469 – L’amour, ça dit qui, quoi, au juste ?

Visuels et textuels  >>

.

Perçu bonheur, maladie,

Amour s’alimente de non-dits.

Aimer, c’est ceci, aimer, c’est cela,

Chacun y va de son couplet ou refrain.

J’aime, n’aime pas, ne me prononce pas,

Mon Monde ne serait pas dominé par cela.

Lors chacun y va de sa propre représentation,

Veut l’imposer à l’autre comme une définition.

L’amour ne se définit  et il se vit simplement

Quelque part entre le monde animal, divin.

La religion le ferait pencher vers le divin,

Tandis que la réalité vers l’animalité.

.

Personne n’aura tort  ni raison :

Homme est un être d’exception.

Aimer, c’est, à l’autre, penser

Et cela, tous les jours,

De toute l’année.

Aimer, c’est, de tenir à lui,

Comme à l’ami

Pour  toujours.

Aimer, c’est, rêver de lui

Autant de nuits

Que de jours.

Aimer, c’est s’émotionner

Cœur emballé

Par ses tours.

Aimer, c’est, imaginer tour

Monde traduit

Dans celui-ci.

Aimer, c’est, se donner à lui,

En bon secours

Y compris au lit !

Aimer, c’est, avec l’autre, parler

D’esprit humanité

En tout, tout autour.

Aimer, c’est, avec l’autre, partager

Tout ce que l’on … a,

Et tout ce que l’on est.

Aimer, c’est, donner, non reprendre

Toute sa confiance

En l’autre.

.

L’amour est un mot souvent galvaudé,

Qui veut tout dire et rien dire, à la fois :

Amour de l’argent, de l’autre, une valeur,

D’une idée,  d’un animal, objet, etcetera.

Il n’est pas seulement désiré, consommé

Accepté ou refusé, consenti ou interdit

Est  évoqué, narré,   chanté,  poétisé,

Sublimé et autant décrié que dénié

Meurtri, sali, abandonné, trompé.

.

.

Extension   

+

On le sait fragile, et, subtil, et, éphémère,

Et pourtant on le cherche, sa vie entière.

Prête existence autonome, immanente,

Il n’est pas qu’en moi, en l’autre : il est

Autant entre les deux voire … au-dessus.

Il est bien partout mais si on n’y croit pas,

Si on n’en veut pas, on ne le trouve nulle part.

.

Rien d’étonnant qu’amour ait à voir le religieux :

Si l’on y croit pas, il n’existe pas mais si l’on y croit,

Il n’y a plus que lui qui subsiste. De là à dire que

L’amour nous prend, nous attache ou… sépare,

Nous échappe à la fois, il n’y a qu’un pas que

Certains franchissent  mais d’autres … pas !

.

En tout état de cause, l’amour se transformera

Se diversifiera bien qu’il procède de la même énergie

Pour tout et pour tous : un vrai mystère que l’on est pas

Prêt d’éclaircir en entier : une vie ne suffit pas à l’épuiser.

.

Donner dizaine de définitions de l’amour c’est n’en donner aucune,

C’est mettre au même plan, sa fortune et infortune consubstantielle

Peut-être y a-t-il des degrés, peut-être y-a-t-il intensités … échelles.

Peut-être de nature plutôt corporelle, de nature plutôt spirituelle,

Pourquoi pas cordiale, ou mystique, ou pourquoi pas sexuelle

Mais à y bien réfléchir, l’amour est de nature holistique

Il subsume le sexe, le corps, cœur, esprit, âme.

.

Amour a une et cent définitions

Autant dire qu’elle n’en a aucune,

Ou que chacun se définit la sienne,

À laquelle il adhérera plus ou moins.

.

Il en serait de même pour le bonheur,

Et pour bien d’autres choses de valeur

Tout ce qui est subjectif restera sujet,

À nombre interprétations, opinions.

.

Je ne vous impose pas la mienne,

Mais comme une bonne recette

Comportera cinq ingrédients

Si un fait défaut, attention.

.

Le sexe, disons sexualité ;

Le corps, disons sensualité ;

Le cœur, disons… l’affectivité

L’esprit, disons, toute sa pensée

Et enfin l’âme, par sa spiritualité !

.

.

Épilogue

.

Amour veut-il tout dire en vue de masquer

Au mieux qu’il ne voudrait en fait rien dire :

Comme trop d’informations tue l’information,

Mettre de l’amour partout finirait par le noyer.

.

Il y a beaucoup de diversité dans ce qu’on aime

Comme il y a beaucoup de degrés et d’intensités

Aimer concepts comme liberté, égalité, fraternité

N’est pas aimer un plat, un vêtement, un  poème.

.

« J’aime le son du cor, le soir, au fond des bois »,

D’Alfred de Vigny n’a pas même objet, sujet que

 « J’aime leçon du corps, en noir, au fond du Bois »

Dans ce dernier, il s’agira d’un pastiche, je crois.

.

Lors on compare l’amour à  ballon, vase, pipette,

Ce n’est pas tant objet qui le reflète  qu’extension.

Il se gonfle, il se retient, se délecte et puis se vide :

S’il est fort il pompe tout désir et si faible, l’ignore.

.

Tout comme l’on ne peut pas ne pas communiquer,

On ne peut vivre sans aimer. Aimer qui, aimer quoi

Serait la bonne question : soi, les autres, le Monde,

Ou les trois à la fois, si ce n’est l’inverse : tout haïr.

.

.

469 – Calligramme

.

Perçu bonheur, maladie,

Amour s’alimente des non-dits.

Aimer, c’est ceci   *    aimer, c’est cela,

Chacun y va de son  *    couplet ou refrain.

J’aime, n’aime pas,      L    ne me prononce pas,

Mon Monde ne serait     ‘         pas dominé par cela.

Lors chacun y va de sa    A      propre représentation,

Veut l’imposer à l’autre   M      comme une définition.

L’amour ne se définit    O     et il se vit simplement

Quelque part entre le   U     monde animal, divin.

La religion le ferait   R  pencher vers le divin,

Tandis que la réa    *  lité vers l’animalité.

Personne n’au     *  ra tort ni raison :

Homme est un être d’exception.

Aimer, c’est, à l’autre, penser

Et cela, tous les jours,

De toute l’année.

Aimer, c’est, de tenir à lui,

Comme à l’ami

Pour  toujours.

Aimer, c’est, rêver de lui

Autant de nuits

Que de jours.

Aimer, c’est s’émotionner

Cœur emballé

Par ses tours.

Aimer, c’est, imaginer tour

Monde traduit

Dans celui-ci.

Aimer, c’est, se donner à lui,

En bon secours

Y compris au lit !

Aimer, c’est, avec l’autre, parler

D’esprit humanité

En tout, tout autour.

Aimer, c’est, avec l’autre, partager

Tout ce que l’on … a,

Et tout ce que l’on est.

Aimer, c’est, donner, non reprendre

Toute sa confiance

En l’autre.

L’amour  V   est un mot souvent   Q  galvaudé,

Qui veut    E   tout dire, rien dire    U    à la fois :

Amour de   U   l’argent, de l’autre     I  une valeur,

D’une idée    T   d’un animal, objet     *      etcetera.

Il n’est pas     *   seulement, désiré      Q  consommé

Accepté ou    D    refusé, consenti      U       interdit

Est évoqué    I      narré,   chanté     O     poétisé,

Sublimé,      R     autant décrié       I que dénié

Meurtri,      E    sali, abandonné  ?  trompé.  

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

469 4

.

 Évocation

 .

Un ballon à gonfler

Ou un ballon d’amour

Qu’on aurait peu gonflé !

 .

L’amour comme un ballon qui se gonfle

Et qui nous emporterait un autre monde,

Voilà qui pour ma part, me convient bien.

.

L’amour est comme un ballon

Il se gonfle et se dégonfle aussi vite

Qu’on le mette à l’endroit ou en l’envers

Ne changerait rien à son flux d’énergies !

 .

 Symbolique

 .

En rêve, le ballon symbolise

Les  projets  chimériques que

Nous faisons assez souvent.

Le voir s’élever dans les airs

Annoncera succès faciles

Mais qui ne dureront pas,

À moins que nous ne nous

Donnions beaucoup de peine

Pour les maintenir en bon état.

Vous voyez lancez un ballon en air,

Dit que vous serez habile à vous servir

De vos affections ou de vos aventures,

Pour en tirer un avantage personnel.

.

.

Descriptif

 .

469L’amour : ça veut dire qui et quoi ?

Alignement oblique /   Titre intercalé /   Thème  amour

Forme courbe droite /Rimes égale /Fond approché de forme

Symbole de forme : ballon   /   Symbole de fond : amour

.

.

Fond

.

Évocation 

.

469 6

 .

L’amour est un soutien physique,

Cordial, mental et moral,

C’est ce qui nous aide à tenir debout

Quand tout s’effondre.

Symbolique 

 .

L’amour est la plus belle chose au monde,

Il n’est donc pas  surprenant qu’il existe

Autant  de  symboles  de  nos   amours :

Lors, beaucoup d’amoureux s’en offrent,

Régulièrement pour prouver, à l’être aimé

Qu’il est leur raison d’être, et ce qui est beau,

C’est de remarquer que, malgré le temps passé,

De nombreux symboles de l’amour persistent encore

Prouvant une fois de plus qu’amour est plus fort que tout.

Modifié et mis en forme, source : parlerdamour.fr

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amour, chacun sait, est enfant de bohème

Il est toujours dans des situations extrêmes

Qui nous rendrait écarlate et puis blême.

.

L’amour est un réel insoluble problème

Mais c’est aussi pour ça qu’on l’aime.

.

L’amour, amour, parlons-en toujours

Il nous prend et nous file entre les doigts

Bien que les mains jointes pour le retenir.

.

S’il rime avec bonheur lors il est à l’heure,

Il nous abandonne ensuite, traitre, voleur.

.

Le fond recouvre la forme, gonflé en haut

Plat, et long, et en attente, tout en bas

Avant, face à face ; là, côte à côte,

Après, dos à dos, absent !

 .

Visuel

.

.

 Rien de plus ni de moins que cela

.

Amour

.

Un concept précis ou un fourre-tout

Il se décline en tous cas en bien des choses

À commencer par l’amour maternel, familial

Pour dériver vers l’amour sexuel, voire conjugal

Lors il peut devenir aussi noir que blanc que rose !

.

L’amour-propre formerait quelque variante éthique

Après tout rien n’empêche de se trouver sympathique

Sans tomber dans narcissisme considéré pathologique,

En une sorte d’opinion trop avantageuse de soi-même !

.

Affectivité, volonté nous fait reconnaitre objet inspirant

Comme bon, comme beau, aimable, et voire, désirable.

L’amour peut alors se porter sur l’art, sur l’esthétique,

On peut admirer un tableau, apprécier une musique.

.

 « Elle fut dans ses bras, sur ses genoux, avec une voix profonde. Ce fut leur premier baiser, qui dura le reste de la nuit. Ils ne parlaient pas, ils s’approchaient. Elle se révélait à lui dans toute sa splendeur. Vers l’aurore, ils s’atteignirent. Elle avait une expression de jubilation et de curiosité incroyables. Le contact parfait, le sourire … tout enracinait Jim. Les autres femmes n’existaient plus pour lui. » Henri-Pierre Roché. Jules et Jim. Gallimard

 

La perversion consiste à détruire la valeur de l’autre, pour tenter de l’asservir égoïstement à soi au lieu d’enrichir l’autre et soi-même d’un don réciproque qui fait de chacun d’eux, un être qui désire plus et de devenir plus qu’eux-mêmes. L’amour est à la fois ce qui transcende notre humanité, nous rapproche de notre source animale.

 

Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent se retrouvent l’un dans l’autre élevé à un degré d’être supérieur, si le don a été total, non limité à un seul niveau de leur être, le plus charnel. L’amour est une source de progrès dans la mesure où il est union et non appropriation.

.

En amour, les premiers pas sont souvent les plus difficiles ! Trouver l’âme sœur, vaincre sa timidité pour déclarer sa flamme, concrétiser un coup de foudre… sont pour certains de véritables épreuves.

.

Amour quand tu nous tiens … nous lâche !

Mais que ferait-on, sans lui, sur cette Terre,

De toutes nos affections si celui-ci ne nous sert

Qu’à entretenir illusion y compris reproduction.

.

L’amour est un concept universel mais multiple.

Certains en feront la première valeur de leur vie,

Lors d’autres y prétendent mais ne la respectent

L’amour a deux visages, l’un libre, autre jaloux.

.

Comment être certain vivre le véritable amour

Celui qui nous nourrit, nous ravit chaque jour

Il est comme le bonheur, tellement subjectif,

Qu’on ne saurait le définir sauf subjonctif.

.

Visuels et textuels  >>

468 – L’amour est fruit du hasard, du désir.

Visuels et textuels >> 

.

L’amour, dit-on, ne se commande pas :

Arrive par hasard,  on ne s’y attend pas

Encore, faudra-t-il avoir quelque désir,

Opportunités viendront, vite, à mourir.

.

Bon, finalement, célibataire  a  du bon

Pas encore rencontré véritable amour,

Il ne pourra être question  d’infidélité,

Simplement changement partenaires !

.

Mariage a aussi quelque chose de bon,

Même si certains le considère déraison,

Hasard a permis d’établir solide union,

Fidélité n’est que promise, pas garantie.

.

Quand hasard frappe à nouveau la porte

Que faire de tout  ce que l’on a construit :

Tromperie-divorce, ou arrangement amis,

Lors, si  hasard gouverne : tout est permis.

.

Amour et fidélité font, parfois, bon ménage,

À la longue un vieux couple, amitié fort sage.

Conquise, pour autant la femme non soumise

À une personne, personnage, toujours exquise.

Dès qu’elle aura percé homme à jour, démasqué

Ce dernier, penaud, s’en ira ailleurs … déchanter.

.

Parfois l’amour rêvé se transforme en rivalité

Et emporte tout conflit hors de toutes réalités

Tant qu’attraction  des corps dure, la raison

S’étiole, s’en tient  à  première  impression

Qui ne dira pas  non  à l’infidèle intuition

Se met en tête amour comme obsession.

.

Personne n’a jamais trompé personne :

Ce ne sont que supercheries en des lits,

Incompris sans commun accord nenni,

Que mensonge, oubli… erreur friponne.

.

Des fois, comme un miracle se produit,

Des amants d’un jour, s’allient une nuit

Et ils décident de tenter à deux leur vie,

C’est dire si l’amour est comme loterie !

.

Hasard n’y est pour rien, en cette affaire

Tout est dit, tout est permis … construit,

Si l’aventure  perdure … sans se défaire,

C’est qu’elle ne doit rien… à l’arbitraire,

L’amour est l’affaire seule du … couple.

.

Il ne leur suffit pas  qu’ils  s’accouplent,

Ce serait trop facile mais il y a émotions

Qui dérégleront horloge de leur passion

Une passion ici puis une passion là-bas.

.

Amours s’en viennent…et puis s’en vont,

Qui peut savoir et dire pour quelle raison

On aime ce qu’on a pas, pas ce que l’on a.

Choisi  par hasard, par arcane  d’un désir,

Amour ne peut durer que poussant soupir.

.

.

Extension

.

Faut-il s’imaginer le choix du conjoint comme celui d’un ovule,

Que nombre de spermatozoïdes atteignent, et tentent de percer :

Une fois le premier entré, porte se ferme pour les autres à jamais.

La différence avec la biologie : les amants font un choix conscient !

Le résultat peut être le même en cas de fidélité absolue et consentie

Le fait de s’être trompé, le reconnaitre permet de faire autre choix

Ou tout en gardant le premier choix, de le partager avec d’autres

Le hasard a bien fait les choses dit-on quand le couple marche

Le hasard défait toutes choses quand il s’est trop dévoyé.

.

L’amour est, par nature, fruit du désir,

 D’ailleurs, il cessera quand il disparait,

L’état de manque ne se satisferait plus

De comblement par sa consommation.

.

En dehors de confondre, ou  de marier,

Le plaisir avec le désir, réciproquement

L’amour reste émotion, axée vers l’autre,

Non pas vers soi bien qu’à travers l’autre.

.

Hasard fait bien  les choses, disent certains,

Question comment vous êtes-vous rencontré,

Peut paraitre une question des plus anodines

Or la réponse ne le serait  que très rarement.

.

Nous nous sommes rencontrés, par hasard,

En échangeant mots doux sur quai de gare

En dehors de satisfaire au besoin de rime,

La vérité est que fruits murs sont tombés.

.

.

468 – Calligramme

.

L’amour, dit-on, ne se commande pas :…………………………………………..

 Arrive par hasard, on ne s’y attend pas…………………………………………..

Encore, faudra-t-il avoir quelque désir,……………………………………….

 Opportunités viendront vite à mourir………………………………………..

Bon, finalement, célibataire a du bon…………………………………….

Pas encore rencontré véritable amour,………………………………

Il ne pourra être question d’infidélité,……………………………

Simplement changement partenaires !……………………….

 Mariage a aussi quelque chose de bon,…………………….

Même si certains le considère déraison,……………..

 Hasard a permis d’établir solide union,……………

  Fidélité n’est que promise, pas garantie. ………

 Quand hasard frappe à nouveau la porte…..

   L’AMOUR  EST

Que faire de tout ce que l’on a construit :

  Tromperie-divorce, ou arrangement amis,

Lors si hasard gouverne : tout est permis.

  Amour et fidélité font, parfois, bon ménage,

  À la longue un vieux couple, amitié fort sage.

 Conquise, pour autant la femme non soumise

 À une personne, personnage, toujours exquise.

 Dès qu’elle aura percé homme à jour, démasqué

Ce dernier, penaud, s’en ira ailleurs … déchanter.

FRUIT DU HASARD

Parfois l’amour rêvé se transforme en rivalité………

Et emporte tout conflit hors de toutes réalités………..

 Tant qu’attraction des corps dure, la raison……………..

S’étiole, s’en tient à première impression…………………

  Qui ne dira pas non à l’infidèle intuition……………………

Se met en tête amour comme obsession………………..

 Personne n’a jamais trompé personne :………………..

Ce ne sont que supercheries en des lits,…………….

Incompris sans commun accord nenni,…………..

 Que mensonge, oubli…erreur friponne………….

Des fois comme un miracle se produit,……..

Des amants d’un jour s’allient une nuit…..

  Et ils décident  de tenter  à deux  leur vie,

 C’est dire si l’amour est comme loterie !

ET DU DÉSIR

    Hasard n’y est pour rien, en cette affaire

       Tout est dit, tout est permis  … construit,

       Si l’aventure perdure … sans se défaire, 

         C’est qu’elle ne doit rien … à l’arbitraire,

         L’amour est l’affaire seule du … couple.

          Il ne leur suffit pas qu’ils  s’accouplent,

              Ce serait trop facile mais il y a émotions

              Qui dérégleront horloge de leur passion

                  Une passion ici, puis une passion là-bas,

                   Amours s’en viennent…et puis s’en vont,

                      Qui peut savoir et dire pour quelle raison

                        On aime ce qu’on a pas, pas ce que l’on a.

                         Choisi par hasard, par arcane d’un désir,

                              Amour ne peut durer que poussant soupir.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

468 4

.

Évocation

Chemin en courbure

Pour éviter déceptions,

Et les pièges du destin 

Et  qui  mène  à la fin ?

 .

Au hasard d’un chemin, au carrefour,

Une rencontre amoureuse

Qui nous conduit à modifier un projet

Par courbure de destin.

 .

Symbolique 

.

Dans  bon nombre de traditions

Religieuses  ou  métaphysiques,

L’image  du  chemin  constitue

Un symbole des grandes quêtes

De l’Être, de l’autre, de l’amour

Et l’on dit aussi que le bonheur

N’est pas au bout du chemin,

Qu’il  serai t le   chemin !

.

Marche est sans nul

Doute une activité

Enrichissante et

Ayant  inspirée

Tant d’hommes,

Des   écrivains,

Des philosophes,

Ou illustres inconnus,

Ils  ont  tous  été   fasciné

Par la marche, sa symbolique

Et la réflexion qu’elle favorise !

.

Descriptif

.

468 – L’amour est fruit du hasard et du désir

Alignement oblique /   Titre intercalé /   Thème  amour

Forme conique courbe /Rimes variées /Fond accordé à forme

Symbole de forme : chemin   /   Symbole de fond : destin

.

.

Fond

.

Évocation 

.

468 6

.

Le destin choisit pour une part et laquelle

Ne nous dispense pas de liberté

De choix ni d’assumer après toute la suite

À moins que le chemin soit miné.

 .

Symbolique 

.

Bien sûr qu’il fait bien les choses,

Le destin.

De plus, il est aidé par son copain

Le hasard.

.

En résumé : il suffira d’attendre,

C’est le hasard qui dirige ma vie.

N’est-ce pas ?

.

Bien sûr, que, grâce au destin,

Vous  allez   rencontrer  celle

Que vous attendez.

.

Nous pouvons quand même

Nous hasarder à penser que

Notre destin a parfois besoin

D’un sérieux coup  de  pouce,

Si notre destin devient lors

Synonyme d’une fatalité !

 penseespositives.net

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le destin, parlons-en un instant :

À supposer que je devienne… poète ;

Est-ce alors de mon fait, de ma liberté

Non, j’y suis contrait ou comme obligé

Je n’ai aucun mérite, aucune volonté !

.

À moins de concevoir  destin restreint

Qui ne s’intéresserait  qu’à ma santé,

Grandes étapes,  choix dans ma vie,

Mais cela revient au même, aliéné.

.

Le destin est un chemin, pré-tracé,

Et certains diront même, précâblé,

Mais alors il ne devrait avoir… que

Des vers tous contraints en refrain

Auquel ni liberté ne s’oppose, frein

Si c’est un chemin en prédestinée

Alors la forme a épousé le fond.

 .

Visuel

.

.

Au hasard d’un café ou pub

.

Visuels et textuels >> 

 

467 – L’amour : plus poésie que chimie !

Visuels et textuels >> 

.

Si amour est chimie,

Pourquoi pas la poésie !

Et si la poésie est discours

Lors pourquoi pas l’amour !

Émotions  dominent  l’amour

Bien que l’argent n’y ait cours !

Si amour est basé sur une chimie

Sur quoi est basé chimie d’amour !

Comment se fait : chimie disparaisse,

Lors chimie de l’amour, en nous, reste !

Disposons-nous de réservoir inépuisable,

Faisant moult amours, en serions capables !

Que fait-on des  enfants, merveilles de l’amour

Ou sous-produits,  pour se renouveler, toujours !

Tout ceci peut être vrai et tout cela peut être faux,

C’est un mystère de l’amour, humain, qui est beau.

.

Est-ce délire : l’amour

N’est que chimie,

En tout, y compris même

En ses fantaisies,

Car les joues qui rougissent,

Lèvres qui rosissent,

Ne seraient qu’effets du sang,

Effets d’échauffements.

C’est en un affolement du cœur

Qui s’emballe,

Qu’on prend pour argent comptant

Un amour qui est d’hormone animale.

.

Du poète, ou du chimiste, dites-moi lequel

À tort ou raison entre la pensée et l’émotion ?

À vrai dire, ni l’un, ni l’autre, vraisemblablement

Ce qui  vous apparaît, comme vrai, sur le moment,

Ne peut l’être, pour toute la vie,  pour tout le temps.

.

Et, le même être, qui vous a tout donné, tout reprend

Mais si le désir d’aimer l’autre demeurera inépuisable

Nos émotions se renouvellent comme grains de sable,

Tamisés par le vent et par l’eau et en misant sur elles,

Elles vous donnent d’amour fécond, une ribambelle.

.

Un peu de chimie n’empêche pas un peu de poésie,

Un peu de poésie ne nuit pas à un peu de chimie.

La chimie seule ne tiendrait pas si longtemps,

Et la poésie, seule, n’a pas de corps d’amant.

.

Nul doute : l’amour est basé  sur une chimie

Mais sur quoi est basée la chimie de l’amour,

Cette dernière question mérite bien un détour.

.

Si un désir d’aimer l’autre demeure inépuisable,

Si nos  émotions  se renouvellent, grains de sable,

C’est que chimie en produit un nombre incalculable

.

.

Extensions

.

Si la chimie nourrit le corps et le cœur

Et si, la poésie, nourrit  l’esprit, et l’âme,

L’alchimie y ajoute un supplément faisant,

De deux êtres, une seule entité qui

Les englobe et les dépasse,

Et parfois même les sublime.

.

Sublime équation, sublime partition,

Sublime composition que cette association

De trois éléments constitutifs d’un amour

Qui lient, aux extrêmes, le sexe et l’âme

En une charnelle et spirituelle union.

.

La poésie et la chimie sont comprises comme étant antinomiques.

Les uns prétendent que l’amour est transcendant ; autres, charnel.

Il  peut y avoir une part de poésie dans la chimie, réciproquement.

Plutôt que de les opposer, il vaudrait mieux tenter de les combiner.

La chimie serait alors, le moteur, l’essence, l’énergie, et l’attraction,

Tandis que la poésie serait la route, la direction, supplément d’âme.

Il n’existe pas davantage de philtre d’amour que d’alchimie d’esprit.

.

Si amour ne peut se départir

De ses réactions, ses sensations,

Chimiques

 .

Comme autant de bases corporelles ;

 Et qui lui seraient des plus essentielles

Pour son plaisir

 .

Il aura besoin  d’un supplément  d’âme,

Pour aller  plus loin, plus fort… plus haut,

Pour  son  bonheur

 .

Son cerveau, et par là, son esprit, sa pensée,

Ne se satisfont pas d’acte purement physique

Il lui faut de l’alchimique

 .

Ce petit rien, ce je ne sais quoi… inexplicable

Qui le mettra en des états des plus ineffables

Jusqu’à en perdre toute sa raison.

 .

Et si certains croient qu’il n’existerait de

De processus alchimique, ni chimique

Libre à eux de calculer l’amour

Qui ne devient rien d’autre

Qu’un intérêt boursier.

.

.

Épilogue  

.

En amour, pour certains, tout est chimie

Tandis que pour d’autres, domine poésie.

Pour la plupart : un amalgame des deux !

En fait ça se voit, s’entend, comme je veux

.

Amour, esprit, pensée, rêve et tutti quanti,

N’ont pas de matière, n’ont pas de chirurgie,

La chimie n’est pas que dans le corps, cerveau

La poésie n’est pas que dans le verbe, les mots !

Quand nous sommes dopés par notre dopamine

Entourage le voit, de suite, à notre bonne mine :

La sérotonine, l’endorphine et voire l’ocytocine,

La renforce pour accéder à sensation bonheur.

***

À supposer qu’on ne dispose de ces drogues

Qui nous font du bien et voir la vie en rose

Est-ce, pour autant,  qu’amour disparait,

Laissant, derrière lui, un souvenir amer.

.

Pour bien accorder nombre contraires

On parlera d’alchimie extraordinaire,

Et le tour est joué aux contestataires,

Le viagra n’est qu’ersatz grabataire !

Corps est véhicule… émotion/raison

Certes l’émotion : nature chimique,

Tandis que raison, nature réflexion

Le cœur a sa raison que la raison…

***

Si j’évoque ici Pascal, loin de l’animal

C’est qu’on peut aimer à perdre raison

De raison, les animaux n’en ont guère,

On dit pourtant qu’ils s’aiment : alors !

.

Alors l’amour demeure un pur mystère,

Plus on le creuse et plus on s’y enfonce :

Chacun croit y trouver diamant, lumière

Mais en fait personne n’en tire une once.

.

Une lampe céleste, éclairant notre chevet,

Nous gratifie d’espoir qu’on dit démesuré

Celui qu’un être suprême, le gouvernerait,

Qu’en un faux débat, nous entretient, nés.

.

.

467 – Calligramme

.

Si amour est P     chimie,

Pourquoi pas  O   la poésie !

Et si la poésie   E est discours,

Lors pourquoi    S  pas l’amour !

Emotions domi     I     nent l’amour

Bien que l’argent     E      n’y ait cours !

Si amour est basé               sur une chimie

Sur quoi est basé     O         chimie d’amour !

Comment se fait :      U        chimie disparaisse,

Lors chimie de l’                  amour en nous, reste !

Disposons-nous     C         de    réservoir inépuisable,

Faisant moult          H      amours, en serions capables !

Que fait-on des           I         enfants, merveilles de l’amour

Ou sous-produits,        M           pour se renouveler, toujours !

Tout ceci peut être          I            vrai et tout cela peut être faux,

C’est un mystère de         E            l’amour, humain, qui est beau.

Est-ce délire : l’amour

N’est que chimie,

En tout, y compris même

En ses fantaisies,

Car les joues qui rougissent,

Lèvres qui rosissent,

Ne seraient qu’effets du sang,

Effets d’échauffements.

C’est en l’affolement du cœur

Qui s’emballe,

Qu’on prend pour argent comptant

Un amour qui est d’hormone animale.

Du poète, ou du chimiste, dites-moi lequel

À tort ou raison entre la pensée et l’émotion ?

À vrai dire, ni l’un, ni l’autre, vraisemblablement

Ce qui  vous apparaît, comme vrai, sur le moment,

Ne peut l’être, pour toute la vie,  pour tout le temps.

Et le même être, qui vous a tout donné, tout reprend.

Mais si le désir d’aimer l’autre demeurera inépuisable

Nos émotions se renouvellent comme grains de sable,

Tamisés par le vent et par l’eau et en misant sur elles,

Elles vous donnent d’amour fécond, une ribambelle.

Un peu de chimie n’empêche pas un peu de poésie,

Un peu de poésie ne nuit pas à un peu de chimie.

La chimie seule ne tiendrait pas si longtemps,

Et la poésie, seule, n’a pas de corps d’amant.

Nul doute : l’amour est basé  sur une chimie

Mais sur quoi est basée la chimie de l’amour,

Cette dernière question mérite bien un détour.

Si un désir d’aimer l’autre demeure inépuisable,

Si nos  émotions  se renouvellent, grains de sable,

C’est que chimie en produit un nombre admirable.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

467 4

.

Évocation

Une forme connue :

Vase en pied, abat-jour :

Une lampe de … chevet 

 .

Lampe avec un  corps en bas, une âme en haut

Sans aucun abat-jour, il aurait moins de poésie

Voilà qui rapproche bien  le fond de la forme.

.

La question mérite d’être approfondie  

De manière satisfaisante :

Par une lampe de chevet ou autre

Histoire d’éclairer sa lanterne.

 .

 Symbolique 

 .

La lampe

Représente un point

De lumière dans l’obscurité.

Lors par analogie, elle symbolise

L’entendement en confusion mentale,

Révélation d’un savoir enfoui ou caché.

D’ailleurs,

L’expression

« Éclairer sa

Lanterne« , qui

Signifie clarifier

Quelque   chose,

Exprime    bien

Cette notion de

Savoir dévoilé.

1001 symboles

.

Descriptif

.

467L’amour est-il plus poésie que chimie !

Alignement central   /   Titre droit  décalé / Thème  action

Forme conique courbe /Rimes égales /Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe   /   Symbole de fond : amour-chimie

.

.

Fond

.

Évocation 

.

467 6

.

La question mérite d’être éclairée

De manière satisfaisante :

Qu’amour soit chimie, certes

Mais n’est-ce bien que cela ?

 .

Symbolique

 .

Des petits cœurs qu’on voit partout,

Le rythme cardiaque qui s’accélère,

Haut les cœurs de la St-Valentin…

.

Notre muscle cardiaque est-il

Symbole d’amour par excellence:

Un  symbole  pourtant  mal  choisi !

.

L’amour n’a en effet pas grand-chose

À voir avec cet organe physiologique

En  réalité, quand on est amoureux,

C’est dans la tête que cela se passe.

.

Dans la tête, le cœur, corps, sexe,

Il y a bien autre chose que de

L’amour que chimique,

Oui peut-être surement

Même mais quoi ?

Modifié en forme, source 

 breakingscience.be  

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Faux débat : tout est chimie, tout est poésie

On  confond  en amour  le substrat  de chimie

Forcément présent et actif dans le corps, esprit

Et l’excitation, le désir, l’envie, qui le produisent

Avec une drogue, un élixir on peut s’y substituer

Mais ça ne durera que le temps de l’absorber !

Amour poésie ou chimie

Et pourquoi pas les deux,

La science et la conscience

Riment  si bien entre elles

Qu’on devrait  les sacrer

Mais  le fond ne rejoint

Pas la forme, déforme

Un peu leurs accords

En silence de mort !

 .

Visuel

.

.

Amour poésie + que chimie

.

.

Amour

.

Un concept précis ou un fourre-tout

Il se décline en tous cas en bien des choses

À commencer par l’amour maternel, familial

Pour dériver vers l’amour sexuel, voire conjugal

Lors il peut devenir aussi noir que blanc que rose.

.

L’amour-propre formerait quelque variante éthique

Après tout rien n’empêche de se trouver sympathique

Sans tomber dans narcissisme considéré pathologique,

En une sorte d’opinion trop avantageuse de soi-même !

.

Affectivité, volonté nous fait reconnaitre objet inspirant

Comme bon, comme beau, aimable, et voire, désirable.

L’amour peut alors se porter sur l’art, sur l’esthétique,

On peut admirer un tableau, apprécier une musique.

.

 « Elle fut dans ses bras, sur ses genoux, avec une voix profonde. Ce fut leur premier baiser, qui dura le reste de la nuit. Ils ne parlaient pas, ils s’approchaient. Elle se révélait à lui dans toute sa splendeur. Vers l’aurore, ils s’atteignirent. Elle avait une expression de jubilation et de curiosité incroyables. Le contact parfait, le sourire … tout enracinait Jim. Les autres femmes n’existaient plus pour lui. » Henri-Pierre Roché. Jules et Jim. Gallimard

.

La perversion consiste à détruire la valeur de l’autre, pour tenter de l’asservir égoïstement à soi au lieu d’enrichir l’autre et soi-même d’un don réciproque qui fait de chacun d’eux, un être qui désire plus et de devenir plus qu’eux-mêmes. L’amour est à la fois ce qui transcende notre humanité, nous rapproche de notre source animale.

.

Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent se retrouvent l’un dans l’autre élevé à un degré d’être supérieur, si le don a été total, non limité à un seul niveau de leur être, le plus charnel. L’amour est une source de progrès dans la mesure où il est union et non appropriation.

.

En amour, les premiers pas sont souvent les plus difficiles ! Trouver l’âme sœur, vaincre sa timidité pour déclarer sa flamme, concrétiser un coup de foudre… sont pour certains de véritables épreuves.

.

Amour quand tu nous tiens … nous lâche !

Mais que ferait-on, sans lui, sur cette Terre,

De toutes nos affections si celui-ci ne nous sert

Qu’à entretenir illusion y compris reproduction.

.

L’amour est un concept universel mais multiple.

