la bonne raison que l’on peut s’en passer,

Sauf que la nature et la beauté féminine, attirent

Les artistes et esthètes de plus en plus nombreux.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Si la mer, le sexe et le soleil

Sont les dieux  du bien-être,

L’argent, le sexe et la beauté,

Sont les dieux de la séduction

Si  vous les avez, tous les trois,

Les dieux  seront de votre côté,

Si  vous n’avez  aucun des trois,

Les dieux  vous ont abandonné.

Beauté, intérieure, bien cachée,

Démon intérieur … bien malin,

Dieu intérieur … bien humain,

Ne vous serviront tous, à rien.

L’argent, le sexe, et la beauté,

Peuvent aussi  se monnayer :

Si femme a déjà tout donné

Il ne lui reste que vacuité !

.

ARGENT, SEXE

.

Argent et sexe et beauté,

Sont trois dieux à célébrer,

Sont trois vœux à … sacrifier,

Sur l’autel de nos amours ratés

.

ET BEAUTÉ

.

Ce  n’est pas  qu’il faille  renoncer,

Aux trois … pour cesser … d’exister,

Mais, avec tels prédateurs, acharnés,

Je n’atteindrai jamais, beauté sacrée.

Elle demeure,  à l’intérieur, invisible :

Dédiée à, un seul être,  inaccessible :

Et fait en sorte,  vues d’apparences,

Qu’elle soit prise pour indécence.

Vivre en l’instant pour profiter

De l’autre, ou de son image :

Voilà le plus grand mirage,

Que désir plaise à inventer.

Quand femme, déshabillée,

Quand femme a tout donné,

Que lui reste-t-il à monnayer,

Hors argent, sexe, ou, beauté !

.

SONT DES DIEUX

 .

Vivre en l’instant, le moment présent,

Sans se projeter, sans histoire commune passée,

Sans fils parfois ténus à relier est toujours possible,

Parfois même, souhaitable, pour se vider, ou se remplir

La tête d’illusions, mais au long terme, cela ne construit rien.

.

Forme

.

.

Évocation

.

J’entrevois formes possibles

D’une colonne type statuaire,

À deux statuettes blanches,

Ou deux statues d’amoureux.

.

478 4

.

Deux statuettes antiques

Colonne voire élément enchâssé

Homme, femme, couleur blanche

Étant, peut-être, des divinités ?

  .

Symbolique 

 .

Une  jeune 

 Américaine,

Université d’Iowa,

Professeur Sarah Bond

A essayé  de démontrer

Dans  un  article  paru

Sur Hyperallergic,

Que le

 «Marbre blanc» des

Statues antiques favorise,

À tort, exaltation homme blanc,

Et suprémacisme du mâle blanc :

En s’appuyant sur ses recherches,

Elle dresse  un réquisitoire  contre

La prédominance  de la statuaire

Gréco-romaine en marbre blanc

De nombre musées mondiaux.

medias-presse.info/les-statues-antiques-

symbole-de-discrimination/77592/

.

.

Fond

.

Évocation 

.

478 6

.

Les amoureux sont, parfois, représentés

Sous la forme de deux statues,

Ou de statuettes, lors autant d’objets

 Fétiches qu’on se met à adorer.

 .

Symbolique 

 .

Une statue

Est un ouvrage

En trois dimensions

Représentant

 Un personnage ou un animal,

Réalisé en matériau pierre, bois,

Plâtre, terre, métal, plastique,

On  parlera de  statues  pour

Des œuvres  taille moyenne

Égale  ou  supérieure à la

Moitié de taille naturelle,

Pour une sculpture  d’un

 Être humain, à grande.

(La statue de la Liberté

Est de 92 m de haut) ;

Une œuvre plus petite

Est appelée statuette.

Modifié, source : Wikipédia

 .

.

Fond/forme 

 .

La statue ne figure en rien ni argent ni sexe

Mais  elle peut représenter formes de beauté,

Face à face avec elle, est empreint projection,

Qui pourrait servir de support à l’adoration !

.

Ces deux termes riment ensemble en religions

Néanmoins elles entretiennent une confusion

Entre une belle représentation et sa réalité.

Les dieux n’existant pas, comment les voir

Argent, sexe existent, excitent en miroir.

.

Des statues donneront plus qu’une impression,

Comme sorte d’âme ou message à nous délivrer

Mais aussi belles, excitantes, chères, soient-elles,

Elles ne remplaceront jamais personne vivante

Qui, bien que n’ayant aucune de ces qualités

Aura au moins ce don de nous toucher !  

.

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477 – Vibrations voix, mots, qui envoûtent

 

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La voix, les mots, les vibrations,

Les résonnances, les consonances,

Tout cela crée une petite musique,

Qui s’orchestre, s’amplifie, en tête.

.

Et l’envoutement par voix est fatal

Quand ce ne sont plus  les paroles,

Que l’on  entend  mais  des  sons,

Nous charmant  par leurs tons.

.

On repère mots par ci,  par-là,

Prenant sens qu’on ordonne

Que colimaçon coordonne,

Lors donnant son tempo.

.

Ta voix, mots m’envoutent,

Ôtent, de ma bouche, doute,

Parfum de toilette de violette,

Me fait toujours tourner la tête,

Ton regard plongé dans mon âme,

De son essence  en  moi s’enflamme.

.

Ta peau douce au toucher de pêche,

Que pas un grain malin n’empêche

De presser et de caresser à loisir,

Jusqu’au paroxysme

D’un désir

.

Impressionne tous mes neurones

Tellement, elle  est belle,  est bonne.

Déliés ronds de ta courbe conjuguent

Des grammaires en perte de tous sens,

En périphrases  ou en phrases denses,

Mouvements lascifs qui subjuguent

Nos corps communicant amour

Début de nuit jusqu’à

La fin du jour.

.

Vibrations de ta voix douce

Jointes à  une belle frimousse,

Captivent chacune  mes attentions

À en attiser au plus haut ma passion,

Me poussant à   franchir  le Rubicond,

D’un fleuve  qui a, amour  pour nom.

Ta voix,  tes mots qui m’envoutent,

Sont loin de ce que je redoute,

 Confiante, tu me rassures

Sur route prise

Avec toi.

.

Tes gestes, tes mouvements, souples,

Sont autant d’arabesques qui dessinent

Des danses où la pesanteur est… absente,

Où la grâce et charme sont constantes,

À tel point que je te repère de loin

Dans mon champ de vision.

.

Extensions

.

Tes vibrations orales,

Vibrations hormonales sont capitales :

Tout en toi vibre d’ondes n’étant pas captées

Que par moi en ventres, nœuds, phases,

En superpositions quasi totales.

.

Tes vibrations de voix, en mots,

Qui m’envoutent par ses tons, accords,

Harmoniques, interprètent en mon cerveau

Une symphonie diatonique et qui tire

Et pousse vers un hymne lyrique.

.

Quand je suis point, tu es contrepoint,

Quand je suis basse tu es un grande soprane,

Quand je suis contrebasse, tu es picolo,

Quand je suis dièse, tu es bémol.

.

Quand  finira-t-on sur point d’orgue commun.

Que tu cries fort ou que tu murmures,

Les sons de ta voix me parviennent

Comme un chant qui résonne à mes oreilles

Comme des incantations me mettant

Aussitôt dans un état second, où l’amour,

Produit sortes de réverbérations.

.

Dire que notre voix est une  signature sonore est comme évidence

Elle est constituée d’un fondamental, harmoniques, résonances !

Et pas deux ne se superposent totalement, sauf en chant choral.

Mots Zic  et Musiques s’associent, se confondent, se répondent,

Et ce doux mélange nous attirent et envoutent de leur mélodie

Et quand la chanteuse, à voix suave, se lance, seule, à capella,

Des frissons se mettent à parcourir votre corps, votre peau !

.

Un seul mot sorti de sa bouche lors d’une danse

Peut parfois stopper bel élan vers l’attrait sensuel

Tout semblait si parfait tant qu’il ou elle ne parlait

Et voilà que le seul son de sa voix, écorce l’oreille.

.

Il y a ce que l’on dit et la manière dont on le dit

Le charme d’une voix peut créer sorte de musique

On ne sait ce qu’il a dit que déjà d’accord avec lui

Tout comme si c’était des harmoniques de sons.

.

On dit qu’on est sur la même longueur d’ondes

Et on sait que des ondes inverses se contrarient

D’où vient cette harmonie ou bien cacophonie :

De la bouche, du palais ou de gorge profonde !

.

.

Fragments 

.

Voix des sirènes, sont, parait-il, envoutantes,

Voix célestes d’oiseaux de proie dans les airs,

Voix lointaine des profondeurs d’océan d’eau,

On ne peut leur résister et d’aucune manière.

.

On sait que la voix suave chuchotée à l’oreille,

Quelque part en notre esprit, l’amour réveille,

Comme si un ange, en nous, soudain, pénètre,

Utilisant son timbre de voix en notre fenêtre !

.

Son onde se superpose sur la même longueur,

Nous plongeant dans une humeur de langueur,

Qui se répandra en antichambre d’un bonheur,

Qui ne peut que m’être bénéfique à cette heure.

.

J’arrête là mon délire d’un monologue intérieur

Sinon l’on va me rappeler que j’entends des voix

Mais mes yeux ne me trompent, tu es sur scène,

Et j’écoute ta chanson qui me berce les tympans.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

La voix, les mots V   les vibrations,

Les résonnances     I   les consonances,

Tout cela crée            B       petite musique,

Qui s’orchestre               R        s’amplifie en tête.

Et l’envoutement              A             par voix est fatal

Quand ce ne sont                T                 plus les paroles,

Que l’on entend                I                 mais des sons,

Nous charmant            O             par leurs tons.

On repère mots        N         par ci,  par-là,

Prenant le sens   S    qu’on ordonne

Que colimaçon coordonne,

Donnant le tempo

Ta voix, mots, m’envoutent,

Otent, de ma bouche, tout doute,

Parfum de toi       E        lette violette,

Me fait toujours       N         tourner la tête,

Ton regard plongé        *              dans mon âme,

De son essence  en           V              moi s’enflamme.

Ta peau douce au         O         toucher de pêche,

Que pas un grain     I     malin n’empêche

De presser et de   X  caresser à loisir,

Jusqu’au paroxysme

D’un désir

Impressionne tous mes neurones

Tellement, elle     D  est belle,  bonne.

Déliés ronds de              E     ta courbe conjuguent

Des grammaires                  *           en perte de tous sens,

En périphrases                 M            en phrases denses,

Mouvements las          O      cifs qui subjuguent

Nos corps com        T    municant amour

Début de       S   nuit jusqu’à

La fin du jour.

