741 – S’allier pour faire quelque chose ensemble

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

S’allier en un projet commun :

Quoi de plus banal, commun,

Toujours, avancer ensemble,

Et, dans la même direction,

Est mieux que  de s’éloigner

Ou… ne plus communiquer.

.

Banalité, évidence, tout cela :

Pourquoi les gens ne le font pas

Et, si l’on ne fait pas tout ensemble,

Au moins, choses auxquelles on tient,

Renforcent couple, du moins le soutient

Choses qui nous ressemblent, rassemblent.

.

Et lors de s’allier

Pour  faire  ensemble

Voilà parcours, me semble,

D’amoureux voulant faire route

En vue de s’extraire  de leurs doutes,

Sur leurs prétendues    belles intentions.

 .

Mais il faut faire très  attention

Car la voie est, très dure,  instable,

En dépit de moments forts agréables,

Qui nous rapprochent,  nous ressoudent,

Le lien est rompu dès que l’un d’eux boude.

.

Car ce n’est plus l’autre, que l’on aperçoit,

Mais son image, enfin celle que l’on croit

Comme en miroir, l’un et l’autre se voit,

Le moindre flou ou la moindre ombre

Viendront ternir les visages sombres.

.

Car tel est bien l’effet cristallisation

Qui, d’une branche, jetée sur le sel,

Rassemblera tant d’éclats sur elle

Au point  de masquer sa vision.

.

L’envol d’essai des amoureux

Est fait de pleins et de creux

Certains le trouvent joyeux,

Lorsque d’autres : ennuyeux

 .

Voler, survoler puis  convoler,

En justes noces ou en juste ciel

S’apparente à la…. Lune de miel

En forçant à s’aimer, ou à tomber.

.

Extensions

 .

S’allier pour une chose ensemble,

Quelque chose de simple, de naturel,

Beau, de grand  et voire d’exceptionnel.

Qu’importe le but premier, atteint ou non,

Tant ce dernier évolue en cours de parcours :

C’est le processus qui compte, lui qui se nourrit

D’énergie qu’on dépense, repense, compense

Par un soutien sans faille. Un enfant !

Mais ce serait vous qui le seriez

Si vous ne pensiez pas déjà

À son éducation,  à son avenir,

Insertion en famille, école, société.

.

Faire quelque chose ensemble, que ce soit utile ou pas

Est le premier pas

Vers la longévité d’une rencontre qu’on aime ou pas

Un projet est canevas

Où s’inscrit la capacité, de chacun, à s’allier ou pas

Avec celui on connait pas

Surtout quand l’échange verbal ne suffit pas

À jauger l’autre en tous cas.

.

Parmi les choses que l’on peut faire ensemble,

La liste peut être très courte ou très longue :

Habiter ensemble,   construire sa maison,

Élever ses enfants,  travailler ensemble,

Sont les plus  communes, minimales.

.

Auxquelles l’on peut bien rajouter :

Voyager, et prendre mêmes loisirs

Voir et recevoir les mêmes amis

Partager ses soins,  ses soucis,

Et beaucoup d’amour, au lit.

.

Grande passion commune,

Pour une cause,  à la une,

Garde des petits enfants

Et le reste, à l’avenant !

.

Fragments

.

Bonbon    et  bonbonnière  s’accordent

Mais pas avec s’allier ensemble pour

En tous cas pas pour les amoureux

Et ainsi la forme diffère du fond.

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

 .

S’allier en un projet commun :

Quoi de plus banal, commun,

Toujours, avancer ensemble,

Et, dans la même direction,

Est mieux que  de s’éloigner

Ou… ne plus communiquer.

 .

Banalité, évidence, tout cela :

Pourquoi les gens ne le font pas

Et, si l’on ne fait pas tout ensemble,

Au moins les choses auxquelles on tient,

Qui renforcent couple, du moins le soutient :

Des choses qui nous ressemblent, rassemblent.

.

*****************************************

*****************************************

.

S’allier

Pour faire  P  ensemble

Voilà parcours  R   il me semble,

D’amoureux vou   O  lant faire route

Afin de s’extraire     J    de leurs doutes,

Sur leurs prétendues  E  belles intentions.

      T

Mais il faut    S       faire très       P   attention

Car la voie     ‘        est très dure,     O    instable,

En dépit     A      de moments forts  U   agréables,

Qui nous   L  rapprochent et nous   R   ressoudent,

Le lien est   L   rompu dès que l’un  *  d’eux boude.

Car ce n’est   I   plus l’autre que    F   l’on aperçoit,

Mais son image E    enfin celle  A   que l’on croit

Comme en miroir R     l’un,    I   l’autre se voit,

Le moindre flou      *  la    R  moindre ombre

Viendront ternir        E    visages sombres.

Car tel est           *   l’effet cristallisation

Qui d’une       E branche jetée sur sel,

Rassemble  N   tant d’éclats sur elle

Au point  S  de masquer sa vision.

L’envol   E  d’essai des amoureux

Est fait   M de pleins et de creux

Certains  B    le trouvent joyeux,

Lorsque   L  autres,  ennuyeux

E …………

Voler, survoler   puis  convoler,

En justes noces ou en juste ciel,

S’apparente à la …. Lune de miel

En forçant à s’aimer, ou à tomber.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

En haut, chapeau de cheminée

En bas, un conduit avec son foyer.

On peut y voir une soupière profonde,

J’y verrais  plutôt  une bonbonnière !

.

741 4

.

Bon  bonbon, bonbonnière,

Riche même, une affaire :

Attention au piège, bonbons

Très sucrés, nocifs pour la santé.

.

Symbolique 

 .

La bonbonnière

Est d’origine italienne où la tradition,

Lors d’un mariage, veut que les jeunes mariés

Offriront un petit présent, à chaque convive,

Ou à tous ceux qui leur ont présenté leurs

Vœux, et voire, offert  un  cadeau.

 

Petit présent, également offert

À  l’occasion  d’un   baptême

Ou bien d’une communion,

Reste confectionné  dans

Petit morceau de  tulle

Ou de soie entouré de

Ruban  et  contenant,

Des  dragées  et  carte

Rappelant cet évènement.

Wikipédia : bonbonnière

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

741 6.

.

Bon  bonbon, bonbonnière,

Riche tout de même, c’est une affaire :

Attention au piège, bonbons

Sont très sucrés et nocifs pour la santé.

 .

Symbolique de fond

 .

Tous les  bonbons,

Seraient délicieux,

 .

Mais c’est avant tout morceau de sucre.

L’OMS recommande de ne pas dépasser 50 g

De sucres par jour,    l’équivalent de 8 bonbons.

 .

Lors d’Halloween,                 le 31 octobre dernier,

Enfants s’en sont                          donnés à cœur joie

En     collectant                                bien des friandises

Mais problème                               elles ne seront pas

Composées uni                              quement de sucre.

 .

Ils sont également                 constitués d’additifs

Dont certains peuvent          se révéler néfastes

Pour la santé notamment    ceux qui pétillent

Dans les bouches : ils sont bourrés  additif

 .

Très concentré qui attaque

L’émail dents et estomac.

tf1info.fr/sante/les-bonbons-sont-ils-

si-mauvais-pour-la-sante-2069336

 .

 .

Fond/forme 

 .

Bon, bon, on ne va pas en faire

Toute une bonbonnière d’alliance

Matrimoniale, semi commerciale,

Mais juste garder la dragée haute,

Pour que l’alliance ne périclite pas,

Et il y a de quoi faire en la matière,

Tellement certaines sont prenantes,

Comme  éduquer enfants, ensemble,

Et jusqu’à leur propre mariage, etc.

L’amour demeure une alliance pour

Construire quelque chose, ensemble,

Si ce n’est en plus, quelqu’un, enfant

Mais à condition de bien s’entendre.

.

Textuels et illustrations  >>

740 – Trop haut, trop bas, trop vite, trop lent !

 Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Trop haut, trop bas,

Trop vite, trop lent ;

Trop loin, trop près,

Trop ceci, trop  cela !

Pourquoi  si difficile,

Et pourquoi si délicat

De  devoir  s’accorder,

Durant  toute une vie !

.

Que l’on aime, aime pas

Qu’on soit mari, amant,

Lors, leurs beaux corps,

S’accorderont sur le  la,

Et sur le même tempo

Jusqu’à  jouer  un air,

Un bien joli morceau.

.

L’on entendra vibrer

Les sons  à l’unisson,

Mais quelques ratés,

Les feront s’arrêter :

Tout recommencer !

.

Est-ce  leur chanson,

Trop mal interprétée

Ou manque ces halos

Qui la font…résonner

D’harmoniques,  sons

Légèrement…décalés.

C’est  avec  les  cœurs,

Qu’on joue   en chœur,

Autant que par la voix,

Et les mains  qui voient

Exécuter des partitions,

Leur intime  suggestion,

De ne faire qu’un … cor.

.

Sortie, de  ses  entrailles

Lors  notre  voix  déraille,

Elle ne vaut rien qui vaille :

Lors nos violons ferraillent,

Lors nos écarts se font jour :

On n’entendrait plus qu’eux,

Finis, sont finis nos amours,

Chacun joue son propre jeu.

.

Extensions

 .

La tonalité et le tempo, d’un air, d’une chanson

Sont des fondamentaux de l’harmonie et du rythme.

Une mauvaise clé, une mauvaise cadence, et, les corps

S’accordent mal, ne s’accordent plus, il en est de même

Pour faire l’amour : certains sont si pressés de conclure,

Que l’autre n’a pas fini  d’accorder son violon, c’est fini,

Et d’autres retardent, ralentissent la montée suprême

Au point de la faire capoter : c’est un pic, d’un côté,

À escalader, c’est une grotte de l’autre, à explorer.

.

Le lapin magique d’Alice au pays des merveilles,

Tient l’horloge, compte les temps, sonne la fin

Des festivités : un soupir par ci, un autre par là,

Un dernier cri pour finir, langoureux point d’orgue.

Et puis un jour, voilà les instruments se désaccordent,

Grincements, cacophonies, couacs, canards et compagnie.

.

La musique s’en va, les chœurs se taisent, cors s’essoufflent,

Il faudra revoir ses partitions, réaccorder ses instruments,

Sur une note et une fréquence commune, or, cela prendra

Du temps, énergie, retrouvailles du plaisir sont à ce prix.

.

Et puis quand l’enchantement renait, la magie des sons

Crée nouvelle caisse de résonnance où amour se refait

En harmonie et en cadence, tant et si bien qu’on ne

Souhaite que rejouer la partition jusqu’à ce qu’il

Faudra changer d’air, de chanson, partenaire !

.

 «Trop, c’est trop» de toute façon, et en toutes situations,

Et «du pareil au même» quand ce n’est pas «pas assez»

Quant à être trop bas, trop haut, faire  vite ou trop lent,

Quand on est en avance, trop tôt et en retard, trop tard.

.

De quoi s’agirait-il, ici, au juste :

D’un parfait accord de deux corps

Ou au contraire : parfait désaccord !

.

Ressentir intensément l’instant présent

Et décupler une sensation de jouissance :

En bref, de  ressentir l’autre  en soi-même.

.

Mais la fusion  des deux corps, qui s’aiment,

Ne se résumerait pas en rapport à l’orgasme :

Sexe, corps, cœur, esprit, âme forment un tout.

.

La beauté d’un rapport se trouverait … avant tout,

Dans l’émotion, dans le partage dans l’écoute de soi,

De l’autre et non la finalité d’une fusion la plus totale.

.

Fragments 

.

De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l’Impair
Plus vague et plus soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.

.

Cette strophe écrite par Paul Verlaine

Parlant de mots, de rimes en fredaines

S’applique autant aux ébats amoureux,

Tantôt fortissimo et tantôt langoureux !

.

Personne ne vous apprend à faire l’amour

Cela s’avère une expérience au long cours,

Or avec autant de reculs que … d’avancées,

Patiemment, on finira toujours par arriver.

.

Certains pensent qu’il s’agit de performance

En tout, en longueurs, postures, endurances

Alors qu’il  n’en est rien, rien  de mécanique,

L’amour est autant psychique  que physique.

.

Trop haut … trop bas … trop vite …  trop lent :

On dit quelqu’un : viser dans le mille, voulant,

Et puis s’acharnant… le bon rythme, à trouver,

Ce qui ne rime à rien, il suffit de tout partager.

.

Fragments

.

De la musique avant toute chose,
Et,  pour     cela   préfère    l’Impair
Plus vague et plus soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.

.

Cette strophe écrite par Paul Verlaine

Parlant de mots, de rimes en fredaines

S’applique autant aux ébats amoureux,

Tantôt fortissimo et tantôt langoureux !

.

Personne ne vous apprend à faire l’amour

Cela s’avère une expérience au long cours,

Or avec autant de reculs que … d’avancées,

Patiemment, on finira toujours par arriver.

.

Certains pensent qu’il s’agit de performance

En tout, en longueurs, postures, endurances

Alors qu’il  n’en est rien, rien  de mécanique,

L’amour est autant psychique  que physique.

.

Trop haut … trop bas … trop vite …  trop lent :

On dit quelqu’un : viser dans le mille, voulant,

Et puis s’acharnant… le bon rythme, à trouver,

Ce qui ne rime à rien, il suffit de tout partager.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

TROP HAUT,

Trop haut, trop bas,

Trop vite, trop lent ;

Trop loin, trop près,

Trop ceci, trop cela !

Pourquoi  si difficile,

Et pourquoi si délicat

De  devoir  s’accorder,

Durant  toute une vie !

.

TROP BAS

Que l’on aime, aime pas

Qu’on soit mari, amant,

Lors, leurs beaux corps

S’accorderont sur le la

Et sur le même tempo

Jusqu’à  jouer  un air,

Un bien joli morceau.

L’on entendra vibrer

Les sons  à l’unisson,

Mais quelques ratés,

Les feront s’arrêter :

Tout recommencer !

.

TROP VITE,

Est-ce  leur chanson,

Trop mal interprétée

Ou manque ces halos

Qui la font…résonner

D’harmoniques,  sons

Légèrement…décalés.

C’est  avec  les  cœurs,

Qu’on joue   en chœur,

Autant que par la voix,

Et les mains  qui voient

Exécuter des partitions,

Leur intime suggestion,

De ne faire qu’un … cor.

.

TROP LENT 

Sortie, de ses entrailles

Lors notre voix déraille,

Elle ne vaut rien qui vaille :

Lors nos violons … ferraillent

Quand nos écarts se feront jour :

On n’entend guère plus qu’eux

Finis sont finis nos amours

Chacun joue son jeu.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un capteur quelconque,

Pour le niveau d’émotion

Pour variation d’humeurs

Ou pour la température !

.

740 4

.

Tant qu’on est en vert, on s’accorde ;

Dans jaune, on discorde :

Mais parvenu température rouge,

Vaudra mieux la réguler.

L’amour sexuel, chacun le sait

Fait grimper toute température

Celle des corps,  en premier lieu,

Sensations environnement, après.

.

Symbolique

 .

Selon la culture,

La température

Chaleur d’environnement,

D’un habitat,   de vêtements,

D’objets voire de la nourriture

Évoquerait différentes choses et

Favorise comportements sociaux.

 

Les mots «chaleureux» ou «froid»

Entre en des expressions telles que

«À mains froides   …    cœur chaud »

Montrent l’importance sous-jacente

De chaleur en interactions humaines.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

740 6

.

Tant qu’on est en vert, on s’accorde ;

Dans jaune, on discorde :

Mais parvenu température rouge,

Vaudra mieux la réguler

.

Symbolique    

 .

Être frileux, avoir chaud,   ou avoir de la fièvre.

Que signifie la notion de      chaleur pour le corps ?

 .

Régulation de la  tem    pérature dite ressentie

De sensation de  cha      leur ou encore frilosité

 .

Pointe, souvent, un      conflit  de séparation,

Voire de manque       de chaleur humaine.

 .

Si on estime  qu’on    mérite  cette chaleur,

On la produira nous     -même, et, à l’excès

 .

Si au contraire, on ne      s’en sent pas digne,

On ne produit chaleur man    quante, on a froid.

santenatureetcie.com/temperature-du-corps-symbolique

.

.

Fond/forme 

 .

Notre température intérieure se maintient

À 37 degrés par mécanisme de régulation :

Chaleur excessive sera évacuée par sudation

Mais quand il s’agit d’assouvir désir sensuel,

Le désir élève le corps  en température haute.

.

Lors  on utilise, d’ailleurs, l’adjectif : « chaud »,

Pour désigner quelqu’un d’addict quant au sexe.

L’acte sexuel requiert un certain nombre d’efforts

Procure chaleur peau contre peau, sexe contre sexe

Jusqu’au plateau commun atteint lors de l’orgasme.

.

 Textuels et illustrations >>

739 – Yeux, fenêtres de l’âme, métaphoriquement

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

On se fait image de l’âme

À travers émission de lumière

Or, si l’œil en reflète sur son iris,

Il n’en produit pas, il fera illusion !

.

Pourtant regard lumineux, perçant,

Des uns, contraste, avec celui, terne

Des autres comme éteint,  ombrant

Loin  d’un phare,  simple lanterne.

.

L’on sourit, aussi, avec les yeux,

Le regard ne ment pas ou peu

Nos yeux  sont bien fenêtres

Sur le Monde, certes oui :

De nous, métaphorique

Autres existent, aussi.

 .

Yeux, fenêtres âmes, métaphoriquement,

Pourquoi pas autres sens tout simplement.

La bouche est porte du ventre et goulument,

Et le nez celle de la respiration, en soupirant,

.

Et l’oreille, le pavillon musical, en résonnant,

La main, masseur  émotions, étonnamment

Tant vrai  qu’ils  ont contribué  tout autant

À bien façonner toutes âmes toutes gens.

.

Lors nos bouches  profèrent des mots

Qui vont bien  chatouiller  notre ego

Nos nez vont  ressentir  le parfum,

L’odeur de notre bon  plat  divin.

Nos  oreilles  restant  très  fines,

Nous murmurent belles ondines.

.

Et  mains se font  comme caresses

En grands tourbillons  de tendresse,

L’association  des  deux et voire trois

Sens  sont relais,  parfaits, des  élans,

Et augmentent d’autant le sentiment

De se livrer totalement à nos émois.

.

Quand  son âme, se reflète, se dilate,

Elle pourrait se contracter pulsations

Harmoniques qui, soudain,  s’éclatent

En un corps, en un cœur, en un esprit

Qui fondent en  seul  cocon  spirituel

Émotions, actions bien corporelles.

.

Nos yeux ne seraient pas nos fenêtres,

Ne seraient que  sortes de  «peut-être»

Parce que  c’est l’ensemble de nos sens,

Qui sublime  une pure, noble, essence.

.

Extensions

 .

Qui dit fenêtre,

Dit ouverture, intérieur, extérieur,

Du monde, du corps ;

 .

Qui dit verre,

Dit reflet d’une image spéculaire

Et pourquoi pas de l’âme ;

 .

Qui dit vision,

Dit perception d’une pensée ou

Objet interne ou externe ;

 .

Qui dit projection,

Dit interprétation de ce qu’on

L’on voit, fonction de ce qu’on a vu.

.

Fenêtre est un objet vitré et transparent comme l’œil

Qui laisse pénétrer la lumière et la voir, à l’extérieur,

Mais l’œil n’est qu’un appareil photo, sans le cerveau

Qui interprètera et en permanence tous ses signaux.

L’âme fait aller bien plus loin que l’esprit en lumière

Elle métaphorise toute réalité pour lui donner sens !

Ce que je vois est aussi  ce que j’imagine en pensées.

.

Forme, fonction, transparence, symbolique,

L’œil est fenêtre de l’Homme sur le Monde,

Ainsi que fenêtre du Monde sur l’Homme.

.

Ses pensées, caractères, qualités, défauts,

Ses sensations, émotions  et sentiments,

Connaissances, croyances, expériences.

.

La palette des sentiments, que reflète,

Transmet les regards, reste très vaste,

Lors emprunte l’éventail des possibles.

.

Tout autant amour, charme, séduction,

Que la haine, colère, indignation, conflit,

Détermination et ce jusqu’à l’impuissance.

.

Fragments

.

Un objet, quel qu’il soit, peut être,

Ne ressemblera jamais à d’un œil,

Y compris un œil factice en verre,

 Si bien  forme diffèrerait du fond.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

.

On se fait image de l’âme

À travers émission de lumière

Or, si l’œil en reflète sur son iris,

Il n’en produit pas, il fera illusion !

Pourtant regard lumineux, perçant,

Des uns, contraste, avec celui, terne

Des autres comme éteint,  ombrant

Loin  d’un phare,  simple lanterne.

.

********************************

*******************************

.

L’on sourit, aussi, avec les yeux,

Le regard ne ment pas ou peu

Nos yeux  sont bien fenêtres

Sur le Monde, certes oui :

De nous, métaphorique

Autres existent, aussi.

 .

Yeux, fenêtres de l’âme : métaphoriquement !

Pourquoi pas  N   autres sens tout *    simplement.

La bouche est  O     porte du ventre     M     goulument,

Et le nez celle   S     de  la  respiration     É  en soupirant,

  Et l’oreille        *     le pavillon   musical    T   en résonnant,

  La main          Y     masseur  d’émotions    A étonnamment

    Tant vrai       E      qu’ils  ont   contribué    P  et tout autant

  À bien           U    façonner    toute âme    H   toutes gens.

Lors nos      X    bouches    profèrent     O    des mots

Qui vont    *    bien    chatouiller      R  notre ego

Nos nez     F     vont  ressentir      E  le parfum

L’odeur de   E       notre bon     *    plat divin.

Nos oreilles     N      étant      *        très fines

Nous murmurent    Ê             belles ondines.

Et  mains se font        T          comme caresse

En tourbillons             R        L   de tendresse.

L’association de     E   deux,   U     voire trois

Sens sont relais     *    parfaits   M    des élans,

Et augmentent   D    d’autant le   I   sentiment

De se livrer       E    totalement à   N  nos émois.

Quand son       *     âme se reflète   O     se dilate,

Elle pourrait   L     se  contracter     P   pulsations

Harmoniques        qui, soudain       H      s’éclatent

En un corps,         en un cœur,     O    en un esprit

Qui fondent    M        en  seul       R  cocon spirituel

Émotions         E        actions    E bien corporelles.

Nos yeux ne  seraient   pas    nos seules fenêtres,

Ne seraient que     des sortes   de  «peut-être»

Parce que  c’est     l’ensemble      de nos sens,

Qui sublimera  leur pure, et noble, essence.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

On dirait un objet avec des yeux 

Or c’est juste un flacon de parfum,

Oui mais combien se ressemblent,

Au point de  tous  les confondre ?

.

739 4

 .

O

N’importe quel objet peut être muni

 D’yeux mais sans d’âme :

C’est l’imaginaire du regard humain

 Qui l’anthropomorphise.

.

Symbolique

 .

La

Symbolique

De l’automobile

N’échappe à

Personne,

Surtout  pas

À ceux qui l’utilisent tous les jours.

C’est dans la          relation entre le

Conducteur             et automobile

Que celle-ci               prendra vie

Deviendra               une voiture.

La  portée                 symbolique

De cet objet peut s’appréhender

Autour de deux pôles que seraient

L’aspect identitaire et  émotionnel.

«l’évolution  des valeurs  automobiles

A contribué  à déplacer  l’investissement

De l’extérieur vers intérieur de voitures,

Conférant statut espace plus qu’objet»

carfree.fr/index.php/2010/09/24/

la-voiture-un-objet-symbole

.

.

Fond

 .

Évocation

.

739 6

.

N’importe quel objet peut être muni

 D’yeux mais sans d’âme :

C’est l’imaginaire du regard humain

 Qui l’anthropomorphise.

.

Symbolique 

.

Pendant deux siècles,

                                      La pensée rationnelle l’a snobé

                                   L’anthropomorphisme

                                        Appartenait décidément

                                       À un passé des plus

                                        Obscurs d’Humanité.

 .

La révolution numérique conduit pourtant

Des chercheurs à lui porter un regard neuf :

Et si  personnifier  les animaux, ou, les objets,

Nous aidait à mieux définir nos relations avec eux ?

 .

C’était,  car on ne s’en débarrasse pas aussi facilement :

Boursicoteurs s’inquiètent d’entendre le marché est « fébrile » ;

Tel designer sera sûr de convaincre son patron en lui montrant

Combien ce nouveau modèle de voiture est « souriant »…

lejournal.cnrs.fr/articles/la-revanche-de-lanthropomorphisme

.

.

Fond/forme 

 .

Le mot «objet» fera l’objet de  pas loin,

De quinze définitions au dico Larousse,

Voilà ce qu’on appelle : «un vrai sujet»

Que l’on épuisera, je le crois,  jamais !

.

Fenêtre et œil seront bien deux objets

Mais en quoi faudrait-il les associer

Sinon par analogie, ou métaphore,

L’œil est actif et la fenêtre passive

Par une fenêtre,  l’on ne peut voir

Que partie fixe d’environnement

Or plus, s’y penchant vraiment.

.

Textuels et illustrations  >>

738 – De perdre mon âme, à force de la chercher !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De perdre mon âme,

Ça, je ne  risque  pas !

Du moins avant la mort

Elle est prédestinée à ça !

.

À défaut,  je peux la ternir,

À défaut, je peux la maudire

Ou encore, ne pas l’entretenir,

Ou la chercher où elle n’est pas.

.

La sensibilité est une qualité d’âme

Qu’on accorde volontiers à la femme,

Celle de l’homme, de quoi est-elle faite :

Son aura serait-elle entièrement surfaite.

.

Danger perdre mon âme à force de la chercher.

L’âme nous dit à quoi bon pénétrer tous les corps

Si de leurs âmes on ne tire aucune bonne vibration,

Ou alors, de leur déception  à répétition, elle ne serait

Que pure consolation de n’être pas comme  demi-dieu.

    .

Semi-animal plus demi-dieu, ne font pas homme entier,

L’animal nous serait imposé,  et Dieu nous serait inspiré

Entre  extrêmes, restons coincés en plein milieu d’un gué

Avec personne pour nous dire : en quelle direction, aller !

.

De ce fait j’aurai perdu mon âme  à force de la chercher,

L’âme est fenètrable tandis que le corps est pénétrable,

Qui plus est, j’aurais confondu un Dieu avec un Diable

   Et personne  pour me croire,  pour me le pardonner.

.

Mis à part vous fidèles lecteurs bien aimables,

À qui j’ai confessé honteusement cette fable.

Soyez rassurés, indulgents, un tel brame,

Ne pourrait conquérir cœur de dame.

.

L’âme damnée du poète maudit

Seule au monde : incompris

Lors je n’aurai pas réussi,

Ni pour elle, ni avec lui

.

À chercher,  à trouver,

Car pour finir, perdre,

Est l’humaine condition

De notre mort sans raison.

.

Chercher  une  chose  que  l’on

Va perdre dès qu’on l’aura trouvé,

Est comme remplir un puits sans fond,

Qui au bout du compte finit par vous noyer.

.

Extensions

 .

Le danger de perdre mon âme

À force de la chercher devient aussi

Celui de se plonger en une introspection

Trop poussée, trop fouillée ou isolée

Des réalités qui nous entourent.

.

Une perception extracorporelle

Ou lévitation d’une forme consciente

Juste au-dessus  de  notre  propre  corps,

Reste encore un phénomène des plus

Étranges et des plus troublants.

.

À  notre mort, notre âme  revêt

Plusieurs formes, celle de lumière,

D’un oiseau, d’un souffle, d’une énergie,

Ou râle, que sais-je encore comme

Si quelque chose s’en échappait.

.

Comment peut-on perdre quelque chose de virtuel :

L’âme étant connue pour n’avoir de réalité tangible,

Elle ne peut être le sujet, d’une recherche… éligible :

Il faut se persuader qu’elle existe pour croire en elle

Mais ce ne sera pas parce que je ne la trouverai pas

Qu’elle se perd à tout jamais en les limbes de l’oubli

Dans mon âme, tout ce que j’ai vécu, je l’aurai mis !

.

Chercher ce qui n’existe pas

Faudrait pas y passer sa vie

Pas vu d’âme sous bistouris

A proclamé mon chirurgien

.

Y a mieux à faire, poursuit-il

Déjà assurer sa propre santé,

Réfléchir au monde où on vit,

Reste sera donné par surcroit

.

Un supplément d’âme, on dit,

Que la science ou la technique,

Ne peut jamais nous apporter :

Qu’art, poésie, musique, culture.

.

Et c’est bien ce que j’ai pressenti,

En me lançant dans des écritures :

À force de chercher en elles, un âme

Je finirai bien par me la … façonner !

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

 .

Perdre   P     son  âme,

Ça, je ne  E  risque  pas !

Du moins  R  avant la mort

Elle est pré  D  destinée à ça !

R ….

À défaut, je    E    peux la ternir,

À défaut, je     *   peux la maudire

Ou encore, ne    S   pas l’entretenir,

Ou la chercher    O    où elle n’est pas.

  N …

La sensibilité est    *   une qualité d’âme

Qu’on accorde vol     Â   ontiers à la femme,

Celle de l’homme,       M de quoi est-elle faite :

Son aura serait-elle      E  entièrement surfaite.

  *

Danger perdre mon âme       à force de la chercher.

L’âme nous dit à quoi bon  *     pénétrer tous les corps

Si de leurs âmes on ne tire   F   aucune bonne vibration,

Ou alors, de leur déception    O   à répétition, elle ne serait

Que pure consolation de n’êt   R  re pas comme  demi-dieu.

     C

Semi-animal plus demi-dieu    E   ne font pas homme entier,

L’animal nous serait imposé,     *   et  dieu nous serait inspiré

Entre  extrêmes, restons coin     L   cés, plein milieu d’un gué,

Avec personne pour nous dire     A   en quelle direction, aller !

De ce fait j’aurai perdu  l’âme      *    à force  de  la  chercher,

L’âme est fenètrable : seul le        C     corps   est pénétrable,

Qui plus est, aurai confondu       H     Dieu avec un Diable

   Et personne pour me croire        E    et me le pardonner.

                        R

Mis à part vous fidèles lecteurs    C  bien aimables,

À qui j’ai confessé honteusement   H  cette fable.

Soyez  rassurés, indulgents, un tel  E brame,

Ne pourrait conquérir cœur dame   R …

Car l’âme damnée du poète maudit

Est seule au monde : incompris

Lors je n’aurai pas  réussi,

Ni pour elle, ni avec lui,

À chercher,  à trouver,

Car pour finir, perdre,

Est l’humaine condition

De notre mort sans raison.

.

Chercher  une  chose  que l’on

Va perdre dès qu’on l’aura trouvé,

Est comme remplir un puits sans fond,

Qui au bout du compte finit par vous noyer.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Forme possible

Parmi   d’autres

Pour  représenter

L’âme en lumière.

.

738 4

.

En supposant que l’âme soit lumière,

Elle pourrait être verte

Ou rose, ou grise, ou blanche, ou noire,

Ou lumière lointaine.

.

Symbolique 

 .

Lumière, symbole

De la vérité,   et de  la

 Révélation  et  du  savoir.

Est indissociable de l’ombre.

 .

Ainsi alors qu’ombre symbolise

À la fois les ténèbres et  la  mort,

La lumière évoque la clarté et vie.

 .

Par   analogie,  l’ombre  symbolisera

L’ignorance,  tandis  que  la   lumière

Représentera la  lucidité  et  le savoir.

 .

«Avoir   besoin   des    lumières   de

 Quelqu’un» illustre bien l’idée.

 D’une telle connaissance.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-lumiere.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

738 6

.

En supposant que l’âme soit lumière,

Elle pourrait être verte

Ou rose, ou grise, ou blanche, ou noire,

Ou lumière lointaine.