Certains en feront la première valeur de leur vie,

Lors d’autres y prétendent mais ne la respectent

L’amour a deux visages, l’un libre, autre jaloux.

.

Comment être certain vivre le véritable amour

Celui qui nous nourrit, nous ravit chaque jour

Il est comme le bonheur, tellement subjectif

Qu’on ne saurait le définir sauf subjonctif.

 .

Visuels et textuels >> 

466 – Femme : déesse Shiva aux six bras !

Visuels et textuels >> 

.

Shiva, shiva pas, shiva quand même

Éternel refrain, des couplets sans fin,

Que comporte chansons de sa maison,

Étant son âme, ses jambes et ses bras !

Déjà que son travail de mère est triple :

Soins enfants, soin mari, et, éducation !

.

Quand elle se trouve seule  et de faction

Pour toutes tâches ménagères  ou taxis.

Parfois, une tâche  lui coûtera  un bras,

Mais l’on dirait qu’il repousse très vite,

Même lorsque le compte n’y sera pas :

Elle le fait quand même, d’autre bras.

On peut comprendre  qu’elle en rêve,

De n’avoir que  deux bras et jambes

De se les faire masser pour reposer

Membre fantôme logé en cerveau.

.

Il est grand temps que je me pose,

Maladie du siècle que la  bougeotte

J’ai   envie de  buller  mais  je n’ose

Car j’ai peur de passer  pour   sotte.

Lors mon travail de mère est triple,

M’occuper du travail, de la maison,

Des enfants quand mari en périple,

N’est là que week-end en chausson.

Shiva aux six bras  m’appelle-t-on !

.

J’y vais, c’est certain mais à reculons

Deux fois l’an, pour prendre … l’air,

Deux semaines  à s’occuper de moi,

À ne rien faire que buller ordinaire

Mais, c’est luxe de choix, pour moi.

La nuit, je rêve d’une vie tranquille,

D’être seule à méditer sur mon…ile,

Au lieu de ramer dans mon archipel

Où, toutes les heures, l’on m’appelle.

.

Une femme de ménage et cuisinière,

Changerait, un peu,  mon ordinaire :

J’irais faire les boutiques et très fière,

Je me conduirai  en mère  exemplaire.

Moi qui n’ai qu’un travail de secrétaire

Et qui ne me rapporte que  des misères,

Le ménage, courses, cuisine  et  enfants,

Je dois avoir six bras et courir et souvent.

Shiva, ch’y vais pas,  pas temps de penser,

Je suis seule,  avec les enfants : faut y aller.

La femme est une multitâches ça, on le sait,

Bébé et téléphone puis cuisine puis ménage

Le tout bien fait, bien assuré évidemment.

.

Voilà qui la rapproche de la déesse Shiva,

Déesse hindoue et dansante aux six bras,

Qu’on imagine femme idéale dans tous cas.

Shiva, ch’y vais pas, pas le temps d’y penser,

Elle est seule, et avec les enfants faut y aller.

.

.

Extension

.

Dieu merci, il est des maris qui partagent

Les tâches ménagères et soins aux enfants

À égalité, ou presque, avec leurs épouses :

D’autant si elles travaillent à l’extérieur,

C’est un contrat, habitude à prendre,

Pas simple question de principe.

.

L’homme serait monotâche et la femme, multitâches : foutaises !

La femme l’est, le plus souvent mais non par choix, par obligation

Auparavant, l’homme débarquait, dans son foyer, tout à son aise :

Désormais il doit partager les charges domestiques et d’éducation

Tous les  découpages, reprises des tâches ont un coup en énergie

Quand il y en a trop, ou sous contrainte de temps : on disjoncte

Si la femme est multitâches, fait deux journées dans la même

Ses enfants, sa maison, ses courses et travail professionnel,

Comment être, en plus, très disponible… pour l’amour !

.

Shiva ou shi vais pas : jeu de mot facile

Lors souvent c’est la femme qui s’y colle,

Et tous les petits maux du foyer, recolle,

Parfois c’est le coup de blues : difficile !

.

Le plus dur est : famille monoparentale,

Tout est à faire et par un seul conjoint :

Tant et si bien même elle avait six bras,

Peut-être qu’elle n’y parviendrait pas !

.

Vous pensez bien qu’à deux et en égalité

Partage des tâches, elle aime, en raffole :

C’est là une source d’amour et de fidélité

Avec quelqu’un sur qui elle peut compter.

.

.

466 – Calligramme

.

Shiva, shiva pas, shiva quand même

Éternel refrain, des couplets sans fin,

Que comporte chansons de sa maison,

Étant son âme, ses jambes et ses bras !

Déjà que son travail de mère est triple :

Soins enfants, soin mari, et, éducation !

Quand elle se trouve seule  et de faction

Pour toutes tâches ménagères  ou taxis.

Parfois, une tâche  lui coûtera  un bras,

Mais l’on dirait qu’il repousse très vite,

Même lorsque le compte n’y sera pas :

Elle le fait quand même, d’autre bras.

On peut comprendre  qu’elle en rêve,

De n’avoir que  deux bras et jambes

De se les faire masser pour reposer

Membre fantôme logé en cerveau.

.

Il est grand temps F  que je me pose,

Maladie du siècle que   E    bougeotte,

J’ai envie de buller mais      M    je n’ose

Car j’ai peur de passer pour    M    sotte.

Lors mon travail de mère est    E   triple,

M’occuper du travail, de la     *  maison,

Des enfants quand mari    E  en périple,

N’est là que week-end  S  en chausson.

Shiva aux six bras  T  m’appelle-t-on !

J’y vais, c’est certain mais à reculons

Deux fois l’an, pour prendre … l’air,

Deux semaines  à s’occuper de moi,

À ne rien faire que buller ordinaire

Mais, c’est luxe de choix, pour moi.

.

La nuit, je rêve d’une vie tranquille,

D’être seule à méditer sur mon…ile,

Au lieu de ramer  dans mon archipel,

Où, toutes les heures,    l’on m’appelle.

Une femme de ménage    S      cuisinière,

Changerait un peu mon    H     ordinaire :

J’irais faire les boutiques   I   et très fière,

Je me conduirai en mère     V   exemplaire.

Moi qui n’ai qu’un travail      A  de secrétaire

Et qui ne me rapporte que      *    des misères,

Le ménage, courses, cuisine      A     et enfants,

Je dois avoir six bras et courir    U    et souvent.

Shiva, ch’y vais pas, pas temps     X     de penser,

Je suis seule, avec les enfants :       *    faut y aller.

La femme est une  multitâches      S   ça, on le sait,

Bébé et téléphone et cuisine           I     puis ménage

Le tout bien fait, bien assuré        X     évidemment.

Voilà qui la rapproche de la          *      déesse Shiva,

Déesse hindoue et dansante       B        aux six bras,

Qu’on imagine femme idéale   R       dans tous cas.

Shiva, ch’y vais pas, pas le    A    temps d’y penser,

Elle est seule, et avec les    S   enfants faut y aller.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

466 4

.

Évocation

 .

Où est Shiva au six bras :

Nulle part, c’est sûr ou pas

Six bras serait un monstre

Et pour hindous : un dieu.

 .

Une femme aurait six bras, non quand même

L’analogie avec shiva serait poussée trop loin,

Bien qu’arrive parfois elle a tout sur les bras.

 .

Une femme serait-elle réellement shiva,

Six bras et bien affairés,

 Quand l’homme n’en aurait que deux,

Quoique bien affutés.

 .

Symbolique 

 .

Shiva Nataraja est représenté avec 4 bras.

La main supérieure droite tient une clochette

Qui rythme la création du Monde et autre

La main gauche … supérieure …  tient

La flamme de la destruction divine ;

La  main ….  inférieure … droite  est

Tenue dans un geste de protection ;

La main  inférieure  gauche  pointe

Vers  le pied gauche …  tenu en l’air,

Il montre ainsi son pouvoir de grâce.

Modifié, source : kondratetieff.org

 .

Descriptif

.

466La femme est déesse Shiva aux six bras !

Alignement central / Titre serpentin / Thème  identité

Forme anthropo / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : shiva / Symbole de fond : multibras

.

.

Fond

.

Évocation 

.

466 6

.

Ne vaut-il pas mieux en avoir que deux, de bras

Mais énergiques, et bien musclés

Que quatre ou six qui serviraient à tout et à rien

Hors métaphoriquement multitâches

.

 Symbolique 

.

Le cerveau des femmes

Ne serait pas plus apte que

Celui des hommes à effectuer

Des multitâches en même temps.

Pour mettre ce stéréotype à l’épreuve

Des faits, des chercheurs  auront soumis

48 femmes et 48 hommes à un test cognitif.

.

Ainsi, les participants devaient reconnaître

Et catégoriser des lettres et des chiffres qui

Leur étaient présentés, parfois , ensemble,

Parfois en alternance, les deux groupes

Sont arrivés ex æquo : ces résultats

Peuvent varier, autres contextes.

.

Mais, selon les mécanismes

Cognitifs évalués ici,

Il n’y avait pas de

Différence entre

Les deux sexes.

chatelaine.com/sante/le-

multitache-superpouvoir-feminin

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le mari la tête, le métier …  le portefeuille ;

La femme, les bras, les enfants, dépendance.

On peut croire qu’il s’agit là d’un ancien cliché,

Et que dans tous couples les rôles sont à égalité.

.

Or il n’en est rien, selon les cultures  et religions.

Entre élites intellectuelles et travailleurs manuels :

La femme a souvent été cantonnée dans les seconds

Le féminisme n’est  pas la solution de remplacement

Seule la négociation aboutira à une égalité vivable !

.

Six bras ne sont pas deux mais c’est une expression

Pour signifier qu’une femme se partagera entre six

À tour de rôle et à la volée, et sans trop y penser

Tellement absorbée à faire face aux urgences.

Ce n’est pas un monstre ni déesse ni fée !

 .

Visuel    

.

.

Secrétaire Shiva aux six bras

.

Visuels et textuels >> 

465 – Femme n’est pas île, archipel !

Visuels et textuels  >>

.

Qui ne pense à une femme

Comme une ile paradisiaque

Sur laquelle,  il peut se reposer

Lors, il se dit,  fatigué, de bosser !

Elle se divise  à force de se chercher,

Prend ses fantasmes  pour des réalités

Mais, quand elle peut, enfin convoler,

En archipel  elle s’est  transformée.

Sept ilots parcourt, on les trouve,

Chez ses enfants, cuisine, amis,

Dans ses écrits, en son

 Métier avec  son mari,

Pour finir,  ilot secret,

 Et  qu’elle  se  jardine !

C’est cette  polyvalence qui la rend belle,

On la croit ici  tandis  qu’elle  est  ailleurs

Chaque ile     apporte    ersatz  de  bonheur

Où  la  somme,  ferait  d’elle,  vraie  rebelle.

Tout  marin  l’attire   et  même  s’il  l’ignore,

Alors  qu’il  navigue  d’ile,  en ile, et  avec elle.

.

À voler, de l’un à l’autre, à tire d’ailes,

À se croire en ile, alors qu’il est en elle,

Si ce n’est entre deux,  fière et rebelle.

Elle se recherche à force de se trouver

Au bout d’un quai, se surprenant à rêver,

Qu’un beau bateau, beau marin…la prenne,

Pour une quelconque destination très lointaine,

Elle se jettera à l’eau afin d’attirer son attention,

Le marin la frôle de    son bateau, s’en détourne :

N’est pas reconnu par elle, nulle idylle, passion,

Seul en son voilier c’est la mer qu’il enfourne.

Femme n’est pas île mais  sept : un archipel.

.

Dans la première, elle élève ses enfants  chéris,

Dans la seconde, elle fait confiture et confit ;

Dans la troisième, elle reçoit ses vrais amis ;

Dans la quatrième, elle s’adonne aux écrits ;

Dans la cinquième, elle active son métier ;

Dans la sixième, elle fait l’amour au mari ;

Et, dans la septième, devinez ce qu’elle fait

Elle se retire pour méditer en jardin secret,

.

Observer le monde à la jumelle et faire curieux

Manège perpétuel, si elle n’a trouvé instamment

D’amants  qui  resteront dignes de ses beaux yeux.

C’est en multitude de ces  poses qu’elle est belle,

Et pour parvenir à hisser un drapeau sur elle

Il faut les sept couleurs  de l’arc-en-ciel

En sa vie amoureuse, quête réelle,

Rien ne sera simple ni facile,

Mais, son marin … le sait-il,

Espérant pêcher  en goupil

Sa reine et des  Sept-Iles.

 L’ile n’est pas  l’archipel.

Lors la femme appelle,

Elle n’est pas  sa belle

La trouvant  rebelle.

.

.

Extension

.

Lors, entre il et entre elle,

L’homme est une simple ile,

Alors que la femme est archipel.

De loin, ou de près, elle l’appellera

Le plus souvent de ses propres vœux,

Elle le séduira  et encore, de ses yeux,

Et quand le marin, un jour prochain,

Débarquera sur elle,

Il ne sera plus en ile

Mais en…  archipel.

.

On dit qu’il y aurait plusieurs femme en une

Celle de la cuisine, s’adresse au palais, au ventre ;

Celle du salon s’adresse aux cerveaux et aux relations ;

Celle du lit s’adresse à ce que vous pourriez bien imaginer ;

Celle du jardin, s’adresse au romantisme, aux fleurs du cœur ;

Et celle du bureau s’adresse  à toute l’organisation de la maison ;

Je lui rajoute un lieu, pour la nurserie, et les enfants grandissants ;

Un septième pour ses propres loisirs, ses voyages, ses aventures, etc.

.

Une ile peut être renfermée sur elle-même

Sinon ouverte à tous vent : propre, figuré !

Un archipel est comme une même famille :

Relié et soudé entre ses membres en corps.

.

Sens figuré, archipel, voisine multitâches :

L’on pourrait dire, autant, polyamoureuse,

Image étant plusieurs fers, amants, au feu,

Sans qu’il y ait interférence rejet honteux !

.

Elle est davantage  archipel : sein du foyer,

Avec une main sur le fer chaud à repasser ;

Une autre portant bébé, pour le faire téter ;

Troisième sur la marmite, à faire à manger.

.

Marmaille, marmite, marmiton… recettes,

À peine le temps de dormir, de récupérer !

.

.

465 – Calligramme

.

Qui ne pense à une femme

Comme    une   ile paradisiaque

Sur laquelle  Ô  il peut Ô se reposer

Lors,  il se dit,   //     fatigué,  de bosser !

Elle se divise    //    à force de se chercher,

Prend ses  fan //  tasmes  pour  des  réalités

Mais,  quand   elle    peut,  enfin … convoler,

En archipel  elle ====  est  transformée.

Sept ilots qu’elle parcourt, on les trouve,

Chez ses enfants, cuisine, entre amis,

Dans ses écrits, en son

 Métier avec  son mari,

Pour finir,  ilot secret,

 Et  qu’elle  se  jardine !

C’est cette  polyvalence qui la rend belle,

On la croit ici  tandis  qu’elle  est  ailleurs

Chaque ile     apporte    ersatz  de  bonheur

Où  la  somme,  ferait  d’elle,  vraie  rebelle.

Tout  marin  l’attire   et  même  s’il  l’ignore,

Alors  qu’il  navigue  d’ile,  en ile, et  avec elle.

À voler, de l’un à l’autre,     L          à tire d’ailes,

À se croire en ile, alors       A        qu’il est en elle,

Si ce n’est entre deux           *           fière et rebelle.

Elle se recherche à            F          force de se trouver

Au bout d’un quai            E       se surprenant à rêver,

Qu’un beau bateau,        M     beau marin…la prenne,

Pour une quelconque   M   destination très lointaine,

Elle se jettera à l’eau  E  afin d’attirer son attention,

Le marin la frôle de    son bateau, s’en détourne :

N’est pas reconnu par elle, nulle idylle, passion,

Seul en son voilier c’est la mer qu’il enfourne.

Femme n’est pas île mais  sept : un archipel.

Dans la première, elle élève ses enfants  chéris,

Dans la seconde     N   elle fait confiture et confit ;

Dans la troisième,      ‘        elle reçoit ses vrais amis ;

Dans la quatrième,      E          elle s’adonne aux écrits ;

Dans la cinquième,        S              elle active son métier ;

Dans la sixième, elle        T                fait l’amour au mari ;

Et, dans la septième,          *                devinez ce qu’elle fait

Elle se retire pour mé          P               diter en jardin secret,

Observer le monde à la        A           jumelle et faire curieux

Manège perpétuel, si elle      S          n’a trouvé instamment

D’amants  qui  resteront        *   dignes de ses beaux yeux.

C’est en multitude de ces       I      poses qu’elle est belle,

Et pour parvenir à hisser      L        un drapeau sur elle

Il faut les sept couleurs       E             de l’arc-en-ciel

En sa vie amoureuse,         *              quête réelle,

Rien ne sera simple       A                  ni facile,

Mais son marin,          R              le sait-il,

Espérant pêcher      C          en goupil

Sa reine, et, des     H       Sept-Iles.

 L’ile n’est pas       I      l’archipel.

Lors la femme    P       appelle,

Elle n’est pas     E      sa belle

La trouvant        L       rebelle.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

 .

On y  projette la forme qu’on veut,

Comme bouteille plastique à l’envers

Comme un arbre ornement de jardin,

Moi je voterais : femme en archipel.

 .

Une forme de femme  parmi tant d’autres

Évoquée par une silhouette

Avec cou étroit, hanches larges, taille fille,

Bras et jambes bien galbés.

 .

Symbolique    

 .

Les hommes  et les femmes  sont très

Différents sur de nombreux points :

Des couples  arrivent  à s’entendre,

S’unissent pour le meilleur et pire.

 .

Au quotidien, femmes s’expriment

Plus par paroles, gestes, mimiques,

Lors les hommes, plus par le silence.

 .

Les femmes ont esprit de coopération,

Les hommes ont l’esprit de compétition.

Les femmes disent «non» pour dire «oui»,

Les hommes disent «non» pour dire «non» !

 .

Les femmes se projettent dans l’avenir,

Hommes vivent…. au jour le jour,

Femmes sont des archipels.

 .

Descriptif

.

465 La femme n’est pas une île, est archipel !        !

Alignement central / Titre serpentin / Thème  identité

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : femme / Symbole de fond : archipel

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

La femme serait-elle vraiment

Comme un archipel de sept iles

La rendant totalement différente

De l’homme, en elle, lors en ile !

Symbolique

.

Les îles au sein d’un même archipel,

Peuvent être dissemblables

Et chacune à ses spécificités, son histoire,

Ses coutumes et ses dialectes

Développeront, aussi, de  multiples  échanges

Famille, commerce, politiques

Avec les autres îles, chacun établit des relations,

Plus ou moins étroites et denses.

Une organisation, en Archipel, va constituer

Un environnement favorable

Au développement des relations autant

Entre des îles de l’Archipel

Entre elles mais aussi des îles vers

L’extérieur à l’Archipel.

hosonslesjoursheureux.net/

fondements/symbolique

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Certains hommes, voire certaines femmes

Pourraient trouver telle… comparaison

Entre une femme et archipel … osée.

L’homme se  prétend entier et carré

La femme, morcelée, pointillée,

Le problème est que l’homme

Voudrait contrôler femme

Qui est incontrôlable

Si elle est stressée.

.

Une forme un peu compliquée à l’intérieur

Capable de figurer plusieurs fonctions

Et de manières presque simultanées

La femme est perçue multitâches

Contrairement aux hommes :

Femme rime avec archipel

Quand  on la  croit, ici,

Elle est aussi là-bas

Partout, à la fois.

.

Visuel 

.

.

Femme archipel

.

Visuels et textuels  >>

464 – On dit «les femmes» : que dit-on !

Visuels et textuels >>

.

Expression «les femmes» englobe toutes.

Si elles étaient pareilles, interchangeables

Cela se saurait, cela se dirait pratiquerait,

Je ne l’ai, nulle part, constaté,  j’en doute !

Il y a  autant de différences  entre femmes

Qu’entre femme et homme, de caractères,

Sans parler apparence, charme  physique,

Rôle social, marital et parfois … original !

.

Un homme peut-il  se glisser dans la peau

D’une femme, en un rôle réciproquement.

Certains sont capables ainsi, de la décrire

Sans  pour autant, la vivre, par le dedans.

Le mot « femme » est  un vrai mot valise

En lequel, on y met tout ce que l’on veut.

.

Les femmes  assument  leur féminité,

Sur quoi : naturelle, prise,  imposée,

Par la religion, la culture, la société,

On est  en droit  de se  le demander.

Différence,  physique, c’est  certain :

Leur anatomie ne nous cache rien ;

Différence  de rôle, c’est sûr, aussi,

La femme enfante, l’homme nenni.

.

Différence, de valeur, en question,

Si l’on fait  d’elle un sujet ou objet,

Sujet par union, compagne de fait ;

Objet par domination, ou prostitution.

De la plus féminine à la masculine pure,

Où se situent les continuités, les ruptures :

Femme en corps d’homme, réciproquement

Homosexuelles, trans sexuelles, ardemment !

.

Je peux dire écrire  des mots, gestes,  sentiments,

Me glissant dans la peau,  dans le cœur d’une femme,

Le suis-je pour  autant ne serait-ce que virtuellement !

En aucun cas,   car,  je  suis  un homme définitivement,

Et si je jouais une  femme, pour  moi ce serait  un drame

Mais la comprenant,  je   la   perçois  mieux, assurément !

.

Quand on dit «les  femmes»  que dit-on donc de commun !

Rien, chacune est liée à son destin chacune change le sien.

Au-delà de nos différences, voies corporelles et spirituelles,

Les différends qui nous unissent deviennent une querelle.

L’important n’est pas «les hommes  ceci, femmes, cela»

L’important c’est la rose malgré nombreuses épines ;

Si certains trouvent femmes, coquines, ou divines,

Regards croisés les font exister dans tous les cas.

.

Alors quand on dit « les femmes » que dit-on ?

On en a beaucoup dit puis, on en a rien dit.

Sont-elles un sexe, un rôle, ou, une valeur !

Sont-elles, en tout, différentes d’hommes !

Sont-elles ou son complément, continuité !

À vous seul, d’en juger, voire  d’en déjuger !

.

.

Extension

.

La chevelure est un symbole fort dans nombre de civilisations

Et cela  en référence à sa longueur mais tout autant à sa couleur,

Aujourd’hui, il règne, en Occident, une liberté de paraître affirmée.,

Chaque femme a la liberté de s’apprêter, coiffer comme elle souhaite.

On recense un nombre de looks du plus simple au plus excentrique.

 Ces différents styles de coiffure auront tous un même objectif :

Celui de refléter le caractère de la personne qui le porte.

 .

Les femmes se distingueront,

Par leurs tailles, formes, âges,

Sans parler de leur intelligence

Et d’un ersatz de leurs mystères

.

Mais cependant, aussi et autant,

Par leurs lumières, leurs couleurs

Et si certaines vivent dans l’ombre

D’autres éclatent par leur existence.

.

Un peu à la manière lampe abat-jour,

On enlève l’abat-jour et l’on est ébloui :

La couleur, de sombre, devient très clair,

En sa nudité, elle perdra tout d’ordinaire.

.

Il y a bien des couleurs qui s’harmonisent,

Autres qui sont contraire, qui se repoussent

Homme blanc, femme noire, ou le contraire,

Ne donnera pas pour autant un mariage gris

.

Manière de s’habiller en dit long sur leur goût

Vrai qu’il y en a qui s’enfiche ; autres, du tout

Ce n’est pas question d’argent : d’harmonies

Selon dont je m’habille, dira ce que je suis.

.

.

454 – Calligramme

.

Expression «les femmes» englobe toutes.

Si  elles étaient, pareilles, interchangeables,

Cela se saurait, cela se dirait………pratiquerait,

Je ne l’ai, nulle part constaté …..…..… j’en doute !

Il y a autant de différences entre……………. femmes

Qu’entre femme et homme, de…………..…….caractère,

Sans parler apparence, charme……….…..…….. physique,

Rôle social, marital et parfois …….…….….…………original !

Un homme peut se glisser……………..……………..dans la peau

D’une femme, en un rôle..….….…………..………réciproquement.

Certains seront capables…………………..…………ainsi de la décrire

Sans pour autant, la…….…….…….….……..……… vivre par le dedans.

Le mot « femme » est ……….……….…….…..……… un vrai mot «valise»

En laquelle, on y met………………………………………..tout ce que l’on veut.

Les femmes assument leur féminité

Sur quoi : naturelle, prise, imposée,

Par la religion, la culture, la société,

On est  en droit  de se  le demander.

Différence,  physique, c’est  certain :

Leur anatomie   L   nous cache rien ;

Différence   O   de rôle c’est sûr aussi,

La femme   R enfante, l’homme nenni.

Différence,   S     de valeur, en question,

Si l’on fait       Q   d’elle un sujet ou objet,

Sujet par union,    U        compagne de fait ;

Objet par domination,  ‘            ou prostitution.

De la plus féminine à la     O             masculine pure,

Où se situent les continuités N            *    et les ruptures :

Femme en corps d’homme  *      et             *  réciproquement

Homosexuelles, trans    D           sexuelles,         Q       ardemment !

Je peux dire écrire    I          des mots, gestes,        U         sentiments,

Me glissant dans   T          la peau,  dans le cœur      E       d’une femme,

Le suis-je pour    *           autant ne serait-ce que      *       virtuellement !

En aucun cas,   L           car,  je  suis  un homme      D       définitivement,

Et si je jouais   E          une   femme,   pour   moi     I   ce serait  un drame

Mais la com      S         prenant,  je   la   perçois     T   mieux, assurément !

Quand on dit     *       «les  femmes»  que dit-         on donc de commun !

Rien, chacune    F      est liée à son destin      O  chacune change le sien.

Au-delà de nos    E     différences, voies     N    corporelles, spirituelles,

Les différends qui   M    nous unissent  !     deviennent une querelle.

L‘important n’est pas  M  «les hommes  ceci et les femmes, cela»

L‘important c’est la rose  E  malgré     de nombreuses épines ;

Si certains trouvent femmes  S   coquines ou bien divines,

Regards croisés les font    exister      dans tous les cas.

Alors quand on dit : « les femmes », que dit-on ?

On en a beaucoup dit et puis, on en a rien dit.

Sont-elles un sexe, un rôle, ou, une valeur !

Sont-elles, en tout, différentes d’hommes !

Sont-elles ou son complément, continuité !

À vous seul, d’en juger, voire  d’en déjuger !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

464 4

.

Évocation

 .

Une forme de vase avec abat-jour,

Servant souvent lampe de chevet,

Associant couleur : blanc, vert, jaune.

 .

Le pied de lampe de chevet a parfois forme de vase

Ce qui la rapproche un tant soit peu corps féminin

L’abat-jour fournit une lumière douce et feutrée.

 .

Une lampe dans la pénombre

Ou en pleine lumière : diffère !

Mais si on utilise les variations

De couleurs, cela change tout.

 .

Symbolique   

 .

La lampe est un symbole

De connaissance et d’intelligence,

Celle qui éclaire le monde des hommes.

Elle abrite le feu fragile et sacré,

Celui qu’il faut préserver.

 .

La lanterne contient la lumière

Individuelle qui peut se transmettre.

Elle nous guide et peut guider les autres.

Lors si nous rêvons d’une lanterne, elle

Représente l’intelligence lumineuse

D’une personne précise.

Sa pensée nous éclaire.

tristan-moir.fr/lanterne

.

Descriptif

 .

464 Lorsqu’on dit «les femmes» : que dit-on !

Alignement central / Titre analogue / Thème  identité

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : couleurs

.

.

Fond

.

Évocation 

.

464 6

.

Une lampe dans la pénombre

Ou en pleine lumière : diffère !

Mais si on utilise les variations

De couleurs, cela change tout.

Symbolique

 .

Lorsque le niveau lumineux est suffisant,

L’être humain  distingue  des couleurs,

Correspondant  à  toute répartition  des

Lumières qui lui parviennent, par vues.

.

La vision est  une perception complexe,

Et une activité cognitive, dans laquelle

Plusieurs aires cérébrales collaborent.

.

Mais la vision des couleurs  s’adapte

À l’éclairage ambiant de telle façon

À attribuer aux objets une couleur,

Et même si du fait des variations

De lumière, notre rétine  reçoit

Des rayonnements différents.

Modifié,  source : Wikipédia

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

On pourrait rapporter ici nombre d’ouvrages

Sur couleur en général,  couleurs en particulier.

Chaque couleur a non seulement sa symbolique

Mais ses variations de perception par  chacun

Quand ce n’est pas entre diverses cultures

Sans compter des façons de les nommer

Et la matière qui la sous-tend ajoute

Influences,  exemple : la chevelure

En bougeant, crée interférences.

.

Une  lampe de chevet pour parler des femmes

Mais pas que celles qui ne sont  qu’à la maison,

D’autant plus qu’on insiste ici, sur les couleurs

On laissera le champ libre aux vers contraints

Néanmoins on ne peut prétendre que la forme

Correspondra, recouvrira, épousera le fond

Beaucoup plus coloré qu’il n’y … parait.

 .

Visuel

.

.

Tout un programme

.

Visuels et textuels >>

463 – L’ennui, avec femmes opportunes !

Visuels et textuels >> 

.

Toutes les femmes ne sont pas égales :

Cela tout le monde le sait, c’est normal.

Toutes les femmes ne me sont pas égales :

Cela n’est que valeur que s’attribue le mâle !

.

Si certaines femmes cachent leurs intentions

L’argent  ou le sexe    les intéressent, bien plus,

Que don d’elle-même   ou   engagement durable,

Pour satisfaire l’envie de tout : en sont capables,

.

Lors besoins de séduction des fois les aveuglent,

Tant elles ne se voient qu’au bras de plus beau

Ou du plus riche plus célèbre, dont on parle

Et elles vous quittent si votre cote baisse.

.

L’ennui avec les femmes  … opportunes,

C’est qu’elles veulent de suite la Lune

Pour allumer leur flamme, à la une,

Faut leur déclarer, avant, fortune.

.

Homme  dont toutes s’entichent,

Est à la fois beau, jeune, riche,

Si  ce n’est pas  une  célébrité

Pour se marier … si affinités.

.

Prête à se pendre  à vos pieds

Si ses caprices  vous comblez,

En fantasmes en cinémascope,

Ou en calcul de vraie  salope !

.

Qu’un  homme se présente, transparent,

Se portant garant de son amour attachant,

Ne l’intéresse pas,  même s’il est bon amant,

Elle ne prête l’oreille  qu’à sa bourse d’argent.

.

Peu vraisemblable  qu’elle se détachera  de lui,

Tant que satisfaction, son envie ne sera réussie,

Au point qu’elle devient aveugle et sourde, pour

Ce qui  ne concerne pas  reflets  de son  amour.

.

L’ennui  avec une telle femme, exigeante belle,

Elle l’est, c’est sûr, mais, n’est pas  pour vous.

L’ennui, avec une femme,  amante  rebelle,

Est qu’elle se vengera … un jour de vous.

.

Lors beautés, richesses intérieures, bien que connues vertus supérieures,

Se voient peu de l’extérieur, qui pourtant comblent et l’esprit et le cœur.

Vos yeux font que les choses sont belles, vœux les rendent immortelles :

L’ennui de ces femmes : aucune ne correspond à vos yeux vos vœux !

.

.

Extension

.

L’opportunité est, comme chacun sait,

Parfois une qualité,  parfois un défaut !

Mais ce n’est pas l’apanage des femmes

Les hommes aussi et même les enfants,

Opportunité, mais sans être opportun.

.

Savoir être opportune n’est pas forcément être opportuniste :

La première s’adapte à une situation qu’elle juge intéressante,

La seconde  tire parti de ce qui lui va sans le moindre scrupule.

En d’autre termes, égoïste mais pas que, égoïste à être cynique.

On parlera  en matière d’emploi, métier, de femmes carriéristes,

Et cela, presque normal, pour des hommes, motivés, volontaires.

Un poète ou une poétesse opportuniste, ça ressemble à oxymore !

.

Des femmes sont-elles plus opportunes que les hommes

On pourrait gloser la dessus à l’infini.

Des femmes tirent-elles partie de leurs charmes, carrière

On pourrait dire : pas vue, pas prise.

.

Des femmes seraient-elles moins égoïstes que les hommes

On les dit généreuses, voire sociales.

Des femmes s’intéressent à l’argent : truchement d’amour

En mariage trop vieux/trop jeune.

.

Voulez-vous que je fasse autre couplet ou bien ce refrain :

Hommes, femmes, en opportunités,

Se ressemblent, recherchent, même parfois, s’assemblent,

Il faudra, simplement, les voir venir.

.

.

463 – Calligramme

.

Toutes les femmes                         L                         ne sont pas égales :

Cela tout le monde                      ‘                       le sait, c’est normal.

Toutes les femmes                    E               ne me sont pas égales :

Cela n’est que valeur               N             que s’attribue le mâle !

Si certaines femmes              N        cachent leurs intentions

L’argent ou le sexe               U     les intéressent, bien plus,

Que don d’elle-même          I      ou engagement durable,

Pour satisfaire  leur envie  * de tout, en sont capables,

Lors besoins de séductions  *  des fois les aveuglent,

Tant elles ne se voient  A  qu’au bras de plus beau

Ou du plus riche  V  plus célèbre dont on parle

Et elles vous   E quittent si votre cote baisse.

L‘ennui      C  avec les femmes opportunes,

C’est  qu’elles  * veulent, de suite, la Lune

Pour allumer    L  leur flamme à la une,

Faut leur déclarer    E   avant fortune.

 L‘homme dont toutes   S  s’entichent,

Est à la fois beau, jeune  *    et riche,

Si ce n’est pas une         F    célébrité

Pour se marier si         E      affinités.

Prête à se pendre      M      à vos pieds

Si ses caprices        M     vous comblez,

En fantasmes        E     en cinémascope,

Ou en calcul        S          de vraie  salope !

Qu’un   *    homme se présente, transparent,

Se portant    O   garant de son amour attachant,

Ne l’intéresse pas,    P       même s’il est bon amant,

Elle ne prête l’oreille qu’    P        à sa bourse d’argent.

Peu vraisemblable  qu’elle se     O         détachera  de lui,

Tant que satisfaction, son envie        R       ne sera réussie,

Au point qu’elle devient aveugle et       T      sourde, pour

Ce qui ne concerne pas reflets de son        U       amour.

L‘ennui avec une telle femme, exigeante    N    belle,

Elle l’est, c’est sûr, mais, n’est pas  pour  E    vous.

L‘ennui, avec une femme, amante   S   rebelle,

Est qu’elle se vengera … un jour  * de vous.

.

Lors beautés, richesses intérieures, bien que connues vertus supérieures,

Se voient peu de l’extérieur, qui pourtant comblent et l’esprit et le cœur.

