770 – L’enfant passera des larmes aux rires

 Textuels et illustrations   >>

             .

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème 

.

L’enfant rit

Puis soudain

Enfant pleure,

Sans qu’il y ait

Eu  un malheur

.

Humeur, n’étant

Pas encore  fixée,

Elle tangue, roule,

Selon   son   idée !

.

Car, dès que  cela lui

Échappe,  est étranger

Il prend de  suite, peur

Il tient  à le manifester,

Bruyamment  en pleurs

En réclamant   douceur.

.

Une fois dans  les bras,

De mère conso  latrice

Il se calme  et   il rit

Comme   E * ravi

.

L’enfant passera du rire aux larmes

Comme si…les instants précédents

Avaient fait…peu d’impressions

Sur lui, sur son tempérament.

.

L’enfant passe d’inertie à l’action,

Est là, regarde, contemplation :

Il mélange acte et imaginaire,

Réalité abstraite, arbitraire.

.

L’enfant est innocent ou pervers,

Parfois les deux, le contraire,

Il est jaloux, coupable, fier

Demain autant que hier.

.

L’enfant est un adulte miniature,

Qui apparait, adulte immature,

Enfant surprend de logique

Tout autant de magique.

.

Arrêtez : l’enfant est ce qu’il est,

Ce que nous aussi, en faisons,

Il a, à la fois, tort et raison,

Tantôt génie, tantôt benêt.

.

Si l’enfant vous pose problème,

C’est qu’il cherche ses limites,

Et si en tout, il vous…imite,

C’est qu’il vous bien aime.

.

Observer l’enfant, vous verrez

Homme miniature en entier,

Qui s’inscrit et se construit

En ses rêves, réinvestis.

.

Terminé, non, restant enfant,

On ne termine jamais d’être

Y a toujours un peut-être

Se conjuguant autant.

.

Extensions

 .

L’enfant, bébé, réagit

Comme un animal, qu’il est,

Et un animal en outre prématuré.

Il manifeste ses émotions sans filtre

Ni interprétation et au premier degré.

Qu’il passe du rire aux larmes n’a rien

D’anormal, il évacuera  ses  tensions

Les manifestera comme il les sent.

Simple fait de revenir au contact

De sa mère le rassure tant

Il fait entièrement corps

Avec elle et la lecture

De l’expression souriante

Sur son visage suffit à le calmer.

Le danger s’il existe, n’est plus pour lui.

Un visage étranger le perturbe : même si ce

Dernier sourit, c’est pas l’empreinte qu’il attend.

.

Crier, pleurer, verser des larmes

 Est aussi naturel et fréquent

Chez le tout jeune enfant

Que rire et sourire

Faut se le dire

Lors des signes

Avant ….. coureurs

Se profilent sur visage,

De lecture, compréhension,

Directes, il faudra les compenser.

.

L’enfant est une éponge :

Il absorbe tout ce qu’il voit

Ce qu’il sent, ce qu’il ressent,

Sans recul, au premier degré !

.

On lira, sans cesse, sur ses airs,

Ses émotions de nature primaire,

Il n’en a pas encore de secondaires

Avant trois/quatre ans, langagières.

.

S’il ne développe, entretient émotions,

Il y aura comme un soupçon d’autisme

Pour autant il ne faut pas d’alarmisme :

L’enfant changera vite lors socialisation.

.

Fragments 

.

On dit que l’enfant, petit, est ceci,

Quand d’autres prétendent, est cela,

Pour autant, on ne dit  n’importe quoi,

D’autant que tous, enfant, sommes ravis.

.

Il est vrai qu’avant trois ans, il n’est pas fini,

Il y a tant de changements qui se feront en lui,

Que ses humeurs, avec parfois un rien, varient :

Toutefois il saura ce que pleurs et rires nous dit.

.

La différence avec nous, qui sommes conscients

De nos états mentaux, états sensitifs, intérieurs

Nous ne passons pas de l’un à l’autre aussi vite

Ni aussi souvent : certains ne pleureront plus.

.

N’apparait la palette de toutes nos émotions,

Que plus tard, avec le contrôle d’expressions

Cela, de manière universelle en interaction

Qui nous fera dire, n’y a pas qu’imitation.

.

Le bébé, réagira au visage qu’il connait

Par un rire,  ne connait pas le sourire,

Et devant visage inconnu, il l’ignore,

Ou manifestera sa peur par pleurs.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

                        L’enfant  D  rit

                       Puis sou  U   dain

                      Enfant   *    pleure,

                  Sans   R    qu’il y ait

                Eu     I    un malheur,

           Hu     R  meur, n’étant

        Pas    *  E    encore  fixée,

     Elle     E    *    tangue, roule,

  Selon    N         A      son   idée !

Car, dès   F             U   que  cela lui

Échappe,   A                 X   est étranger

Il prend de  N                   *       suite, peur

Il tient à le   T                       L manifester,

Bruyamment  *                    A    en pleurs

En réclamant   P                R     douceur

Une fois dans   A             M    les bras

De mère conso  S        E    latrice

Il se calme et  S      S     il rit

Comme   E * ravi

.

**********************************

L’enfant passera du rire aux larmes

Comme si…les instants précédents

Avaient fait…peu d’impressions

Sur lui, sur son tempérament.

.

L’enfant passe d’inertie à l’action,

Est là, regarde, contemplation :

Il mélange acte et imaginaire,

Réalité abstraite, arbitraire.

.

L’enfant est innocent ou pervers,

Parfois les deux, le contraire,

Il est jaloux, coupable, fier

Demain autant que hier.

.

L’enfant est un adulte miniature,

Qui apparait, adulte immature,

Enfant surprend de logique

Tout autant de magique.

.

Arrêtez : l’enfant est ce qu’il est,

Ce que nous aussi, en faisons,

Il a, à la fois, tort et raison,

Tantôt génie, tantôt benêt.

.

Si l’enfant vous pose problème,

C’est qu’il cherche ses limites,

Et si en tout, il vous…imite,

C’est qu’il vous bien aime.

.

Observer l’enfant, vous verrez

Homme miniature en entier,

Qui s’inscrit et se construit

En ses rêves, réinvestis.

.

Terminé, non, restant enfant,

On ne termine jamais d’être

Y a toujours un peut-être

Se conjuguant autant.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une sorte de torche olympique

Sur un transfert entre deux sites,

Pile d’expressions possibles en bas

Basée sur  flamme  émotion  en haut.

.

770 4

Son expression est changeante au gré

Du vent, événement.

L’enfant ne maitrise, n’anticipe point,

Ses émotions.

 .

Symbolique

 .

              Les

           Enfants

      Inventent,

   Racontent et

 Sym-bo-li-sent

Leurs   expériences

À travers des histoires.

Le font à travers leurs jeux

Ou leurs dessins,  dans lesquels

Ils représentent une réalité issue

De l’imitation ou imagination.

 

              Les

          Géants,

    Poupées, fées,

Ont, souvent, des 

Rôles     principaux,

Fréquemment basés sur

Leurs parents, frères, sœurs,

Membres de leur famille et amis,

Fonction symbolique chez l’enfant,

L’aiderait à générer ses moyens

D’expression, souvent base

Pour résoudre un conflit.

etreparents.com/limportance-de-la

fonction-symbolique-chez-les-enfants

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

770 6

.

Son expression est changeante au gré

Du vent, événement.

L’enfant ne maitrise, n’anticipe point,

Ses émotions. 

 .

Symbolique 

 .

Il existe une théorie

 «Émotions de base :

La Joie, Tristesse, Peur,

Colère, Dégoût, Surprise.

Les émotions secondaires,

La nostalgie par exemple,

Sont des mélanges des

Émotions de base.

.

On parle d’émotions mixtes

Pour les émotions secondaires.

Par exemple, d’après Paul Ekman

La honte  est  une émotion mixte :

Un mélange de peur et de colère,

Bloquée ou retournée contre soi

Source : Wikipédia Émotion

 .

              Les

           Enfants

      Inventent,

   Racontent et

 Sym-bo-li-sent

Leurs   expériences

À travers des histoires.

Le font à travers leurs jeux

Ou leurs dessins,  dans lesquels

Ils représentent une réalité issue

De l’imitation ou imagination.

 

         

 .

Fond/forme 

 .

Labilité définie comme propension

À changer, à bouger, à être mobile

Pour l’expression, pour la position,

Comme passer  du rire aux larmes,

Comme être sur le ventre, sur le dos

Tant il ne peut s’empêcher de réagir

Manque de contrôle et immaturité,

Déclenchant sensations de danger.

.

 Textuels et illustrations   >>

769 – C’est l’enfant qui fait devenir parents

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Éteint

É-tin-celle

De fécondation,

Moment où se joue

Instant où nouvel être

Commence à apparaitre,

Deux partenaires parents.

 Hormis imprévu, accident

Disparition et avortement

Si tout va bien : bonheur,

Pour nos deux géniteurs.

.

L’un voulait…. l’autre pas…. ou moins

Voilà que devant … bébé, il … devient gaga

Et elle se révèle …… avec instinct maternel,

L’enfant les force….. à choix existentiel.

.

C’est l’enfant qui fait

Devenir parents, en vrai

C’est pas l’enfant qu’on fait

Il nait comme une étincelle

En ventre d’une jouvencelle,

Fécondée par le mâle en elle.

Ses spermatozoïdes évoluent,

Vers un ovule à portée de vue :

Premier   qui est arrivé, réussit

Une percée en lui, percée de vie.

Il était temps autres s’amoncellent

En nombres, et, autour de lui, d’elle.

L’adn est dé-doublé  est  reprogrammé

Et à présent divisé, méiosé  démultiplié !

Nouvel être issu d’œuf humain, vient naitre

À une vie, commence voyage chez les terriens,

Neuf mois  en capsule avant sortir de sa lune,

Gémissant, en étonne, plus d’un, plus  d’une.

C’est parti pour les dix-sept à vingt-cinq ans

Pour soins  physiologiques psychologiques

Sans une éducation trop  systématique.

Sur vous fait premières de lait dents,

Dents pour mordre  dans la vie

.

Cycle,  recommencé  lui aussi

Désiré  d’un enfantement

Des fois  …  accidenté.

Enfant que l’on fait,

Est  qui nous plait,

À  ce qu’il  parait,

Nous renaitrait,

C’est bien fait,

C’est parfait,

Et ça se fait

C’est vrai

Ou…ais

VVV

.

Extensions

 .

L’enfant qu’on fait

Et  qui nous plait,

À ce qu’il parait,

Nous renaitrait,

Devenu grand-parent,

Et que l’on jouera avec lui.

.

C’est bien fait, c’est parfait

Quand ça se fait, c’est vrai, ouais,

Que c’est le plus beau cadeau qu’on ait.

.

Même s’il nous prend une partie de notre vie,

On ne le regrette jamais : c’est l’enfant qui fait

Devenir parents, suite à une longue maturation

Ou préparation, par accident ou par la force

Des choses mais au final, qu’importe

Si la mue est réussie.

.

Il y a comme un changement radical, d’avoir un enfant.

Rien ne sera plus, désormais, tout à fait, comme avant !

Pour être passé par là, je le confirme

Et c’est le premier qui vous… baptise,

Pour entrer, avec lui, en communion,

Pour la vie entière sinon une portion.

Après, y a parents et parents : c’est normal, c’est animal :

Y a ceux qui vous couvent, ceux qui vous…autonomisent.

Souvenez-vous de votre propre enfance

Vos parents vous suivaient partout ou lâchaient la bride.

.

L’enfant est un bonheur

Et une charge… immense,

L’enfant est accroche-cœur,

Lors une occupation intense.

.

On n’est jamais assez préparé,

À devenir parents, en âge d’être,

Certains, trop tôt, ne savent faire,

D’autres très tard, le materne trop.

.

Y-at-il de bonnes, mauvaises mères,

Des mères délaissant, faisant misère

Y-at-il de bons et de mauvais pères,

Qui n’aiment, n’aident leur enfant !

.

Renier ses parents, arrivé grand,

Couper les ponts sans nouvelles

Suppose de mauvais parents

Amour n’a rien d’éternel !

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

Calligramme  

.

Éteint

É-tin-celle

De fécondation,

Moment où se joue

Instant où nouvel être

Commence à apparaitre,

Deux partenaires parents.

 Hormis  imprévu, accident

Disparition et avortement

Si tout va bien : bonheur,

Pour nos deux géniteurs.

.

L’un voulait…. l’autre pas…. ou moins

Voilà que devant … bébé, il … devient gaga

Et elle se révèle …… avec instinct maternel,

L’enfant les force….. à choix existentiel.

.

C’est l’enfant qui fait

Devenir parents, en vrai

C’est pas l’enfant  qu’on fait

Nait comme  E      une étincelle

En ventre d’u  N    ne jouvencelle,

Fécondée par    F      le mâle en elle.

Ses spermato      A        zoïdes évoluent

Vers un ovule        N         à portée de vue,

Premier                    T               arrivé, réussit

Une percée en    *     lui,     *         percée de vie.

Il était temps     N      autres    Ê      s’amoncellent

En nombres     O        et autour      T      de lui, d’elle.

L’adn est        U           dé-doublé         R  reprogrammé

Et à présent  S           divisé, méiosé       E    démultiplié !

Nouvel être  *          issu d’œuf humain,     *     vient naitre

À une vie,     F       commence voyage chez  P     les terriens,

Neuf mois    E      en capsule avant sortir   A        de sa lune

Gémissant   R      en étonne, plus d’un     R    plus   d’une.

C’est parti,  A      pour les dix-sept à    E  vingt-cinq ans

Pour soins  I       physiologiques     N psychologiques

Sans une    T   éducation trop    T systématique.

Sur vous   * fait premières  * de lait dents,

Dents    *  pour mordre  *  dans la vie

.

Cycle,  recommencé  lui aussi

Désiré  d’un enfantement

Des fois  …  accidenté.

Enfant que l’on fait,

Est  qui nous plait,

À ce qu’il  parait,

Nous renaitrait,

C’est bien fait,

C’est parfait,

Et ça se fait

C’est vrai

Ou…ais

VVV

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une pelote de liens

Génétiques  en  fuseau

D’une hérédité dite sexuée

Conception liens naissance.

.

769 4

.

Cela, bien avant sa naissance

À sa conception même,

C’est l’enfant qui tisserait un lien

À vie entres ses deux parents.

.

Symbolique 

.

Avoir un enfant heureux, épanoui,

Armé pour affronter la vie…

C’est là le vœu le plus cher de tous les parents,

Avant même la conception.

Si l’éducation, l’amour et le soutien apportent

Certaines clés à l’enfant dès

Ses premières années, on pense moins souvent

Que la grossesse, la naissance

Pourraient avoir un impact sur la personne

Qu’il deviendra plus tard.

Pour Lise Bartoli, psychologue clinicienne,

Hypnothérapeute et auteure de

Dis-moi comment tu es né, je te dirai qui tu es

(Éditions Payot Psy), cette période

Est pourtant essentielle au bien-être immédiat

Et à long terme du futur bébé.

laurencepernoud.com/grossesse/psychologie-

femme-enceinte/personnalite-estime-soi

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

769 6

.

Cela, bien avant sa naissance … 

À sa conception même,

C’est l’enfant qui tisserait un lien

À vie entres ses deux parents.

.

Symbolique 

.

Un bébé qui développe

Un lien  d’attachement

Stable et sécurisant avec

Ses parents  et  durant les

Premières années de sa vie

Aura plus de chances d’être

Bien équipé pour gérer les

Situations difficiles tout

Au long de sa vie.

 

Au contraire, un bébé

Qui n’a pu former ce lien étroit

Avec des adultes et  significatifs

Pourrait  avoir  des   difficultés

À s’adapter à la vie de groupe,

L’attachement  serait  même

Un élément le plus essentiel

 À la survie d’être humain.

Source : naitreetgrandir.com/fr/

etape/0_12_mois/viefamille

.

.

Fond/forme 

.

Pour certains un lien s’établit avant,

d’autres pendant, d’autres après

la naissance de leur enfant !

La mère prend de l’avance

sur le père qui débarque

elle l’a porté, fait naitre

et elle nourrit au sein

le père donne le bain,

alternance le change.

.

 Textuels et illustrations  >>

768 – L’enfant naît comme liesse des parents

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Enfant

 Qui   nait

Fait   la joie

Des    parents,

Tant    tout il est

Un  nouvel   espoir

Nouvelle    aventure,

Nouvel  être  sur Terre,

Nouveau rire, en maison.

Il est encore un prématuré,

Vu nombre de mois où il nait

De même  qu’il est  prématuré,

De  savoir  ce  qu’il  deviendrait,

S’il était né, ailleurs, d’autre cité,

De parents riches voire miséreux.

.

L’enfant  nait,  comme  une liesse,

Des  parents, qui  le reconnaissent,

Comme un  être encore prématuré,

Qu’il faudra bien sûr accompagner,

Maintenant et, toute sa vie, durant.

L’enfant nait comme une promesse,

D’une aventure,  et nouvelle adresse

De soins  et  d’amours  à  dispenser,

De craintes  voire  espoirs  à cerner,

Ce n’est pas  qu’une  page  blanche :

Ce  ne  sera  pas, non plus, un  ange.

.

L’enfant nait comme tempérament,

Se transforme au contact de parents

En caractère qui s’affirme, s’oppose,

Mais, ce ne sont  que jeux, qu’il ose,

Il sait qu’il sera soutenu et toujours,

Et qu’il est fruit d’un très bel amour

Enfant nait en ayant un beau destin

Que, peu à peu, et seul,  il fera  sien,

Parmi d’autres, son propre chemin,

Et  ce, jusqu’à ce qu’il le sente bien,

Parents  sont  ainsi  récompensés !

 .

Quoi, de plus beau, que  de donner

La vie sinon que de la transformer

En valeurs,  en bonheurs, en arme

Pour se défendre contre vacarme

Du monde lors quittant le cocon

Familial, où  tout  tourne rond.

Enfant, que je ne connais pas,

D’yeux noirs, verts, ou bleus,

Aux  sourires, faciles,  déjà,

Fait rire le frère anguille,

En charmante famille

Rayonnant joyeux

Il vous  ouvre

Une  porte.

.

Extensions

 .

L’enfant nait comme liesse,

Et de parents qui l’ont désiré,

Et qui ne pensent qu’à le choyer

Comme le plus beau des cadeaux

Que la nature a offert pour passer

Le restant de leur vie sur la Terre.

.

L’enfant rendra, toujours, ce qu’on

Lui donne, d’une manière ou autre

En présence, en soins, attachement,

Amusement, bien avant qu’il soit grand,

Et longtemps après avoir quitté ses parents.

.

Il ne le donne pas en argent mais en sentiment,

En attachement, partageant enfants petits-enfants.

.

L’enfant ne saura pas qu’en naissant,

Il fait une  joie immense à ses parents,

Il se contentera  d’être là,  l’air  content,

Comptant  sur eux, mais, cela est animal,

L’un, l’autre comme son seul lien parental,

Qu’il ressent comme comportement normal.

Cette relation, de totale confiance, le grandit.

Il ne le sait pas bien  encore, mais il y souscrit,

Et si on le laisse seul, on l’abandonne, il dépérit.

.

L’enfant est loin d’être une page blanche

Ne serait-ce que par génétique, hérédité !

.

Ensuite il reconnaitrait la voix de sa mère,

Il a déjà quelques expressions, émotions !

.

Ensuite il décode la joie  de ses parents,

Comme un bien être très réconfortant.

.

Ensuite, il criera  quand il aura faim,

Il pleurera en cas de gêne, abandon.

.

Enfin, il observe tout l’entourage,

Sans compter l’environnement.

.

Fragments

.

Une cellule, fécondée, unique,

Qui se divise en deux, plusieurs

Donnant naissance au meilleur

La forme épousera bien le fond.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

.

Enfant

 Qui   nait

Fait   la joie

Des    parents,

Tant    tout il est

Un  nouvel   espoir

Nouvelle    aventure,

Nouvel  être  sur Terre,

Nouveau rire, en maison.

Il est encore un prématuré,

Vu nombre de mois où il nait

De même  qu’il est  prématuré,

De  savoir  ce  qu’il  deviendrait,

S’il était né, ailleurs, d’autre cité,

De parents riches, voire miséreux.

.

L’enfant nait, E    comme une liesse,

Des parents,  N   qui  le reconnaissent

Comme un   F   être encore prématuré

Qu’il faudra  A   bien sûr accompagner

Maintenant    N  et toute sa vie durant.

L’enfant nait     T       comme promesse,

D’une aventure      *      nouvelle adresse

De soins et d’amours     N    à dispenser,

De craintes et d’espoirs,   A      à cerner :

Ce n’est pas qu’une page    I      blanche :

Ce ne sera pas non plus,   T      un  ange !

.

L’enfant nait comme   J     tempérament,

Se transforme au     O contact de parents

En caractère qui     I   s’affirme, s’oppose,

Mais, ce ne sont    E     que jeux, qu’il ose,

Il sait qu’il sera    *   soutenu et  toujours,

Et qu’il est fruit  D     d’un très bel amour

Enfant nait en    E  ayant un  beau destin

Que, peu à peu  S      et seul,  il fera  sien,

Parmi d’autres  *      son propre chemin,

Et ce, jusqu’à    P   ce qu’il le sente bien,

Parents  sont    A   ainsi  récompensés !

R  ….…..

Quoi, de plus  E     beau que de donner

La vie sinon   N que de la transformer

En valeurs,   T en bonheurs, en arme

Pour se dé  S fendre contre vacarme

Du monde *  lors quittant le cocon

Familial,    où  tout  tourne rond.

Enfant,  que  je ne connais pas,

D’yeux noirs, verts, ou bleus,

Aux  sourires, faciles, déjà,

Fait rire le frère anguille

En charmante famille

Rayonnant joyeux

Il vous  ouvre

Une  porte.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une forme étrange

 Comme une bactérie

Longue, et  oblongue,

Une graine, unicité ?

.

768 4

.

Une graine d’humain,

Ça ne pousse pas en terre : en utérus.

Il y a loin d’une unicité

Cellule à des milliards, pour l’humain !

 .

Symbolique 

 

Pour notre

Mère nature

L’essentiel    est

Bien  la  graine,

Des graines ou des

Noyaux. Du  point  de  

Vue  symbolique, graine,

Et  le noyau : c’est l’esprit.

Chair, est espace pour l’âme

Lors peau, enveloppe matérielle

Corps physique, on voit, touche.

L’homme véritable : pas  corps

Mais ce point imperceptible

Qui est là, quelque part

 Au-dedans, qui pense,

Qui aime, qui crée

 Et qui vit sa vie.

groups.google.com/forum/#!topic/

francom.esoterisme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

768 6

.

Une graine d’humain,

Ça ne pousse pas en terre : en utérus !

Il y a loin d’une unicité

De cellule à des milliards, pour l’humain !

  .

Symbolique 

.

Le problème des rapports

De l’appareil neuropsychique

Avec le tout de tout l’organisme

Serait maintenant clairement posé

Grâce aux progrès ayant été réalisés

Dans recueils des connaissances des

Communication s… intercellulaires.

En dépit de la complexité  des liens

Qui unissent les milliards de cellules

Constituant  le corps de l’être humain.

Les  deux  caractéristiques …  essentielles

Des êtres pluricellulaires sont unité, unicité.

Ces caractéristiques indissociables se retrouvent

À tous les niveaux et de structures  et de fonctions,

Que celles-ci soient ou non qualifiées de psychiques,

Que l’on considère l’organisme simplement comme

Un ensemble intégré ou comme une personne.

cairn.info/l-homme-fou–9782130461623-page-151

 .

 .

Fond/forme

.

En culture biologie, il n’y aura pas

De bonnes ou de mauvaises graines

Il n’y aura que des graines tout court.

.

C’est l’homme si ce ne sont les animaux,

Qui les séparent et puis les sélectionnent .

.

L’enfant ne sera pas la graine,  sera est issu

De deux germes des parents, qui ont fusionné

Pour donner troisième germe mâle ou femelle,

C’est la loi de la nature qui prévaut et renouvelle.

 .

Textuels et illustrations  >>

767 – Il n’y avait rien et soudain quelqu’un !

 

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Étonnant, fantastique…

Et finalement merveilleux,

De rien, de pas grand-chose,

Quelque  chose  de  minuscule,

Devient spécimen d’être humain,

Développe programme génétique,

Qui sera générique et spécifique,

Et en lequel, chacun s’inscrira

Quel chacun se reconnaitra,

Chacun, sa vie, réussira

Peut-être en tous cas

Rien  n’est  joué.

.

Au        départ,

Il     n’y     avait

Rien  et soudain

Il  y a   quelqu’un.

Quand l’enfant nait,

L’enfant,  rien,  ne sait,

Enfant, sans cesse, renait,

Enfant apprend ce qu’il est !

.

Il  n’a  rien  d’une  page  blanche,

Et quand sa mère vers lui s’épanche,

Il possède déjà ses neuf mois d’existence

Et niché  dans son ventre, où il se balance,

Enfant capte tous mouvements, formes ici,

Qui surgissent  en  nouvel  environnement :

Enfant  réagit  par  ses sourires, pleurs, cris

En créant  émotion, empreinte,  sentiment !

.

Il est faux de penser  qu’enfant  est  bien né,

Une fois pour toutes, un jour  du calendrier,

Il nait chaque jour en lui autant qu’en nous

D’un désir qui ne finirait pas de naitre fou,

Sa pensée se forme peu à peu, en séparant

Ses sensations de l’intérieur,  d’extérieur.

.

Quand il rit, rit-il vraiment  de bonheur,

Ou de celui produit miroir des parents.

Ses pages se remplissent  et s’effacent,

Ce sont essais, premières  sont traces,

Conforte intimes réactions, relations

Avec ses deux parents, progressions.

.

Il faut être fou pour faire un enfant

Et bien plus pour le rester, rebelle,

Notre monde réel bien trop cruel,

Pour faire l’enfant éternellement

À  autres  réactions, froissées,

À  d’autres  pages, raturées,

Enfant, se  crée  et  se fait

Bien   après   qu’il   nait,

Évanescent,    naissant,

Enfant en tous cas, est.

.

Extensions

 .

Il n’y avait rien

Et puis soudain

Un très fort lien,

Et qui vous tient

Vingt ans  durant

Très  attaché à lui,

Comme à la prunelle

De vos yeux afin qu’il

Réussisse dans la vie

Et réussisse sa vie.

Si rien n’est écrit,

Rien n’est blanc,

Tout est devant,

Et tout est enfant,

Fruit papa, maman.

.

Conçu, attendu, venu : un peu comme veni, vidi, vici

Pour : je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu, de Jules César.

Sans atteindre de telles hauteurs et rapidités de vues,

L’enfant est déjà une personne à sa conception même

Viable, entière, divine : cela se discute et se dispute.

Je n’entrerai pas, ici, dans un tel débat de survie

À tout prix car c’est à la loi de le déterminer

Cela n’enlève rien au principe de fond :

Enfant nous ferons, est, aimons !

.

J’imagine, moi aussi, avoir été

     Désiré,  conçu,  attendu et choyé :

        Troisième enfant après deux sœurs,

           Beau garçon cette fois, quel bonheur !

.

            Ne me souviens de rien, quel dommage

           Peut-être d’avoir été, longtemps bercé,

         Ou d’avoir entendu voix haut perchée

         De ma mère,  comme dans un nuage.

.

       Rien, soudain quelqu’un, attention :

     C’est au moment de la fécondation

     Et non de la naissance, apparence,

    Qui fonde, socialement, existence.

.

Fragments 

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme   

.

  Étonnant, fantastique…

   Et finalement   merveilleux,

    De rien, de pas  *  grand-chose,

    Quelque chose  R  de  minuscule,

         Devient spécimen I    d’être humain,

          Développe program  E  me génétique,

        Qui sera générique et  N  spécifique

        Et en lequel, chacun *  s’inscrira

       Quel chacun se reconnaitra,

   Chacun, sa vie, réussira

  Peut-être en tous cas

 Rien n’est joué

 Au       départ,

   Il     n’y    avait

       Rien  et soudain

           Il  y a   quelqu’un.

               Quand l’enfant nait,

                     L’enfant,  rien,  ne sait,

                          Enfant, sans cesse, renait,

                               Enfant apprend ce qu’il est !

                                    Il n’a rien  d’une page blanche,

                                              Et quand sa mère vers lui s’épanche,

                                                     Il possède déjà ses neuf mois d’existence

                                                           Mais niché dans son ventre où il se balance

                                                          Enfant capte tous mouvements, formes ici

                                                               Qui surgissent en nouvel environnement……

                                                          Enfant réagit par ses sourires pleurs, cris

                                                              En créant émotion, empreinte,  sentiment.

                                                                Il est faux  de penser qu’enfant  est  bien né

                                                                    Une fois  pour toutes,  un  jour  du  calendrier,

                                                                     Il nait chaque jour, en lui, autant   * qu’en nous,

                                                                       D’un désir qui n’en finirait pas E    Q    naitre fou.

                                                                      Sa pensée se forme, peu à peu T       U  en séparant

                                                                      Ses sensations de l’intérieur,  *           E   d’extérieur.

                                                                   Quand il rit, rit-il vraiment  S               L  de bonheur,

                                                                  Ou de celui produit miroir  O                Q des parents.

                                                                   Ses pages se remplissent    U                  U  et s’effacent

                                                                   Ce sont essais, premières     D                       sont traces

                                                               Conforte intimes réactions     A              U     relations

                                                           Avec ses deux parents, pour pro I          N gressions.

                                                    Il nous faut  être fou  pour  faire  N  un  enfant

                                            Bien plus, encore, pour le rester, *  rebelle

                                      Notre monde réel est bien trop cruel

                               Pour faire l’enfant éternellement.

                        À autres réactions, froissées,

                     À d’autres pages, raturées.

                   Enfant, se crée  et se fait

                   Bien  après  qu’il  nait !

                   Évanescent,   naissant.

                      Enfant en tous cas est.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une   belle    silhouette

de femme avec bébé,

Enceinte huit mois,

Et vue de profil !

.

767 4

.

Tant déjà, en le ventre de sa mère,

Bébé devient quelqu’un !

Enceinte en termes de personne,

Enceinte en termes de bébé.

  .

Symbolique

.

Les rêves où apparaissent

              Des bébés sont des rêves positifs :

                       Présence nouvel être est source de joie.

 

                         Le bébé est symbole de vie,  d’humanité,

                            De transmission, et bien sûr,    d’évolution.

                        Ce bébé, c’est encore et      surtout, partie

                        De votre être  qui vient         d’apparaître.

 

                      Comme toute forme               vie nouvelle,

                   Elle reste encore  des           plus fragiles.

               Il faudra donc être          très vigilant,

 

      Veiller à ce que      s’épanouisse

   Cette nouvelle facette de

Votre personnalité.

tristan-moir.fr/bebe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Tant déjà, en le ventre de sa mère,

Bébé devient quelqu’un !

Enceinte en termes de personne,

Enceinte en termes de bébé.

.

Symbolique

.

Femme   enceinte

 Est pure  incarnation

    De la beauté, la féminité

Et surtout de l’élégance

   Ce serait encore plus vrai.

