680 – Demain résonne comme coup de tambour

Visuels et textuels  >>

.

Demain résonne en moi comme un coup de tambour,

Demain raisonne en moi comme un autre dernier jour,

Où la chance me sourit de pouvoir rencontrer des amis

M’invitant, m’incitant ajouter nouveau jour à ma vie.

Une fois qu’on a dit cela : de quoi sera-t-il fait :

Sans doute, de la même chose que hier.

.

En tous cas, à peu de chose près,

Presque  tout  aussi  imparfait,

Que je le suis, que je l’étais.

Demain, est un autre jour,

Demain,  coup de tambour,

Demain serait  autre amour,

Demain sera contre ou pour.

Selon rencontre opportunité

Ou selon sa propre volonté,

Mais qui ne flanchera pas.

.

Tant la roue tourne, disent

Les  bonnes  gens,  lucides,

Dernier   coup  de tambour,

Marque la mort sans retour.

Mais que m’importe dès lors

Que je le suis  et serai encore

Jusqu’à la veille  de ma mort

Et, qu’il n’y a pas  d’amours

Même ne durant que jours

Sans lendemain toujours,

Qui vaillent d’être vécus.

 .

Demain, je verrai… demain, je toucherai…demain, je saurai

Qui, de moi, ou, d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré,

Sur le fil rouge  et vif, que l’on tissera, ou que l’on coupera.

Demain l’espoir s’installera ou pour longtemps, sombrera.

Demain  m’étonne  de ses nouvelles envolées, inespérées,

Demain détonne des nouvelles rencontres, énamourées,

Où les chances d’être à deux transpercent ma solitude

Me disent, clament rien n’est comme d’habitude.

 .

Une fois cela dit : de quoi l’autre est-il fait,

De  même chose  que moi  à peu près

Ou, de compléments, d’un choix,

Qui en ferait une reine, un roi.

Lors ce nouvel être pourrait

Me sortir de …  mon antre,

Me faire rentrer d’un puits

Sans fond  …  sans ventre,

À me perdre  en elle ou lui,

À moins  que  l’on ne me fuit,

Par défaut d’être quelqu’un parfait.

 .

Demain, je verrai, demain, je toucherai, demain, je saurai,

Qui de moi ou d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré.

Il n’y a pas, d’autre voie dans la vie que, de choisir d’être

Ce que l’on est et on ne le saurait que bien tard peut-être.

.

.

Extensions

 .

Ah, demain,

Encore demain,

Toujours demain,

Comme  si  demain

Était puits sans fond,

Un puits sans fin pour

L’espoir de devenir ce

Qu’on a rêvé d’être !

Coup de théâtre,

Coup de tambour,

Le destin ou je ne sais

Qui ni quoi aura décidé

Qu’il en serait  autrement

Et tant pis pour ma pomme

À moins  qu’autre   occasion

Similaire se présente à moi

Un autre jour et ailleurs !

.

Le bruit du tambour évoque, souvent, une guerre

Ou exécution capitale en place publique, naguère.

C’est une bien pale imitation du tonnerre sur terre

Mais elle ferait son office, comme colère de Jupiter

Qui décide de punir les humains pour leur conduite.

.

Coups de tambour et coups de théâtre

Vont ensemble, sonnez les trois coups.

Il y en a qui les cherchent et attendent

Lors autres les craignent ou détestent.

.

Il faut dire aussi qu’il y a des bonnes,

Et des mauvaises surprises, tambour

Battant, qui arrivent à tout moment

Et qui perturbent emploi du temps !

.

Coup de foudre  comme  de tambour,

Demain devient comme nouveau jour

Il résonne, en tête, comme un amour,

Dont souvenir marque pour toujours.

.

.

680 – Calligramme

.

Demain résonne en moi comme un coup de tambour,

Demain raisonne en moi comme un autre dernier jour,

Où la chance me sourit de pouvoir rencontrer des amis

M’invitant, m’incitant ajouter nouveau jour à ma vie.

Une fois qu’on a dit cela : de quoi sera-t-il fait :

Sans doute, de la même chose que hier.

.

En tous cas, à peu de chose près,

Presque  tout  aussi  imparfait,

Que je le suis, que je l’étais.

Demain, est un autre jour,

Demain,  coup de tambour,

Demain serait  autre amour,

Demain sera contre ou pour.

Selon rencontre opportunité

Ou selon  sa propre volonté,

Mais qui ne flanchera pas.

.

Tant la roue tourne, disent

Les  bonnes  gens,  lucides,

Dernier   coup  de tambour,

Marque la mort sans retour.

Mais que m’importe dès lors

Que je le suis  et serai encore

Jusqu’à la veille  de ma mort

Et, qu’il n’y a pas  d’amours

Même ne durant que jours

Sans lendemain toujours,

Qui vaillent d’être vécus.

.

DEMAIN RÉSONNE 

Demain, je verrai… demain, je toucherai…demain, je saurai

Qui, de moi, ou, d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré,

Sur le fil rouge  et vif, que l’on tissera, ou que l’on coupera.

Demain l’espoir s’installera ou pour longtemps, sombrera.

Demain  m’étonne  de ses nouvelles envolées, inespérées,

Demain détonne des nouvelles rencontres, énamourées,

Où les chances d’être à deux transpercent ma solitude

Me disent, clament rien n’est comme d’habitude.

.

COMME UN COUP

Une fois cela dit : de quoi l’autre est-il fait,

De  même chose  que moi  à peu près

Ou, de compléments, d’un choix,

Qui en ferait une reine, un roi.

Lors ce nouvel être pourrait

Me sortir de …  mon antre,

Me faire rentrer d’un puits

Sans fond  …  sans ventre,

À me perdre en elle ou lui,

À moins que l’on ne me fuit,

Par défaut d’être quelqu’un parfait.

.

DE TAMBOUR 

Demain, je verrai, demain, je toucherai, demain, je saurai,

Qui de moi ou d’elle, sera plus instable, plus déséquilibré.

Il n’y a pas, d’autre voie dans la vie que, de choisir d’être

Ce que l’on est et on ne le saurait que bien tard peut-être.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

680 4

.

Une fontaine

Avec des jets d’eau

Coulant    tout autour,

Ou tambours superposés

.

Les formes et les fond divergeront

entre un tambour et une fontaine,

en outre sont différents leurs sons

lors forme et fond ne s’accordent.

.

Une fontaine qui coulerait, en continu,

Paisiblement

Est contraire même du coup de tambour

 Tonitruant !

.

Symbolique

.

La fontaine

Symbole de l’immortalité,

De la purification et de la régénérescence.

La fontaine de jouvence est une fontaine mythique

Dont l’eau à le pouvoir de régénérer le corps et l’âme

De celui qui la boit.

.

Ainsi, elle guérit toutes les maladies

Et les chagrins et par ce fait rend immortel

Plusieurs mythes font références à cette fontaine.

.

Par exemple, dans la mythologie

Romaine, Jupiter transforme la nymphe

Jouvence en une fontaine qui a la vertu de rajeunir.

Source : 1001 symboles

.

Descriptif

.

680 – Demain résonne comme coup de tambour 

  Alignement central    /  Titre  intercalé   /  Thème    force

Formes courbes / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : fontaine / Symbole de fond : tambour

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

Une fontaine qui coulerait, en continu,

Paisiblement

Est contraire même du coup de tambour

 Tonitruant !

.

Symbolique 

 .

Le tambour

Est instrument de

Musique à percussion.

Le battement du tambour

Évoque  les rythmes  de la vie.

Il symbolise battements du cœur

Ainsi que battement de la terre.

Régularité de son battement

Agit comme un vecteur

D’ondes  permettant

Chamans d’entrer

État de transe.

1001symboles.net/symbole/

sens-de-tambour.html

 .

.

 Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

La fontaine est un symbole universel

Du fait de source, écoulement perpétuel

Et autant du fait  que  l’eau qu’elle recèle,

Nourrit, guérit, adoucit douleurs réelles,

Et de là, à rajeunir, il n’y a qu’un mythe.

.

Elle n’aura rien à voir avec un tambour

C’est tout le contraire, tout en fluidité,

Le tambour tonne, la fontaine coule :

Contraste temps fort et temps mort.

 .

.

Vrai qu’il suffit d’attendre

.

Scénario

.

Un premier tambour, mais sans support

puis un deuxième tambour, sur son support,

et un troisième : trois formes et sons différents !

 .

Visuels et textuels  >>

679 – Comment conter fleurette à une… alouette !

Visuels et textuels  >>

.

C’est  belle expression

Ancienne, romantique

D’avant   la   évolution

Moderne   et  sexuelle,

Reprise    aujourd’hui,

Pour tenter sa chance

Près d’une  inconnue.

.

Auprès d’une alouette

Et qui passait   par là

Qui se trouvait seule

Perçue    en    proie.

.

Facile,   disponible

Libre de s’éloigner

Monter très haut,

Être inaccessible.

.

Raconter sans filet sans procès, regret,

Écrire ces mots  sans apprêt, sans effet,

Finir comme cela, hasard vite bien fait,

Histoire de voir s’ils sont bien parfaits.

.

Parfaits pour vous en conter, fleurette,

Heure étant dédiée  au plaisir  et  fête,

De vous raconter  la  belle  amourette,

Vous plaisant à vous mettre  en quête

D’un amour fou  qui vous  consolera,

De tous  prétendants  qui,  à tout va,

N’ont que sexe, en tête,  sur vos pas.

.

Croient que, votre cœur leur cédera,

Or votre cœur est comme forteresse

Qu’on ouvre  que  par  des caresses,

De votre âme, ou par ruse,  finesse,

D’un écrit qui aura trouvé adresse.

.

Trois, cent, mille,  un seul  parmi,

Un seul franchira votre pont levis,

Il en est ainsi que mille,  en esprit,

Cent, dans votre cœur,  trois en lit.

.

Vous, lui, l’amour qui  vous  réunit,

La place sera prise, voilà qui réjouit

Un amour déçu qui n’attendait plus

De la vie que  temps de survie vécue

En l’ombre  d’un destin, entraperçu,

Tardant à  venir, ne serait pas venu.

.

Eh bien non, l’on recommence tout,

L’amour n’est pas ainsi, est partout,

Celui-là, autre, il faut   qu’il soit fou,

Pour vous aimer, malgré lui et vous.

.

Voilà j’ai fini ma chanson, sœurette,

À quoi vous servirait d’être coquette,

Si vous ne l’apprenez,  restez muette,

Alors qu’autour, amour  vous guette,

Sans filets, sans procès, sans regrets.

.

.

Extensions

 .

Faire la cour, ou bien conter fleurette,

On n’emploie plus ces expressions

Aujourd’hui, devenues désuètes

Après  la révolution  sexuelle,

Bien que le souci et besoin

D’être désirée demeure.

On  parle  de « flirts »

Pour   des   caresses,

Et des embrassades,

On parle de « passe »

Relation sexuelle tarifée,

Et  on parle  de « plan Q »

Pour une envie  de conquête

Le soir même, dans son au lit :

Tout cela n’aura rien d’engageant,

Ressemble passe-temps ou gâterie.

.

Amour, amourette … confusion des émotions, des sentiments ?

Allez savoir, allez comprendre, allez moraliser

Y- a-t-il tromperie intention, objet, marchandage, marchandise

Et le sait-on plus qu’avant, que pendant, après

Toujours est-il que, consentants, qu’y aurait-il de grave à redire !

.

 Aventure, badinage, caprice, idylle,

 Intrigue, liaison, passade, béguin,

 Flirt, tocade, voire  toquade, etc.

Sont synonymes d’amourette.

.

L’amourette serait éphémère

Sans suite ni conséquences,

Une sorte de banc d’essais,

Pour savoir qui nous plait

.

Lors à ce qu’il nous évoque,

Si consentement, réciproque,

Il n’y a rien en cela qui choque :

Qu’un faux amour qu’on convoque.

.

.

679 – Calligramme 

 .

C’est l’expression………..……

Ancienne et romantique…….……

       D’avant   V     la révolution…………..……

    Moderne      A   et …… sexuelle…….………

     Et reprise        *          aujourd’hui…….………

Et pour tenter  D        sa chance…….……

Près d’une          O       inconnue…………

Auprès d’une     N     alouette…………

   Et qui passait    C       par là…………

 Qui se trouvait *   seule………

Perçue  en   proie…………

       Facile, disponible…………

            Libre de s’éloigner…………

             Monter   très haut…………

                Etre inaccessible. …………

.

Raconter sans filet  C    sans procès, regrets,

Écrire ces mots       O    sans apprêt sans effet

Finir comme cela    N   au hasard vite bien fait

Et, histoire de voir   T     s’ils sont bien parfaits.

Parfaits pour vous    E         en conter, fleurette,

Heure étant dédiée    R           au plaisir  et  fête,

De vous raconter la     *           belle  amourette,

Vous plaisant à vous    F          mettre en quête

D’un amour fou qui       L       vous consolera,

De tous  prétendants       E      qui, à tout va,

N’ont que sexe en tête,     U      sur vos pas,

Croient que, votre cœur     R   leur cédera,

Or votre cœur est comme    E   forteresse.

Que l’on ouvre que par des  T   caresses,

De votre âme, ou par ruse   T      finesse

D’un écrit qui aura trouvé  E   adresse.

.

Trois, cent, mille,  un seul parmi,

Un seul franchira votre pont levis,

Il en est ainsi que mille,  en esprit,

Cent, dans votre cœur,    trois en lit.

.

 Vous, lui, l’amour       À  qui vous réunit,

La place sera prise    *   et voilà qui réjouit

  Un amour déçu,     U      qui n’attendait  plus

    De la vie que        N         temps de survie vécue

         En l’ombre         E             d’un destin, entraperçu,

          Tardant à            *             venir, ne serait pas venu.

           Eh bien non,       A                 l’on recommence tout,

            L’amour n’est      M                pas ainsi, est partout :

            Celui-là, autre,       O                il faut   qu’il soit fou,

            Pour vous aimer,     U                  malgré lui et vous.

             Voilà j’ai fini ma        R                chanson, sœurette

            À quoi vous servirait   E                 d’être coquette,

           Si vous ne l’apprenez,   T                restez muette,

      Alors qu’autour, amour  T              vous guette,

      Sans filets, sans procès   E              sans regrets.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

679 4

.

Silhouette d’amourette  

Jeune,  et belle,  de profil,

Habillée avec  frous-frous 

Pour dessous de caractère

.

Pour sûr, amourette, caractère

amoureux et très vite emballé

vont de pair et vers impair,

ainsi forme évoque fond.

.

Superbe amourette, et avec dessous

Et avec des frous-frous :

Mais ne vous y fiez pas tant elle aura

Sans nul doute caractère.

.

Symbolique 

 .

Attachement passager,

Généralement exempt de passion,

Volontiers frivole, pour une personne.

C’est  un  homme  qui  aurait toujours,

Quelque amourette (Ac. 1835-1932);

Ses  amourettes  lui  feront du tort,

Dans  le monde  (Ac. 1835-1932)

Synonyme : caprice, fredaine,

Flirt,  séduction  éphémère…

www.cnrtl.fr/definition/amourette

.

Descriptif

 .

679 – Va donc conter fleurette à une amourette 

  Alignement central     /    Titre  oblique     / Thème    illusion

Formes anthropo / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : amourette / Symbole de fond : caractère

.

Fond

 .

Évocation 

.

679 6

.

Superbe amourette, et avec dessous

Et avec des frous-frous :

Mais ne vous y fiez pas tant elle aura

Sans nul doute caractère.

.

Symbolique 

.

Les femmes à fort caractère

Sont des femmes sûres d’elles

Du moins d’après apparences.

Volontaires, parfois elles sont

Très organisées dans leur vie

Professionnelle comme privée.

.

Elles ont une personnalité forte,

Savent ce qu’elles veulent et vont

«Droit au but » : dans leur séduction

Elles  adoptent  une position  active

Elles choisissent leur bon partenaire.

En couple, elles prennent des initiatives

Aiment imposer leur rythme au partenaire.

love-intelligence.fr/La-femme-a-fort-caractere-en-amour

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Amour passager et sans conséquence

Amour courtois et avec bienséance

Amour sur l’instant, platonique

Autant d’éphémères idylles,

Et qui n’engagent à rien

Autant dire qu’elles

N’ont d’existence

En conscience

Voire, sexe !

 .

.

Marmonne et marmotte

.

Scénario

.

Vision peintre cherchant à séduire la femme au naturel en alouette.

Vieillard cherchant à séduire jeune soubrette, en pièce de théâtre.

Comme une alouette : pas aussi facile qu’il y parait, à séduire !

 .

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678 – Folie de croire que quelqu’une puisse m’aimer

Visuels et textuels >> 

.

Je me dis que c’est folie, de croire

Que quelqu’une puisse m’aimer,

Pour moi-même, pour histoire,

De me découvrir,  m’apprécier

Chacune,   à part   exceptions,

Cherchera  son propre intérêt,

D’abord, et, avant toute chose,

Soumettant ainsi, à sa passion,

Le blanc et le noir, après le rose,

Communauté réduite aux acquêts.

.

Ce  genre  de

Folie survient

Brusquement,

La folie ne dure

Que court instant,

Et fait, de vous, un pur

Un tendre, un merveilleux,

Amant et ce, jusqu’aux cieux

Dont  on tombe   lors, advient

Rupture si elle aura  bien lieu !

.

J’aimerais bien  connaitre état

Quel qu’en soit le prix à payer,

Quel que soit tel amour raté

Je pourrais  m’en féliciter,

Au cas contraire c’est seul

Avec moi-même resterai

Pour un temps éternité

Si ma vie s’était passée

Sans   pouvoir  aimer.

.

Je me dis, que c’est folie, de croire

Qu’on peut vivre amour sans histoire,

Souvent, et avant même de commencer,

On entame un procès en non-réciprocité,

Suivi, d’un autre, plus fort,  en non-égalité,

Pour terminer  sur le dernier en non-fidélité.

.

Sans projet  commun, les liens dans  la durée,

Peinent à se renforcer, commencent à s’étioler

Lors l’on se retrouve, l’un dans l’autre, coincés,

Par amour n’ayant que sexe en rapport penser.

.

Amour serai un attachement plus que fidélité,

Attachement  permanent, sans en discuter,

Fidélité s’en va, s’en vient, en instabilité,

Jusqu’à ce qu’à la fin, le pot est cassé.

.

.

Extensions

 .

Le sexe est un aboutissement

D’un concert comportements,

Rapprochements deux esprits,

Et cœurs, inspirant une union.

.

C’est une folie que de m’aimer :

Ce n’est pas tant que je le mérite,

Folie est par définition subjective,

Socialement  non soumise à raison.

.

Pourquoi moi plus qu’autre, question

J’admets  qu’on   m’aime, comme  cela

En passant,  pour  essayer,  en  profiter,

Mais intensité, durée, sont inexplicables.

.

S’il est vrai qu’on se présentera, à l’autre,

Sous son meilleur jour en trichant un peu

Pour que colle prenne, qu’on se soutienne

Sa tenue durant toute l’année à venir

N’est pas garantie, reste à tester !

.

Deux cœurs indifférents, plutôt gris et froids, sur du sable : instabilité.

Deux cœurs qui se rapprochent, croient en amitié possible : attractivité ;

Deux cœurs faut-il croire que paix entre eux soit souhaitable, raisonnable

La question n’est pas qu’on s’aime, qu’on s’aime pas : comment et pourquoi

Et là la réponse, qui l’aura, ce n’est que longtemps après, on comprendra

Qu’on est pas sur même longueur d’onde : ça ne peut marcher, durer,

C’est folie de croire qu’autre changera de même manière que moi.

.

Du moment que par une mère l’on ait été aimé,

Autre femme, aussi inspirante peut vous aimer :

C’est le modèle premier, le socle de votre altérité.

.

Si on en a pas, comment étant adulte, l’imaginer.

Il est bien tard pour oser croire en une telle folie :

On ne peut donner, échanger que ce qu’on a reçu.

.

Du sexe, c’est sûr, l’on peut en trouver… en abuser

Mais de l’amour réciproque et à ce point très fort :

Si on n’a pas stocker son sentiment : laisse tomber.

.

.

678 – Calligramme

 .

Je me dis que c’est folie, de croire

Que quelqu’une puisse m’aimer,

Pour moi-même, pour histoire,

De me découvrir,  m’apprécier

Chacune,   à part   exceptions,

Cherchera  son propre intérêt,

D’abord, et, avant toute chose,

Soumettant ainsi, à sa passion,

Le blanc et le noir, après le rose,

Communauté réduite aux acquêts.

.

****************************

***********************

.

Ce  genre  de

Folie survient

Brusque  F ment,

La folie     O     dure

Que court    L   instant,

Et, fait, de      I     vous, pur

Un tendre, un    E    merveilleux,

Amant et ce, jus   *      qu’aux cieux

Dont on tombe       D         lors, advient

Rupture  si elle       E          a  bien lieu !

J’aimerais bien     *       connaitre état

Quel qu’en soit   C    le prix à payer,

Quel que soit   R   un amour raté

Je pourrais    O   m’en féliciter,

Au cas cont  I  raire, c’est seul

Avec  moi  R même resterai

Pour un   E temps éternité

Si ma vie     s’était passée

Sans     pouvoir    aimer.

.

Je me dis,  *  que c’est folie, P  de croire

Qu’on peut   Q  vivre amour   E  sans histoire,

Souvent, et avant  U     même   U   de commencer,

On entame un procès  E       en        T   non-réciprocité,

Suivi, d’un autre,     L        plus fort,     *     en non-égalité,

Pour terminer      Q     sur le dernier en      M    non-fidélité.

Sans projet     U     commun, les liens dans    ‘       la durée,

Peinent à      ‘     se renforcer, commencent à   A    s’étioler

Et, l’on       U    se retrouve, l’un dans l’autre   I   coincés,

Par amour  N n’ayant que sexe en rapport M   penser.

Amour est  *    attachement plus que    E    fidélité.

Attachement  *  permanent sans    R    discuter.

Fidélité s’en va, s’en vient, en instabilité,

Jusqu’à ce qu’à la fin, le pot est cassé.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

678 4

.

Trois formes superposées

Propos éclairé et éclairant

 À la lumière d’une lampe,

Qui le sait voire qui le saura ?

.

Lampe et lumière vont ensemble

éclaire conscience, il me semble

empêche folie de nous gagner,

lors sa forme évoque le fond.

.

La lampe à pétrole serait une

Des lumières de l’amour :

Elle brille pour qui, y croit et le

Cherche, passionnément.

.

Symbolique 

.

Qu’il s’agisse de lampe

À huile, à pétrole ou d’une

Lampe moderne, électrique,

Elle  symbolise  l’énergie  que

Nous contrôlons, maîtrisons.

C’est la lumière intérieure,

Rassurante et simple,

Une connaissance

Étant transmise

Par l’environnement,

Celle que chacun reçoit en

Naissant et dont il a besoin.

En certains rêves symbolisme

Est proche de celui de la bougie.

Tristan-moir.fr/lampe

.

Descriptif

 .

678 – Folie de croire quelqu’un peut m’aimer

  Alignement central  / Titre  courbe cercle / Thème matière

Formes en rond / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

678 6

.

La lampe à pétrole serait une

Des lumières de l’amour :

Elle brille pour qui, y croit et le

Cherche, passionnément.

.

Symbolique 

.

Les frontières restent indécises

Entre la lumière   symbole

Et  la lumière  métaphore.

La lumière demeure mise

En relation avec obscurité.

.

La lumière succède aux ténèbres.

Si la lumière solaire meurt chaque soir,

Elle renaît chaque matin, assimilant  le destin

De l’homme à sa pérennité et sa puissance.

.

Les psychologues, et analystes,

Auraient observé qu’à l’ascension

Sont liées, des  images  lumineuses,

Accompagnées d’un sentiment d’euphorie,

Tandis qu’à la descente, des images sombres,

Accompagnées par des sentiments de crainte.

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

Folie, et euphorie, et dépit

Sont proches phonétiquement

Lumière provoque l’euphorie

L’ombre provoque le dépit

C’est la vie, c’est ainsi.

Lampe est aussi énergie

Avec réservoir quasi infini

Et qui éclaire toute notre vie

De sa lumière d’un amour béni.

 .

.

Fol amour, bien raisonnable

.

Scénario

.

Un gros cœur à côté d’un petit : ma foi, c’est plutôt raté !

Qu’est-ce qui te fait croire que tu pourrais être un ami.

 Désolée, mais tes mots n’ont pas ce sens-là pour moi !

 .

Visuels et textuels >> 

677 – Femmes : on vous adore plus qu’on vous hait

Visuels et textuels  >>  

.

Femme, l’on vous adore

Bien plus qu’on ne vous hait

Au singulier  …  tout d’abord,

Et au pluriel  si l’on vous plait.

En  femmes, forcément  ténors,

Dans notre monde  trop  surfait,

Si boussole  aura  perdu le Nord,

En intentions qui vous attraient.

En  femmes,  on   vous  honore,

En vos alcôves, en vos secrets,

Que volontiers nous confiez

Comme à un grand benêt.

.

Oh femme, l’on vous adore,

Lorsque vous vous fâchez,

À finir de rire de vos torts,

Lors, trop  nous chicanez.

Femmes, on  vous dévore

Des yeux, mains  et dents.

.

On  est  quelqu’un,  en or,

Nous traiterez, en amant :

Femmes, à raison ou tort,

Nous privez  de notre cap,

Lors pulsion nous attrape,

Nous confinerez votre port.

.

En  femme,  on   vous  adore

Bien que sachant qui vous êtes

Et en femmes, l’on  vous  dévore

Vos rencontres  égalent nos fêtes !

.

Avec vous, y a autant de jouissances

Que de souffrances et de renaissances,

Quand on frise perversion …  indécence

Vite, à notre  place vous  nous  remettez ;

Comptant nos jours de présence, absence,

Vous manque, un peu, mais pas trop, assez.

Femmes,  qu’on vous adore ou vous abhorre

En bateau, tout mâle restera capitaine à bord.

 .

Adorer, aimer, détester, haïr

À en pleurer ou  à  en  jouir

Jeux de mots ou de mains,

À en être gentil  ou vilain

On ne peut s’en passer,

De vous,  malgré tout

Ce que  l’on endure,

À vous aimer/haïr

Car pour en finir

Votre souvenir

Nous  hante

À tel point

Qu’on se

Soumet à

Vos volontés.

.

.

Extensions

 .

Femmes on vous …….adore,

Femmes, on vous abhorre :

Un glissement phonétique,

Qui sépare  ces deux mots

Comme si, l’un et l’autre,

Étaient si proches qu’on

Pourrait  les  confondre

Ou ne pas  les dissocie !

Cela dit,  les  misogynes

Recherchent,   rarement,

La compagnie des femmes

En tous cas ne leur confient

Pas leurs secrets  d’intimités

Sans, pour autant, les ignorer

Totalement, voire les mépriser !

.

La femme, de tous temps, était, est, et restera, multiple et courtisée,

Homme la veut confinée à fins procréatives, utilitaires, contrastées :

Amante et mère d’un côté, pute et ventrière de l’autre, aux extrêmes.

L’hommage à une femme, en tant que déesse, parce trouvé trop belle

Après trois ans de passion, chute de piédestal, est transformée réelle,

 Son image devient blême alors qu’elle avait été, un temps … suprême.

Femme, on l’adore avant qu’on ne la hait, parce que… plus nous plait.

.

On hait ce qu’on a adoré … plus que l’inverse

Même si cela s’est déjà produit, jusque marié :

L’adoration naitrait d’une très haute estimation

La haine naitrait d’une tromperie ou déception.

.

Si l’amour vous fait souhaiter bien des bonheurs

À celui ou ceux que vous aimez le plus au monde,

La haine fait espérer  tous les malheurs possibles

À ceux que vous détestez  comme des toxiques !

.

Ne pas haïr quelqu’un ne suffit pas à l’aimer

Tant de gens nous sont plutôt indifférents

 Haine évoquerait l’ennemi, l’haine-mie

Celui-là dont l’existence, l’on nie.

.

.

677 – Calligramme  

.

   F

Femme, l’on     E        vous adore

Bien plus qu’   M   on ne vous hait

Au singulier    M          tout d’abord,

Et au pluriel   E     si l’on vous plait.

En femmes     *     forcément ténors,

Dans notre   O  monde trop surfait,

Si boussole  N  aura perdu le nord,

En intenti    *   on qui vous attrait.

En femmes  V      on vous  honore,

En vos alcô O  ves, en vos secrets

Que volon   U  tiers nous confiez

Comme à    S    un grand benêt.