.

Symbolique 

.

Expression d’une puissance supérieure,

Issue d’un centre, d’une source primordiale,

La lumière  crée, éclaire, ordonne, clarifie.

Mais sa force peut devenir très  aveuglante.

.

À l’inverse, peut, en certains cas,  s’éclipser,

Ou rencontrer des obstacles qui empêchent

La dissolution des ténèbres plus profondes.

.

En son sens le plus profond,  la lumière est

L’intuition et de la conscience  qui  s’ouvre

Par un chemin  qui mène  à l’illumination,

C’est l’accès à la connaissance, à la vérité,

C’est l’entrée dans une vie plus  véritable !

https://www.jepense.org/symbolisme-de-la-lumiere

 .

.

Fond/forme 

 .

Savons-nous seulement si notre âme

Est dans l’ombre, ou dans la lumière,

Du côté conscient  ou bien inconscient,

Si elle nous est personnelle ou commune

C’est-à-dire antérieure à notre existence

Nous la revivons, complétons, assumons.

.

Il semble que l’âme dépasse entendement

Humain, et sans, pour autant, être divine

Si fait que chacun se définirait la sienne,

Y compris sa source, devenir en religion

.

 Textuels et illustrations  >>

737 – La traversée du miroir sans le fendre à cœur !

Textuels et illustrations >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Narcisse se penche

Pour deviner approcher

Son image et  puis il tombe

La brisant puis  la dénaturant.

L’image   spéculaire  est  fidèle

Tant qu’il n’est pas   déformé,

Portrait sera comme  voix,

On  ne la  reconnait  pas.

Miroir   de  la  marâtre

Dans  Blanche  Neige

Lui renvoie  un jour

Son image  qu’elle

Ne supporte pas.

Tout beau et bon  miroir,

Ne renverra que votre image

Spéculaire, même spectaculaire

Ce n’est que  diffractions  d’un air,

Plaisant  ou   pas,   révélant votre âge.

 .

Nous la voyons comme étant impossible,

Parfois elle  nous est pourtant profitable,

Bien  qu’il  n’ait  aucun  retour  probable,

À ce point de nous la rendre  souhaitable.

 .

Se regarder dans son miroir aura mystère

Narcisse s’y noie en approchant trop près.

Concave, convexe, nous déforme,  exprès,

À ce point que notre image  nous atterre,

Diffusée, alternée, en autant  d’esquisses,

Deux miroirs, en face à face, se renvoient

Les images multipliées lors indéfiniment.

 .

En fuite en des points d’horizons finissent

Par converger  en une image authentique

Composée   par   des    faisceaux photons

Qui nous semble  être  une unique façon,

Pouvoir   traverser  un  miroir  magique.

 .

Magique car d’une seule image pratique,

On fait plusieurs des illusions d’optiques,

À croire que nous sommes des canassons,

Capables  de manipuler les idées à foison.

 .

Une idée est miroir aux multiples facettes

Ne menant pas toujours à concrétisation.

Argents  et  amours miroir, aux alouettes,

Ne se cristallisent pas  en consommation.

 .

Et les animaux  ne s’y  reconnaissent pas,

À part  chimpanzés, qui eux, se peignent,

Voyant son congénère, le singer, feignent

De regarder derrière, voir s’il n’y est pas !

 .

Beau miroir, dis-moi : je suis la plus belle,

S’inquiète une Marâtre de Blanche Neige,

Miroir ne sachant mentir, la voilà rebelle,

Et sa pomme, verte-rouge, sera son piège.

.

Extensions

 .

La traversée du miroir

Est un des thèmes classiques

Pour passer d’un monde à l’autre

De manière métaphorique ou pour

Communiquer d’avec son double.

.

Peut refléter une autre réalité,

Sans fard et sans tain, une fois

Traversé mais attention au retour

Car il n’est pas sans danger, comme

En la lévitation, sortir de son corps

Physiologique et ne plus pouvoir

Y retourner : de toute façon.

.

Devant le miroir, il n’y a que son reflet

Et  derrière, il n’y a que soi, en rapport

Avec sa face cachée qui peut être mort !

.

Miroir, miroir, les miroirs réfléchissent trop

Ils renversent, prétentieusement, les images,

Et se croient profond, nous dit Jean Cocteau

Quant à vouloir le traverser, dans la réalité,

Serait s’exposer à des déconvenues, blessé.

.

Traverser le miroir signifiera se confronter

À une certaine intimité de son psychisme,

L’opportunité de visiter  son inconscient !

Consciemment et voire inconsciemment

L’on se regarde comme dans un miroir

 Pour ajuster comportement social :

On tente de percevoir son image

Dans le regard  des autres !

.

Ce qui se passe réellement

Quand on se voit dans l’iris,

D’autre : on se voit regardant

L’autre comme dans un miroir,

Or ce n’est qu’artefact physique !

.

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

           T

Narcisse se    R   penche

Pour deviner    A   approcher

Son image et     V    puis il tombe

La brisant puis   E    la dénaturant.

L’image  spécu    R     laire  est fidèle

Tant qu’il n’est    S       pas   déformé,

 Portrait sera      E     comme    voix,

On ne la re        *      connait pas.

Miroir  de        M    la marâtre

Dans  Blan     I   che  Neige

Lui renvoie   R    un jour

Son image   O   qu’elle

Ne supporte  I  pas.

                   R

**************

Tout beau et bon  miroir,

Ne renverra que votre image

Spéculaire, même  spectaculaire

Ce n’est  que  diffractions   d’un     air,

Plaisant  ou    pas,         révélant  votre   âge !

Nous la voyons,   *        S      *     comme impossible,

Parfois elle  nous    *           A      *    est pourtant profitable,

   Bien qu’il  n’               *           N      *     ait aucun retour probable,

À ce point de                  *           S      *    nous la rendre souhaitable.

Se regarder dans                *          *     *          son miroir, aura mystère :

Narcisse s’y noie                         F   *   R                en approchant trop près.

Concave, convexe,                  E                    U                  nous déforme exprès

À ce point que notre               N                       E                   image nous…atterre.

Diffusée, alternée, en              D                       O                       autant d’esquisses,

Deux miroirs, en face                R                   C                         à face, se renvoient

Les images multipliées                  E   *   À                             lors,  indéfiniment.

En fuite en des points           *                       *     *                d’horizons finissent

Par converger  en une       *      *        *         *         *           image authentique

Composée   par   des     *      *           *              *          *    faisceaux photons

Qui nous semble être      *              *                  *         une unique façon,

Pouvoir traverser un  *                *                    *      miroir magique.

Magique car d’une        *           *           *   seule image pratique,

On fait plusieurs,         *       *    * des illusions d’optiques,

À croire que                nous sommes des canassons,

Capables  de manipuler des idées à foison.

.

**************************************

Une idée est miroir aux multiples facettes

Ne menant pas toujours à concrétisation.

Argents et amours miroir, aux alouettes,

Ne se cristallisent pas  en consommation.

Et les animaux  ne s’y  reconnaissent pas,

À part  chimpanzés, qui eux, se peignent,

Voyant son congénère, le singer, feignent

De regarder derrière, voir s’il n’y est pas.

Beau miroir, dis-moi, je suis la plus belle,

S’inquiète une Marâtre de Blanche Neige,

Miroir ne sachant mentir, la voilà rebelle,

Et sa pomme, verte-rouge, sera son piège.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

La silhouette d’un arbre

En un miroir convexe,

Concave mais  souvent

Des plus narcissiques.

.

.

Une traversée du miroir évoque

Une recherche narcissique :

Elle n’est pas innocente, anodine

Et on en revient transformé.

.

Symbolique 

 .

Le miroir,

Surface réfléchissante,

Couvre symbolisme riche

Complexe   et   ambivalent.

« Symbole   du    symbolisme »,

Et  passerelle  entre   le  monde

Du connaître  et le monde de l’être

Le miroir fascine mais aussi dérange.

Le miroir renvoie  notre propre image :

Elle peut être, fidèle, illusoire,  inattendue.

Le miroir n’est pas qu’un objet ; il est autant

Une parole, une comparaison, une métaphore,

Ou une parabole, peuvent jouer le rôle de miroir.

Un journal, une caricature, une œuvre d’art

Sont aussi des miroirs.

jepense.org/symbolisme-du-miroir

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une traversée du miroir évoque

Une recherche narcissique :

Elle n’est pas innocente, anodine

Et on en revient transformé.

.

Symbolique 

 .

Pour européens, terme de « narcissisme »

Est très couramment employé pour

Désigner   cette   part  de   libido

Étant tournée vers soi-même,

Constitutive, et, essentielle,

.

Mais  il  est  aussi  porteur

De négativité, de pathologie,

Puisqu’il prend comme référence

Narcisse, être mythique destin tragique.

.

Il n’a visiblement pas réussi à se reconnaître

Dans l’image en miroir que lui renvoyait l’eau.

Il ne peut quitter du regard ce reflet

De lui-même, symbolique ou réel,

Qu’il prend pour quelqu’un d’autre

Sous peine de se sentir disparaître.

cairn.info/revue-cahiers-jungiens-

de-psychanalyse-2009-1-page-43

.

.

Fond/forme 

 .

Qu’il soit droit, concave ou convexe

Miroir ne réfléchit pas de lui-même

Il vous envoie toujours votre image

Sans savoir qu’il s’agit de la vôtre !

S’il est fendu, cassé, il peut diviser

Ou bien multiplier votre image !

.

Textuels et illustrations >> 

736 – Âme humaine est des plus impénétrables !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

^^^^^^^

La belle âme

Im-péné-trable,

Âme insaisissable,

Âme inconnaissable,

Âme …indémontrable.

.

Tout cela  est vrai  et faux,

Âme ne se définit  par mots,

On y associe le bien et le beau,

Elle est au creux à fleur de peau.

.

Impossible de la voir,  de la toucher,

À peine si on peut la sentir, la deviner,

Quant à la sonder, quant à en faire le tour

On a beau s’y atteler : l’on y serait toujours.

.

Parait que l’âme  humaine

Serait des plus impénétrables,

Passe encore   celle du prochain,

Mienne est bien  trop misérable.

.

Elle serait bien cachée,  à l’intérieur,

Comme une intruse, venue  d’ailleurs,

Je ne la discernerais, reconnaitrais pas

Sa vue, sur elle, ne m’appartiendrait pas.

.

Notre âme serait principe de vie animation.

Il est vrai que vu sous cette basique définition

Quand le souffle de vie, s’arrête, elle s’évanouit,

 Nul ne sait en quel enfer, purgatoire ou paradis.

.

Si on l’examine microscopique, côté  biologique

L’esprit n’en fait pas partie même   très logique,

Si on l’examine, macroscopique,  côté  spirituel,

Mon corps ne serait plus que véhicule de pensée.

.

C’est ainsi on dit âme humaine est impénétrable,

Même des plus indiscernables incompréhensibles

Et c’est pourtant d’elle dont parle si bien l’amour,

Qui fait le sel non pas d’un jour mais de toujours.

 .

Au-delà    des sexes,

Corps       des cœurs,

Esprits  nous relient :

Le plus  puissant  lien

Et le plus inconscient

Qui puisse, ici, exister

.

Extensions

.

Insaisissable, impénétrable, inexprimable…  impubliable :

Seuls mots dont les dictionnaires sont capables d’un souffle

De nous définir l’âme en la confondant avec l’esprit, pensée

On a coutume d’attribuer son origine et sa destinée au ciel

Mais duquel s’agit-il, celui qu’on voit ou qu’on pressent ?

Notre âme est spirituelle, virtuelle, vue comme irréelle

À l’intérieur de notre corps et à l’extérieur en l’aura.

.

L’âme est, à la fois, un principe vital,

 Spirituel, immanent ou transcendant,

Qui animera le corps d’un être vivant

Selon une définition dans Wikipédia.

.

Bien des gens  qui prétendent définir

L’âme lui ajouteront plus de mystère.

.

Âme blanche, âme grise, âme noire :

Ce qu’on ne voit aurait des couleurs !

.

On peut le renier, on peut la vendre :

Achetons sa nouvelle âme innocente.

.

J’ai bleu à l’âme dites-vous : docteur,

Dites-moi où l’on trouve l’infirmerie. !

.

Impénétrable,  avez-vous dit, comme

Les desseins d’un Dieu à notre sujet !

.

Fragments

.

Rien ici

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

^^^^^

Belle âme

 Impénétrable,

Âme insaisissable

Âme inconnaissable,

Âme …indémontrable.

Tout cela  est vrai et faux,

Âme ne se définit  par mots,

On y associe le bien et le beau,

Elle est au creux, à fleur de peau.

Impossible de la voir, de la toucher.

À peine  si on peut la sentir, la deviner,

Quant à la sonder, quant à en faire le tour

On a beau s’y atteler : l’on y serait toujours !

 ……………………….….

Parait M  que  l’âme  humaine

Serait des    E   plus impénétrables,

Passe encore       *    celle du prochain,

Mienne est bien         H      trop misérable.

Elle serait bien cachée,      U        à l’intérieur,

Comme une intruse, venue       M          d’ailleurs,

Je ne la discernerais, reconnai-        A          trais pas :

Sa vue sur elle ne m’appartien-             I           drait pas.

Notre âme serait principe de vie               N        animation.

Il est vrai que vu sous cette basique             E          définition,

                                              *

Quand le souffle de vie s’arrête, elle       I   s’évanouit,

Nul ne sait en quel enfer, purgatoire     M   ou paradis.

Si on l’examine microscopique, côté      P       biologique

L’esprit n’en fait pas partie même          É       très logique,

Si on l’examine, macroscopique            N        côté  spirituel,

Mon corps ne serait plus qu’un            É         véhicule pensée.

C’est ainsi on dit âme humaine           T        reste impénétrable,

Même des plus indiscernables           R            incompréhensibles,

Et c’est pourtant d’elle dont              A              parle si bien l’amour

Qui fait le sel non pas d’un              B                jour mais de toujours.

L

Au-delà    E   des sexes,

Corps       *   des cœurs,

Esprits     *    nous relie

Le plus  puissant    lien

Et  le plus   inconscient

Qui puisse         exister.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un sapin probablement,

Certainement … sinon

Quelle autre réalité

Aussi conique

.

736 4

.

Qu’est-ce qu’un sapin aurait-il à voir avec

Notre âme humaine :

Sans doute du fait de ses formes coniques,

 Pointées vers le ciel.

.

Symbolique

 .

Pont

 Entre ciel

Et la  terre.

Sapin exprime

Fluidité lien qui  relie  

Le  haut  et  le bas,

Le spirituel  et le matériel,

L’esprit  et  puis  la  matière.

Et   depuis       les  Celtes      c’est

Le  symbole   de   l’espoir

Renouvelé des forces de lumière sur

Les ténèbres puis de la vie sur la mort.

De nos jours, en plein au solstice d’hiver,

Sapin de Noël est devenu symbole

De  don  et  générosité : toujours  vert  il  est

Un messager qui nous encourage à poursuivre

Notre chemin, à supporter les problèmes

De l’existence ses branches

Supportant poids de neige.

lecameleon.wifeo.com/sapin

.

.

Fond

Évocation 

.

736 6

.

Qu’est-ce qu’un sapin aurait-il à voir avec

Notre âme humaine :

Sans doute du fait de ses formes coniques,

 Pointées vers le ciel.

.

Symbolique de fond

 .

 

 Le

Cône

Demeure

Figure géo

Métrique  en

Sym-bo-lisme,

Cercle,   triangle.

Le symbolisme a été

Rapproché également

De celui de la pyramide.

On pourrait bien évoquer

Celui de la tour et ziggurat.

Ce  seront  des  constructions

Mésopotamiennes inspirantes

La tour de Babel,  porte du ciel.

Suivant la tradition babylonienne

Elle-même, attribue  aux  ziggurats

La valeur  symbolique    de  l’échelle :

Ces    gigantesques     tours      devaient

Faciliter    la     descente    des   …   dieux

Sur terre, montée des hommes vers le ciel.

asdstewart.free.fr/Representer le lieu du recit

 .

.

Fond/forme 

.

Rien de plus commun que le sapin

Il y en a partout en Europe et ailleurs

Et lors c’est grâce à la fête de Noël

À laquelle il sera toujours associé

Qu’il a trouvé quelques couleurs,

Car il n’a pas la valeur du chêne

Imposant, centenaire, légendaire

Surtout chez les druides, les celtes

Et qui en auront fait leur emblème !

Le sapin a pour lui, d’être toujours vert

Et pourtant l’on dira que : ça sent le sapin

Quand on est vieux, malade, près de mourir.

.

Textuels et illustrations  >>

735- Perdre son âme pour mieux la retrouver !

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Me perdre en toi pour me retrouver

Est seul risque que je vais tenter

Lors, perdre mon âme en toi,

N’est  ni l’étouffer, noyer.

.

Je plonge … en confiance,

Remonte… sans souffrance,

Ma vie, mise, entre tes mains,

L’espoir, me parait mieux plein !

.

Perdre son âme n’est pas la vendre,

Gagner une âme n’est pas la prendre

C’est l’ouvrir à l’autre,  lui faire place,

Pour l’accueillir comme en un palace !

.

Sang coule  en  mes  veines,

Nourrissant âme en peine,

Larme coule de mes  yeux,

Calmant  chagrin  anxieux,

De  te  perdre  en mon cœur,

Lors mes envies errent ailleurs,

Mes sourires  ont formé, pour toi,

Leur trame de mystères  et d’émois.

 .

Ce sont ces liens qui me tiennent droit

Quand tout va de travers … de guingois

La vie et sentiments, ne seront linéaires,

Les hauts et bas,  font des courants d’air,

Quelle que soit distance  qui nous  sépare,

.

Nous nous retrouvons toujours quelque part

Lors, en ma  mémoire,  l’empreinte indélébile,

De ton être  me  donne  la confiance  tranquille

De ne jamais couper les  ponts, qui nous relient,

Quand bien même  l’on  passe  d’amant  à l’ami.

 .

En attendant  le retour  de nouveau  cœur  épris,

Je me suis perdu en toi, et me suis  retrouver ici.

Ici, ce n’est point l’enfer c’est proche du paradis,

 Que l’on atteint jamais, car il n’est point permis

 D’être deux en un même lit même s’il est béni,

  De se prendre pour  anges ayant désobéi.

.

   Se perdre en toi pour me retrouver

C’est la seule chose à gagner

Et, réciproquement,

Comme amants

Pa-ten-tés,

À oser

Être

V

.

Extensions

 .

Perdre son âme, pour mieux la retrouver :

Quand on a confié son âme, à quelqu’un,

Quelqu’une, nous n’aurons plus jamais

Rien d’aussi précieux à lui donner.

.

Bague ou diamant, pour sceller une alliance,

Y compris hors mariage, qu’affaire d’argent

Qui n’empêchera pas l’élu de la rendre,

N’importe quand, n’importe où.

.

De donner son âme à un diable,

À diable, diablesse, c’est prendre le risque

De sa faiblesse, vulnérabilité face à une

Force et une volonté manipulatrice

Qui vous la détruira … à jamais.

.

Toupie or not to be : quel vilain jeu de mots

Et, qui profite d’une confusion phonétique,

Entre deux langues et deux significations !

Perdre son âme serait comme… la vendre

Au plus offrant, voire pour presque rien

Et comment la retrouver si l’on ne sait

Si elle existe et de quoi elle est faite !

Perdre son âme ici est la fusionner

En autre, la retrouver commune.

.

L’âme perdue, en mythologie, est

La substance d’esprit désincarné,

Condamné  à errer, éternellement

À la suite d’une perte inaccessible,

Ou d’un sentiment  de  culpabilité,

Qui ne disparaît pas : des esprits !

.

L’âme perdue, en psychologie, est

Cet état, dans lequel une personne

Peine à reconnaître ce  qu’elle est.

Elle ne sait plus ce qu’elle ressent

Ce qu’elle veut : sa perte renforce

Toute sa tristesse, toute anxiété !

.

Pour la religion l’âme équivaut à

Substance immatérielle en corps

Lors dans le langage populaire :

Référence au monde intérieur.

.

Fragments

 .

Rien ici

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Me perdre en toi pour me retrouver

Est seul risque que je vais tenter

Lors, perdre mon âme en toi,

N’est  ni l’étouffer, noyer.

Je plonge … en confiance,

Remonte… sans souffrance,

Ma vie, mise, entre tes mains,

L’espoir, me parait mieux plein !

Perdre son âme n’est pas la vendre,

Gagner une âme n’est pas la prendre

C’est l’ouvrir à l’autre,  lui faire place,

Pour l’accueillir … comme en palace !

.

****************************************

***********************************

.

Sang coule en P     mes veines,

Nourrissant    E  âme en peine,

Larme  coule    R  de   mes  yeux,

Calmant  cha     D   grin   anxieux,

De  te  perdre      R     en mon cœur,

Lors mes envies   E     errent ailleurs,

Mes sourires  ont   *     formé, pour toi,

Leur trame de mys     tères  et d’émois.

M

Ce sont ces liens qui  E      me tiennent droit

Quand tout va de tra  *       vers… de guingois

La vie et sentiments    P      ne seront linéaires

Les hauts et bas, font   O       des courants d’air,

Quelle que soit distan   U       ce qui nous sépare,

R

Nous nous retrouvons     *     toujours quelque part

Lors, en ma  mémoire,     L    l’empreinte indélébile,

De ton être  me donne      A     la confiance tranquille

De ne jamais couper les    *    ponts, qui nous relient,

Quand bien même  l’on    R      passe d’amant à l’ami.

E

En attendant le retour      T     de nouveau cœur épris,

Je me suis perdu, en toi,   R   et me suis  retrouver ici.

Ici, ce n’est point l’enfer   O   c’est proche du paradis,

 Que l’on atteint jamais  U  car il n’est point permis

 D’être deux en un mê  V    me lit  même si béni,

  De se prendre pour   E   anges ayant désobéi.

   Se perdre en toi   R  pour me retrouver

C’est la seule    * chose à gagner

Et, réciproquement,

Comme amants

Pa-ten-tés,

À oser

Être

V

.

Forme

..

.

Évocation

.

En haut, un chapeau ;

Mais en bas, une toupie  

Pour le moins  clownesque,

Si on lui dessine un visage !

.

735 4

.

Aucun lien entre toupie et âme,

Ou bien alors que l’on me damne

Peut-on lui en donner une, comme

Créateur de Pinocchio : est-ce sûr !

En simple évocation sur une toupie

Avec des points d’intérêts.

Voici une âme et qui nous parait

Des plus facétieuses :

.

Symbolique 

 .

Monde tourne

Comme   toupie :

Pour certains, la toupie

Symbolise l’’axe  du Monde  

Sur lequel tourne le globe terrestre 

Son mouvement rotatif évoque l’équilibre

Dans  un univers  en perpétuel  mouvement :

«Comme  la  vie   d’un  Homme,  la  toupie, lancée,

Cherche son équilibre sur son axe, très rapidement,

Tourbillonne avec brio, semble avoir éternité elle

Avant de perdre petit à petit de la vitesse,

S’épuiser : au final s’arrêter au sol,

Terrassée par sa course folle

Contre forces physiques

Qui régissent

Univers»

toupie-shop.com/ informations-toupie

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

En simple évocation sur une toupie

Avec des points d’intérêts.

Voici une âme et qui nous parait

Des plus facétieuses :

.

Symbolique 

.

La toupie apparaît dans le film Inception

De Christopher Nolan    afin de     symboliser

Le fait que scène se déroule ou non en rêve :

Le film se termine sur une toupie en train

De vaciller sans que le spectateur sache

Si elle finit par s’arrêter. Jouet connu

Depuis  l’Antiquité, c’est encore jeu

Traditionnel populaire de Chine,

Où faire tourner une toupie

Consistera   à   fouetter

Con-tinu-elle-ment

Un objet conique

Pour le faire

Tourner

Sur la

Glace

V

Ou sur un terrain lisse.

fr.wikipedia.org/wiki/Toupie_(jouet)

 .

 .

Fond/forme 

.

Certains représenteraient l’âme,

Qui, en soi, ne peut avoir d’image,

Comme une spirale, un tourbillon,

Pouvant voyager et dans le corps,

Et à l’extérieur avec sa conscience

Autant dire qu’on tourne en rond

On la perdrait pour la retrouver

Une théorie fumeuse, peut-être

Mais quelle preuve  inverse !

.

Textuels et illustrations >>

734 – Nos yeux sont bien nos miroirs de l’âme

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Yeux, miroirs vont bien ensemble ;

Miroirs et âmes,  très bien, il  semble ;

Tous trois émettent les reflets de ce qui est

Et on y voit ce que l’on y met, à ce qu’il parait.

Projection de l’autre, de soi  ou mélange des deux

Mais qui fera que l’on soit émoi ou bien très nerveux.

.

Car ce que nos yeux voient,

Le cerveau nous l’interprète,

Et notre  esprit  le complète,

Tandis que notre âme le projette

Voire même, parfois, le rejette.

.

Tant le    regard  ne triche

À  part  si  perçu  éteint

Il  serait  doux, soyeux,

Ou méchant, miséreux.

.

Nos yeux sont bien nos miroirs de l’âme

Et  sont-ils les seuls, et, les plus fidèles,

Lors nos paroles, nos gestes l’évoquent,

.

Tout autant qu’ils ne la révoquent,

Ou que nos cris ne la provoquent

Ou que nos actes  la convoquent.

.

Si miroir n’existe pas réellement

Tout est hormone est vraiment,

Amour  en devient transparent

Et plus besoin des  sentiments.

.

L’âme nous fait souffrir autant

Que notre corps en se blessant

Bien que en devenant mourant,

C’est à elle que l’on tient,  partant.

.

L’âme voit sans yeux de son regard,

Parle sans bouche et entend sans ouïe,

Demeure la même, hier, qu’aujourd’hui.

Blanche, grise, noire  ou pas sans phare.

Phare de notre vie et de notre  destinée,

Personne encore ne l’a jamais cernée

Comme si elle était immatérielle,

En notre aspiration spirituelle.

.

Partager  l’âme  de quelqu’un,

Est parfois considéré  plus fort

Que toutes les intimités du corps

Ou de cœurs, des esprits et encore

Elle nous fait rapprocher  du divin.

.

Divine, l’âme l’est-elle : allez savoir

Si ce n’est  produit de   l’imaginaire

Elle a quelque chose à voir  et revoir

Avec l’au-delà, le noir, et la lumière !

.

Si nos yeux ne voient  plus l’extérieur,

Le monde intérieur continue en miroir,

À exister, pour  nous, comme autre coté

De la face   cachée de notre personnalité.

.

Extensions

 .

Nos yeux font partie

Des miroirs de l’âme :

Ces miroirs sont partout

Où il y a sensation, sensation

D’être une conscience innée,

Innée, d’avoir été élu,

D’avoir été sauvé.

.

Fenêtre, porte, miroir : toute surface réfléchissante y compris l’eau,

Pour le Narcisse de la mythologie jusqu’à ses émules d’aujourd’hui

Les yeux ont toujours eu la vertu de révéler, au grand jour, l’âme

De ceux qui savent montrer l’éclat de leur lumière intérieure

Et du mystère qui l’entoure jusqu’à nous en émouvoir.

En majorité des regards, c’est l’iris et la pupille

Qui créent l’illusion d’un monde interne,

Parfois reflètent son vrai miroir.

.

Miroir fenêtre d’âme n’est

Qu’une simple métaphore,

Le principal  problème est

L’âme n’est de son ressort.

.

L’âme nait du simple reflet

De notre vision intérieure :

À  toute autre,  supérieure,

Dès lors, d’invisibles effets.

.

Jumeaux, jumelles n’auront

Besoin miroirs pour se voir,

Regardent l’autre, c’est bon,

En première approximation

.

Et est-ce à dire qu’ils auront

Âme commune et dédoublée

Âme n’est ni génétique, innée

L’autre, faux reflets, trahiront.

.

Fragments

.

 « Miroir…  mon beau miroir,

dis-moi qui est la plus belle ?»

Nous sommes bien  d’accord ?

.

Le miroir appartient à la méchante reine

qui pose cette question tous les jours :

bien sûr, le miroir ne ment jamais.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme    

.

Yeux, miroirs vont bien ensemble ;

Miroirs et âmes,  très bien, il  semble ;

Tous trois émettent les reflets de ce qui est

Et on y voit ce que l’on y met, à ce qu’il parait.

Projection de l’autre, de soi  ou mélange des deux

Mais qui fera que l’on soit émoi ou bien très nerveux.

Car ce que nos yeux voient,

C’est le cerveau qui  l’interprète,

Et notre  Ô  esprit  le   Ô  complète,

Tandis que notre //  âme le projette

Voire même,  //  parfois, le rejette.

Tant le      //      regard ne triche

À part si ==== perçu éteint

Il peut être, doux, soyeux,

Ou méchant, miséreux.

.

Nos yeux sont bien nos miroirs de l’âme,

Mais, sont-ils les seuls, et, les plus fidèles,

Nos paroles, nos gestes      *       l’évoquent,

.

****************************************

****************************************

.

Tout autant qu’ils ne      N       la révoquent,

Ou que nos cris ne       O      la provoquent

Ou que nos actes       S       la convoquent.

Si miroir n’existe     *      pas réellement

Tout est hormone   Y        est vraiment,

Amour en devient   E         transparent

Et plus besoin des    U       sentiments.

L’âme nous fait souf    X      frir autant

Que notre corps, en se    *       blessant :

Bien que en devenant        S      mourant,

C’est à elle que l’on tient,      O     partant !

L’âme voit sans yeux de son     N      regard,

Parle sans bouche, elle entend  T   sans ouïe,

Demeure, la même, hier, qu’     aujourd’hui.

Blanche, grise, noire pas      I  et sans phare.

Phare de notre vie et de   L  notre destinée,

Personne encore ne l’   S  a jamais cernée

Comme si elle était     *      immatérielle,

En notre aspiration   *        spirituelle.

Partager l’âme de        M    quelqu’un,

Est parfois considéré     I      plus fort

Que toutes les intimités  R  du corps

Ou de cœurs, des esprits  O et encore

Elle nous fait approcher    I   du divin.

Divine, l’âme l’est-elle       R  allez savoir

Si ce n’est produit de          S     l’imaginaire

Elle a quelque chose à        *     voir et revoir

Avec l’au-delà, le noir,      D      et la lumière !

Si nos yeux ne voient       ‘        plus l’extérieur,

Le monde intérieur         continue, en miroir,

À exister pour      M   nous comme autre coté

De la face   E  cachée de notre personnalité.

.

Forme

.

.

Évocation  

.

En haut, visage d’enfant

Et dont  son regard   nous

Paraitra   être   un   miroir,

Et   en   bas …….  son  chemin.

.

734 4

.

Ame d’un enfant parait plus simple et

Limpide, dans son regard.

Qu’est-ce que l’âme, comment peut-elle

 Être vue en miroir !

 .

Symbolique 

 .

Et si l’on s’aventurait à penser

Que ce qui se tisse, dès les

Premiers moments de la vie d’un enfant,

Dans un corps à corps  total avec sa mère,

Avait quelque analogie avec ce qui se joue

Dans une classe qu’un enseignant

Aborde pour la première fois ?…

.

Je  veux  parler,  essentiellement,

Des effets du regard, de la voix,

Et de ce qui en émane. Son visage,

Son regard, les accueille au travers

De   toutes   sortes  de   mouvements.

Frémissement, a besoin, pour grandir,

De se sentir vivant, donc  d’être regardé !

cairn.info/revue-enfances-et-psy-2003-4-page-50.htm

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

734 6

.

Ame d’un enfant parait plus simple et

Limpide, dans son regard.

Qu’est-ce que l’âme, comment peut-elle

 Être vue en miroir !

.