 

        Son ventre n’est pas un défaut

                Qu’elle se doit cacher, au contraire,

                   Une partie qui doit être mise en relief.

 

                   Afin de mettre en valeur sa silhouette,

               Et son ventre en alliant harmonie et

         Élégance de la future maman est

     Doit être censée être informée

   En permanence de tendance

De la mode pour sublimer

Sa taille et  se dandiner

Avec une belle aisance.

vetement-grossesse.org/une-femme

-enceinte-est-symbole-de-feminite

 .

.

Fond/forme 

 .

Une naissance est bel évènement,

Non seulement pour celui naissant

Mais pour le Monde et les parents,

Qui en prendront soin  longtemps.

.

Femme enceinte,   quand elle sent

Son bébé, à l’intérieur du ventre,

Prend de plus en plus conscience

Qu’il est déjà là, qu’il est vivant.

.

Elle a un sentiment ambivalent

Est pressée/voudrait le garder.

.

 Textuels et illustrations  >>

 

1138 – Croyance et certitude, autant d’erreur !

Voir prose et illustrations

.

Je crois en mes certitudes

Suis certain de mes croyances

Et  je ne changerai pas  d’habitudes

Pour  renouveler  mes  connaissances.

Nombre de certitudes sont des erreurs

Et nombre de croyances, tout autant !

Si la vérité est une erreur, sans cesse,

Corrigée, on ne l’atteindra jamais !

Voilà  qui est dit, et, vrai ou faux,

Tant pis pour les esprits carrés

Ils auront carrément tort

De se donner raison.

.

Quand on voit ce que l’on … voit,

Et qu’on entend ce que l’on…entend

On a raison de penser ce qu’on pense !

Qui n’a entendu ce dicton raisonnement,

Absurde, vide, et illogique, au demeurant.

.

Mais qui prétend autant mettre en balance

Le pour et le contre, avec  l’après, et  l’avant,

Même si, les  choses, hélas, on ne les  perçoit,

Qu’à travers propres prismes, les déformants,

Qui font qu’elles seront faussées en les voyant.

.

Pour pouvoir construire une pensée autonome,

Pour ne pas se faire manipuler, entre  hommes,

Il faudrait d’abord apprendre, mon bonhomme,

Que l’on peut tromper tout le monde, en somme.

.

D’abord, il y aura les informations, non vérifiées,

Tant gros mensonge est moins dur à faire passer,

Qu’un petit en étant vraisemblable, non douteux,

Car journaux en font, parfois, choux gras, juteux.

Ensuite ce ne sera pas parce qu’elle est … relayée

Par autres qu’elle est juste, voire, moins erronée,

Après, on trouve : des faits, avis, contradictoires,

De gens qui minimisent et refont toute l’histoire,

Vous disent « croyez-moi » persuadant  à croire,

Qu’il est inutile  de vérifier sources : sans espoir.

.

Enfin propagande  et manipulation s’instaurent,

L’information est dévoyée, détournée, plus fort.

Gens à Paris font la queue  devant les magasins,

Dit la Pravda, en Occident, ils meurent de faim.

Agrandissez le cadre de la photo, et, vous verrez

Il ne s’agit que de banale queue devant cinéma !

.

De même l’enfant de Gaza qui court dans la rue,

Les bras levés au ciel et le visage semblant rieur,

Il symbolise la liberté d’être vivant,  être ailleurs,

Vous n’y êtes pas…derrière, un soldat tire, le tue.

.

Pour finir, et peut-être pire, car c’est vous-même,

Votre conscience, votre certitude, et votre raison,

Ne perçoivent ou ne traitent plus les informations

Gomment ou interprètent, entre les lignes mêmes,

D’un léger doute inquisiteur, la certitude extrême !

 .

.

Extension

 

.

 

Pour finir et peut-être pire

Car c’est vous-même, votre conscience,

Votre certitude et raison, qui ne perçoivent

Ou ne traitent plus les informations, gomment

Interprètent entre les lignes mêmes, d’un léger

Doute inquisiteur, même la certitude extrême.

.

J’ai cru que c’était  « lui ou moi » !  Il est vrai

Que je n’ai pas vu « son arme » mais  cela ne

Prouve en rien  qu’il n’ait  pas eu l’intention

De me tuer, qu’en serait-il de moi, si je ne

M’étais pas défend, si je n’avais pas agi

Pour ma patrie, si je n’avais pas

Obéi aux instructions.

 .

Aveux du coupable font office de certitudes, en justice !

Faut-il encore qu’ils ne soient pas faits, sous contrainte.

Si, les erreurs judiciaires ne sont pas nombreuses, en soi,

Une seule erreur est toujours de trop comme un seul mort.

Quant à  réparer son erreur, la justice y rechignera, de peur

De se décrédibiliser elle-même, ainsi  que le jury, souverain :

Un faisceau d’indices  qui concordent en l’absence de preuves,

Fera l’affaire et c’est quitte ou double : acquitté ou condamné !

.

Les cas des homicides involontaires,

Confondus parfois avec autodéfenses

Est révélateur des réalités contraires :

.

Je ne voulais pas, c’est lui qui a glissé,

Qui s’est cogné lors je l’aurai repoussé.

.

Ou encore c’était lui ou moi, je n’ai fait

Que résister à son agression… mortelle.

.

N’étant pas ni policier judiciaire ni juge

Je n’ai pas à me prononcer sur le verdict.

.

Je sais que  ces situations  peuvent exister

De fausses preuves peuvent être apportées.

.

1138 –  Calligramme

Je crois en mes certitudes

Suis certain de mes croyances

Et  je ne changerai pas  d’habitudes

Pour  renouveler  mes  connaissances.

Nombre de certitudes sont des erreurs

Et nombre de croyances, tout autant !

Si la vérité est une erreur, sans cesse,

Corrigée, on ne l’atteindra jamais !

Voilà  qui est dit, et, vrai ou faux,

Tant pis pour les esprits carrés

Ils auront carrément tort

De se donner raison.

CROYANCE

Quand on voit ce que l’on … voit,

Et qu’on entend ce que l’on…entend

On a raison de penser ce qu’on pense !

Qui n’a entendu ce dicton raisonnement,

Absurde, vide, et illogique, au demeurant,

Mais qui prétend autant mettre en balance

Le pour et le contre, avec  l’après, et  l’avant,

Même si, les  choses, hélas, on ne les  perçoit,

Qu’à travers propres prismes, les déformants,

Qui font qu’elles seront faussées en les voyant.

ET CERTITUDE 

Pour pouvoir construire une pensée autonome,

Pour ne pas se faire manipuler, entre  hommes,

Il faudrait d’abord apprendre, mon bonhomme,

Que l’on peut tromper tout le monde, en somme.

D’abord, il y aura les informations, non vérifiées,

Tant gros mensonge est moins dur à faire passer,

Qu’un petit en étant vraisemblable, non douteux,

Car journaux en font, parfois, choux gras, juteux.

EN AUTANT

Ensuite ce ne sera pas parce qu’elle est … relayée

Par autres qu’elle est juste, voire, moins erronée,

Après, on trouve : des faits, avis, contradictoires,

De gens qui minimisent et refont toute l’histoire,

Vous disent « croyez-moi » persuadant  à croire,

Qu’il est inutile  de vérifier sources : sans espoir.

Enfin propagande  et manipulation s’instaurent,

L’information est dévoyée, détournée, plus fort.

Gens à Paris font la queue  devant les magasins,

Dit la Pravda, en Occident, ils meurent de faim.

Agrandissez le cadre de la photo, et, vous verrez

Il ne s’agit que de banale queue devant cinéma !

D’ERREURS 

De même l’enfant de Gaza qui court dans la rue,

Les bras levés au ciel et le visage semblant rieur,

Il symbolise la liberté d’être vivant,  être ailleurs,

Vous n’y êtes pas…derrière, un soldat tire, le tue.

Pour finir, et peut-être pire, car c’est vous-même,

Votre conscience, votre certitude, et votre raison,

Ne perçoivent ou ne traitent plus les informations

Gomment ou interprètent, entre les lignes mêmes,

D’un léger doute inquisiteur, la certitude extrême !

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1138 4

.

Une silhouette en robe

Représentant un religieux

Ou bien officier de justice 

Si ce n’est là une erreur.

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche  ici de forme)

.

La Justice craint l’erreur judiciaire

jugement témoins, aveux, preuves

comme elle ne peut s’en départir

la forme évoquera bien le fond.

.

Homme de  justice avec ses lois, évoque

Une attitude  judiciaire  de certitude :

Peut-il s’abstraire de ses croyances,

De ses analyses et de ses opinions.

 .

Symbolique

.

La Justice est représentée

Par déesse grecque Thémis,

Fille  d’Ouranos  et de Gaïa.

La première épouse de Zeus

Qui représentait la justesse

Divine de  la Loi,  des lois.

Une allégorie de la Justice

Et du Droit, elle personnifie

Permanence  et  impartialité,

En veillant au bon rapport des

Dieux et des hommes entre eux.

La déesse Thémis est représentée

Avec balance, glaive, et bandeau,

.

 .

Fond

.

Évocation

.1138 6

.

Un tel  juge, avec ses lois, évoque

Une attitude judiciaire de certitude :

Peut-il s’abstraire de ses erreurs,

De ses analyses et de ses opinions.

.

Symbolique   

 ..

L’erreur est humaine.

L’évidence semble ici tenir lieu

De truisme car de qui d’autre

Que l’humain voudrait-on

Que l’erreur fût la production ?

 .

Si l’affirmation paraît évidente

On finirait par croire à l’inanité d’une réponse,

C’est qu’elle dissimule tout un fond de significations qui,

Loin de se dévoiler dans la dénotation  de son expression,

Reste sous-entendu  dans  une connotation  symbolique.

 ..

La formule est évocatrice d’une sorte d’arrière-monde

Qui, par ses règles et ses valeurs, pourrait avoir

Pour le monde réel des fonctions précises.

philosopher-ensemble.fr/213807028

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un juge tranche entre vrai et le faux

Entre l’innocence et la culpabilité,

Et prétendant ne pas se tromper

Dès lors appliquant lois votées

Mais les lois se contredisent

Et les faits sont orientés

Il faut bien trancher :

Justice des pauvres,

Se défendant fort mal

Contre riches : assistés !

 .

.

.

Erreur de croire que l’alcool va…

.

Scénario

 .

Il y a du flou à l’intersection entre vérités et croyances.

Données brutes vers informations vers connaissance exacte.

Il y aurait comme une erreur dans l’inscription de … l’erreur !

.

Voir prose et illustrations

.

766 – Printemps supprime ce qui nous déprime

 Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le printemps a toujours été le signe

Du renouvellement  de la sève  de vie,

Et du temps, sans compter des amours.

L’hiver  s’en va et, avec lui, les froideurs.

Les jours rallongent et avec eux l’ardeur

Qui enlève toutes sujétions à la déprime,

La joie renait avec sa lumière en prime.

.

On parle, aisément, de dicton,

D’un  printemps  qui revient,

D’un été chaud et qui court,

D’un automne qui accoure,

D’un  hiver  qui  survient,

Pour poème ou chanson.

.

Printemps est saison qui supprime

La fin d’un hiver qui nous déprime !

Prince, quand on attend…qu’il règne ;

Primeur, quand natures s’imprègnent ;

Primal, quand  les corps … s’étreignent.

.

Lumière et chaleur regorgent d’ardeurs,

Les bourgeons  éclosent, à leurs  heures,

Jardins et champs se couvrent de fleurs.

Nature et mon cœur sont autant en fête

Et de mes amours je reconduis la quête,

Folle, éternelle, et chaque fois, nouvelle,

D’année en année plus jeune, plus belle.

.

Printemps est temps qui ne vieillit pas :

Avance ou retard, chaque année, est là.

Fleur se corolle  de pétales multicolores,

Et jeune fille s’habille de voile léger, d’or,

Femme mûre, parade de parures, dehors.

.

L’homme, se découvre, soudain, désirable,

Aucun n’est plus affreux, sale ou misérable,

Sang afflue et femme n’est plus intouchable.

Combien d’amours, s’en vont, s’en viennent :

Ce ne sont pas l’été, hiver qui les retiennent :

Attraction charnelle, nous prend, nous laisse,

Désirs fous augmentent avant qu’ils baissent.

.

Printemps revient et, chaque fois, surprend,

Souvent, fait de rêveur endormi, fol amant,

Bonheur  caché, au fond des bois, des prés,

À vous de le rechercher, et  de le retrouver,

Comme un chocolat…tombé  d’un clocher,

Quand le jour de Pâques est, enfin, arrivé.

.

Pour autant, ce ne sont là  que des dictons,

Qu’ont inventé les filles pour les… garçons,

Printemps d’hommes, bien que folle saison,

Ne conditionne pas l’envie de reproduction.

.

Extensions

 .

Le printemps

Est ce qu’il est,

Bien cyclique et

Annonciateur du

Renouveau de la vie

Pour la Nature qui ne

S’y tromperait … jamais.

L’homme s’y inscrit aussi

En profitant artifices d’hiver.

.

Le printemps c’est bien connu, supprime la déprime

Conditionnée par les froids et les obscurités de l’hiver.

C’est une respiration, attraction de nouvelle atmosphère

Où la nature nous pousserait  à faire comme elle : revivre,

Un nouveau cycle plein d’énergie, non de solitude en givre.

C’est parfois une période de créativité dans son imaginaire

Que fleurs et papillons nous inspirent en poésie littéraire.

.

Le printemps aura été de tous temps

Un renouveau de la nature et de gens

Qui voient leurs énergies, se décupler

Avec allongement de jours ensoleillés.

.

S’il conserve toujours une face cachée,

Celle d’une dépression dite saisonnière

Elle est due à transition, froid/lumière,

Qui nous a longtemps gardés enfermés.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

.

                   Le printemps a toujours été le signe

                   Du renouvellement  de la sève  de vie,

                    Et du temps, sans compter des amours.

                   L’hiver  s’en va et, avec lui, les froideurs.

                 Les jours rallongent et avec eux l’ardeur

                 Qui enlève toutes sujétions à la déprime,

                 La joie renait avec sa lumière en prime.

On parle aisément, de dicton,

D’un printemps  qui revient,

 D’un été chaud et qui court,

 D’un automne qui accoure

D’un hiver qui survient

En poème, chanson.

.

PRINTEMPS SUPPRIME

Printemps est saison qui supprime

La fin d’un hiver qui nous déprime !

Prince, quand on attend…qu’il règne ;

Primeur, quand natures s’imprègnent ;

Primal, quand  les corps … s’étreignent.

Lumière et chaleur regorgent d’ardeurs,

Les bourgeons  éclosent, à leurs  heures,

Jardins et champs se couvrent de fleurs.

Nature et mon cœur sont autant en fête

Et de mes amours je reconduis la quête,

Folle, éternelle, et chaque fois, nouvelle,

D’année en année plus jeune, plus belle.

.

CE QUI NOUS DÉPRIME

Printemps est temps qui ne vieillit pas :

Avance ou retard, chaque année, est là.

Fleur se corolle de pétales multicolores,

 Et jeune fille s’habille de voile léger d’or,

   Femme mûre, parade de parures, dehors.

     L’homme, se découvre, soudain,  désirable,

      Aucun n’est plus affreux, sale ou misérable,

       Sang afflue et femme n’est plus intouchable.

         Combien d’amours, s’en vont, s’en viennent :

         Ce ne sont pas l’été, hiver qui les retiennent :

          Attraction charnelle, nous prend, nous laisse,

          Désirs fous augmentent avant qu’ils baissent.

.

          Printemps revient et, chaque fois, surprend,

           Souvent, fait de rêveur endormi : fol amant.

           Bonheur caché, au fond des bois, des prés,

             À vous de le rechercher, et de le retrouver,

                Comme un chocolat … tombé  d’un clocher,

                Quand le jour de Pâques, est, enfin, arrivé.

                    Pour autant, ce ne sont là  que des dictons,

                     Qu’ont inventé les filles pour les… garçons,

                         Printemps d’hommes, bien que folle saison,

                           Ne conditionne pas l’envie de reproduction.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette d’une femme,

Tête penchée en arrière,

Comme au printemps

Loin  d’une dépression.

.

766 4

.

Tant le printemps nous invite

À regarder vers le haut, vers le ciel.

La déprime est de garder la tête

Avec le regard bas, fixé au sol.

.

Symbolique 

 .

Nous

 Constatons

Que chaque printemps

Est un nouveau départ et l’on s’étire de la

Grisaille hivernale, le froid est moins froid,

Et les oiseaux migrateurs reviennent du sud

Appellent les rayons de soleil  en chantant.

 

Et nous, comment expri

Mons-nous le renouveau,

Gaieté qu’inspire cette sai

Son? Comment manifester

Ce que nous avons gardé

Au chaud  tout l’hiver qui

Ne demande qu’à sortir :

Avons-nous    un   projet

Qui murit  ou  rêve qui

Prendra  forme : désir

De renouveau,  fraicheur,

Prospérité a besoin d’espace.

l-express.ca/ode-au-printemps

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

766 6

.

Tant le printemps nous invite

À regarder vers le haut, vers le ciel.

Dépression est de garder la tête

Avec le regard bas, fixé au sol.

 .

Symbolique 

 .

Les signes de la dépression

Concernent des troubles de l’humeur

Et du fonctionnent corporel et cognitif.

Afin d’établir  le diagnostic  de dépression,

Il faut  bien  la présence  d’un certain nombre

De ces signes en fonction du type de dépression.

Il existe neuf symptômes majeurs en dépression

Décrits par le DSM-IV et n’oublions pas que seul

Un diagnostic médical peut affirmer la présence

D’un trouble dépressif chez une personne.

Source : la-depression.org/comprendre-la-

depression/symptomes-de-la-depression

.

Fond/forme 

 .

La dépression aurait passé la main à

L’épuisement professionnel : burn out !

.

On parle de dépression, pour un suicide,

Dépression saisonnière pour le printemps

Il en existe des réversibles, des récurrents,

Et d’autres qui modifieront en profondeur,

Le tempérament  et mis sous médicaments.

.

Signes avant-coureurs ne sont perceptibles

Que par renfermement sur soi, déni réalité

On peut la prévenir par un ensoleillement

Naturel, voire artificiel, et vitamines D.

.

Certains sont sujets à des rechutes

D’autres pas, sont plus résilients.

.

 Textuels et illustrations   >>

765 – Comme la feuille s’envole au vent… léger

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Comme la feuille tombe en tourbillonnant

Tu ne peux te déshabiller sans virevolter

Pour montrer à quel point ta légèreté,

Te  tient  au  corps, en  te  dénudant.

 .

Alors   l’oiseau    qui  te  regarde,

Se met   aussi  à   voleter, autour,

Pour  t’avertir  de prendre  garde,

Aux  milles   facéties  de l’Amour !

     .

Comme celui du parfum enchantant

Tout le proche paysage,  environnant,

L’enrichissant de ses tendres couleurs,

Pour faire un beau tableau du bonheur.

.

Comme la feuille s’envole, au vent léger,

Avec moi un mot t’apporte plein d’idées,

Là  où les autres  ne sentent  que du vent,

Toi, tu vois la feuille et la lis aveuglément.

.

Comme l’oiseau  qui chante son air serein,

Avec moi, bouche chante  couplet, refrains,

Là où les autres n’entendront que des bruits

Toi, tu perçois l’oiseau, comprends mélodie.

.

Comme un tableau rempli : formes, couleurs,

Avec moi image qui te vient, celle du bonheur,

Là où les autres ne verront que paysages estime

Toi, tu vibres de toutes tes résonnances intimes.

.

Comme un parfum diffuse les effluves et odeurs,

Avec moi, un toucher, invisible, atteint les cœurs,

Là où les autres ne sentiront qu’odeurs ordinaires

Toi tu t’enivres de pleines sensations  contraires.

.

Qui sait si, sur la feuille, supportant l’oiseau,

Arrangement inédit, fait ressortir tableau

Change chaque jour, fonction d’amours,

Lors parfums l’égailleront d’humour.

.

Extensions

 .

La légèreté, la mobilité, et la gravité

Ou les trois mots clés pour comprendre

Comment feuille tombe en tourbillonnant

Sur le sol, aidé en cela, parfois, par le vent,

Par petite  différence de pression de l’air,

Par son poids par rapport à  sa surface.

Tapis volant, bref instant, pour finir,

Pièce de manteau au pied de l’arbre

Devenant en litière au fil du temps.

.

La feuille n’existe pas durant l’hiver,

Lors elle devient parure, au printemps

Puis l’été puis l’automne elle aura permis

À l’arbre de respirer et de consommer son lot

De gaz carbonique dont il a besoin, et lumière

Du soleil pour bien réaliser sa photosynthèse.

.

La feuille qui tombe passera de l’état végétal

À minéral qui servira d’engrais pour une

Nouvelle  feuille  et, ainsi de suite, tant

Que l’arbre vivra : ce n’est pas une mort,

En soi, définitive, c’est une transformation,

Un changement de nature tout comme l’amour.

.

Le tourbillon léger d’une feuille morte

Évoque la danse et mouvement de sorte

Qu’elle finit au tapis, ramassée, plaquée,

Ne bougeant plus d’un doigt ni d’un pied

.

Ici, ce serait plutôt l’envol  de vêtements,

Comme pétales marguerite qui s’effeuille,

Jusqu’à ce que son cœur nu apparaissant

Elle livrera sa vertu à celui qui la cueille !

.

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme    

 .

Comme la feuille tom  A    be en tourbillonnant

Tu ne peux te désha    U biller sans virevolter

Pour montrer à quel    *   point ta légèreté,

Te tient  au  corps, en  V     te  dénudant.

               E

Alors    l’oiseau    qui      N   te  regarde,

Se met   aussi  à   vole     T  ter, autour,

Pour  t’avertir  de pren    *   dre  garde,

Aux  milles   facéties  de   L    l’Amour !

                         É

Comme celui du parfum   G  enchantant

Tout le proche paysage,    E  environnant,

L’enrichissant de ses ten  R  dres couleurs,

Pour faire un beau tableau *      du bonheur.

.

Comme la feuille s’envole      F   au vent léger,

Avec moi un mot t’apporte      E   plein d’idées,

Là où les autres ne sentent         U    que du vent,

Toi, tu vois la feuille et la lis,          I  aveuglément.

Comme l’oiseau qui chante son         L      air serein,

Avec moi bouche chante couplet          E         refrains,

Là où les autres n’entendront que           *      des bruits

Toi, tu perçois l’oiseau, comprends           S        mélodie.

Comme un tableau rempli de formes,                couleurs,

Avec moi image qui te vient, celle du        E       bonheur,

Là où les autres ne verront paysages         N      d’estime,

Toi, tu vibres de toutes résonnances,       V       intimes.

Comme parfum diffuse les effluves        O    et odeurs,

Avec moi, toucher invisible atteint    L   les cœurs,

Là où les autres sentiront odeurs    E ordinaires,

Toi tu t’enivres pleine sensation   *   contraire.

.

Qui sait si sur la feuille supportant l’oiseau,

Arrangement inédit fait ressortir tableau

Change chaque jour fonction d’amours,

Lors parfums l’égailleront d’humour.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une poterie tout simple,

 Toute sobre et bien formée,

Mais néanmoins tout belle 

Avec des fleurs imprimées.

.

765 6

.

Peinte, ainsi, en blanc sur gris,

Et avec des feuilles et des fleurs,

Cette poterie attirera bien  l’œil,

Par sa légèreté et sa décoration !

Allez donc comparer une feuille et un pot

Même si l’on en trouve pour leur décoration

Et en outre comment une poterie s’envolerait

Non, la forme ne s’accorde en rien au fond.

.

Symbolique 

.

Le terme poterie désigne

Des  vases  et  récipients  

À  usage Essentiellement

Domestique ou culinaire

Réalisés  en terre cuite, poreuse, 

Qui peuvent demeurer bruts ou recevoir

 Un revêtement glaçuré. Par métonymie,

Terme de poterie désigne, également,

Technique de production, l’atelier

Du potier : grès et porcelaines,

Dont la pâte n’est vitrifiée.

fr.wikipedia.org/wiki/Poterie

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

765 4

.

Peinte, ainsi, en blanc sur gris,

Et avec des feuilles et des fleurs,

Cette poterie attirera bien  l’œil,

Par sa légèreté et sa décoration !

 .

Symbolique

.

Bien que de

Nombreuses

Poteries soient  

 Restées  naturelles,

Il est fréquent de les décorer

De motifs d’essence géométriques.

Les motifs sont produits par l’ajout,

Partiel ou total,       d’englobe, émail

Pour  les  pote            ries  vernissées.

 

Le motif pour           ra être exécuté

Par un procé          dé mécanique,

Scarification             ou gravure

De  la  surfa             ce  ou  bien

Par une réac    tion chimique

Après masquage des parties.

 .

 .

Fond/forme 

 .

Feuille sur pot non pot sur feuille

Impossibilité, totale, d’inversion,

Bien que fleurs  peints sur pots,

Ou bouquets de fleurs en pots !

Feuille au vent, manque de pot

Ne s’y fixera point en tombant,

En l’air toujours tourbillonnant,

Finit sa course à terre ou en eau.

.

Textuels et illustrations  >>

764 – Les gens trop gentils sont parfois ignorés

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ah quel couplet, refrain,

Sur les gens trop gentils

Qui donnent  leurs biens

À ceux  qui  les titillent !

Les remercier …   point !

Mais les ignorer, parfois,

Ils ne sont là que pour ça,

Pour  qu’ils  les exploitent !

.

Cependant, les méchants  ne

Gagnent pas, à tous les coups,

Ils sont vite rejetés, mis de côté :

On ne les ignore pas, on s’en méfie

Gens trop gentils,  trop méchants

Ne trouveront femmes à marier.

.

Faut devenir un peu les deux,

Pas faire peur, et pas benêt.

Tant les gens  trop gentils,

Seront,  souvent,  ignorés,

Lors les gens trop  hostiles

Le  plus  souvent   rejetés !

.

Étranger, nous  faut  l’aimer,

Comme frère-sœur en parenté,

Différences  sont superficialités,

Qu’il  est  bon  de savoir  gommer.

.

L’amour, au-delà de nos différences,

Est authenticité de couple, en balance,

Sommé de choisir son camp en partance

Il acquiert plus de liberté, lors délivrance.

.

Parfois on se dit être étranger à soi-même,

Comment aimer les autres sans s’aimer soi,

Il vaut mieux  avoir  confiance, déjà, en soi,

Pour  créer  l’étincelle d’un  autre  tandem.

.

Les gens, trop gentils sont parfois, ignorés,

Comme transparents lisses, sans aspérités,

«T’es gentil mais tu ne me fais pas rêver»

Voilà le refrain qu’on aime leur chanter.

.

Gens trop hostiles, plus souvent, rejetés

Comme sujets à problèmes, à embêter

«T’es méchant  tu sais tu fais exprès»

Voilà ce qu’on leur sert en couplet.

.

Extensions

 .

On est aimés, ou ignorés,  ou rejetés :

Qu’on soit le plus gentil ou le plus méchant,

L’on aurait, finalement, le même destin de solitude,

Bien que ce ne soit en aucune façon, mêmes raisons.

.

Il faudrait apprendre aux gentils à être plus brutal,

Voire plus dominateur, plus viril, plus agressifs

Aux méchants, apprendre à être plus tendre,

Voire plus attentionné, voire plus féminin.

.

Drôle de paradoxe, tout de même, sinon contradiction :

Un romantique, dont on rêve, coupable  de  gentillesse

Et lui, un fanatique, coupable de trop de perversion.

Il faut, pour bien faire, avoir une dose d’humour,

Une autre d’ironie tout en se montrant ferme

Et carré  sur son  projet  de vie : rassurant

Certes, et bien  aventurier, tout  autant.

.

Principe de plaisir, principe de réalité

Être gentil pour se faire pardonner,

Méchant pour se faire respecter !

Oiseau rare difficile à trouver,

À manipuler, sinon à garder.

.

Qu’est-ce que cela veut dire, être trop gentil.

On a comme l’impression que c’est un défaut,

Pour une jeune fille on dit : «une oie blanche»

Trop  gentil, ce  serait  se faire, toujours, avoir :

Mais générosité et innocence, ont leurs limites !

Gentils  finissent  par apprendre, à se défendre,

Contre des salauds qui, eux, n’apprennent rien.

Moitié gentil  moitié méchant alternativement

Est difficile, un bon fond se garde, vie durant.

.

Humain montrant de la délicatesse,

De la prévenance, et de la noblesse

De sentiments  dans sa conduite

Bonne pâte, pleine de mérites !

.

La vertu ne paye pas pourtant :

On s’en fait un ami, pas amant,

Il fera bon témoin d’un mariage

Jamais choisi, toujours en sillage.

.

Est-ce à dire que méchant, macho,

A plus de chance de séduire femmes

Le mâle alpha en fera beaucoup trop :

Il faut trouver un équilibre de flamme.

.

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme   

.

Ah quel couplet, refrain,

Sur les gens trop gentils

Qui donnent  leurs biens

À ceux  qui  les titillent !

Les remercier …   point !

Mais les ignorer, parfois,

Ils ne sont là que pour ça,

Pour  qu’ils  les exploitent !

Cependant, les méchants  ne

Gagnent pas, à tous les coups,

Ils sont vite rejetés, mis de côté :

On ne les ignore pas, on s’en méfie.

.

**********************************

**********************************

.

Gens trop gentils et trop méchants

Ne trouveront femmes à marier.

Faut devenir un peu les deux,

Pas faire peur, et pas benêt.

Tant les gens  trop gentils,

Seront, souvent, ignorés,

Lors les gens trop  hostiles

Le plus souvent    G   rejetés !

Étranger, nous faut E      l’aimer

Comme frère-sœur en   N       parenté,

Différences sont super      S        ficialités,

Qu’il est bon de savoir          *          gommer.

L’amour au-delà de nos            G         différences

Est authenticité de couple           E          en balance,

Sommé de choisir son camp          N          en partance

Il acquiert plus de liberté lors          T             délivrance.

Parfois on se dit être étranger à        I              soi-même,

Comment aimer les autres sans        L            s’aimer soi,

Il vaut mieux avoir confiance          S            déjà, en soi,

Pour créer l’étincelle d’un              *         autre tandem.

Les gens, trop gentils sont,         I       parfois, ignorés,

Comme transparents lisses,    G         sans aspérités,

«T’es gentil mais tu ne       N    me fais pas rêver »

Voilà le refrain qu’on     O      aime leur chanter.

Gens trop hostiles,    R    plus souvent, rejetés

Comme sujets à    É   problèmes, à embêter

«T’es méchant  S    tu sais tu fais exprès»

Voilà ce qu’on leur sert en couplet.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une poterie en terre

Qui peut aussi bien servir

 Pour faire une bonne cuisson, 

Selon ingrédients d’imagination.

.

764 4

.

La forme et la couleur de cette poterie

N’inspireront guère

Imagination requiert de la fantaisie

En sus de l’originalité.

Une poterie, même avec imagination,

N’évoquera jamais quelqu’un de gentil

De gourde  peut-être  sinon voir d’idiot

Si bien que  la forme ne colle  au fond.