      * …………..

    Oh femme    A    l’on vous adore,

  Lorsque       D       vous fâchez,

   À finir de ri O   re de vos torts,

    Lors, trop  R  nous chicanez.

       Femmes    E   on vous dévore

        Des yeux   *    mains  et dents

         On est quel   P     qu’un,  en or,

            Nous traite   L   rez, en amant :

            Femmes, à   U   raison ou tort,

            Nous privez  S     de notre cap,

            Lors pulsion  *     nous attrape,

          Nous confine Q rez votre port.

       U

          En femme            on  vous adore

           Bien qu’on sa  O  che qui vous êtes

           Et en femmes   N     l’on vous dévore

            Vos rencontres    *    égalent nos fêtes !

         Avec vous, y a au  N tant de jouissances

          Que de souffrances E    et de renaissances,

       Quand on frise per   *    version, indécence

         Vite, à notre  place    V vous  nous  remettez ;

      Comptant nos jours   O     présence, absence,

       Vous manque un peu  U     mais pas trop assez.

       Femmes,  qu’on vous a  S    dore ou vous abhorre

     En bateau, tout mâle res  *   tera capitaine à bord.

    H

Adorer, aimer,    A  détester, haïr

À en pleurer      I   ou à en jouir

Jeux de mots  T ou de mains

À en être gentil  ou vilain

On ne peut s’en passer,

De vous,  malgré tout

Ce que  l’on endure,

À vous aimer/haïr,

Car pour en finir

Votre souvenir

Nous  hante

À tel point

Qu’on se

Soumet à

Vos volontés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

La silhouette d’u

vocation 

.

677 4

.

La silhouette d’une femme,

Déhanchée, vue de dos, élégante 

Sinon quoi d’autre, œuvre torturée

Au point  d’être  une  métaphore.

.

La femme comme métaphore :

on peut trouver cela un peu fort

mais elle reste d’un tel transport,

qu’on peut confondre forme fond.

.

Une belle femme, séduisante et fine,

Comme on l’imagine :

Mais elle est peut-être superficielle

Et quelque peu métaphorique.

.

Symbolique

.

La femme a

Une symbolique

Très riche et qui a évolué

Au fil du temps et des cultures.

Toutefois, elle aura toujours évoqué

La fécondité, la pureté, et aussi le vice.

.

Début XXe siècle mouvements féministes

Sont apparus  pour tenter de rétablir

Un équilibre  hommes et femmes,

Et affirmer droits de femmes.

Modifié, source ; 1001 symboles

.

Descriptif

.

 676 – Charme, grâce, ne sont-ils que chimie !

  Alignement central   /   Titre absent    /   Thème matière

Formes en ovale / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : conscience

.

.

Fond

.

Évocation 

.

677 6

.

Une belle femme, séduisante et fine,

Comme on l’imagine :

Mais elle est peut-être superficielle

Et quelque peu métaphorique.

.

Symbolique 

.

« D’où s’attrape la structure ? »

Questionne Lacan dans « Radiophonie ».

La tournure qu’il utilise motive notre lecture :

« Du point où le symbolique prend corps ».

Le « corps  du   symbolique », écrit-il,

« Il faut l’entendre comme métaphore ».

.

« À preuve  que rien que lui  n’isole  le corps,

À prendre au sens naïf,  soit celui dont l’être

Qui s’en soutient ne sait pas que c’est le langage

Qui le lui décerne, au point qu’il n’y serait pas,

Faute d’en pouvoir parler. »

.

« Le premier corps fait le second de s’y incorporer. »

« D’où l’incorporel qui reste marquer le premier,

Du temps d’après son incorporation ».

cairn.info/l-insistance-du-reel

-9782749205687-page-201

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

L’on dit qu’on hait mieux

Ce qu’on a d’abord adoré,

Mouvement de balancier :

Plus haut, l’on sera monté,

Plus fort, l’on s’est trompé,

Plus dure  serait  la chute,

Lors faisant belle culbute,

Sans moindre parachute

Je vous aurai …prévenu.

 .

.

Aime, hait, en boucle

.

Scénario

.

Femme en maillot de bain, vue de dos, bras en croix, sur un ponton ;

la même, au cours d’une de ses nombreuses pérégrinations, en ville :

la même, dans un en face à face privé, tout sourire  et attentionnée !

.

Visuels et textuels  >>  

676 – Si grâce admet que tout est chimie en amour

Visuels et textuels  >>

.

La grâce est-elle quelque chose

De plus  que l’action chimique,

Ou bien de pure cristallisation,

De celle-ci  et pour sa visibilité.

Et charme est-il  quelque chose

De différent d’action  chimique,

Ou, de complémentaire, de l’air,

Qu’elle dégage,  en l’atmosphère.

.

La grâce et charme ont forcément

Un substrat charnel et émotionnel,

Et en deviennent leurs harmoniques

Qui nous feront leurs effets magiques.

.

Et si tout ne s’explique pas par l’attrait

Il nous  faudra admettre  quelque secret,

Qui  nous  échappe, et, qui nous subsume :

La grâce n’est pas  une force  qu’on résume !

..

Si grâce admet  que tout est chimie en amour

Ses fantasmes … comment les mettre au jour ;

Si aucune grâce ne se décrète …  de l’intérieur,

Ne peut  se mesurer, sur sa simple apparence,

Son appréciation ne peut être que subjective,

Dépendante pour partie de son état et objet

Auquel  on voue  son regard, contemplatif.

.

Le charme, si on le définit, par l’attrait,

Somme des traits ne sont pas charme

On dira c’est une chose impalpable

Comme le parfum comme l’aura

Constituée par mille éléments

Et par aucun, en particulier.

.

Et  l’envoutement, comment

Le qualifier de déraisonnable,

Comme un instrument du diable

Pour mettre quelqu’un à sa merci,

Or, il ne serait que fausse perception

De  l’objet, même irréel,  de sa passion.

.

Ces trois qualificatifs    s’appliquent de fait,

D’un point de vue commun  à peu de personnes

Qui dégageront un supplément d’âme, intemporel,

Sublimant présence, silhouette, séduction, charnelles.

.

Et ils deviennent des mythes, tels que Marilyn Monroe,

Ou  autres stars, ayant traversé écrans de projections,

S’ancrant en mémoire  comme  obscure possession

Par leur grâce, leur charme, leur envoutement.

.

.

Extensions

 .

Pourquoi faudrait-il

Plaindre ceux ou celles

Qui n’en ont pas, de grâce,

N’en dégagent ou lors survient,

L’on ne percevra que son extérieur.

Beauté intérieure demande du temps,

De l’énergie, patience pour être révélée,

Afin qu’avant de retomber sur ses pieds,

Qu’on soit  le seul être, à en être gratifié !

Subtil, fugace : grâce n’est jamais tactile ;

Aérien et fragile, le charme est troublant ;

Tenace, et voire  attachant, l’envoutement

Est toujours pesant en s’en débarrassant.

Les trois ne font qu’un quand l’amour

Sera victime d’un coup de foudre.

.

Chimie, alchimie, boulimie, monogamie, antinomie,

Des mots qui, en substances,  attirent ou repoussent :

S’il suffisait de boire un philtre magique pour l’amour,

Cela se saurait, en dépit de chamanes qui le pratiquent.

Qu’aura à voir un amour cérébral avec un amour animal !

Dans les deux cas, il est question d’aura, mais de quel aura :

Celui de l’attrait naturel comme don ou du charisme sociétal ?

.

Une part de chimie, une part de mystère :

L’amour équilibre entre le corps et l’esprit,

Nombre attirances, entre deux partenaires,

Qui se croisent le jour, se retrouvent la nuit.

.

Lors l’altérité et la chimie vont bien ensemble

On nous invoquera alors une sorte d’alchimie,

Combinant les sens  et l’essence, qui les réunit,

Jusqu’à ce que leurs deux corps  s’assemblent !

.

Si la grâce ne suffit pas au lit, chimie non plus,

Il faut trouver, sinon, créer supplément d’âme,

Qui fait qu’on désire sans cesse recommencer,

Jusqu’à plus soif et voire jusqu’à plus de fin !

.

.

676 – Calligramme

 .

 C H A R M E   ET  G R Â C E,

La grâce est-elle quelque chose

De plus  que l’action chimique,

Ou bien de pure cristallisation,

De celle-ci  et pour sa visibilité.

Et charme est-il  quelque chose

De différent d’action  chimique,

Ou, de complémentaire, de l’air,

Qu’elle dégage,  en l’atmosphère.

.

La grâce et charme ont forcément

Un substrat charnel et émotionnel,

Et en deviennent leurs harmoniques

Qui nous feront leurs effets magiques

Et si tout ne s’explique pas par l’attrait

Il nous  faudra admettre  quelque secret,

Qui  nous  échappe, et, qui nous subsume :

La grâce n’est pas  une force  qu’on résume !

Si grâce admet  que tout est chimie en amour

Ses fantasmes … comment les mettre au jour ;

Si aucune grâce ne se décrète …  de l’intérieur,

Ne peut  se mesurer, sur sa simple apparence,

Son appréciation ne peut être que subjective,

Dépendante pour partie de son état et objet

Auquel  on voue  son regard, contemplatif.

.

N E  S O N T-I L S   QUE  C H I M I E 

Le charme, si on le définit, par l’attrait,

Somme des traits ne sont pas charme

On dira c’est une chose impalpable

Comme le parfum comme l’aura

Constituée par mille éléments

Et par aucun, en particulier.

.

Et  l’envoutement, comment

Le qualifier de déraisonnable,

Comme un instrument du diable

Pour mettre quelqu’un à sa merci,

Or, il ne serait que fausse perception

De  l’objet, même irréel,  de sa passion.

.

Ces trois qualificatifs    s’appliquent de fait,

D’un point de vue commun  à peu de personnes

Qui dégageront un supplément d’âme, intemporel,

Sublimant présence, silhouette, séduction, charnelles,

Et ils deviennent des mythes,  tels que Marilyn Monroe ;

Ou autres stars ayant       traversé      écrans de projection,

S’ancrant en mémoire       comme           obscure possession

Par leur grâce, leur            charme,           leur envoutement.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

676 4

.

Deux étages d’une fusée lunaire,

Ou objet d’art des plus décoratifs

Lampe  à huile … probablement,

 Lampe à huile, en conscience

.

La lampe éclaire à la fois corps, esprit

elle met tout en lumière, en conscience,

même si elle génère une part d’ombre,

sa forme évoquera toujours son fond.

.

Pour voir clair, nous avons besoin de

 Lampe à huile, allumée :

Peut-elle diffuser senteurs d’hormones

Augmentant la conscience

.

Symbolique de fond

.

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez Grimm la lumière seule chasse

L’amant caché de l’héroïne.

.

La lumière, dans tous les contextes

Mythologiques, symbolise la conscience.

La lumière d’une lampe représente

Particulièrement le conscient.

.

Qui est entre les mains et sous le contrôle

De l’être humain, par contraste avec

La lumière du soleil, de nature

Divine et cosmique.

.

Descriptif

 .

676 – Charme, grâce, ne sont-ils que chimie !

  Alignement central   /   Titre absent    /   Thème matière

Formes en ovale / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : conscience

.

.

Fond

 .

Évocation

.

676 6

.

Pour voir clair, nous avons besoin de

 Lampe à huile allumée :

Peut-elle diffuser senteurs d’hormones

Augmentant la conscience

.

Symbolique 

.

Le Symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Chez  Grimm, la lumière  chasse

L’amant  caché  de  l’héroïne.

La lumière, en mythologie,

Symbolise  la  conscience.

.

La  lumière  d’une   lampe

Représente particulièrement

Le conscient qui est entre mains

Et sous le contrôle de l’être humain,

Par contraste avec la lumière du soleil,

De nature terrestre, divine et cosmique !

.

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

La Lampe d’Aladin possède bien des pouvoirs

Fruit d’un pacte avec un personnage de l’histoire

Ici ce n’est pas que la chimie qui agit : l’alchimie !

Il est question en effet de magie, de transmutation

Tout se passe dans la conscience d’un rêveur agité

Qui trouve ce subterfuge pour échapper à la mort.

.

Mais il le conduira de péripéties en péripéties,

En conte appelée « des milles et une nuits »

La grâce ne se travaille pas, elle existe

ou pas, c’est un don naturel du ciel,

on sent quand elle est artificielle

si toute sa vie elle persiste.

 .

.

Chimie de l’amour !

.

Scénario

.

L’alchimie du cœur dans une simple éprouvette !

L’alchimie de la grâce  dans un tableau de maître !

La chimie des sensations  dans enveloppe corporelle !

 .

Visuels et textuels  >>

675 – Femme en grâce et charme : envoûtement !

Visuels et textuels  >>

.

Grâce et charme vous envoûtent

Comme brillances  d’un diamant ;

Et comment leur résister vraiment,

Leur dire  non, une fois pour toutes.

Nombre, j’en ai croisé, sur  ma route

Qui ont mis,  en mon esprit, le doute,

Lors je m’en serais bien fait l’amant

En  les accompagnant, galamment.

Envoûtement  est  mot magique,

Tournant, parfois, au tragique,

Quand ce n’est pas comique

Séance désenvoûtement.

^

Grâce,

Charme,

Envoûtement

Grâce soit rendue,

Au charme des femmes,

À leur éternel  envoûtement !

La grâce est avant tout mouvement

Qui déplace  un être   marchant dansant

Avec gestes  dessinant  des arabesques folles,

Et tout en vous  décrivant   de belles paraboles !

Le charme est,  avant tout, dans une belle posture

Qui vous séduit,  vous surprend,  vous convoque

Où en vous, cette image,  pleine d’équivoques

Qui fait d’un corps musclé une imposture.

L’envoûtement est, d’abord, en regard

Vous transperce met sous sa coupe

Par aveuglement tête à croupe

D’un ange ou un démon,

Ou bien son avatar

Jour, soir

.

ENVOÛTEMENT

Car si la grâce est déliée

Et si le charme est figé,

L’envoûtement assuré,

Le seront-ils, au-delà,

En deçà, voire à côté,

De  toutes  beautés !

Qui le sait, le saura

Mais yeux fermés

Voient,   cachés,

Avatar mourir

Qui se retire,

Sur pointe

De pied

Joint

V

.

.

Extensions

 .

Grâce …  charme …  envoutement :

Voilà une trilogie de mots qui leur va

Comme un gant tant qu’elles conservent

Et pratiquent, l’art et la vertu de plaire

Car la beauté ne durera qu’un temps.

.

Diaphane et profane, le corps des femmes

S’expose à votre vue, œuvre fragile, provisoire,

Parfum au goût éphémère autant que doux-amer.

.

Est-ce  à dire  que la femme  de cinquante ans

N’en aura plus : détrompez-vous : certaines

Ont gardé leur fraicheur à travers les ans

Et rayonnent comme fleurs épanouies.

.

Se projetant en elle, on se demande si

Elles sont conscientes de leur séduction,

Elles en profitent, altruiste ou narcissique.

.

Si la beauté est due à des artifices chimiques,

La grâce et le charme tiennent plutôt de l’alchimie

Et du regard d’autrui par courant d’onde qui les relie.

.

Naturel, spirituel, sexuel : le diamant est tout cela à la fois

Malgré sa dureté, il pourra se faire doux, dans des bras

Aimants, sacrifiant part conséquente de son argent

Pour se le procurer et encore plus pour l’offrir.

Après divorce, impensable de le réclamer.

À l’inverse de toutes les traditions,

Je n’ai pas offert de diamant

À ma propre… dulcinée

Parce que c’est elle

Le diamant !

.

La grâce, le charme, l’envoutement,

Restent mystérieux, indéfinissables

Comme parfum qui nous subjugue

Sans en bien comprendre la cause.

.

Ce qui semblerait presque évident :

Grâce, charme : spirituel, peu sexuel,

Alors qu’envoutement serait attirance,

Physique, manipulation ordre magique.

.

Rien de plus naturel,  pour tout homme,

Qu’être envouté par grâce d’une femme

Auprès de qui, il vantera ses charmes,

Pour jusqu’à les croquer, se damne.

.

.

675 – Calligramme   

.

Grâce et charme vous envoûtent

Comme brillances  F   d’un diamant ;

Et comment leur  E  résister vraiment,

Leur dire  non,  M  une fois pour toutes.

Nombre, j’en   M ai croisé, sur ma route

Qui ont mis,  E  en mon esprit, le doute,

Lors je m’en  * serais bien fait l’amant

En  les  accompagnant, galamment.

Envoûtement  est  mot magique,

Tournant, parfois, au tragique,

Quand ce n’est pas comique

Séance désenvoûtement.

^

Grâce,

Charme,

Envoûtement

Grâce soit rendue,

Au charme des femmes,

À leur éternel  envoûtement !

La grâce est avant tout mouvement

Qui déplace  un être   marchant dansant

Avec gestes    * dessinant   C  arabesques folles,

Tout en vous    G    décrivant   H   belles paraboles !

Le charme est,   R       avant  tout,    A   dans une posture

Qui vous séduit         vous surprend   R       vous convoque

En vous, cette   C       image, pleine   M      d’équivoques

Qui fait d’un    E    corps musclé  E      l’imposture.

L’envoûtement *  est d’abord  * dans un regard

Qui vous transperce,   met sous sa coupe

Par aveuglement de tête à croupe

D’un ange ou d’un démon,

Ou bien son avatar

Jour, soir

V

ENVOÛTEMENT

Car si la grâce est déliée

Et si le charme est figé,

L’envoûtement assuré,

Le seront-ils, au-delà,

En deçà, voire à côté,

De  toutes  beautés !

Qui le sait, le saura

Mais yeux fermés

Voient,   cachés,

Avatar mourir

Qui se retire,

Sur pointe

De pied

Joint

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

675 4

.

Trois beaux diamants 

Superposés sur pendentif

Dont un servant d’attache

Montée sur des bagues !

  .

La femme serait-elle un diamant,

 Brillant de ses mille feux :

Pour celui qui l’aime, en tous les cas,

Son œil la verrait ainsi !

.

Symbolique 

 .

Le diamant demeure la pierre

La plus symbolique, qualifiée

De tous les superlatifs.

S’il est l’un des plus

Beaux gemmes

Qui        existe,

L’on   aime     le

Comparer  à     la

Perfection et pureté,

Le soleil et voire la vie.

Et, les noces de diamant,

Sont celles  qui célèbreront

Soixante années de mariage,

Par peu de couples aujourd’hui.

Sa symbolique comme son origine

Varient selon les cultures et les pays.

En France, le diamant  reste  la  pierre

De la réconciliation, écarterait  la colère.

On prétend qu’il symboliserait la constance.

guideachat.portaildubijou.com/pierres-metaux/diamant

.

Descriptif

.

675 – Femme : grâce, charme, envoûtement 

  Alignement central  /  Titre cercle   / Thème apparence

Formes triangles / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : diamant / Symbole de fond : bagues

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

675 6

.

Femme est-elle diamant,

 Brillant  de ses  mille feux :

Pour celui qui l’aime, son œil

La verrait ainsi  avec bague !

 .

Symbolique 

.

Les bagues actuelles avec un brillant

Ne sont comparables aux bagues du passé.

Au cours des années, facettes du diamant

Ont été modifiées et optimisées, pour

Nouveaux modèles brillent plus.

Même si le brillant est forme

De diamant classique,

Il offre nombre de

Possibilités

VVV

V

 Forme s’adapte parfaitement aux modèles

Uniques, mais peut aussi, être entourée

D’auréole personnalisée, il existe

Autres façons lui conférer

Une touche moderne

Plus brillante

Qu’avant

V

baunat.com/fr/le-symbolisme-

des-bagues-avec-un-brillant

.


.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Parmi nombre de bijoux portés

Par des femmes, le plus attirant

Est sans aucun doute, le diamant

Loin devant bagues d’or, d’argent

Pourtant ces trois brillent autant

Mais leur coût sera très différent,

Pour gros diamant faut se ruiner

Pour de l’or, il faudra emprunter

Pour de l’argent : faut compter !

Lors tout s’achète et tout se vend

Diamant l’emporte évidemment

.

.

Envoutement occupe l’esprit

.

Scénario

.

La grâce, au naturel,

Le charme, au spirituel,

L’envoûtement, au sexuel !

.

Visuels et textuels  >>

674 – Amour de la nature, nature de l’amour

Visuels et textuels >>

.

L’amour de la nature préfigure

La nature de l’amour humain

Par sa beauté et générosité :

Don de dieu d’un hasard.

.

De la Nature  on ne se lasse

En amour  humain, on  s’enlace,

Les deux, des fois,  s’entrelacent,

Or nature, toujours nous délasse.

.

Couleur, senteur, toucher,  bruit,

Tous nos sens sont mis en éveil,

Convergeant  vers l’harmonie

Qui en ferait la merveille.

.

Romantique me direz-vous,

N’est-ce pas, un peu, désuet !

Écologique serait l’amour fou

Que, seule, Nature restituerait !

.

Amour de la nature et nature de l’amour,

Seraient-ils une seule, une même chose,

À ce point que l’une entrainerait l’autre

Sans que l’on en soit conscient, ni ose.

.

Nature  se donne à vous entièrement

Comme un amant comme l’amante

Tout aussi vibrante et aussi vivante,

Ne manquant ni d’espace  ni temps.

.

Avec couleurs tantôt tendres  ou vives,

Avec senteurs tantôt …. légère,  lascives,

Avec des bruits tantôt  directs, complexes,

Avec  touchers  tantôt … concaves  convexes,

.

Nous évoquent l’amour de ceux qu’on aime

En ce qu’il a  de plus beau, de plus naturel

Sans être romantique,  confondre  en elle,

Les deux étant : sujet, et objet et poème.

.

En poème qui s’invite au fond  de l’âme

En une conjonction homme-femme

Et pour y brûler leurs flammes

Et à ce qu’ils se damnent.

.

.

Extensions

 .

Les  arbres  qui  s’enlacent

Ou qui en donne l’impression

Ont souvent fasciné les amants

Peintres, poètes, et  ce,  d’autant

Qu’ils sont rares  et cela  ne serait

Pas dû qu’à  la proximité physique

Mais à un phénomène  très curieux

De la nature et qui n’aura rien à voir

Avec l’amour,  en tous cas, l’humain !

.

Il y a ceux qui mélangent les racines,

Il y a ceux qui vrillent  leurs troncs,

Ceux qui  croisent  leurs branches.

C’est  le  pouvoir  d’attraction  qui

Émerveille  l’œil, mâle  ou  femelle :

Pourquoi ces deux-là et pas les autres :

Qu’ont-ils de spécial pour pousser ainsi.

.

Ce n’est pas le cas des lierres, ou lianes,

Qui ne sont que des plantes parasites

Ni orchidées productrices de vanille

Qui s’en servent comme des tuteurs

Bien plus encore des arbres greffés

Peuvent porter  plusieurs variétés

De bons fruits  ou  de belles fleurs,

Sans compter de feuilles et couleurs.

Amour de la nature, nature de l’amour !

.

Amour et nature, nature et amour : inversion de toujours :

Si la nature est en nous, c’est aussi parce que sommes en elle,

C’est partout et souvent, surtout chez les poètes, une ritournelle

Et c’est celle qui nous console et compense tout manque d’amour.

Il n’y a rien de plus naturel, rien de plus universel  que la sexualité,

N’était-ce que nécessité absolue, inscrite en gènes, de reproduction.

Après, est-il possible d’aimer un arbre ou animal comme un humain

À chacun de répondre à la question en fonction de pulsion, déception

L’un n’empêche pas l’autre, fonctions de degrés ou complémentarités.

.

Rien de plus naturel que l’amour,

Rien de plus amoureux que l’humain,

Pour autant, nature n’aimera l’humain,

Quand bien même on l’invoque toujours !

.

Est-ce qu’humain serait supérieur à nature :

Dès lors il en est intégré,  pas de suprématie :

De statut d’objet, la nature peut devenir sujet,

De sujet, l’amour pourra devenir simple objet.

.

.

Épilogue

.

L’on peut aimer la Nature, ou non,

Elle s’offre à vous, sans résistance,

Mais elle, ne tiendra à vous aimer,

Nature n’a aucune intentionnalité.

***

Or, comme en miroir, nous renvoie

Un reflet de la  nature  de  l’amour :

Sans doute est-ce dû  à ses beautés,

Qu’on ne se lassera de contempler !

***

Une fois qu’on a dit cela … on a tout

Dit et rien : les poètes s’en chargent,

De cet invisible, et, indicible  amour,

S’en feront le chantre, pour toujours.

***

La Nature est bien  notre mère  à tous,

Au sens propre par nos gènes et figuré

Par l’idée qu’on s’en fait, nous nourrit,

Bien que là il ne s’agira que de l’esprit.

***

Je suis né  dans  la campagne profonde,

Près d’une forêt et  de garrigue, marais,

Belle compagne j’ai eu jusqu’à neuf ans,

D’où mon amour pour elle, et, femmes !

.

.

674 – Calligramme 

 .

L’amour de la nature préfigure

La nature de l’amour humain

Par sa beauté et générosité :

Don de dieu      A    d’un hasard.

De la Nature    M       E   on ne se lasse

En amour    O    humain, on    R     s’enlace,

Les deux,     U    des fois s’entre    U        lacent,

Or nature     R    toujours     nous      T      délasse.

Couleurs,       *      senteur, toucher    A         bruits,

Tous nos        D    sens seront mis    N       en éveil,

Convergeant       E                        *         harmonie

Qui en ferait            L          A        la merveille.

Romantique                          me direz-vous,

N’est-ce pas                  un peu désuet !

Écologique          serait l’amour fou

Que, seule, Nature restituerait !

.

********************************

********************************

.

Amour de la nature et… nature de l’amour,

Seraient-ils une seule et une même chose,

À ce point que l’une entrainerait l’autre

Sans que l’on en soit conscient, ni ose.

Nature  se donne à      vous entièrement

Comme un amant      E     comme l’amante

Tout aussi vibrante  T   et     *     aussi vivante,

Ne manquant ni    *  d’espace       R        ni temps.

Avec couleurs     N   tantôt tendres      U       ou vives,

Avec senteurs     A     tantôt …. légères     O        lascives,

Avec des bruits   T      tantôt …… directs     M   complexes,

Avec  touchers    U      tantôt … concaves    A       convexes,

Nous évoquent    R      l’amour  de ceux     ‘     qu’on aime

En ce qu’il a de      E     plus beau, de    L   plus naturel

Sans être romantique   D      E    confondre en elle,

Les deux étant autant : sujet, qu’objet, poème.

En poème, qui s’invite  au fond  de l’âme

En une conjonction homme-femme

Et pour y brûler leurs flammes

Et à ce qu’ils se damnent.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.674 4

.

Deux poteries  différentes

Superposées, tout comme

Un homme, une femme,

De forme et fond !

.

L’amour et la nature ont, tous deux,

de belles formes avec de bons fonds :

peu les sépare, parfois on les confond

aussi la forme épouse bien ici le fond.

.

Poterie avec dessin nature où,  à l’intérieur,

L’on trouverait de l’amour :

C’est ainsi que forme et fond, se fondent, et se

Confondent, et à volonté !

.

Symbolique 

.

Une poterie est un récipient

À ouverture large, sans anses,

Initialement destiné à contenir

Ou à conserver de la nourriture.

.

Aujourd’hui de  simple forme type

De poterie tournée, ou un récipient

En diverses matières telles que grès

Céramiques, faïences, métalliques,

Destiné à recevoir  divers liquides

Plus ou moins visqueux à chaud.

Modifié, source Wikipédia

.

Descriptif

.

674 – Amour de la nature, nature de l’amour 

  Alignement central  /  Titre cercles   /   Thème  nature

Formes rondes / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : poterie / Symbole de fond : forme-fond

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

674 6

.

Poterie avec dessin nature où,  à l’intérieur,

L’on trouverait de l’amour :

C’est ainsi que forme et fond, se fondent,

Et se confondent, à volonté !

.

Symbolique

.

La séparation

Du fond et de la forme

Consiste à séparer le message

D’un document de sa présentation.

On définira d’un côté le corps du document,

, et de l’autre côté la forme, comme la

Présentation titres et paragraphes.

.

Avec l’avènement du numérique

Dans la création documentaire,

Les pratiques d’écriture ont changé.

.

L’informatique apporte une couche abstraite

Supplémentaire à l’écriture et à

La forme documentaire et change

La définition de ce que nous pouvons

Appeler communément un document.

.

