711 – Les pieds, faut savoir les rimer, conter

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Les pieds peuvent être droits

Les pieds peuvent être croisés

Les pieds  peuvent être ouverts

ABAB     ou  ABBA      ou AABB.

.

Les rimes peuvent être… suivies,

Les rimes peuvent être… croisées,

Les rimes peuvent être embrassées

ABAB  ou bien ABBA   ou bien AABB.

.

Cela rime à quoi de comparer les pieds,

Qui n’ont pas, du tout, la même fonction

Les uns chaque jour  nous  supportent,

Même si les  autres nous importent.

.

Les pieds, il faut savoir les rimer,

Les pieds,  il faut savoir  les conter,

Et les pieds, faut savoir  les allumer,

Et les pieds,  faut savoir  les allonger !

Mais au fait de quels pieds s’agirait-il

De ceux des poètes, ceux  d’amoureux,

Mais s’ils se confortent  tous les deux,

Lesquels  seront  les  plus   versatiles !

.

Y a aucune  hésitation, c’est le second

Amoureux  enfonce  le pied  en creux

Des touffes en vrais  poils  visqueux,

Pour séries de va-et-vient hors non

Mais avant  cela,  pas de  panique,

Ce n’est pas tant le temps : nique,

Qui compte même si  la musique

La rendrait si forte, fantastique.

.

Ce sera plutôt, explorant canons

Beauté de son corps en abandon

Qu’on entend, le mieux, les sons

Des cœurs en mêmes pulsations.

L’un puis l’autre,  puis les deux,

Puits de caresses, lance de feux,

Danse à deux dos, à pourfendre,

En soupirs, agréables à entendre.

.

Mais avant de la pénétrer et fendre

Faut la mouiller  et bien la détendre,

Et cela l’un dans l’autre  à la demande,

En rythmes ils se calquent et se tendent,

Les yeux, tantôt  ouverts, et tantôt fermés,

La belle chevauchée peut, lors, commencer,

Au plus loin des galops effrénés d’un poète,

S’il est vrai, que, aujourd’hui, c’est sa fête.

.

Et que dire de la suite, sinon  l’absence

De retenues, l’absence  des réticences

Les secouant aux fonds  en leurs sens

En corps se réjouissant très intenses,

En vos cerveaux, vos corps et peaux.

.

Extensions

 .

Quels pieds faut-il croiser,

Quels pieds faut-il embrasser,

Quels pieds faut-il chausser,

Quels pieds faut-il ouvrir,

Quels pieds  faut-il suivre,

Quels pieds faut-il rythmer !

.

Des questions métaphysiques

À se poser avant d’entreprendre

La moindre, écriture ou  poésie,

Sans parler moindre acrobatie

Lors quels liens  entre elles :

Si partez du mauvais pied,

Vous le verrez de suite ;

Si vous partez du bon

Vous le sentirez !

.

Entre pieds de vers et …  verres à pieds,

Sans compter les pieds qui nous portent,

Il y a de quoi se les prendre dans le tapis

Surtout, si,  excès de vins vous emportent.

Les pieds de vers sont en portées musicales

Qui rythmeront un texte, en plus des rimes,

Faut savoir les manier pour bien les conter.

.

Peu de gens s’intéressent  aux pieds :

Sauf pour marcher, sauf pour baiser !

Pour le prendre, parfois, le surprendre

Mais attention à ne pas se méprendre.

.

Voilà bien une strophe rimée en AABB

Aux rimes faibles et tronquées par AA,

Aux rimes  égales et plus riches en BB :

C’est un peu  le b à ba de toute poésie !

.

Remarquez  qu’on l’écrit aussi : béaba

Parfois même : b-à-ba, et voire, baba.

On peut s’amuser de nombre de mots,

En y ajoutant des préfixes ou suffixes.

.

Fragments

.

Pour rapporter une histoire

 Il faut savoir conter,

Pour composer alexandrins

Il faut savoir compter,

Pour associer belles sonorités

Il faudra bien les rimer

Et pour faire accorder le tout,

Il faudra savoir… les arrimés !

.

Vous voulez savoir béaba poésie,

Il vous faudra jongler avec A et B.

Les figures, mouvements imposés

Seront ABAB  ou ABBA  ou AABB.

Attention à ne pas mélanger pieds

Vous perdriez le rythme, tomberiez

Sur une fausse note pour les rédiger,

Résonnance et harmonier, au panier.

.

Pieds ça rime en tous cas visuellement

Cinq doigts de chaque côté, deux creux,

Pour la symétrie, il n’y aura guère mieux

Et  l’on peut s’améliorer, continuellement,

En pratiquant la danse des pieds, sonnant,

Une volée de mots des plus métaphoriques,

Qui ont pour effet, vous rendre euphorique,

Et voire même vous mener jusqu’aux cieux !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

 .

Les pieds peuvent être droits

Les pieds peuvent être croisés

Les pieds  peuvent être ouverts

ABAB     ou  ABBA       ou AABB.

Les rimes peuvent être… suivies,

Les rimes peuvent être… croisées,

Les rimes peuvent être embrassées

ABAB  ou bien ABBA   ou bien AABB

Cela rime à quoi de comparer les pieds,

Qui n’ont pas, du tout, la même fonction

Les uns chaque jour  nous  supportent,

Même si les  autres nous importent.

.

******************************

.

Les pieds, il faut savoir les rimer,

Les pieds,    L faut savoir  S   les conter,

Et les pieds,  E   faut savoir  A   les allumer,

Et les pieds,   *    faut savoir     V   les allonger !

Mais au fait   P      quels pieds     O  s’agiraient-il,

De ceux des   I       poètes  ceux      I     d’amoureux

Mais s’ils     E       se  confortent     R tous les deux

Lesquels      D      seront   les plus    *     versatiles !

Y a aucune  *      hésitation, c’est     L   le second :

Amoureux   F      enfonce  le pied     E     en creux

Des touffes  A       en  vrais  poils      *   visqueux,

Pour séries   U      de va-et-vient    R    hors non

Mais avant   D      cela,  pas de     I    panique,

Ce n’est pas   R    tant temps   M     la nique

Qui compte   A   même si    E  la musique

La rendrait    *  si  fort   R  fantastique.

C’est  plutôt,   explorant   les canons

Beauté de son corps   en abandon

Qu’on entend   le mieux les sons

Des cœurs en même pulsation.

L’un puis l’autre, puis les deux,

Puits de caresses, lance de feux

Danse à deux dos, à pourfendre,

En soupirs, agréables  à entendre.

Mais avant de la pénétrer et fendre

Faut la mouiller   *  bien la détendre,

Et l’un dans l’autre     *   à la demande,

En rythmes se calquent,   L    se tendent,

Les yeux, tantôt  ouverts,    E      et fermés,

La chevauchée pourra         *     commencer,

Au plus loin du galop          C          d’un poète,

Vrai, que aujourd’hui        O          c’est sa fête.

Que dire de la suite,          N        sinon absence

De retenues, absence       T         des réticences

Les secouant aux fonds    E        en leurs sens

En corps se réjouissant     R  très intenses,

En vos cerveaux, vos corps  vos peaux.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

En haut, liste pieds, métrique,

En bas, un pied, asymétrique

Qu’il soit raccourci,  rallongé,

Pied bot ne sera beau-pied !

.

711 4

.

Prendre son pied, au propre,

N’est pas pareil qu’au … figuré :

Si, parfois, les deux ne riment à rien,

Cela peut être autant le contraire !

.

Symbolique    

Pensez-vous qu’il est normal

Que je ne puisse jamais vraiment

Regarder plante de mes pieds

Lorsque je me tiens debout ?

Le  pied  est  ce qui  me relie

À la Terre Mère : grâce à lui,

Je prends contact avec la réalité.

Si   mon corps  est  un  arbre, alors

Il est ce qui me permet  de  m’ancrer

Sans pied,  je suis à plat …  déraciné.

Mon  pied  peut contenir  mon corps.

Réflexologie plantaire : je m’aperçois

Que les énergies d’une partie de mon

Corps peuvent se retrouver,  relier

Quelque part  dans mon pied.

toulouseosteopathe.com/pied-symbolique

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

711 6

..

Prendre son pied, au propre,

N’est pas pareil qu’au … figuré :

Si, parfois, les deux ne riment à rien,

Cela peut être autant le contraire !

 .

Symbolique 

 .

Le pied pour se déplacer.

C’est lui qui porte le corps.

 .

Il symbolise le mouvement,

 L’impulsion   et  la  liberté.

 .

   Le  pied  provoquera  une

     Impulsion  pour avancer,

      Pour  bloquer  ses  appuis

 .

        Camper sur ses positions :

        Il  symbolise nos  attitudes

        Tout  autant  nos  positions.

 .

     Le pied devient  également

    Représentation symbolique

  Des appuis relationnels, et

Donc rapport au monde.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-pied

 .

.

Fond/forme 

 .

ABAB  ou ABBA  ou AABB,

A le pied gauche, B, le pied droit

A, première rime, B, seconde rime ;

A, unité syllabique première, B, seconde

Y a de quoi y perdre son latin ou son grec,

Dont ils seraient issus  et pour tout mesurer.

Le rythme et la sonorité comptent tout autant

que les rimes qui peuvent être fixes ou libres

ainsi que le compte qui nous conte histoire

que nous découvrons, nous interprétons

comme une musique qui nous séduit

et qui dans notre âme, s’éblouit.

.

 Textuels et illustrations  >>

710 – Leçons, numéro un, deux… vingt et un !

Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Les leçons de séductions

Sont nombreuses, variées,

L’amour s’apprend  comme,

Tout  le reste, mais  les livres,

Ne servent à rien, ou  presque,

Seule, la rencontre est efficace.

C’est pas le permis de conduire

Et pas plus celui de se conduire

Alors pourquoi celui de séduire

Ne pourrait jamais nous nuire.

.

Leçons numéro…un

Deux … vingt et un,

Vous faites aubade,

Comme un malade

Point  n’est besoin

D’aucuns dessins,

Pour  baiser bien,

Tendre  la   main,

Et  le reste suivra,

Comme il se  doit.

.

Emmenez-le moi :

Comme il  se doigt,

Au meilleur  endroit,

Celui qu’on    fourvoie,

Esprits, sens, plein éveil

Représentant… merveilles

Et s’il caresse vos deux seins

C’est qu’ils les méritent bien :

Ils ne sont pas ronds pour rien,

Enfants les savent bien, coquins.

.

Si plus bas, votre  ventre se creuse

De votre appétit  à nul autre pareil,

C’est qu’il effleure  le simple appareil

Au milieu  d’une  cicatrice trompeuse

Très    profonde,   pour ovaire, utérus,

Mais pour y avoir accès, que de ruses,

Pour la pénétrer, à l’endroit à l’envers,

.

Comme  une cathédrale, gelée, l’hiver.

Chacun, chacune nous avons séjourné

Neuf mois, du  monde entier, abrité

Pour se forger corps sexe, identité,

Avant franchir le col de sa réalité !

.

Combien de femmes pensent encore

Dans la perfusion de leur jeune corps

Quand   orgasmes seront au plus fort,

Lors sexe y pénètre ou lors enfant sort !

.

Prenez une femme et qui se donne à vous

 Elle  vous prendra  ce qui n’est qu’un bout

De vous mais qui   devient en plein envol

Un nouveau cerveau  sexe, ou symbole !

.

Extensions

 .

Des seins à demi voilés,

Des jambes bien galbées,

Postures   de  laisser-aller,

Et voilà que le tour est joué,

L’homme pourra être séduit.

Chaque leçon profite aux deux

Tant lors on prend, on apprend

À combiner plaisir, être heureux

Jusqu’à ce qu’on se dise content,

D’être amants des plus chanceux.

.

Pour apprendre ce que c’est que le sexe

L’acte sexuel, voire cycle menstruel, etc.

Leçons d’anatomie, biologie, physiologie

Sont utiles et d’une évidence hygiénique

Et pour ce qui est de l’amour, séduction,

On plonge dans un abîme de subjectivité

Si vous entendez  vous dire un truc fatal,

Qui marche à tous les coups, méfiez vous

Du râteau, gifle, que vous allez  prendre !

.

Sûr qu’érotisme et lingerie  sont armes,

Vous vont droit au cœur, vous désarme

Si ça marche pour un soir  en faiblesse,

Le lendemain, dégrisé, la tête est lucide

Cela dépendra de ce que vous cherchez :

Le plan cul qui rencontre un plan cœur,

Ne fera d’aucun des deux, son bonheur

 Les leçons remettent pendules à l’heure.

.

Fragments

.

Drôle d’idées que d’associer

Amour et prendre des leçons,

Ne s’agit pas de  nager, danser,

Mais d’approche et de séduction.

.

Pour bon nombre de jeunes garçons

Information enseignée cours biologie

Si ce n’est sur internet, pornographie ;

Pour la pratique, la copine ou le boxon

.

Si tout tournait autour d’une initiation,

Il faudrait organiser une orgie libertaire

Où nous ne serions plus : sœurs et frères

Que des mâles et femelles en jubilations.

.

Voilà c’est direct et de plus sans leçons :

Bouteille de champagne, une invitation,

Deux verres et voilà le bel emballement,

On va faire mousser les bons moments !

.

La plupart du temps, rien n’est si simple :

On ne sait s’y prendre, on commet impairs,

Le verre est vide et pas d’amour, atmosphère

Et même les sexes ne grimpent pas en épingle.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

Les leçons de séductions

Sont nombreuses, variées,

L’amour s’apprend  comme,

Tout  le reste, mais  les livres,

Ne servent à rien, ou  presque,

Seule, la rencontre est efficace.

C’est pas le permis de conduire

Et pas plus celui de se conduire

Alors pourquoi celui de séduire

Ne pourrait jamais nous nuire.

.

***************************

***********************

Leçons numéro…un

Deux … vingt et un,

Vous faites aubade,

Comme un malade

Point  n’est besoin

D’aucuns dessins,

Pour  baiser bien,

Tendre   la   main,

Et  le reste  suivra,

Comme  il  se  doit,

Emmenez –le – moi :

Comme il    *    se doigt,

Au meilleur  L      endroit,

Celui qu’on    E      fourvoie,

Esprits, sens    Ç      plein éveil

Représentant     O       merveilles.

Et s’il caresse       N       deux   seins

C’est que vous              le valez bien,

Ils ne sont pas           *    ronds pour rien.

Enfants les savent     U          bien, coquins,

Si plus bas, votre        N        ventre se creuse

De votre appétit           *      à nul autre pareil,

C’est qu’il effleure        D      le simple appareil

Au milieu  d’une           E    cicatrice trompeuse

Très    profonde,           U     pour ovaire, utérus

Et, pour y avoir             X    accès, que de ruses,

Pour pénétrer à             *      l’endroit à l’envers,

Une telle cathé              T      drale, gelée, l’hiver.

Chacun,  cune               R    nous avons séjourné

Neuf mois, du               O   monde entier, abrité

Pour se forger               I     corps sexe, identité,

Avant franchir              S      le col de sa réalité !

Combien de fem           *     mes pensent encore

Dans la perfusion         *       de leur jeune corps

Quand   orgasmes        V      seront au plus fort,

Lors sexe y pénètre      I     ou lors enfant sort !

Prenez une femme      N et qui se donne à vous

 Elle vous prendra       G ce qui n’est qu’un bout

De vous mais qui        T  devient en plein envol

Un nouveau cerveau  *         sexe, ou symbole !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une des meilleures  bouteilles,

Probablement :

De champagne, certainement

Avec ou sans lingerie.

.

710 4

.

On apprend plus de l’amour

En  buvant  du  champagne

Qu’en  feuilletant n’importe

Quel ouvrage de lingerie.

 .

Symbolique 

.

Naissances,

Ou mariages,

Nouvelle année.

Le champagne

Serait de toutes les

Grandes occasions !

On l’apprécie     dans le

Monde entier,    légèreté

Des bulles,   goût unique

De ce vin,        né à Reims

Au  IXe        siècle : 2005,

Plus de         307  millions

De bou        teilles  ont été

Vendues,           les  ventes

De Cham          pagne ont

Bondi  de             20 % en

Chine et             au Japon

Annonçant             record

De  consom           mation

Pour  l’année          2006.

Source : linternaute.com/actualite/savoir/

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

On apprend plus de l’amour

En buvant du bon champagne

Qu’en  feuilletant  n’importe

Quel ouvrage de lingerie.

 .

Symbolique

.

La lingerie un simple vêtement

Hygiénique pour  certaines tandis que

Pour d’autres, est  un accessoire  sensuel.

La couleur  de la  lingerie  reste aussi un

L’élément essentiel  dans  notre  choix.

 

Le noir chic amincissant est aussi

Symbole du raffinement mystère.

Le blanc  est  considéré comme la

Couleur de la pureté, d’innocence.

 

Valeur sûre, intemporelle et indémodable,

Le rouge est souvent porté par des femmes

Passionnées,    énergiques,  et      sensuelles.

C’est    une  couleur   liée  à  la   séduction,

L’excitation,   au  pouvoir  et au désir :

Celle préférée vitrine Saint Valentin.

passeportsante.net/fr/Actualites/

Dossiers/DossierComplex

 .

.

Fond/forme 

Le champagne reste autant

Symbole de fête, événement

Qu’un bon vin bien pétillant,

De fines bulles, avec mousse,

En laquelle est recommandé.

De faire un vœu pour l’année.

Qu’importe  s’il se  ne réalisera

Pas dès  toute  première gorgée

À force d’en boire cela finira bien

Par arriver et par être bien arrosé,

De nouvelle bouteille de champagne.

.

Textuels et illustrations  >>

709 – Pour le sexe, on dit, même fort bien établi

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Pour certains hommes, le sexe

Est lié, dimensions du membre,

Long et gros et longtemps tendu,

Et ainsi définira-t-on le bel étalon.

.

En réalité, les deux sexes s’adaptent

Leur élasticité est la qualité naturelle

Qui permettra à tous d’être satisfaits

Nombre croyances en ce domaine

Ont la vie dure et, l’âge venant,

Mâle est moins performant.

.

En réalité on fait amour

Autant avec sa tête

Que son sexe

Et le faire

Moins

Souvent

Longtemps,

N’empêche pas

D’être bon amant

Peut-être plus disponible

Surtout moins égoïste, tendu.

.

Pour   le    sexe,   l’on    dit,

Même fort   bien   établi

Que performance au lit

Un beau jour,  faiblit,

Compétence,  l’on dit,

Jour après jour grandit.

.

Or l’amour dans  son lit,

N’est pas tout,  en sa vie,

Une fois, effusions  finies,

Le désir du sexe est parti.

.

Dialogue à quatre   mains,

Réclame temps  et entrain,

Pour que l’accord soit plein

Ressenti toucher, soit divin

Aussi pénétrant et opportun

Qu’un sexe qui  va  qui vient

Son impression, son parfum

Vous faisant un  grand bien.

Notes s’égrènent, sur la peau

Comme  touches    d’un piano

Dans la multitude   des échos,

Qu’on ne saurait  le plus beau.

Le sexe  laisse   peu  de temps,

À vraie montée   du sentiment,

Faut conclure au  bon moment,

Ressentiment après, en dépend.

Faut garder, en soi,  ce mystère,

D’être seuls, ou deux, sur Terre.

.

Extensions

 

Pour certains, le sexe, est tout :

C’est le vrai but à atteindre, lors

Le reste ne serait que de surcroit.

Oui mais que donnera-t-on  de soi

Dans un acte sexuel : un  désir  qui

Se promène ou corps qui se démène

Pour finir, un orgasme qui entraine,

Toujours et encore à recommencer.

.

On en vient  à penser  que : l’amour

C’est  comme  une  cigarette  tandis

Qu’est  rencontre  entre  deux êtres

Pour échanger plus profond d’eux

Et en toute confiance, et  non que

De se donner du plaisir, mutuel.

.

Discours sur le sexe y en aurait

Des centaines et dont certains

Le prônent  comme  trophée.

Une  séparation  du  sexe  et

Du  sentiment  n’aurait plus

Rien d’humain, elle se réduit

À une  gymnastique  qui vise  à

Performance plus qu’à compétence.

Le sentiment sans sexe ne vaut guère mieux :

Les amours platoniques se transforment vite en amitiés.

.

Sensibilité, sensualité, sexualité, sexe alité, sexué,

Cette  gamme de mots vient à l’esprit, et en bouche,

Pour vivre l’amour  comme sous une chaude douche,

Où le plaisir l’emportera sur toute autre considération

Et qui fera monter et descendre toutes fébriles tensions.

.

Les troubles de dysfonction sexuelle

Ou de la déficience sont, pour la majorité :

 Troubles du désir sexuel, troubles de l’excitation

Troubles de l’orgasme, troubles sexuels avec douleur.

.

Autrement dit, en langage commun,  voire vulgaire :

On n’en a pas envie, et voire on n’y pense même pas,

On arrive pas ou plus à s’exciter pas même à bander

On ne parvient à l’orgasme ou alors il est très faible.

.

Douleur au lieu de plaisir, le dernier est particulier,

C’est le moins qu’on puisse dire, il faudra consulter.

La panne passagère,  y aurait rien de spécial à faire,

Nombre hommes l’ont connu sans raison, ordinaire.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Pour certains hommes, le sexe

Est lié, dimensions du membre,

Long et gros et longtemps tendu,

Et ainsi définira-t-on le bel étalon.

En réalité, les deux sexes s’adaptent

Leur élasticité est la qualité naturelle

Qui permettra à tous d’être satisfaits

Nombre croyances en ce domaine

Ont la vie dure et l’âge venant

Mâle est moins performant

En réalité on fait amour

Autant avec sa tête

Que son sexe.

Et le faire

Moins

Souvent

Longtemps,

N’empêche pas

D’être bon amant

Peut-être plus disponible

Surtout moins égoïste, tendu.

********************************

*********************************

Pour   le    sexe,   l’on    dit,

Même fort   bien   établi

Que performance au lit

Un beau jour  S    faiblit,

Compétence,     E   l’on dit,

Jour après jour,   X  grandit.

Or l’amour dans     E    son lit,

N’est pas tout en      *     sa vie,

Une fois, effusions,    M     finies,

Le désir du sexe est     Ê       parti.

Dialogue à quatre       M       mains,

Réclame temps et      E      entrains,

Pour  qu’accord        *         soit plein

Ressenti toucher     F           soit divin

Aussi pénétrant     O        et opportun

Qu’un sexe qui      R         va qui vient

Son impression     T        son parfum,

Vous faisant un      *        grand bien.

Notes s’égrènent    É        sur la peau

Comme touche        T       d’un piano

Dans multitude       A        des échos

Qu’on ne sait le      B        plus beau.

Le sexe  laisse       L  peu de temps,

À vraie montée   I   du sentiment :

Faut conclure au *   bon moment,

Ressentiment, après,  en dépend.

Faut garder,  en soi,   ce mystère,

D’être seuls, ou deux, sur Terre.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Évocation

 

Un verre à pied en haut,

 Une chope de bière en bas,

Qui trinquent entre eux,

Pour le sexe appeal !

.

709 4

.

Prendre un verre, remplir un verre,

Puis vider un verre, rassasié:

Cela ferait partie de l’ordinaire sauf

Amour dépend du sex-appeal

 .

Symbolique 

 .

Le verre, la coupe,

Le gobelet, la tasse,

Ne seront, en réalité,

Qu’un   seul  et   même

Objet  à variantes près.

Comme  tout  réceptacle,

C’est un symbole féminin,

C’est pourquoi, le verre vu

En songe, peut figurer  une

Femme  qui   joue   un   rôle

Déterminant  dans  sa  vie.

Compte tenu transparence

Prévient éclaircissements

Permet une clarification

Des affaires obscures.

wikireve.fr/dir/211-verre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

709 6

.

Prendre un verre, remplir un verre,

Puis vider un verre, rassasié:

Cela ferait partie de l’ordinaire sauf

Amour : trop ou pas assez.

 .

Symbolique 

 .

Une chope signifie

Grand verre à bière

Est un récipient, un 

Gobelet cylindrique,

Muni d’une anse où

 On boit de la bière.

Peut  être  en  bois,

 En     terre      cuite,

Grès,   métal,    por

Celaine,   ou   émail,

Et on la trouve souvent

 En verre chope un type

De verre à bière.

source : wikipedia.org/wiki/Chope.

.

 .

Fond/forme 

 .

Rien à voir entre un sexe masculin et un verre,

Cela va sans dire même si le verre sert d’étalon

 .

Croyance que plus il est grand plus il est fort,

N’a aucun fondement empirique, statistique.

 .

La performance n’est pas une compétence

Pour satisfaire toutes les femmes au lit

 .

Demandez-leur  si  un plus long sexe,

Leur procure un plus long orgasme.

 .

C’est lors dialogue que ça se passe.

 .

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708 – Imaginez-vous amant excité, sexe devant

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Partie majeure de toutes les postures

Liées à toutes sortes accouplements

Entres les humains, positionnent

Souvent l’homme au-dessus

Comme  membre actif

Alors que la femme,

Serait réceptacle,

Plus passive :

.

Est-ce  en  la

Nature des choses

Voire dans les gènes

Ou appris, culturel,

Qui peut le dire !

.

Toujours est-il,

Que   l’homme,

S’en  satisferait

En croyant en sa

Mâle… domination

Lors, pour la femme,

Il n’en  est rien, certain.

.

Imaginez-vous amant excité

Sexe devant, cuisses écartées :

N’a qu’à se dépêcher  d’y entrer,

Comme fier bateau entrant au port,

Quand la retenue d’elle se met au vert

Lors cet abri, bien douillet, lui est offert.

.

Il ne sait faire demi-tour en courants forts

Lors  il se coule en elle … elle roucoule de lui.

On peut imaginer une femme dans chaque port

Qui vous attend pour calmer la tempête…qui sort

De son bas ventre et de sa tête, embrumée d’alcool.

.

Voilà bien image machiste, qui a fait long feu, école.

La plupart du temps, l’amant fait l’amour…à la même

Débarrassée de toutes pudeurs, et voire, de sentiments,

Sa porte, serrure, est un porche, que l’on ouvre, souvent,

Grâce à cette clef qui la pénètre  et jusqu’aux … extrêmes.

.

Toute femme, avec son corps, représente  dix, cent … mille,

Chaque fois que marin  pense à une autre, vise dans le mille,

C’est ainsi, qu’aucun sexe, porte secrète, n’en existe vraiment.

Après dépucelage, défloraison, demeure ouverte, ouvertement.

.

Vouloir la refermer soi-même est courir en vain jusqu’à sa perte

Il n’est plus doux désir  que rester songer longtemps à sa fenêtre.

Il y a aura un après, si, l’avant est le fruit d’une belle …  conquête.

Elle se renouvelle à chaque fois, en plaisirs et en joies, lors de fête.

.

La dernière porte secrète et qui demeurera impénétrable est l’âme.

Faut y être invité, autorisé tant, en aucun cas impossible à forcer.

Impossible de la manipuler,  la rendre esclave, indigne, infâme :

Sa clef, personne ne l’a et des lors, il ne pourra ni l’ouvrir ni fermer.

.

Extensions

 .

Porte,  fenêtre, pour la métaphore,

Soupirail, trappe, vasistas, lucarne

Ouvertures  évoquent   emboitures

En mur, en dur, aveugle  à lumière

Extérieure, du soleil, ou  d’ailleurs.

.

Une fois  son seuil franchi, la porte

Peut rester ouverte  et voire offerte

Et elle pourra se refermer sur vous,

Pour vous transformer  prisonnier.

.

Pour vous jeter dehors et se fermer

Pour vous, et, jusqu’à  double tour.

La pousser n’a donc  rien d’un acte

Gratuit  ni d’innocent  ni de futile !

.

Renversés, couchés au sol, imbriqués l’une dans l’autre

Toutes attitudes et postures en deviennent renversantes.

Le fait accompli, le repos mérité  comme de bons apôtres,

Les postures  se  transformeront  en « statues dormantes »

C’est ainsi que cela, se profile, et se passe, quand  on tente

Le diable, le tirant par la queue, assouvissant son plaisir.

.

L’homme actif, la femme passive,

Vieux cliché qui n’a jamais existé,

Dans le secret d’alcôves d’intimité,

La force de désir de femme est vive

.

Et dieu merci la libération sexuelle

Est passée par la et elle aura libéré

La parole de la femme … éternelle,

Qui est pour l’homme…  à égalité.

.

Je ne saurais en dire plus pour

Ne pas m’attirer les foudres

Des uns  ou   des autres

Ne pensant pas cela.

.

Fragments

.

«Cachez-moi ce sein que je ne saurais voir !»

Clame Tartufe en pièce de théâtre de Molière.

.

Cachez-moi ce sexe, que je ne saurais … voir,

Qui me crée des fantasmes à ne plus surseoir.

.

Mais la nature de l’homme est ainsi faite, que

L’homme, sans sa queue, ne serait autre… que

.

Qu’incapable de bander devant un être désiré,

Quand le membre représente amant en entier.

.

Verre à l’endroit, verre trinqué, verre renversé

Bien rempli, on le boira d’un seul jet…déversé

.

Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse,

Quitte à le trouver au fond de paires de fesses.

.

On en ferait, volontiers, un beau calligramme,

Si l’on pouvait le conformer vertu de son âme.

.

S’imaginez amant excité, avec sexe mythique,

Peut être romantique autant pornographique.

.

Renversant ou renversé, ça dépend du versant,

Il faut voir l’être comme il est en sexe puissant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme 

.

Une   partie   majeure    de   toutes   les   postures

Liées  à    toutes  sortes   d’accouplements

Entres les humains,     positionnent

Souvent l’homme au-dessus

Comme  membre actif

Alors que femme,

Réceptacle,

Passive.

Est-ce en la

Nature des choses

Voire dans les gènes

Ou appris, culturel,

Qui peut le dire !

Toujours est-il,

Que l’homme,

S’en satisferait

En croyant en sa

Mâle… domination

Lors, pour la femme,

Il n’en  est rien, certain.

IMAGINEZ-VOUS :

Imaginez-vous amant excité

Sexe devant, cuisses écartées :

N’a qu’à se dépêcher  d’y entrer,

Comme fier bateau entrant au port.

AMANT EXCITÉ,

Quand la retenue d’elle se met au vert

Lors cet abri, bien douillet, lui est offert.

Il ne sait faire demi-tour en courants forts

Lors  il se coule en elle … elle roucoule de lui.

SEXE DEVANT 

On peut imaginer une femme dans chaque port

Qui vous attend pour calmer la tempête…qui sort

De son bas ventre et de sa tête, embrumée d’alcool.

.

Voilà bien image machiste, qui a fait long feu, école.

La plupart du temps, l’amant fait l’amour…à la même

Débarrassée de toutes pudeurs, et voire, de sentiments,

Sa porte, serrure, est un porche, que l’on ouvre, souvent,

Grâce à cette clef qui la pénètre  et jusqu’aux … extrêmes.

.

***************************

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.

Toute femme, avec son corps, représente  dix, cent … mille,

Chaque fois que marin  pense à une autre, vise dans le mille,

C’est ainsi, qu’aucun sexe, porte secrète, n’en existe vraiment.

Après dépucelage, défloraison, demeure ouverte, ouvertement.

Vouloir la refermer soi-même est courir en vain jusqu’à sa perte

Il n’est plus doux désir  que rester songer longtemps à sa fenêtre.

Il y a aura un après, si, l’avant est le fruit d’une belle …  conquête.

Elle se renouvelle à chaque fois, en plaisirs et en joies, lors de fête.

La dernière porte secrète et qui demeurera impénétrable est l’âme.

Faut y être invité, autorisé tant, en aucun cas : impossible à forcer !

Impossible  de  la manipuler, de la rendre esclave, indigne, infâme :

Sa clef, personne ne l’a et des lors, il ne pourra ni l’ouvrir ni fermer.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Flacon de parfum

Avec bouchon

Ou un verre à pied

Renversé après trinqué.

.

708 4

.

L’amour, c’est le temps de boire un bon verre à pied,

Le renverser après avoir trinqué, affirment certains 

Et puis pour s’en remettre, de fumer bonne cigarette,

Prétendent d’autres, encore dans les vapeurs !

  .

Symbolique 

 .