Vibrations de ta voix douce

Jointes  Q  à  une belle E  frimousse,

Captivent  U   chacune  mes  N   attentions

À en attiser   I   au plus haut ma      V     passion,

Me poussant     *        à   franchir  le       O      Rubicond,

D’un fleuve     S        qui a, amour     U     pour nom.

Ta voix,  tes   O       mots, qui    T   m’envoutent,

Sont loin de   N      ce que   A    je redoute

 Confiance  T      toi   N  me rassure

Sur route   T    prise

Avec    S      toi.

Tes gestes, tes mouvements, souples,

Sont autant d’arabesques qui dessinent

Des danses où la pesanteur est… absente,

Où la grâce et charme sont constantes,

À tel point que je te repère de loin

Dans mon champ de vision.

.

Forme

.

.

Évocation

 

En haut une bouche

En train   de  chanter

Une longe onde de vie,

Musicale voire cérébrale.

.

477 4

.

L’onde de vie, surtout celle des voix,

 Peut devenir magique ;

Dès lors qu’elle ébranle les circonvolutions

Du cerveau limbique !

.

Symbolique    

 .

Les  vibrations  sont

Un tout dans l’univers,

Un monde  de basses  et

De hautes .… fréquences,

Une création de chaque instant

Où se vit la vérité ou bien l’illusion.

 .

Chacun  a  accès à  ces  ondes de vie,

Qui ont des vibrations à chaque instant

Car elles sont créées par vos pensées,

Par vos paroles  et  par vos actions.

 .

Chaque être sera pourvu d’un peu

De la toute-puissance de l’univers

Et doit, aujourd’hui, connaître

La portée de ses ..… créations.

 .

L’onde de vie est forte, puissante.

Elle définit la puissance des énergies

Afin que vienne la guérison en chacun….

audeladesmots.org/?tag=londe-de-vie

.

..

Fond

.

Évocation 

.

477 6

.

L’onde cérébrale provient du dedans, du cerveau

Alpha, bêta,  gamma, etc.

On n’en a peu conscience mais elle a son importance

Pour créer des harmoniques.

 .

Symbolique 

 .

Existe 5 types d’ondes cérébrales

Qui  fonctionnent, presque, comme

Des notes  de musiques …  calibrées.

Certaines agissent à basse fréquence,

D’autres à une fréquence plus élevée.

.

Ensemble, elles sont capables de

Constituer une harmonie où

Nos pensées, nos émotions

Et nos sensations peuvent

Atteindre un équilibre parfait,

De sorte que nous nous sentirons

Plus attentifs, réceptifs à ce qui entoure.

Source : nospensees.fr/types-dondes

  .

.

Fond/forme 

.

L’onde est par nature, sinusoïdale, impulsionnelle

En se propageant, rime et rythme avec elle-même

En finissant par se dissoudre en distance à l’infini

Et tant et si bien que forme se conjugue avec fond

Sans prendre en compte contenus sémantiques,

Simplement ses creux et bosses en musiques,

Parvenant, sympathiques, antipathiques,

Comme voix murmurante, tonitruante

Nous charmant l’oreille, l’écorchant.

 .

 Textuels et illustrations  >>

476 – Couleurs de cheveux, de peaux

Textuels et illustrations   >>  

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Les blondes, brunes  et  rousses,

Ont toutes de belles frimousses,

Et, surtout  en jeunes, pousses

Nous attirent ou repoussent.

.

Les blondes aux yeux bleus,

Les brunes, aux yeux noirs,

Les rousses, aux yeux verts,

Premières, ont la peau claire

Secondes,  ont la peau  hâlée,

Dernières ont peau mouchetée.

.

Qu’importe les cheveux, peaux, yeux,

L’essentiel n’est-il pas reflet harmonie.

J’oublie de parler, des gris et des blancs

Rabougris par le sang voire par le temps.

Ils n’en demeureront, pas moins,  attirants

Même s’ils flottent, et bien moins, aux vents.

.

Certains n’aiment que  les blondes,

Pour eux : la perfection  du  monde,

Autres n’en ont que pour les brunes,

Tant elles les enivreront  en  brumes,

Des plus rares,  préfèrent  les rousses,

Bien que devenant un feu de brousses.

.

Les premières  ont teints  peaux dorées,

Secondes ont des visages les plus halés,

Dernières,  peaux blanches mouchetées,

Premières, elles ont hérité d’yeux bleus,

Les secondes,    de regards  très envieux,

Dernières, d’iris émeraude vert radieux.

.

Qu’importe  peaux, ou yeux ou  cheveux,

L’essentiel serait  le reflet, et l’harmonie,

De leurs sourires qui les font bien pétiller

D’airs de charmes, de  grâces  amabilités,

Imprimant, en eux  leur âme,  qui choisit

Une couleur qui vous  mènera  aux cieux.

.

Entre les trois bon nombre de métissages

Viennent ajouter les fruits  d’un partage :

Noir, jaune, blanc, voire rouge en nuage,

Chacun les voient  un peu  à son image :

L’un changera d’avis,  prenant de l’âge,

L’autre teindra ses cheveux trop  sages.

.

J’oublie de parler des gris, et des blancs,

N’auront-ils donc aucun charme  éclatant,

Seront-ils dégradés ou pimentés hors d’âge,

Rabougris par le sang voire  par le temps,

Ils ne flottent plus jeunesse dans le vent

Pour qu’on les demande en mariage.

.

Si cheveux se ternissent ou se ravivent,

Et les peaux se relâchent s’affermissent,

Du temps,  on veut cacher  les prémisses,

Seuls les yeux échappent  à ses supplices.

Regards pour croque-la-vie,  rajeunissent,

Un jour de toute façon,  faut que  ça finisse.

.

Extensions

.

Ce discours ci, haut en couleurs,

S’achève sur une note optimiste d’humeur,

En vous prédisant que les teintes du bonheur,

Changeantes et surprenantes de fraicheurs,

Pourront  habiller… toutes vos années,

Vos mois, vos jours et vos heures.

.

Jeunes femmes et bien plus encore coiffeuses et maquilleuses,

Vous diront tout sur l’importance de la couleur des cheveux ;

Les dermatologues, de la peau ; les psychologues, des yeux.

Les romanciers, scénaristes, poètes, de leurs assemblages,

 Publicistes, de les avoir photographiés et photoshoppés !

Viendra le temps ou la génétique aura fait des progrès

Au point de pouvoir choisir : sera-ce un mal ou bien,

Nul ne le sait et d’autant que l’on peut déjà tricher

Jusqu’à un certain point, âge découvrant vérité.

.

Qu’est-ce qu’on voit, en premier, chez l’humain :

Les yeux, les cheveux, la peau et leurs couleurs

Et ensuite  on filtre, on décode, on interprète,

Fonction des stéréotypes et des préférences.

.

Or voilà, on peut tricher, sauf sur la peau,

Les cheveux bruns sont teintés en blond,

Et les yeux bleus ont des lentilles vertes,

Sur la peau, on peut gommer des rides.

.

Se maquiller, respectant âge et naturel,

Exhausse votre beauté, présence, attrait,

Mais quand trop, c’est trop, voire mal fait,

Il y a tromperie volontaire chez lui, chez elle.

.

Fragments

Couleur

.

Symbolisme des couleurs :

Le rouge ou orange, le feu.

Le jaune  ou le blanc, l’air.

Le vert  ou   le  bleu,  l’eau.

Le noir ou le brun, la terre.

Le noir évoquerait le temps.

Le blanc, reflète l’intemporel.

.

Noir et blanc : alternance obscurité

Et de la lumière.

Toutes couleurs claires, vives, gaies :

Bon présage ;

Couleurs sombres, brouillées, indécises :

Déboires et soucis.

 

Les sept couleurs de l’arc-en-ciel

Ont été mises en correspondance

Et avec les sept notes de musiques,

Cieux, planètes, jours  de  la semaine.

.

Si rouge, couleur du feu, soleil couchant

Est, partout, symbole d’ardeur, passion,

il est couleur néfaste chez les égyptiens.

 

Et, si le vert, la couleur  des  végétaux,

Est symbole de vie,  comme d’espoir,

Les acteurs, chez nous le redoutent.

.

Le noir, couleur d’âme immortelle,

Et signe de la calamité et de deuil.

 

Le bleu,  celle du sentiment élevé,

Le jaune, celle de l’or et du soleil,

Lors le blanc, celle de la pureté !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

.

Les blondes, brunes et  rousses,

Ont toutes de belles frimousses,

 Et surtout en  &  jeunes pousses

   Nous attirent C    ou repoussent.

   Les blondes   O  aux yeux bleus,

      Les brunes,   U   aux yeux noirs,

           Les rousses,  L      aux yeux verts,

            Premières,  E ont la peau claire

                    Secondes    U    ont la peau  hâlée,

                             Dernières   R ont la peau mouchetée.

                                    Qu’importe S  les cheveux, peaux, yeux,

                                           L’essentiel  & n’est-il pas reflet harmonie.

                                              J’oublie de  D  parler, des gris, des blancs

                                                   Rabougris   E  par le sang ou par le temps

                                                        Ils n’en demeureront, pas moins … attirants

                                                          Même s’ils flottent, et bien moins, aux vents

                                                           Certains n’aiment que         C       les blondes

                                                          Pour eux : la perfection      H       du monde

                                                          Autres n’en ont que pour    E        les brunes

                                                           Tant elles les enivreront      V        en brumes

                                                          Des plus rares préfèrent      E        les rousses

                                                         Bien que devenant un feu   U      de brousses

                                                        Les premières ont teints     X    peaux dorées

                                                      Secondes, ont des visages    &   les plus halés

                                                    Dernières, peaux blanches   &    mouchetées

                                                    Premières, elles ont hérité   D    d’yeux bleus

                                                    Les secondes,  de regards     E     très envieux

                                                     Dernières, d’iris émeraude    &     vert radieux.

                                                  Qu’importe  peaux, ou yeux   &    ou  cheveux

                                                   L’essentiel serait  le reflet, et   P     l’harmonie,

                                                    De leurs sourires qui les font   E     bien pétiller

                                                  D’airs de charmes, de  grâces   A     amabilités,

                                                 Imprimant en eux  leur âme     U     qui choisit

                                                Une couleur qui vous  mènera   X    aux cieux.

                                                  Entre les trois, bon nombre de   &    métissages

                                                   Viennent ajouter les fruits  d’un  D    par-ta-ge.

                                                   Noir, jaune, blanc, voire rouge      ‘    en nuage,

                                                 Chacun les voient un peu à son     Y    image.

                                                  L’un changera d’avis prenant de     E      l’âge,

                                                  L’autre teindra ses cheveux trop     U    sages.