Symbolique 

.

Le miroir,

Outre son aspect décoratif

Sa grande      utilité      dans les foyers

Aujourd’hui,       il possède          de  nombreuses

Symboliques        selon les reli        gions et les pays.

 .

Il n’est plus un        accessoire,    il devient objet sacré,

Un symbole im         por-tant        quel que soit culture,

Le miroir garde      la même     fonction, symbolique,

Il  permet  de se      voir, et     cela, tel que l’on est :

 .

Il ne ment pas,   est révé     lation de la vérité.

On perçoit traces enfant que l’on a été.

boite-a-design.com/content/

31–la-symbolique-du-miroir

.

.

Fond/forme 

.

Miroir et regard  vont bien  ensemble :

Pour son propre regard, faut un miroir !

Ce sont plutôt les autres qui voient regards

Mais un miroir évoque bien tous les regards.

 .

Cocteau : Les miroirs feraient bien de réfléchir 

Un peu plus avant de renvoyer…  les images.

En déformant un peu cette citation célèbre

Je dirais « renvoyer mon image de moi»

De toute façon,  qui est satisfait de la sienne

Devant sa glace, comme de ses photographies !

 .

Il y aurait comme un déficit de projection réaliste

Dans l’autre on se regarde  comme dans un miroir

Ils nous renvoient  une image positive  ou négative,

Ils perçoivent nos défauts cachés, inconnus de nous

Ce qui ferait que notre perception de nous-mêmes

Et des autres ne se superposent parfois en rien. 

 .

On se mélange un peu les pinceaux à vouloir

Les comparer, et, voire, les  additionner,

Mais si neuf personnes, sur dix, disent

Exactement la même chose sur vous,

Il devrait y avoir un fond…de vrai.

.

Textuels et illustrations  >> 

733 – Mille et une facettes de ta beauté féminine !

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Beauté des femmes

Serait-ce bien la Nature

Qui l’aurait faite, inventée

Ou le fruit d’un pur hasard,

En tous cas,  sûr,  elle existe ;

En  tous cas,  sûr,  elle excite ;

En  tous cas, sûr, elle illumine ;

En tous cas,  sûr, est  sublime.

Mais, parfois, elle en rajoute,

Quand  c’est  trop écœure,

On ne maquille cœur

Ôte masque beauté.

.

Les mille et une facettes

De ta beauté … féminine

Sont autant  de  brillants,

D’un seul, unique diamant.

.

Chacun voit  quelques reflets,

Et en premier, ceux qui lui plait

Plus rare de percevoir belle aura,

Que  le  monde    entier  admirera.

Or  la  femme  n’a pas ce seul  talent

De la beauté pas plus que de  laideur.

.

La nature y participe fruit du hasard

Et la culture au travers de tous ses arts

Ajoutant au tableau, cadres émouvants,

Ajoutant    à nos yeux,    grand bonheur.

.

D’où viendra cette impression  du beau,

S’imposant  à tous sens et malgré nous,

Venant de  la rencontre  entre attente

Intérieure   contexte réel, extérieur.

.

Arrive  on le  perçoive comme faux,

Mal préparé, le recevoir  en  cœur,

Arrive  qu’on voit presqu’en tout,

Qu’il  soit,  à   l’esprit,    présent,

Regard  se projette   au  dehors,

Bonheur d’avoir  un cœur d’or.

.

Nous avons, tous, des facettes

Beautés parmi les plus nettes

Mais d’autres, plus cachées

Et, voire,  plus  réservées.

.

Tant il faut des lunettes

Pour bien  les  …  voir

Briller en plein noir

Comme en miroir,

Beauté … cachée,

Beauté,   révélée,

Faces et facettes,

De sa bien-aimée.

.

Extensions

 

Les mille et une facettes

De ta beauté me surprennent

À chaque fois que je me réveille,

Que je t’aperçois,  que je t’observe.

.

L’aura, l’aura pas, je me demande si

Je suis le seul à la voir briller de tous

Ses éclats d’existence avec autant

De gentillesse et bienveillance !

.

Et  les jours  où  tu es  triste,

L’aura diminuera d’intensité

Et lors il suffira d’un bon mot

De ma part au petit-déjeuner

Pour refaire miroiter ton aura

Le baromètre de tes humeurs,

Le thermomètre de ta chaleur,

L’anémomètre de ta … vigueur.

.

Trois dixièmes de la beauté féminine sont dus à la nature,

 Les sept dixièmes, à la parure… selon un proverbe chinois !

Y a de quoi méditer sur ce qui est vrai, ce qui est universel,

Et ce qui tient à un regard porté par des époques et modes

La beauté intérieure semble toujours absents des canons

Sur le plan individuel, influencés par modèle maternel

Qu’on se fixe un type de femme, ignorant les autres

Et puis la beauté change avec l’âge, la maturité

 Femmes s’embellissent, autres dépérissent.

.

Un visage féminin diffère ce celui d’un homme

Un visage féminin est  glabre, fin, non anguleux.

Ovale dégage comme une expression de douceur

Les yeux  expriment regard lumineux et ouvert,

Le sourire  est enveloppant,  grâce à des lèvres

Charnues et sensuelles, pulpées, soulignées !

.

Soignant son apparence, une femme  décide

De l’image qu’elle tient à donner, d’elle-même,

 Au monde extérieur et son entourage immédiat

En agissant ainsi, elle met en avant la valeur,

Qu’elle accorde à sa personne et aux autres

Son naturel reflète sa beauté intérieure.

.

La beauté d’une femme fascine parce

Qu’elle montre une partie d’elle-même

 Pour mieux  cacher une autre, intérieure

Elle attire notre attention sur jolies formes,

Pour mieux nous offrir … admiration profonde.

Sa beauté nous fascine lors suscitant belle émotion.

.

Fragments 

.

Le beau suppose, une double harmonie,

Harmonie en l’objet, le sujet  lui-même,

Entre l’objet perçu,  sujet qui le perçoit.

.

Visage féminin sans contours anguleux

Qui  dégage une expression de douceur

Avec un regard lumineux : bien ouvert.

.

 Sourire enveloppant…lèvres sensuelles,

Posture, charisme,  accueil : attrayants,

Sans parler de profondeur, esprit, âme !

.

Voilà qui dégage ses différentes facettes,

Et  certaines, demeurent indéfinissables,

Et demeureront longtemps mystérieuses.

.

Les canons de beauté varient avec le temps

Ainsi que les cultures, les modes, personnes

Y aurait un fond commun et des spécificités.

.

Quoiqu’on dise, quoiqu’on fasse, on analyse,

La beauté ne se laisse réduire somme détails

Se perçoit d’une manière globale holistique.

.

La tienne ne m’a pas échappée et demeure

Au jour le jour, et même, prenant de l’âge,

Sans artifice, comme naturelle : bonheur.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Beauté des femmes

Serait-ce bien la Nature

Qui l’aurait  *   faite, inventée

Ou le fruit      M d’un pur hasard,

En tous cas,     I    sûr,  elle existe ;

En  tous cas,     L     sûr,  elle excite ;

En  tous cas,     L sûr, elle illumine ;

En tous cas     E   sûr est sublime.

Mais, parfois, elle en rajoute,

Quand  c’est  trop écœure,

On ne maquille cœur

Ôte masque beauté.

.

Les mille et une facettes

De ta beauté … féminine

Sont autant  de  brillants,

D’un seul, unique diamant.

 Chacun voit quelques reflets,

   Et en premier, ceux qui lui plait

       Plus rare  de percevoir  belle aura,

         Que le monde  F       entier admirera.

            Or la femme    A   n’a pas, ce seul  talent

              De la beauté   C   pas plus que de  laideur.

              La nature y     E   participe fruit du hasard

                Et la culture    T   au travers de tous ses arts,

                 Ajoutant au     T  tableau, cadres émouvants,

                 Ajoutant    à     E   nos yeux,    grand bonheur.

                D’où viendra    S    cette impression  du beau,

              S’imposant  à   *     tous sens et malgré nous

           Venant de  la   B    rencontre  entre attente

          Intérieure        E  contexte réel, extérieur.

         Arrive  on le    A    perçoive comme faux,

      Mal préparé    U   le recevoir  en  cœur.

     Arrive qu’on   T   voit  presqu’en tout,

 Qu’il soit,        É  à l’esprit, présent,

Lors regard  projette au dehors,

Bonheur    d’avoir    cœur  d’or.

.

***************************

  Et nous avons tous, des facettes

  Beautés, parmi les plus nettes

Mais d’autres, plus cachées

Et, voire,  plus  réservées.

Tant il faut des lunettes

Pour bien  les  …  voir

Briller en plein noir

Comme en miroir,

Beauté … cachée,

Beauté,   révélée,

Faces et facettes,

De sa bien-aimée.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une belle silhouette

De canon de beauté

Féminin qui a été statufié 

En vue de… l’immortaliser ?

.

733 4

.

Que dire de ces canons de beauté

Féminins, sinon qu’ils sont multiples.

D’un modèle corporel bien  culturel,

Que ce soit en sculpture, peinture.

.

Symbolique 

 .

Le fort ma

Traquage publicitaire

Des médias occidentaux

Avait fini par faire

 Croire aux Français et imposer

Aux mentalités européennes que les

Canons de beauté étaient des

Femmes minces type Claudia

Schiffer ou  Naomi Campbell.

Les jeunes  et  les moins jeunes,

À qui nature avait été généreuse,

En les dotant  d’une poitrine forte,

D’un  corps  voluptueux  et  captivant,

Du coup exprimaient d’énormes complexes

À exhiber leurs formes, un mal-être les couvrait.

L’évolution du corps, à travers les âges, nous était

Enseignée par les arts. On apprend sur les grosses

Femmes bien plus qu’on en sait, plus qu’on en croit.

temoignages.re/chroniques/point-de-vue/

l-evolution-des-canons-de-la-beaute-feminine

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

733 6

.

Que dire des canons de beauté

Féminins, sinon qu’ils sont multiples.

D’un modèle corporel et culturel,

On en déclinera cent et mille.

.

Symbolique 

 .

Canons

De beauté 

Sont basés sur

Des mesures.

Avec les communications

Modernes, ils ont simplement

Laissé la place aux modes, plus

Éphémères mais aux effets encore

Plus  forts  sur les  femmes, l’image 

Qu’elles doivent dégager  or  la liberté

Grandissante chez les femmes aura fait

Qu’elles s’assujettissent moins à simples

Mesure : canons de beauté ont donc été 

Abandonnés. Mais parfois, la servitude

De l’image, a besoin de se conformer  

Aux autres, seront restés

Présent malgré tout.

Modifié, source : absurdephoton.fr/

Les-canons-de-beaute-feminins

 .

 .

Fond/forme 

 .

La beauté est dans le regard

Autant que dans  toute chose :

Certains la voient comme avatar

Lors autres la verront comme rose.

L’on ne pourra pas mettre une beauté

En conserve dans un coffre-fort secret

Ni la garder, pour soi, sous une parure

D’autant qu’elle est fragile, est éphémère

Beauté féminine est un moment de grâce

Additionnant son extérieur, son intérieur. 

.

Textuels et illustrations >>

732 – Escapade de week-end en amoureux

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

 Une escapade serait       On cherche, on trouve

Comme la parenthèse       Beau coin,  bien sympa,

 Pour rompre quotidien      Etre  en tête à tête,  à un

    Il faut un  dépaysement      Restaurant gastronomique

   On parle, de tout et rien      On rit beaucoup, se détend

On y va valise à l’arrache     Et sur  la route, s’attache

 .

Escapade de week-end

Ensemble en  amoureux,

Qui ne l’a pas  fait, encore,

Qui n’en rêve  pas, très fort,

On sait que l’amour, s’il dort,

Atterrit en bien d’autres ports.

 .

Réserver un bel hôtel ,d’abord,

Être entier à l’autre à l’aéroport,

Accepter toute distance surprise,

Être prêt à toute dépense exquise.

 .

Ici, vous croisiez  trop de relations,

Mais là personne ne vous reconnaît

Ici, vous réalisiez nombre d’actions

Là,  personne  ne vous en réclamait

 .

Complicité entre vous  devient feu,

Vous fait, allumé, vers fin de soirée

Recharge  la  batterie pour flâner,

Le jour à faire ce que  l’on   veut.

 .

Cela est un vrai réflexe de survie,

Quand morosité  s’installe en vie

Et s’il coûte  un peu  d’énergie,

Il illumine son cœur alangui.

.

Alangui, et allant,    l’envie

Se faire des vœux pieux,

N’engageant que ceux

Qui se disent impies

Du parfait amour,

Lors deux jours

D’esca-pade,

Incartade

Aubade

Ade

V

 .

Extensions

 .

L’escapade d’un week-end ensemble

Est une parenthèse au milieu du tumulte

Des événements qui nous tirent ou poussent,

Sans interruptions, tant prisonniers d’agendas.

.

Elle n’a rien de fuite, c’est juste la sauvegarde,

Le renouvellement de l’essentiel dans sa vie,

À savoir la priorité de l’autre sur tout ce

Qu’on avait entrepris de faire et qui

Peut attendre un jour et voire plus.

.

Cent pour cent à l’écoute de l’autre,

Cent pour cent à la découverte du parcours,

Cent pour cent à  fabriquer souvenirs marquants,

Du genre photos, achats, textes, restaurants à l’appui.

Il y a les rencontres qu’on ne fait pas près de chez soi

Et les échanges qui n’allaient pas de soi, de peur

De se livrer, choquer ou que sais-je encore.

.

Escapade avec la même ou un autre,

Escapade en famille ou avec des amis,

Escapade en solitaire pour s’ouvrir à autrui,

Escapade pour faire le point sur le sens de sa vie.

.

L’exotisme amoureux est une arme fatale de séduction

Même si elle n‘atteint pas son but à chaque escapade,

Elle  favorise bonnes conditions d’atteindre la cible

En deçà but lointain, c’est  partager un moment

Ou on se cherche, s’active  en tant qu’amants

« Carpe diem » en quelque sorte en autant

Plaisirs de vie de gagner sur le temps

Qui passe et nous réduira à néant.

.

Faut-il aller loin pour se voir de près :

Le sujet n’est pas là : c’est l’exotisme,

C’est éloignement  du lieu résidence,

C’est se mettre à l’abri des regards !

.

Bonjour madame, bonjour monsieur,

Que font-ils ainsi ensemble ces deux là

En solitaire, escapade endroit magique,

Permet de sauvegarder, secret, mystère !

.

Et, si jamais, ça ne va pas, ça ne colle pas :

Autant le savoir de suite, à moins que ce soit

Pour raffermir un couple qui bat de l’aile déjà,

Il y a bien des raisons d’escapades en amoureux.

Fragments 

.

Escapade, échappement,  évasion,

Voire libertinage pour des amants

À vivre seul, ou en accouplement :

Sortir de  dépendance : libération.

.

Non une fugue, fuite : parenthèse,

Qui peut, doit, s’avérer enchantée,

Qui resterait longtemps imprimée

Comme de l’aliénation, antithèse !

.

Plus on va loin,  l’exotisme agirait,

Or on peut rester au coin de la rue,

Les amoureux ne le contrediraient,

L’amour est un bonheur, parcouru.

.

Parcouru par frissons de bien-être,

Monde  n’existe ; autres, peut-être,

Le couple restera seul sur la Terre :

Un  parfum  divin, entre eux, erre !

.

Pour autres, ce serait la destination

Qui compte  et pour contemplation,

L’espace est propice à imagination,

Exacerbe, en tout, l’amour passion.

.

Couple éphémère bien que sincère,

Ou couple renoué après séparation

Couple s’espérant comme en prière

Fusion, réparation, consommation.

.

Happé par contraintes routinières,

Plus le temps  de s’envoyer en l’air,

Pas même d’échanger  sentiments,

Escapade comme : médic… amant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

 .

Une escapade serait     E  On cherche, on trouve

 Comme la parenthèse     S  Beau coin,  bien sympa,

Pour rompre quotidien    C   Etre en tête à tête, à un

     Il faut un  dépaysement    A   Restaurant gastronomique

      On parle, de tout et rien    P    On rit beaucoup,  se détend

   On y va valise à l’arrache   A     Et sur  la route, s’attache

 D

Escapade de                      E                          week-end

Ensemble en                    *                      amoureux,

Qui ne l’a pas                W                 fait, encore,

Qui n’en rêve              E             pas, très fort,

On sait que l’a           E          mour s’il dort,

Atterrit en bien       K        d’autres ports.

Réserver un bel       E          hôtel d’abord,

Être entier à l’au     N       tre à l’aéroport,

Et accepter toute    D    distance surprise

Être prêt à toute      *      dépense exquise.

E

Ici, vous croisiez      N     trop de relations,

Mais là personne      *     ne vous reconnaît

Ici, vous réalisiez     A     nombre d’actions

Là,  personne  ne     M    vous en réclamait

O

Complicité entre      U     vous  devient feu,

Vous fait allumé       R      vers fin de soirée

Recharge  la  bat      E       terie pour flâner

Le jour à faire ce      U       que   l’on    veut.

**************************************

**************************************

.

Cela est un vrai          réflexe de survie

Quand morosité        s’installe en vie

Et s’il coûte un        peu d’énergie,

Il illumine son    cœur alangui.

 .

Alangui, et  allant,  à  l’envie

Se faire  des  vœux pieux,

N’engageant  que ceux

Qui se disent impies

Du parfait amour,

Lors deux jours

D’esca-pade,

Incartade

Aubade

Ade

V

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une  silhouette  d’un couple

Dont l’effusion est si proche

Suscitant bientôt la fusion 

Vers une probable union !

.

732 4

.

 

Escapade : le mot lui-même fait penser

À couple amoureux :

La transgression est, dans son air,

Et son temps, et à tout âge !

  .

Symbolique 

 .

Un jeune couple

Et leur enfant      de deux ans

S’offrent dix jours à    la pointe du Finistère

Alternant le bleu et le     vert, l’Armor et l’Argoat.

 .

Un itinéraire sécurisé de     Concarneau à l’île de Batz

À bicyclette à travers la     lande et chaos granitiques

Et les plages  de sables       fin … Dix jours  de répit.

Dix jours que l’on s’of      fre avec mon conjoint

 .

Et notre petit gar      çon de deux ans.

Dix jours de belles    retrouvailles

Où l’on s’est promis juré de

Prendre le temps.

toutcommenceenfinistere.com/

escapade-velo-concarneau-roscoff-finistere

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

732 6

.

Escapade : le mot lui-même fait penser

À couple amoureux :

La transgression est, dans son air,

Et son temps, et à tout âge !

 .

Symbolique 

 .

Ce ne sont pas tant les partenaires

Qui  comptent, c’est le couple, l’unité.

 .

Il n’y a plus d’individu, homme, femme,

Il n’y a plus que des couples.

 .

Il n’y a donc plus de cocufiage,

Plus personne n’est ridicule ou malheureux,

Il n’y a plus que   des problèmes…  de couple.

 .

De nos jours, on  pourrait  justifier  quasiment

N’importe quoi  avec cette simple déclaration :

«Je  l’ai  fait  par  amour,

Tu peux pas comprendre».

diaryfrenchpua.com/le-couple-

symbole-de-réussite-sociale

.

.

Fond/forme 

 .

Qui dit couple ne dit pas nécessairement

Amoureux, ni même pas bien accouplés

Il s’agit, en réalité, de deux personnes,

Ou  de deux choses  qui se complètent.

Expression «hors couple  n’a de sens

Que si le couple est légitime, marié.

Et puis à partir de quand dira-t-on

Qu’il s’agit notoirement d’un couple

Quand les séparations ou abandons

Se feront de plus en plus facilement !

.

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731 – Romantique, amoureux, rêveur, idéaliste

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

 Je te trouve trop romantique,

Je te trouve trop pragmatique,

Comment  réaliser  bel équilibre

Entre ce qui est réaliste  et  libre !

.

Le rêve dépasse, souvent, la réalité,

Qui le rattrape pour le mettre au pas

Plus haut aura été  l’idéal du mariage,

Plus dure sera la chute  pour le divorce.

.

Les petites attentions valent les grandes,

Elles sont  de tous les jours, toutes façons,

Plutôt que de rester camper sur son nuage,

Il vaut mieux créer romantisme de passage.

.

Romantique, amoureux transi,

Rêveur, idéaliste  …    fusionnel,

Malade : sont des noms donnés,

À ceux qui sont d’amour éternel

Face à cela : réalité leur oppose,

.

Jalousies, tromperies, divorces,

Polygamies, voire double vies

Ou  mariage, à trois, aussi,

Union libre, libertinage,

Tout, sauf le mariage,

Désuet, hors d’âge.

.

Aimer qui je veux, quand je veux

Où je veux  enfin comme je veux,

Me parait plus illusoire  qu’espoir

Finir ma vie à deux, pour le mieux.

.

Être volage inconstante nature  de femme

Doit porter le chapeau de toute   zizanie,

Comprenant le mot, sentiment,  mot lit.

Tout cela n’est ni vrai ni faux ni sérieux

Amours sont de brefs jours désillusions

Sont de mauvais mais durent toujours.

.

Sexe, caractère, culture et sentiment,

Ont pris le pas sur sécurité d’argent,

Ce qui ne simplifierait pas le choix

Si amour n’a pas eu force de lois.

.

Si fait qu’inversion de  positions

Fait qu’homme cherchant épouse

S’occupant  de lui, enfant,   maison,

Ne trouve pas que des femmes libérées

Qui de se caser ne se sentent pas pressées

Tant vrai  que d’avoir été bien  oppressées

Et durant des millénaires  étouffant d’air.

.

Romantiques  pragmatiques,  en ménage

S’accordent aussi bien de leur différence

Que ceux qui établissent simples con…trats

D’assistance mutuelle sans aucun sentiment,

Et l’équilibre à trouver dépendrait du partage

Et non d’un modèle venant de voler en éclats,

À chacun de se fixer sa voie, sa limite de choix.

.

Extensions

 .

Romantique, amoureux transi,

Rêveur, idéaliste, fusionne…  malade :

Je suis tout cela et rien de tout cela à la fois.

Amour est considéré de certains comme maladie :

On tomberait amoureux comme on tomberait malade.

Une maladie qu’on entretient au lieu de chercher à en guérir.

Le monde à l’envers, tout de même, et quand on est vrai rêveur

Et romantique, cela peut aller en s’empirant jusqu’à en mourir.

.

Romantique : évoque les attitudes, et  les thèmes,

Chers à romantique, sensibilité, exaltation … rêverie,

Amoureux : personne qui  aime quelqu’un, avec passion.

Adorateur, galant, tourtereau, aimant, amant… prétendant.

Rêveur : personne absorbée dans ses pensées, dans  sa rêverie

Qui perd, peu à peu, le contact avec toute réalité, en amour fou !

Idéaliste : qui obéit à un idéal, des valeurs absolues, d’ordre moral,

Qui croit que l’amour vrai, pur, peut améliorer la société ou l’homme

Si ces définitions vous qualifient, vous serez amoureux(se) et perdu(e)

 .

Romantique, amoureux, rêveur que je suis peut-être

Sinon vous qui me lisez, votre conjoint, votre demeure.

Voilà qui donne l’impression ne pas vivre dans la réalité

Bien que  le romantisme en fasse partie depuis des temps

En tant que prédominance d’idéalisme et de sentimentalité

Qui, par nature, touche à excès de sensibilité et imagination,

Invite à l’émotion et à la rêverie, à l’expression des sentiments

Encore que : attention, il peut ne s’agir de belle posture d’esprit,

Comme romantique pour les gens, et pas du tout pour les choses !

.

Fragments

.

Accords entre le sexe et la guitare:

Le potentiel érotique de la six cordes

Étrange, subtile, attirance des femmes,

Pour  les  hommes  portant  des  guitares.

.

Est-ce un effet magique sinon romantique,

Qu’avoir six cordes à son arc pour ses flèches

Musicales qui feraient mouche à chaque fois,

Pour l’avoir teste moi-même, un peu, j’y crois.

.

On ne saurait trop si c’est

Plutôt  le son  de la guitare

Sa forme  de caisse, manche

Ou un corps  qui se déhanche,

Lors on en joue devant femmes

Qui suggèreraient  acte érotique

.

Toujours est-il, ça ne marche pas

Toujours, sinon ça se répandrait

Comme une trainée  de  poudre,

Qui mettra le feu a tout amour.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

  Je te trouve trop romantique,

Je te trouve trop pragmatique,

Comment  réaliser  bel équilibre

Entre ce qui est réaliste  et  libre !

Le rêve dépasse, souvent, la réalité,

Qui le rattrape pour le mettre au pas

Plus haut aura été l’idéal du mariage,

Plus dure sera la chute  pour le divorce.

Les petites attentions valent les grandes,

Elles sont  de tous les jours, toutes façons,

Plutôt que de rester camper sur son nuage,

Il vaut mieux créer romantisme de passage.

.

*************************************

**********************************

.

Romantique, amoureux transi,

Rêveur, idéaliste  …    fusionnel,

Malade : sont des noms donnés,

À ceux qui sont d’amour éternel

Face à cela : réalité leur oppose,

Jalousies, tromperies, divorces,

Polygamies, voire double vies

Ou  mariage, à trois, aussi,

Union libre, libertinage,

Tout, sauf le mariage,

Désuet, hors d’âge.

.

Aimer qui je    R   veux, quand   A      je veux

Où je veux     O      enfin comme    M     je veux,

Me parait       M        plus illusoire      O    qu’espoir

Finir ma vie   A        à deux et pour       U   le mieux.

Être volage     N     inconstante nature    R  de femme

Doit porter    T      le chapeau de toute    E     zizanie,

Comprenant    I     le mot, sentiment,    U      mot lit.

Tout cela n’est   Q     ni vrai ni faux    X        sérieux

Amours sont de   U   brefs jours    *   désillusions

Sont de mauvais   E    mais  *  durent toujours.

Sexe, caractère        *     *  culture, sentiment,

Ont pris le pas   *  sur  *  sécurité argent,

Ce qui ne    *  simplifie  *  pas le choix

Si amour  *  n’a pas force  *    de lois.

Si fait     *   l’inversion des   *  positions

Fait qu’ *    homme cherchant  *    épouse

S’occu    *    pant de lui, enfant,   *   maison,

Ne trouve *   pas que des femmes  *     libérées

Qui de se     *    caser ne se sentent    I    pressées

Tant vrai       R     que d’avoir été si     D oppressées

Et durant        Ê       des millénaires       É  étouffe air.

Romantiques  V          pragmatiques        A   en ménage

S’accordent      E      aussi bien de leur      L     différence

Que ceux qui   U    établissent simples      I      con…trats

D’assistance    R   mutuelle sans aucun    S    sentiment,

Et l’équilibre  *   à trouver dépendrait     T  du partage

Et non d’un   *  modèle venant de voler  E   en éclats,

À chacun de * se fixer sa voie, sa limite * son choix.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

En haut,  un  grand chapeau

En bas,  silhouette  d’homme ;

En haut, une partition musique

 En  bas, silhouette  de  guitare ?

.

731 4

.

Un homme amoureux, rêveur

 Avec une guitare dans le dos

Et s’il était moins amateur

Il serait musicien pro.

La guitare, comme le violon, aurait des

Accointances  avec les  états romantiques

Ils sont perclus par les femmes : séduction

Tant et si bien que la forme touche le fond !

.

Symbolique 

.

Accords entre sexe et guitare:

Le potentiel érotique de la six cordes

Étrange, subtile, attirance des femmes,

Pour  les  hommes  portant  des  guitares.

Tout le monde se souvient de ces guitaristes

De  l’époque  du  Sex,  Drugs  and   Rock’n’roll

Ondulant, sensuellement, dans leurs pantalons

Moulants, mimant accouplements avec guitare.

Un jeu de scène si suggestif, qu’il leur aura valu

D’être interdit  de plateau de télé  pour ne pas

Émouvoir “la ménagère de plus de 40 ans”.

Source : guitar.vanlochem.be/sexe-et-guitare-

le-potentiel-erotique-de-la-six-cordes

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

731 6

.

Un homme amoureux, rêveur

 Avec une guitare dans le dos

Et s’il était moins amateur

Il serait musicien pro.

 .

Symbolique

.

Un auteur

Étant compositeur

Et  en plus, interprète,

Est une personne qui rédige

Les paroles, compose musique

De chansons qu’elle interprète.

.

L’ordre peut varier d’une artiste à l’autre,

Ou d’une œuvre à l’autre pour un même artiste ;

Soit il compose  avant d’écrire le texte, soit après.

Il peut même créer en parallèle texte et musique,

Voire les arranger pour une orchestration.

wikipedia.org/wiki/Auteur-compositeur-interprète

 .

 .

Fond/forme 

.

On ne saurait trop si c’est

Plutôt  le son  de la guitare

Sa forme  de caisse, manche

Ou un corps qui se déhanche,

Lors on en joue devant femmes

Qui suggèreraient acte érotique

Mais pourquoi pas acte héroïque

Est-ce là  une intention  explicite

Où un regard  plus  qu’implicite,

C’est à chacun de se déterminer

Sur ce qu’il faudra interpréter

Fonction de contexte donné,

Selon son état hormonal.

.

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730 – L’amour est éternel recommencement !

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Y a,  au  moins, trois façons,

D’interpréter  une telle phrase,

Je recommence avec une autre,

Je recommence avec  la même,

Je recommence  avec les deux !

.

Vous, choisissez lequel est bon sens,

Amour est essence, amour est existence,

Amour est espérance, amour est substance

Qui ne se marie, ne connait pas sa chance

Se remarier n’aura rien d’une évidence.

 .

Détrompez-vous, amour s’en moque

Des promesses et  des  tendresses,

Il a en lui : temporalité, éternité

Et n’aspire qu’à une seule chose,

.

Encore, toujours, recommencer,

L’amour n’est réellement qu’un

Éternel    re-commen-cement :

Combien de   fois, ai-je  exigé,

De toi, un  gage  de  sincérité,

Preuve même, de tes fidélités,

Alors que je mens    de t’aimer.

.

Fidélité se conjugue au pluriel,

Et est bien plus que le singulier,

Même  folle de lui  ou  fou  d’elle,

Trop de fois : dur de se  remarier !

 .

Amour est éternel ensemencement.

À la fin, ça fera bien, vraie rengaine,

Des bisous, et mamours et je  t’aime,

Qui ne sont pas de vous  ni d’amant,

Mais de paroles : routine bien vaine

Mais qui, peu à peu, vous  entraine,

À porter  vos regards vers… ailleurs

Pour  tester  votre constante ardeur.

.

Pour  savoir  si  elle  vous vaut  bien,

Il serait bien  de voir où mène la fin

Nul ne la connait, nul n’en sait rien,

Amour, commencement sans fin,

Amour est toujours éternel

Recommencement !

.

Extensions

.

Amour, éternel recommencement :

Je me répète, un peu, là, ça boucle :

Où se trouve la sortie du labyrinthe

Où l’on se sentirait enfermé et à vie !

.

Mais plutôt que de le recommencer

Si l’on essayait de le démultiplier.

C’est carrément une idée folle,

C’est presque la révolution !

.

Ça existe depuis les humains.

Fidélité se conjugue au singulier,

Sinon c’est une liaison extra conjugale,

Extra maritale, extra ce que vous voudrez,

Jusqu’à la trahison, et la rupture de contrat.

Légal, le mariage a ses lois, amour n’en a pas.

.

L’on ne peut  légiférer  un sentiment  subjectif

Qui  n’est  autre qu’un  consentement mutuel,

Amour peut être un éternel recommencement

Avec même, sans rupture ou avec séparation.

Se remarier avec le, la, même prête à sourire.

.

Enfin il y a ceux qui y renoncent, en brisant

Ainsi le cercle  de la répétition, frustration,

Pour autant deviendront-ils plus heureux,

Ou tout simplement, moins malheureux.