Parmi les synonymes,

Expressions  équivalentes

De   « renverser  un  verre ».

 

On trouve : faire tomber,   répandre un liquide,

Mettre le haut en bas et le bas en haut,   inverser,

Incliner en arrière, au sens figuré ou pour corps

Plonger dans l’étonnement, démolir, saper

Se renverser    s’incliner en arrière,

Tomber, chavirer,  voire verser.

 

Pas besoin de faire un dessin

Pour imaginer à quoi tout

Ça peut bien s’appliquer.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

708 6

.

L’amour, c’est le temps de boire un bon verre à pied,

Le renverser après avoir trinqué, affirment certains 

Et puis pour s’en remettre, de fumer bonne cigarette,

Prétendent d’autres, encore dans les vapeurs !

.

Symbolique 

.

Des sources      font remonter

La pratique      de trinquer

 Son verre          à l’antiquité

 La  coutu           me  de boire

 À  la  santé          des   vivants

Provient pro       ba-ble-ment

 Du rite anti          que de boire

En l’honneur        des dieux et

Des morts : Eu     rope, trinque

Avec un verre à    pied  d’alcool

De bière, vin, ci  dre, vodka, etc.,

Mais on pourrait le faire avec un

Verre non alcoolisé, lors avec qui,

Quoi et pourquoi trinquez-vous ?

 .

.

Fond/forme 

.

Un calligramme est un poème

Dont la disposition graphique,

Sur la page formera un dessin,

 .

Souvent en rapport avec le sujet du texte,

Mais il arrive parfois que la forme apporte

Un sens qui s’oppose au texte.

 .

Lors   cela  permet  d’allier

l’imagination  type visuelle

 À celle portée  par les mots. 

 .

Il s’agit parfois  d’une dérive

Parfois bifurcation complète,

Ouvrant  vers d‘autre univers,

On pourrait ainsi, par rebonds,

Aboutir à des liens très éloignés.

.

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707 – En écrin de lumière mon vaisseau avancé

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Belle

Métaphore,

Que      l’écrin

De lu        mière,

Pour          imager

Creux          profond    

Du vrai         mystère

Qu’est              l’amour

Partagé              à deux,

En une              posture,

Sur nue                litière.

Une autre           et belle

Métaphore          en est

Serait  le      vaisseau

Qui le       parcourt

Même       espace

.

Pour re chercher

Un  tré sor  jugé

In-esti-ma-ble :

Mais  que, seule,

Une vraie lumière,

Viendrait lui révéler !

.

En un bel écrin de lumière

Mon vaisseau s’est avancé,

En avant  puis  en  arrière,

À  l’explorer,  et à  volonté.

.

En des  mouvements  lents,

Où chacun prend son temps

De s’accrocher  à ces parois,

De cette caverne  d’Ali-baba.

.

Pour emporter  …  son trésor,

Par le dedans,   par  le  dehors,

Attendant : sésame    ouvre-toi,

Que la porte  se  fende,  sous soi,

.

En  vaisseau, de  pleine  tempête,

Qu’il  trouve  refuge, sur  la crête,

Sur  le  fond  d’une  longue  quête,

Partagée  entre l’ange … et la bête.

.

Cette  belle symbolique des fluides,

Mécanise de mouvement plein/vide

Mais l’intention,  énergie en retour,

Sont généralement signe d’amour !

..

Extensions

 .

Branché sur l’être tout entier

Qui produit sa lumière en toute intimité :

On imagine comme aura entourant les amants,

Les protégeant de distraction de leur environnement.

Il ne s’agit pas, pour autant, d’une totale fusion mais

De la recherche d’une parfaite connexion des corps,

Des cœurs, des esprits, qui sait, parfois, des âmes.

Ce n’est pas pour autant de l’amour sublimé,

Mais c’est souvent de l’amour consommé.

.

Dans le sexe pour le sexe, il y a comme

Une dimension comique ; dans le sexe

Pour l’amour, une dimension cosmique.

Ce « s » que l’on rajoute, fait la différence.

De la fusion physique à communion Nature,

Le même acte, en apparence, change de valeur

L’un procure le plaisir, mais l’autre, le bonheur.

.

Cela dit, chacun fait l’amour     comme il l’entend

Et comme il le sent et le sentiment qu’il en ressent

Souvent, et impressions qu’il en retire, demeurent,

Pour  une large partie, des moins  intransmissibles.

Ce qui est plus certain serait qu’ayant connu le vrai,

Le parfait bonheur qu’engendre le véritable l’amour.

.

Le retour à une simple et banale jouissance physique

En devient vite frustrant et lors on peut comprendre

Que l’on ira chercher auprès de quelqu’un d’autre,

Ce même état vécu et désormais paradis perdu.

Pour ceux ou celles qui ne l’ont pas connu,

Ça ne leur manque pas, c’est déjà ça !

.

La femme est-elle un écrin : oui, non… ça craint :

Ne serait-elle pas bien plutôt le bijou qu’il contient

Certains y voient comme une lumière, très attirante,

Lors d’autres comme un piège quand elle vous tente

Vous réclame un bijou pour montrer ses attentes.

.

Un trou  de serrure  mais pour  quelle clef !

Clef mystérieuse, pour porte  aventureuse,

De femme assoiffée de sexe ou amoureuse

Ce n’est souvent qu’après qu’on sera fixé !

Quant à traiter sexe masculin de vaisseau,

Ça dépendra pour qui : affectueux ou sot :

Pour ce dernier, image ne vaut pas ce mot,

On fait l’amour aussi avec un beau cerveau.

Ceci dit la femme ne sera pas qu’un bel écrin

À qui il manquerait un bijou pour la combler

Elle serait  aussi active, réflexive, que le marié,

Qui lui passe la bague au doigt, un beau matin !

.

Fragments

.

En un écrin lumière,

Un esquif s’est avancé,

Nul besoin de l’esquiver

En  sa très belle  rivière !

.

En chambre buissonnière

Réceptacle de nos amours,

Un diamant brut, minière,

Dormait au fond, glamour.

.

Un écrin qui ne craint rien,

Qu’être trompé, abusé, sali,

Il ne s’ouvre  que pour bien

Accueillir  diamant … ami !

.

L’un dans l’autre,  on ne sait

Plus qui est le plus précieux,

Tant les deux seront parfaits

Pour  parvenir … aux cieux !

.

Finalement écrin ne contient

Que des moments d’émotion

Que l’on tient, et l’on retient

Comme élixir de sa passion.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme

 .

Belle

Métaphore,

Que  É       E  l’écrin

De lu   C              S    mière,

Pour    R                      Q   imager

Creux    I                           U   profond    

Du vrai  N                               I    mystère

Qu’est      *                                  F    l’amour

Partagé  L                                     *     à deux,

En une    U                                   A    posture,

Sur nue    M                                V       litière.

Une autre  I                              A       et belle

Métaphore È                         N   s’il en est

Serait  le   R                     C   vaisseau

Qui le       E                 É  parcourt

Même           *            espace

Pour re      *     chercher

Un  tré    *   sor  jugé

Inesti     *   mable :

Mais   que,   seule,

Une vraie    lumière,

Viendrait  lui  révéler !

.

En un bel écrin de lumière

Mon vaisseau s’est avancé,

En avant  puis  en  arrière,

À  l’explorer,  et à  volonté.

En des  mouvements  lents,

Où chacun prend son temps

De s’accrocher  à ces parois,

De cette caverne  d’Ali-baba.

Pour emporter  …  son trésor,

Par le dedans,   par  le  dehors,

Attendant : sésame    ouvre-toi,

Que la porte  se  fende,  sous soi,

En  vaisseau, de  pleine  tempête,

Qu’il  trouve  refuge, sur  la crête,

Sur  le  fond  d’une  longue  quête,

Partagée  entre l’ange … et la bête.

Cette  belle symbolique des fluides,

Mécanise de mouvement plein/vide

Mais l’intention,  énergie en retour,

Sont généralement signe d’amour !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Piédestal avec un trophée,

Ou ses deux mains jointes,

Ou alors  un écrin ouvert,

Mais sans un sexe dedans.

.

707 4

.

Un écrin est quelque chose

Qui  absorbe et  qui protège :

L’allusion  sexe  femme  parait

Évidente  et  parfois  brillante !

Écrin  et sexe vont bien ensemble

Même si des fois, direct et craint,,

On peut y mettre bijou ou caillou,

Ainsi la forme comblera le fond.

.

Symbolique

 .

Définition  mot  écrin

Petit coffret          ou  étui où

L’on met                    des bagues,

Des pier                                 reries et

Des objets                                précieux.

Ensemble                              des joyaux

Contenus                      dans ce coffret.

L’écrin de la            reine : poétique

Contenant, en     tourage, d’une

Chose précieuse, jolie.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

707 6

.

Un écrin est quelque chose

Qui absorbe et qui protège :

L’allusion sexe femme parait

Évidente et parfois brillante !

.

Symbolique 

.

De nos jours, nous employons couramment

Le signe formé de croix surmontée d’un cercle

Pour désigner le sexe  ou encore genre féminin.

 .

À  l’origine, ce symbole est associé

À la déesse romaine

De l’amour et de la beauté : Vénus.

Il représenterait plus

Particulièrement le miroir à un pied,

En  forme  de  croix,

Que Zeus lui aura offert comme

Cadeau de mariage.

 .

Celui-ci aurait renfermé « les grâces, attraits,

Le sourire  engageant, le doux  parler, le soupir

Persuasif, silence expressif, éloquence des yeux ».

 .

Ce symbole représente également la planète Vénus

Et revient, fréquemment, dans d’autres cultures

Avec connotation de féminité, fertilité, ou de vie.

sillonbelge.be/4166/article/2019-05-05/

le-symbole-feminin-dou-ca-vient

 .

 .

Fond/forme

Pour visualiser le sexe féminin,

Certains parleront d’une lumière

Et le sexe masculin : d’une torche,

Lors d’autres  parlent  d’un porche.

.

Avouons que ça fait une différence :

Difficile de faire la lumière sur objets,

Qui ne seront que purs sujets de désirs,

Qui ne demanderont qu’à … s’assouvir !

.

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706 – En un gant huilé, mon doigt s’est enfoncé.

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..

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Une     belle

Mé-ta-phore

S’il  en  est,

Que ce gant,

Bien trempé

Pour   cavité,

Fort avide de

Mouvements,

Pour l’activer,

Jusqu’au  fond

Des    entrailles.

.

En une autre belle

Et pure métaphore

S’il en était, en est,

Que ce    long doigt,

Adroitement dressé,

.

S’il vient  et parvient

En    ces    va-et-vient,

D’humeurs  bien roses

Jusqu’à une apothéose,

Amour, qu’on dit sexuel,

Ou bien encore…charnel.

.

En un gant, fort bien huilé,

Mon doigt  se sera  enfoncé

Et  le caressant,   à le frotter,

Jusqu’à en devenir contracté.

.

Coups  de  piston   s’explosant

En cette chambre d’admission,

La tension  grimpe, au plafond.

.

Deux temps,  trois  mouvements,

Affolement  général,  et, physique,

Descente rapide, et, piston bloqué,

Les freins viennent juste  de lâcher.

.

Impossible, de se sauver : panique :

Le gant se tord et sous une crampe,

Pressé/tiré voire pompé sans façon

Le doigt lui remplira  tout le fond,

L’enduit, l’enfume, et, le  trempe.

.

Cette belle mécanique des fluides,

Symbolise mouvement, plein, vide,

Mais l’intention, énergie sans retour

Seront, rarement, des signes d’amour.

.

Extensions

.

L’amour, il convient de le faire, plus qu’en parler.

Soit ! Mais nous  ne sommes pas  des animaux,

Nous avons la parole, une parole faut l’utiliser.

Celle-ci nous procure maintes représentations,

De ce qu’est l’acte sexuel, symbolique associée.

.

Un acte sexuel totalement étranger au langage

Entre des inconnus peut-il avoir un autre sens

Que de se procurer du plaisir et mutuellement.

L’acte sexuel reste un langage différent de celui

De la parole, une autre manière de dire à l’autre

À quel point on l’aime, tant, dans le cas contraire,

On risque l’interchangeabilité corps, insatiabilité !

.

L’aspect gestuel, mécanique des pratiques sexuelles

Est le même pour tous : ce n’est que sens qui varie.

En ce sens la pornographie singera l’amour alors

Que l’amour n’a rien en lui de pornographique.

Apprendre le sexe, ce n’est pas apprendre

L’amour : il y a un abime entre eux

Qu’il faut combler avec bien plus

Qu’un membre à agiter.

.

On distingue  il y a le doigt, et il y a les doigts :

Le doigt d’une main, les doigts des deux mains,

À faire attention  où  on met le doigt, les doigts,

Pour avoir  mauvaise réaction  comme il se doit.

Le doigt levé d’aujourd’hui  n’est pas de demain ! 

 .

Toute bonne littérature érotique,  regorgera

D’allusions au sexe autant que descriptions,

Portée qu’elle est  entre séduction et action,

Met son doigt pour nous toucher…du doigt.

.

Poésie, littérature  érotique, pornographie :

Ou trois états, visions d’un même acte, fini.

Première vue il peut s’agir de même chose :

C’est selon qu’on l’évoque, le décrit ou l’ose.

.

Une œuvre érotique  peut être  …  poétique,

L’inverse aussi, jamais image pornographie

En la dernière, n’existe pas de sémantiques,

De passer vite à l’action reste son seul souci.

..

Fragments 

 .

N’allez pas croire, ici, ce que je ne dis pas

Votre imagination vous jouerait des tours,

Il ne s’agit que d’un doigt comme il se doit

Qui compte autant que sexe, dans l’amour.

.

Un doigt s’enfile en gant, presque tout seul,

Et bien mieux encore quand on a du doigté,

Il s’agira moins d’enfoncer que de caresser,

Un gant ne ressemble jamais à une gueule.

.

Une loi animale, sous la pression du désir

Ouvre en grand l’entrée du doigt du gant

Et il se produira ce qui doit se produire

Remplissage, et tapissage du dedans !

.

Orgasme ne tient qu’à un doigt près

Le plaisir se donne, à pleine mains,

Se rassasiera en un fond de vagin,

Comme deux doigts coupe-faim.

.

Arrive qu’on soit mal à doigts,

Agisse à l’envers, pas endroit,

Et le gant se fige,  se rétracte

Et  impossible  d’y pénétrer.

.

Érotisme est art consommé,

On  ne le dira, jamais, assez,

Celui qui est trop maladroit,

Ne le fera, la prochaine fois !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

..

 Calligramme

 .

Une   *     belle

Méta      phore

S’il     A   en  est

Que     N   ce gant

Bien     T   trempé

Pour     *      cavité

Fort     H  avide de

Mou     U  vements

Pour      I  l’activer,

Jusqu’   L   au fond

Des ent  É     railles.

.

En  une    autre, belle

Et  pure   métaphore,

S’il  en   D    était, est,

Que ce    O   long doigt

 Adroite    I  ment dressé

S’il vient  G   et parvient

En  ces      T  va-et-vient,

D’une hu   *     meur rose

Jusqu’à     E   l’apothéose

D’amour    N    dit  sexuel

Ou  bien     F    dit charnel

En un gant O     bien huilé,

Mon doigt   N  s’est enfoncé

Caressant,    C     à le frotter,

Gant s’est     É   décontracté.

.

Coups  de piston   s’explosant

En cette chambre d’admission

La tension  grimpe, au plafond.

Deux temps,  trois  mouvements,

Affolement  général, et, physique,

Descente rapide, et, piston bloqué,

Les freins viennent juste  de lâcher.

Impossible,  de se sauver, panique :

Le gant se tord et sous une crampe,

Pressé/tiré voire pompé sans façon

Le doigt lui remplira  tout le fond,

L’enduit, l’enfume, et, le  trempe.

Cette belle mécanique des fluides

Symbolise mouvement plein, vide

Mais intention, énergie sans retour

Seront rarement des signes d’amour.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Ça  ressemble à un doigt,

Probablement,

Ça  ressemble à un désir

Certainement !

.

706 4

.

L’allusion acte sexuel provoquée

Par  ce  doigt  est,  ici,  tangible :

On  n’y verra  alors  qu’un désir,

De force, plaisir, soumission. 

  .

Symbolique

.

Le    doigt 

Est le symbole

De  la  précision

En   mouvements,

Il représente détails

Du  moment présent :

Ce peut être   également

 Parce     que    l’on   ressent

Regret, remords, on se mord

Les doigts, on culpabilise pour

Une situation,    comportement

Que l’on a eu. Lever l’index est

Le  symbole  de  la  force de

Caractère, décisions, l’autorité.

psycho2rue.fr/doigt

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

706 6

.

L’allusion acte sexuel provoquée

Par  ce  doigt  est, ici,  tangible :

On n’y verra  alors qu’un désir

De force, plaisir, soumission. 

.

Symbolique

 .

Il faut dif        férencier

Le besoin     …    du désir :

Le besoin est is     su de pulsions

D’autoconserva   tion, il est associé

À la survie de par      ses besoins vitaux

Tels que : manger,     boire …  dormir,  etc.

 .

Le désir a, pour seul      et  unique  but, le plaisir.

On peut se passer d’un    désir mais pas d’un besoin.

 .

Le besoin nécessite un    objet réel pour être assouvis,

Le désir peut se conten   ter d’un objet fantasmatique.

 .

L’objet n’est cepen    dant pas la cause du désir

Mais son moy      en d’accomplissement.

philippeblazquezpsychanalyste.com/desirs

 .

 .

Fond/forme 

.

Le doigt du désir peut être myope

Et ne désigner, voir que sexe offert

Ou plus lointain, en visant l’amour,

Sinon,  après lui  … court toujours !

.

Faut-il prendre des gants en amour

Très certainement plus…qu’en sexe

Ou un simple  préservatif suffira

À garantir bonne lubrification

En sus de bonne protection.

.

Textuels et illustrations  >>

704 – Tout va bien, tout est bien en va-et-vient

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De  qui,

De  quoi

Le désir,

Le plaisir

.

Dépendra,  si ce   n’est, quelquefois,

De cette nécessité absolue et ultime,

De rapide r approchement,  intime,

 Comme preuve d’une très bonne foi

D’amour charnel pas que spirituel,

.

Laisse parfois

Bien  pantois,

Lors  on croit,

Que le  plaisir,

Seul comptera

.

Mais, la fusion,

Est aussi cœurs

Et de bonheurs,

Qui va et retient

Couple uni sein.

.

Tout     va   bien

Tout   est   bien,

En   va-et-vient,

Entre   tes reins.

.

À ceci près, que,

Il y a  des enjeux,

Qui avaient en eux

De se fondre au jeu.

.

Lors belle différence,

En toute… conscience,

En plaisirs, souffrances,

De se trouver en transes !

.

Car dans l’amour… il s’agit

Aussi d’âmes qui fusionnent

Lors dans le sexe ça se réduit

À bosse, creux qu’on entonne !

.

La belle affaire … qui peut dire,

À la vue de rapports  très étroits,

À la vue d’un rapport  très adroit,

Qui aime qui   …    pour tout dire !

.

Tout va bien,   dans une telle bulle,

Lors il n’y  a  plus  que  nous  deux :

L’un de l’autre, tellement amoureux,

 Et  l’un dans l’autre, follement joyeux,

Jusqu’à ce que la mort,  de nos désirs,

Réciproques nous séparent, révoquent.

.

Extensions

 .

Tout va bien … tout est bien :

L’amour sensuel, amour sexuel,

Créent  comme une bulle où, rien

Ne peut plus vous arriver  tant que

Vous êtes à deux en un autre monde,

Autre planète qu’on appelle «paradis»

D’autres « voyage sur un tapis volant »

Enfin,  d’autres,   « cocon  sécurisant »

Plaisir, de la répétition  ferait  le reste,

Fait que  cela dure, encore, et  encore,

Comme un air  de musique, chanson

Qu’on reprend en boucle jusqu’à ce

Que le cercle, enfin, se rompe  et

Comme ressort, devenu cassé,

Se détende et sans solution !

.

Tout va bien pour l’un  et pas

Pour l’autre qui demeure frustré

De n’avoir pas été   jusqu’au bout,

D’avoir été stoppé en chemin : rien

Ne va plus, c’est alors pour les deux,

La magie a soudain disparu, le corps

Reste pesant, mécanique, lors moins

Enthousiasmant, excitant, enivrant.

.

Que dire de plus sinon que,

Le sexe sera d’autant mieux

Que l’on s’entend … heureux,

De faire l’amour  en ces lieux,

Avec  un  partenaire, désireux,

De vous faire monter aux cieux

Pour en descendre tête-à-queue

Retrouver  un  corps voluptueux,

Un  esprit  des plus … savoureux,

Et un amour redoublé, fougueux.

.

Tout va bien, tout est rien, va-et-vient,

Rien n’existe que super concentration

Dès lors que tout ne tient qu’à un fil,

À un pieu assez pointu qu’on enfile.

.

Mais il ne faudra pas se contenter

Des effets mécaniques des fluides

De la tête à la queue tout se passe

Avec eux, autant qu’entre les deux.

.

Avec le temps, le sentiment, le naturel,

L’expérience acquise deviendra exquise,

Si cela ne peut marcher, à tous les coups,

Ce sera toujours plus qu’une fois sur deux.

.

Fragments 

.

Tout va mâle

Et tout va bien,

Comme un animal

Dans ses va-et-vient !

.

Pour approcher l’union

Pour entrer en effusion,

Jusqu’au fond du frisson

Qui conclut pénétration !

.

À quoi tu joues là Bill, eh :

Est-ce toupet  ou bouquet,

Que tu m’offres, ou un jeu,

Qu’on dit pour amoureux !

.

Ça ne marche à tous coups

L’on n’en verra pas le bout

Concentre-toi,  bel amant :

On n’a pas tout son temps.

.

J’ai perdu mon fil, adresse,

Trop attardé sur tendresse,

La plongée entre tes fesses,

Serait devenue maladresse.

.

Lors Éros, en aide, est venu

J’ai senti,  sous ta peau nue,

Un mouvement de hanches,

Me  disant : ça  te  branche !

.

Enfin … tout   est  synchrone,

En  nos  va-et-vient, rythmés,

L’on n’en peut de se détacher,

Après en avoir fait des tonnes !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

De  qui,

De  quoi

Le désir,

Le plaisir

Dépendra,    si ce      T   *    N   n’est, quelquefois,

De cette nécessité    O               E   absolue et ultime,

De rapide rappro     U                   I   chement,  intime,

 Comme preuve d’     T                B   une très bonne foi

D’amour charnel        V     A       pas que spirituel

Laisse parfois

Bien  pantois,

Lors  on croit,

Que le  plaisir,

Seul comptera

Mais, la fusion,

Est aussi cœurs

Et de bonheurs,

Qui va et retient

Couple uni sein.

Tout     va   bien

Tout   est   bien,

En   va-et-vient,

Entre   tes reins.

EST BIEN

À ceci près, que,

Il y a  des enjeux,

Qui avaient en eux

De se fondre au jeu.

Lors belle différence,

En toute… conscience,

En plaisirs, souffrances,

De se trouver en transes !

Car dans l’amour… il s’agit

Aussi d’âmes qui fusionnent

Lors dans le sexe ça se réduit

À bosse, creux qu’on entonne !

EN VA-ET-VIENT 

La belle affaire … qui peut dire,

À la vue de rapports  très étroits,

À la vue d’un rapport  très adroit,

Qui aime qui   …    pour tout dire !

Tout va bien,   dans une telle bulle,

Lors il n’y  a  plus  que  nous  deux :

L’un de l’autre, tellement amoureux,

 Et  l’un dans l’autre, follement joyeux,

Jusqu’à ce que la mort,  de nos désirs,

Réciproques nous séparent, révoquent.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Grande croix,

Ou un bilboquet 

Avec un  fil  à la patte,

Pour  se  prendre  au  jeu ?

.

704 4

.

Grande croix,

Ou un bilboquet 

Avec un  fil  à la patte,

Pour  se  prendre  au  jeu ?

.

Symbolique 

 

L’origine

 Du  jeu  de

Bilboquet

Demeure toujours  assez obscure.

Certaines sources  disent  qu’il serait

Apparu pour première fois en France

En fin XVIe siècle

 Mais les vêtements

Des  plus anciennes

  Gravures     montrant

Joueurs  de  bilboquet

 Sont    du    XVIIe siècle.

Le mot aura étymologie

Contestée. Inventé France,

Au XVIe siècle,  fait mention

Du mot « bille » « boucquet »,

Bouquer, encorner, comme bouc.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Une forme de bilboquet,

Évoquant pur jeu d’adresse :

Mais,  au-delà,  voire  en  deçà,

On peut imaginer d’autres jeux.

 .

Symbolique 

 .

En début de relation,

Le « jeu du chat et de la souris »

Est normal, amusant. Il attise le désir d’amants

Les poussant à chercher la présence de l’autre :

Laisser quelques jours entre appels, messages,

Ne pas accepter toutes les invitations,

Ne pas inviter l’autre à terminer

La nuit chez soi.

 

Toutefois, lors il devient clair que l’on est

Officiellement dans une relation  durable,

Ce jeu peut devenir déstabilisant et usant.

Peu de personnes aiment savoir que

L’autre joue avec notre sensibilité

Jusqu’à la rendre incertaine.

 .

.

Fond/forme 

 .

Vous êtes-vous bien entrainés

À ce jeu, perfide, du bilboquet :

Si la main droite, tremble un peu,

Vous n’avez qu’une chance sur deux

C’est plus dur si l’un tient la partie fixe

Quand l’autre la partie creuse, et mobile.

.

Mais je ne vais pas  vous faire un dessin,

Il ne s’agit pas toujours de deux mains !

Apprenez donc à bien viser souple, droit

Quel que soit la position, celle d’autre.

.

Textuels et illustrations  >>

703 – Arrêtes, tu me chatouilles, mouilles !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Est-il vraisemblable que

Les chatouilles, les papouilles

Histoire d’enfant, pas d’amant.

Nenni, car ce n’est jamais fini,

De se faire rire, mutuellement,

Pour se mettre en condition

De s’aimer tout follement.

.

Des préliminaires

En quelque  sorte,

Sans la profondeur

Pas encore  mouillée,

Faut   s’arrêter  de  rire,

Pour    mieux   en    profiter.

Tes joues se remplissent de sang

Et ta bouche s’ouvre en plus  grand,

Écartelée sur le dos  et au milieu du lit,

Tes bras et jambes, s’abandonnent  aussi.

Regards se croisent, s’accrochent,  se fixent,

Pénètrent au plus profond de l’autre, préfixent

Lors effusion  lascive de nos deux corps accordés,

Comme deux serpents s’enlaçant jusqu’ à s’étouffer.

Nos moiteurs chaudes de nos frottements balancés,

En subliment nos odeurs de leurs parfums, saturés,

Tu n’as plus rien, ni à me montrer,  ni à me cacher,

Nos mouvements  un temps, s’arrêteront en bulles

Viendra s’établir autour de nos corps émoustillés,

Lequel, de l’un, ou de l’autre, viendra la craquer.

Et pour finir, cric et cric, crac-crac sur l’oreiller,

Centième fois comme la première, vrai prodige

Tant dans le creux de reins d’une, bien ramée,

Tu sais si bien faire monter ma sève en tige

.

Arrêtes, arrêtes, tu me chatouilles,

Faudrait-il déjà  que tu mouilles,

Et ce bien avant que je te fouille

Je glisse ma main où je parviens

En ton entrecuisse afin que divin

Effet, tu réagisses… t’arc-boutant

À ce qui te dépasse, ce qui te tend.

.

Arrêtes, arrêtes,  tu me chatouilles,

Commences pas à me recommencer,

D’accord si tu veux, pour la papouille,

Je suis bien réveillé et j’ai assez donné.

.

Faut-il opter  pour avoir  le  dos  tourné,

Chacun, de son côté, embrasser l’oreiller,

L’heure est au repos du guerrier et sa fée,

La tête vide, comme en un néant, tombée.

.

Matin, je me demande si je n’ai pas rêvé,

Mais tu es là toute souriante à mon coté

Et glissant mes mains dans les tiennes,

Il n’y a plus rien … qui nous retienne.

.

Extensions

 .

Les chatouilles,

Certains, certaines

En raffolent et d’autres

Les insupportent voire les

Considèrent comme neutres,

Sans aucun effet sur eux, elles.

Cela va sans dire,  qu’il faut que

Ce soit un tiers qui les prodiguent

Car de soi-même, attente, surprise

Sont fortement  compromises  et ne

Donneront de ce fait que peu d’effet.

.

Rires et chatouilles  font bon ménage,

Encore que chatouille, au sens figuré,

Est plutôt  dans le sens d’un divorce :

Et peut-être l’êtes-vous en me lisant,

Tant sur la forme  que sur les fonds.

Bon, ici il s’agit de jeux amoureux,

Et si l’on ne peut se chatouiller soi

Le faire à l’autre sera de bon aloi

Ou pas, y en a qui n’aiment pas.

.

Toutes les postures sont dans la nature,

Le Kamasoutra en présente bon nombre

Quant à se chatouiller on touche serpent

Qui se remue beaucoup pour y échapper.

.

Les jeux amoureux sont un vrai langage,

Chacun des deux partenaires s’engagent

À stimuler l’autre, mettre sur un nuage

Cas contraire : tu m’embêtes, dégage !

.

Ce jusqu’au premier/dernier outrage

Jusqu’à  ce qu’il ne puisse : en nage,

Avoir  force recommencer, courage,

De chatouilles et caresses, partage.

.

Fragments

.

Papouilles et chatouilles

Sont comme des caresses,

Sont pleines de tendresses,

Remèdes contre la brouille !

.

Ça fait partie de préliminaires,

Et qui feront que l’on se mouille

Pour aller plus profond en chair

Si l’on y tient  et que l’on fouille.

.

Rires se propagent, font ravage

On ne tient plus, trop sauvage,

On se plie en deux, crie pouce,

Reprend son souffle en douce.

.

Dos en arrière, seins en avant

Femme comme un arc se tend

Elle se fend, puis s’en défend,

Se laisse aller, elle aime tant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

 Calligramme 

.

          Est-il vraisemblable que

           Les chatouilles, les papouilles

         Histoire d’enfant, pas d’amant.

       Nenni, car ce n’est jamais fini,

         De se faire rire, mutuellement,

       Pour se mettre en condition

       De s’aimer tout follement.

Des préliminaires

En quelque  sorte,

Sans la profondeur

Pas encore mouillée,

Faut s’arrêter  de rire,

Pour   bien  en   profiter.

Tes joues se remplissent de sang

   Et ta bouche s’ouvre  en plus  grand,

     Écartelée sur le dos    *  et au milieu du lit,

    Tes bras et jambes,  A  s’abandonnent  aussi.

    Regards se croisent, s’ac   R  crochent se fixent,

       Pénètrent au plus profond de   R  l’autre, préfixent

        Lors effusion  lascive de nos deux   Ê   corps accordés,

           Comme deux  serpents s’enlaçant jusqu’   T     à s’étouffer.

             Nos moiteurs    chaudes de nos frottements     E       balancés,

            En subliment     nos odeurs de leurs parfums,    *           saturés,

          Tu n’as plus  ……. rien, ni à me montrer ni à   T        me cacher

        Nos mou …………  vements  un temps, s’arrê  U   tent en bulle

         Viendra ………….  s’établir autour de nos  *  corps émoustillés,

          Lequel ……….…. de l’un, ou, de l’autre, M  viendra la  craquer.

         Et pour……..…….. finir : cric et cric  E crac-crac sur l’oreiller

          Centième ……..…… fois comme  *  la première, vrai prodige

            Tant dans ….….…    le creux de  C  reins d’une bien ramée

                Tu sais si……….bien faire  H monter ma  sève en tige

                                      Arrêtes, arrêtes   A    tu me chatouilles,

                                   Faudrait-il déjà    T   que tu mouilles,

                                 Et ce bien avant    O   que je te fouille

                              Je glisse ma main  U   où je parviens

                            En ton entrecuisse   I   afin que divin

                          Effet, tu réagisses    L   t’arc-boutant

                        À ce qui te dépasse   L  ce qui te tend.