                                                    J’oublie de parler des gris, et des    X     blancs,

                                                    N’auront-ils donc aucun charme    &    éclatant,

                                                   Seront-ils dégradés ou pimentés   &   hors d’âge.

                                             Rabougris par le sang voire  par  &   le temps,

                                            Ils ne flottent plus jeunesse    &    dans le vent

                                       Pour qu’on les demande     &      en mariage.

                                     Si cheveux se ternissent    &      ou se ravivent,

                                Et les peaux se relâchent    &      s’affermissent.

                         Du temps,  on veut cacher   &      les prémisses

                            Seuls les yeux échappent       &        à ses supplices.

                       Regards pour croque-la-vie     &        rajeunissent,

                     Un jour de toute façon,  il faut  &  que  ça finisse.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une chevelure féminine,

Avec une couleur rousse,

Et  avec  des anglaises,

Mais d’un seul côté ?

.

.

Une chevelure longue, courte, garçonne… bouclée

Autant de choix, de possibilité

Sans compter cheveux additionnels, ou perruques

Tout est langage, tout est symbole.

Nombre de chevelures féminines sont longues, flottantes,

Le plus souvent soit derrière, sinon sur un côté, les deux

Ici, c’est sur un seul, et même, peut-être, par devant !

 .

Symbolique    

.

   Cheveux de femme

Notamment  la  façon

Dont   ils  sont   coiffés,

Reflètent personnalité.

Et ils sont, également,

   Un langage  dit  social,

Dont codes changent

  Au  gré  de  la  mode.

         La chevelure des femmes

               A toujours eu connotation

                  Érotique et  c’est ainsi que

                      De  nombreuses religions,

                          Le christianisme et l’islam

                              Interdisaient aux femmes

                                      De dévoiler leur chevelure

                                              Tant  cela restai considéré

                                                           Comme manque de pudeur.

                                                                                 Source : 1001 symboles : chevelure

 .

.

Fond

.

Évocation 

476 4

.

Couleur des cheveux va souvent avec

Celle de la peau et des yeux :

Une rousse à peau blanche, yeux verts,

 La rendrait merveilleuse !

 .

 Symbolique 

Brune affirmée

    Et     entreprenante

       Blonde douce, effacée,

     Voire  rousse   pétante

     Les     stéréotypes    liés

         À la couleur de cheveux

           Évoluent  selon  époques,

            Selon diverses cultures.

              À une certaine époque,

              Couleur   symbolisait

                   démarcation sociale :

                  Aristocrate portait

                    Perruques envelop

                        Pantes, et, longues

                                Coiffure est encore

                                    Un  objet   social :

                                        Codes ont évolué. 

                                     Michel Messu

                                                   Modifié,    source :

                                                       madame.lefigaro.fr

.

Fond/forme 

.

Cheveux ont une couleur, parfois même deux, trois

Si l’on fait des mèches ou si l’on devient poivre et sel

Les peaux de même avec dégradé entre noir et blanc

N’oublions pas les yeux, blancs, iris, parfois vairons

Mais on peut mettre la perruque, appliquer teinture

On peut mettre  du fond de teint, blanchir  la peau,

On peut mettre des lentilles  de diverses couleurs.

.

Toutes ses modifications  n’auront  pour seul but

Que  de paraitre, différemment, de ce  qu’on est.

Voilà qui se correspond parfaitement  en chœur

La courbure de la chevelure et voire sa couleur,

Les rimes qui sont autant de volutes et d’ondes,

Tant et si bien que fond et forme se confondent,

Et qu’au fond sur la forme : y a rien à ajouter.

.

Textuels et illustrations   >>  

475 – Courant de mon regard vers ta peau

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Les yeux du

Corps : aussi

D’esprit, si ce

N’est, du cœur !

.

 Les yeux transforment réalité

Pour donner sens et consistance.

Sensations,  perceptions,  émotions

Sont décodées  par filtres, sociétés.

.

Être touché à distance, d’un regard,

Comme si la peau  avait  des yeux :

L’on se verrait, comme  en miroir

Reflétant ce que l’on est d’espoir.

.

Je sais que c’est délirant et c’est fou,

Il me plait  d’y croire, et, par-dessus tout,

Tant tu m’as touché à travers ton regard

Est-ce cause chimie, fruit du hasard !

.

Qui ne voit qu’avec ses yeux

Ne découvre rien avec le cœur,

Les yeux ne  voient qu’extérieur,

Lors la tête interprète ses enjeux.

.

La vision est faite de projections,

Dont la portée  n’est pas donnée :

Voir un doigt n’est pas direction,

Ni l’horizon,  le bout de son nez !

.

Qui sent chez  toi odeur de rose,

Au parfum su ave, ou capiteux,

Se retrouve vite sous hypnose

Par ses touchers voluptueux.

.

L’impression est une chose,

Qui donne sens à la réalité,

Sur elle, s’attarde, se pose,

Un savoir bien mémorisé :

À toi de la voir et décoder,

Aies confiance en  sagacité.

.

Qui ne fait erreur humaine,

Confond des vérités, vaines.

Entre ta peau et mon regard

Il y a une sensation projetée,

Déclenchant émotion bizarre,

De l’avoir auparavant touchée.

.

Alors même que,  cette réaction,

Se produit pour la première fois,

En  moi, comme irrationnel émoi,

Me fait dire que  c’est une passion,

Pour toi, avant, déjà,  la  contrôler.

.

Amour échappe à tout calcul donné,

Tu m’as touché à travers ton regard,

Est-ce chimie, ou poésie, ou hasard !

.

Extensions

.

Qu’un simple regard fasse frissonner

Une peau toute entière de la tête aux pieds,

Ça parait être d’ordre magique plus que chimique

Et pourtant tout est physique, tout est chimie.

.

En bref, tout est physico-chimique et ondes

Émises par les yeux en sont sans savoir

Comment elles se constituent

Et pourquoi certains, certaines

Les reçoivent, décodent, interprètent

Comme un message qui leur est destiné

Lors d’autres, pourtant…semblables, non.

.

« Être touché  par un regard »  est l’expression,

C’est certain, à prendre au sens figuré, mais elle

Illustre bien l’intensité d’un faisceau, transmettant

Des ondes quasi-immatérielles, en tous cas, invisibles.

.

L’essentiel est dans les yeux, dans un regard qui ne trompe pas,

Tant sa transparence se transforme un gage de son authenticité

Mais les regards ne chercheront pas que sexe, en un tel échange,

Ils tendent à percer, fouiller l’âme, voir si un démon ou  un ange

L’habite et correspond ou non au sien ou le pourchasse pervers.

Il arrive qu’un simple regard procure  des frissons sur la peau !

Et plus étonnant encore, sur la nuque : invisible mais touchant

Comme si un courant porteur, en se branchant sur son… aura,

Parvenait à électriser, insidieusement, la peau, voire le corps !

.

Tout est dans le regard, pour certains

Pour d’autres, tout est dans la peau,

On croit déceler intention dans l’un,

On croit voir peaux, sous oripeaux.

.

Toujours est-il que certains regards

Vous procurent comme des frissons,

On ne sait de peur ou bien d’abandon

Rendant en tous cas, un peu, hagards !

.

Il en est qui vous transpercent le tréfonds,

Autres vous enveloppent, bercent, à foison :

Meilleur regard n’est pas celui qui questionne

Qui vous répond par oui, à celle que vous posez.

.

Un regard doux, caressant, ne manque pas de sel

Il ajoute de l’eau à votre propre moulin des désirs

Il se suffira, en lui-même, pour accrocher un cœur

Qui se sent pénétré comme par immense bonheur.

.

Fragments 

.

On pourrait rapprocher deux regards

Entre deux personnes qui se croisent,

D’un courant qui passe, qui électrise

Un courant qui s’établit et qui ravit.

.

Pas que l’œil qui entre en vibrations

Le cœur aussi et puis tout le cerveau

Parcourt d’un frisson, toute la peau,

Provoquant du même coup, passion.

.

Y a de la physique et y a de la chimie

En ces courants porteurs d’émotions,

Dépassant les regards, les sublimant,

Comme on serait attiré par aimants !

.

C’est ce qui fait, dit-on, le sel de la vie

Tant donne un coup de nerfs à l’envie

Sans compter la saveur toute nouvelle

D’une rencontre inopinée, bien réelle.

.

L’essentiel n’est-il pas dans nos yeux :

Notre regard triste n’est perçu joyeux,

Il en est de même du regard amoureux

Il n’est pas trompeur, presque sérieux !

.

Fragments

.

On pourrait rapprocher deux regards

Entre deux personnes qui se croisent,

D’un courant qui passe, qui électrise,

Un courant qui s’établit, et qui ravit.

.

Pas que l’œil qui entre en vibrations

Le cœur aussi et puis tout le cerveau

Parcourt, d’un frisson, toute la peau,

Provoquant du même coup, passion.

.

Y a de la physique et y a de la chimie

En ces courants porteurs d’émotions,

Dépassant les regards, les sublimant,

Comme on serait attiré par aimants !

.

C’est ce qui fait, dit-on, le sel de la vie

Tant donne un coup de nerfs à l’envie

Sans compter la saveur toute nouvelle

D’une rencontre inopinée, bien réelle.

.

L’essentiel n’est-il pas dans nos yeux :

Notre regard triste n’est perçu joyeux,

Il en est de même du regard amoureux

Il n’est pas trompeur, presque sérieux !

.

L’on dira que les métamorphoses du regard

Ne révèlent pas seulement celui qui regarde

Révèle aussi celui qui est regardé, réaction.

On peut comprendre et faire comprendre

Beaucoup de choses …  d’un seul regard,

On parle parfois d’œil, regard complice.

.

Si certains porteront leur regard critique

Sur le monde qui les entoure en général,

C’est pour rester lucide et voir la réalité.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

 Les yeux du

Corps : aussi

D’esprit, si ce

 N’est, du cœur !

.

 Les yeux transforment réalité

Pour donner sens et consistance.

Sensation, per  C   ception, émotion

Sont décodées par    O   filtre sociétés.

Être touché à distance,  U    d’un regard,

Comme si la peau avait      R     des yeux :

L’on se verrait, comme         A     en miroir

Reflétant ce que l’on est       N       d’espoir.

Je sais que c’est délirant     T   et c’est fou,

Il me plait  d’y croire, et, par-dessus tout,

Tant tu m’as touché à travers ton regard

Est-ce cause chimie, fruit du hasard !

.

Qui ne voit   D   qu’avec ses yeux

Ne découvre   E   rien avec le cœur,

Les yeux ne     *  voient qu’extérieur,

Lors la tête in  M  terprète ses enjeux.