.

Amour est éternel recommencement

Cela demeure vrai au plan individuel,

Tout autant qu’au plan universel,

Il relie chacun d’entre nous,

Comme une seule entité

Ce qui demeure fou

En tous cœurs

Amoureux

Deux.

.

Dire qu’un amour tournerait

Toujours  en  boucle, en courbe,

Jamais en ligne droite est évidence

Sa loi est de s’établir, de progresser

De se stabiliser, puis de descendre

Jusqu’à ce qu’il se renouvellera !

.

On peut déplorer, pas l’éviter

Il est, mouvement en nous,

Il se régénère, ou meurt.

C’est ainsi, comme ça

On y croit ou pas :

Amour boucle.

.

Fragments

.

L’amour, éternel recommencement,

Pensez-vous, ce serait grave erreur

Ce serait n’apprendre rien de la vie

Un change pour un autre  conjoint

Pour un meilleur et bien différent,

Et cette fois c’est le dernier, le bon.

L’amour est essence, est existence,

Amour est espérance, est substance

Qui ne se marie, ne connait sa chance

Se remarier n’aura rien d’une évidence :

 N’est pas que nouvelle bague…en échange.

Boucler un amour n’est, pour autant, bâcler

Le prochain, tant on y réfléchit, à deux fois,

Nouvelle erreur sera comme exponentielle.

À la troisième union, la boucle est bouclée

Il n’y a plus de fidélité et pour l’éternité,

Mais cela,  on le savait,  dès le début,

Ça n’empêche de le recommencer.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

     Y  a  au  moins                            L                              trois façons,

D’interpréter                              ‘                             telle phrase,

Je recommence                      A                    avec une autre,

Je recommence                   M                  avec  la même,

Je recommence                O              avec  les deux !

Vous, choisissez             U          lequel bon sens,

Amour est essence      R   amour,  existence.

Amour est espérance, amour est substance

Qui ne se marie, con    *    nait pas sa chance

Se remarier n’aura        E    rien d’une évidence

Détrompez-vous,             S        amour s’en moque

Des   promesses,               T         et  des  tendresses,

Il a en lui : tem                *           poralité, éternité

 Et n’aspire qu’à              U           une  seule chose,

Encore, toujours         N         recommencer !

L’amour ne serait   *   réellement qu’un

Éternel   re …  commen  …  cement.

Combien  de   fois,   ai-je  exigé,

De toi, un  gage  de  sincérité,

Preuve même, de tes fidélités,

Alors que je mens    de t’aimer.

.

Fidélité se conjugue   *   au pluriel,

  Et est bien plus que   *         singulier,

   Même folle de lui      *          ou fou d’elle,

   Trop de fois, dur   É      T      de se  remarier.

  Amour est un   T     éternel   N ensemencement.

  À la fin,        E       ça fait bien      E  vraie rengaine,

 Bisous,       R         et mamours et      M       je  t’aime,

  Qui ne        N          sont pas de vous        E    ni d’amant,

 Mais de      E            parole     routine        C     bien vaine

Mais qui     L            peu à peu, vous          N       entraine

À porter      *            vos regards vers         E        ailleurs

Pour tester  R          votre constante       M       ardeur.

Pour  savoir  E        elle vous vaut       M           bien,

Il serait bien    C       de voir       O            la fin

Mais nul ne la connait, nul n’en sait rien,

Amour, commencement sans fin,

Amour est toujours éternel

Recommencement !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Bijou tout en volutes,

Et  tout en rondeurs,

Tout  en  fraicheur

Mis en boucles.

.

730 4

.

Une boucle en bijou symbolise

Évocation d’un recommencement,

Toutefois pas toujours … le même,

Et pas toujours avec … la même !

.

Symbolique

.

Boucles

D’oreilles

Sont indispensables

À votre tenue quotidienne,

Comme à vos tenues de soirée.

 

Que savons-nous de plus sur ce

Bijou beauté, mettant en valeur.

 

L’histoire

 Des         bijoux

D’oreilles               remonte

Aux temps les plus    anciens, ce bijou

Autour est utilisé            comme parure

Dans le monde               entier cultures

Qui le portent.              Lors elles sont

Diverses et va            riées  fonction

De leurs formes,        leurs motif,

Fixations, compositions, prix.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une boucle en bijou symbolise

Évocation d’un recommencement,

Toutefois pas toujours … le même,

Et pas toujours avec … la même !

.

Symbolique 

 .

Les bijoux que nous portons

Contribuent à former notre personnalité.

Certains n’aiment que colliers très fins, discrets,

D’autres sont attirés par des formes larges et visibles.

Chaque personne a        spontanément ses préférences,

Qui diront souvent                       quelque chose de nous.

 

Témoins des                                       histoires de chacun

Ou d’un simple                                      coup de cœur,

Nombre                                           pendentifs sont

Comme                                    un ornement

Et livrent                     leur beauté

En harmonie      avec celui

Celle qui les porte.

.

.

Fond/forme 

 .

Ce bijou peut être une boucle d’oreille, ou autre,

Dont on percevrait bien le début et moins la fin.

.

En amour, si on connait la fin : fort  probable

Qu’on ne  le commencerait pas pour l’éviter.

.

À la troisième union, la boucle est bouclée

Il n’y a plus de fidélité et pour l’éternité,

.

Mais cela on le savait,  dès le début :

Ça n’empêche de le recommencer.

.

.Textuels et illustrations  >>

.

Textuels : poème, extensions, fragments

.

Textuel poème 

.

  • Il y a, au moins, trois façons  d’interpréter une telle phrase : je recommence avec une autre, je recommence avec la même, je recommence avec les deux !  A vous de choisir votre bon sens, l’amour est essence, et existence, l’amour est espérance en substance : se remarier n’a rien d’une évidence ! Mais qui ne se marie ne risquera rien : détrompez-vous, amour s’en moque des promesses, et des tendresses, il a en lui : temporalité, éternité, et n’aspire qu’à une seule chose : encore et toujours, recommencer. Combien de fois ai-je exigé de toi un gage de sincérité, preuve même de tes fidélités, alors que je mens de t’aimer, fidélité se conjugue au pluriel, et est bien plus que singulier. Même folle de lui, ou fou d’elle, trop de fois, il sera toujours plus dur de se remarier, que se marier bien qu’amour ne soit qu’un éternel recommencement. A la fin, ça fait un peu rengaine, ces bisous, ces mamours, ces « je t’aime », qui ne sont plus, de vous, d’amants, mais de routines, voire de paroles vaines. Et, qui, peu à peu, vous entrainent à porter vos regards vers ailleurs pour tester votre constante ardeur, pour savoir si  elle vous vaut bien, il serait bien d’en entrevoir la fin ! Or nul ne la connait, la fin, nul n’en sait rien, de l’amour, commencement qu’on voudrait sans fin : amour ne serait qu’un éternel recommencement !

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Textuel extensions

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  • L’amour est éternel recommencement : je me répète un peu là, ça boucle : où se trouve la sortie d’un tel labyrinthe où l’on se sent enfermé, à vie ! Plutôt que de le recommencer si on essayait de le multiplier. C’est carrément une idée folle, c’est presque la révolution ! Elle existe depuis les humains. Fidélité, au pluriel : elle ne se conjugue qu’au singulier, sinon liaison extra conjugale, extra maritale, extra ce que vous voudrez, jusqu’à la trahison, la rupture de contrat. Légalement, le mariage a ses lois tandis que l’amour n’en a pas. On ne peut légiférer un sentiment subjectif qui n’est autre qu’un consentement mutuel, donc consensuel, sensuel. L’amour peut être éternel recommencement avec le, la même, sans rupture ou avec séparation, y compris divorce. Se remarier avec le, la, même, prête à sourire, mais non à rire. Enfin, il y a ceux qui y renoncent et brisent ainsi le cercle de la répétition : sont-ils plus heureux pour autant ou tout au plus, moins malheureux. Amour est éternel recommencement : cela demeure vrai au plan individuel, tout autant qu’au plan universel. Il relie chacun d’entre nous, comme une seule entité, ce qui demeure fou en tous cœurs amoureux deux. Dire qu’un amour tournerait  toujours  en  boucle, en courbe, jamais en ligne droite est évidence, sa loi est de s’établir, de progresser, de se stabiliser, puis de descendre jusqu’à ce qu’il se renouvellera !  On peut déplorer, pas l’éviter : il est, mouvement en nous, il se régénère ou meurt. C’est ainsi, comme ça, on y croit ou pas : amour boucle.

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Textuel fragments

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  • L’amour, éternel recommencement, Pensez-vous, ce serait grave erreur, ce serait n’apprendre rien de la vie. L’un change pour un autre  conjoint, pour un meilleur et bien différent, et cette fois c’est le dernier, le bon. L’amour est l’essence, est l’existence, amour est espérance, est substance : qui ne se marie, ne connait pas  sa chance, se remarier n’aura rien d’une évidence, n’est pas que nouvelle bague… en échange. Boucler un amour n’est, pour autant, bâcler le prochain, tant on y réfléchit, à deux fois : nouvelle erreur sera comme exponentielle. A la troisième union, la boucle est bouclée, il n’y a plus de fidélité et pour l’éternité, mais cela,  on le savait,  dès le début, cela n’empêche de le recommencer.

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Illustrations : visuels, scénario et fiction

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Visuels 

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730 1

La première fois, seule, l’envie,

parfois une erreur de jeunesse ;

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730 2

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la seconde, le début de florilège

de fleurs et voire, de tendresses ;

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730 3

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et un jour, l’on commence à s’aimer,

romantiquement et passionnément.

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avec un bijou qui tourne en boucle,

comme le socle d’un beau couple.

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Textuels symboliques et corrélations

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Boucles (d’oreilles)

  • Symbolique de forme : Les boucles d’oreilles sont indispensables à votre tenue quotidienne, comme à vos tenues de soirée. Que savons-nous de plus sur ce bijou beauté, vous mettant en valeur. L’histoire des bijoux d’oreilles remonte aux temps les plus anciens et ce bijou est utilisé comme parure dans le monde entier et les cultures qui le portent. Elles sont diverses et variées, fonction de leurs formes, motifs, fixations, compositions, prix.

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Bijoux

  • Symbolique de fond : Les bijoux que nous portons, contribuent à former notre personnalité. Certains n’aiment que colliers très fins, discrets, d’autres sont attirés par des formes larges et visibles. Chaque personne a spontanément ses préférences, qui diront souvent quelque chose de nous. Témoins des histoires de chacun ou d’un simple coup de cœur, nombre pendentifs sont comme un ornement et livrent leur beauté en harmonie avec celui ou avec celle qui les porte.

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Amour (boucle) > début, recommencement, fin,  fidélité, éternité

  • Liens fond/forme : Ce bijou peut être une boucle d’oreille, ou autre, dont on percevrait bien le début et moins la fin. En amour, si on connait la fin : fort  probable qu’on ne  le commencerait pas pour l’éviter. À la troisième union, la boucle est bouclée : il n’y a plus de fidélité et pour l’éternité. Mais cela on le savait,  dès le début : ça n’empêche de le recommencer.

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729 – La faim de désirer, amour d’advenir !

Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

L’amour tarde à venir

Pas d’amour advenir :

Crois, amour  me fuit,

Aucun espoir  ne luit !

 Tout  mon  élan  monte

Dès que  je pense  à lui,

Puis ma libido retombe,

Quand il dit : non, merci.

.

Il est vrai que dès qu’il me faut repartir,

Pour une nouvelle quête, ou,  conquête,

Je me mets de suite vite à faire la fête,

À fond en espérant quelqu’un séduire.

.

La faim de désirer, amour, d’advenir

Faim de bouger,  de  vouloir  partir,

Vers l’inconnu nous ferait souffrir.

.

Malgré tout, on préfère à mourir,

D’ennui, lassitude, de désespoir,

De voir sa vie, en blanc et noir.

.

Alors que les couleurs des soirs

Sont d’arc-en-ciel ou brouillard,

Amour reste un commencement !

 .

Oui, mais de quoi,  d’un firmament,

Non mais bien, de  temps en temps,

D’un affleurement de ses sentiments.

.

Ce n’est que dans un tout nouvel élan

Qu’amour  donne  de beaux éléments

Pour sublimer un nombre d’amants,

En un or pur si ce n’est … diamant !

.

Amour n’est que commencement :

Sans autre fin  que celle mourant

Mais si prenant, en l’attendant,

Qu’on mourra, cœur content.

.

Extensions

 .

L’amour est comme le bonheur, éphémère et intermittent.

Leur quête est, elle, perpétuelle et l’un ne va pas sans l’autre.

Il arrive de passer années, sans trouver, le désirant fortement.

Il arrive  qu’on ne le trouve pas, du tout, ou, qu’on s’en réfère

Aux agences matrimoniales pour la perle rare avec laquelle

Tout va naturellement baigner.

.

J’ai rencontré des hommes me disant qu’ils n’avaient pas

Le temps de chercher, de tenter et qu’ils ne voulaient pas

D’échec, qu’ils voulaient trouver la bonne et à coup sûr.

Voilà des hommes qui ne se nourrissent pas d’échecs

Qui font le lit des sentiments et lors il se produira,

En dépit des précautions prises, ne sauront plus

Que faire à l’avenir, autres ont pour principe :

Une de perdue, dix de retrouver.

.

Tous les cas et tous les coups sont dans la nature.

Vaut-il mieux ne connaitre, et, n’en pratiquer qu’un

Seul partenaire mais à fond et s’y adapter ou plusieurs

Pour s’en faire une idée et choisir le meilleur pour soi,

Quitte à se tromper : à chacun devoir, d’en décider et

De l’assumer car en la matière, les conseils ne valent

Que pour soi-même, peu souvent pour les autres

Du fait qu’on n’est pas à leur place,

Qu’on ne vit pas comme eux.

.

Le désir est un concept d’ordre général, mais autant, particulier :

Tendance qui porte à vouloir obtenir un objet connu ou…imaginé ;

Tendance consciente et suscitée par quelqu’un, aux plaisirs sexuels !

Les deux forment le moteur de nos attentions, et, de nos orientations,

Mais la seconde est plus profondément ancrée dans notre inconscient.

Tout désir est semblable au besoin, il cherchera à combler un manque

Désir se représente but à atteindre, volonté mettre en œuvre moyens.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme

.

L’amour tarde à venir

Pas d’amour advenir :

Crois, amour  me fuit,

Aucun espoir  ne luit !

 Tout  mon  élan  monte

Dès que  je pense  à lui,

Puis ma libido retombe,

Quand il dit : non, merci.

.

Il est vrai que dès  F  qu’il me faut repartir,

Pour une nouvelle   A  quête, ou,  conquête,

Je me mets de suite  I     vite à faire la fête,

À fond en espérant   M  quelqu’un séduire.

   *

La faim de désirer,    D  amour, d’advenir

Faim de bouge de      E      vouloir partir,

Vers l’inconnu nous   *     ferait souffrir.

       D

Malgré tout, on pré  É   fère à mourir,

D’ennui, lassitude   S          désespoir,

De voir sa vie en     I     blanc  et noir.

R

Alors que les      E  couleurs des soirs

Sont d’arc     R en-ciel ou brouillard,

Amour reste    *  un commencement !

A

Oui, mais de quoi  M d’un firmament,

Non mais bien de   O  temps en temps

D’un affleurement  U     ses sentiments.

R

Ce n’est que dans   * un tout nouvel élan

Qu’amour donne   A  de beaux éléments

Pour sublimer un  D nombre d’amants,

En un or pur si ce  V n’est … diamant !

  E

Amour n’est que    N  commencement :

Sans autre fin     I  que celle mourant

Mais si pre   R nant en l’attendant,

Qu’on mourra, le cœur content.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Évocation

Corps de femme,

Pro-ba-ble-ment ;

Corps de femme,

Certainement !

.

729 4

.

Le corps de femme peut-devenir un

Pur objet de désir sexuel,

Mais certains s’en lassent, leur désir,

Tout comme le reste, passe.

.

Symbolique 

 .

Teint clair,

 Petit       pied,

Forme généreuse

 

L’idéal  de beauté  du corps de femme

Évolue avec le temps  puis avec les modes,

Puis, autant, selon les envies des hommes.

 

Aujourd’hui, silhouette prônée à la mode

Sur réseaux sociaux, «people» consiste

En fesses fermes et cuisses charnues,

 

Une poitrine  assez généreuse…

Tout    en  gardant   une   taille

Bien marqué  et  un ventre plat.

 

Idéal, difficile    voire impossible,

À atteindre        naturellement,

Ce qui expli        que explosion

De recours       à toute chirur

Gie d’ordre           esthétique.

 Source : ohmymag.com/news/voici-a-quoi-

ressemble-le-corps-ideal-de-la-femme

.

.

Fond

.

Évocation

.

729 6

.

Le corps de femme peut-devenir un

Pur objet de désir sexuel,

Mais certains s’en lassent, leur désir,

Tout comme le reste, passe.

.

Symbolique 

 

Certaines couleurs telles que le rouge

Ont véritable impact sur notre physique

Ou sur notre mental. Cela est souvent fait

De manière inconsciente, mais son pouvoir

Est bel et bien réel.  Le rouge est une couleur

Qui attire l’œil et provoque du désir.

.

Dès qu’une femme entrera en une soirée avec

Robe rouge, les regards se tournent vers elle !

.

Le rouge symbolise la force, le courage,

Mais également la chaleur. C’est une couleur

Puissante  qui dégage  de l’énergie, mais  peut

Également signifier l’interdit, l’attrait du sang.

femmedinfluence.fr/pouvoir-de-couleur-

rouge-symbolique-des-couleurs

 .

.

Fond/forme 

 .

Le corps de femme est objet de désir,

Mais pas plus que celui d’un homme :

Ça dépend de qui et de quoi l’on désire.

.

Le désir n’est autre qu’inclination vers

Qui pourra se transformer en passion,

Ou en une simple attente de résolution/

.

Désir du corps n’est pas désir d’esprit,

C’est mieux quand les deux soupirent,

Pour le mime objet ou le même sujet.

.

Textuels et illustrations  >>

728 – Amour est bien plus que pénétrations !

Textuels et illustrations   >> 

..

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

..

Pénétration : le mot est lâché

À propos d’acte sexuel consenti

Mais qui pénètre l’autre, en réalité,

L’un, par corps et l’autre, par cœur.

Elle suppose un tel abandon de soi

Que sa fusion perd notion d’entre

Soi et l’autre, quel qu’il soit !

.

Quel regard pénétrant,

Dites-vous, à votre amant

Qui vous déshabille et autant

Le corps, le cœur, l’âme, esprit

Par  son  envahissement d’aimé.

 .

Imagine que tu sois loin de moi,

Qu’on se parlerait

De tout, et de …  n’importe quoi,

Ça nous distrairait :

Imagine, tu t’approches, de moi,

Et que je t’écouterais

À raconter tes peines et tes joies,

Ça nous rapprocherait.

 .

Après, un long  silence  viendrait

En gestes esquissés

Nos «si», et «rais», caresseraient,

En  fonds  inespérés

Et silence charnel, nous toucherait

En jeux très érotisés

Fermant nos yeux bouche mordrait

Nos  chairs  attisées.

 .

Il ne s’agirait pas tant, de conclure,

Que d’être à l’unisson

Lors, hussarde pénétration ne dure,

Le temps d’un son,

Il ne s’agirait pas tant, que j’y entre,

En cœur au ventre

Que de trouver l’énergie pour fendre

En corps si tendre.

 .

Puisqu’en jouir seul, serait te prendre,

Faut le comprendre,

Ton âme n’étant ni à violer ni à vendre,

A te gagner diantre,

Que jouir de toi,  ne serait pas que dire,

Entre deux soupirs,

Que tu es «bonne» et cela va sans dire,

Jusqu’à en mourir.

S’il fallait trouver fin de chanson,

Amour n’est pas

Simple pénétration :

Engagement

À vie.

..

Extensions

 .

La pénétration n’a rien d’une fin en soi,

Elle n’est qu’un moyen, un geste, un dialogue

Pour prouver à quelqu’un qu’on l’aime à ce point.

Enfin, c’est la théorie car en pratique, on peut

Pour  sûr, dissocier le sexe et le sentiment

Lors c’est à chacun de voir et d’assumer

Ses attentes et ses comportements.

.

On compare amour à une cigarette :

D’accord, les deux partent en … fumée,

D’accord les deux sont limités dans le temps,

D’accord les deux sujets dépendance, répétition,

Mais il n’existe rien d’autre  de si vulgaire

Et de si sublime pour un même acte.

.

Ce ne serait donc pas l’acte, en lui-même

Qu’il faut observer mais plutôt son intention.

La pénétration n’est pas exclusive à la femme :

Pour autant, y a-t-il amour : à vous d’en juger !

.

Un seul geste, un seul acte, un seul coït,

Ne peut ni combler, ni résumer, l’amour :

Si certains s’en prévalent, comme preuves,

C’est qu’ils n’auront pas assez de profondeur

Pour qu’ils en en estiment toute la grandeur !

Et en disant cela je ne dis pas qu’il ne faut pas,

De pénétration, simplement qu’elle ne suffit pas.

.

Faire l’amour… sans pénétrations,

Est-ce déjà, voire encore de l’amour

Faut-il consulter communauté LGBT,

Pour espérer avoir fin mot de l’histoire

.

On peut parler de pénétration des yeux

Tout autant que d’un esprit pénétrant,

Pénétration serait un mot embêtant :

Mot valise, où on met ce qu’on veut.

.

Sinon voire ce qu’on peut, mais là,

On dérive, on délire, on fantasme,

Cent façons d’atteindre orgasme,

Ce sera… sans façon… pour moi.

..

Fragments

.

Amour serait tout autre chose

Même s’il inclut pénétration

Pas uniquement pour sexe,

Aussi corps esprit, et âme.

.

Entre fantasme  et  réalité,

Y a fameux passage à l’acte

Comme de coupe aux lèvres

 Foret, vis, ou boucle  ans fin.

.

Peu  après  avoir fait  l’amour

Par la grâce je me sens pénétrer

Par une sorte d’extase, de légèreté

Abandonnant un corps, poids lourd.

.

Comme regard pénétrant envahit esprit,

Je sens comme un lacher-prise pour la vie

 Le temps s’est suspendu, comme inexistant,

En une autre dimension, réalité, je me sens !

.

Si pour certains, pénétration devient obsession,

Ils n’ont rien compris à l’amour, sauf possessions,

L’amour est, d’abord et avant tout, une révélation,

Qui se transformera peu à peu en nombre passions.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme    

.

AMOUR SEXUEL

Pénétration : le mot est lâché

À propos d’acte sexuel consenti

Mais qui pénètre l’autre, en réalité,

L’un, par corps et l’autre, par cœur.

Elle suppose un tel abandon de soi

Que sa fusion perd notion d’entre

Soi et l’autre, quel qu’il soit !

N’EST PAS QUE

Quel regard pénétrant,

Dites-vous, à votre amant

Qui vous déshabille et autant

Le corps, le cœur, l’âme, esprit

Par  son  envahissement d’aimé.

PÉNÉTRATION

Imagine que tu sois loin de moi,

Qu’on se parlerait

De tout, et de …  n’importe quoi,

Ça nous distrairait.

Imagine, tu t’approches, de moi,

Et que je t’écouterais

À raconter tes peines et tes joies,

Ça nous rapprocherait.

Après, un long  silence  viendrait

En gestes esquissés

Nos «si», et «rais», caresseraient,

En  fonds  inespérés

Et silence charnel, nous toucherait

En jeux très érotisés

Fermant nos yeux bouche mordrait

Nos  chairs  attisées.

Il ne s’agirait pas tant, de conclure,

Que d’être à l’unisson

Lors, hussarde pénétration ne dure,

Le temps d’un son,

Il ne s’agirait pas tant, que j’y entre,

En cœur au ventre

Que de trouver l’énergie pour fendre

En corps si tendre.

Puisqu’en jouir seul, serait te prendre,

Faut le comprendre,

Ton âme n’étant ni à violer ni à vendre,

A te gagner diantre,

Que jouir de toi,  ne serait pas que dire,

Entre deux soupirs,

Que tu es «bonne» et cela va sans dire,

Jusqu’à en mourir.

S’il fallait trouver fin de chanson,

Amour n’est pas

Simple pénétration :

Engagement

À vie.

.

Forme

.

.

Évocation

.

La vis à l’infini est faite

Pour faciliter profondément

Toutes sortes de pénétrations,

Y compris consentantes, résistantes.

.

728 4

.

Qu’est-ce qui évoque plus une pénétration

Qu’une vis sans fin :

Or celle-ci ne peut jamais être une fin en soi,

Elle n’est qu’un moyen !

.

Symbolique

 .

Si l’on regarde, analyse

L’œuvre de Marcel Proust,

Il s’agirait là, d’une sexualité

Essentiellement… masturbatoire,

Dont il semble selon commentateurs

Que pénétration active, passive,

Ait   été, radicalement, écartée.

 

Si l’on s’en tient à la définition

Psychiatrique, Marcel Proust

Fut un impuissant primaire,

«Jamais   parvenu   au    coït,

Ni avec une femme ni avec

Aucun partenaire sexuel.»

www.cairn.info/revue-francaise-

de-psychanalyse-2012-1-page-27

.

.

Fond

Évocation 

.

728 6

.

Qu’est-ce qui évoque plus une pénétration

Qu’une vis à l’infini :

Or celle-ci ne peut jamais être une fin en soi,

Elle n’est qu’un moyen !

 .

Symbolique 

 .

 

Le signe de l’infini

Est  un  dessin  représenté

Par  un  8  allongé,  légèrement

Étiré  de  chaque côté,  ressemblant

Comme ouroboros à forme de serpent,

Symbole proviendrait de la déformation

Progressive de la lettre grecque Omega

Pour symboliser extrémité sans fin,

Aspect géométrique rappelle

Une courbe en ligne

Qui se croiserait au milieu,

Quant au  plan… étymologique,

Le mot « infini » vient du mot latin

«Infinitus» qui  signifie  «sans limites ».

En vue d’immortaliser, quelque chose

Qui est fait pour durer toute la vie,

Quelque chose qui a commencé

 Et ne pourra pas se finir

Se répète sans cesse.

 .

 


 .

Fond/forme 

 .

Pénétration est, par définition,

Un mot fort, un mot  percutant,

Qui va jusqu’au fond,  en forme,

À la fois mouvant et émouvant !

.

Entre son fantasme et sa réalité

Il y a le  fameux passage  à l’acte

Comme de la coupe aux … lèvres

Comme du foret en bois ou fer !

.

Amour serait tout autre chose

Même s’il inclut pénétration

Uniquement pour le sexe

Non corps esprit, âme.

.

Textuels et illustrations   >> 

727 – Comment immortaliser amour éternel !

Textuels et illustrations >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

..

Amour seul est éternel,

Enfin tant que les hommes

Vivront et     qu’ils  s’aimeront,

Car  chaque     humain,  naissant,

Le  reçoit,  mourant,    le   transmet

À  ses  enfants    puis     aux suivants.

.

Tous ses aléas    en   manifestations,

Dérives,  trahisons, ne l’entravent

Aucunement en sa conservation

De génération à autre nation.

L’on se dit … plus athée…

On change de religion

Or l’amour  demeure

Une bonne valeur refuge.

.

Comment immortaliser amour,

Amour  ne peut pas  être éternel.

Il n’est venu à l’esprit  rien  de tel,

Que de le voir en un nœud coulant

Qui enserre, un moment, sa gorge,

Et jamais plus ne se laissera délier.

.

Que mauvais sang, en tête, se forge

Un instantané situé hors du temps

Et j’en meurs rien qu’en soupirant,

Que le suivant ira en m’étranglant,

Plus encore  que  le dernier vivant.

.

Or  l’instant  ne  m’appartient pas,

À peine l’ai-je attrapé qu’il s’en va,

Jamais, au grand jamais reviendra,

Que je fixe  ou  que je ne le fixe pas.

.

Et qu’à cela ne tienne  ni le retienne,

Tant chaque instant fait qu’advienne

Une autre chose  qui  me surprenne,

Jusqu’à ce, qu’en bras,  il  parvienne

Par souvenir, qui fasse  qu’en traces

Qu’au  moins, pour moi, aura existé.

.

J’aurais voulu immortaliser l’instant

Où  je t’ai rencontré  mais  j’ai tourné

La tête dans brouillard tu t’es fondue,

N’ai capté de toi qu’un regard perdue,

Comme mien, pourtant près d’avouer

Que  l’on s’aimait, déjà, énormément.

.

Comme  en tous vrais contes  de  fées

En mon lit je me suis soudain réveillé

Pris  à la gorge  par un nœud coulant,

Que tu avais tissé au cou, en dormant

Image d’un mariage ou  d’un  ménage

.

Et  tu me l’as desserré : ce  n’était que

Ma cravate s’étant coincée entre nous

L’incroyable  histoire de  vrais   fous.

On se croit pris, rendus  prisonniers.

Ne confondons cravate et pur diktat

Tout reste, et  restera, à  renégocier.

.

Extensions

 .

Comment immortaliser l’amour !

Tout simplement, en le vivant,

Avec ses hauts et ses bas,

Avec ses élargissements

Et ses étranglements,

En  dents  de  scies

Mais   en  avançant.

Fidèle, immortel, éternel

Ne sont que projections irréelles

Qui, comme foi en je ne sais pas quoi,

Nous entrainent  en un présent immobile

Où l’amour n’est plus mortel, encore vivant.

.

Un diamant au doigt à la clef pour la mariée,

La cravate avec nœud  gordien pour le marié :

Pendaison non de crémaillère mais célibataire,

Mais il y a consentement, mais non… libertaire.

Marié ou pendu à la fin de l’année dit un dicton

Certains ne voient pas la différence, disant non.

.

Quelque chose d’immortel

N’est pas forcément éternel :

Les dieux sont dits immortels

Mais  ils sont bien nés, un jour,

Et s’ils n’ont pas toujours existé :

Ils ont un début et donc… une fin !

.

L’amour, lui, serait qualifié d’éternel,

N’ayant pas de début, n’aura pas de fin

Il y aurait de quoi l’assimiler avec Dieu,

D’ailleurs pour chrétien : Dieu est Amour,

Est-ce un tour de passe-passe, pure réalité,

À chacun, en son libre-arbitre, de le décider.

.

Moi, je ne pense pas être un immortel, patenté,

Et je ne pense pas non plus qu’amour soit éternel :

Je me contente donc d’exister, tant que ma vie dure,

Pour le reste, je fais le pari qu’on verra bien hors azur.

.

Fragments

Si l’on imagine que, la mort est une fin,

Amour se renouvelle sans cesse, à l’infini

Il ne dépend pas de nous ni d’ordre divin,

Avec nous naissant, quittant une fois parti.

.

Amour demeure une affaire de transmission,

Déjà dans le ventre de la mère avant d’être né

Puis au long de l’enfance, enfant désiré, choyé,

Plus tard, adulte, pour former couple en union.

.

Couleur interprétée comme plus représentative

Femme en conception, est la couleur blanche :

Le bébé en elle est symbole de pureté, vérité,

Il représenterait comme lumière d’un ange.

.

Chez   certaines  civilisations,

L’arc-en-ciel, symbole de chance,

Est associé, également, à la grossesse :

Ce serait même pureté, vérité, en couleurs

.

Lors, la seule façon de tenter  d’immortaliser

Son amour pour la vie est de concevoir enfant,

Qui à son tour, etc. … et jusqu’à la fin des temps

La fin des humains, en tous cas, car après cela… !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme    

.