                      Arrêtes, arrêtes, tu  E  me chatouilles,

                     Commences pas, à   S me recommencer,

                  D’accord si tu veux  *  pour la papouille,

              Je suis bien réveillé et j’ai assez donné.

           Faut-il opter pour avoir  le  dos  tourné,

       Et chacun de son côté  embrasse oreiller,

    L’heure est au repos du guerrier et sa fée,

 À la tête vide, comme  en  néant, tombée.

Matin, je me demande si je n’ai pas rêvé,

Mais tu es là toute souriante à mon coté

Et glissant mes mains dans les tiennes

Il n’y a plus rien qui nous retienne.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Belle silhouette

D’une jeune femme,

De profil, le dos cambré

Nue  et offerte aux touchers !

.

703 4

.

 

Bien des préliminaires qu’ils soient de face,

De dos ou profil,

Font, de l’amour sexuel, un jeu sensuel

Qui éveille le sens du toucher.

 .

Symbolique 

.

Un profil,

Est, bien sûr,

  Une vue  de côté

        Celui  d’une  femme

              Est  différent  de  celui

                    D’homme quel qu’il soit,

                         Il est plus petit et cambré,

                          Où la femme laissera voir,

                            Sinon  entrevoir,  marquer,

                           La  présence  de  ses  seins,

                       Vers   l’avant : en   somme

              C’est un profil en courbes

     Avec une pointe où bras

Rendus  derrière le dos,

 Long du corps dégagent

     Un vide comme lumière.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Bien des préliminaires qu’ils soient de face,

De dos ou profil,

Font, de l’amour sexuel, un jeu sensuel

Qui éveille le sens du toucher.

.

Symbolique

 .

Un des sens          est mis en œuvre

Par la main, nous per       met de mieux connaitre

Environnement    peut          pallier à  tous dangers.

 .

La main  est la  partie           la plus mobile du corps,

Touche, palpe, discerne         volume  ou  une matière.

 .

Le toucher implique           une notion de proximité,

De   contact    d’où          vient    l’attouchement.

 .

Au   plan   intéri         eur, le toucher serait

Délicatesse,      tact, raffinement

Et dis         cernement.

ledifice.net

 .

 .

Fond/forme 

 .

De face, de dos, de trois quarts, de profil :

Autant de positions et postures différentes

Qui jouent sur la perception des silhouettes

À chacun de présenter son meilleur profil.

.

Il est certain que de dos, c’est plus délicat,

Ça veut dire que l’autre on ne fait pas cas

Tandis que de face, tout est grand ouvert

On pourra se parler tout en se tortillant.

.

Textuels et illustrations  >>

702 – Allongé, au lit, contre ton dos, une main

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Épouser les formes

D’un corps comme parfait

 Double  féminin de soi-même,

Complément idéal, pour se faire,

Pour se complaire et se satisfaire,

De doux divins  contacts  qu’il lui

Procurerait, et ce,  en tous lieux

Tous temps   comme amants.

Ses courbes    très lascives

S’étalant     sur un lit,

Aban-don-nées,

Aux bons soins

De  son  aimé !

.

Allongé, au lit, contre ton dos,

Ma main arrondissant ton sein,

L’autre, enfouie entre tes jambes

Le ventre, contre belles  hanches,

Je me sens comme lové, nu sur toi.

.

Je me sens comme  un enfant et roi,

Tu dors, tu respires de tout ton corps,

J’écoute les frémissements de ton âme,

Qui rêve d’un amour pur et total encore.

.

En toi, un ange  et un démon, se blâment,

Jusqu’où notre amour demeurera sublime

Comment éviter  qu’il ne tombe en abîme :

Surtout, te réveille pas,  ne te retourne pas,

Si le temps s’arrête, tu ne peux le brusquer.

.

Restons là, collés l’un à l’autre, par pensées,

Ton corps étranger au mien épouse, fatigué,

Si ton sommeil ne m’appartient pas, il est là

Il  inscrit, en l’esprit, nos  profonds  soupirs.

.

Soupirs de plénitudes, loin de toute solitude,

Nous sommes deux à combler notre finitude

Je me sens comme entier, bonheur  premier,

Si je ne dors pas, c’est pour mieux… profiter

.

De cette nuit d’enfer, passée contre ton dos

Brulant mes ailes contre ton feu d’amour

Et si demain ne rime pas avec toujours

La nuit était belle  et ton corps beau.

.

Corps  beau : pardon, encore  belle,

Tant ne marquant le poids des ans,

L’amour serait-il  une  ritournelle,

Contentant amants intermittents.

.

Vie d’artiste est-elle  impromptue

Est-elle un rôle principal, dévolu

À vivre une musique en concert,

Pour des jours avec des zestes 

D’amours, comme desserts.  

 

Extensions

 .

Presque tous les dos nus de femmes

Se ressemblent, de loin,

Mais certains  sont plus évocateurs

 Qu’autres de sensualité.

 .

Lors ce n’est pas même de sexualité.

Plus encore que de face

 Ou de côté, ressemble à un abandon

Ou une offrande, allongée.

 .

Enfin ses courbes sont révélatrices

De grâce naturelle sans

Qu’on puisse réellement s’expliquer

Ni pourquoi ni comment !

 .

Le creux des hanches et de la taille

Souligne les rondeurs ou

Les maigreurs des côtes et cuisses :

Rien n’échappe à la colonne.

 .

Ah, le  dos… ré… mi… fa… sol… la… si… do !

Le dos d’une femme ressemble au dos du violon

Et main de l’amant est l’archet que le fait résonner

Allons, allons, on se calme avec toutes comparaisons,

Photographes et sculpteurs nous ont donné le la du dos,

Poètes et littérateurs n’ont plus grand-chose à … rajouter :

Sculpture, dessin, photo d’art, transfigurent le corps féminin

Que ce soit de face, de profil, voire de dos, une âme transpire

Et quand on les contemple et les admire, la sienne soupire !

.

Lovés l’un sur l’autre : ventre contre dos,

À même de sentir moindre désir de peau,

Le plaisir ne pourra monter que très haut.

.

Formes s’épousent pour former seul corps

Les caresses demandent  encore et encore,

Et les désirs grimpent  de plus en plus fort.

.

Le va et vient instaure comme une musique,

Où la moindre note n’a plus rien de pudique,

Et le tout finit sur point d’orgue orgasmique.

.

Dos contre dos, position d’avant, et d’après,

Position d’éveil de son désir et son sommeil,

En un silence qui respire, soupire, bonheur.

.

Fragments

.

Allongé au lit, contre ton dos :

Je m’y suis lové, en amoureux :

Faut croire qu’amour a bon dos

Jamais je ne serai plus heureux.

.

Que ce soit, de dos, de face, côté,

Toutes les positions, les postures

Seront à prendre, sont à épouser

Augmentent envie, température.

.

Mais un dos n’est rien qu’un dos,

Il ne pratique  aucune ouverture :

On s’y colle s’y frotte sauf froidure,

Mais pour moi, toujours un cadeau.

.

Ce qui a lieu en dos, ne nous est visible,

Son aspect symbolisme est comme tourné

Vers ce qui nous est inconscient et invisible

Pour connaitre son visage, faut le retourner.

.

Pour autant, il n’en reste pas moins désirable

Comment, d’ailleurs pourrait-il être détestable

À défaut de la toucher, il demeurera honorable,

Rien que de l’admirer, je me sentirais coupable.

.

Illustrations : visuels, scénario et fiction

.

Calligramme

.

Épouser les formes

D’un corps comme parfait

 Double  féminin de soi-même,

Complément idéal, pour se faire,

Pour se complaire et se satisfaire,

De doux divins  contacts  qu’il lui

Procurerait, et ce,  en tous lieux

Tous temps   comme amants.

Ses courbes    très lascives

S’étalant     sur un lit,

Aban-don-nées,

Aux bons soins

De  son  aimé !

.

Allongé, au lit,   A  contre ton dos,

Ma main arron    L  dissant ton sein,

L’autre, enfouie     L   entre tes jambes

Le ventre, contre    O     belles  hanches,

Je me sens comme   N       lové, nu sur toi.

Je me sens comme    G       un enfant et roi.

Tu dors, tu respires    É      de tout ton corps,

J’écoute les frémisse    *       ments de ton âme

Qui rêve d’un amour    A     pur et total encore,

En toi, un ange et un    U      démon se blâment,

Jusqu’où notre amour   *     demeurera sublime,

Comment éviter qu’il    L     ne tombe en abîme.

Surtout te réveille pas  I       ne te retourne pas

Si temps s’arrête, tu   T      peux le brusquer.

.

Restons là, collés l’un à l’autre, par pensées,

Ton corps étranger au mien épouse, fatigué,

Si ton sommeil ne m’appartient pas, il est là

Il inscrit, en l’esprit   *  nos  profonds soupirs

Soupir de plénitudes   C    loin de toute solitude

Nous sommes deux à     O    combler notre finitude

Je me sens comme en     N     tier, bonheur  premier

Si je ne dors pas c’est      T     pour mieux en profiter

De cette nuit d’enfer,      R      passée contre ton dos

Brulant mes ailes con    E        tre ton feu d’amour

Et si demain ne rime    *           pas avec toujours

La nuit était belle et    *             ton corps beau.

Corps beau, pardon   T                encore belle

Tant ne marquant    O        le poids des ans

L’amour serait-il            la  ritournelle,

Contentant amants *         intermittents.

Vie artiste est-elle  *         impromptue

Est-elle rôle prin  D         cipal dévolu

À vivre musique  O         en concert,

Pour les jours     S          des zestes 

D’amours com   *     me desserts.  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon de parfum

Dos de femme nue,

 Jusqu’à  mi-jambes

Bien désirable !

.

702 4

.

Un dos de femme sera différent

De celui d’un homme :

Taille, bassin, jambe, épaule, tout est

Désirable enveloppant.

.

Symbolique 

 .

Le symbolisme du dos

Rappelle ce qui est caché

Et essentiel dans l’homme

Finalement : c’est  le  sacré.

Notre  expérience  de  l’espace

Implique  ce  fait  incontournable.

Ce qui a lieu en dos ne nous est pas visible,

D’où premier aspect du symbolisme du dos,

Le côté du corps tourné vers le non-visible,

C’est-à-dire l’inconscient, qui échappe à

Notre conscience vigilante habituelle.

Ce qui se passe, derrière notre dos

Représente ce que nous ignorons

De nous-mêmes, notre ombre.

lemondeduyoga.org/la-vie-

du-yoga/le-symbolisme-du-dos

.

.

Fond

 .

Évocation

.

702 6

.

Un dos de femme sera bien différent

De celui d’un homme :

Taille, bassin, jambe, épaule, tout est

Désirable enveloppant.

 .

Symbolique 

 .

Être désirable, c’est quoi ?

C’est, par définition, une femme

À laquelle on ne peut pas résister.

 .

Mais  surtout,  c’est une femme

Qui connait parfaitement ses

Charmes  et  atouts  et  sait

Les utiliser à bon escient…

 .

Et comme en chaque femme

Se cache quelque chose, nous

Avons fait  le tour de ces détails

Qui changent tout,  petits charmes

 .

Sur  lesquels nous pouvons  compter

Et avec lesquels, sûrs, nous pourrions

Contrôler monde, sachant les révéler.

aufeminin.com/vie-de-couple/

charme-femme-s2491718.html

.

.

Fond/forme

.

Dos de femme désirable avec le reste

Aux bons mots s’ajoutera le bon geste

Mais où commence je dos et ou finit-il

De la nuque jusqu’aux  ras des fesses !

Avec ces courbes galbées, à la taille,

Prééminence de colonne vertébrale

Et lors se met à bouger, se lover,

Prend l’allure d’une couleuvre

Dont le soupir est en œuvre.

.

Textuels et illustrations  >> 

701 – Qu’un jour cesse le désir de faire l’amour !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

J’ai plus envie,

Laisse     tomber,

Je passerai à autre

Chose en nouveauté.

.

Ça me stimule moins

Qu’avant, plus excité,

C’était quand même,

Un plaisir et inégalé.

.

Ça restera  souvenir

Des jeunes années :

Je  ne saurais  dire

Comment le désir

S’en    est    allé,

Petit  à  petit

À tomber

Si  plat

Que

V

.

Qu’un jour cesse désir de faire l’amour

Et vous voilà tranquille pour toujours

Dispensé de vous  forcer à séduire

Au corps, au sexe vous réduire.

.

Croisant une belle femme, de jour,

Vous la regardez en esthète glamour,

Elle ne peut  et ne  saurait  vous nuire,

Vous n’aurez juste qu’à vous entretenir.

.

Entre vos bras elle ne s’abandonnera plus

Pour un acte qui ne vous conviendrait plus

Et vous n’en  demeurez pas moins… homme,

Sans l’obsession de faire de vous surhomme.

.

Faire l’amour n’est pas une des … obligations

Qui vous empêche de vivre dans notre société,

Tout ce temps libre gagné pourra être occupé

 À faire autre chose qui stimule autre passion.

.

Mais le choix définitif entre raison, passion,

Faisant taire le désir vous pousse à mourir

Bien avant l’heure,  il  vous  fera  souffrir

Manque   d’aimer qui vous fait exister.

.

Extensions

.

Si vous n’y prenez garde,

Faites comme si cela n’avait

D’importance que celle qu’on

Veut bien lui donner : très peu !

.

Qu’un jour cesse le désir de faire l’amour

Vous voilà libre comme l’air de faire autre chose

Et vous distraire, amour n’est pas fait que pour ça

Mais autant pour se faire, se construire à deux

Et se soutenir, dans les moments difficiles !

.

Il paraitrait qu’il existe des jeunes gens

Qui se disent, non attirés par le sexe,

Et qui vivent ensemble chastement

Comme frère et sœur et sans que,

La moindre envie, moindre désir

Ne les attire  comme, à l’inverse !

.

Il existe des gens vieux qui se clament

Obsédés par le sexe et qui ne pourraient

S’en passer, quitte à le payer et à dépenser

Tout leur argent, ou presque, pour le pratiquer.

La sagesse suppose quelque vertu mais pas trop.

.

Qui a dit que  faire l’amour  était un désir universel, un devoir

Il faut que cela reste un vrai plaisir et pas que pour procréer.

Bon, si ça n’apporte rien, qu’on a essayé, qu’on n’a pas envie

Ça se comprend très bien mais l’inverse aussi et tout autant.

On ne peut avoir envie tout le temps à moins d’en être addict

Quant à combien de fois  et avec qui : à chacun  d’en décider !

.

Notre désir de faire l’amour,

Si puissant et si varié, soit-il

Peut, un jour, se ternir, finir

Cela pour des tas de raisons

Physiologiques  …  d’abord,

Psychologiques  … Ensuite,

Et sociologiques   … enfin !

.

Physio parce qu’il y a l’âge,

Psycho parce que routine,

Socio parce que par rejets,

Rejet partenaire potentiel,

Voilà la vie du désir sexuel

Escamoté,  presque castré,

À ne plus savoir qu’en faire.

.

Il y a ceux chez qui, le désir amoureux,

Dure et perdure comme au premier jour,

Ils entretiennent la flamme comme si sans

Elle, ils ont l’impression qu’ils vont mourir !

.

Fragments

.

Si pour certains, faire l’amour,

Est un rituel, ou voire un devoir,

Pour la grande majorité, j’espère,

Le sexe est lien à pulsion du désir.

.

On avance chez l’homme : mécanique,

Pas besoin de les rouler devant une fille

Il banderait même rien qu’en y pensant,

Autrement dit, ça marche tout le temps !

.

Ça reste à voir tant avec le temps castrant

La libido décroit mais il n’y a pas que cela

L’alcool, la cigarette, le repas trop copieux

Voilà qu’on bande, difficilement, au pieu !

.

J’ai la faiblesse de penser que désir sexuel,

Dure plus longtemps au-dessus de ceinture

Qu’en dessous, voire que sous tous dessous,

Il se déclencherait et s’entretiendra en tête.

.

Quand la libido fera défaut, le sexe tombera

On passe d’une fois semaine à une fois mois,

Et puis après, en pleine dérive, on s’en passe,

Pourquoi en faire priorité quand on est lassé.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

J’ai plus envie,

Laisse     tomber,

Je passerai  à  autre

Chose    U  nouveauté.

Ça me sti  N  mule moins

Qu’avant    *    plus excité,

Mais c’était quand même,

Un plaisir     J  et inégalé.

Ça restera   O    souvenir

De jeunes   U    années :

Je ne sau  R  rais dire

Comment le  désir

S’en   est   allé,

Petit à petit

À tomber

Si plat

Que

V

.

**********************

***********************************

.

Qu’un jour cesse désir de faire l’amour

Et vous voilà tranquille pour toujours

Dispensé de vous    C   forcer à séduire

Au corps, au sexe    E        vous réduire.

Croisant une belle   S     femme, de jour,

Vous la regardez   S   en esthète glamour,

Elle ne peut et     E   ne  saurait  vous nuire,

Vous n’aurez    *    juste qu’à vous entretenir !

Entre vos     D    bras elle ne s’abandonnera plus

Pour un       É   acte qui ne vous conviendrait plus

Et vous n’en   S       demeurez pas moins… homme,

Sans l’obsession      I     de faire de vous surhomme.

Faire l’amour n’est pas     R      une des… obligations

Qui vous empêche de vivre    *     dans notre société,

Tout ce temps libre gagné   A     pourra être occupé

 À faire autre chose qui      M stimule autre passion.

Mais le choix définitif    O   entre raison, passion,

Faisant taire le désir   U   vous pousse à mourir,

Bien avant l’heure   R     il  vous  fera  souffrir

Manque   d’aimer   qui  vous  fait  exister.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

C’est La flamme du désir

Chaudron  des  pulsions :

Quand  ça bout  et de partout,

Faut venir à bout sinon il s’éteint.

.

701 4

.

 

Chaudron, potion magique vont de pair

Sauf lors son effet s’arrête :

Tout refroidit flamme d’amour s’éteint

Et puis alors il n’y a plus rien.

Un chaudron qui s’allume, bout, s’éteint

Voilà une belle métaphore d’un désir fort

Il suffit se souler le couvercle pour le voir,

Tant et si bien que la forme rejoint le fond.

 .

Symbolique 

 .

Chacun  sait  que le  chaudron

Est   le   creuset   de   l’alchimiste

À l’intérieur duquel transformation

Et la guérison se produisent et nous

Le   contenons   en  …     nous-mêmes,

Dans   notre    région     abdominale.

Cette alchimie interne était déjà bien

Connue dans toute ancienne Chine

Sous  le  nom  de  Neidan  dont

Le but était d’unir le yin et le

yang, acquérir longévité

et voire immortalité.

sciencetradition.forumactif.com/

t337-le-symbole-du-chaudron

 

.

Fond

 .

Évocation 

.

701 6

.

Chaudron, potion magique vont de pair

Sauf lors son effet s’arrête :

Tout refroidit flamme d’amour s’éteint

Et puis alors il n’y a plus rien.

 .

Symbolique 

 .

Souvent la routine

S’installe dans notre vie

 .

À tel point que toute flamme

Intérieure  de  l’amour  s’éteint

Lentement presque inexorablement.

 .

Comment ne pas vous laisser entraîner

Par ce tourbillon infernal de vieux couple

 .

Comment raviver         une flamme intérieure

Qui ne souhaiterait               qu’une seule chose :

 .

Briller, revivre si                      non mieux du moins

Autant qu’avant                           voir différemment.

.

.

Fond/forme 

.

Un chaudron qui s’allume, bout, s’éteint

Tout cela est banal, cela n’a l’air de rien

Et pourtant c’est le désir qu’il renferme

Et la grande énergie qu’il consommera

Qui nous mènera et nous fera avancer

Une fois fini, il éteint mais se rallume

Comme ces bougies d’anniversaires

Qui le font et le refont et sans fin !

.

Textuels et illustrations  >>

700 – L’envol d’essai des amoureux

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Envol d’amoureux,

N’est pas oisillons

Sortants des nids

Plutôt  des couples,

Se croyant au paradis

Dans leur bulle, à deux.

.

S’il est vrai que la femme,

Virevolte autour  de l’homme

La faisant tourner autour de lui,

S’il  la lâche, elle ne s’envole pas,

Confiance règne à cent pour cent.

.

Sa légèreté d’esprit  la fait voler

Tant l’envol  d’essai amoureux

Sera fait de pleins et de creux,

Certains le trouveront  joyeux,

Lors autres  des plus ennuyeux,

Mais tournez manèges d’enfance.

.

Danse amant devient une romance

Contact avec sol, moindre évidence

Ronde donnera tournis de la chance.

Pour vrai l’envol d’essai des amoureux

Est fait d’autant de pleins que de creux.

.

Il y a certains qui les trouveront joyeux

Tandis qu’autres des plus ennuyeux !

S’allier pour faire la chose ensemble

Voilà qui fixe parcours, me semble,

D’amoureux qui veulent la route,

Afin de s’extraire de leurs doutes,

Sur  leurs  prétendues  intentions.

.

Mais il faudra faire   très attention

Car la voie est très   dure, et instable

En dépit de moments   forts agréables

Qui nous rapprochent, nous ressoudent,

Lien est rompu dès que l’un d’eux boude.

.

Car ce n’est plus l’autre que l’on aperçoit,

Mais, son image, enfin §celle qu’on croit,

Comme en miroir l’un l’autre  se voient,

Le moindre flou  ou  la moindre ombre

Qui viendront ternir visages sombres.

.

Tel est l’effet de vraie cristallisation

Qui, d’une branche, jetée sur le sel,

Rassemblera tant d’éclats sur elle,

Au point de masquer toute vision

Voler, survoler  puis de convoler

En juste noce  ou  en juste ciel,

S’apparente à la lune de miel,

Forçant à s’aimer ou tomber.

.

Extensions

 .

Les accouplements de nos jours

Se concluront bien avant le mariage

Qui devient ni plus ni moins que chambre

D’enregistrement de fait accompli en filigrane,

Pour le tempérer  face ombre  d’un divorce à la clé.

.

L’envol d’essai des amoureux est ce qu’il y a

De plus beau et de plus léger.

.

Aucune contrainte, astreinte, plainte :

On se construit, on se consomme,  se détruit

Mais au final, ou bien c’est non ou bien c’est oui.

.

Quand l’essai dure trop longtemps, il se fige

Dans le temps et son indécision finit

Par ronger le couple qui se délite

À petit feu, un feu qui dévore

Leurs ailes, lors pour finir,

Leur chute n’en sera que

Plus brutale, cruelle.

.

L’envol est comme un jeu, un jeu d’envol d’un couple d’amoureux,

Se tenant et se tirant par leurs mains pour se prendre un bain

Emporté  par un élan de liberté, l’homme a pris les devants,

Il trouve la force d’élever, en ses bras, le fruit de son désir.

Après s’être rassasiés aux profondeurs de bain envoûtant

Ils se reposent en contemplant,  ensemble… loin devant.

Peut-être projetaient-ils, déjà, leurs débuts d’aventures

Ainsi débute parfois un couple, accord pour se baigner

Et le reste suivra, comme couple d’oiseux, en plein vol !

.

Toute rencontre qui débouche sur un essai

De vie commune est comme un nouvel envol,

Pour voir si voler de concert conduirait un jour

Jusqu’à convoler en justes noces selon expression

.

En réalité le contrat peut être remplacé par un Pacs

Qui retardera d’autant le mariage officiel, sécurisant

Le couple dans une atmosphère de liberté réciproque :

Ce n’est pas leurre, c’est jusque que ce n’est pas l’heure !

.

Fragments 

.

Des amoureux, envol d’essai

Aurait été, des fois, comparé

Aux vols oiseaux migrateurs,

Les plus jeunes, en amateurs.

.

Désirer de…s’envoyer en l’air,

Ne suffirait  pour bien le faire,

C’est un voyage  au long cours,

Avec ses bagages assez lourds.

.

Et qui comprendra au moins

Trois organes biens charnels,

Le sexe, le corps, et  le cœur :

Plus  esprit, âme : spirituels.

.

Sentiment légèreté, liberté :

Être comme  plume au vent,

Être en fusion  deux amants,

En direction : bien  accordés,

.

Évitant de tomber en virevoltant

Rendus feuilles,  en se détachant,

En se séparant  et en s’éparpillant,

Jusqu’à toucher le sol, en mourant.

.

Cet envol  d’amoureux,  peut  autant

Se faire, sur le sol, ou  dans  les eaux,

En pratiquant un fort rapprochement,

Reliant bien tous éléments fort chauds.

.

Mais, en disant cela, et  en y croyant fort,

Je m’envole presque  et  par anticipation,

Le pouvoir des mots à terre, en élévation,

Me met en états d’amoureux transports !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

 .

Envol d’amoureux,

N’est pas     *     oisillons

Sortants          P        des nids

Plutôt  des          R           couples,

Se croyant au        E               paradis

Dans leur bulle       M                 à deux

S’il est vrai que         I               la femme,

Virevolte autour        E             de l’homme

La faisant tourner      R           autour de lui,

S’il la lâche, elle           *          ne s’envole pas,

Confiance règne         *           à cent pour cent

.

Sa légèreté d’es   *        *     prit  la fait voler.

Car l’envol     E               D   d’essai amoureux

Sera fait de   N                  E   pleins et de creux,

Certains le    V                     S   trouveront joyeux,

Lors autres    O                     *    des plus ennuyeux.

Mais tournez  L                     A   manèges d’enfance.

Danse amant    *                    M devient une romance

Contact avec le  D                 O sol, moindre évidence

Ronde donnera   ‘                 U  tournis de la chance.

Pour vrai l’envol  E             R d’essai des amoureux

Sera fait d’autant S           E   pleins que de creux.

Il y a certains qui  S        U les trouveront joyeux

Tandis qu’autres    A     X   des plus ennuyeux !

S’allier pour faire   I    *    la chose ensemble

Voilà qui fixe par     *   cours, me semble,

D’amoureux qui    *   veulent la route,

Afin de s’extraire *  de leurs doutes,

Sur  leurs  prétendues   intentions.

.

Mais il faudra faire   très attention

Car la voie est très   dure, et instable

En dépit de moments   forts agréables

Qui nous rapprochent, nous ressoudent,

Lien est rompu dès que l’un d’eux boude.

Car ce n’est plus l’autre  que l’on aperçoit,

Mais, son image, enfin … celle qu’on croit,

Comme en miroir l’un …… l’autre se voient,

Le moindre flou ou la ………. moindre ombre

 Qui viendront ternir ………… visages sombres.

Tel est l’effet de …………………… cristallisation

Qui d’une branche ……………… jetée sur le sel.

Rassemble tant …………………. d’éclats sur elle

Au point de mas ………………. quer toute vision

Voler, survoler …………………..puis de convoler

En juste noce ……………………. ou  en juste ciel,

S’apparente à …………………….. la lune de miel,

Forçant à s’ai …………………….. mer ou tomber.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Les silhouettes d’un couple

De  deux  jeunes  amoureux 

Tout  proche  de  leur  envol,

Comme oiseaux migrateurs !

.

700 4

.

Quand on dit que les amoureux

S’en vont  dans un même envol.

Comme des oiseaux migrateurs,

C’est qu’ils seront bien ailleurs.

Un envol vers un lieu commun

Deux oiseaux migrants du nid

Familial  est devenu un cliché,

Aussi la forme épouse  le fond.

.

Symbolique 

 .

Le fait de    s’envoler

Et de se retrou    ver dans les airs

Est symbole de lé    gèreté pouvant être

Un élément positif       ou, tout au contraire,

Manque complet de    sens des responsabilités !

Fait de voler appor     te un sentiment de liberté,

C’est une libéra    tion face aux contraintes

De la    matière et du sol.

Tel un     oiseau on se déplace

Avec aisance     et   facilité   dans  les  airs,

Sans avoir à par   courir à pieds les distances :

C’est le besoin de se   sentir libre de ses mouvements.

Source : elle.fr/Love-Sexe/Psycho/Interpretation-des-reves

.

.

Fond

 .

Évocation

.

700 6

.

Quand on dit qu’amoureux

S’en vont en un même envol.

Comme oiseaux migrateurs,

C’est qu’ils seront bien ailleurs.

.

Symbolique 

 .

Il y a bien

Long-temps,

Dans l’Antiquité,

Interpréter signes visibles de tout le monde

Et portés par des êtres ou des choses évoluant

Dans l’environnement des humains (oiseaux, etc.)

Ou décoder le contenu des entrailles d’un animal,

Faisait partie des croyances, fortement ancrées,

Et les oracles  étaient  très écoutés : ainsi le vol

Ou  chant  des oiseaux, étaient  des  présages

Indiquant un avenir noir  ou avenir  rose !

 

Considérés comme des envoyés de dieux,

Les oiseaux ne peuvent se tromper :

Selon qu’ils volaient de la gauche

Vers la  droite  ou  de la droite

Vers la gauche, le message

Véhiculé   était  de  bon  ou

De        mauvais       augure.

hubertreeves.info/chroniques/

pdf_jdm/20091011.pdf

 .

.

Fond/forme 

.

Que des oiseaux s’envolent dans l’air

Et qu’ils soient synonymes de libertés,

Quoi de plus normal et de plus animal :

Le fait de migrer milliers de kilomètres

Reste déjà beaucoup  plus surprenant,

Et qu’ils restent ensemble vie entière,

Des plus étonnants, plus touchants.

.

Textuels et illustrations  >>

699 – Cheveux longs, épais, en bataille

 Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Il est

Vrai que les

Cheveux de femmes

Ont, de tous temps, été

Un important  attribut

Pour leur séduction,

Et  encore plus,

S’ils  sont  longs,

Épais, et   bouclés,

Tombent en bataille.

.

Cent façons de les coiffer

Et une seule de les décoiffer,

En les secouant, nonchalamment,

Tout en tournant la tête innocemment.

.

Tandis que ses pieds,  aux chevilles fines,

Habillés, en leurs écrins,  la rendent divine,

En marquant sa silhouette lors elle chemine

En courbes et en rondeurs que l’on devine.

.

Ses cheveux, longs, épais … en bataille,

Flottent sur  ses épaules  et entourent

Un visage auquel amour  en canaille,

Prête ses expressions au grand jour.

.

À l’opposé, petits pieds, en souliers,

Danseront un tango, une farandole

D’un pas qui vous mène en amitié

De beaux partenaires, s’y collent.

.

Entre les deux : bosses  et creux

Affirment  ses rondeurs, un peu,

Assez pour attirer les amoureux

Par démarche, allure,  par jeux.

.

Nulle parure, nul habit flatteur,

Elle se pare de sa seule humeur,

Partagée  par ceux dont le cœur

Est à nu pour délivrer les peurs.

.

Ces mots, pour  la  peinturlurer

Comme un bel idiot  que  je suis,

Aurai-je le  S droit de  les dessiner

Sur ce beau corps qui m’a  séduit.

.

Tandis  que  ses  beaux pieds,

Avec ses chevilles, fort fines,

Habillés dans leurs écrins,

La rendent  très  divine,

Marque  sa silhouette

Lors  elle chemine :

Courbes rondeurs

Que l’on devine.

.

Extensions

 .

Une chevelure au vent

Laisse flotter derrière elle

Un parfum de femme   qui

N’est pas seulement olfactif

Ou visuel mais autant sensuel

Par ses mouvements incessants.

.

Drapeau flottant avec mêmes effets

Ne produira pas les mêmes réactions.

En outre, une chevelure soutient l’allure

En se déplaçant dans son environnement.

On aimera à découvrir le visage qu’il cache

Quand on la voit de dos, là, parfois surprise :

Une femme ayant une cinquantaine d’année !

.

Preuve que chevelure marqueur de séduction :

Quelle dépense, soins mensuels pour se coiffer !

De plus en plus, en vieillissant, en s’enrichissant

Mais c’est à leur honneur car, par ce fait même,

Elles demeurent belles ainsi  plus longtemps  et

Se plaisent autant à eux-mêmes qu’aux autres.

.

La chevelure fait partie de son allure

Et ce d’autant qu’elle flottera au vent

Et en nudité sa seule, unique, parure,

Protégeant, sa pudeur, son sentiment.

En la coupant elle se veut une révoltée,

De se soumettre aux canons de beauté,

Pour  affirmer  une autre, intériorisée :

Nombre hommes aiment les chevelures

Pour leurs effets de charme, émouvant !

.