Ce domaine propose des techniques clés qui

Montrent que les auteurs sont amenés

À changer leurs pratiques.

fr.wikipedia.org/wiki/Séparation

_du_fond_et_de_la_forme

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Une poterie si elle n’est rien dans le fond

Aura toujours une forme, quel qu’elle soit,

Toutefois un contenant suppose un contenu

Amour est rempli de nature, et  inversement.

.

La forme de l’amour implique un fond spécial

Car s’il est platonique, il ne sera pas extatique,

Et s’il est poétique, il ne sera pas pragmatique

Et s’il est authentique, il ne sera pas plastique

Toutes les formes et fonds sont en la nature.

 .

.

Polysémie en contextes

.

Scénario  

.

Un amour poétique, voire lyrique, de nature sauvage,  authentique,

demeure en une fusion totale avec le tronc de l’arbre et le végétal,

et dès lors, la nature de l’amour restera simple comme bonjour.

 .

Visuels et textuels >>

673 – Des femmes, qui ont tout… à mon goût

Visuels et textuels  >>

.

Femmes ayant tout,

Je n’en ai trouvé aucune,

Lors même avec une fortune,

Elles auraient, toutes, un défaut,

Tant tout ce qui est à mon gout

N’est en rien celui  des autres

Là où une seule me  suffit

Et le reste, m’en fous,

.

Mais, les meilleures  sont  prises

D’assaut voire bien vite mariées

Quand   la  vertu  est  de  mise,

Il y aurait tout à bien gagner.

.

Mais moi je n’ai rien à perdre

À attendre celle qui convient,

À mon goût et si c’est le sien

Je tiendrai l’affaire en main

Pour  mon plus grand bien.

Femmes, ayant  mon goût,

J’en ai rencontré, partout.

 .

Femmes à vous rendre fou,

À  leurs genoux,

J’en ai croisé, et de bon goût,

À  en être jaloux.

 .

Intelligence, charme et beauté :

Que vouloir de plus,

Mais elles étaient déjà mariées,

Et fidèles, en plus.

 .

Souriantes, douces et aimantes,

Et par le dessus,

Et, bien qu’elles soient galantes :

L’amour  retenu.

 .

La mienne aussi, sinon pourquoi

L’aurais-je choisi :

Cela je le constate, à chaque fois,

Et je m’en ……. réjouis !

 .

Être disponible pour autres aussi

Je me contente souvent d’être ami,

Est-ce que c’est pareil aujourd’hui !

.

Difficile de répondre par non ou oui,

Si je me limite, à ce qui m’est permis,

Je ne serais qu’un  bel  imbécile…ravi.

.

Je sais ce qu’on perd et ce qu’on gagne

À  changer sa vie  et voire  sa compagne

On trouve mieux ailleurs et souvent pire.

.

Lors amante vers l’épouse… vous aspire

Dans la femme,  l’on voit l’aventurière,

Bien qu’on la choisisse amie et mère.

.

.

Extensions

 .

Des femmes, à mon goût,

J’en ai rencontré beaucoup,

Mais je n’en avais pas autant

Pour elles, et même, souvent,

Quelques-unes, pas du tout !

C’est ainsi, mais c’est la vie.

.

Il suffit d’une pour les remplacer toutes,

Même si d’apparence, de métier, caractère,

Elles sont toutes, naturellement, différentes.

Elles auront au moins une chose commune

Celle d’être une femme ou de faire genre.

.

Avoir tout ne vient pas dire grand-chose et ne mène à rien.

« La plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a »

Citation issue des «Maximes et Pensées» de Nicolas Chamfort.

Il existe une multitude de femmes candidates à union maritale,

Et pourtant il n’y en aura qu’une qui satisfera tous les critères

Non par un rejet des autres mais par l’obligation d’un choix

Se satisfaisant de celle qu’on a en dépit d’autres possibles.

.

On dit parfois d’une femme qu’elle a tout

Mais qu’est-ce que cela voudra bien dire :

Pour plaire, pour vivre, pour réussir sa vie.

Aucun être au monde ne pourra tout avoir !

.

Et à supposer qu’elle ait tout, trouverait-elle

Quelqu’un pour se marier, vivre, digne d’elle,

Le mari aurait de quoi se faire des complexes

Tant elle, le trouverait quelque peu simplexe.

.

.

673 – Calligramme 

.

Femmes ayant tout,

Je n’en ai trouvé aucune,

Lors même avec une fortune,

Elles ont Ô              Ô un défaut,

Tant, tout ce qui est à mon gout

N’est celui  ===  des autres

Là où une seule suffit

Lors le reste,

 Je m’en fous,

               F

Oui, mais, les meilleu  E  res sont prises

D’assaut voire bien    M    vite mariées

Quand   la  vertu      M     est de mise,

Il y aurait  tout à     E    bien gagner.

Mais moi je n’ai    S   rien à perdre

À attendre celle   *   qui convient,

À mon goût  Q    et si c’est le sien

Je tiendrai  U   l’affaire en main

Pour mon  I   plus grand bien.

Femmes,   *   ayant mon goût,

J’en ai rencon O  tré,  partout.

N

T

Femmes à vous rendre fou

À  leurs genoux,

     J’en ai croisé, et de bon goût,

      À  en être jaloux.

          Intelligence, charme et beauté :

          Que vouloir de plus,

         Mais elles étaient déjà mariées,

          Et fidèles, en plus.

          Souriantes, douces et aimantes,

    Et par le dessus,

          Et, bien qu’elles soient galantes :

L’amour  retenu.

        La mienne, aussi, sinon pourquoi

L’aurais-je choisi :

      Cela je le constate, et, à chaque fois

Et je m’en ……. réjouis !

T

Être disponible   O  pour autres aussi

Je me contente   U    souvent être ami.

Est-ce que c’est   T    pareil aujourd’hui !

Difficile de répon *     dre  par  non  ou oui

Si je me limite,    À      à ce qui m’est permis

   Je ne serais qu’     *      un  bel  imbécile  ravi….

Je sais ce qu’on    M     perd et ce qu’on gagne..

À  changer sa vie   O        et voire sa compagne…..

On trouve mieux     N         ailleurs et souvent pire….

Lors amante vers       *          l’épouse vous aspire……….

Dans la femme,            G           l’on voit l’aventurière…………

Bien qu’on la                    O           choisisse amie et mère………….

Û ……………..

T …………………

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

673 4

.

Silhouette d’une femme

Avec toutes ses parures

Et  ses atours,  féminins,

Pour séduire, ou topless!

.

Avoir tout serait difficile à dire,

À trouver, question parure :

La moitié serait déjà beaucoup :

Voire le contraire, topless

.

Symbolique 

.

Ainsi que l’a montré

Nicole Loraux, pour les Grecs,

Depuis Hésiode, la femme

Serait formée d’« un corps, réduit

Essentiellement au ventre,

Une parure, qui est souvent un voile.

.

Le ventre est une “chiennerie interne”,

Qui sert à dire la lubricité

Dans le langage d’’appétit alimentaire,

.

Mais il est, aussi, ce qui met au monde

Les enfants des hommes.

La parure sera, dans la Théogonie,

Ce qui constitue la femme comme

Un atour, un beau dehors»

Florence Gherchanoc www.cairn.info/

revue-historique-2003-4-page-739.

.

Descriptif

.

673 – Des femmes qui ont tout, à mon goût 

  Alignement central  / Titre serpente   / Thème  apparence

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole de forme : parure/ Symbole de fond : topless

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

673 6

.

Avoir tout serait difficile à dire,

À trouver, question parure :

La moitié serait déjà beaucoup :

Voire le contraire, topless

.

Symbolique 

 .

En 1964, le styliste américain

Rudi Gernreich dessine le monokini.

Un maillot de bain qui laisse les seins nus

Et va aller de pair avec la démocratisation

Du topless sur les plages lors en France.

.

Cette tendance divise la société :

Les seins nus sont naturels pour

Certains, indécents, à d’autres.

.

Une opposition qui reflète une

Ambiguïté historique dans

La représentation du sein nu.

.

Dans certaines cultures du Pacifique,

D’Afrique ou des Amériques, les femmes

Vivent seins nus et ce en toute quiétude.

.

Et cela s’explique par le fait que le sein

y est moins sexualisé qu’en Occident.

franceculture.fr/societe/a-lorigine-du-topless

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

Des femmes qui ont tout, c’est l’idéal

Mais, elles sont impossibles à trouver,

La plus belle femme du monde, proverbe,

Chamfort, ne peut donner que ce qu’elle a.

.

Voilà  qui clôt  le débat  avant de l’entamer

Bien que des femmes, à qui on prête  tout, 

Il en existerait, il est certain … beaucoup

Faut dire en matière projection d’idéal

Illusion et imagination sont reines.

 .

.

Ode à la beauté !

.

Scénario

.

Tout pour être naturelle, attentionnée,

tout pour vous séduire, pour vous plaire,

tout pour dispenser  leur part de mystère !

 .

Visuels et textuels  >>

672 – Mots pour exprimer ce que ressens pour toi

Visuels et textuels  >> 

.

 

Un mot, deux mots, des mots :

Rien que des mots, selon Dalida,

Lors pourtant sans eux et à propos

De l’amour, rien ne les remplacera !

Une image, dit-on, vaut cent mots

Et un geste, une salve de mots,

Un regard, écrit un chapitre

Un baiser, roman entier.

.

Je ne trouve pas les mots

Prétendait le prétendant

Mot amour ne s’apprend

Pas  en les livres : beaux.

Mots amours, sont justes

Mots d’amours, humbles

Mots  d’amours   simples

Et à deux   se   dégustent.

.

Quels mots pour exprimer

Ce que je ressens, pour toi,

Échappant,  pour qualifier

Ce que  je ressens, avec toi !

.

Mes mots  sont trop pauvres,

Pour  quelqu’un  d’aussi riche,

Mes mots sont trop guimauves

Pour quelqu’un, d’aussi chiche.

.

Je persiste, et, signe, à te le dire,

Je m’applique à bien  te faire rire

Je persiste,  et signe,  à te le dire :

Je te parle d’amour …  pas de rire.

.

Je me mets  à ta place, je les reçois,

Comme autant d’appels, désespérés,

Je me mets à ta place et je le perçois

Comme cris d’amour et, les derniers.

.

Ce ne sont pas  les  mots  qui révèlent

Le fond  de ma pensée, mes émotions

Ce sont eux pourtant, qui ensorcèlent

Mon corps et mon âme…de passions.

.

Si je reçois, faibles, les tiens : dis-toi,

Que je ne suis pas… bonne réception

Si je reçois, forts, les tiens : dis-toi,

C’est pour amorcer un pas vers toi

 

Ainsi vont les choses, et, les roses,

Elles écoutent, parfois… le mâle,

Quand elles le font, se ferment,

À tous autres,   à tous cœurs

Ainsi font les choses roses

S’ouvrant parfois mal

Elles s’enferment

Intérieur

.

.

Extensions

.

Mots, et mots, émotions, émoticons, émotionnables

Mots simples ou plus  complexes ou même à rallonge

Constituent, pour une  grande part, notre vocabulaire,

Quand nous évoquons ou nous parlons de nos émotions

Il faut se méfiez des mots et leurs emplois à double sens,

Un mot doux  peut devenir aigre, selon les circonstances,

Et même selon le ton où il est proféré trop fort ou faible.

Mots des jeux amoureux et amoureux des jeux de mots

Ne se marient pas bien, ne s’accordent pas toujours.

.

Les mots sont faits pour d’abord communiquer ;

Les mots sont faits pour décrire ce que l’on voit ;

Les mots sont faits pour décrire ce que l’on sait ;

Les mots sont faits pour décrire ce que l’on fait !

.

Cela dit il n’est pas toujours aussi facile que cela

De livrer le fin fond de sa pensée ni son émotion,

Soit on n’en trouve pas, on ne sait trop quoi dire

Soit ils ne sont pas adaptés, ne sont appropriés !

.

«Je t’aime, moi non plus» ou l’incompréhension

Je voulais te dire et voilà que j’ai dit le contraire

De mon ressenti, je ne parviens pas à m’extraire

Pour te parler de ton attirance, extraordinaire !

.

.

672 – Calligramme

 .

MES MOTS EXPRIMANT

Un mot, deux mots, des mots :

Rien que des mots, selon Dalida,

Lors pourtant sans eux et à propos

De l’amour, rien ne les remplacera !

Une image, dit-on, vaut cent mots

Et un geste, une salve de mots,

Un regard, écrit un chapitre

Un baiser, roman entier.

.

Je ne trouve pas les mots

Prétendait le prétendant

Mot amour ne s’apprend

Pas  en les livres : beaux.

Mots amours, sont justes

Mots d’amours, humbles

Mots  d’amours   simples

Et à deux   se   dégustent.

.

Quels mots pour exprimer

Ce que je ressens, pour toi,

Échappant,  pour qualifier

Ce que  je ressens, avec toi !

.

Mes mots  sont trop pauvres,

Pour  quelqu’un  d’aussi riche,

Mes mots sont trop guimauves

Pour quelqu’un, d’aussi chiche.

.

Je persiste, et, signe, à te le dire,

Je m’applique à bien  te faire rire

Je persiste,  et signe,  à te le dire :

Je te parle d’amour …  pas de rire.

.

Je me mets  à ta place, je les reçois,

Comme autant d’appels, désespérés,

Je me mets à ta place et je le perçois

Comme cris d’amour et, les derniers.

 .

CE QUE JE RESSENS POUR TOI 

Ce ne sont pas  les  mots  qui révèlent

Le fond  de ma pensée, mes émotions

Ce sont eux pourtant, qui ensorcèlent

Mon corps et mon âme…de passions.

.

Si je reçois, faibles, les tiens : dis-toi,

Que je ne suis pas… bonne réception

Si je reçois, forts, les tiens : dis-toi,

C’est pour amorcer un pas vers toi

.

Ainsi vont les choses, et, les roses,

Elles écoutent, parfois… le mâle,

Quand elles le font, se ferment,

À tous autres,   à tous cœurs

Ainsi font les choses roses

S’ouvrant parfois mal

Elles s’enferment

Intérieur

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

672 4

.

Ben oui, quoi, une chaussette,

Un bas de laine pou économies

Voire une batte pour jeu cricket

Mais aussi bien une cravate ?

.

Le mot cravate, symbolisera l’attention,

Le respect, la noblesse :

Pour preuve : j’en ai bien mis une le jour

De mon propre mariage

.

Symbolique

.

Loin d’être un objet anodin,

La cravate est vue par certains

Comme un lieu de pouvoirs,

Ou un symbole phallique.

.

La cravate avait à l’origine

Une utilité physique :

Permet de maintenir

Le col, de mieux se tenir.

.

Avec le temps, c’est surtout

La fonction symbolique qu’on lui

Prête qui a socialement pris le dessus.

Dans l’entreprise, en politique, elle sert

À montrer une identité de groupe.

.

Si la cravate est objet de pouvoir,

La tomber ne signifierait pas pour autant

À s’affranchir de diktats mode en entreprise.

franceculture.fr/societe/la-cravate-objet-de-pouvoirs

.

Descriptif

.

671 – Ne cesse de partir pour mieux te revenir 

  Alignement central  / Titre analogue   / Thème  langue

Forme losange / Rimes égales / Fond approché de  forme

Symbole de forme : cravate/ Symbole de fond : cravate

.

.

Fond

.

Évocation 

.

672 6

.

Le mot cravate, symbolisera l’attention,

Le respect, la noblesse :

Pour preuve : j’en ai bien mis une le jour

De mon propre mariage

 .

Symbolique 

.

Symbole d’autorité,

Contrainte    ridicule

Pourquoi  la  cravate

N’est plus dans le coup.

Longtemps   considérée

Comme   un  accessoire

Indispensable dans de

Nombreux      secteurs

Professionnels      afin

D’incarner  le sérieux

Et voire,   l’élégance,

Toute cravate  est de

Plus  en plus  laissée

Au fond de placard

Raison  principale,

Un abandon de  la

Contrainte choix

Plus     l’image

Vi-eil-lot-te

Qui  soit.

francetvinfo.fr/économie/

tendances/symbole-d-autorité-

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le dictionnaire Larousse  n’en dénombre

Pas moins de sept définitions pour cravate

Soit en étoffe, en cuir, en tissu, en fourrure,

En cordage pour ne citer que quelques-unes.

Le tout entre soutien, ornement, distinction !

.

On s’active à s’en mettre  derrière la cravate

Lors d’un repas de famille par trop arrosé !

Mon père disait que sans porter la cravate

Je ne trouverais pas d’emploi respectable

À vrai dire je ne l’ai jamais cru et lui ai

Répondu qu’’habit ne fait pas moine.

 .

.

Ressentir sans mots

.

Scénario

.

Des mots, des mots doux, voire des mots tout doux,

glissés à l’oreille tous bas, comme un secret à garder,

sont-ils pour autant plus sincères, plus authentiques ?

 .

Visuels et textuels  >> 

671 – En ma vie, ne cesse de partir pour te revenir

Visuels et textuels >>

.

Partir et puis revenir,

Pour aimer à mourir

Va et vient, convient,

Va et vient … soutient

Mon âme,  vagabonde,

Allant, de par le Monde,

En quête d’amour renoué

Avec toi  puis sous ton toit,

Comme physique, élastique,

La reine, ré-épousant le roi,

En un lit de première nuit

Comblé par ce charme

In-dé-fi-nis-sable,

In-sai-sis-sable

Inal-térable

Instable

Able

V

.

En ma vie, je ne cesse de partir

Mais c’est pour mieux te revenir.

Que de fois, je me serai senti perdu,

Loin de toi  et de tout, pauvre et nu.

.

Lors j’imaginais être  seul à en jouir,

À  n’en plus pouvoir  de  me contenir

Voilà que fantasmes, surgis du néant,

Reprennent avec toi pieds de géants.

.

Retiens-moi…ne me fais pas flipper,

Dis-le que tu ne vas pas me quitter,

Je suis corps et âme  qui transpire

De tes regards  et  de tes soupirs.

.

Je m’en vais, loin,  l’esprit plein

De la peur  et de tout, de rien,

Crains  le pire, pour demain,

Sauf s’il n’est pas commun.

 .

Garde ta main en la mienne

Afin  qu’elle  me  retienne,

Qu’en chassant ma peine

Feu d’amour revienne.

.

.

Extensions

 .

Partir pour marquer une distance,

Plus ou moins grande, définitive

Ou pour ressourcer son couple

En faisant autres expériences

N’ont rien à voir en définitive :

En premier cas, le lien est rompu

En second, il est seulement distendu.

Le manque de l’autre se ferait plus sentir

Quand on est loin  que quand on est proche,

La parenthèse peut renouveler panne du désir,

Pour peu que l’autre prenne l’absence en patience.

.

Un mois, deux mois, jusqu’à un an, après, c’est différent,

L’ennui s’installe, le manque est patent et les quelques rares

Occasions de se revoir peuvent ne pas le combler suffisamment.

Le temps passe, la vie tourne l’on n’entrevoit plus de solution…

Que de refaire sa vie, avec un autre, ayant le mérite d’être là.

Peu de couples, solides, résistent à la pression du temps.

Travail de deuil se met en marche souterrainement

Et le besoin de se faire aider quotidiennement

L’emporte sur les voyages et les amants.

Un père pour ses enfants est un père présent,

Sinon un père de substitution fera mieux l’affaire.

.

S’attacher, se détacher, se  souvenir, se départir

Autant de mots  aux  significations contraires

Qui donneront à penser, et puis à réfléchir,

À ce qui compte pour soi plus qu’en l’air

Et à mieux voir ce qui va des travers

Il y a des fleurs extraordinaires

Comme des fleurs ordinaires

Coquelicot unit les deux

Beauté éphémère

Rustique.

V

.

Tout va-et-vient nous fait du bien,

Pour nous décaler, nous ressourcer

Sans pour autant, vraiment quitter

Les êtres qu’on aime, à qui on tient.

.

Au début, la découverte  de libertés,

L’emporte sur mon attache affective

Avec toi  mais,  vite,  au fil du temps,

Je me resitue en mon cœur d’amant !

.

Et lors je ne penserai qu’à une chose :

De te retrouver au plus tôt en tes bras

Ce n’est que  lorsque j’y suis, j’y serai,

Que le souvenir de liberté me tanne.

.

.

Épilogue

.

Cela pourrait être … cela devrait être,

Une sorte de message, lettre d’amour,

Adressée comme supplique de revenir

Où la vie n’a plus de sens, importance.

***

Je ne sais  si je m’en vais, ou  bien elle :

Je peux rester  en place  et être ailleurs,

Si  l’un revient  quand l’autre … s’en va,

Il est certain que  l’on ne se retrouvera !

***

Dès que ce va-et-vient, est trop fréquent,

La confiance s’en ira et elle ne reviendra.

Partir, revenir, ne sont pas  des caprices,

Ni des manipulations  ni  des chantages !

***

Tout a un sens  dans tout ce que l’on fait,

Même si on n’en a conscience ni lucidité.

Partir  pour mieux te revenir est un choix

Qu’il faut assumer seul : risques et périls.

***

Offrir des roses rouges  est signe d’amour,

Et partir  pour se mettre au vert, de doute.

Aucune relation n’est stable pour toujours,

Faudra juste expliquer ce que l’on redoute.

.

.

671 – Calligramme 

.

Partir et puis revenir,

Pour aimer à mourir

Va et vient, convient,

Va et vient … soutient

Mon âme,  vagabonde,

Allant, de par le Monde,

En quête d’amour renoué

Avec toi  puis sous ton toit,

Comme physique, élastique,

La reine, ré-épousant le roi,

En un lit de première nuit

Comblé d’un charme

.

*****************

**************

.

Indéfinissable,

Insaisissable

Inaltérable

Instable

Able

V

.

En ma vie, je ne cesse     N   P   de partir

Mais c’est pour mieux    E     O   te revenir.

Que de fois, je me serai   *       U   senti perdu,

Loin de toi et de tout,    C         R   pauvre et nu.

Lors j’imaginais être     E           *  seul à en jouir,

À n’en plus pouvoir      S            M de me contenir

Voilà que fantasmes    S             I   surgis du néant

 Reprennent avec toi   E              E  pieds de géants.

Retiens-moi, ne me    *              U  fait pas flipper,

Dis-le que tu ne vas  D              X  pas me quitter,

Je suis corps et âme E              *   qui transpirent

Pour tes regards et  *              T   de tes soupirs.

Je m’en vais loin   P              E    l’esprit plein

De la peur et de   A             *    tout, de rien

Crains  le pire    R           R  pour demain

 Sauf s’il n’est    T         E pas commun.

   I       V

Garde ta main  R   E  en la mienne

Afin qu’elle        * N  me retienne,

Qu’en chassant  I        ma peine

Feu d’amour  R      revienne.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

671 4

.

Un pot en terre

Pousse de plante

D’intérieur … jeune,

Fleur couleur rouge 

.

Plante et couleur vont bien ensemble

mais par avec départ  ni avec retour

aucune plante ne peut voyager seule

aussi la forme se distingue du fond.

  .

Plantes en pot voyagent

 Plus facilement  qu’en terre 

C’est  une   grande  différence

Entre sédentaire, d’intérieur !

.

Symbolique 

 .

Diverses cultures folkloriques

Et traditions attribuent des

Significations symboliques

Aux  différentes  plantes.

.

Bien que celles-ci  ne soient

Plus communément comprises

Par des peuples  qui sont de plus

En plus séparés  de leurs anciennes

Traditions rurales, certaines survivent.

.

En outre, des allusions à ces significations

Sont faites anciennes images, chansons, textes.

De  nouveaux  symboles ont, également, émergés :

L’un des plus connus au Royaume-Uni est le coquelicot

Comme symbole commémoration des victimes de  guerre.

Modifié,  source : wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_plantes

.

Descriptif

 .

671 – Ne cesse de partir pour mieux te revenir 

  Alignement central  / Titre analogue   / Thème  départ

Forme  en ovale / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : plante/ Symbole de fond : couleur-rouge

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

671 6

.

Plantes en pot voyagent

 Plus facilement  qu’en terre, 

ici c’est une plante d’intérieur 

avec une fleur de couleur rouge

.

Symbolique 

 .

Soit pour la couleur rouge

Prépondérante  chez les espèces,

Légende de jeune fille brûlée dans le feu,

L’anturium est une plante symbole de l’amour.

Appelée aussi : la fleur flamante, ses couleurs

Passant du rose par le rouge au violet foncé.

.

En effet, la légende raconte qu’une jolie fille

A été ravie par souverain des plus cruels

Lorsqu’au jour du mariage, on a allumé

Un grand feu, la jeune fille, en robe

De mariée rouge, s’est jetée dans le brasier.

Alors Dieu, touché par sa beauté  et  sa fidélité,

L’a dotée de jolie fleur rouge, symbole de l’amour.

freshidees.com/fetes/saint-valentin/plante-symbole-de-l-amour

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Dans «Le Petit prince» de Saint Exupéry

Le renard qu’il rencontre dans le désert

 Lui confie une rose qu’il faut arroser

Tous les jours, et sans exception

Pour qu’elle ne meure pas !

.

C’est sûr qu’il peut s’en aller

De ci  ou de la, pour voyager,

Mais revenir est une promesse

Qu’il devra tenir coûte que coûte.

.

Tout est dit en ce conte d’enfant là :

Si on aime, ce n’est pas qu’on part pas,

C’est juste que de revenir, on n’oublie pas.

 .

.

Sac à dos : prêt !

.

Scénario

 .

Échapper à, s’échapper de : une fonction primordiale

 comme des oiseaux migrateurs qui reviennent toujours

ou des électrons libres qui se détachent, se rattachent.

.

Visuels et textuels >>

670 – Si j’étais un poisson, que tu étais papillon !

Visuels et textuels>> 

.

Le premier, nage sous l’eau,

Le deuxième, vole dans les airs :

Comment pourrait-il…se rencontrer

Car, tout comme une carpe et un lapin,

Tout les séparent, rien ne les rapprochent.

Une demoiselle libellule se pose sur l’eau,

Et un poisson volant saute sans les airs,

Un cormoran sait nager, sous l’eau,

Mais là s’arrête comparaisons.

Un poisson … ne sait pas

Que le papillon existe

Et réciproquement,

L’affaire, réglée.

Enfin il reste

Les sirènes

Mi femme

Mi  poisson

Qui cherchent

Un oiseau  rare,

Mi-homme-lion !

Si j’étais un  poisson,

Et toi, étais un papillon,

Comment se rencontrer,

Et plus encore…s’aimer !

Toi, tu voles terre surface

Lors je nage, sous glaces,

Toi tu résides en plafond,

Lors je plonge bas-fonds.

Demoiselle, ou   libellule,

N’y change  rien, virgule,

Anguille, ou, raie Manta,

Tu ne m’attraperas  pas.

Est-ce  à dire  que, seuls,

Ceux qui se ressemblent

Copulent,  s’assemblent,

Le reste  n’est que veule.

Moi, en poisson  volant,

M’aimerais-tu,  autant,

Si j’étais  un bel oiseau,

Avec ses ailes sur le dos

J’ai perdu mes … ailes,

Branchies,  nageoires,

Mais, je garde espoir

De me tenir en elle,

Tout autour d’elle,

Si, papillonnant,

En vrai amant

Etre si beau

Poisson.

.

.

Extensions

 .

Un poisson peut avoir des ailes,

Un papillon ne peut avoir de nageoires :

L’évolution est faite ainsi qu’il n’y a pas de

Retour en arrière mais la légèreté du papillon

L’emportera toujours sur celle du poisson.

.

Visiblement ces deux-là ne sont pas faits

Pour se rencontrer mais pourquoi pas :

Ils sont faits de même matière vivante,

Ce  ne sont que  leurs développements,

Leurs environnements, leurs fonctions

Qui les  séparent, phylogénétiquement !

.

On cite l’exemple de la carpe et du lapin,

Sans qu’on sache très bien ce que ça signifie

On voit bien que ça ne peut pas coller entre eux :

Ces deux êtres sont incompatibles et bien opposés

Et ne seront donc jamais en harmonie entre eux.

.

Chacun vit dans son monde en ignorant tout

De  l’autre, jusque, parfois, son  existence,

L’harmonie des contraires reste possible

Dans un couple mais de même espèce

 Les apparences changent, mais

Pas les fondamentaux.

.

Combien d’analogies, de métaphores et de chimères

Peuplent nos écrits  et envahissent nos imaginaires,

Et ce n’est pas vous qui prétendriez le …  contraire,

Tant la chair est faible, en un esprit fort, primaire.

Il arrive qu’on parle aussi de la carpe et du lapin.

La femme serait poisson, l’homme, mammifère.

  À l’origine : mariage d’un noble avec roturière !