.

Symbolique 

.

L’homme                          préhistorique,

Et dès le paléo     lithique supérieur,

Aura façonné des poteries en terre cuite,

Dans un but non utilitaire tels que des ours, lions,

Rhinocéros, chevaux, femmes dites Vénus paléolithique

Mais des populations de chasseurs-cueilleurs d’Asie

Ont façonné, dès cette époque, des céramiques

Pour cuisson des aliments, dix millénaires

Avant  l’apparition  de  l’agriculture

Traditionnellement associée à la

Révolution néolithique  et la

Nécessité de stockage.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

764 6

.

La forme et la couleur de cette poterie

N’inspireront guère

Imagination requiert de la fantaisie

En sus de l’originalité.

.

Symbolique

.

L’imaginaire peut être

Défini comme le fruit de l’imagination

D’un individu, d’un groupe, voire d’une société,

Produisant des images, des représentations, des récits

Ou des mythes plus ou moins détachés de ce qu’il

Est d’usage de définir  comme « la réalité ».

.

Il s’agirait  de  la capacité   d’un groupe

Ou  d’un  individu  à  se  représenter

Le Monde avec l’aide de  réseaux

Associations pleines d’images

Qui lui donnent un sens.

Wikipédia : imaginaire

.

.

Fond/forme 

 .

Dieu considérait qu’Adam

Devait avoir  une compagne :

Il modela des animaux pour Adam

Pour voir comment il les appellerait.

Il donna un nom à chacun d’entre eux,

Mais il ne se trouva pas de «compagne».

Alors Dieu l’endormit, et créa une femme

À partir d’une côte d’Adam nommée Êve.

Bible, dans second chapitre de la Genèse.

Les animaux sont comme des poteries ;

La femme un être inférieur à l’homme.

Bonjour la Théorie de l’Évolution !

.

Textuels et illustrations   >>

763 – Amour est mort, vivant, en l’instant, durée

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

L’amour   est

 Mort terminé

Tout l’amour

Sûr que non,

Mais  plutôt,

Incarnation,

Au  milieu de

Tant  d’autres

Tant    l’amour

Res-sem-blerait

À quelque processus,

Humain  et  non  éternel !

.

L’amour est à la fois mort et vivant,

L’amour est dans l’instant et la durée.

Plus d’amour et plus de sens, à sa vie,

Pour certains qui ne voient plus bien

Ce qu’on y gagne en étant humain !

On ne se repose pas sur quelqu’un

Pour assurer sens de vie certain,

On se repose…l’un sur l’autre

Avec  l’amour,  pour socle.

.

Amour est mort, vivant,

Vivant,  dans l’instant,

Et mort dans la durée,

Lors  son destin, coupé.

.

Faut accepter  de mourir

À soi-même pour se fondre

En l’autre   jusqu’à  le  chérir

Et,  en tout,  lui  correspondre !

Quand l’amour est entier, passionné,

Sa vie en dépend, rupture voire suicidé,

Vie, ne valant plus  la peine  d’être vécue,

Pourquoi chercher ce qu’on ne trouve plus.

L’amour c’est la vie,  l’amour c’est la mort :

Tant de poètes l’ont clamé sur tous les tons

Qu’il est bien inutile  de le clamer encore

Tant cela est, déjà fait, de mille façons

Les amants s’en vont,  s’en viennent,

Souvent amour seul, les soutient,

  Destin auquel ils  parviennent

   Ils ne sont déjà plus rien.

.

Extensions

 .

L’amour semble poser autant de

Difficultés en sa durée qu’en son intensité.

Il est rare que les deux se conjuguent en même temps.

Le «dur désir de durer» l’emporte sur le «pur plaisir de plaire»

On ne va pas en faire un principe, un dicton  ni une équation.

.

Mais durée et intensité ne se chevauchent pas si aisément

On veut les deux, bien sûr mais on les vit, le plus souvent,

En alternance ou et en séquence : lors dire que l’amour

Est mort et vivant, se rapporte plutôt  au calendrier :

Il est mort, puisque  passé ; il est  vivant,  réinventé !

.

L’amour est une balance qui ne restera pas longtemps

Sur son point d’équilibre, comme tant d’autres choses,

D’ailleurs, y compris nos valeurs, humeurs, bonheurs !

.

L’amour est à la fois mort et vivant et intermédiaire

Comme le chat de Schroeninger dans une théorie

Quantique où un animal, objet peut se trouver

Dans deux endroits, deux états à la fois.

Il y a de quoi se poser la question

D’un mystère non éclairci.

.

Maladie, accident, séparation, deuil :

Il n’y a rien de ces choses qu’on veuille,

Il nous faut vite rabaisser  notre orgueil,

On pourrait disparaître  en un clin d’œil !

Mort sociale, mort mentale, sentimentale,

Sont autant de précurseurs mort physique

Là où le corps  instrument finit sa musique

En s’évanouissant en soupir des plus fatals,

Condition du destin de notre vie … animale.

.

Pour non nombre de couples, l’amour est mort

Alors qu’il est encore vivant et réciproquement.

Il y aura une grande différence entre ce que dit

 Langage de sa conscience et de son inconscient !

.

Pour preuve, s’il en est, après une forte dispute :

Le couple se tait, s’étreint, réconcilie sur l’oreiller

Le différent portait sur la forme plus que le fond,

Jusqu’au jour où le fond est percé, ne tient plus.

.

En ce cas, l’amour était déjà mort : simplement,

On n’en n’était pas certain soi-même au courant

Et l’incident mineur, s’est transformé  en goutte

Faisant déborder le vase qui se sera alors brisé.

.

Fragments 

.

L’amour est un  concept  général,

L’amour est comme un archétype,

Il s’agit d’une forme, évasive, floue,

En laquelle  on  y met ce qu’on veut.

.

C’est pourquoi l’amour  serait d’ordre

Plutôt de la  mathématique quantique,

Que de pure folie, voire de pure logique,

Qui n’a jamais transformé le plomb en or

.

Si je dis  qu’un amour sera : mort et vivant,

À la fois, est ce : inconscient et … conscient,

Ou est-ce que le capter, décider, ne pouvant,

Le croit présent, est absent, réciproquement.

.

Je sais vous allez dire, tu délires complètement,

L’amour est sourd et aveugle, et là, tu le prouves,

Si ce n’est le contraire, ton cœur en grand s’ouvre

Englobe cosmos, divin, transcendant, immanent !

.

Un jour, une admiratrice s’en vient trouver Mozart

En fin de sonate et lui dit : quel beau son de violon,

Mais qu’est-ce que j’aurais dû ressentir … au fond :

Au lieu de l’expliquer, Mozart s’est remis à la jouer.

.

Et il a eu mille fois raison : sa musique est, à la fois,

Du domaine du sensible et de la logique, lors, si l’on

Ne s’en tient à un, c’est-à-dire au cœur ou à l’esprit,

On n’entend qu’une note sur deux, comme silences.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

 .

L’amour   est

 Mort terminé

Tout l’amour

Sûr que non,

Mais  plutôt,

Incarnation,

Au  milieu de

Tant  d’autres

Tant    l’amour

Res-sem-blerait

À quelque processus,

Humain  et  non  éternel !

L’amour est à la fois mort et vivant,

L’amour est dans l’instant et la durée.

Plus d’amour et plus de sens, à sa vie,

Pour certains qui ne voient plus bien

Ce qu’on y gagne en étant humain !

On ne se repose pas sur quelqu’un

Pour assurer sens de vie certain,

On se repose…l’un sur l’autre

Avec  l’amour,  pour socle.

Amour est mort, vivant,

Vivant,  dans l’instant,

Et mort dans la durée,

Lors  son destin, coupé.

             A

Faut accepter   M  de mourir

À soi-même   O  pour se fondre

En l’autre      U   jusqu’à le chérir

Et, en tout,      R    lui correspondre !

Quand l’amour    *   est entier, passionné,

Sa vie en dépend,   M   rupture, voire suicidé

Vie, ne valant plus    O      la peine d’être vécue,

Pourquoi chercher     R      qu’on ne trouve plus.

L’amour c’est la vie,     T    l’amour c’est la mort :

Tant de poètes l’ont       *  clamé sur tous les tons

Qu’il est bien inutile     V     de le clamer encore

Car cela est déjà fait      I         de mille façons

Les amants s’en vont,  V      s’en viennent,

Souvent amour seul,  A      les soutient,

  Destin auquel ils    N  parviennent

   Ils ne sont déjà    T    plus rien.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un instrument de musique

Qui ressemble fort au violon 

Dont on extrait de forts accents,

 Vous   catalysant  vos  sentiments.

.

763 4

.

Le violon peut passer d’un 

Mode majeur à un mode mineur,

Et cela en un instant, ou en

 Un quart de seconde sur un corde.

.

Symbolique 

.

Le violon

Est un symbole

De travail, d’efforts,

D’évolution,    du temps,

Persévérance et perfection.

Si tu rêves   que tu maîtrises

L’art du violon  en  ton  rêve,

Il se peut tu sois arrivé, après

 Années de travail sur toi,

Sur ton corps  et esprit,  

À un résultat  d’harmonie

Intérieure, de paix,  de sérénité  

Et, plus souvent, d’amour  de  soi

Tout  le travail,    toute    la rigueur  

Qu’il demande  pour savoir jouer de

Cet instrument pourrait symboliser

Le rythme de vie qu’on s’impose,

De    contrainte  très  dure,

Parfois trop dure !

psycho2rue.fr/dictionnaire-des

-symboles-de-reve/violon

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

763 6

.

Le violon peut passer d’un 

Mode majeur à un mode mineur,

Et cela en un instant, ou en

 Un quart de seconde sur une corde.

.

Symbolique 

 .

Le passé n’existe plus,

L’avenir : pas  encore.

Seul  existe  le  présent :

Vivre   l’instant   présent,

C’est être présent à soi, réel.

.

Oui mais l’instant présent … existe-t-il ?

Temps philosophique est entité psychologique.

Le temps n’est que dans la mesure où il est présent.

Le présent du passé, est mémoire, présent de l’avenir,

C’est l’attente, le présent du présent, c’est la perception.

Wikipédia : instant

 .

 .

Fond/forme 

 .

Émouvant dites-vous, sortez les violons,

Qu’on puisse en rire, au moins, par ironie,

D’accord mais au-delà de cela, quel travail

De confection et quel autre, pour en jouer

Plus que convenablement, en tirer  sons

Qui émeuvent à en pleurer réellement

Avec partition ou en improvisation.

.

D’un violon à l’autre, le son diffère

Qu’un grand musicien, n’indiffère,

Certains ont ce supplément d’âme,

Qui vous touche au-delà de la vôtre.

.

Textuels et illustrations  >>

762 – Un des nôtres, famille, copain, s’en est allé !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Chaque deuil

 Proche   ou  parent

Réveille      en      nous,

Un effroi    …       latent,

Rappelle        que nous

Sommes  … mortels

Chaque jour nous

Rapproche ciel.

.

L’inconnu sans nous laisser indifférent

On pense, à lui, jusque sur  le moment :

Un ami laissera  un vide, un trou béant,

Qui ne  se comblera  qu’avec le temps.

 .

De l’ami, une fois mort, on ne retient

Que ce qu’il a fait, de beau et de bien

Le reste est comme enterré avant lui,

Ça ne l’empêcher  pas entrer paradis.

 .

Un des nôtres, membre famille, copain,

Collègue, relation, voire même un voisin,

S’en est allé  pour  de  bon, nous a quitté,

Pour d’autres cieux,   pour une autre cité,

 Malgré une ambiance,  triste à en mourir

Car après tout, pour  quoi lui, à choisir.

.

Je vais lui rendre la visite impromptue,

Polie, qui sera la première, bien venue,

Je ne sais trop   s’il s’en trouvera ravi,

De tout ce monde pensant bien à lui.

.

Et là, j’entends dire tout le bien

Qu’il aurait fait en vrai chrétien,

On n’aura retenu que ses qualités,

Ses défauts, avec lui, sont enterrés.

.

La cérémonie est intense moment,

Avec les pleurs et recueillements :

Il  est  heureux au ciel, à présent,

Annonce  cérémonieux officiant.

.

Il est surtout enfermé, en terre :

Ou dispersé en cendres, en l’air,

Chacun pleure son propre sort,

À venir, en sa  prochaine mort.

.

Extensions

 .

Un des nôtres, famille ou copain, s’en est allé,

En laissant,  derrière lui,  comme un grand vide,

Par mort brutale, happé : pourquoi lui, à choisir !

Personne ne sait, ne dira, tout le monde conviendra.

.

Bien trop tôt pour partir.

C’est l’occasion de se retrouver, de se réunir, se solidariser

Contre ce fléau qui nous met tous en lice pour l’inéluctable.

Et son amour dans tout cela : parti avec lui en fumée ou bien

Il restera présent, dans nos mémoires et jusqu’en nos pensées !

.

Mais bien difficile de l’attester

Car le temps fait son œuvre de sape et d’oubli, inexorablement

Et quel que soit sa  proximité avec lui : on a pas eu le temps,

On n’a pas pris le temps de bien, de mieux le connaitre,

L’apprécier, l’aimer, on entend lors regrets, remords.

.

Commencer à exister vraiment.

Pour les autres quand on est mort, c’est beaucoup

Trop tard, et inutile donc, sauf pour le regretter.

S’il a épouse, et enfants, en bas âge, c’est à eux

Qu’on pense plus qu’à lui, qui n’en peut mais.

.

Qui est parti et pour toujours.

Et ce sont eux pour qui on éprouve compassion,

Il y a ce qu’il était et ce qu’il laisse derrière lui :

Femme enfants, autant qu’œuvres  matérielles,

Et intellectuelles, dispersées aux quatre vents !

 .

Celui qui s’en va aurait moins de chagrin

Que celui qui le conservera au lendemain

De sa mort tout en pleurant sur la sienne

À  venir, sans tarder ou presque et triste,

Tout autant pour les  autres que pour lui

Ne croyez pas que  ma mort m’indiffère,

Mais je la préfère à celle, sœur ou frère.

.

Mort est représentation implacable,

D’une disparition, dite irrémédiable,

De quelqu’un de cher, irremplaçable.

.

Quelqu’un des siens est comme cela,

Tant c’est un peu de soi qui s’en va :

L’inconnu, pour nous, ne meurt pas.

.

Si le vide,  qu’il laissera derrière lui,

Peu à peu, avec  le temps, se remplit,

Se résorbe lors on ne pense plus à lui.

.

Fragments 

.

La mort nous touche tous, et profondément

Celle de tout autre et surtout de nos parents

Certains pleurent sur la leur à l’enterrement

Et d’autres sur le manque qui s’avère béant !

.

La mort est celle du corps  et celle de l’esprit :

C’est surtout celle des liens avec elle, avec lui :

Si souvenirs marquants ne sont pas suffisants,

Il nous restera sa vie dans l’au-delà, la croyant.

.

Mais  en quoi, consisterait-elle : si nul ne le sait,

On en est réduit à l’imaginer comme conte de fée

On entend dire que médium, avec morts, parlant,

Aucun ne nous révèlera ce qui s’y passe vraiment.

.

Si la question de mort nous hante  toute notre vie,

C’est parce que nous en avons peur : saut inconnu,

Il importe donc de la traiter, résoudre, avant la fin,

Afin qu’angoisse nous quitte, qu’on finisse en paix.

.

Quand on pense à une survie, on pense à son esprit

Mais  pour exister, il aurait besoin d’une substance,

C’est pourquoi, l’âme n’en ayant pas,  on a compris,

Qu’elle seule nous unit en grand tout de conscience.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Chaque deuil

 Proche   ou  parent

Réveille      en      nous,

Un effroi    …       latent,

Rappelle        que nous

Sommes  … mortels

Chaque jour nous

Rapproche ciel.

.

L’inconnu sans nous laisser indifférent

On pense, à lui, jusque sur  le moment :

Un ami  laissera   un vide, un trou béant,

Et  qui ne  se comblera  qu’avec le temps.

De l’ami, une fois      N    mort, on ne retient

Que ce qu’il a fait,     *       de beau et de bien

Le reste est comme   D       enterré avant lui :

Ça ne l’empêchera     E     pas entrer paradis.

S

Un des nôtres, mem   *   bre famille   copain,

Collègue,  relation      N    ou voire un voisin,

S’en est allé pour  de  Ô   bon, nous a quitté,

Pour d’autres cieux    T  pour une autre cité

 Malgré l’ambiance    R     triste à en mourir

Car après tout, pour  E   quoi lui à choisir.

.

Je vais lui rendre ma visite impromptue,

Polie, qui sera la première, bien  venue,

Je ne sais  trop   s’il s’en trouvera ravi,

De tout ce monde,  pensant bien à lui.

.

Là, j’entends      S       dire tout le bien

Qu’il aura fait     ‘       en vrai chrétien,

On ne retient     E      que ses qualités,

Défauts, avec     N    lui, sont enterrés.

* ….

La cérémonie     E     intense… instant

Avec les pleurs    S     et recueillement.

Il  est  heureux    T     au ciel à présent,

Annonce céré       *   monieux officiant.

 * …

Il est surtout en    A       fermé, en terre :

Ou dispersé en       L        cendres en l’air,

Chacun pleure        L         son propre sort,

À venir, en sa          É         prochaine mort.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette d’homme

Fauché par un accident,

Une mort stupide, s’il en est

Lors nous privant de son esprit.

.

762 4

.

Un esprit,  difficile  à  remplacer,

Et   bien plus encore, à  oublier :

La mort, elle, s’en moque, nous

Impose sa peine et sa volonté.

Mort, esprit se conjuguent ensemble

L’esprit ne survivrait pas au corps :

Qu’on ait raison  ou qu’on n’ait tort

La forme convergera vers le fond.

.

Symbolique 

 .

Si l’être humain

Se distingue animaux,

Selon Cassirer, ce n’est pas

En vertu d’un atout substantiel

Que les bêtes ne partageraient pas avec lui

Par exemple la possession d’une « âme immortelle»,

Mais bien par la fonction caractéristique de son esprit

C’est qu’il vit dans une autre dimension de la réalité,

Pour ainsi dire : une dimension symbolique.

fredericbaylot /ernst_cassirer

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

762 6

.

Esprit difficile à remplacer,

Et plus encore, à oublier :

La mort, elle, s’en moque, nous

Impose sa peine et volonté !

.

Symbolique 

 .

La mort est une chose que les gens

Ont toujours redoutée depuis la nuit des temps.

Ils se posent d’innombrables questions sur la vie dans l’au-delà.

.

Beaucoup de signes et de symboles rappellent constamment

Que la mort est inévitable : elle est souvent représentée

Par un fantôme armée de faux qui vient arracher

Les âmes aux corps vivants humains.

.

Selon les régions et les traditions,

Le dessin d’un crâne sur deux tibias croisés

Est synonyme de danger qui pourrait

Amener une personne à la mort.

 .

 .

Fond/forme 

.

La mort du corps est celle du cœur,

Lors celle de l’esprit est du cerveau

Quatre mots suffisent  à qualifier

 La disparition de quel qu’humain.

Certains la pensent programmée

Autres, qu’elle est  notre destinée,

Et le reste, qu’elle est accidentelle.

Le résultat ne demeurera le même :

On ne peut de toute façon y échapper

Ce n’est qu’égalité et à la fois, injustice.

.

Textuels et illustrations  >>

761 – Imagine, un instant, que tu sois ma muse

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Muse, sujet inspiration,

Support  de cristallisation

D’une idée,  objet, action

Pour faire une création.

Peut-on  s’en  passer,

En avoir plusieurs ?

Lors, être la muse

De    quel-qu’un,

Est-ce  un  cadeau

Ou est-ce bien divin.

.

Divin voire devin ou voire  du vin

Ce dernier en aura inspiré plus d’un

Poète,   d’un romancier, ou  écrivain

Qui, de lui,  voire  d’elle, s’en  amuse.

Imagine,   un   instant   que  tu   sois

Ma muse.  Quoi !  Ah  cela   t’amuse.

.

Un brouillon  pour  mon inspiration,

Encore que, de là, à être,  pour  moi,

L’unique veine  de mes projections :

Ce serait  un peu trop, si j’en abuse,

Cela  voudrait  dire, en somme, que

Tu synthétises et que tu cristallises

À la fois, beauté, grâce, féminine,

Du moins pour moi à mes yeux,

Qu’il  ne serait   point  de  mise

De  te  laisser   en    sourdine !

.

J’aimerais dessiner  les arabesques

De ta forme sous un doigt livresque,

Écrire  partition, sans  fausses  notes,

Avec des harmoniques  qui  dénotent

.

Passion, que je te voue que je chante

Aux oreilles attentives  et  charmées,

Par ce trait, venu  du  fond  encrier,

Qui coule sur moi, et qui me hante.

.

Vrai, je délire un max et pour peu

Ton âme déteigne un peu sur moi

Je serais ton esclave bien ton roi,

J’irais même, à t’adresser ce vœu

.

Tu restes ce que tu es  et non pas,

Ma muse et plutôt corps ne m’use

Il est du plus bel effet crois le moi,

Ton sang, à mes vers, ne transfuse

.

Les flux, flots  de tes  inspirations

Faisant, de toi, l’être d’exception,

Tant c’est le courant passant fort,

Nous rend  tous deux  non morts.

Je sais  à quel point, c’est insensé

De prétendre cela  puisse arriver,

Or poésie, parfois,  nous sublime

À faire grimper  jusqu’à sa cime.

.

Extensions

 .

^

La cime

Mais de quoi,

Tu te le demandes !

La cime  de ton  abîme,

Où je me pends, jusqu’à mort,

Avec toi, mais, si profond qu’il soit,

Je ne regretterai pas qu’attrait, et souhait,

M’y noient avec toi mais ma muse ne meurt pas,

Elle réapparait, à chaque fois  que je me trouve face

À une page blanche, qu’elle m’aide, de ce fait, à noircir.

 .

Toutes les muses …. ne m’amusent !

Ce n’est pas tant qu’elles m’exaspèrent,

Certaines ne répondent pas à mes prières.

Celle de la poésie m’ayant prise sous ses ailes

Je tente de voler avec la mienne sous ma plume.

Lors si, avec le temps, mes inspirations s’usent,

Ternissent, s’achèvent : autre, en moi, perfuse.

 .

Est-ce à dire que chaque artiste,

Chaque écrivain aurait sa muse :

Cela en ferait beaucoup, en piste,

Tandis qu’à s’inspirer, l’on s’use !

.

Ou c’est une femme très idéalisée

Ou c’est l’amante qui nous séduit,

Dont son fantasme nous poursuit

Comme si c’était l’âme-sœur née.

.

J’aimerais bien  en trouver  une,

Mais  autant croire en une lune :

Bien qu’entrevue, blonde, brune,

Je fais avec mon talent et lacunes.

.

Fragments

.

Femme et muse vont bien ensemble

Pour peu qu’avec elle on ne s’amuse

À la transformer en objet, fétiche,

La forme épousera bien le fond.

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme    

.

Muse, sujet inspiration,

Support  de  cristallisation

D’une idée,   objet …  action

Pour faire       une création.

Peut-on           s’en passer,

En avoir      plusieurs ?

Lors, être   la muse

De    quel-qu’un,

Est-ce  un  cadeau

Ou est-ce bien divin.

.

Divin, voire devin ou voire  du vin,

Ce dernier en aura inspiré plus d’un

Poète,   d’un romancier, ou écrivain

Qui, de lui, voire d’elle, s’en  amuse.

Imagine,   un  instant   que  tu  sois

Ma muse. Quoi !  Ah  cela  t’amuse.

Un brouillon pour mon inspiration,

Encore que, de là, à être,  pour moi,

L’unique veine de mes projections :

Ce serait  un peu trop, si j’en abuse.

Cela  voudrait  dire, en somme, que

Tu synthétises et que tu cristallises

À la fois, beauté, grâce, féminine,

Du moins pour moi, à mes yeux,

Qu’il  ne serait   point  de  mise

De  te  laisser   en    sourdine !

J’aimerais dessiner   I   les arabesques

De ta forme sous mon  M   doigt livresque,

Écrire partition, sans    A       fausses notes,

Avec des harmoniques   G        qui dénotent

Passion, que je te voue    I        que je chante

Aux oreilles attentives    N      et  charmées,

Par ce trait, venu du      E     fond  encrier,

Qui coule, sur moi, et    *    qui me hante.

Vrai, je délire un max   T     et pour peu

  Ton âme déteigne un    U    peu sur moi

      Je serais ton esclave     *       bien ton roi,

         J’irais même, à t’ad      S     resser ce vœu

         Tu restes ce que tu es  O   mais non pas,

            Ma muse mais plutôt  I   corps ne m’use

            Il est du plus bel effet  S    crois le moi,

              Ton sang à mes vers    *    ne transfuse

                 Les flux, flots de tes    M    inspirations

                     Faisant de toi, l’être    A      d’exception,

                     Tant c’est le courant    *    passant fort,

                       Nous rend tous deux  M       non morts.

                       Je sais à quel point     U   il est insensé

                            De prétendre cela        S     puisse arriver,

                             Or poésie, parfois,      E        nous sublime

                                Jusqu’à nous faire grimper jusqu’à sa cime.

.

Forme

.

.

Silhouette de femme,

À la fois  amie  et muse,

Sa robe flottant au vent 

Vue de dos et marchant ?

.

Évocation

.

761 4

.

Cette femme ressemblerait

À  une  muse : pas  certain !

Mais, si  pour moi, elle l’est :

 C’est mon choix, j’en suis ravi.

.

Symbolique

.

Tout le

XIXème siècle

Demeure  imprégné

D’images négatives

De la femme,

Véhiculées par la littérature et les arts.

Lors ce contexte se reflète en peinture,

En laquelle s’opposent, cohabitent

Deux visions de la femme :

 

L’une, plutôt idéalisée et asexuée,

Séraphique ou androgyne,

L’autre, au contraire, castratrice,

Fatale, mante religieuse,

Liant  Éros  et Thanatos,

Illustre aussi  l’ambiguïté

Rapports homme/femme.

julien.gadier.free.fr/femmemain

.

.

Fond

.

Évocation 

.

761 6

.

Cette femme ressemblerait

À une muse : pas certain !

Mais, si pour moi, elle l’est :

 C’est mon choix, j’en suis ravi.

.

Symbolique 

.

Dans la 

Mythologie grecque,

Les Muses sont

 Les neuf filles

De   Zeus 

Et  de  Mnémosyne

Présidant  aux arts libéraux.

 .

La plus éminente des Muses,

Calliope dont le nom signifie

« À la   belle  voix »   présidait

À la poésie  et à l’éloquence.

 .

Et dans certaines légendes,

Elle  eut  deux fils  d’Apollon

Ou  du dieu-fleuve   Oeagre :

Orphée et Linos fils d’Uranie.

 .

Dans les arts,  elle est souvent

Représentée, la tête  couronnée

De lauriers et tenant des tablettes,

Un stylet ou un rouleau de papyrus.

Source : blog.ac-versailles.fr/frisson4e/

index.php/ Les-Muses-et-la-poésie

.

.

Fond/forme 

.

Rien d’autre, ici,

Que cette angoisse

De la page  blanche

Que ma muse dissipe

Dès que je pense à elle

Et qu’elle vole vers moi

À tire d’aile pour pouvoir

Enfin écrire, sous son aile,

Ce qu’elle m’inspire, en noir,

En gris, en couleurs, ou blanc.

.

Textuels et illustrations   >>

760 – Chacun fait ce qu’il veut, ce qu’il peut !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

En principe,

La liberté même,

Mais, dans la réalité,

Une contrainte, extrême.

.

Entre ce que je veux et je peux,

Il y a un gap à franchir sinon deux,

Rien n’est simple ni acquis d’avance,

Rien ne se fait, tout seul, avec aisance.

.

Abandonner désir est sagesse suprême

Et renoncer aussi  à ceux qu’on aime,

Pour se fondre, dans un grand tout,

Dont on ne connait rien du tout.

.

Chacun fait ce qu’il veut,

Ce qu’il peut,

Chacun sait ce qu’il a connu

Et en a retenu.

 .

Chacun forme des désirs voisins,

Voire opportuns,

Tant et si bien qu’on croit que chacun

A désirs communs.

.

Or il n’en est rien, car en fait, plus d’un

Rêve d’un sort empreint

De songe, plaisir, de l’enfance provenant,

Renouvelables indéfiniment.

 .

C’est souvent dans la répétition du même

Que plaisir atteint point extrême,

Nos passions naissantes, perdent racines

Lors leurs réalités se déprécient.

.

Autant, par son corps, que son esprit,

Ce que l’on aura adoré et repris

N’excite plus un jour notre appétit,

C’est alors qu’on dit, c’est fini !

 .

Chacun s’attache à ses envies,

S’acharne, en outre, à justifier son avis,

Si la réalité le contre, le fuit,

Pour autant, n’en fera jamais l’économie.

 .

Car abandonner ses désirs,

Ne se fait qu’avec sagesse certaine ou infinie,

Quand constat de réalité

Fait qu’on ne prend même plus le temps de rêver.

.

Extensions

 .

Chacun fait ce qu’il veut ou fait ce qu’il peut :

Certains se contentent, petits plaisirs, répétition,

D’autres entreprennent, sur l’année, une réalisation.

Quant à réaliser un rêve d’enfant qui vous prendra

Quatre ou cinq ans, c’est un tel investissement,

Sans certitude,  à la fin que cela convient,

Que peu de gens tente telle aventure.

.

Constructeur, aménageur voilier initiant

À quarante ans un chantier de trois à cinq ans,

Lorsqu’il prend la mer, certains poursuivent passion

D’autres y renoncent : plaisir de faire, plaisir de posséder,

Plaisir de naviguer, plaisir de partager, plaisir d’impressionner,

Plaisir de durer : tous ces plaisirs se mélangent pour un seul désir :

La liberté. Le désir se transformant tantôt en contrainte, et en plaisir,

En astreinte, ne pourront satisfaire ni celui qui veut, ni celui qui peut !

.

En majorité des couples, les tâches ont partagées

L’un s’occupe des courses, et l’autre, de la cuisine,

Mais  il arrive que l’un, sache, et veuille, tout faire,

Il  fonctionnera alors  comme s’il était célibataire :

Est-ce que deux célibataires est mieux qu’un seul !

Chacun en son couple, fait veut qu’il veut  ou peut.

L’essentiel est de na pas le faire en double ou pas,

Etre interchangeable en tout, serait un avantage,

L’homme cuisine et la femme bricole, moderne.

.

« J’aurais voulu être …  un artiste

Pour faire du laid, pour faire du beau

Pour pouvoir dire pourquoi j’existe

Oui, oui, oui.  Merci beaucoup »

.

Paroles et musique au cœur,

Par dizaine  de  chanteurs,

En font un tube d’auteurs,

Pour reprendre hauteur.

.

Certains disent qu’on aura

Fixé la barre… bien trop haut,

Qu’on a atteint le plafond de verre

Vaut mieux se limiter à ce qu’on peut.

.

Moi je pense que quand on peut, on veut,

Pas le contraire, bien que dicton proclame

Que «qui veut la fin veut les moyens» : faux

La fin ne justifierait jamais tous les moyens !