Vos yeux font que les choses sont belles, vœux les rendent immortelles :

L’ennui de ces femmes : aucune ne correspond à vos yeux vos vœux !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

463 4

.

Évocation

 .

Une poterie en  terre, 

Des    plus   simples    et

Des  plus  opportunes

 .

Les formes d’une poterie sont mises en avant

Pour plaire et pour tirer le maximum d’intérêts

Mais à l’intérieur ce n’est que le plein d’égoïsme.

 .

Une belle poterie des plus potelées s’il en est

Et qui trône sur un socle

Attendant qu’on la décore  bouquet de fleurs

Estimant l’avoir mérité.

 .

Symbolique    

 .

Bien que des poteries

Soient restées naturelles,

Il est fréquent de les trouver

Décorées de motifs géométriques.

.

Les motifs sont produits par l’ajout,

Partiel ou total, d’un émail pour

Les poteries, dites vernissées.

.

Le  motif  peut  être  exécuté

Par  un procédé mécanique,

Scarification ou gravure de

La surface ou bien par une

Réaction chimique après

Un  bon masquage de

Certaines parties.

.

Descriptif

 .

463L’ennui, avec les femmes opportunes !

Alignement central / Titre serpentin / Thème  cerveau

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : poteries / Symbole de fond : opportunes

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

La simplicité et la modestie ne sont pas

 Des vertus si communes :

De briller en société, on est femme creuse

ou bien plus opportune.

 Symbolique

 

Combien de femmes, étant opportunistes,

Se retrouvent là où leur intérêt est assuré

Dès que nouvelle opportunité d’avancer,

En la vie se présente : elles la saisissent.

.

C’est fort bien, d’évoluer, vite, en sa vie,

Mais le danger, parfois, est de prendre

Chemins tortueux pour gravir échelons

Et penser que c’est de l’opportunisme !

Source : marsialbenissan.overblog.com

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Quand on est trop opportuniste, cela se lit

Sur son Curriculum vitae bien trop chargé

À moins qu’on passe un instable, fumiste,

Et ne jamais bouger, refuser toute offre

Fait de vous un être de peu de mobilité :

Il y aura comme un équilibre à trouver

Comme quelque chose de bien motivé !

.

Pour sûr, une forme des plus féminines

En tous cas, question bassin et poitrine,

Et en plus il se trouve que tout cela rime

Avec ses envies et ses querelles intestines

Cela dit, opportune peut-être mais un pot,

Non quand même, ça  ne se confond pas,

Aucune femme n’est cruche à ce point là.

 .

Visuel

.

.

Femme opportune !

.

Visuels et textuels >>

462 – Une femme dira : oui, non, peut-être

Visuels et textuels >>   

.

C’est oui …  c’est non …    c’est peut-être

Comme la simple trilogie des réponses,

Et   à   toutes  vos  demandes,  express,

En vue de s’approcher de leurs fesses.

Souvent femme varie, selon le dicton.

.

Un « non »  timide hésitant … ému,

Peut signifier un «oui » inconscient,

À  traduire : demain,  une autre fois.

Un non qu’elle  répètera … trois fois,

Vous  laissera, sur le champ, pantois.

Je t’aime,  oui,  mais  comme  ça, non,

Le tout dans même phrase, expression.

Une femme ne dira jamais : oui, à tout,

Mais insistant, parfois, ne dit pas non.

Pour vous laisser  entrevoir  un espoir,

Non garanti, pour quelque lendemain.

.

Quand une femme  vous aura dit « oui »

Pour demain ou bien pour aujourd’hui

Ne lui reposez  plus une telle question :

Prenez alors le rendez-vous sans façon.

Quand une femme vous aura dit « non »,

C’est, certainement, pour bonne raison

Et qui doit la contraindre sur le… fond,

Ou suite à ses principes même abscons.

.

Qu’elle dise  d’abord  « oui » puis « non »,

Qu’elle dise, d’abord « non » puis « oui »

Change d’avis puis   se contredit,

C’est qu’elle résiste à l’abandon.

Et si elle vous  a dit « peut-être »

Cela signifiera ni oui, ni non « 

Tout en jouissant du bien-être

Du passage d’amitié à passion.

.

Si elle vous dit  « non », deux fois :

Ça devient un  problème rémanent,

Si elle vous dit : »non » par trois fois

Ça devient un problème récurrent,

Si elle affirme   ne rien promettre,

Par peur de se tromper d’amant,

C’est qu’elle hésite, et justement,

À s’engager  et  à se commettre.

Il ne reste plus  que les sourds,

Les tenaces, aveugles d’amour

Pour qui c’est juste partie remise,

Il leur suffit d’attendre heure promise.

Qui sait où est tribord  et où est bâbord,

L’amour se pourrait-il commencer à tort !

Lors une femme se montrera à vous retors,

Prendre son temps … faire la cour d’abord.

.

Oui, non, peut-être… il faut voir … jamais,

Réponses ne sont pas  toutes engageantes,

Pour simple demande, voire à une avance.

Homme : oui, c’est oui, et, non, c’est non !

Pas pour toutes femmes et qui les croient.

Oui, c’est peut-être et non, pourquoi pas.

L’amour se pourrait-il commencer à tort

Si une femme se montre, à vous, retors.

.

.

Extensions

.

Il faut tordre le cou à une fausse représentation de la femme

Qui prétend qu’elle est tout sauf rationnelle, constante, décidée

Et celle qui consiste à croire qu’elle vous dit oui quand c’est non.

.

On comprend que «peut-être» évoque un espoir au milieu du gué,

C’est une manière qu’aurait trouvé la femme pour…changer d’avis,

Sans trahir sa parole donnée, sans trop se précipiter, sans abdiquer.

.

On acceptera mieux un non qui se transforme en oui que le contraire.

Peut-être qu’au lieu de répondre non, il faut dire jamais, pour refuser.

Arrive aussi qu’il n’y a pas de réponse, silence complet : qu’en penser !

.

Nous y voilà bien dans un malentendu

D’interprétations fausses, il en est cousu.

.

C’est une histoire d’homme, extraordinaire,

Oui et non, pour lui, est comme lui, binaire.

.

Il pense que la femme  est souvent ternaire :

Elle dit non peut-être, elle pense le contraire.

.

Réveillez-vous, pour nombre de femme aussi,

Non c’est non et par conséquent, oui c’est oui.

.

Mais alors,  comment interpréter  ses silences :

Ce ne sera que partie remise : oui d’ignorance !

.

J’ai entendu certains, dire : elle ne le sait encore,

Mais moi je le vois …c’est juste qu’elle, n’ose pas.

.

Si ce n’est pas là, projection sur un malentendu,

Alors même qu’à sens unique, et rien d’entendu.

.

.

462 – Calligramme 

.

C’est oui …          c’est non …            c’est peut-être

Comme la simple     F      trilogie des réponses,

Et   à   toutes  vos     E     demandes,  express,

En vue de s’appro   M   cher de leurs fesses.

Souvent femme va  M  rie, selon le dicton.

Un « non »  timide   E     hésitant … ému,

Peut signifier un        *    oui inconscient,

À  traduire : demain  D   une autre fois.

Un non qu’elle  répè   I      tera trois fois

Vous laissera, sur le   R champ pantois.

Je t’aime, oui, mais   A  comme ça non,

Le tout dans même phrase, expression.

Une femme ne dira jamais : oui, à tout,

Mais insistant, parfois, ne dit pas non.

Pour vous laisser  entrevoir  un espoir,

Non garanti, pour quelque lendemain.

Quand une femme  vous aura dit « oui »

Pour demain ou bien pour aujourd’hui

Ne lui reposez  plus une telle question :

Prenez alors le rendez-vous sans façon.

Quand une femme vous aura dit « non »,

C’est, certainement, pour bonne raison

Et qui doit la contraindre sur le… fond,

Ou suite à ses principes même abscons.

Qu’elle dise  d’abord  « oui » puis « non »,

Qu’elle dise, d’abord  « non » puis « oui »

Change d’avis puis     O  se contredit,

C’est qu’elle résiste  U    à l’abandon.

Et si elle vous        I  a dit « peut-être »

Cela signifiera     *    « ni oui, ni non « 

Tout en jouis       N sant du bien-être

Du passage         O  amitié à passion

Si elle vous dit   N   non, deux fois :

Ça devient  un  problème rémanent,

Si elle vous dit : « non » par trois fois,

Ça devient un problème … récurrent,

Si elle affirme    P    ne rien promettre

Par peur de se    E    tromper d’amant,

C’est qu’elle        U     hésite, justement,

À s’engager          T          à se commettre.

Il ne reste plus                  que les sourds,

Les tenaces           Ê       aveugles d’amour

Pour qui c’est         T    juste partie remise,

Il leur suffit d’atten  R   dre heure promise.

Qui sait où est tribord  E   et où est bâbord,

L’amour se pourrait-il  commencer, à tort !

Lors une femme se montrera à vous retors,

Prendre son temps … faire la cour d’abord.

Oui, non, peut-être… il faut voir … jamais,

Réponses ne sont pas  toutes engageantes,

Pour simple demande, voire à une avance.

Homme : oui, c’est oui, et, non, c’est non !

Pas pour toutes femmes et qui les croient.

Oui, c’est peut-être et non, pourquoi pas.

L’amour se pourrait-il commencer à tort

Si une femme se montre, à vous, retors.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

462 4

.

Évocation

 .

Un vase haut en couleurs

 Un détecteur  de ses valeurs,

Sinon voire de ses humeurs ?

.

Toute femme peut, bien vite, changer

Les couleurs de ses humeurs

Plus vite qu’un homme étant toujours

 Actif et plein d’ardeur.

 .

Symbolique    

 .

La couleur est

Une notion subjective.

Ce qui évoque une sensation

Pour moi en évoquera une

Différente pour une autre

Personne, parfois pour

Raisons de préférences

Personnelles, ou des

Raisons culturelles

Cameron Chapman.

 

Quelle couleur bonheur ?

Orange : Énergie, Bonheur, Vitalité.

Jaune : Bonheur,  Espoir,  Tromperie.

Bleu : Calme,   Responsabilité,  Tristesse.

Vert : Commencement, Abondance, Nature.

 .

Descriptif

 .

462 – Une femme dira : oui, non, peut-être !

Alignement central / Titre serpentin / Thème  cerveau

Forme droite / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : couleurs / Symbole de fond : humeurs

.

.

Fond

.

Évocation 

.

462 6

.

Toute femme peut, bien vite, changer

Les couleurs de ses humeurs

Plus vite qu’un homme étant toujours

 Actif et plein d’ardeur.

 .

Symbolique 

 .

Dans la course à l’égalité avec l’homme,

Nous oublions le corps féminin. Avec ses cycles.

Beaucoup de femmes se détestent et se sentent coupables

Parce qu’elles sont régulièrement déprimées, irritables, ballonnées.

.

La mesure féminine du temps est différente de celle de l’homme ;

L’homme suit un rythme solaire, alors que la femme vit

Au rythme de la lune. D’où des variations

Ou stabilités d’humeurs différentes.

Modifié et mis en forme, source :

lepalaissavant.fr

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les humeurs sont proches des émotions et des affects

Les affects constituent l’ensemble, au sens large,

Des sentiments qu’un individu éprouve. 

Les émotions constituent  des impressions générées

 Puis dirigé vers quelque chose ou quelqu’un. 

.

Les humeurs  constituent des sentiments

Bien moins intense que les émotions 

Dénué de stimulus contextuel

Durant un bon moment.

.

La forme de l’objet d’approche de celle du poème

Mais, pour autant, ne couvre  pas tout le fond :

Les humeurs ne sont pas que celles de femmes

Variations les font, tantôt libres, contraintes,

Et couleurs peuvent changer à tout instant.

 .

Visuel

.

.

 Comme aux dés en somme  

.

Visuels et textuels >> 

 

461 – Chasser doute, ne plus penser instant

Visuels et textuels >> 

.

Ce qui semblait acquis,

Qui semblait progresser,

Ne l’est pas,    ne l’est plus.

Persévérer quoi qu’il en coûte

Si l’amour est en bout de route,

En prenant le temps de l’écoute,

Vous donnera espoir d’y arriver !

Quand l’amour  s’éprend de vous,

S’il disparait dès moindre doute,

C’est qu’il n’est pas, sûr, encore,

Ça n’empêche profiter instant.

.

Si le corps  désire, très fort,

Met,  l’esprit,  en déroute,

Garder   distance  dehors

Ferait consumer dedans.

Pour chasser tout doute,

Ne plus penser  l’instant,

Il faut prendre  le temps,

D’être présent, à l’écoute.

.

Faut pendant longtemps,

S’aimer à  chaque instant,

Quoiqu’il  nous  en coûte,

Et suivre  sa propre route

Quand  l’amour s’éprend,

Touchant  fonds  d’océan.

Il faut les  combler toutes

Nos belles  idées de route,

Car consommer le dedans

Comme le dehors dépend

Du fruit que l’on veloute,

Nourritures qu’on goûte.

Consommés énergisant

Autant après qu’avant,

Met âmes  en voûtes,

Néants en déroute !

.

Pour l’autre,  autant,

Partager  cet instant,

Faut prendre le temps,

Pour en être bon aimant.

Aimant qui nous surprend

De nos yeux d’étonnement

Par courants  qui   passent,

Dès qu’ils  nous enlacent

Sur grand  tapis volant,

Monté au firmament,

Si Dieu  nous envie

Humains en folies.

L’instant d’avant,

Tout   est    ravi,

Instant  après,

Tout est fini

On en rit :

Pleure :

Meurt

Si

.

.

Extension

.

Ravi, fini, endormi : le cycle même

D’une énergie temporaire qui n’a rien

De si extraordinaire pour tant s’épuiser

À faire l’amour, comme  singes Bonobos,

Nous épuiseraient et sans pour autant

Davantage vraiment nous satisfaire.

Ne plus penser l’instant, chassant

Tout doute, et lors  en se disant :

.

«C’est toujours ça, c’est toujours

Autant de pris, la vie n’évolue pas vite

Que faire l’amour n’aura, un jour à venir,

Plus de prix, tant il nous manquerait,

Tant on ne pourrait s’en passer».

.

Instinct reproduction, instinct sexuel

L’emportent sur tout autre comportement

Et il y a peu de différence sur ce plan entre

Un homme sauvage et un homme civilisé

Et même les sociétés les plus restrictives

Ont toutes à cœur de profiter et à plein

De ces instants quitte à les multiplier

Sans l’avouer,  de manière quelque

Peu hypocrite, sous le manteau.

.

 Tu doutes de moi, je doute de toi, nous doutons de nous…

Une pensée, un fait, une incertitude, aura rompu la confiance

Ou, de manière simple ou commune, la fin d’un cycle amoureux,

Qui nécessite de se reposer une question telle que «je l’aime encore

Autant de la même manière qu’avant, différemment, plus du tout» ?

De remettre les choses à plat n’aurait pas beaucoup de sens en amour,

Mais en parler de certaines  pour trouver la nouvelle vision commune,

Est de nature thérapeutique dans bon nombre de conflits, désamorce

Nombre de fausses visions, interprétations, projections réciproques.

.

Le doute en amour peut être bénéfique,

Mais s’il ne l’est pas, peut être tragique.

.

Je doute de moi, doute de lui, de l’amour,

On n’ira pas loin ainsi, on va dans un four.

.

Le doute est comme une épée de Damoclès,

Qui tomberait sur votre tête s’il vous laisse.

.

Enfin, je dis «il», je peux autant dire «elle»

D’aronde fidèle, elle peut devenir hirondelle.

.

 Douter de l’autre n’est pas douter que ça dure,

Douter dans le temps n’est pas en instant pur.

.

Pour finir, tout le monde douterait de l’amour,

Et pourtant personne ne songe à s’en délivrer !

.

.

Épilogue

.

Rien n’est moins indispensable que l’amour :

On peut mourir de faim mais aussi d’amour !

.

Essentiel n’est pas de le trouver, de le garder :

Juste de savoir qu’il reste vrai, pur, et comblé

.

Pour ce, il est nécessaire de le mettre en doute

Mais pas tous les jours utile changer de route.

.

Un instant doute m’a traversé, il m’a trompée :

Dois-je lui faire confiance, voire lui pardonner.

.

Toute confiance aveugle ne mènerait nulle part :

Tout doute systématique mènerait à son départ.

.

Amour est comme la mort, menacé par une épée

De Damoclès sur nos têtes, par un fil ténu, caché.

.

Je doute d’être meilleur que tout autre et en tout,

Un premier pas contre la tolérance, dévorant tout.

.

Le respect, l’ouverture, l’écoute, la compréhension

N’effacerait pas le doute, il le met juste en tension.

.

Quand on est passionnément, follement amoureux,

On ne doute de rien, l’on chasse tous les ténébreux.

.

Vaut bien mieux pourtant douter avant le mariage,

Qu’après, tant moindre doute peut faire un ravage.

.

S’il est vrai qu’un doute s’opposera à une certitude

En amour, cette dernière, n’existe pas, elle s’élude !

.

Celui qui ne profère de doutes est, d’avance, perdant

Mais celui qui n’a que des doutes le sera tout autant.

.

.

461 – Calligramme

.

Ce qui semblait acquis,

Qui semblait progresser,

Ne l’est pas,    ne l’est plus.

Persévérer quoi qu’il en coûte

Si l’amour est en bout de route,

En prenant le temps de l’écoute,

Vous donnera espoir d’y arriver !

Quand l’amour  s’éprend de vous,

S’il disparait dès moindre doute,

C’est qu’il n’est pas, sûr, encore,

Ça n’empêche profiter instant.

.

**************************

.

Si le corps  désire, très fort,

Met,  l’esprit,  en déroute,

Garder   distance  dehors

Ferait consumer dedans.

Pour chasser tout doute,

Ne plus penser  l’instant,

Il faut prendre  le temps,

D’être présent, à l’écoute.

Faut pen  dant longtemps,

S’aimer à      chaque instant,

Quoiqu’il     *      nous en coûte,

Et suivre         *        sa propre route

Quand l’a     C     *   N       mour s’éprend,

Touchant       H                       fonds d’océan.

Il faut les        A                          *        combler toutes

Nos belles       S                               P       idées de route,

Car consom    S                                      A       mer le dedans

Comme le de  E                                     S          hors dépend

Du fruit que    R                                  *           l’on veloute,

Nourritures      *                                 P        qu’on goûte.

Consommés     L                             E            énergisant

Autant après    E                          N             qu’avant,

Met âmes           *                       S            en voûtes,

Néants  en         D                 E              déroute !

Pour l’autre,      O              R                 autant,

Partager  cet      U           *                 instant,

Faut prendre     T       L               le temps,

Pour en être      E             bon aimant.

Aimant qui        *   I    nous surprend

De nos yeux          d’étonnement

Par courants    S    qui   passent,

Dès qu’ils      T nous enlacent

Sur grand   A   tapis volant,

Monté au N   firmament,

Si Dieu   T   nous envie

Humains  en    folies.

L’instant   d’avant,

Tout est        ravi,

Instant  après,

Tout est fini

On en rit :

Pleure :

Meurt

Si

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

461 4

.

Évocation

.

Pendentif féminin,

Une pointe   d’épée,

Ou une pointe de lance, 

Et sans le moindre doute.

Cela ressemble à une épée de Damoclès

Étant  prête à tomber

Sur la tête de tout homme, toute femme,

 Qui doute de l’amour

 .

Symbolique 

.

Denys l’ancien,

Tyran Syracuse,

Vivait  en château

Cerné  de   fosse   et

Sans cesse sous bonne

Surveillance de gardes.

Il évoluait alors au milieu

De courtisans   qui  devaient

Le flatter, devaient le rassurer.

Parmi eux Damoclès ne cessait

De le faire sur la chance qu’il

Avait  d’être  roi : agacé, il

Lui proposa  de prendre

Sa place  une journée

Au milieu du festin,

Damoclès leva la

Tête, aperçut

Belle épée

Attachée

Dessus

Lui

Accrochée par un crin de cheval,

Mais d’autres disent par le tyran !

.

Descriptif

.

461Chasser le doute : ne pas penser l’instant

Alignement central / Titre en pointe / Thème  cerveau

Forme triangle / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : épée / Symbole de fond : douter

.

.

Fond

.

Évocation 

.

461 6

.

Le doigt sur les lèvres et la main sur le menton :

Pas de doute, y a quelqu’une qui doute

Sinon de lui, de l’autre, de profondeur d’amour

Mais qui a tort, raison, que dire, faire ?

 .

 Symbolique

 .

Vulnérable est l’homme

Et vulnérable il demeurera.

Notre capacité à douter devient

Dès lors, une quête, celle d’un Graal,

Laissant une grande part à l’incertitude

Source de remise en question permanente.

.

Doute devient réflexion, la tolérance devient

Source de bonheur et le respect de l’autre

Un hymne à l’altérité : doute redonne

Ainsi  toute sa place à l’humilité.

intime-fraternite-tulle.com

.

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Pas de doute, une pointe, flèche, lance

Qui rime avec pénétration, sans doute,

Bien que très pointue et très profonde

Et cela bien que le fond de l’instant,

Ne s’accorde pas  avec la forme,

Car la flèche ne réfléchit pas

Elle trace vers sa cible

Et n’a de cesse

Que but

V

.

Visuel

.

.

Un coté qui croit, autre qui doute

.

Visuels et textuels >> 

460 – Lors mes mains caressent tes seins

Visuels et textuels >>

.

Tandis que   mes mains caressent

Croyez-vous que vos seins attirent,

Croyez-vous que vos reins soupirent

Et vos fesses   riment  avec tendresse.

Toutes ces formes, toutes ces caresses,

Ne seront que préludes préliminaires

Aux  explorations  des  plus  intimes

Qui n’ont d’autre but qu’orgasmes.

Pourquoi serait-ce passage obligé

Animaux se font la cour, certes,

Mais, très peu préliminaires :

Droit au but  sans fantasmes.

Les animaux  n’ont pas mains,

Sauf singes qui  nous ressemblent

Les animaux n’ont pas de seins

Perçus zones sensuelles !

.

Ma lèvre effleure

La peau de tes reins,

Je sens que tes pleurs

Se mêleront aux   miens,

Moments   de   bonheurs,

Imparfaits   …   humains.

Jusqu’à t’en …  abstraire

Pour l’instant  et l’heure

Tu ne penses  à demain.

Jusqu’à pour me plaire,

Tu te détends toute nue

Sur notre lit de vapeur,

Et je pénètre ton corps

D’un désir au plus fort

Jusqu’à manque d’air,

Voilà que  je te pétris,

Comme  du bon pain

Tes fesses  à  masser,

Pour  te  réchauffer.

Jusqu’à : liber-taire,

J’écarte  tes  cuisses,

Afin que … je puisse

Entrer, que je glisse,

Que je  t’emboutisse.

Jusqu’à jambe de fer

D’un membre…érigé

Tu accuses les coups

À t’en rompre le cou

À nous … déhancher

Jusqu’à partenaires,

L’on s’envoie en l’air

.

D’une lente  et  une  courbe  ascension,

Jusqu’à   atteindre  orgasme  planétaire

Du désir  réveillant  encore  les  plaisirs,

Invitation,  voyage  textuel,  sans  nom !

.

.

Extension

.

                  Aucune description ni aucune vision,

                  Aucune démonstration acte sexuel humain

                  Ne peut jamais remplacer sa propre exécution .

.

                  On peut le faire, mal,  faire, moyen ou faire bien,

                  Selon soi-même, ses goûts, ses désirs, partenaire,

                  Ce dernier attendant autre chose pour se satisfaire.

.

                «C’était comment, dis-moi, sois franche, c’était bien»,

                  Demande amant avec femme qu’il ne connait pas bien,

                  Intention, attention, intromission, n’y suffiraient pas

                  À procurer de précieuses indications au partenaire

                  Qui y répond ou non, qui s’éclate ou se morfond.

.

                  La mesure de l’attente, fantasmée, est la jauge

                  De l’effet récolté et il arrive parfois qu’il est

                  Terriblement tronqué par la précipitation

                  À en venir au bout le plus tôt possible !

.

Qu’y a-t-il à rajouter : attardons-nous aux deux silhouettes.

Il y a deux manières de les percevoir mais l’une s’imposera,

En première vue, à votre esprit alors qu’elles sont inverses !

Mais l’important n’est pas tant qu’on renverse deux formes

Qu’au fond, les caresses soient identiques lors tendresses !

 .

Imaginer, voir, toucher, caresser, masser seins

Autant sensations autant émotions, l’air serein !

.

Des femmes les exhibent, lors d’autres les cachent,

Des hommes les ignorent lors d’autres s’y attachent.

.

Ni trop pointus, trop flasques ni trop petits, trop gros,

Juste comme il faut, d’en rajouter, n’en faut point trop.

.

Le soutien-gorge, soutient, chacun sait, ce qu’il avance,

Il ne manque pas d’argument quand il fait une avance !

.

Son rôle est de tout temps, en premier lieu, de protéger

Mais aujourd’hui, il a rajouté son pouvoir de suggérer !

.

La vue plongeante au balcon, comme celle de l’escalier,

En montant derrière, profite déjà de sa belle dulcinée.

.

Un bilboquet avez-vous dit est mieux qu’un diabolo,

Que ferez- vous de cos mains s’il n’y a pas de lolos !

.

.

460 – Calligramme

.

Tandis que   mes mains    L    C caressent

Croyez-vous que vos seins O   A    attirent,

Croyez-vous que vos reins R    R  soupirent

Et vos fesses riment avec   S       E   tendresse.

Toutes ces formes, toutes Q            S   ces caresses,

Ne seront que préludes  U                 S  préliminaires

Aux explorations des   E                      E     plus intimes

Qui n’ont d’autre but   *                        N    qu’orgasmes.

Pourquoi serait-ce  M                           T   passage obligé

Animaux se font    E                             *     la cour, certes,

Mais, très peu      S                           T      préliminaires :

Droit au but       *                          E    sans fantasmes.

Les animaux   M                       S    n’ont pas mains,

Sauf singes qui  A                 * nous ressemblent

Les animaux n’ I               S   ont pas de seins

Perçus zones    N          E         sensuelles !

Ma lèvre       S       I        effleure

La peau de    *   N     tes reins,

Je sens que   *  S   tes pleurs

Se mêleront      aux   miens,

Moments   de     bonheurs,

Imparfaits   …   humains.

Jusqu’à t’en …  abstraire

Pour l’instant  et l’heure

Tu ne penses à demain.

Jusqu’à pour me plaire,

Tu te détends toute nue

Sur notre lit de vapeur,

Et je pénètre ton corps

D’un désir au plus fort

Jusqu’à manque d’air,

Voilà que  je te pétris,

Comme  du bon pain

Tes fesses  à  masser,

Pour  te  réchauffer.

Jusqu’à : liber-taire,

J’écarte  tes  cuisses,

Afin que … je puisse

Entrer, que je glisse,

Que je  t’emboutisse.

Jusqu’à jambe de fer

D’un membre…érigé

Tu accuses les coups

À t’en rompre le cou

À nous … déhancher

Jusqu’à partenaires,

L’on s’envoie en l’air

.

D’une lente  et  une  courbe  ascension,

Jusqu’à   atteindre  orgasme  planétaire

Du désir  réveillant  encore  les  plaisirs,

Invitation,  voyage  textuel,  sans  nom !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

460 4

.

Évocation

.

Un pied et quille en bas,

Mais  une boule en haut :

Un bilboquet  … d’amour

Ou mannequin d’amour.

.

Rien à voir a priori entre un bilboquet et amour

Encore que certains y verront un exercice sexuel,

La boule étant creuse pour accueillir un bon pieu.

.

Je ne sais si c’est simple de compter

 Ses réussites aux bilboquets

Ou ses réussites dans les séductions

Et conclusions de l’amour ?

 .

 Symbolique

 .

L’origine du jeu

De bilboquet est assez obscure.

Certaines sources disent qu’il serait

Apparu pour la première fois

En France, à la fin du xvie siècle.

.

Mais les vêtements des plus

Anciennes gravures

Montrant des joueurs

De bilboquet sont du XVIIe siècle.

.

Le mot a une étymologie contestée.

Inventé en France, au XVIe siècle,

On fait mention du mot bille

Boucquet venant de

Bouquer (« encorner »,

Comme le fait un bouc).

Wikipédia : bilboquet

.

Descriptif

.

459Pourquoi l’amour, secrètement las  

Alignement central / Titre dédoublé / Thème  sexualité

Forme courbe droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : bilboquet / Symbole de fond : amour

.

.

Fond

.

Évocation 

.

460 6

.

Un mannequin en lieu et substitution de femme

Ou une femme qui lui ressemble

Donne-t-elle vraiment désir d’amour irrésistible

Qu’il nous soit donné d’en douter !

 .

Symbolique 

 .

Oubliés, sérénades au clair de lune ;

Finis, drague ringard, baratins tout faits.

Le tape-à-l’œil, l’esbroufe, c’est terminé:

Marivaudage nouveau est de retour.

.

L’amour est plus que de…saison.

Corps se dénudent et s’exhibent,

La triste chair de

L’hiver prend des

Couleurs d’épices

Sous  beau  soleil.

Reste à trouver le

 Compagnon de jeu,

Ou la copine de plage.

Source : lexpresse.fr séduction

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Objet, complément d’objet : où est l’amour

Qui est sujet, relation tendresse, de toujours :

Sommer la femme de s’exécuter et consommer,

Passivement n’est jamais autre que consommer

Un plaisir que l’on sait n’être pas bien  partagé.

.

Il n’y a rien de commun entre bilboquet et sein

Et c’est pareil entre  un bilboquet et l’amour,

Si les mains, caressent les seins, de concert

À quoi bon plaisir si à rien d’autre ne sert

Le fond alors tourne le dos et le visage

À la forme de tous les seins féminins

C’est juste une rime de travers

Qui pointe dans une boule

Attachée à son pieu !

 .

Visuel

.

.

Mes mains sur tes seins

.

Visuels et textuels >>

459 – Pourquoi amour, secrètement las

Visuels et textuels >>

.

Lors l’amour n’est plus là,

C’est qu’il est secrètement las,

Qu’il nous rend…  comme absent,

Si l’on en rêve durant trop longtemps.

Bien de trop peu ou  pas de prétendant,

Quand un seul,  le bon,  est  l’important

Comment  l’atteindre,  comment  savoir

Et, déjà, le  dépeindre, déjà, apercevoir.

Ça peut être toi ou lui, je ne le sais pas.

.

Du moins pas  fort de l’aimer.

Sur impossible, cœur serait bloqué

Au point qu’en aucune personne,

Je me reconnaitrais plus.

.

Pourquoi l’amour, secrètement las,

Se révèle  là  où, on ne l’attend pas ;

Pourquoi les nuits où  je rêve de toi,

Chaque fois, tu  te  confonds  en moi,

Mille  précautions  pour  trouver l’élu,

Valent mieux que d’ardents tourbillons

Du lendemain  où  me  retrouve, et nue,

Même s’il vaut mieux se donner à fond

Que de, sans  cesse tourner  et en rond,

Et à chaque  sortie,  à chaque occasion

Moi, qui ne suis rien autre que femme,

Perdue  en  moi-même,  hors   extase,

Moi qui ne  suis rien qu’une flamme

Cachée dans l’ombre qui l’embrase,

J’attends avec beaucoup d’émotion

L’homme qui fera son  apparition,

Trouvera  visage  beau   assombri,

Duquel sort, enfin, un énorme cri

D’amour qui ferait cesser l’ennui.

.

Tout comme les jours se suivent,

Et ne se ressemblent pas,

Hommes et femmes… s’enfuient,

Au premier faux pas !

Ne voilà-t-il pas, divine surprise,

Qu’un bel inconnu,

De mon attrait, à maintes reprises,

S’en trouve ému !

Voilà qu’entre lui-moi se noue

Bel acte de foi,

Preuve qu’il est aussi fou

Que … moi !

Lors il s’en apercevra, pour lui, déjà trop tard,

Pour se retirer de moi, dire, ne plus m’aimer !

.

.

Extensions

.

             L’amour, secrètement las,

             Est une cendre couvant sous braise,

             Prête à s’enflammer, moindre comburant,

             Pour peu qu’elle trouve carburant qui convienne

             Comme amant : feu ne peut jaillir que de frottements,

             Et ce feu ne pourra s’éteindre que d’un long effritement,

             Entre deux, il y a comme un frètement, un prix à payer

             De sa personne, et cela même quand il s’agit d’un don,

             Ou qu’il s’abandonne : lorsque l’acte est consommé,

             Il est beaucoup trop tard pour s’en …  désengager.

             Il est beaucoup trop tard pour ne… plus payer,

             Il est beaucoup trop tard pour y … renoncer,

             Amour se rend, pour finir, tout à fait, las,

             Amour n’est plus, tout à fait, ici ni là,

             Amour est comme devenu hors loi

             En attendant qu’un … miracle

             Se produise ou renoncement.

.

L’amour est là, l’amour est las ; l’amour est pas là, l’amour est pas las :

Des déclinaisons identiques phonétiquement bien que contradictoires

Mon amant ne vient pas, ne viendra pas, il n’est pas venu, c’est foutu

Tant il n’est pire humiliation qu’attendre en faisant le pied de grue !

Une aventure, débutée sur chapeaux de roues, se termine en butoir

Tel rendez-vous, manqué, certaines pardonnent, et d’autres, pas !

.

Le désir et le plaisir s’émoussent, las,

Dans leur ronde circulaire

Et bien plus s’ils ne se renouvèlent pas

Changeant de lit ou d’air !

.

J’ai beau écrire, téléphoner,  passer voir,

Il ne répond, ne vient pas

Pourtant, je le sens  attiré  par  mes seins,

Par mon buste, ma poitrine.

.

C’est cela qui, de jour en jour, me chagrine

Attendre, de lui, un mot, geste,

Ce qui me comble le plus serait sa présence

Tant me morfonds de son absence.

.

Je le revois encore caressant mes seins

Puis poursuivre sur tout mon corps

Je suis las de moi, de lui, de tout

Je vais écrire un mot d’adieu.

.

.

Épilogue

.

Il n’est pas là, j’en suis las : homophonie.

Toute lassitude tiendrait-elle d’exactitude.

« Je suis las de vous et lors je suis las de tout »

Peut être début, rupture, dépression d’amour.

.

Lassitude évoque fatigue tout autant qu’attente

Femme gonfle poitrine, seins, en profond soupir

Il n’y a plus rien qui tient, plus rien qui l’attire,

Pourtant rechercher l’élu, elle continue, tente.

.

Si son cœur battra toujours dans sa poitrine

Et si son souffle parvient à soulever ses seins,

Son parcours de vie, destinée, la chagrinent :

Qui sait si elle est venue sur Terre, pour rien.