La vision est     O   faite de projections

Dont la portée   N      n’est pas donnée :

Voir un doigt    *     n’est pas direction,

Ni l’horizon      R     le bout de son nez.

Qui sent chez   E     toi odeur de rose,

Au parfum su   G   ave, ou capiteux,

Se retrouve vi   A   te sous hypnose

Par ses touchers  R     voluptueux.

L’impression est   D   une chose,

Qui donne sens à  *   la réalité,

Sur elle, s’attarde,  A   se pose,

Un savoir bien mé  T morisé :

À toi de la voir et   T décoder,

Aies confiance en   E  sagacité.

Qui ne fait erreur  I   humaine,

Confond des véri   N tés, vaines.

Entre ta peau et    D mon regard

Il y a une sensa     R tion projetée,

Déclenchant émo  A    tion bizarre,

De l’avoir aupara   *    vant touchée.

Alors même que,   T   cette réaction,

Se produit pour   A   la première fois

En moi, comme   *    irrationnel émoi,

Me fait dire que   P   c’est une passion,

Pour toi, avant     E    déjà  la contrôler.

Amour échappe    A  à tout calcul donné,

Tu m’as touché à  U    travers ton regard,

Est-ce chimie, ou  *  poésie,  ou     hasard !

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Un moulin à poivre ou à sel 

Que du regard on reconnait

Et dont la forme nous plait ?

.

475 4

.

Un moulin qui ne manque pas de sel

En tout cas, pas du poivre

Vu sa blancheur, et vu sa consistance

Pour savoir : tourner, goutez !

Difficile de trouver lien entre moulin et regard

Comme on peut le faire entre moulin et parole

Ici, c’est plutôt le sel qui exhausse le regard.

 . 

Symbolique 

 .

Depuis des millénaires,

Le sel  est associé à toutes

Les activités humaines.

Il est à la fois le

Condiment indispensable

À l’agrément des mets,

Un puissant conservateur

Alimentaire, mais aussi

Un agent corrosif et destructeur.

Il n’est donc pas étonnant que,

Dans toutes les civilisations,

Les croyances qui lui sont attachées

Soient nombreuses et divergentes.

Historia.fr/ne-pas-renverser-la-salière

.

.

Fond

.

Évocation 

.

475 6.

Un regard pourra être neutre,

Peut être fade, être acide :

Si l’on y a trouvé un peu de sel,

C’est qu’il était intense.

 .

Symbolique 

 .

Selon une étude,

Le premier         regard

Serait déter                 minant en

Évaluation                         rapide, fiable

D’une relation                           a-mou-reuse,

Et  éventuelle                              ment, durable,

Ou voire  con                             traire, relation

Sexuelle spon                      tanée, fugitive.

«L’amour est               en le regard»

C’est le titre      d’un article

Psychological Science.

 .

Lire dans les yeux

Des autres est en quelque

Sorte une compétence

Précieuse pour

Explorer une interaction

 Modifié, source : contrepoint.org

 .

.

Fond/forme 

 .

Qu’exprime le regard de plus que la vision

Sinon une intuition, sinon une expression

De sincérité, d’authenticité ou de passion

Mais, il pourra aussi lancer des éclairs,

Sinon  voire des couteaux, fendant l’air,

Il ne peut y avoir de chimie, en regard,

Des ondes, peut-être, et voire  surement !

 .

Son intensité se rapportera à une sorte de sel

Naturel qui proviendrait  de l’intérieur de l’œil,

Comme pour donner du piment à tout ce qu’il voit

Puis interprète, répond en miroir à celui qui le reçoit.

.

Textuels et illustrations   >>

474 – Onde amoureuse en mes veines

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Toute émotion amoureuse

Ne se produit pas qu’en tête

Corps aussi onde chaleureuse,

Par afflux de sang vous fait fête.

.

Vous pensez pouvoir la maitriser

Ou, mieux  encore, à tous,  cacher,

Or, il n’en est rien : elle vous trahit,

Et peu à peu, à l’autre,  vous traduit.

.

Et, le pire est  qu’elle n’a aucun besoin

 De présence d’autre,  pour se manifester

Car auto-déclenchante et par la pensée,

Elle trouble nos amours contrepoints.

.

Rougir,  pâlir,  trembler, voire suer,

Se mettre, rester en tous ses états,

Que d’émotions pour éponger

Perte de contrôle de soi.

.

Amour,  onde,  se diffuse

En  mes  jeunes veines :

Sang  me rend  confuse

Du front jusqu’à l’aine.

.

Et de rougir  de plaisir,

Mes  tempes  à mourir,

Au point de m’évanouir,

En de profonds  soupirs.

.

Quand tu es là, je suis là,

Notre monde  se rétrécit,

À notre chambre, notre lit

En oubliant  tout, au-delà.

.

Au-delà de quoi, devinez :

De notre corps, notre esprit,

Nenni : nul ne sait, ne saura,

J’en suis moi-même surpris.

.

Sans fin l’instant se répète

Et, après tout, me ravit

De force centripète

Amour à l’infini.

.

Et je n’ai pour

M’en    défendre,

Ou de m’en préserver,

Que  ma  seule unique gorge,

Avec nombre de ses accents, noués.

.

Extensions

.

On peut toujours prétendre

Que sa raison domine sur son émotion.

Chacun sait que c’est faux, et dans certains cas

Comme celui de l’amour, de l’attraction, de la pulsion.

On peut calmer sa colère, on peut maitriser sa peur

Or l’émotion amoureuse vous submerge comme

Un raz de marée, prêt à tout, à vous emporter :

Transports de joie, ne dira-t-on pas, pour la

Belle envolée, à deux, en la même nacelle

Que ce soit : bateau, train, voiture,

Avion, attelage, voire chambrée.

Des émotions peuvent se produire

Dans d’autres situations de bien-être,

Devant un plat, un vin, un paysage, bain

Mais l’amour ajoute ce supplément d’âme,

À nul autre pareil dès qu’il s’agit de deux formes

Qui s’habitent en musique orchestrée en harmonie.

La voix semble accompagner en accents touchants

Parce que troublée par une sorte d’impuissance à

Le traduire, sinon comme jouissance à le trahir !

.

Chatouillis dans le ventre,

Charivaris  dans  la  tête,

Frissons  dans  la  peau,

Battements   de cœur :

Sensations, j’en passe

De biens  meilleures

Ondes …  positives

Et envahissantes,

D’un bel amour.

.

Il n’y aurait pas que les phéromones,

Et autres hormones régulant nos désirs,

Il y aurait aussi des ondes, qui parcourent

Nos corps et rayonnent tout autour de nous.

Ondes positive, négatives qui nous atteignent,

Provenant de gens, de lieux ou en même temps,

Des ondes qu’on ne parvient à mesurer, étudier,

Mais que l’on capte et qui nous conditionnent.

On ne sait pas bien quel sens les sent, ressent

On ne sait pas davantage quel sens ils ont,

Il semble que certains y soit sensibles

Et d’autres non, mais pourquoi ?

On parle même d’une aura

Qui l’aura, l’aura pas !

Je ne la sens pas

En tous les cas.

Qu’importe,

Dès lors que

Celles qui sont

En esprit fonctionnent

En amour, et pour le mieux.

.

Fragments

.

Il n’y a pas que les phéromones qui comptent :

Il y aurait aussi nombre d’ondes, qui racontent

Une relation qui peut être de surface, profonde.

.

Une sorte de musique qui nous trottera, en tête,

Un air, une chanson, une ritournelle, qui entête,

Et qui nous met comme en une humeur de fête.

.

Présence proche suffit, nul besoin de se toucher,

À communiquer ondes, transmission de pensées

Par le regard, le geste, la parole, et en intensités.

.

On en arrive parfois à sentir l’autre dans son dos,

Comme quoi, fusion, communion seront à propos

Pour qualifier ce qu’on ne voit, mais ressent trop.

.

L’onde est plus propice à inspirer bien des poètes

Procurant une vibration de l’air, des membranes,

Traversant la peau pour papillons dans le ventre.

.

Si la performance sexuelle requiert bon contrôle,

La quête spirituelle serait comme le jeu de rôles,

On se plie autres approches, qu’on estime drôles.

.

Vient alors l’humeur, trait d’esprit, qui abondent

Qui n’ont à voir ni avec les phéromones ni ondes,

Qui sont comme des vecteurs d’unions de cœurs.

.

Câlin survient pour chanter le tout en un refrain

C’est là que le toucher vient compléter couplets,

C’est là qu’on établit belles relations d’intimité.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Toute émotion amoureuse

Ne se produit O   pas qu’en tête

Corps aussi  N  onde chaleureuse,

Par afflux de sang    D    vous fait fête.

Vous pensez  pouvoir      E      la maitriser

Ou, mieux encore, à tous,   *           la cacher,

Or, il n’en est rien, elle          A          vous trahit,

Et peu à peu, à l’autre         M          vous  traduit.

Et le pire est qu’elle         O        n’a aucun besoin

 De présence d’autre       U      pour se manifester

Car auto-déclenchante    R    et par la pensée,

Elle trouble nos amours   E    contrepoints.

Rougir,  pâlir,  trembler     U  voire suer,

Se mettre, rester en tous ses  S  états,

Que d’émotions pour éponger  E

Perte de contrôle de soi.

.

Amour,  onde,   se diffuse

En mes  jeunes  E   veines :

Sang me rend    N    confuse

Du front jusqu’   *     à l’aine.

Et de rougir      M   de plaisir,

Mes tempes       E     à mourir,

Au point de m’   S      évanouir,

En de profonds   *        soupirs.

.

Quand tu es là     V      je suis là,

Et, notre monde   E   se rétrécit,

À notre chambre   I     à notre lit

En oubliant tout   N      au-delà.

Au-delà de quoi    E      devinez,

De notre corps      S     et esprit

Nenni : nul ne sait, ne saura :

J’en suis moi-même surpris.

Sans fin l’instant se répète

Et, après tout, me ravit

De force centripète

Amour à l’infini.

Et je n’ai pour

M’en    défendre,

Ou de m’en préserver,

Que  ma  seule unique gorge,

Avec nombre de ses accents, noués.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un pied, un corps, tête,

De personnages  amoureux

Ou bien alors un bilboquet,

Comme  autre  jeu  d’adresse.

.

474 4

La tige, pointue, est masculine ;

La boule, creuse, serait féminine :

Le symbole est fort mais exercice

Bilboquet requiert maitrise !

Rien de commun, a priori, entre onde et bilboquet

Tant elle analogie tiendra trop à l’usage d’un objet :

Il n’empêche de l’évoquer comme avec bien d’autres.

.

 Symbolique 

 .