La longue chevelure de la femme,

Constitue un attrait pour hommes

Qui les confortera en leur féminité,

En éclairant un visage accueillant !

.

Libre et sauvage plus que disciplinée

Ou naturelle plus que mise en forme,

Elle tend à devenir signe ostentatoire

D’émancipation et du désir de plaire.

.

La chevelure brune, blonde ou rousse,

Qui descend jusqu’aux bas des reins,

Deviendrait proche de soumission

Sinon voire de pleine licence.

.

Fragments

.

Les cheveux, la chevelure, c’est sûr,

 Font partie d’attraits qui nous plaisent

Chez les femmes plus que chez hommes,

De par leur longueur, couleur, épaisseur !

.

Certaines ont une chevelure en fil statique,

D’autres en ont une plus souple, dynamique

La première, on la verra bien plus en Afrique

La dernière, onduler créant un effet magique.

.

En réalité, l’on ne peut plus guère les opposer

Chevelures sont comme curseur en continuité,

D’autant qu’on peut les coiffer  comme on veut

Les couper, rallonger colorer,  comme on peut.

.

Les cheveux, façon dont ils sont bien coiffés,

Reflètent langage social, notre personnalité.

Dont les codes changent au gré des modes,

Mais ont toujours une évocation érotique.

.

Les coiffures longues tombant sur croupe

Habille un dos nu,  comme parure d’Êve,

 Suscitant fantasmes comme en un rêve,

Pour un peu que démarche chaloupe !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme    

.

Il est

Vrai que les

Cheveux femmes

Ont de tous temps été

Un principal    attribut

Pour            séductions,

Et        encore       plus,

S’ils       sont     longs,

Épais, et    bouclés,

Tombent en bataille.

.

Cent façons de les coiffer

Et une seule de les décoiffer,

En les secouant, nonchalamment,

Tout en tournant la tête innocemment.

Tandis que ses pieds,  aux chevilles fines,

Habillés en leurs écrins,  la rendent divine,

En marquant sa silhouette lors elle chemine

En courbes, et, en rondeurs, que l’on devine.

.

Ses cheveux,  C   longs, épais,  E    en bataille,

Flottent sur  H      ses épaules    T et entourent

Un visage    E    auquel amour   *  en canaille,

Prête ses     V    expressions au  E grand jour.

À l’opposé  E    ses petits pieds  N en souliers

Danseront  U    un tango, une    *   farandole

D’un pas    X   qui vous mène   B  en amitié

De beaux   *      partenaires     A s’y collent.

Entre les    L    deux : bosses  T    et creux

Affirment   O  ses rondeurs  A     un peu,

Assez pour   N attirer les     I amoureux

Par démarche G    allure    L   par jeux.

Nulle parure,  S  nul  habit L   flatteur,

Elle se pare  *   de sa seule   E  humeur

Partagée    É  par ceux dont *   le cœur

Est à nu   P pour délivrer  *  les peurs.

Ces mots  A       pour la  * peinturlurer

Comme un  I   bel idiot * que  je suis,

Aurai-je le  S droit de  * les dessiner

Sur ce beau corps qui m’a  séduit.

Tandis que  ses beaux ….. pieds,

Avec ses chevilles  …… fines,

Habillés dans leurs écrins,

La rendent  trop divine,

Marque sa silhouette

Lors elle chemine :

Courbes rondeurs,

Que l’on devine.

.

Forme

 .

.

Évocation  

.

Une amphore, ou alors

 Une  longue  chevelure

En belle forme qui ondule

Comme  un champ de  blé !

.

699 4

.

Chevelure de femme, bien ourlée,

Avec des volutes des plus épaisses :

Au point on dirait  qu’elle ondule

Comme un champ de blé mûr.

.

Symbolique 

 ..

Les cheveux,

Notamment la façon

Dont ils sont bien coiffés,

Reflètent notre personnalité.

Ils sont un langage social,

Dont les codes changent

Au   gré  de  la  mode.

Chevelure de  femme

A  toujours  porté des

Connotations    érotiques.

De    nombreuses    religions,

Notamment le christianisme ou islam

Interdisaient, aux femmes, de dévoiler

Leur chevelure car cela était considéré

Comme un manque de pudeur.

Modifié, source : 1001 symboles

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Chevelure de femme, bien ourlée,

Avec des volutes des plus épaisses :

Au point on dirait  qu’elle ondule

Comme un champ de blé mûr.

.

Symbolique de fond

 .

Pour les Grecs, la chevelure

Présente des liens étroits avec

Le domaine du tissage, du végétal

L’animal, en particulier avec cheval.

 L’apparence  capillaire, de  référence,

  Toute en longueur    et bien éclatante,

       En ondulation   et en mouvement,

        Indice de jeunesse      et d’excellence,

         De force, de virili      té, de panache,

         Est celle des  dieux    et  des  figures

        Héroïques, modèles     dont s’inspire

        L’élite aristocratique      la chevelure

      Contribue à identifier  et à distinguer

      Et hiérarchiser le sauvage  et le civilisé,

     L’ordre et le désordre  mais  aussi à dire,

   À travers les violences dont elle est souvent

  L’objet, les souffrances ou la négation d’’être.

Pour les Grecs, la chevelure présente des liens

Étroits avec le domaine  du tissage,  du végétal

Et l’animal, en particulier avec queue… cheval !

tel.archives-ouvertes.fr/tel-01838283

 .

.

Fond/forme 

 .

Les cheveux qui ondulent comme les blés,

Cheveux qui balancent de tous les côtés,

Mouvement permanent en marchant

Enluminés par des reflets luisants.

Cent coiffures selon les couleurs ;

Cent coiffures  selon longueurs ;

Raides avec mèches ou frisures

Entourant tête de courbures !

 Textuels et illustrations >>

698 – Dire au revoir à quelqu’un est déchirant

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Au revoir, comme son nom l’indique,

Est un espoir de se revoir, bientôt ;

Adieu : de s’en remettre  à Dieu,

Déchirant, parce que frustrant

De ne plus percevoir quelqu’un

En chair, et en os, et bien vivant,

Pour ne plus partager joie, chagrin.

Au revoir : provisoire ; adieu, définitif,

Adieu est sans futur ; au revoir, infinitif.

 .

Je n’ai même pas pu lui dire «au revoir»

Clame l’amant, parti sans aucun espoir.

Un au revoir, joyeux, pour : à bientôt,

Au revoir, triste, pour : pas de sitôt,

Au revoir mitigé pour peut-être :

Autant accents bien, mal être.

 .

De dire au revoir à quelqu’un

Est toujours un peu déchirant

Mais adieu, l’on  n’osera  point,

Parce qu’il représente : mourant.

Pourtant la vie est bien faite ainsi,

Qu’on s’attache  et qu’on se détache

Lors enfant, adolescent puis potache

On égrène son beau chapelet  ’amis.

 .

Quand une page est, enfin, tournée,

C’est fini mais, qu’à cela  ne tienne,

Une autre vie se sera déjà amorcée

Avec  les  morceaux  de l’ancienne.

Bien  des  passions  sont mortelles

Il en est de même  des sentiments,

Qui regorgent  d’autres, plus belles,

Auxquelles on y consacre son temps.

 .

L’au-revoir  à quel qu’être un humain

Est prendre risque majeur  de l’oublier

Et dire adieu à une aventure de marins,

C’est finir de le penser  pour lendemain.

Dire au-revoir,  à un bel objet ou bateau,

Est comme arrache  quelque chose de soi,

Comme si une belle  chose tombait à l’eau,

Alors que l’on y tenait et en toute bonne foi.

 .

Quelle morale pour cette histoire : aucune

À chacun de décider de sa bonne fortune

On ne peut tout entre prendre en la vie,

Tout choix est dramatique, est fini.

Il est fini quand on lui dit adieu

Et il ne s’agit pas des cieux,

Pas plus de merveilleux

Mais de ses    yeux

Déjà ail  leurs,

Cette heure

Bonheur

Fini.

.

Extensions

 .

Dire au revoir,

C’est couper un lien

Qui nous convenait lors

Circonstances nous obligent

À le faire ou quelqu’un d’autre

Qui nous aimait bien … s’en va.

.

Aucune chance, aucun souhait

De le rencontrer à nouveau,

Même par hasard ou

Dans une autre vie.

.

Le plus simple est de le

Remplacer le plus vite possible

Mais il y aura du chemin à faire

Entre  l’idée  et la réalité, quand

L’autre vous manque à ce point

Qu’il est irremplaçable et à vie.

.

Que ce soit  à pied, en vélo, en voiture, en train, en avion :

De dire au revoir, sera toujours un moment d’émotions :

Certains embrassent, autres  lèvent le bras, lance baiser,

Et il y en a même qui se prennent en photos, en selfies !

Et puis il y a ceux qui s’en vont, sans rien dire ni faire,

Sans se retourner, un geste, ayant horreur de quitter

Être aimé auquel ils éprouvent  du mal à s’arracher.

.

On se dit au revoir

 On espère bien qu’on

Ne se reverra  jamais,

On se revoit  volontiers

 Quand on s’est dit adieu.

.

Si l’on confond avec adieu,

C’est sous influence religion

Tout autant  qu’intention  de

Dans  la réalité  l’un et l’autre,

S’emploient en se contredisant

.

L’on n’arrête plus,  de nos jours,

De se quitter et puis de se revoir,

Relations s’égrènent en pointillés

Avec temps morts et temps forts,

C’est cela la vie jusqu’à sa mort.

.

Fragments

.

Ce n’est qu’un au-revoir mes frères

Oui nous nous reverrons, un jour,

Faut-il nous quitter sans espoir,

Sans espoir de retour

Faut-il nous quitter sans espoir

De nous revoir un jour…

.

C’est le chant des adieux, d’au-revoir,

Chant «louveteau» d’origine inconnue.

Lors du départ d’un animateur ou chef

Lors de la cérémonie montée drapeau !

.

 

Au-revoir : provisoire ; adieu,  définitif,

Adieu est sans futur ; au-revoir, infinitif.

Au revoir, l’on garde l’espoir de se revoir,

Adieu : on s’en remet à Dieu dans le noir.

.

Mort sous une bombe ou coup d’assassin,

Un mort est un mort et le restera toujours,

Entre la mort et la vie c’est clivant, binaire,

Dire adieu à un vivant demeure déchirant !

.

On meurt parfois en rêves, cauchemardant,

Et jusqu’à s’en étonner de se réveiller vivant

Il s’agira de sa propre mort  et d’une fiction,

Mort réelle d’un proche, crée une sidération.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme    

 .

Au revoir, comme son nom l’indique,

Est un espoir de se revoir, bientôt ;

Adieu : de s’en remettre  à Dieu,

Déchirant, parce que frustrant

De ne plus percevoir quelqu’un

En chair, et en os, et bien vivant,

Pour ne plus partager joie, chagrin.

Au revoir : provisoire ; adieu, définitif,

Adieu est sans futur ; au revoir, infinitif.

 .

**************************************

**************************************

.

Je n’ai même pas pu lui dire «au revoir»

Clame l’amant, parti sans aucun espoir.

Un au revoir, joyeux, pour : à bientôt,

Au revoir, triste, pour : pas de sitôt,

Au revoir mitigé pour peut-être :

Autant accents bien, mal être.

.

Dire au revoir      à quelqu’un

Est toujours un peu déchirant

Mais adieu, l’on  n’osera  point,

Parce qu’il représente : mourant.

Pourtant la vie est bien faite ainsi,

Qu’on s’attache  et qu’on se détache

Lors enfant, adolescent puis potache,

On égrène  D  beau chapelet  E   d’amis.

Quand une  I  page est enfin     S   tournée,

C’est fini     R   mais qu’à cela     T  ne tienne

Une autre  E    vie se sera déjà     *   amorcée,

Avec les      *      morceaux de l’      D  ancienne.

Bien des     A       passions sont        É    mortelles

Et il en est  U       de même  des        C sentiments

Mais regor    *        gent d’autres,       H plus belles,

Auxquelles   R        on y consacre        I   son temps.

L’au-revoir    E      à quel qu’être        R   un humain

Est prendre    V     risque majeur      A   de l’oublier

Et dire adieu  O    à une aventure    N    de marins,

C’est finir de     I  le penser pour    T    lendemain.

Dire au-revoir,   R      à bel objet   *     ou bateau,

Est comme arracher  *        quelque chose de soi,

Comme si une belle   À     chose tombait à l’eau,

Alors que l’on y tenait *   et en toute bonne foi.

Quelle morale pour     Q cette histoire, aucune

À chacun de décider   U de sa bonne fortune

On ne peut tout entre  E  prendre en la vie,

Tout choix est drama  L    tique, est fini.

Il est fini quand on   Q   lui dit adieu

Et il ne s’agit pas   U    des cieux,

Pas plus de mer     veilleux

Mais de ses    U     yeux

Déjà ail    N  leurs,

Cette  *  heure

Bonheur

Fini.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une forme fusée artisanale

Ou une bombe tombante

Classique, à percuteur 

Et qui, sur terre, tue.

.

698 4

.

Une bombe est capable de détruire

Relation d’amour en tombant

Mais ce n’est pas la bombe qui  tue,

C’est bien celui qui l’a lancé !

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une bombe est capable de détruire

Relation d’amour en tombant

Mais ce n’est pas la bombe qui  tue,

C’est bien celui qui l’a lancé !

.

Tout     meurtre

 Dans     un rêve

Est    attaque

 Symbolique :

Conflit frontal entre deux

Parties, et l’une cherchant

Souvent à éliminer l’autre.

Cela  exprime  une situation

 Vécue où le rêveur ou rêveuse,

N’aurait     pas    suffisamment  

Conscience      de    ce    que    ses

Relations comportent opposition.

Cette opposition peut se manifester

À l’intérieur de la psyché du rêveur

Et là, un aspect de sa personnalité

Veut prendre le pas et refouler

De façon décisive un autre

Aspect rêveur rêveuse

En plein conflit

Interne.

VVV

V

Love-Sexe/Psycho/Interpretation-des-reves/

Rever-d-un-meurtre-notre-interpretation

 .

.

Fond/forme 

Une bombe provoque un meurtre ;

un meurtre fait l’effet d’une bombe.

ce sont des situations dramatiques

où tout au-revoir devient définitif

dès lors qu’il monte jusqu’à Dieu !

les enfants ont  parfois  bien du mal

à se projeter longtemps en absence

plus encore, en mort d’un proche !

.

 Textuels et illustrations  >> 

697 – Comment renouveler ses désirs et plaisirs !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Des désirs de plaisirs

Il y en a cent de différents

Des désirs voire des plaisirs,

Y en a et plus, tant  que tant !

.

Dès qu’un plaisir s’émousse,

Un autre désir nous pousse

À en varier,  à en essayer

Et ce, jusqu’à satiété.

.

Mais ce sont souvent

Mêmes qui reviennent

Ayant donné satisfaction

Par  grandes gratifications.

.

À chacun ses désirs et plaisirs,

S’ils sont  sans regrets, jalousies,

Ils seront bons à prendre et à vivre

Sans désirs, on ne  fait  que survivre.

.

Comment renouveler ses désirs et ses plaisirs

Si on vous dit : grand père, tu peux  te ranger,

Il est grand temps de renoncer  à l’amourette,

Te recentrer sur ta famille et les tiens à aimer.

.

Il y a le plaisir, toujours, comme fond inusable,

Bonne chair, bon vin, un bon repas en commun,

Et, cela peut durer, sans arrêt, jusqu’au dernier,

Pour peu qu’on en est l’appétit,  jusqu’à  satiété.

.

Il y a le désir de se cultiver, ou se spiritualiser,

Plaisirs de l’esprit, mais aussi, plaisir de l’âme,

Sans compter, envie d’écrire, peindre, sculpter,

Resté latent depuis que l’on est enfant  ou ado !

.

Il y a le plaisir de vivre à son propre… rythme

Pour peu qu’on s’impose sa propre contrainte :

Se lever tard, sieste légère  et  soirée prolongée,

Spectacles, événements, concerts  et… variétés.

.

Il y a désir de voir du pays…plaisir de voyager,

Rencontrer d’autres personnes … des étrangers,

Admirer des panoramas, aux vues imprenables,

Montrer que grimper on en  est  encore capable.

.

Il y a le plaisir de voir ses petits-enfants grandir

Sans avoir à les éduquer, ni garantir  leur avenir

Avec le désir de les voir  surpasser  leurs parents,

Autres temps, autres mœurs : en exige d’autant !

.

Il y aura, pour finir, essentiel désir de se réaliser

À travers beau projet qui nous fera grand plaisir,

Pour continuer  à garder sa place  dans la société

Gratuitement, sans contrepartie : par  humanité !

.

Extensions

 .

Comment renouveler

Ses désirs et ses plaisirs,

Lors vieillissant, lentement

Mais surement et ce d’autant

Qu’on est à la retraite  et donc

Avec du temps libre, pour quoi.

.

Combien de gens vous disent :

«Quand j’y serai… je ferai »

Et ils ne font pas, ou  alors

«Quand je ferai, je serai »

Et ils ne sont toujours pas.

.

En contraints jusque-là, par

Leurs obligations extérieures,

Ils s’en remettent, se reposent,

Autres activités … en dilettante.

.

Désirs, plaisirs, anciens, nouveaux

Ces quatre mots… qui s’interpellent

Font valser le monde des projections

Au-delà  du raisonnable, du profitable,

Pour épuiser toutes les saveurs de la vie.

.

On peut multiplier plaisirs

Afin de satisfaire  un désir :

On ne peut  multiplier désirs

Pour  satisfaire   son plaisir :

Le désir reste dans l’attente,

Le plaisir est dans l’action.

.

Désir est mouvement vers,

Désir  est  manquement  de,

Désir  est  inclinaison   pour,

Plaisir  est   assouvissement,

Parfois même ravissement,

Si ce n’est contentement !

.

Renouveler requiert cycle

De tensions  puis  détentes,

Ne peut jamais être continu,

Sans perdre de son intensité :

Meilleure façon est partager

Pour qu’autre soit miroir.

.

Fragments

.

Désir et plaisir se succéderaient,

Dans un cercle, qui les distraient,

Lors des plaisirs, vite s’émoussent,

Des désirs créent d’autres mousses

..

L’ennemi désir est procrastination :

Remettre à demain plaisir immédiat

Mais, si désir devient seule obsession,

On tourne en rond et on est vite à plat.

.

Obscur objet du désir vient d’inconscient

Il nous serait suggéré, en nous y associant,

Faut-il lui résister ou l’ignorer ou l’accepter

La mort du désir serait celle de l’Humanité.

.

Métaphore de l’escalier est différente en tout,

De celle du cercle que l’on dit fermé pour tout

Il  arrive que le désir  nous monte  au grenier,

Lors plaisir décevant nous descend au cellier.

.

Il y a aussi, surtout des paliers pour respirer

Un peu comme en mer, en remontée plongée

Si le désir est bien trop fort : il nous étouffe

S’il est bien trop faible, il stagne, esbroufe.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme   

     .

Des désirs     C     S  et de plaisirs

Il y en a cent  O     E  de différents

Des désirs voire  M     S   des plaisirs,

Y en a et plus, tant  M    *       que tant !

Dès qu’un plaisir   E    D    s’émousse,

Un autre désir  N   É   nous pousse

À en varier,   T   S   à en essayer

Et ce, jus   *     I   qu’à satiété.

Mais ce   R    R   sont souvent

Mêmes   E     S qui reviennent

Ayant don  N    *   né satisfaction

Par  grandes   U   P   gratifications.

À chacun ses dé  V   L   sirs et plaisirs,

S’ils sont  sans re   E    A   grets, jalousies,

Ils seront bons à     L     I  prendre et à vivre

Sans désirs, on ne   E       S    fait que survivre.

         R        I  R  S

 .

***********************************************

***************************************************

.

Comment renouveler ses désirs et ses plaisirs

Si on vous dit : grand père, tu peux te ranger,

Il est grand temps de renoncer  à l’amourette,

Te recentrer sur ta famille et les tiens à aimer.

.

                                      Il y a le plaisir, toujours, comme fond inusable,

                                      Bonne chair, bon vin, un bon repas en commun,

                                     Et, cela peut durer, sans arrêt, jusqu’au dernier,

                                   Pour peu qu’on en est l’appétit, jusqu’à satiété.

.

Il y a le désir de se cultiver, ou se spiritualiser,

Plaisirs de l’esprit, mais aussi, plaisir de l’âme,

Sans compter, envie d’écrire, peindre, sculpter,

Resté latent depuis que l’on est enfant ou ado !

                                Il y a le plaisir de vivre à son propre… rythme

                                 Pour peu qu’on s’impose sa propre contrainte :

                                Se lever tard, sieste légère et soirée prolongée,

                                Spectacles, événements, concerts et…variétés.

.

Il y a désir de voir du pays…plaisir de voyager,

Rencontrer d’autres personnes … des étrangers,

Admirer des panoramas, aux vues imprenables,

Montrer que grimper on en est encore capable.

.

                                  Il y a le plaisir de voir ses petits-enfants grandir

                                 Sans avoir à les éduquer, ni garantir leur avenir

                                  Avec le désir de les voir  surpasser  leurs parents,

                                 Autres temps, autres mœurs : en exige d’autant !

.

Il y aura, pour finir, essentiel désir de se réaliser

À travers beau projet qui nous fera grand plaisir,

Pour continuer  à garder sa place  dans la société

Gratuitement, sans contrepartie : par humanité !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un escalier que l’on nommera

Souvent en spirale colimaçon,

Parce qu’il tournera en rond 

Jusqu’au palier en haut !

.

697 4

.

L’escalier est un symbole plaisirs

Dès lors qu’on grimpe

Tant à chaque étage, palier, on peut

Sans cesse, le renouveler.

Escalier avec paliers est métaphore

Du renouvellement et de l’élévation :

Pour autant qu’il évoque désir plaisir

Ils ne superposeront… fond et forme !

.

Symbolique 

.

L’escalier                       est toujours

Le symbole de                 progression,

 .

Vers   le   savoir             de l’ascension

Vers la connais             sance, lumière

 .

Il relie ce qui est           en haut et bas.

Il revêt aussi un          aspect   négatif

 .

La descente, la            chute, le retour

À la matériali             té  et  au monde

 .

Souterrain étant       à l’ombre en soi.

grandreves1234.blogspot.com

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

L’escalier est un symbole des plaisirs

Dès lors qu’on grimpe

Tant à chaque étage, palier, on peut

Sans cesse, le renouveler.

.

Symbolique 

 .

Ce sera  la       Compagnonne

Qui  a  gravi           escalier    tournant

Divisé en deux                 paliers mon esprit

Pensa alors en                       roulements, spirales

Du temps  passé                     à venir, vis sans fin,

Coquille escargot           tourbillons de forces

Ascendantes       descendantes

.

Et tout cela me troubla passablement.

Carl JUNG aura écrit :

« La   voie   vers   le but   s’élève   en  spirale ».  

Et, en effet, celle-ci, forme

Circulaire, reste ouverte vers l’éternel Progrès.

Mais   si   un    escalier

Peut être monté, n’oublions surtout pas qu’il peut

Aussi être descendu !

ledifice.net/7601-1.html

  .

 .

Fond/forme 

.

Un escalier en spirale n’aurait pas

La même évocation,  ni connotation,

Que l’escalier droit comme une échelle

On parlera de même élévation et chute.

.

Mais, de spirale du bonheur et malheur,

Comme s’il y avait un destin, une fatalité,

Venant s’y ajouter, auxquels on succombe,

Descente aux enfers ou montée au paradis.

On ne s’arrête pas en plein milieu de spirale:

Les constellations elles-mêmes en forme une.

L’univers : en expansion, retrait, ou chute.

Et qui sait si un trou noir ne l’est pas

Nous aspirant dans son néant.

.

Textuels et illustrations  >>

696 – La vie entre dix ans et soixante-cinq ans

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

À dix ans, on ne sait rien de la vie,

On est enfant apprenant dépendant

Des parents et société nous éduquant

Aux valeurs laïques  de  la République.

 .    

À trente, notre carrière  se  sera  dessinée

Mariage, enfant, maison seront la trilogie,

Il arrive  que l’on ne fasse  aucun des trois,

Et qu’en plus son emploi soit très instable

Pour autant,  aurait-on déjà raté sa vie !

 .    

À soixante et plus et une belle retraite

Avec, pour  perspective : le cimetière.

Mais rien ne presse,  rien ne stresse

L’essentiel est  d’en  bien  profiter,

Du cadeau qui nous est accordé.

.     

À dix ans, l’on a déjà épuisé

Ses désirs, plaisirs d’enfants,

Bien rempli  son imaginaire

À ne plus savoir  qu’en faire.

 .    

À treize, l’on se sent… décalé,

On ne sait  ce qui va se passer,

Notre peau d’enfant nous serre,

Adultes vous exhortent à grandir

Mais comment faire pour y réussir

Si aucun modèle adulte ne nous sert.

.

À seize, notre puberté enfin…s’achève,

Notre sexe invite  d’aller voir … à côté,

Si le plaisir n’est pas en cette intimité,

De belle fusion fugace sinon de rêve.

 .

À vingt, on goute à toutes libertés,

Bien qu’on commence à les trier

De différences  en préférences,

Pour ne pas les voir…se tirer.

  .   

À trente … d’être père ou mère,

Doux désir, plaisir sous ventrière,

L’enfant né … dans le cocon familial,

On s’enferme en bonheur postnuptial.

  .   

À cinquante, fin de stocks désirs soldés

Peu ou prou, selon chacun, son énergie,

Et tout se met à se répéter, découvertes,

Les amours ne sont plus que souvenirs.

.

À soixante-cinq, belle vie de retraite,

Seul, face à vous-même, votre bilan,

Encore quinze ans, bon an, mal an,

Désirs, plaisirs ne sont plus de fait.

De fait : désirs, plaisirs  différents.

.

Entre vos dix et soixante-cinq ans

Même si  la vie  vous les renouvelle

Par une jeunesse  presque  éternelle,

Dans un corps que l’on finit par subir.

.

Extensions

L’important n’est pas tant l’âge que l’on a,

Pour cela, on n‘y peut rien, mais de bien vivre

Son âge après avoir bien vécu les âges précédents.

Ceux à qui on a volé leur enfance, leur adolescence,

N’auront de cesse que les retrouver et de les revivre.

.

Vingt, quarante, soixante ou la valse des … ans,

Tout ce temps passé, on se demande comment !

À dix ans, je ne pensais pas y arrivé et me voilà

J’y suis mais j’aimerais beaucoup  y retourner,

L’enfance c’est l’âge de l’insouciance affichée,

Vingt, c’est la folie de l’illusion de sa liberté,

Soixante, premier bilan de sa vie passée.

Il parait qu’il y en a encore à vivoter

Qu’en faire, à part grand-mère !

.

De dix à soixante-cinq ans,

Il s’en passera des choses,

Dans sa vie  et après cela,

Tout ralentira, peu à peu,

Et l’on mourra à petit feu

Ou de maladie, accident !

.

Avant dix ans, rien n’est fixé

Et après soixante-cinq : figé,

Car peu de gens  rebondiront,

Pour se lancer dans un projet,

Personnel à court/moyen terme

En bifurquant vers autre horizon.

.

Certains ne font qu’un métier en leur vie,

D’autres en font deux, trois, quatre, cinq, dix

Il y a les passionnés qui ne changeront pas

Et les bricoleurs touche-à-tout et à rien.

.

Fragments

 .

Flacon et parfum vont ensemble

Mais pas avec déroulement de vie

Qui n’est ni un contenant, contenu.

Ainsi la forme se distingue du fond.

.

 À dix ans,   je n’étais pas un ange, sûr,

Mais pas davantage un innocent pur,

Et  je ne connaissais, je ne maitrisais

Encore très peu de ma vie et en faits,

.

À treize, préadolescent encore pubère,

Transformations agitant testostérones,

Je ne me sentais pas encore un homme,

Bien qu’abandonnant le statut d’enfant.

.

À seize ans,  j’ai grandi, et c’est  voyant,

Je déclare ne plus entendre mes parents

Sont sympa mais vieux, pas dans le vent

Ils m’énervent parfois et même souvent.

.

À vingt, je poursuis études en université,

J’ai choisi profession qui m’a passionné :

Les exams, c’est le stress, c’est la sélection

Vivement la fin que je gagne … mon pain.

.

À trente, je suis en couple avec un enfant

Ça nous a changé notre vie, radicalement

Assure éducation, assume responsabilité,

C’est un projet, investissement, captivant.

.

À cinquante, carrière, bientôt plafonnée,

Malgré expérience, expertise, reconnues,

Je ne dois plus m’attendre à être promu,

Place aux jeunes, fraichement diplômés.

.

À soixante-cinq, je suis un jeune retraité

Qui passe son temps à écrire ou naviguer

Accorde du temps pour les petits-enfants

Tout l’art d’être grand père, faire l’enfant.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme

.

     À dix ans, on ne sait rien de la vie,

    On est enfant apprenant dépendant

      Des parents et société nous éduquant

      Aux valeurs laïques de la République.

.

VIE ENTRE DIX ANS,       

À trente, notre carrière se sera dessinée

      Mariage, enfant, maison  feront la trilogie.

       Il arrive  que l’on ne fasse  aucun des trois,

       Et qu’en plus son emploi soit très instable

      Pour autant,  aurait-on déjà raté sa vie !

.

ET SOIXANTE-CINQ ANS         

 À soixante et plus et une belle retraite

   Avec, pour  perspective : le cimetière.

  Mais rien ne presse,  rien ne stresse

L’essentiel est  d’en bien profiter,

Du cadeau qui nous est accordé.

     .

 À dix ans, l’on a déjà épuisé

   Ses désirs, plaisirs d’enfants,

   Bien rempli  son imaginaire

    À ne plus savoir  qu’en faire.

     .

        À treize, l’on se sent… décalé,

        On ne sait  ce qui va se passer,

          Notre peau d’enfant nous serre,

          Adultes vous exhortent à grandir

           Mais comment faire pour y réussir

              Si aucun modèle adulte ne nous sert.

     .

               À seize, notre puberté enfin… s’achève,

              Notre sexe invite d’aller voir … à côté,

                Si le plaisir n’est pas en cette intimité,

                De belle fusion fugace sinon de rêve.

              À vingt, on goute à toutes libertés,

             Bien qu’on commence à les trier

            De différences  en préférences,

          Pour ne pas les voir…se tirer.

     .

          À trente … d’être père ou mère,

            Doux désir, plaisir sous ventrière,

               L’enfant né … dans le cocon familial,

               On s’enferme en bonheur postnuptial.

     .

                À cinquante, fin de stocks désirs soldés

                 Peu ou prou, selon chacun, son énergie,

                  Et tout se met à se répéter, découvertes,

                 Les amours ne sont plus que souvenirs.

            .

              À soixante-cinq, belle vie de retraite,

            Seul, face à vous-même, votre bilan,

           Encore quinze ans, bon an, mal an,

           Désirs, plaisirs ne sont plus de fait.

          De fait:  désirs, plaisirs différents.

.

          Entre vos dix et soixante-cinq ans

           Même si la vie  vous les renouvelle

              Par une jeunesse presque éternelle !

               Jeunesse de l’esprit cela va sans dire,

               Dans un corps que l’on finit par subir.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon de parfum

Pour le plus tortueux ;

Et pour le moins étroit,

Comme bougie  avec i.

.

696 4

.

Si vous n’aimez pas la couleur rouge

De ce flacon, tant pis :

Quant à dire si longue bougie visera

Un âge ou un autre : à voir !

.

Symbolique 

 .

Plus qu’un

Contenant

Protégeant

Un  parfum

De  lumière,

Le flacon est devenu

Un    véritable    écrin,

Il   doit  inviter à      la

Découverte du produit

Qu’il renferme en faire

Un pur objet de  désir,

En véhiculant l’image

 De maison de parfum.

À charge  au designer

De jouer  sur volumes,

Couleurs et matériaux

 Pour  imaginer   flacon

D’exception, collection.

Source : cosmopolitan.fr/les-

parfums-et-leurs-flacons

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Si vous n’aimez pas la couleur rouge

De ce flacon, tant pis :

Quant à dire si longue bougie visera

Un âge ou un autre : à voir !

.