.

Fragments 

.

Chacun fait ce qu’il veut ou voire ce qu’il peut,

De son temps, de sa vie, son argent, sentiment,

Personne ne vit à sa place  moindre événement,

C’est bien lui qui assume tout,  même ses vœux.

.

Parfois, de faire ce qu’on veut, on en est empêché,

Pas toujours par d’autres, par contraintes réalités,

Alors on fait ce qu’on peut, c’est-à-dire… au mieux

Pour ce qui ne va pas, on lèvera les bras aux cieux.

.

Lors on pense choix de vie, l’on pense subsistance

Mais la fin approchera avec certitude… espérance,

Et  chacun se dira que sa vie  doit avoir une utilité,

Sens du sacré  qui ne se dévoile  qu’en spiritualité.

.

Comme pèlerin, on prendra son bâton, sa houlette,

On chemine vers son destin, qu’on espère chouette,

Dès qu’on décide à deux, les choix sont plus ouverts

Et avec les enfants petits, des voies vont de travers !

.

Aurai-je fait dans toute ma vie tout ce que j’ai voulu,

Certes non, mais j’en suis certain, tout ce que j’ai pu :

J’ai dû composer, j’ai dû bifurquer,  j’ai dû me planter,

Et pourtant, proche de la fin, je n’aurai rien à regretter.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme   

 .

En principe,

La liberté même,

Mais, dans la réalité,

Une contrainte, extrême :

Entre ce que je veux et je peux,

Il y a un gap à franchir sinon deux,

Rien n’est simple ni acquis d’avance,

Rien ne se fait, tout seul, avec aisance.

Abandonner désir est sagesse suprême

Et renoncer aussi  à ceux qu’on aime,

Pour se fondre, dans un grand tout,

Dont on ne connait rien du tout.

.

CHACUN

Chacun fait ce qu’il veut,

Ce qu’il peut,

Chacun sait ce qu’il a connu

Et en a retenu.

Chacun forme des désirs voisins,

Voire opportuns,

Tant et si bien qu’on croit que chacun

A désirs communs.

FAIT CE

Or il n’en est rien, car en fait, plus d’un

Rêve d’un sort empreint

De songe, plaisir, de l’enfance provenant,

Renouvelables indéfiniment.

C’est souvent dans la répétition du même

Que plaisir atteint point extrême,

Nos passions naissantes, perdent racines

Lors leurs réalités se déprécient.

QU’IL VEUT,

Autant, par son corps, que son esprit,

Ce que l’on aura adoré et repris

N’excite plus un jour notre appétit,

C’est alors qu’on dit, c’est fini !

Chacun s’attache à ses envies,

S’acharne, en outre, à justifier son avis,

Si la réalité le contre, le fuit,

Pour autant, n’en fera jamais l’économie.

OU PEUT ! 

Car abandonner ses désirs,

Ne se fait qu’avec sagesse certaine ou infinie,

Quand constat de réalité

Fait qu’on ne prend même plus le temps de rêver.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une silhouette d’homme

 Peut-être  bien   un  pèlerin,

En vue de profil  et immobile :

 On ne sait vers quel choix de vie

.

.

Je peux et je veux, être ceci, ou cela, 

Car c’est cela mon choix :

Je suis sédentaire ou nomade mais,

De temps à autre, pèlerin.

Faire ce qu’on veut ou peut

Ressemble à son choix de vie

Choix volontaire, dirigé, forcé

La forme épousera bien le fond.

.

Symbolique 

 .

Choix  de  vie résulte

De décision d’un individu

Ou d’un groupe, confronté à

Une situation  ou à un système

Offrant une ou plusieurs options.

Le terme « choix » pouvant désigner

Le processus par lequel cette opération

Est menée à bien  et/ou  le résultat  de la

Dite opération. En philosophie, la question

De savoir si un individu effectue des choix

Librement ou est déterminé renvoie au

Problème de l’existence ou non

Du libre arbitre.

Wikipédia : choix de vie

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Je peux et je veux, être ceci, ou cela, 

Car c’est cela mon choix :

Je suis sédentaire ou nomade mais,

De temps à autre, pèlerin.

.

Symbolique

.

Le pèlerin  

Est une personne

Qui entreprend

Un voyage avec

Dévotion jusqu’à un sanctuaire.

Il symbolisera  le  cheminement

Tout autant la quête spirituelle.

 .

Le pèlerin prend du recul par

Rapport à ses préoccupations

Quotidiennes en se posant

Questions existentielles.

Il devient étranger à son

Environnement et à lui-même.

 .

Aussi, les épreuves rencontrées sur

Chemin de pèlerinage, montagne, désert,

Symbolisent la série des épreuves de sa vie.

Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-pelerin

 .

 .

Fond/forme 

.

Toute décision semble appartenir

À chacun mais sans en être certain,

Tant, de savoir, de vouloir, et pouvoir,

Dépendra des buts que l’on s’est fixé.

Il y aura des projets  qui avortent

Et autant de rêves qui capotent

Et, dans la vie, leur cohorte

Frappe encore à la porte :

Au final, ce que l’on peut,

Filtre ce que l’on veut !

.

 Textuels et illustrations  >>

759 – Murmure du vent, traversant les pins !

 Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Qu’il

Est  doux

Et réconfortant

Ce murmure du vent,

À l’oreille vous susurrant

Un chant doux, mélodieux,

Qui vous mènera  aux  cieux.

.

Il  répond  aux  autres éléments,

Évoquant  le  feu,  l’eau,  la terre :

Il  entre, avec eux,   en harmonies,

Si ce n’est, parfois, en cacophonies.

.

Tant de murmures auxquels se mêle

Le tien, émanent ta bouche, profère

Notre avenir dans lequel se mêlent

Mots les plus doux  et de travers.

.

Ce murmure vous rendra fou

D’amour   quel  qu’il  soit,

De tout,  vous absous,

Comme  il se doit.

.

Le murmure du vent, traversant les pins,

Susurre à l’oreille son chant divin,

Berce mon esprit de rêveries :

Voyage entre iles à l’infini.

.

Le murmure de l’eau, dans le ruisseau,

Epure un vibrato en mon cerveau,

Le renouvelle de sa fraicheur

Et de sa vive blancheur.

.

Le murmure du feu, dans la cheminée,

Ronronne de braise et de chaleur,

Entre deux éclairs enflammés,

Transmet douces langueurs.

.

Le murmure des galets, sur la plage,

Résonne de ses longs crissements,

Frissonne mon corps en nage,

Et rythme  ses  étirements.

.

Le murmure de ta voix, très douce,

Chuchote mot doux en bouche,

Ensorcèle mon âme et corps

D’air qui m’enchante fort.

.

Le murmure de ces divers éléments

S’harmonisent en même temps

Pour me rendre fou … de toi

Chaque fois que je te vois.

.

Extensions

 .

Ah, le murmure, combien de fois l’évoque-t-on

Pour signifier quelque chose de secret qu’on

Ne parvient ni à entendre ni à comprendre.

Il est vrai  que, sur le plan  phonétique,

Un  mur  doublé  d’un  mur  n’est  pas

Propice à l’entendement  réciproque.

.

Mais hurlements ne valent pas mieux :

Ils trop forts, trop saturés, trop brouillés !

Le murmure laisse impression de proximité,

D’intimité tandis que le hurlement : bruit de rue,

De bruit de cohue ou encore de torture ou de morsure.

.

Les chevaux aiment, parait-il, qu’on leur murmure à l’oreille :

Ça les met en confiance, réduit distance entre hommes et eux.

Murmurer des mots doux dans l’oreille d’une femme

Que l’on veut séduire serait bien plus efficace

Que de lui écrire un poème : À voir !

.

Ce qui est certain c’est qu’un doux poème

Murmuré à l’oreille a plus de force que parole

Quelconque, crié à la face de quelqu’un, quelqu’une :

Une fois cela dit, un homme averti en vaut deux.

Travaillez dès lors autant fond que forme !

.

Couchés tous deux dans la forêt,  dans la forêt de pins

À l’abri des regards, des vents forts

Le doux murmure du vent, zéphyr, charme mon oreille

Et j’entends ta voix, douce et suave,

Reprendre, en écho, ses paroles, me paraissant pareilles

À ton beau chant d’amour pour moi

Notre isolement de tout et de tous est un enchantement

Qui nous repose des bruits de foules

Craquements des pins, des pommes de pins au soleil

Sont, de nos ébats, seuls témoins.

.

Un murmure d’amante à mon oreille,

Est-ce un message codé ou une réalité,

Que j’ignore encore et qui jette un sort

À celui qui lui prêtera l’oreille très fort.

.

Le courant et le vent, seront complices :

Courant, en ruisseau et vent, en serrure,

Transmettent un secret avec leur malice

D’un vrai bonheur établi, simple et pur.

.

Quand l’amour s’installe, et qu’il veille

 À ce que chaque jour, il nous réveille,

Par un murmure des plus doux au

Creux même de notre oreille !

.

Fragments 

.

Le vent peut se faire très doux, agréable,

Comme il peut se faire violent,   détestable,

Vous murmure à l’oreille chant harmonieux,

Lors grosse tempête, soudain devient furieux.

.

Toujours il passe, et  pour aller  l’on ne sait où,

Toujours revient, chargé de noirs nuages, fous,

Il renouvelle l’air,  le réchauffe, il l’humidifie :

Change de direction comme c’est pas permis.

En traversant les pins et tous les arbres bas

.

Il les secoue et … il les fait plier,

En mouvements  de balanciers,

Branches  se mettent à danser,

Et saluent, en agitant les bras,

Coucou, c’est moi … me voyez.

.

S’ouvrent les pommes de pins,

Aux doux  zéphires  des matins,

Comme longs murmures, divins,

Entre chants sirènes  et  humains,

Et se ferment, les pommes de pins,

Dès que le temps deviendra chagrin.

.

Le murmure de ta voix entrant à l’oreille,

Est semblable au vent et me fait merveille,

Il s’accorde bien  à celui de  trou de serrure,

Je m’enracine en lui avant de m’envoler loin,

Il me raconte lors des histoires enchanteresses

Magnifiant d’autant les sensations des caresses.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Qu’il

Est  *  doux

Et ré M confor  T tant

Ce mur U     mure du  R  vent,

À l’oreille R        vous susur   rant

Un chant M          doux, mélo    V dieux,

Qui vous  U           mènera  aux     E  cieux.

Il répond  R           aux autres  élé    R  ments,

Évoquant E            le feu,  l’eau,  la   S    terre :

Il  entre,   *         avec eux,   en har    A  monies,

Si ce  n’  D        est parfois, en caco  N phonies.

Ces mur U       mures,     auxquels   T  se mêle,

Le tien  *      émanent de bouche   *    profère

Notre a V  venir, dans lequel,  P pêle-mêle,

Nos mots E    les plus doux  I de travers.

Un mur  N mure vous  N rendant fou

D’amour   T  quel  S   qu’il soit,

De tout,   * vous *   absous,

Comme  * il se doit.

.

Le murmure du vent, traversant les pins,

Susurre à l’oreille son chant divin,

Berce mon esprit de rêveries :

Voyage entre iles à l’infini.

.

Le murmure de l’eau, dans le ruisseau,

Épure un vibrato en mon cerveau,

Le renouvelle de sa fraicheur

Et de sa vive blancheur.

.

Le murmure du feu, dans la cheminée,

Ronronne de braise et de chaleur,

Entre deux éclairs enflammés,

Transmet douces langueurs.

.

Le murmure des galets, sur la plage,

Résonne de ses longs crissements,

Frissonne mon corps en nage,

Et rythme  ses  étirements.

.

Le murmure de ta voix, très douce,

Chuchote mot doux en bouche,

Ensorcèle mon âme et corps

D’air qui m’enchante fort.

.

Le murmure de ces divers éléments

S’harmonisent en même temps

Pour me rendre fou … de toi

Chaque fois que je te vois.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une pomme de pin en haut,

Et donc, une forêt de pin en bas

C’est évident  que cela  ira de soi

Mais ça va mieux en la disant !

.

.

En forêt pommes de pins

Murmurent, en s’ouvrant,

Pour raconter attachement, en l’air

 Et détachement, sur terre.

Pomme de pin  et tronc d’arbre,

Ne produisent pas de murmures

Et même dans une grande forêt

Ainsi la forme diffère du fond.

 .

Symbolique 

 .

La forêt peuplée

D’animaux  sauvages

Est associé aux dangers,

Mais aussi, à l’imaginaire,

Fort  sentiment  d’étrangeté.

La forêt est un espace naturel,

Sauvage et mystérieux et qui a

Toujours  fascinée  les  hommes.

En effet, c’est un monde sombre

Avec  des bruits   étranges  qui

Peuvent,  parfois,  inquiéter.

Cette étrangeté donne à la

Forêt dimension occulte,

Associée à la magie.

1001 symboles

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

En forêt de pins,  pommes de pins

Murmurent, en s’ouvrant,

Pour raconter attachement, en l’air

 Et détachement, sur terre.

 .

Symbolique 

 .

La

 Pomme

De pin ornait

Sommet du sceptre

 .

 De Bacchus (Dionysos),

Dieu de la vigne et du vin.

Sceptre de la Vérité manifestée.

 .

La pomme de pin aura représenté,

Il est vrai antiquité, exaltation exagérée

De la puissance  vitale  et  de  la fécondité.

 .

Le pin   est l’arbre  symbole    d’immortalité,

C’est peut-être la persistance  de son feuillage,

Plus les qualités de sa résine qui lui  ont valu

Cette symbolique en nombreuses cultures.

Source : pinel.org/pinellistique/symbolique-du-pin

 

 

Fond/forme 

 .

Bruits et chuchotements sont le fait

De gens qui se parlent à voix basse

Tout comme des amis ou amants

Qui  fredonnent leurs chants !

.

Si le vent s’y met, en serrure

On entend musique d’ange

Comme des voix célestes

Qui nous hallucineront

Comme pomme de pin

Comme forêts de pins 

Leurs murmures divins.

 .

.

 Textuels et illustrations   >>

758 – Imagine un monde, imagine une terre !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

À chacun son délire,  utopie :

On peut imaginer autre Terre

Où l’on serait tous frères, amis

Où il n’y aurait plus de guerres ,

Mais, ce ne serait plus le Monde,

.

Dans  lequel, tous les jours, l’on vit,

Fait de malheurs  et  fait  de misères,

Que les médias oublient … claironnent.

.

Que  devient le fameux : «vivre ensemble»

Si chacun pense à lui  et d’abord, rassemble

Tout ce  qui peut  lui  être  utile ou favorable,

Cupide, égoïste, passant pour être honorable !

.

Imagine un monde,

Imagine…une terre,

Où l’on serait frères,

Où l’on serait  sœurs,

Où au fond des cœurs

Amour nous inondent.

.

Hélas,  il n’en est point,

Ou souvent, contrepoint,

Chacun pensant aux siens

Et tant pis pour les voisins

Juste, respect de courtoisie,

Juste, «bonjours et mercis».

.

L’on ne peut aimer ni aider ;

Tout le monde  et l’humanité,

Ni enchanter … tout le monde

Dans ce monde,  désenchanté.

.

De prôner le «chacun pour soi»,

Ne créera pas  de communautés,

Il faut que, des cœurs, l’on  sonde

Toute chose dont chacun fera foi !

.

Or que faire d’autre, que  d’écouter

Peines, plaintes de gens désocialisés

Parfois désolidarisés… déshumanisés.

.

De leur venir en aide tout seul, ne serait

Qu’une goutte d’eau dans un vaste océan,

Sans politique  commune, l’on ne pourrait,

Que perdre à la fois son temps et son argent.

À chacun de trouver la formule, lui convenant.

Aider l’autre : facile à dire : le faire : comment !

.

Extensions

 .

Imagine un Monde, Terre :

Terre inconnue pour les uns,

Terre Promise   pour d’autres,

En notre galaxie, extragalactique

Aurait-elle figure  de notre Planète.

.

Et, si oui, aurait-elle  figure humaine,

Et si oui, mêmes systèmes inégalitaires,

Les mêmes qualités et les mêmes travers !

On se perd en suppositions, en descriptions,

En  évocations,   comparaisons,  explications !

.

La plupart du temps, il s’agit de la même Terre,

La nôtre, fonctionnant  simplement  différemment.

C’est difficile à imaginer, en dépit exemples du passé,

Alors en imaginer une dans le futur en lien avec le passé.

.

C’est peine perdue d’avant tant que les hommes resteront

Ce qu’ils sont, c’est-à-dire moitié ange et moitié démons.

Nos décisions sont prises par émotions plus que raisons.

Ce n’est pas la Terre qui pose problème : ses habitants !

.

Imagine : un rêve d’utopiste

Voulant mettre Monde en piste

Vers un bonheur  vécu universel.

Allez, allez et vite : tous  en s elle :

Mais tout autre  est notre réalité,

L’humain est fait  de duplicités,

Que l’on ne parvient à cacher,

Si bien même, on parvient,

Des fous en profiteraient.

.

Les amoureux, grand bien leur fasse,

Imaginent, souvent, Terre, différente

De celle  où ils ont vécu  jusque lors !

.

C’est humain,  c’est compréhensible,

C’est le fruit de deux âmes sensibles,

Mais réalités les prennent pour cible

Et seront trop souvent incompatibles

.

On peut imaginer des choses à l’envi,

Sans ce que cela devienne la vraie vie

C’est ce que me rappelleront les amis.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

À chacun  I   son délire,   I   utopie :

On peut   M  imaginer au   M  tre Terre

Où l’on   A    serait tous frè    A  res, amis

Où il n’   G       y aurait plus de   G   guerres.

Mais,      I      ce ne serait plus le     I    Monde,

Dans     N    lequel, tous les jours,     N    l’on vit,

Fait de   E        malheurs  et  fait de     E   misères,

Que les   *        médias   oublient,  clai    *    ronnent.

Que de  U      vient le fameux «vivre en     U  semble»

Si  cha   N      cun pense à lui, d’abord, ras   N   semble

Tout ce   *     qui peut  lui être   utile ou fa    E   vorable,

Cupide,   *       égoïste passant pour être ho   *   norable.

MONDE                                                 TERRE

.

******************************************

***********************************

.

Imagine un monde,

Imagine…une terre,

Où l’on serait frères,

Où l’on serait  sœurs,

Où au fond des cœurs

Amour nous inondent.

.

Hélas,  il n’en est point,

Ou souvent, contrepoint,

Chacun pensant aux siens

Et tant pis pour les voisins

Juste, respect de courtoisie,

Juste, «bonjours et mercis».

.

L’on ne peut aimer ni aider ;

Tout le monde  et l’humanité,

Ni enchanter … tout le monde

Dans ce monde,  désenchanté.

.

De prôner le «chacun pour soi»,

Ne créera pas de communautés,

Il faut que, des cœurs, l’on sonde

Toute chose dont chacun fera foi !

.

Or que faire d’autre, que  d’écouter

Peines, plaintes de gens désocialisés

Parfois désolidarisés…déshumanisés.

.

De leur venir en aide tout seul, ne serait

Qu’une goutte d’eau dans un vaste océan,

Sans politique  commune, l’on ne pourrait,

Que perdre à la fois son temps et son argent.

À chacun de trouver la formule, lui convenant.

Aider l’autre : facile à dire : le faire : comment !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un arbre ou tout au moins

Un tronc avec une cime, 

Des branches et racines

Ancrées dans la terre.

.

758 4

.

Un arbre ou tout au moins

Un tronc avec une cime, 

Des branches et racines

Ancrées dans la terre.

.

Un arbre aux multiples branches

Sur son long tronc vers le ciel :

Symbole même de la terre et

De la fertilité, la liberté !

.

Symbolique 

 .

L’arbre représente

« L’être            humain ».

 .

Les    racines    sont   la  base

De construction psychologique

Des     liens    qui      le      relient

Aux   membres    de    sa famille,

Le         trans-gé-né-ra-ti-on-nel,

Inconscient,  mémoire cellulaire.

 .

Le     tronc     est,     quant     à lui,

Le corps   physique   et  les  feuilles,

 Nombreuses branches représentent

Ouverture    d’esprit,       spiritualité,

Sa  capacité   à s’élever   vers le ciel.

Source : psycho2rue.fr/dictionnaire

-des-symboles-de-reve/tronc

.

.

Fond

.

Évocation 

.

758 6

.

Un arbre aux multiples branches

Sur son long tronc vers le ciel :

Symbole même de la terre et

De la fertilité, la liberté !

.

Symbolique 

 .

La terre s’oppose

Symboliquement au ciel

En principe passif, principe actif.

La Terre supporte lors le ciel couvre.

La Terre est  née du chaos primordial

Séparée des eaux dans livre de Genèse.

 .

La Terre est la matrice qui conçoit les

Sources et les minéraux  et métaux.

Symbolise la fonction maternelle.

Elle donne, elle reprend la vie.

Symbole de fécondité et de

Régénération cyclique.

 .

 .

Fond/forme 

 .

Pas de tronc d’arbre sans terre,

Pas de terre sans tronc d’arbre

Ou de tige de plantes, d’herbes,

.

Lors le ciel est vide et parsemé

D’étoiles, dont leurs lumières,

Semblent provenir de  l’infini.

.

Il constituera les imaginaires

Qui confondront  ciel et terre,

Pour nous extraire de misère,

Que nous souffrirons ici-bas !

.

Textuels et illustrations  >>

757 – De l’autre côté de la rive, quoique je vois

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De l’autre côté  de la rive,

Quoique je vois, il m’arrive,

Que tu me crois, me crois pas,

Je ne pourrais  exister sans toi !

.

Tant de l’autre côté de l’eau vive,

Dès  je te vois  dès que tu arrives,

Chez toi, pour retrouver  le calme

De ta maison  remplie de palmes ;

.

Je ne te connais pas lors j’imagine

Tu es une copine  et  belle coquine,

Lors j’ai atteint ta rive, en nageant,

Tu m’attendais,  comme un amant.

.

Le destin t’aura mis sur le chemin,

Celui de rencontre de notre amour,

Celui qui nous grandit chaque jour

Et qui nous fera le plus grand bien.

.

Tant vrai,  de l’autre côté  de la rive,

Quoique je vois, quoiqu’il  m’arrive,

Que tu me crois ou ne me crois pas,

Jamais ne pourrai exister sans toi.

.

De l’autre côté,   comme promise

Quoique tu fasses en insoumise,

Que tu me crois,  doute  ou pas,

Sans moi : tu n’existerais  pas.

.

Par un autre côté, vie exquise,

Ce moment passé qu’avec toi

De reine devenue marquise,

Comte ne délaisse ton pas.

.

Par un  autre côté, toute dérive

Reste possible la prochaine fois,

Quand la  liberté  ne  nous prive

Pas de revenir au premier choix.

.

Parce que nos vies s’entrelacent,

L’un, l’autre, l’on ne se reniera,

On sait ce qu’on est, n’est pas,

Amour ne  sera pas de glace.

.

Extensions

 .

De l’autre côté de la rive, tu te tiens,

Comme indépendante et séparée de moi,

Rivière qui nous sépare ne manque d’eau vive,

Sans cesse renouvelée et les ponts sont nombreux

Pour que l’on s’y rejoigne et que l’on témoigne

De notre attirance en nos éclats d’existence.

.

De la berge, on peut s’éloigner de notre

Rivière, momentanément, opportunément.

Notre rivière serpentant d’un côté à l’autre,

Tôt ou tard nous rapproche, pont nous réunit.

.

Quand bien même, il n’y aurait de pont proche,

Plus de pont du tout, l’un, l’autre, sommes prêts

À nous jeter à l’eau en vue de nous rejoindre

Quitte à nous laisser emporter par elle

Une frêle embarcation fera l’affaire.

.

Si la distance est bien trop grande ;

Les frontières, les barrières, interdits

Sont faits pour être bravés, franchis,

Attention toutefois à ne pas s’y noyer

.

À ne pas plonger trop profond

Et ne plus pouvoir refaire surface.

La mort guette ceux que l’amour étouffe :

Amour a besoin d’air pour exister en durée.

.

L’autre rive : c’est toi !

La rivière, c’est l’amour,

Et le nôtre, c’est un pont

Tout est dit en ces mots,

Et, si le pont est cassé,

Il nous reste à nager,

Et pour  le recoller,

Pour se retrouver,

Coute que coute

Sans un doute.

.

De l’autre côté de la rive,

Quoiqu’il en soit, il arrive

Je nage vers toi,  et ravive,

Une amitié  qui  transcrive

Âmes perdues,  lors dérives

Jusqu’à ce qu’amour revive.

.

Quand il n’y a plus… de pont,

On ne se voit plus entre rives :

Il faut que le courant repasse,

Pas que dessous, aussi dessus

Afin de rencontrer quelqu’un

Qu’avant, l’on aimait bien !

.

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

De l’autre côté  de la rive,

Quoique je vois, il m’arrive,

Que tu me crois, me crois pas,

Je ne pourrais  exister sans toi !

Tant de l’autre  D    côté de l’eau vive

Dès je te vois      E    dès que tu arrives,

Chez toi, pour     *      retrouver le calme

De ta maison       L    remplie de palmes ;

‘ ……

Je ne te connais    A       pas mais j’imagine

Tu es une copine   U        une  belle coquine,

Lors j’ai atteint     T        ta rive en nageant,

Tu m’attendais,     R        comme un amant,

Le destin t’aura     E        mis sur le chemin,

Celui de la ren        *         contre de l’amour,

Celui qui nous        C     grandit chaque jour

Et qui nous fera     Ô        le plus grand bien.

Tant vrai,  de l’       T    autre côté  de la rive,

Quoique je vois,     É       quoiqu’il  m’arrive,

Que tu me crois,     *       ou ne me crois pas,

Jamais je ne pour  D       rais exister sans toi

De l’autre                E    côté comme promise

Quoique                   *     tu fasses, insoumise,

Que tu le                  L      crois, doute ou pas,

Sans moi, tu           A            n’existerais pas.

Par un autre côté,   *                    vie exquise,

Ce moment passé   R                     qu’avec toi

De reine devenue    I                       marquise,

Comte ne délaisse   V                          ton pas.

Par un  autre          E          côté, toute dérive

Reste               *     possible la prochaine fois,

Quand          J      notre liberté ne nous prive

Pas de             E    revenir au premier choix.

Parce que           *        nos vies s’entrelacent,

L’un, l’autre,         V           l’on ne se reniera,

On sait ce qu’on        O             est, n’est pas,

Amour ne  sera pas         I                de glace.

                    S

.

Forme

.

.

Évocation

.

Bouteille plastique,

Pour de l’eau

Bouteille isotherme 

Café d’amitié.

.

757 4

.

Bouteille isotherme a, pour fonction,

Garder liquide : thé, café, au chaud.

L’amour se chauffe et refroidit vite

 Mais pas une amitié durable.

Rien à voir entre bouteille et rive,

Que ce soit pour l’eau, pour le café,

Bien qu’isotherme, voire précieuse,

La forme  ne convient  pas  au fond.

.

Symbolique

.

Pour être efficace,

Bouteille    isotherme

Prend  compte  de  dispersion

De   la température  du  départ

Par     conduction     thermique,

La  bouteille   est   emprisonnée

En une   autre  bouteille interne

Avec  un  minimum  de  contacts

Par  convection,   deux bouteilles

Encastrées, séparées  par  vide ;

Rayonnement électromagnétique

Paroi intérieure : réfléchissante.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Bouteille isotherme  a, pour fonction,

Garder liquide : thé, café,  au chaud :

L’amour se chauffe et refroidit vite

 Mais pas une amitié durable.

.

Symbolique 

.

Longtemps      sus-pec-tée,

Une amitié       homme-femme

S’extirpe de sem     piternels préjugés

Dans une  société       où  se  sont côtoyés

Mixité émancipan      te et désir assumé.

 .

“On est point l’ami      d’une femme quand

On peut être       son amant !”,

Clamait  ainsi  Bal    zac  au  XIXe siècle.

“L’amitié entre homme    femme est impensable”,

Renchérissait, 100 ans      plus tard, Gainsbourg.

 .

Mais pourquoi l’affection placée sous le signe

De la platonicité souffre d’un tel manque

De crédibilité, et cela du moins dans

Une perspective hétéronormée ?

marieclaire.fr/amitie-homme-femme

.

.

Fond/forme 

 .

Une bouteille est souvent l’occasion

D’échanger ou de partager un verre ;

Entre collègue, entre amis, ou amants,

Parfois il faut franchir un pont, rivière,

Pour faire une des plus belles rencontres

Que ce soit en marchant ou en nageant !

 cela tant que l’amitié n’arrête personne

Une rivière ne saurait être frontière.

.

Textuels et illustrations  >>

756 – Viens partager avec moi, doute, désarroi !

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De   vouloir partager

Moindre  doutes

Personne  ne

Le redoute,

Tant  en cas

De désarroi

Il  n’y aura

Pas que moi.

.

Doute sur qui :

Sur  n’importe quoi

Sur les sens de la  vie,

Sur l’amour qu’on bénit.

.

À deux,  chemin de croix

Est moins lourd  à porter :

Croix de fer, croix de bois,

Je fais tout pour te trouver.

.

Viens partager,  avec moi,

Ton doute,   ton désarroi,

Tu es reine  et je suis roi,

Soyons libres,  nos choix.

.

Viens mettre  tous tes pas

De danses dans  mes bras,

À en tourner  ta tête oh ah

Au point, tu n’y pensais pas.

.

Puis, viens coucher tes  ébats

Lors ta joie ne fera de débats,

Car chaque fois, première fois,

Chaque fois elle nous prendra.

.

Va et viens où le pont franchira,

Personne ne nous l’a-men-de-ra

En parlant  d’une  même…voix,

L’amour nous ré-en-chan-tera.

.

Tant que nos vies s’entrelacent

L’un sans l’autre, on n’existera

Tant que notre vie dure, durera

Amour y trouvera sa vraie place.

.

Extensions

.

Le doute sur l’amour vrai, profond,

Durable, sincère, fidèle que sais-je encore

Est comme un cancer en nous qui ne guérit pas

Si on ne l’extirpe pas tant il faut de preuves d’amour

Et qui ne laissent aucun doute sur la confiance réciproque.

.

S’il n’y avait que certitudes en amour, bien vite, on s’ennuierait,

Bien vite, on s’en irait car l’amour est fait de renouvellements

Incessants, entre mari et femme, y compris entre amants.

.

«Est-ce que je finirai ma vie, avec lui, avec elle ? »

Ce genre de doute très projectif est naturel

Mais, il n’y aurait aucune assurance, qui

Puisse l’affirmer, le garantir, l’infirmer.

.

Mariage, bout de papier inflammable

À  la  suite  de  plusieurs  étincelles !

Hier, jurant   de  son  amour éternel ;

Demain, divorçant de conjoint indélicat.

.

Le désarroi est différent du doute : angoisse

Diffuse perturbant le déroulement de la pensée :

« Je ne sais   que penser  …  et je ne sais   que faire,

Que dire …   je me sens, et complètement, perdu. »

.

Il survient lors on sollicite l’autre qui ne réagit pas :

« Où est-il, que fait-il, pourquoi ne répond-t-il pas ? »

Ce n’est pas qu’on doute de lui, c’est qu’on a peur

Qu’il lui soit arrivé quelque chose pour sa vie.