Amour seul est éternel,

Enfin tant que les hommes

Vivront et     qu’ils  s’aimeront,

Car  chaque     humain,  naissant,

Le  reçoit,  mourant,    le   transmet

À  ses  enfants    puis     aux suivants.

Tous ses aléas     en     manifestations,

Dérives,    trahisons,   ne l’entravent

Aucunement  en  sa  conservation

De génération à autre nation.

L’on se dit athée…

Change de religion

L’amour demeure

Une valeur refuge.

Comment immortaliser *   amour,

Amour  ne peut pas  être  *  I  éternel.

Il n’est venu à l’esprit rien   *    M   de tel,

 Que de le voir en un nœud     C       M  coulant

 Qui enserre un moment, sa     O          O      gorge

   Et jamais plus ne se laissera   M             R      délier.

      Qu’un mauvais sang en tête  M               T        se forge

      Un instantané situé hors     E                A     du temps

  Et j’en meurs rien qu’en   N             L     soupirant,

Que le suivant ira en     T           I  m’étranglant,

Plus encore que le     *         S   dernier vivant.

Mais l’instant ne    *     E  m’appartient pas,

À peine l’ai-je   *  R  attrapé qu’il s’en va,

Jamais au    *  grand jamais reviendra,

Que je fixe    ou que je ne le fixe pas.

Et qu’à cela ne tienne ni le retienne,

……Tant chaque instant fait qu’advienne

…………..Une autre chose qui        me surprenne,

………………..Jusqu’à ce qu’en bras            il   parvienne

…………………….Par souvenir, qui fasse              qu’en traces

……………………….Qu’au  moins,  pour  moi,              aura existé.

………………………J’aurais voulu immortaliser      *        l’instant

…………………….Où je t’ai rencontré mais j’ai      *  *        tourné

…………………La tête, dans brouillard, tu t’es   U         É    fondue,

……………..N’ai capté de toi qu’un regard    N               T  perdue,

…………Comme le mien pourtant près à   *                   R    avouer

…. Que l’on s’aimait, déjà, énormé    A                       N    ment.

  Comme en tous vrais contes      M                        E   de fées

En mon lit je me suis soudain  O                       L  réveillé

Pris à la gorge par un nœud   U                     ?  coulant

Que tu avais tissé au cou en  R               *  dormant

  Image d’un mariage,  un     *            * ménage….

Et tu me l’as desserré, ce     *     * n’était que

Ma cravate s’étant coincée *  * entre nous

L’incroyable  histoire de       vrais   fous.

On se croit pris, rendus  prisonniers :

Ne confondons cravate et pur diktat

Tout reste, et  restera, à  renégocier.

.

Forme

.

.

Évocation

.

La silhouette d’une jeune

Femme en conception,

Comme vue de profil 

Avec écho du bébé.

.

727 4

.

À défaut d’immortaliser l’amour,

Pouvoir le concrétiser :

Dans la conception du bébé qui

Le prolonge, à témoin !

 . 

Symbolique 

.

La couleur

Perçue    la     plus

Re-pré-sen-ta-tive

De femme en

Conception est le blanc,

Symbole de pureté et vérité,

 Il représenterait    la lumière

 Et,  avec elle,           les anges,

  Tant la femme             portera,

    En elle, toutes                 les vies.

     Le blanc évoque               ra aussi

    Le lait maternel                  par sa

   Teinte  et  pour sa              pureté.

   Chez   certaines  civi        lisations,

    L’arc-en-ciel, symbole   de chance,

   Est également associé à la grossesse.

En Chine, on dit que l’empereur Fou-Hi

Aurait bien été conçu sous un arc-en-ciel.

.

.

Fond

Évocation 

.

.

À défaut d’immortaliser l’amour,

Pouvoir le concrétiser :

Dans la conception du bébé qui

Le prolonge, à témoin !

.

Symbolique 

 .

Attendu

Durant 9 mois

Bébé est enfin là !

 .

Tout votre quotidien est

Désormais   chamboulé, et

Il  va  falloir  vous  organiser.

 .

Quelle alimentation privilégier :

Lait  maternel   ou  bien  infantile

Et  comment  éveiller  votre enfant

Accompagner  son  développement.

 .

Ensuite quel mode de garde choisir 

Comment constituer sa garde-robe,

Comment prendre soin de sa santé,

Tant physique que psychologique.

parents.fr/bebe

 .

 .

Fond/forme 

 .

Cela se conçoit bien que ce mot aurait

Cinq ou six acceptions en dictionnaire,

Tout serait conception dans les débuts

Qu’il s’agisse d’enfant,  œuvre,  esprit,

Tant le vocabulaire de l’enfantement,

A servi de métaphore pour création,

On trouve embryon pour brouillon,

Développement pour maturation,

On parle d’accoucher une action.

.

Textuels et illustrations >>

726 – Sans toi, je ne serais pas … moi… nous !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Sans toi, que serais-je,

Prisonnier de ma solitude

Il n’y aurait pas de nous,

Et sans toi, pas d’émois,

Me rendant des plus fous.

.

Avec toi, je rentre

Comme en une bulle,

Où rien ne peut  arriver

De fâcheux, de malheureux

Me stressant comme honteux.

.

Sans toi, je ne serais pas moi :

Sans toi, on ne  serait pas nous

Y a rien à ajouter, de vous à moi,

Tout est dit, c’est histoire de fous.

.

Sans toi,  je ne ferais pas  le poids,

Sans toit, je ne serais pas, avec toi,

Restaurant, tu fais  régime, galère,

Fine bouche pour t’envoyer en l’air.

.

Sans émoi, je ne serais pas ton roi,

Sans quoi, je ne serais que pour toi,

Prince éveillant chez toi, un soupir

Qu’un manant éteignant ton désir.

.

Avec toi et moi l’on a fait un nous,

Mélangé  mains avec  nos  genoux,

Et sans aller plus loin à chaque fois,

Que caresse, baiser, regard, bon aloi.

.

J’ai écouté battre ton cœur, cent fois,

Emballé, ralenti par un je ne sais quoi

Qui m’avait semblé  capturer  mystère

Brulant avant que tu retombes à terre.

.

Sans toit, il me parait certain qu’en soi,

Notre amour ne serait dans un tel état-là,

Serait plus raisonnable avec plus d’amitié

Que de cette trempe, des plus folles…à lier.

..

Extensions

 .

Sans toi, je ne serais pas moi :

C’est dingue de penser cela.

Je ne suis pas devenu

Un autre que j’ignorais.

Je suis le même et différent

Et c’est seule chose que je crois.

.

Est-ce moi, est-ce toi ou est-ce nous

Qui avons changé, ce serait ce nous qui,

À lui seul,  nous surprendrait  par la force

De notre désir de nous confondre  dans une

Entité nouvelle ce n’est pas qu’une  addition,

Pas une superposition, est une multiplication

De nos projections présentes, et à venir, pour

Se construire, durer contre vents et marées.

.

Sans toit, je ne me sentirais pas  protégé,

Lors, seul, je me sentirais très calfeutré

En espace vide d’altérité, générosité.

Je ne vivais que pour moi,

Mais aujourd’hui, avec toi,

Je vis pour nous mais pour les gens

Que nous aimons, familles, amis, collègues.

.

Toi et toit se rapprochent le plus souvent

Sans toi, je ne serais plus un bon amant

Sans toit, je ne serais pas bien protégé

Sans foi ni loi je me sentirais aliéné,

Sans ceci et cela, je ne serais rien.

.

Quelle différence … avec  et sans : tester là.

Un bon moyen de creuser un attachement.

On pourrait y associer  un toit  et une foi,

 Toi pour moi, toit sur toi, plus foi en toi !

.

Sans toi, il ne pourrait  y avoir  de nous,

Toutefois, sans toi serais-je encore moi :

À moitié peut-être, encore peut-on l’être,

Mais quelle moitié pourrais-tu m’enlever !

.

Arrêtons de tergiverser sur les mots toi et moi.

Moi je suis bien moi, je reste moi et toi, t’es toi.

Le «nous» qui en serait l’addition est conceptuel,

Est notre enveloppe commune et voire spirituelle !

.

Fragments 

.

À présent,  après tout ce temps

Passé avec toi, comme amants,

Tu fais tellement partie de moi,

Je ne me reconnaitrais sans toi.

.

Doux aveu s’il en est d’un amant,

Mais autant,  dépendance de toi :

C’est pas tant question : comment

Ferais-je sans toi, mais  pourquoi.

.

Mon identité personnelle, croisera

Tant la tienne,  que je me fourvoie,

Si je dis que tu penses comme moi

Sans savoir si c’est moi qui le dira.

.

Mais cela n’entraine aucune fusion

Et lors pas d’avantage de confusion

Nous resterons deux êtres uniques,

C’est  bien cela qui est…fantastique

.

Toi, moi et nous : sommes identités,

Jouant chacun leurs rôles, partitions

Je ne peux te dire moi c’est moi et toi,

Tais-toi, sans me réduire à une nullité !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Sans toi, que serais-je,

Prisonnier de   ma solitude

Il n’y aurait          pas de nous,

Et sans toi,                pas d’émois,

Me rendant                   des plus fous.

.

Avec toi, je rentre

Comme en      une bulle,

Où rien ne          peut  arriver

De fâcheux,           de malheureux

Me stressant                comme honteux.

.

Sans toi, je ne serais pas moi :

  Sans toi, on ne       *   serait pas nous

Y a rien à ajouter S         : de vous à moi

Tout est dit, c’est   A               I    histoire fous.

Sans toi je ne ferais  N              O       pas le poids,

Sans toit je ne serais  S         T       pas, avec toi,

Restaurant, tu fais     *      régime, galère,

Fine bouche pour t’envoyer en l’air.

.

Sans émoi, je ne serais pas ton roi,

Sans quoi, je ne   * serais que pour toi,

Prince éveillant  N        S  chez toi, un soupir

Qu’un manant  E                I  éteignant ton désir

Avec toi et moi   *                 A   l’on a fait un nous,

Mélangé mains   S          R   avec  nos  genoux,

Et sans aller plus   E    loin, à chaque fois,

Que caresse, baiser, regard, bon aloi.

.

J’ai écouté battre ton cœur, cent fois,

Emballé ou ralenti par N  *     un je ne sais quoi

Qui m’avait semblé   I                S capturer mystère

Brulant avant que tu  *                   U retombes à terre.

Sans toit, il me parait  M               O   certain qu’en soi,

Notre amour ne serait  O         N dans un tel état-là,

Serait plus raisonnable  I  avec plus d’amitié

Que de cette trempe, des plus folles à lier.

.

Forme

.

.

Évocation 

On peut voir un bracelet

Tout aussi bien qu’un

 Cairn de pierres 

C’est un choix !

.

 .

Il n’y aura rien ici qui va ensemble

Bracelet, pierre et toi sont distincts

l’on aura beau travailler la forme

elle ne se rapprochera du fond !

.

Symbolique 

 .

Outre ses

 Fon-cti-ons

Décoratives,

Bracelet est au service de multiples

Autres fonctions,  nombre intentions.

 

Ces fonctions sont très variables selon

Les époques et les cultures, mais aussi

 

Selon les croyances ou les perceptions

Propres à l’individu qui porte le bijou.

 

Il est néanmoins possible de distinguer

Quelques  fonctions  plus  spécifiques :

 

Le bracelet, plus que  tout autre bijou,

Signifie le Partage  et  la Communion.

Constitués

De maillons

 En-chaî-nés.

Lyn-et-or-bijoux.com/content

.

Outre ses

 Fon-cti-ons

Décoratives,

Bracelet est au service de multiples

Autres fonctions,  nombre intentions.

 .

Ces fonctions sont très variables selon

Les époques et les cultures, mais aussi

 .

Selon les croyances ou les perceptions

Propres à l’individu qui porte le bijou.

 .

Il est néanmoins possible de distinguer

Quelques  fonctions  plus  spécifiques :

 .

Le bracelet, plus que  tout autre bijou,

Signifie le Partage  et  la Communion.

Constitués

De maillons

 En-chaî-nés.

Lyn-et-or-bijoux.com/content

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

726 4

.

Cinq pierres empilées allant de la plus grosse

 À la plus petite :

C’est notre cairn constituant notre repère

Et un repaire à la fois

.

Symbolique 

 .

Le symbolisme des pierres

Représente la solidité, durée,

Et chaque pierre a le sien

Le cristal, la pureté,

Et le marbre, l’éternité.

.

Sous peine de délire, d’arbitraire,

Symbolique de la pierre reste dans

Le cadre du règne minéral, tient

Compte  des  caractéristiques

De la pierre qui serait une

Matière minérale  solide

Plus  ou  moins…  dure

Que l’on rencontrera

Souvent en masses

Très  compactes

 À la surface,

Dans sol.

Source : Wikipédia

.

.

Fond/forme 

 .

La somme des parties est égale au tout :

Qui ne connait cette équivalence ensemble,

 .

Pourtant je suis entier quand je me regarde

Or il me semble bien manquer quelque chose

Ce petit quelque chose, c’est toi, et c’est tout,

 .

Ne jouons pas sur les mots, tu es ma moitié

Je l’ai même déclaré au maire et au curé.

.

Textuels et illustrations  >>

725 – Tout devient une question de frontière !

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

                           La frontière, entre nous,

                        Le Monde, comme chacun sait,

                      Est notre peau, et sa représentation

                     Agit autant comme filtre qui connait.

                      Fonction des distances proxémiques,

                       Selon origine  des gens, rencontrés,

                         Étranger, plus  loin que   familier,

                           Frontière  psychique… physique.

                            La frontière, ultime, intimité,

                              Nécessite proche séduction

                              Le corps ne pourrait

                              Une âme…toucher,

                              L’intérieur recèle

                               Autre attention !

                     .

                        Tout reste une question frontière,

                     Entre soi, et les autres,  et le monde :

               Les matières et les objets s’agrègent,

        Les êtres vivants restent autonomes.

    Même  en couple, et, dans  l’intimité,

 Demeurera, toujours, cette frontière,

Faisant qu’on ne pourra se mélanger

L’un et l’autre, comme des matières.

 L’extérieur reflète parfois, l’intérieur

   D’une personne, par ses expressions,

      Mais, parfois, c’est tout le contraire ;

           Rien ne filtre comme porte de prison.

                Ne rien communiquer  de l’intérieur :

.

                 À quoi l’on pense, à quoi  l’on réagit,

                      Serait tout un art qui s’apprend petit,

                        Se donnant l’air détaché …  supérieur.

                      Il n’y a que les paroles  et  les pensées

                     Qui se conjuguent, à fond, à volonté :

                  L’esprit ne saurait avoir de frontières,

             Déborde de partout, en fusion entière.

        C’est, qui sait, la principale causalité,

     Pour préférer les images,  aux réalités,

  Esprits se retrouvent après notre mort,

Nos corps ne s’unissent pas aussi  fort.

Entre intérieur  et extérieur : frontière

Le corps nous délimite franchement

À l’intérieur l’esprit, autrement

Se fait voir, miroitière,

L’âme est reflet,

Imparfait,

Aura.

.

Extensions

 .

Tout est question de frontière

Que l’on peut franchir, ou non !

Gardez une distance proxémique

Avec un inconnu est une obligation

Bien plus  qu’avec  un être  familier.

.

Toute  frontière, corporelle, demeure,

L’un  dans d’autre, lors  toute  frontière

Sémantique s’amenuise l’un avec l’autre,

Et spirituelle se confond l’un pour l’autre.

Frontière entre nous et les objets est floue

Dès lors que  l’on peut  les porter  sur soi.

.

Entre  objets, elle  l’est, bien plus, encore

On peut les assembler, combiner, mixer.

Réduire, augmenter frontière, distance,

Entre nous avec les objets, c’est ce que

Nous faisons tous les jours, avec plus

Ou moins de succès voire de rejets.

.

Toute frontière dépend de limite à franchir ou ne pas dépasser

Elle peut être matérialisée  par la jonction de deux territoires.

Comme le « no man’s land » qui  sépare  deux états ennemis,

Elle peut être déplacée ou redéfinie, par contrat entre amis,

Elle peut provoquer  des surprises  ou  des gènes, si violée.

Entre humains, on appelle : la proximité, la proxémique

Souvent, à cinquante centimètres, l’alarme s’allume !

.

Toute frontière désigne ou signifie

Une limite existante ou imaginaire

À ne pas dépasser, voire enfreindre,

Sous peine de fâcheuses contraintes.

.

En matière psychologique, sociologique

Elle reste loin d’être la même, pour tous,

Faut tâter  le terrain, tant, s’il est hostile,

L’inconnu pourrait devenir votre ennemi.

.

Il est des lieux, des moments et situations

Où l’on s’approche de l’autre à le toucher :

Je peux vous citer une danse collée-serrée,

Mais après quoi, envie flirter : pas touche.

.

Fragments

.

Frontières évoque barrières,

Délimitations,  démarcations,

Limite, mur, séparation, lisière,

En deçà et au-delà  de sa nation.

.

Parfois franchir frontière interdite,

Requiert course de plus grand danger

On  peut se faire prendre, rejeter, tuer.

Lois ne sont pas mêmes de chaque côté.

.

En rêve, courir peut représenter la fuite

Qui devient loin d’être toujours positive

Rêver  de courir, mais sans y parvenir

 Est signe que tout va mal, paralysé !

.

La peau est notre frontière ultime,

Si elle est nue, victime d’agression

Physique, physiologique, pudique,

Voire même quelquefois ethnique.

.

L’intimité constitue une frontière

Entre soi et l’autre : de proximité,

Pas de passeport, droit à toucher,

Que permission ou consentement.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme   

 .

                       TOUT RESTE

                     La frontière, entre nous,

                        Le Monde, comme chacun sait,

                      Est notre peau, et sa représentation

                     Agit autant comme filtre qui connait.

                      Fonction des distances proxémiques,

                       Selon origine  des gens, rencontrés,

                         Étranger, plus  loin que   familier,

                           Frontière  psychique… physique.

                            La frontière, ultime, intimité,

                              Nécessite proche séduction

                              Le corps ne pourrait

                              Une âme…toucher,

                              L’intérieur recèle

                               Autre attention !

                      UNE QUESTION

                        Tout reste une question frontière,

                     Entre soi, et les autres,  et le monde :

               Les matières et les objets s’agrègent,

        Les êtres vivants restent autonomes.

    Même  en couple, et, dans  l’intimité,

 Demeurera, toujours, cette frontière,

Faisant qu’on ne pourra se mélanger

L’un et l’autre, comme des matières.

 L’extérieur reflète parfois, l’intérieur

   D’une personne, par ses expressions,

      Mais, parfois, c’est tout le contraire ;

           Rien ne filtre comme porte de prison.

                Ne rien communiquer  de l’intérieur :

   DE FRONTIÈRE   

                 À quoi l’on pense, à quoi  l’on réagit,

                      Serait tout un art qui s’apprend petit,

                        Se donnant l’air détaché …  supérieur.

                      Il n’y a que les paroles  et  les pensées

                     Qui se conjuguent, à fond, à volonté :

                  L’esprit ne saurait avoir de frontières,

             Déborde de partout, en fusion entière.

        C’est, qui sait, la principale causalité,

     Pour préférer les images,  aux réalités,

  Esprits se retrouvent après notre mort,

Nos corps ne s’unissent pas aussi  fort.

Entre intérieur  et extérieur : frontière

Le corps nous délimite franchement

À l’intérieur l’esprit, autrement

Se fait voir, miroitière,

L’âme est reflet,

Imparfait,

Aura.

.

.Forme

.

.

Évocation

.

Silhouette d’un homme,

Vu de profil, qui court,

D’accord, mais vers où, 

Et vers quelle intimité !

.

725 4

.

Pour qui, derrière, devant qui,

Coures-tu, aussi pressé ainsi :

Tout est question,  de distance,

De proximité et de frontière !

  .

Symbolique 

 .

Courir

Est un symbole,

Pour   montrer

Que l’on

Avance, vite, dans la vie,

Mais ça peut  représenter,

Également,  une fuite,   qui

N’est pas toujours positive.

Rêver  de faire  un  footing

Pourra traduire  un besoin

De faire, un peu, de sports,

Prendre soin de son corps.

Si tu rêves  que tu veux  te

Mettre à courir, mais  que

Tu n’y arrives pas …  c’est

Le signe que tu as du mal

À avancer en ce moment

Profession-nel-lement,

Sen-timen-talement

Spirituellement.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-

symboles-de-reve/courir/

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Pour qui, derrière, devant qui,

Coures-tu, aussi pressé ainsi :

Tout est question,  de distance,

De l’intimité et de frontière !

 .

Symbolique

 .

L’intime n’est pas une valeur

         Appartenant en propre à l’individu

               Mais dépasse, les frontières du charnel

                   Et transcende alors les limites du corporel

                  Que l’on s’était fixé au départ,  par le respect

                  Nécessaire de la pudeur (socle indispensable à

                La relation de confiance). Cet aspect de l’intime,

            Prend naissance dans l’espace de la rencontre.

         Il est facilité par le rapport au corps dénudé,

     Il est la possibilité d’un espace de création

Où l’intime émerge dans l’entre deux

D’une relation de soins ou autre.

cairn.info/revue-gerontologie

-et-societe1-2007-3-page-211.

 .

.

Fond/forme 

 .

Si la peau est notre frontière ultime

Je veux dire si elle est nue ou  victime

D’agressions physiques, physiologiques.

 .

Alors  toute distance  et  toute proximité,

Prendront des connotations existentielles

Tendre la main n’est pas… tendre la joue.

 .

Parler  face hygiaphone, est non direct,

Respecter frontière avec un inconnu :

Prêt à courir si l’on perçoit danger

Qu’il percute fort notre intimité.

.

Textuels et illustrations >>

724 – Mon corps qu’un bel amour subordonne

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

 C’est sûr : l’état amoureux

Conditionne notre corps

Par plein d’hormones

Encore … et encore

Et plein de choses

Vont  se modifier.

Déjà … l’appétit

Puis  le sommeil

Fatigue   et  stress,

Plus vite disparaissent

Bonne humeur, humour

Plus vite … apparaissent.

.

C’est mon corps qu’un bel

Amour en moi subordonne

Mon corps qui  … se repose,

Qui lutte et qui s’abandonne

Qui s’active,  souffre  et jouit,

Toujours, en  donnant, de lui,

Sa part  belle, des plus actives.

L’amour,  de quoi,  ou, de qui ?

.

D’abord, et, avant tout : de lui !

Mais de l’estime d’autres, aussi.

Il donne en aucun cas, le change

Duran  son plus intime  échange,

De fait si mon esprit parti ailleurs

Mon âme deviendra hors bonheur

.

Je   demeurerai fatigué comme lui

Si ce n’est même très fatigué de lui,

Même si pour tout il  me  supporte,

Même quand je   frappe, à sa porte,

Toujours il m’aide  il me transporte

Mon  corps, beau, pour lui, est laid

Pour d’autres, du moins, commun,

Est seul  que  j’ai, et  qui  lui plait.

.

Il n’a, pourtant, rien  de  si divin.

Pour qu’on  le prenne  en main

Lové  en ce creux où il se met,

Se met  à bouger   et à jouir,

Jusqu’à  n’en  plus dormir,

Jusqu’au dernier soupir,

Qu’il  laisse  s’alanguir.

.

Et je remplis ma nuit

De ma folle  pensée,

De recommencer,

Et, aujourd’hui,

À me reposer,

À  réactiver,

Mon désir

Incarné.

.

Extensions

 .

Corps qu’un bel amour subordonne,

Qu’un tendre baiser déboutonne,

Relâchant de tous ses muscles

Lors les caresses le parcourent, du haut en bas.

Il vibre, à fond, à l’intérieur, rempli de joies et d’hormones

Et, à l’extérieur, en sa peau, pétrie de pores  qui  frissonnent,

Le tout montant jusqu’au cerveau, ou des pieds jusqu’à la tête.

.

Le matin, il se lève d’un bon pied, prêt à affronter la journée

Émaillée de mille et une péripéties mais qui le rendront

Des plus aguerris. On le croit, fatigué, lassé, exténué,

Mais en un lit, il retrouve un fond secret d’énergie

Qu’il a préservé pour faire honneur à sa chérie.

.

Le corps trouve de l’énergie… insoupçonnée

Par l’intermédiaire de l’amour… physique,

Le corps de l’homme sera constitué ainsi

Qu’il est presque toujours prêt à emploi.

Celui de la femme est soumis à des lois

Qui la mettent en condition ou pas,

Si ce n’est prétexte, ne veut pas !

.

Mon corps est mon apparence, identité,

Mon corps est ma corpulence et agilité,

Mon corps est résonnance émotionnée,

Mon corps apporte énergies d’activités.

.

Et en deçà, au-delà, de lui, de tout cela,

Mon corps, par amour, est subordonné,

N’est autre que véhicule de mes pensées,

Ressent, en lui, comme frisson d’éternité.

.

Il faiblit, vieillit, parfois même en maladie

Mais il reste fidèle à l’amour que j’ai de lui,

Et que je distribue, à tout alentour, çà et là,

Dont je réserve, la majeure partie, pour toi !

.

Fragments

.

Amphore et iceberg sont métaphores

La première pour parler de la femme,

Seconde pour parler de l’inconscient,

Pour les deux, elles se correspondent.

.

Corps est ce qui  se voit, se sent,  agit,

L’amour est ce qui est invisible en lui,

En lui, disons plutôt en cœur et esprit

Toute son histoire personnelle, sociale

.

Tant la forme évoquera comme fond

La tête, le corps,  la jambe, le pied,

L’amphore a un peu de tout cela,

À l’intérieur,  contenu est subtil.

.

L’amour est  sujet d’hormones,

L’amour est sujet d’émotions,

L’amour est affaire de cœur

 Et autant de l’inconscient !

.

La symbolique amphore

Est très représentative

 De  l’origine  de la vie,

Est liée  à la femme,

Génératrice de vie.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

C’est sûr : l’état amoureux

Conditionne notre corps

Par plein d’hormones

Encore … et encore

Et plein de choses

Vont  se modifier.

  Déjà   M     l’appétit

 Puis le  O      sommeil

Fatigue   N       et stress,

Plus vite    * disparaissent.

Bonne hu     C   meur, humour

Plus   vite        O        apparaissent.

C’est mon           R        corps qu’un bel

Amour en             P        moi subordonne

Mon corps             S               qui se repose

Qui lutte et             *           qui s’abandonne

Qui s’active,            Q            souffre, et jouit,

Toujours, en            U            donnant, de lui,

Sa part belle,             ‘             des plus actives.

L’amour,  de             A         quoi,  ou, de qui ?

D’abord, et,              M      avant  tout : de lui !

Mais de l’est              O      ime  d’autres, aussi.

Il donne, en               U     aucun cas, le change

Durant   son              R     plus intime échange,

De fait si mon            *     esprit, parti, ailleurs

Mon  âme  devi         S      endra hors bonheur

Je   demeurerai        U        fatigué comme lui

Si ce n’est même      B        très fatigué de lui,

Même si en tout      O          il  me  supporte,

Même quand je      R         frappe, sa porte,

Toujours il aide     D        il me transporte

Mon corps, beau   O        pour lui est laid

Pour d’autres       N       sinon commun,

Est seul que j’ai  N      et qui lui plait.

Il n’a pourtant   E    rien de si divin.

Pour qu’on le      prenne en main

Lové dans le creux où il se met

Se met  à bouger   et à jouir,

Jusqu’à n’en  plus dormir,

Jusqu’au dernier soupir,

Qu’il  laisse  s’alanguir.

Et je remplis ma nuit

De ma folle  pensée,

De recommencer,

Et, aujourd’hui,

À me reposer,

 À  réactiver,

Mon désir

Incarné.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un beau corps est

 Aussi  une  belle

Mé-ta-phore,

Amphore.

.

724 4

.

L’amour devenant très fort se renferme

En son amphore

Où les deux corps n’en feront plus qu’un

Belle métaphore !

.

Symbolique 

 .

La  symbolique

De l’amphore

Est connectée avec

 L’origine de la vie

 .

Est indubitablement liée à la femme

Et  à sa qualité  génératrice  de vie.

 .

La   métaphore est, toujours, celle

De la femme  comme  conteneur

Comme dispensatrice de la vie

 .

De même que Le graal étant

Lui-même un conteneur,

Il possède  aussi   cette

Image  du  vase  en

Symbole créé

Divin.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

724 6

.

L’amour en devenant très fort se renferme

En son amphore

Où les deux corps n’en feront plus qu’un :

Belle métaphore !

 .

Symbolique 

.

Une métaphore

Figure de style consistant

À désigner une idée ou chose

En employant un autre mot

Que  celui  qui  conviendrait.

.

Il est  lié  à la chose  que l’on

Veut  désigner   par  rapport

De ressemblance approchée.

Elle est  régie   par l’analogie,

Constituée de deux éléments,

Le comparé et le comparant,

Premier  est  l’objet, personne

Ou la chose  que l’on compare

Second ce à quoi on rapproche.

.

Lors par exemple, si l’on dit ceci :

«Cette femme est une véritable déesse»,

« Femme» est bien évidemment le comparé

Et « Déesse» bien évidemment le comparant !

Source : Alanguefrancaise.com/litterature/metaphore

 .

.

Fond/forme 

.

Amphore comme métaphore du corps

Aucune ne pourrait bien lui ressembler

Mais la forme, l’évoquera comme fond ;

 .

La tête,  le corps,  la jambe,  le pied

L’amphore a un peu de tout cela

À l’intérieur, contenu est subtil.

 .

L’amour est sujet d’hormones,

L’amour est sujet d’émotions,

L’amour est affaire de cœur

 Et autant de l’inconscient :

Tout amour subordonne !

.

Textuels et illustrations  >>

723 – Les hommes ne savent pas ce qu’ils veulent !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Hommes ne savent pas

Ou bien   ne savent plus,

Ce qu’ils veulent, désirent

Confondant amour, plaisir.

La femme  est  alors, à la fois

Objet  et sujet  d’un processus,

Qui les attire   ou  qui les rejette

Idéal féminin fait de soumission,

Mâle domination battu en brèche

Les perturbent, en détermination

Du choix de femme au niveau,

.

Lorsque c’est dans

L’égalité différence

Que se joue, l’inten-

Sité et permanence.

.

Lors il s’attache à une femme même par jeu,

Autre, il ne sait qu’en faire mais reste envieux.

Envie, désir, besoin, sexe, tromperie, jalousie :

Une sémantique que l’on nous distille à foison

Avec pour but d’élargir, restreindre la liberté :

Pommes, de discordes, d’amours, de poisons,

L’un se retrouve en enfer, l’autre en paradis

Pour crime d’infidélité, ou excès de félicité.

 .

  Car, si c’était l’homme qui faisait la femme,

Ce serait, parfois, la femme qui le défait :

Même si  c’est  le couple, amour, sésame,

Car l’un dans l’autre, rien n’est parfait.

.

Pendant que l’homme prend la femme,

La femme le comprend ou  l’enflamme,

Ils sont en interaction, pour atteindre

Des points culminants à enfreindre.

Le véritable amour, serait ailleurs,

Et, le chercher  au fond d’un trou,

Ou devant lu,i se mettre à genoux,

N’enchaine pas  un vrai  bonheur.

 .

Ce serait l’homme qui fait la femme

Un tant soit peu, et réciproquement,

Ce serait l’enfant,  qui fait le parent,

Cœur, corps, esprit, sexe, puis âme !

.

Voir, écouter, sentir, toucher, goûter :

Les voilà bien  nos cinq sens  corporels

Et friands de sensations émotionnelles,

Pour combler un grand vide existentiel,

Nous empêchant de vivre non de rêver,

Et amour fait naître sentiment d’amitié

Pour le rendre, désormais, permanent :

L’un, recevant, quand l’autre, donnant,

 .