.

Il était une fois un poisson

Qui aimait un beau papillon

Et il voulait comme lui, voler

Dans l’air, dans l’atmosphère.

.

Et le papillon lui rendait visite

Une fois par heure sauf la nuit

Mais il ne pouvait s’approcher

Sans risquer se noyer en l’eau.

.

Désir était simple : j’aimerais

Bien te connaitre davantage,

Oui mais je vole et tu nages

On ne se mariera jamais.

.

.

670 – Calligramme   

.

SI J’ÉTAIS POISSON,

Le premier, nage sous l’eau,

Le deuxième, vole dans les airs :

Comment pourrait-il…se rencontrer

Car, tout comme une carpe et un lapin,

Tout les séparent, rien ne les rapprochent.

Une demoiselle libellule se pose sur l’eau,

Et un poisson volant saute sans les airs,

Un cormoran sait nager, sous l’eau,

Mais là s’arrête comparaisons.

Un poisson … ne sait pas

Que le papillon existe

Et réciproquement,

L’affaire, réglée.

Enfin il reste

Les sirènes

Mi femme

Mi poisson

Qui cherchent

Un oiseau rare,

Mi-homme-lion.

TOI PAPILLON !

Si j’étais un  poisson,

Et toi, étais un papillon,

Comment se rencontrer,

Et plus encore…s’aimer !

Toi, tu voles terre surface

Lors je nage, sous glaces,

Toi tu résides en plafond,

Lors je plonge bas-fonds.

Demoiselle, ou   libellule,

N’y change  rien, virgule,

Anguille, ou, raie Manta,

Tu ne m’attraperas  pas.

Est-ce  à dire  que, seuls,

Ceux qui se ressemblent

Copulent,  s’assemblent,

Le reste  n’est que veule.

Moi, en poisson  volant,

M’aimerais-tu,  autant,

Si j’étais  un bel oiseau,

Avec ses ailes sur le dos

J’ai perdu mes … ailes,

Branchies,  nageoires,

Mais, je garde espoir

De me tenir en elle,

Tout autour d’elle,

Si, papillonnant,

En vrai amant

Etre si beau

Poisson.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

670 4

.

Le corps d’un papillon,

Ça ressemblerait à ça,

Et d’un poisson, non

Un poisson-papillon

.

Que peut-il bien y avoir de commun,

Entre papillon et poisson ?

Un papillon fantaisiste étant dessiné

Par un enfant comme  poisson

  .

Symbolique 

.

Le papillon n’est pas recensé dans les

Dictionnaires de mythologie égyptienne

Alors que,  dans  la mythologie  grecque,

Le papillon est  symbole  d’immortalité.  »

.

C’est «l’âme humaine»  comme le souligne

L’étymologie : « psyché » en  grec  désigne

À la fois, l’âme de quelqu’un  et  le papillon.

Symbolisme  Amérindien, le papillon  est le

Symbole de métamorphose et changement.

.

Il nous enseigne qu’il faut laisser les désirs

Se réaliser, de changer nos vies,  de créer

De nouvelles situations  pour améliorer

Notre quotidien pour être plus éthéré.

Source : blogggcollection.wordpress.com/

2014/05/papillon-symbolemetamorphose

.

Descriptif

 .

670 – Si j’étais poisson, et toi… papillon !   

  Alignement central / Titre intercalé  / Thème  rencontre

Forme  losange / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : papillon  / Symbole de fond : poisson

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Que peut-il bien y avoir de commun,

Entre papillon et poisson ?

Un papillon fantaisiste étant dessiné

Par un enfant comme  poisson

.

Symbolique 

.

Le poisson reste l’emblème de l’eau,

Élément avec lequel il partagera

Son aspect le plus symbolique.

Il est symbole de fécondité

Mais tout autant de sagesse.

.

Il est occulte dans les

Profondeurs des eaux,

Domaine d’une force sacrée

De l’abîme dont il est pénétré.

.

Cet espace aquatique

D’une profondeur

Insondable est

Associé aux mystères

De l’inconscient humain,

Aux pulsions les plus cachées de l’esprit.

Source : les-voies-libres.com/symbolisme-du-poisson

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un poisson pour sûr, ne vole pas

Et papillon, pour sûr, ne nage pas

L’un aura pour milieu naturel, l’eau,

L’autre aura pour milieu naturel, l’air.

Ils sont donc aux antipodes, ne peuvent

Communiquer d’aucune manière efficace,

Tout comme la carpe et le lapin, populaires

Quand on les marie entre eux, ils divorcent !

Ce ne sont là que de purs symboles gratuits.

 .

.

Formes des poissons

.

Scénario

.

Mi poisson en bas, mi femme, en haut, ressemble à une chimère.

Vaut-il mieux  être  un poisson, comme celui-ci : multicolore.

Une femme nue comme ici voulant devenir un papillon !

 .

Visuels et textuels>> 

669 – Pouvoir tous se rencontrer : en principe, oui

Visuels et textuels  >>

.

Cela reste toujours possible,

En réalité, fort peu probable,

Vu le nombre  de potentialités.

Nous  ne  sommes, en rien, égaux,

Certains sont timides…voire réservés

Lors d’autres sont proactifs et sociaux.

Le tri s’opère selon filtre de ce qui a plu,

Les fréquentations  sont plus éclectiques

Que les amis, les partenaires, et les élus

Quand peut-on dire avoir rencontré,

Quelqu’un, quelqu’une vraiment.

Est-ce une question…de durée,

Ou d’intensité, de comment !

Et tous  nous  rencontrer !

En principe  …  c’est oui

Mais en fait, c’est non !

Lors rien n’est garanti

Entre filles,  garçons.

À cause des couleurs,

À cause des couleurs,

Par  dégout, pudeur,

De  l’état   de nature,

Jeune, beau  et fort ;

De  l’état  de culture :

Métier,  diplôme d’or.

À cause  des humeurs :

Caractère  incompatible

Des émotions, des cœurs

Plus ou  moins  sensibles.

Et puis, il  y  a  la  famille,

Les origines, ou  le milieu,

Les âges et les générations,

Les apparences les dictions.

Finalement, quand  on  trie :

Il ne  restera  que  bien peu :

Ceux  ressemblant  le  mieux,

À ceux  avec  lesquels, l’on vit.

En suite acceptation alter-ego

Celui, ou  celle  que …   j’aime,

Car, c’est  moi  qui  le barème,

Différences : mais   pas  trop !

Chacun, en cercle ou errance,

Couple, famille, préférences,

Vous protègent ou coupent

D’une nouvelle rencontre

Sauf à aller à l’encontre

En coupant racines,

Tant familiales

Qu’amicales

À jamais

Seul.

.

.

Extensions

 .

Pouvoir tous se rencontrer !

En théorie, oui, en réalité, non,

Tant la division des statuts, et profils,

Est inhérente  à l’humain, à des civilisations.

Et puis il y a les filles « bien comme il faut »,

«Bonnes à marier» et puis les autres,

Tout comme  il y a  les bons et

Les  vrais  mauvais  garçons.

.

Ceux qui se prennent pour des

Demi-dieux sur Terre, et celles

Que l’on ne pourrait approcher,

Qu’elles soient stars ou starlettes.

.

Au final je ne peux guère rencontrer

Que des gens qui me ressemblent voire

En plus ou en moins mais en tous cas qui

Ne me sont pas opposés, encore que l’on dit,

Que des fois, bien des contraires s’attireraient,

Se rejoindraient, quand ils ne s’épouseraient pas,

Durent ensemble, donnant tort à toutes prédictions.

.

Quelqu’un  qui me ressemble, quelqu’un  de différent :

Voilà bien le dilemme et pas toujours simple à résoudre.

.

Sur le plan quantitatif, la chose est strictement impossible

Qualitatif, elle l’est de même et de fait par âge, sexe, métier,

Affectif, le choix est  encore  plus restreint : électif ou imposé

N’en demeure pas moins que  les réseaux  sociaux, numérisés

Sont une tentative  courageuse, mais  illusoire  et désespérée,

De remettre des places publiques  en contacts, sinon privées.

En principe on peut tous se rencontrer mais en réalité, non.

Quand on se marie, l’on ne séduirait plus personne d’autre

Quand on se sépare, c’est pire, tous les amis se retirent.

.

On peut rencontrer beaucoup de gens

Surtout si on est en campagne élective :

Ce ne seront que  d’éphémères fantômes,

Qui n’auront de contacts suivis avec vous.

.

S’il s’agit trouver partenaire pour se marier,

Le choix n’a plus rien de politique : que privé.

De ce fait, il devient restreint fonction critères :

Âge, sexe, apparence, métier, milieu … passions.

.

Les rencontres sont favorisées par les interactions,

Les opportunités diverses et variées, disponibilités.

Faut-il encore, lors établies, les nourrir, entretenir,

On ne pourra guère tabler que sur quelques-unes.

.

.

669 – Calligramme

.

P O U V O I R   T O U S

Cela reste toujours possible,

En réalité, fort peu probable,

Vu le nombre  de potentialités.

 Nous  ne  sommes, en rien, égaux,

Certains sont timides…voire réservés

Lors d’autres sont proactifs et sociaux.

Le tri s’opère selon filtre de ce qui a plu,

Les fréquentations  sont plus éclectiques

Que les amis, les partenaires, et les élus

Quand peut-on dire avoir rencontré,

Quelqu’un, quelqu’une, vraiment.

S E       R E N C O N T R E R 

Est-ce une question…de durée,

Ou d’intensité, de comment !

Et tous  nous  rencontrer !

En principe  …  c’est oui

Mais en fait, c’est non !

Lors rien n’est garanti

Entre filles,  garçons.

À cause des couleurs,

À cause des couleurs,

Par  dégout, pudeur,

De  l’état   de nature,

Jeune, beau  et fort ;

De  l’état  de culture :

Métier,  diplôme d’or.

À cause  des humeurs :

Caractère  incompatible

Des émotions, des cœurs

Plus ou  moins  sensibles.

Et puis, il  y  a  la  famille,

Les origines, ou  le milieu,

Les âges et les générations,

Les apparences les dictions.

Finalement, quand  on  trie :

Il ne  restera  que  bien peu :

Ceux  ressemblant  le  mieux,

À ceux  avec  lesquels, l’on vit.

En suite acceptation alter-ego

Celui, ou  celle  que …   j’aime,

Car, c’est  moi  qui  le barème,

Différences : mais   pas  trop !

EN FAIT,  OUI  ET  NON !

Chacun, en cercle ou errance,

Couple, famille, préférences,

Vous protègent ou coupent

D’une nouvelle rencontre

Sauf à aller à l’encontre

En coupant racines,

Tant   familiales

Qu’amicales

À jamais

Seul.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

669 4

.

Comme un clou ou une vis,

Qui  s’enfonce  ou  qui  glisse,

Ou simplement belle cravate,

Marquant différence de classe

.

La cravate a longtemps été un signe

De distinction entre classes

Entre ceux qui la portent  (les cadres)

Et les autres (les employés)

.

Symbolique 

.

Cravate est objet

N’ayant  aucun intérêt

Vestimentaire particulier,

Servant seulement d’apparat,

Qui s’impose, durant le xxe siècle,

Comme un standard vestimentaire,

Le plus souvent est associé à la tenue

D’un costume,  chez  les hommes aisés

Ou les hommes ayant fonction, emploi,

Les mettant en visibilité face au public,

Le port de la cravate est, autant, perçu

Comme un signe de distinction sociale

Que comme une contrainte sociale,

Quasiment toujours abandonnée

Hors de contexte professionnel.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

 .

668 – Peu de gens veulent vivre seuls ! 

  Alignement central / Titre absent   / Thème  rencontre

Forme  losange / Rimes égales /  Fond approché de  forme

Symbole de forme : cravate  / Symbole de fond : classes

.

.

Fond

 .

Évocation

.

669 6

.

La cravate a longtemps été un signe

De distinction entre classes

Entre ceux qui la portent  (les cadres)

Et les autres (les employés)

.

Symbolique 

 .

Avant de traiter ce qui importait

Le plus à l’auteur de La Distinction,

Les classes sociales comme dimension

Des luttes symboliques de classements,

Pierre Bourdieu  s’est  d’abord intéressé

Moins aux propriétés  de classes, en tant

Que  signes  de distinctions, sous la forme

De capital  symbolique, capable  d’assurer

Ce qu’il appelait  une «rente de distinction»,

Qu’à ce que les classes devaient aux relations

Qu’elles entretenaient, avec les autres classes,

Dans l’espace social, dès ses premiers travaux

Il critique, en effet, l’appréhension « réaliste »

Des classes sociales.

cairn.info/revue-societes-et-

representations-2004-1-page-385

 .

.

Corrélations

.

Liens fond/forme 

Il y a une distinction à faire,

Entre des rencontres possibles

Rencontres probables et réelles.

Première tient lieu de fantasme ;

Seconde, de proximité physique ;

Dernière, de contacts  prolongés !

.

Faut avoir des choses en commun

Faut vouloir approfondir le sujet,

Ne pas craindre  un  brutal rejet,

Voire aplanir  bien des inégalités

Notamment pour les caractères.

.

.

Se rencontrer tous ou presque

.

Scénario

.

Lieux de rencontres ne manquent pas, pour ceux qui veulent,

Qui pourraient bien se rencontrer dans ce trio amical ou pro,

Quel que soit l’autre : amateur, passionné ou simple curieux !

.

Visuels et textuels  >>

668 – Il y a peu de gens qui veulent vivre tout seul

Visuels et textuels >>

.

La solitude est un pesant fardeau,

Dit monsieur Jean de La Fontaine,

Et  s’il n’est pas seul, loin s’en faut,

Il est de ceux qui donnent la peine.

.

La peine d’être seul avec soi-même

Y compris  en cas de mal extrême,

Sans la compassion de tout autre,

Et qui se ferait, de vous,  l’apôtre.

.

Un cherchera deux mais non zéro

Aucun ami n’est jamais de trop,

Pour calmer le moindre bobo.

.

Il y a peu de gens qui veulent vivre seul,

Tant solitude est froide, comme linceul,

On dit qu’amour nait d’une intention,

De prédispositions à se rencontrer.

.

Tous sentiers mènent à l’autre :

Faut avouer que les sentiers

Se croisent et se séparent

Un peu, par  volonté,

Autant par hasard

Ou   à   l’occasion,

D’un lieu, moment,

Où dialogue s’instaure

Et que notre cœur bat fort

Pour  le  rendez-vous  suivant !

.

Naissent ainsi, nombre de passions,

Mais c’est parfois aussi après cheminant

Sur le même sentier, et, la même direction,

On prend le temps de s’aider ou se confronter

Chercher la formule pour mieux se réinventer.

.

.

Extensions

 .

Il y a peu de gens qui veulent vivre seul :

C’est souvent un choix forcé et non désiré.

« L’homme n’est pas fait pour vivre seul »

Lit-on en la Bible pour cela Dieu a créé

Sa compagne qu’on appelle sa femme.

.

Dit comme ça, c’est décider qu’elle

N’a jamais le droit d’être seule.

Homme et femme se mettent

En couple pour se reproduire :

S’ils ne se reproduisent, dira-t-on,

Ils préfèrent rester seuls, égoïstement !

.

Mais que ferait-on d’une solitude à trois,

Où l’enfant n’est pas aimé, accepté, éduqué,

Il est là, comme fruit du hasard, non désiré !

La solitude est bien un concept universel

Mais  elle se vit au niveau personnel,

Au cas par cas, en situation non originelle.

.

La solitude ne s’invente pas ; le couple, oui

Et pour l’adoucir mais si l’on se sent seul avant,

Que l’on s’aime comme cela, il y a peu de chances,

Qu’à deux, la solitude se transforme : on vivra à côté

De quelqu’un, quelqu’une, bien plus qu’avec.

.

Différents niveaux, différentes situations, de solitudes,

Solitude choisie, assumée et solitude subie, imposée ;

Solitude longue de maladie, de privation de liberté ;

Solitude face à son destin, ou face à sa … finitude !

La solitude  n’est pas l’état naturel   de l’humain,

Ce dernier acquiert ce statut grâce à ses pairs

Et être seul est donc  rester habité par eux

Je suis seul, et rien qu’avec moi-même,

Ne peut donc être que fausse vérité

Y compris au milieu de l’océan.

.

Vivre seul ne veut pas dire, pour autant,

Ne vivre qu’en soi, avec soi, que pour soi.

Il y a des gens vivant seuls tout en faisant

Tout ou presque pour les autres, en émoi !

.

Et par ailleurs, bien qu’étant très entouré,

On peut parfois se sentir des plus esseulés,

Parce que pas sur même longueur d’ondes

Pas compris, intéressé, par leurs facondes.

.

Partager sa solitude est bienfait pour tous,

Vous étouffe souvent que pour soi à garder.

Il faudrait aller vers l’autre pour y échapper

Sachant que vivre seul peut vous rendre fou.

.

.

668 – Calligramme 

 .

La   P  solitude est un pesant  V  fardeau,

Dit  E  ce monsieur Jean de la  I  Fontaine

Et     U   s’il n’est pas seul, loin   V  s’en faut

Il est   *     de ceux qui donnent  R   la peine.

La pei  D     ne d’être seul avec  E soi-même

Y com  E     pris en cas de mal  *  extrême,

Sans    *    la compassion d’  S  un autre,

Qui     G   se fera, de vous  E  l’apôtre.

Un      E    cherche deux U pas zéro

Ami   N  n’est jamais  L  de trop

Pour  S  le moindre S    bobo.

.

*************************

****************************

.

Il y a peu de gens  V   qui veulent vivre seul,

Tant solitude est   E   froide, comme linceul,

On dit qu’amour  U    nait d’une intention,

De prédispositi   L    ons à se rencontrer.

Tous sentiers   E    mènent à l’autre :

Faut avouer  N    que les sentiers

Se croisent  T    et se séparent

Un peu   *  par  volonté,

Autant   par hasard

Ou   à    l’occasion,

D’un lieu, moment,

Où dialogue s’instaure

Et que notre cœur bat fort

Pour  le  rendez-vous  suivant !

Naissent ainsi, nombre de passions,

Mais c’est parfois aussi après cheminant

Sur le même sentier, et, la même direction,

On prend le temps de s’aider ou se confronter

Chercher la formule pour mieux se réinventer.

.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

.

Petit tabouret,

Ou djembé, non,

Plutôt un sablier

Ou une clepsydre.

.

Que ce soit sablier ou clepsydre

La solitude est même pour tous,

Sa durée raccourcit  tout espoir

De se voir accordé à un amour.

 .

Un sablier coule du sable

Pendant  un  temps certain.

Si couple retournerait sablier,

Célibataire garde du même côté

.

Symbolique 

.

Le sablier est un instrument

Servant à mesurer le temps.

Il symbolise: tempérance

L’éternité, prudence,

Recommencement.

Lors il est associé

Au temps   cyclique.

Tant cet instrument peut

Être retourné indéfiniment,

Et c’est donc le même sable qui

S’écoule dans le récipient opposé.

symbolise éternel recommencement.

1001symboles.net/symbole

/sens-de-sablier

.

Descriptif

 .

668 – Peu de gens veulent vivre seuls ! 

  Alignement central / Titre analogue   / Thème  solitude

Forme  conique / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : sablier  / Symbole de fond : clepsydre

.

.

Fond

 .

Évocation

.

668 6

.

Une clepsydre sera comme sablier

Avec deux bols dont un percé,

Et duquel coule un filet d’eau

Comme deux vases communicants !

.

Symbolique 

 .

À l’origine, la clepsydre

Est  un  instrument  à eau

Qui  permettait  de définir

La durée d’un évènement,

Ou la durée d’un discours

On a contraint  la durée

D’évènement au temps

De vidage d’une cuve

Contenant de l’eau

Qui s’écoule par

Un orifice.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Quand le temps passe parfois il lasse

Il y a quelque chose qui nous dépasse,

Il y a quelque chose qui nous tracasse,

Temps devient fardeau qui nous peine,

Sans ami, sans couple … communauté,

Le temps n’a plus  d’accroche, ni durée.

.

D’être seul à vieillir autant qu’à mourir

Ne peut que nous faire gémir et souffrir

L’homme n’est pas fait pour vivre seul :

Bien que certains  le souhaitent, veulent

Ils finiraient, un jour, par le regretter !

 .

.

Célibat, marié, divorcé, veuf ?

.

Scénario

.

Vivre seul c’est parfois vraiment être très seul, tout seul,

certains y voient une connexion directe avec le divin,

autres le font pour changer ou fuir le quotidien !

 .

Visuels et textuels >>

Qui veut choisir doit aussi se faire choisir

Visuels et textuels >>

.

Le choix : l’avons-nous !

Le choix, le forçons nous !

Le choix : le rejetons-nous !

Le choix : y  croyons-nous !

.

Réciproque ou non réciproque ;

Pas réciproque au début, plus tard ;

Réciproque au début, pas plus tard ;

Tous cas  seront  dans les possibles.

.

On vous parle caractères, passions,

De sentiments, affinités  électives

Sauf si ce seront les apparences,

Qui importent et qui l’emporte.

.

Qui veut

Choisir, doit

Se  faire  choisir,

Par l’autre, en tous cas.

On peut aimer qui on veut,

Au moins, aimer  qui on peut

Mais s’il parait qu’on se choisit.

.

Qui préside  aux amours consentis :

Le choix se ferait  parmi  des milliers

Il en suffit d’un qui soit en réciprocité

Qu’il soit durable  ou en essai pour voir,

Chacun  ses attentes  et  ses  désespoirs.

.

Affinités électives est porte de la liberté.

Amour devient enjeu où, ne pas tricher

Est se déclarer à l’autre  tel que l’on est,

Laisse un miroir  où  l’on reste  surfait.

.

Place  aux Meetic, Face-book, Twitter

Le choix est grand  et  à  toute  heure

Frissons garantis,  déceptions  aussi,

Passant,  d’affinités  d’amis,   au  lit.

.

Choisis-moi, pour que je te préfère,

Devant ce tel annuaire à la Prévert

Comment savoir  si ça marchera,

Quand  hasard  autant  réussira,

À marier des affinités électives

Le temps  ‘une rencontre vive

Où l’on a rêvé d’avoir trouvé

Son alter-ego pour moitié.

Altérités : je  vous hais !

Affinité : tu me plais !

Je ne sais qui tu es,

Amour m’y mets.

J’y resterai, si,

Toi … aussi

Te réjouis

Esprit.

.

.

Extensions

 .

Choisir, être choisi, cela s’appelle la réciprocité,

Je te plais, tu me plais, on se plait, marions-les.

Facile à faire mais déjà plus difficile à défaire

Et puis s’aime-t-on pour les mêmes raisons

Pas certain mais pour autant le sait-on

Choisir pour un soir et pour la vie

À bon entendeur  …  salut !

Car le dire deux fois

Serait trop

Déjà

V

.

Alors qui choisit qui :

Avec réciprocité, ou non !

Le premier qui rencontrera

L’autre ; premier qui le quitte

Autant de questions, solutions,

Qui tournent en boucles en têtes

Jusqu’à ce qu’union se concrétise.

.

On dit parfois que le choix est biaisé

C’est pas nous, c’est notre inconscient

Qui nous l’impose en dehors de liberté

Parler de choix et de hasard en amour,

Reviendrait alors au même : en baiser !

.

Que penseront les autres de votre choix,

Qu’en savent-ils de construction du nous,

Combien de fausses projections, pour soi,

Renforçant ou  détruisant tant de couples,

Au lieu de les laisser faire, défaire leur nid.

.

.

Épilogue

.

Choisis-moi pour que je te préfère

Comme amant, mari, et non frère,

Tu m’aimes…n’en fais pas mystère

Malheureux, sans toi, sur  la Terre.

***

Voilà une histoire d’amour qui roule

Enfin, dans ta tête et dans tes désirs,

N’en faudra pas plus pour son plaisir

Or en réalité comment cela se déroule

***

En nombre étapes, autant hésitations,

Quand  ce n’est pas refus, en question,

La réciprocité n’est pas chose acquise,

D’emblée : elle se doit d’être conquise.

***

Suffirait-il  de  lui offrir  un pendentif,

Avec une émeraude, ou un cœur en or,

Pour attraper ce dernier comme captif

Offre précieuse mais symbole : dehors.

***

Peut-être  était-ce trop tôt, trop brutal,

Elle l’aura pris comme instinct animal,

De s’offrir sa proie, et au moindre mal,

Montrer il serai le meilleur des mâles !

.

.

667 – Calligramme  

 .

Choix, avons-nous !

Le choix, le forçons nous !

Le choix, le       rejetons-nous !

Le choix   y              croyons-nous !

Réciproque et             non réciproque !

Pas réciproque             début, plus tard !

Réciproque au            début, plus tard ! 

Tous cas seront       dans les possibles !

On vous parle de caractère, passion,

De sentiment, affinités électives

Alors que c’est l’apparence,

Qui l’emporte !

.

Qui veut

Choisir,   doit

Se    faire    choisir,

Par l’autre,      en tous cas.

On peut aimer   Q      D  qui on veut,

Au moins aimer    U      O        qui on peut

Mais s’il parait      I         I   qu’on se choisit.

Qui préside  aux    *           T   amours consentis.

Le choix se ferait   V            *     parmi  des milliers

Il en suffit d’un      E              S      qui soit réciprocité

Qu’il soit durable   U              E   ou en essai pour voir,

Chacun ses atten    T              *    tes  et ses désespoirs.

Affinités électives   *               F  est porte de la liberté.

Amour devient en   C             A   jeu où, ne pas tricher

Et se déclarer  à     H            I    l’autre, tel qu’on est,

Laisse un miroir    O           R    où l’on reste surfait.

Place  aux Meetic  I           E    Face-book, Twitter

Choix est grand     S          *     et  à  toute  heure

Frissons garantis   I        C    déceptions  aussi,

En passant d’affi    R     H    nité, amis au  lit.

Choisis-moi, pour      O  que je te préfère !

  Devant  un tel  an    I   nuaire à la Prévert

Comment savoir  S    si ça marchera,

Quand hasard    I  autant  réussira,

 À marier des R  affinités électives

Le temps  d’une rencontre vive

Où l’on a rêvé d’avoir trouvé

Son alter-ego pour moitié.

Altérités : je  vous hais !

Affinité : tu me plais !

Je ne sais qui tu es,

Amour m’y mets.

J’y resterai, si,

Toi  …  aussi

Te réjouis

Esprit.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

667 4

.

Silhouette d’extra-terrestre

Flacon  de  parfum, bouchon,

Pendentif du genre émeraude

Et anneau d’attache à un collier.

.

Une émeraude devrait suffire,

 Pour attirer l’attention sur … soi :

Lors ce pendentif sera en accord,

Avec soi et avec ses sentiments.

.

Symbolique 

 .

Les émeraudes

Auraient pour vertu

De  renforcer  le  système

Immunitaire et permettraient

Au corps de se défendre contre

Les attaques virales étant type

Grippe ou angine, également

Des capacités en matière de

Purification foie pancréas.

Les vertus de l’émeraude

Seraient    revigorantes

Autant  fortifiantes.

Vert apporterait

Harmonie

Et paix

vuillermoz.fr/

page/emeraude

.

Descriptif

 .

667 – Qui veut choisir doit se faire choisir  

  Alignement central / Titre analogue   / Thème  choix

Forme  en ovale / Rimes égales /  Fond approché de  forme

Symbole de forme : émeraude / Symbole de fond : pendentif

.

.

Fond

.

Évocation 

.

667 6

.

Une émeraude devrait suffire,

 Pour attirer l’attention sur … soi :

Mais aussi autre pendentif, en

 Accord, avec ses sentiments.

.

Symbolique

.

Bijoux,

Pendentifs,

Que nous portons

Contribuent à former

Notre    personnalité.

Certains ne jureront

Que par des colliers

Très fins, discrets,

D’autres par des

Formes larges

Et visibles.

.

Chaque personne

À ses  préférences,

Qui   disent  quelque

Chose de nous, choix.

.

Témoins des histoires

De chacun ou simple

Coup de cœur, les

Pendentifs sont

Comme un

Ornement

Et  livrent

Leur beauté

Naturellement,

Harmonie avec

Celui, ou celle,

Qui les porte.

.

.

 Corrélations

Fond/forme 

.

Nos bijoux se portent comme porte-parole

Surtout quand ils sont mis en pendentifs

Sur poitrine pour mieux les admirer.

Il y en aura des cents et des milles

Certains avec une seule pierre,

Autres avec un assemblage

Aucun choisi au hasard

C’est parfois lui qui

Attire   et   qui

Vous  ira

Bien

V

.