Bilboquet est un jeu d’adresse

Composé d’une tige souvent en bois

Reliée par une cordelette à une boule

Percée d’un ou de plusieurs trous

D’un diamètre ajusté à la tige.

Le jeu consiste par

Un mouvement

D’adresse, utilisant

Une seule main,

À lancer la boule

Retenue par la ficelle

De façon qu’elle

 Retombe  bien sur   la      tige

Et  qu’il   s’y     enfile,    seule.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

Deux personnes, personnages amoureux

On ne sait si c’est réel ou joué

Dans les deux cas, on aura tendance à y croire

Lorsqu’on est en même état.

Symbolique 

 .

Le câlin est

Un geste    naturel

Et, selon      la culture,

Le contexte   la relation,

Permet d’      exprimer

 .

Un sentiment   de fraternité,

D’affection, amitié ou d’amour.

Amoureux, il tra duit la tendresse,

En  laquelle  s’agit de se reconnaître

Comme  un  être qui  attend  tout

De celui ou celle qui  l’entoure.

 .

Non    pour       s’affronter

Mais    pour      s’entourer,

Non plus jouer    au plus fort

Mais se blottir    l’un contre

L’autre dans      un   acte

De confiance     réciproque.

.

.

Fond/forme 

 .

Qu’une boule creuse rime avec piton pointu

Quoi de plus naturel, et de plus symbolique,

À la fois mais ici, il y a, en plus, une ficelle,

Qui symbolise l’attachement du mariage

Ou qui pourra être bilboquet sexuel.

.

Textuels et illustrations   >> 

473 – Force d’attraction et répulsion

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Plaire : un leitmotiv

Et qui  vous motive

À  paraitre   mieux

Que   ce  que   vous

Êtes  dans la réalité.

Plaire à tout le monde

Demeure impossible,

Car, souvent, l’ombre

Accompagne lumière.

La beauté des femmes

En nombre, publicités,

Est plus que …  surfaite

Si  ce  n’est  photoshopée,

Afin  de  survivre  en société.

.

Difficile de plaire,  en ce monde :

Impossible de plaire à tout le monde.

En ces temps, lieux ou beautés abondent

Peu de personnes avec vous correspondent.

Vous voilà seul au point qu’on vous confonde,

Avec toute une foule de vieux  qui se morfondent.

.

De ne plus inspirer  aux femmes, romances,  fécondes,

Votre désir d’elles s’étiole, rendant votre âme moribonde.

Une rousse, difficile à  séduire ; plus facile, brune ou blonde

Pourtant, vous en avez   laissé, plus d’une, en plan, furibonde !

.

Bien qu’encore nombre fantasmes, envers toutes, vagabondent,

Elles vous considèrent  désuets, voire impuissants, immondes.

Age, apparence, statuts, importent peu pourvu qu’on réponde

Aux critères de choix que vous impose la société, à la ronde.

.

Plaire par vos atours, vos contours, détours, à la seconde

Tant temps reste précieux : peu d’occasions abondent

Vous étiez premier : êtes dernier choix qui fonde

Votre statut d’aventurier solde votre faconde.

.

Petites annonces lancées comme en sondes

Sur marché n’atteignant pas son monde

Ont difficulté  à plaire  si l’on fronde,

En eaux troublantes si l’on gronde.

.

 Et femmes grosses voire girondes

Ou en sus,   à demi pudibondes,

Composeront leurs lots d’ondes

En sondes et  si ce n’est bondes.

.

Attrait, il est vrai, forcera le trait

Lors la répulsion forcera le retrait :

On ne retient que  ce  qu’il  nous plait.

Plaire en devient ce  dictat incontournable

Qui nous rendrait autant détestable qu’aimable.

.

Extensions

.

Plaire est une nécessité vitale,

Tant chez l’homme qu’autres animaux,

Ne serait-ce que pour besoins reproduction.

.

À voir les efforts que produisent certains oiseaux

Pour séduire une belle, allant jusqu’à utiliser des leurres

Pour induire sa belle en erreur, pour la séduire, à son profit,

On est en droit de se demander si l’homme arrive à leur portée.

.

En notre monde humain, il y a l’économie, la culture, la mode

Qui interfèrent sur choix purement animal, viscéral, cordial,

Mais les mécanismes du leurre restent bien apparentés.

.

Certains hommes, certaine femmes, plaisent à tout le monde ;

D’autres à personne ou presque, allez comprendre pourquoi ?

« J’ai un piège à filles » disait  la  chanson, de Jacques Dutronc,

 « Elles tombent toutes à mes genoux », comme en … adoration !

Peut-on séduire par la seule force, beauté, de son esprit : non

Parce que l’apparence favorisera l’attrait direct ; esprit, non.

D’ailleurs ça marche aussi en sens inverse : avoir la répulsion

Attraction et répulsion sont les deux pointes d’un fort  aimant

Tout autant que les deux faces d’une même monnaie d’échange.

.

On parle plus souvent en amour

D’attraction bien plus que répulsion,

Le reste n’est qu’intérêt ou indifférence

N’entrainant, en ce sens, aucune passion.

.

Si un être plait par présence, élocution, esprit,

En politiques, en arts, en société, on dira, de lui,

Qu’il a de l’influence, qu’il a un certain charisme,

Ce qu’il est, ce qu’il fait, imposerait sa crédibilité.

.

Il en serait de même en amour, certains, certaines

Plaisent à tout le monde ou presque, sauf répulsion

Tandis que d’autres transparents passent inaperçus,

Le moment de se déclarer sera, toujours, le malvenu.

.

Fragments

.

Attraction et répulsion sont d’ordre magnétique

Et l’on en parlera aussi en matière de gravitations

 Attraction est sympathique, répulsion antipathique :

Il arrive que les effets s’inversent sans savoir la raison

.

Une attraction ne durerait

 Que l’espace d’un moment,

Cristallisant ce qui serait,

Bel amour de débutants.

.

Des relations qui ne peuvent pas se sentir, se marieront

 Il reste  à croire que, parfois, les contraires s’attireront :

Le pire en tout état de cause est situation d’indifférence,

À tel point qu’on la qualifiera d’un état de transparence.

.

Attraction pour aura un sens

Attraction contre, n’en a pas,

Sauf à la traiter de répulsion

Tout comme un contre-sens.

.

Les femmes ont comme les hommes, attraction champagne

Mais pour la déboucher, on confie cette tâche aux hommes

Elle servira le vin,  c’est souvent l’homme qui lève son verre,

Elle présentera le plat de viande lors l’homme la découpera

.

Clichés me direz-vous, coutumes

Étant issues  d’un autre-temps :

C’est pas faux, avec amertumes,

L’on s’emploie à les faire évoluer

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Plaire : un leitmotiv

Et qui  vous motive

À  paraitre   mieux

Que   ce  que   vous

Êtes  dans la réalité.

Plaire à tout le monde

Demeure impossible,

Car, souvent, l’ombre

Accompagne lumière.

La beauté des femmes

En nombre, publicités,

Est plus que …  surfaite

Si  ce  n’est  photoshopée,

Afin  de  survivre  en société.

.

Difficile de plaire, en ce monde :

Impossible de plaire à tout le monde.

En ces temps, lieux ou beautés abondent

Peu de person  nes avec vous correspondent.

Vous voilà seul   au point qu’on vous confonde,

Avec toute une   foule de vieux  qui se morfondent.

De ne plus inspirer  aux femmes, romances,  fécondes

Votre désir d’elles s’étiole, rendant votre âme moribonde.

Une rousse, difficile à  séduire ; plus facile, brune ou blonde

Pourtant, vous en avez   laissé, plus d’une, en plan, furibonde !

Bien qu’encore nombre  fantasmes, envers toutes, vagabondent,

Elles vous considèrent   F       F   désuets, impuissants, immondes.

Age, apparence, statuts,  O       O  importent peu pourvu on réponde

Aux critères de choix que   R      R   vous impose la société à la ronde.

Plaire par vos atours, vos    C         C   contours, détours, à la seconde

Tant temps reste précieux   E            E   et  peu d’occasions abondent

Vous étiez premier, êtes       *                 *      dernier choix qui fonde

Votre statut d’aventurier    D                     D     solde votre faconde.

Petites annonces lancées     ‘                         E     comme en sondes

Sur marché n’atteignant  A                            *      pas son monde

Ont difficulté à plaire      T                             R      si l’on fronde,

En eaux troublantes      T                              É    si l’on gronde.

 Et femmes grosses       R                             P       ou girondes,

Ou en sus,  à demi     A                              U      pudibondes,

Composeront leur    C                             L         lot d’ondes

En sondes, si ce     T                            S     n’est bondes.

Attrait, il est vrai  I                           I     forcera le trait

Lors la répulsion    O                         O   forcera le retrait :

On ne retient que    N                     N       ce qu’il nous plait.

Plaire en devient ce   *                *   dictat incontournable

Qui nous rendrait lors autant détestable qu’aimable.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Forme  type  bonbonne

Bouteille  de séduction,  

De vin rouge  ou  de rosé

 Italienne, ou espagnole ?

.

473 4

.

Pour séduire davantage, se différencier

Et se mettre en valeur

Cette bouteille de vin ou d’alcool, choisit

 De s’habiller de pailles !

 .

Symbolique 

 .

Il y a peu de temps encore,

Le vin relevait de la compétence

De la seule gent masculine.

Si les femmes pouvaient

Boire et apprécier le vin,

Il semblait en effet contraire

Aux usages qu’elles le manipulent,

Notamment en débouchant bouteilles

Voire, qui plus est, en le servant à table.

Quelle est donc l’origine de cet interdit ?

Pourquoi dira-t-on qu’il fait davantage

«Tourner la tête» de bien des femmes ?

Sont-ce alors  les mêmes raisons qui

Empêchent que femme débouche

Les bouteilles de vin et de

Découper la viande à table ?

journals.openedition.org/lhomme/23718

.

.

Fond

.

Évocation 

.

 473 6

.

La séduction est-elle un art ou une technique

Qui le sait et qui peut le dire

Gourous disent de porter votre cœur en vous

Quand d’autres, comme ballon.

 .

Symbolique

 .

Séduction compulsive, excessive…

On utilise ces termes       à tort  et à travers,

Sous couvert de juge       ments moralisateurs.

 .

Qui n’a jamais, à propos       d’une, entendu dire,:

«Cette fille est une séductrice,          vraie compulsive,

À chaque soirée, elle drague un        nouvel homme ».

 .

Au grand dam  des  femmes, le fait        d’aimer plaire,

Le montrer est associé à un comporte       ment négatif,

Dans le même cas de figure, l’homme       sera qualifié

De « Don Juan ». Côté dramaturge presque noble.