Qu’il donne des nouvelles pour me rassurer.

.

Le doute est un questionnement ;

Le désarroi, un consternement ;

La certitude,  un rassurement ;

Et moi, ne suis rien là-dedans

Qu’un pauvre hère… errant !

.

Le doute entrainera le désarroi

Ou le désarroi entraine le doute

On peut retourner la chaussette,

Sans qu’on y trouve une solution.

.

Tant si on doute de ses sentiments

Pour se marier et, tenir la distance

Mieux vaudrait ne pas s’y acharner,

Mais comment ne pas penser divorce

.

C’est pourquoi, faute de certitude réelle

Le mariage est un pari qui se renouvelle,

Trente ans plus tard on est plus le même ;

Pourtant on est bien resté avec… la même

.

.

Fragments 

.

Ce n’est pas Descartes qui rejettera le doute :

Lui qui l’a sanctuarisé : je doute, donc je suis.

Je suivrai quelqu’un d’autre, qui doute aussi :

Bonjour les certitudes, bonjour les paradoxes.

.

Quand on présenterait, à un enfant, en bas âge,

Flacons de taille, forme différente, même contenu

Il n’émet aucun doute, le plus haut est le plus grand

Bien qu’il y ait équivalence, ne voit de ressemblance.

.

Ce qui est vrai, sinon  patent, en physique,  l’est  encore

Plus en psychique, lorsqu’il provoquerait des désarrois :

Doute provient du cerveau tandis que désarroi, du cœur,

On doute de l’amour mais c’est le sentiment qui éprouve.

.

Éprouver un doute ne provoque pas toujours  de désarroi,

Tandis que tout désarroi conduira très souvent au doute :

On prétend qu’en lois scientifiques, il n’y a plus de doute,

L’on dit en même temps, qu’elles doivent être réfutables.

.

Alors comment s’en sortir quand il s’agit de sentiments,

N’y pas de lois absolues : qu’un continuum non clivant,

C’est en les partageant que l’ombre portée diminuera,

Et que l’on verra enfin sa lumière, sa vérité, en soi !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

                   De   vouloir   partager

                Moindre  A  doutes

                Person  V   ne  ne

             Le re   E  doute,

         Tant   C   en cas

     De dés *   arroi

Il  n’y   M  aura

Pas que   O    moi.

Doute sur    I    qui :

Sur  n’importe  *  quoi

Sur les sens de  la  vie,

Sur l’amour qu’ O on bénit

À deux,  chemin U de croix

Est moins lourd à T  porter :

Croix de fer croix  E   de bois,

Je fais tout  pour *  te trouver.

Viens partager   P      avec moi

Ton doute, et     A      désarrois,

Tu es reine et     R       je suis roi,

Restons libres   T         nos choix.

Viens mettre     A       tous tes pas

De danses en     G          mes…bras,

À en tourner      E        ta tête oh ah

Au point t’y        R      pensais … pas

Ensuite viens       *       coucher ébats

Lors ta joie ne     D     fera de débats,

Car chaque fois    É     première  fois,

Chaque fois elle    S      nous prendra.

Va et viens où le    A   pont franchira,

Personne ne nous  R     l’a-men-de-ra

En parlant  d’une   R      même…voix,

L’amour en nous    O    re-chan-tera.

Tant que nos vies    I    s’entrelacent

L’un sans l’autre     *  on n’existera

Tant que notre vie dure et durera

Amour y trouvera sa vraie place.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un  flacon  servant

À faire des mélanges,

Solutions,    en chimie 

De guingois, désarroi.

.

756 4

.

Pour ce flacon, goulot non droit.

Il en est ainsi pour, je crois :

Le doute, voire le désarroi,

C’est lorsque tout va de guingois !

.

Symbolique 

 .

Flacons de laboratoire

Font partie de la verrerie

D’un laboratoire  de base.

 

Ils sont, souvent, en  verre,

Renforcé voire en plastique.

 

Le verre  est transparent ou

 Brun utilisé pour les solutions 

Photosensibles,  usages variés :

 

Préparation   diverses  solutions,

Volumétrie, analyse, conservation

 Collecte,  réactions  chimiques,

Mélange, précipitation.

wikipedia.org/wiki/Flacon_de_laboratoire

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

756 6

.

Pour ce flacon, goulot non droit.

Il en est ainsi pour, je crois :

Le doute, voire le désarroi,

C’est lorsque tout va de guingois !

.

Symbolique de fond

 .

Nos enfants sont sans religion,

Or le «désir de sens» est intrinsèque

À la psyché humaine, toujours en quête

D’une «idée cohérente du monde», et que

Ce qui peut combler ce désir relève de

«Quelque chose  qui parle  le langage

De notre dimension symbolique».

.

Ce désarroi inquiète, ne plaide

Pas pour un retour aux religions

D’hier, et  pourvoyeuses de sens.

.

Il   reconnaît, pleinement, la  valeur

De «notre héritage rationnel et scientifique»,

Mais déplore qu’il ait «piétiné notre dimension

Symbolique», les deux peuvent et doivent coexister.

ledevoir.com/lire/335821/essai-les-raisons-du-desarroi-des-jeunes

.

.

Fond/forme 

 .

Le doute est l’autre coté

D’une pièce  de monnaie

Du côté pile, je souscrirai

Du côté face, me méfierai

Toutefois n’être pas Janus

Qui présentera deux faces,

De profil et  simultanément

Connaissance modère doute

Ignorance renforce certitude,

Lors partager ses doutes serait

Essentiellement les questionner.

.

Textuels et illustrations >>

755 – Je resterai ce que je suis avec tout autre !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Je resterai ce que je suis

Avec tout autre, familier,

Et sinon  même, étranger,

Tant, changer … je ne puis.

.

Tout peut paraitre  changer

En moi dans les apparences,

Mais pas ma propre identité

Que je jetterais en balance !

.

Je suis calme  ou  je bouge,

 M’énerve  même,  des fois,

Je crois savoir pour quoi,

Avoir franchi ligne rouge.

.

Que je sois ici ou là-bas,

À Paris, ou dans ma villa,

Dans le train, dans mon lit,

Je reste encore ce que, je suis.

.

Contexte change autour de moi,

Où tout le monde bouge avec moi

Mais l’effet tourbillon, n’est en soi

Que leurre de vies par devers-soi.

.

Que je sois ici ou là-bas,

C’est pareil, à chaque fois,

Je ne m’ennuie jamais de toi,

Quand est-ce que  cela  finira !

.

Mouvement est d’abord intérieur

Parfois, il subit ceux de l’extérieur,

Souvent, le mouvement de pensées,

Subit le flux de sa forte instabilité.

.

Que je sois ici ou là-bas,

Qu’il fasse beau, même pas,

Je vis chaque instant avec toi,

Bouger, personne m’empêchera !

.

Parfois je dois faire face à un stress

Lors un déplacement devient urgent.

C’est la vie, sans cesse, qui me presse,

Comme d’autres, je n’ai pas le temps.

.

Que je sois ici ou là-bas

Mon cœur restera avec toi :

C’est la chose  dont je suis sûr,

Et c’est la seule,  qui me rassure.

.

Combien de fois, je te le chanterai :

Autant qu’il te faut pour mémoriser.

Je suis plus attaché à toi, qu’à moi,

Ton absence me plonge en effroi !

.

Extensions

 .

Demeurer identique à soi-même en tout,

Partout et avec tout le monde, est un pari

Osé et difficile à tenir mais qui vous assure

De votre intégrité et autant de votre identité.

En amour, c’est le plus difficile car l’autre

Vous influence plus que vous ne croyez.

.

Identique ne veut pas dire sans

Aucun changement, psychorigide

Au point de tout refuser, et en bloc

Savoir s’adapter aux interlocuteurs,

Aux événements, aux circonstances

Sans modifier le cœur de ses valeurs

Et  de ses croyances  fondamentales.

.

Les adaptations sont périphériques

Comme les variations d’un air, joué

De diverses manières ou par divers

Instruments ou différents endroits.

Une  permanence  de  son identité,

Permet de conserver  son histoire,

Et, de relier  ses  souvenirs, en s’y

Reconnaissant   pleinement : ah,

C’est bien moi, ah, c’est bien lui.

.

Demeurer identique et fidèle à soi-même

Et  s’adapter, pour ne pas dire, évoluer,

Semblent a priori totalement opposés

Et pourtant il s’agit bien du même,

La mémoire n’oublie rien, fédère

Ou bien elle  détruit les nerfs

Pour  plus  de  plasticité,

Pour autre identité,

Bien qu’à moitié.

.

Se montrer tel que l’on est aux autres

Est une attitude qui pourra surprendre.

On aura bien plus à gagner, en endossant

Un personnage qu’à dévoiler sa personne !

.

C’est tout simplement mécanisme de défense,

Si je me mets nu, de moi qu’est-ce qu’on pense,

Alors je garde un vêtement et une porte de sortie :

Il me parait vital qu’on ne sache trop ce que je suis.

.

Devenir différent, tout en restant le même, est  comme

Tenter de résoudre la quadrature du cercle, antinomique

Pourtant l’on connait quelques savants, sages, centenaires,

Qui en témoigne de cette attitude rare et tout à leur honneur.

.

Fragments

.

Une partie  de  moi est cohérente  et  stable :

Tient à mon enfance, éducation, orientation

Autre, soumise à l’échec, réussite, influence,

Qui fait que je change de cap selon les vents.

.

Les autres ont-ils une présence forte en moi,

Certains, certaines, oui, et  la majorité : non.

Les autres me disent ce que je suis selon eux

Et je me vois comme en miroir à trois faces :

.

Miroir de ce que je crois être,  en moi-même ;

Miroir de ce que je crois être, pour les autres ;

Miroir de ce que les autres  croient que je suis,

Ce n’est que la vision tripartite qui m’identifie.

.

Il en est un quatrième, essentiel, bien que subtil,

Que renvoient  êtres que j’aime, et  m’entourent :

Les yeux dans les yeux : impossible  de se mentir,

Peu de divergence entre ce que je suis /veux être.

.

Pour reprendre symboles d’horloge et de montre,

L’horloge est mon masque public, social et facial,

La montre est mon visage privé  et plus convivial.

Selon les contraintes, je présente, l’un ou l’autre !

.

Il y aurait comme une dialectique … permanente

Entre une individualisation et une socialisation :

Je suis bien obligé de suivre les règles de société

Mais pour ce qui de pensée de fond : ma liberté.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Je resterai ce que je suis

Avec tout autre, familier,

Et sinon  même, étranger,

Tant, changer … je ne puis.

Tout peut paraitre  changer

En moi dans les apparences,

Mais pas ma propre identité

Que je jetterais en balance !

Je suis calme  ou  je bouge,

 M’énerve  même,  des fois,

Je crois savoir pour quoi,

Avoir franchi ligne rouge.

JE RESTERAI

Que je sois ici ou là-bas,

À Paris, ou dans ma villa,

Dans le train, dans mon lit,

Je reste encore ce que, je suis.

Contexte change autour de moi,

Où tout le monde bouge avec moi

Mais l’effet tourbillon, n’est en soi

Que leurre de vies par devers-soi.

CE QUE JE SUIS

Que je sois ici ou là-bas,

C’est pareil, à chaque fois,

Je ne m’ennuie jamais de toi,

Quand est-ce que  cela  finira !

Mouvement est d’abord intérieur

Parfois, il subit ceux de l’extérieur,

Souvent, le mouvement de pensées,

Subit le flux de sa forte instabilité.

AVEC TOUT AUTRE 

Que je sois ici ou là-bas,

Qu’il fasse beau, même pas,

Je vis chaque instant avec toi,

Bouger, personne m’empêchera !

Parfois je dois faire face à un stress

Lors un déplacement devient urgent.

C’est la vie, sans cesse, qui me presse,

Comme d’autres, je n’ai pas le temps.

.

Que je sois ici ou là-bas

Mon cœur restera avec toi :

C’est la chose  dont je suis sûr,

Et c’est la seule,  qui me rassure.

Combien de fois, je te le chanterai :

Autant qu’il te faut pour mémoriser.

Je suis plus attaché à toi, qu’à moi,

Ton absence me plonge en effroi !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un bracelet de montre,

Probablement,

Bracelet de montre,

Certainement.

.

755 4

.

Ces anneaux d’un bracelet de montre

Demeurent  presque tous identiques :

Il y a donc  un facteur  de stabilité

Qui varie peu avec les années.

.

Symbolique 

.

Outre ses fonctions

Décoratives,

Le bijou est au service,

 Multiple

Autres  fonctions  ou  

Intentions.

Ces fonctions sont

Très variables

Selon les époques et

Les cultures.

Mais autant selon

Les croyances

Perceptions individu,

 Le portant.

Bracelet plus que tout

 Autre bijou

Signifiera partage et

Communion.

lyn-et-or-bijoux.com/content

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

755 6

.

Ces anneaux d’un bracelet de montre

Demeurent  presque tous identiques :

Il y a donc  un facteur  de stabilité

Qui varie peu avec les années.

.

Symbolique 

.

Lors le temps singulier

De la montre rappelle

Le  temps   qui  passe,

Une bonne  montre,

C’est   bien   le  temps.

Contrairement à l’horloge

Qui  représente temps  commun,

Montre renvoie à un temps personnel

Car elle se porte au poignet et n’est vue

Que  par  celui ou celle qui la porte.

La montre      est  également un

Ornement  voire  un signe

Extérieur de richesse.

La vieillesse,   la peur

De la mort et difficulté

À s’incarner  dans  sa vie.

doctissimo.fr/psychologie/dictionnaire

-des-reves/rever-de-montre

.

.

Fond/forme 

 .

Le temps fait beaucoup bouger les choses

On embrasse de plus en plus de situations,

Lors il nous faut naviguer entre sa sincérité

Et part de mensonge qui nous sauve la mise !

.

Avantage de demeurer  tel qu’on était, est sera

Cohérence interne avec ses valeurs, faits et gestes

On dira de quelqu’un resté fidèle à lui-même, amis,

Qu’il est «droit dans ses bottes» : opinion qui ne botte

Pas en touche, quels que soient les conséquences à venir

.

Textuels et illustrations  >>

754 – En pente douce, je sombre en ma folie !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Mais d’abord,

Qu’est la folie

Dé-règle-ment

De  normalité,

Mais qu’est-ce

La  normalité ?

Si,  pas pareil,

Ailleurs qu’ici,

Toutes     folies

Nous guettent

Mais ne nous …

Détruiront pas ;

Celles  d’amour

Se  … guérissent.

.

Pas  mortelle  maladie,

Créant danger corps  esprit.

État amoureux est état second

On perd la tête,  devient abscons,

Mais retour à l’état de départ facile

Dès partenaire a décliné : non, merci,

On n’entre plus avec lui en amour folie.

.

En pente douce,  je sombre  en  ma folie,

La folie me guette, une folie qui me jette,

En des bras inconnus  lors je serais … nue.

Que vais-je devenir, et, que suis-je devenu :

Je suis devenu ce vaurien qui voudrait tout,

Et poursuis comme bon à rien vaudrait tout.

.

Si je ne vous vaux rien,  ne peux rien pour vous

Sauf à vous prévenir  que  folie est aussi en vous.

La même  et différente,  plus calme, plus violente

Si votre  raison  n’est plus seul maitre   des lieux,

Ce n’est jamais raison qui nous mène  aux cieux

Je ne  sais que résoudre les affaires  courantes.

.

Et en pente douce, je sombre en la  folie

Venez  m’y rejoindre et vous serez  ravi,

Notre rencontre sera l’occasion : merci,

Si une même passion vous anime aussi.

.

Je tourne et retourne mot … lie  et…folie.

Il n’est pas faux qu’ils  soient lié … amis.

Au point de partager,  parfois, même lits,

Et l’y faudra voir tout  ce qu’ils y ont mis.

.

Extensions

 .

En pente douce, je sombre en ma folie.

Folie douce en pente raide, descente

Toujours vers toi qui te sers de moi

Et seulement pour ton seul plaisir,

Afin de jouir du moment présent.

.

Tandis que je me découvre et

Me livre et entièrement à toi,

Tu sembles ailleurs, je ne sais où

Me rends fou de ne savoir comment

M’y prendre pour tu m’aimes vraiment.

.

Ce n’est pas tant qu’on ne se rencontre pas

Qui me rend fou : c’est le manque de passion,

De sentiment, attachement de ta part comme si

Faire l’amour pour toi n’était qu’un acte réflexe

Se déclenchant au contact de mon corps nu.

.

Que vais-je devenir si l’amour s’en va,

Que suis-je devenu lors amour n’est plus :

Ton ombre qui te suis comme un chien suit,

Son maitre, ta soubrette qui te sert à manger,

Ton esclave qui se soumet à tes fantasmes !

.

L’amour est maladie … l’amour est folie,

Peut-être, mais, qui s’attrape, se vit, au

Même degré et se soigne à deux, sinon.

.

Folie furieuse est comme coup de tonnerre ;

Folie douce, comme une pluie d’atmosphères ;

Folie amoureuse est comme un coup de foudre ;

Folie math comme un gros problème  à résoudre.

Folie bergère est  un abandon  des blancs moutons.

Moi, je me situe entre folie douce  et raide normalité,

N’ai peur que  d’une chose : mon cœur  cesse d’aimer !

.

Je sais que c’est une folie mais je l’aime,

Comprends-tu, n’as-tu jamais toi-même !

On croirait entendre le discours d’une fille

À son père n’acceptant son choix irrationnel

.

C’est là qu’amour passionnel sombre en folie,

Lors on veut prouver à l’autre son choix défini,

Alors que tous les signaux connus sont au rouge

Et que quoiqu’on dise, qu’on fasse, rien de bouge.

.

Calligramme   

 .

Mais d’abord,

Qu’est la folie

Dé-règle-ment

De  normalité,

Mais qu’est-ce

 La  normalité ?

Si,  pas pareil,

Ailleurs qu’ici,

Toutes     folies

Nous guettent

Mais ne nous …

 Détruiront pas ;

Celles  d’amour

Se  … guérissent.

.

Pas  mortelle  maladie,

Créant danger corps  esprit.

État amoureux est état second

On perd la tête,  devient abscons,

Mais retour à l’état de départ facile

Dès partenaire  a décliné : non, merci,

On n’entre plus, avec lui, en amour folie.

.

En pente douce  * je sombre  *      en ma folie,

La folie me    E      guette, folie  S     qui me jette,

En des bras  N        inconnus lors   O   je serais…nue.

 Que vais-je    *        devenir et que       M    suis-je devenu

  Et je suis de   P           venu ce vaurien      B  qui voudrait tout

  Je poursuis    E          comme bon à rien       R qui vaudrait tout.

Si je ne vous N         vaux rien,  je ne peux       E    rien pour vous

Sauf à vous  T           prévenir  que  folie est       *     aussi en vous.

La même,  E            et différente,  plus calme,    E  plus violente

Si votre    *          raison n’est plus seul maitre   N     des lieux.

Ce n’est  D        jamais raison qui nous mène    *   aux cieux

  Je ne     O      sais que résoudre les affaires     F  courantes

Et en    U    pente douce, je sombre en la    O       folie

Venez  C    m’y rejoindre et vous serez     L     ravi.

Notre   E  rencontre sera l’occasion,    I  merci,

Si une même passion vous anime E   aussi.

.

Je tourne et retourne mot … lie  et …folie.

Il n’est pas faux qu’ils      soient liés … amis.

Au point de partager,           parfois, même lits,

Et l’y faudra voir tout                 ce qu’ils y ont mis.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Récipient ancien

Entre vase et fiole

 Cornue   pour  folie,

Avec quelle potion ?

.

754 4

.

Cette potion servira à augmenter,

Ou à  diminuer la folie :

Mais il arrive que la folie vienne,

Toute seule, de l’intérieur.

Folie, potion, vont bien ensemble

Grain de folie en est petite portion,

Pour autant chimie ne l’explique pas

Car la forme l’évoque pour son fond.

.

Symbolique 

.

Potion magique est breuvage imaginaire

Qui donne une force surhumaine à quiconque

La boit dans l’univers d’Astérix,  série de bande

Dessinée créée par René Goscinny, Albert Uderzo.

 .

C’est aussi le nom donné dans le langage populaire,

Aux produits dopants  utilisés par  les sportifs.  Wiki.

 .

Connaître  les vertus médicinales  des  plantes,  c’était,

De tout temps, et chez tous les peuples, de disposer  d’un

Pouvoir totalement inaccessible au commun des mortels.

 .

L’imaginaire collectif a eu tôt fait d’assimiler aux sorciers

Qui possédait ce savoir ancestral, est capable de préparer

Tisanes, préparations préventives, curatives, purifiantes.

gerbeaud.com/jardin/decouverte/plantes-magiques-sorcellerie

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

754 6

.

Cette potion servira à augmenter,

Ou à  diminuer la folie :

Mais il arrive que la folie vienne,

Toute seule, de l’intérieur.

.

Symbolique 

 .

S

Selon le contexte,

les époques et les milieux,

La folie peut désigner :

.

 Ou la perte de la raison

Ou voire du  sens  commun,

La violation des normes sociales,

Une posture marginale ou déviante

Anticonformiste, impulsion soudaine,

Forme d’idiotie, une passion ou lubie,

Une obsession … voire une dépense.

 .

Mais la  folie peut être  passagère

Chronique, latente  ou foudroyante,

Héréditaire, passagère  ou provoquée.

Elle  peut  être « guerrière »  ou qualifier

De sentiment aussi fort que «l’amour fou».

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond/forme 

 .

L’amour, comme chacun sait, et voit,

À une part intrinsèque de folie douce.

.

Un amour raisonnable  et  raisonné,

Pose question quant à l’authenticité,

Paraitra calculé selon norme sociale,

Aucune pente ne viendra le perturber.

Mais  il y a tellement à dire, à son sujet,

Lors ce serait pure folie que de l’enfermer

En une définition admise de tout le monde,

Amour est bohème parfois jusqu’à l’extrême.

.

 Textuels et illustrations  >>

753 – Si un jour, tu osais m’aimer, je te ferais !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Les promesses n’engagent

Que ceux  qui les écoutent.

Ce qui est vrai en politique,

Est-il autant pour le couple.

Si ceci, cela : vrai pour tout ;

On n’en vient jamais au bout.

Si tu oses, si tu osais… oserais,

Je te fais, je te ferai, je te ferais.

.

Si,  un  jour, tu  osais  m’aimer,

Je te ferais  histoires  et poésies,

Chansons  de   ma  composition,

Pour combler  ton ennui profond

Je serais pour toi, puits sans fond

De ta passion  de ton imagination.

.

Si, un, jour, tu osais  accompagnée,

Je te ferais visiter des lieux, paysages,

Villes aux noms si riches et tranquilles.

Pour combler envie  d’être en toit en ile,

Je serais pour toi, un  guide sans tréfonds

Pénétrations d’intimes  en contemplations.

.

Si un jour, tu osais me suivre, en récréation,

Je te  ferais  retrouver   le  goût  de  l’enfance,

De ta production au lieu de ta consommation.

Pour combler la  question sens de ta révélation,

Étant pour toi comme pygmalion en hors classe

Et jusqu’à ce que tu me surpasses et t’en lasses.

.

Si ceci, si cela mais, les si, n’aiment pas les rais.

Comme chacun sait, chacun fait ce qu’il lui plait

Deux, si ne font pas des ouais : ils font des mais

Et si un jour, tu voulais, et que tu me dirais,

Peut-être,  tu m’aimerais, et je te ferais

Un enfant qui  nous ressemblerait.

.

Grammaire, quelque peu arrangée,

Que décline beaux parleurs patentés

Pour connaitre, authenticité, véracité

Le seul moyen  serait de les   …  piéger.

Piéger au présent, est toujours possible,

Mais  au  futur : totalement  impossible :

Il  faut,  alors,  parier  que   l’engagement,

Tiendra bout de temps, et voire longtemps.

.

Extensions

 .

Si, un jour, tu osais m’aimer,

Je te soutiendrais dans tes actions,

Je participerais, de mon mieux, à celles

Qui nous seront affectées, ou communes.

.

Pour équilibrer l’organisation des tâches

Et des charges du foyer, de l’éducation

De nos enfants, des loisirs, passions,

Je ne serai pas le seul juge pour

Prendre  toutes les décisions.

.

Si, un jour ! Il peut être aussi

Bien maintenant que demain.

Combien se projettent  dans un

Changement futur en le repoussant

Toujours à «plus tard, oui plus tard»

.

Ce qui n’aura pas  nécessité  d’attendre,

C’est d’en parler en termes d’immédiate

Possibilité, en fonction  de nos capacités

Et complémentarités d’œuvre commune.

.

Je ferais ceci, je ferais cela : dans un élan amoureux

On ferait n’importe quoi,

La liste s’allonge projet après projet,  simultanément

Comme un puzzle complet,

Tout en sachant qu’on ne fera peut-être rien, pas tout,

Qu’on n’ira pas jusqu’au bout.

De le promettre peut, des fois, amorcer un amour fou.

.

Si tu osais m’aimer je ferais

C’est un pacte, une promesse

Qui fonctionnera  à vide, faute

D’un partenaire,  pour l’écouter

Faute de l’autre, pour le négocier,

Faute d’être deux, pour l’accepter !

.

C’est devant le mur qu’on voit le maçon

En voilà bien un beau, un parfait dicton !

Pour promettre la Lune, il faut l’atteindre,

Si c’est le seul discours que l’on peut feindre,

Il y a pour le partenaire, beaucoup à craindre,

Un amour aussi exaspéré répare une déception.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

 .

Les promesses n’engagent

Que ceux  qui les écoutent.

Ce qui est vrai en politique,

Est-il autant pour le couple.

Si ceci, cela : vrai pour tout ;

On n’en vient jamais au bout.

Si tu oses, si tu osais… oserais,

Je te fais, je te ferai, je te ferais.

.

Si,  un  jour, tu   osais  m’aimer,

Je te ferais  des histoires poésies,

Chansons de    S  ma composition,

Pour combler   I  ton ennui profond

Je serais pour   *  toi, puits sans fond

De ta passion    U de ton imagination.

Si, un, jour, tu    N  osais accompagnée,

Je te ferais visiter *    des lieux, paysages,

Villes aux noms si   J  riches et tranquilles.

Pour combler envie    O    d’être en toit en ile,

Je serais pour toi, un    U     guide sans tréfonds

Pénétrations d’intimes    R       en contemplations

Si un jour, tu osais me      *     suivre en récréation,

Je te ferais retrouver   *      le     *    goût de l’enfance,

De ta production   T   au lieu de   M ta consommation.

Pour combler la   U   question sens     ‘   de ta révélation,

Étant pour toi   *    comme pygmalion    A   en hors classe

Et jusqu’à ce    O   que tu me surpasses et    I      t’en lasses.

Si ceci, si cela    mais, les  si, n’aiment   M     pas les rais.

Comme chacun  A  sait, chacun fait ce    E      qu’il lui plait

Deux si ne font   I   pas des ouais     R  ils font des mais

Et si un jour tu    S  voulais, et     * que tu me dirais

Peut-être tu m’  *  aimerais,  *    et je te ferais

Un enfant qui   *   nous   * ressemblerait.

J

Grammaire, quel    E  que peu arrangée,

Que décline beaux   *   parleurs patentés

Pour connaitre, aut  F  henticité, véracité

Le seul moyen  serait  E   de les   …  piéger.

Piéger au présent, est  R   toujours possible,

Mais  au  futur : totale  A   ment  impossible :

Il  faut,  alors,  parier     I   que   l’engagement,

Tiendra bout de temps   S    et voire longtemps.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Lampe à pétrole,

 Probablement,

 Flamme  pétrole,

Assurément !

.

753 4

.

Cette lampe s’allumera lors j’oserai,

Enfin, me déclarer :

Lors sa flamme brillera tout comme

La mienne, sans s’arrêter !

Lampe et flamme vont bien ensemble

En outre lampe à pétrole chauffe aussi

Pour oser quelque chose, fait voir clair

Aussi ici la forme conviendrait au fond.

.

Symbolique

.

La lampe, qu’elle soit électrique,

À huile ou à pétrole, représente

Toujours une  lumière intérieure,

Une énergie, des capacités,

Des talents que nous maîtrisons.

.

C’est l’homme qui maîtrise

La lumière avec un certain pouvoir

D’allumer et d’éteindre.

.

Tant la lumière reste le symbole de la

Connaissance, on apprend

De jour en jour à mieux se connaître,

On évolue grâce à l’information, savoir.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

753 6

.

Cette lampe s’allumera lors j’oserai,

Enfin, me déclarer :

Lors sa flamme brillera tout comme

La mienne, sans s’arrêter !

.

Symbolique 

.

La flamme est une partie du feu.

Comme  lui, elle émet  de la chaleur

Et de la lumière, mais moins intenses.

 .

Symbole  avant tout  de l’illumination,

Mais aussi de la paix, l’amour, l’espoir.

Elle est  même  associée  à la  mémoire.

 .

Sa  lumière  ranime  le  souvenir  d’un

Événement, personne,  ou  tradition :

Flamme  qui brûle, continuellement,

Sur la tombe de ce soldat inconnu.

 .

Elle ondule à la verticale évoque

Esprit s’élevant vers les cieux,

Associée à la transcendance,

Et à l’élévation spirituelle.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-flamme

 

 

Fond/forme 

.

L’amour n’aime pas le quotidien

L’amour n’aime pas la routine

L’amour n’aimera pas le rien

Il demande toujours estime.

Quoiqu’on en pense, en dise

En fasse, il faut encore oser,

Quitte à se ramasser, planter

Sinon toute flamme retombera,

Et laissera sa place à l’embarras.

.

Textuels et illustrations  >>

752 – Rêver de rencontrer une femme aimée

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

On rêve de rencontrer

Plusieurs femmes aimées.

Une seule suffit en réalité,

Difficile de multiplier !

.

Mais faut-il encore l’avoir rêvée

Pour s’assurer bien la rencontrer,

Ou c’est juste le moment présent

Que l’on se dit : j’en ai … rêvé !

.

L’inconscient  nous  prépare

À rencontrer femme idéale

Pour nous même si rare :

Première, la principale.

.

Vrai : je peux, toujours, en rêver

De rencontrer belle femme aimée

Je pourrais pour cela me fatiguer,

Ce n’est ni simple ni fait ni gagné.

.

Gagné, il m’arrive d’en frôler une,

Que j’aurais pu toucher  la fortune

Dans les bras d’autre, elle s’est jetée,

Comme demeuré, suis resté… pantois.

.

Pends-toi quand même, y a pas de quoi,

Pendaison est remise  à la prochaine fois

Mais  combien ne se reconnaissent pas,

En marchant à côté et au même   pas.

Pas  de  quoi  m’empêcher  de  rêver

Parfois même, croire l’avoir trouvé,

.

Si elle ne me cherche pas  de son côté,

Inutile de tenter, d’insister  ni d’espérer.

Espérer que la vie ne soit pas dents de scie.

Je t’aime – moi non plus, et tous deux ainsi,

Chantant refrain, allant bien à l’être, chagrin,

Pour reconnaître  qu’amour  ne sera pas divin.