.

De la réciprocité

.

Scénario

 .

Échec est inscrit en rouge lors succès, écrit en vert.

Se faire montrer du doigt : bon ou mauvais exemple ?

Choisir, parfois … s’impose, parfois, aussi, se rationalise !

.

Visuels et textuels >>

666 – Joie du début de rencontre, déjà peur de sa fin

Visuels et textuels  >>

.

La joie  est tou-

Jours empreinte

Certains   diront

«En – ta – chée »

Par la peur et la

Peine  de  sa  fin

Tant rien ne du-

Rera … demain.

.

Le début est parfois prometteur, lors la fin, toujours destructeur.

Il ne faudra pas  en être chagrin : tout ce qui a un début, a une fin.

C’est vrai de toute rencontre : inutile argumenter le pour et contre,

Même si on choisit jouer montre, la mort, chaque fois, démontre.

.

Enfin on peut croire

 Qu’en ….… l’éternité,

Amants … se retrou

Veront, rencontrés !

.

Mais …  sous quelle

Forme et pourquoi,

Si tous les autres ne

Les  entourent  pas !

 .

Joie du début d’une rencontre,

Peur de sa fin,

Joie, vie,  commune marche bien

Peur que non.

 .

 Tout début est, souvent, prometteur

D’un bonheur

Alors qu’à la fin on ne voit plus bien,

Même chemin.

 .

Cela ne marche  pas, à chaque fois :

Il suffit d’une

Une, chacun  l’espère, s’en satisfera,

Aimant.

 .

Si longtemps qu’à la fin ils hésitent,

Pas terminé

D’aucune façon, ils se sont préparés

Pour se séparer.

 .

Pour certains, c’est la loi du genre

Tous s’y affrontent,

Jouent au dé jouent la montre,

Mais à  l’encontre.

 .

Chance, volonté, persévérance,

Il faut lutter

Pour avoir droit de s’aimer

Une éternité.

.

.

Extensions

 .

Joie du début d’une rencontre :

Attention à ne pas bouder son plaisir,

Un tel bonheur est toujours bon à prendre.

Peur de sa fin : attention à ne pas l’anticiper

Parce qu’on vous a dit que ça ne marchera pas.

.

Si la peur de la fin empêche tout début d’advenir,

Vous demeurez coincé en une contradiction extrême.

«Six cent-soixante-six est, soit disant, chiffre du diable.»

Serait-ce lui qui introduit le doute en amour, la faille !

.

Tout bonnement, tout connement, tout humainement,

Nous seul dès lors que confiance ne devient évidence.

Peur de perdre l’autre, peur de se perdre en lui,

Voire peur de perdre confiance en soi

Sont autant  de poisons  de l’amour.

.

Toute vie, en commun, reste un pari

Sur l’avenir, jamais défini, d’avance,

Et qu’il faudra construire, pas à pas.

.

L’angoisse  de la perte de l’amour, abandon précoce,

Est profonde, durable, obsessionnelle, chez certains

Qui ne font confiance  à personne même en mariage

En étant persuadé que  leur union aura vite une fin,

Et ce au point de la  précipiter pour en être certain !

Dans une telle condition, il ne faut rencontrer aucun,

Ou simplement se contenter de les succéder un par un.

.

Toute rencontre a fatalement un début et une fin,

Sachant que rien n’est stable et rien n’est définitif

.

Il faut se dire qu’autre du couple peut disparaitre

Non par accident, maladie, autre cause…mortelle

Mais par rupture, abandon, déménagement, etc.

.

Quand la confiance règne,  rien ne peut arriver,

Y compris  cas petit dérapage, petite infidélité,

La seule chose qui compte, demeurer le pilier !

.

Oui mais quand même on ne peut tout tolérer

On pardonne une fois ou deux, à la troisième,

On se posera la question : est-ce, déjà, la fin.

.

.

Épilogue

 .

Tout ce qui a un début a une fin,

Comme naissance aura une mort.

***

Il sera impossible de s’y soustraire

Personne ne vous dira le contraire.

***

L’amour, bien que soi-disant éternel

Dès qu’il s’incarne, subit même sort !

***

Je comprends qu’on ait peur de sa fin,

Bien que souvent remise au lendemain.

***

En attendant, sa rencontre, faut la vivre,

Jusqu’à plus soif, jusqu’à en devenir ivre.

***

La peur de la fin  est une angoisse diffuse,

Que chaque jour actualités nous infusent :

***

Vivre à plein chaque jour comme dernier,

Choisir qu’il vaut mieux ne pas y penser :

***

 Telle est alternative nous étant proposée

Pour garder joie de rencontrer… intacte.

***

Joie du début mais peur de la fin, contre

La peur du début mais la joie de la … fin.

***

Quand une rencontre  ne satisferait plus,

La fin est en effet meilleure que le début.

***

Tout cela pour vous dire  qu’un tel écrit,

N’est ni fait ni à faire, sans début ni fin.

.

.

666 – Calligramme

 .

La joie  est tou-

Jours empreinte

Certains   diront

«En – ta – chée »

Par la peur et la

Peine  de  sa  fin

Tant rien ne du-

Rera … demain.

Le début est parfois prometteur, lors la fin, toujours destructeur.

Il ne faudra pas  en être chagrin : tout ce qui a un début, a une fin.

C’est vrai de toute rencontre : inutile argumenter le pour et contre,

Même si on choisit jouer montre, la mort, chaque fois, démontre.

Enfin on peut croire

 Qu’en ….… l’éternité,

Amants … se retrou

Veront, rencontrés !

Mais …  sous quelle

Forme et pourquoi,

Si tous les autres ne

Les  entourent  pas !

J ….

Joie du début ‘  d’une rencontre,

Peur   O  de sa fin,

  Joie, vie,  com I mune marche bien

Peur  E  que non.

*  ….

   Tout début est  D  souvent prometteur

D’un  E  bonheur

   Lorsqu’à la fin  *  on ne voit plus bien,

Même  R      chemin.

E …..

Cela ne marche  N  pas, à chaque fois :

Il suf  C   fit d’une

Une, chacun  l’es O   père, s’en satisfera,

Ai   N   mant.

T …..

Si longtemps qu’R  à la fin ils hésitent,

Pas E terminé

D’aucune façon *  ils se sont préparés

Pour    P se séparer.

E……

Pour certains,  U  est la loi du genre

Tous s’y  R    affrontent,

Jouent au dé  *  jouent la montre,

Mais à  D  l’encontre.

E …..

Chance, volon  *   té, persévérance,

Il faut F       lutter

Pour avoir     I  droit de s’aimer

Une    N  éternité.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

666 4

.

En haut, croix chrétienne ;

En bas, un grand  piédestal

Autant  que  tire-bouchon

En goulot d’une bouteille ?

.

Joie lors on débouche une bouteille

À l’aide d’un tire-bouchon

Et peur qu’elle soit, trop vite, vide :

 Vide d’air, oui, de sens aussi !

 .

Symbolique 

.

Tire-bouchon vient du verbe « tirer »

Nom « bouchon », qui en latin donne « bucco ».

C’est en quelque sorte l’outil  qui sert  à extirper

De son logement la parcelle de matière, faite

De liège qui, d’un côté est

Au contact du liquide,

Et  de  l’autre  côté

À proximité de qui

Fait l’action de tirer.

On situe mal invention

Réelle tire-bouchon mais

Généralement on l’attribue

À l’observation des  animaux

Proches du porc qui de par leur

Partie  caudale, queue, évoquent

La spirale que nous connaissons.

Modifié, source : ledifice.net

.

Descriptif

.

666 – Joie début de rencontre, peur de fin

  Alignement central / Titre droit   / Thème  rencontre

Forme  droite / Rimes variées /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : tire-bouchon / Symbole de fond : bouteille

.

Fond

 .

Évocation 

.

666 6

.

Joie lors on débouche une bouteille

À l’aide d’un tire-bouchon

Et peur qu’elle soit, trop vite, vide :

 Vide d’air, oui, de sens aussi !

 

Symbolique 

 

Rêver de voir une bouteille pleine :

Rencontres amicales, bonheur détente ;

Voir une   bouteille, avec  du vin : richesse ;

Voir   une  bouteille   vide : un   petit   incident ;

Laver une bouteille : clarification situation confuse ;

Voir  une bouteille  cassée : prudence, risque de fracture ;

Voir une bouteille à la mer : avoir des nouvelles de l’étranger.

dictionnaire-des-symboles-de-reve

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Une bouteille de vin et un tire-bouchon

Sont fait l’un pour l’autre … et pour nous.

Après débouché, peur que vin soit pas bon

Après y a voir gouté, l’avoir bien apprécié

Peur que la fin de la bouteille, arrive vite

Nous laisse comme goût amer abandon

Chacun est libre de son interprétation

Chacun met ce qu’il boit en bouteille

Devenir est qu’elle devienne vide,

Chacun peut à nouveau remplir.

 .

.

Abandonné comme vieux jouet

.

Scénario

.

Au début tout est magique : tout parait si magnifique,

mais déjà la peur de perdre, sourdement, m’a envahi,

au point que je vis rencontre, de manière tragique !

 .

Visuels et textuels  >>

665 – Solitude est immense si on ne vous aime plus

Visuels et textuels  >>

.

Solitude en amour

Est prison intérieure

Bien que prison à deux

Ne soit guère  meilleure.

.

D’être aimé, se croire aimé

Qui revient parfois au même

Aide à vivre, sinon à survivre,

Confiance, espérance, garder.

.

Le doute, il est vrai, s’instaure,

Si on lui donne raison  ou tort,

On s’approche, alors, de mort,

En s’enfonçant en la solitude.

.

La solitude  est  adoucie  par,

La sollicitude  qui nous évite,

La vicissitude  luttant contre

Habitude  de se croire  seul.

.

S’il n’y a plus de sollicitude

On vit à  tombeau  ouvert,

Tout est futile, et inutile :

On est état Alzheimer.

.

Solitude est immense si on ne vous aime plus

Quand vous le découvrirez, brutalement,

Au détour de phrase, anodine en sus,

D’un geste ou d’un événement.

.

Vous cherchez depuis quand,

Depuis hier, un an,  plus longtemps,

Impossible de savoir mais doute est là,

Et c’est lui qui en son temps vous cassera.

.

Qu’ai-je donc fait, qu’ai-je mal fait ou pas fait,

Que n’aurai-je dit, qu’ai-je mal dit, n’ai-je pas dit.

Autant de questions qui tomberont, à plat : nenni !

Simplement, amour autre parti, lors, je suis refait.

.

N’étant pas  au courant : de pouvoir, lutter contre,

Je ne suis nullement allé au-devant, à la rencontre,

De celui ou de celle qui commençait, à  m’ignorer,

M’enlevant jusqu’au désir, et la force, de l’aimer !

.

Lors,  si les jeux sont faits,  sollicitude  est futile,

Je n’ai qu’à me considérer que comme imbécile

Me projeter en un ailleurs qui m’est plus utile

Pour adoucir ma solitude paraissant fragile.

.

.

Extensions

 .

Être seul n’osant pas être deux ;

Être seul si on n’a d’alter-ego ;

Être seul si on vous a quitté,

Sont variantes de solitude.

.

Le pire est rejet de l’autre, négation :

«Je ne t’aime pas, d’ailleurs, à vrai dire,

Je ne t’ai jamais aimé : qui pourrait

Bien aimer un être comme toi !»

Seul dans un couple où l’autre

Se dit seul aussi de son côté,

Font deux solitudes qui se

Côtoient sans rien communiquer.

.

L’autre est le miroir, de son isolement.

«Toi, t’es fait, t’es bon que pour vivre seul »,

Est comme le condamner à la prison à perpétuité,

L’enfermer en lui-même, le mettre au ban de la société.

L’écrivain est toujours seul quand il écrit, jamais seul

Quand on le lit comme l’amoureux est toujours seul

Quand il rêve, par définition, jamais lors il baise.

.

La solitude est sensation de mise à l’écart de tout le monde,

Vous êtes seul face à vous-même, et rien ne peut vous aider

La posture la plus visible et connue est celle, recroquevillée

Ou la main sur la vitre, pour dire qu’on n’atteint plus rien.

C’est sûr, c’est un état qui détruit de l’intérieur, l’humain,

Car si vous avez l’impression que personne ne vous aime

Vous êtes proche de haine de vous-même, du prochain.

.

Les causes et situations de solitude,

Seront très nombreuses et variées.

Déjà, si elle est choisie, ou subie,

Ensuite, si on est isolé ou pas,

Enfin, si y a pas de solution

L’on est seul… au monde !

.

Seul au monde, on ne peut

Dès que quelqu’un vous aime,

Que ce soit conjoint, parent, ami

Lorsque des fois, un seul être suffit,

Pour combler une solitude, immense,

Et, en société, re-rentrer dans la danse.

.

L’écriture est un grand moment de solitude,

C’est souvent ce que ressentent, disent auteurs

Mais ce ne serait qu’un simple isolement externe

Dès lors que l’esprit est peuplé d’une foule de gens

Dialoguant avec lui, quand ce n’est pas… entre eux :

Et ainsi l’on se créerait son propre théâtre… intime !

.

.

665 – Calligramme 

 .

Solitude     S  en amour

Est prison    O  intérieure

Bien que pri   L    son à deux

Ne soit guère   I        meilleure.

D’être aimé, se      croire aimé

Qui revient par  U   fois au même

Aide à vivre, si    D  non à survivre.

Confiance, espé   E   rance, gardées

Le doute,  il est    *   vrai, s’instaure,

Si on lui donne    E  raison ou à tort

On  s’approche,   S    alors, de mort,

En s’enfonçant    T    dans solitude !

La solitude est    *       adoucie  par,

La sollicitude      I    qui nous évite,

La vicissitude    M   luttant contre

Habitude  de     M  se croire  seul.

S’il n’y a plus    E   de sollicitude

On vit à  tom   N  beau  ouvert,

Tout est futi   S le, et inutile :

On est état   E  Alzheimer.

.

*****************************

**********************************

.

Solitude est immense si on ne vous aime plus

Quand vous le découvrirez, brutalement,

Au détour de phrase, anodine en sus,

D’un geste ou d’un événement.

.

Vous cherchez depuis quand,

Depuis hier, un an,   S   plus longtemps,

Impossible de savoir   I   mais doute est là,

Et c’est lui qui en son     * temps vous cassera.

      O

Qu’ai-je donc fait, qu’ai-     N   je mal fait ou pas fait,

Que n’aurai-je dit, qu’ai-je   *   mal dit, n’ai-je pas dit.

Autant questions qui tom    N    beront, à plat : nenni !

Simplement, amour autre     E   parti, lors je suis refait.

      *

N’étant pas, au courant,         V      pouvoir, lutter contre,

Je ne suis nullement allé au   O     devant, à la rencontre,

De celui ou de celle qui com   U      mençait, à  m’ignorer,

M’enlevant jusqu’au désir      S         et force, de l’aimer !

       *

Lors si les jeux sont faits       A       sollicitude est futile,

Je n’ai qu’à me considérer    I      que comme imbécile

Me projeter en un ailleurs  M      qui m’est plus utile

Pour adoucir ma solitude  E       paraissant fragile.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

665 4

.

Deux verres à l’envers,

Petit et grand, superposés,

De  formes, de tailles différentes 

Et aussi d’usage selon ses humeurs

.

Verre et humeur vont parfois ensemble

le verre à moitié plein ou à moitié vide,

mais si vous le renverser, plus d’espoir,

tant et si bien que forme diffère du fond.

.

Toute solitude, c’est le Monde,

 Ou  c’est le verre, à  l’envers !

Le plein d’humeur morose est

En bas et le vide est en haut !

 .

Symbolique 

 .

Le verre est un des

Premiers matériaux

Mis au point, rêvé par l’homme.

Il est le symbole et de la fragilité,

La finesse et la transparence.

.

Par exemple, la pantoufle

De verre de Cendrillon

 Dans le conte de Charles Perrault

Et dessin animé de Walt Disney.

.

Il est souvent considéré

Que dans le conte original,

La pantoufle était de vair,

Perrault a écrit sa version

De l’histoire avec une

Pantoufle de verre,

Le dessin animé

Reprendra

L’ idée.

Wikipédia

.

Descriptif

.

665 – Solitude est immense si on ne vous aime 

  Alignement central   /   Titre droit    /  Thème  solitude

Forme  conique / Rimes égales /  Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : verre / Symbole de fond : humeur

.

Fond

 .

Évocation 

.

665 6

.

Toute solitude, c’est le Monde,

Lors c’est le verre, à  l’envers,

Plein  d’humeur  morose  est

En bas et le vide est  en haut !

 .

Symbolique 

 .

L’humeur est un

État d’âme persistant.

Elle diffère de l’émotion

En ceci   qu’elle est moins

Spécifique,  moins intense,

Et moins influencée par des

Événements récents, même si

Des émotions telles que la peur

Et surprise, sont  des sentiments

Parfois sévères, et pouvant durer

Des heures même voire des jours.

.

L’humeur pourra bien avoir une

Connotation positive, négative.

En langage courant, on parle

De « bonne » humeur ou de

«Mauvaise » humeur.

Wikipédia : humeur

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le verre est un contenant,

Le verre est transparent :

L’humeur, elle, ne l’est pas,

On la voit, on la sent, boit,

La solitude est ainsi qu’elle

Ressemble à un verre vide

Vide de liquide, et de sens

Et qui plus est renversé

Et pas … renversant.

.

.

Écrit dans le secret de sa solitude

.

Scénario

 .

Mon cœur est  tombé sur chaussée, personne ne remarque : oublié !

En mon couloir, je demeure prostré, personne ne passe me relever !

Derrière ma vitre, je reste enfermé et incapable de communiquer !

 .

Visuels et textuels  >>

664 – Je ne peux en vouloir à personne de ne pas

Visuels et textuels >>

.

Rester attrayant, vieillissant,

Est art consommé du paraitre,

Si  ce n’est  de l’être, d’intérieur

Seul à être vu par transparence !

.

Vieillissant, charme et tendresse,

Remplace force, sexe  et  adresse,

Impensable  de faire abstinence.
Vieillir, n’est pas une pénitence.

.

C’est le lot de tous, loi du genre

Et l’essentiel n’est pas de baiser

Comme une bête, mais d’aimer,

Avec cœur et tête, qu’on ébranle.

.

Comment en vouloir à quelqu’un,

De n’avoir pas vingt ans, vie durant,

Y a plus de consonnes que de voyelles,

Consonnes sont ans, voyelles, amours.

.

Je ne peux en vouloir, à personne,

De ne pas me trouver attrayant

Surtout quand… vieillissant,

Temps de déplaire sonne.

.

D’autres plaisirs, d’autres soupirs,

Remplacent du sexe, fou désir

Pour autant, non occultant,

Un plaisir doux, d’avant.

.

Si fait que charme, et, tendresse,

Compensent force et adresse

Quand essentiel redresse

Sa passagère paresse.

.

Je souhaite, bon temps, bon vent,

À celui qui se rendra abstinent,

Ame, esprit, cœur : contents,

Ne font pas de lui, amant.

.

Et pourtant, il aime, et il aimera,

Toujours mais plutôt de loin,

En prenant très grand soin

De ses anciennes amies.

.

Qu’amours  … charnels  … sensuels,

Se transformeront en ……. rappels,

N’a rien toutefois …..…. de virtuel,

Sont affections .….…. bien réelles.

.

Je ne peux en vouloir à personne

De ne pas utiliser de consonnes

Que voyelles laissent à désirer

Au lieu, contraire, les aimer.

.

.

Extensions

.

Comment en vouloir à quelqu’un

De vieillir dès lors que ce sera le lot

De chacun, en vie, qu’on y peut rien.

De vieillir prématurément, peut-être,

Suite à une maladie contractée auprès

.

D’un autre  ou d’un accident provoqué,

Ou encore de mauvaises  ou de pénibles

Conditions  de  travail, ou, de  mauvaise

Couverture  santé,  couverture  finances.

.

Sur le  fond, c’est une  norme  génétique,

Sur  la  forme, que  des  cas  particuliers.

De bien vieillir est tout comme demeurer

En bonne santé et en capacité psychique

.

Art consommé sans garantie confirmé :

Des buveurs et des fumeurs invétérés

Sont morts quasi centenaires,

Des macrobiotiques,

Cinquantenaires !

.

Expression courante «sourd comme un pot» concerne audition

Soit sous une forme de déficience de l’oreille et de malentendant,

Soit de volonté  de ne pas  entendre, combler demande  de  l’autre.

Parfois, il ne s’agit pas  de l’autre  mais   proprement, de soi-même,

Quand, arrivé  à  un certain âge, on se croit, encore, jeune, aguerri,

Ou quand des personnes ne comprennent pas  la portée de son art

Et comment pourrait-on à vouloir à quelqu’un de pas intéressé.

.

Je suis comme je suis, physiquement parlant

Si je dois en vouloir à quelqu’un : à mes parents

Par suite de leur hérédité, qu’ils ont acquis aussi.

Si parfois ça devient mieux, parfois, ça l’est moins.

.

Et puis il y aurait le soin  que l’on porte à soi-même :

On s’entretient  ou on se laisse aller, on abuse d’alcool,

On se retrouve à cinquante ans comme ayant soixante,

De qui voulez-vous que ce soit la faute hors vous-même

.

Et puis, sans être un séducteur né ou un vrai Don Juan

Y en a qui savant parler aux femmes et d’autres, non :

Sachant qu’inverse est vrai aussi : imaginer le couple

Cela ira bien au-delà d’une timidité, dite maladive.

.

.

664 – Calligramme

.

JE NE PEUX

Rester attrayant, vieillissant,

Est art consommé du paraitre,

Si  ce n’est  de l’être, d’intérieur

Seul à être vu par transparence !

Vieillissant, charme et tendresse,

Remplace force, sexe  et  adresse,

Impensable  de faire abstinence.
Vieillir, n’est pas une pénitence,

C’est le lot de tous, loi du genre

Et l’essentiel n’est pas de baiser

Comme une bête, mais d’aimer,

Avec cœur et tête, qu’on ébranle.

Comment en vouloir à quelqu’un,

De n’avoir pas vingt ans, vie durant,

Y a plus de consonnes que de voyelles :

Consommes sont les ans, voyelles, amours.

.

*****************************************

*****************************************

EN VOULOIR

Je ne peux en vouloir, à personne,

De ne pas me trouver attrayant

Surtout quand… vieillissant,

Temps de déplaire sonne.

.

D’autres plaisirs, d’autres soupirs,

Remplacent du sexe, fou désir

Pour autant, non occultant,

Un plaisir doux, d’avant.

.

Si fait que charme, et, tendresse,

Compensent force et adresse

Quand essentiel redresse

Sa passagère paresse.

.

Je souhaite, bon temps, bon vent,

À celui qui se rendra abstinent,

Ame, esprit, cœur : contents,

Ne font pas de lui, amant.

.

Et pourtant, il aime, et il aimera,

Toujours mais plutôt de loin,

En prenant très grand soin

De ses anciennes amies.

À PERSONNE

Qu’amours  … charnels  … sensuels,

Se transformeront en ……. rappels,

N’a rien toutefois …..…. de virtuel,

Sont affections .….…. bien réelles.

Je ne peux en vouloir à personne

De ne pas utiliser de consonnes

Que voyelles laissent à désirer

Au lieu, contraire, les aimer.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

664 4

.

Six pots empilés

éléments de colonne

Voire pots de terre et fer

Qui se casseront tous deux.

 .

Le pot est connu  pour se casser

facilement surtout s’il est en terre

aussi, plus curieux, pour sa surdité

son premier sens converge au fond.

.

Voilà six pots empilés, des plus communs,

Et sans allure :

Ils ont tous été rangés après avoir été utile,

Leur vie durant !

 .

Symbolique 

 .

Les  pots  horticoles

Remontent aux origines

Du jardinage,  néolithique

Ils  sont  fréquents  dans les

Jardins  de  toute l’antiquité.

Pots de fleurs : en terre cuite,

Mais existe aussi en plastique,

En bois, voire même en pierre.

Il en existe de toutes les tailles,

Du dé  à coudre  aux  énormes

Pots arboricoles couramment

Utilisés pour  les agrumes.

.

Descriptif

 .

664 – Je ne peux en vouloir à personne

  Alignement central   /   Titre intercalé    /  Thème  humeur

Forme  conique / Rimes égales /  Fond approché de  forme

Symbole de forme : pots / Symbole de fond : cassés

.

Fond

 .

Évocation 

.

664 6

.

Un pot de terre ou un  pot de fer

Ou l’un contre l’autre :

Ils s’affronteront leur vie durant

Se casseront tous deux.

 .

Symbolique 

 .

 Pot, récipient qui se casse

À ouverture large sans anse

Initialement destiné à contenir

Et à conserver  de la  nourriture.

Aujourd’hui, simple de forme  type

De poterie  tournée, ou  un  récipient

En diverses matières céramiques, grès,

Faïences, métalliques et destiné à recevoir

Liquides plus ou moins visqueux à chaud.

La cruche est un symbole de stupidité.

Le pot demi-plein est l’image du sot.

Source Wikipédia : pot

 .

 .

Corrélations

 .

Liens fond/forme 

Un pot n’aurait, en lui-même, ni vertu ni vice

Ce ne sont que les gens  qui lui en trouveront :

En dehors de définition générique : contenant ;

.

On lui attribue aussi  contenu : pot de confiture,

De même que boisson, payer un pot à quelqu’un,

Ou plus positif encore, avoir du pot, de la chance

Plus négatif : s’asseoir sur le pot pour ses besoins.

.

En réalité le contenant peut avoir la même utilité

Sans, pour autant, avoir la même fragilité, durée

Un pot en terre cuite est fait pour être remplacé,

Un pot en fer ou acier, affronte toute adversité.

 .

.

En vouloir à quelqu’un

.

Scénario 

.

Ne pas m’accueillir, amoureusement, quand je leur tends la main.

Ne pas comprendre  le contenu  du message, que je leur adresse.

Ne pas voir que, quel que soit mon âge, mon cœur bat encore !

 .

Visuels et textuels >>

663 – Un malentendu : quoi de plus commun !

Visuels et textuels  >>

.

Au début, j’ai cru

À un malentendu

Puis maladresse

Et malversation

Ou belle échelle

De toute gravité

De… situations

Conflictuelles

Ou confiance

À un pur vrai malentendu

Et puis, vers la fin, j’ai vu

Comme une malversation

Et  après  cela : impossible

De revenir   sur sa décision

De renouveler  sa confiance

En l’autre, et pour… de bon

Lors malentendu est pris pour

Malversation : il y a problème

Celui d’un procès  d’intentions

Qui est plus  fréquent qu’on dit

   .

Un malentendu : quoi de plus commun,

Je n’ai pas compris, j’ai mal interprété !

Un dialogue est plein de  sous-entendus,

Finissant par dériver en contre-vérités !

La maladresse est, un faux pas  de côté,

Qu’autre prend pour manque tendresse :

J’ai oublié  un rendez-vous, je confesse,

Bien que ce soit moi, qui l’aie  sollicité !

La malversation est comme perversion,

Un pur comportement de manipulation.

Je lui ai tendu un piège, il a fonctionné,

C’est moi qui mène un jeu mensonger !

.

Au début, j’y ai cru, à ses malentendus,

Par la suite, j’ai excusé ses maladresses,

Et, il  m’a paru  brouillon, un peu perdu,

Pressé de conclure, sans aucune caresse !

À  la fin je l’ai confondu en malversation,

Là, il aura eu beau me prétendre que non,

Ce fut vite la fin de  notre mauvaise union,

Je ne pourrai plus le croire… pour de bon !

Un malentendu survient suite à maladresse.

Était-ce acte volontaire,  était-ce par paresse

Toujours est-il, pour se rattraper de justesse,

.

Vers l’autre de suite, à fond,  on s’empresse.

Mais, malversation suite à une manipulation,

Comment comprendre et comment pardonner

Ne fonctionnant que par calcul et par inimitié

Elle est, elles sont, tout l’inverse de la passion.

Un malentendu : quoi de plus commun, certes,

Mais quand il se répète, il ne communique plus,

Il devient vrai obstacle, avec son plein d’inconnu

Lors ce n’est pas, simplement, plein non-entendu !

.

.

Extensions

Un malentendu, quoi de plus commun ;

Une maladresse : quoi de plus  humain ;

Une malversation : quoi de plus malsain !

Cette trilogie mine des couples peu avertis.

.

Sous-entendus sont sources de malentendus

Qui, suite au dialogue, prennent  des formes

Ou s’évanouissent, directement, en fumées.