Symbolique 

 .

La

Bougie

Est associée

À la lumière,

Au      temps,

Et à la prière.

Autrefois          la      bougie

Était       utilisée        comme

Source       de          lumière,

Et      aussi   pour   mesurer

Le   temps     qui     s’écoule.

Cette       notion     de temps

Est   exprimée   aujourd’hui

Par bougies d’anniversaire,

Représentant années de vie.

1001symboles.net/symbole/sens-de-bougie

 .

 .

Fond/forme 

.

Il y a un âge pour tout comme dit la raison

Et ceux qui veulent rester faussement jeunes,

Finissent par donner d’eux : image pathétique,

Alors que faire son âge, alors qu’avoir des rides,

Est proche de toute loi de la nature et de la société.

.

On voudrait garder même flacon pour un parfum

Qui s’épaissit, forcit, ou rancit, tout comme le vin,

Ne faut pas confondre ralentir effets de vieillerie

Et  produits procurant illusions d’un jeunisme :

On ne peut être jeune, avec âge de ses veines

Mais on peut l’être, d’esprit, toute sa vie.

.

Textuels et illustrations  >>

695 – Pourquoi avoir besoin de présence féminité !

Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Pourquoi ne pas  pouvoir,

Pourquoi ne pas vouloir,

Pourquoi  ne pas savoir

Se passer  sa présence.

.

Un peu    de  douceur,

Un peu,     beaucoup,

Dans  notre  monde,

Basé sur   les peurs.

.

Un peu de  chaleur,

Un peu de bonheur

Un peu,  beaucoup,

En une  longue  vie,

Pour éviter  l’ennui.

.

Pourquoi avoir besoin de présence féminité

   Pour mieux se confier et à qui se donner :

    Pourquoi pas plusieurs, et voire toutes,

     Lors, son mariage ferait fausse route.

.

      Sûr qu’amour s’effrite avec le temps

       Et il se remplace  par attachements

      Et d’autant qu’il y a  trois enfants,

     Maison commune,  avec parents.

.

    La femme serait dite fidèle, née,

 Quand l’homme dit volage inné,

Le monde n’est pas blanc, pas noir,

Liberté sexuelle en images, et miroirs,

.

Reflète bien  des hypocrisies, cachoteries

Des hommes   se trouvant  battus,  en lices

Et pour autant, que de prétendues frénésies,

Des femmes   les contentant, lors, en  leur lit.

.

Pourquoi s’enfermer  en l’autre, pour l’amour,

Étrange idée, subir vie d’un autre, chaque jour

À chaque rencontre, demeurer toujours sourd.

Amour est souffrances autant que  jouissances.

.

Comment apprécier, celui, ou celle, que l’on a,

Si l’on  n’apprécie pas ou bien la … différence.

Si, une fois marié, esclave, une fausse liberté,

Impose sa  loi en vertu d’économique réalité

Assortie d’une  non moins sociale moralité.

.

La réponse sera donc dans cette question,

Qui décide, et de   quoi, dans un couple,

Sinon eux-mêmes,  personne d’autre,

N’y étant pas : ne le  jugeons pas !

.

Enfermer l’autre en l’amour n’est

En aucun cas un service à lui rendre,

Pas même à soi-même car,  en prison,

Ce serait le comble de toute possession.

Humain ne se réduit jamais à la chose

On ne peut posséder  que les choses.

.

Sans libertés, il n’y a pas d’amour,

Pas plus sans réciprocité couple

Ni sans égalité vie commune

Durable, agréable, stable.

.

Extensions

 .

Une présence féminine,

Comme chacun sait, radoucit

 L’ambiance  entre  les hommes

 Si ne les attise pas de jalousie.

La mixité est perçue comme

Une égalité ou une parité,

Avant d’être bien  ou mal.

À certains leur fait défaut ;

D’autres,    ça les embêtes ;

 Derniers, ça leur est égal !

.

Une présence féminine n’est jamais neutre :

Elle équilibre et les humeurs, et les  énergies,

Aura un autre point de vue, complémentaire.

Elle inspire la grâce, la beauté,  la séduction,

Et rien que cela, déjà lui vaudra sa dévotion.

.

Il y a plusieurs formes de présence féminine

Celle qui est là, sans être là,  tout en l’étant !

.

C’est le fait d’un vieux couple, mal s’aimant

Celle qui est là, de nuit, présent à vos côtés,

.

C’est le fait de couples étant encore amants

Celle qui est là, de temps en temps, passant

.

C’est le fait d’une maitresse ou d’une amie.

Celle n’étant pas là, à qui on pense souvent

.

C’est le fait de celui qui fantasme baisant !

.

Fragments

 .

La forme des vases,

La couleur des fleurs

La douceur de la soie

Profondeur de l’émoi

Conviennent très bien

 À univers très féminin.

.

Par sa forme et la grâce

 De ses courbes voluptueuses,

Par  sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin.

Son creux évoque celui d’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides

Vitaux et attraits pour l’homme.

.

Quant à une présence féminine

Dans  notre  propre  maisonnée,

Elle occupe même fonctionnalité

Qu’en de nombreuses assemblées

Celle d’établir une sorte d’égalité,

Équilibrant trop forte masculinité

Avec une conscience plus concrète

Et, en même temps, plus complète.

.

Ce n’est pas tant qu’elle réduit conflit

Qu’elle l’oriente vers ce qui le définit,

Pour rechercher  une vraie solution,

Non basée que sur la seule … raison,

Y apportant une once de sentiment

Répondant à un souci d’humanité,

Qu’elle s’efforcera de sauvegarder

Pour l’avoir, elle-même, enfanté

Et dont elle ne peut s’extraire.

.

Si tous les vases représentent

Métaphoriquement la femme

Ce dernier le fera tout autant

Et forme  converge vers fond.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Pourquoi ne pas  pouvoir,

Pourquoi ne pas vouloir,

Pourquoi  ne pas savoir

Se passer  sa présence.

Un peu    de  douceur,

Un peu,     beaucoup,

Dans  notre  monde,

Basé sur   les peurs.

Un peu de  chaleur,

Un peu de bonheur

Un peu,  beaucoup,

En une  longue  vie,

Pour éviter  l’ennui.

*****************

********************

Pourquoi avoir besoin de   *     présence féminité

   Pour mieux se confier et    A     à qui se donner.

    Pourquoi pas plusieurs,     V    et voire toutes,

     Lors son mariage ferait    O    fausse route.

      Sûr qu’amour s’effrite     I   avec le temps

       Et il se remplace par      R    attachement

      Et d’autant qu’il y a       *   trois enfants,

     Maison commune        B    avec parents.

    La femme serait          E    dite fidèle née,

 Quand l’homme         S    dit volage inné,

Le monde n’est        O pas blanc, pas noir,

Liberté sexuelle     I  en images, et miroirs,

Reflète bien des   N   hypocrisies, cachoteries

Des hommes      *    se trouvant battus en lices

Et pour autant P     que de prétendues frénésies,

Des femmes    R       les contentant, lors, en leur lit.

Pourquoi       É      s’enfermer en l’autre pour l’amour,

Étrange      *  S *     idée subir vie d’un autre chaque jour

À chaque   *    E  *   rencontre, demeurer et toujours sourd.

Amour est  *     N    *      souffrances  autant  que  jouissances.

Comment   *       C    *       apprécier, celui, ou celle, que l’on a,

Si l’on  n’     *         E   *    apprécie pas ou bien la… différence.

Si, une fois   *        *      *    marié, esclave, une fausse liberté,

Impose  sa     *        F    *  loi en vertu d’économique réalité

Assortie d’une  *        É     *     non moins sociale moralité.

La réponse sera   *      M     *    donc dans cette question,

Qui décide, et de   *       I       *     quoi, dans un couple,

Sinon eux-mêmes,  *     N        *     personne d’autre,

N’y étant pas : ne le  *      I          *      jugeons pas !

Enfermer l’autre en     *     N       *   l’amour n’est

En aucun cas un service  *   E      à lui rendre,

Pas même à soi-même car    *     en prison,

Ce serait le comble de toute possession !

Humain ne se réduit jamais à la chose

On ne peut posséder que les choses.

Sans libertés, il n’y a pas d’amour,

Pas plus sans réciprocité couple

Ni sans égalité vie commune

Durable, agréable, stable.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase probablement,

Un  vase  assurément,

Voire même un autre

Plus petit au-dessus.

.

695 4

.

Un vase, très probablement

Peut-être même un vase grec 

Avec une  forme  de bouchon,

Présent au-dessus ouverture 

Sur le vase, l’on distingue bien

Une scène de la vie familière :

On devine qu’homme a besoin,

 Apprécie la présence féminine.

.

Symbolique 

Par sa forme, la grâce de ses courbes

 Et    sa  fonction  de  réceptacle,

Vase est symbole féminin.

Son    creux  nous    évoque

Celui d’utérus, le  féminin,

 Contenant les fluides vitaux

Et attraits pour l’homme.

Il est dit en le Nouveau Testament : 

La femme est un vase faible  si fait  que,

Les livres sacrés des Juifs, sont en leur style 

Si proche de la poésie, remplis  d’expressions 

 Empruntées souvent à un symbolisme sexuel, 

Expression qui n’a  toujours été exactement 

Comprise et dont l’interprétation, dans le

Cantique des Cantiques, par exemple, 

A donné lieu nombre malentendus.  

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

695 6

.

Dans la maison, on distingue

Une scène de la vie familière :

On devine qu’homme a besoin,

 Apprécie présence féminine.

.

Symbolique 

 .

La période

Contemporaine est

Marquée par une forte remise

En cause la coprésence et de l’engagement

Comme présence, fondement action en commun.

Question  o   forme de présence    o  est enjeu

Du débat public dans des arènes très différentes

Lors  d’un débat parlementaire pour savoir si

Un texte de loi   peut contenir   l’affirmation

Que les usages     de la vis     io-conférence

Constituent la   ======  règle, ou  lors

D’une controverse          dans le champ

De la psychologie     pour déterminer

Si  les compétences  à multi-activité

Des femmes meilleures qu’hommes.

journals.openedition.org/rfsic/142

 .

 .

Fond/forme 

Tout comme il y aurait mille formes de femmes

Il existe mille formes de vases : attributs féminins

S’il en est, exclusivement par sa constitution creuse.

L’homme, comme chacun  sait bien, est plutôt carré,

Et la femme, plutôt ronde et est dite  plutôt malléable

Cliché que tout cela, évidemment nous possédons tous

Des caractères en nous de l’autre sexe, c’est tant mieux.

Comment se compléter, comprendre si on est contraire

Il fut un temps, il n’y a pas si longtemps, où l’éducation

Des garçons et des filles se faisait à part sans contacts

La pleine mixité nous aura au moins restitué égalité

De traitement et  plus grande tolérance mutuelle.

.

Textuels et illustrations  >> 

694 – Le matin à mon réveil, je pense à toi, merveille

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Penser à quelqu’un au réveil

C’est que très  probablement

L’on vient juste      d’en rêver,

Que l’on revient     à la réalité,

Qui n’est,  ni triste,  ni morne,

Tant l’espoir  grandit, énorme,

De se voir, en cours de journée.

Imaginer déjà prochaine nuitée

Au fond d’un lit,  sous ciel étoilé,

Jusqu’au matin …  accompagné,

Au point, de croire,  que j’ai rêvé

Tu es bien  en chair  à mes côtés.

.

Le matin, à mon réveil,

Je pense  à toi, merveille

Mon être, en hypertendu,

Se jette dans tes bras nus.

.

Je  m’y  glisse  en  pensées,

En vue de mieux m’enivrer,

De la torpeur qui  m’envahit

À ne pouvoir sortir de mon lit

J’y suis  et j’y  reste et encore.

.

Lors mon cœur bat  plus fort,

Quand  tes  jambes, s’écartent

Sang, en tes joues, s’écarlate :

Ce n’est plus tant… ton corps,

Qu’en vrai pénètre mon esprit

Que je fenêtre et  me  réjouis,

Mais ce sont tes yeux accord.

*

Cette nuit noire sous tes voiles,

Aux creux de ta claire obscurité,

Tes yeux brillent comme les étoiles

En reflets de ton  âme … intériorisée

Je  communie, avec toi,  tout  en éveil,

De tous tes sens et de toutes tes pensées.

Nos imaginaires, juste avant bien séparés,

 .

Deviennent superposés, à nul autre, pareil :

Ce n’est plus que toi, en femme, à mes côtés,

C’est tout un monde, un univers,  vrai cahier

Qu’explore, à loisir  en  cette  belle  matinée

De fond  en comble, de la cave  au grenier.

.

La douceur de ton corps des plus apaisés

Parfum de ta peau finement pigmentée

La lueur de ton regard,  fort étonné,

M’accompagnent, une  éternité.

.

Qu’est-ce que l’éternité

Si notre temps s’arrête

L’Éternité, instant rêvé,

Où, qu’à toi, ne penserai,

Quand le réveil aura sonné,

Remerciant le ciel que tu sois là,

Entre mes bras, serrée à tenir ma main,

Pour   qu’en   tous   points l’on  se  sente bien !

.

Extensions

 

Se réveiller seul ou à côté

De quelqu’un, ou quelqu’une

Qu’on aime, d’amour, seront deux

Expériences différentes en points de vue,

Dès lors qu’on en a rêvé durant la nuit

Et que l’on souhaite le poursuivre

Comme douce et tendre réalité.

.

Le moment du réveil est un moment délicieux

Quand il se passe en rêvassant à son amant,

Mais il peut être et tout autant ennuyeux

S’il nous tire d’un cauchemar frappant,

Je tends le bras, pour voir si tu es là :

Perdu encore une fois, tu n’y es pas :

                          Ça ne fait rien : pour prochaine fois !            

.

Le réveil : transition entre sommeil

Et réalité, peut être autant merveille,

Que cauchemar selon son dernier rêve.

.

Il y a ce bref moment où l’on pense que

Le rêve n’est pas qu’une fiction et qu’on

Aurait besoin de le vérifier, en réalité.

.

Et soudain, le retour à la normalité

Qui nous rappelle …quotidienneté

Dont rêve laissera trace ou non.

.

Fragments

.

L’éternité de l’instant

Appelé  «petite mort» :

Sensation de flottement,

 Voire de perte de contrôle

Qui peut survenir  après

Un  orgasme  puissant,

Évoquant une syncope

Des  étourdissements

Des frissons nerveux,

Des plaisirs  charnels,

La suspension aérienne

D’un voyage transcendant.

.

Un éclat d’existence produit

Par lampe à pétrole s’allumant

À son chevet de lit mais qui revêt

Une expérience capitale en sa vie,

Dès lors qu’elle nous révèle, aussi,

Ce que pourrait être  un  paradis :

Comme parfum qui ne s’estompe,

Il est encore là au réveil et matin

Diffusant encore souvenir divin,

D’une nuit passée comme rêve

Qu’amour emplit sans trêve.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

Penser à quelqu’un au réveil

C’est que très  probablement

L’on vient juste      d’en rêver,

Que l’on revient     à la réalité,

Qui n’est,  ni triste,  ni morne,

Tant l’espoir  grandit, énorme,

De se voir, en cours de journée.

Imaginer déjà prochaine nuitée

Au fond d’un lit,  sous ciel étoilé,

Jusqu’au matin …  accompagné,

Au point, de croire,  que j’ai rêvé

Tu es bien  en chair  à mes côtés.

Le matin     A            à mon réveil,

Je pense     U          à toi merveille

Mon être,     *       en hypertendu,

Se jette en     R          tes bras nus.

Je m’y glisse    É           en pensée,

Afin de mieux    V         m’enivrer,

De la torpeur qui   E     m’envahit

À ne pouvoir sortir  I   de mon lit

J’y suis et j’y  reste    L    et encore

                  *

Lors mon cœur bat   J    I   plus fort,

Quand tes jambes    E             O  s’écartent

Sang en tes joues    *                    T  s’écarlate.

Ce n’est plus tant    P                      *   ton corps,

Qu’en vrai pénètre E                 À   mon esprit

Que je fenêtre et   N             *  me réjouis,

Mais ce sont tes     S    E  yeux accord.

               *

Cette nuit noire     M sous tes voiles,

Aux creux de ta        E  claire obscurité,

   Tes yeux brillent       R   comme les étoiles

En reflets de ton         V   âme intériorisée

Je communie, avec      E     toi, tout en éveil,

De tous tes sens et de   I    toutes tes pensées.

Nos imaginaires, juste   L   avant bien séparés,

      L

Deviennent superposés    E   à nuls autres pareils.

Ce n’est pas que toi    J     femme,      *         à mes côtés,

C’est tout un monde E         univers          À        vrai cahier

Qu’explore, à loisir  *               en cette          *             matinée

De fond en comble  P           de la cave          T       au grenier.

La douceur de ton   E          corps des         O    plus apaisés

Parfum de ta peau  S       finement       I    pigmentée,

La lueur de ton       E  regard      *  fort étonné,

M’accompagnent    *   une  éternité.

.

Qu’est-ce que l’éternité

Si notre temps s’arrête

  L’Éternité      R  instant rêvé

Où je pense      É      …     à toi,

Quand le réveil     V         aura sonné,

Remerciant le ciel      E           que tu sois là,

Entre mes bras, serrée    I          à tenir  ma  main,

Pour   qu’en   tous   points,    L         l’on  se  sente … bien !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Lampe à pétrole, probablement,

Lampe à pétrole… certainement.

Indispensable au matin, réveil,

S’il fait noir, rien ne marche.

.

694 4

.

Lampe allumée, en veilleuse :

Le matin, je  pense  à toi  comme

Ce qui voudra  dire que j’ai passé

Une nuit, avec toi, merveilleuse.

.

Symbolique 

 .

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez Grimm la lumière seule chasse

L’amant  caché  de  l’héroïne.

Et la lumière, et  dans tous

Contextes mythologiques,

Symbolise la conscience.

La lumière d’une lampe

Représente  le conscient

Qui est  entre  les mains

Et  sous   le contrôle   de

L’être humain, contraste

Avec  la  lumière  du soleil,

De nature divine et cosmique.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

694 6

.

Lampe allumée, en veilleuse :

Le matin, je pense à toi comme

Ce qui voudra  dire que j’ai passé

Une nuit, avec toi, merveilleuse.

.

Symbolique 

 .

Matin, 7 h00.

Comme tous les matins,

Mon  réveil  biologique  s’active

Je me lève  et  je commence  ma  journée

Avec mon petit jogging matinal et bienfaisant.

C’est un plaisir  que  de  courir  à l’éveil du jour,

Pas âme    qui  vive, retrouver     la campagne,

Le vent frais,    et   le    chant     des oiseaux.

Une         belle        journée        s’annonce.

Je  prends                   conscience  de la

Beauté qui      m’entoure partout :

Champs parsemés de fleurs

Très sauvages,

Prairies avec les chevaux, vues imprenables.

 .

.

Fond/forme 

 .

Lampe de chevet veille sur coucher et réveil

Un peu comme le bouton binaire «off/on»

Passant ainsi du conscient à l’inconscient

Et réciproquement, par effet de lumière,

La pensée du jour remplace  ou poursuit,

Celle de la nuit, en bonheur ou désillusion.

.

Il y a quelqu’un ou quelqu’une ou personne

Qui n’est pas forcément là quand on la sonne

Lors j’ouvre les rideaux, les volets, les fenêtres,

La lumière du soleil vient irradier ma chambre :

Il y a bien Claire, de lune, dans mon lit : merveille.

Ce poème renvoie à un autre avec même titre contenu

Le numéro 717 proposant une interprétation différente !

 .

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693 – Je m’envole sans ailes quand je suis avec elle

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

S’envoler, sans ailes,

Parait très difficile,

Sauf en l’amour,

Qui en donne,

Au sens figuré,

Bien évidemment.

.

Quand je suis avec elle

Je me sens plus que léger,

Tant désir, force de l’aimer,

Feront prendre… hauteur.

.

Chaque vol, en couple,

Est un pur délire,

Et retomber

À terre,

Enfer

V

.

Je m’envole sans ailes, quand je suis avec elle,

Lors je me retrouve, en pleine nature, en mer,

Que je respire, à fond, vrais parfums naturels,

Emplissant  le corps et l’âme, de son plein air.

.

Alors, je vagabonde, à mon gré, en un monde,

Qui m’appartient plus que personne en ondes,

Où, ma volonté ne me formule  d’autres vœux,

Que celle d’un corps, qui se meut, et, m’émeut.

.

De ce que je vois, entend, sent, goute et touche,

Sans filtre et sans limites autres que fins désirs

De sentir que mots forts éclosent en ma bouche

Et qu’images saturent mon cerveau de plaisirs !

.

Ici les arbres font des souffles en leurs feuillages,

Autant de purs murmures d’harmonies avec eux,

Chatouillant mes oreilles,   éblouissant mes yeux,

Où répondent en échos, d’oiseaux, leurs ramages.

.

Là, l’eau coule en serpentant  entre deux versants,

Tantôt forme une grande mare tantôt petit torrent

Qui charrie avec lui l’air brûlant de chaque instant,

Jusqu’à la mer, qui l’engloutit, en son feu d’amant !

.

Extensions

 .

Je m’envole sans ailes quand je suis avec elle

Et  je me trouve porté jusqu’aux nues belles.

J’en deviendrais lyrique voire bucolique

S’il n’y avait un fond d’angoisse, tenace,

Qui me fait comprendre que c’est un  leurre.

.

C’est l’heure de la quitter, et je l’ai juste abordé.

Il me semblait pourtant que le temps s’était arrêté,

La coupe était pleine, débordait d’énergie amoureuse.

Frénésie de mon désir n’a eu d’égale que ma chute libre

Sans parachute et jusqu’à en percuter le sol plus que dur.

.

Je croyais m’envoler avec elle, je reviens en battant de l’aile,

Au point de jonction où on s’est rencontré, retour case départ.

Amour vertical, que ce soit : de bas en haut, ou, de haut en bas,

Quoi de plus excitant, quoi de  plus humiliant, de plus cassant !

.

Décoller de Terre, pour aller jusqu’au septième ciel, n’est pas

Si simple qu’on le croit, qu’on le dit, qu’on le vit.

Les ascendances de l’amour sont

Parsemées de trous d’airs !

.

En voilà bien une drôle d’histoire d’ailes et d’elle

Conte avec ou sans ailes, récit avec ou sans elle !

Mais  pour qui me prenez-vous : ange ou démon

On trouve dans les séries, des nouvelles fictions,

Qui ont  pour intention, vous en donnez frisson,

Aucun humain  n’aura volé  de ses propres ailes.

Icare les a brûlés en s’approchant trop du soleil.

À défaut de pouvoir voler au sens propre en air,

Prenons les ailes au figuré en son atmosphère !

.

Si l’on ne parle point,  de s’envoler,

Lorsqu’on fait l’amour, on évoque

De s’envoyer en l’air, et à deux,

Ce qui reviendrait au même.

.

Expression argotique milieu du xxe siècle :

Le plaisir ressenti, lors d’un rapport, est lié

Métaphoriquement  à ascension aux cieux,

Ascension qui serait comme sorte d’extase.

.

Extase, avez-vous dit avec synonymes

Admiration, émerveillement, exaltation,

Griserie, ivresse, vertige, voire enivrement

Lors y a de quoi prendre son pied, au figuré.

.

Fragments 

.

S’envoler, planer, piquer, grimper, virevolter

Autant de mouvements changeant directions,

Avec elle, comme oiseau en air, me sens léger,

Sans ailes, mon esprit se met  en dérélictions !

.

D’où me vient cette impression de non gravité,

Comme une sorte d’expérience extracorporelle

Qui me transporte, ailleurs, planant  après elle,

Mon âme  se détacherait-elle, en corps virtuel !

.

Pour quel long voyage en quelle haute sphère,

Comment revenir, pour reposer pied à terre :

L’histoire ne le dit pas, la petite mort, dit-on,

Est expérience passagère d’extase sensuelle.

.

Voler a toujours été un rêve des humains

Et aujourd’hui bien qu’on puisse planer

L’on ne peut décoller du sol soi-même

Sans moteur pour contrer gravité !

.

On ne sait jamais, dans le futur

Léviter est déjà un bon début.

Décoller : seul Jésus Christ

L’a fait jusqu’à présent !

.

Fragments

.

S’envoler, planer, piquer, grimper, virevolter

Autant de mouvements changeant directions,

Avec elle, comme oiseau en air, me sens léger,

Sans ailes, mon esprit se met  en dérélictions !

.

D’où me vient cette impression de non gravité,

Comme une sorte d’expérience extracorporelle

Qui me transporte, ailleurs, planant  après elle,

Mon âme  se détacherait-elle, en corps virtuel !

.

Pour quel long voyage en quelle haute sphère,

Comment revenir, pour reposer pied à terre :

L’histoire ne le dit pas, la petite mort, dit-on,

Est expérience passagère d’extase sensuelle.

.

Voler a toujours été un rêve des humains

Et aujourd’hui bien qu’on puisse planer

L’on ne peut décoller du sol soi-même

Sans moteur pour contrer gravité !

.

On ne sait jamais, dans le futur

Léviter est déjà un bon début.

Décoller : seul Jésus Christ

L’a fait jusqu’à présent !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

 .

S’envoler, sans ailes,

Parait très difficile,

Sauf en l’amour,

Qui en donne,

Au sens figuré,

Bien évidemment.

Quand je suis avec elle

Je me sens plus que léger,

Tant désir, force de l’aimer,

Feront prendre… hauteur.

Chaque vol, en couple,

Est un pur délire,

Et retomber

À terre,

Enfer

V

JE M’ENVOLE

Je m’envole sans ailes, quand je suis avec elle,

Lors je me retrouve, en pleine nature, en mer,

Que je respire, à fond, vrais parfums naturels,

Emplissant  le corps et l’âme, de son plein air.

Alors, je vagabonde, à mon gré, en un monde,

Qui m’appartient plus que personne en ondes,

Où, ma volonté ne me formule  d’autres vœux,

Que celle d’un corps, qui se meut, et, m’émeut.

SANS AILES

De ce que je vois, entend, sent, goute et touche,

Sans filtre et sans limites autres que fins désirs

De sentir que mots forts éclosent en ma bouche

Et qu’images saturent mon cerveau de plaisirs !

Ici les arbres font des souffles en leurs feuillages,

Autant de purs murmures d’harmonies avec eux,

Chatouillant mes oreilles,   éblouissant mes yeux,

Où répondent en échos, d’oiseaux, leurs ramages.

LORS AVEC ELLE 

Là, l’eau coule en serpentant  entre deux versants,

Tantôt forme une grande mare tantôt petit torrent

Qui charrie avec lui l’air brûlant de chaque instant,

Jusqu’à la mer, qui l’engloutit, en son feu d’amant !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Tout pointu,

Un petit trophée

Prêt   à   s’envoler

Sur piédestal planant.

.

693 4

.

Si c’est moi, dessus, et elle, dessous,

Ce sera difficile de s’envoler

 Si c’est le contraire, c’est télékinésique:

On en deviendrait  planant !

Voler, planer c’est ce que fais

En esprit, et en cœur, l’athlète

À qui on remet ce petit trophée

Faisant que forme épouse fond.

 .

Symbolique 

.

Fait de voler apporte sentiment de liberté.

C’est une  libération  face  aux contraintes

De la matière et du sol lors tel un oiseau

 .

L’on se déplace avec aisance  et  facilité

Dans les airs,  sans avoir  à  parcourir

Et  à  pied, de très  longues  distances.

 .

Besoin d’être libre de ses mouvements :

Lorsque l’on vole, on prend de la distance

Avec la réalité on voit les choses de plus loin,

 .

Ce besoin de distance avec certaines situations

Permet de ne plus se sentir entraver par certains

Éléments et d’avoir vue plus complète de la situation.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Si c’est moi, dessus, et elle, dessous,

Ce sera difficile de s’envoler

Si c’est le contraire, c’est télékinésique:

On en deviendrait  planant !

 .

Symbolique 

 .

La frégate

À coups d’ailes

Pour    un   presque

Vol   éternel. Cet oiseau,

Marin, énigmatique Pacifique

Capable de voler plus de deux mois   

Sans  se poser,  tout en se nourrissant

Et    en   dormant.                      Les    frégates sont  

De très fins stratèges.                               Très légers 1 kg

Pour 1 à 2 m d’envergure, 3 à 4 kg pour un albatros

Ces oiseaux  sont dotés d’ailes très longues

Et    très  larges    qui  leur  permettent

 D’utiliser conditions atmosphériques

Rencontrées  dans   les   eaux  

Tropicales  pour voler  et

Planer sur milliers

 De     kilomètres.

la-croix.com/Sciences/Environnement/

La-fregate-coups-ailes-pour-eternel

.

.

Fond/forme

 .

On s’imagine voler dans les airs,

Planer comme nombre d’oiseaux,

On reste là, comme plaqué à terre,

Soumis à gravitation universelle !

.

Y a que les anges qui ont des ailes,

Mais ce ne sont que de purs esprits

Probablement  en autre dimension.

J’ai cru qu’elle en était un avec moi

Et tombés de haut, chute mortelle.

 .

.

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692 – Gens prennent conscience lors événement

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Fragile et fragilité que de sentir déstabilisé

À en perdre ses repères à pleurer après sa mère.

Il faut événement tragique  et douter certitude

D’être invincible  inatteignable, lors, parfois,

Un grain  de sable suffirait pour ressentir :

.

Finitude

Mé-lan

Colique

Devenu.

.

Gens prennent conscience,

Lors tragique  événement

De leur fragilité d’être,

De  leurs déficiences,

De limites physiques,

Se remettent à douter,

Et à ce point de changer,

Capables, enfin, de se décider.

.

S’octroient une pause pour méditer

Révolution et prendre des résolutions,

Comme pour faire régime amaigrissant.

.

Ça dure un peu  et jamais très longtemps,

Temps d’être repris, happé par… l’activité

Qui laisse très peu  de place à la réflexion.

.

Et ce sont les amis qui vous le rappellent

Mais, je croyais que, tu, vous, interpelle,

Vous trouvez alors un argument béton,

Pour vous excuser,  mais, pas le bon !

.

Et puis voilà qu’autres événements

Un sursaut de votre tempérament

Vous surprendra  à vous rejuger,

À vous voir en menteur dévoyé.

.

C’est alors que de l’intérieur

S’éclaire, en vous, lueur,

Et prenez  le fou pari

De réussir  tout ce qui

N’aurait jamais marché,

Jusqu’à présent, pour vous.

.

Extensions

 .

En maxime « Aide-toi et le ciel t’aidera ».

Sans effort, motivation, persévérance :

Rien ne peut changer, d’évidence.

Il faut faire un travail sur soi

Et non demander aux autres

De faire  ce  travail  à  sa place :

Ça ne marcherait pas  et pour cause !

.

Limites physiques, limites psychologiques,

Limites intellectuelles : si les trois se cumulent,

C’est injouable ou presque de changer d’attitudes,

D’habitudes, de latitudes : les régimes amaigrissants

Se font en dents de scie et les temps de sommeil se font

Élastiques et les déplacements de plus en plus erratiques.

En bref, changer demanderait une force de caractère innée.

.

Stabilisé, déstabilisé, fragile, fragilisé, primé, déprimé

L’humain est très fort en principe, très faible en réalité

Et il est loin d’être le plus fort d’animaux mammifères.

S’il se battait contre une panthère : ce serait sa chair !

Il est malin, pour sûr mais il a un « talon d’Achille » !

.

Pour sûr, la mort d’un proche, d’un ami,

Fait prendre conscience de sa vulnérabilité

Tout comme d’apprendre qu’on a un cancer.

.

Lors tout va bien : événements nous coulent

Sur la peau  tout comme l’eau d’un ruisseau,

Paradoxalement on dit ils ne nous touchent.

.

Notre fragilité nous fait comparer au roseau

Tant à vouloir être un chêne, indéracinable,

On tombe d’un coup nous dit La Fontaine.

.

Fragments

.

C’est au pied du mur qu’on voit le maçon

C’est en forgeant  qu’on devient forgeron :

Autant d’erreur que sagesse en ces dictons,

Lorsque, au pied du mur, on aura révélation

.