.

Tout est illusion, prothèse, pathétique, virtuel

Tout ce qu’elle veut n’est autre que mari… réel

Une telle quête ne  pourra durer, être éternelle

Un jour, elle jettera l’éponge : la vie est cruelle.

.

Telle lassitude de quête atteint couple établis :

Au bout d’un certain temps, ou au fond du lit,

Se trament et se tissent des vêtements d’ennui

Qui font de lassitude une cape de jour en nuit.

.

.

459 – Calligramme

.

Lors l’amour n’est plus là,

C’est qu’il est secrètement las,

Qu’il nous rend…  comme absent,

   Si l’on en rêve  durant  trop longtemps.

Trop peu  ô   ou   pas  de  ô prétendant,

Quand un seul  et  //  le bon est l’important

Comment l’atte  //   indre  comment savoir

Et, déjà  le dé //  peindre déjà apercevoir.

Ça peut être  toi  ou lui, je ne le sais pas.

Du moins pas  ==== fort de l’aimer.

Sur impossible, cœur serait bloqué

Au point qu’en aucune personne,

Je me reconnaitrais plus.

.

Pourquoi l’amour, secrètement   las,

Se révèle là où, on ne  P    l’attend S  pas ;

Pourquoi les nuits      O   où je rêve  E de toi,

Chaque fois, tu te      U    confonds en  C  moi…

Mille précautions    R      pour trouver    R   l’élu,…

Valent mieux que   Q       d’ardents tour    È billons…..

Du lendemain       U         où me retrouve,    T   et nue,…..

Même s’il vaut   O           mieux se donner     E   à fond ……

Que de, sans     I             cesse tourner  et      M en rond,…….

  Et à chaque    *            sortie,  à  chaque      E  occasion………

Moi, qui ne   L         suis rien autre que    N   femme,……

Perdue en     ‘        moi-même,   hors     T     extase,…..

Moi qui ne    A     suis rien qu’une     *    flamme….

Cachée dans   M   l’ombre qui l’   L  embrase, …

J’attends avec  O    beaucoup  A    d’émotion

L’homme qui   U fera son   S  apparition,

Trouvera visage R  beau  *   assombri,

Duquel sortira enfin un énorme cri

D’amour qui ferait cesser l’ennui.

.

Tout comme les jours se suivent,

Et ne se ressemblent pas,

Hommes et femmes… s’enfuient,

Au premier faux pas !

Ne voilà-t-il pas, divine surprise,

Qu’un bel inconnu,

De mon attrait, à maintes reprises,

S’en trouve ému !

Voilà qu’entre lui-moi se noue

Bel acte de foi,

Preuve qu’il est aussi fou

Que … moi !

Lors il s’en apercevra, pour lui, déjà trop tard,

Pour se retirer de moi, dire, ne plus m’aimer !

.

.

Forme

.

.

459 4

.

Évocation

 .

Un  personnage Lego,

Un fantôme pour Halloween,

Une tête  et  un buste  de femme,

Paire de ses seins plutôt généreux

 .

On peut, de fait, y voir ce qu’on veut, qui on veut

C’est un peu la forme de projection de moi-même,

Sur une silhouette que je verrais comme femme.

 .

Une poitrine de femme, seins très généreux

Et une chevelure si nattée,

Peut plaire à nombre d’hommes un moment

Avant de bien s’en lasser. 

 .

Symbolisation   

 .

Le sein

Est l’organe

Contenant les glandes

Mammaires de la femme

Qui permet l’allaitement.

Il est le symbole de la

Fécondité et de la

Féminité.

.

La mise en valeur des seins a toujours existé.

Ainsi, les décolletés, les corsets, les soutiens gorge,

Ont été, sont encore moyens de mettre la poitrine

En valeur, afin de la rendre plus attirante.

1001 symboles

 

Descriptif

 .

459Pourquoi l’amour, secrètement las  

Alignement central / Titre dédoublé / Thème  sexualité

Forme anthropo  / Rimes égales / Fond accordé à la forme

Symbole de forme : seins / Symbole de fond : sein

.

.

Fond

.

Évocation 

.

459 6

.

Les formes de seins des femmes, il y en a plusieurs

Chacune assume ou modifie les siennes

La chirurgie plastique, et dite parfois esthétique

Remédiant à un manque ou trop plein.

 .

Symbolisation

.

Chez la femme, les seins

                       Sont faits   glandes mammaires,

                      De graisse, tissus fibreux, mamelons,

                      En  lien féminité qu’elle assume ou non

                      Elle peut ne pas se sentir réalisée féminine,

                      Ou se sentir dépendante de sa féminité,

                       Se sentir atteinte par des critiques,

                       Une dévalorisation … esthétique,

                        Stérilité, agression, moquerie

                         Et elle peut tout aussi bien

                          Les mettre en avant pour

                           Séduire certains hommes.

 . 

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Forme animée, humaine, féminine, généreuse,

Ces quatre mots pour qualifier cette apparence

Sont complétés par un plus spécifique : le sein.

..

Un sein rime parfaitement avec un  grand bien,

Et ainsi de suite à répétition et… jusqu’à la fin,

Jusqu’à ce que forme fusionne avec la forme,

Nous accueille au sein de notre terre mère.

.

Les seins pointent, s’affaissent, tombent

En fonction de l’âge,  des soins, poids

Exercices, constitutions, passions

Amant quel qu’il soit ne les voit

Ils restent là, deviennent las.

Et lors l’amour s’en ira !

 .

Visuel

.

.

Pas là, plus là  et toujours las !

.

Visuels et textuels >>

458 – L’un dans l’autre et réciproquement !

Visuels et textuels   >> 

.

Quand ils ne sont pas, parfois, illustrés,

On trouve  différence entre plaisir et sentiment.

L’homme voit en la femme, obscur objet  du plaisir

Femme voit en l’homme, un  obscur  objet de désir.

.

Lors homme  femme, disent se connaitre  en cœur

Ils ne parlent que rarement des mêmes  choses :

Pénétration de sexe, n’inclurait pas de cœur.

.

Elle ne l’exclut pas  pour  autant

Que l’un ou l’autre sinon les deux

Y mette leur âme en baisant

Les bouches et pieds

Et tout le reste

Jusqu’au sexe.

.

L’un dans l’autre, l’on dit, c’est réciproquement,

Mais deux amants ne s’entendront pas souvent :

Quand l’un parle de sexe, l’autre parle sentiment

Comment savoir le quel parle authentiquement ?

.

Les yeux, la bouche et l’extérieur, d’une femme,

Son apparence,

Laissent augurer pour l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand homme prétend  connaître une femme,

En profondeur,

Cela signifie qu’il aura pratiqué son intimité

Sans déshonneur.

Bien  que d’éteindre  son désir, en  flammes,

Et de l’intérieur,

Constituera son dernier assaut de pompier,

Avec  l’ardeur.

Corps d’athlète,  plein épithètes,  d’homme

Bonne  virilité,

Laisse augurer pour la femme plaisir être

De lui,  aimer.

Quand femme dit  connaître un homme,

En profondeur,

Ça signifie qu’elle a testé un sentiment

A sa juste valeur

Pour le conquérir, et au fil des jours,

En subterfuge,

Elle doit dire «non» à ses avances,
Diktats d’amours.

.

.

Extensions

.

En lui laissant espérer tout prendre,

S’il persiste, aurait-il eu gain de cause.

Le premier  commence  par  plaire  et  agir ;

La seconde, par plaider vertu ou retarder plaisir.

L’un dans l’autre ne suffit pas pour s’accorder en tout

Même s’ils le disent, et le font, d’un commun accord.

Le plaisir du sentiment et le sentiment du plaisir

Sont loin d’être équivalents, ni réciproques :

Il y a de nombreuses fois où quand pour

L’un, le plaisir commençait à peine,

L’autre a déjà fini et se détache,

Pensera à tout autre chose,

Ou à la prochaine fois.

Ou à être ailleurs.

.

On dit parfois de la situation, pas besoin d’en faire un dessin,

Quiconque l’aura pratiqué sait de suite à quoi l’on fait allusion

Enlacés, entrelacés, puis délacés  en constituent les trois temps.

Dans la réalité, ce qui se voit est contact étroit entre deux corps,

Mais, le plus important demeure le contact visuel et  fusionnel !

Que dire alors de ceux qui feront l’amour dans le  noir complet

Sinon qu’ils se perçoivent en pensées tout comme en réalités.

.

Les images d’unions sexuelles

Donnent lieu à de fantasmes

Et multitudes de sensations

Sinon voire des projections

.

Allant de la  pornographie,

À la fusion la plus mystique

À toucher le fond d’un corps

Ou caresser intimité d’âme.

.

Tout est, de fait, en l’intention

Alors qu’on pense pénétration

Le sexe n’est qu’un instrument,

Aux multiples usages, actions !

.

L’un dans l’autre, réciproquement

N’entraine pas toujours une fusion

En cas de viol, c’est une exaction :

Un seul qui profite égoïstement.

.

.

458 – Calligramme

.

Quand     L   ils ne sont pas, parfois,   E    illustrés,

On trouve   ‘     différence entre plaisir et  T  sentiment.

L’homme  U  voit en la femme, obscur objet  *  du plaisir

Femme voit  N  en l’homme, un  obscur  objet  R   de désir.

Lors homme  *    femme, disent se connaitre   É   en cœur

Ils ne parlent  D  que rarement des mêmes  C   choses :

Pénétration   A   de sexe, n’inclurait pas   I  de cœur.

Elle ne  ô   N   l’exclut pas  ô  pour  P  autant

Que l’un    S   ou l’autre sinon les  R    deux

Y mette  *     leur âme en    O  baisant

Les   L bouches et   Q  pieds

Et  ‘     tout le      U  reste

Jus  A       qu’au   sexe.

*                    * ..

L’un dans l’autre, on  U  dit que    M  c’est réciproquement,

Mais deux amants   T  ne s’enten    dront pas souvent :

Quand l’un parle de R     sexe, l’au N  tre parle sentiment

Comment savoir le   quel parle  T  authentiquement ?

Les yeux, la bouche et l’extérieur, d’une femme,

Son apparence,

Laissent augurer pour l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand homme prétend  connaître une femme,

En profondeur,

Cela signifie qu’il aura pratiqué son intimité

Sans déshonneur.

Bien  que d’éteindre  son désir, en  flammes,

Et de l’intérieur,

Constituera son dernier assaut de pompier,

Avec  l’ardeur.

Corps d’athlète,  plein épithètes,  d’homme

Bonne  virilité,

Laisse augurer pour la femme plaisir être

De lui,  aimer.

Quand femme dit  connaître un homme,

En profondeur,

Ça signifie qu’elle a testé un sentiment

A sa juste valeur

Pour le conquérir, et au fil des jours,

En subterfuge,

Elle doit dire «non» à ses avances,

Diktats d’amours.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

458 4

.

Évocation

 .

Un tire-bouchon

Tête buste martien,

Et voire son squelette

Comme un fantôme ?

 .

Rapport entre l’un en l’autre et tire-bouchon

L’analogie est plus que tirée par les cheveux,

Il n’est pas question d’extraire mais fournir.

 .

Des tire-bouchons, il y en a de toutes

Les formes et techniques :

Beaucoup ont une hélice pour pénétrer

 Tous corps enveloppants !

 .

Symbolique  

 .

Le tire-bouchon viendrait du verbe « tirer »

Nom « bouchon » qui, en latin, donne « bucco ».

.

En quelque sorte, outil qui sert à sortir

De son logement,  parcelle de matière,

Faite, généralement, de liège qui,

D’un côté vient au contact du liquide,

Et de l’autre côté de la personne

Qui fait l’action de tirer, ou tourner.

.

L’invention du tire-bouchon 

Est parfois attribué à observation

D’animaux, du genre porc,

Qui de par leur partie caudale,

Évoquent spirale que

Nous connaissons.

Source : ledifice.net

 .

Descriptif

 .

458 L’un dans l’autre et réciproquement !

Alignement central / Titre analogue / Thème  sexualité

Forme courbe  droit / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : tire-bouchon / Symbole de fond : martien

.

.

.

.

Fond

.

Évocation 

458 6

.

Des martiens il y en a de toutes

Les formes et fantasmes:

Beaucoup ont une très grosse tête

Et un petit corps vert !

 .

Symbolique 

Si H. G. Wells a

Popularisé la menace

Venue de la planète Mars,

La figure du Martien

Dans la science-fiction, littéraire

Ou cinématographique, est

Devenue le symbole ambivalent

De l’extraterrestre.

Les « petits hommes verts »

.

En 1912, Edgar Rice Burroughs,

Auteur du futur Tarzan, projette

Le héros de son Cycle de Mars,

John Carter, un combattant immortel,

Dans le passé de la planète Mars,

Il croise différentes races de Martiens,

Dont des humanoïdes verts à quatre bras,

Fondant ainsi une imagerie populaire

De l’extraterrestre martien qui devient

Un autre nous-mêmes aux mille visages  …

historia.fr/les-metamorphoses-du-martien

.

.

Corrélations

Fond/forme 

Tire-bouchon en forme d’Alien, extra-terrestre

Difficile à dire si le vin dans la bouteille sera bon

Quoiqu’il en soit, quoiqu’il en fut, toujours le fond

Donnera la forme dès qu’il rimera avec l’ivresse

Au point d’en avoir hallucination tire-bouchon !

.

Tourner pour perforer, pénétrer

Puis tirer pour extirper,  sortir

L’analogie de bouteille et sexe,

Aura quelque chose de valide

Autre forme … fond… élixir.

 .

Visuel   

.

.

L’amour sexuel tient du puzzle

.

Visuels et textuels   >> 

457 – Musique harmonie, symphonie résonne

Visuels et textuels >>

.

De la musique avant toutes choses !

Et,  pour cela, ne pas faire  d’impair,

Qui ferait que couple va de travers.

Cloches et  orgues  et à l’unisson,

Nous, en leur mélodie de sons,

Avons célébrer notre union !

Cloche s’est fêlée lors battant

A cogné trop fort, en la tapant,

Le noir et grisa remplacé le rose.

.

Avant, musique, pleine harmoniques

Pendant, les deux cœurs, émus, battants ;

Après, quelque chose, a cloché, en ciel de lit !

Tantôt ici ou là, orgasme simultané s’est décalé,

Tantôt ici, ou  là, l’orgasme de l’un, s’est enterré !

Frigidité ou impuissance provoquent cacophonies

Et leurs orgues à l’unisson ne soufflent que délits.

.

Musique harmonisant

Symphonie  résonnante,

L’un se voit être le battant,

De l’autre, sonnette vibrante.

Cloches, résonnent, célébrant

Bonheur, vécu maritalement

Sur deux tons en harmonie

D’un couple d’amants,  lit.

.

Faux pas  ou  fausses notes,

Et soudain l’un deux toussote,

Et son regard se détourne,  fuit

Lors commence pointer l’ennui.

.

La  cloche  aura subi  une fêlure

Qui entraine  en  sa  déconfiture,

C’en est fini de leurs  harmonise,

On ne les verrait plus qu’hors lit.

.

Harmonie, deux tons si l’on dit

N’a qu’un temps  lors   sonnant

Harmonie à deux clés… on dit

Se joue avec des instruments.

 .

La mesure, rendue pleine,

Timbres font cacophonies,

À l’autre l’on sonne minuit

La récré est finie : déveine.

.

.

Extension

.

Si une cloche et un battant font la paire,

À l’unisson, dès la moindre craquelure, fêlure,

Les sons produits se désaccordent et se discordent.

Ils passent, soudain, de l’harmonie à la cacophonie.

Cela se fait généralement lors intention du battant

Est de se taper la cloche, mais, cette dernière,

Quand elle s’en aperçoit, ou s’en est aperçu

Après coup, change de ton, et de gamme.

Elle introduirait une dissonance cognitive

Là où le battant frappe consonance sensitive.

Il ne s’agit pas de filer la métaphore : taper fort

Pour avoir le dernier mot dehors lorsque le dedans

Ne résonne plus que des sons, à moitié étouffés par

La perte du désir de l’un ou de l’autre sinon des deux.

Il y a en a qui ont clochette, d’autres qui ont bourdon,

Question de taille, de volume, de marteau et caisson.

On n’arrête pas le progrès en les électrifiant et là,

Plus question de tirer sur la corde … sensible !

En tous les cas, deux cloches, mal accordés,

Ne feront jamais, plus jamais, harmonie.

.

Le mot cloche, comme instrument de musique a deux sens :

Sens harmonie quand elle s’accorde avec son battant ;

Sens cacophonie quand une fêlure la désaccorde

Ou que son battant la cogne en tous sens.

Déjà, mettre son couple, sous cloche,

Ne présage pas harmonie durable

Tant toute prison sonnera faux

Dès lors que jalousie signera

Un attachement non libre.

.

L’expression : « il y a quelque chose qui cloche »

Résonne en nous par son timbre qui accroche

Nos tympans par vibrations désaccordées,

Qui, de mauvais accord, laisse à penser.

.

Le battant l’aurait-il frappé trop fort,

Et, à coups redoublés, l’aurait sonné

Toujours est-il qu’elle se sera fêlée,

À force de subir et de protester !

.

On peut voir un autre son de cloche

Elle se serait désaccordée toute seule

Pour qu’il la délaisse ou qu’il la trompe

Et lors le résultat sera le même : divorce !

.

Que la cloche évoquerait l’oreille ou le sexe,

Ne changera rien à la question de l’harmonie,

Lors d’une union elles sonnent toutes à l’unisson

Suivi par des accords … accords … d’accordéon !

.

.

457 – Calligramme

.

De la musique avant toutes choses !

Et,  pour cela, ne pas faire  d’impair,

Qui ferait que couple va de travers.

Cloches et  orgues  et à l’unisson,

Nous, en leur mélodie de sons,

Avons célébrer notre union !

Cloche s’est fêlée lors battant

A cogné trop fort, en la tapant,

Le noir et grisa remplacé le rose.

.

Avant, musique, pleine harmoniques

Pendant, les deux cœurs, émus, battants ;

Après, quelque chose, a cloché, en ciel de lit !

Tantôt ici ou là, orgasme simultané s’est décalé,

Tantôt ici, ou  là, l’orgasme de l’un, s’est enterré !

Frigidité ou impuissance provoquent cacophonies

Et leurs orgues à l’unisson ne soufflent que délits.

.

Musique harmonisant

Symphonie  résonnante,

L’un se voit être le battant,

De l’autre,  sonnette  vibrante.

Cloches, réson    M S     nent, célébrant,

Bonheur, vécu        U Y            maritalement

Sur deux tons           S M              en harmonie,

D‘un couple                 I  P                d’amants,  lit.

Faux pas ou                 Q H                fausses notes,

Et soudain l’un             U O               deux toussote,

Et son regard se            E N               détourne,  fuit

Lors commence             *   I             pointer l’ennui.

La  cloche  aura            H E            subi  une fêlure

Qui entraine en             A   *           sa  déconfiture,

C‘en est fini de              R R           leur  harmonie,

On ne les verrait           M É           plus qu’hors lit.

Harmonie, deux            O  S             tons  si l’on dit

N‘a qu’un temps             N O               lors   sonnant

Harmonie à deux             I  N                 clés…l’on dit,

Se joue avec                        E N                   instruments.

    * E

La mesure, rendue pleine,

Et timbres font cacophonies,

A l’autre l’on sonne minuit

Lors la récré est

Finie, déveine.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

457 4

.

Évocation

 .

En bas, cloche, avec son battant,

En haut, mouton pour l’accrocher :

Il n’y aurait plus qu’à bien la sonner !

.

Une cloche participe d’harmonie musicale

Mais il se peut qu’elle devienne fêlé et alors

Ce n’est plus du tout le même son de cloche.

.

Il n’y a rien qui cloche, entre eux : 

Elle, carillon et lui battant :

Cela les ferait résonner sur la même

 Note harmonieuse, timbrée.

 .

 Symbolique

 .

Pour l’Église orthodoxe russe,

Les cloches sont des êtres  animés

D’un  nom, d’un corps et de sentiments.

.

Par ailleurs, la forme creuse et arrondie

De la cloche l’assimile au corps féminin,

Tandis que le battant et le manche

Évoquent comme un phallus.

.

Ces connotations sexuelles

Contribuent au symbolisme

De la cloche dorje petit sceptre,

Souvent employés simultanément

Dans les rituels bouddhistes tibétains.

Source : grandrêve1234.blogspot.com

.

Descriptif

 .

457Musique harmonie : symphonie résonne

Alignement central / Titre analogue / Thème  musique

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : cloche / Symbole de fond : cloche

.

.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

457 6

.

Il y a visiblement quelque chose qui cloche

Entre le battant et la bélière

Comme entre homme et femme en un couple

Et qui vibre ou résonne faux.

 .

Symbolique 

Une cloche

Est un objet simple

Destiné à l’émission d’un son.

Sa forme est un tambour ouvert

Et évidé d’une seule pièce qui résonne

Après avoir été frappé : la partie qui

Frappe  le  corps  de  la cloche  est

Soit un battant, sorte de langue

Suspendue dans la cloche, soit

Petite sphère libre comprise

Dans le corps de la cloche,

Soit un maillet ou un battant

tronc de bois suspendu par cordes

Qui frappe la cloche depuis l’extérieur.

Wikipédia : cloche

 . 

.

Corrélations

Fond/forme

 .

La forme de l’objet correspond bien au texte

Mais s’il rimera plutôt bien avec le son son,

Y a quelque chose qui cloche en ce dernier

Comme désaccordé, désharmonisé, fêlé.

Et, du coup, le face à face est troublé.

 .

Visuel 

.

.

Cloche d’harmonies amoureuses

.

Visuels et textuels >>

456 – Sommes pas amants : copains seulement

Visuels et textuels >> 

.

Je voudrais

Être l’amant.

Tu me préfères

Comme   copain

Or,  c’est bien là,

L’éternel  refrain,

Séparant son sexe

 De ses sentiments !

.

Amant/mari/copain

Y a tant  de  contacts,   

Où le sexe   est absent :

Du moins, dans les faits,

En dépit de contentement.

On change amant, pas copain,

Sexe est parfois volage, incertain.

.

Amitié n’entre pas corps de femme :

Elle ne pénètre qu’en son esprit/âme.

Mais nous ne sommes pas des amants,

Sommes  de  bons  copains, seulement,

Lors chacun  clamera  ses  divergences

Comme  ses suppléments d’existences,

Mêmes si elles s’avèrent être non-sens

Voire, l’un pour l’autre, vrai faux-sens.

.

Les contraires  s’attirent, c’est normal,

C’est la loi du genre, une loi animale

Que ce ne soit pas physique mais moral,

Est bien plus qu’un détail en  cette spirale.

Spirale d’amour  nous  aspire à contre-sens,

Quand l’un veut,  l’autre  plus  ou  inversement.

.

À moins qu’un pur miracle nous rende en chanceux,

N’aurons  pas de précieux  rendez-vous  d’amoureux :

Entre vrai  désir  et une  fausse crainte,  cœur balance

Si ce n’est le contraire  en bien, deux  cas, en distance

Afin que  tout ce qui a été construit, dure  entre nous

Plutôt que se lancer à corps perdu en histoire de fou.

.

Lors même livrer son corps à l’un et son âme à l’autre

Fait un vrai dieu du premier et d’autre simple apôtre,

«Attends des amants : je pourrais en changer souvent,

Toi tu serais comme témoin  frère de sentiment 

 En copain j’aurai pour toi  un statut privilégié

 Forçant à me penser en bien aimée.»

.

Amant, ami, copain, collègue, relation

Amours différents, amours déclinaisons,

Qui instaurent règles de conduite, raisons :

L’un veut devenir l’amant, mais l’autre, pas,

Par sa peur de le perdre, au premier faux-pas

Se disant, qu’il, ou elle, ne s’en remettrait pas,

Un amant se dévoilera, sans filet, et, tout nu,

Copain est celui à qui on raconte, aura su,

Ne fait pas l’affaire : confident, exclu.

.

.

Extension

.

 «Nous ne sommes pas amants,

Copains seulement»

«Nous ne sommes pas copains,

Amants  seulement !»

Ces deux aveux sont-ils en tout

Équivalents, réversibles ?

.

Copain pour camarade de classe, de travail, de jeu, de loisirs

Pas touche aux fantasmes, désirs liés au corps, liés aux sexes

On lui confiera son âme et son esprit mais moins son cœur !

Le problème se pose quand l’un est copain, l’autre amante

Ou réciproquement, ou que le sexe ferait partie d’un jeu

Tandis que l’autre croit qu’il s’agit d’un … amoureux.

Comment passer de l’un à l’autre sans déception !

.

Je vous présente mon mari, compagnon, copain,

On connait tous la chanson, couplets et refrains :

Il arrive que l’un puisse se transformer en l’autre

Mais il ne faudra pas confondre mari et apôtre !

.

Le copain, ce serait souvent tout, hormis le sexe

De quoi donner, à certains,  bien des complexes,

Lors un amant aurait comme posture, contraire,

Il n’y a que polyamoureux qui vous feront braire.

.

En attendant j’aimerais passer de copain à amant

Mais, tu me dis, qu’on a le temps, pas le moment.

Au fil des  jours, mois, années, c’est  désespérant :

Ne cesse de me demander pourquoi je t’aime tant.

.

.

456 – Calligramme 

.

Je      voudrais

Être   l’amant.

Tu me préfères

Comme  copain

Or, c’est bien là,

L’éternel refrain,

Séparant son sexe

 De ses sentiments !

Amant/mari/copain

Y a  tant  de  contacts   

Où le sexe   est absent :

Du moins, dans les faits,

En dépit de contentement.

On change amant, pas copain,

Sexe est parfois volage, incertain.

Amitié n’entre pas corps de femme :

Elle ne pénètre qu’en son esprit/âme.

Mais nous ne sommes pas des amants,

Sommes  de  bons  copains, seulement,

Lors chacun  clamera  ses  divergences

Comme  ses suppléments d’existences,

Mêmes si elles s’avèrent être non-sens

Voire, l’un pour l’autre, vrai faux-sens.

Les contraires  S  s’attirent  C  c’est normal,

C’est la loi    O   du genre, une  O    loi animale

Que ce ne   M  soit pas physique   P   mais moral,

Est bien    M    plus qu’un détail en    A  cette spirale.

Spirale     E     d’amour  nous  aspire à     I  contre-sens,

Quand      S      l’un veut,  l’autre  plus  ou     N   inversement.

À moins    *      qu’un pur miracle nous rende    S   en chanceux,

N’aurons   P     pas de précieux  *  rendez-vous     *    d’amoureux :

Entre vrai   A    désir et une  *     * fausse crainte      S    cœur balance

Si ce n’est    S     le contraire  *        * en bien deux     E   cas en distance

Afin … que   *      tout ce qui a *       * été construit    U   dure  entre nous

Plutôt que    A       se lancer  à    *    corps  perdu      L  en histoire de fou.

Lors même   M     livrer  son     *   corps à l’un      E et son âme à l’autre

Fait un vrai    A    dieu   du  premier  et  d’      M autre simple apôtre

«Attends des   N    amants : je  pourrais      E   en changer  souvent,

Toi tu serais    T    comme    témoin      N    frère de sentiment 

  En copain     S    j’aurai pour toi   T    un statut privilégié

 Forçant      *    à me penser     *    en bien aimée.»

Amant, ami, copain, collègue, relation

Amours différents, amours déclinaisons,

Qui instaurent règles de conduite, raisons :

L’un veut devenir l’amant, mais l’autre, pas,

Par sa peur de le perdre, au premier faux-pas

Se disant, qu’il, ou elle, ne s’en remettrait pas,

Un amant se dévoilera, sans filet, et, tout nu,

Copain est celui à qui on raconte, aura su,

Ne fait pas l’affaire : confident, exclu.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

456 4

.

Évocation

 .

Une  mèche   et  un  verre,

Une réserve de carburant :

C’est une  lampe à  pétrole.

 .

 Nos lampes ont des lumières différentes,

Amants n’en ont qu’une,

Et qu’ils puisent dans un seul et même

Réservoir, pour leur flamme.

 . 

Symbolique

La lampe,

Électrique,

À huile ou

À   pétrole,

Représente une

Lumière   intérieure,

Une énergie, des capacités,

Des talents que nous maîtrisons.

.

C’est l’homme qui maîtrise la lumière

Avec un certain pouvoir d’allumer

Et d’éteindre. La lumière est le

Symbole de la connaissance.

.

On apprend de jour

En jour à mieux se connaître,

On évolue grâce à ces

Informations et ce savoir.

.

 

Descriptif

 .

456Ne sommes pas amants, copains seulement   

Alignement central / Titre analogue / Thème  amitié

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : amis

.

.

Fond

Évocation 

.

456 6

.

Amitié entre homme et femme est chose rare

Et donc d’autant précieuse

Elle est fondée par des échanges de tous types

Sauf de nature amoureuse.

 

Symbolique    

 

Alors que les femmes

Auront tendance à vouloir

Entretenir une saine amitié

Homme-femme,  en dépit de la

Distance  et autres changements,

Les hommes eux font moins l’effort.

 

Une étude dévoilera que les hommes

Ont tendance à bâtir leurs amitiés

Sur le principe du sens pratique.

Autrement dit : la proximité

Ou voire, la disponibilité.

 

Ce qui ne veut pas

Pour autant dire

Que  leur  amitié

Est moins sincère.

Modifié :  Auféminin.com

 

Corrélations

Fond/forme    

 

Entre copains et amis, il y a une différence

Plus grande encore entre copains et amants.

S’il n’est pas rare copains deviennent amants,

L’inverse est plus difficile si …non réciproque.

 

La frontière est très nette : on ne couche pas,

Et si certains l’accepteront …. d’autres pas,

En l’amitié les choses sont compliquées,

Mais le lien est constant en la durée

Le sexe ne serait pas négociable !

 

Forme poème correspond un peu à l’objet

Dont lumière, ambiance,  évoquent  amitié.

Mais les amis ne seront pas comme amants,

En recherche de fusion  mais considération,

Qui rime très bien avec raison, pas passion

Un face à face se posera, entre deux amis

Imposant grande réserve pour  fidélité.

.

Visuel

.

Visuels et textuels >> 

 

455 – Nos différences : notre meilleur atout !

Visuels et textuels  >>

.

Des différences,

Heureusement il y en a,

Sinon se regarder en un miroir

Ou alors d’être jumelles ou jumeaux,

Qu’importent qu’elles vraies ou fausses.

Bon nombre  différences  s’estompent,

Quand nous deviendrons amoureux

Resurgissent, devenons fâcheux.

.

Un doute

S’ins-tau-re,

Amplifie distances

C’est ainsi que, notre meilleur atout,

Qui est la somme des différences,

Nous rapproche, malgré tout,

Ne divisent plus existences.

.

Il n’y a qu’incompatibilité

De caractères ou de valeurs,

Qui pourrait séparer un couple

Qui, sur plan sexe, semblait coller.

.

Notre différence : notre meilleur atout,

Joue-t-elle vraiment, un rôle entre nous,

Bien que la tienne m’ait souvent intrigué,

M’ait paru, parfois, quelque peu déjantée.

.

Dès lors, l’approfondir  me fut plaisant,

Tant esprit et le cœur,  rendus contents :

Complicité si belle  nous aura rapprochés

Lors même nous a permis de  nous aimer.

.

Mais ton  charme,  ton attrait, ont changé,

Ils  m’ont  fait  douter   de  ton  authenticité

Lors en  distance ou lors en non réciprocité,

Au point que,  de   toi …  je  me  suis éloigné.

.

Voilà  comment, insomniaque,  nuitamment,

Je suis  devenu un être  des plus  clairvoyants,

En faux semblant, complément de différences,

D’amour empoisonnant essence mon existence.

 .                                                 

Nos différences s’ajoutent si elles se complètent,

S’annulent quand elles ne sont plus en quête

Se heurtent si elles se bagarrent en fait

Autant force, incompatibilité, de fait.

.

Différences, c’est sûr, c’est évident,

Mais lesquelles naturelles et jusqu’où ?

 L’un, sur un trône  et l’autre, à ses genoux.

.

Début, c’est richesse  découverte même atout,

  Peu à peu, distance  défiance,  s’insinuent partout

  Yeux se décillent, différences  deviennent défauts.

   Voilà comment insomniaque nuitamment souvent,

Je suis devenu un être des plus clairvoyants,

Différences pour réguler  nos différents.

.

.

Extension

.

Notre différence est notre meilleur atout entre nous,

On ne le dira jamais assez, on ne le dit déjà pas beaucoup.

C’est ce qui nous perd, qui nous sauve, paradoxalement.

.

«Cherche partenaire pour partager même passion

Pour ceci ou pour cela, et plus, si affinités »,

Pourrait être le canevas d’une crédible

Annonce sur un site de rencontres.

.

Risquer  de  vivre, avec  une

Personne toute contraire

Serait-il aller droit à l’échec.

.

Rien ne le prouve ni ne l’a prouvé

Jusqu’ici : en des films d’amour,

C’est ainsi que tout commence…

.

L’égalité entre sexes ne consiste pas à gommer les différences,

L’un dominant l’autre, en toutes occasions, et, en tous temps.

Dire d’une femme, d’allure masculine, qu’elle me ressemble,

N’a aucun sens, cela reste autant valable réciproquement

Nos différences se situent le long d’un curseur continu

Non d’une frontière, sexe, manière d’être et penser

Les deux sexes  peuvent penser pareil au travail.

.

À vouloir se ressembler en tout et à tout prix

On finit  en jumeaux, à  en oublier qui est qui.

Un miroir réfléchit certes, mais, ne pense pas :

Sans une différence, un couple ne marche pas !

.

Rassurez vous, rassurez moi, dès mon jeune âge

Je ne ressemblais à personne : qu’à moi-même !

Pour autant, n’ai pas épousé compagne extrême,

Aucune folle ne m’aurait pas fait  redevenir sage.

.

Lors nous sommes, en bien des points, différents

Mais pas en tout, pas sur les valeurs, l’essentiel :

Différence s’est transformée en plus… égalitaire,

Ce qui fait qu’on s’est rendus complémentaires.

.

.

455 – Calligramme

.

Des différences,

Heureusement il y en a,

Sinon se regarder en un miroir

Ou alors d’être jumelles ou jumeaux,

Qu’importent qu’elles vraies ou fausses.

Bon nombre  différences  s’estompent,

Quand nous deviendrons amoureux

Resurgissent, devenons fâcheux.

.

*********************

***************

.

Un doute

S’ins-tau-re,

Amplifie distances

C’est ainsi que, notre meilleur atout,

Qui est la somme des différences,

Nous rapproche, malgré tout,

Ne divisent plus existences.

Il n’y a qu’incompatibilité

De caractères ou de valeurs,

Qui pourrait séparer un couple

Qui, sur plan sexe, semblait coller.