.

Divin, devin  ou  du vin, et, quelle  importance

À partir de ces  moments où  l’on perd la danse

Avec des partenaires  qui voient  tout à l’envers

Et vous mènent  tout droit, du paradis à l’enfer.

.

Vrai que l’enfer est doux, lors on est amoureux,

Voici bien couplet, qui vous couperait le sifflet,

La personne que l’on aimait et qu’on adorait,

Voilà qu’un beau jour, vous hait pour deux.

.

Deux, j’imagine  un  être, une  femme

À qui cœur ému, déclare sa flamme,

Non pour toujours … pour un jour,

Temps que passion passe son tour,

Tour de manège gardant souvenir

Entre reste  d’enfance, innocence

Et  pleine  maturité  à  conquérir.

.

Extensions

 .

Mais qu’est-ce qu’une femme aimée

Si un jour on peut la remplacer, doubler ?

Est-ce celle dont on rêve ou celle avec laquelle on vit ?

Est-ce la femme qui aurait quelques défauts supportables

Ou toutes les qualités  ou aucune de celle-là,

Une femme simplement idéalisée.

.

Rêver de rencontrer une femme : et l’inverse alors

Rencontrer sert moins, s’il n’y a pas de réciprocité

Cela dit  lors de rapprochement très rapide et fort

Il n’y aura aucune garantie que le couple est créé !

 Erreur fréquente que croire que le coup est gagnant

L’on ne se transformera pas d’inconnus en amants,

Car tous les autres vecteurs méritent  leurs attraits

Pour vérifier que premier contact, n’est pas surfait,

Que le couple au bout de temps court ne sera défait.

.

Rêver de rencontrer une femme aimée,

A toujours, comme principale variante :

Rêver de rencontrer une femme aimante,

En vue d’aboutir à une totale réciprocité !

.

Le rêve ne peut fournir qu’états d’émotions

Qui tourneront à vide faute d’être confrontés

À leur remise en scène, dans une vraie réalité,

Qui séparera la projection de la concrétisation.

.

Qui dit rêve ni fantasme fort, envie de séduction

On se fait cinéma en sa tête comme si c’était fait,

Mais voilà que tout change en cours de répétition,

Le rôle n’est pas à la hauteur ou scénario est refait.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

 Calligramme   

.

On rêve de rencontrer

Plusieurs femmes aimées.

Une seule suffit   R   en réalité,

Difficile de se          E  multiplier !

Mais faut-il encore    N   l’avoir rêvée

Pour s’assurer bien    C  la rencontrer

Ou c’est juste le mo  O  ment présent

Que l’on se dit       N    j’en ai rêvé !

L’inconscient    T  nous prépare

À rencontrer R  femme idéale

Pour nous E  même si rare

Première R    la principale.

.

Vrai que je pourrai, toujours, en rêver

De rencontrer  une belle femme  aimée

Et je pourrais     pour cela, me fatiguer :

Ce n’est  F       ni simple ni fait ni     A gagné.

Gagné      E     il m’arrive  d’en frôler    I      une,

Que j’au   M     rais pu toucher  la for     M    tune

Dans les   M     bras d’autre, elle s’est     É    jetée,

Comme    E    demeuré, suis resté pan   E     tois.

Pends-toi       quand même : y a pas de       quoi,

Pendaison est remise  R   à la prochaine     fois

Mais  combien ne se   Ê  reconnaissent   pas

En  marchant à côté  V  et au même   pas.

Pas  de  quoi  m’em  E pêcher  de  rêver

Parfois même, croire  *  l’avoir trouvé,

.

Si elle ne me cherche pas  de son côté,

Inutile de tenter, d’insister ni d’espérer.

  Espérer que la vie ne soit pas dents de scie.

 Je t’aime – moi non plus,  et tous deux ainsi,

Chantant refrain, allant bien à l’être, chagrin,

Pour reconnaître qu’amour ne sera pas divin…

Divin, devin  ou  du vin, et, quelle  importance…

À partir de ces  moments où  l’on perd la danse…

Avec des partenaires  qui voient  tout à l’envers…..

Et vous mènent  tout droit, du paradis à l’enfer….…

Vrai que l’enfer est doux, lors on est amoureux………

Voici bien couplet, qui vous couperait le sifflet…………

La personne que l’on aimait, et que l’on adorait……….…

Voilà qu’un beau jour, elle vous hait, pour deux……………

.

Deux, j’imagine un être, une femme

À qui cœur ému, déclare sa flamme

Non pour toujours … pour un jour,

Temps que passion passe son tour.

Tour de manège gardant souvenir

Entre reste  d’enfance  innocence

Et pleine maturité à conquérir.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Silhouette de femme,

Habillée d’un manteau

Mais ici, en  vue  de  dos

Comme passant, fuyant.

.

752 4

.

Une étrange impression que d’aimer

Une femme, vue de dos :

On ne sait pas si elle est : belle, jeune,

 Intelligente, aimante !

.

Symbolique

.

Tout le XIXème siècle

Est   imprégné  d ‘images

Négatives    de   la    femme,

Véhiculées par littérature et arts.

 

Ce contexte se reflète dans la peinture

Symboliste,  dans laquelle  s’opposent

Cohabitent deux visions de la femme :

L’une idéalisée et asexuée, séraphique

Ou androgyne, l’autre, au contraire,

Castratrice fatale mante religieuse.

 

Si l’art  symboliste  révèle  ainsi….

Un nouvel érotisme sulfureux ….….

Parfois fétichiste, sadique ou ………….

Satanique, Éros, Thanatos ………………..

julien.gadier.free.fr/femmemain

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

752 6

.

Une étrange impression que d’aimer

Une femme, vue de dos :

On ne sait pas si elle est : belle, jeune,

 Intelligente, aimante !

.

Symbolique

.

Le dos est un gros groupe musculaire

Qu’il est indispensable de cibler sous

Plusieurs angles pour améliorer

Le tonus, le volume et le relief.

Et de plus, son développement

Permet d’accentuer l’évasement

Du dos ce qui permet d’affiner la taille.

Quoi de mieux,  lorsqu’on est une femme,

Que d’avoir la taille fine, un dos bien droit

Et une posture à la fois tonique et féminine ?

toutelanutrition.com/wikifit/guide-zone/femme/dos

 .

.

Fond/forme 

.

Le mal du dos est parait-il

Et selon les ostéopathes,

Appelé le mal du siècle

Or loin d’être le seul

Chaque  discipline

Médicale espère

En prévention

Et  le compte

N’y sera pas

Pourquoi ?

Les  causes

Ont bon dos

Symptômes,

Hélas moins.

.

Textuels et illustrations  >>

751 – Il m’arrive de rêver de ma femme !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Rêver quelqu’un

Qui dort à  ses côtés,

Est affaire  étonnante :

Il  faut  l’être, amoureux,

Lors il  ’agit   d’une  épouse

Qui vous a, déjà, tout donné.

Pourquoi non pourquoi pas,

Si on l’a choisi, elle valait

Bien toutes  les autres

Réunies, ou presque.

.

J’avoue qu’il m’arrive de rêver de ma femme,

Ça parait étrange ! Non, c’est plutôt normal,

Tant je la vois et je la sens, un  peu partout

Des fois au lit, et tel lieu n’est pas banal :

Elle me sourit  avec ses yeux  pétillants

Et là, je fonds, bien membré l’animal !

.

Il m’arrive de penser à notre   rencontre,

Me paraissant, étant divorcé improbable

Je la désirais pourtant et elle, tout autant.

Lors nos désirs demeuraient impalpables,

Et c’est là que, n’ayant plus rien  à perdre,

J’aurai fait  le premier pas, plus aimable.

.

Il m’arrive de repenser à grande décision

D’acheter ensemble une coquette maison,

Notre second pas, vers  notre belle union,

Comme nid d’amour de propres enfants,

.

Car elle y pensait déjà  et même souvent

Lors moi, j’en avais, déjà, deux, d’avant

Et  il m’arrive, encore, de  songer à elle,

En  vacances, en  région  de  Provence,

En bateau,  comme bain  de jouvence.

.

Pour nous, y a jamais eu, ritournelles

Avons souvent gardé amour d’avance

Avons vécu vie chaque fois nouvelle

Couple commence à consonne

Accouplée  à toutes voyelles.

.

L’enfant que l’on a eu

Nous fait parents

Afin  de   louer

C’est notre vie

Mais il  peut y avoir

Parmi   des  souvenirs

Heureux qui remontent

Nourrissent rêve commun,

Un d’entre eux qui séduise

Au point  de  fantasmer

Nouvelle   rencontre

Ou art  d’aimer.

.

Extensions

 

Il m’arrive de rêver de ma femme,

Comme une amante, une mère,

Une compagne et de lui faire

Jouer un tas de rôles,

Les uns, sérieux ;

D’autres, plus légers ;

Derniers, parfois drôles.

C’est dire  à quel point  j’ai

Fait un bon choix et que l’amour

M’a donné  la foi, en lui, jusque là

Tant que ce rêve demeure, en moi,

L’amour persiste, l’amour  survivra.

.

Cela veut dire  que  mon inconscient

Joue aussi  la même partie, est sur la

Même  longueur d’onde, et, peut-être

Que je me trompe,   qu’il me trompe,

Qu’il me fait croire qu’en ma femme,

D’autres présentes tapies en l’ombre

Mais  que m’importe, tout cela, dès

Lors que ma femme me satisfait !

.

Ce qui vient en premier, dans mon rêve, ce sont ses yeux,

Son regard surtout et qui me dévisage

Qui, peu à peu, diffracte d’autres visages lui ressemblant

Comme font mille femmes en une seule

Mais quel que soit le mélange toutes mosaïques nouvelles

Son visage surnage et s’impose à moi :

C’est peut-être parce que je décode à l’intérieur du regard

Une immense tendresse à mon égard !

.

Comment peut-on rêver de sa femme :

Certains diraient absurde c’est insensé,

Elle est, demeure, toujours à vos côtés !

.

Si l’on rêve pour échapper  à sa réalité,

Être marié en est une, qu’on oublie pas,

Mais rêver d’une autre, ne faudrait pas !

.

La solution est tout simple, toute trouvée

Sa femme est la concentration cent autres

Dieu sait si le rêve mélangera les identités.

.

C’est différent de penser à une autre femme

Durant l’acte sexuel comme divorce cérébral :

Rêver de la femme qu’on aime est assez normal

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Rêver quelqu’un

Qui dort   à    ses côtés,

Est affaire    *     étonnante !

Il  faut  ô  l’être,  ô amoureux,

Lors il  ’agit   //     d’une   épouse

Qui vous a    //   déjà tout  donné.

Pourquoi  // non pourquoi pas,

Si on l’a  ====  choisi, valait

Bien toutes   les autres

Réunies, ou presque.

.

J’avoue qu’il m’arrive de rêver de ma femme,

Ça parait étrange ! Non, c’est plutôt normal,

Tant je la vois et je la sens, un  peu partout

Des fois au lit, et tel lieu n’est pas banal :

Elle me sourit  avec ses yeux  pétillants

Et là, je fonds, bien membré l’animal !

Il m’arrive de penser à notre   rencontre,

Me paraissant, étant divorcé   A    improbable

Je la désirais pourtant et elle,     R    tout autant.

Lors nos désirs demeuraient        R    impalpables,

Et c’est là que, n’ayant plus          I      rien à perdre,

J’ai fait le premier pas, le           V         plus aimable.

Il m’arrive de repenser à         E        grande décision

D’acheter ensemble une        *        coquette maison,

Notre second pas, vers         D       notre belle union

Comme nid d’amour            E       propres enfants,

Car elle y pensait déjà          *         même souvent

Lors moi j’en avais déjà        R       deux, d’avant

Et il m’arrive encore de         Ê     songer à elle,

En vacances en région          V   de Provence,

Au bateau comme bain      E  de jouvence.

Pour nous, y a jamais eu, R    ritournelle

Avons toujours gardé amour d’avance

Avons vécu vie chaque fois nouvelle

Couple commence à consonne  c

Accouplée à cette voyelle :   o

L’enfant que l’on a eu :  u

Nous fait parents :  p

Afin  de   louer:    l

La     vie     :     e

Il     peut   y  avoir

Parmi   les   souvenirs

Heureux      *  qui remontent

Nourrissent D     rêve commun,

Un d’entre   E         E  eux qui séduise

Au point    *                 M   de  fantasmer

Nouvelle   M                   M         rencontre

Ou art   *  *  A                      E  *  *    d’aimer.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette de femme,

Mais   ici,  vue de dos,

Et  avec  des  formes,

Et parfum mystère.

.

751 4

.

Je rêve de ma femme dans toutes

Les tenues, les postures :

Rien ne m’échappe d’elle en dehors

Parfum de son mystère.

.

Symbolique 

 .

L’enjeu

Auquel font face

Certaines    femmes

Désirant être femme,

 Pleinement,

Reste immense, tant il demande un

Investissement personnel de l’ordre

Du don de soi et une réflexion pour

Comprendre l’axe entre sa dignité

Propre et sa relation au monde.

 .

La Woman Attitude cherche

À rassembler les femmes qui

«Comprennent que l’homme

Est le résultat  de ce qu’est

La femme et en tirent une

 .

Conscience de leurs responsabilités ».

À chaque femme reviendra de s’épanouir

Et de manière unique en tant que femme !

womanattitude.com/ca-veut-dire-quoi-être-femme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

751 6

.

Je rêve de ma femme dans toutes

Les tenues, les postures :

Rien ne m’échappe d’elle en dehors

Parfum de son mystère.

.

Symbolique 

 .

Interaction hommes / femmes :

Mystère !  Vous vous en doutiez,

Les hommes et les femmes n’ont

Pas le même       mode  d’emploi !

 

Si tout monde   ||||      se     retrouve

Dans la défini    ||||      tion d’intimité

Et la nécessité    ||||        de  partager,

La   vision du      ||||        corps,      elle,

Reste le point       ||||         de dissonance

Entre les hom        ||||         mes et femmes

L’homme aujour     ||||      d’hui sait parler !

N’hésite pas à par     ||||        tager son intimité

Cherche  même  à    ||||     vous   comprendre

L’homme en con    ||||    nait  plus sur vous

Que vous ne l’i      ||||    maginez, malgré

Vos préjugés     ||||     votre intimité,

   À moins de my  ||||       stère    pour lui.

magicmaman.com/l-intimite-

feminine-vue-par-les-hommes,

 .

 .

Fond/forme 

 .

Que toute femme soit un mystère :

Voilà bien fantasme qui m’est cher

Et dont je ne saurais pas, de toile,

Par quel bout soulever son voile !

Le voile sur son corps, je devine

Mais voile sur sa face sourdine

Me trompe, parfois, à l’estime

Je le mets en rêve en abyme.

.

Textuels et illustrations  >>

750 – La nuit est calme, rien ne bouge

 Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Nuit calme ne nuit

À personne, bénéficiera

À tout le monde  et chacun

Pour se lever     clair, au matin

Au  lieu  d’en       devenir  chagrin.

Rien ne bouge               à l’extérieur,

Rien ne bouge,                même en soi,

Corps et esprit              sont au repos,

Le cerveau seul,           fait la veille,

Résout  quelques      problèmes

Dont ne voyait d’issues

La nuit devient, amie,

Pour peu, on apprécie

.

La nuit est calme, rien ne bouge

Tout autour, et, le ciel  est rouge,

D’un coucher de soleil,   éclatant,

Face au lever  de  lune,  émouvant.

Le jour  s’en va, la nuit   s’en vient,

Et rien ni personne, ne me retient,

Ce noir, depuis la nuit  des temps,

Qui nous endort le tiers du temps.

Quand tout est serein et ne bouge,

Mes yeux voient, dans infrarouge,

Mes fantômes…autour de minuit,

Envahissent fond de mon  esprit,

Et peuplent mes rêves de songes,

En cauchemars qui me  rongent

Pour exister, dans un  ailleurs,

Exorcisant toutes mes peurs.

La nuit  est calme,  le matin

Me réveille plein  d’entrain

Car les fantômes de minuit

Seront ressortis de mon lit

Lors ainsi je vis deux vies,

Comme  le  jour et la nuit

Jour agité, plein de bruits,

Nuit silencieuse,  assouvie.

Fantôme, fantasme  facétie,

Sont représentations d’esprit,

Jouant une sarabande, de nuit,

En un corps, immobile, qu’ennui

Guetterait si son cerveau se  vide,

Comme une mer, encéphalo  plat

Ni vagues, ondes alpha, ni rides,

Sonnera  crépuscule  ou trépas.

La nuit est  une de mes  amies

Quand,  fatigué,  je  m’y pose,

En ses bras, je m’endors, ravi

De ses tempêtes caresses aussi.

La mer est calme rien ne bouge

Et tout autour, le ciel est rouge,

Corps s’apaise, esprit se  libère :

De ma nuit, n’en suis pas amère.

.

Extensions

 .

La nuit, moins il y aura de bruit

Et plus le sommeil sera profond,

À ce qu’on dit, mais, les enfants

En bas âge  peuvent, dormir  en

Une tempête sans discontinuer,

Lors les personnes âgées ont du

Mal à dormir et ce malgré toute

Absence de bruit et d’agitation.

Nous  ne sommes pas  à égalité

Devant nos droits au sommeil.

 .

Je regarde par la vitre de ma fenêtre : rien ne luit

Tout est bleu nuit

Le paysage est figé comme endormi par effet de lune

Point blanc sur lagune

Et lors je rêve que ma nuit avec toi dure éternellement,

En tant que couple d’amants.

.

Le bruit serait l’ennemi du sommeil

La lumière sera son parfait complice

Et bien qu’en beaux draps, me glisse

Mes yeux restent longtemps en éveil.

.

J’ai peut-être abusé sur les excitants,

Du genre cafés, alcools, films violents,

J’ai peut-être trop stressé, la journée,

Lors je paie l’addition, cash, retourné.

.

Ou encore je suis en dette de sommeil

Et mon corps n’arrive plus à l’éponger

Ou je suis amoureux, à ce point excité,

J’attends que tu sois près de moi, éveil.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme    

  .

Nuit calme ne nuit

À personne, bénéficiera

À tout le monde  et chacun

Pour se lever     clair, au matin

Au  lieu  d’en       devenir  chagrin.

Rien ne bouge               à l’extérieur,

Rien ne bouge,                même en soi,

Corps et esprit              sont au repos,

Le cerveau seul,           fait la veille,

Résout  quelques      problèmes

Dont ne voyait d’issues

La nuit devient, amie,

Pour peu, on apprécie

.

La nuit est calme, rien ne bouge

Tout autour, et, le ciel  *  est rouge,

D’un coucher de soleil,   L      éclatant,

Face au lever  de  lune,    A    émouvant.

Le jour s’en va, la nuit      *        s’en vient

Et rien, ni personne, ne    N    me retient,

Ce noir depuis la nuit        U    des temps,

Qui nous endort le tiers     I     du temps.

Quand tout est serein et    T     ne bouge

Mes yeux voient en infra     *       rouge,

Mes fantômes…autour de   E   minuit,

Envahissent fond de mon   S     esprit

Et peuplent mes rêves de   T   songes

En cauchemars qui me    *   rongent

Pour exister dans un     C   ailleurs,

Exorcise toutes mes    A      peurs.

La nuit est calme,     L    le matin

Me réveille plein    M   d’entrain

Car les fantômes   E   de minuit

Seront ressortis    *   de mon lit

Lors ainsi je vis    Q   deux vies,

Comme  le  jour    U    et la nuit

Jour agité, plein     A   de bruits,

Nuit silencieuse,      N   assouvie.

Fantôme, fantasme,  D      facétie,

Sont représentations    *    d’esprit,

Jouant une sarabande    R      de nuit

En corps immobile, qu’     I        ennui

Guette si son cerveau se    E        vide,

 Comme mer, encéphalo     N         plat

   Ni vague, onde alpha, ni     *        ride,

      Sonnera  crépuscule  ou      N   trépas.

        La nuit est  une de mes       E    amies

            Quand,  fatigué,  je  m’y      *       pose

                 En ses bras, je m’endors    B         ravi

                   De ses tempêtes caresses   O    aussi.

                        La mer est calme rien ne   U     bouge

                            Et tout autour, le ciel est   G    rouge :

                                Corps s’apaise, esprit se     E    libère :

                                 De ma nuit, n’en suis pas   *   amère.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette d’homme

Allongé  et en train de

 Dormir profondément 

Abandonné  à  Morphée.

.

750 4

.

Rester allongé ainsi, je peux dormir

Dans  cette position  et  toute la nuit,

Sans bouger d’un pouce  et ce afin de

Sans insomnie abandonné à Morphée.

.

Symbolique

 .

Excès

De café, de stress

En plus d’anxiété,

Voire hormones,

Mauvaise

 Literie,

Sont  parmi les causes  des

Problèmes    pour    dormir ?

Quels    facteurs    psychologiques,

Physiologiques ou environnementaux

Barrent la route au marchand de sable ?

 .

L’insomnie peut       autant,   avoir  une  origine

Psychologique          (stress, anxiété, problèmes…),

Physiologique                (style de vie, maladie, alcool),

Environnementale        (bruit, luminosité, faible literie…)

Ou pathologique          (maladie, génétique, fièvre, douleur).

Modifié, source : doctissimo.fr/html/psychologie/bien_dormir

 

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Rester allongé ainsi, je peux dormir

Dans  cette position et toute la nuit,

Sans bouger d’un pouce et ce afin de

Me blottir, abandonné à Morphée

.

Symbolique

 .

Mythologie grecque,  Morphée,

Dieu des rêves,  est le fils d’Hypnos,

Dieu du sommeil et de Nyx, déesse de la nuit.

.

Il est souvent représenté par un jeune homme

Tenant un miroir dans une main et

Des pavots soporifiques de l’autre.

Il donne le sommeil en touchant

Une personne avec ses pavots.

Il lui donne également des

Rêves pour la nuit.

.

Les bras étant symbole de sécurité,

Ais aussi de force, on comprend pourquoi

Cette image est restée pour désigner

Une personne qui dort profondément.

linternaute.fr/expression /etre-dans-les-bras-de-morphee

 .

 .

Fond/forme 

 .

Chacun sait bien que la mélatonine

Constituerait l’hormone du sommeil,

Qu’elle se diffusera dans notre corps,

Sous l’effet  silence et obscurité totale

Cela dit, y a des causes perturbatrices

Et qui feront que l’effet sera inopérant.

.

Prendre un cachet pour doper, tromper

Ne peut que l’endormir, mais … pas vous

Alors que la nuit est calme, rien ne bouge,

Vous êtes agité comme lièvre en son bouge.

Comme le disait si bien ce bon  La Fontaine.

.

 Textuels et illustrations >>

749 – Mon sommeil, j’ai tardé à le trouver !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Trouver   sommeil

Est cette expression

Un peu  étrange pour

État normal, journalier

Entre diurne et nocturne,

Quand la nuit  se fait noire.

Nous avons tous une horloge

Circadienne, à bien  respecter !

Si elle se décale, ou se détraque,

Faudra des jours, pour la recaler.

.

Dettes de sommeil,    s’accumulant,

Insomniaque … nerfs à vif, mettant.

Si l’on  s’active  de trop,  juste avant,

De  s’endormir,  ou joue avec écrans,

Peine à sombrer n’a rien d’étonnant,

Rêveries : sommeil  mal  préludant,

Le sommeil, j’ai tardé à le trouver.

.

Sur  le  dos, le  ventre,  ou  de côté,

Chien  de fusil  ou, parfois, tourné

À l’envers, avec la tête  aux pieds,

Même en essayant autre position

Aucune ne  m’a donné le sommeil

Regardant heure avec un lampion

Elle tourne en rond  et sans pareil.

.

Mais si à mes côtés, tu avais dormi

Comme filtre, en moi, il aurait agi,

Tant  il endort  celui que le prend,

Et puis, le matin, seul,  vous rend

En pleine forme  et  fort heureux

Avoir senti chaleur de ton amour

Contre corps apaisant, généreux,

Ayant gouté la nuit, comme jour.

.

Avec toi,  je m’abandonne et rêve,

En contrées, je voyage sans trêve,

Chevauchant fantasmes, pensées,

Content, au matin, de me trouver

Toujours, et  encore,  à mes côtés,

En   gardienne  de  mon sommeil,

Et,  réciproquement,  lors  nuitée,

Encline à coucher,  tu me réveilles.

.

Extensions

 .

Mon sommeil, j’ai tardé à le trouver,

J’ai gambergé, comme il se doit,

Une grande partie de la nuit,

Qui m’aura parue sans fin

Ce jusqu’au petit matin

Où il est venu… enfin !

.

Mais voilà que les bruits,

Les lumières, les obligations

De la journée me stimulent,

Me tracassent tant j’ai dû,

Et, très vite, rouvrir  l’œil.

Ça y est, mon lit  est v ide,

Et tout le monde s’affaire :

Quelle heure est-il : mon dieu !

.

On va me prendre pour un gros fainéant

Et ils ne me croiront pas si je leur dis la vérité.

Je me lève les yeux fermés, je te vois, rêve halluciné.

Je ne sais si je suis encore en mon sommeil ou la réalité.

Je jette un œil sur mon smartphone pour voir si le monde

Continue à tourner, le livre dont j’ai abandonné la

Lecture pour m’endormir est ouvert sur le lit !

.

Entrée en sommeil et sortie de smartphone

Sont incompatibles :

Rien que la lumière bleue, à elle toute seule,

Perturbe la sérotonine

Alors, si vous êtes branché sur vos amis(es),

N’y comptez pas ou plus :

Lisez plutôt un court récit, conte imaginaire

Et, dans les bras de Morphée.

.

Fragments

.

Veilleuse, sommeil vont ensemble

À condition que lumière soit faible,

Sinon, mélatonine ne m’endormira,

Lors ici, la forme aidera bien le fond.

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme    

.

Trouver   sommeil

Est cette expression

Un peu  étrange pour

État normal, journalier

Entre diurne et nocturne,

Quand la nuit  se fait noire.

Nous avons tous une horloge

Circadienne, à bien  respecter !

Si elle se décale, ou se détraque,

Faudra des jours, pour la recaler.

.

Dettes de sommeil,    s’accumulant,

Insomniaque …  nerfs à vif, mettant.

Si l’on  s’active  de trop,     juste avant,

De  s’endormir,  ou joue  *   avec écrans,

Peine  à sombrer n’a   S  rien  d’étonnant,

Rêverie, sommeil   O            mal préludant !

Le sommeil,       M           ai tardé à le trouver

Sur le dos,       M              le ventre,  ou de côté,

Chien  de       E                fusil ou parfois tourné

À l’envers      I                 avec la  tête  aux pieds,

Même  en      L               essayant, autre position

Aucune ne      *                m’a donné  le  sommeil

Regardant       A               l’heure avec  lampion,

Elle tourne       I           en rond  et sans pareil.

Et si, à mes       *          côtés, tu avais dormi,

Comme filtre      T       en moi, il aurait agi,

Car il endort        A      celui que le prend

Et puis, le matin   R      seul, vous rend

En pleine forme et D     fort heureux

Avoir senti chaleur É   ton amour,

Contre corps apaisant généreux

Ayant gouté nuit, comme jour.

.

Avec toi,  je m’abandonne, rêve,

En contrées T voyages sans trêve,

Chevauche    R  fantasmes, pensées,

Content au      O  matin de me trouver

Toujours et       U    encore,  à mes côtés,

En gardienne      V           de mon sommeil,

Et réciproque      E             ment, lors nuitée

Enclin à coucher   R                tu me…réveilles.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Lampe de chevet

De type  veilleuse,

En vue de  pénombrer

Mon    sommeil,   la nuit.

.

749 4

.

L’intensité, couleur de cette

Veilleuse   s’adapterait     aux

Quatre   états     d’un sommeil :

Nul, léger, profond, paradoxal.

.

Symbolique 

.

Une veilleuse 

Est une petite lampe 

Destinée à rester allumée

La nuit ou en milieu obscur.

 .

Elle se présenterait aussi  sous

Forme d’ampoule, en différentes

 Couleurs, que l’on pourra brancher

 Au  secteur,  sous  forme   de   jouets,

Doudou, guirlande, elle sert à calmer

 .

Et à accompagner différents  bébés

Voire enfants pour sommeil.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation

.

749 6

.

L’intensité  et couleur de cette

Veilleuse   s’adapterait   aux

Quatre états  d’un sommeil :

Nul, léger, profond, paradoxal.

.

Symbolique 

 .

Le sommeil est la pierre

Angulaire d’organisme en santé.

Il n’est   toutefois pas  évident de

Savoir si sa nuit a été réparatrice. 

La Fondation américaine du sommeil.

Quatre repères de la qualité de sa nuit :

1) Vous vous endormez en moins de 30 minutes ;

2) Vous ne vous réveillez  plus d’une fois par nuit ;

3) Vous vous rendormez rapidement en 20 minutes ;

4) 85% du temps, passé au lit, est consacré au sommeil.

madame.lefigaro.fr/bien-etre/le-mode-demploi-pour-sommeil-de-qualite

 .

 .

Fond/forme 

 .

Une veilleuse serait faite pour veiller

Mais sur quoi, en réalité, n’ayant pas

D’intentionnalité même pour sommeil,

Ni pour transition nuit/jour, au réveil :

Juste objet transitionnel de mon angoisse.

.

L’insomnie d’une nuit n’est pas un problème

D’une semaine, ça devient un vrai symptôme

Car tant que la dette de sommeil s’accumule,

Il sera difficile de retrouver une nuit calme.

.

On peut bien sûr se droguer pour dormir

Et les somnifères ne peuvent remédier

Sauf à rendre dépendant, c’est pire.

.

 Textuels et illustrations  >>

748 – J’avoue que j’ai fort mal dormi cette nuit

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

J’ai très mal dormi la nuit

Oui mais pourquoi : ennui

Même pas, content de moi.

Alors je ne comprends pas !

.

En voilier, tout bouge, un peu,

Oui mais cela vous berce au pieu.

J’avoue que, j’ai mal dormi, la nuit,

Ce n’est pas que j’étais fatigué, stressé,

Il faisait chaud, à crever,  et pas ventilé.

.

Ma couchette,  en  voilier,  ne l’était pas,

Je me suis pris  la tête, à   me retourner,

Comme un rat en cage,  fait prisonnier.

.

Il y avait une comme une atmosphère

Empêchant  dormir à poings ouverts

Comme un bébé, au sein de la mère

Pourtant c’est ce qu’on a de mieux

Pour sommeil des  plus  radieux.

.

Lors, contre mauvaise  fortune,

Bon cœur et …  c’est bien long

Quand une telle nuit blanche

N’en finit pas de s’allonger

Qu’elle  va  durer, encore,

À moitié endormi le jour.

.

Voilier est un peu ventre

L’on y sort, l’on y rentre,

Lors chacun y prospère,

De jour, comme de nuit !

.

En cockpit, carré, couchette

On se sent quelque peu à l’étroit,

Quand on est plus que deux ou trois,

Peut-être aurais-je dû dormir sur le pont

Mais j’étais trop occupé à tourner en rond.

.