L’intention prêtée à l’autre est la sienne.

.

Malentendu  à la question mal posée,

Maladresse  dans le choix des mots,

Malversation en la hauteur du ton

Concourt à se disputer sévèrement.

.

Est-ce à dire que la communication

Et le dialogue ne serviraient à rien et

Vaut mieux se taire, douter, encaisser.

Bien au contraire,  ils servent à dissiper

Les erreurs de jugements, de sentiments.

.

La contre-vérité tient lieu de provocation :

Prêcher le faux pour savoir le vrai : trompé !

C’est le dernier … c’est la dernière  … avec qui…

Ce qui est grave c’est de se quitter sur un malentendu

Et se rendre compte qu’il en était qu’un longtemps après.

.

Un malentendu n’est pas obligatoirement issu de mal entendu.

À l’origine peut-être : de nous jours, il s’agit  de compréhension

Différente, divergente, entre deux personnes  pour un contenu.

Entendons-nous bien, l’un n’empêche pas l’autre, évidemment

Mais parfois, il s’agit d’intention perçue, voire  sous-entendue,

Ou simple confusion entre significations du mot hors contexte

En ce cas, il sera important de demander à préciser sa pensée.

.

Je ne voudrais pas créer un malentendu

De plus, sur maladresse,  ni malversation :

Chacun pourra opter pour propre définition

À condition que son interlocuteur comprenne.

.

Langage, c’est connu, est la meilleure et pire des choses,

Plein de vertus pour se comprendre ; de vices, se défendre

Il y a comme une différence entre s’écouter et s’entendre ;

Puis il y a le sens propre, figuré ; premier, second degré.

.

Et faut tenir compte du contexte : où et à qui on parle

De tout ce qu’on a dit précédemment, des intertextes

Sans parler d’e nombre d’erreurs d’interprétations.

En bref, y a ce qu’on dit, et ce qu’on voulait dire !

.

.

Épilogue

.

Si on faisait, ici, un peu de sémantique

Comme d’autres font de la gymnastique,

Après tout, notre cerveau est bien organe

Qu’il faut muscler où des mots se glanent.

***

M, malentendu, maladresse, malversation,

On les entend parfois dans la conversation,

On pourra les remplacer  par d’autres mots,

Tels que : méprise, malavisé,  malveillance !

***

B comme bévue, comme bêtise,  brigandage ;

C comme  conflit,  couillonnade, concussion ;

D comme divergence, défaut, détournement ;

E comme  erreur, étourderie ou  escroquerie !

***

Il y a donc  quantité de mots  et  de subtilités,

Pour exprimer la même action ou même état,

Mais, dans cette palette, voire cette panoplie,

Chacun utiliserait le sien : d’où la confusion !

***

Cet écrit peut être jugé  par nombre critiques,

Comme une bévue, et voire comme une bêtise

Mais  personne ne citera  quelque brigandage,

Il y aura donc une échelle de valeur appliquée.

 

***

Revenons  au  sujet, mais de quoi parlions-nous :

De conversation dans un couple en pleine tension,

Le choix des mots y serait exagéré ou mal employé,

Fait que l’argumentation est dominée par l’émotion.

.

.

663 – Calligramme

 .

Au début, j’ai cru…..….…………..

À un malentendu …….…………

Puis maladresse,……….……….

Et malversation………………..

Ou belle échelle…….…………

De toute gravité………………

De… situations………………

Conflictuelles.………………

Ou confiance………………

.

  À un pur vrai malentendu….…………..

Et puis, vers la fin, j’ai vu.…………….

  Comme une malversation,…………….

   Et après cela : impossible .…………….

  De revenir   sur sa décision,…………..

 De renouveler  sa confiance………….

En l’autre, et pour… de bon…………

      Lors malentendu est pris pour…………

      Malversation : il y a problème :.………

      Celui d’un procès  d’intentions,…………

     Qui est plus  fréquent qu’on dit………

MALENTENDU

   .

   Un malentendu : quoi de plus commun,

    Je n’ai pas compris, j’ai mal interprété !

     Un dialogue est plein de  sous-entendus,

     Finissant par dériver en contre-vérités !

     La maladresse est, un faux pas  de côté,

       Qu’autre prend pour manque tendresse :

 .. J’ai oublié un rendez-vous, je confesse,

…. Bien que ce soit moi, qui l’aie sollicité !

…..  La malversation est  comme perversion,

…….Un pur comportement de manipulation.

…….Je lui ai tendu un piège, il a fonctionné,

……..C’est moi qui mène un jeu mensonger !

QUOI DE

……..Au début, j’y ai cru, à ses  malentendus,

………Par la suite, j’ai excusé ses maladresses,

………..Et, il  m’a paru  brouillon, un peu perdu,

…………Pressé de conclure, sans aucune caresse !

…………. À  la fin je l’ai confondu en malversation,

…………..Là, il aura eu beau me prétendre que non,

..…………Ce fut vite la fin de  notre mauvaise union,

……………Je ne pourrai plus le croire… pour de bon !

…………… .Un malentendu survient suite à maladresse.

…………….Était-ce acte volontaire,  était-ce par paresse

…………….Toujours est-il, pour se rattraper de justesse,

PLUS COMMUN 

……………..Vers l’autre de suite, à fond,  on s’empresse.

……………… Mais, malversation suite à une manipulation,

………………. Comment comprendre et comment pardonner

…………….….Ne fonctionnant que par calcul et par inimitié

…………………Elle est, elles sont, tout l’inverse de la passion.

………………….Un malentendu : quoi de plus commun, certes,

……………………Mais quand il se répète, il ne communique plus,

…………………….Il devient vrai obstacle, avec son plein d’inconnu

……………………… Lors ce n’est pas, simplement, plein non-entendu !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

663 4

.

Une tour penchée,

Bon ou, mauvais côté,

Telle  la Tour  de  Pise 

Ou un autre monument ?

.

La Tour de Pise serait-elle issue

De maladresse ou malversation :

En dépit de quoi, elle tient encore

Debout en monument de siècles !

 .

Symbolique 

 .

Considérée comme un chef-d’œuvre

De l’art roman toscan en marbre,

La  célébrité  vient, notamment,

D’inclinaison caractéristique

(Avec  un  angle  de 3° 59′),

Apparue très rapidement

Pendant  sa  construction,

Du fait qu’elle ait été édifiée

Sur une plaine très alluviale

Légende rapporte que Galilée

Laissa  tomber, simultanément

Du haut  de  cette  Tour de Pise,

Corps sphériques masses différentes,

Afin de montrer «à l’université réunie »

Que, dans une chute,  ces corps arrivent

Simultanément, et non  avec un retard

Entre eux proportionnel à leur masse,

Comme aurait présupposé, Aristote.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

663 – Malentendu : quoi de plus commun ! 

  Alignement central   /   Titre absent    /  Thème  dialogue

Forme  oblique /     Rimes libres /   Fond approché de  forme

Symbole de forme : Tour de Pise / Symbole de fond :

.

Fond

 .

Évocation 

.

663 6

.

La Tour de Pise serait-elle issue

De maladresse ou de malversation :

Autres monuments ont autre problème

Lors chacun le sien, comme il lui convient !

 .

Symbolique 

.

Monument désigne

Une grande  sculpture 

Un ouvrage architectural

Permettant    de    rappeler

Événement ou une personne

Et delà vient sa signification

Première de  … « tombeau ».

Mais, par  analogie, ce terme

Qualifie depuis  tout objet  qui

Atteste l’existence  et la réalité

De quelque chose   et  qui  peut

Servir  de  témoignage  comme

Une   langue, ou  une  peinture.

Dans un sens commun, le terme

«Monument » désigne  plutôt  un

Édifice ou une structure ayant

Valeur historique et culturelle.

Wikipédia modifié : monument

 .

.

Corrélations

.

Liens fond/forme 

La Tour de Pise est connue

Pour pencher sans tomber :

Ce ne serait pas un fait exprès

C’est juste le sol qui aura bougé

Et on ne peut bien  le redresser !

Mais l’on a entrepris des travaux

Pour contrebalancer déséquilibre

C’est ni malentendu, malversation,

C’est peut-être juste une maladresse.

.

.

Malversations ou pas

.

Scénario

.

Vous avez persisté dans la mauvaise direction : votre faute.

Un malentendu avec Trump : vous faites erreur, certainement !

Un malentendu avec votre ordinateur : d’affichage ou programme ?

 .

Visuels et textuels  >>

662 – Je n’étais rien, devenu tout, à nouveau rien

Visuels et textuels  >>

.

Si l’on n’est pas

Rien pour l’aimé

L’on n’est  jamais

Tout         non plus

Ce serait juste une

Fausse impression

Mais,  qui compte,

Plus que la réalité.

Le tout serait bien

Bien        d’y croire

Bien  vivant, parce

Que  mort, terminé.

Amour,  destructeur,

Amour, constructeur,

Seront tour à tour ou

Bien  simultanément,

Mais, par  définition,

Il ne  cesse,  de nous

Tromper si ce n’est

De se tromper.

 .

Je n’étais rien, je suis devenu tout et à nouveau rien :

C’est un scénario bien connu de tant de rencontres :

Lors ce qui nous a fait du mal, nous a fait du bien,

Quand nous étions l’un dans l’autre, tout contre.

.

Je n’étais qu’image … sur laquelle  tu as projeté

Être qui te plaisait  et correspondait à tes désirs,

Puis tu es entré dans ma réalité entre tes soupirs,

Mon image comme miroir déformant s’est brisée.

.

À force de rechercher en l’autre, le parfait amour,

Ou de le projeter à partir de toi ou tes fantasmes,

Tu t’es laissé  à croire, qu’il suffisait d’orgasmes,

Pour que tes liens s’établissent pour… toujours.

 .

Si je n’étais rien, puis tout, et soudain plus rien,

Je me suis trompé sur toi, sur tout, tout le temps,

La faute à qui … à personne… à notre aveuglement

Qui fait que j’ai pris, pour acquis,  tes virtuels liens.

.

L’on s’aime, plus ou moins, en partie, et jamais tout,

Tout est toujours à refaire, et sans cesse à reproduire,

Une partie donnée, au départ, une autre à construire,

Amour est une histoire de croire en histoires de fous.

.

De ses rencontres, de ses essais, ses échecs, erreurs,

On bâtit les bases d’un futur malheur ou bonheur,

Il n’est pire illusion que de se dire qu’on a trouvé,

L’amour par définition, ne cesse de nous tromper.

 .

S’être trompé est une chose, une autre, être certain,

Troisième : avouer à l’autre ; une dernière : le larguer,

Avec un message court, et sans appel : réponse acceptée,

Comme en s’adressant à une ombre perdue dans le lointain.

.

.

Extensions

.

Combien de personnes, pourtant montées sur leur piédestal,

En ont été descendus, de leur vivant,  sinon  après leur décès ?

À un moment, elles sont servies de modèles, guides, prophètes,

Et puis, les temps changeants et les opinions en faisant autant,

Elles ont été reniées, démolies, exclues de la vue, de l’histoire !

Il en est de même en amour, au sujet des célébrités, adorées,

Avant d’être ignorées, ou pires, vilipendées, tels des chiens.

Et il en est de même quand on a été tout, pour quelqu’un,

Et que soudain on devient rien, pas même un souvenir.

 . 

Cela n’est pas vrai qu’on est tout,  ni qu’on est rien,

On demeure, toujours, quelque chose entre les deux,

On bouge comme curseur, entre bonheur et malheur,

Parfois à cause des autres, mais parfois de soi-même.

.

Cela veut dire, en somme, qu’on se sur ou sous-estime.

Quant à savoir pourquoi, et sur quels critères objectifs

Il faudrait que j’en parle à mon docteur  ou à mon psy,

Qui me diraient : vous de juger là où vous vous situez !

.

.

662 – Calligramme 

.

Si l’on n’est pas

Rien pour l’aimé

L’on n’est  jamais

Tout         non plus

Ce serait juste une

Fausse impression

Mais,  qui compte,

Plus que la réalité.

Le tout serait bien

Bien        d’y croire

Bien  vivant, parce

Que  mort, terminé.

Amour,  destructeur,

Amour, constructeur,

Seront tour à tour ou

Bien  simultanément,

Mais, par  définition,

Il ne  cesse,  de nous

Tromper si ce n’est

De se tromper.

.

J E  N’ÉTAIS  RIEN,

Je n’étais rien, je suis devenu tout et à nouveau rien :

C’est un scénario bien connu de tant de rencontres :

Lors ce qui nous a fait du mal, nous a fait du bien,

Quand nous étions l’un dans l’autre, tout contre.

.

Je n’étais qu’image … sur laquelle  tu as projeté

Être qui te plaisait  et correspondait à tes désirs,

Puis tu es entré dans ma réalité entre tes soupirs,

Mon image comme miroir déformant s’est brisée.

.

À force de rechercher en l’autre, le parfait amour,

Ou de le projeter à partir de toi ou tes fantasmes,

Tu t’es laissé  à croire, qu’il suffisait d’orgasmes,

Pour que tes liens s’établissent pour… toujours.

DEVENU    TOUT,

Si je n’étais rien, puis tout, et soudain plus rien,

Je me suis trompé sur toi, sur tout, tout le temps,

La faute à qui … à personne… à notre aveuglement

Qui fait que j’ai pris, pour acquis,  tes virtuels liens.

.

L’on s’aime, plus ou moins, en partie, et jamais tout,

Tout est toujours à refaire, et sans cesse à reproduire,

Une partie donnée, au départ, une autre à construire,

Amour est une histoire de croire en histoires de fous.

.

De ses rencontres, de ses essais, ses échecs, erreurs,

On bâtit les bases d’un futur malheur ou bonheur,

Il n’est pire illusion que de se dire qu’on a trouvé,

L’amour par définition, ne cesse de nous tromper.

À   NOUVEAU   RIEN 

S’être trompé est une chose, une autre, être certain,

Troisième : avouer à l’autre ; une dernière : le larguer,

Avec un message court, et sans appel : réponse acceptée,

Comme en s’adressant à une ombre perdue dans le lointain.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

662 4

.

Un piédestal

Avec  célèbre statue

D’un empereur romain

Qui va être déboulonné !

 .

Symbolique

 

Un piédestal est

Un  support,  isolé

Qui sert à recevoir

Colonne ou statue,

Un buste  et  voire

Grand objet d’art

Voire  d’ornement

Vase, candélabre,

Stèle, ou fontaine.

Lors une personne

Idéalise quelqu’un,

De façon  exagérée,

On utilise l’expression

«Mettre sur un piédestal».

Et,  à l’inverse, « descendre

Quelqu’un  de  son  piédestal »

Est être déçu en regard de l’image

Positive qu’on avait de cette personne.

Modifié, source : Wikipédia

 

Descriptif

 

662 – Étais rien, devenu tout, à nouveau rien 

  Alignement central  /   Titre intercalé    /  Thème  amour

Forme  anthropo / Rimes égales / Fond approché de  forme

Symbole de forme : piédestal / Symbole de fond : déboulonné

 .

.

Fond

Évocation

 

Manque l’illustration ici 

De rien que j’étais avant je me retrouve

Sur très un haut piédestal :

Lors bien qu’étant haut, je me sens

Déjà prêt à être déboulonné.

.

Symbolique 

 .

« Le déboulonnage de statues,

C’est de la violence symbolique »,

Nous  explique Françoise Vergès,

Même pas de la violence passée »,

Mais guidée par des injustices

Ou discriminations ressenties

Lors au-delà de l’existence

De  certains    monuments,

Ce qui est critiqué dans ces

Actions de déboulonnages,

C’est la prépondérance d’une partie

De l’histoire, par rapport à une autre.

« Nous ne pouvons pas nous sentir français

Dans  un pays  qui  célèbre  l’esclavagisme,

Ce n’est pas possible » dit Louis-Georges Tin.

bfmtv.com/societe/antiracisme-statues

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Rien ne serait pas être considéré

Comme étant à terre, au ras du sol

Mais, carrément, plus bas que terre

Lors tout est être mis sur un piédestal

Et couvert de vertus voire de louanges,

Jusqu’à faire sa représentation stratifiée

Des deux côtés, sûr, y a de l’exagération !

On est souvent quelque chose entre les deux

Ni totalement intelligent, courageux… idéal,

Ni totalement idiot, asocial, peureux, animal.

 .

.

J’étais, je ne suis plus, serai ?

.

Scénario

 .

Rien et tout ne s’opposeraient pas dans la même personne.

Il faut souvent s’apprêter à n’être plus rien tout, d’un coup !

Tout est possible quand on a été tout qu’on est redevenu rien.

 .  

Visuels et textuels  >>

661 – Encore aurait-il fallu que tu me comprennes

Visuels et textuels  >>  

.

Encore aurait-il fallu

Liste de griefs est sans fin

Mélangeant le faux et le vrai,

Affirme  ce qu’on dit  ou dirait,

Sans même  vouloir  faire exprès

Autre est accusé de tous les maux,

.

Et aucun mot ne pourra le soulager,

Son cas est jugé  et  il est condamné :

Ainsi lors la barre rouge est franchie

Désillusion décille yeux attendris,

.

Tant ce que l’autre a dit,

Ce que l’autre a promis,

Tombe dans l’oubliette,

Ou fait place au mépris.

.

Encore aurait-il fallu que tu…me comprennes,    

Te mettes à ma place, adoptes mon point de vue

Qui s’ajoutera au tien qui ne le soustrait en rien.

      .

Encore aurait-il fallu que tu… m’entreprennes,

Et non me laisser seule à résoudre le problème

De savoir où j’en suis avec toi, puis où je vais.

      .

Encore aurait-il fallu que tu…me surprennes,

Par une tendresse et qui m’ira droit au cœur

À laquelle je ne m’attends pas…attends plus.

       .

Encore aurait-il fallu que tu… m’apprennes    

À échanger avec toi, qui ne m’auras donné,

Aucun mode d’emploi … ni aucun contrat.

       .

Encore aurait-il fallu que tu me retiennes,  

Lors j’en suis  sur le point  de m’échapper,

Lors je ne parviens plus à te … supporter.

     .

Encore aurait-il fallu  que  tu t’éprennes,    

Pas seulement de  mon corps,  mon sexe,

Mais d’abandon de mon âme, complexe.

     .

Encore aurait-il fallu que…tu reprennes,    

D’abord confiance en toi, autant  en moi

Pour que l’on fasse, un nous, qui  tienne.

   .

On pourrait continuer, longtemps, ainsi,

Mais à quoi bon, allonger  une telle liste,

Si essentiel n’y est pas, tout est superflu.

.

.

Extensions

 .

Comprenne, entreprenne,

Surprenne, apprenne, ou retienne,

La liste est longue des verbes en « enne »

Quand il s’agit « d’amour » non de « haine »,

Quand il s’agit du « pour » et non de « peine ».

Une telle plainte en complainte, sent la nostalgie

D’un bonheur perdu, non atteint, voire trompeur.

.

Est-ce à soi que l’on veut, où à l’autre ou aux deux

Si c’est au deux, il y a de l’espoir, erreur partagée,

Si c’est l’autre un peu moins, si c’est à soi, aucun.

« Comment ai-je pu me fourvoyer à ce point,

J’étais sourde et aveugle, je ne le suis plus,

Ne le saurais le redevenir à l’avenir ».

.

C’est dire toute l’exigence pour

Prochain conjoint et panoplie de tests

Qu’il aura à subir avant de lui donner sa main :

Lui donner est un grand mot …  lui prêter plutôt

Jusqu’au jour où nombre de griefs du précédent

Se dissipent comme autant nuages menaçants

Et que le ciel devienne beau un bon moment,

Pour l’éternité, qui sait, avec le temps !

.

Y a des gens qui ne comprennent rien à l’autre sexe

Il manque le mode d’emploi, le manque d’expérience.

Ce n’est pas à l’école qu’on l’apprend, pas une science !

De toute façon, si comprendre un homme est complexe,

Comprendre une femme, serait de l’ordre du compliqué.

Certains disent : y a rien à comprendre chez une femme,

Un propos exagéré et quelque peu sexiste quand même.

Ce n’est pas la faute des femmes si on ne les écoute pas

Ni des hommes si ils ne se livrent pas tels qu’ils sont !

.

Prendre femme ne serait pas, pour autant,

La comprendre : il y a, parfois, malentendus,

Sur intentions de projets de chacun, différents.

.

– Je ne t’ai jamais dit cela, je ne t’ai rien promis.

Je ne sais plus très bien mais moi, j’ai cru que

– On ne s’est pas compris, j’ai dit, pas d’enfants.

– Oui mais moi j’en veux sinon ça va manquer.

.

– Pour le reste, pareil, j’aviserai au fil du temps

– T’avais dit, pour la maison, j’aurais la moitié

– Je crois que tu as pris ton désir pour la réalité

– Mais alors dis-moi, ce que je fais là…avec toi.

.

.

661 – Calligramme

 .

                    Encore aurait-il fallu

                     Liste de griefs est sans fin

                   Mélangeant le faux et le vrai,

                Affirme  ce qu’on dit  ou dirait,

           Sans même  vouloir  faire exprès

       Autre est accusé de tous les maux,

    Et aucun mot ne pourra le soulager,

Son cas est jugé et il est condamné !

Ainsi lors la barre rouge est franchie

Désillusion décille yeux attendris,

Tant ce que l’autre a dit,

Ce que l’autre a promis,

Tombe dans l’oubliette,

Ou fait place au mépris.

.

Encore aurait-il fallu que tu…me comprennes,     I

Te mettes à ma place, adoptes mon point de vue    L

Qui s’ajoutera au tien qui ne le soustrait en rien.    *

                                                                                            A

   Encore aurait-il fallu que tu… m’entreprennes,     U

   Et non me laisser seule à résoudre le problème      R

    De savoir où j’en suis avec toi, puis où je vais.        A

                                                                                             I

      Encore aurait-il fallu que tu…me surprennes,     T

      Par une tendresse et qui m’ira droit au cœur       *

      À laquelle je ne m’attends pas…attends plus.       F

                                                                                             A

        Encore aurait-il fallu que tu… m’apprennes      L

        À échanger avec toi, qui ne m’auras donné,      L

        Aucun mode d’emploi … ni aucun contrat.       U

                                                                                           *

        Encore aurait-il fallu que tu me retiennes,      T

        Lors j’en suis  sur le point  de m’échapper,     U

       Lors je ne parviens plus à te … supporter.      *

                                                                                       M

        Encore aurait-il fallu  que  tu t’éprennes,     E

       Pas seulement de  mon corps,  mon sexe,     *

        Mais d’abandon de mon âme, complexe.      C

                                                                                       O

        Encore aurait-il fallu que…tu reprennes,     M

       D’abord confiance en toi, autant  en moi     P

       Pour que l’on fasse, un nous, qui  tienne.     R

                                                                                    E

       On pourrait continuer, longtemps, ainsi,    N

       Mais à quoi bon, allonger  une telle liste,     N

       Si essentiel n’y est pas, tout est superflu.    E

                                                                                    S

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

661 4

.

On dira silhouette,

Des plus  grossières

De femme peut-être, 

Ayant bien l’air ailleurs

.

Une femme, la tête haute,

Restant pleine d’interrogations

Ou alors elle semblerait ailleurs,

Ne s’intéresser qu’à elle-même.

.

Symbolique 

.

La femme a une symbolique

Riche évoluant au fil du temps.

Toutefois, elle a toujours évoqué

Fécondité, pureté, et aussi, le vice.

.

À partir du xxe siècle des

Mouvements féministes sont

Apparus pour tenter de rétablir

Un équilibre entre

Les hommes et les femmes,

Et rétablir le droit des femmes.

.

Désormais, ces mouvements

Occupent une place

Importante dans

Le débat public.

1001 symboles

.

Descriptif

 

661 – Il aurait fallu tu me comprennes

  Alignement central  /   Titre absent /  Thème  couple

Forme  anthropo / Rimes variées / Fond approché de  forme

Symbole de forme : femme / Symbole de fond : ailleurs

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

661 6

.

Une femme, la tête haute,

Restant pleine d’interrogations

Ou alors elle semblerait ailleurs,

Sauf rencontre surprise de l’autre.

.

Symbolique 

 .

Être ailleurs :

En contexte marqué

Par les déplacements et

Les   nouvelles  technologies

De l’information, notre relation

Aux espaces,  s’en trouvera modifiée

Nous sommes de plus en plus nombreux

À être connectés  à  plusieurs  territoires.

.

Territoires  de vie,  d’habitation,  de loisirs,

De luttes, territoire des origines familiales,

Culturelles, religieuses, territoire d’activité

Professionnelle, mais aussi territoires

Rêvés et imaginaires.

ici-ailleurs.net

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

La femme et l’homme

En un couple,  s’ils sont

Toujours partis, ailleurs,

Ne peuvent se comprendre

Ils ne feront  que  se croiser,

Échanger mots ,au téléphone,

Car pour se comprendre il faut

Beaucoup se parler  et  s’écouter

Ce qui suppose  d’être ensemble !

 .

.

Comprendre l’enfance

.

Scénario

 .

Mais tu ne comprends rien, à la fin… tu m’énerves !

Vu de loin, pour ce que j’en perçois, je ne te crois pas !

 Ok, d’accord, comme cela, maintenant, l’on se comprend !

 .

Visuels et textuels  >>  

660 – Quitter l’un pour un autre, pour soi-même

Visuels et textuels  >>

.

Je ne te quitte pour un autre,

Je ne te quitte pas  pour toi-même

Car je n’ai pas d’amant caché… idiot !

Tu crèves de jalousie, rien qu’en ta tête.

.

Quitter ne sera pas toujours se séparer,

Du moins, physiquement,  moralement :

Quitter  peut être  faire  chambre  à part

On quitte l’autre tout en restant avec lui.

.

Lors, s’ils se quittent,  pourquoi rester :

Par commodité et voire  par solidarité.

Ne parlons pas d’amour ni d’affectivité

C’est à peine s’ils peuvent se supporter

Ou ils deviennent des amis, complices,

Lors se revoyant l’un et l’autre, en lice

Pour nouveau couple, encore, essayer !

.

Quitter pour un autre est partir à l’extérieur

En mieux toujours, sinon, à quoi ce serait bon,

Quitter l’autre, est partir aussi mais de l’intérieur

Pour se retrouver seul pour repenser  à un rebond.

.

Il arrive que l’on finisse par se quitter  l’un et l’autre,

Lors l’espoir fondé sur le suivant, est mal concrétisé,

Oblige à revenir vers le premier  et à se faire jeter :

Vous n’êtes plus l’amour dans lequel il se vautre.

Quitter quelqu’un pour un autre, ou soi-même

N’a pas du tout les mêmes conséquences.

.

Je te quitte …. si tu me quittes

Et lors  nous sommes quittes,

Et, à quelqu’un, cela profite,

Et, même  s’il ne le mérite,

J’en aurai mine déconfite

Si tu fais  partie  des gens

Qui  prendront les devants,

De peur de devenir perdant

.

Je savais  qu’un jour, tu allais

Le faire,  j’en ai supporté l’idée

Tchao, à bientôt et voire jamais.

Partant que, la plupart  du temps,

L’on quitte l’autre, tout  en restant.

.

Il est là, il fait fonction, pas méchant :

On se prend  discrètement un bel amant,

Qui un beau jour devient son nouveau mari,

Surprenant son entourage qui ne l’avait appris.

.

.

Extensions

 .

 « Je te quitte si tu me quittes

Et après, nous serons quittes ! »

Et qu’à quelqu’un, cela profite

Mais, même si je ne le mérite,

J’en aurai une mine déconfite,

De savoir, enfin ce que tu vois !

.

Tu fais partie  des  gens, prenant

Les devants de peur d’être perdant.

Je savais qu’un jour, tu allais le faire,

J’en ai supporté  l’idée,  puis la décision

Alors je te dis tchao, à bientôt, ou à jamais !

.

 «Mieux vaut vivre seul que mal accompagné»,

Dit le dicton  qui doit en connaitre un rayon ou

«De deux maux, il faut choisir le moindre».

Ce qui clôt, de suite, toute … discussion.

.

Redevenir célibataire, serait divorcer

De soi-même ou de l’autre ou bien

L’a-t-on été, en dépit de l’autre !

.

Un vase brisé, s’il  l’est en mille morceaux, est bon à jeter,

S’il n’a qu’un seul, ou deux morceaux, on peut le réparer !

Il en est de même, en matière de souple à l’exception près

Que s’il s’agit d’un modèle, jugé unique, et qu’on le jette,

On n’est pas près d’en retrouver le même si on le veut.

.