Femme n’est  pas  l’envers  de l‘homme,

Elle est en tout également  complément,

Si, c’est bien  l’homme  qui fait la femme,

 La femme fait l’homme et réciproquement.

.

Extensions

 .

Les hommes ne savent pas

Souvent   ce   qu’ils  veulent,

Alors que les femmes sauraient

Toujours ce qu’elles ne veulent pas

Vrai, faux, voire ce n’est le contraire.

.

Il n’y a pas de loi générale ni universelle

D’une  telle différence entre les deux sexes,

C’est aussi, surtout une question de caractère

Et d’éducation et de culture et voire civilisation.

.

L’égalité en tout est un leurre et n’a pas lieu d’être

Comme si homme/femme étaient interchangeables.

Ils ne le sont pas, il ne le faut pas : différents

Mais complémentaires, reste naturel !

.

Les hommes ne savent pas ce qu’ils veulent,

Nombreuses femmes, non plus : c’est la vie.

Tout dépend de ce que l’on attend de l’autre

Et de ce qu’il pose, propose et voire impose

Relation amoureuse, un contrat compose !

.

Les hommes demandent en mariage

Ils font même une belle déclaration,

En offrant bague  d’alliance, sacrée.

.

Les femmes demanderont le divorce

Hommes ont peu courage pour cela

S’il trompe, il n’arrive pas à choisir.

.

Fragments

.

Hommes ne savent pas ce qu’ils veulent

Les mots mêmes de nombre de femmes,

Lors il faut s’engager  pour fonder foyer,

Donnent la réponse : plus tard, on verra

.

Un nombre d’hommes seront interpellés

Par demandes  d’égalité totale, sexuelle,

Sans compter économiques et sociétale,

Fin de la femme, au foyer, fini, circulez !

.

Un faux problème qui ne fait plus débat,

Tout accord, au sein d’un couple, se fera,

Même si, en texte,  ne font partie contrat,

Trahir ses promesses, serait très indélicat.

.

De nos jours nous vivons dans l’instabilité :

Il faut s’y adapter c’est pas près de changer

Les cartes son rebattues, sont redistribuées,

À chacun d’en tirer parti, selon ses volontés.

.

La volonté permet d’effectuer une sélection

Entre tous  désirs, et choisir d’en accomplir

Certains d’entre eux et renoncer à d’autres,

«Sublimation» de sentiment et de la raison.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Hommes ne savent pas

Ou bien   ne savent plus,

Ce qu’ils veulent, désirent

Confondant amour, plaisir.

La femme  est  alors, à la fois

Objet  et sujet  d’un processus,

Qui les attire   ou  qui les rejette

Idéal féminin fait de soumission,

Mâle domination battu en brèche

Les perturbent, en détermination

Du choix de femme au niveau,

Lorsque c’est dans

L’égalité différence

Que se joue, l’inten-

Sité et permanence.

.

Lors il s’attache à une femme même par jeu,

Autre, il ne sait qu’en faire mais reste envieux.

Envie, désir, besoin, sexe, tromperie, jalousie :

Une sémantique que l’on nous distille à foison

Avec pour but d’élargir, restreindre la liberté :

Pommes, de discordes, d’amours, de poisons,

L’un se retrouve en enfer, l’autre en paradis

Pour crime d’infidélité, ou excès de félicité.

HOMME

  Car, si c’était l’homme qui faisait la femme,

Ce serait, parfois, la femme qui le défait :

Même si c’est le couple, amour, sésame,

Car l’un dans l’autre, rien n’est parfait.

.

Pendant que l’homme prend la femme,

La femme le comprend ou  l’enflamme,

Ils sont en interaction, pour atteindre

Des points culminants à enfreindre.

Le véritable amour, serait ailleurs,

Et, le chercher au fond d’un trou,

Ou devant lui se mettre à genou,

N’enchaine pas un vrai bonheur.

NE SACHANT

Ce serait l’homme qui fait la femme

Un tant soit peu, et réciproquement,

Ce serait l’enfant,  qui fait le parent,

Cœur, corps, esprit, sexe, puis âme !

Voir, écouter, sentir, toucher, goûter :

Les voilà bien  nos cinq sens  corporels

Et friands de sensations émotionnelles,

Pour combler un grand vide existentiel,

Nous empêchant de vivre non de rêver,

Et amour fait naître sentiment d’amitié

Pour le rendre, désormais, permanent :

L’un, recevant, quand l’autre, donnant,

PAS CE QU’IL VEUT 

Femme n’est  pas  l’envers  de l‘homme,

Elle est en tout également  complément,

Si, c’est bien  l’homme  qui fait la femme,

 La femme fait l’homme et réciproquement.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

La silhouette d’un homme

D’âge mûr et  en vue de dos,

En une posture immobile, 

Ne sachant que vouloir.

.

723 4

.

Des hommes  et pas un en particulier,

 Au le contraire :

Un homme sait ce qu’il ne veut pas,

Pas ce qu’il veut !

.

Symbolique 

 .

Symboles

De masculinité

Évoluent  avec

Le temps

Et selon

L’endroit du globe où on se trouve.

On retrouve des symboles phalliques

Aux temps, reculés, de notre histoire !

 .

Ces symboles  représentaient, à la fois,

La virilité, et la fécondité de l’homme.

 .

En Europe,  lors  de la  christianisation,

Ils ont, peu à peu, disparu, trop associés

 .

 Purement, et simplement, à l’acte sexuel.

over-blog.com/Quel_est_le_symbole_de_lhomme_

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

723 6

.

Des hommes en général, pas un en particulier,

 Au le contraire :

Chaque homme sait-bien ce qu’il ne veut pas,

Pas ce qu’il veut  ni combat !

 

Symbolique

.

La volonté

Peut, d’une part,

Valider  et  voire 

Con-fir-mer

 Un désir :

Je désire si fort réussir à réaliser un objectif

Que je dis le « vouloir », ce qui n’est pas le cas

Pour de simples souhaits voire de vagues désirs,

Elle peut d’autre part s’opposer  à certains désirs.

Je désire dormir or je veux cependant d’abord finir

Un travail, ce qui me poussera à agir à l’encontre de

Mon désir spontané. Volonté permet ainsi d’effectuer

Une sélection entre nos désirs, choisir d’en accomplir

Certains d’entre eux et donc  de renoncer à d’autres.

La volonté apparaîtra donc comme la reprise ou la

Sublimation d’un désir au niveau de l’intelligence

Ou de la raison. En ce sens, elle est plus réfléchie

Et moins spontanée que le désir seul.

fr.wikipedia.org/wiki/Volonte (philosophie)#Desir_et_volonte

 .

.

Fond/forme 

.

L’homme aura  treize définitions

Dans  le   dictionnaire  Larousse

Et il n’y en a que six pour femme

Allez-vous y retrouver avec cela !

.

La femme ne serait-elle que moitié

Un faux débat, s’il en est : égalité !

.

On confond parfois homme et mâle

Synonymes : hardi, vigoureux, viril.

.

Kipling Tu seras un homme, mon fils.

Est-à-dire tout le contraire d’efféminé !

.

Textuels et illustrations  >>

722 – Des jours avec et des jours sans…sans toi

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

^

Sans

Et  avec,

Avec et sans,

Avec qui et sans,

Comblé, ou frustré,

Ou pourquoi exister !

.

Car si je compte l’année

Combien de jours …  avec,

Combien de jours  …   sans :

Balance penche  de quel côté ?

.

Sans, c’est évidemment, sans toi :

Tu es la seule qui compte pour moi !

Qu’en est-il de ta part, pressée ou non,

De me revoir pour encore se rencontrer.

.

      Des jours avec et des jours sans,

  Sans qui,  sans toi,  au demeurant :

  Car jours sans sont surtout… sans toi,

    Toi  qui m’accueille  lors j’ai foi en toi !

.

  Je doute de tout y compris de moi-même,

    Mais de ton amour, pas, exception extrême,

    M’aimeras-tu assez pour supporter mon être,

    Sans cesse hésitant entre : oui, non, peut-être !

.

     Saches qu’un jour, avec,  compte double avec toi

    Et même triple ou quadruple quand je suis à toi !

   De dire que  je ne suis rien, ne fait pas de toi, tout,

   Dépendant, pour sûr, mais, pas toujours pour tout.

.

  Moi, j’ai ma vie, à finir, de construire, et de réaliser,

  Mais, je le pressens, qu’elle ne finira pas sans t’aimer

   Car j’ai bien plus de jours «avec» que de jours «sans»  

   Avec toi, tout près de moi et même loin au demeurant.

.

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

.

Extensions

 .

Un jour «sans», n’est pas tout à fait sans,

Même si ça peut paraitre paradoxal :

Tu es toujours là, en pensée.

Un jour «avec» peut devenir «sans»

Si tu ne t’intéresses à moi,

Réciproquement, bien que présente.

.

Jamais tout à fait sans,

Jamais tout à fait «avec» ou le contraire

De ceux qui sont toujours collés l’un à l’autre.

Certains paraissent «avec» l’autre en communauté,

Public, se comporteront en réalité «sans», en privé.

Y a des jours  sans»  de chaque côté  de l’Atlantique,

Et «avec» par téléphone, par courriel ou visiophone.

.

Y a des jours «sans» quand l’autre est parti «avec»

Un autre, plus encore s’il a disparu, définitivement.

Apprendre à faire «sans», on l’a fait pour sa mère

Dès l’âge de deux ans  mais c’est plus un «sans»

Provisoire, on se doute bien qu’elle va revenir,

Qu’elle ne peut que revenir, qu’elle a disparu

Physiquement, mais non, affectivement !

.

Tout le monde emploie l’expression : des jours avec et sans

Avec quoi et sans quoi : la réside la question et la solution

Avec toi, tes  paroles m’envoûtent et au point le plus haut

Avec toi, ma guitare retrouve sons et accents langoureux

Avec toi, mon cœur bat fort, lors, sans toi, électro… plat

Avec toi, mon sang bout : je perds vite mon sang froid.

Sans toi, que deviendrai-je tant tu es la moitié de moi.

.

Amour impliquera non sans

Sinon que serait-il vraiment

Bien que pauses s’imposent,

Et que peu de couples, osent.

.

L’amour est comme un soupir,

L’amour inspire comme expire,

Même la musique a des silences

Qui feront comme son d’absence

.

Ce ne sont pas les absences courtes

Qui pousseront à tentative tromperie

Ce sont les occasions, les opportunités,

Sachant que chair est faible, esprit aussi.

.

Les premières années du couple, on les subit,

Les suivantes on les espère, pour elles, on prie,

Et lorsqu’ainsi vont les choses et ainsi va la vie :

L’absence fait prendre recul en prendre son parti.

.

Fragments

.

Sans et avec ne serait jamais pareil

Ce, en toute occasion,  circonstance,

On passerait de l’ennui à… merveille,

Impensable de les mettre en balance.

.

Avec toi et sans toi, mais cela va de soi,

Les jours avec sont marqués d’une croix,

Jours sans sont effacés de mon calendrier

Sont comme jours gâchés ou mal appariés

.

Un jour avec toi, compense la semaine sans,

Un jour avec toi,  et me voilà  au firmament,

Un jour avec toi, sera comme sapin de Noël,

Un jour avec toi, lors ma vie sera  très belle.

.

C’est dire si tu me manques à  quel point,

Que sans toi, je me sens n’être plus rien,

Que chien délaissé attendant à la porte

Cet être  qui, cœur et âme, l’emporte.

.

L’on dirait presque  une supplique,

Attendant qu’on donne la réplique

Qui conviendra pour que « sans »,

Se transforme en « avec » autant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

.

^

Sans

Et  avec,

Avec et sans,

Avec qui et sans,

Comblé, ou frustré,

Ou pourquoi exister !

Car si je compte l’année

Combien de jours …  avec,

Combien de jours  …   sans ?

Balance penche  de quel côté ?

Sans, c’est évidemment, sans toi :

Tu es la seule qui compte pour moi !

Qu’en est-il de ta part, pressée ou non,

De me revoir pour encore se rencontrer.

.

    L    Des jours avec et des jours sans,

E    Sans qui,  sans toi,  au demeurant :

S    Car jours sans sont surtout… sans toi,

*     Toi  qui m’accueille  lors j’ai foi en toi !

J    Je doute de tout y compris de moi-même,      J

O    Mais de ton amour, pas, exception extrême,     O

U    M’aimeras-tu assez pour supporter mon être,     U

R    Sans cesse hésitant entre : oui, non, peut-être !     R

S                                                                                              S

*     Saches qu’un jour, avec,  compte double avec toi     *

S    Et même triple ou quadruple quand je suis à toi !    A

A   De dire que  je ne suis rien, ne fait pas de toi, tout,    V

N   Dépendant, pour sûr, mais, pas toujours pour tout.   E

S                                                                                                    C

*   Moi, j’ai ma vie, à finir, de construire, et de réaliser,    *

T   Mais, je le pressens, qu’elle ne finira pas sans t’aimer   T

O   Car j’ai bien plus de jours «avec» que de jours «sans»  O

I   Avec toi, tout près de moi et même loin au demeurant.  I

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

Jour avec

Jour sans

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Si ce n’est pas un sapin,

Quand bien même artificiel,

Lors ce serait quoi d’autre sinon

Pour  ma  part : très  éphémère !

.

722 4

.

Un sapin, d’accord que ça couvre,

Ça protège, et même rassure :

Mais un sapin sans moindre racine,

Ne pourra être qu’éphémère

.

Symbolique 

 .

«En haute

Montagne, il enlace

Rochers de racines puissantes,

S’enfonce dans les nuages

.

Et produit lui-même, en répandant

Ses aiguilles, le peu de terrain

Nourricier  dont il  a besoin  pour vivre.

.

En  plaine,  le sapin  commun

Protège Ses rejetons de ses vastes

Ailes comme une poule des plus majestueuses.

.

La tempête éclate, on entend craquer

Dans leur chute, toutes branches mortes

Grincer mystérieusement les cimes qui se heurtent.

.

Magique est l’antique forêt de sapins,

Magique et sacrée comme notre Mère originelle,

Comme la venue au monde »

reliance9.free.fr/Page_verte/sapin

.

.

Fond

 .

Évocation

.

722 6

.

Un sapin, d’accord que  ça couvre,

Ça protège, et même rassure :

Mais un sapin sans moindre racine,

Ne pourra être qu’éphémère

Symbolique

.

La fleur de cerisier dure

À peine plus d’une semaine.

Sa beauté et sa luminosité

Ne sont que passagères.

.

Elle symbolisera  ainsi

La fragilité de la vie,

Son caractère éphémère.

.

C’est aussi une métaphore

De  l’impermanence

Des phénomènes,

Notion centrale

Bouddhisme.

ecoutelebois.com

.

.

 Fond/forme 

Un jour avec un sapin, jour sans,

N’a ni queue ni tête, est éphémère

Tandis que, pour toi, aura un sens

Ainsi  la forme différera  du  fond.

 .

Le manque est salutaire, voire destructeur :

C’est selon si on le supporte ou pas du tout.

 .

Un jour ça va, deux jours, ça va … trois …

 .

Bonjour les dégâts comme verres d’alcool

On est pressé de faire l’amour, pas différé

 .

Peut-être que l’amour reste trop sexualisé,

Ou qu’on aurait peur de ne plus  être aimé !

.

 Textuels et illustrations  >>

721 – Amour n’est pas chose que l’on possède

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Amour de possession,

Possession de l’amour :

Ça sent  la manipulation,

Manque certain d’humour.

.

L’amour n’appartiendra pas,

À l’un des deux  …   conjoints :

Partagé,  certes,  entre les deux,

Mais, pas  sans égale  réciprocité.

.

Celui qui  prétend  détenir l’amour,

N’y connait rien, ne le vend pas bien,

Il prendra ses désirs pour des réalités.

.

L’amour  commence par  un a : l’autre !

Amour n’est pas chose que l’on possède

Processus aimant  auquel … l’on cède !

Présent naissance, nous est transféré

Par nos parents en faisant de nous

Fille ou garçon,  bons à marier.

.

Amours  humaines, combien

Manières  sont autorisées,

Ne   sommes  animaux

Que l’on prive libertés.

.

Nos jeux  et positions,

Sont tous inventoriés,

Rien dans nos unions

À perdre  ni à gagner.

.

À tort,  sinon  à  raison,

On échappe de sa prison,

À moindre envie de liberté

Pour en retrouver le frisson,

 Par échanges   et   nouveautés,

Espérant échapper à la répétition

D’un vécu en rêve ou en imagination

Avant de le pratiquer, remettre passion.

.

Passion se partage, processus, se fusionne

En union en état de grâce après  effet extase

Qui se prolonge le long de   jours d’inaction.

.

L’homme, très  vite  son cerveau  se remet

À gamberger met son membre en tension

Lors, chez femme  cette pause de félicité

Dépend d’humeur hormones, émotions.

.

Différences notables  bien que subtiles,

Parfois entre   être une fille, un garçon.

L’amour est passion  et pas  possession,

Affaire d’émotions, plus que de raisons !

.

Amour ne se conquiert pas, à coups de bâton :

Ne pas confondre séduction et argumentation,

Et ne voilà-t-il pas pourtant, que votre passion

Aurait, soudainement  pris, de vous, possession,

Amour de possession devient alors un oxymoron.

.

Extensions

 .

Toute possession, en amour,

N’est pas gage de propriété.

L’autre restera propriétaire

De son corps, de son esprit

De son âme, plus  encore !

.

Toute possession humaine

Est tentante et rassurante

Mais d’un tout autre côté,

Délirante, voire aliénante.

.

On ne possède que choses,

À la rigueur,  des animaux,

L’esprit, la culture, et  l’art,

Nous échappent par nature.

.

Possession par un diable, possédé par un violeur :

La première n’est que  fantasme, lié à ange mauvais,

La seconde est bien sexuelle et laisse des traces réelles

L’exorcisme : sort de cet être qui ne t’appartient pas,

Outrage, sujet aliéné n’est pas indemne de l’objet.

.

On dit d’une personne possessive :

Qui éprouve un besoin de domination

Excessive sur son conjoint, ses enfants.

.

La possession révèle un certain égoïsme ;

 La jalousie peut être une preuve d’amour.

.

Possessif vient du manque de confiance,

 Du besoin d’avoir le contrôle, complexe !

.

Quoiqu’il en fût, voire quoiqu’il en soit

Possesseur est une personne toxique.

.

À quitter, à fuir, s’il ne change pas :

On perd son temps, ne gagne pas :

Facile, conjoint ; difficile, enfant.

.

Fragments

.

Si l’on peut prétendre à posséder

Quelqu’un, quelqu’une,

En aucun cas, l’on ne l’enfermera,

En amour, qu’il n’a pas.

.

L’amour, comme l’air, pluie, vent,

Ne s’achèterait pas,

Même avec la plus grosse fortune,

Cela n’y suffirait pas.

.

C’est comme tonneau des Danaïdes,

L’amour est sans fond,

Plus on le remplit, plus il s’échappe,

L’amour est sans nom.

.

Un courant d’air entre deux orifices,

Un bonheur, ne reste

Même en consentant à tous sacrifices

S’en va, mauvais geste.

.

L’amour sexuel est des plus éphémères

L’amour filial, demeure

L’amour maternel rappelle notre mère

Et ce jusque l’on meurt.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Amour de possession,

Possession de l’amour :

Ça sent  la manipulation,

Manque certain d’humour.

L’amour n’appartiendra pas,

À l’un des deux  …   conjoints :

Partagé,  certes,  entre les deux,

Mais, pas  sans égale  réciprocité.

Celui qui  prétend  détenir l’amour,

N’y connait rien, ne le vend pas bien

Il prendra ses désirs pour des réalités.

.

*************************************

*************************************

.

L’amour  commence par  un a : l’autre !

Amour n’est pas chose que l’on possède

Processus aimant  auquel … l’on cède !

Présent naissance,  nous est transféré

Par nos parents,  en faisant de nous

Fille ou garçon,  et, bons à marier.

Amours    L  humaines, combien

Manières         sont autorisées,

Ne   som   A      mes animaux

Que l’on   M   prive libertés.

Nos jeux   O   et positions,

Sont tous   U  inventoriés,

Rien dans    R  nos unions

À perdre ni   *    à gagner.

À tort, sinon  N      à raison,

On échappe   ‘   de  *  sa prison,

À moindre     E  envie  *   de liberté

Pour en re    S     trouver        O    le frisson

 Par échan    T          ges et nou         N       veautés,

Espérant      *         échapper à la        *      répétition,

D’un vécu   P         en rêve,  ou en           P imagination

Avant de    A       le pratiquer, remet        O   tre passion.

Passion       S     se partage, processus,     S     se fusionne

En union      *   en état de grâce après     S       effet extase

Qui se prolon  C     ge le long de          È  jours d’inaction.

L’homme, très  H     vite  son       D    cerveau  se remet

À gamberger met  O     son    E     membre en tension

Lors chez femme   S      *     cette pause de félicité

Dépend d’humeur       E hormones, émotions.

Différences   notables   bien que  subtiles,

Parfois entre   être une fille, un garçon.

L’amour est passion et pas possession,

Affaire d’émotions, plus que de raisons !

.

Amour ne se conquiert pas, à coups de bâton :

Ne pas confondre séduction et argumentation,

Et ne voilà-t-il pas pourtant, que votre passion

Aurait, soudainement  pris, de vous, possession.

Amour de possession devient alors un oxymoron.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un  vase  commun

Et doté d’un col étroit

Comme en  bel  orifice 

Ouvert sur tous désirs ?

.

721 4

.

Tout orifice n’est pas un vase,

Bien que doté, que l’on possède,

Et que droit d’usage  fasse partie

Intégrité de femme est inaliénable.

.

Symbolique

.

Le vase est un contenant :

La boîte, le sac, l’armoire,

Le vase et un symbole féminin.

Dans  le  vase,  on  met  de  l’eau,

Symbole de la vie,  de la terre aussi,

Une plante, qui pourra s’y développer.

Les alchimistes appelaient aussi  vase

Le creuset dans lequel ils projetaient

Leurs transformations intérieures.

Ce lieu clos est propice à image

De    renfermement    sur  soi

Le temps   d’une  élévation

Niveau de sa conscience.

signification-reves.fr/Vase

.

.

Fond

 .

Évocation

.

721 6

.

Tout orifice n’est pas un vase,

Bien que doté,  que l’on possède,

Et que droit d’usage fasse partie

Intégrité de femme, inaliénable.

.

Symbolique 

.

Les orifices naturels ne

Sont pas les seuls à être étudiés :

Il est aussi parfois question d’orifices

Artificiellement créés, ouvertures du corps

Qu’il faut fermer ou d’orifices symboliques.

Au travers  des orifices, d’autres relations,

Entre intérieur, extérieur se construisent

Soit dans la perception de l’autre par

Les odeurs  ou par l’emploi d’injures,

En France, faisant référence aux

Orifices du corps de l’autre

Ou de ses proches.

journals.openedition.org/amades/955

.

.

Fond/forme 

 .

Ouverture servant d’entrée

Ou d’issue à certains organes,

Selon le dictionnaire Larousse !

Oribouche pour l’entrée aliments,

Orifesses pour la sortie de déchets.

On trouve aussi trou, en synonyme,

Mais il y a aussi le nez et les oreilles,

Sans oublier sexe masculin, féminin.

L’un plein, l’autre vide, et à remplir,

Mais c’est vue mécaniste de choses,

Qu’on ne possède, qu’on suppose.

.

Textuels et illustrations  >>

720 – Amour, très tard, n’est jamais trop tard

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Amour très tard,  mais trop tard :

Jamais, tant  que l’on est  vivant,

Même s’il paraît très prétentieux,

Vouloir convoler en justes noces,

Sur  son  lit, de  mort, funèbre !

.

L’amour prendrait des formes

Et différentes  et divergentes,

Fonction âge et de maturité.

Mais cet élan restera même,

De cœur, d’esprit, à l’autre,

Lorsque son corps vieillit.

.

Beaucoup   renoncent,

Pour des raisons qui

N’en    seront  pas ;

Autres  continuent

Pour   raisons   qui

 N’en sont pas  plus !

.

Amour,  lors  très tard,

Ne sera jamais trop tard

Comme un enfant, bâtard,

Conçu par un pur hasard.

.

Tant que  la sève  monte

Elle remplit sans honte

Sa fonction d’orgasme,

Guérit tout sarcasme.

.

Lors  cerveau  prévaut

Sur une bête à deux dos,

Quand  poèmes jaillissent,

En fluides, entre les cuisses.

.

Avant, ou pendant voire après,

Pareil  à  quelque    chose près,

Comme un mystère qui court.

.

C’est fini, pour cette fois, tandis que  rien n’est

À refaire, tout  reste à traduire, dans  les  faits,

Sinon, dans d’autres façons, d’être  aussi  bon :

L’amour en tous cas peut tirer parti de la leçon.

.

Extensions

 .

L’amour n’a pas d’âge, ne saurait en avoir :

Dès  trois ans, et jusqu’à  cent ans, et plus,

Il se manifeste sous ses formes possibles,

Dont la plus simple et, la plus courante

Est connue  sous le nom  d’empathie.

.

L’amour sexuel, en a un, certes mais

Quand il a débuté, il n’a plus de fin,

À ce que l’on dit bien que les exemples

Ne soient pas légion … parvenus à cent ans,

Noces de papier, noces d’argent, d’or, de platine…

Forment comme un chapelet qu’on égrène à exhiber

Sinon sa fidélité, constance, avec le même partenaire.

.

Ce sont les enfants et petits-enfants qui en seront fiers

Tout en disant que cela ne risque pas de leur arriver !

Mais les noces d’or ne se pratiqueraient plus guère,

Lorsque par ailleurs découvrir le véritable amour,

À soixante ans, vrai coup de tonnerre, en sa vie.

.

On aura quitté son premier conjoint, quand

Les enfants sont partis  et l’on consacrera

Le restant de sa vie à répare cet erreur

De casting du début qu’on a trainé

Avec soi à cause des enfants.

.

L’amour n’a pas d’âge mais pour autant il ne sera pas éternel

 À supposer qu’il le soit, comme une valeur, comme un principe,

Pour nous il est fatalement, définitivement, inscrit dans la durée

S’il est vrai aussi qu’il ne serait jamais trop tard pour le déclarer

Il y a un âge d’or où il fleurit naturellement, comme toute rose

Voir un couple voit très âgé s’embrasser en choque certains

Et pourtant c’est le signe que l’amour dure toute la vie

Monde où l’on devra cacher son amour à un âge

Sera déshumanisé et vidé de tous son sens.

Qu’on se le dise, qu’on s’en persuade

Avant qu’il ne soit trop tard

Pour le défendre

Fendre.

.

Fragments 

.

L’amour, comme chacun sait,

N’a pas d’âge, est parfois volage,

Quand il ne se tient  sur un nuage,

Tant il se cache bien où ça lui plait !

.

Je suis trop vieux… je vais tombant :

Le temps est venu, du renoncement :

Si compagne me sera sympathique,

L’amante me rendrait pathétique.

.

Et si le cœur ne tiendrait plus,

De faire l’amour serait malvenu,

Pour tout y a un temps bienvenu,

Si on ne l’a pas vécu avant : foutu !

.

L’on peut en avoir gros  sur le cœur,

De se dire qu’on va finir, sa vie, seul,

Mais existe autre forme de bonheur,

Comme de revivre beaux souvenirs.

.

J’ai été  comme vous êtes : jeune,

Vous serez comme je suis, vieux.

Le sablier se vide  tout le temps,

Amour ne dure qu’un moment.

.

L’amour se vit différemment,

Lors on s’en va en vieillissant

Mais se tient en nous encore,

Tant que l’on n’est pas mort.

.

Lors,  que faut-il  en retirer :

Tout arrêter, tout continuer,

Amour n’est jamais trop âgé

C’est à chacun d’en décider !

.

Illustrations : visuels, scénario et fiction

.

Calligramme

.

Amour très tard,             A           mais trop tard :

Jamais tant  que           M            l’on est  vivant,

Même s’il paraît         O         très prétentieux,

Vouloir convoler      U           en justes noces,

Sur  son  lit, de      R            mort, funèbre.

L’amour pren      *          dra des formes

Et différentes    T         et divergentes,

Fonction âge    R      et de maturité.

Mais cet élan  È     restera même,

De cœur, es   S     prit, à  autre,

Lorsque son  *  corps vieillit.

Beaucoup   T     renoncent,

Pour des   A  raisons  qui

N’en        R    sont pas ;

Autres    D continuent

Pour rai   !   sons  qui

 N’en sont     pas  plus !

Amour,  lors  très tard,

Ne sera jamais trop tard

Comme un enfant, bâtard,

Conçu par un    pur hasard.

Tant que la     *    sève monte

Elle remplit      T     sans honte

Sa fonction         R     d’orgasme,

Guérit  tout           O        sarcasme.

Lors cerveau            P             prévaut

Sur une bête à            *           deux dos,

Quand  poèmes            T           jaillissent,

En fluides entre              A           les cuisses.

Avant, pendant                 R           voire après,

Pareil à quelque                 D            chose près,

C’est un mystère                  !               qui court.

********************************************

À  ……..

C’est fini, pour cette    *      fois, tandis que  rien n’est

À refaire, tout  reste     V      à traduire, dans  les  faits,

Sinon, dans d’autres     O      façons, d’être  aussi  bon :

L’amour en tous cas      I     peut tirer parti de la leçon. 

R ……….

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un sablier mesurant

Le temps  des  amours

 Comme celui  de la vie,

Étant affaire de cœur.

.

720 4

.

Quand on est plus âgé, on est plus tendre,

Faire l’amour est sous sablier.

Le cœur il est vrai est plus fort, rapide,

Animal, quand on est jeune !

.

Symbolique 

 .

Le sablier représente le temps qui s’écoule.

Selon iconographie, est parfois représenté

Avec des ailes d’oiseau, de chauve-souris,

Symbolisant la fugacité temps qui passe.

.

Les allégories  du  Temps  ou  de  la Mort

.

Portent souvent un sablier, par extension

Celles de la mélancolie : il a pu être utilisé

Comme symbole d’attente en informatique,

Remplaçant le curseur de la souris indiquant

Que le système d’exploitation est en train d’agir.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

720 6

.

Quand on est plus âgé, on est plus tendre,

Faire l’amour prend du temps.

Le cœur il est vrai est plus fort, rapide,

Animal, quand on est jeune !

 .

Symbolique 

.

Le cœur est un symbole courant

Utilisé depuis l’Antiquité pour représenter

Le centre, organe cœur, d’activité émotionnelle,

Tout autant que spirituelle, morale, intellectuelle.

Cœur de couleur rouge est principalement utilisé

Comme un des symboles universels de l’amour

Et il sera, parfois, traversé par une flèche

Illustrant ainsi l’intervention d’Éros,

Ou brisé, et représentera alors

Déconvenue amoureuse.

Selon le contexte,

Symbolise

Santé

Vie

 .

 .

Fond/forme 

 .

Certains mettront un long moment

Pour découvrir le véritable amour,

Restent célibataire, faute de temps,

.

Et soudain, l’amour est dans le pré

Et il y restera pendant une éternité

D’autres s’y reprennent, divorçant,

Plutôt que de s’aimer en se forçant.

.

Que ce soit à quinze ou soixante ans

L’élan reste le même avec sentiment

Que c’est la bonne, bon an, mal an !

.

Textuels et illustrations  >>

719 – L’un dans l’autre, amants ne s’entendent

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

L’un dans l’autre, et, réciproquement,

Amants ne s’entendent pas toujours baisant

Quand l’un parle sexe et l’autre  parle sentiment

Comment savoir, lequel, des deux, aime vraiment !