J’ai fini par sommeiller ….. au petit matin,

Quand il a fait plus frais,

Avec,  plus  de vingt-cinq  degrés,  la nuit :

J’avais sensation d’un four.

.

La nuit m’a parue longue, parue l’éternité,

Même si pour compenser,

Mes rêveries, dans toutes mes insomnies,

M’ont retourné vers toi,

Pour cette fois encore ça n’aura pas suffi

Car tu n’étais pas là.

.

Même contorsionnant fort, mon esprit,

Ne t’ai fait apparaitre

En tant que gardienne, mon sommeil

Et sa garante, à la fois.

.

C’est dans ta chaleur je me repais,

Et non celle de ce four

Qui cette nuit encore aura joué

Son mauvais tour.

.

Extensions

 .

Mal dormi :

Fausse impression

Ou bien  vraie réalité !

Il est rare que l’on fasse

Une nuit blanche complète

Et les temps d’assoupissement

On en n’aurait en pas conscience,

Seul, un observateur extérieur, peut

Témoigner que vous n’avez pas fermé

L’œil de la nuit, ou en fin presque…

Mal dormi :

Est-ce insuffisamment,

D’un sommeil, habité par

Mauvais rêves,  mal réveillé

Durant la phase paradoxale !

.

Tourné d’un côté à l’autre,

Et cela finalement pour tourner en rond

Sans pourtant m’endormir,

En finissant même par compter les moutons,

Mais sans toujours y parvenir

Ressemble assez à un une nuit sans fin et sans fond

C’est rêvant de toi, elle prend fin.

.

Je vais vous livrer un secret personnel,

C’est quand j’ai très bien dormi, la nuit

Qu’au petit matin… après un bon réveil,

J’atteins, pour écrire, maximum énergie

.

Et figurez-vous qu’après le repas de midi,

Je fais une bonne sieste de 30/45 minutes,

Et voilà mon moteur sémantique est reparti

Avant que ma fatigue d’écrire, ne se rechute.

.

Rechute, rechute, attendez donc, chut, chut :

Écrire n’est pas un vice ni addiction, maladie,

Je n’en suis pas au point de me lever…  a nuit :

Mon sommeil est sacré et rien ne me l’ampute !

.

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme    

.

J

J’ai très mal     dormi la nuit

Oui mais pour A  quoi : ennui

Même pas, con I   tent de moi.

Alors je ne com  *     prends pas !

En voilier, tout   M  bouge, un peu

Oui mais cela vous  A   berce, au pieu.

J’avoue que j’ai mal     L    dormi la nuit,

Ce n’est pas que j’étais    *  fatigué, stressé,

Il faisait chaud, à crever,     D    et pas ventilé.

Ma couchette,  en  voilier,    O      ne l’était pas,

Je me suis pris  la tête, à      R       me retourner,

Comme un rat en cage,      M      fait prisonnier.

Il y avait une comme        I      une atmosphère

Empêchant  dormir        *      à poings ouverts

Comme  un   bébé       L    au sein de la mère

Pourtant   c’est       A  ce qu’on a de mieux

Pour sommeil     *    des   plus   radieux.

Lors, contre     N   mauvaise  fortune,

Bon cœur       U   et  c’est bien long

Quand une   I  telle nuit blanche

N’en finit   T pas de s’allonger

Et, qu’elle va durer, encore,

À moitié endormi le jour.

.

***********************

***********************

.

Voilier est un peu ventre

L’on y sort, l’on y rentre,

Lors chacun y prospère,

De jour, comme de nuit !

En cockpit, carré, couchette

On se sent quelque peu à l’étroit,

Quand on est plus que deux ou trois,

Peut-être aurais-je dû dormir sur le pont

Mais j’étais trop occupé à tourner en rond.

 .

J’ai fini par sommeiller ….. au petit matin,

Quand il a fait plus frais,

Avec,  plus  de vingt-cinq  degrés,  la nuit :

J’avais sensation d’un four.

 .

La nuit m’a parue longue, parue l’éternité,

Même si pour compenser,

Mes rêveries, dans toutes mes insomnies,

M’ont retourné vers toi,

Pour cette fois encore ça n’aura pas suffi

Car tu n’étais pas là.

 .

Même contorsionnant fort, mon esprit,

Ne t’ai fait apparaitre

En tant que gardienne, mon sommeil

Et sa garante, à la fois.

 .

C’est dans ta chaleur je me repais,

Et non celle de ce four

Qui cette nuit encore aura joué

Son mauvais tour.  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Deux vases superposés 

De taille, et  de forme,

À  peu  près  égales

Très  différents.

.

Modifier l’image ici

.

J’étais un peu vaseux, j’aurais préféré

 Autre forme,  un vase  plus creux,

À côté pour m’aider à me blottir

 Tout comme à m’évanouir.

Le vase du haut : forme inversée

Celui du bas, forme plus moderne,

Aucun des deux  ne convient à nuit,

Ainsi leurs formes diffèrent du fond.

.

Symbolique 

.

Forme, grâce

De     ses    courbes

Sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin :

Son creux évoquera celui de l’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides vitaux.

Dans l’art, et,  les rites  funéraires, le vase

Apparaît comme emblème de vie éternelle.

 .

Bible : le vase est utilisé comme symbole.

Il peut être fait de matériaux différents

Contenir   des   choses  totalement

Différentes au fond

(Eau, ou vin, ou trésor)

Source : heraldie.blogspot.com/2014/08  et 

le-vase et  emcitv.com/jeremy-sourdril

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

J’étais un peu vaseux, lors j’aurais préféré

 Une forme en vase creux

À mes côtés pour m’aider à me blottir

 Tout comme à m’évanouir.

.

Symbolique 

 .

Blottis l’un contre l’autre,

En cuillère, ou encore dos à dos,

La position en laquelle vous dormez

Avec  votre partenaire  serait  révélatrice

De l’ambiance au sein de votre propre couple.

.

Pendant la nuit, le ou la partenaire, viendra

Se blottir tout contre le dos de sa moitié.

.

Ce qu’elle signifie : c’est très bon signe :

Les scientifiques en charge de l’étude

Interprètent cette position comme

Symbole de relation de couple

Parfaitement… équilibrée.

cosmopolitan.fr/,la-position-du-

sommeil-en-dit-long-sur-votre-couple

 .

 .

Fond/forme 

.

Bien se blottir contre un vase

Que l’on prendra dans ses bras

N’aiderait guère à bien dormir.

.

Il vaudrait mieux un bon oreiller

Lors sur lequel, sa tête, appuyer.

Et un bon matelas bien moelleux,

Sur lequel, son corps … allonger.

.

Si la femme serait un vase creux,

Dormir contre elle, encore mieux,

À moins de trouver cela ennuyeux

.

Textuels et illustrations  >>

747 – Le réveil au petit matin est moment opportun

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Le réveil   …    au matin,

Est  un  moment crucial

Pour   bien  commencer

Programme   de journée

Et, se lever du bon pied,

Sera  un gage de félicité,

En restant, zen, détaché.

.

Le temps qu’il fait météo

En rajoute,  s’il fait beau,

Si l’on obtient  un sourire

De son chéri  ou sa chérie

Tout devient merveilleux.

.

Le réveil,  au petit matin,

Est un moment opportun

Pour goûter  aux silences

En soi, autant  qu’autour.

Les bruits sont …   légers,

Les bruits sont … feutrés,

Et la nuit  devient le jour,

Le jour  devient d’amour.

Le réveil,  au  petit matin,

Est moment  le plus divin

Pour entrer  en une danse

Où tout vit,  recommence.

.

Quelques  oiseaux, crient,

En cherchant une pitance

Lors sortis… de leurs nids

En mal de vols  d’errance.

Des lumières  de maisons,

S’allument  et chien aboie

Quand poubelle passeront

Tous animaux tournoient.

.

Le ciel   estompe  la Lune,

Quand nuages rougeoient

Venant annoncer à la une

Qu’un  beau soleil  est roi.

Ce sera bientôt mon tour,

D’entrer en un tourbillon,

Des mille  choses  à faire,

Essentielles et contraires

Parfois tournant en rond

Dans le temps qui court !

.

Qui court après le temps,

Pas moi, pas maintenant

Je me réserve cet instant,

Pour retarder ce moment

Où toutes les impressions

D’un réveil au petit matin

Disparaitront subitement

Comme paroles, au vent !

.

Extensions

 .

Le réveil, au petit matin, devient un moment où

Une nouvelle énergie, rechargée toute la nuit,

Est disponible pour accomplir tous projets

Restés en suspens, en retrait  de la veille.

.

Le dernier rêve reste, toujours, présent,

Le dernier rêve est toujours prégnant.

La réalité n’aura pas  encore  imposé

Ses obligations, même ses priorités.

.

Je me donne  cinq minutes  pour finir

Ma nuit en beauté et puis l’odeur du café,

Déclencher automatiquement par le réveil matin

Vient stimuler mes neurones   qui se mettent  à  danser

Dans mon cerveau qui, du coup, m’empêche de fermer l’œil.

.

Tous mes sens en éveil, je me lève d’un bond, du bon pied

Et d’attaque pour commencer ma longue journée

De travail ou de loisir ou d’aventure !

.

Au réveil, de la brume opaque, dense, où l’on distingue

Vaguement formes sépia

Aux superpositions en profondeurs de tendres couleurs,

Comme en une aquarelle,

On en vient à séparation plus nette, du ciel et du paysage,

Aux formes fines, et filtrées

Par une lumière qui se réfléchit sur elle-même, et par tout,

Dégradé couleur jaune, rouge.

.

Il s’en passe des choses au réveil,

À la lisière inconscient/conscient,

Autant rêve cauchemar/merveille,

Odeurs de café avec des croissants.

.

Un bras, un coude ou main cherche

Partenaire de lit … encore endormie.

Si ce n’est le cas, la belle s’est … tirée,

De là à revenir café, croissant, amour.

.

Quand même,  c’est encore beau cliché,

Faut pas inverser les rôles, femme, mari.

N’empêche que l’odeur à un gout paradis

Si la nuit fut ratée, le réveil, bien rattrapé.

.

Fragments 

.

En France, il est courant et fort apprécié,

Être réveillé par odeur de café /croissant,

Sinon par parfums de thé, chocolat, pain,

Stimulant et nos olfactifs et nos papilles !

.

Sensations qui se mêlent, qui accentuent

Nos souvenirs récents de rêves nocturnes

L’estomac serait-il comme celui des chats

Muni d’une horloge  indiquant une faim !

.

Ce sera toujours mieux que d’être réveillé

Par le bruit tonitruant d’un réveil intrusif

Qui vous sonne comme par coup de canif,

Coupant votre sommeil, alors si bien rêvé.

.

Parfum et croissant vont bien ensemble,

Les deux vous réveilleront, il me semble,

Avec des images fraiches, plein la tête

Ainsi les formes évoqueront le fond.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

 .

RÉVEIL,  AU MATIN

Le réveil   …    au matin,

Est  un  moment crucial

Pour   bien  commencer

Programme   de journée

Et, se lever du bon pied,

Sera  un gage de félicité,

En restant, zen, détaché.

Le temps qu’il fait météo

En rajoute,  s’il fait beau,

Si l’on obtient  un sourire

De son chéri  ou sa chérie

Tout devient merveilleux.

Le réveil,  au petit matin,

Est un moment opportun

Pour goûter  aux silences

En soi, autant  qu’autour.

Les bruits sont …   légers,

Les bruits sont … feutrés,

Et la nuit  devient le jour,

Le jour  devient d’amour.

Le réveil,  au  petit matin,

Est moment  le plus divin

Pour entrer  en une danse

Où tout vit,  recommence.

MOMENT      CRUCIAL

Quelques  oiseaux, crient,

En cherchant une pitance

Lors sortis… de leurs nids

En mal de vols  d’errance.

Des lumières  de maisons,

S’allument  et chien aboie

Quand poubelle passeront

Tous animaux tournoient.

Le ciel   estompe  la Lune,

Quand nuages rougeoient

Venant annoncer à la une

Qu’un  beau soleil  est roi.

Ce sera bientôt mon tour,

D’entrer en un tourbillon,

Des mille  choses  à faire,

Essentielles et contraires

Parfois tournant en rond

Dans le temps qui court !

Qui court après le temps,

Pas moi, pas maintenant

Je me réserve cet instant,

Pour retarder ce moment

Où toutes les impressions

D’un réveil au petit matin

Disparaitront subitement

Comme paroles, au vent !

 .

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon ou plutôt

 Un échantillon de parfum

Favorable à tout réveil matinal

Parfum frais,   comme un croissant.

.

747 4

.

Rien de mieux, pour s’endormir,

Le soir, qu’un parfum,

Comme d’odeurs des croissants

 Le matin, au saut du lit !

.

Symbolique 

.

Le parfum désigne

 Une odeur agréable.

Il  symbolise  la  déli

Catesse et la subtilité.

Déjà utilisé préhistoire.

Il  est  devenu considéré

Comme produit  de luxe

Accessible  grand nombre

Le parfum marque  autant  

La personnalité de l’individu

Qui le porte, en lui permettant

De se différencier par son odeur

Pour ainsi s’affirmer aux autres,

Prendre confiance en lui. C’est en

 Quelque sorte sa signature olfactive.

Modifié, source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-parfum

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Rien de mieux, pour s’endormir,

Le soir, qu’un parfum :

Comme d’odeurs des croissants

 Le matin, au saut du lit !

.

Symbolique de fond

 .

Symbole petit-                                                               déjeuner français,

Les croissants                                                             seront pourtant peu

Recommandés par                                                          les nutritionnistes.

Pourquoi  aimons-                                                   nous  les croissants :

Le plaisir  du petit                                           déjeuner, en  général,

Et le plaisir des croi                                 ssants en particulier,

C’est en fait un plai                       sir culturel à travers

Lequel, chaque             matin, après  le  repos

De la nuit dans     lequel nous sommes

Seuls   avec   nous-mêmes,  nous

Retrouvons  le  monde auquel

Nous appartenons, société

En laquelle vivons.

franceinter.fr/emissions/l

a-petite-philo/la-petite-philo-

 .

 .

Fond/forme 

 .

Le parfum de la nuit ne sera pas le même

Que celui du jour et cela est vrai, toujours.

Le parfum du rêve n’est pas de la réalité,

Et pourtant c’est bien réalité du parfum

Qui nous ferait, le plus souvent… rêver.

.

Plus subtil qu’un bon parfum, tu meurs

Il est là tout en n’existant pas vraiment

Sorti de son flacon, appliqué sur peau,

Il récitera sa chanson  d’embaumement,

Tant du corps, que cœur, esprit, de l’âme.

.

Textuels et illustrations  >>

 

746 – Mâle, femelle, nous ne pouvons que nous aimer

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Qui se ressemble, s’assemble

Dit un proverbe pour se marier

Avez-vous déjà vu la belle le faire

Avec un laid, sauf pour son argent.

.

Peut-on  dire  qu’homme  et femme

Se  ressemblent : non  ils  diffèrent,

Au moins  par le sexe, procréation,

Et  voire, par le corps, esprit, âme.

.

Différent  mais  complémentaire,

Mais cela n’a rien  d’un mystère,

Pas même rien d’extraordinaire

La loi du genre, sauf exception.

.

Je suis mâle  et vous femelle,

Je suis révolté  et vous rebelle,

Je suis beau, et  vous  êtes belle,

Je suis jeune, et vous demoiselle,

Nous ne pouvons que nous aimer.

.

Quoi d’autre, mes  parents, origines,

Des plus nobles  et  des plus notables,

Mes études, et mon diplôme et métier,

Je serai l’avocat en  défense incroyable

Nous … ne pouvons que nous… aimer.

 .

Vous êtes la blonde et moi, beau brun,

Avez peau de pêche et moi peau velue

Un sourire  d’ange   et moi, de diable

Des yeux de biche   et moi, de loup,

Nous ne pouvons que nous aimer.

 .

Vous êtes douce et moi, aimable,

Âme   généreuse, moi charitable

Pleine  de  vertu, et moi, de vice,

Vous maternelle, moi complice,

Ne pouvons que nous … aimer.

 .

Je veux une fille, et toi, un garçon,

Je veux un studio et toi une maison

Si tu veux la mer, moi, la campagne,

On vivra quelque  part  en  Bretagne,

Nous ne pouvons que … nous  aimer.

 .

Si tout cela est vrai, alors marions-les.

Bien que c’est à eux de voir, de décider,

Il ne suffit pas  d’être  beau, d’être belle ;

Encore moins un révolté  ou une rebelle,

Pour s’accoupler dans une vie éternelle.

.

Extensions

 .

La différence sexuelle n’exclut

Pas une ressemblance culturelle.

On peut être ressemblant, en tout,

Sauf en sexe serait une  âme sœur»,

En quelque sort, en sachant qu’une

Âme n’aura pas de sexe en théorie.

.

De nos jours, on parle davantage

D’orientation sexuelle à propos

Des homosexuels qu’inversion

Car la loi sera passée  par là,

En  suivant, en cela, les  lois

Du choix  facteur génétique,

Et sur lesquels pourront venir

Se greffer des choix d’éducations

Qui renforceront le premier choix

.

«Je  suis  mâle, et, vous, femelle :

Nous ne pouvons pas  que nous

Ignorer, sexuellement parlant»

En  somme, il n’y aurait … plus

Ni choix naturel ni choix forcé.

.

Un mâle et une  femelle en quête l’un de l’autre puis en poursuite

Quoi de plus normal, quoi de plus animal.

Leurs rapprochements de plus en plus intime, sexuels, crée fusion

Et là, miracle, il y a comme une explosion.

De là naitra un nouvel être qui, à son tour un jour, fera succession

Est-ce le fruit d’un amour ou d’un destin fatal

Mais l’humain ne transmet pas que sa génétique avec toute sa suite

Il éduque aussi pour une conscience maximale.

 .

Je ne tiens pas trop à m’embarquer,

Lors d’autres diraient … m’enfoncer

Dans  des théorisations  des genres,

Je ne suis pas un spécialiste de cela.

 .

Je ne pourrais, pas  plus, m’appuyer

Sur l’observation d’un fait de nature,

Qui serait comme une loi généralisée,

Quel que soit l’intention pure et dure.

.

Quand on touche au vivant, à l’aimant,

Rien ne sert d’être pédant,  être clivant,

Sauf à s’appuyer sur ce dogme religieux,

Que Dieu ait fait Ève compagne d’Adam.

.

Fragments

.

Flacon et flasque ne se marient pas

Lors mâles et femelles, eux, le feront :

Objets, d’eux-mêmes ne se reproduiront

Tant et si bien : formes diffèrent du fond !

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

Qui se ressemble, s’assemble

Dit un proverbe pour se marier

Avez-vous déjà vu la belle le faire

Avec un laid, sauf pour son argent.

Peut-on  dire  qu’homme  et femme

Se  ressemblent : non  ils  diffèrent,

Au moins  par le sexe, procréation,

Et  voire, par le corps, esprit, âme.

Différent  mais  complémentaire,

Mais cela n’a rien  d’un mystère,

Pas même rien d’extraordinaire

La loi du genre, sauf exception.

.

Je suis mâle  et vous femelle,

Je suis révolté  * et vous rebelle,

Je suis beau, et    *      *   vous  êtes belle,

Je suis jeune, et    *           *   vous demoiselle,

Nous ne pouvons    M                L    que nous aimer.

Quoi d’autre, mes     Â                      E    parents, origines,

Des plus nobles et     L                            *     des plus notables,

Mes études, et mon   E                                C    diplôme et métier,

Je serai l’avocat en     S                                     H    défense incroyable

Nous… ne pouvons    *                                          O    que nous… aimer.

Vous êtes la blonde    E                                               I    et moi beau brun

Avez peau de pêche  T                                                 X  et moi peau velue

Un sourire  d’ange    *                                                   *   et moi, de diable

Des yeux de biche    F                                                  N    et  moi, de loup,

 Nous ne pouvons    E                                                O    que nous aimer.

Vous êtes douce     M                                              U    et moi aimable,

Âme   généreuse    E                                             S     moi charitable

Pleine  de  vertu    L                                            *    et moi de vice,

Vous maternelle    L                                        A     moi complice,

Ne pouvons que    E                                    I    nous … aimer.

Je veux une fille      S                             M   et toi un garçon

Je veux un studio     :                       E  et toi une maison

Si tu veux la mer,              *       R   moi la campagne,

On vivra quelque             *           part en Bretagne,

  Nous ne pouvons           *           que  nous  aimer.

   Si tout cela est vrai      *          alors marions-les.

Bien que c’est à eux    *        de voir, décider.

Il ne suffit pas d’être *     beau, d’être belle

Encore moins  un  révolté ou une rebelle

Pour s’accoupler, dans la vie, éternelle !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon de parfum,

 Sinon, une gourde d’eau

Ou  une  flasque  d’alcool

Ou liquide qui ressemble.

.

746 4

.

Peu importe flacon pourvu qu’on ait

Une  véritable  ivresse   d’aimer

Tant ne faudrait confondre

La gourde et la flasque

Ne pas y souscrire.

.

Symbolique 

.

Lorsque l’on parle de parfumerie,

Même si l’essence odorante en elle-même

Est importante, on ne peut ignorer le flacon.

Élément essentiel lié à la conservation

Et au transport du parfum, il sert

Aussi à sublimer son image.

Les maisons de  luxe

Sont bien conscientes

De son importance  et

Feront donc appel  aux

Plus   grands    designers

De la planète pour élaborer

Des  bouteilles, toujours, plus

Audacieuses et plus somptueuses.

Source : tendance-parfums.com/parfum-

femme/choisir-un-parfum/flacon

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Peu importe le flacon, pourvu qu’on ait

L’ivresse d’aimer

Il faudrait confondre gourde et flasque

Pour ne pas y souscrire.

.

Symbolique 

 .

La flasque

Pour  l’alcool

Est à l’honneur.

Pas n’importe quelle flasque

Non pas  celle  de l’alcoolique

Qui souhaite atteindre l’ivresse

En catimini  à  n’importe quelle

Heure  de la journée,  mais celle

Hédoniste, qui saura  en profiter

Avec parcimonie, partageant son

Contenu avec une belle rencontre.

.

Remplie de whisky  ou  de cognac,

Elle trouve sa pertinence en nature

Lors d’une grande balade  en forêt,

Ou sur les rivages  iodés  de l’océan,

Ou bien encore en haute-montagne,

Lors  d’une  randonnée  mémorable.

leparadigmedelelegance.wordpress.com/

inspiration-de-la-semaine-la-flasque

 .

.

Fond/forme 

 .

Masculin et féminin ne sont pas liés à l’amour :

il y a des exceptions de personnes de même sexe,

qui s’aiment et fondent un couple, élèvent enfant.

Mais pour ce qui est de la reproduction, cellules

sexuelles la gouverne, sans aucune dérogation

pour ce qui est des humains que nous sommes

à chacun de déterminer caractère sexualité !

 .

Textuels et illustrations  >>

745 – Je marcherai, sur les chemins, à ta rencontre

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Marche, chemin, rencontre

Trois mots qui, à l’encontre

Rester, chez soi,  immobile,

N’auraient  rien de   stérile.

.

Au tournant, halte, carrefour,

Seront autant occasions de voir

La vie  sous ses  différents  jours,

Parfois blanc, parfois rose, noir.

.

Marcher ici puis marcher là,

Dans désert, la montagne,

En mer, en campagne,

Jusqu’à te trouver !

.

Je marcherai sur les chemins à ta rencontre

Je partirai, le long des plages, à ta recherche,

Je volerai, traversant les airs, à ta  conquête !

.

En sentiers de randonnée et au milieu du bois

En chemins de campagne, pistes de montagne,

En plages  de sable fin, à perte de vue, désertes,

Et  en surplomb des falaises  aux roches acérées

Dans l’air qui s’élève, jusqu’aux cimes de poètes.

.

Sur mers, qui n’en finissent de souffler tempêtes,

Nos rencontres se feront  au fil d’aventures d’être,

Notre conquête en peut-être en quête de nos êtres

Notre recherche finit à ce qu’il nous plaira d’être.

.

J’irai, et, je m’éloignerai,

Bien  au-delà des  frontières,

Je partirai, puis  je  voyagerai

Et,   bravant  tous  les dangers,

Et je volerai et je nagerai mais

Vers toi, toujours,  reviendrai.

.

Et  j’irai, bien  éveillé,  jusqu’au

Plus   lointain de tous mes rêves,

En  traversant  le long  de ma  vie,

Tous les fleuves du  profond  désir

Et dans lesquels me  baignerai nu,

Et  cela, jusqu’au  dernier  soupir !

.

N’est-ce pas ce  que  l’on imagine

Assez  bien, chacun d’entre nous,

Quelque  chose d’autre à ajouter,

Rien pour moi, et quant à vous !

.

Extensions

 .

Je marche,

Sur le chemin,

À ta  …  rencontre :

Cri du cœur, idée esprit,

Acte de foi, d’âme, s’il en est !

On pourrait, toujours, en rajouter

Tant que  la passion, l’amour, l’espoir,

Demeurent intacts, revenir vers quelqu’un

Que l’on cherche jusqu’aux confins du monde :

Cela ne vous sera peut-être jamais arrivé mais un

Voyage peut vous fait voir vos amis sous autre angle.

Chapelet des rencontres  ou  de successions de déserts :

À chacun  de privilégier  la formule, qui lui  corresponde.

En tout état de causes, il faut se retrouver soi-même avant

Trouver l’autre, marche est une métaphore du mouvement.

Ce n’est pas tant la forme prise qui compte que le processus

Qui la décide, qui le remplit, qui lui réussit.

J’ajouterai à cela : il n’y a rien à

Rajouter bien que déjà dit.

.

Chacun marche partout, en ville, campagne, montagne,

Jusqu’à ce qu’une rencontre les fasse marcher, de concert

Et qu’ils continueront à le faire sur la voie qu’ils ont tracé.

En montagne, en forêt, on peut marcher  durant des heures

Sans croiser   âme qui vive, et sans échanger, avec personne,

Mais qu’importent les distances et solitudes, si, au bout, il y a

Une rencontre allant en même direction avec le même plaisir !

.

Rester, chez soi, à attendre

Ou marcher à ta rencontre

Ou se croiser… sans se voir

Trois alternatives à prévoir

.

Je n’aurai trouvé personne,

Personne ne m’aura trouvé,

Mais je continue à chercher,

Celui, celle, un jour, je sonne.

.

Me représentant quelqu’un (e)

Je me livre à ma bonne fortune

Lors ma rencontre est différente

Variation sera plus que tentante.

.

Tant, de modèles, je me défendrai,

M’étant suggéré par communauté,

Ce qui compte n’est pas apparence

Mais le fond du cœur en présence !

.

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme   

 .

Marche, chemin, rencontre

Trois mots qui …  à l’encontre

De  rester,  chez   soi,  immobile,

N’ont   Ô    rien de    Ô     stérile.

Lors tournant  //   halte,  carrefour,

Seront autant //  d’occasions  de voir

La vie  sous // ses  différents  jours,

Parfois blanc ==== rose, noir.

Marcher ici puis marcher là,

Dans désert, montagne,

En mer, campagne,

Jusqu’à te trouver !

.

Je marcherai sur les chemins à ta rencontre

Je partirai, le long des plages, à ta recherche,

Je volerai, traversant les airs, à ta  conquête !

.

En sentiers de randonnée et au milieu du bois

En chemins de campagne, pistes de montagne,

En plages  de sable fin, à perte de vue, désertes,

Et  en surplomb des falaises  aux roches acérées

Dans l’air qui s’élève, jusqu’aux cimes de poètes.

.

Sur mers, qui n’en finissent de souffler tempêtes,

Nos rencontres se feront  au fil d’aventures d’être,

Notre conquête en peut-être en quête de nos êtres

Notre recherche finit à ce qu’il nous plaira d’être.

.

J’irai, et, je      M                      V    m’éloignerai,

Bien  au-delà   A                     E   des  frontières,

Je   partirai,    R                    R   et  je  voyagerai

Et   bravant     C                   S   tous les dangers,

Et je volerai     H                  *   je  nagerai   mais

 Vers toi, tou    E                 T   jours,  reviendrai.

 *                A  …..

 Et j’irai, bien    S                 *    éveillé,     jusqu’au

 Plus   lointain   U               R   de tous   mes rêves

 En  traversant   R               E    le long   de ma  vie

  Tous les fleuves   *              N     du  profond   désir

 Et dans lesquels   C             C    me   baignerai nu,

  Et cela jusqu’au   H             O    dernier …  soupir !

 E              N

N’est-ce pas ce      M               T    que l’on imagine…

 Assez  bien  cha      I                  R   cun  entre nous, ….

Quelque  chose        N                  E  d’autre à ajouter …..

 Rien, pour moi,        *                     *   et quant à vous……..

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette d’un marcheur

Au pas rapide au pas décidé

 En cours de longue randonnée

Jusqu’à rencontrer l âme-sœur.

.

745 4

.

Homme seul mais fort motivé,

Marcheur  sur  la voie ferrée,

Puis sur n’importe  quel chemin,

En vue de rencontre d’âme-sœur.

Marche, rencontre, vont ensemble

Bien mieux que de rester … chez soi,

Dès qu’on se met d’humeur vagabonde

Toutes ses formes avancent vers le fond.

.

.

Symbolique 

 .

Les schèmes symboliques

Qui  manifestent  cette  marche

De l’être humain vers l’inconditionné

Se décryptent    en expérience spirituelle,

Que celle-ci soit    plutôt d’ordre esthétique,

Philosophique           gnostique ou mystique.

 

Le symbole du               chemin constitue l’un

Des éléments de                   l’image archétype

Qu’être humain se              forme de lui-même.

Révèle essence humaine «être-en-recherche».

Source : universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

745 6

Changer l’image ici 

.

Homme seul mais fort motivé,

Marcheur sur une voie ferrée,

Ou sur n’importe  quel chemin,

En vue de rencontre âme-sœur.

  .

Symbolique 

 .

Chaque rencontre

D’amour aura le sentiment

De ne ressembler à aucun autre.

 .

Dans la lignée des philosophes grecs,

Les psys dégagent pourtant trois profils

Types de l’état amoureux, et dans lesquels

Nous pouvons tous nous reconnaître. :

 .

Éros : L’amour passion ;

Agapè : l’amour-amitié :

Philia : l’amour profond

De l’être humain entier.

psychologies.com/Couple/

Vie-de-couple/Amour

 .

 .

Fond/forme 

.

La marche est le chemin, l’énergie, l’élan

La rencontre est l’opportunité, l’instant,

Où l’on se croise,  se parle, et  s’entend,

.

Pour poursuivre le chemin ensemble,

Ou l’on se quitte et tout fout-le-camp

Tout est à refaire … à recommencer.

.

Irai-je plus loin ou … abandonner :

Je suis fatigué   à force de marcher,

Mais je sais qu’au bout, te trouverai,

C’est ce que j’espère, c’est ma destinée.

.

Textuels et illustrations  >>

744- Je voudrais être un oiseau, dans les airs

Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Être un  … oiseau,

Colibri  ou  condor,

Minuscule  ou géant.