Modifié, source : marieclaire.fr

 .

.

Fond/forme 

 .

La séduction est un art naturel chez les uns

Un subterfuge ou manipulation chez d’autres :

Ici la bouteille est entourée de paille comme pour

Mieux cacher ou pour mettre en valeur le contenu

Le tout rime parfaitement avec la cible de séduction

Telle  enveloppe renforce autant le fond que la forme,

Sans les superposer, confondre, les laissant face à face.

.

Séduire est autant le fait des femmes que des hommes

Et même si la séduction  serait perçue diversement,

Elle resterait indispensable à toute reproduction,

Comme animaux qui ne pourraient s’en priver

Mais si déduire peut utiliser artifice ou leurre

Il y a un moment où comme un boomerang,

La réalité reprend le dessus et vlan, dehors

 .

Textuels et illustrations  >>

472 – L’amour est chimie et alchimie !

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Vrai que si l’amour n’était qu’une combinaison,

D’une part, de chimie, de  l’autre, d’alchimie,

Voilà qui réconcilierait  hormone et poésie,

Que l’on soit, dans la rue, et même au lit !

.

Lors on voit des couples  qui se marient

Combien sont vraiment bien assortis ?

On dit que biologie et caractérologie,

Ont bien fait leur mélange, ou, folie.

.

Alchimie apporte sa part de magie

Faisant de l’autre un être unique,

Sensuel autant que  consensuel,

Au singulier, comme au pluriel.

Chimie et alchimie gouvernent

Nos choix pour cœur conquis.

.

Notre choix semble prédéfini,

Choix divergent et convergent

Vers être parfait plus complet,

Qui nous correspond le mieux.

.

Si, par hasard,  l’amour n’était

Que le produit   de nos organes

Comme un animal,  on n’aurait

Rien de divin : tout du profane.

.

Profane, où seul, le corps  dirait,

Celui, ou  celle,  qui nous plairait,

Nous n’aurions qu’à le consommer

Sans penser mystère de l’humanité.

.

Humain, si l’amour n’est que chimie,

Si aucune  alchimie  ne nait en l’esprit

Pourquoi rester fidèle avec le, la même,

S’en séparer tandis qu’il crie «je t’aime».

.

Et si biologie  est une science amoureuse,

Et si caractérologie  est science  marieuse,

Faut admettre que phéromones sexuelles,

Sont favorables aux unions consensuelles.

.

Consensuelles sont à condition être beauté

Bien qu’aucun corps, jamais ne le resterait

Si attrait sélectionnait seul, jamais n’élirait

Gros traits en l’esprit, impossible  à aimer.

.

Aimer  ne peut être  qu’une vraie symbiose,

Loin d’une nouvelle mitose  et voire méiose

Cellulaire qui commandera à un congénère,

D’éliminer, voire  d’imposer  un partenaire.

.

La chimie  avec l’alchimie, en notre cerveau,

Se conjugueront-ils  pour nous rendre beau,

Comment vivre, avec une … beauté gironde,

Blonde, au cerveau  vide, gorge  profonde ?

.

Ridicule, sûr, de nier que la chimie existe

Depuis longtemps, son influence persiste

Bien qu’attraction repose  sur l’émotion,

Il en faut plus pour faire  vraie passion.

.

Extensions

.

En de nombreux cas,

Notre choix sera prédéfini.

L’alchimie n’est pas que mélange

Et fusion intimes de plusieurs métaux,

Elle est de l’ordre de la magie qui fait que

Tout, en elle, vous réussit, pour renouveler

L’élan de l’ignition première,

L’élan de la consumation entière,

L’élan de la sublimation dernière.

Lors, si les trois  ne font qu’un :

L’amour dépasse l’humain !

Qu’en est-il, d’où vient-il

Et où nous mène-t-il ?

.

Quelle est la différence fondamentale entre chimie et alchimie

La dimension psychique s’ajoute et modifie la réalité physique

Or laquelle a une prévalence sur l’autre et par quel mécanisme.

Il n’y a pas de localisation, centre de l’amour, en corps, cerveau.

On en est réduit à : des conjectures, des hypothèses, suppositions

Pour sûr, face à deux personnes d’apparences pourtant identiques

Le processus amoureux ne fonctionne pas pareil : cherchez l’erreur.

.

La chimie, tout le monde sait ce que c’est

Il s’agit de corps, de substances, d’essences.

L’alchimie, au figuré, qui la fabrique, contrôle

Il semblerait que ce ne soit personne, en amour.

.

Entre deux personnes, à l’instant de rencontre

Et parfois longtemps après, c’est une osmose

Suite à une sorte d’attirance incontrôlable,

Une fusion créant un besoin insatiable !

.

Mais, le pire, et qui sait, le meilleur,

Est qu’il n’y a de raison apparente

Qui justifie ce déraisonnement :

Il ne s’explique, se comprend.

.

Fragments

Alchimie

.

Art chimérique de la transmutation des métaux

Ou encore la recherche de la pierre philosophale !

Elle serait née en Égypte à l’époque des Ptolémée

À l’époque, des choses nous paraissant banales

Passaient pour être choses merveilleuses.

Et entre autres, la fabrication du verre.

Travail d’alchimiste, quatre opérations.

Une purification du sujet suivi de dissolution,

Une solidification, une combinaison nouvelle,

Au niveau de cet être nouveau, or ou autre.

.

Les divers systèmes d’opérations,  se résument tous dans la célèbre formule

« Solve et coagula » que l’on traduira par « Purifie et intègre ».

Elle s’appliquerait aussi bien à l’évolution du monde objectif  qu’à celle du

monde subjectif  de la personne en sa voie de perfection.

Appliqué à l’âme elle se transforme en légende et voire même en mythe :

Blanche neige devenant  comme une minière de l’or.

Les sept nains sont les sept métaux.

Après une mort apparente, pour avoir croqué la pomme maléfique,

Blanche neige épousera le Prince de ses rêves, jeune et beau :

« ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants… »

.

Alchimie des métaux, de l’amour

On passe du matériel au logiciel !

Et, si pour l’or, on y a cru, un jour

Pour sentiment, on y croit toujours

.

La poésie est aussi sorte d’alchimie

Qui se joue des mots,  joue avec eux,

Par purifications,  par combinaisons,

Car magie du son l’emporte sur le sens.

.

Chimie l’emporte sur alchimie en amour

Encore que tous phéromones ne suffiront

A déclencher l’union des cœurs  et esprits

Seulement des corps et de sexes en fusion.

.

Je ne me sens ni un chimiste ni alchimiste

Je ne serais ici que simpliste voire fumiste.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Vrai que si l’amour n’était qu’une combinaison,

D’une part, de chimie, de  l’autre, d’alchimie,

Voilà qui réconcilierait  hormone et poésie,

Que l’on soit, dans la rue, et même au lit !

Lors on voit des couples  qui se marient

Combien sont vraiment bien assortis ?

On dit que biologie et caractérologie,

Ont bien fait leur mélange, ou, folie.

Alchimie apporte sa part de magie

Faisant de l’autre un être unique,

Sensuel autant que  consensuel,

Au singulier, comme au pluriel.

Chimie et alchimie gouvernent

Nos choix pour cœur conquis.

Notre choix semble prédéfini,

Choix divergent et convergent

Vers être parfait plus complet

Qui nous correspond le mieux.

Si par hasard, l ’amour n’était,

Que le produit    de nos organes,

Comme un ani    mal, l’on n’aurait

Rien de divin et   A   tout du profane.

Profane et seul      M      le corps  dirait,

Celui ou celle           O      qui nous plairait,

Nous n’aurions           U     qu’à le consommer,

Sans penser mystère       R          de notre humanité.

Humain  ….E ……  si l’amour n’est que …….E…… chimie,

Si aucune  …..S……… alchimie ne nait en … T………. l’esprit

Pourquoi …….. …..… rester fidèle avec .….. *  ……. le même,

S‘en séparer ……*.…….…. tandis qu’il crie ….…A..…. «je t’aime».

Si  biologie  ……. C …….……  est une science …… L……. amoureuse,

Et si caracté ….  H  ……… rologie est science  …….C……… marieuse,

Faut admettre … I ……. que des  phéromones …   H..….… sexuelles,

Sont favo  …….. M  ….  rables aux unions consen   I ……….  suelles.

Consensu …… I .… elles sont à condition être .…  M…..…. beauté

Bien que …   …..aucun corps, jamais ne le  ……I … resterait

Si attrait . * …..  sélectionnait seul, jamais   ….. E il n’élirait

Gros traits ……… en l’esprit, impossible ….……….. à aimer.

Aimer ne. ……..… peut être que vraie .….….….  symbiose

Loin nou  ……….  velle mitose, voire  ..….……..  méiose

Cellulaires …….. commandant à un …..….congénère

D‘éliminer ..…  voire d’imposer .……  partenaires.

La chimie avec l’alchimie, dans notre cerveau,

Se conjugueraient-ils pour nous rendre beau

Comment vivre, avec une… beauté gironde,

Blonde, au cerveau vide, gorge  profonde ?

Ridicule, sûr, de nier que la chimie existe

Depuis longtemps, son influence persiste

Bien qu’attraction repose  sur l’émotion,

Il en faut plus pour faire  vraie passion.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un vase, pour sûr :

Avec chimie d’un côté,

Et alchimie, de l’autre,

Mixture en filtre d’amour.

.

472 4

.

Nombre mélanges se feront souvent

Dans un vase ou un flacon,

D’autant plus lors il s’agit de chimie

Pour une belle alchimie !

 .

Symbolique  

 .

Littérature médiévale,

Le vase possèderait

Le sens de trésor.

S’emparer d’un vase,

 C’est     conquérir   trésor

Briser un vase, c’est anéantir par

Le mépris, le trésor qu’il représente :

Vase alchimique, le vase hermétique

Sont lieux où merveilles  s’opèrent.

C’est bien dans le sein maternel,

L’utérus    dans    lequel     une

Nouvelle    vie      se     forme.

D’où   cette   croyance que

Le vase contient secret

De métamorphoses.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

472 6

.

Nombre mélanges se feront souvent

En œuf ou semblable

D’autant plus lors il s’agit de chimie

Pour une belle alchimie !

 .

Symbolique 

 .

L’alchimie

Correspond bien  à

Transmutation radicale

Mystérieuse  des   métaux :

Par exemple, le plomb en or.

 .

Comme  dans  le mot   alchimie,

Il y aura,  forcément, mot chimie,

Qui  désignera  une   telle  explosion

De sensations physiques, psychiques

Le désir, les palpitations cardiaques,

La béatitude … tout devient possible.

 .