.

Notre différence : notre meilleur atout,

Joue-t-elle vraiment, un rôle entre nous,

Bien que la tienne m’ait souvent intrigué,

M’ait paru, parfois, quelque peu déjantée.

                                                                      M

Dès lors l’ *  approfondir me fut   E  plaisant,

Tant esprit  D   et le cœur rendus   I  contents :

Complicité  I     si belle  nous aura    L  rapproché

Lors même F       nous a permis de      L  nous aimer.

Mais ton     F      charme,  ton attrait     E    ont changé,

Ils  m’ont   É       fait  douter   de  ton     U    authenticité

Lors en      R        distance ou lors non     R       réciprocité,

Au point   E        que,  de   toi …  je  me     *     suis éloigné.

Voilà        N     comment, insomniaque    A   nuitamment,

Je suis     C     devenu un être des plus    T     clairvoyants,

En faux    E  semblant, complément    O   de différences

D’amour  *  empoisonnant essence  U mon existence.

                                                       T   

Nos différences s’ajoutent si elles se complètent,

S’annulent quand elles ne sont plus en quête

Se heurtent si elles se bagarrent en fait

Autant force, incompatibilité, de fait.

Différences  *   c’est sûr,  *  c’est évident,

Mais lesquelles   *    naturelles  *   et jusqu’où ?

 L’un sur un trône      *   et l’autre     *  à ses genoux.

Début, c’est richesse    *   découverte  *      même atout,

  Peu à peu, distance      *   défiance     * s’insinuent partout

  Yeux se décillent     *    différences    *   deviennent défauts.

   Voilà comment    *      insomniaque   *    nuitamment souvent,

Je suis devenu   *           un être des    *            plus clairvoyants,

Différences      *              pour réguler  *                  nos différents.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

455 4

.

Évocation

 .

Un socle, un foyer, une cheminée

Un réservoir, une mèche, un verre :

Lampe tempête couleur  très vive 

 .

Toutes les lampes tempêtes, au pétrole,

Se ressemblent et pourtant chacune a

Une particularité  qui  la distingue !

 .

Voilà donc lampe tempête avec

Différence de couleur des autres.

Lampe de la couleur de la colère

Aveuglant séparation de couple.

 .

Symbolique 

 .

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez Grimm la lumière seule chasse

L’amant caché de l’héroïne.

.

La lumière, dans tous les

Contextes mythologiques,

Symbolise la conscience.

La lumière d’une lampe

Représente particulièrement

Le conscient qui est entre les mains

Et sous le contrôle de l’être humain,

Par contraste avec la lumière du soleil,

De nature divine et cosmique.

.

Descriptif

 .

455Notre différence : notre meilleur atout

Alignement central / Titre dédoublé / Thème sexualité

Forme courbe / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : différence

.

.

Fond

.

Évocation 

.

455 6

.

La différence et la ressemblance

se conjugue  en positif ou négatif,

on recherche la complémentarité,

là où nous avons  besoin, manque.

.

Symbolique 

 .

Aujourd’hui, si l’on tient compte

Du féminisme, du racisme ou handicap,

Il devient impossible de parler de différence

Sans que des interprétations y raccrochent

Un jugement de valeur, un ostracisme

Par rapport à la norme établie

Par le plus grand nombre,

Des discriminations qui

Remettraient alors en

Cause l’égalité sociale.

Source : Wikipédia

.

.

Corrélations

Fond/forme 

Il y a parfois des différences entre formes

Certaines, mineures, d’autres, importantes.

Une différence de couleur entre des humains

Sera mineure, majeure, selon les civilisations

Mais ici, la seule différence  avec les lampes,

Est qu’elle est rouge, libre d’interprétation.

.

Toute différence n’induit pas une discrimination,

La première étant vue positive ; seconde négative

La première, enrichissante ; seconde, décevante.

.

Si différence trop petite : pas prise en compte ;

Si trop grande, crée un point d’éloignement,

L’idéal est que différences se complètent

Au lieu de s’annuler, se contrarier.

 .

Visuel

.

 .

Comme dessin, trouvez sept différences

.

Visuels et textuels  >>

454 – Une, deux, dix femmes : différences !

Visuels et textuels  >>

.

La

Question du

Combien est- elle importante ?

On voit une femme en homme aimant,

Un homme, en femme, lors  maternant.

Il faut plusieurs, avant d’en faire le tour,

Afin de trouver celle  qui nous convienne.

Mais, le nombre ne garantira pas qualité,

Il n’apporterait que semblant nouveauté !

L’on ne ferait, jamais, le tour des femmes

Il faudrait déjà faire le tour de la sienne !

 .

Combien d’hommes

Prêts à changer d’air,

Et, pour retrouver la

Même ou contraire !

Et l’homme  serait-il

Si simple à connaitre

Qu’un   seul   suffirait

Pour se faire une idée.

Une, deux, dix, centaine :

Importance et différence,

Vivre avec une seule, deux,

À la suite ou simultanément.

.

Pour connaître l’autre, faut vivre

Avec lui, un certain temps,

Pour aimer l’autre, il faut survivre

À la naissance des enfants.

.

Certains disent qu’il faut plusieurs,

Pour faire le tour de la femme,

Et d’autres qu’il leur suffit de la leur,

Pour s’y perdre…corps et âme.

.

Combien d’hommes changeront d’air

Pour retrouver le contraire,

Les instables disent aucune ne les aime,

Femme est être à problème.

.

L’homme serait-il plus simple, plus facile

À décoder, à comprendre,

On prétend que oui, et pourtant peu docile

Pas plus  à l’entendre !

.

Humainement, les différences sont minimes

Hors leurs positions intimes,

S’il y a une différence de sexe, certainement,

De cerveau, non, ou rarement.

.

.

Extension

.

Le plus souvent, plan

Du raisonnement et de l’entendement,

Ils seront en pure égalité.

Ce n’est pas tant la quantité qui compte

Que la qualité, mais la qualité,

Comment la connaitre sans la quantité.

.

Jusqu’où les femmes peuvent-elles être différentes au point que

L’on croit qu’il s’agit d’une toute autre, ou d’une toute nouvelle ?

Qui peut et qui veut bien répondre à une telle question, délicate !

Les femmes peuvent-elles  en dire autant au sujet  des  hommes ?

Dans les deux cas, s’agit-il de personnes, modèles … stéréotypes ?

Certains en auraient connu six ou sept mais … toujours la même.

Si on s’en tient à la Loi normale, il y a les moyennes et extrêmes.

Le plus simple, courant est de voir toute les femmes en la sienne

Tout en se disant qu’on a choisi la meilleure, du moins pour soi.

.

Chacun sait bien qu’en matière de femmes,

Ce n’est pas la quantité qui compte : la qualité

Elles sont différentes, parfois, interchangeables,

Mais l’une seule peut, pour vous, cumuler toutes.

.

Non pas physiquement : c’est ridicule, impossible,

Non pas psychiquement, d’intelligence, caractère

Simplement d’harmonie, en plus de compromis.

«Sois belle et tais-toi» n’aura plus aucun avenir !

.

Il n’est pas  interdit, d’essayer, de se tromper,

L’expérience mérite  d’être, exquise, acquise,

Mais on ne peut y passer le restant de sa vie,

Arrive un moment où l’on se noie d’espérer.

.

Où l’on ne sait qui choisir, se faire choisir,

Et la misogynie guette si ce n’est la haine,

L’on se retrouve perdu,  en cinquantaine,

Pas certain de fêter des noces en famille.

.

.

454 – Calligramme

.

  La

Question du

  Com   D  bien est- elle impor  D  tante ?

On voit   I   une femme en homme  I  aimant,

Un hom  X   me en femme, lors ma    F  ternant.

Il faut     *   plusieurs, avant d’en faire  F  le tour,

Afin de   F   trouver celle  qui nous con  É  vienne.

Mais le  E    nombre  ne  garantira pas   R  qualité.

Il n’ap  M    porte que semblant nouve   E     auté !

L’on    M   ne ferait jamais le tour des  N femmes

Il fau  E drait déjà faire le tour de la  C  sienne !

S                                               E …

.

Combien…….. d’hommes

Prêts à changer d’air,

Et, pour …….retrouver la

Même ou contraire !

Et l’hom….….me serait-il

Si simple à connaitre

Qu’un seul…….…suffirait

Pour se faire une idée.

Une, deux, dix, centaine :

Importance et différence,

Vivre avec une seule, deux,

À la suite ou simultanément.

.

Pour connaître l’autre, faut vivre

Avec lui, un certain temps,

Pour aimer l’autre, il faut survivre

À la naissance des enfants.

.

Certains disent qu’il faut plusieurs,

Pour faire le tour de la femme,

Et d’autres qu’il leur suffit de la leur,

Pour s’y perdre…corps et âme.

.

Combien d’hommes changeront… d’air

Pour retrouver le contraire,

Les instables disent aucune ne les aime,

Femme est être à problème.

.

L’homme serait-il plus simple, plus facile

À décoder, à comprendre,

On prétend que oui, et pourtant peu docile

Pas plus … à l’entendre !

.

Humainement, les différences sont minimes

Hors leurs positions intimes,

S’il y a une différence de sexe, certainement,

De cerveau, non, ou rarement.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

454 4

.

Évocation

 .

Un château d’eau pour ville,

Un moulin à poivre   ou à sel,

Ou  encore   un    tire-bouchon.

 .

On ne va pas vous tirer les vers du nez, pour savoir :

Combien de femmes vous avez connu, avant et après !

Une femme ne sera pas une bouteille d’alcool, d’élixir,

Ni l’homme un tire-bouchon pour l’ouvrir à l’envie.

.

.Symbolique 

 .

Au XVIIe siècle,

Apparait le tire-bouchon.

Contemporain de l’invention

De la bouteille dite « moderne ».

.

Déboucher un une bouteille

A vite nécessité l’invention

D’un outil  plus spécifique :

Le tire-bouchon est né !

.

Devenu objet précieux,

Et voire… aristocratique

À l’origine, le tire-bouchon

Est vite devenu un symbole

De bien-vivre et de partage,

En Angleterre puis en France.

.

Tout d’abord,   pour  se démocratiser

Progressivement et devenir universel,

Devenant du même coup, magnifique

Objet de collection pour hélixophile !

club-francais-du-tire-bouchon

.

Descriptif

 .

454 – Une, deux ou dix femmes : différences !

Alignement central / Titre analogue / Thème amour

Forme droite / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : tire-bouchon / Symbole de fond : femme

.

.

Fond

.

Évocation 

.

454 6

.

Rapport entre femme et tire-bouchon

Serait, un peu « tirer par les cheveux »

Mais celui de la bouteille et du vin, oui.

Alors on fait comment pour le bouchon.

 .

Symbolique 

 .

Prolongeant le rêve de pureté

Premiers romantiques,

Symbolistes donnent à la femme

Une allure pure, virginale.

Henri Le Sidaner peint ce groupe

De jeunes filles vêtues de blanc.

.

La femme a une symbolique très riche

Qui a évolué au fil du temps,

Toutefois, elle aura toujours évoqué la

Fécondité, pureté, et aussi  le vice.

.

Bon  nombre de mythologies antiques

Attribuaient généralement une valeur

Sexuelle aux déesses, qui incarnaient

Souvent le désir et le plaisir charnel.

Source : poetes.com et  1001 symboles

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Pour bien connaitre la femme, il faut

En avoir pratiqué plusieurs : combien !

C’est là le dilemme car en essayant tout

On ne sait plus ce qui est bon  pour soi,

Par élimination, cela prend du temps

Et parfois c’est un comble, il s’agira

De plusieurs fois la même forme,

A une différence de fond près

Qu’on prend pour l’idéal.

 .

Visuel

.

J’ai choisi une femme à laquelle je me sentais très attaché

or me voilà entouré de six jolies femmes dans mon travail :

c’est bien mais c’est beaucoup trop, alors dix ou centaine…

.

 .

Femmes : toutes semblables, différentes

.

Visuels et textuels  >>

453 – Pas que sexe : amour en la vie !

Visuels et textuels >>

.

Sexe peut se justifier

Pour lui-même, certes,

Mais  il finit  par lasser,

Quoi pour le remplacer :

Une multitude d’activités

Avec des charmes   avérés.

Et déjà s’occuper d’enfants

Si ce n’est des fois, parents,

Il y a les amis, les relations,

Qui font objets  de passions,

Il  y  a  l’amour du prochain,

Compense  manque d’amour

Ou de conjoint, amant du jour,

L’humanitaire attire  les soins,

Lors nous avons tout, eux rien

Y compris affection des leurs :

Sexe devient prison et leurre.

.

Il n’y  a pas  que  le sexe,

Amour autant, en la vie,

Lors travail, et, enfants,

Nous occupent… aussi,

Souvent et longtemps,

Sans aucun complexe.

Et même que, le sexe,

On peut s’en passer ;

On peut  s’en lasser,

Ce, jusqu’à  le  nier.

.

Autres formes amours,

Parviennent à le dériver,

Durant nombre de jours,

Que l’on  ne peut calculer.

Quand  il n’est  plus désiré,

Il sort  des  simples réalités.

Ma conscience, humanitaire,

Qui n’a plus rien d’arbitraire,

N’avancera pas le  contraire,

Je suis privilégié, mon frère,

D’argent,  temps,   amours,

Au point de devenir sourd.

.

Il n’y a pas que  le sexe :

Amour autant dans la vie

Pauvres   et   comme nus,

Face à des gens … cossus,

Ont faim,   sont miséreux,

De leur sexe très honteux,

Qu’ils   ne peuvent bander

Faute de femmes  à rêver,

Faute de pains à manger,

Faute d’humanité en eux.

.

Amour sans sexe,

Sexe sans amour,

N’ont rien de vases communicants.

Le sexe, s’en passer, ou s’en lasser,

Lors amour point et sans se renier

Sans se couper de… toute altérité.

.

.

Extension

.

Le sexe, est omniprésent,

On peut le trouver partout,

L’acheter comme un … objet,

Le pratiquer comme un contrat

Tandis que l’amour, il faudra le

Chercher au bout d’une quête

Quête qui nous construit

Ou bien qui nous détruit.

.

Le sexe remplit des corps,

L’amour remplit des vies !

Le sexe apporte du plaisir,

L’amour apporte bonheur.

Lors le sexe crée un creux

L’amour créera un plein.

.

On ne peut passer sa vie à deux à se regarder dans le blanc des yeux !

Au bout d’un temps, il n’y aurait plus rien à voir : l’ennui, du noir

Qui nous mènerait tout droit en enfer, tout droit au désespoir.

Il faut varier les plaisirs, les découvertes, les occupations,

Sinon, au final, l’amour ne serait qu’égoïsme à deux

L’on n’est pas seul au monde, et l’on fonctionne,

En réseaux qui s’ordonnent, se coordonnent

En fonction de nos besoins, de notre âge

Y compris à l’autre bout du Monde !

.

Le sexe de la femme est comme amphore

Vase fragile craignant frottements durs

Et cela tant à l’intérieur qu’en dehors

Vase que l’on dit tantôt pur, impur

.

La religion n’est pas une science,

Chacun fait selon sa conscience :

Le sexe n’est pas le sens de sa vie

Il n’est que va-et vient éphémère

.

Dieu merci, il y a chose à creuser

Demandant amour, engagements

Construisant longue vie de couple,

À laquelle, deux êtres s’accouplent.

.

Quand le sexe ne va plus… rien ne va ;

A ce compte là, tout le monde divorcera

Il ne faut pas confondre sexe et sexualité,

Notre libido aura  cent façons de s’éclater !

.

.

453 – Calligramme

.

Sexe peut se justifier

Pour lui-même, certes,

Mais  il finit    par lasser,

Quoi pour le  A  remplacer :

 Une multitu    M  de d’activités

 Avec des char    O   mes     avérés.

Et déjà, s’occu     U    per  d’enfants

Si ce n’est, des      R      fois, parents,

Il y a les amis,       *        les relations,

Qui font objets       A         de passions,

Il  y  a  l’amour     U       du prochain,

Compense man    S       que d’amour

   Ou de conjoint,    S      amant du jour

  L’humanitaire    I   attire les soins,

Lors  nous avons  tout, eux rien

Y compris affection des leurs :

Sexe devient prison et leurre.

.

****************************************

.

Il n’y  a pas  que  le sexe,

Amour autant, en la vie,

Lors travail, et, enfants,

Nous occupent… aussi,

Souvent et longtemps,

Sans aucun complexe.

Et même que, le sexe,

On peut s’en passer ;

On peut  s’en lasser,

Ce, jusqu’à  le  nier.

Autres formes  P d’amours,

Parviennent   A      à le dériver,

Durant        S       nombre de jours,

Que l’on        *                 ne peut calculer.

Quand il          Q                   n’est plus désiré,

Et il sort des       U                 simples réalités.

Ma conscience,      E                  humanitaire,

Qui n’a plus rien       *               d’arbitraire,

N‘avancera pas le       S               contraire,

Je suis privilégié,        E           mon frère,

D‘argent, de temps,    X          d’amours,

Au point de devenir   E               sourd.

Il n’y a pas que          *            le sexe :

Amour autant         E             en la vie

Pauvres et           N      comme nus,

Face à des       *         gens cossus,

Ont faim     L      sont miséreux,

De leur   A  sexe très honteux,

Qu’ils  *   ne peuvent bander

Faute  V femme pour rêver,

Faute   I    pains  à manger,

  Faute   E humanité en eux.

Amour sans sexe,

Sexe sans amour,

N’ont rien de vases communicants.

Le sexe, s’en passer, ou s’en lasser,

Lors amour point et sans se renier

Sans se couper de… toute altérité.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

453 4

.

Évocation

.

Bouteille en poterie ancienne

Une lampe  à pétrole, surmontée

D’un verre ou alors une amphore

De style plutôt moderne ou art déco ?

 .

On peut y voir un sexe féminin en bas,

Surmonté d’un sexe masculin en haut

Mais personne ne possède les deux.

 .

L’amphore est symbole

De l’organe génital féminin :

Pour autant il est aussi le siège

De  nombre d’émotions d’amour !

 .

Symbolique  

 .

La  symbolique de l’amphore

Est connectée avec origine de la vie

Est indubitablement liée à la femme

Et  à sa qualité  génératrice  de vie.

.

La  métaphore est, toujours, celle

De la femme, comme conteneur

Comme dispensatrice de la vie.

.

Et de même que le Graal  est

Lui-même pur conteneur

Possède aussi l’image

Du vase comme symbole

De la création divine.

 .

Descriptif

 .

453 – Amour aussi : y a pas que sexe en la vie

Alignement central / Titre serpentin / Thème amour

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : amphore / Symbole de fond : poterie

.

.

Fond

.

Évocation 

.

453 6

.

 Poterie en céramique figurative

D’une mère portant un objet

Tout  comme un enfant

Qu’elle a adopté !

 .

Symbolique

 .

La poterie

À usage domestique

Est un travail  réservé

Aux femmes avec argile

Avec  différentes  couleurs

Selon les  divers gisements.

.

Signes utilisés en décoration

Remontent, pour  certains,

À la Préhistoire, origines

De l’alphabet tifinagh.

.

La coloration  à base

De kaolin ou d’oxyde

Ferro-manganique,

Permet d’obtenir

Des teintes vives.

djazairess.com/fr/lemidi/1006091902

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amphore est ancêtre bouteille

Avec base solide et un col long effilé.

L’amphore rime bien, ici, avec  femme,

Évoquant tant sa forme que son… fond.

Il ne faudra pas s’y tromper sur son sexe

Tant il ne sera qu’une petite partie d’elle !

.

Son corps, son cœur, son esprit,  son âme,

Présideront à toutes ses relations d’amour

Le sexe n’étant que moyen très privilégié.

.

La femme réduite  à l’état  d’objet sexuel

Est contenue au niveau  des animaux.

Ce n’est autre  qu’un  déni d’altérité,

Qui n’honore en rien celui le tient

Et qui se croit être un humain.

.

Visuels

.

.

Le sexe ou l’amour…

.

Visuels et textuels >> 

 

452 – Faire sans homme à tes cotés

Visuels et textuels  >> 

.

Sans homme la femme est-elle encore une femme :

Si l’on  prétend cela, c’est qu’elle est  dépendante.

Elle ne l’est pas, en tous cas de moins en moins

Alors la question ne se pose plus à moins que

Elle ne puisse  s’en passer, comme mentor,

Ne supportant qu’il soit  toujours dehors

Lors il rentre … vouloir être considérée

Comme une fille … perdue… sans lui,

Son argent, ses caresses, prouesses

La maintenant en vraie détresse.

Et basta, pourquoi un homme

Serait  présent, à mes côtés,

S’il est  homme,  pensant

Rien qu’à me dominer,

Lors suis une femme

Célibataire libérée,

Homme est lors

Com-pa-gnon

Non patron

Pardon,

Non

V

« Comment faire sans un homme à tes côtés ! »

« Je t’ai zappé : tu ne m’es plus indispensable »

« Comment, c’est inouï, c’est invraisemblable ! »

« Non, je suis femme célibataire femme libérée ».

.

Ce que l’on est,  pour l’autre,  très  exactement,

Qui peut le dire, lors mariage  n’est pas preuve,

Sentiment  que pour lui on nourrit est épreuve

Que chaque  jour,  une  impatience  sous-tend.

.

Compagnon  jour passé,  présent,  jour à venir

Ne seront pas  la  même  chose  il faut le dire

Si la belle  est seule  … trouvez  un moment,

Poser lui la question : pourquoi comment !

.

Ainsi vont les choses et ainsi vont les temps,

Les femmes  se libèrent du poids  d’un père 

Choisissent un amant, et avec lui, un temps,

Avant de s’engager lors contrats partenaires.

.

Partenaire est bien un terme qui rassemble,

Ceux qui font un bout de route … ensemble

À  plusieurs, ou qu’un seul, c’est leur choix,

Qui, parfois, surprend, vous laisse  pantois.

.

Pourquoi toujours un homme  à mon côté,

Un homme qui ne pense  qu’à me dominer

Je suis une femme, célibataire … et libérée

Assumant choix d’autonomie : non forcée !  

.

.

Extension

.

L’autonomie, l’indépendance ne seraient

Pas antinomiques de l’amour, attachement :

Chacun tient à garder intacte sa personnalité,

Chacun se lâche pour  partager des moments

De complicité et d’intimité.

L’égalité et respect mutuel

Entre un homme et une femme

Nécessite un équilibre à renouveler.

.

L’humain est avant tout un animal social, et autonome,

 Mais ne peut se reproduire seul comme tous les animaux.

Il a eu besoin des deux parents pour grandir, être éduqué.

Il a  besoin de compagnon, compagne de vie pour sexualité,

Affectivité, solidarité, sécurité, complémentarité, pour exister

Pleinement : fonder une famille, l’ancre dans la société et la vie.

.

Les  épaules ont pour mission de soutenir,

La femme les veut larges chez son homme,

Pour n’avoir pas à se battre, à se défendre :

Larges épaules sonnent  comme protecteur,

Mais les agressions auront changé la donne :

Nombre de femmes s’assument sans homme,

 Pour ça comme pour le reste, égalité avant tout

Voilà qui oblige à tout revoir et mieux négocier !

.

.

452 – Calligramme 

.

Sans homme la femme est-elle encore une femme :

Si l’on  prétend cela, c’est qu’elle est  dépendante.

Elle ne l’est pas, en tous cas de moins en moins

Alors la question ne se pose plus à moins que

Elle ne puisse  s’en passer, comme mentor,

Ne supportant qu’il soit  toujours dehors

Lors il rentre … vouloir être considérée

Comme une fille … perdue… sans lui,

Son argent, ses caresses, prouesses

La maintenant en vraie détresse.

Et basta, pourquoi un homme

Serait  présent, à mes côtés,

S’il est  homme,  pensant

Rien qu’à me dominer,

Lors suis une femme

Célibataire libérée,

Homme est lors

Com-pa-gnon

Non patron

Pardon,

Non

V

.

*********************

*************************

.

« Comment faire sans un homme à tes côtés ! »

« Je t’ai zappé C   tu ne m’es plus S   indispensable »

« Comment,   O        c’est inouï et in    A  vraisemblable ! »

« Non, je suis  M         femme célibataire    N   femme libérée ».

Ce que l’on    M         est,  pour l’autre,  très      S    exactement,

Qui peut le    E          dire, lors mariage n’est        *     pas preuve

Sentiment    N           que pour lui on nourrit        H   est épreuve

Que chaque  T            jour,  une  impatience          O      sous-tend

Compagnon *            jours passés,  présent          M jours à venir

Ne seront     F           pas  la  même  chose          M il faut le dire

Si la belle    A           est seule  … trouvez          *  un moment

Poser lui      I        question pourquoi        C    comment !

Ainsi vont   R   les choses ainsi vont   O    les temps,

Les femmes  E  se libèrent poids  T     d’un père 

Choisissent un amant,        É  avec lui, temps,

Avant de s’engager lors contrats partenaires.

Partenaire est bien un terme qui rassemble,

Ceux qui font un bout de route … ensemble

À  plusieurs, ou qu’un seul, c’est leur choix,

Qui, parfois, surprend, vous laisse  pantois.

Pourquoi toujours un homme  à mon côté,

Un homme qui ne pense  qu’à me dominer

Je suis une femme, célibataire … et libérée

Assumant choix d’autonomie : non forcée !  

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

452 4

.

Évocation

 .

Un  entonnoir,  en haut,

Un vase  à l’envers, en bas,

Plutôt  un buste  d’homme

Et avec de larges épaules !

 .

Un homme, sans doute, pas n’importe lequel,

C’est celui qui me convient

Tant  sa forme, son apparence, constitution,

Larges épaules me va bien.

 .

Symbolique    

 .

Siège de force physique,

Symbole d’une puissance

Et de force de réalisation,

Les épaules sont pouvoir

De faire,  d’agir,   d’opérer,

Avec une capacité  de porter

Et  de supporter  des charges,

Qui doivent rester à sa mesure.

 .

On les relie au but  de l’individu,

Elles évoquent le degré de force

Pour porter  leurs   fardeaux,

Du sens des responsabilités,

De la volonté d’un support

Personnel, appui d’autres.

 .

Axes conceptuels profonds de sa

Capacité volonté d’action, maîtrise.

Capacité d’agir, préjugés, intentions,

Désir d’agir, degré de facilité à agir,

Degré de liberté dans l’action.

claudessentiel.com/symbolique-epaule

 

Descriptif

 .

452Comment faire sans homme à mes côtés

Alignement central / Titre en un cercle / Thème couple

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : épaules / Symbole de fond : homme

.

.

Fond

..

Évocation 

.

4526

.

Un homme, sans doute, pas n’importe lequel,

C’est celui qui me convient

Tant  sa forme, son apparence, constitution,

Larges épaules me va bien.

 .

Symbolique 

 .

Si l’homme se distingue des animaux,

Selon Cassirer, ce n’est pas en vertu

D’un atout substantiel que les bêtes

Ne  partageraient  pas, avec  lui,

Par exemple «âme immortelle»,

Mais par la fonction de son esprit

C’est qu’il vit dans une autre dimension

De la réalité : une dimension symbolique.

Source : fredericbaylot ernst_cassirer  

  .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un homme et une femme, couple dit «normal»,

Se fondant sur les lois de reproduction de la nature

Mais aussi sur des besoins sociaux, familiaux, sexuels.

.

Voilà que des femmes choisissent délibérément le célibat

S’assume toute seule et adopte un enfant ou font un PMA.

.

Ce constat de réalité ne change rien au niveau symbolique

De l’entente entre un homme et une femme et vie de couple

Il ne fait qu’établir un nouvel équilibre dans l’autonomie

Et la décision, la dépendance partagée et la sexualité !

.

Une forme d’homme, assurément

Mais avec une épée de Damoclès

En lieu et en place de sa … tête,

Pour rôle près d’une femme !

Si homme et femme riment

Parfois se tournent le dos

Si ce n’est pas la face,

Lors rien ne va plus

Lors tout ira bien.

 .

Visuel      

.

.

Coup de main, lien permanent

.

Visuels et textuels  >> 

451 – Bras et jambes de la femme

Visuels et textuels  >>

.

Bras et jambes, extrémités

Sont membres pour enserrer

Un corps  pour   le   frissonner !

Bras et  jambes  s’animent à danser

Donnant, au corps, posture à épouser,

Séductrice et  jusqu’à la pointe des pieds.

Il faut aussi des bras très forts pour porter

Un enfant, sinon  deux, contre sa poitrine,

S’ils sont fatigués  ou d’humeurs chagrines.

Jambes bien galbées, longues, longilignes,

Laisseront entrevoir des dessous dignes

De se pencher dessus, explorer

Promesses de s’y attacher

Et cela … jusqu’aux pieds.

.

Femme est, avoir, en l’air,

Des bras,  jambes,  de race,

Que, premiers,  embrassent,

Quand,  secondes,  enserrent.

.

Quand leurs bras se détachent

De si fines mains, s’y attachent,

Qu’elles attirent l’homme perdu,

Cachant enfant, quand dépourvu.

.

Dépourvu de finesse et sensibilité,

Que femme exprime bien à danser,

Quand ses bras s’envolent dans l’air,

Ou se concentrent,  tout au contraire.

.

Il faut aussi des bras forts  pour porter

Un enfant sinon deux contre sa poitrine

S’ils sont fatigués  ou d’humeur chagrine,

Deux ne sont pas de trop pour les entourer.

.

Jambes galbées cachent ses genoux et cuisses

Lors, il n’y a que mains du mari qui s’y glissent

Ou prend son petit pied pour faire mille baisers

Et ses jambes, écartelées le soir fatiguées parfois,

Lui font prendre, donner tout ce qu’elle aime entier

Penchées dans cette pose résumant d’être passionné.

.

Il faut que  le courage soit grand pour ses bras fragile

Et ses jambes  s’accrochent à  tous pics  de  montagnes,

Tant elle grimpe avec mains,  jambes au mât de cocagne.

.

Ses bras embrassent  toutes activités, musclées, graciles,

Et ses jambes la supportent sans arrêt, plantées,  galbées

Gestes attitudes par milliers autant de langages, poétisés,

Quand elle décide les utiliser  pour la peinture et musique,

Sans parler écriture de ballets de composition et magique.

.

.

Extensions

.

Les bras et les jambes sont membres

Soumis aussi  aux critères  de beauté,

En harmonie avec ensemble du corps.

Les nains les ont  comme raccourcis,

Et les géants, comme …  démesurés,

Les grosses, comme   plantureuses,

Les anorexiques comme osseuses :

Est-ce bien même plaisir d’aimer.

.

Qu’en dire de plus, vite en vitesse, à s’enfuir et à toutes jambes,

Sinon, rester sur place, croiser les bras, attendre que ça passe.

Bras et jambes en danse forment comme une langue corporelle

Que les cultures, inventent, diffusent, et renouvellent, à l’infini !

Viens dans mes bras entre mes jambes est étreinte de tendresse.

.

Nos bras et jambes constituent nos membres,

Nos bras pour travailler, embrasser, étreindre,

Nos jambes pour nous déplacer, courir, danser.

.

Sans bras, jambes nous serions quadriplégiques,

En fauteuil roulant lors entièrement dépendants,

Se mouvoir devient un corolaire  de s’émouvoir !

.

Jambes de femmes  sont un atout de séduction,

Lors elles sont loin de nous laisser indifférents,

Tant elles sont les seules à les montrer… nues.

.

Parfois, elles les habillent de bas ou collants,

Ou de manchons, longs gants, pour les bras,

Entre leurs jambes on se sent bien souvent.

.

.

.

.

451 – Calligramme

.

Bras et jambes, extrémités

Sont membres     *       pour enserrer

Un corps pour     **********       le   frissonner !

Bras et          *      jambes     s’animent      *    à   danser

Donnant          B         au corps         posture           J     à épouser,

Séductrice      R            jusqu’à          la pointe            A      des pieds.

Il faut aussi      A             des bras        très forts              M     pour porter

Un enfant,         S              sinon  deux,        contre               B       sa poitrine,

S’ils sont            *                fatigués   ou  d’humeurs               E         chagrines.

Jambes          E                bien galbées, longues, lon               S        gilignes,

Laisse           T                ront entrevoir des dessous               *          dignes

De            *                se pencher dessus, explo                   *           rer

Promesses de s’y attacher

Et cela … jusqu’aux pieds.

Femme est, avoir, en l’air,

Des bras,  jambes,  de race,

Que, premiers,  embrassent,

Quand,  secondes,  enserrent.

Quand leurs bras se détachent

De si fines mains, s’y attachent,

Qu’elles attirent l’homme perdu,

Cachant enfant, quand dépourvu.

Dépourvu de finesse et sensibilité,

Que femme exprime bien à danser,

Quand ses bras s’envolent dans l’air,

Ou se concentrent,  tout au contraire.

Il faut aussi des bras forts  pour porter

Un enfant sinon deux contre sa poitrine

S’ils sont fatigués,  d’humeurs chagrines,

Deux ne sont pas trop  *   pour les entourer.

Jambes galbées cachent  *   ses genoux et cuisses

Lors, il n’y a que mains    *  du mari qui s’y glissent

Ou prend son petit pied    D    pour faire mille baisers

Et ses jambes, écartelées    E      le soir fatiguées parfois,

Lui font prendre, donner     *      tout ce qu’elle aime entier

  Penchées dans cette pose      L      résumant un être passionné

  Il faut que  le courage soit      A         grand pour ses bras fragile

 Et ses jambes s’accrochent      *         à  tous pics  de  montagnes,

     Tant elle grimpe avec mains     F        jambes aux mats de cocagne…

 Ses bras embrassent toutes       E        activités, musclées, graciles,

 Et ses jambes la supportent       M       sans arrêt, plantées,  galbées

  Gestes attitudes par milliers       M       autant  de langages, poétisés,

Quand elle décide les utiliser       E      pour la peinture et musique,

 Sans parler écriture de ballets     *      de composition, et  magique.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

451 4

.

Évocation

 .

Un géant ayant perdu la tête,

Les deux bras en croix, en haut,

 Les deux jambes de femme, en bas

 .

Etre, dans ses bras, enlacé ou être

Entre ses jambes, encastré,

Suscite un doux désir de tendresse,

Fort plaisir de pénétration.

.

Symbolique 

 .

Le bras est associé

À action,  communication

Et à l’amour : nous enlaçons,

Nous serrons    dans  nos bras

Les personnes   que  l’on  aime.

.

Un geste de marque d’affection.

C’est pourquoi les bras  évoquent

L’amour tendre, et la consolation.

.

Par ailleurs, cette notion d’amour

S’exprime de façon plus abstraite

Dans de belles expressions telles

Qu’embrasser la vie

Ou  embrasser  une carrière,

Qui évoquent le  fait  de  faire

Ce que l’on aime, s’engager

Avec plaisir.