L’un, battant des ailes,

Près de cent par seconde,

L’autre planant en hauteur

Sans bouger  un bout d’ailes.

.

Sans compter œil de l’épervier

Qui voit dans un trou de souris,

À près de cent mètres de hauteur

Mais, si cela est bien de prendre

De la hauteur,  vouloir monter

Très haut devient très chaud

Au point de risquer chute.

.

Je voudrais être oiseau,

Grimpant en les airs,

Survolant  la Terre,

Planant sur  l’eau,

Un oiseau,  de feu :

S’envolant où il veut,

Pour s’évader de misère

Qu’il voit trop sur la Terre.

 .

Mes ailes déployées

Prendraient de l’envergure

Avec ma vie, au fur et à mesure,

Et me procureraient moyens d’aimer,

Visiter lieux que je n’ai pas découvert,

Rencontrer les gens chez eux au vert

Et toujours, partir … sans se fuir,

Pour être bien  …  pour en finir.

.

Que je sois cormoran ou pétrel

Cigogne ou bien rose flamant,

Qu’importe,  si j’ai leurs ailes,

Migrant du sud au printemps

Et sillonnant  des campagnes,

Survolant mers, et montagnes,

Pour rejoindre  ancien lieu-dit,

Pour y refaire, à deux, leur nid.

 .

Lit d’amour des petits,

Pour les nourrir sans façon,

En fond de lac nous plongerons,

Pêcherons ensemble, compagnons,

Notre vie sera, de nature, toute faite,

Les jours assureront survie et fêtes,

Humains, jamais, ne se posent,

.

Ne pas compliquer choses.

En battant des ailes  … j’irai

Partout où, d’être, je choisirai,

Ma liberté surveillée, non prison,

Ma cage ayant pour limite l’horizon,

J’ai volé cette poésie à l’amante chérie

Qui me l’a fort inspirée, à qui je la dédie.

.

Extensions

 .

Je voudrais être un oiseau,

Dans les airs pour prendre de la

Hauteur par rapport à mes activités,

Mes relations, mes affections, humeurs,

Et même mes défauts de caractère, travers.

Pour voir  ce que  les  autres  font de leur vie,

Ce que j’ai, de commun, que j’ai, de différent,

Contraire d’eux ce peu de supplément d’âme

Qui créé mon identité, et ma personnalité,

Ce qui peut changer dans la vie à deux.

Vaste programme et parcours de vol

Quand avec toi je décolle, je survole

Je me trouve à tracer des courbes,

Autour de  notre  planète … intime

Pour tenter de faire œuvre sublime.

J’ai volé cette romance amante chérie

Qui me l’a inspirée, et à qui je la dédie !

.

Voler, rien de plus simple et naturel pour un oiseau

Rien de plus complexe et arrogant pour un homme !

Il n’y a guère que les chefs d’orchestre, avec baguette,

Qui  parviennent, magiquement, à élever  un morceau.

Il parait  que  la raie Manta, ainsi que cousins marins,

Se déplacent, en imitant le vol des oiseaux, dans l’eau.

Lequel s’est inspiré de l’autre : héritage d’évolutions ?

Le poète a été comparé par Baudelaire à un albatros

Qu’il qualifiera de semblable au…prince des nuées !

.

L’oiseau est un symbole de prise de hauteur,

À la fois de légèreté, de survol de toute chose,

Parait moins grand, plus lourd lors il se pose,

Lors s’envole comme albatros, plus marcheur.

.

Ce qui caractérise un oiseau, ce sont ses ailes :

C’est pourquoi l’on en a prêté, donné aux anges,

Qui pourtant évoluent en un lieu en apesanteur :

Tant religion n’en serait pas à un paradoxe près !

.

À défaut d’avoir des ailes, l’homme à une langue

Avec laquelle ses mots s’envoleront de sa bouche

Et que parfois, par écrit, en souvenir, les couche

Pour que feuilles s’envolent selon leur destinée.

.

Fragments

.

Bombarde comme instruments musique

Est loin d’être comme oiseau dans les airs

Même si son chant peut, parfois, l’évoquer

Sa forme ne correspond, en rien, au fond.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme   

 .

Être un  … oiseau,

Colibri  ou  condor,

Minuscule  ou géant.

L’un, battant des ailes,

Près de cent par seconde,

L’autre planant en hauteur

Sans bouger  un bout d’ailes.

Sans compter œil de l’épervier

Qui voit dans un trou de souris,

À près de cent mètres de hauteur

Mais, si cela est bien de prendre

De la hauteur, vouloir monter

Très haut devient très chaud

Au point de risquer chute.

Je voudrais être oiseau,

Grimpant en les airs,

Survolant  la Terre,

Planant sur  l’eau,

Un oiseau, de feu :

S’envolant où il veut,

Pour s’évader de misère

Qu’il voit trop sur la Terre.

VOUDRAIS ÊTRE

Mes ailes déployées

Prendraient de l’envergure

Avec ma vie, au fur et à mesure,

Et me procureraient moyens d’aimer,

Visiter lieux que je n’ai pas découvert,

Rencontrer les gens chez eux au vert

Et toujours, partir … sans se fuir,

Pour être bien  …  pour en finir.

Que je sois cormoran ou pétrel

Cigogne ou bien rose flamant,

Qu’importe,  si j’ai leurs ailes,

Migrant du sud au printemps

Et sillonnant  des campagnes,

Survolant mers, et montagnes,

Pour rejoindre  ancien lieu-dit,

Pour y refaire, à deux, leur nid.

UN OISEAU

Lit d’amour des petits,

Pour les nourrir sans façon,

En fond de lac nous plongerons,

Pêcherons ensemble, compagnons,

Notre vie sera, de nature, toute faite,

Les jours assureront survie et fêtes,

Humains, jamais, ne se posent,

DANS LES AIRS 

Ne pas compliquer choses.

En battant des ailes  … j’irai

Partout où, d’être, je choisirai,

Ma liberté surveillée, non prison,

Ma cage ayant pour limite l’horizon,

J’ai volé cette poésie à l’amante chérie

Qui me l’a fort inspirée, à qui je la dédie.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Évocation

En fait d’oiseau,

Cela  ressemblerait

Plutôt  à  bombarde

Qui crève l’air avec son.

.

744 4

.

Qu’y aurait-il de comme entre des oiseaux

Et une bombarde :

Rien sauf qu’éperviers, quand on chasse,

On les bombarde aussi !

.

Symbolique 

.

Connues dès la plus

Haute antiquité

Et dès le moyen

Âge, la cornemuse

Et la bombarde,

 Auront  et  très vite

Pris   racine     dans

 Nombre pays bretons.

Au  gré  des    évolutions

 Techniques, modes musicales

Pressions sociales, des grands

Évènements historiques, couple  

Bombarde-biniou serait  devenu,

Expression certaine culture populaire.

Culture puisant sa force  en la tradition orale,

Rayonnant des cours de ferme au cœur des bourgs,

Des grèves à la lande, de la Basse Bretagne à péninsule.

Modifié, source : mesgenealogies.blogspot.com/2013/07/la-bombarde.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Qu’y aurait-il de comme entre des oiseaux

Et une bombarde :

Rien sauf qu’éperviers, quand on chasse,

On les bombarde aussi !

.

Symbolique 

 .

Dans le Dictionnaire des symboles

De Jean Chevalieret Alain Gheerbrant,

On découvre que : « Dans notre langage,

L’épervier est symbole d’usure, de rapacité,

Comme la plupart des oiseaux de même espèce,

Aux serres crochues. Du fait que la femelle est

Plus forte, plus habile que le mâle, symbolise

Aussi le couple où la femme domine.

.

On se souviendra qu’en fonction des

Mœurs de l’époque, le port de l’épervier

Sur le poing fut autrefois un signe

De noblesse et de distinction diem faucon.

Oiseau chasseur et agressif,

Désigne aussi le pénis.

Luminessens.org/post/2017/01/14/lepervier

 .

 .

Fond/forme 

 .

On  voit et  on entend

Rarement en faire autant

De bruit avec un instrument,

Si petit qu’on le mettra en poche

Tout comme  un tout petit  oisillon,

Crie après sa mère comme un sourd.

.

Un épervier crie autant, pour sa taille

Quand on rêve d’être un oiseau en l’air,

Ce n’est chant qui nous attire : son vol

Surtout quand il est haut et planant

Permet contempler les paysages.

.

Textuels et illustrations   >>

743 – Des temps forts suivis de temps morts !

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Temps forts suivis

Par temps  morts

On ne peut rester

Trop longtemps

Sur les crêtes

Des   nerfs

Sans un

Re-pos

Marqué

Avant de

Re-prendre

Toute activité

Avec  gros  effort.

.

L’alternance de temps

Nécessaire indispensable

Autant à  activité, qu’à rêve,

Comme  toute pulsation de vie,

Qu’elle soit vibrante,  soit  vivante.

.

Comment rester sur le fil quand il se profile

Pics d’émotions mettant nos corps en vibration,

Invisible à l’intérieur quand indicible à l’extérieur

Tout vacille quand sexe, indocile en l’âme, se faufile,

Lors explose sensations de grands frissons à l’unisson,

Gonflées par fusion postérieur autant que par œil rieur.

.

La vie s’écoule,  amants  se roulent  sont en pleine houle,

Vient le moment où à contre temps, en plein firmament,

Temps qui s’arrête de conter fleurette à ses amourettes

Chacun se sépare chacun s’écarte  chacun s’écroule

En repliements, étourdiments,  remerciements

Nos interprètes   de l’amour      font retraite.

.

Temps s’est distordu comme en corps nus,

Place au temps mort  au plein de remords,

Et pour recommencer sans jamais se lasser

Faut que ce soit rêve d’être Adam ou Ève !

.

Extensions

 .

Temps forts suivis de temps morts :

Mais ne sont pas les mêmes pour tous :

Parfois des repas, parfois sexes, jeux ou arts.

Chacun fait selon ses passions ou ses raisons.

.

Des temps forts  pourront durer  des heures ;

On ne pourrait demeurer sur un temps fort,

Une éternité, temps de penser à une idée,

Le temps de le dire, le temps de l’écrire

Et le temps fort  est  déjà  passé  dans

L’excitation du moment ou relectures,

Modifications ne sont pas aussi créatives.

.

Toute création procèderait d’un temps fort,

Précédé, et, suivi, de différents temps morts

Et  pour son incubation, pour son évolution :

Concentration d’énergie et fluidité de l’esprit,

Activation du corps, tout y est, sauf célébrité !

.

Le rêve est considéré, comme  un temps mort,

Alors  qu’il se révèlera source d’un temps fort,

Au réveil, quand  un scénario  vient à l’esprit.

Les temps forts sont faits pour être partagés

Et ils le sont, d’autant plus, s’ils créent des

Souvenirs se reliant les uns aux autres

Comme ne faisant plus qu’un.

.

Temps fort : exposer ; temps mort,  pause-café,

Encore que le cerveau, lui, continue à chauffer

Temps mort, temps fort est appelé fractionné

C’est le cas en sports, bien d’autres activités !

Jeter un poème, écrit sur le papier ou clavier

Est, sans aucun doute, parmi les temps forts,

Pour autant, modifier, n’est pas temps mort :

La pensée se projette  avant de se matérialiser,

Seul temps mort  est  quand  on a enfin terminé.

.

La vie ne peut être faite que de temps forts,

Le pire serait qu’il n’y ait que temps égaux :

Même ennui tout le temps, quoiqu’on fasse

Serions dans prison, pas couloirs du temps.

.

Les temps forts sont liés à l’activité au défi,

Comportent large part de stress, d’émotions

Et parfois même  d’agitations, palpitations :

C’est son souvenir qui nous les gardera aussi

.

Toute écriture, qu’elle soit textuelle, poétique,

Lors elle jaillit, de son esprit, est un temps fort

Ensuite s’il faut la reprendre, retravailler, fixer,

On considère cela parfois comme temps morts.

.

Fragments

.

Le temps n’aurait rien de linéaire :

Pour autant, il n’est pas circulaire,

Il est fait  de temps morts  et forts,

Alternant  en  éveillé  ou  en  dort !

.

Point de vue  d’activité  conviviale,

Professionnelle, sociale,  familiale,

L’amour serait comme temps mort

Et celui plus personnel, temps fort.

.

Il en est de même lors de créativité,

Temps fort s’il en est, impondérable

Et parfois, en temps mort, enraciné,

Tant il dérive d’inconscient, notable.

.

Cela indiquera qu’il faut respirations

Pour mieux trouver ses inspirations :

Pour qui veut créer son œuvre, sa vie,

Rien n’est inutile ni à jeter,  desservis.

.

Pour finir,  en beauté,  sur temps forts,

Je dirai qu’écrire poésie, l’est pour moi,

Je ne perçois plus le temps espace en soi,

Parfois, le reste me parait être temps mort.

.

 

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

 .

Temps forts suivis

Par temps  morts

On ne peut rester

Trop longtemps

Sur les crêtes

Des   nerfs

Sans un

Re-pos

Marqué

Avant de

Reprendre

Toute activité

Avec  gros  effort.

.

L’alternance  T de temps

Nécessaire  E    indispensable

Autant à  M        activité, qu’à rêve,

Comme     P           toute pulsation de vie

Qu’elle       S           soit vibrante,  soit vivante.

.

Comment rester sur le fil quand il       *      se profile

Pics d’émotions mettant nos corps en      F    vibration,

Invisible à l’intérieur quand indicible à        O    l’extérieur

Tout vacille quand sexe indocile en l’âme,         R      se faufile,

Lors explose sensations de grands frissons à        T         l’unisson

Gonflées par fusion postérieurs autant que par     S          œil rieur.

 .

La vie s’écoule,    T     amants se roulent  sont       M  en pleine houle,

Vient le moment    E    où à contre temps, en       O   plein firmament,

Temps qui s’arrête   M    de conter fleurette       R    à ses amourettes,

Chacun se sépare     P      chacun s’écarte        T     chacun s’écroule

En repliements,       S     étourdiments,       S      remerciements

Nos interprètes      *     de l’amour           *       font retraite.

.

Temps s’est distordu                    comme corps nus,

Place au temps mort          au plein de remords,

Et pour recommencer sans jamais se lasser

Faut que ce soit rêve d’être Adam, Ève.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Vase qu’on pourrait

 Faire  passer  pour

Une  belle   cruche

En temps mort.

.

743 4

.

Un  temps fort et un temps mort

Sont pareils à cette cruche :

La partie bombée est temps fort ;

Celle rétrécie, temps mort !

Les pleins en ce vase : temps forts

Et creux en ce vase : temps morts,

Ou forme bombée, forme rétrécie,

En tous cas, vase évoque les deux.

 .

Symbolique 

 .

Le temps à travers le temps

Ou le voir à travers la  musique.

«Or, tant les coureurs que les désœuvrés

S’entendent pour qualifier de temps mort

Les temps d’arrêt et les moments d’attente,

Heures creuses où rien ne semble se passer.

.

Le temps vivant, ce serait   le temps occupé,

Qui court, qui sert, le temps   à toute vitesse;

Le temps qui accélère, ou  le temps qui grise,

Les temps forts que pour les forts, seulement.

.

Et s’ils se trompaient ?   Et si le temps vivant

Était ce temps au ralenti qui s’arrête presque

Quand on prend le temps de vivre, un adagio

Baroque, doux et lent, en vent de soir d’été ?»

agora.qc.ca/chroniques/temps-vivant-temps-mort

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

743 6

.

Un  temps fort et un temps mort

Sont pareils à cette cruche :

La partie bombée est temps fort ;

Celle rétrécie, temps mort !

.

Symbolique 

 .

On  me parle

De ce temps fort,

Ce sont ses propres mots,

 De ce temps mort,

Juste avant improvisation,

 Il est musicien de jazz,

Va-t-il se laisser aller

Au-delà de la technique

Ou penser et jouer seulement 

Comme tout le monde.

Ce léger laps d’attente évoque

 La mort indéfinissable

Et  inconnu, cet  arrêt  marque

 L’étendue  de  la  vie :

Le débordement pulsionnel

Installe un vide de penser

Et peut se transmuer en un

Travail créatif associatif.

cairn.info/revue-libres-cahiers-

pour-la-psychanalyse

.

 

Fond/forme 

 .

La France est divisée

« Pot » ou « cruche » ici,

« Broc » ou « carafe » là ?

Mais l’on serait stupide

Tout comme une cruche

Et sourd comme un pot

Pour rester en carafe.

Cela  me parait  plein

De bric  et  de  broc !

Je requiers une pause,

Pour faire temps mort,

Et changer  ces symboles

Pour passer un temps fort :

 

.

 

Textuels et illustrations >>


.

 

<<  Poème et calligramme   

.

Textuels : poème, extensions, fragments

.

Textuel poème 

.

  • Temps forts suivis par temps morts : on ne peut rester trop longtemps sur les crêtes des nerfs sans un repos marqué avant de reprendre toute activité avec gros effort. L’alternance des deux temps est nécessaire, indispensable, autant à l’activité qu’au rêve, comme toute pulsation de vie, qu’elle soit vibrante, vivante. Comment rester sur le fil quand se profile des pics d’émotions mettant nos corps en vibrations, invisibles à l’intérieur quand indicibles à l’extérieur. Tout vacille quand le sexe, indocile, en l’âme, se faufile, quand explose des sensations de grands frissons à l’unisson, gonflé par fusions postérieurs autant que par yeux rieurs. La vie s’écoule, amants se roulent, sont en pleine houle. Vient le moment où, à contre temps, en plein firmament, le temps s’arrête de conter fleurette à ses amourettes.  Chacun se sépare, chacun s’écarte, chacun s’écroule en repliements, étourdissements, remerciements : les interprètes de l’amour ont fait retraite. Le temps s’est distordu comme les corps nus, place au temps morts ou plein de remords. Pour recommencer, sans jamais se lasser, il faut que ce soit un rêve d’être couple Adam et Eve.

.

Textuel extensions

.

  • Temps forts suivis de temps morts : pas les mêmes pour tous : parfois des repas, parfois sexes, parfois jeux ou arts. Chacun fait selon ses passions, certains selon leurs raisons. Des temps forts peuvent durer des heures ; des temps morts, des jours entiers, sinon l’inverse : le rapport est déséquilibré. On ne pourra demeurer sur un temps fort, toute une éternité. Le temps de penser à une idée, le temps de le dire, le temps de l’écrire et le temps fort est déjà passé dans l’excitation du moment, relectures, modifications ne sont pas aussi créatives. Toute création procède d’un temps fort, précédé et suivi de temps morts pour son incubation, évolution : concentration d’énergie, fluidité de l’esprit, activation du corps, tout y est. Le rêve, considéré, par définition comme un temps mort, l’est parfois à tort quand il se révèle source d’un temps fort, par la suite, au réveil quand un scénario vient à l’esprit. Les temps forts sont faits pour être partagés et ils le sont d’autant plus qu’ils créent des souvenirs qui se relient les uns aux autres comme ne faisant plus qu’un.  Temps fort : exposer ; temps mort, pause-café, encore que le cerveau lui, continue à chauffer. Temps mort, temps fort, est appelé fractionné : c’est le cas en sports, bien d’autres activités ! Jeter un poème, écrit sur le papier ou clavier, est, sans aucun doute, parmi les temps forts ! Pour autant, modifier, n’est pas temps mort ! La pensée se projette avant de se matérialiser : seul temps mort est quand on a enfin terminé. La vie ne peut être faite que de temps forts, le pire serait qu’il n’y ait que temps égaux : même ennui tout le temps, quoiqu’on fasse, nous  serions dans une prison et pas dans les couloirs du temps. Les temps forts sont liés à l’activité au défi, comportent large part de stress, d’émotions, et parfois même d’agitations et de palpitations : c’est son souvenir qui nous les gardera aussi. Toute écriture, qu’elle soit textuelle, poétique, lors elle jaillit, de son esprit, est un temps fort, ensuite s’il faut la reprendre, retravailler, fixer, on considère cela parfois comme temps morts.

 

Textuel fragments

 .

  • Le temps n’aura rien de linéaire, pour autant, n’est pas circulaire, il est fait de temps morts et forts alternant comme éveillé ou dort ! Point de vue d’activité conviviale, professionnelle, sociale, familiale,  l’amour serait comme temps mort et celui plus personnel, temps fort. Il en est de même lors de créativité, temps fort s’il en est, impondérable et parfois, en temps mort, enraciné,  tant il dérive d’inconscient, notable.  Cela indiquera qu’il faut respirations pour mieux trouver ses inspirations : pour qui veut créer son œuvre, sa vie, rien n’est inutile ni à jeter : desservis. Pour finir, en beauté, sur temps forts, je dirai qu’écrire poésie l’est pour moi, je ne perçois plus temps, espace en soi, parfois le reste me parait temps morts.

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.

Illustrations : visuels, scénario et fiction

.

Visuels 

.

.

temps forts et collectif, lors d’un exposé,

d’une réunion, conférence,

.

.

temps morts, pause, mis à profit

pour échanger, faire autre chose :

.

.

temps forts de la journée par

définition, les plus limités, concentrés.

 .

.

sonneront selon horloges ou montres molles

 de Salvator Dali  en maitre des pauses flash !

.

Textuels symboliques et corrélations

 .

.

Temps mort

  • Symbolique de forme : Le temps, à travers le temps, ou le voir à travers la  musique. «Or, tant les coureurs que les désœuvrés s’entendent pour qualifier, de temps morts, les temps d’arrêt et les moments d’attente, heures creuses où rien ne semble se passer. Le temps vivant, serait le temps occupé, qui court, qui sert, le temps  à toute vitesse, le temps qui accélère, ou  le temps qui grise. Les temps forts que pour les forts, seulement. Et s’ils se trompaient ? Et si le temps vivant était ce temps au ralenti qui s’arrête presque quand on prend le temps de vivre, un adagio baroque, doux et lent, en vent de soir d’été ?»     agora.qc.ca/chroniques/temps-vivant-temps-mort

.

Temps mort

  • Symbolique de fond : On me parle de ce temps mort, ce sont ses propres mots, de ce temps mort, juste avant une improvisation, il est musicien de jazz, va-t-il se laisser aller au-delà de la technique ou penser et jouer seulement comme tout le monde ? Ce léger laps d’attente évoque la mort indéfinissable et inconnue, cet arrêt marque l’étendue de la vie. Le débordement pulsionnel installe un vide de penser et peut se transmuer en un travail créatif associatif. cairn.info/revue-libres-cahiers-pour-la-psychanalyse

 

Temps fort > division, pause, temps mort, symboles

  • Liens fond/forme: La France est divisée en « pot » ou « cruche » ici, « broc » ou « carafe » là ? Mais l’on serait stupide tout comme une cruche et sourd comme un pot pour rester en carafe. Cela me parait plein de bric et de broc ! Je requiers une pause, pour faire temps mort, et changer ces symboles pour passer un temps fort ! 

<<  Poème et calligramme   

742 – La belle distorsion du temps des amants !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le temps est

Pure   notion,

Ou  objective,

Ou subjective

Poly-sémique.

Celui d’amant

Est spécifique

Du  fait  qu’il

Vit  en   bulle.

.

Il se tord, se retord

Ou encore,  se distord,

En fonction de sensations,

Bien plus que fonction mort

Ne pouvant mettre fin passion

Dévorante, voire chronophage,

En tous cas toute  en illusions.

.

Temps s’étire et plus il se tire,

Temps soupire, plus il expire

Temps secrète bel air de fête,

Temps s’arrête et j’ai l’air bête.

.

Veux dormir pour  mieux m’embellir,

Tant la nuit, je rêve  enfin de m’épanouir

Lors bête à deux dos  en peau contre peau,

En bête deux faces   en laissant ses traces

Sur grand lit blanc sur mes tourments,

Pour qu’il fasse  pour qu’il refasse

Saut l’arrière   et saut devant.

.

À ce tempo   de mon dodo

Belle fenêtre  que je pénètre

En ouvertures puis fermetures

En mouvements juste pour temps

De bien paraître  ou de mieux être,

Longue… armure, profond murmure,

Et à tous instants,  les rendra excitants.

.

Extensions

 .

Une distorsion du temps d’amants :

«Mon Dieu, il est déjà cette heure-là,

Il faut que je file, je suis  en retard. »

Cela se dit après  évidemment : avant,

Plus encore pendant, le temps n’existe

Plus vraiment en tête nombre amants.

.

Autre distorsion du temps d’amants :

«Je  suis  arrivé  une   heure  en avance

À mon rendez-vous,  tellement j’avais

Peur de le manquer   ou ne pas savoir

Où me garer, jusqu’à le ou (la) rater.»

Cela ne se fait pas  pour un rendez-vous

À Pôle Emploi ou chez autre employeur :

Question de priorité, à gérer, pour la vie.

.

Autre distorsion  du temps  des amants :

«J’ai égaré  ma montre,    mon  téléphone,

Si fait je ne regarde,  ne sait pas l’heure,

Si fait que je ne réponds plus personne.»

Cela veut dire que l’extérieur, clairement,

N’a plus aucune espèce d’importance tant

Que l’on est, reste en présence de l’amant.

.

Et autre  distorsion  du temps  d’amants :

«L’on ne devait pas diner  chez des amis !

Ce soir ils peuvent attendre longtemps

Cela se transforme en coup de téléphone

Pour  annoncer  un  empêchement  de

Dernière  minute, ou  de la migraine

Carabinée pour s’excuser de n’avoir

Pas eu le temps de décommander.

.

Que le temps se distorde, s’accélère, s’arrête, se ralentisse,

Rien de plus normal

Il est perçu ainsi, dans un déroulement subjectif, non lisse,

Comme pour un animal.

Même s’i l’on en fait rien, le temps passera et notre cerveau

De toute façon nous rappellera

Qu’il faut manger, qu’il faut s’activer, et qu’il faut dormir,

Pour les amants, qu’il faut en finir.

.

Il existe encore des gens à notre époque

Qui n’ont pas de montre ni de smartphone :

On se demande comment ils évaluent le temps.

Chacun sait que nous avons une « horloge interne »,

Biologique pour les passages de jour à sommeil de nuit

Mais pour chaque heure et prendre ses repas : comment !

Quand le corps réclame à manger, quand le sommeil gagne :

Mais on n’est pas des chats et l’on n’est pas non plus des poules

Nous faut croire que notre cerveau distord le temps à notre profit

.

Fragments 

.

Il n’y a pas que le temps qui se distord,

Qui se réduirait ou qui se perpétuerait,

Il y a aurait aussi l’espace où l’on dort,

En bras du partenaire qu’on aimerait !

.

Temps des amants est temps présent,

En concentré chaque minute passant

Absents  de tous les bruits ambiants,

De tous les espaces …  environnants.

.

Point  besoin  d’horloge, balancier,

Ni même de jour  ni de calendrier,

Répétitions actes sexuels suffisant

À gommer le temps : rendu néant.

.

Distorsions vécues, de l’intérieur,

L’amour se pointe  à l’improviste,

Et il montre  qu’encore on existe,

Gommant une action extérieure !

.

On bouge, se tord à raison ou tort,

On en perd le Sud et puis le Nord :

L’amour est tout  sauf temps mort,

Surtout  quand il agit  au plus fort !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Le temps est

Pure   notion,

Ou  objective,  

Ou subjective 

 Poly-sémique.

 Celui d’amant

 Est spécifique

Du  fait  qu’il

 Vit  en   bulle.

.

****************

*****************

.

Il se tord, B se retord

Ou encore,    E   se distord,

En fonction     A    sensations,

Bien plus que   U fonction mort

Ne pouvant met X   tre fin passion

Dévorante, voire  *      chronophage,

En tous cas toute  A         en illusions.

Temps s’étire        M          plus se tire,

Temps soupire       A         plus il expire

Temps secrète         N         bel air de fête,

Temps s’arrête         T        et j’ai l’air bête.

Veux dormir pour      S      mieux m’embellir,

Tant la nuit, je rêve       *      enfin de m’épanouir

Lors bête à deux dos       D       en peau contre peau,

En bête deux faces      I     *    U    en laissant ses traces

 Sur grand lit blanc  S         *         *   sur mes tourments,

Pour qu’il fasse   T              *            T  pour qu’il refasse

  Saut l’arrière   O   *  *  *  O  *  *   *  E    et saut devant.

  À ce tempo    R               *              M     de mon dodo

Belle fenêtre   S            *            P  que je pénètre

En ouvertures      I     *    S     puis fermetures

En mouvements        O        juste pour temps

De bien paraître       N       ou de mieux être,

 Longue… armure       *       profond murmure,

 Et à tous instants        *         le rendra excitant.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une silhouette

 D’un couple fusionnel

 Sinon  horloge  comtoise 

Datant de   son   grand   temps ?

.

742 4

.

Temps d’horloge des amants sera bien

Plus distordue qu’une heure exacte,

Avec distorsion du temps subjectif,

Par  rapport  au  temps dit  objectif !

L’horloge mesure et indique le temps,

Est en phase  avec celui  qui le consulte :

Le tic-tac du balancier sert de métronome,

Tant et si bien que la forme épouse le fond.

  .

Symbolique 

 .

Cet objet familier a été d’emblée

Très chargé de symbolisme et les

Hommes ont projeté sur l’horloge

Tous questionnements quant au temps.

Le temps en états, quantitatif et qualitatif,

Le temps qui passe, le temps qui presse,

Le temps qui fuit, le temps de l’oubli,

La marque du  temps … l’horloge

Scande chaque étape de la vie,

Par  ses  coups  horaires  et  son

Tic-tac nous encourage à l’activité.

Regarder une heure  à une horloge :

Quand on a retenu l’heure, c’est mieux

Mais  pas fondamental. L’horloge invite

À respecter  des étapes, à ne rien négliger

Dans ses affaires privées ou professionnelles

Pour obtenir résultats, faute de quoi, c’est l’échec.

wikireve.fr/dir/2422-horloge

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

742 6

.

Horloge des amants est bien

Plus distordue que l’’heure exacte

Avec distorsion du temps subjectif,

Par  rapport  au  temps  objectif !

.

Symbolique

 .

La montre, l’horloge et la pendule

Symbolisent  une  prise  de  conscience

Sur le temps qui passe, la montre insiste

Sur  le mot « montrer », ton  rêve  vient  te

Montrer qu’il est temps d’agir et d’analyser

D’où viennent tes blocages qui t’empêchent

D’accepter la transformation  dans ta vie.

Elle symbolise  les cycles  qui se répètent

Dans une vie, des histoires qui dans les

Grandes lignes se ressemblent, toutes

Rythment le flux de notre quotidien.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles

-de-reve/horloge-pendule-montre

.

.

Fond/forme 

 .

Le temps est ce qui nous manque toujours,

On a beau faire il nous manquera des jours,

Il est une chose qui  prend du temps : l’amour

Pour certains, trop et pour d’autres pas assez !

Quand on tient bien à quelqu’un, quelque chose,

L’on trouverait souvent du temps à lui consacrer

Ce n’est pas le temps qui manque, c’est l’agenda,

Et ceux qui n’en n’ont pas, ou plus, s’ennuieront

Le temps ne se distord pas, il vous dévorera

Le temps, toute votre vie vous retardera,

Votre dernière heure ne vous oubliera.

.

Textuels et illustrations  >>