Corps d’athlète, et rempli d’épithètes, d’un homme,

En pleine virilité,

Laisse augurer, pour la femme, le vrai plaisir d’être

Pour l’aimer.

Vrai que, lors la femme dira  connaître un homme,

En  largeur,

Cela voudra dire qu’elle aura testé   son sentiment,

Et s’est confiée

À lui, pour être sûre de son authenticité toujours

Meilleure défense  

Est de dire « non » à ses avances contre et pour,
Diktats d’amours.

Les yeux, la bouche,  l’extérieur,  d’une femme,

Son   apparence,

Laisse augurer chez l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand l’homme dit connaître  une femme,

Hors   hauteur,

Ça signifie qu’il a pratiqué son intimité,

En profondeur.

Pour éteindre tous désirs en flammes

A l’intérieur,

Leur corps devient seul oriflamme

Du bonheur. 

L’un en l’autre, réciproquement,

Belle redondance,

S’il en est, mais  bien  inutile,

Et bien cependant,

Pas souvent facile à utiliser

Profondeur de l’un

Qui n’atteindrait, jamais,

Intensité de l’autre.

Tant l’un  dans   l’autre,

Et réciproquement,

 Amants ne s’entendent,

Ou bien   se distendent,

Lors de trouble étrange

Qui jetterait un doute,

Sur l’accord parfait

Qui sans cesse

Renaitrait,

Ou faux

Vrai

V

.

Extensions

 .

L’un dans l’autre,

Et réciproquement,

Amants se cherchent,

Amants     se trouvent,

Amants s’entrouvrent,

Amants s’éprouvent,

Se quittent et se

Retrouvent,

Ne projettent

Que bénéfice du sexe

Et lorsqu’il s’étiole font

Un complexe de vide,

Et voire    de néant.

Perte du contact,

Perte du désir :

Substitutions

Des plaisirs !

.

L’amour d’un couple d’amants a donné lieu à nombre de tableaux,

Tous expressifs, voire interprétatifs, dans nombre des plus beaux

Et que ce soit dans l’adoration de la chair de l’amante au repos

Ou dans l’aveuglement d’un baiser …  des plus fantomatiques

Ou dans l’abandon d’un corps dénudé en nature bucolique.

L’amour ne souffre pas d’être traité de manière vulgaire,

Ne se contente pas davantage du sentiment de plaire,

Il se veut être : le sujet, et l’objet, de tous les soins,

Transpire d’un tableau comme un pur parfum.

.

Les amants par ci, les amants par-là,

Amants font ceci … amants font cela,

Mais que veut dire amants, en ce cas,

Sont-ils autant spirituels  que sexuels

Durent-ils le temps qu’une hirondelle

Que se passe-t-il, après lui, après elle.

.

Il y aurait comme une faille ou fêlure

Pour que jamais toute la vie ne dure,

Tel bel élan ayant fait, d’eux, amants,

Or, sur des socles inconnus, baisant.

.

Lentement, insidieusement, le doute

S’instaure sur intention, projection,

De l’un sur l’autre, réciproquement,

Jusqu’à ce que, plutôt brutalement,

.

La vérité éclate, faute d’authenticité

Je croyais que … tu m’avais dit que,

Et voilà que… l’on se serait trompé.

.

Fragments

.

Le pouvoir de pénétration d’une plume

Peut être direct et  fort :

Je parle de l’esprit et du cœur mais cela

Transpire dans cette écriture !

.

Chacun des amants cherche mêmes choses

Désir et plaisir, sont des choses qu’ils osent,

Même que pour cela multiplient leurs poses,

Perçoivent, à ce moment-là, leur vie en rose.

.

J’ai pris ma plus belle plume, pour apothéose,

Écris poème de ma main : défendre leur cause

Et sa calligraphie me conduit vers calligramme

Texte original, appliquant nouveau programme

.

Transformant la matière  de ce que j’aurais dit,

Dans une forme où compte, autant, la manière,

Pour peu qu’on utilise un poème  comme pivot,

Pour qu’ainsi texte/image, s’entendent amants.

.

Il en serait de même  pour nombre des amours,

On écrit texte comme un brouillon, d’une traite,

On le corrige, on le peaufine, l’améliore et le fige

Et lui donne une forme le sublimant plus encore.

.

Exercice à deux où l’homme apporte arguments,

La femme le contrarie lors apportant sentiment,

Un tel dialogue se déroulant aussi entre amants,

Pourra se faire sous une seule tête, en l’écrivant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

L’UN DANS L’AUTRE

L’un dans l’autre, et, réciproquement,

Amants ne s’entendent pas toujours baisant

Quand l’un parle sexe et l’autre  parle sentiment.

Comment savoir, lequel, des deux, aime vraiment !

AMANTS NE

Corps d’athlète, et rempli d’épithètes, d’un homme,

En pleine virilité,

Laisse augurer, pour la femme, le vrai plaisir d’être

Pour l’aimer.

Vrai que, lors la femme dira  connaître un homme,

En  largeur,

Cela voudra dire qu’elle aura testé   son sentiment,

Et s’est confiée

À lui, pour être sûre de son authenticité toujours

Meilleure défense  

Est de dire « non » à ses avances contre et pour,
Diktats d’amours.

Les yeux, la bouche,  l’extérieur,  d’une femme,

Son   apparence,

Laisse augurer chez l’homme plaisir d’aimer

En toute licence.

Quand l’homme dit connaître  une femme,

Hors   hauteur,

Ça signifie qu’il a pratiqué son intimité,

En profondeur.

Pour éteindre tous désirs en flammes

A l’intérieur,

Leur corps devient seul oriflamme

Du bonheur. 

L’un en l’autre, réciproquement,

Belle redondance,

S’il en est, mais  bien  inutile,

Et bien cependant,

Pas souvent facile à utiliser

Profondeur de l’un

Qui n’atteindrait, jamais,

Intensité de l’autre.

Tant l’un  dans   l’autre,

Et réciproquement,

S’ENTENDENT

 Amants ne s’entendent,

Ou bien   se distendent,

Lors de trouble étrange

Qui jetterait un doute,

Sur l’accord parfait

Qui sans cesse

Renaitrait,

Ou faux

Vrai.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Plume de stylo encre

Probablement,

Pour composer une écriture

 Assurément !

.

719 4

.

Le pouvoir de pénétration d’une plume

Peut être direct et  fort :

Je parle de l’esprit et du cœur mais cela

Transpire dans cette écriture !

 .

 Symbolique 

.

La plume, le stylo,

Symboles du pouvoir ?

Les chefs d’État font-ils

Partie d’un club

Qui vise le contrôle

Du monde par le stylo ?

Y aurait-il dans le stylo

Un pouvoir  puissant

Que  le   peuple   ne

Soupçonne pas ?

Serait-ce-ce un

Objet de culte,

Un accessoire

Un peu sexuel

Présentation

Du   plein

 Pouvoir

VV

slate.fr/tribune/38883

/stylo-symbolique

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

719 6

.

Le pouvoir de pénétration d’une plume

Peut être direct et  fort :

Je parle de l’esprit et du cœur mais cela

Transpire dans cette écriture.

 .

Symbolique 

.

On considère qu’une simple écriture

Peut  évoquer  un sens  complètement

Différent selon la  manière présentée.

Toute connotation  ferait appel à des

Références culturelles, une émotion,

Voire même une histoire commune.

Par exemple, il est aisé d’apporter

Une connotation asiatique à une

Typographie  faisant  des tracés

À la fois plus vifs plus courbés.

De la même manière, on peut

Sentir l’orient  en observant

De la  calligraphie  arabe.

Mais alors  comment  créer

Ce caractère et cette connotation

Pour une typographie numérique ?

graphiste.com/blog/signification-typographie

 .

 .

Fond/forme 

.

L’écriture ne manque jamais de caractères,

S’assemblant à bon escient formant des mots

Qui eux-mêmes constituent des paragraphes

Avec un sens propre, figuré, métaphorique,

Dans un style littéraire, et voire poétique.

Hors de toute typographie systématisée

L’écriture se fait dessin en calligraphie

Il y en a ainsi pour tous les amants.

.

Textuels et illustrations  >>

718 – Nous nous sommes croisés, de très près

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Nous  nous  sommes  croisés,

Un  bref  instant … ignorés,

Et  puis, enfin  reconnus,

Temps, pour souvenirs,

De mieux se rétablir.

C’est  fou  ce  qu’en

Un simple éclair,

Flots d’images

Reviennent 

À l’esprit.

 

Émotions 

En surnagent

Mais  l’on ne sait

Trop  quoi  se   dire,

Pour bien  s’entretenir

Ou balbutier des mots,

Comme regret en trop,

Bien connus de près

Ne parle exprès.

 

Nous  sommes  croisés,

De très près, à nous frôler :

J’ai senti le soyeux de ta peau

Me donner frissons dans le dos.

Tes yeux hagards   m’ont scruté,

Ton regard, s’est porté vers moi :

J’étais un pur inconnu… pour toi,

Toutefois tu t’es mise à me parler.

 

Alors … quand  je me suis retourné,

Comme te sentant  je me suis arrêté,

Je ne saurais dire ce  qui s’est passé,

Mais un éclair, en nos yeux, a zébré,

Et tu t’es sortie, de ton rêve éveillé,

Je suis venu vers toi  l’air étonné

Que  tu  ne  m’aies  reconnu,

Souvenir de moi, perdu.

 

Et, ta vue m’a rappelé,

Que je t’avais aimé,

Parfum   soudain

Regard  divin,

Tes     yeux

Ébahis

Is.

.

Extensions

Riant de ce que nous avions fait ensemble

Hurlants comme fous, grands adolescents,

Pour qui le Monde n’existe  que  passant :

Pour qui l’instant vécu est encore grand.

.

Grand  comme un trou béant, aspirant

Tous nos élans, tous  nos  tourments,

Tous nos néants, de ne pas être fixés

Encore, d’avoir aimé en chaque port.

.

Port où  nous  nous  retrouvions  seuls,

Secrètement pour nous livrer sauvagement,

Sans souci des conséquences, sans précaution,

Sans même raison, pour maximiser l’émotion.

.

Émotion de faire nos premières armes sur un

Chemin qui nous mène à d’autres rencontres

Où niais, et niaises,  nous ne le serions plus :

Bien au contraire, étions tout à notre baise !

.

Baise : première, premier, ne s’oublient  pas,

Tant l’empreinte est forte  et durable, surtout

Quand elle est adorable et porte à poursuivre,

Ni dégouté ni trompé, jusqu’à en être saturé.

.

Saturés, c’est en commun accord avons mis

Fin à nos ébats et que nous nous sommes

Jurés de ne jamais nous revoir. Oui

Mais  le hasard, un tel contrat,

Jamais il ne l’honorera !

 

Combien de personnes se croisent de très près, par hasard

 Et, sans savoir  pourquoi, en le faisant, s‘adresse  un regard :

Fugitif, éphémère mais curieux, intéressé, chargé de mystère

Qui sait si, pendant une seconde, ils n’ont partagé une sphère,

En laquelle, ils avaient mis  les mêmes parfums d’atmosphère,

Inconnus, certes mais tellement proches à tous points de vue,

Qu’on se reconnaisse parmi mille si on se croisait à nouveau.

.

L’indifférence ne tient pas devant

Souvenir de la preuve, du constat

Que l’on s’est aimé et puis séparé

Quand brutalement l’inconscient

Vous remet en selle, une intimité

Que l’on croyait, à jamais, oublié.

.

Cela marche beaucoup moins lors

Il n’aura été question que de sexe

Mais quand on y a mis son corps,

Son cœur, son esprit et son âme :

L’empreinte en devient indélébile

Ce d’autant qu’elle a été juvénile.

.

Fragments 

.

Se croiser au hasard des rues,

N’est pas rencontre convenue,

Même si l’on s’est bien connu,

Comme souvenir on est perdu.

.

Quelqu’un autre, cela peut être

Mais elle croit  me reconnaitre,

Elle s’est retournée : elle, facile.

De se tromper, à deux, difficile !

.

Son sourire,  de  ses  yeux  doux,

M’a  fait  revivre  passé  heureux,

Qui  m’avait  rendu  presque fou,

Lors aujourd’hui un peu nerveux

.

J’y ai cru, qu’elle  allait  s’arrêter,

Mais   après  qu’elle  ait …  hésité,

Elle a détourné  regard  et  visage

Et s’est remise  sur  son passage !

.

Ce fut, pour moi, comme un éclair

Souvenir remonte  en fond de l’air,

Son parfum  me revient, c’est clair,

Demeure, en moi, comme mystère.

.

Son prénom, son nom…son adresse,

Sont restés, longtemps,  en mémoire,

Je n’ai pas saisi l’occasion de la revoir,

S’étant évanouie en vitesse, délicatesse.

.

Je ne me rappelle  quand on s’est distanciés,

Est-ce mieux ainsi, elle ne m’était pas destinée

C’est l’histoire d’un rêveur, d’un idéaliste obstiné

Qui, une fois de plus, a pris son désir, pour réalité..

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

.

Nous  nous  sommes  croisés,

Un  bref  instant … ignorés,

Et  puis, enfin  reconnus,

Temps, pour souvenirs,

De mieux se rétablir.

C’est  fou  ce  qu’en

Un simple éclair,

Flots d’images

Reviennent 

À l’esprit.

.

É-mo-ti-ons 

Surna     S        gent

Mais l’on    O         ne sait

Trop quoi      M          se  dire,

Pour bien        M      s’entretenir

Ou balbutier   E          des mots,

Comme reg   S     ret en trop,

Bien connus    de près

Ne parle   exprès.

.

Nous  sommes  croisés,

De très près, à nous   C   frôler :

J’ai senti le soyeux      R      de ta peau

Me donner frisson       O         dans le dos.

Tes yeux hagards        I          m’ont scruté,

Ton regard, s’est       S        porté vers moi :

J’étais un pur         É     inconnu… pour toi,

Toutefois tu          S   t’es mise à me parler.

.

Alors … quand      D     je me suis retourné,

Comme te sentant    E     je me suis arrêté,

Je ne saurais dire ce    *    qui s’est passé,

Mais un éclair en nos   P   yeux a zébré,

Tu t’es sortie, de ton   R  rêve éveillé :

Je suis venu vers toi  È l’air étonné

Que tu ne m’aies     S   reconnu,

Souvenir de moi est perdu.

.

Et, ta vue m’a rappelé,

Que je t’avais aimé,

Parfum   soudain

Regard  divin,

Tes     yeux

Ébahis

Is.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Ca ressemblerait assez

À un beau pendentif

Avec une belle attache

Pour  sa mise en cœur.

.

718 4

.

Tes yeux, aussi verts, étincelants et profonds,

Que ce pendentif:

Ont soudain fait resurgir en moi tout le passé

De notre cœur !

Un pendentif et un cœur se conjuguent

Exerçant parfois mouvement balancier

En vue de procurer encore plus d’éclats

D’existence, tant à la forme qu’on fond.

.

Symbolique

 .

Les tendances et les modes

Sont parfois vite oubliés, remplacées.

Pourtant il y a nombre de bijoux qui durent,

Des petites choses qui resteront comme un

Pendentif, avec une émeraude verte.

Leur symbolique nous permettrait

De nous retrouver et tant dans

Notre personnalité que dans

Notre manière de vivre

Que d’être et de

Méditer

VV

hernandizjose.coma-

symbolique-des-bijoux

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

718 6

.

Tes yeux, aussi verts, étincelants et profonds,

Que ce pendentif:

Ont soudain fait resurgir en moi tout le passé

De notre cœur !

.

Symbolique 

.

Le cœur, ou “viscère rouge en forme de cône

Renversé, situé dans le médiastin, constitué

D’un muscle (le myocarde) doublé de deux

Tuniques (la péricarde, et l’endocarde) …

Selon sa définition médicale, a, toujours,

Été l’objet de mythe, avant même d’être

Associé à l’amour lors le cœur humain

Symboliserait, du fait  de sa position

Supposée  dans  un corps  humain,

Le siège  de  tout  son organisme.

Lorsqu’une   médecine  se   fera

Science  du cœur,  expression

Consacrée  trouvera  sens :

Le  cœur bat la chamade

À la vue de l’être aimé

Ou se brise lors de

Grand chagrin

Amoureux

Regret

V

franceculture.fr/histoire/le-coeur-organe-de-lamour

 .

Fond/forme 

.

Se croiser du regard entraine parfois

Mouvements, ébranlements,  du cœur.

La surprise déclenche certaine émotion

Que l’on n’est pas à même de contrôler

Et qui bien que sans paroles ni gestes

Échangés, continuera à nous titiller

Comme si fenêtre ne s’était fermée

Ou voire un parfum, évaporé !

.

Textuels et illustrations  >> 

717 – Matin, au réveil, je pense à toi, merveille

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Le matin au moment du réveil

Je me  tourne  vers toi, absente !

Dans un premier temps : frustré,

Puis, dans un second,   émerveillé.

.

Émerveillé de penser déjà bien  à toi

Tu sois l’objet  de mon  premier désir,

Tout comme de mon dernier…soupir,

Avant de m’endormir  dans tes bras.

.

Suis-je victime de mon imaginaire,

Lors qu’en réciprocité, rien à faire,

Je ne peux empêcher l’inconscient

Penser à toi matin, tout le temps.

.

Dès le matin … dès mon réveil,

Je pense  à toi,  oh  merveille,

Et  mon corps,  hypertendu,

Se jette   en tes  bras… nue.

Lors m’y glisse, en pensée

Afin de mieux   m’enivrer

De torpeur qui m’envahit

À ne pouvoir sortir du lit.

.

J’y suis, et j’y reste encore

Et, mon cœur bat plus fort,

Quand tes jambes s’écartent

Sang, en tes joues, s’écarlate.

.

Ce n’est plus tant ton … corps

Que je pénètre, que ton esprit,

Que je fenêtre et qui me réjouis

Par tes yeux en parfaits accords

Cette nuit, noire  sous  tes voiles,

Au creux  de  ta claire… obscurité

Tes yeux brillent comme les étoiles,

En reflets de ton âme…  intériorisée.

.

Je communie avec toi,   toute en éveil,

De tous tes sens   de  toutes tes pensées,

Nos imaginaires auparavant bien séparés

Deviennent superposés à nuls autres pareils

Ce n’est pas  que toi,  en femme,  à mes côtés.

.

C’est tout un monde ou  univers tout un cahier,

Que j’explore et à loisir  et en cette belle matinée

Tout, de fond en comble,  et de la cave au grenier,

Et, avec la douceur  de ton corps, des plus apaisés,

Sans parler parfum de ta peau finement pigmentée.

.

Avec toutes les lueurs de tes regards, des plus étonnés,

Qui m’accompagnent, dans mes délires, durant éternité,

Eternité de cet instant rêvé, où je pense à toi réveil sonné

Remerciant le ciel que tu sois là entre mes bras bien serrée

À tenir ma main pour qu’en tous points, l’on se sente bien !

.

.

Extensions

 .

Seule, dans mon grand lit douillet aux draps bien blancs

Je me réveille après une bonne nuit de sommeil en rêvant

Que tu es là, à mes côtés comme mon merveilleux amant,

Voilà que mon espoir s’évanouit : fausse réalité troublante

Et je me retrouve, en état de blues complet en m’habillant.

.

Le matin, après une bonne nuit de sommeil,

De quelques rêves, émaillée

Je me réveille, te sens, te touche à mon coté

Et je me dis « merveille »

.

Il y a, dans l’air, comme parfum d’érotisme,

Et je me blottis contre toi

Te désirer fort ne serait pas un euphémisme

Tant mon désir me festoie

.

Tu bouges un peu, tu tressailles et tu bailles

Tu n’ouvres pas les yeux

Que les bras pour m’accueillir sans bataille

En ton corps, en creux !

.

Je me pince afin de savoir si je ne rêve pas

Sensations sont bonnes

La journée à deux débute sans un faux pas

Si plaisir, on s’adonne.

.

Fragments

.

Au petit matin, à mon réveil,

Tout va bien, mais j’hallucine

Ta présence juste à mon côté,

Je me dis que c’est merveille,

Voilà que la réalité assassine,

Te fait disparaitre…évaporée.

.

Une fois remis de ma méprise

Je me dis, il n’est plus de mise

De continuer à te … téléporter,

Je suis seul, mais accompagné,

Par flot continuel de ta pensée,

N’allant se détacher, la journée.

.

J’ai fumé produit hallucinogène

Ayant induit mon hallucination,

L’altération de mes perceptions,

De la cohérence de mes pensées,

La régularité de mes… humeurs

Sans trop causer de confusions.

.

Mais je ne suis pas le seul, à qui

Cela est, plusieurs même, arrivé,

Si on aime trop, on est perturbé,

On mélange ses rêves avec réalité

Comme si fantôme, apparaissait,

Que l’on n’a pas envie de chasser !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

 .

Le matin au       M        moment du  réveil

Je me  tourne       A       vers toi, absente !

Dans un premier      T      temps : frustré,

Puis, dans un second,     I        émerveillé.

Émerveillé de penser déjà  N    bien  à toi

Tu sois l’objet  de mon    * premier désir,

Tout comme de mon R    dernier soupir,

Avant de m’endormir   É  dans tes bras.

Suis-je victime de mon  V  imaginaire,

Lors qu’en réciprocité    E rien à faire,

Je ne peux empêcher   I  l’inconscient

Penser à toi, matin  L  tout le temps.

.

*******************************

.

Dès le matin       J      dès mon réveil,

Je pense à toi,      oh  merveille,

Et  mon corps     *     hypertendu,

Se jette  en tes        bras, nue.

Je  m’y glisse,      E   en  pensée

Afin de mieux     N   m’enivrer

De torpeur qui     S  m’envahit

À ne pouvoir sor   E   tir du lit.

.

J’y suis, et j’y reste  À     encore

Et, mon cœur bat   *   plus fort,

Quand tes jambes   T  s’écartent

Sang en tes joues,  O  s’écarlate.

Ce n’est plus tant   I  ton … corps

Que je pénètre,    *  que ton esprit,

Que je fenêtre    M   qui me réjouis

Par tes yeux en   E   parfait accord !

Cette nuit noire  R      sous tes voiles,

Au creux  de  ta   V      claire obscurité

Tes yeux brillent  E  comme les étoiles,

En reflets de ton     âme  intériorisée !

Je communie avec  L  toi,   toute en éveil,

De tous tes sens   de  L   toutes tes pensées,

Nos imaginaires aupa E ravant bien séparés

Deviennent superposés * à nuls autres pareils

Ce n’est pas  que toi,    en femme,  à mes côtés,

C’est tout un monde ou   univers tout un cahier,

Que j’explore et à loisir   et en cette belle matinée

Tout, de fond en comble,  et de la cave au grenier,

Et, avec la douceur  de  ton corps, des  plus apaisés,

Sans parler parfum de ta peau, finement pigmentée.

.

Avec toutes les lueurs  de tes regards, des plus étonnés,

Qui m’accompagnent, dans mes délires, durant éternité,

Éternité  de cet instant rêvé, où je pense à toi réveil sonné

Remerciant le ciel que tu sois là entre mes bras bien serrée

À tenir ma main pour qu’en tous points,  l’on se sente bien !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un vase, forme conique

Avec un bouquet de fleurs

Ou cheminée… surmontée

De fumée hallucinogène.

.

717 4

.

Qu’y aurait-il de commun

Entre une femme et un tel vase :

Rien, en apparence, sauf si on la voit

Dans une sorte de fumée hallucinogène

.

Symbolique 

 .

Par sa forme,

La grâce de

Ses    courbes

Et sa fonction

De    réceptacle,

Le   vase   est un

Symbole  féminin.

Son   creux   évoque

Celui         de    l’utérus,

Féminin,   contenant  les

Fluides vitaux. Dans art et les

Rites funéraires,  vase apparaît

Emblème de   la   vie   éternelle.

Celui de la coupe est lié à deux

Connotations       opposées :

Positive,    elle    est  signe

D’un destin   favorable

Dont  elle   préfigure

Les agapes donc la

Joie et le plaisir.

heraldie.blogspot.

com/2014/08/le-vase

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

717 6

.

Qu’y aurait-il de commun

Entre une femme et un tel vase :

Rien, en apparence, sauf si on la voit

Dans une sorte de fumée hallucinogène

.

Symbolique 

.

Un hallucinogène est

Substance chimique psychotrope

Qui induirait des hallucinations,

Des altérations des perceptions,

De la cohérence de la pensée et

De la régularité de l’humeur,

Et sans causer de confusion

Mentale persistante ou de

Troubles de la mémoire.

Cet  état,   appelé  état

Modifié de conscience

Par certains usagers,

Peut être  atteint par

Démarche spirituelle,

Méditation   ou    art.

Fr.wikipedia.org/wiki/Hallucinogene

 .

 .

Fond/forme 

.

On n’en finirait donc jamais de rapprocher

Le vase de la femme tant en courbe, en creux

Ou, qu’en contenu, qu’il reçoit et qui fermente.

À vrai dire, après libération, ce symbole, éculé,

Aurait, pour beaucoup d’humains, fait  long feu !

.

Nombre d’entre elles sont encore  en sa tourmente,

C’est à croire que leur feu qui dormait sous la cendre

Se sera soudain réveillé pour un long combat d’égalité.

.

Mais si l’on fait référence au même poème, numéro 694

On voit que c’est la lampe qui l’emporte sur le vase passif.

Comme quoi avec même texte ou presque, on peut changer

De forme, de symbole, de vision globale de la femme actuelle

Tout est une question d’éducation, de culture, d’interprétation.

.

 Textuels et illustrations  >>

716 – Quand je pense à toi : téléportée, je te vois

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

À chaque  fois,  je pense à toi

Comme téléportée, je te  vois.

Ça rime, assez  bien,   ma  foi,

Avec un grand cœur  qui   bat

.

Pour toi, de  te voir   présente,

Même  si  pour de vrai absente

De cette  image  je me contente,

Tant elle est pour moi, éloquente.

.

Mon cerveau, seul, se représentera

Le fruit de nos rencontres   intimes

Et  je me  dis, lors  tu m’es présente,

Notre  plaisir  sera des plus  ultimes.

.

Quand je pense à toi,

Téléportée,  je te vois

En pensée,  en corps,

Tu ne me croiras pas.

.

Émotions remontent,

Sensations  abondent

Et  je baise  tes lèvres,

Et ta bouche en fièvre.

.

Plus je descends et plus

Tu t’abandonnes et au vu

De mes caresses, données

Sur tes seins … encapsulés

.

Par mes mains qui dansent,

Et sur ton ventre en cadence

Oserai-je  plus loin, plus bas :

Rideau : l’on n’en parlera pas !

.

Tant ton image en moi reste pure

Même si écornée par temps durs,

Lors même, partagée entre jours,

Elle restera la première toujours.

.

Extensions

 .

Voir une image virtuelle qui bouge

Devant soi, serait-ce vraiment voir

Ou seulement tromper son cerveau,

Projeter imaginaire en fausse réalité !

.

À vrai dire, la frontière est ténue entre

Ces deux faces d’une seule et même réalité,

La partie virtuelle n’est qu’autre interprétation

Du réel parmi tous les possibles : l’esprit humain

À ceci de particulier sur celui des autres animaux

Sa capacité à se projeter images qu’il fabrique

En son cerveau et qui n’ont aucun support

Physique, aucune substantialité.

.

Peut-être est-ce là l’explication des apparitions

Des fantômes et autres objets en environnement :

Ce ne serait que simple et banal artefact du cerveau.

De toute façon, il me faut bien créer  une telle  image

Intériorisée pour reconnaitre quelqu’un de familier :

Ce que n’ont plus les malades atteints d’Alzheimer

Qui ne reconnaissent plus leurs proches.

.

On peut jouer à transformer cette image

Comme un peintre, un dessinateur, un caricaturiste

Mais il en restera toujours l’esprit, caractère, identité,

Le minimum pour la reconnaitre parmi des milliers.

..

Quand l’on entre dans un virtuel

Que certains nomment métavers

Service en ligne,  donnant accès à

Simulation espaces 3D temps réel,

Restant partagées  et  persistantes,

Pour vivre expériences immersives.

.

Bien, bien,  on est bluffé … d’accord,

Mais ce n’est pas de la téléportation.

Moi je me sens davantage transporté,

Fermant les yeux : je te sens, je te vois,

Devant moi, c’est  comme si tu étais là !

Il n’y aurait rien de magique, là-dedans,

Rien que la force de ma pensée intérieure

Parce que je te connais, me projette en toi.

.

Fragments

.

Je peux me téléporter chez toi

Par la pensée, l’image projetée

.

Je peux me téléporter chez toi,

Par la parole, télécommunicant

.

Je peux me téléporter chez toi,

 Par écrit, par message, poème.

.

Je peux me téléporter chez toi,

Image virtuelle en visiophonie

.

Je peux me téléporter chez toi,

Et te voir vivre, travers fenêtre.

.

Ces cinq façons, de t’apercevoir,

Ne valent en aucun cas présence.

.

Entre encrier et lettre en papier,

Entre téléphoné et être téléporté

.

Je n’ai que l’embarras  du choix

Tout dépendra, au final… de toi.

.

Téléporté, je le serai, le suis déjà,

Si je ne peux me passer…de moi.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

J

À  chaque  fois,      E         je pense à toi

Comme télépor        *         tée, je te  vois.

Ça rime, assez           P         bien,   ma  foi,

Avec un grand           E         cœur  qui   bat

Pour toi, de  te           N         voir   présente,

Même  si  pour            S          de vrai absente

De  cette  image,         E          je me contente,

Tant elle est pour         *          moi,  éloquente.

Mon cerveau seul,       À          se  représentera

Le fruit de nos ren       *          contres   intimes

Et  je me  dis, lors         T         tu m’es présente,

Notre  plaisir  sera       O        des plus  ultimes.

 I

.

********************

********************

.

Quand je pense à toi,

Téléportée, je te vois

En pensée, en corps,

Tu ne me croiras pas.

.

Émotions   T remontent,

Sensations  É   * abondent.

Et je baise     L       T tes lèvres,

En ta bouche    É             E   en fièvre,

Plus je descends  P                *           et plus,

Tu t’abandonnes   O                V            et au vu

De mes caresses   R              O          données

Sur tes seins        T            I      encapsulés

Par mes mains    É      S   qui dansent

Et sur ton ventre  E  *   en cadence

Oserai-je plus loin  *   plus bas.

Rideau, on n’en parlera pas,

.

Tant ton image en moi reste pure

Même si écornée par temps durs,

Lors même, partagée entre jours,

Elle restera la première toujours.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un voile pudique, en haut,

Sur usage d’encrier, en bas.

Ou encore une lampe à pétrole

Ou un sas de téléportation.

.

716 4

.

Encrier n’a pas d’intention ;

C’est juste support pour écrire

Mais lors écrivant à quelqu’un

On se téléporte : un peu vrai !

Aucun lien direct entre encrier, téléporté

L’on peut tremper son doigt dans l’encrier

Pour écrire nom sur papier, pas son corps

La forme ne correspondra pas avec le fond.

.

Symbolique 

 .

Un encrier est

Un récipient permettant

De contenir de l’encre dans

Un endroit pratique pour la

Personne qui écrit avec

Une plume ou un stylo-.

.

Les encriers sont sans doute

Devenus répandus dès la diffusion

De l’écriture à l’encre, manifestant

Une grande diversité de formes et

De tailles  tout  en  partageant

Comme point commun une

Ouverture réduite pour

Limiter l’évaporation.

wikipedia.org/wiki/Encrier

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

 .

Encrier n’a pas d’intention ;

C’est juste support pour écrire

Mais lors écrivant à quelqu’un, 

On se téléporte : un peu vrai !

.

Symbolique 

.