.

Descriptif

 .

451 Les bras et les  jambes de la femme  

Alignement central / Titre analogue / Thème corps

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : bras / Symbole de fond : jambes

.

.

Fond

.

Évocation 

.

451 6

.

Les jambes sont aussi des membres essentiels

Non seulement pour se déplacer

Mais aussi servir de séduction dans l’amour

Qui ne manque pas d’entrejambe.

 .

Symbolique

 .

La jambe représente la capacité

D’avancer  tout au long de sa vie

Ainsi  que  celle  d’aller  de l’avant.

.

Les problèmes de membres inférieurs

Renvoient, d’une manière plus concrète,

À la problématique liée aux mouvements

Toutefois, de manière plus symbolique,

Aux directions à prendre dans sa vie.

.

Quant aux bras, ils sont associés

Directement à l’action

A la communication

Et à l’amour

Ils évoquent

L’amour tendre

Et la consolation,

Celle d’embrasser !

Les jambes sont aussi des membres essentiels

Non seulement pour se déplacer

Mais aussi servir de séduction dans l’amour

Qui ne manque pas d’entrejambe.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il y a bras, il y a jambes, de force ou adresse

Il y a ceux qu’on dresse, celles qu’on caresse.

Jeter beauté de femme par-dessus la jambe

Ne sera pas lui faire honneur, il me semble.

Si les bras entourent, les jambes enserrent

Trop fins, trop fines, et c’est…  l’anorexie,

Trop gros, trop gras et c’est la boulimie.

.

Deux bras, deux jambes, rime avec membres

Et s’ils ne se confondent pas avec tout le corps

Ils l’évoquent et bien mieux : ils s’y rattachent,

N’ont pas que fonction préhension, locomotion

Ils provoqueront, aussi, beaucoup d’émotions

Par la grâce  de leurs mouvements  dansants

Galbe et finesse de leurs formes  longilignes,

Qu’on a plaisir à voir en leur déhanchement

Quand leurs bras seront un refuge aimant !

.

Visuel

.

.

Bras sur la jambe

.

Visuels et textuels  >>

450 – Dos d’une femme, en violon

Visuels et textuels  >>

.

Nuque saillante

Et épaules tombantes

Dos femme peu de rond

Sauf courbe en encolure

Qui allonge cou gracile,

Sauf sa chute de reins,

Qui creuse sa colonne

Pour  faire  rebondir

Sa croupe   en désir.

De coccyx  à occiput.

Il suffirait de remonter,

Long doigt le long du dos

Jusque  caresser  sa   nuque.

Impression de monter escalier

Qui vous mènera de cave au grenier

Où des trésors sont enfouis bien gardés,

Seuls ceux qui ont la clé pourront profiter,

Clé de sol ou clé de fa  point, c’est clé du dos.

.

Cou gracile

Et nuque nubile !

Dos femme est bien au fond

Instrument de musique violoncelle

Aux formes galbées, longiligne, rond,

Aux creux s’épousant, en formes belles,

Des épaules aux fesses colonne vertébrale

Se torsade et se plie comme serpent de mer,

De mère quand elle soutient son petit animal,

Qui vit  en elle, qu’elle aura sur dos vie entière,

Creux des reins, marquant sa courbe, gracieux

Descend et monte en deux monts postérieurs,

S’écarte en antre vers les fuseaux inférieurs

Cache son marais aux yeux d’amoureux

Sur deux côtés, ses flancs amincies,

Laissent paraître  ses côtes, jolies,

.

Que d’archets savent faire vibrer

De leurs doigts mis en appétits,

Cette courbure, cette cambrure

Plient  et ploient … en tous sens

En des mouvements de balances

.

Et qui laissent entrevoir ses figures

Qu’elle exécute,  en roulant  sur le dos,

Lors ce n’est pas  sur le ventre, pour dorer

Au soleil où, cette après-midi, il se sera remis,

De ses danses en cadences et ronds, sur les sols,

De se pencher pour balayer, laver, cirer, ranger, là

Et entretenir intérieur auquel son dos s’emploie bas

Pour  qu’à la fin, il brille  plus  qu’elle, utilisant  la clé

De  sa  mélodie  dorsale : domicile à sol, facile à cirer,

Mais, son travail ne s’arrête pas là …  bien plus haut,

Elle assure bon dos pour tout ce qu’on lui demande

Jusqu’à ce que courbatures, en elle, elle ressente,

Qui la feront souffrir faisant la bête à deux dos

Dos d’une femme, champ de bataille fourbe

Où elle s’efforce de tenir bien debout

Jusque fatigue et dans la courbe.

.

.

Extension

.

Mais, avant tout, le dos est

Comme une page …..  blanche

Où l’on peut dessiner un tableau

Où l’on pourrait écrire un poème,

Où l’on peut  se faire  un massage,

Où l’on peut compter ses disques,

Où on les fait se tordre à volonté

Comme un serpent qui se love.

.

Douleurs dans le dos constituent  une maladie du monde moderne

Le dos de la femme est en courbe, avec une  belle taille au milieu,

Celui de l’homme est beaucoup plus droit et parfois même en V.

Le dos est avec les épaules, la chute de reins : parties invisibles

À part avec miroir à trois faces comme dans un reflet d’identité

En avoir plein le dos est une expression d’un  trop plein de stress,

Mais en cas de douleur, colonne, nerfs et muscles sont à distinguer.

.

L’homme est droit, carré, voire rectangle,

La femme conserve une ligne sinueuse

Qui la ferait la comparer à un violon,

Dont l’amant serait son parfait archet.

.

La courbe des hanches et le creux  du dos,

Sans parler de la chute des reins aux fesses,

Donnent à la femme, partie de sa silhouette

Quant à son charme  en son maintien beau.

.

On dit parfois de femme, qu’elle a bon dos,

Au sens figuré peut-être, pas sens propre

Tant elle ne se ménage en sa contrainte

De tenir son foyer, servir les enfants.

.

.

Épilogue

.

Le dos inclut les épaules, les côtes, en haut,

 Les hanches,  la croupe, les fesses, en bas,

Colonne vertébrale : centre qui les relie

On y inclura la taille, pour les femmes.

.

En deca, et  au-delà, de leur anatomie,

Le dos d’une femme évoquera un violon

Non pas pour la musique, pour sa forme

Surtout si elle s’assoit en posture tailleur.

.

Le dos d’une femme est soumis lors enfants

Pour  leur portage  et, s’ils ne s’en plaignent,

Cela peut avoir  des répercussions, plus tard,

Dans leur occupation de ménage domestique.

.

Le dos aura parfois des connotations sexuelles

Notamment au niveau du cou et des épaules,

Non seulement pour le maintien, la posture

Mais pour son mouvement et ses courbes

.

Les courbes de la croupe et des fesses

Attireront encore plus les hommes

Des femmes en ont conscience,

En jouent pour la séduction.

.

.

450 – Calligramme

.

D

Nuque     O  saillante

Et épaules    S    tombantes

Dos femme    *    peu de rond

Sauf courbe    D     en encolure

Qui allonge    E     cou gracile,

Sauf sa chu    *    te de reins,

Qui creuse    F    sa colonne

Pour faire    E    re-bondir

Sa croupe     M      en désir.

De coccyx       M        à occiput

Il suffirait de     E       re-mon-ter,

Un long doigt      *      le long du dos

Jusque  cares        V      ser  sa   nuque.

Impression  de         I        monter escalier

Qui vous mènera       O      de cave au grenier

Où des trésors sont     L    enfouis bien gardés,

Seuls ceux qui ont la   O   clé pourront profiter,

Clé de sol ou clé de fa  N  point, c’est clé du dos.

Cou gracile

Et nuque nubile !

Dos femme est bien au fond

Instrument de musique violoncelle

Aux formes galbées, longiligne, rond,

Aux creux s’épousant, en formes belles,

Des épaules aux fesses colonne vertébrale

Se torsade et se plie comme serpent de mer,

De mère quand elle soutient son petit animal,

Qui vit  en elle, qu’elle aura sur dos vie entière,

Creux des reins, marquant sa courbe, gracieux

Descend et monte en deux monts postérieurs,

S‘écarte en antre vers les fuseaux inférieurs

Cache son marais aux yeux d’amoureux

Sur deux côtés, ses flancs amincies,

Laissent paraître  ses côtes, jolies,

Que d’archets savent faire vibrer

De leurs doigts mis en appétits,

Cette courbure, cette cambrure

Plient  et ploient … en tous sens

En des mouvements de balances

Et qui laissent entrevoir ses figures

Qu’elle exécute,  en roulant  sur le dos,

Lors ce n’est pas  sur le ventre, pour dorer

Au soleil où, cette après-midi, il se sera remis,

De ses danses en cadences et ronds, sur les sols,

De se pencher pour balayer, laver, cirer, ranger, là

Et entretenir intérieur auquel son dos s’emploie bas

Pour  qu’à la fin, il brille  plus  qu’elle, utilisant  la clé

De  sa  mélodie  dorsale : domicile à sol, facile à cirer,

Mais, son travail ne s’arrête pas là …  bien plus haut,

Elle assure bon dos pour tout ce qu’on lui demande

Jusqu’à ce que courbatures, en elle, elle ressente,

Qui la feront souffrir faisant la bête à deux dos

Dos d’une femme, champ de bataille fourbe

Où elle s’efforce de tenir bien debout

Jusque fatigue et dans la courbe.

.

.

Symboliques

.

Réduction

.

.

450 4

.

Évocation

 .

Un grand violon, pour sûr, en bas,

Et un plus petit, pour sûr, en haut 

Enfin c’est un violon vu de dos

Comme celui d’une femme ?

.

Aucun doute, en comparant le dos ‘une femme

À celui d’un violon, il y a beau rapprochement,

Cela ne vaut pas dire utiliser un même archet.

.

L’image du violon, métaphore du dos :

En  épaules, tailles, et hanches,

Mais dont les sons sont bien différents, 

Quoique les mêmes résonances.

 .

 Symbolique 

 .

 Le violon

Est le roi des

Instruments,

Celui dont la

Forme est issue

D’une longue élaboration,

La science de générations de luthier.

.

Aussi délicat d’en jouer que de le fabriquer,

Le caractère humain du violon est manifeste,

Comme sa pratique est réellement ardue, il est

Aussi  difficile que de devenir un être humain.

Il symbolisera donc un état de perfection

Et la difficulté, le long chemin qui

Mène à cette perfection.

tristan-moir.fr/violon

.

Descriptif

.

450Dos de femme comme dos violon 

Alignement central / Titre droit / Thème corps

Forme anthropo / Rimes variées / Fond accordé à forme

Symbole de forme : violon / Symbole de fond : dos

.

.

Fond

.

Évocation 

.

450 6

.

Bien des femmes se plaindront d’avoir mal au dos

Sans de vraies causes physiologiques

Et pourtant le mal, ou  la douleur, ou la pénibilité

Sont bien présents et sont lancinants.

 .

Symbolique 

Ce qui se passe dans notre dos

Ne nous est pas visible, côté du corps

Tourné vers le non-visible, l’inconscient,

Ce qui échappe à la conscience habituelle,

Qui se passe derrière notre dos représente

Ce que nous ignorons de… nous-mêmes!

.

Ombre : tourner le dos à un problème,

C’est de dos refuser de le voir en face.

Un aspect du symbolisme du dos est

Celui qui associe l’arrière au passé

L’avant, à l’avenir qui progresse.

Source : lemondeduyoga.org

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le dos par définition est ce qu’il y a derrière

Mais le dos au mur n’est pas… le dos du mur.

On pourra coller : dessin, affiche, dans le dos,

Sans qu’on le sache comme un poisson d’avril.

.

Se tordre la colonne à tenter de voir le tableau

N’est pas recommandé, sauf à disposer miroir,

Je préfèrerais pour ma part y écrire ce poème

Me disant que ce serait un cadeau suprême

J’ai peur qu’elle dise «j’en ai plein le dos».

.

On dit parfois qu’une femme a bon dos

Pour dire qu’elle endure, sans rechigner,

Toutes corvées qu’on lui aura programmées

Vrai par certaines et pour autres c’est faux :

Dos rime avec  propos, allongé pour repos,

La forme du dos est plate comme un fond

De canapé, à s’y confondre en entier !

 .

Visuel

.

.

Dos nu de femme

.

Visuels et textuels >>

449 – Ventre de femme et nombril

Visuels et textuels  >> 

.

Un ventre qui grossit

Double ou triple en taille

En  l’espace   des neuf mois,

Pour abriter sorte de polichinelle

Nourrit par une bonne matrice d’elle.

Tête d’enfant ou de père se pose sur lui

En vue d’entendre de doux gargouillis

Père y entre, arrive enfant en sorte,

Élargissant passage bassin parfois.

.

Et si la mère retrouve ou non sa fine taille d’avant,

C’est sous rapport conformité, autant que de régime.

Ventre de femme devient pour et par nature légitime

Tandis que paternité peut être sujet à interrogation.

Caresser ventre femme peut déclencher spasme

Tant il se creuse, tord sans le moindre effort.

De quoi lui faire perdre le sud et le nord,

En suscitant un fort sensuel fantasme.

.

Ventre de femme est tout comme

Labyrinthe et matrice d’hormones,

Faisant, de nous, femmes, hommes,

Programmant  nos vies, en somme !

L’embrasser pour qu’elle nous cajole

En glissant jusqu’à son premier…  col

Marquet séparation ses deux versants.

En bas, son sexe, et en haut,  son rang.

.

Tout    homme   sera  né   d’une   femme,

En elles,  tentent de  retrouver une âme

Changent leur point de vue en flamme,

Et s’acharnent à consommer, en dame.

Un excellent oreiller à  rêver et dormir,

À poings fermés comme l’enfant, bébé,

Que l’on ait, sera, a précédemment été

Tandis que  caresse tresse un  sourire.

.

Il est petit et rond, sous son nombril,

Nous cache  une  forêt  de  symboles

Qui nous mènent grande farandole

À aimer  plus que soi, sein  fébrile,

Avoir vécu neuf         mois  …  en lui

On en garde des       souvenirs,  ravis

De bonheur, en       rien, comparable

À d’autre plaisir       rendu… coupable.

.

Caresser un ventre de femme, supplice

Lors, pénétrer ventre de femme : délice,

Pour peu qu’enserré fort  entre ses cuisses

Elle ne vous tienne,    tant qu’elle ne puisse.

Tant, en ventre de  femme  c’est tout à la fois,

Mont de Vénus      creux         au fond du bois :

Mont de Vénus      ruban       torse de Moebius

Et anneau qui se     fend          en un seul opus.

Bien que  nous  en soyons  ou sœur  ou frère,

Certains le tuent  lors d’autres, le vénèrent.

Ventre mou, ferme, plat, rond, débordant

L’enfant lui-même garde trace, nombril,

Qui formera un creux, en plein milieu,

Pour mieux nous rappeler nos aïeux.

.

.

Extensions

.

Ventre aussi pour se nourrir

Ou ventre   autant pour grossir

Sinon, un ventre      pour maigrir,

Ou ventre encore       pour   danser,

Ventre pour bron    zer bon soleil :

Lors tout serait permis avec lui,

Même en certaines   cultures

Danse du ventre séduction.

.

Un ventre de femme est moins gros, moins grand qu’homme

Et pourtant elle pourra y loger, un, deux et jusqu’à trois  bébés,

Et il suffira que son bassin soit assez large pour que le bébé passe

Un ventre n’est pas qu’un creux, c’est  aussi un vase  qui accueille,

Qui se remplit d’aliment, d’eau, de chair, de sang, voire d’enfant.

Et l’expression «y aller avec ses tripes» résumerait à elle seule

Un engagement total et sans retour de la personne motivée.

.

Comment passer d’un ventre plat ou grossesse

Et réciproquement ! La chair est très élastique

On le comprend mieux dans le sens de 9 mois,

Que en sens inverse, entre deux et trois mois,

Sauf pour celles qui pratiquent musculation.

.

Nous sommes sortis d’un ventre de femme,

On parle lors de reconnaissance du ventre,

Comme un retour à la source, à naissance,

Le point départe de toute notre existence,

Il y a différence lors on en sort  et y entre.

.

Entre  nous  soit dit, le ventre de la femme

Reste un coussin confortable  pour la tête :

Légèrement rond,  attrait supplémentaire ;

Bombé, reproduisant  des métamorphoses !

.

.

Épilogue

.

Le ventre de femme développe trois états :

Mince et musclé, gros et flasque, enceinte,

Mais ici on ne retiendra que la quatrième,

Objet, sujet d’attirance, séduction sexuelle.

.

On sait qu’aliment gras tombe sur hanches,

Plus que ventre de femme, d’où son régime,

Et que c’est l’inverse pour homme, non gêné,

Comme quoi, en cette matière …. Inégalités !

.

Ventre de femme serait un lieu de possessions

Dans de nombreux pays tout comme leur sexe,

Mais, Dieu merci, depuis la libération sexuelle,

Les femmes ont repris le pouvoir sur leur corps

.

Des frissons dans le ventre comme des papillons,

Nombre de femmes en font état lors de rencontre

Avec un homme qui les mettra en tous leurs états,

Le ventre serait un siège d’ émotions amoureuses !

.

Un point commun entre ventres femmes et hommes

Reste leur nombril, héritage de leurs accouchements

Et en même temps, le point qui les distingue le plus,

Le fait d’être enceinte, jalousé parfois par hommes.

.

Un ventre pourra être à vendre,  pour procréation

Non pas assistée mais pour contrat de grossesse,

L’on passerait là dans un domaine de l’éthique :

Est-ce à société commerce, justice, de statuer.

.

.

449 – Calligramme

.

Un ventre qui grossit

Double ou triple en taille,

En l’es  ô pace, neuf ô mois,

Pour abriter //sorte de polichinelle

Nourrit par    //    bonne matrice d’elle.

Tête d’enfant  // ou de père se pose sur lui

En vue d’entendre de biens doux gargouillis

Si père y entre ====  arrive enfant sorte

Élargissant bassin au passage parfois.

Et si la mère retrouve ou non sa fine taille d’avant,

C’est sous rapport conformité, autant que de régime.

Ventre de femme devient pour et par nature légitime

Tandis que paternité peut être sujet à interrogation.

Caresser ventre femme peut déclencher spasme

Tant il se creuse, tord sans le moindre effort.

De quoi lui faire perdre le sud et le nord,

En suscitant un fort sensuel fantasme.

Ventre de femme    V   est  tout comme

Labyrinthe, mat      E   rice   hormones,

Font de nous des     N  filles et hommes,

Programment nos    T   vies, en somme !

L’embrasser pour     R qu’elle nous cajole

En glissant jusqu’à    E   son premier…  col

Marquet séparation   *    ses  deux versants.

En bas, son sexe, et     F    en haut, son rang.

  Tout    homme   sera    E      né   d’une   femme,

En elles,  tentent de    M    retrouver une âme

Changent leur point   M    de vue en flamme,

Et s’acharnent à con   E    sommer, en dame.

Un excellent oreiller   *      à  rêver et dormir

À poing fermé  com    N    me l’enfant, bébé,

Que l’on ait, sera, a    O   précédemment été

Tandis que caresse    M   tresse un  sourire.

Il est petit et rond    B   sous son nombril,

Nous cache  une      R   forêt de symboles

Qui nous mènent   I   grande farandole

À aimer plus que  L   soi, sein  fébrile

Avoir vécu neuf         mois  …  en lui ……………..

On en garde des       souvenirs,  ravis ………………………………

De bonheur, en       rien, comparable  ………………………………………..

À d’autre plaisir       rendu… coupable.   ……………………………………………………

.

Caresser un ventre de femme, supplice

Lors, pénétrer ventre de femme : délice,

Pour peu qu’enserré fort  entre ses cuisses

Elle ne vous tienne,    tant qu’elle ne puisse.

Tant, en ventre de  femme  c’est tout à la fois,

Mont de Vénus      creux        au fond du bois :

Mont de Vénus      ruban       torse de Moebius

Et anneau qui se     fend          en un seul opus.

Bien que  nous  en soyons  ou sœur  ou frère,

Certains le tuent  lors d’autres, le vénèrent.

Ventre mou, ferme, plat, rond, débordant

L’enfant lui-même garde trace, nombril,

Qui formera un creux, en plein milieu,

Pour mieux nous rappeler nos aïeux.  

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

449 4

.

Évocation

 .

Une tête, en haut, un torse, milieu

Mais un ventre de femme, en bas,

On peut voir un nombril : à chacun

De fantasmer pour lui ce qu’il voudra.

 .

C’est un nombril qui indique un ventre

Plus que tout le reste … s’il est bien plat,

Lors le bas de la forme approche le fond.

 .

Ventre de femme autour du nombril,

Entre bassin et poitrine :

Un ventre à la fois paradis et enfer

Et selon sa propre estime.

  .

 Symbolique

 .

Le ventre est notre cerveau émotionnel

Et nos intestins, lieu des émotions viscérales.

La taille représente  la capacité  d’engagement,

Et de décision face au monde en accord avec soi ;

Les hanches, mariage             famille et maternité ;

Les cuisses, la sécurité       o        plus bas la sexualité.

Quant au nombril, il est            singularité  du corps,

Qui inscrit en son centre la trace de sa naissance,

Coupure avec qui le précède : marque fabrique.

Modifié, source : chemindevie.net

.

Descriptif

 .

449Ventre de femme avec son nombril

Alignement central / Titre droit / Thème corps

Forme anthropo / Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : ventre / Symbole de fond : nombril

.

.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

449 6

.

Au milieu du ventre, d’homme, femme, enfant

Une cicatrice du cordon ombilical

Qu’on a coutume de dénommé : le «nombril»

Faisant, parfois, référence à l’Ego.

 .

Symbolique 

 .

Concentré sur mon

Nombril : moi  jamais ?

Après tout, il est là,  existe bien

Bien qu’on l’ignore  le plus  souvent.

Et quand on le redécouvre, on peut être

Gêné de voir ce petit bout de chair qui

N’est ni vraiment trou, ni vraiment

Cicatrice, est-ce       mal   alors   de

Se regarder          o     le   nombril ?

Il est considéré          centre du corps.

Y faire attention, ce serait se concentrer

Sur soi au point d’en oublier les autres.

Alors on oublie le nombril, dénigré et rejeté.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La peur au  ventre, ou  l’estomac noué,

Intestins qui se sont bouchés, liquéfiés

Sert autre chose qu’à digérer aliment,

Émotions autant et régimes en yo-yo

L’on danserait aussi avec son ventre

Pour accentuer courbe des hanches,

Pour séduire au bal du … dimanche,

En montrant nombril, en tous lieux,

Prometteur de vous mener aux cieux !

.

Ventre-dieu voilà bien un coussin agréable

Pour y reposer sa tête sur son nombril !

Le ventre de femme est dit plat, en creux

Et lors attendant un bébé, il est bombé

Et il rime avec union et reproduction

En gonflant le fond, emplit la forme

Puis,  petit à petit elle se transforme

En autre chose, puis en autre forme,

Qui, a un destin de vie, mort, répond !

 .

Visuel

.

.

Un diamant pour nombril

.

Visuels et textuels  >> 

448 – Les seins de femme et téton

Visuels et textuels >>

 .

Ce

Sein,

Parmi les seins,

Ceux bien vénérés,

Ont la forme des fruits,

Pomme, poire, pèche, abricot

De toutes grosseurs : y en a lots ;

Allant du plus laid jusque plus beau !

Bon nombre s’en plaignent de le trouver

Trop gros trop  long, trop pointu, trop petit

Changent pour  des  faux : en silicone, garanti

En espérant que leur amant  n’y voit que du feu !

 Quand leurs tétons se dressent  sous leurs caresses,

 Vous n’êtes  plus très loin d’allumer le feu  aux fesses

Et lors vous  vous enfoncez  le nez, profond entre eux,

Méfiez-vous  qu’ils vous étouffent entre plein  et creux.

.

Souffle coupé, vous prévient

 Qu’en dévoilant leur douceur,

 En vos mains en soutiendrez.

Lors, ils se mettront   à deux,

 Pour  vous gonfler  leurs  yeux

   Pour assurer leur conversation.

    Petits ou gros, leurs dimensions

       Surprenantes pour l’appréhension

          De les tenir demain, dans vos mains,

               Se détachent d’une bien frêle silhouette,

                  La dessinant, la soutenant : très chouette !

                     Si, d’allure, ils vous pointent  leur maintien !

                        Tout près de vous, contre vous …  contre danse,

                            N’abusez pas d’attouchements, leurs tétons, anses,

                                Supporteraient mal les pressions qui les compriment.

                                    Pas question, pour une femme, qu’on les leur  supprime,

                                         De les voiler, les cacher, serait  volonté  qu’on   les  réprime.

                                     Laissez-les exprimer à leur guise, appétit qu’ils aiguisent,

                                Aiguisent à rendre fous les hommes d’humeur exquise

                           Par rondeurs qui se touchent, leur servent d’appât,

                      Y a rien pour eux de plus rond meilleur ici-bas.

                  Apprenez à bien les caressez… les englobant,

              En bouches que veux-tu, prenez le temps,

           Ces fruits d’amour d’enfant sont divins.

      Même s’il y en a et de toutes formes

  Vous ne trouverez aucun informe

 Car ces symboles sont humains.

Mais si cent mots les désignent

 Si cent soutiens les   soulignent

 C’est pour nous plaire, et bien !

.

.

Extensions

.

Chacun sait que les seins soutiennent

Ce qu’ils avancent avec une provocation

À leur simple vue ou leur simple évocation.

En tous cas il est sûr qu’en face de ce balcon,

On apprécierait souvent, en tant qu’homme,

Un plaisir de converser sans faux fuyant,

Pour peu qu’ils se penchent sur vous

Et bien plus encore s’ils expriment

Avoir un penchant pour vous.

.

 «Couvrez ce sein que je ne saurais voir» de Tartuffe, de Molière !

Pourquoi faire si c’est la nature qui l’a fait beau et pour allaiter.

Il y en a désormais des faux en silicone, opérations esthétiques

Et tant mieux si le mari, ou l’amant, les trouve sympathiques.

Les hommes en ont, en embryons et les gros avec hormones

Après, la manière de les soutenir, de les mettre en valeur

Dépend d’un tas de facteurs et de la vision qu’on en a.

Bonnets taille A, B, C, D, E,  F, coussinets, baleines

Il y en aura pour toutes et de toutes les formes.

.

Ne confondez pas le saint du matin

Porteur de prénom et le sein du soir,

Qui est porteur d’un tout autre espoir,

Pas seulement pour le bébé, qui a faim :

Un amant, bien qu’il en ait moins besoin.

.

On réalise aujourd’hui des opérations dites

Réparatrices,  substitutives, ou  esthétiques.

Comme pour  la chevelure, femme sans seins,

Se sent-elle complètement femme, elle-même :

Faut-il en passer en chirurgie pour être normale.

.

.

448 – Calligramme

.

.

Ce

Sein,

Parmi  les  seins,

Ceux  *  bien vé  *  nérés,

Ont la  S   forme des  F  fruits,

Pomme  E  poire, pèche, a  E   bricot

Toutes    I   grosseurs : y en a   M    lots ;

Allant       N  du plus laid au plus  M   beau !

Et celles    S     s’en  plaignant  de  le   E  trouver

Trop gros   *     trop  long, trop  pointu  :   ou petit

Changent    D     pour  des  faux : silicone   *   garanti

En espérant  ‘    que leur amant n’y voit que   F  du feu !

 Quand leurs U    tétons se dressent sous leurs   A  caresses,

 Vous n’êtes   N     plus très loin d’allumer le feu   C  aux fesses

Et lors vous   E      vous enfoncez  le nez, profond   E  entre eux,

Méfiez-vous   *     qu’ils vous étouffent entre plein   *     et creux.

.

P R O F I L

Souffle coupé, vous prévient

 Qu’en dévoilant leur douceur,

 En vos mains en soutiendrez.

Lors, ils se mettront   à deux,

 Pour  vous gonfler  leurs  yeux

   Pour assurer leur conversation.

    Petits ou gros, leurs dimensions

       Surprenantes pour l’appréhension

          De les tenir demain, dans vos mains,

               Se détachent d’une bien frêle silhouette,

                  La dessinant, la soutenant : très chouette !

                     Si, d’allure, ils vous pointent  leur maintien !

                        Tout près de vous, contre vous …  contre danse,

                            N‘abusez pas d’attouchements, leurs tétons, anses,

                                Supporteraient mal les pressions qui les compriment.

                                    Pas question, pour une femme, qu’on les leur  supprime,

                                         De les voiler, les cacher, serait  volonté  qu’on   les  réprime.

                                     Laissez-les exprimer à leur guise, appétit qu’ils aiguisent,

                                Aiguisent à rendre fous les hommes d’humeur exquise

                           Par rondeurs qui se touchent, leur servent d’appât,

                      Y a rien pour eux de plus rond meilleur ici-bas.

                  Apprenez à bien les caressez… les englobant,

              En bouches que veux-tu, prenez le temps,

           Ces fruits d’amour d’enfant sont divins.

      Même s’il y en a et de toutes formes

  Vous ne trouverez aucun informe

 Car ces symboles sont humains.

Mais si cent mots les désignent

 Si cent soutiens les   soulignent

 C‘est pour nous plaire, et bien !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

448 4

.

Évocation

 .

Un sein, à l’horizontal en haut ;

 La verticale, avec torse, en bas :

De quoi satisfaire tous regards,

Sans compter tous les appétits !

 .

Un sein vu de face, en haut et un autre

Vue de côté en bas, pour une plastique

Sans défaut d’un sein normal féminin.

 .

Des seins qui excitent tous les appétits

Pour vous mener vers d’autres paradis,

Affichant sa liberté sur avancée en pointe

Pour je ne sais de quel amant imaginaire !

 Symbolique 

 . 

Sein est l’organe contenant les glandes

        Mammaires de  femme, permet allaitement.

               Il est le symbole de la fécondité et de la féminité.

                    La mise en valeur des seins aurait, toujours, existé.

             Ainsi, les décolletés, les corsets, soutien-gorge,

Sont toujours un des moyens de mettre.

 La poitrine en valeur, plus attirante…….

Modifié,  source : 1001 symboles

 .

Descriptif

 .

448 – Sein d’une femme, face et profil 

Alignement central / Titre analogue / Thème sexualité

Forme en courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : seins / Symbole de fond : symbolique

.

.

Fond

..

Évocation

.

448 6

.

Des seins qui excitent tous les appétits

Pour vous mener vers d’autres paradis

Affichant sa liberté sur sa pièce monnaie

Dont je ne sais de quel pays imaginaire.

 .

Symbolique 

 .

Symbolique  de fond

.

Pièce symbolique

Un euro, un dollar, un franc

Est une petite valeur symbolique.

Donnée comme geste ou symbole, et non

Pour l’argent qu’il représente : ça permet que

La transaction  soit   véritablement  considérée

Comme un paiement, sans qu’il y ait, pourtant,

Véritable valeur associée tant la monnaie est

Le symbole de la richesse et de l’avarice,

De la communication et identité,.

Elle donnera du pouvoir à

Ceux qui la contrôle.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

« Couvrez-moi ce sein que je ne saurais voir !»

Cité dans Molière Le Tartuffe, III, 2 (v. 860-862)

Tel comportement attribué au dévot hypocrite

Résonne, encore, parfois, à nos oreilles, pour

Accabler la femme qui le montre en public

Lors il fait partie de la nature humaine

Et le voir ne nous met pas en peine !

Quant à les toucher, autre affaire :

Demandez d’abord propriétaire.

.

Un sein, deux seins, quoi de plus féminin

Quelque soient leur formes,  ils seront bien

Destinés à l’alimentation des bébés en tétées,

Qui riment l’un avec l’autre comme les mains,

Qui les caressent comme marque de tendresse

Lors les femmes les exhaussent en balconnet

Les hommes parlent de leur conversation

En les  reluquant  de toutes  les façons,

Ou les traitant comme gourmandise.

 .

Visuel

.

.

Corset pour cacher/remonter les seins

.

Visuels et textuels >> 

447 – Bouche de femme et sourire

Visuels et textuels   >>

.

La bouche, on y entre,

Comme en un antre,

En diable, diantre.

Et  l’on  y explore,

Sa cavité, tout or,

Et l’on en ressort

Riche d’humeurs

Coulant en saveurs,

D’amours … meilleurs.

Dents de blancheur nacrée

N’ont plus cette férocité,

Vous manger tout cru !

.

Elles croquent la vie

Comme  leurs envies

D’avaler  votre  émoi,

D’un sourire complice

Ou vous cracher dessus

Par un sourire narquois

Lors elle se colle à la vôtre,

Elle se fait langue… sangsue.

.

Lutines ou voire bien fines

Sinon  charnues,   sangsues,

Jusqu’à vous mettre à genoux.

.

Ou bien, avec une moue, pour dire

Son aversif dégoût, rictus à faire sentir,

Peur de rien du tout en autant  après tout

Un baiser dans le cou montrer amour fou

Bouche femme, antre explore où diantre

Il y a tous les désirs  et tous les plaisirs,

Qui vous soupirent qui vous respirent.

Bouche femme reste vrai pur cadeau

Qui ne manque de piquant, sel, eau,

Et reste ouverte à toute invitation,

À vous déclarer toute sa passion,

Dents sont  coupantes, acérées,

Sont prêtes à  mordre l’aimé.

.

Gardes toi de jouer sensations faussées :

L’un dans l’autre, bouches vôtres

Se collent ou se décollent.

.

.

Extensions

.

La langue, étant mobile, à souhait,

Vous délivre des paroles et des goûts

Qui vous mettent en joie ou en peine,

Selon l’humeur, voire selon la saveur,

Selon salives acides voire en douceurs.

En fente, en ovale, cercle, selon visage,

Peu d’organes humains qui changent

Autant de formes, et, d’expressions,

De manière réflexe, ou consciente.

L’air y entre, et le souffle en sort,

Comme la respiration profonde,

Venant des poumons ou ventre

Air de leur chanson font vibrer

Cordes vocales par résonance,

Sourire parfois énigmatique

Se dessine  sur leurs lèvres,

Ce dernier laisse entrevoir

Leurs pensées intimes, ou d’estimes, ou d’abîmes

De monde intérieur échappant au regard objectif.

La bouche est une porte d’entrée et de sortie :

D’entrée  pour se nourrir,

De sortie  pour se parler,

D’entrée pour un baiser,

De sortie  pour cracher,

D’entrée pour respirer,

De sortie  pour bailler.

.

Bouche, langue, dents, lèvres, palais, et, pour finir, sourire

Lors celui de La Joconde n’aura jamais fini de nous ébaubir.