Ce sera quelque chose de mystérieux

D’intense et qui se  produit  en nous,

Qu’on ne décidera, maîtrisera pas.

 .

C’est une sensation qu’on peut

Éprouver  dès   le   premier

 Rendez-vous, sentiment

D’euphorie qui obscurcira notre jugement.

Source : zonemagique.fr/alchimie-entre-deux-personnes

.

Fond/forme 

 .

Chimie et alchimie sont-elles cousines germaines

Lors on ne parvient pas à rendre contraint l’amour,

On lui laisse des rimes libres pour respirer l’alchimie

De la versification poétique différenciée par musique,

Phénomènes restant inexpliquées, voire inexplicables !

L’amour requiert face à face vérité pour être cote à cote

L’un dans l’autre, trop tard pour le questionner, douter !

.

Textuels et illustrations   >>

471 – L’attrait d’un parfum hormonal

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Hormones  et  pilules  du  bonheur

Testostérone versus progestérone :

Toutes les molécules seront bonnes

Pour attrait du mâle vers femelles.

S’enivrer d’un bon  parfum aphrodisiaque

 Pour obtenir un  comportement orgiaque,

N’est-ce pas le rêve de tout bon nez,

  Que du plaisir en devenir prisonnier.

.

   Si tel parfum suffisait, ça se saurait :

    Un parfum ne déflore  esprit virginal,

    Il n’affecte  qu’une  humeur, vaginale,

    D’une femme prompte, désir d’aimer.

    Dans tous les cas, phéromones ou pas

      Si le cerveau n’y est pas, sexe non plus.

J’ai bien senti alors que mes hormones

   Ne se mélangeront pas ou plus aux tiennes.

.

  Lors, j’ai fini par croire que personne

    N’a pas même molécules que miennes.

 Or, si fait,  je  n’ai pas  les  bonnes,

  À qui la faute et je m’en   étonne,

  Croyant être amant attentionné,

    L’autre me ferme la porte au nez.

      Je voudrais changer d’apparence,

       Pour provoquer désir d’attirances,

        Je suis prisonnier de phéromones

         Comme parfum qui  déboutonne.

            Un parfum de citron, tabac, musc

            N’y changerait rien  à cet humus

               Qui constitue le parfum  humain,

                     Parfums des fleurs  sentent en vain.

.

                       J’ai lu quelque part que son cerveau

                        Est organe le plus  aphrodisiaque,

                        Sans doute n’en ai-je pas ou trop

                       Pour satisfaire amour orgiaque.

                  Échange un parfum hormonal

              Contre un bel esprit, virginal,

         Qui sans penser à bien ni à mal

      Donnerait coup de grâce : fatal.

S’enivrer, voilà la chose, le mot

 Mais de quoi, de qui, d’une peau,

Qu’on a senti, bébé,  sein, cadeau,

Reste ne serait que bien, de trop !

.

    Testostérone contre progestérone :

       Attrait situé en deçà des neurones,

          Laideron va bien avec laideronne,

              Lors bucheron, avec bûcheronne

                 Et hormones mauvaises, bonnes,

                     Lors se mélangent  avec tiennes,

                        Change complètement la donne

                             Lors si bonnes  agissent  sur toi,

                               Avec leurs parfums, t’ordonnent.

.

.

Extensions

.

Le bel attrait d’un parfum hormonal

Te rend sensible comme un animal

À séduction entre femelle et mâle,

Pour un rapprochement séminal.

Il t’envelopperait comme un filet

Dont les mailles seront les reflets

D’un amour coupable, ou interdit,

Où porte s’ouvre pour rendre permis.

.

Sûr qu’il y a attrait de senteurs, parfums, odeurs, phéromones !

Comment le nier, le minimiser, nous sommes comme animaux

Mais les humains s’octroient  des suppléments, différences,

Et c’est tout à son honneur, mais est-ce péché d’orgueil ?

Le fait est que présence seule de quelqu’un, quelqu’une

Dans toute assemblée et loin de proximité physique

Provoque des émotions, sans parler  des pensées.

La pensée serait-elle soumise aux phéromones

En éliminant tout autre attrait, prétendant ! 

.

Je t’aime …  Moi aussi :

Voilà qui tombe à propos.

Je t’aime  …  Moi non plus :

Voilà qui crée un quiproquo !

.

En les deux cas, où est motivation

Elle n’est que simple effet d’attraction

Provoquée par nos hormones … animales

Ou effet de répulsion : où est le bien, le mal !

.

Quant à l’esprit, spirituel est cousin de spiritueux

Un peu de substance modifie les états de conscience

Quant aux hormones, elles seront cousines des odeurs

Un peu de parfum capiteux met notre corps en émoi.

.

Fragments

 .

À chercher à réduire une attraction amoureuse

À une question d’hormone, d’échange molécules

Est une tentation à laquelle la biologie ne recule,

Mais si une odeur suffisait comme  déclencheur,

Où serait notre choix, notre libre arbitre, échec :

En quoi nous serviraient un sentiment, une âme,

Nous serions comme des animaux, conditionnés.

.

L’odeur, parfum, fragrance, phéromone, etcetera

Ont certes, des effets, ont certes, une importance,

Surtout quand on s’approche de près, l’on danse :

Permettez-moi de douter que ce seul effet, suffira

À faire son choix pour une vie entière, en fidélité,

Tant esprit, inconscient, des événements  donnés,

Entreront en ligne de compte, pour faire évoluer.

.

Quoiqu’il en fut, quoiqu’il en soit, sera, accordons

À la rencontre d’amour une part de secret mystère

Tout comme nœud gardien qu’on ne peut dénouer

Même si certains se disent tout près à le trancher

Combien de scientifiques, de romanciers, poètes,

L’auront cerné, analysé, interprété… synthétisé,

Sans jamais conclure sur une vérité… assurée.

.

Alors pour une fois… ayant l’esprit modeste :

Le cœur a ses raisons que la raison, etcetera,

Nous dit  blaise pascal et qu’ainsi en atteste.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme 

.

Hormones  et  pilules  du  bonheur

Testostérone versus progestérone :

Toutes les molécules seront bonnes

Pour attrait du mâle vers femelles.

S’enivrer d’un bon  parfum aphrodisiaque

 Pour obtenir un  comportement orgiaque,

N’est-ce pas le rêve de tout bon nez,

  Que du plaisir en devenir prisonnier.

   Si tel parfum suffisait, ça se saurait :

    Un parfum ne déflore  esprit virginal,

    Il n’affecte  qu’une  humeur, vaginale,

    D’une femme prompte, désir d’aimer.

    Dans tous les cas, phéromones ou pas

      Si le cerveau n’y est pas, sexe non plus.

J’ai bien senti alors que mes hormones

   Ne se mélangeront pas ou plus aux tiennes.

.

  Lors, j’ai fini par        *                        croire que personne

    N’a pas même mo       B                       lécules que miennes.

 Or, si fait,  je  n’ai         E                          pas  les  bonnes,

  À qui la faute et je          L                             m’en   étonne,

  Croyant être amant         *                                attentionné,

    L’autre me ferme la           A                             porte au nez.

      Je voudrais changer           T                              d’apparence,

       Pour provoquer désir          T                             d’attirances,

        Je suis prisonnier de            R                            phéromones

         Comme parfum qui             A                           déboutonne.

          Un parfum de citron,           I                            tabac, musc

            N’y changerait rien             T                            à cet humus

               Qui constitue le par           *                           fum  humain,

                     Parfums des fleurs          D                           sentent en vain.

                       J’ai lu quelque part         ‘                            que son cerveau

                        Est organe le plus        U                            aphro-disiaque,

                        Sans doute n’en         N                           ai-je pas ou trop

                       Pour satisfaire           *                           amour orgiaque.

                  Échange le par         P                           fum hormonal

              Contre un bel          A                        esprit, virginal,

         Qui sans penser     R                       à bien ni à mal

     Donnerait coup     F                      de grâce : fatal.

S’enivrer, voilà       U                      la chose… mot

 Mais de quoi, de    M                      qui, d’une peau,

Qu’on a senti, bé    *                      bé,  sein, cadeau,

Reste ne serait      H                     que bien, de trop !

    Testostérone         O                     contre progestérone :

       Attrait situé        R                      en deçà des neurones,

         Laideron va         M                       bien avec laideronne,

              Lors buche          O                        ron, avec bûcheronne

               Et hormones        N                        mauvaises, bonnes,

                     Lors se mélan         A                             gent avec tiennes,

                        Change complè         L                            tement la donne

                             Lors si les bonnes       *                            agissent sur toi,

                               Avec leurs parfums ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ t’ordonnent.

.

Forme

.

.

Évocation

 .

Un flacon de parfum

 Attirant : serait-ce celui

Sur sa peau ou de ses yeux.

.

471 4

.

Une bouteille de parfum

Aux effluves florales ou citronnées :

Quoi de mieux, pour attirer,

Ou quoi de mieux, pour repousser !

 .

Symbolique   

 .

En choix d’un parfum,

Des normes non-écrites

Socialement reconnues

Dirigent  nos  choix  et

Utilisation de produits.

 .

L’odeur,  en   tant   que   telle,

Peut projeter image symbolique….

Une   fragrance   épicée,  relevée,……

Fruitée, ou florale  peut exprimer …….

Un nombre d’images  différentes,…….

Dans l’esprit de celui qui le porte….

Comme pour celui qui le sent…..

 .

C’est ainsi, que  des  odeurs

Auraient  une  symbolique

Référant à la sensualité,

  Fraîcheur,   à la flore,

      Ou encore à richesse.

joiedevie.forumpro.fr/t15923-

symbolique-des-parfums

 .

.

Fond

.

Évocation 

.

471 6

.

L’attrait, l’attraction, l’attirance, seront parfois

Sous l’effet de phéromones

Dépendant de votre attente, désir, disponibilité

Quand ce n’est pas de baiser.

 .

Symbolique 

 .

Phéromones, combinaisons

De molécules complexes issus

Des  produits  de sécrétions

Des  glandes  spécialisées.

.

La palme d’or des parfums

Revient jusqu’ici au Chanel n° 5

Qui rend les femmes irrésistibles

Grâce à son musc  dit naturel

Allié à des essences subtiles

Demeurées très secrètes.

.

Toutefois,   aujourd’hui,

Il aurait perdu sa vertu,

Plus fait, comme autrefois,

Matières premières naturelles

Mais de molécules synthétiques.

Source : sciences-et-magie.com

.

Fond/forme 

 .

Parfum, comme chacun sait peut être naturel

Parfum de la peau, de toutes sécrétions, cheveux,

Tout comme il peut les renforcer, par ajout artificiel

Ou les substituer, pire encore, les contrarier, avarier

C’est pourquoi un parfum  qui conviendra pour l’un

Produit un effet neutre ou répulsif pour l’autre !