Révélation de quoi… non pas d’une croyance,

Révélation conscience réelle, de son existence,

À laquelle on accordait trop peu d’importance,

Qui, face événement, devient de toute évidence.

.

Parmi autre dicton «Aide-toi et le ciel t’aidera ».

Que viendrait faire le ciel en une telle affirmation

«Il faut juste aider les autres  à s’aider  eux-mêmes»

 Plus efficace, convient mieux, en philosophie de vie.

.

Les fleurs en diraient long sur leur durée et fragilité,

Fleurs en terre, en pots, engraissées, en vase, coupées

Sont autant de métaphores d’événements se notre vie,

Nous faisant prendre conscience de notre éphémérité.

.

Imaginez  une fiancée,  avec son bouquet de mariée :

Tout va bien pour elle,  ce bouquet lui convient bien,

Et voilà que le lendemain, elle se dit s’être trompée,

Regarde son bouquet pour confirmer : séché, fané.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

                                                                 Fragile et fragilité que    G  de sentir déstabilisé

                                                                   À en perdre ses repères E   à pleurer après sa mère.

                                                                    Il faut événement    N  tragique et douter certitude

                                                                    D’être invincible  S       inatteignable lors, parfois

                                                                 Un grain  de sable suffirait pour ressentir

                                             Finitude

                                      Mé-lan

                                 Colique

                             Devenu.

Gens prennent   P  conscience,

Lors tragique   R    événement

De leur fra   E   gilité d’être,

De  leurs   N   déficiences,

De limites   N    physiques,

Se remettent   E   à douter,

Et à ce point de    changer,

Capables, enfin, de   T se décider.

.

S’octroient  C  une pause pour méditer

Révolution   O   et prendre des résolutions,

Comme pour   N    faire régime amaigrissant.

Ça dure un peu      S   et jamais très longtemps,

Temps d’être repris    C       happé par… l’activité

Qui laisse très peu de       I       place à la réflexion.

Et ce sont les amis qui        E       vous le rappellent

Mais je croyais que tu,         N           vous interpelle,

Vous trouvez alors un         C          argument béton,

Pour vous excuser,           E           mais pas le bon !

Et puis voilà qu’           *            autres événements

Un sursaut de          É            votre tempérament

Vous surpren        V             dra  à vous rejuger,

À vous voir          É                 menteur dévoyé.

C’est alors           N                que d’intérieur,

S’éclaire en         E                    vous lueur,

Et prenez            M                le fou pari

De réussir           E                    ce qui

N’a jamais          N            marché,

Jusqu’à présent  T     pour vous.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase sinon une bouteille

Pour y mettre une fleur

Simple et solitaire 

Jolie puis fanée !

.

692 4

.

Les gens prennent conscience de changement

D’état de présence

Si la fleur est fanée ou qu’elle n’est plus là :

Y a un problème !

Une fleur fanée se sera en aucun cas

Un événement majeur, à bien noter,

Normal, elle est coupée, mis en vase,

Lors la forme se distinguera du fond.

.

Symbolique 

 .

Fleurs sont l’attribut de Flore

Mais parfois aussi de l’Aurore

Ainsi que figures allégoriques

Du Printemps,  de la Logique,

De l’Espérance, et, de  l’odorat.

 .

Logique, un des sept arts libéraux,

Porte parfois  un  bouquet  de  fleurs.

L’Espérance détient  aussi cet attribut :

Fleur  annonce  future  naissance  du  fruit.

 .

Au niveau mythique, Zéphyr, le vent du printemps,

S’étant épris de Flore, l’enlève et s’unit en mariage :

En gage de son amour, il lui offre de régner sur

Tous les champs et tous les jardins cultivés.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_fleurs

.

.

Fond

 

Évocation 

.

Manque illustration ici

Les gens prennent conscience de changement

D’état de présence

Si la fleur est fanée ou qu’elle n’est plus là :

Y a un problème !

Symbolique

 .

Un   rêve    positif

De réalisations possibles.

Fleurs représentent également

Le  symbole  de  l’âme  et   indiquent

Le  bon  avancement  de  votre  processus

D’individuation et rêver de fleurs fanées

Ou fleurs coupées, a une autre signification.

Cela peut signifier une rupture ou cassure

Telle la fin d’une relation amoureuse.

Ça signifie également rupture

Arrêt d’un processus

Psychique.

doctissimo.fr/psychologie

 .

 .

Fond/forme 

 .

Les fleurs coupées, comme chacun sait,

Se fanent plus vite que les fleurs en terre

Il en serait de même pour les êtres humains,

Couper  les  de leurs  racines, et, ils s’étioleront

.

On ne peut vivre longtemps heureux loin des siens

Le bouquet de la mariée est un symbole fort de durée

Moins vite il se fanera, plus longtemps, union durera !

.

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691 – Le choix d’être vraiment ce que l’on est !

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.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème 

 .

Ce que l’on est

Dieu seul le sait !

Et encore, à quoi bon,

Dès lors il ne correspond !

.

L’on est forcément quelqu’un,

Mais ce quelqu’un, qui le choisit

Un mixte, entre nous et la société

Ou un pari qu’on a joué aux dés.

.

Savoir ce que l’on est, c’était

Introduire un doute sur

Ce qu’on devenait,

Plus vil, plus pur !

.

On reconnait bien là les hyperactifs,

Qui n’ont que  le temps de réfléchir

À ce qu’ils ont fait,  font  et  feront,

Pour s’éviter  d’avoir   à  faire front

À ce qu’ils ont été,  sont  ou seront !

.

Ont-ils, vraiment, choisi d’être ainsi :

On est en droit de se poser la question.

Nous sommes conditionnés, déterminés

Par  notre corps  aux capacités  limitées ;

Nous sommes dotés caractère particulier,

Et par un périmètre, relationnel, délimité !

.

On vit bien en observant normes et usages,

Sans se poser ni le pourquoi ni le comment,

C’est ainsi qu’on ne peut devenir autrement

Choisir  d’être, ce que l’on est, et l’assumer,

Est bien plus qu’une question de capacités

Et bien plus que  de  saisir  opportunités.

.

C’est tracer chemin  qui  nous  convient,

Pour le trouver, faut se connaitre, bien,

Douter de soi, et douter même des lois.

.

Cette lumière ne nous est pas donnée,

Au jour même de notre …  naissance,

Elle  s’exprime, au fil des ans, passés

À travers   nombre de  renaissances.

.

Ce  que   l’on   veut parmi  possibles,

Se  transforme  parfois  en  probable

Devient  même,   un jour,  accessible

Et  nous   permet   de faire son  choix.

.

Combien peuvent dire : j’ai  choisi,  moi,

Et personne d’autre n’a fixé mon objectif !

.

Extensions

 .

Oui mais voilà, qui est ce moi qui dit je :

Fruit de mon éducation, fruit de la société !

.

Comment faire  la distinction, la part du feu !

Rien n’est affaire de  psychologie,  philosophie,

Quand, sur soi, l’on s’obstine  à fermer ses yeux,

Chacun voit ce qu’il veut en lui et autour de lui.

.

L’important est de n’en pas faire une religion,

Et de proférer des vérités étant invérifiables.

.

Ce que je suis : qui peut le dire, je ne suis que le reflet

De ce que perçoivent, de ce que pensent autres de moi.

Comment sera-t-il possible, devenir plus grand que soi,

Si déjà, je ne sais pas à quelle hauteur je suis sur l’échelle

Des valeurs, l’échelle des bonheurs,  des cœurs,  rancœurs !

Je n’ai donc qu’à me contenter de ne n’être que ce que je suis,

Au point que je ne connaîtrai jamais ce que…  j’aurais pu être !

.

En matière de valeurs,

Qui décident des bonnes :

C’est que moi, évidemment.

J’ai le choix en des centaines.

J’ai donné ma vie, à mon pays,

Et mon cerveau, à la Science,

Mon cœur, au plus offrant,

Mon corps par accident.

C’est bien trop béni,

Je le sais, mais c’est ainsi,

J’ai voulu l’être, et je le suis,

Et je ne regrette pas mon pari

Maintenant que la fin approche

Je fouillerai encore mes poches

Pour donner à mes proches

Le fruit de  ma caboche.

.

.

691 – Calligramme  

 .

Ce que l’on est

Dieu seul le sait !

Et encore, à quoi bon,

Dès lors il ne correspond !

L’on est forcément quelqu’un,

Mais ce quelqu’un, qui le choisit

Un mixte, entre nous et la société

Ou un pari qu’on a joué aux dés.

Savoir ce que l’on est, c’était

Introduire un doute sur

Ce qu’on devenait,

Plus vil, plus pur !

*****************

********************

       On reconnait bien là les hyperactifs,

       Qui n’ont que  le temps de réfléchir

      À ce qu’ils ont fait, font  et feront,

        Pour s’éviter  d’avoir   à faire front

             À ce qu’ils ont été, sont L   ou seront !

                  Ont-ils vraiment choi  E   si d’être ainsi !

                     On est en droit de se   *   poser la question.

                         Nous sommes condi   C   tionnés, déterminés

                           Par notre corps aux   H      capacités limitées ;

                              Nous sommes dotés   O     caractère particulier,

                               Et par un périmètre,   I      relationnel, délimité !

                                On vit bien en obser   X    vant normes et usages,

                                 Sans se poser ni le      *  pourquoi ni le comment,

                                  C’est ainsi qu’on ne    D  peut devenir, autrement,

                              Choisir d’être, ce que  ‘      l’on est, et l’assumer,

                             Est bien plus qu’une  Ê  question de capacités

                              Et bien plus que de    T      saisir opportunités.

                           C’est tracer chemin   R   qui  nous convient,

                          Pour le trouver, faut  E   se connaitre bien,

                        Douter de soi,  et  douter  même  des lois.

                      ***********************************

                     **********************************

                      Cette lumière ne  C  nous est pas donnée,

                     Au jour même de  E   notre …  naissance,

                    Elle s’exprime, au   *    fil des ans, passés

                    À travers  nombre   O    de  renaissances.

                      Ce  que   l’on   veut    N    parmi  possibles,

                       Se  transforme  par     *     fois  en probable

                       Devient  même,   un     E     jour,  accessible

                        Et  nous   permet   de    S      faire son  choix.

                         Combien peuvent dire    T       j’ai  choisi,  moi,

                       Personne autre n’a fixé    *      mon …  objectif !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Ours qui se balance, déhanché,

Forme torturée, approximative,

Ou une  silhouette   d’un homme

Plutôt gras,  par  l’alimentation

.

691 4

.

O

Choisirait-on vraiment de devenir gras

Ou apathique ou pauvre :

Pas vraiment mais une fois qu’on l’est,

Comment soigner alimentation

On pourrait bien croire à un ours

Mais  c’est juste  un homme gras,

Par suite  d’une alimentation  qui

Fait que sa forme évoque le fond.

.

Symbolique 

.

Le gras

Sert à nous

 Protéger du froid,

Il est aussi moyen

De séduction,

D’affirmer

Son côté maternel et sa capacité à enfanter,

Il marque la protection où me sens en danger,

Où ma vie me fait     peur, me sens en difficulté.

Le gras stocke des             réserves et des énergies

Potentielle et qui                n’ont pas encore trouvé

Leur assouvisse               ment et leur réalisation.

La partie inféri                eure, corps, représente

La terre,  qui est             la propre incarnation,

Le ventre est no          tre cerveau émotionnel,

Intestins, lieu des      «émotions viscérales».

chemindevie.net/corps-et-rondeurs-symbolique-du-corps

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

691 6

.

Choisirait-on vraiment de devenir gras

Ou apathique ou pauvre :

Pas vraiment mais une fois qu’on l’est,

Comment soigner alimentation

.

Symbolique

.

Bien que le com   portement

Alimentaire soit     régulé par

Des facteurs phy   siologiques,

Via des  signaux      internes

Faim et le rassa     siement.

 .

Il dépendra éga        le-ment

De signaux pertur      bateurs,

Tels,    l’environne     ment social

Ou le stress, et voire    le sommeil.

 .

L’alimentation, sour     ce de plaisir,

Peut être recherchée pour      sa dimension

Symbolique affective dans     des cas de déficit

Persistant des vecteurs habi    tuels d’affectivité,

D’éloignement familial, sent   iment de solitude.

sucre.com/pro-de-sante/dimension-symbolique-

de-lalimentation-relation-lobesite

 .

.

Fond/forme 

.

Il s’agit en gros de la part de l’inné

Du milieu et de l’acquis personnel :

Santé, nous avons tous un terrain,

Et que l’on appelle aussi l’hérédité.

.

Nous avons tous une communauté

Appelée,  famille, amis, collègues,

Enfin un élan, projet, désir  d’être

C’est le tout qui ferait ce que nous

Sommes  et ce que nous devenons.

.

Il peut y avoir quelque … accident

Qui nous mette en état dépendance

Nous faisant grossir ou bien maigrir

Mais ce sont nos capacités de résilience

Qui rétabliront sorte d’équilibre antérieur

Sommes responsable de ce que nous sommes.

.

Textuels et illustrations   >>

690 – La haine, qu’on dit l’inverse de l’amour

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Haine, amour

Se décline bien.

Haine,  plus   un,

Dira mathématicien

Haine est une revanche,

Dira un amant abandonné.

.

Et la haine est la ven-geance

Vous dira votre ennemi juré

Haine en haut de la cuisse

Dit coquin, et c’est bien.

.

Si  tant vrai  que la

Haine     appelle,

À plus  encore

De  haine,

Est-elle

.

L’inverse

De l’amour

Ou bien face,

La plus sordide

La  plus  stupide !

.

La haine qu’on dit inverse de l’amour

Dure et dure et  court et court toujours,

Tandis que nos amours vont  et viennent

Sans relâche, haine, en chemin, de traine.

.

Deux êtres qui s’aiment ou qui se haïssent

Restent longtemps attachés  ou pâtissent

De continuer, l’un pour l’autre, d’exister,

Jusqu’à ce que, l’un meurt, pour oublier.

.

La haine n’entame ni regret ni remords,

Personne ne sait qui a raison ou bien tort

Et, si personne  ne recule, ni ne s’esquive,

Son ennemi intime, voire sa douleur vive,

Nourriront trop d’énergies destructrices

Jusqu’à ce que la vengeance, s’ensuive.

.

«Je hais l’amour» iront déclarer les déçus :

À force de tomber  voilà, ils n’y croient plus

«L’amour me hait» clameront après, cocus,

Par l’un ou l’autre se sentiront bien déchus.

.

La haine, que l’on dit  l’inverse  de l’amour,

Est son miroir, son fantôme, son faux-jour,

Tant c’est bien dans l’ombre  de face cachée

Qu’il vient vous prendre, si ce n’est… habiter,

De pouvoir résister tant à la haine qu’à l’amour,

Supprimerait-il bien des conflits, pour toujours !

.

Extensions

 .

La haine, que l’on dit

De l’amour, est une énergie

Négative  pour  le  même  objet

Que l’énergie positive de l’amour :

C’est une question de phase,

Difficile d’haïr quelqu’un

Si on n’est jaloux  de lui,

Pour des raisons variées.

.

La haine est-elle un poison caché, versé en amour,

L’amour est-il élixir constituant l’antidote de haine

Questions qui se répondent  mais ne se confondent.

Si le premier vous rendrait, entièrement, coupable,

Le second vous perdrait en le perdant, par honte !

Je hais l’amour ou l’amour me hait : allons donc :

Vous n’avez pas ce pouvoir ni autre quelconque.

.

Sentiment très fort et durable d’aversion

Et d’hostilité envers quelqu’un  ou (une)

Qui peut conduire à un comportement

Violent, méprisant, déshumanisant !

.

Synonymes : dégoût, répulsion,

Lors sa seule pensée, dérange,

Sa présence ne nous arrange

Réactivant toutes aversions.

.

Pour autant, haïr ferait vivre

L’autre, n’étant pas indifférent,

À son sort d’un pseudo méchant,

Et d’une colère capable d’être ivre.

.

Fragments

.

La haine, parlons-en : un vrai slogan

Qui se démultiplie, puis qui s’amplifie,

Par l’intermédiaire des réseaux sociaux,

Qui ne filtrent pas assez contenus haineux.

.

Haine de l’autre, plus facile qu’amour à créer

Elle est souvent sur jalousie, mensonge, basée,

Une fois installée comme croyance ou rumeur,

Elle fonctionne sur le mode de rejet par peur.

.

La lampe, censée  éclairer,  un tant soit peu,

 Le conflit, est saisie, pour longtemps éteinte,

C’est dans l’obscur et dans l’obscurantisme,

Que combat se poursuit jusqu’au génocide.

.

Encore faut-il distinguer degré de haines,

Haine sourde, latente, raciste, manifeste,

Haine incendiaire, prosélyte, meurtrière,

Haine  tenace, sur plusieurs générations.

.

Guérit-on de la haine comme de l’amour

Vaste question, et je n’ai pas de solutions

L’amour construit lors la haine … détruit,

L’un comme l’autre constitue choix de vie.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

.

Haine   avec    amour

Se    décline   bien.

Haine        *   plus un,

Dit mathé      L      maticien

Haine est plus      A            revanche,

Dira un amant         *             abandonné

Et la haine  est           H               ven-geance

Vous dira votre          A             ennemi juré

Haine  en haut         I             de la cuisse

Dit coquin et         N            c’est bien.

Si tant vrai        E              que la

Haine,           *       appelle,

À plus      *   encore

De    haine,

Est-elle

.

L’inverse

De l’amour

Ou bien face,

La plus sordide

La  plus  stupide !

.

La haine qu’on dit inverse de l’amour

Dure et dure, et  court  et  court toujours,

Tandis que nos   Q   amours vont et viennent

Sans relâche haine   U    en chemin, de traine.

Deux êtres qui s’aiment      ‘      qui se haïssent,

Restent longtemps attachés     O    ou pâtissent

De continuer l’un pour l’autre       N    d’exister,

Jusqu’à ce que l’un meurt pour        *    oublier.

                                            D

La haine n’entame ni regret ni       I   remords,

Personne ne sait qui a raison    T   ou bien tort

Et si personne ne recule       *    ni ne s’esquive,

Son ennemi intime     I        ou sa douleur vive,

Nourriront trop      N  d’énergies destructrices

Jusqu’à ce que       V    la vengeance, s’ensuive.

E ……….

«Je hais l’amour»   R   iront déclarer les déçus :

À force de tomber   S   voilà, ils n’y croient plus

«L’amour me hait»  E  clameront après les cocus

Par l’un ou l’autre    * se sentiront tant  déchus.

D …….

La haine, qu’on dit    ‘        l’inverse  de l’amour,

Est son miroir, son   A    fantôme son faux-jour,

Tant c’est bien dans  M    l’ombre de face cachée

Qu’il vient vous pren   O     dre, si ce n’est habiter,

De pouvoir résister tant  U      à la haine qu’à l’amour,

Supprimerait-il bien des   R    conflits,   pour toujours !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un grand vase  en haut

Et un petit tabouret en bas

Ou  une  lampe  à  pétrole 

À même de susciter incendie !

.

690 4

.

Cette lampe à pétrole peut servir

 À deux usages, opposés :

Éclairer sa chandelle pour aimer

Incendier pour bruler.

Lampe à pétrole, incendie s’accordent

Pour ce qui est d’un véritable danger,

Mais rien à voir avec amour et haine

Et lors la forme ne soutient le fond !

.

Symbolique 

.

La lampe

 Symbolise

L’entendement   

En  confusion mentale,

Ou   encore   révélation

Savoir enfoui, caché.

 

Et d’ailleurs, l’expression

«Éclairer   sa     lanterne»

Qui  signifie  clarifier

Une  chose, exprime

Bien   cette   notion

De savoir dévoilé.

1001 symboles

.

.

Fond

.

Évocation 

 .

Cette lampe à pétrole peut servir

 À deux usages, opposés :

Éclairer sa chandelle pour aimer

Incendier pour bruler.

.

Symbolique 

 .

Le feu incendiaire est

Une image de destruction.

Rêver d’incendie est un message d’alerte.

Le rêveur  et la rêveuse  doivent faire attention

À ne pas tout détruire par leurs actions, positions,

L’incendie est un symbole de passion dévorante,

Il ne laisse rien debout derrière son passage.

C’est un moyen radical de faire table rase,

Se brûler représente un rêveur, rêveuse

Qui ne se rend pas assez compte

Du danger que représente fait

De poursuivre son désir actuel.

elle.fr/Love-Sexe/Psycho/Interpretation-

des-reves/Rever-d-incendie

.

.

Fond/forme 

.

La haine est sentiment négatif défiance

Mais, contrairement, à l’indifférence,

Elle vous prend beaucoup d’énergie

Restant présent dans votre esprit

Suscitant colère en sa présence

Si ce n’est, aversion, mépris,

À moins qu’on ne l’utilise, 

Comme figure de style :

Va, je ne te hais point

Appelée une litote !

Dans tous les cas

N + 1 et n – un

S’équivalent.

.

Textuels et illustrations  >>

689 – Je me sens parfois comme étalon qui doute !

 Textuels et illustrations>>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

                           Au vu du nom

                          Ça pourrait être vrai

                         De me sentir comme étalon

                        C’est un peu, cabotin, prétentieux,

                 J’en conviens, je l’avoue : élogieux !

         Mais en excuse, je le dois à mon nom,

     Si je rajoute un doute, cela passe mieux,

   Surtout auprès des femmes pour garçon

Qui en a un peu peur, sinon, envieux

De mâles qui sans rien comprendre

S’enfilent les unes après autres

Comme autant de trophées,

Remplis de leur certitude

Être meilleur au pieu.

.

Je me sens, parfois, comme un bel étalon, mais qui doute

Après l’envol, vers toi, de ma lettre, brûlante, d’amour,

En voyant mes attentes et qui sont, en retour, toutes

Lettres mortes  et de plus, et  tout au fil des jours.

.

À me demander : aurais-je fait … fausse route,

De tenter, par de la poésie, de faire  une cour

Assidue ardente à une belle femme qui joute

 En tanguerant ses pas pour tanguero secours.

.

Et des muscles, autant  que d’autres, j’en ai,

Mais, point de la gonflette,  je  n’en  ai  cure,

Car je ne mélange pas culture avec confiture

 Je fais régime quand, le cœur gros, désabusé.

.

Pour sûr, je n’ai, qu’à m’en prendre qu’à moi

Devant ta réciprocité pour le moins…décalée

Pourtant, en fil de trame, j’avais cru déceler,

Comme  appel : prête-moi ta plume, ta voix.

 .

Et comment peut-on toucher cœur de sirène,

Elle-même en eau, les larmes ne l’atteignent,

Il faudrait pour cela que mon  corps saigne,

Et, rougisse de mon  sang, son   lit de reine.

.

Je me sens comme  un étalon  qui redoute

Que le temps joue contre lui en sentiment

Et que sa passion  pour elle, ne lui coûte

Désillusion de plus d’un virtuel  amant.

.

Extensions

 .

Je me sens comme un étalon

Qui s’arc-boute  à l’idée  fixe

De te conquérir en dépit de

Tous les obstacles sur ma

Route tant ton image,

Projetée ….. en moi,

Chaque jour m’envoute.

.

Jusqu’ici, tu tournes les talons,

Sans saisir  pourquoi  ou que  j’aie

Le temps de m’adresser à toi pour faire

Comprendre que je ne suis pas qu’étalon !

.

Étalons nous sur l’herbe d’un pré, d’un jardin,

D’un parc, l’un à côté de l’autre, sans nous toucher,

Nous embrasser et roulons dans la pente qui nous

Mènera là où on s’aimera. Je me sens comme

Un étalon qui déroute son panache de

Conquérant, pied tendu en avant,

Pour t’inviter à chevaucher par-delà

Les forêts et plaines, les monts et vallons.

.

C’est quoi un homme étalon, demandez-le donc à une femme.

Elle vous répondra qu’elle en rêve mais qu’elle n’en trouve pas !

Pourtant elle s’est dévouée, corps et âme, dans la danse du tango

Connue à l’origine pour machisme dominant sans être dominateur

Je dirais même que, leurs dénominateurs, ce sont leurs partenaires,

Qui les poussent, dans leurs derniers retranchements à les satisfaire

Dans un guidage des plus habiles où langage passe par les épaules.

 On appellera cela « faire danser, jusqu’à la transe, voire l’extase »

Mais ce n’est pas un maître chanteur centaure qui la fait céder.

.

Un étalon serait comme une

Référence  dans un domaine,

Avec  des  notes   maximales,

Permettant de créer l’échelle,

Pour toutes les autres valeurs

.

En matière  de reproduction,

On connait, maitrise, la bête,

Lors en matière de séduction,

L’on restera souvent en quête

Jusqu’à trouver son bonheur !

.

Contrairement à ce qu’on croit,

Étalon n’est pas le meilleur choix

S’il se limite à sa matière de sexe :

L’amour est un tout plus complexe,

Qui fait que l’on s’accordera ou non !

.

Fragments

 .

Un étalon qui étreint jument,

L’enfourche et puis  l’enfourne,

Je  vous fais   cadeau  du  fond :

Il faut qu’il soit en bonne forme.

.

Un étalon qui doute,

Faut-il  que  j’ajoute

Sexe qui s’arcboute,

Celui qu’on redoute.

 .

Belle femme  avec bel

Homme voire femelle,

Avec un étalon  rebelle,

L’étreignant de plus bel.

 .

Faut savoir rime, accorder

Pour pénétrer, en sa pensée,

Manquant parfois profondeur

Pour assurer son plein bonheur.

 .

Étalon est un cheval que l’on destine

À la copulation, pour la reproduction,

Il n’y a pas de sentiment, rien qu’action

Contre faveurs que l’on estimera intimes.

 .

Au delà de cheval, géniteur, reproducteur :

Étalon symbolise mesure, modele, standard,

Un instrument qui mesure, établit référence :

Suis-je une référence, j’en doute un peu… fort.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

                           Au vu du nom

                          Ça pourrait être vrai

                         De me sentir comme étalon

                        C’est un peu, cabotin, prétentieux,

                 J’en conviens, je l’avoue : élogieux !

         Mais en excuse, je le dois à mon nom,

     Si je rajoute un doute, cela passe mieux,

   Surtout auprès des femmes pour garçon

Qui en a un peu peur, sinon, envieux

De mâles qui sans rien comprendre

S’enfilent les unes après autres

Comme autant de trophées,

Remplis de leur certitude

Être meilleur au pieu.

.

Je me sens, parfois, comme un bel étalon, mais qui doute

Après l’envol, vers toi, de ma lettre,  brûlante,  d’amour,

En voyant mes attentes et qui sont en retour  M  toutes

Lettres mortes  et de plus, et tout au fil   E   des jours.

                                              *

À me demander : aurais-je fait       S    fausse route,

De tenter, par de la poésie, de    E    faire une cour

Assidue, ardente à une belle   N  femme qui joute

 En tanguerant ses pas, pour  S  tanguero secours.

             *

Et des muscles, autant     P  que d’autres, j’en ai,

Mais, point de la gon     A  flette, je n’en ai cure,

Car je ne mélange pas  R  culture avec confiture

 Je fais régime  quand  F  le cœur gros désabusé

 

 Pour sûr, je n’ai, qu’à   I m’en  prendre qu’à moi

Devant ta réciprocité   S pour le moins…décalée

Pourtant, en fil de tra    *      me j’avais cru déceler

Comme appel : prête      É     moi ta plume, ta voix.

T

Et comment  peut-on          A      toucher cœur de sirène,

Elle-même en eau, les          L        l larmes ne l’atteignent,

Il faudrait pour cela             O         que mon  corps saigne,

Et rougisse de mon               N          sang, son   lit de reine.

*

Je me sens comme               D         un étalon   qui redoute

Que le temps joue               O       contre lui en sentiment

Et que sa passion               U         pour elle, ne lui coûte

Désillusion de plus            T           d’un virtuel  amant.

E

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Silhouette homme

Bien trapu et musclé

Comme  un bel étalon

Sur le point … d’étreindre

.

689 4

.

Ah oui, le bel étalon, tout de même,

Mais étalon de qui,  étalon  de quoi ?

S’il n’est que sexe, muscle, sans cœur,

Sans  tête : qui croira-t-il étreindre !

.

Symbolique 

.

Homme

Sexuellement

Attirant et voire

Sexuellement

Très actif.

« Tu  veilleras  en   faction,

Devant la porte des bals

Où tes officiers vendent

Aux  enchères,  leurs

Grâces d’étalons,

Où ces hom

Mes entretenus,

Débattent le tarif

 De leurs charmes

À travers les musi

Ques langoureuses

Et tièdes parfums ».

(L. Tailhade) wiktionary.org/wiki/étalon

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

689 6

.

Ah oui, le bel étalon, tout de même,

Mais, étalon de qui,  étalon de quoi ?

S’il n’est que sexe, muscles, sans cœur

Sans  tête : qui croira-t-il étreindre !

.

Symbolique 

 .

Pas besoin

De    s’escrimer

D’ajouter flatulence

 Verbale à l’acte :

Tant  quand le corps    sexuel parle, il place

Le sujet hors langage     le langage hors sujet.

 .

C’est ça «le miracle de     l’amour» qui s’exprime

Dans le corps à corps       moment de l’étreinte

Serrer en ses bras              l’autre     aimé       crée

L’illusion,    ici    et             maintenant réalisée, 

De surmonter divi            sion d’êtres parlants.

 .

Sexualité est  réponse,      lors elle n’en a cure

De la parole devenant simple redondance.

Toute phrase n’est     dans la sexualité,

Que la paraphrase de l’acte.

cairn.info/revue-dialogue-

2011-3-page-25.htm

 .

 .

Fond/forme 

.

Tous les poulains ont vocation à devenir étalons

Étalon en quoi : pas forcément de reproduction,

D’intelligence, culture, élégance, d’imagination, 

Autres peuvent se rhabiller, tourner les talons !

.

Oui mais voilà toutes ces qualités ou ces vertus

ne se passent nullement en étreinte ou en lit :

seulement au salon, rue,  ou voir au travail

femmes le savent et hommes en doutent ! 

.

 Textuels et illustrations >>

688 – Je ne saurais dire ni comment ni pourquoi ?

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

C’est tout de même,

Le comble que d’aimer

Quelqu’un ou quelqu’une,

Sans trop savoir pourquoi :

C’est comme pur acte de foi

Comme  marcher en ombre

Baigné dans une lumière,

Qui enflammera

Toute sa fortune.

 .

C’est tout de même un comble,

D’aimer  quelqu’un, quelqu’une,

Sans vraiment savoir  comment

C’est arrivé, et ce, sans prévenir

Et d’en être à n’en plus dormir,

Toujours à rêver d’être amants

Tentatives vaines, en nombre.

.

Je ne sais, je ne saurais dire,

Ni comment…ni pourquoi,

Mon cœur porté…vers toi

À en bégayer, en frémir !

 .

Toute raison, explication,

Sera contraire à la passion,

Qui me guide en mon espoir,

Qu’un jour vienne à te revoir.

.

C’est une folie, que de t’aimer,

Qui suis-je … sinon un insensé

De croire en belle réciprocité,

Lors le temps nous a séparés

.

Encore, et, pour longtemps,

Lors activité et lors retraité

Je ne verrai début d’amour,

Car jamais ne finira ce jour.

.

Cyrano né, laisse-moi rêver :

Que d’avoir après toi soupiré,

Serve au moins notre…amitié,

Plaisirs et passions… renoncés.

.

Extensions

 .

Je ne sais, je ne saurais dire

Ni comment ni pourquoi

J’aime ou je n’aime pas :

L’amour recèlera une part

De mystère que je ne parviens

À dévoiler ni en moi ni en l’autre.

.

«Je  l’aime  parce  que  c’était  lui,

Parce que c’était moi» Montaigne

Au sujet de son bel ami,  La Boétie !

D’accord, mais l’on reste sur sa faim

Alors qu’on voulait être  sur finalité.

.

Cyrano apporte une autre réponse :

Celle d’un idéal rendu  inaccessible

Mais dont on ne peut se détacher

Et pour lequel on est prêt à tout

Sacrifier, sans moindre retour.

.

Don Juan et puis Don Quichotte

Se profilent aussi  en notre horizon,

Le premier, inassouvissable, quête nouveauté,

Le second inconsolable de ne pas trouver sa dulcinée.

.