Au goût de fraise en  haut, chocolat au milieu, piment en bas,

Chaque bouche  a son sourire : sucré,  acide, amer, voire salé !

Lors dix-sept muscles zygomatiques feront de la gymnastique

Pour nous faire sourire, il en faudra bien plus pour grimacer.

Notre bouche est donc autre chose qu’une simple ouverture.

Ferme les yeux, ouvre la bouche : signe de confiance totale

Et le baiser en « bouche à bouche », de fusion buccale !

.

Sourire naturel, amusé, complice, rieur, convenu,

Ou encore indescriptible, tel celui de La Joconde

La gamme des sourires est fournie, voire établie

Le sourire peut être positif, négatif, ou discret,

On parle d’un sourire moqueur voire de rejet.

Le sourire se lit et se renforce tout autant,

Dans les joues, les yeux, et voire le front,

Sourire franc et massif, on voit les trois

D’ailleurs ce que j’en dis me fait sourire.

Le sourire féminin est-il semblable au masculin ?

On est en droit de penser que non, il est plus subtil :

Les hommes prendraient-ils sourire pour soumission.

.

.

Épilogue

.

La bouche et le nez forme une unité

Qui communiquent pour leur entrée

Les yeux et les oreilles sont appairés,

Ils n’ont pas de lien direct entre eux,

Bouche débouche sur quatre univers.

.

Elle servira avant tout à se sustenter

Déchirer mastiquer, avaler aliments,

Elle est en lien avec finesse du palais,

Du gout du meilleur au plus mauvais.

.

Elle n’est pas nécessaire pour respirer

En cas d’un nez bouché,  elle y supplée

Entre la  glotte, épiglotte : air échangé,

Sauf si la gorge deviendrait trop enflée.
.

Elle est cavité de production de paroles

Avec les cordes vocales situées en gorge

Et aussi de sons musicaux et de chants,

Si ce n’est cris qui écorchent les oreilles.

.

Elle sera autant objet que sujet d’amour

Par le baiser d’amants qui s’aiment tant

Objet de séduction, surligné par un trait

Sublimant les sourires   comme jamais !

.

Des sourires, lèvres pincées,  et grimaces

Parlons-en : diversités,  intentionnalités !

Les messages des mimiques sont chargés,

Sont subliminaux si ce n’est inconscients.

.

Sourds-muets  lui accordent importances,

Sachant mieux que nous lire sur les lèvres.

Si nous, nous ajoutons le geste à la parole,

Ils substituent défaut de parole par geste.

.

.

447 – Calligramme

.

La bouche,   B    on y entre,

Comme en   O     un antre,

En diable   U     diantre.

Et l’on y    C   explore,

Sa cavité  H   tout or,

Et on en  E    ressort

Riche  d’   *   humeur

Coulant     F    saveurs,

D’amours     E    meilleurs.

Dents de blan  M  cheur nacrée

N’ont plus cet   M      te férocité,

Vous manger    E        tout cru !

*

Elles cro      L    quent la vie

Comme     O    leurs envies

D’avaler   R    votre  émoi,

D’un sou   S  rire complice

Ou vous cra  *   cher dessus

Par un sourire  S   narquois

Lors elle se colle  O  à la vôtre,

Elle se fait langue  U    sangsue.

             R

Lutines ou voire     I    bien fines

Sinon charnues     R     sangsues,

Jusqu’à vous met  E  tre à genoux.

.

*********************************

**********************************

.

Ou bien avec une moue pour dire

Son aversif dégoût ou rictus à faire sentir,

Peur de rien du tout ……..………. autant  après tout

Un baiser dans le cou ………….…………… montrer amour fou

Bouche femme, antre …………………………………… explore où diantre

Il y a tous les désirs  ……………….……….…..……………. et tous les plaisirs,

Qui vous soupirent ………………..……….……..…………….. qui vous respirent.

Bouche femme ……………..………..…..…………………. reste pur cadeau

Qui ne manque …………….….………………….. piquant, sel, eau

Reste ouverte  …………….………………. en invitations

À vous déclarer ……..…. toutes ses passions,

Ses dents sont coupantes  et  acérées,

Et sont prêtes à  mordre l’aimé.

.

*********************************

********************************

.

Gardes toi de jouer sensations faussées :

L’un dans l’autre, bouches vôtres

Se collent ou se décollent.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

.

Une bouche entrouverte en bas,

Surmontée  d’un  nez,  en  haut,

Et à l’intérieur …  une langue

Qui ne dit mot qui avale tout.

 .

Bon nombre de couches féminines sont

Ou plates ou gonflées, ovales ou rondes,

Ici, on fait figurer bouche, dents, langue,

Ce qui fait que la forme épousera le fond.

.

Une bouche humaine est orifice

En lequel, chose entre  et sort :

Il  y entre des aliments  et il en

Sort une langue, une parole !

 .

Symbolique    

 .

Bouche contient

La langue et les dents.

Faite de lèvres à l’extérieur.

De la bouche sortent sons, parole,

Elle permet de souffler, de s’alimenter,

De se désaltérer, parler, chanter, de rire,

De crier,  de hurler,  et même, de goûter :

À la naissance,  elle recevra son premier

Souffle d’air, le souffle  même  de la vie.

À la mort,  expulsera  dernier  souffle.

C’est le seul orifice de la tête qui soit

Unique. Les autres se regroupent

Toujours par deux, deux yeux,

Deux narines, et oreilles.

Dico des symboles

.

Descriptif

 .

447Bouche de femme lors un sourire

Alignement central / Titre serpentin / Thème sens

Forme en ovale / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : bouche / Symbole de fond : langue

.

.

Fond

.

Évocation

.

447 6

.

Une bouche humaine est orifice

En lequel, chose entre  et sort :

Il  y entre des aliments  et il en

Sort une langue, une parole !

 . 

Symbolique 

Qui ne s’est jamais amusé à se

Tirer sa langue devant la glace ?

Et pourtant, force est de constater

 Que cet attribut du corps humain,

Est  celui  qu’on dévoile le moins

Au public, symbolique :  langue

Serait comparée à une flamme

 Destructrice ou purificatrice,

Elle sera  l’organe  du goût,

Et elle sera, surtout, l’outil

Indispensable à la parole

Elle est dangereuse car

Permettra de parler,

 Dévoiler la pensée.

Source Wikireve

.

.

Corrélations

Fond/forme 

L’organe de la langue rime avec la fonction

De gustation, mastication et de phonation :

Trois fonctions pour une forme intangible :

Sans langue, rien ne va plus, on est muet

Quant à la tirer, perçu  répréhensible

Par la société, l’éducation, mœurs,

Bien qu’on dise prendre langue

Pour dire : dialoguer, parler

Ou encore pour négocier !

 .

Visuel

.

.

Bouche de femme amoureuse

.

.

.

Visuels et textuels   >>

446 – Yeux de femme et son regard

Visuels et textuels  >> 

.

Fut-il clair, ou sombre, ou noir :

Regard d’une femme,  sur vous,

Ne laissera jamais indifférent :

Les fenêtres de l’âme,  dit-on !

Portes du paradis  ou d’enfer,

Je vous en demande pardon :

Elles vous fouillent intérieur,

Ce qu’il y de mal  ou meilleur

Dans l’intention à leur égard.

.

Des diamants, comme joyaux,

Leurs yeux qui vous illuminent

Coupants comme des couteaux,

Leurs yeux qui vous assassinent.

Parfois insondables  ou facétieux,

Souvent rieurs, parfois  en pleurs,

Rarement, d’innocence, ou béance,

Entre la déception et le merveilleux.

.

Futiles, ces hommes qui prétendent que, leurs  yeux,

Sont, chez  les  femmes,  fenêtres   de   leurs  âmes.

Âmes en regards de femmes, parfois, facétieux,

Abusent aussi des regards  d’hommes infâmes.

Lors femmes, point, sont plutôt des diamants

Brillants si forts dans la nuit d’amours…fous.

Fous quand ils pénètrent et au fond de vous,

Vous déshabillent de leurs regards… béants.

Béants d’innocences  et  latences suprêmes,

Nul ne le sait … mais le sait-elle elle-même.

Même le blanc  de  leurs yeux,  tout  blême,

Contraste avec leur iris,  dilaté à l’extrême.

.

Extrême  regard, changeant, se modifiant

Fonction d’humeurs, ou lumières du jour.

Jour de leurs ébats, jour d’ébats d’amour :

Bien  qu’ils demeurent, le même, toujours.

Toujours même mystère, cherche à percer,

Vers où  elles  veulent me conduire  quand !

Lors elles s’activent à me séduire, me nuire :

Est-ce pour mon apparence, ma personnalité.

Personnalité est, en moi, difficile  à  entrevoir,

Mais elles prendront plaisir à la percer, le soir.

.

Soir contemplant mon âme en miroir sans tain

En féminin comme mienne fusionnant soudain.

Certains explorant jusqu’au fond de leur écrin :

Puits de lumière de ses yeux fermés, étincèlent.

Étincelle qui la distinguera d’autre merveilleux

Au pouvoir d’enchantement et au parfum divin.

Divin, ce regard intérieur qui épousera le mien,

Quand même, yeux fermés, on se voit aussi bien.

Bien que d’autres lumières nous soient plus utiles,

Celles de nos feux d’amour sont  loin d’être futiles !

.

.

Extension

.

Le regard peut être aussi,

Morne, vide, pour ne pas dire livide,

Autrement dit, sans aucune expression,

Sans intention, voire en tout cas difficile

Pour ne pas dire impossible à discerner.

On parle aussi de regards faux-fuyant,

Ou regards bas, dans les chaussettes.

.

Les yeux ne sont pas faits que pour voir

Ils sont là et tout autant, pour être vus.

C’est toute une vision de notre regard,

Qui se superpose à notre perception,

Comme signaux faibles, détectables

Par qui est attentionné et aimable

Les yeux parlent, ne mentent pas

Lors un sourire reste trompeur,

Et fermés, ne sont dormeurs !

.

Qu’y a-t-il donc  dans les regards des femmes

Pour certaines, un vide béant proche néant

Ou en tous cas indécelable, indécodable,

Pour d’autres, un reflet de soi-même

Qui renvoie une image déformée

Pour autres, profond mystère

Un trésor, jugé inestimable,

Énergie jugée inépuisable.

.

Jugé n’est pas  le bon mot,

Pour estimé, évalué, jaugé,

.

En gros on pourra le qualifier

De positif et voire  d’intéressé,

De bienveillant…compatissant,

De neutre, informatif, ou passif,

Quand il n’y aura pas d’accroche,

Abord interrogatif ou de méfiance,

Lors elle soupçonne une hypocrisie.

.

.

446 – Calligramme

.

Fut-il clair, ou sombre, ou noir :

Regard d’une femme,  sur vous,

Ne laissera jamais indifférent :

Les fenêtres de l’âme,  dit-on !

Portes du paradis  ou d’enfer,

Je vous en demande pardon :

Elles vous fouillent intérieur,

Ce qu’il y de mal  ou meilleur

Dans l’intention à leur égard.

.

Des diamants, comme joyaux,

Leurs yeux qui vous illuminent

Coupants comme des couteaux,

Leurs yeux qui vous assassinent.

Parfois insondables  ou facétieux,

Souvent rieurs, parfois  en pleurs,

Rarement, d’innocence, ou béance,

Entre la déception et le merveilleux.

.

Futiles,  ces   hommes   qui prétendent    que,  leurs  yeux,

Sont, chez  les  femmes,  Y   fenêtres   de   leurs  âmes.

Ames en regards de     E    femmes parfois facétieux,

Abusent aussi du     U    regard d’hommes infâmes.

Lors femmes       X     point, sont plutôt diamants

Brillants si forts  *   dans la nuit d’amours…fous.

Fous quand ils   D  pénètrent et au fond de vous

Vous déshabillent  E   de leurs regards…béants.

Béants d’innocences  *     et  latences suprêmes,

Nul ne le sait…mais le   F     sait-elle elle-même.

Même le blanc  de leurs  E     yeux,  tout blême,

Contraste avec leur iris,    M  dilaté à l’extrême.

Extrême regard changeant   M       se modifiant

Fonction d’humeurs, ou lumi   E     ères du jour.

Jour de leurs ébats, jour d’ébats   *      d’amour :

Bien qu’ils demeurent, le même,    E     toujours.

Toujours le même mystère cherche   N   à percer

Vers où elles veulent me conduire      *     quand !

Lors elles s’activent à me séduire    R  me nuire :

Est-ce pour mon apparence, ma  E  personnalité.

Personnalité est, en moi, diffi   G cile à entrevoir,

Mais elles prendront plaisir à  A  la percer, le soir.

Soir contemplant mon âme  R  en miroir sans tain

En féminin comme mienne D   fusionnant soudain

Certains, explorant  jusqu’au  * fond de leur écrin :

Puits de lumière de ses yeux   I   fermés, étincèlent.

Étincelle qui la distinguera d’ N   autre merveilleux

Au pouvoir  d’enchantement     T    au parfum divin.

Divin, ce regard intérieur qui     I   épousera le mien,

Quand même, yeux fermés on    M  se voit aussi bien.

Bien que d’autres lumières nous  E    soient plus utiles,

Celles de nos feux d’amour sont    *    loin d’être futiles !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

 .

Une tour escalier,

Une plateforme,

Une lanterne :

Yeux du phare !

Un phare pour sûr, n’a pas d’œil, d’yeux

Et pourtant, il éclaire, surveille, renseigne,

Fond et forme s’approchent de cette manière.

.

Les yeux d’une femme sont

Comme des phares qui rayonnent :

Parfois éteints, et parfois fixes,

Parfois secteurs, parfois tournants.

 .

 Symbolique 

 .

Le symbolisme

Du rêve de phare

Est très positif,

Représente la lumière

Qui guide les hommes :

Le phare indiquera  une

Direction, un sens sacré.

.

À l’instar  de toutes tours,

Il affirmera sa verticalité.

Cette construction possède

Cependant un sens opposé

Puisqu’elle reste faite pour

Être vue tandis que la tour

Est d’abord faite pour voir.

Phare est porteur de lumière.

tristan-moir.fr/phare

 .

Descriptif

.

446 Yeux de femme en regard intime

Alignement central / Titre serpentin / Thème sens

Forme droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : phare / Symbole de fond : yeux

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Les yeux d’une femme sont

Comme des phares qui rayonnent :

Parfois éteints, et parfois fixes,

Parfois secteurs, parfois tournants.

 .

Symbolique 

 .

« Les yeux sont le miroir de l’âme »

Expression des plus métaphoriques, s’il en est.

Si, bien sûr, nos yeux nous permettent de voir

À l’extérieur, c’est aussi à travers eux

Que l’on perçoit, un tant soit peu,

Nos états intérieurs, émotions

Et sentiments, que nous vivons.

En outre, des yeux grands ouverts

Synonymes de curiosité et entrouverts,

De méfiance, ou de réserve ou de crainte.

.

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Ce que l’on voit ne dit rien à l’autre

De ce que l’on perçoit… entrevoit,

Lors si l’on projette ce qu’il voit,

Son regard, l’on interprétera,

Qu’y a-t-il de lui, et de nous,

Dans  de telles  additions,

Si ce n’est soustraction,

De vrai  et  d’erroné.

Et à lui imputer

Nul ne sait !

.

Rapprocher les yeux d’un phare, pourquoi pas

Surtout s’il peut contrôler à la fois, la direction

L’intensité et qui sait  l’intention d’un faisceau,

Lumineux comme celui des yeux, pour regard

Sur ce point regard et phare riment ensemble

Et leurs mobilités sont pareilles, il me semble.

Si la forme  du phare  n’épuise pas le regard,

Sa fonction le rapproche du fond au hasard.

.

Visuel

 .

.

Regard intime d’une femme 

.

Visuels et textuels  >> 

445 – Corps de femme, de tête au pied

Visuels et textuels >> 

.

Toucher l’autre,

De la tête aux pieds

Et chacun des membres

Chaque  endroit  ausculté,

Ayant sa propre  géographie.

Qui ne connait jeu du toucher

Parties de corps de femmes :

Reconnaitre la sienne.

.

Corps est poésie

Que l’on reconnait, ici,

Comme   unique, et  inscrit,

En creux de paume et voire de lit,

Futile, l’homme qui prétend qu’yeux

De femmes sont fenêtres de leur âme

Que penser d’yeux femmes, facétieux,

Qui abuseraient d’hommes infâmes.

.

La bouche est salée, ou sucrée,

Pour manger, pour avaler,

Ou, pour se sustenter,

Pour boire et sucer,

Pour se désaltérer,

Rire à pleine dents

Pour bien s’amuser

Sourires envoutants,

Pour … s’amouracher.

.

Quand  la  femme  soutient

Espoir des pleines rondeurs,

De deux seins à demi dénudés

Où souffle coupé vous prévient

Quand, dévoilant leur douceur

À pleines mains les caressez.

.

Les ventres de femme tout comme

Labyrinthes en matrice d’hormones

Font, de nous des filles, des hommes,

Elles programment les vies en somme.

.

Le dos d’une femme serait bien en fond

D’instrument de musique, violoncelle,

 En forme galbée et longiligne : rond,

  Creux épousant  des formes  belles.

.

Être femme, c’est avoir,  en l’air,

Des bras et des  jambes de race

Si premiers vous embrassent,

Les secondes vous enserrent.

Hommes regardent, d’abord,

Jambes, formes de tout corps,

Pour une démarche en accord,

Pour perdre pied dedans, dehors.

.

.

Extension

.

C’est souvent un petit détail

Qui les émeut et qui emportera

Leur choix préférentiel, séduction.

De la tête aux pieds, on peut détailler :

Au final c’est l’allure générale qui prévaut

Sinon il faut plusieurs pour en faire une idéale

Rassurez-vous, y a du choix pour tous les goûts

Malgré cela y en a qui ne trouvent rien du tout.

.

De la tête au pied  qu’on soit homme, femme,

Que de ressemblances, et que de différences !

Et ce qui nous distingue, par les apparences,

Formes du corps, muscle, sein, ventre, sexe,

Sert aussi à nous rapprocher et nous unir.

Si complémentarité des corps est visible

Et que celle des cœurs  est sensible,

Celle des esprits reste possible,

Celle des âmes est invisible.

.

Le comportement physique, voir physiologique

S’explique, se modélise, se réplique, s’anticipe,

Lors le comportement psychique se comprend,

On dit l’homme complexe, femme compliquée.

Allez vous y retrouver simplement en tout cela,

Médecins et psychologues ne convergent point.

.

Pour combler le manque de connaissance de soi

On a décrété que l’âme en était son supplément,

Sans savoir ce qu’elle contient ni ou elle se tient,

Mon bistouri n’a trouvé d’âme dit le chirurgien

Et pourtant j’ai tout ouvert et de la tête aux pieds

Tout religieux n’est pas d’accord, elle est invisible.

.

.

Épilogue  

.

Dix états sentimentaux, cordiaux, mentaux

En partant de nos cinq sens plus un sixième

Qu’on nomme  instinct ; septième, intuition,

Qui présume l’humain : simple ou complexe.

.

Un regard, une bouche, un nez, une chevelure,

Les mains, touchers, unions, le corps, l’énergie

Tout entre en la perception  d’amours d’autrui,

Sans qu’on en soit pour autant, bien conscient.

.

Le regard demeure  comme première accroche,

Bouches, dents et sourires : autant d’approches,

Le nez, front, joues, cheveux : beaux ou moches,

Corpulence, silhouette, allure, plaisent/clochent

***

Attendez, la bouche d’il/elle n’a pas encore parlé

Ce qu’il/elle dit  et sur quel ton, timbre, intensité

Peut parfois laissé  pantois, déçu, et voire, sidéré,

Tout comme émerveillé par sa profondeur d’âme

.

Si le flux étincelant des regards, n’a pas fusionné,

Simplement, des intérêts se seront ou non croisés

L’on n’a pas encore perçu les auras qui entourent

Ou non, deux êtres, en mal ou jouissance amour.

.

Un détail suffira parfois à attirer l’œil et l’esprit :

Des mains, attaches fines, un cou, nez, gracieux,

Augmenté, à l’inverse, par perception holistique

Qui évoque et provoque séductions réciproques.

***

Sens feront sensations, sensations font élections

Le sexe est dans le corps et l’âme à fleur de peau

Ils font passer du super  à l’hyper en pur poème,

Sans oublier leurs phéromones parfumant l’air.

.

La raison s’affole, déraille et finalement, se tait.

Son abandon laissera  sa place à belle intuition.

Bonne ou mauvaise, qu’importe,  elle est l’accès

À un impalpable, improbable, coupable amour.

.

Dès que je l’ai vu, j’ai su de suite que ce sera lui,

Coup de foudre et lors marié au premier regard,

Rien à détailler, rajouter : à prendre ou à laisser

Révélation, illumination, âme sœur … au choix !

.

.

445 – Calligramme

.

Toucher l’autre,

De la tête    aux pieds :

Chacun   Ô   des Ô  membres

Chaque endroit     //       ausculté,

Ayant sa propre   //     géographie.

Qui ne connait ce  jeu du toucher

Parts corps  ===   femmes,

Reconnaitre la sienne.

Corps est poésie

Qu’on reconnait ici

Comme  unique, et  inscrit,

En creux de paume et voire de lit.

Futiles, hommes prétendant qu’yeux

Des femmes : fenêtres de leurs âmes !

Que penser d’yeux femmes, facétieux,

Qui abuseraient d’hommes infâmes.

La bouche est salée, ou sucrée,

Pour manger, pour avaler,

Ou, pour se sustenter,

Pour boire et sucer,

Pour se désaltérer,

Rire à pleine dents

Pour   bien   s’amuser

Sourires  S  envoutants,

Pour … s’a  I  mouracher.

Quand la fem  X   me soutient

Espoirs de plei   *   nes rondeurs,

Ses deux seins à   P   demi dénudés,

Le souffle coupé    A       vous prévient

Quand dévoilant     R        leur douceur,

À  pleines  mains      T        les caresserez.

Les ventres de fem     I       me tout comme

Labyrinthes en ma      E       trice d’hormone

Font, de nous : des       S       filles,   hommes,

Elles programment      *       vies    en somme

Le dos d’une femme     D      serait bien fond,

Instrument    musi      E       que violoncelle,

 En formes galbées     *     longiligne, rond

  Creux épousant       T      formes    belles.

Être femme c’est  O    avoir  en l’air,

Des bras et des    N      jambes race

Les premiers       *     embrassent,

Lors  les secon   C  des enserrent.

Hommes regar  O  dent d’abord,

Jambes, formes   R     de ton corps,

Pour une démar    P    che en accord,

Pour perdre pied     S    dedans, dehors !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

445 4

.

Évocation

.

Un  pied de table tourné en bois,

Piédestal  pour  un pot de fleurs,

Silhouette  d’un  corps féminin,

Sinon voire d’un corps masculin

 .

Une forme toute en courbes et en rondeurs,

C’est celui d’une jeune femme, assurément,

Un corps masculin est plus carré, trapu.

.

Aimer de la tête aux pieds,

Le corps d’un être féminin

Quelles que soient  ses formes,

Qu’elles soient  fines ou grosses.

  .

Symbolique 

 .

«Le corps féminin»

N’existe pas plus que

«la femme».

.

Ce sont des corps pluriels

Qui changent avec l’âge,

Sujets et objets à la fois

Et trop souvent normés,

Avant même d’être subjectivés.

Étrange singulier corps féminin.

.

Il existe et surtout par la certitude

De son existence, et la certitude que

Ce corps reste montrable, utilisable,

Recouvrable, caressable, corvéable.

liberation.fr/debats/étrange-

singulier-du-corps-feminin

 .

Descriptif

.

445 – Six parties de ton corps de la tête aux pieds 

Alignement central / Titre droit / Thème corps

Forme anthropo / Rimes égales / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : féminin / Symbole de fond : masculin

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Aimer de la tête aux pieds,

Le corps  d’un être masculin

Et quelles que soient ses formes,

Qu’elles soient  fines ou grosses.

 .

Symbolique 

 .

Dans nombre de civilisations, le corps humain

Est perçu comme un modèle de l’Univers,

Et, voire même, d’un Dieu…  créateur.

Mais, il  existe,  en outre, une grande

Richesse symbolique qui concernent

Parties utilisées comme métaphores

Avoir du cœur,   avoir de l’estomac,

Avoir les épaules,  les reins solides :

Autant  à propos des tempéraments,

Des caractères ou attitudes humaines.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le corps est le lieu de toutes les projections,

De toutes les analogies, et les métaphores

Mais au moment du choix, ce n’est pas

Toujours l’ensemble qui prévaudra

Mais un détail, visage, mains, cou

Dos, courbes, jambes, chevilles, etc.

Et on ne sait pourquoi, l’emportera !

Parfois même c’est le teint, la rousseur

Si ce n’est des cheveux, noirceur, blondeur.

.

Le corps d’une femme est poème à lui tout seul

Rien d’étonnant dès lors qu’il rime avec  amour

De temps en temps il pèse trop sur les formes

Ça se ressent à pleines mains lors elle baise

Pour autant, ce n’est jamais tant la forme

Qui compte, que le fond et dans l’amour

Le face à face s’avère souvent gagnant

Sauf pour ceux qui ne s’élèveront pas

Au-dessus de la ceinture : rien en tête.

 .

Visuel

.

.

Homme de Vitruve De Vinci

.

Visuels et textuels >> 

444 – Energies, instants, d’amour

Visuels et textuels  >>

.

L’énergie pour faire l’amour,

Quel que soit notre état physique,

Voire mental : l’on en aura toujours.

C’est comme le cantique du quantique

On en trouve,  même  s’il n’y en a plus.

.

Réserves d’amours sont inépuisables,

Il suffirait  d’une forte stimulation,

Pour que le sexe passe à l’action,

Puis  s’en aller,  quand l’autre

Vous supplie : rester, venir.

.

Énergie   vient   en    nous

Quand  je  pense  à nous,

Lors, ton image, en moi,

Jamais…ne me quittera.

.

La mémoire retient tout

Lors d’être à tes genoux

Et m’en aller, serait fou

Ton  visage,  chez   moi,

Jamais  ne disparaitra,

Et jamais ne s’effacera.

.

Moments  de bonheurs,

Partagés  par nos cœurs,

Si partir  est  un malheur

Alors, souffrir, l’est aussi,

De peur de gâcher  sa vie

Pour celle qu’on chérit.

.

Si, un train peut en cacher

Un autre, des rails inversés,

Trop vite, vers lui, précipité,

Arrière-train peut-être aussi

Mais  ton  âme : pas permis,

Si elle est sœur de  ta  folie,

.

Tant, souvent, lors je pense

À toi, mon amie, s’avancent

Belles images qui balancent

Pour  remplir  mon cerveau,

Où  j’y vois  ce  beau cadeau

Offert par ton amour beau.

.

Si, un jour, l’on se quitte :

Tu  n’en seras  pas quitte ;

Et  même  si tu t’acquittes,

Persisteront  nos   chansons

Qui nourriront tous les sons,

D’un amour et d’un très bon.

.

L’énergie  sert  cette  aventure

D’assurer  comme progéniture,

Et même si cela  ne marche pas,

Après  essais, infructueux, et las,

Tout ne serait pas à jeter, ici-bas!

.

.

Extension

.

Comment  refuser  « excuse-moi, ce soir,

Je suis  fatigué, lors  je n’ai qu’une envie :

Dormir comme loir, bon vent et bon soir,

Je ne ressentirai rien, ce serait gâcher

Le plaisir, si vraiment t’en as besoin,

Trouve-toi quel qu’un (une) d’autre ».

.

L’énergie en nous est quantifiable, inépuisable.

Fatigué, usé, à bout de force, il reste l’énergie

Pour s’aimer, d’une manière ou d’une autre :

Il n’y a qu’éloignement, la maladie, conflits,

Qui peuvent couper court à tous  nos élans,

Par impossibilité, insuffisance, ou blocage.

.

L’énergie de faire trois fois l’amour une nuit

N’est pas performance sportive, simplement

La force du désir : c’est pas nombre de fois

Qui compte ni qu’on raconte, qu’on monte !

.

L’énergie se situerait et  se propagerait de manières différentes :

L’énergie brute comme un coup de foudre, un éclair, jaillissement ;

L’énergie de reconnaissance mêlant deux feux intérieurs en un seul ;

L’énergie symbolique se traduisant en gestes, du quotidien, ensemble.

Il est bien connu, qu’en faisant l’amour, on perd et gagne de l’énergie,

On perd de l’énergie physique, gagne énergie mentale, sentimentale :

En somme, lors on en n’a plus pour rien, reste encore pour l’amour.

.

Faire l’amour consomme et produit de l’énergie !

Lors même ce ne serait pas la même dont il s’agit,

Elle se transforme,  se métamorphose,  s’enrichit !

Tu m’as tué, dit l’un, tu m’as ressuscité, dit l’autre.

.

Mais les amours ratés, conduisent à des déceptions

Je n’aurai eu que l’image : il m’aura manqué  le son,

Et ce d’autant que l’orgasme  se doit être à l’unisson,

Pour produire sensations dépassant toute sa raison.

.

Des feux d’artifices jumeaux, avec bouquets finaux

Explosant en plein ciel, dans un nuage de fumées

Qui laisseront cette impression de tapis volants,

Du fait de mettre temps avant retoucher terre.

.

.

444 – Calligramme

.

L’énergie pour faire l’amour,

Quel que soit notre état physique,

Voire mental : l’on en aura toujours.

C’est comme le cantique du quantique

On en trouve,  même  s’il n’y en a plus.

Réserves d’amours sont inépuisables,

Il suffirait  d’une forte stimulation,

Pour que le sexe passe à l’action,

Puis s’en aller,  quand l’autre

Vous supplie, rester, venir,

Énergie   vient   en   nous

Quand  je  pense  à nous,

Lors, ton image, en moi,

Jamais … ne me quittera.

 .

************************

*************************

.

La mémoire retient  É  tout

Et, d’être à tes     N    genoux,

M’en aller      E            serait fou

Ton visage    R               chez  moi,

Jamais ne     G            disparaitra,

Jamais ne       I            s’effacera,

Moments de    E      bonheurs,

Partagés par nos   S  cœurs

Si partir  est  un malheur

Alors souffrir, l’est aussi,

De peur  de gâcher sa vie,

Pour  celle  que  l’on chérit.

.

Si un train  I   peut en cacher

Un autre    N   des rails inversés

Trop vite        S  vers lui, précipité,

Arrière-train      T    peut-être aussi.

Mais ton âme        A         pas permis,

Si elle est sœur     N       de  ta  folie,

Car, souvent       T     lors je pense

À toi l’amie   S     s’avancent

Belles images  qui balancent

Pour remplir mon cerveau,

Où j’y vois ce beau cadeau

Offert par ton amour, beau.

.

Si, un jour  D   l’on se quitte :

Tu n’en        ‘    seras  pas quitte

Et même       A    si tu t’acquittes,

Persisteront    M        nos chansons

Qui nourriront   O        tous les sons

D’un amour d’un  U        très bon.

L’énergie est une    R  aventure

D’assurer une progé S   niture,

Même si cela  ne marche pas,

Après  essais, infructueux, las,

Tout ne sera pas à jeter, ici-bas.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

444 4

.

Évocation

.

Une canne avec pommeau

Ou intérieur pile électrique

Fournissant de l’énergie 

Nécessaire  aux  amours !

.

Le désir est comme une accumulation d’énergie

Qui lors d’une union, se décharge en un instant,

C’est pourquoi la forme épouse bien, ici, le fond.

.

Pile accumule, conserve,

 Puis  restitue de l’énergie :

Il en est de même du désir, et

Du plaisir, qui se renouvellent.

 .

Symbolique

 .

Je tiens une pile

Dans   ma   main,

Et tout à coup, elle

Se désintègre à terre

Je vois ce qu’il en reste,

Des petits fils noirs qui sautent.

.

Pile est source énergie autonome.

Elle se rapportera donc au sujet,

À son énergie interne, sa vitalité.

.

Ainsi, tous les rêves qui montrent

Des batteries  usagées,  appareils

Dont la batterie  tombe en panne,

Besoin d’acheter de nouvelles piles

Disent symboliquement la nécessité

De retrouver son potentiel d’énergie.

signification-reves.fr/pile-electrique

.

Descriptif

.

444Énergies pour instants des amours

Alignement central / Titre serpentin / Thème sexualité

Forme droite / Rimes égales / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : pile / Symbole de fond : énergie

.

.

Fond

.

Évocation 

.

444 6

.

Le feu  du désir est une métaphore d’énergie

consommable ou consommée

en amours de toutes sortes et toutes variétés

et qui se rallume tout seul.

Symbolique

 .

Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent

Se retrouvent  l’un dans l’autre  mais élevé

À un degré d’être supérieur : courte échelle

Si le don a été total et non limité à …un seul

Niveau de leur être, le plus souvent charnel.

.

Amour est une source d’énergie, de progrès

Lorsque l’union ne sera pas qu’appropriation.

La perversion détruira toute valeur de l’autre,

Divise en objet, asservissement, principe mort !

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

Le problème se pose quand la pile de l’un est en haut,

Et que celle de l’autre reste en bas, en panne d’énergie

Mais il arrivera, parfois, comme presque un miracle

Que celle d’en haut branche et charge celle d’en bas

Si ce n’est l’inverse, tant par trop de sollicitations

Elle contrariera et détruira le courant porteur.

.

La pression du désir est comme celle d’une pile d’énergie

Chargée à bloc et qui ne demandera qu’à se décharger

Pour ne pas péricliter ou pour ne pas surchauffer !

.

L’énergie rime avec dépense, débauche de plaisir

Qui nous met à plat, en petite mort, pour finir

Si le fond ne puis épuiser ni épouser forme

Dernière, quelle qu’elle soit l’évoquera

La pile chaque fois se renouvellera,

Jusqu’à sa mort brutale ici-bas.

 .

Visuel

.

.

Deux énergies d’amour

.

Visuels et textuels  >>

443 – Corps, plaisirs, d’amour

Visuels et textuels >> 

.

Corps en plaisirs,

Corps  en soupirs

Corps   en désirs,

Sont en devenir.

Ne faire que un,

Se faire  du bien,

Et du début à la fin

Leur orgasme retient.

Tant il n’est pas un but,

En soi, juste paroxysme

D’une montée / descente

De leur plaisir commun.

Et lors longtemps après

Sensations demeurent

De voyage  aux cieux.

Corps se détachent las,

Désir nous sépare, déjà,

En  plaisirs  fanés, finira.

Et que restera-t-il  de cela

Un souvenir  d’un  bel émoi

Qui  demain vite, se délitera.

Après, moins  bien  qu’avant,

Viendra  le désenchantement,

Oui,  non,  ou  bien  nullement

Tant plaisir se poursuit en tête

Deux  corps  se  feront  la  fête

D’être amants bien honnêtes.