.

Faites attention : je vous ai mis au parfum.

Un parfum est par essence, subtil, vagabond

Mais peut s’attacher à vous lors sentant bon

Il rime parfaitement avec le nez et la peau,

Qui seront, pour lui, les  deux sens de beau

Capable de s’insinuer partout, en ziz-zag

Ses fonds recouvrent toutes les formes

Les entourent, embaument, d’odeur.

.

Textuels et illustrations  >>

470 – Amour rimerait-il avec toujours !

 Textuels et illustrations >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Amour rime-t-il avec toujours

Amour d’un jour vaut-il mieux

Que toute absence perpétuelle

Tant manque rend  vie cruelle.

.

Amour en toujours avec fidélité

Se changent en jour après jours

Jusqu’au dernier de puis premier,

Comme   empreinte, sur   parcours

D’une vie en comportant plusieurs,

De nature, support, buts différents,

On retient surtout l’amour d’amant

Mêmes plaisirs intimes et partagés.

.

Amour se transforme en… amitié,

Puis,  peu à peu,   en attachement,

On en rêve moins, d’aller en creux,

En lieu secret que trop l’on connait.

.

Combien de fois me suis-je confondu

En élans profonds, dans ton marais ;

Combien de fois, me  suis-je retrouvé

En cet endroit, profond, frais, secret,

Que je n’ai pu me retenir de combler,

De jet d’amour, de t’aimer, bien reçu.

.

Combien d’ardeur en nos corps aimés

En dépit  du nombre  de leurs années,

Font que toujours encore on  s’enlace,

Et que, jamais, nos corps s’en  lassent

Et même si, sur nous, le temps passe,

Déposant, du passé, quelques traces.

.

Amour ne rime  avec toujours,

Mais reste fidèle, jour après jour

À celui qui ne perd pas son   tour

À lui rendre hommage, en retour,

Or cela malgré le contre, le  pour,

Aucun n’en ferait jamais le   tour.

.

Amour ne s’accorde pas diapason,

Et on aura beau monter les  sons,

On écoutera une même chanson,

Avec son lot de non et de mais,

On se ressent, comme défait,

Amour  ne sera pas parfait,

Amour   rendra  toujours.

.

Amour se transforme en amitié,

Puis, peu à peu,  en attachement,

On en rêve moins, d’aller en creux,

En lieu secret que  trop l’on connait.

 .

Extensions 

.

L’amour incarné n’est jamais que provisoire,

Même si l’on croit que l’Amour valeur est éternel.

Et même mariage n’est pas fait pour durer toujours

Sauf en cas de force majeure, mais, alors, il pourrira

Sa prison intérieure sinon constituera une exception.

.

«Toujours » relève de l’intention  plus que  de l’action.

Il n’est pas faux que les amants l’ait dit, espéré, tenté,

Mais la réussite dépend de bon nombre de facteurs

Dont certains sont familiaux, d’autres, externes,

À tel point ce serait un pari de le prétendre,

Comme vie extra-terrestre après sa mort.

.

L’amitié est bien plus fidèle que l’amour

Car elle ne subit ni assauts, ni déboires,

Ni déceptions des aléas de la sexualité

Consolidant, fondant, liens, charnels.

.

Associés, mots «amour» «toujours» forment–ils un oxymoron ?

On serait en lieu de le penser quand on constate contre réalités !

L’amour ne dure qu’un temps, et cela tout le monde le sait, le dit

Et, il peut se renouveler, autant que disparaitre, se transformer.

C’est une pression, une religion,  un principe, qui fonde fidélité.

On se choisit tous les jours non une fois pour toutes, toujours.

Dire qu’amour rime avec toujours est vœu, vue de l’esprit.

.

C’est un beau lieu commun, s’il est,

Que dire amour rime avec toujours :

L’amour se construit, de jour en jour,

Parfois, sous d’autres formes … renait !

.

Premiers jours on est en sa bulle  enfermés

Ça se comprend : pas de temps,  qu’instants,

Qui dureront, par nature une vie, une éternité,

Finiront pourtant par question : jusqu’à quand !

.

Fallait-il se la poser, ou fallait-il, à tout prix, l’éviter

La question n’est, n’est plus là, le temps les rattrapera

L’amour ne serait que rêve d’enfant, qu’une fois réalisé,

On passe au suivant, à moins de le refaire constamment !

.

Fragments

.

Amour, concept précis ou fourre-tout

Il se décline en tous cas en bien des choses

À commencer par l’amour maternel, familial

Pour dériver vers l’amour sexuel, voire conjugal

Lors il peut devenir aussi noir que blanc que rose !

L’amour-propre formerait quelque variante éthique

Après tout rien n’empêche de se trouver sympathique

Sans tomber dans narcissisme considéré pathologique,

En une sorte d’opinion trop avantageuse de soi-même !

.

La perversion consiste à détruire la valeur de l’autre, et cela  vue tenter de l’asservir égoïstement à soi au lieu d’enrichir l’autre et soi-même d’un don réciproque qui fait de chacun d’eux, un être qui désire plus et de devenir plus qu’eux-mêmes.

L’amour est à la fois ce qui transcende notre humanité, nous rapproche de notre source animale. Deux êtres qui se donnent et qui s’abandonnent se retrouvent l’un et l’autre élevé à un degré d’être supérieur, si le don a été total, non limité à un seul niveau de leur être, le plus charnel.

L’amour est une source de progrès dans la mesure où il est union et non appropriation. En amour les premiers pas sont souvent les plus difficiles ! Trouver l’âme sœur, vaincre sa timidité aller jusqu’ déclarer sa flamme, concrétiser un coup de foudre sont pour certains de véritables épreuves.

.

Amour quand tu nous tiens … nous lâche !

Mais que ferait-on, sans lui, sur cette Terre,

De toutes nos affections si celui-ci ne nous sert

Qu’à entretenir illusion y compris reproduction.

L’amour est un concept universel mais multiple.

Certains en feront la première valeur de leur vie,

Lors d’autres y prétendent mais ne la respectent

L’amour a deux visages, l’un libre, autre jaloux :

Comment être certain vivre le véritable amour !

 .

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

Amour rime-t-il avec toujours

Amour d’un jour    A   vaut-il mieux

Que toute absence   M         perpétuelle

Tant manque rend     O           vie  cruelle.

Amour en toujours      U            avec fidélité

Se changent en jour      R            après    jours

Jusqu’au dernier de       *             puis premier,

Comme   empreinte,     R           sur   parcours

D’une vie en compor    I        tant plusieurs,

De natures, supports,  M    buts différents,

On retient surtout l’a  E  mour d’amant

Mêmes plaisirs intimes et partagés.

.

Amour se transforme     en… amitié,

Puis, peu à peu,        en attachement,

On en rêve moins,      d’aller en creux,

En lieu secret que      trop l’on connait.

.

Combien de fois me   *     suis-je confondu

En élans profonds,       *   dans ton marais ;

Combien de fois, me        S    suis-je retrouvé

En cet endroit, profond,    O        frais, secret,

Que je n’ai pu me retenir    U        de combler,

De jet d’amour, de t’aimer   V        bien    reçu.

Combien d’ardeur en nos    E       corps aimés

En dépit du nombre  de      N      leurs années

Font que toujours encore   T     on    s’enlace

Et que, jamais, nos corps  *      s’en  lassent

Et même si, sur nous, le   *    temps passe

Déposant, du passé,        A     ses  traces

Amour ne rime avec       V      tou-jours,

Mais reste fidèle, jour    E     après jour

À celui qui ne perd pas   C     son   tour

À lui rendre hommage    *     en retour

Or cela malgré le contre   *     le   pour,

Aucun n’en ferait jamais   T    le    tour.

Amour ne s’accorde  pas    O    diapason,

Et on aura beau monter     U      les   sons,

On écoutera une même       J         chan-son

Avec son lot de non et         O           de  mais,

On se ressent, comme       U               dé-fait !

Amour  ne sera pas          R                parfait !

Amour rendra                 S                 toujours.

.

Amour se transforme                en… amitié,

Puis, peu à peu,              en attachement,

On en rêve moins,       d’aller en creux,

En lieu secret que  trop l’on connait.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une forme doublée

En étant face à face :

Un couple, sans doute,

Lors uni pour toujours.

.

470 4

.

Un couple qui semble, en apparence, assorti

Mais pour combien de temps

Seul l’avenir le dira, il n’y a pas de certitude

En matière d’attachement !

 .

Symbolique

 .

Sens pour  couple ?           ……………..

Se sentir à l’unisson         du partenaire

Sur les questions les        plus profondes,

Les plus brûlantes          n’adviendra pas

Du jour au lende        main et tout seul.

 .

Explorer ques         tions, ensemble,

Reste un pro           cessus continu,

À l’échelle de         toute  une  vie.

Le but ne de         vrait pas être

De se mettre       d’accord  sur

Ce qui  comp       te pour vous,

Mais bien de        vivre au sein

D’une   union          où   chacun

Est ouvert aux        convictions

Les plus chères          de l’autre.

sexologues.canalblog.com

.

.

Fond

.

Évocation 

.

 470 6

.

Amoureux n’ayant rien à se cacher

Et espérant  amour toujours

Garderont la mémoire de la fidélité

Sans faille pour cette dernière.

 . 

Symbolique 

 .

Au placard, la théorie des   âmes sœurs

Voire autres mièvreries      romantiques

Tant, pour faire durer          son couple :

 

Pour cultiver l’amour          sur la durée,

Suffit selon certains              cher-cheurs,

De suivre formule              mathématique

 

Qu’on   pourrait                 résumer ainsi :

Le temps + la                       communication

X Facteur at                      traction mutuelle

 

+ Plus le ba                            gage     émotionnel

=  Amour                                  pour     toujours.

marieclaire.fr : formule-de-l-amour-eternel

  .

.

Fond/forme 

 .

L’amour comme verbe, parole, principe de vie,

Se distingue d’amour incarné, personnalisé, vécu ;

Tout comme amour toujours … de souvent d’absent.

Il y en a qui ne l’auront pas connu, et d’autres, que lui

Est-ce la faute à Voltaire ou à Rousseau, Dieu : nenni.

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Toujours, toujours, on court toujours après

Comme êtres, face à face, qui se… complètent,

Or l’amour n’est pas toujours de rimes…prêtes

Pour accorder leurs violons aux airs de fêtes !

Souvent n’est pas toujours, comme on le dit :

On l’évoque plus souvent  qu’on ne le ne vit,

Toujours n’existe que quand on lui survit.

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