Pourquoi j’aime comme j’aime,

Cela reste en partie mystérieux,

Mais ce ne sera pas grand Dieu

Qui vient résoudre tel problème

Tout amour, d’origine…  divine

N’a rien à voir avec… l’humain,

Dieu n’a pas d’héros, d’héroïne.

Dieu est amour, est acte de foi :

Une croyance, paradis demain,

Ça dit rien de l’amour pour toi.

.

Pourquoi tu m’aimes ?

Je sais pas … parce que !

Oui d’accord, mais encore ?

J’aime tout en toi, point final.

.

On croirait interrogation d’enfant

Qui n’attend pas de réponse précise

Juste que sa question  soit comprise,

Parce qu’il devient grand maintenant.

.

À vouloir formuler quelques arguments

On quittera vite domaine des sentiments

D’un garçon, à sa mère, de fille à son père

Alors qu’on n’en sait trop rien, un mystère.

.

Fragments 

.

C’est histoire d’un renoncement,

Parce qu’impossible, improbable :

Une barrière invisible    les séparant

Et lors aucun ne s’en sentait capable !

.

Mais l’explication  ne les satisfaisait pas :

Faudrait savoir  le comment du pourquoi :

Explorer peut-être refoulement inconscient,

Écouter et puis analyser ses rêves récurrents.

.

Toujours est-il que le temps, les années, passant

Chances, de devenir amant, s’en vont diminuant :

Un jour viendra où le rideau tombera de lui-même

Et chacun se retrouvera dans une absence extrême.

.

Le lot  d’amours  secrets, jamais, vraiment, avoués :

Ils resteront dans le flou qui jamais, ne sera dissipé,

Ce n’est que silhouette plus qu’une réalité incarnée,

 Qui s’estompe en la nuit au lieu de brillante clarté.

.

J’ai aimé un fantôme qui est demeuré en au-delà

Des réalités tangibles que l’on se plait à toucher

Et peut-être même, à caresser, voire pénétrer

Mais ce n’est que de mon fait si j’en suis là.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme  

.

C’est tout de même,

Le comble que d’aimer

Quelqu’un ou quelqu’une,

Sans trop savoir pourquoi :

C’est comme pur acte de foi

Comme  marcher en ombre

Baigné dans une lumière,

Qui enflammera

Toute sa fortune.

.

JE NE SAURAIS

C’est tout de même un comble,

D’aimer  quelqu’un, quelqu’une,

Sans vraiment savoir  comment

C’est arrivé, et ce, sans prévenir

Et d’en être à n’en plus dormir,

Toujours à rêver d’être amants

Tentatives vaines, en nombre.

Je ne sais, je ne saurais dire,

Ni comment…ni pourquoi,

Mon cœur porté…vers toi

À en bégayer, en frémir !

.

DIRE COMMENT

Toute raison, explication,

Sera contraire à la passion,

Qui me guide en mon espoir,

Qu’un jour vienne à te revoir.

C’est une folie, que de t’aimer,

Qui suis-je … sinon un insensé

De croire en belle réciprocité,

Lors le temps nous a séparés

.

NI POURQUOI ?  

Encore, et, pour longtemps,

Lors activité et lors retraité

Je ne verrai début d’amour,

Car jamais ne finira ce jour.

Cyrano né, laisse-moi rêver :

Que d’avoir après toi soupiré,

Serve au moins notre…amitié,

Plaisirs et passions… renoncés.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un bâtonnet de marc à cils

Pour magnifier  son regard,

La silhouette,  toute droite,

Longiligne et floue de femme.

.

688 4

.

Si  l’on  ne sait pas  assez  bien,

Pourquoi on aime quelqu’une :

Et si sa silhouette devient floue

Elle s’évanouira de sa mémoire.

.

Symbolique 

.

Ce    que

Nous voyons de

Nous, nous  donnons  

À voir, notre silhouette

Que     nous    pensons  

Logique, normal.

Ce que la majorité  

Des       personnes        veulent,

C’est-à-dire    une    silhouette

Parfaite   voire plutôt mince,

Est loin  d’être  évident  pour

Notre    cerveau-ordinateur.

Le seul régime   qui marche

Vraiment  à   long    terme :

L’amour    inconditionnel

Que nous  nous donnons,

Plus nous nous acceptons

Et   plus    nous  aurons

Le poids   qui convient

Et        la    silhouette

Que  nous  devons,

Cherchons à avoir.

Source : Ladv.biz/la-

silhouette-en-décodage

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Si l’on ne sait pas assez bien,

Pourquoi on aime quelqu’une :

Si  sa silhouette  devient  floue

Elle s’évanouira de sa mémoire.

 .

Symbolique

.

Si par essence,

Le flou constitue une

Opposition au concept

Même de netteté,

Il ne peut en

 Être dissocié.

Notion de frontière, revêt ici

Une importance fondamentale

Pour penser  le  flou, constituant

Une limite au continuum, qualifiée

De flou-net, profondeur,  apparence,

Par rapport à la profondeur de champ,

D’avantage qu’absence, flou devient sens.

Si la culture visuelle a évolué, perception

Que nous avons du flou,

A radicalement changé,

Notamment avec l’arrivée

 De   l’image     numérique

Et   de la  haute  défini

Tion. Le sujet est donc

Particulièrement d’actualité.

panayotispapadimitropoulos.blogspot.

com/2013/03/les-frontieres-du-flou

 .

.

Fond/forme 

.

Une silhouette et d’autant si elle est floue,

Donnera peu de signes de reconnaissance :

Ça peut être n’importe quelle femme en tout,

Aucun détail, aucun  indice ne la caractérise.

.

On en restera alors à de vagues suppositions

Que l’on souvent à nombre recoupements

Un travail d’enquête, d’identification

Qui produit souvent des erreurs.

.

Textuels et illustrations  >>

687 – Sa première femme avait un cœur grand

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Qui ne connait l’histoire sordide

Seigneur Gille de Rais, Barbe-bleue

Racontée voire inventée pour moraliser

Par les frères Grimaud vrais conteurs nés.

On peut la reprendre, modifier aujourd’hui

En jouant sur les différences entre femmes

Pas pareilles, décevantes sauf la dernière

Allez savoir pourquoi : nul ne le sait !

Au bout de neuf, il devrait se sentir

Enfin comblé pour le moins aimé

Eh non, de toutes, s’en est  lassé.

.

Première femme au cœur grand,

Comme sa petite mamie

Jouait avec lui Prince charmant

Comme poupée Barbie.

Seconde avait corps sculpté déesse

À la sortie d’adolescence,

Sa façon de l’effleurer, sa tendresse,

Frisant provoc, indécence.

Sa troisième avait des seins  et fesses,

Qui lui promettait du sexe;

Elle l’aura dévoré, abandonné sa tristesse

Lui fait premier complexe.

Sa quatrième était une étudiante brillante,

Qui trouvait réponse à tout;

Elle l’excitait  avec  sa conversation éclatante,

Qui le laissait de glace, fou.

Sa cinquième était une femme mûre, mystique

Qu’il avait trouvé pathétique;

Lors elle l’entrainait en ses arcanes, ésotériques,

À se croire devenu magique.

Sa sixième était le mélange  des  deux premières,

Cœur et corps, droit de cité,

En fausse  innocence, naïveté, spontanéité   altière,

Auront vite fini par le lasser.

Sa septième  fut un mélange  des deux … suivantes,

Sexe et cerveau, top niveau,

Sa tendresse et son imagination, étant manquantes,

À en atteindre le degré zéro.

Sa huitième  était, lunatique, jouait  à saute-mouton,

De la première à cinquième;

Même lors elle parlait doucement, elle haussait le ton.

Rien à faire pour qu’il l’aime.

Seule, la neuvième était comme, à nulle autre, pareille

Ame sœur et âme damnée,

À la fois enfant, mère, prêtresse, putain vraie merveille

Il a fini par l’aimer, la garder.

.

La morale de cette histoire : aucune, il n’y en a,

D’autre que celle que vous-même lui accorderez.

.

Extensions

 .

L’expérience n’apporte pas toujours

La sagesse lors on passe d’une erreur

À l’autre, bien différente, et, gênante.

.

Ici, l’accent  est mis, comme pour Ève

Au Paradis  Terrestre, sur la  curiosité

Malsaine  de la femme, et sur  sa faute

De vouloir savoir le secret du mystère.

.

Et l’interdiction absolue, et mortifère,

De Barbe Bleue a de quoi surprendre,

Puisque s’il voulait cacher ses crimes

Pour  garder  son  épouse, pourquoi

Lui donner quel qu’indice à moins

Qu’il nait été un mari … pervers !

.

La légende est toujours plus forte et résistante que la réalité

Charles n’aura pas inventé Barbe-Bleue à partir de son imaginaire,

Il s’est inspiré  d’Henri VIII (1491-1547) étant alors le roi d’Angleterre

6 épouses : certaines moururent naturellement, d’autres divorcèrent

Mais les dernières eurent la tête coupée.

Toute ressemblance avec un personnage

Imaginaire reste donc loin d’être fortuite.

.

La curiosité de la femme semble sans limite,

Quel qu’en soit le prix à payer, elle s’exécute :

Il n’y aura aucune porte secrète qui la rebute,

Bien qu’à l’intérieur, y a un cœur qui palpite !

.

Ce n’est ni la première, ni la dernière, fouillant

Les poches de son mari  comme femme jalouse,

Mais, une fois découvert, une maitresse cachée,

Elle ne finirait pas pour autant, la tête tranchée.

.

Fragments

.

Barbe bleue, marié à fleur bleue,

Voilà un beau mariage, d’amour,

Mais qui n’aura rien … d’heureux

La femme, y finira, vite, ses jours.

.

Et une et deux trois, quatre … six,

Dieu merci, n’a pas été jusqu’à dix

Voilà ce que c’est de n’être discret,

Cynisme basé sur jalousie… secret.

.

Se séparer de quelqu’une : divorce

Pour Barbe bleue : couper  la tête !

Tentation d’Êve : franchir l’interdit

Dieu dispose des âmes et des corps

.

Comment femme, risquant  sa tête,

Peut-elle vivre, avec futur bourreau,

Peut-elle faire la même erreur fatale

En allant rechercher, utilisé une clef.

.

Est-ce là un procès curiosité féminine,

Est-ce là un procès tromperie mortelle,

Est-ce là un procès  faiblesse caractère :

Toutes interprétations restent possibles.

.

Il y a une part d’ombre  et de mensonge,

Dans toute vie humaine, quel qu’elle soit,

Le pardon, en cas de faute, est une option

Affaire de mœurs, loi, contrat, d’opinion !

.

Lecture au sens littéral, narratif, du texte,

Ce conte renferme en lui, une clé… secrète

Que chacun déchiffre  selon sa conscience,

Tout comme «Alice au pays de merveilles»

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Qui ne connait l’histoire sordide

Seigneur Gille de Rais, Barbe-bleue

Racontée voire inventée pour moraliser

Par les frères Grimaud vrais conteurs nés.

On peut la reprendre, modifier aujourd’hui

En jouant sur les différences entre femmes

Pas pareilles, décevantes sauf la dernière

Allez savoir pourquoi : nul ne le sait !

Au bout de neuf, il devrait se sentir

Enfin comblé pour le moins aimé

Eh non, de toutes, s’en est  lassé.

.

Première femme au cœur grand,

Comme sa petite mamie

Jouait avec lui Prince charmant

Comme poupée Barbie.

Seconde avait corps sculpté déesse

À la sortie d’adolescence,

Sa façon de l’ef     S   fleurer, sa tendresse,

Frisant provoc, indécence.

Sa troisième avait   E       des seins  et fesses,

Qui lui promettait du sexe;

Elle l’aura dévoré,      S    abandonné sa tristesse

Lui fait premier complexe.

Sa quatrième était      *     une étudiante brillante,

Qui trouvait réponse à tout;

Elle l’excitait  avec        N   sa conversation éclatante,

Qui le laissait de glace, fou.

Sa cinquième était          E   une femme mure mystique

Qu’il avait trouvé pathétique;

Lors elle l’entrainait         U     en ses arcanes, ésotériques,

À se croire devenu magique.

Sa sixième était le mé       F     lange  des  deux premières,

Cœur et corps, droit de cité,

En fausse  innocence, naï      *       veté, spontanéité   altière,

Auront vite fini par le lasser.

Sa septième  fut un mé          F      lange  des deux … suivantes,

Sexe et cerveau, top niveau,

Sa tendresse et son imagi       E           nation, étant manquantes,

À en atteindre le degré zéro.

Sa huitième  était, luna           M      tique, jouait  à saute-mouton,

De la première à cinquième;

Même lors elle parlait                M    doucement, elle haussait le ton.

Rien à faire pour qu’il l’aime.

Seule, la neuvième était              E         comme, à nulle autre, pareille

Ame sœur et âme damnée,

À la fois enfant, mère,                  S      prêtresse, putain vraie merveille

Il a fini par l’aimer, la garder.

.

La morale de cette histoire : aucune, il n’y en a,

D’autre que celle que vous-même lui accorderez.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Jeune femme avec

Une    longue   robe

Comme une mariée

Bientôt sacrifiée !

.

687 4

.

Ayant eu même robe et sort,

Neuf femmes, très différentes.

Aujourd’hui, ce serait le divorce,

Mais quand même : huit fois !

.

Symbolique 

 .

A

Au début,

Robe servait

À tout cacher

Du corps

De femme,

Pour différentes raisons, mais surtout

Pour la réalité de sa nudité, par pudeur,

Plus les tissus sont élaborés, plus  beauté

Peut s’exprimer.

Après la Renaissance, le nu … magnifié,

S’entoure de prestige mais au quotidien,

Des parties du corps seront considérées

Comme vulgaires.

Il devient indispensable de les cacher.

Or, en les dissimulant, l’on construit

Une projection imaginaire autour

De leur réalité cachée

Comme un mystère

À se révéler.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

687 6

.

Ayant eu même robe et sort,

Neuf femmes, très différentes.

Aujourd’hui, ce serait le divorce,

Mais quand même : huit fois !

.

Symbolique

.

La poly

Gamie, de cœur

Ou de fait, montre que

 L’homme est encore chevillé

Problématique du pouvoir

 Sur l’autre pour dire son

 Pouvoir 

 Ou de perfection

De soi pour   accepter autre.

Il n’est pas                 sûr de lui,

Vit angoisse              castration

    Or-ga-nique            fonctionnelle.

Il reste dans         la dichotomie

Du « tout  ou         rien » ou  du

«Trop» ou du         « pas  assez ».

Il reste  dans        l’idéalisation !

Il n’a pas com     pris la richesse

De la nuance,     comment aider

Membres du        groupe  à vivre

La nuance,           et  la tolérance,

Le non-juge            ment d’autre ?

cairn.info/revue-du-mauss-

2012-1-page-329=La polygamie

.

.

Fond/forme 

 .

Sans doute que neuf, c’est beaucoup

Mais comme on ne prête qu’aux riches

Les séries ont tendance à l’augmentation

C’est une dénonciation du pouvoir absolu

Des seigneurs régnant sur tout,  maitres

Avec le droit de vie et mort sur sujets,

Il y a aussi le secret comme le test

De tentation et  de confiance.

.

 Textuels et illustrations  >> 

686 – Vie, loin de France, quand j’y pense

Textuels et illustrations  >>

.

 Originaux : poème,  extensions, fragments 

.

Poème

.

Exquise, puis surprise

Sont mots qui te décrivent

Et au mieux, selon mes yeux,

Selon mes sentiments ardents,

Ou,  selon  mon  cœur  d’amant,

Dès lors que mon esprit t’évoque

Dès lors  que le corps  provoque

Dès lors sexes s’entrechoquent

Et rondeurs  de ta silhouette,

Procurent l’image chouette

De promesse de féminité.

.

En  son écrin, fermé

À celui  qui  n’aime.

.

Toi, loin de France,

Souvent, quand j’y pense,

Je vois ou  j’entrevois tes formes.

Formes et silhouette te déhanchant,

Font flotter tes vêtements, sous des vents,

M’inspire  un violent désir amant, touchant.

Touchant par la grâce de ton port, ton allure,

T’approcher,  te parler, seront d’autant plus dur

Afin de t’assurer  que, mon envie de toi, est pure.

Pure dans tes gestes, et  pure dans tes intentions,

Lors même que mon âge  ou jusqu’à présentation

Reflète quête conquêtes toutes en contradictions.

Contradiction  de norme,  contradiction  énorme,

Un gouffre  nous sépare, me rend  non-conforme,

À  ton attente, ton désir, pourtant,  protéiformes.

Protéiforme aussi corps, cœur, esprit d’un poète,

Qui fait, de ta  rencontre la bien plus grande fête

Pour regards de muette, non d’airs de coquette.

Coquette appelle un coq paré de mots d’atours,

Pour lui conter fleurette pour lui faire la cour

Or, il  pense  trop  sexe,  pas  assez  l’amour.

L’amour  te personnifie, l’amour, tu  l e vis,

Chaque jour, en l’attendant tout à l’envie,

Et quand ta silhouette flottante s’arrête.

S’arrête, en entendant enfin, ma  voix,

Tu te retournes, et enfin tu me vois,

Écoute te dire : «je t’aime» mais.

Mais alors  pourquoi je n’ose

Et attends que tu proposes

La dernière des choses,

Choses qu’on ne dit

Mais que l’on fait

Que l’on croyait

Bien interdit,

Interdit laissant,

Comme ce bel amant

D’un jour,  ou d’une nuit,

Ou qui sait … pour la vie !

.

Extensions

 .

Loin de France, loin du pays

Ou pourquoi pas du prénom,

Allez savoir : loin des deux,

Dans tous les cas, loin de

Revenir sur mes pas.

.

Est-ce une fuite où

Une escapade pour mieux

Revenir après avoir fait le point,

Sans moindre tyrannie des émotions,

Pulsions, sentiments, évènements !

.

Vision de loin ou vision de près :

Il faut les deux pour ajuster

Correctement, ses vues !

.

Allez donc savoir, de qui il s’agit, quelle est cette muse,

Qui a inspiré ce poème, qui m’a troublé, si je ne m’abuse.

Je ne vous le dirai pas : c’est tout le monde et … personne.

Quand bien même, à quoi bon, elle ne se reconnaîtrait pas,

Et pourtant ce visage est encore en moi, intact et si nature.

 .

Quand un visage, un corps, s’imposent à vous,

Tous nos sens se mettent en éveil, sans écueil,

Virtuellement présente, des images s’animent

Elles se produiront en forme holographique !

.

Quand l’on veut, non pas l’effacer,  la ranger :

Elle revient en force, occupe fond de pensées.

C’est peut-être ou en partie, dû à la distance,

Loin des yeux, près du cœur, pour cette fois !

 .

Ça prouve qu’attachement n’est pas vain mot,

On dit lors que quelqu’un vous colle à la peau,

À la peau c’est une métaphore, mais aux yeux,

C’est bien une image sur des zones rétiniennes.

.

Fragments

.

France … comme vous le savez,

Un aussi un beau prénom porté

Et moi, rien que de le prononcer

Je sens comme parfum d’amitié !

.

Chaque pays a son parfum préféré,

Celui de France est lequel, devinez :

Pain, croissant, gâteau … bien levés,

Et qu’on a toujours plaisir à manger.

.

Ici, il s’agit d’une amie, en particulier,

Dont mémoire n’arrive à s’en détacher,

À celui de ce pays, son parfum, mélangé

Devient comme une obsession de pensée.

.

On dit  qu’on emporte, avec soi, enfermés

Dans sa valise,  ses problèmes journaliers,

Mais tout autant de souvenirs  et pensées,

Qui nous permettent de mieux les oublier.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

 .

Exquise,                     M                puis surprise

Sont mots                  O           qui te décrivent

Et au mieux,             I          selon mes yeux,

Selon mes sen        *       timents ardents,

Ou, selon mon     *        cœur d’amant,

Dès lors que mon     esprit t’évoque,

Dès lors  que le    corps provoque

Dès lors sexes  s’entrechoquent

Et rondeurs  de ta silhouette,

Procurent l’image chouette

De promesse de féminité.

.

En  son écrin, fermé

À celui  qui  n’aime.

.

Toi, loin   L   de France,

Souvent,  O   quand j’y pense,

Je vois ou   I  j’entrevois tes formes.

Formes et    N     silhouette te déhanchant,

Font flotter   *   tes vêtements, sous des vents,

M‘inspire    D   un violent désir amant, touchant.

Touchant      E   par la grâce de ton port, ton allure,

T’approcher,    *     te parler, seront d’autant plus dur

Afin de t’assurer    *       que, mon envie de toi, est pure.

Pure dans tes gestes,    F       et  pure dans tes intentions,

Lors même que mon âge   R     voire jusqu’à présentation

Reflète quête conquêtes      A      toutes en contradictions.

Contradiction de norme      N           contradiction énorme,

Un gouffre nous sépare       C         me rend non-conforme,

À ton attente et ton désir    E         pourtant, protéiformes.

Protéiformes aussi corps,    *        cœur, esprit d’un poète,

Qui fait, de ta  rencontre     *       la bien plus grande fête

Pour regards de muette,    Q      non d’airs de coquette.

Coquette appelle un coq   U     paré de mots d’atours,

Pour lui conter fleurette   A      pour lui faire la cour

Or, il pense  trop  sexe,     N    pas  assez  l’amour.

L‘amour te personnifie,    D    l’amour tu le vis,

Chaque jour, en l’attendant,  toute  à l’envie,

Et quand ta silhouette, flottante, s’arrête.

S‘arrête, en entendant enfin, ma  voix,

Tu te retournes, et enfin tu me  vois,

Écoute  te dire : «je t’aime» mais.

Mais alors  pourquoi   J  je n’ose

Et attends que tu   ‘    proposes

La dernière    Y   des choses,

Choses      *     qu’on ne dit

Mais      P      que l’on fait

Que        E      l’on croyait

Bien        N         interdit,

Interdit      S      laissant,

Comme ce  E  bel amant

D‘un jour,  ou d’une nuit,

Ou qui sait … pour la vie !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un flacon de parfum

Avec un gros bouchon

Comme un diffuseur, 

En pleine mémoire.

.

686 4

.

Un flacon de parfum

Avec un gros bouchon

Comme un diffuseur, 

En pleine mémoire.

 .

Symbolique 

 .

La subtilité

Du  parfum

Est insaisissable

Et pourtant l’apparence

Est réelle symboliquement

À une présence spirituelle

Et à la nature de l’âme,

Tant  la  persistance  du

Parfum  d’une  personne,

Après le départ de celle-ci,

Évoquera une idée de durée

Et parfois même de souvenir.

Parfum symbolise  la mémoire

Et c’est en ce sens  qu’on l’utilise

Dans  les cérémonies  funéraires.

Les parfums facilitent l’apparition

D’images et de scènes significatives.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

686 6

.

Un parfum de femme, s’il n’est pas banal

Ou s’il est original :

Ça ne s’oublie pas comme ça, la mémoire

Le conserve, retrouve.

 .

Symbolique 

 .

L’oubli

Est un processus

Qui   fait   partie de

Mémoire. On ne peut

Pas  réfléchir  sur  l’oubli

Sans référer au champ

 De la mémoire.

 

Y a oubli inexorable par effacement de la trace.

C’est quelque chose contre quoi nous luttons tous.

Se souvenir, c’est alors s’opposer  à cet effacement

De la trace qui correspond à une mort symbolique.

 

D’autre part, il y a                       l’oubli de réserve,

L’oubli remède con                     tre la résurgence

De traces dont on                  se passerait bien.

En fait, dans  cet             oubli-là,  la trace

N’est pas effacée       et dans certaines,

Conditions, on peut se remémorer.

cairn.info/exil-et-violence-

politique-les-paradoxes-

 .

 .

Fond/forme 

 .

Un parfum est un marqueur d’odeur

Qui se fixe en notre cerveau primaire

Et qui refait surface, instantanément,

On croira l’avoir oublié, eh bien non !

Et partout où il resurgira au hasard

Un objet, un lieu, visage, projettera

Jusqu’à le reconnaitre entre mille.

.

Textuels et illustrations  >>

685 – Lors je t’ai quittée pour une terre portugaise

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Portugal/Espagne/Maroc

Sont trois pays, et cultures,

Avec trois types  de femmes,

La seule restant   en mémoire

Et je  te  le  jure  que … c’est toi,

À n’en  pas   croire …..  mes yeux,

Car je te superpose  à toutes celles

Qui te ressemblent,  plus ou moins,

De tête, de silhouette et de charme.

.

À quoi bon aller chercher ailleurs

Celle qu’on a, près de chez soi.

Puis quand le voile

Tombera d’amour

Alors tu ne t’en

Dé-par-ti-ras.

.

Lors je t’ai quittée pour terre portugaise,

Je pensais t’oublier me  retrouver bien aise,

De regarder autour de  moi autre joli minois

Avec des corps de rêve sans me soucier de toi.

.

C’était sans compter  ton empreinte marquée

Du sceau de l’amitié,  plus même, si affinités,

Vue de loin tu es plus belle encore, attirante,

À tel point  d’exciter  humeurs  changeantes.

.

Quand je t’ai quittée pour une terre espagnole

Avec autres  je pensais  danser la carmagnole,

Flamencos  et sevillanas salsas valses, tangos,

Je pensais, même, à toi, en  partenaire  disco.

 .

Je rêvais  d’enfourcher  tes monts,  tes vallons,

Et de caresser tes seins leurs pointes en tétons

Plus que de mon saoul bien plus que de raison

Tant j’éprouve, pour toi  beaux gestes passion.

.

Quand je t’ai quittée pour terre … marocaine,

Femmes mal fagotées en plus à demi voilées,

N’avaient yeux  pour   mieux   me dévisager,

Aucune ne me tente  comme  être  fredaine.

.

Le regard  ne  se cache  se prend,  se donne,

Il s’échange, vouloir le posséder, maldonne

Sur une terre  berbère leur regard étranger

A confié : difficile, ici, pour toi,  t’installer.

 .

Ton regard au-delà de tes plaines, de tes monts,

Ton regard allant droit, et jusqu’au plus profond,

Ton regard qui réveille, me surprend et d’un bond

Te fait exister quand bien  lors rendu un vagabond.

Lors je suis arrivé au Maroc un choc, quand soudain

Voile me dévoile mon si bel amour quitté en France.

.

Extensions

.

Fantasmes,  illusions, produits de ma fiction

Que toutes les images de toi que j’ai réveillées !

Peut-être mais pourquoi persistent-elles autant,

À envahir  toutes mes pensées,  tandis qu’à visiter

Monuments portugais, intéressants,  je m’emploie.

À vrai dire, je ne comprends pas, c’est à croire que

Ton visage s’est imprimé, câblé, dans ma mémoire

Et que je ne pourrais m’en départir, un seul soir.

Pardonne-moi de te voir nue toute déshabillée.

.

Quand on voyage, en Europe, on finit, toujours,

Par trouver quelqu’un, quelqu’une, ressemblant

À la seule qu’on aime qu’on a quitté un moment

Elle a des faux airs d’elle, mais  ce n’est pas elle !

.

Voilà une belle qui la rappelle un peu, beaucoup,

Pour autant, ce ne sera qu’apparence trompeuse,

Dès lors que j’échange avec elle, un voile apparait

Qui dissoudra son image au lieu de la superposer.

.

Il me faut bien m’avouer  que je suis très troublé,

Me dis pour corps semblable : âme dissemblable,

Et c’est peut-être surement même ce qui compte,

Une histoire commune et non fantôme de brune.

.

Fragments

.

Laisser quelqu’une ailleurs,

S’en aller, au petit bonheur,

Fait quelque chose au cœur.

.

Une fois arrivé là ou on veut,

On se remettra à penser  que

On se sent seul, guère mieux.

.

Quitter est un bien grand mot

Quand on se dit qu’on a été sot

Qu’elle aurait trouvé, ici, beau.

.

Perdu en me pensées, je la vois,

Comme présence à côté de moi,

C’est bien d’être à deux, je crois.

.

Toutefois, quelque chose me dit

Que tout ce que fais, que j’écris,

Est pour lui raconter comme cri

.

Un cri du cœur cela va sans dire

Autrement,  elle va me maudire,

Ou sinon je crains même le pire.

.

Pire est revenir, plus que partir,

Cadeau souvenir ne peut suffire,

Le meilleur accueil reste à venir.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme 

.

Portugal/Espagne/Maroc

 Sont trois pays, et cultures,

Avec trois types  de femmes,

La seule restant   en mémoire

    Et je  te  le  jure  que …..  c’est toi,

 À n’en  pas  croire …..  mes yeux,

    Car je te superpose  à toutes celles

      Qui te ressemblent,  plus ou moins,

        De tête, de silhouette et de charme.

        À quoi bon aller chercher ailleurs

         Celle qu’on a, près de chez soi.

              Puis quand le voile

              Tombera d’amour

         Alors tu ne t’en

      Dé-par-ti-ras.

.

Lors je t’ai quittée pour  T  terre portugaise,

Je pensais t’oublier me  ’  retrouver bien aise,

De regarder autour de  A  moi autre joli minois

Avec des corps de rêve   I  sans me soucier de toi !

C’était sans compter        *    ton empreinte marquée

Du sceau de l’amitié,          Q       plus même, si affinités,

Vue de loin tu es plus          U         belle encore, attirante,

À tel  point  d’exciter             I           humeurs changeantes.

Quand je  t’ai quittée            T       pour une terre espagnole

Avec autres  je pensais        T          danser la carmagnole,

Flamencos  et sevillanas     É           salsas valses, tangos,

Je pensais même à toi       E           en partenaire disco.

 .

Je rêvais d’enfourcher      P      tes monts, tes vallons,

Et de caresser tes seins   O   leurs pointes en tétons

Plus que de mon saoul,   U bien plus que de raison,

Tant j’éprouve pour toi  R     beaux gestes passion.

Quand je t’ai quittée  pour  une terre   marocaine,

Femmes, mal fagotées   T  en plus à demi voilées,

N’avaient yeux pour       E   mieux  me dévisager,

Aucune ne me tente       R   comme être fredaine.

Le regard  ne se cache         se prend, se donne,

Il s’échange, vouloir le     *      posséder, maldonne

Sur une terre  berbère        leur regard étranger

A confié : difficile ici         O       pour toi, t’installer.

      R

Ton regard au-delà de tes   T     plaines, de tes monts,

Ton regard allant droit, et   U     jusqu’au plus profond,

Ton regard qui réveille, me  G      surprend et d’un bond

Te fait exister quand bien     A        lors rendu vagabond.

Lors je suis arrivé au Maroc   I    un choc, quand soudain

Voile me dévoile mon si bel     S    amour quitté en France.

      E

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une statue de femme,

 Jeune, mais statufiée,  

Avec la tête de profil

Avec un air pensif.

.

685 4

.

Une  femme  parmi… tant  d’autres

Et pourquoi elle, c’est fou :

Qui sait, le fait qu’elle ne soit pas là,

Renforce mes pensées.

Une statue peut-elle avoir l’air pensif,

Demandez-le donc à Auguste Rodin

Avec sa célèbre statue du penseur

Aussi la forme épouse le fond.

.

Symbolique

.

Prolongeant

Rêve pureté des

Ro-man-tiques,

Symbolistes

Auront donné aux femmes

Allure virginale mais qu’elles n’ont pas.

La femme aura une symbolique très riche

Qui a évolué au fil du temps, toutefois,

Elle a toujours évoqué la fécondité,

La pureté, mais  aussi  le vice.

Nombre   de   mythologies

Attribuaient une valeur

Sexuelle   aux   déesses,

Qui   incarnaient  souvent

Le désir et le plaisir charnel.

Source : poetes.com  et  1001 symboles

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

685 6

.

Une  femme  parmi… tant  d’autres

Et pourquoi elle, c’est fou :

Qui sait, le fait qu’elle ne soit pas là,

Renforce mes pensées.

.

Symbolique 

 .

Au sens

Large, pensée

Est    une  activité 

Psychique, consciente

Dans   son ensemble,

Qui recouvre les

Processus

 .

Par lesquels  seront  élaborés,

Les réponses  aux perceptions

Venues des sens,    des images,

Des sensations,     des concepts

Que l’humain         associe pour

Apprendre,          créer et agir.

fr.wikipedia.org/wiki/Pensée

 .