On quittera, généralement, quelqu’un

Pour quelqu’un d’autre mais, des fois,

Pour personne : être seul et tranquille !

.

Je préfère être seul que mal accompagné,

Voilà la raison et cette formule consacrée :

Il n’y a même pas de tort, regret, à partager.

.

L’on se félicitera de prendre, seule, la décision,

Il ne s’agit pas d’une rupture, simple séparation,

Ne portant pas à conséquence n’ayant pas enfant.

.

Certaines personnes  ne sont pas faites  pour vivre

En couple ni même en famille ou en communauté

Ce n’est pas qu’ils soient asociaux, juste bien égo.

.

.

660 – Calligramme  

.

Je ne te quitte pas                  Q                    pour un autre,

Je ne te quitte que                  U               pour toi-même

Car je n’ai pas d’amant          I                caché, idiot !

Tu crèves de jalousie, rien     T           qu’en ta tête.

Quitter ne serait toujours     T             se séparer,

Du moins, physiquement     E       moralement,

Quitter peut être ou faire    R  chambre à part

On quittera l’autre en        *   restant avec lui,

Lors, s’ils se quittent         pourquoi rester

Par commodité voire       N     par solidarité.

Ne parlons pas d’amour  *     ni d’affectivité

C’est à peine s’ils peu     C vent se supporter

Ou ils deviennent des     amis, complices,

Lors se revoyant l’un    N    et l’autre, en lice

Pour nouveau couple,        encore, essayer !

   O

Quitter pour un autre I est partir à l’extérieur

En mieux toujours, si  N non, à quoi ce serait bon,

Quitter l’autre, est par  T tir aussi mais de l’intérieur

Pour se retrouver seul   *  pour repenser  à un rebond.

Il arrive que l’on finisse   par se quitter  l’un et l’autre,

Lors l’espoir fondé sur le suivant, est mal concrétisé,

Oblige à revenir vers le premier  et à se faire jeter :

Vous n’êtes plus l’amour dans lequel il se vautre.

Quitter quelqu’un pour un autre, ou soi-même

N’a pas du tout les mêmes conséquences.

.

Je te quitte …. si tu me quittes

Et lors  nous sommes quittes,

Et, à quelqu’un, cela profite,

Et, même  si, il ne  le mérite,

J’en aurai   P  mine déconfite

Si tu fais   O   partie des gens

Qui pren  U  dront les devants

De peur   R   devenir  perdant !

Je savais  *  qu’un jour, tu allais

Le faire   U j’en ai supporté l’idée

Tchao, à    N  bientôt voire jamais.

Partant que, la  *   plupart du temps,

L’on quitte l’autre,   A   tout en restant :

Il est là, il fait fonction    U   pas méchant :

L’on se prend discrètement   T    un bel amant

Qui un beau jour devient son      R   nouveau mari,

Surprenant son entourage qui ne     E     l’avait appris.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

660 4

.

Une forme de vase

Avec un pied, un ventre,

Un buste, et  des bras 

Presque en anses !

.

On peut se lasser d’une forme

Et on recherche la même… ou presque :

Il arrive qu’on la casse en morceaux

 Pour ne plus être tenté par aucun.

  .

Symbolique 

 .

Comme les couleurs,

Les formes  influencent

Notre  perception  des choses

Qui nous entourent, et, que ce soit

Dans le design industriel par exemple.

Dans les vases ou monde de l’automobile,

Le carré, le cercle, la ligne droite, courbe,

Représentent : la masculinité, la rigidité

La féminité, l’harmonie  ou la douceur.

.

Chaque forme, puis chaque symbole a

Une signification, parfois différentes

Selon la nationalité, généralement

Interprété de façon similaire.

multi-graf.com/la-symbolique-des-formes

.

Descriptif

 

660 – Quitter un conjoint pour un autre 

  Alignement central  /   Titre serpente /  Thème  couple

Forme  courbe / Rimes égales / Fond approché de  forme

Symbole de forme : forme / Symbole de fond : morceaux

.

Fond

 .

Évocation

.

660 6

.

On peut se lasser d’une forme

Et on recherche la même… ou presque :

Il arrive qu’on la casse en morceaux

 Pour ne plus être tenté par aucun.

 .

Symbolique 

 .

Récoltez tous les morceaux

Cassés  et  puis  assemblez-les.

Colle époxy, appliquez une petite

Quantité  sur  quelques  morceaux

Puis collez-les, au fur et à mesure.

.

Commencez par petits morceaux

Retenez  le tout, avec un adhésif

Et après  6 heures  de  séchage,

Enlevez  toute colle  superflue

Avec chiffon  imbibé d’alcool

Et avec une lame de rasoir.

maison-travaux.fr/maison-

travaux/conseils-pratiques

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

En cas de fêlure, cassure, rupture,

Qui va, le plus, payer les pots cassés !

Bien que personne ne pourra le prédire

Ce qui est sûr,  c’est que le pot est à jeter,

Sauf  à avoir assez de colle  et bien forte,

Pour recoller proprement les morceaux.

On pourra rechercher un pot identique

Ou en profiter  pour un  plus  solide,

Un plus fidèle, voire à son modèle

Mais sans en être prisonnier,

En cas de nouvelle casse.

 .

.

La porte et fermes-là !

.

Scénario

.

Avoir envie d’être à nouveau seul ou de quelqu’un d’autre,

décider que l’autre n’est pas idéal pour soi et le quitter,

mieux vaut presque vivre seul que mal accompagné !

.

Visuels et textuels  >>

659 – Lors un monde se ferme, un autre s’ouvre

Visuels et textuels  >>

.

L’amour   se   contracte,

Ou l’amour  se rétracte.

Si amour se détraque,

Amour  est patraque,

Et arrivé  en cet état,

Il faut  sauter le pas,

Ouvrir ses écoutilles,

Aller voir autres filles

Quand l’autre a avoué

Qu’amour est du passé.

.

Toute  nouvelle  vie  pourra

Commencer  si, précédente,

Est en cours   d’achèvement,

Si  elle a trouvé  autre amant,

Quand  elle  ne vous importune

De bonne, ou  mauvaise, fortune.

.

Un monde se ferme, un  autre s’ouvre,

Ici, je me rétracte ; là, je m’entrouvre,

Ma nouvelle vie commencera où finit

L’autre pour laquelle ai plus d’appétit.

.

Le plus dur sera de trouver l’énergie,

Pour sauter le pas  et non le conjoint,

Qui en long temps d’amours disjoints,

A dit qu’important est ailleurs…qu’ici.

.

Infidélité !  Ce n’est point la question :

N’est, ici, que castration, humiliation :

Que le meilleur gagne et il aura gagné

Le droit, autant que moi  de … l’aimer.

.

Voilà dans quel état d’esprit je … suis :

Tu t’en fous : c’est que  tout est permis.

Je pars, bientôt, je ne reviendrai pas ici

Rupture consommée, oiseau libre aussi.

 .

Un monde se ferme … un autre s’ouvre,

Tant  d’années  ont  passé : trépassées

Et sonnent le glas d’un cœur blessé

Devant une vérité qu’il découvre !

 

.

Extensions

 

Quand un monde se ferme, soudain

Un autre s’ouvre, à vingt ou soixante,

Tellement il y a du temps, devant soi,

Nombre  de Mondes  restent ouverts

À qui voudra  et  peut les découvrir.

Question du souvenir  du premier,

Qu’on ne peut effacer, a marqué.

.

Se pose la question de l’avenir

Du second,  dont on ne sait

Rien  d’autre, qu’il  existe.

Pour  passer  d’un  Monde

À l’autre,  point n’est  besoin

De renier, liquider, haïr premier

Il y aura toujours un terrain neutre

Ils se rencontrent, ou  se superposent.

.

L’infidélité, qu’elle soit détectée, avouée

Et non seulement, soupçonnée, fantasmée,

Serait la cause de presque toutes les ruptures

Cause ou prétexte, quand on aime, on tolère !

Tolère d’avoir franchi  frontière de l’interdit

Pour aller voir ailleurs et en comparaison

Revenir, sinon à la maison, à la raison

Lors, pour qu’un nouveau Monde

S’ouvre, faut le désirer au fond.

.

Suite à une rupture certains, certaines, se referment sur eux-mêmes

Quand d’autres  en profitent  pour retrouver leur nouvelle liberté,

En la partageant avec un ami ou amant sans penser à contrat

Les engageant : aller loin de l’autre, prendre du bon temps

Qui pourrait leur en vouloir : personne, évidemment !

Et il arrive, même, miracle …qu’ils s’entendent,

 Demandent renouveler escapade souvent.

.

Le message ici, est on ne peut plus clair :

L’échec relation de couple, même longue,

Ne signifie pas la mort d’amour : éteint !

.

Dans certains cas, c’est vrai : jamais plus,

En autres, je vais attendre, j’en peux plus,

En autres, je crois avoir quelqu’un en vue.

.

Dès lors, quoi qu’il en soit, quoiqu’il en fût,

Une petite porte en son cœur reste ouverte,

Et il suffit parfois de regarder par la fenêtre.

.

Le plus souvent, à moins d’avoir prévu le coup

En cas de rupture, surprenante, ou inattendue,

Faudra une paire d’années pour en faire le deuil.

.

.

Épilogue

.

Un divorce, quel qu’il soit, par principe,

Ferme une porte, en entrouvre une autre,

Certains auront devancé annonce départ ;

D’autres resteront sidérés  lors un tel choc.

 

***

 

Plus jamais de conjoint à vivre sous mon toit :

Nul ne sait si c’est sage ou mauvaise décision.

 

Je ne peux rester, longtemps, sans  conjoint :

Quel qu’il soit, il  m’en  faudra, et  vite … un !

 

C’est là deux positions radicales, contraires

Auxquelles s’ajoutent d’autres, arbitraires !

 

Une résilience, qu’on appelle  de ses vœux,

Ne requiert pas  de reconstruction  hâtive.

 

Si  elle se réalise, trop tôt, sauf  exception,

Risque de reproduire même choix, erreur.

 

Un temps pour vivre seul pour s’assumer,

Permet aussi d’observer  d’autres couples.

 

Puis,  le moment arrivé, lors  l’opportunité

Se présente, elle ouvre une nouvelle porte ;

 

***

 

Le deuil est consommé, divorce est terminé,

On construira sur une base  bien  plus solide,

La vie reprendra  dans un couple qui s’entend,

 Nouveau monde s’ouvre, s’établit … s’agrandit.

.

.

659 – Calligramme 

 .

L’amour   se   contracte,

Ou l’amour  se rétracte.

Si amour se détraque,

Amour  est patraque,

Et arrivé  en cet état,

Il faut  sauter le pas,

Ouvrir ses écoutilles,

Aller voir autres filles

Quand l’autre a avoué

Qu’amour est du passé.

.

**********************

**********************

.

Toute  nouvelle  vie  pourra

Commencer  si, précédente,

Est en cours   d’achèvement,

Si  elle a trouvé  autre amant,

Quand  elle  ne vous importune

De bonne, ou  mauvaise, fortune.

 

Un monde se ferme, un   U  *  autre s’ouvre,

Ici, je me rétracte ; là,  N   *   je m’entrouvre,

Ma nouvelle vie com    *      A mencera où finit

L’autre pour laquelle M         U  ai plus d’appétit.

Le plus dur sera de   O            T   trouver l’énergie,

Pour sauter le pas   N                R  et non le conjoint,

Qui en long temps   D                 E  d’amours disjoints

A dit qu’important  E                  *  est ailleurs… qu’ici

Infidélité !  Ce n’est  *                   S point la question :

N’est ici que castra    S                   ‘  tion, humiliation

Que le meilleur gagne   E               O et il aura gagné

Le droit, autant que moi              U   de… l’aimer.

Voilà dans quel état d’esprit  F         V    je … suis.

Tu t’en fous : c’est que tout est   E     R   permis.

Je pars, bientôt, je ne reviendrai   R  E pas ici

Rupture consommée, oiseau libre   M  aussi.

                                                     E

Un monde se ferme,      un autre s’ouvre,

Tant  d’années  ont  passé : trépassées

Et sonnent le glas d’un cœur blessé

Devant une vérité qu’il découvre !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

659 4

.

Une quille,

Une bouteille

Ou alors un vase

Des plus expansifs ?

.

Vase, expansion et le Monde,

ne se correspondent pas du tout

et que ce soit une bouteille ne change

si bien que la forme se distingue du fond.

.

Un monde est comme un vase,

 Il s’ouvre, il s’expanse, il se ferme 

Or pour changer un monde, il ne

Suffira pas de changer contenu

 .

Symbolique

 .

Il est dit, parait-il, en 

Le Nouveau   Testament,

La femme est le vase faible

 Si   fait  que  les  livres  sacrés 

Des Juifs, sont  dans leurs styles

 Très proche  de  la  poésie, remplis 

D’expression  étant empruntées aux

Symbolismes  sexuels, expressions 

Qui  n’auront pas, toujours,  été

Exactement    comprises    et 

Dont l’interprétation  dans

Cantique des Cantiques, 

Exemple donnera lieu 

A des malentendus. 

Wikisource.org

.

.

Descriptif

 

659 – Un monde se ferme, un autre s’ouvre 

  Alignement central  / Titre analogue /Thème  monde

Forme ovale / Rimes égales / Fond éloigné de  forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : expansion

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

659 6

.

Un monde est comme un vase,

 Il s’ouvre, il s’expanse, il se ferme 

Or pour changer un monde, il ne

Suffira pas de changer contenu

 .

Symbolique

 .

Le physicien français

Jacques Charles (1746-1823)

A démontré qu’il existe une relation

Entre le volume et la température d’un gaz.

Il a établi que, à pression constante, et  pour un

Nombre molécules données, volume d’un gaz varie

En fonction de sa température :  plus la température

Du gaz augmente plus son volume s’expanse aussi

L’inverse est aussi vrai: si la température du gaz

Diminue, son volume diminue. Cette relation

Se nomme la loi de Charles.

qc.ca/fr/eleves/bv/chimie/la-relation-

entre-le-volume-et-la-temperature

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Un grand vase qui s’expanse

Est appelé vase d’expansion :

Une fausse image dès lors que

C’est le contenu, non contenant

Elle est, plus souvent, appliquée

Au gaz sous une forme liquide !

Mais l’idée générale est remplir,

Un espace étant auparavant vide

De tout ce qui gonfle, voire bande.

.

.

Monde fermé, monde ouvert

.

Scénario

.

Quelque part dans une destination inconnue, en bord de mer,

une rencontre des plus amoureuses sous un parapluie rouge,

et leurs valises de problèmes deviennent, alors, communes.

.

Visuels et textuels  >>

658 – Comme un volcan, qui, soudain explose

Visuels et textuels  >>

.

De se retenir posséder

Femme qui  n’en peut,

Mais  veut  tendresses,

Plus que  jeu de fesses.

Lors, son attrait cesse :

Elle ne sera  plus dispo,

Un très cher ami servira

Un moment  de tampon,

Elle n’est pas  qu’un trou,

À ta disposition, eh Ducon.

.

Ce week-end,  je serai absent

Calme-toi avec autre et de bon,

C’est pas qu’elle le rejette, déteste,

Elle aime ça aussi de temps en temps

Mais c’est qu’elle n’ait pas son mot à dire

Qui lui déplait  alors que  lui, s’y complait !

.

Comme un vieux volcan qui, de nouveau, explose

Un jour, suite à nombre de ses détonations et qui ose

Venir dénier ses vraies, réelles capacités à se réaliser

Comme un être entier, comme être bien membré.

Comme le jaillissement d’une volonté  de survie,

Depuis fort longtemps et, qui sourdait, à l’envi,

Propulsant son geyser de feu, sinon de braise.

.

Qui se révolterait contre une telle  fournaise !

Amoureuse, le voyant cracher langue et dent

Est partie, ailleurs, chercher amour, amant,

Attendant une nuit et un jour  en se disant

Qu’il va calmer, son sens mâle, autrement.

Mais la nuit est dévastatrice et à souhait

En tous cas bien  plus qu’il  n’y  parait :

Amoureuse est intervenue…trop tard :

Il ne sait plus que faire, de son dard.

.

La leçon  de cette histoire est nulle

Si sa belle n’est pas là lors il brule,

C’est qu’il n’existe plus, pour elle,

Qu’elle peut reprendre ses ailes.

Si du couple, cette métaphore,

En vaut bien d’autres, encore

Elle illustre, bien, la cassure

Qui révèle profonde fêlure,

Fêlure, de quelle nature !

.

Allez savoir, d’inculture

Est l’amour, sans sexe

À en faire  complexe,

De cratère où jaillit

Des mots,  vérités

Laissant penser

Tout est fini.

S’aimer,

Plus

V

.

.

Extensions

 .

Comme

Un volcan qui,

Soudain … explose,

L’amour, coup de foudre,

En fait  de même  et il suppose

Que l’énergie qui s’en dégage durera

Longtemps éructant ses laves et fumées

Durant des jours, mois et voire des années.

Sauvage serait l’amour quand il vous secoue ;

Sauvage est l’amour,  quand  il vous fait  le coup

De pénétrer dans vos entrailles, et fendre l’armure

Qui vous défend d’une intrusion violente en intimité.

.

Du rouge, sang, du rouge, feu, du rouge lave …  partout,

Dès qu’il s’agit d’irruption d’amour, d’éruption de volcan

Tant quelque chose, à l’intérieur des entrailles, s’explose,

Sous la poussée de trop fortes émotions, réarrange tout,

Et font qu’il y aura désormais un profond changement

Mais qui peut s’amoindrir, s’amincir, avec le temps

Dès que l’un des deux, se refroidir plus vite, ose

Et l’on quitte alors vertiges des apothéoses.

.

Le sexe, dans l’amour, serait  comme  explosion,

Que certains  nomment désir ; d’autres, pulsion.

Toujours est-il qu’il est, en l’instant, consommé,

Ne saurait être ni retardé, ni différé, ni annulé.

.

Si on parle d’explosion on parle aussi orgasme,

Si possible en montée progressive et simultané,

Qui culmine pour l’homme quand il va éjaculer

Pour la femme, corps en soubresauts, spasmes.

.

Ici, les choses se seront précipitées, mélangées,

Il fallait, pour la femme, un exutoire à son envie

Si fait qu’elle se sera trompée entre mari et ami,

Chose qui, avouez-le, serait une sorte d’infidélité.

.

.

658 – Calligramme

.

De se retenir     C           posséder

Femme qui      O        n’en peut,

Mais  veut       M     tendresses,

Plus que         M     jeux fesses

Lors, son at   E   trait cesse :

Elle  ne sera  *     plus dispo.

Un très cher  V   ami servira

Un moment   O  de tampon,

Elle n’est pas  L   qu’un trou,

À sa dispositi  on eh Ducon,

Ce week-end,    A  je serai absent

Calme-toi avec    N  autre et de bon

C’est pas qu’elle le, *    rejette,  déteste,

Elle aime ça aussi  Q   de temps en temps

Mais c’est qu’elle   U  n’ait pas son mot à dire

Qui lui déplait       I    alors que lui, s’y complait !

Comme vieux vol   *    can qui, de nouveau, explose

Un jour, suite à nom   S  bre de ses détonations et qui ose

Venir dénier ses vraies  O   ou réelles capacités à se réaliser,

Comme un être entier       U         comme être bien membré.

Comme le jaillissement      D        d’une volonté  de survie,

Depuis fort longtemps        A     et, qui sourdait, à l’envi,

Propulsant son geyser         I     de feu sinon de braise.

Qui se révolterait contre     N     une telle  fournaise !

Amoureuse, le voyant cra     *     cher langue et dent

Est partie ailleurs chercher  E          amour amant,

Attendant une nuit et un    X    jour  en se disant

Qu’il va calmer, son sens   P    mâle, autrement.

Mais la nuit est dévasta  L    trice et à souhait

En tous cas bien  plus  O   qu’il  n’y  parait :

Amoureuse est inter  S  venue…trop tard :

Il ne sait plus que  E  faire, de son dard.

La leçon  de cette *   histoire est nulle

Si sa belle n’est    pas là lors il brule,

C’est qu’il n’existe  plus, pour elle,

Qu’elle peut reprendre ses ailes.

Si du couple, cette métaphore,

En vaut bien d’autres, encore

Elle illustre, bien, la cassure

Qui révèle profonde fêlure,

Fêlure, de quelle nature !

Allez savoir, d’inculture

Est l’amour, sans sexe

À en faire complexe,

De cratère où jaillit

Des mots, vérités

Laissant penser

Tout est fini.

S’aimer,

Plus

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

658 4

.

Pointe de lance

Ou apparenté,

C’est certain,

Sinon cratère ?

 .

Pointe de terre et de volcan cratère

vont avec possible explosion de laves,

si ce n’est de fumées dans l’atmosphère,

tant et si bien que la forme évoque le fond.

.

Volcan ne pointe vers le bas :

Le plus souvent ….  Vers le haut,

Mais sa cheminée et son cratère,

Sont toujours évasés, non évasifs !

.

Symbolique 

 .

Les

Éruptions

Volcaniques

Sont particulièrement

Commentées en mythologie,

En religion, puis en littérature.

Phénomène spectaculaire terrifiant,

Il n’a cessé de pointer des  curiosités,

Voire des  légendes  et  des superstitions.

Associées à l’extraordinaire et à la figure

Du monstre, les colères de la terre ont été

À l’origine des histoires …  les plus folles !

lepoint.fr/culture/les-volcans-machines-a-mythes

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

658 6

.

Volcan ne pointe vers le bas :

Le plus souvent ….  Vers le haut,

Mais sa cheminée et son cratère,

Sont toujours évasés, non évasifs !

  .

Symbolique

 .

Un cratère

Volcanique …..  est

Une dépression circulaire

Elliptique se trouvant au sommet

Ou parfois sur flancs d’un volcan formé

Par l’explosion ou l’effondrement du volcan.

Il peut avoir des tailles variables allant de quelques

Mètres à plusieurs dizaines de kilomètres de diamètre.

Les cratères peuvent se remplir d’eau et former des lacs.

Wikipédia : cratère

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Nombre de gens  pointent  du doigt

La comparaison sinon la métaphore,

Entre l’amour passion et une éruption

Volcanique, puissante, emportant  tout

Sur son passage  et parfois destructrice

De vies humaines tout comme à Pompéi,

Quand on ne l’associe pas à colère divine

Qui vient punir les humains, d’une faute !

 .

Amour volcanique

.

Scénario

.

Explosion, c’en est une, volcanique, grandeur phénoménale.

Qu’est-ce c’est ? C’est chaud bouillant, et même, explosif.

Une main froide donne un doigt à une main chaude !

 .

Visuels et textuels  >>

657 – Comment faire comprendre qu’on aime plus

Visuels et textuels  >>

.

Faire comprendre  qu’on n’aime plus,

Sans prendre la peine de le lui dire,

Trouver raccourci  qu’elle décode,

Rien  n’est plus simple,  ni facile.

.

Elle le devinera,  lors  en voyant,

De ses propres yeux  … c’est sûr,

Que je me suis entiché, d’autre,

Et que je n’ai rien à faire d’elle.

.

Mais  … voici qu’elle m’aborde,

Ma nouvelle  relation, saborde,

En me giflant, pour goujaterie,

Attitude en plus de flagornerie.

.

Hier encore serrés de très près

Aujourd’hui : autre  conquête.

Demain, à qui ce tour de bête,

Explication, inutile : compris !

.

Comment faire comprendre que l’on aime plus,

Alors même qu’hier, on s’avouait, encore, ému.

Sommes-nous distants sans nous être aperçus

Ou bien, l’un aura créé  un trouble, malvenu !

.

Comment faire entendre  qu’on s’aime plus,

Lors même  on dit, c’est qu’un malentendu,

Ça va  revenir, repartir, on en jouira  plus :

Nous serons, dans notre peau,  remordus.

.

Comment faire prendre la seule décision

S’imposant d’elle-même, sans passions,

Pour quelques temps : une séparation,

Servant de test  pour nouvelle union !

.

Comment rendre justice pour aimer

Alors qu’il n’y a pas de réciprocité,

Quand tout s’en va de tous côtés

Sans rien  pouvoir y changer.

.

C’est simple, faut trouver

La cause  …  profonde,

De l’incompatibilité

Qui, à  elle  seule,

Suffit à casser

Un couple

Marié

V

.

.

Extensions

 .

Lui dire par Sms qu’on en a fini avec elle,

Qu’on lui dit « merci pour tout et basta »,

Notre Terre est peuplée de gens qui s’aiment

Ne s’aiment plus : on peut le prendre à la légère,

Se projeter: on en a fait le tour, on a épuisé le sujet

Variété est, dans sa nature, dans la nature humaine.

On peut le prendre au sérieux, et mettre des gants,

Attendre le bon moment, dire il ne s’agit pas tant

De lui, d’elle, que de soi : pas prêt, assez mûr,

Autonome, ou que sais-je encore !

.

Ou on peut ne rien dire du tout

Et sortir au bras d’un, d’une autre

Fin à la relation devant fait accompli

Et laisser à l’autre le soin de tirer les

Conclusions qui s’imposeront à lui.

.

On peut imaginer de rester amis

En prenant  le temps  pour que

L’autre  accepte, comprenne,

Que ce n’est pas choix forcé

Qui pourra  bâtir une vie

Commune sur la durée.

On peut aussi lui faire

Comprendre qu’on ne l’a

Jamais aimé : bonjour tristesse !

.

L’on entend que ce que l’on veut bien entendre

On l’entend mieux quand on est prêt à l’écouter

On le devine quand on est au point d’anticiper !

La forme aura autant d’importance que le fond

Un simple mot peut dire en résumé ou blesser

Certains ajoutent l’humour, d’autres, l’ironie

Pas de formule bateau, le minimum requis

Certains le laissent entendre, d’un geste

Quand d’autres disparaissent au loin.

.

Si l’on explique à quelqu’un, quelqu’une,

Pourquoi on va rompre de suite, avec lui,

Il faut ajouter : est-ce que et as compris !

.

Et tout cela pour deux raisons principales :

La première parce qu’il s’agit de sentiments

Et qu’il n’est pas prêt à entendre des raisons.

.

La seconde parce que  même s’il les comprend

Avec son esprit, il les refuserait avec son cœur :

D’autant si cela se passe de manière très rapide.

.

Lors on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage,

Même si c’est un mensonge,  cela fera même effet,

Que si c’était vrai, en amour, y a pas de certitude !

.

.

Épilogue

.

Certes, l’amour n’a pas d’âge,

Certes l’amour ne sera pas sage

Certes l’amour est  parfois volage,

Certes amour peut mettre en rage.

***

L’on pourrait continuer à lister ainsi,

Tout ce qu’amours viendront susciter :

Mot valise, fourre-tout, qui nous réussit,

Et qui, parfois, est conjugué, parfois, raté.

***

Faire comprendre  qu’on ne l’aimerait plus,

Serait, soit très simple, soit très compliqué,

Simple s’il y a, s’il y a eu peu d’engagement,

Compliqué dès qu’il va falloir s’en justifier !

***

S’aimer, est, pour le moins, trouver la flèche

Qui nous indique même et bonne direction :

On accompagne l’autre, partageant son sens,

Sans en connaitre ni la durée, ni la distance.

***

Au moindre arrêt de l’un,  ou réorientation,

L’on serait en droit de se poser la question :

Est-ce temporaire, définitif, un échec, aveu,

De son impuissance à poursuivre ensemble.

.

.

657 – Calligramme

.

FAIRE COMPRENDRE 

Faire comprendre  qu’on n’aime plus,

Sans prendre la peine de le lui dire,

Trouver raccourci  qu’elle décode,

Rien  n’est plus simple,  ni facile.

Elle le devinera,  lors  en voyant,

De ses propres yeux  … c’est sûr,

Que je me suis entiché, d’autre,

Et que je n’ai rien à faire d’elle.

.

Mais  … voici qu’elle m’aborde,

Ma nouvelle  relation, saborde,

En me giflant, pour goujaterie,

Attitude en plus de flagornerie

Hier encore serrés de très près

Aujourd’hui : autre  conquête.

Demain, à qui ce tour de bête,

Explication, inutile : compris !

.

QU’ON N’AIME PLUS !

Comment faire comprendre que l’on aime plus,

Alors même qu’hier, on s’avouait, encore, ému.

Sommes-nous distants sans nous être aperçus

Ou bien, l’un aura créé  un trouble, malvenu !

.

Comment faire entendre  qu’on s’aime plus,

Lors même  on dit, c’est qu’un malentendu,

Ça va  revenir, repartir, on en jouira  plus :

Nous serons, dans notre peau,  remordus.

.