On nomme téléportation

Le  transfert  d’un corps  dans

L’espace, sans parcours physique

 

Points intermédiaires départ  arrivée :

Thème a été traité tant en science-fiction

Qu’en physique ou en … parapsychologie.

 

Nous n’avons aucune raison de croire que

La téléportation de tout  être humain

Préserverait  la continuité  de  la

Conscience en nouveau corps.

Wikipédia : téléportation

 .

 .

Liens fond/forme 

On peut se téléporter par télécommunication,

Ses paroles, ses écrits ses images, ses vidéos,

Pas son corps, même si  on peut  le figurer,

Par image 3D projections holographique.

Et si certains  prétendent communiquer,

Par télépathie, transmission de pensées

Ce ne sera que par ondes, non matière

L’esprit en est bien capable d’émettre,

Encore faudra-t-il un bon récepteur.

.

 Textuels et illustrations >>

715 – Retrouvailles de ta peau et de tes formes

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ma main accompagne ma vue,

Tes courbes, tes mouvements

Le sucre de ta peau laiteuse,

En la bouche, sa saveur bue.

.

Ma main se souvient du grain

De ses ronds … et, de ses creux,

Et rien que de te toucher des yeux,

Apaise en moi tout ce qui est chagrin.

.

Retrouvailles de ta peau et de tes formes,

Quelques heures avant  ’angoisse, l’horreur,

Peur, peut-être, de ne pas être  à  la  hauteur,

Prédicteur peut-être d’un manque de chaleur.

.

Premier contact  de ta peau fraiche, de pèche,

Une mèche  de  sensation  m’enflamme, lèche,

La mienne, un  peu  plus  rêche, plus  revêche.

.

Ma main colle  à ta peau, comme  à ton  âme,

Douce  chaleur  l’atteint  comme  en flammes,

Et  comme  pour épouser  plus qu’une femme.

.

Point besoin  de lumière  pour  me réassurer,

Entre mille, à ton parfum,  je te reconnaitrai,

Je sais que c’est toi, je te  couche,  à t’aimer.

.

Tes formes s’épanouissent sous ma caresse,

Prennent  poses, intimant mes tendresses,

En massages érotiques qui   te   déstresse.

.

Entre mes jambes, les tiennes   s’ouvrent,

Tandis que, de mille baisers, je te couvre

Parlant d’amour que tu me prou  S  ves

Et c’est là, qu’enfin, que je te trouve.

.

Extensions

 .

En un

Beau lieu

Quelque part,

Des   musiques,

Des  voix  célestes,

Nous  berceraient  de

Leurs accents bienveillants

Et l’on décolle pour un voyage

Aux confins de notre imaginaire

Sans même faire un seul pas

Pour quitter un tel lieu :

Ta peau, tes formes

Dansent devant

Mes …  yeux,

Pénètrent

 En eux.

.

La forme et les formes, les courbes et les creux,

Tous les endroits, tous les touchers, désireux :

Une danse des mains pour l’un, et pour deux,

Et qui en feront des corps et cœurs heureux

Et qui les mèneront, peu à peu, aux cieux.

.

Un homme, une femme,

Qui perdrait ses formes,

N’attirera plus le regard,

Sauf pour les ostraciser !

.

Les formes sont soumises

À des modèles récurrents,

Dont on n‘est pas conscient

Notre émotion envahissant !

.

Ainsi feront les lignes courbes,

Attirant bien des regards fourbes

Si elles se mettent en mouvements

Jusqu’à jouir de ses contentements.

.

Mais dans l’ombre de ta clarté lunaire

Ta peau, tes formes, paraissent extraire

Comme un parfum léger, extraordinaire,

Dont corps et âme, ne peux s’y soustraire.

.

Fragments

 .

Aperçue dans mon imaginaire,

Ta peau,  tes formes : désirables,

Mais en contact : extraordinaires,

Des plus pulpeuses et plus palpables.

.

Tout un ensemble de bosses et creux,

Me font penser à un vase qui se forme,

Sous mes mains, mes doigts aventureux

 Sur ton corps en s’agitant qui le déforme.

.

Cette image, que dis-je, fantasme de potier

N’est pas sans évoquer, la naissance d’Êve :

En Paradis, de la côte d’Adam ou en glaise

Au final, création femme : belle à tomber !

.

Il n’y a pas  que ta silhouette  qui fouette,

Douceur de ta peau, est la plus chouette,

Tant je ne m’en lasse, quand je t’enlace,

Et qu’amour entre nous, s’entrelace !

.

De par ta nudité, par ta tendresse,

Tu mets ton âme à fleur de peau,

Je la sens bien sous ma caresse

Et je t’en remercie du cadeau.

..

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Ma main accompagne ma vue,

Tes courbes, tes mouvements

Le sucre de ta peau laiteuse,

En la bouche, sa saveur bue.

Ma main se souvient du grain

De ses ronds … et, de ses creux,

Et rien que de te toucher des yeux,

Apaise en moi tout ce qui est chagrin.

                                                            R

Retrouvailles de ta peau et de tes for  E   mes,

Quelques heures  avant  l’angoisse   T   l’horreur,

Peur, peut-être, de ne pas être      R   à la  hauteur,

Prédicteur peut-être d’un man    O     que de chaleur.

Premier contact de ta peau       U        fraiche de pèche

Une mèche de sensations         V        m’enflamme, lèche

La mienne, un peu plus           E         rêche, plus revêche.

Ma main colle à ta peau         *           comme  à  ton  âme,

Douce chaleur l’atteint,          P           comme en flammes,

Et comme pour épouser         E            plus qu’une femme.

Point besoin de lumière         A            pour me réassurer,

Entre mille, à ton parfum      U            je te reconnaitrai,

Je sais que c’est toi, je te         *          couche à t’aimer.

Tes formes s’épanouissent       F        sous ma caresse

 Prennent poses qui intiment   O     mes tendresses,

   En massages érotiques qui       R     te    déstresse.

Entre mes jambes, les tiennes   M    s’ouvrent,

Tandis que, de mille baisers, te  E    couvre

Parlant d’amour que tu me prou  S  ves

Et c’est là, qu’enfin, que je te trouve.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un vase,  à n’en pas  douter,

 Formes et dimensions parfaites

Selon les canons de la céramique,

Et tout  comme celle des femmes !

.

715 4

.

Un vase, à n’en pas douter

Et dont on aimerait disposer,

Mais comparaison avec femme,

S’arrête  là : sujet n’est  pas  objet !

Vase prendra la forme qu’on lui donne :

Parfois  plus féminines  que … masculines,

Souvent très éloignées, symboliques, autres,

Mais forme pouvant toujours évoquer femme.

.

Symbolique 

.

Par sa forme, la grâce de ses courbes

Sa fonction de réceptacle, le vase

Est un symbole féminin.

 .

Son creux évoque celui de l’utérus,

Le féminin contient des fluides vitaux.

Dans l’art et les rites funéraires, le vase

Apparaît, parfois, comme l’emblème de

La vie éternelle : lors celui de la coupe

Est lié à des connotations opposées.

 .

Positive, elle est signe d’un destin

Favorable dont elle préfigure les

Agapes, donc la joie et le plaisir.

heraldie.blogspot.com/2014/08/le-vase

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

715 6

.

Un vase, à n’en pas douter

Et dont on aimerait disposer,

Mais comparaison avec femme

S’arrête là : sujet n’est pas objet !

.

Symbolique

.

Il est

Difficile décrire

Beauté d’une

Femme.

Chacun aura ses critères.

Une belle  femme  peut  ne

Pas plaire à tout le monde.

Malgré  tout, au-delà  de  la

Beauté physique, une femme

A beauté intérieure sur laquelle

Il y a plus régulièrement consensus.

Une femme belle serait à mes yeux

Cette femme qui mélange avec

Harmonie grâce, intellect,

Présence et charme.

C’est cette femme chez laquelle

L’on se perdra en sa nudité.

fr.answers.yahoo.com/question

.

.

Fond/forme 

.

Le vase est un contenant

La peau est une enveloppe,

Alors, quelque part, les deux

Se rejoignent, se ressemblent.

Derrière, et je veux dire, dans,

Le vase, il  y aurait la matière

Et dans la peau, sorte d’âme

Qu’elle a ou qu’on lui prête.

Peau d’une femme aimée,

Qu’on caresse, exprime

Ame à fleur de peau !

Mais il s’agit bien là

D’une métaphore.

.

 .Textuels et illustrations  >>

714 – Ton âme, effarouchée, cœur, tout effrayé

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Ton âme,  défrayée ;

Ton cœur,   effrayé ;

En ton sexe,   frayé :

Et ça y est,   j’y suis :

Et j’y reste,  le temps

Qu’il faut   pour saut

De plein  soubresaut,

En ventre  et sur dos

Et au fond d’un puits,

Des plus satisfaisants

.

Ton âme, effarouchée,

Ton cœur tout effrayé,

Marguerite  effeuillée,

Peau,  toute  effleurée,

Ta taille,    efflanquée,

Tes ridules,   effacées,

Tes jambes,    effilées,

Ton corps,   efféminé.

 .

Je respire tes essences,

Touffes  efflorescences,

Je bois tes indécences,

Sources effervescentes

De tes désirs  effrénés,

De résistance  effritée,

Quand te gagne  effroi

D’intrusion effrontée !

 .

Tes derniers endroits,

De postures effondrées

Lors de belles effractions

De ton bassin vite franchi,

Et jusqu’à ses effacements

Par membre fort effarant,

Amours sont insatiables

Amour est effraction.

.

Extensions

 .

Les derniers endroits, de postures effondrées

Lors des effractions de ton bassin vite franchi,

Jusqu’à ses effacements par membre effarant :

Amours sont insatiables et amour est effraction.

.

L’émotion se rend  à  son  comble, il n’y aura plus

La moindre résistance, le moindre effarouchement,

Sauf peut-être pour l’âme qui ne peut être pénétrée.

.

La pudeur reste  un sentiment  et  un  comportement

Essentiellement féminin, du fait qu’intimité d’homme

Se situe davantage à l’extérieur que celle d’une femme,

Se dévoiler pour une femme, c’est se mettre en danger.

.

Celui d’être conquise et prise pour ce qu’elle n’est pas

Et ne souhaite pas : être un objet plus qu’un sujet,

Être un hochet avant de devenir rejet du fait

Qu’on la jette comme un mouchoir taché.

.

La pudeur est un mécanisme de défense

Naturelle qui fait partie de loi proxémique

À quelques centimètres car pouvant être perçu

Comme un viol de son intimité  par qui que ce soit.

.

La pudeur de l’âme est différente de l’intimité physique

Qui pour les femmes, n’engage à rien ou parfois à tout.

Livrer son âme est fendre l’armure et ne plus avoir

Aucun recours possible pour sa défense.

On comprend que dans ce cas une confiance

En l’autre requise sinon exploitation, trahison !

.

Effarouchée, effrayée, effroi et froid :

Avoir peur de quoi, vouloir cacher quoi :

Son corps, son cœur, son esprit,  son âme.

Peut-être bien l’ensemble, le tout,  à la fois,

Quand les regards d’un autre me damnent

Ou que, en dépit de tout,  me condamnent

À n’être qu’objet plaisir entre ses mains.

.

De quoi s’agirait-il ici, de pudeur,

De perdre sa vertu ou son honneur

L’on me taxerait de pudibonderie :

Lors, une fois  nue : de moi, l’on rit.

Là où il y a de la gêne, pas de plaisir

Dit un dicton, appuyant tous  désirs,

Il y a femmes nues,   sans complexes,

Et autres semi dénudées,  qu’on vexe.

Ce n’est pas nudité qui pose problème

C’est l’œil qui la regarde,  en lubricité,

Quand l’âme se dissout dans un corps,

Il ne reste plus qu’un objet, fantasmé.

.

Fragments 

.

On parle souvent de colliers, pendentifs

De bagues, d’anneaux, boucles d’oreilles

Moins de bracelets fantaisie  ou montre,

Mais que signifiera derniers, pour elles !

.

Bracelet serait  devenu un « mot valise»

Polysémique  pour les poignets et pieds,

Jusqu’à mettre en valeur, montre chère,

Si ce n’est en cuir, en différents métaux.

.

Lors, si elles t’embrassent : en bracelets,

Polysémique aussi, manière phonétique :

Un peu moins drôle bracelet électronique

Mais c’est mieux que collier de prisonnier

.

Le bracelet offert serait un témoin d’amitié,

Lors d’un voyage, séjour pour bien marquer

Le souvenir d’attachement affectif commun,

C’est pour cela qu’elles en portent  plus d’un.

.

Il fut un temps, où, communautés primitives

S’échangeaient des colliers avec des bracelets

Aux époques où l’individuation, n’était actée :

Certains ne pouvaient même plus être enlevés.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

TON ÂME,

Ton âme,  défrayée ;

Ton cœur,     effrayé ;

En ton sexe,      frayé :

Et ça y est,       j’y suis :

Et j’y reste,       le temps

Qu’il faut       pour saut,

De plein      soubresaut,

En ventre     et sur dos

Et au fond  d’un puits,

Des plus satisfaisants

EFFAROUCHÉE,

Ton âme, effarouchée,

Ton cœur  tout effrayé,

Mar    guerite effeuillée,

Peau,      toute effleurée,

Ta taille,        efflanquée,

Tes ridules,       effacées,

Tes jambes,       effilées,

Ton corps,   efféminé.

TON CŒUR,

Je respire tes essences,

Touffes    efflorescences,

Je bois     tes indécences,

Sources      effervescentes

De tes désirs       effrénés,

De résistance      effritée,

Quand te gagne    effroi

D’intrusion effrontée !

EFFRAYÉ !

Tes derniers endroits,

De postures  effondrées

Lors de belles effractions

De ton bassin vite franchi,

Et jusqu’à ses effacements

Par membre fort effarant,

Amours sont insatiables

Amour est effraction.

 .

Forme

.

.

Évocation

.

Bracelet de montre

Probablement,

Bracelet de montre

 Certainement !

.

714 4

.

Qu’y a-t-il de commun entre un bracelet

Et une émotion particulière :

Rien, en apparence, sauf si variété bracelets

Vous importe beaucoup !

Rien de commun entre bracelet et une âme

Je n’aurai de bracelet même si je me damne :

Bracelet montre pour que temps me condamne

La forme de bracelet ne convient en rien au fond

.

Symbolique

.

Un bracelet

Forme tête-de-mort

Exprimera la rébellion,

L’insoumission aux règles.

 .

Un shamballa  tête-de-mort,

Une  critique  de la société  de

Consommation et de ses excès.

Un  shamballa   de  méditation

A une signification  spirituelle.

 .

Un  bracelet   brésilien  est   un

Symbole  d’amitié,  prospérité.

S’il s’agit de bracelet de  force

Évoquera puissance, virilité.

Source bijoux4men.com/blogs/info/

bijoux-homme-que-symbolisent-ils

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

714 6

.

Qu’y a-t-il de commun entre un bracelet

Et une émotion particulière :

Rien, en apparence, sauf si variété bracelets

Vous importe beaucoup !

.

Symbolique 

.

Un bracelet est un cercle,

Une chaîne ou un ornement

Porté au bras

 Ou au poignet

Mais bon nombre des gens

Ne sont pas conscients de sa

Signification

Sym-bo-lique

Comme  tout  autre  bijou,

Bracelet  a un symbolisme

Et signification

Bien différente

Selon type  bracelet  donné

Sociétés culturelles utilisent

Le bracelet pour

Signifier symboles

Liés à leur société, voire à

Leur histoire particulière,

Et pouvant    jouer

Rôle énorme en vie.

rochesens.fr/porter-un-bracelet/

quelle-signification-offrir-un-bracelet

 

.

Fond/forme 

.

Il existe des centaines de bracelets

Ce depuis l’antiquité, la préhistoire

Aujourd’hui on  parlera de bracelet

Électronique posé sur … la cheville !

.

On parlera aussi  de montre-bracelet

Quand ce dernier  est en métal, acier !

Fut un temps où l’on mettait le bracelet

Aux avant-bras, surtout  pour hommes !

.

Bref, imaginons : bracelet pouvait parler,

Ils nous raconteraient des histoires variées

Bracelets pour embellir, bracelet pour punir

.

Ou bracelets branchés pour des informations,

Bracelets pour le rythme cardiaque ou diabète,

Et j’en passe … bracelets pour discothèques, etc.

.

 Textuels et illustrations  >> 

713 – Un, deux, trois, nous irons au bois !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Cette comptine

Pour … les enfants,

Qui  ne  la  connait  pas,

Pour  apprendre  à  compter

Et pour apprendre à raconter,

En  deux niveaux  de lecture,

Enfant, et puis, adolescent,

Innocent puis amoureux,

Imaginaire et puis jeu.

.

Un, deux, trois, nous irons au bois,

Comptine pour apprendre à compter,

Pour apprendre à chanter sur les doigts,

Un vrai début de conte de sorcière ou fée.

.

Quatre,  cinq,  six,  cueillir des  …  cerises,

Un beau dimanche en grimpant bien vêtus,

Toi, d’une robe, moi, de pantalon, chemise,

Et ensemble, dans l’arbre  du  fruit défendu !

.

Sept, huit neuf … dans  mon panier …  neuf,

Pour  gouter  le  nectar  d’une  chair   désirée,

De queue, jusqu’à noyau, plein  comme  œuf :

N’en descendre qu’après  une pleine  ventrée.

.

Dix, onze, douze, elles seront toutes …rouges

Et nous verts d’en avoir, sans retenue, profité,

On ne vit qu’une fois et si jamais on ne bouge,

On ne vivra jamais paradis sur Terre retrouvé.

.

Comptine en forme de chansonnette revisitée,

S’adressant à nombre d’amoureux d’autrefois,

Au bois, sans cerises … ou cerises,  sans bois

Chimie, aujourd’hui, remplacera l’alchimie.

.

Chimie qu’une chair, un noyau ou queue,

Des cerises croquées, avec plaisir, à loisir

Belle  alchimie  des  saveurs  et des désirs

 Qui  en ferait, ainsi,  des fruits savoureux,

.

Auréolé d’un certain  parfum ….  mystère

Qui en ferait comme un péché sur…Terre

Tant  cerises  sont    accouplées  par deux

Et font, pour nous     pendentifs, curieux.

.

Un, deux, et trois,      retournons au bois

Voir si l’amour y est encore ou n’y est pas

Grimper ensemble   arbres, risques, périls

Resterait grand moment d’activité fébrile.

.

Extensions

 

La cerise évoque le printemps, forcément

Mais tout autant le gâteau, comme supplément.

Le bonheur en sus du plaisir, n’est-ce pas là l’apogée

Du désir, celle qui ne se produit que de temps en temps

Et qui demeure comme un soleil rouge dans un ciel sans nuage,

S’en allant couchant.

.

Le bois évoque la cachette sous les arbres,

La protection de la nature, la communion avec elle,

Le lit de feuillages et la lumière tamisée : un univers

En demi-teinte e semi obscurité ou seuls

La lumière de l’amour parvient à jaillir

Des amants en pleine étreinte

Et pleine sérénité.

.

1, 2, 3
Nous irons au bois
4, 5, 6
Cueillir des cerises ;
7, 8, 9
Dans mon panier neuf

10, 11, 12
Elles seront toutes rouges !

.

Fragments

.

Comptine ou chanson,

C’est comme on veut,

Et dernier quatrain,

En guide de refrain

.

Et nous, c’est deux

Deux en amoureux,

Homme avec femme,

Un beau programme !

.

Étant enfant, on va au bois

Pour courir dedans, s’amuser,

Étant adolescent pour s’embrasser,

Étant adultes pour aller au fond de soi.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

 .

Cette comptine

Pour … les enfants,

Qui  ne  la  connait  pas,

Pour  apprendre  à  compter

Et pour apprendre à raconter,

En  deux niveaux  de lecture,

Enfant, et puis, adolescent,

Innocent puis amoureux,

Imaginaire et puis jeu.

.

Un, deux, trois, nous irons au bois,

Comptine pour apprendre à compter,

Pour apprendre à chanter sur les doigts,

Un vrai début de conte de sorcière ou fée.

.

Quatre,  cinq,  six,  cueillir  des  …  cerises,

Un beau dimanche en grimpant bien vêtus,

Toi, d’une robe ; moi, de pantalon, chemise,

Et ensemble, dans l’arbre du fruit défendu !

.

Sept, huit neuf … dans mon panier …  neuf,

Pour gouter  le nectar  d’une  chair  désirée,

De queue, jusqu’à noyau, plein comme œuf :

N’en descendre qu’après une pleine ventrée.

.

Dix, onze, douze, elles seront toutes … rouges

Et nous verts d’en avoir, sans retenue, profité,

On ne vit qu’une fois et, si jamais on ne bouge,

On ne vivra jamais, paradis sur Terre retrouvé.

.

Comptine  en forme de   chansonnette, revisitée,

S’adressant à nombre      d’amoureux d’autrefois,

Au bois sans cerises  U        I   ou cerises sans bois

Chimie, aujourd’hui  N        R   remplace alchimie.

Chimie qu’une chair  *         O  un noyau ou queue,

Des cerises croquées D        N   avec plaisir à loisir

Belle  alchimie  des   E         S    saveurs  des désirs

 Qui  en ferait ainsi    U        *     un fruit savoureux,

Auréolé de certain     X        A     parfum…. mystère

Qui en fait comme     *        U   un  péché sur Terre

Tant  cerises  sont     T         *  accouplées par deux

Et font, pour nous     R        B   pendentifs curieux.

Un, deux, et trois,     O       O   retournons au bois

Voir si l’amour y est  I        I  encore ou n’y est pas

Grimper ensemble    S       S  arbres risques périls

Restera   grand  mo  *        * ment activité fébrile.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une silhouette d’homme

Parvenu à la maturité,

Mais vu ici,  de dos :

De sexe ambigu.

.

713 4

.

Enfant devenu homme

Ses jeux auront changé :

Aller au bois,  c’est pour 

 Goûter au sexe préféré !

.

Symbolique 

 .

Les symboles

De la masculinité

Évoluent avec le temps

Et selon  les ‘endroits

Du globe où

On se trouve.

 .

Ainsi, on retrouve des symboles

Phalliques aux temps les plus

Reculés  de   notre  histoire.

Ces symboles représentent

À la fois la virilité et la

Fécondité de l’homme.

 .

Et en Europe, lors de  la

Christianisation, ils   ont

Peu à peu disparu, car ils

Étaient associés à l’acte sexuel.

over-blog.com/Quel_est_le_symbole_de_lhomme_

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Enfant devenu homme

Ses jeux auront changé :

Aller au bois, c’est pour 

 Goûter au sexe préféré 

.

Symbolique

.

Il vous arrive de devoir réfléchir pour

Savoir quel signe correspond à quel sexe ?

Petit truc  pour ne plus jamais vous tromper !

.

Le symbole féminin est en fait, dans la mythologie,

Miroir de déesse Vénus au pied en forme de croix.

.

Et le symbole masculin est celui du Dieu Mars

Un bouclier et une flèche prête à être tirée.

Source : jeretiens.net/masculin-ou-feminin

 .

.

Fond/forme 

 .

Qui ne connait la chanson pour compter

Les chiffres qu’on énumère comme série,

Pour les apprendre  aux jeunes  enfants,

De manière ludique,  mnémotechnique !

.

Il  existerait des centaines d’illustrations

Comme celle-ci notamment pour le sexe

Le miroir à pied en croix pour la femme

Le bouclier avec la flèche pour l’homme.

.

Et pour les lacs de l’Amérique du Nord :

Sherlock Holmes : la série, le détective :

Huron, Ontario, St Laurent, Michigan,

Erie, Supérieur, rien d’autre à ajouter.

 Textuels et illustrations  >>

712 – Pour trouver la paire, choisir chaussure

 Textuels et illustrations  >>

        .

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Paire de chausse

Trouver la chaussure

À son pied très exactement

Trouver un pied, à chaussure,

Les  deux  prennent  leur temps,

.

Sans  compter  une  énergie  folle,

Pour être sûr de ne pas se tromper

Tant, du talon, à la pointe des pieds,

Certaines sont dures,  autres molles,

Il y en a même  qui vous  déchausse.

 .

Pour trouver paire choisir chaussure,

Mais pas d’impair sinon meurtrissure

Je me mets en tête,  et mets en quête..

D’un de ces gars  qui conte fleurette….

M’aime-t-il que pour ma devanture….

Quant au reste, mauvaise pointure,…..

.

Poule caquette mais pas galipettes……

Baiser est non  poudre escampette……

Ai-je eu affaire  à une grosse enflure….

Qui se satisferait,  mon enfourchure,…

Comme soubrette, comme coquette,…

Ne m’aimerait que  pour  trinquettes.

Un refus brutal – une intime blessure,

Un coup  de  canif – une éclaboussure,

Et tu te répètes – tu es bien trop bête :

Tu t’es mis  trop tôt – le cœur, en fête.

.

Eh,  toi, là,  Ducon – en  déconfiture :

T’as sorti ton jeu, hors température :

Remets  ta liquette, ferme baguette,

Ne m’appelle pas Suzette : Juliette.

.

Extensions

 .

La chaussure, comme chacun sait,

Est un symbole de sexualité, sans doute

Parce qu’on y glisse un pied dans l’intérieur

Et que l’on doit s’y sentir bien au point de vouloir

Y rester et de partir et voire même de se marier avec !

.

Comme il y en a de tous les genres, de toutes les pointures

Et pour toutes les bourses, et pour tous les goûts, le choix est

Des plus larges et des plus éclectiques, et voire excentriques.

La chaussure peut être : lourde ou légère, haute ou basse,

Sèche ou fourrée, en matière n’écorchant pas les pieds.

.

Les chaussures ont un rapport évident au couple,

Du fait même qu’elles marchent par paires

Mais aussi un rapport à soi-même,

En particulier pour les femmes.

.

Un produit de compensation

Du mal-être, symptomatique de

Celle qui achètera des chaussures

Qu’elle ne portera pas par la suite !

.

Dix magasins pour une paire de chaussures

La vie des femmes, sur pieds, est plutôt dure :

Il y a tellement de choix que toutes, et pas une,

Ne conviennent  parfaitement, sont communes.

Ah oui, le prix, j’oubliais, deux pour prix d’une,

Une chaussure qui leur coûterait une fortune,

Elles se sentiraient mal de…  marcher avec.

Ce ne sont pas les pieds qui choisissent :

Rien que la tête, rien qu’à leur tête !

.

Pas question ici de mettre les deux pieds

Dans la même chaussure, le même  sabot,

On passerait et vite, pour un double idiot,

On ne peut enfourner  avec chausse-pied !

.

Quand on dit que : les deux  font la paire :

S’agit surtout ne pas commettre d’impair,

Lors n’importe qui ne pourra faire l’affaire

Il faut trouver un conjoint extraordinaire !

.

Vous voyez si je suis bien en une chaussure,

Et pas l’autre : je marcherai lors en boitant.

L’un dans l’autre, et ajustés…  parfaitement

On durera longtemps, avec même baisure !

.

Fragments 

.

En quoi une chaussure serait-elle symbole

Union accordée entre deux êtres accouplés,

Par ce qu’on y enfonce le pied, côté féminin,

Parce qu’elles marchent par paire, masculin !

.

Est-ce pour cette raison que  les femmes auront

Dix paires de chaussures, lors, l’homme, moins :

L’érotisme du pied féminin ne se limiterait point

À ses pieds nus : à ses bottes,  à ses hauts talons !

.

Chaussure deviendra aussi multiple, sophistiquée

Au fur et à mesure femmes se seront émancipées :

Bien plus elle ne s’accordera pas qu’avec leur teint

Avec leur parure pour approcher ensemble divin !

.

C’est un peu le monde à l’envers, que les femmes

En essayeront une dizaine, pour en trouver une,

Tandis que les hommes feraient pareilles mais

Avec les femmes, pas pour leurs chaussures.

.

Je m’égare, des chaussures, il y en a mille,

Je cherche celle que Cendrillon a perdue,

C’est juste histoire d’essayer plus d’une

Et quand je la trouve enfin : fortune.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme 

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 Paire de chausse

   Trouver la chaussure

   À son pied très exactement

  Trouver un pied, à chaussure,

  Les  deux  prennent  leur temps,

 Sans  compter  une  énergie  folle,

Pour être sûr de ne pas se tromper

 Tant, du talon, à la pointe des pieds,

Certaines sont dures,  autres molles,

Il y en a même  qui vous  déchausse.

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P O U R  T R O U V E R  P A I R E,

Pour trouver paire choisir chaussure,

Mais pas d’impair sinon meurtrissure

Je me mets en tête,  et mets en quête..

D’un de ces gars  qui conte fleurette….

M’aime-t-il que pour ma devanture….

Quant au reste, mauvaise pointure,…..

Poule caquette mais pas galipettes……

Baiser est non  poudre escampette……

Ai-je eu affaire  à une grosse enflure….

Qui se satisferait,  mon enfourchure,…

Comme soubrette, comme coquette,…

Ne m’aimerait que  pour  trinquettes.

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C H O I S I R     C H A U S S U R E

Un refus brutal – une intime blessure,

Un coup  de  canif – une éclaboussure,

Et tu te répètes – tu es bien trop bête :

Tu t’es mis  trop tôt – le cœur, en fête.

Eh,  toi, là,  Ducon – en  déconfiture :

T’as sorti ton jeu, hors température :

Remets  ta liquette, ferme baguette,

Ne m’appelle pas Suzette : Juliette.

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Forme

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Évocation 

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Cela ressemble autant

À une grosse chaussette

Qu’à   une  chaussure 

Qu’il faudra trouver.

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Ce

Chaussure seule est comme

 Égarée, perdue, est veuve :

On peut en essayer des dizaines

Avant de trouver la bonne.

Trouver chaussure à son pied :

Voilà bien  expression consacrée,

Si ce n’est pas pied pour chaussure

Comme dans Cendrillon, autre conte.

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Symbolique 

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Pendant très longtemps,

Chaussure plus que toute

Autre  partie  du   vêtement,

A présenté  et  a été  chargée,

De symboles très importants :

Symbole  de  richesse,  symbole

De puissance, symbole  magique,

Et religieux, de  cultes   et   de  rites.

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Une coutume venue de la nuit des temps

A fait considérer  l’offrande de la chaussure,

Comme la ratification sans appel de la conclusion

Soit d’un mariage ou un marché, chez les Romains,

Les règles élémentaires du savoir–vivre exigeaient

Qu’on ôta ses chaussures en arrivant chez un hôte.

fanny-chaussures.com/symboles-dans-l-histoire-de-la-chaussure

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Fond

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Évocation 

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Chaussure seule est comme

 Égarée, perdue, est veuve :

On peut en essayer des dizaines

Avant de trouver la bonne.

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Symbolique de fond

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Freud a identifié la chaussure

Comme un vrai symbole sexuel,

Pied comme symbole phallique.

Or il se glisse en la chaussure.

On en déduira que  chaussure

Est symbole du sexe féminin.

Trouver  chaussure à son pied

Prendra  dès lors  tout son sens.

Chaussures servent  à marcher.

Être bien chaussé est le meilleur

Moyen d’avancer sans douleur,

Sur tous  les chemins  de la vie.

Se sentir bien dans ses baskets

Est  présage positif en rêves.

heraldie.blogspot.com/2014/10/

psychanalyse-de-la-chaussure

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Fond/forme 

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Chaussure et pied vont ensemble, certes

Et chaussure et partenaire pour le sexe

Si ce n’est pied pour couple en mariage

Qui avance sur deux, ou quatre pieds.

Si on a trouvé chaussure à son pied,

Qui dit qu’il n’y a pas d’équivalent

Meilleure chaussure, inconnue !

Certains ne les enlèveront pas

Pour  prendre  leurs pieds :

Trop fétichistes, peut-être.

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