.

.

Fond/forme 

 .

Arrive qu’on quitte quelqu’un quelqu’une

En voyageant dans un tout autre pays,

Et qu’on continue à le ou la rechercher

Comme en musique, belle ritournelle

Et qui vous occupe tout votre esprit.

.

On s’attend à le ou là voir surgir

À tous les coins de rue, sentiers

Et l’on projette, sur ses clones,

Son visage des plus familiers.

.

Or la ou les copies, ne sont

Ne valent pas, l’original :

Ce serait  un cas fréquent

Dans les décès et divorces

Impossibilité de retrouver

Situation, être, antérieurs.

.

Textuels et illustrations  >>

684 – Et, si le bonheur c’était tout simplement !

Textuels et illustrations   >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Et si  le bonheur, c’était, tout  simplement,

Sans être luttant,  sans être conquérant,

Même sans aucun projet à construire,

Voire sans aucun artifice à séduire.

Mais là, je rêve :  est-ce possible,

Être  dans des bras sensibles,

Et de sentir comme un flot

Émotions  vous envahir

De la tête aux pieds,

Réciproquement

Sans bouger

Un doigt

Seul

V

.

Et si le bonheur, c’était tout simplement,

De penser à toi  chaque jour, moment !

Et  si le bonheur  c’était, plus souvent,

D’être, avec toi,  téléphoniquement !

Et si le bonheur,  c’était, réellement,

D’être, contre toi,  sensuellement !

Et  si le bonheur,  c’était l’instant

D’être avec toi à s’aimer jouant !

Et si le bonheur, c’était, venant

D’être en toi, en si bon allant !

Et si le bonheur, c’était… en

Devenant de vrais amants.

Toi parti, bonheur  étant

Coupant   ou   blessant,

Ton amour  occupant

Ton esprit pensant,

En le multipliant

Chaque  instant

Et en prenant

Le     temps

D’exister,

Pendant

Avant,

Sans

En

V

.

Extensions

 .

Et si  le bonheur,  c’était ceci,

Et  si  le  bonheur … c’était  cela :

Chacun y va de sa définition propre,

Tellement il contient de valeur relative

Sans compter d’appréciation subjective.

Fortunément, le bonheur ne se limitera pas

À l’amour entre deux amants, entre deux amis,

Entre deux parents, envahit toutes sphères de vie,

De la Nature à la Culture en passant par le métier,

La cuisine, sans oublier toutes sortes de hobbies.

.

Quand on a frôlé la mort de justesse,

Le bonheur premier consiste à se

Sentir vivant en relativisant

Les petits problèmes de

L’existence pour ne plus

Voir que le bon côté des choses.

Une  échelle  du  bonheur, comme

De l’intelligence : vous  n’y pensez-pas !

.

Nombre petits bonheurs, qui sont grands, inversement,

Dépendent d’où on vient, où on en est, à quoi on s’attend.

La réussite au baccalauréat  suscite un immense bonheur,

Mais, postérieurement, on s’aperçoit qu’il n’est rien, en soi,

Qu’une porte d’entrée pour les uns, de sortie pour les autres.

Et pourtant, l’avoir eu ou pas, change complètement la donne,

Pour l’avenir et le permis de conduire, produirait le même effet,

Le premier job stable, autant, la première rencontre amoureuse.

Certaines personnes sont considérées  étant inaptes au bonheur.

Avant, j’avais de la peine à le croire, mais, l’expérience de la vie

M’a ouvert les yeux : impossibilité est dramatique pour tous !

.

Et si ceci, si cela, ritournelle bien connue, stérile,

Dès lors qu’elle est imprécise ou en conditionnelle

Si le bonheur, c’était ceci et pas cela, on le saurait,

Mais il y a des bonheurs divers et un pour chacun.

Si moi je suis heureux, en écrivant sur … l’amour,

D’autres ne le sont pas, n’y voient que des peurs.

J’avouerai que, de jouer sur le mot du bonheur

Me donne un peu le blues plus que de raison,

Mais que voulez-vous, bonheur est passion.

.

Le bonheur se pointe quand il veut,

Le bonheur nous quitte quand il peut,

Pour certains, c’est, déjà, quand il pleut,

D’autres, un peu à manger, rend heureux.

Autant dire qu’il est des plus susceptibles

Qu’il est parfois des plus imperceptibles

Qu’il n’aime pas qu’on soit irascible,

Et qu’il rate très souvent sa cible.

.

Fragments 

.

Chacun aurait ….. ses propres représentations

Du bonheur, basées sur ses expérimentations

Personnelles et son propre niveau d’attente.

.

Quoiqu’il en fût, en soit, en sera,  plus tard,

Bonheur n’est éphémère comme le plaisir,

Qui passe, qu’on recherchera de nouveau.

.

Plus de sensation inquiétude, souffrance

Une satisfaction de soi agréable partout

Bien-être : soi, couple, famille, société !

.

De bonnes relations interpersonnelles

Avec  situation économique … stable,

Et le but qu’on poursuit  dans sa vie.

.

L’on y voit un triangle du bonheur,

Lors d’autres y verraient un cercle

Selon qu’on est Occident/ Orient.

.

Occident est en dualité / Trinité,

Tandis qu’extrême Orient serait

Équilibre  du Ying  et du Yang !

.

Le bonheur est chanson douce

Que me chantait  ma maman,

Selon un vrai poète bonheur.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond 

.

Calligramme 

 .

Et si  le bonheur, c’était, tout  simplement,

Sans être luttant,  B sans être conquérant,

Même sans aucun  O projet à construire,

Voire sans aucun  N artifice à séduire.

Mais là, je rêve    H  est-ce possible,

Être dans des   E  bras sensibles,

Et de sentir  U comme un flot

Émotions R  vous envahir

De  la tête  aux pieds,

Réciproquement

Sans bouger

Un doigt

Seul

V

.

Et si le bonheur,      C    c’était tout simplement,

De penser à toi        ‘     chaque jour, moment !

Et si le bonheur      É      c’était, plus souvent,

D’être, avec toi       T     téléphoniquement !

Et  si le bonheur,    A       était, réellement,

D’être, contre toi    I       sensuellement !

Et  si le bonheur,    T     c’était l’instant

D’être avec toi à     *  s’aimer jouant !

Et si, le bonheur    S  c’était, venant

D’être en toi, en    I  si bon allant !

Et si le bonheur    c’était… en

Devenant vrais   P       amants.

Toi parti bon    L  heur étant

Coupant  ou   E    blessant,

Ton amour  M  occupant

Ton esprit  E  pensant,

En le mul N  tipliant

Chaque  T  instant

Et en  * prenant

Le    *  temps

D’ex-is-ter

Pendant

Avant,

Sans

En

V

.

Forme

.

Évocation

.

Deux triangles, superposés,

 L’un plus petit que l’autre :

L’autre  étant une pointe

 Fine, visant un cercle !

.

684 4

Un triangle bleu et vert sur haut,

Rouge de l’autre, pointu :

Si ce n’est forme ronde, la couleur,

Chaleur du bonheur !

Sachant que le bonheur pourra prendre

Toutes les formes  sans modifier le fond,

Les poètes ronds  et  les matheux carrés,

N’envieront pas les marchands pointus.

.

Symbolique

.

^

^

^^^^

^^^^^^^^^

Tout   le     triangle 

Reste  un   symbole   féminin,

Lorsque  pointe  se dirige  vers  le bas,

Il représente fécondité naissance, instabilité ;

Masculin avec pointe vers le haut, symbole de virilité

Il a été beaucoup utilisé dans la finance qui est un domaine

Majoritairement  masculin, ou  bien  par  certains francs-maçons

Qui  le  nommaient « Delta lumineux »  ou   encore « Triangle sublime ».

Il est le symbole du pouvoir et du feu et deux constellations portent son nom.

Source : www.structurenomade.com/2016/07/10/la-symbolique-du-triangle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

684 6

.

Un triangle bleu et vert sur haut,

Rouge de l’autre, pointu :

Si ce n’est forme ronde, la couleur,

Chaleur du bonheur !

.

Symbolique 

 .

Le        cercle

Est d’abord un symbole

D’unité,  l’alliance  ou  encore

 Le yin et yang sont de bons exemples.

C’est aussi le symbole de l’infini, divinité,

L’harmonie,  du  naturel   et    la perfection.

Dans le rond,  l’on distinguera deux éléments :

Le point, formant le centre  et  la  circonférence,

Ces éléments sont liés, leur signification diffère.

Le centre  symbolisera lors  le point   de départ,

C’est-à-dire d’où on vient, le point d’arrivée,

Est synonyme de stabilité et d’éternité.

Circonférence  cercle évoquera

Mouvement changement.

graphiste.com/blog/symbolique-forme-logo-rond

 .

 .

 Fond/forme 

.

On a coutume de voir un carré dans un rond

Si ce n’est l’inverse mais triangle en un rond

C’est moins commun, ça déborde davantage

Ce sont trois formes de base qu’on distingue

Facilement et cela, dès notre plus jeune âge.

.

Quant à savoir si l’homme est plutôt carré,

Si la femme est ronde, je ne m’aventurerai

Pas sur ce terrain sauf si elle est enceinte.

Le bonheur, lui, s’accommodera de tout,

Tant, vrai que de sa forme, il s’en fout. 

.

Textuels et illustrations   >> 

683 – Le meilleur bonheur de l’amour n’est-il pas !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

C’est

Sûr  le

Meilleur

Moment,

D’am-our,

Reste   celui

Où on recrée,

Ses  fantasmes,

Lorsqu’on  monte

L’escalier    derrière

Une jupette …  évasée,

Mais, qui ne cache  rien

De ce qu’elle vous promet.

.

Le meilleur bonheur de l’amour

Ne serait pas celui que  l’on croit

Où plus intime  acte  de  l’amour

Ne serait plus celui  que l’on voit.

 .

Sera  moins lié  à nos  deux corps,

Qu’à nos  deux âmes, rapprochées,

Où fusions intimes de deux entités

Flotteront  au-delà   d’aura, encore.

Ce ne sont pas des mots qu’on partage

Mais un plein  silence loin des tapages

Pas plus que les gestes que l’on flirtage

Mais  nos belles intentions, survoltages.

.

D’état de normalité à celui de passionné,

Par l’idée que l’on se fait de l’union sacrée

Où pudeur, retenue, ne sont plus de mises,

En âmes confondues par l’humeur exquise.

.

Le seul fait de trembler à l’orée des frissons,

Qu’ils soient bien élevés, voire plus polissons,

Ne changera rien aux profondeurs d’émotions,

Qu’on soupire en fond de lit comme prétention.

 .

Chacun sait bien que meilleur moment du jour

Est celui où l’on monte l’escalier de l’amour,

Le désir grimpe en  paroxysmes, spasmes

Et le reste se termine  en isme  ou asme.

.

Extensions

 .

Le meilleur bonheur de l’amour,

N’est pas pendant, mais avant,

Dans l’enthousiasme du désir

Ou bien parfois, alors après,

En épicurisme d’un souvenir.

.

Mais balivernes que tout cela,

Pour ceux pour qui, il n’y aurait

Rien en dehors de l’acte, lui-même :

Que fantasmes minant moral, cerveau.

Pénétration, fin en soi, reste, préliminaires.

.

Possible que distinction entre plaisir et bonheur

Ne soit pas évidente à faire pour celui n’ayant jamais

Connu le dernier : en ramenant l’inconnu au connu,

On aura tendance à réduire le bonheur au plaisir

Et à son immédiateté, à sa tangibilité.

.

L’excitation nait dans le cerveau

Bien plus que dans le sexe,

Qui lui, fonctionnerait de

Manière presque réflexe.

.

Le meilleur bonheur d’amour  selon moi, est aucun doute,

Le moment où mon aimée monte l’escalier, et que je la suis

Je vois bien ses formes se déhancher, marche après marche,

 Et je me dis en moi-même que l’heure de … va bientôt sonner.

Après, on prend le temps de discuter, rien ne presse, à présent.

Au bout d’un temps, il se fait bien tard, il va bientôt  faire… nuit,

Elle décide de ne pas prolonger, descend du perchoir par escalier.

.

Le meilleur moment de l’amour sera différent

Pour chacun : certains, avant ; d’autres après,

Et le plus souvent, pendant, comme il se doigt.

.

Il peut être éphémère,  le temps d’un orgasme,

Comme il peut se poursuivre, un long moment,

Il y a ceux qui s’impatientent de recommencer.

.

Y a ceux qui préfèrent attendre autre occasion :

Différer plaisir leur procure un surcroit de désir,

Qu’ils gardent en tête comme précieux souvenir !

.

Fragments

 .

Escalier,

Montant au ciel :

Qui n’en rêve n’en a rêvé

Jusqu’au sommet d’extase.

.

Meilleurs moments de bonheur

Mots  en «isme»  et   en «asme»

Seraient comme autant de fleurs

Qui colorient tous nos fantasmes.

.

Alcoolisme,  altruisme,  amoralisme,

Érotisme,   hédonisme … lesbianisme,

Magnétisme,  narcissisme,  naturisme,

Nudisme, onirisme, paroxysme, prisme.

.

Orgasme, spasme, enthousiasme, marasme,

Mots en asme sont dix fois  moins  nombreux

Mais les mots en «heur»             pas davantage :

Aguicheur, pleurnicheur                ou un chercheur.

.

Sapin  peut  évoquer                        degrés de bonheur,

Ses diverses branches,                        différentes hauteurs,

Il est une image vivante                       verticalité ascendante

Élévation spirituelle invite                   à  la  conquête   du  ciel

.

L’essentiel ne serait-il pas

Qu’amour soit le meilleur,

Que l’on puisse souhaiter.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

C’est

Sûr  le

Meilleur

Moment,

D’am-our,

Reste   celui

Où on recrée,

Ses  fantasmes,

Lorsqu’on  monte

L’escalier    derrière

Une jupette …  évasée,

Mais, qui ne cache  rien

De ce qu’elle vous promet.

.

Le meilleur bonheur de   B l’amour

Ne serait pas celui que  O  l’on croit

Où plus intime acte     N    de l’amour

Ne serait plus celui   H       que l’on voit.

E   

Sera moins            U       lié à nos deux corps,

Qu’à nos           R  deux âmes, rapprochées,

Où fusions      *      intimes de deux entités

Flotteront          D     au-delà d’aura encore.

Ce ne sont pas des mots    A   que l’on partage

Mais un plein  silence loin   M        des tapages

Pas plus que les gestes que     O       l’on flirtage

Mais nos belles intentions     U       en survoltage

              R

D’état de normalité               *   à celui de passionné

Par l’idée que l’on              N    se fait d’union sacrée

Où pudeur, retenue,       E       ne sont plus  de mises,

En âmes confondues    *       par une humeur exquise.

S ……………….

Le seul fait            E    de trembler à l’orée des frissons,

Qu’ils soient        R       bien élevés, voire plus polissons,

Ne changera      A     rien aux profondeurs d’émotions,

Qu’on soupire   I     en fond de lit comme prétention.

T ………………………..

Chacun sait bien    que meilleur moment  du jour

Est celui où l’on   I   monte l’escalier de l’amour,

Le désir grimpe en   L   paroxysmes, spasmes

Et le reste se termine  ?  en isme  ou asme.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une forme de sapin

 Pro-ba-ble-ment :

Forme de sapin,

Assurément !

.

683 4

Une belle fraicheur pour ce sapin,

Vert tendre, et aéré, et …   aérien :

C’est encore ce qu’il y a de mieux

En désirant, faisant  l’amour.

.

Symbolique 

 .

Le

Sapin

Surgit dans

Les dessins d’enfants,

Il est une image vivante

De la verticalité ascendante,

De l’élévation spirituelle qui invite

À la conquête du ciel. Il appelle aussi

Des associations maussades… telles que :

Froid, neige, nuit, sur fond de lune, ciel étoilé.

Il est autant symbole  d’immortalité, en Russie

Le sapin entre dans divers rites et superstitions

Prouvant les

Vertus   de

Protection

Qu’on lui

 Accorde.

lepetitjournal.com/munich

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

683 6

.

Une belle fraicheur pour ce sapin,

Vert tendre, et aéré, et …  aérien :

C’est encore ce qu’il y a de mieux

En désirant, faisant l’amour.

.

Symbolique 

 .

L’amour

Relève symbolique

De l’union des opposés :

Il est la pulsion fondamentale

De l’être, la libido qui pousse chacun

À se réaliser dans l’action : ce passage à l’acte

Ne se produit que par le contact charnel avec l’autre,

Autant suite à échanges matériels, sensibles, spirituels

Qui sont autant de chocs. L’amour tendra à surmonter

Ces antagonismes, à assimiler des choses différentes,

À les intégrer dans une même unité.

 .

.

Fond/forme 

 .

Amour, sapin, n’ont rien en commun

À moins de faire l’amour à son pied,

Croquer la pomme, pomme de pin,

Ce pour atteindre bonheur divin !

.

L’on pourra grimper un escalier

Et voire grimper aux rideaux,

Et les plus sportifs, au sapin.

Chacun fait comme il veut !

.

L’essentiel ne serait-il pas,

Qu’amour soit le meilleur,

Que l’on puisse souhaiter.

.

Textuels et illustrations  >>

682 – Trouver son âme sœur : ça veut dire quoi !

 Textuels et illustrations   >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

 

Âme sœur,

Ou, âme clone,

Voire âme jumelle

Appelez-là comme

Bon   vous  semble,

Elle  vous   adopte,

Et vous rassemble

En seul  bonheur.

.

Et, de la trouver,

Sera  une quête,

Une   conquête.

Amour   vérité,

Non   charité,

Opportunité

Fusi-onnés,

Lors  pour

Toujours

.

C’est se trouver une amie

Qui pense comme vous

Qui vit comme vous :

Jumeau et jumelle.

.

C’est faire fi de la différence

D’âge, de métier ou statuts,

Ou contraire, semblables

En tous points égaux.

.

C’est penser à quelqu’un

Comme par télépathie,

Souffrir comme lui,

Longueur d’onde.

.

C’est sublimer son sexe

Pour éviter complexes

Situations, jalousies,

Si l’autre est pris.

.

C’est tout cela à la fois

Même plus que cela :

Ça ne se décrit pas,

Ça vient et ça va.

.

Extensions

 .

Une « âme sœur » fait penser d’abord à conjoint

Mais pas que : ce peut être un ami ou une amie,

L’âme ne concernant pas directement le sexe

Ce qui ne veut pas dire qu’elle n’en a pas :

Tout ce qui est humain est sexué, par nature

Et l’on ne pourra s’en détacher, ni s’en abstraire.

.

Âme sœur c’est comme reflet de soi-même en miroir,

Quelque chose située entre la gémellité et le clonage,

Psychiquement parlant car il n’y a pas forcément

De ressemblance physique, plutôt le caractère,

La manière d’être, de réfléchir, et d’éprouver

Les mêmes émotions pour la même chose

Tout le monde en rêve, d’un tel double

Qui nous comprend, de l’intérieur,

Par empathie ou par télépathie.

.

En réalité, le fait est assez rare

Et le plus surprenant, pas de début,

D’histoire commune pour l’expliquer :

Comme parenthèse dans l’espace-temps,

Superposition, inattendue, de consciences.

On ne peut pas dire la même chose d’un frère

Ou d’une sœur qui ont pourtant partagé une

Grande partie de votre vécu, par définition.

.

L’âme sœur est étrangère, elle vient d’ailleurs

Nulle part, on la rencontre ou la rencontre pas,

Amants, même s’ils sont et demeurent fusionnels,

Ne sont pas des « âmes sœurs » sinon ils n’auraient

Pas besoin de se dévoiler, de se faire connaitre.

Les amants peuvent être plusieurs,

L’âme sœur demeure unique !

.

Ame sœur, pourquoi pas cœur frère, esprit arbitraire :

Rien de corporel, ni de sensuel, ni de sexuel la dedans

Rien que de l’intention, de la conscience, de la quête

De quelque chose d’invisible et pourtant palpable

Pour peu qu’on la reconnaisse, bien aimable !

Si les corps ne peuvent fusionner totalement

Qu’en est-il au sujet des esprits et des âmes

Devra-t-on convoquer ici la métaphysique

Ou quelque chose d’autre d’aussi magique

Tant, si quelqu’un possède la clé des songes

De l’autre, réciproquement : c’est âme sœur.

.

Fragments 

.

L’âme sœur peut être illustrée

Par image de serrure  et de clé,

Et autant, chaussure à son pied,

Habit vous allant comme un gant

Mais ici, c’est aussi cœur et esprit

Une projection subtile et intuitive !

.

Le sexe, l’âge,  et l’apparence, jouent

Un rôle évident dans cette rencontre,

Mais dans l’absolu, y a pas de limites,

Lors il s’agit d’âmes, tout est possible :

Âmes jumelles ont autres pertinences !

.

Comme l’intuition  d’avoir  une histoire,

Une personnalité  et  un destin commun,

Que l’autre serait  une moitié manquante

De soi-même à former tout indissociable.

.

Il arrive que l’on se trompe, pari stupide,

Ou que l’âme convoitée soit déjà mariée :

Une question de tempo, ou attendu trop.

.

Si l’on divorce d’une âme, perçue sœur,

Qui vous dit que prochaine est la vraie.

.

Je n’y crois pas … mais pourquoi pas !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Âme sœur,

Ou, âme clone,

Voire âme jumelle

Appelez-là  comme

Bon   vous  semble,

Elle  vous   adopte,

Et vous rassemble

En seul  bonheur.

Et, de la trouver,

Sera  une quête,

Une   conquête.

 Amour : vérité,

Non  charité,

Opportunité

Fusi-onnés,

Lors  pour

Toujours

Jours

V

.

TROUVER

C’est se trouver une amie —————————————-

Qui pense comme vous —————————————–

Qui vit comme vous : ——————————————

Jumeau et jumelle. ——————————————

 .

SON ÂME-SOEUR

C’est faire fi de la différence

D’âge, de métier ou statuts,

Ou contraire, semblables

En tous points égaux.

 .

VEUT DIRE

———————————C’est penser à quelqu’un

———————————-Comme par télépathie,

———————————-Souffrir comme lui,

————————————-Longueur d’onde.

 .

QUOI 

C’est sublimer son sexe

Pour éviter complexes

Situations, jalousies,

Si l’autre est pris.

 .

AU JUSTE 

C’est tout cela à la fois —————————————–

Même plus que cela : —————————————

Ça ne se décrit pas, —————————————

Ça vient et ça va. —————————————

.

Forme

.

.

Évocation

.

Petit trophée comme une âme

Et posé sur un grand piédestal

Boite magique, représentée ici

Avec sa clé très personnalisée.

.

682 4

.

Petit trophée comme une âme

Et posé sur un grand piédestal

Boite magique, représentée ici

Avec sa clé très personnalisée.

 .

 Symbolique

 .

Ame sœur demeure un concept

Qui évoque compatibilité amoureuse

Qui serait parfaite entre deux individus.

L’expression passée en le langage courant,

A définitions variables, ramenant toutes

Idée selon laquelle individus ont pour

Destin de constituer un couple.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

682 6

.

Je croyais que l’âme n’avait pas

De sexe, ni sexualité :

Une boite magique, avec sa clé,

Ame sœur l’ouvrira !

 .

Symbolique

 .

Le symbolisme de la clef

          Est en relation avec son double

              Rôle d’ouverture et de fermeture.

 

            C’est à la fois un rôle d’initiation

     Et parfois  de discrimination

  Dans les contes et légendes

   Trois clefs sont mentionnées

                     Pour ouvrir trois chambres secrètes :

                       Clef d’argent ; clé d’or, clé de diamant.

 

                    La clef est symbole mystère à percer,

               De l’énigme laborieuse à résoudre,

               De l’action difficile à entreprendre,

        Bref, des étapes qui conduisent

           À l’illumination et la découverte.

 .

Fond/forme 

 .

L’âme de quelqu’un ou de quelqu’une

Demeure difficile à ouvrir sans sa clé,

Comme mot de passe, amour ne suffit.

Il faudra chercher, trouver, la solution

En sa propre ouverture et son intimité.

.

On pensera au sexe mais c’est du cœur

Et de l’esprit qu’il s’agit, en leur secret

L’âme-sœur détient une clé identique

Lors âmes fusionnent avant corps

Et débordent de tous les bords.

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681 – Descente d’avion, l’émotion monte d’un ton

 Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

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Poème

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Attendre, un long temps,

L’aimée, et puis,  soudain,

L’on en devient … certain :

Émotion vous submergera,

Lors l’arrivée de son avion,

Et lors il roule au parking

Et  lors la porte s’ouvre,

Et lors  elle  apparait

Et salue de la main

En petit aéroport

Et pour lui dire

«Me voilà enfin.

.

À descente de l’avion

L’émotion monte d’un ton.

Voici venu le dernier moment

Depuis le temps que je l’attends,

Et la voilà qui franchit cette porte

Qui, jusque-là, la séparait, de moi !

.

Je sens que  mon cœur  m’emporte,

Et, que mon sang se dérobe, de moi.

Elle me parait plus jeune, détendue,

Moi qui l’ai vue pourtant toute nue,

Je me sens incertain la reconnaitre

Peut-être revient-elle  de renaitre,

D’une autre façon, autre raison,

Qui change tout à ma passion,

Plus forte …  plus différente,

Selon une autre … entente.

.

Mon aimée est unique :

La vie est fantastique

Ensemble pratique

Entrée magique

Revoir  enfin

L’ai-mée :

Di-vine,

Sera,

Est

V

.

Extensions

 .

Émotion brute et forte, s’il en est,

L’attente de quelqu’un d’important,

Représente chose essentiel, à ses yeux.

Tant ce ne sera pas tant d’arriver vivant.

Il n’est plus le temps où c’était l’aventure,

Que d’être pressé qu’il ou elle soit là, enfin

Et qu’on puisse faire des choses ensemble,

Profiter de l’air du temps  qui passe, sans

Se soucier de tout et de rien, lendemain.

.

Tout d’un coup, on l’aperçoit, du moins

Dans  les  petits aéroports, par la vitre,

Descendre l’escalier à l’avant de l’avion

Et marcher sur le tarmac, vers un hall.

Il lui reste encore à récupérer sa valise,

Ce qui peut prendre  un certain  temps,

Voire un temps certain, après la douane,

La voici, rayonnante, cherchant des yeux,

Qui, son compagnon, un ami … un parent.

C’est, toujours, un bon moment d’émotion.

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Les voyageurs se dispersent, vous voilà seuls,

En un sas vous ramenant à la réalité du terrain

Il faut prendre un bus, ou un taxi, faire la queue,

Mais à présent que vous êtes deux, temps d’attente,

Ne compte plus car vous êtes certain d’y être, arrivés,

Il arrive que l’avion ait du retard, qu’il soit détourné,

Par suite  de  vent violent, d’orage, ou de brouillard,

Parfois  même  faire demi-tour : il n’y a qu’une fois

Qu’avion a touché le sol de piste, qu’on peut dire

Qu’on est arrivé, au bon endroit, bon horaire.

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L’avion est connu comme le transport le plus rapide, sûr.

On peut le constater après son atterrissage mais pas avant

C’est quitte ou double, ou presque : on a vu des sauvetages !

Mais quoiqu’il en soit, l’équipière qu’on attendait est bien là,

C’est cela l’important, l’essentiel, pour nous, derrière  la vitre

Et ce n’est pas n’importe qui, c’est ma moitié tout de même

Et si elle vient me rejoindre cela signifie qu’elle… m’aime.

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Les aéroports sont lieux d’envols, atterrissages,

Tout autant de stress, plaisir, émotion, passage.

Si l’on est souvent  accompagné, pour le départ,

L’on sera encore plus attendu lors d’une arrivée.

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Les embrassades et signes d’adieu sont courants

D’autant qu’avion a du retard, suite intempéries.

On a beau dire que c’est le transport le plus sûr :

Il suffit d’une fois, c’est la faute à pas de chance.

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Fragments 

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Il resterait toujours, et quelque soient

La fréquence et la sureté des voyages :

Fond d’inquiétude, parfois d’angoisse,

Et bien plus encore en trajet en avion.

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Lorsque l’annonce arrivée  imminente,

Vient de se faire, en attente  quelqu’un,

On est grandement soulagé d’un doute,

On va pouvoir souffler de le rencontrer.

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Et voilà qu’elle se présente  sur l’escalier

De descente, avec ses bagages… au pied.

C’est bien elle, c’est sûr : l’on croit rêver,

Et l’on sent son cœur  battre la chamade

.

Elle ne sait pas  que  quelqu’un  est venu,

Pour  la  chercher,  aussi,  au moment  de

Commander un taxi,  se montre surprise,

Que quelqu’un l’appelle par  son prénom.

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Elle fond dans ses bras,    elle l’embrasse,

Touchée par cette délicate   …  attention.

C’est la moindre des choses, diriez-vous,

Bientôt serez de la famille … après tout.

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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 Calligramme

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Attendre, un long temps,

L’aimée, et puis,  soudain,

L’on en devient … certain :

Émotion vous submergera,

Lors l’arrivée de son avion,

Et lors il roule au parking

Et  lors la porte s’ouvre,

Et lors  elle  apparait

Et salue de la main

En petit aéroport

Et pour lui dire

«Me voilà enfin.

.

À descente de l’avion

L’émotion monte d’un ton.

Voici venu le dernier moment

Depuis le temps que je l’attends,

Et la voilà qui franchit cette porte

Qui, jusque-là, la séparait, de moi !

À   SA   DESCENTE   D’AVION,

Je sens que  mon cœur  m’emporte,

Et, que mon sang se dérobe, de moi.

Elle me parait plus jeune, détendue,

Moi qui l’ai vue pourtant toute nue,

Je me sens incertain la reconnaitre

Peut-être revient-elle  de renaitre,

D’une autre façon, autre raison,

Qui change tout à ma passion,

Plus forte …  plus différente,

Selon une autre … entente.

L’ÉMOTION   MONTE

Mon aimée est unique :

La vie est fantastique

Ensemble pratique

Entrée magique

Revoir  enfin

L’ai-mée :

Di-vine,

Sera,

Est

V

.

Forme

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.

Évocation 

.

Ça peut être une pointe

De lance ou de flèche,

Ou encore une toupie

Descente d’avion ?

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681 4

.

Pour une descente d’avion,

C’est une descente, en piqué :

Mais, il s’agit ici, de sa sortie,

Par un escalier mécanique !

.

Symbolique 

.

L’avion est en relation avec

 L’élément air,  le monde mental.

Puisqu’il est plus lourd  que l’air,

Il a besoin  d’un moteur  puissant

Pour décoller, pour  voler, et cela

Qui  se traduit, symboliquement,

Par  une  grande  volonté  pour

S’élever dans monde pensées.

Voyager en avion  consiste,

En situation  concrète,

D’aller  en  pensées

Pour se diriger

Vers nouvelle

Région  de

Consci

Ence

V.

source : ucm.ca/fr/symbole-avion

.

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Fond

 .

Évocation 

.

.

Pour une descente d’avion,

C’est une descente, en piqué :

Mais, il s’agit ici, de  sa  sortie,

Par un escalier mécanique !

 .

Symbolique 

 .

En général, la présence

Dans le rêve des escaliers

.

Qui sont descendus, représente

Une sorte de changement de vie.

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Les descendre en monte la facilité

À l’inverse de monter des escaliers.

.

L’escalier peut aussi représenter un

Moment de changement  au  niveau

.

Spirituel,  transformation    intérieure

Qui,   en  tant  que tel,   peut   être  vécu

 .

Avec   une      certaine       appréhension.

Dans  ce  dernier  cas, le rêve peut être lu

 Comme besoin de repenser son chemin de vie.

le-temple-du-sommeil.fr/blogs

blog/rever-descendre-escalier

 .

 .

 Fond/forme 

 .

S’il n’y a pas d’escalier dans l’avion

Il y en a parfois un pour la descente

Des passagers et des fois même deux

 Un pour ceux de l’arrière et de l’avant

Quand on voit sa femme  l’emprunter,

Son cœur se met à battre, fébrilement,

On est sûr au moins qu’elle est arrivée,

Que c’est juste une question de moment

Pour la serrer dans ses bras d’amant !

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