Notre plaisir est consommé,

Décroitra de plus de moitié

Aussi irons-nous l’occuper

En un travail plus familier

Qui sert  à bien  le différer,

Et  l’amour …  à le retarder.

Car deux cœurs ne se cassent

Que  si  leurs corps   se lassent

Que  si  leurs âmes   s’enlacent,

Que  si  leur  désir  d’être deux,

D’être   plus  souvent,  heureux,

S’avèrent être  un peu trop peu.

Oui mais que faire de nos corps,

Sinon de les unir encore encore

Sinon de les unir très très fort

Lors   dérisoire venue destin,

Est un dialogue ici sans fin,

Pour  se tenir  les  mains.

Tant de moi, tant d’émoi

Rencontres, fusionnées,

Se séparent lors essayées

En cherchant autres proies,

 Ou les chassant et de par la loi

Que, par nature, amour tuera.

Le corps serait cette pointure,

Coupable  d’une  for-fai-ture,

Lors  deux  êtres  se pâment,

Lors leurs plaisirs se fanent

Lors leurs désirs  calment.

.

.

Extension

.

Désir et plaisir font la paire mais

Pour autant, ne seront pas, équivalents.

Le désir est plus vaste et profond que le plaisir,

Qui bien que varié ou répétitif, est frappé de finitude :

On peut finir par s’en lasser, tandis que mort du désir

Est comme adieu à l’espoir, plongée dans le noir.

.

Lorsqu’il s’agit de plaisirs corporels,

On peut laisser, de côté, les plaisirs

Intellectuels, culturels, spirituels,

Pour s’en tenir aux  …  sensations,

Aux émotions primaires, primitives :

Celles des touchers, étreintes, orgasmes.

.

Décroissance du plaisir n’est pas celle du désir,

Si désir meure avec plaisir, c’est que plaisir

Ne comble pas ou ne comble plus !

.

Que n’a-t-on pas dit de l’amour et que ne lui faisons pas dire

L’amour serait à la fois, prétexte, texte,  surtexte  et contexte

Un mot galvaudé, très souvent réduit aux pratiques du sexe,

Lors s’agit de globalité des personnes avec âmes à découvrir

Sinon plaisir se substitue au bonheur, contrarie, l’empêche.

.

Bien des amantes en plein désir sexuel

Parleront de papillons dans leur ventre,

Un plaisir par autosuggestion corporelle

A la seule idée qu’un sexe mâle… y entre.

.

Je ne suis pas sexologue, me laissant dire

Que l’orgasme féminin serait… clitoridien,

Bien plus que vaginal : est-ce bien normal,

Voilà qui nécessite révision des croyances.

.

Quant à l’homme, je l’éprouve davantage :

On dit qu’il est physiologique, mécanique.

Une conception réductrice, voire erronée

Il n’y a pas d’orgasme sans un cerveau !

.

Certains le qualifieront de petite mort,

En référence perte conscience, réalité,

D’autres disent que temps se suspend

En référence à sa bulle hors contexte.

.

443 – Calligramme

.

Corps      I          I  en plaisirs,

Corps      I         I  en soupirs

Corps      I        I  en désirs,

Sont en    I        I   devenir.

Ne faire    I       I    que un,

Se faire     I        I    du bien

Et, du dé    I      I    but à fin

Leur orgas  I    I me retient.

Tant il n’est I    I pas un but,

En soi, juste I  I   paroxysme

D’une mon    I I tée/descente

De leur plai  II sir commun.

Et lors long II  temps après

Sensations I   demeurent

De voyage aux cieux.

Corps se     I                         C                     I  détachent las,

Désir  nous  I                       O                     I    sépare   déjà,

En    plaisirs    I                   R                 I     fanés     finira.

Que     restera   I                 P                 I     t-il de      cela :

Un       souvenir   I             S              I     de bel        émoi

Que       demain    I            *              I   vite, dé      litera.

Après,        moins   I        E          I  bien qu’       avant,

Viendra       le dés   I      N       I   enchan      tement,

Oui,        non, ou     I     *     I  bien nul       lement

Tant       plaisir se  I     P    I    poursuit     en tête

Deux         corps     I   L    I   se feront     la fête

D’être     amants  I   A   I  bien hon     nêtes.

Notre    plaisir    I   I    I est con   sommé,

Décroi  tra de    I   S   I  plus de    moitié

Aussi    irons     I  I  I  nous   l’occuper

Au tra   vail     I  R  I  plus    familier

Qui ser  vira      S   à  bien différer,

Et amour         *      à le retarder.

Car deux cœurs  ne se cassent

Que si leurs corps  se lassent

Que si leurs âmes s’enlacent,

Que si leur désir  d’être deux,

D’être  plus souvent, heureux,

S’avèrent être un peu trop peu.

Oui mais que faire de nos corps,

Sinon de les unir I encore encore

Sinon de les unir I  I  très très fort

Lors   dérisoire   I *  I venue destin,

Est un dialogue I   *    I   ici sans fin,

Pour se tenir      I    *     I      les mains.

Tant de moi        I     *      I    tant d’émoi

Rencontres        I      D       I    fusionnées,

Se séparent       I         ‘         I  lors essayées

En cherchant    I         A         I autres proies,

 Ou les chassant I         M          I et de par la loi

Que par nature  I          O             I amour tuera.

Le corps serait    I           U             I cette pointure

Coupable d’une   I            R                I     for-fai-ture

Lors  deux êtres   I              S                  I     se pâment,

Lors leurs plaisirs I               *                       I     se fanent,

Lors leurs désirs     I                *                          I      calment.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

.

Évocation

.

Deux têtes et deux torses,

Deux jambes entremêlées

Des amoureux surement, 

Papillons papillonnants ?

 .

Deux corps collés l’un à l’autre,

Deviennent comme des papillons

Qui n’en font plus qu’un pendant

 Leur plein envol  d’amoureux !

 .

Symbolique 

 .

Le papillon n’est pas recensé

Dans les mythologies égyptiennes

Alors que dans mythologie grecque,

Le papillon est symbole d’immortalité.

.

C’est l’âme humaine comme le souligne

L’étymologie psyché, en grec, désigne

À la fois  l’âme  et   le  papillon. 

.

En symbolisme amérindien,

Papillon est le symbole

De la métamorphose,

Du changement.

.

Enseigne à  laisser

Nos désirs se réaliser,

Et de changer nos vies,

Et de se créer de nouvelles

Situations pour s’améliorer.

blogggcollection.wordpress.com/

/papillon-symbolemetamorphose

.

Descriptif

.

443Deux corps en plein plaisirs d’amours  

Alignement central / Titre droit  / Thème sexualité

Forme symétrique / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : couple / Symbole de fond : amoureux

.

.

Fond

.

Évocation 

.

443 6

.

Deux corps collés l’un à l’autre 

Deviennent comme des papillons

Qui n’en font plus qu’un pendant

 Leur plein envol d’amoureux !

 .

Symbolique 

 .

Le câlin est un geste très naturel, dès lors,

Selon la culture, le contexte, la relation,

Il exprime un sentiment de fraternité,

D’affection,  d’amitié  ou …  d’amour.

.

Amoureux, il traduira la tendresse,

Dans laquelle il s’agit de se reconnaître

Comme un être qui attendra tout de celui

Ou de celle qui l’entoure de ses bras, corps,

Non plus pour s’affronter, mais … s’entourer,

Non plus jouer au plus fort, mais pour se blottir

L’un contre l’autre, en un acte confiance réciproque.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Amoureux sont  êtres très proches l’un de l’autre

Qui n’ont de trajectoire et de souci autres que

Ceux des papillons qui se sentent si légers

Qu’ils se laissent entrainer par l’air

Sans craindre de tomber à terre

On parle d’envol en tous les cas

Et les rimes leur conviennent

Parce qu’ils les contiennent.

.

Amoureux pour en jouir, pour se reproduire ?

C’est les deux, mon capitaine, la totale, quoi !

Désir d’enfant précède ou succède au plaisir,

Il n’y a pas de procédure en amour à suivre

La mort du plaisir n’est pas celle de l’enfant

Simplement d’un couple et qui se désunit !

 .

Visuel 

.

.

Le plaisir à l’état pur

.

Visuels et textuels >> 

442 – Unions, frissons, d’amour

Visuels et textuels >>

.

Oh, la belle union

Ah, les beaux frissons :

Que d’amoureux, comme polissons,

Jouissent   des plaisirs,  sans noms.

Qui ne les envie ni ne les projette,

Que l’on soit gros ; elle, fluette,

Orgasme est  or précieux

Brillant en ses yeux.

 .

En pleine fusion,

Mettant fin à toute action,

Qu’on souhaiterait tant pure,

Qu’on souhaiterait qu’elle dure

Lors sublimant ce si bel instant

De petite mort hors du temps

Mais  nous  ressuscitant

Différent d’avant.

.

Union : fermons verrous,

Allons encore soyons fous,

À nos sexes faisons coucou

Frissons partout, au cœur,

Battant  à sang  à  l’heure,

En soubresauts galopeurs

Clé sans gâche sans pêne

Trouve sa voie sans peine

 Et la tient hors d’haleine,

Tourne clé d’un bonheur

D’amante   profondeurs,

Pour amant, vrai sapeur.

Sursaut : bouche,  s’ouvre

Lors tes yeux s’entrouvrent

Lors soudain se découvrent,

Lors pénétration de ton sexe

Lors tu le ressens en convexe

Union simple  et   complexe.

Quand  je viens,  que tu vas,

Je sens ton cœur qui rebat,

Émoi te parcourt haut bas.

Quand tu vas, que  je viens

Plus rien  ne  nous retient,

Ton ventre contre le mien,

L’on se dépense beaucoup,

Mais vers où … allons-nous

L’orgasme est ce plaisir fou

Nous mènera jusque néant,

Tous deux en  même temps,

Amours jouissant l’instant.

Soubresauts en galopeurs

Ne nous font  plus  peur,

Vivons  à  cent  à l’heure

Comme gages  du plaisir

En très libres tout à loisir

S’aimant   à  s’en  réjouir.

L’union est une fermeture

En une bulle sans couture,

Révélant notre vraie nature

Et le frisson qui nous prend,

De lui, nous rend dépendant.

.

.

Extensions

.

Union suppose d’être au moins deux mais pas que :

Union de familles n’étant désunie forme communauté,

Union des amis étant pas mal unis forme un clan, un club,

Or l’union la plus courue, la plus personnelle, la plus intime

Est celle des deux amants, bien évidemment, et qui rappelle

Celle du garçon avec sa mère, celle de la fille avec son père

Selon le complexe d’Œdipe et de Jocaste, bien connus.

.

Toute union fusionnelle nous mènera bien au-delà

De tout sexe et de tout instant  en une tentative

Vaine de réunification dans la différenciation

Pour la nécessité de concevoir, se perpétuer,

Et sinon voir pour se réaliser, renouveler.

.

Union sexuelle amants, jusqu’au frisson, abandon, pâmoison

Union sans contacts profonds : entre amis, parents, relations,

Tout est bon dans l’union si elle est positive, libre, authentique

Mais si elle ne satisfait qu’un seul, elle devient égoïste, cynique.

L’union sexuelle peut devenir une drogue sans amour, affection,

Si elle est pratiquée à outrance pour combler manque sans fond.

Union de forme et union de fond nous protègent contre désunion.

.

Quand on parle d’union, on parle mariage,

De pacs ou de relation privée mais notoire,

Tout autant que de sexe bien qu’éphémère,

Ce qui en fait mot valise, où tout va malle !

.

Toutes les unions ne procurent de frissons,

Il y en a même qui s’en tiennent à la raison

À la famille, communauté, et voire société,

Union de ci avec ça, ou de tout, confusion.

.

En l’amour, le terme est clair  et  profond,

Qu’il soit hétérosexuel, voire homosexuel,

Rien ne changerait pour cela sur le fond,

À condition que l’amour soit bien réel !

.

.

442 – Calligramme

.

Oh, la bel                  le union

Ah, les beaux             frissons :

Que d’amoureux,  comme polissons,

Jouissent  des plaisirs,  sans noms.

Qui ne les envie ni ne les projette

Que l’on soit gros ; elle, fluette,

Orgasme est      or précieux

Brillant en ses yeux.

En plei                      ne fusion,

Mettant fin à                   toute action,

Qu’on souhait                  erait tant pure,

Qu’on souhaite               rait qu’elle dure

Lors sublimant            ce si bel instant

De petite mort          hors du temps

Mais nous              ressuscitant

Différent                 d’avant.

Union : fer                 T    mons verrous,

Allons encore            O      soyons fous,

À nos sexes faisons    N              coucou,

Frissons partout         *            au cœur,

Battant à sang           *          à l’heure,

En soubresauts       U          galopeurs

Clé sans gâche      N            sans pêne

Trouve voie         I            sans peine

 Et la tient          O     hors d’haleine,

Tourne clé        N       d’un bonheur

D’amante          *         profondeurs,

Pour amant       *          vrai sapeur.

Sursaut bou        P          che s’ouvre

Lors tes yeux       R    s’entrouvrent

Lors soudain se     O      découvrent,

Lors pénétration     V       de ton sexe

Lors tu le ressens      O      en convexe,

Union simple et           Q       complexe.

Quand je viens,              U      que tu vas

Je sens ton cœur             E      qui rebat,

Émoi te parcourt             *       haut bas

Quand tu vas que           *         je viens

Plus rien ne nous           U        retient,

Ton ventre contre         N         le mien,

L’on se dépense           *        beaucoup,

Mais vers où               F       allons-nous

L’orgasme est          R       ce plaisir fou

Nous mènera          I          jusque néant

Tous deux  en               même temps,

Amours jouis       S          sant l’instant.

Soubresauts         O            en galopeurs

Ne nous font        N                 plus peur,

Vivons à cent       *                    à l’heure

Comme gages      D                  du plaisir

En très libres       ‘              tout à loisir

S’aimant à            A            s’en réjouir.

L’union est           M          la fermeture

En sa bulle             O         sans couture

Révélant notre       U         vraie nature

Et le frisson qui       R        nous prend,

De lui, nous rend      *         dépendant.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

442 4

.

Évocation

.

Deux silhouettes humaines

Avec un cœur entre les deux

Se faisant face, de très près, 

Vers une union de couple ?

Visiblement, couple d’un homme, une femme

Orientation hétérosexuelle

Se prenant par la main avec un amour tendre

 prêts à consommer union !

 .

Symbolique 

 .

Dans l’univers mental humain,

Toutes les oppositions semblent

Bien s’ordonner en fonction du

Couple  masculin-féminin,

Recouvrant des oppositions

Telles que lumière-ténèbres,

Ciel-terre, droite-gauche, etc. 

.

Que des oppositions conceptuelles,

Telles forme-matière, pair-impair.

.

D’une  façon  générale, il  ressort

Des  systèmes  de pensées  dans

Différentes cultures humaines

Que  les  valeurs  masculines

Sont proches principe actif

Que les valeurs féminines,

De principes plus passifs.

universalis.fr/encyclopedie/

masculin-feminin-symbolisme

.

Descriptif

.

442Ton union provoque frisson d’amour   

Alignement central / Titre serpente / Thème sexualité

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : couple / Symbole de fond : union

.

.

Fond

.

Évocation

.

442 6

.

Qu’ils soient à côté l’un de l’autre,

Dos à dos  ou bien ….  face à face,

L’un en l’autre, lors leur  union,

Communique : frissons d’amour

 .

Symbolique 

 .

Une union entre deux êtres,

Que ce soit un mariage, amour

Sans officialisation administrative,

D’une connexion spirituelle, une amitié,

Sera représentée de bien différentes façons

Selon les cultures et préférences personnelles

Comme par exemple : par une chaine … au cou,

Par un anneau au doigt,  par des mains enlacées,

Par un nœud faisant boucle, par le Ying et le Yang.

 . 

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Deux personnes très proches dont on les sait

Alternativement  côte à côte puis  face à face

Comme pour célébrer de multiples manières

Leur union qu’ils exposeront au grand jour

Le tout rimant avec mains liées ou baisers.

.

L’un dans l’autre, leurs formes épousent

Leur fond, de leurs êtres je veux dire

Car le sexe et la bouche ne sont

Que des entrées en matière.

.

Union n’est pas fusion, fusion, n’est pas union

Et même si cela ne parait pas clair pour tous

Il ne faudra en rien entretenir la confusion

Car si un couple se déclare inséparables,

Ils demeurent dualité toujours sécable

Cela est vrai autant dans l’Œdipe,

Si fusion il y a, égal perdition.

 .

Visuel

.

.

Unions, frissons, d’un amour sensuel 

.

Visuels et textuels >>

441 – Touchers, gestes, d’amour

Visuels et textuels  >>

.

Touchers,  au pluriel,

Touchers essentiels,

Touchers sensuels,

Touchers   usuels,

Et communiquer

Et par ses mains,

Et, par son  corps,

Son désir, d’aimer,

L’autre au plus  fort.

Toucher des plus doux

Chatouillent tes genoux,

Arrête, arrête … c’est tout.

.

Lors tes yeux se fermeront

Signe que l’instant est bon

Entrer enfin  en ta toison.

Touchers  en  plein cœur,

Sur chemins du bonheur,

Je nous vois embrasseur,

Lèvres ici, lèvres ailleurs,

Tous deux en rire pleurs,

Tous deux  chamailleurs.

.

Gestes forts  et pour ruser

Pour jambes bien écartées,

Pour  cuisses   bien  relevées

Et  ceci, pour  bien  t’apprêter

À tous les préliminaires d’aimer,

Avec tout le reste de ton intimité

Car, quand  je viens, tu deviens

Surprise mais cela te va bien.

.

Prolongeons, encore, ce lien,

Qui nous lie en tout partout

Muqueuses, peaux, et tout,

Extérieur intérieur,  nous.

Pour finir, c’en sera trop :

Tu ne peux  tenir si haut,

D’être  reprise  il  te  faut,

Pour être pénétrée optime

Par nœud  coulant   ultime,

Profondeur de toison intime.

.

Parcourant en ballet étrange,

Entre bras, jambes, arrangent

Tous mouvements en balance,

En  corps,   en  même  danse,

Qui nous mènent  en  transe

Jusqu’à   notre  délivrance.

Le toucher est de sculpture

Infligeant au corps, torture,

Quand geste se fait pressant,

Faisant monter, tout son sang,

Vers doux plaisir qu’on ressent.

.

.

Extensions

.

Touché au sens figuré, vous le serez,

D’autant, que votre âme y consent,

S’abandonnant aux gestes d’un amour

Compatissant qui vous rend pleinement

Heureux en bras comme jamais ici-bas,

Voir, c’est également toucher de loin.

.

Toucher, c’est apprendre à voir.

L’enfant touche pour mieux voir,

L’adulte voit pour…mieux toucher.

Il n’y a pas  que la main  qui touche,

Il y a tout l’ensemble  de notre corps ;

.

Joue contre joue, poitrine contre poitrine

Dos contre dos, ventre contre ventre … etc.

Toucher la main, c’est déjà toucher le reste,

Toucher la bouche, c’est déjà toucher le sexe.

.

Toucher des matières, est leur donner forme,

Une densité, une dureté,  une identité connue.

Toucher le clavier, ou le papier avec votre stylo,

Ou encore la toile avec le pinceau, c’est interagir

Avec une surface, pour lui imprimer  son empreinte.

.

«J’ai été touché par ce que vous avez dit, l’autre jour»

Touché dans tous les sens jusqu’en ma propre essence !

.

De toucher du doigt quelque chose

Et être touché par quelqu’un (une)

Ont chacun un sens propre, figuré,

Et toucher c’est parfois s’approcher

Ou reconnaitre, apprécier, caresser.

.

Regarder avec les mains, toucher avec les yeux

Disent, les parents, à leurs enfants, tout petits,

Pour ne pas prendre  tous objets, à leur portée.

.

Les aveugles disent avoir des yeux aux doigts :

C’est plus qu’une métaphore, une vraie réalité,

Toucher du doigt a aussi un autre sens figuré,

Mettre le doigt sur quelque chose de sensible

 Et que ce soit un point douloureux ou joyeux

Laisserait l’autre dans un état… émotionné.

.

Amour sexuel, toucher est plus qu’essentiel

On appelle cela, parfois, des préliminaires :

Les touchers entraineraient au septième ciel

Sinon ce n’est autre que partie jambes en l’air.

.

.

441 – Calligramme

.

Touchers,  au pluriel,

Touchers essentiels,

Touchers sensuels,

Touchers   usuels,

Et communiquer

Et par ses mains,

Et, par son  corps,

Son désir, d’aimer,

L’autre au plus  fort.

Toucher des plus doux

Chatouillent tes genoux,

Arrête, arrête… c’est tout !

Lors  tes yeux  se fermeront

Signe que l’instant     est bon

Entrer enfin          en ta toison.

Touchers en               plein cœur,

Sur chemins    T         du bonheur,

Je nous vois     O           embrasseurs,

Lèvres ici         U            lèvres ailleurs,

Tous deux        C              en rire pleurs,

Tous deux         H             chamailleurs.

Gestes forts       R             et pour ruser

Pour jambes      R          bien écartées,

Pour cuisses       S         bien  relevées

Et ceci, pour             bien t’apprêter

À tous  les  préliminaires  d’aimer,

Avec tout le reste de ton intimité

Car, quand je viens, tu deviens

Surprise mais cela te va bien.

Prolongeons, encore, ce lien,

Qui nous lie en tout partout

Muqueuses, peaux, et tout,

Extérieur P  intérieur,   nous.

Pour finir,  O     c’en  D   sera trop :

Tu ne peux U       plus   ‘  tenir si haut,

D‘être         R      reprise     A    il te faut,

Pour être    *     pénétrée     M      optime,

Par nœud    G       coulant     O       ultime,

Profondeur   E     de toison   U      intime.

Parcourant   S     en ballet   R     étrange

Entre bras    T    jambes   S arrangent

Tous mouve  E  ments  * en balance,

En corps,   S   en même danse,

Qui nous    mènent en transe

Jusqu’à   notre délivrance.

Le toucher est de sculpture

Infligeant au corps, torture,

Quand geste se fait pressant,

Faisant monter, tout son sang,

Vers doux plaisir qu’on ressent.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

441 0

.

Évocation

 .

Difficile de trouver la  bonne forme :

Le  toucher des mains accrochées 

Main de femme en main d’homme ?

 .

On peut y voir un peu ce que l’on veut,

Mais moi, je trouve qu’une grande main

Enserrant petite me convient assez bien !

.

Une main en une autre, petite ou grande,

Est de l’aide ou amour :

Toucher est effleurer, caresser, masser

Et que sais-je encore !

 .

Symbolique

 .

Le toucher : est un des sens mis en œuvre par la main,

Nous permet de mieux connaitre notre environnement

Et de pouvoir pallier à nombreux dangers projetés.

.

La main reste la partie la plus mobile du corps,

Elle touche, palpe, discerne volume, matière.

.

Le toucher implique la notion de proximité,

De contact  d’où vient l’« attouchement ».

.

Et sur le plan intérieur, le toucher serait

Délicatesse, raffinement, discernement.

Modifié, source : ledifice.net

 .

Descriptif

.

441 Tes touchers pour gestes d’amours

Alignement central / Titre analogue / Thème sens

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : toucher / Symbole de fond : mains

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Une main en une autre, petite ou grande,

Est de l’aide ou amour :

Toucher est effleurer, caresser, masser

Avec les pouces, les doigts

 .

Symbolique 

 .

Les mains parlent, langage riche et complexe

 Exprime les sentiments. Émotions les plus diverses :

Colère (poing serrés), agacement,  attente,  incompréhension,

Joie, conviction, apaisement, demande, bienvenue, remerciement.

.

Par ailleurs, la langue des signes

Permet l’expressions des idées

Aussi précise que langage oral.

.

Les mains parlent aussi à travers

L’écriture,  traduisant les pensée s

En phrases  qui  pourront s’inscrire

Dans le temps et être à transmises.

jepense.org/symbolisme-de-la-main

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

Les mains ne sont pas jointes, se prennent, comprennent

Elles ne fusionnent avec l’autre  mais elles s’éprennent

De son contact, de son aide ou de son appel affectif :

 .

Le tout rime comme un couple qui se tient captif

Dès lors la forme épouse parfaitement le fond.

 .

Mets ta main en la mienne afin qu’advienne

Le sentiment qui nous unit et pour la vie !

Et c’est ainsi que commence l’harmonie,

De couple à se toucher partout, ravi.

 .

Visuel

.

 .

Les mains sur et dans la main

.

Visuels et textuels  >>

 

440 – Mains, caresses, d’amour

Visuels et textuels  >> 

.

Je te parle, avec mes mains,

Comme geste des plus divins

Qui, lors effleurant  ton corps,

Lui imprime son tendre accord.

Ma main se déplace … en surface,

Lentement, caresse  ta peau, douce,

Repart, revient et peu à peu elle trace

Des  sensations, produisant  secousses.

Lors  nos mains, se croisent, s’emmêlent

Tout autant que nos jambes, et nos bras :

Il n’y a plus d’endroits … que nos mains

Ne connaissent, dont ne se repaissent.

.

Mes mains te caressent,

D’une infinie  tendresse,

C’est fou : je le  confesse,

Et même si tu ne dis mot,

Tes murmures sur ta peau,

Susurrent plaisirs bas/haut.

Mains effleurent  et courent,

Vallées et monts  parcourent

Nos deux mains  concourent,

Provoquent  des  soubresauts

Du cou jusqu’au   bas  du dos,

En long, en large,  en cerceau.

.

Caresses, souffles puis baisers

Sur ta peau douce, très légers,

Parviendront        à te posséder

Et quand  ton  corps, je masse,

Sensation,   fugitive,    repasse,

Que  nulle  autre  ne   remplace

Car  toi-même, tu  le confesses,

En  propriétaire  de  tes fesses :

N’en suis qu’hôte et toi hôtesse,

Elles font partie du tout et reste

Elles me parlent aussi  du zeste,

De ton âme pure sans  conteste.

.

Lors : qui  ne dit mot,  consent,

Lors tu  t’abandonnes, le temps

Qu’il me  faudra,  en   explorant

Surfaces   diverses   de ta peau,

Frissonnantes   même  sur dos,

Résonnantes  ailleurs, d’échos.

.

Lors, entends  doux murmures,

De tes lèvres   qui  me susurrent

Mon prénom celui femme pure

Lors moi, j’ai le diable au corps

Pour plaisir,  plus fort,  encore,

Au point  je t’étreins,  très fort.

.

Main est ossatures,  jointures,

Entre   amoureuses  postures,

Et sa caresse est une adresse,

Munie d’une pleine tendresse

Sur ton corps que je confesse.

.

.

Extensions

.

De la pointe des pieds, jusqu’au sommet de la tête,

Nos mains s’affairent pour qui sait y faire.

Il n’y a d’autre meilleur préliminaire.

Quand le corps devient un instrument de musique,

De chambre ou d’orchestre, la main

Devient comme  archet sur cordes,

.

Vibrant  d’harmoniques, et, des plus  fantastiques.

Mains ne sont rien sans le cerveau

Qui les guide, rien, sans les sens qui les orientent,

Intentions qui les mettent en œuvre.

.

S’ils caressent et s’ils embrassent comme autant

De marques de tendresse, elles peuvent,

Tout autant, frapper, gifler, blesser, étrangler…

Et que sais-je encore de plus pratique !

.

Toucher des mains, joindre ses mains, se prendre par la main.

Premier contact, première sensation, communication engagée,

Quant à «refuser sa main» ce n’est qu’une métaphore pour sexe

Des expressions, avec la main, il y en tant et tant, il y en a plein,

Les sourds en auront fait  tout un langage, avec gestes, complet.

.

La main  est un outil, une parole, une intention, une projection,

Et lors il devient caresse, ce sera autant au cœur qu’il s’adresse

D’avoir deux mains, avec un pouce, permettant la préhension,

Constitue  une caractéristique de l’homme et certains singes.

.

Deux mains avec, chacune, cinq doigts

Dont un, le pouce, la rend préhensible,

Même si certains gestes, inappropriés,

Sont considérés  étant répréhensibles.

.

Mains servent, d’abord  et avant tout,

A faire, fabriquer, attaquer, défendre,

Puis, en second lieu, à communiquer.

Tant, dans le toucher, dans la caresse,

Tout est une question de tact, dosage,

Une différence entre frôler et masser,

Ou divergence entre frotter et boxer.

.

Prendre la main, n’est pas l’effleurer,

Caresser la main, n’est pas la baiser,

Se toucher les poings, pas la serrer,

Autant de codes…à bien respecter.

.

.

Épilogue

Sans notre belle et forte main,

Et la particularité d’opposition

De son pouce pour préhensions

Ni sans la finesse de ses doigts

En vue de meilleures adresses,

Cerveau ne se serait développé

Et réciproquement,  bien sûr !

On dit pattes  pour  animaux,

Et on dit griffes pour oiseaux.

.

Pour connaitre notre destinée,

Faut lire entre lignes de main :

N’allons pas si loin, car demain

Ne dépendra pas d’un signe né.

La mort, l’amour ne se devinent,

Sont évènements  qui culminent

Dans des états de peine et de joie

Mains sont en action ou en croix.

.

Pour faire sa demande en mariage

L’homme devait demander la main

De dulcinée à son père, parentalité,

Le reste avec,  tout comme il se doit,

Avant de lui passer la bague au doigt

Et pour finir, par prendre … son pied,

Il en était réduit à de telles extrémités.

.

De toucher la main,  ou prendre la main

La serrer, la porter contre soi, sa poitrine

Est signe d’empathie, émotion, solidarité.

Toute caresse reste pleine d’une tendresse,

Qui nourrit corps, cœur et âme en détresse,

Tout comme elle étale son baume de plaisir.

.

On ne finit pas d’évoquer  tout ce que la main

Sait faire, peut faire et tant en bien qu’en mal :

On parlera de torture, de souillure, de blessure ;

On parlera de couture, de sculpture, de peinture,

Pour ne citer qu’elles parmi centaines ou milliers.

.

.

440 – Calligramme

.

Je te parle, avec mes mains,

Comme geste des plus divins

Qui, lors effleurant  ton corps,

Lui imprime son tendre accord.

Ma main se déplace … en surface,

Lentement, caresse  ta peau, douce,

Repart, revient et peu à peu elle trace

Des  sensations, produisant  secousses.

Lors  nos mains, se croisent, s’emmêlent

Tout autant que nos jambes, et nos bras :

Il n’y a plus d’endroits … que nos mains

Ne connaissent, dont ne se repaissent.

Mes mains te caressent,

D’une infinie   tendresse,

C’est fou : je le    confesse.

Et même si tu ne     dis mot,

Tes murmures sur        ta peau,

Susurrent plaisirs    M      bas,  haut.

Mains effleurent       A        et courent,

Vallées et monts       I        parcourent

Nos deux mains     N     concourent,

Provoquent des    S     soubresauts

Du cou jusqu’au        bas du dos,

En long, en large     en cerceau.

Caresses, souffles, puis baisers

Sur ta peau douce, très légers,

Parviendront      à te posséder

Et quand ton corps, je masse,

Sensation,   fugitive,  repasse,

Que nulle autre ne     remplace

Car, toi-même,  tu le confesses,

En propriétaire de    C  tes fesses :

N’en suis qu’hôte et toi  A   hôtesse,

Elles font partie du tout  R    et reste

Elles me parlent aussi     E   du zeste,

De ton âme pure sans     S     conteste.

Lors : qui ne dit mot,      S       consent,

Lors tu t’abandonnes     E         le temps

Qu’il me faudra, en        *          explorant

Surfaces diverses        D          de ta peau,

Frissonnantes             ‘        même sur dos,

Résonnantes,          A       ailleurs, d’échos.

Lors, entends        M        doux murmures,

De tes lèvres         O          qui me susurrent

Mon prénom       U         celui femme pure,

Lors moi j’ai        R           le diable au corps

Pour plaisir,     plus          fort,          encore,

Au point        je t’é         treins,        très fort.

Main             est os        sature         jointure,

Entre            amou         reuses        postures,

Et sa            caresse         est une        adresse,

Munie           d’une          pleine         tendresse

Sur ton          corps           que je         confesse.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

440 4

.

Évocation

 .

Un bras, en haut ;

 Un poignet, une main,

Et des doigts, en bas :

Et le compte y sera ?

 .

Une main, au bout d’un poignet,

Au bout d’un bras et d’un cerveau 

Et Dieu sait tout ce qu’elle serait

Capable de faire, par amour !

  .

Symbolique

 .

Les gestes impliquant les mains

 Sont innombrables.

Chacun de ses signes permettent

De communiquer.

.

Par exemple, la bonne poignée

De main, secouée,

La main levée, avec la paume

Tournée vers extérieur,

Ou encore  le baisemain,

Sont  façons de se saluer.

.

Au contraire, fermer sa main

Pour montrer le poing

Est plutôt un signe d’hostilité,

Agressivité, combativité.

Source : 1001 symboles

 .

Descriptif

.

440Tes mains pour caresses d’amour 

Alignement central / Titre analogue / Thème sens

Forme courbe droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : mains / Symbole de fond : doigts

.

.

Fond

.

Évocation 

.

440 6

.

Un, deux, trois quatre cinq doigts ou le pouce

Contre l’index, majeur, annuaire

Et le petit dernier qu’on dénomme auriculaire

Le seul à pouvoir aller en l’oreille !

 .

Symbolique 

.

Doigts

Le symbole

De  précision,

De  mouvement,

Et ils représentent

Moments  présents.

.

Si  on ressent  regret,

Remords : on  se  mord

Les doigts, culpabilisant

Lever l’index  est symbole

De la force d’un caractère,

Des décisions, de l’autorité.

.

Il serait utilisé  pour donner

Des ordres ou pour menacer

Faire comprendre, montrer

Quelque chose à quelqu’un.

psycho2rue.fr/doigt

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le poignet, la main, les doigts : merveille !

Et quand elles sont jointes,  elles sont pareilles,

Comme deux rimes qui se répondent… en échos,

Elles se croisent, elles se fondent, comme stéréo.

.

Il n’y a rien qu’elles ne puissent faire, ni défaire,

Le fond épousera toute forme qu’on lui donnera.

Lors si c’est l’esprit, la pensée qui choisit les vers,

C’est bien une main qui les écrit, qui les transcrit.

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On peut, parait-il, lire dans les doigts de la main

On y croit, on y croit pas, on croise les doigts !

Sûr, que main caresse et frappe d’une claque,

Masse, cogne du poing, parfois même, tue !

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Bouts des doigts est un des endroits du corps

Ou l’on disposera de la plus grande sensibilité

Ça tombe bien par les caresses et tout toucher.

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Visuel  

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Douce et tendre caresse d’amour

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