Comment faire prendre la seule décision

S’imposant d’elle-même, sans passions,

Pour quelques temps : une séparation,

Servant de test  pour nouvelle union !

.

Comment rendre justice pour aimer

Alors qu’il n’y a pas de réciprocité,

Quand tout s’en va de tous côtés

Sans rien  pouvoir y changer.

.

C’est simple, faut trouver

La cause  …  profonde,

De l’incompatibilité

Qui, à  elle  seule,

Suffit à casser

Un couple

Marié

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

657 4

.

Fer de lance ou pic :

En tous cas,  flèche,

Pointée  vers  le  bas,

Pointée à direction.

.

Flèche tombant vers le bas,

Jusqu’au sol et ne remontera pas

C’est fini, c’est juste faut le faire,

Voir, entendre, comprendre !

.

Symbolique 

 .

En tant qu’outil ou instrument,

Et non plus seulement en tant que signe,

Flèche est symbole pénétration, ouverture.

Elle symbolise aussi la pensée, qui introduit

La lumière, plus encore l’organe créateur.

Par opposition à la fourche, double choix

La flèche est l’objectivation : suivez là.

Symbole, aussi, de la pointe acérée,

Qui vole pour surprendre et tuer

Au loin sa victime,  symbolise

Ainsi la mort foudroyante.

Associe pour Bachelard,

 La vitesse, la droiture. 

Comme celles dieux,

Flèches  d’amours

Sont infaillibles

Sem-bla-bles

À l’éclair.

.

657 – Faire comprendre qu’on n’aime plus !

  Alignement central  / Titre intercalé  /Thème  amour

Forme ovale  /   Rimes égales   /  Fond accordé à  forme

Symbole de forme : flèche / Symbole de fond : direction

.

.

Fond

 .

Évocation de fond

.

657 6

.

Flèche tombant vers le bas,

Jusqu’au sol et ne remontera pas

Flèche vers le côté droit, sortie

Pointée vers direction.

 .

Symbolique 

 .

     Montrer une direction,

                    Le long de la ligne, en suivant  >

       Sens indiqué par pointe ;

                               Sur une carte géographique, boussole,

                                               La rose des vents est constituée d’un ensemble >

                            De flèches indiquant directions telles

       Que les points cardinaux.

                   Des flèches sont utilisées sur les

                                      Panneaux de signalisation, pour guider  >

                Nombre de voyageurs égarés.

                                  fr.wikipedia.org/wiki/fleche_(symbole)

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une flèche indique  une direction 

Et  s’il n’y en a qu’une : à suivre !

Mais, parfois, il y en a plusieurs,

Et dès lors, il faut faire un choix.

Ici,  elle indique  la porte, sortie,

Pas que du lieu,   aussi de sa vie.

C’est donc  à prendre au figuré ;

La flèche n’a qu’un sens : dehors.

Et si on lui adjoindra un coureur,

C’est lui dire qu’il y aura urgence !

.

.

Révision des croyances

.

Scénario

.

Le jeu d’amours est terminé, au suivant, pas de temps à perdre.

Une autre façon, plus personnelle et définitive de se quitter.

Mais rien n’empêche d’innover, de tourner en dérision.

 .

Visuels et textuels  >>

656 – Un dialogue, une dispute, une distanciation

Visuels et textuels >>

.

Un dialogue qui dérape

Se transforme  en une dispute,

Et se termine en une distanciation :

Quoi de plus fréquent,   plus commun,

En un couple, ce, qu’ils s’aiment ou pas,

C’est la loi du genre et on n’y coupe pas.

.

On entend éclats de voix, puis vaisselle,

Les nerfs à vif, ils déchargent leur fiel,

Pour ces deux-là, fini amour éternel.

.

Ne vous y fiez pas, le septième ciel

Les attend… pour les réconcilier,

Amour, histoire de  folle  à lier,

Mais,  si l’un  brise  une glace,

Miroir ne reflétera plus rien

.

Laissent… tous

Deux, chagrin.

.

Dialogue, dispute, distanciation

Quand  ces  trois dés  seront jetés,

Lors de quel côté vont-ils retomber,

L’amour, le conflit ou la séparation.

.

Premier, amants, s’adoreront,

Et pour le second, s’étriperont,

Pour le troisième  se casseront

Tout passe, lasse, tourne rond.

.

Premier cas : ils s’entretiennent

Pour le second … se contiennent,

Pour le troisième, ils se séparent,

Se lassent de baisers, de bagarres.

.

Si, à quarante ans : facile, de trouver

Un autre partenaire à aimer, contenter,

À cinquante, déjà plus difficile à garder,

À soixante : improbable  à  accrocher,

Et plus tard, un vœu pieu à oublier.

.

Si une dispute violente pressante,

Est cri du cœur  de plaignante,

La réconciliation sur  oreiller

Redonne de la force à baiser.

.

Lors la distanciation froide,

Parlera plus,  d’un ailleurs

Quand  tous  deux  partis.

.

Il est futile, voire inutile

De   tenter  de   recoller

Les   morceaux   brisés,

Lors le miroir, en entier,

Est cassé en plus de  mille.

.

.

Extensions

.

Il devient évident

Qu’ils ne pourront

Réparer les dégâts,

Même en y mettant

La meilleure volonté

Du monde, et voire en

Commençant de suite la

Psychothérapie du couple.

.

La colère, comme chacun sait, est mauvaise conseillère,

Elle aura entraîné  plus d’un divorce, plus d’une guerre,

Et pourtant, en cas de conflit aigu, plus que nécessaire,

Pour tirer  la sonnette d’alarme, crever une sale affaire

D’ailleurs personne non plus ne vous dira le contraire

Il faut attendre qu’elle avant de prendre une décision

Parfois s’en excuser, avoir été  sous coup d’émotion.

Toute dispute entraîne, de facto, une distanciation

Mais portera moins préjudice  s’il y a discussion.

.

Le dialogue sert, en premier lieu, à s’entendre

à échanger, information, opinions, décisions

mais il sert parfois à se créer des disputes,

autant qu’à les résoudre, normalement !

.

Il arrive que dispute éclate pour un détail

qu’on prend au pied de la lettre, qui étonne

faut comprendre que ce sera la goutte d’eau,

qui déborde et qui submerge comme tsunami.

.

Une dispute ce serait mots sur maux qui, selon,

dépassent largement sa pensée, font monter le ton

une pause s’impose pour reprendre un peu de recul

sinon vu de l’extérieur, des disputes semble ridicules.

.

.

656 – Calligramme 

 .

Un dialogue       *******            qui dérape

Se transforme        ******        en une dispute,

Et se termine en       *****     une distanciation :

Quoi de plus fré        ***   quent, plus commun

En un couple, ce,       qu’ils s’aiment ou pas,

C’est la loi du genre, et on n’y coupe pas !

On entend éclats de voix, puis vaisselle,

Les nerfs à vif, ils déchargent leur fiel

Pour ces deux-là, fini amour éternel

Ne vous y fiez pas, le septième ciel

Les attend… pour les réconcilier,

Amour, histoire de  folle  à lier,

Mais,  si l’un  brise une glace,

Miroir ne reflétant plus rien

.

Laissent… tous

Deux, chagrin.

.

Dialogue, dispute, distanciation

Quand  ces  trois dés  seront jetés,

Lors de quel  côté vont-ils retomber,

L’amour,   le conflit ou    la séparation !

.

Premier, amants      D    *    S        s’adoreront,

Et pour le second   I                      E     s’étriperont,

Pour le troisième  A                            T    se casseront

Tout passe, lasse   L                              U    tourne rond.

Premier cas : ils    O                               P s’entretiennent

Pour le second       G                             S  se contiennent,

Pour le troisième      U                       I      ils se séparent,

Se lassent baisers          E   *   D           et de bagarres.

Si, à quarante ans,           :              facile, de trouver

Un autre partenaire, à     D     aimer, à contenter,

À cinquante, déjà plus    I     difficile à garder,

À soixante improba       S      ble à accrocher,

Et plus tard, un vœu     T       pieu à oublier.

Si une dispute viol       A    ente pressante,

Est cri du cœur de     N     la plaignante,

La réconciliation      C        sur  oreiller

Redonne de la for    I        ce à baiser.

Lors la distanci     A     ation froide,

Parlera plus,        T     d’un ailleurs

Quand  tous       I      deux  partis.

Il est futile,     O      voire inutile

De tenter       N         de recoller

Les   mor    *    ceaux   brisés,

Lors le miroir,      en entier,

Est cassé en plus de  mille.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

656 4

.

Flacon probablement,

De parfum, mais de quoi :

De phéromones sexuelles

Ou d’attraction de peaux ?

.

On n’ose pas dire flacon parfum

Ou  alors  qui repousse, soudain :

Dieu sait si  les disputes sont aussi

Influencés par des phéromones.

 .

 Symbolique 

 .

Les phéromones,

Sont des combinaisons

De molécules complexes

Provenant  des  produits

De sécrétions des glandes

Que  l’on   dit   spécialisées.

.

Et la palme d’or des parfums

Revient jusqu’ici au Chanel n° 5

Qui rend les femmes irrésistibles

Grâce à  son musc, naturel, allié

À des essences subtiles secrètes.

.

Aujourd’hui, ce parfum  aurait

Perdu  ses principales  vertus,

Tant il ne serait plus composé

Comme  autrefois, matières

Premières naturelles  mais

De molécules synthétiques.

source : sciences-et-magie.com

.

Descriptif

 .

656 – Dialogue dispute : distanciation 

  Alignement central  / Titre cercle droit /Thème  conflit

Forme ovale   /   Rimes égales   /  Fond approché de forme

Symbole de forme : phéromone / Symbole de fond : phéromone

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

656 6

.

On n’ose pas dire flacon parfum

Ou  alors  qui repousse, soudain :

Dieu sait si les disputes sont aussi

Influencés par des phéromones 

 .

Symbolique 

 .

Les phéromones sont

Des substances sécrétées par le corps

Qui suscitent l’intérêt pour le sexe opposé

Et augmentent la libido et le désir sexuel.

Ils n’ont pas d’odeur et leur perception

Est subconsciente, il est donc impossible

De se défendre contre eux.

.

Tout le monde ne dégage pas

Des   phéromones   aussi  fortes.

Il existe sur le marché des parfums

Aux phéromones sous forme pure, inodore.

Grâce à eux, littéralement n’importe quelle

Personne, même la plus inconvenante,

Peut attirer l’attention de

Quelqu’un d’intéressant.

fr.pheromone-ranking.eu

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Qui dit phéromones, dit

Un attrait physiologique,

Auquel nul  ne résisterait :

Il ne faudrait pas confondre

Entre nécessaire  et suffisant.

Quelque chose en plus d’autre :

Substance, onde, parole, regard

Agirait autant en rapprochement.

 .

.

Non, pas d’accord du tout

.

Scénario

.

Schéma classique où le ton monte et les gestes s’amplifient,

puis c’est le silence, à quoi bon, aucun des deux ne lâche rien,

on ne va pas rester indéfiniment à se tourner le dos comme ça.

 .

Visuels et textuels >>

655 – S’avouer que sa vie de couple se termine !

Visuels et textuels  >>

.

Faut s’avouer que,

Faire un constat…de,

Ouvrir grand,  les yeux,

Lors c’est fini,  entre eux.

.

Après, une fois décider…que

Mieux vaut être seul que deux

Il faut voler  vers  d’autres cieux,

Sinon on se passe d’être amoureux.

.

C’est un désir  qui ne meurt  jamais :

Seuls : l’objet, fond,  forme,  changent,

Vont et viennent,  font  leurs  échanges,

Vie de couple, qui se  termine ou renait.

.

S’avouer que sa vie de couple se termine

Se disant est-ce échec ou simple constat

Après tant d’années communes passées

Où tout allait bien sans jamais  penser

Qu’un jour à l’autre ce serait terminé.

Et on peut s’en vouloir au désespoir

Ou se dire que l’on n’a rien à y voir,

C’est juste temps qui se sera passé,

Autre façon  venue  de vous aimer

Parce que  la vie vous a distancié.

 .

Une fois telles constatations faites,

Une fois cette discussion terminée,

Une fois cette décision, bien actée,

La mettre en œuvre  et se séparer,

Et dès lors,  autre futur, projeter.

.

Se porter vers aventure à venir

Pour peu qu’on la tient d’advenir,

Plutôt que ronger son frein désespoir

Lors autre rentrera tard chaque soir,

Vous ignore, vous zappe à  vos côtés.

.

Il se pourrait qu’un déphasage existe

Que chez l’un, un fond amour persiste,

Mais si au fil du temps, aucun ne résiste

Si aucun désir commun ne leur coexiste,

Faut songer à combler manque  sur liste.

.

.

Extensions

.

S’avouer que sa vie

De couple …  se termine,

Après avoir changé de formes,

Tout essayer n’est pas constat d’échec

Mais un passeport pour d’autres horizons.

Le premier pas franchi, autres suivent,

Opportunités font le reste.

Gardant en main son destin,

Le futur ne peut être pire que le présent.

.

Une période, un état de sa vie, son couple se termine

Péripétie utile pour rebondir ou pour y mettre fin

À chacun de savoir si c’est sérieux ou bénin :

C’est le temps, l’attitude, qui le détermine

On dit que c’est le sexe, jamais l’âme.

.

À partir de quand, l’on est convaincu

Que son couple bat de l’aile : c’est foutu !

La réponse la plus courante est, ça dépend,

 Ça se fait en plusieurs étapes ou brutalement.

.

On interroge  ses amis  pour voir  si l’on  fabule.

Pour eux, tout va bien, faut juste faire des efforts,

Dans  un couple, s’il y a dispute, chacun  a ses torts

Faut peut-être prendre de l’air  et sortir de sa bulle !

.

La question du pourquoi est parfois laissée en suspens

Ou on invente bonne raison paraissant vraisemblable :

On s’est trompé, pas la bonne personne : pas aimable

En bref, la confiance n’est plus, même si l’on ment.

.

Et pour finir, survient la question du comment

Qu’est-ce qu’on fait, l’on se donne du temps

Ou tout de suite, prend la porte, va-t’en

Surtout ne revient plus, adieu !

.

.

655 – Calligramme  

 .

Faut s’avouer que,

Faire un constat…de,

Ouvrir grand,  les yeux,

Lors c’est fini,   entre eux.

Après, une fois décider…que

Mieux vaut être seul que deux

Il faut voler  vers  d’autres cieux,

Sinon on se passe d’être amoureux

C’est un désir  qui ne meurt jamais :

Seuls : l’objet, fond, forme,  changent,

Vont et viennent,  font  leurs  échanges,

Vie de couple, qui se  termine, ou renait.

                                   A

S’avouer que sa vie de couple se  V   termine

Se disant est-ce échec ou simple    O   constat

Après tant d’années communes      U    passées

Où tout allait bien sans jamais     E    y penser

Qu’un jour à l’autre ce serait    R      terminé.

Et on peut s’en vouloir       :     au désespoir

Ou se dire que l’on        V   a rien à y voir,

C’est juste temps    I    qui se sera passé,

L’autre façon    E   venue de vous aimer

Parce que   *     la vie vous a distancié.

C ………………………

Une fois   O  telles constatations faites,

Une fois   U  cette discussion terminée,

Une fois   P  cette décision, bien actée,

La mettre  L    en œuvre et se séparer,

Et dès lors,   E     autre futur, projeter.

* ………….

Se porter vers      S      aventure à venir

Pour peu qu’on la    E     tient d’advenir,

Plutôt que ronger son   *   frein désespoir

Lors autre rentrera tard    T     chaque soir,

Vous ignore, vous zappe à      E        vos côtés.

Il se pourrait qu’un déphasage   R            existe

Que chez l’un, un fond amour        M      persiste,

Mais si, au fil du temps, aucun         I     ne résiste

Si aucun désir commun ne leur         N      coexiste,

Faut songer à combler manque          E       sur liste.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

655 4

.

Quelque objet décoratif

Tout  aussi  bien   qu’une

Lampe économe moderne

 À leds  au lieu d’une ampoule

.

Une lampe avec ampoule, éclaire

le fond de sa pensée de son couple,

l’ampoule peut s’obscurcir, se briser,

tant et si bien la forme évoque le fond.

.

La silhouette de cette lampe

 De chevet se distingue à peine 

Par conséquent n’éclaire plus

Sauf si changement ampoule.

  .

Symbolique 

 .

La lampe

Représente un point

De lumière en l’obscurité.

Par analogie, elle symbolise

Notre  entendement  dans la

Confusion mentale profonde,

Et voire encore la révélation

D’un savoir  enfoui, caché.

D’ailleurs telle expression

« Éclairer sa lanterne« ,

Qui signifie clarifier

Quelque chose,

Exprime bien cette

Notion de savoir

Qui est dévoilé.

1001 symboles

.

Descriptif

.

655 – Avouer : vie de couple se termine  

  Alignement central   /  Titre serpente  / Thème  couple

Forme conique/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe /  Symbole de fond : ampoule

.

.

Fond

 .

Évocation

.

655 6

.

La silhouette de cette lampe

 De chevet se distingue à peine 

Par conséquent  n’éclaire  plus

Sauf si changement ampoule.

.

Symbolique

.

L’ampoule, est

Le symbole de l’idée

Qui   jaillit  sans  qu’on

L’ait vraiment cherchée :

Hasard heureux ou erreur

Fructueuse, ou sérendipité !

Qu’il   s’agisse   d’une  lampe

À  huile, à  pétrole   ou  d’une

Lampe  moderne, électrique,

Elle symbolise  l’énergie que

Nous contrôlons, celle  que

Nous maîtrisons. Dans la

Bande dessinée, dessin

L’apparition  d’une

Idée est présentée

Par l’ampoule qui

S’allume au-dessus

Tête personnage.

 .

.

Corrélations

Fond/forme

.

Lors la lampe s’allume,

Éclaire, plus ou moins fort,

De façon directe, ou indirecte

Selon que l’on voudra tout voir

Ou être plus dans une intimité

Pour la lecture voire le sexe

Elle éclaire aussi l’esprit,

Dissipe tout ombre

Qui l’encombre

Au  salon

Ou au lit

 .

.

C’est râpé, foutu, terminé

.

Scénario

 .

Les explications prennent la tournure d’une dispute de couple,

tant et si bien qu’à la fin, à bout d’arguments, ils se séparent,

se rapprochent à nouveau pour se réconcilier ou se quitter !

.

Visuels et textuels  >>

654 – Une blessure profonde d’amour-propre

Visuels et textuels  >>

.

Amour-propre est

Le propre  de l’amour,

Mais amour de soi-même :

Il en faut, un peu mais pas trop

Sinon, sa susceptibilité le pourrira.

.

La blessure est d’autant plus profonde,

Qu’elle sera infligée par être qui est aimé

Sur son point faible, elle est bien frappée

Dans un défaut de son épaisse cuirasse.

.

Concerne prestation sexuelle,

Concerne apparence corporelle,

Concerne présence émotionnelle,

Concerne  passion  intellectuelle.

Concerne conscience spirituelle

.

Blessure profonde d’amour-propre

Comment  se ferait elle,  et par qui,

Au point d’en jeter le vrai opprobre,

Sur tous ceux qu’on aime, jusqu’ici.

 .

Elle peut autant concerner  le sexe,

En  cas  d’impuissance  ou  frigidité,

Qui feraient mal  à amour  complexe

Si belle harmonie, n’est plus trouvée.

 .

Elle peut  autant  concerner le corps,

Si l’un est trop gros, autre trop mince

Ne feront plus  velte,  que tout grince,

En leurs démarches, en corps à corps.

 .

Elle peut  aussi  concerner  le  cœur,

Si en poignardant profonde douleur

Elle mettrait trop de temps, heures,

À retrouver le rythme  du bonheur.

 .

Elle peut aussi concerner … l’esprit,

Si l’autre contesterait tout argument,

Qui pourtant bien, et fort logiquement,

Paraissait d’évidence tout bien compris.

 .

Elle peut,  enfin,  concerner …….….. l’âme

Si elle aura perdu sa couleur, et sa flamme,

Qui dans cette vilaine tromperie, vous damne

Voire, à l’enfer d’un vrai rejet, vous condamne.

.

Mais lors il s’agirait des cinq blessures à la fois,

Il n’y a plus d’espoir : il n’y a plus  qu’une croix,

Qui, plantée en un être écorché, déchiré, blessé,

Vous empêchera, à jamais, de vous réconcilier.

.

.

Extensions

 .

Blessure invisible

Mais pas… anodine,

Elle est imperceptible

Des gens, de l’extérieur,

Ravageuse,  de l’intérieur.

Elle mettra plus longtemps

À se guérir que  nombre de

Blessures physiques, du fait

Que la confiance, perdue, ne

Se restaure, qu’avec le cœur,

Avec sentiment de confiance.

.

Le sexe, le corps, le cœur, l’esprit, l’âme :

Comme nous  avons cinq sens, principaux,

Nos cinq éléments complémentaires, vitaux,

Lors il suffit que l’un d’eux manque, défaille

Pour que nous soyons en état de blessure

Et que l’ensemble vacille ou … déraille

Et pour que l’on se sente diminué.

.

Le sexe, le corps, le cœur, l’esprit, l’âme,

S’il en manque un il y aura  comme fêlure

Qui peut se ressentir sur les quatre autres,

.

S’il y en aura  deux  ou trois : une blessure,

Appelée, communément,   d’amour-propre,

Qui détruit la confiance  en autre  et en soi.

.

On parle de sexe usurpé,   de corps bafoué,

De cœur déchiré, voire d’esprit tourmenté,

Sans compter d’âme totalement souillée !

.

.

Amour-propre est

Le propre  de l’amour,

Mais amour de soi-même :

Il en faut, un peu mais pas trop

Sinon, sa susceptibilité le pourrira.

La blessure est d’autant plus profonde,

Qu’elle est infligée par l’être qui est aimé

Sur son point faible, elle est bien frappée

Dans un défaut de son épaisse cuirasse.

Concerne      prestation          sexuelle,

Concerne     apparence     corporelle,

Concerne  présence  émotionnelle,

Concerne passion intellectuelle,

Voire conscience spirituelle.

.

Blessure profonde   B    d’amour-propre

Comment  se ferait   L     elle,  et par qui,

Au point d’en jeter   E     le vrai opprobre

Sur tous ceux qu’     S  on aime, jusqu’ici.

U

Elle peut autant      R   concerner  le sexe,

En cas d’impuis      E    sance ou frigidité,

Qui feront mal à     *    l’amour  complexe

Lors belle harmo    P   nie est non trouvée.

R  ….

Elle peut autant   O      concerner le corps,

Si l’un est trop      F  gros, autre trop mince

Ne feront plus      O  svelte, que tout grince,

En leurs démar   N   ches, en corps à corps.

D   ………

Elle peut aussi   E        concerner . le cœur,

Si en poignar     *    dant profonde douleur

Elle mettrait     D     trop de temps, heures,

À retrouver        ‘       le rythme du bonheur.

A   …………..

Elle peut aussi   M         concerner … l’esprit,

Si l’autre con       O     testerait tout argument,

Qui, pourtant       U   bien, et fort logiquement,

Paraissait d’évi     R    dence, tout bien compris.

– …………..

Elle peut enfin         P        concerner …….….. l’âme

Si elle aura perdu    R       sa couleur, et sa flamme,

Qui dans cette vilai   O     ne tromperie, vous damne

Voire à l’enfer d’un    P     vrai rejet, vous condamne.

R …………

Mais lors il s’agira     E    des cinq blessures à la fois,

Il n’y a plus d’espoir     !       il n’y a plus qu’une croix

Qui, plantée en un être  *   écorché, déchiré, blessé,

Vous empêchera, à jamais, de vous réconcilier.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

 .

654 4

.

Silhouette  de  femme,

Statique, toute droite,

En pleine tristesse 

D’amour-propre ?

Femme debout, les bras croisés

Qui réfléchit à sa tristesse

D’avoir été déçue, bafouée,

Frustrée, blessée, en elle-même.

 .

 Symbolique 

 

Certaines femmes se plaignent

D’être  considérées, bien  qu’aimées,

Comme des objets par leurs partenaires.

La femme se refuse d’être un objet pour l’autre,

.

Mais simultanément, désire inconsciemment l’être

Elle fait tout, ou voire elle accepte tout pour l’être.

.

Cela ne doit pas être forcément assimilé

Avec le masochisme de structure :

C’est la force, même, de l’amour,

Qui pourra, dans certains cas,

Déclencher fonctionnement

Pervers dans un couple.

cairn.info/revue-clinique

.

Descriptif

 .

654 – Blessure profonde d’amour-propre   

  Alignement central     /    Titre droit    /   Thème  égo

Forme anthropo/ Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : femme /  Symbole de fond : tristesse

.

Fond

 .

Évocation 

.

654 6

.

Femme debout, visage fermé

Qui réfléchit à sa tristesse

D’avoir été : déçue, bafouée,

Frustrée, blessée, en elle-même.

 

Symbolique

La tristesse est une émotion,

Qui traduit une douleur émotionnelle

Associée ou caractérisée par des sentiments

Désespoir, chagrin, impuissance, déception.

Elle peut se manifester par des pleurs,

Une perte d’appétit ou encore

Une perte de vitalité.

.

Dans les cas les plus sévères,

La tristesse peut entrainer une léthargie

Plus ou moins profonde, ou  isolement social.

Souvent, un état passager, bénin, sans risque.

Mais si ce sentiment s’installe, durablement,

Ou s’aggrave, il est important de se confier

Ou consulter un professionnel de santé.

Source : passeportsante.net/fr/Maux/

Symptomes/Fiche.aspx?doc=tristesse

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Manquer d’amour-propre est faire preuve de trop d’humilité

« Vous êtes bien trop modeste, vous mériteriez des félicitations »

En avoir de trop est avoir une haute opinion de sa personne

« Vous êtes bien prétentieux,  et trop imbu  de votre personne »

.

Mots clés : opinion, valeur, jugement, dignité, appréciation,

Mais la blessure d’amour-propre est bien en deçà et au delà

Personne ne la sait ni ne la voit, elle est  comme  un cancer 

Et elle laisse lourdes traces sur la perte de confiance en soi

Blessure à l’âme, dit-on parfois, tellement intime, secrète !

 .

.

Racine «Ariane, ma sœur 

de   quel   amour,  blessée,

vous mourûtes aux bords

où vous fûtes laissée ! « 

.

Scénario

.

On sent cette femme blessée, qui sait humiliée, par qui, pourquoi,

qui se cache derrière son bol de petit déjeuner, timide, apeurée,

tant lors blessure profonde, l’on n’imagine ses répercussions !

 .

Visuels et textuels  >>

653 – A chaque couple, ses joies et ses peines !

Visuels et textuels  >>

.

Joies et peines,

Mélange bohème,

Couple se promène :

Péniblement, enchaine.

.

Joies et peines,

Joies que l’on se crée

Et peines que l’on recrée

Selon sa chance ou déveine.

.

Joies et peines

En amour ou en haine

Se transforment en routine

Si un renouvellement patine.

.

Joies et peines

Sans joie et sans peine,

Chacun fait et défait…son lit

Comme chacun fait, refait sa vie !

.

À chaque couple, ses joies, ses peines

Un mélange des deux,  fin de semaine,

Produits par impressions qui trainent

Mais qui seront saines ou voire vaines.

.

Le temps  évolue, tel  un arc tendu,

Par le stress, et, les efforts perdus,

Décoche ses flèches contre vertus,

Faisant mouches en points battus.

.

Il y aura les joies, que l’on se crée,

Il y aura les peines que l’on subit :

Premières, fruits amours secrets,

Dernières : nos espoirs, anéantis.

.

J’ai peine à croire que l’on s’aime

Bien plus encore que l’on se hait

Entre les deux  qu’est-ce  qui fait

Qu’on tient le coup quand même.

.

La force  de  l’habitude, la routine,

Changent  notre amour, en estime,

Quand elle nous berne en sourdine,

Par une tromperie bien trop intime.

.

Et lors un jour, le réveil sonnera la fin

De la récréation voire de notre illusion,

Que nous  vivons,    à deux, à l’unisson,

Vie  bien  remplie  du même  quotidien.

.

Et lors trop de distances se seront établies,

La force pour les franchir … pour les réunir,

Est trop importante tellement que pour en finir,

Chacun fait son choix, défait son lit … refait sa vie !

.

.

Extensions

 .

À chaque couple, ses joies, ses peines :

Celles que l’on pousse, celles que l’on traine.

«Être unis pour le meilleur comme pour le pire ».

Certains ne partagent avec leurs amis, leurs familles,

Que leurs joies, gardant, pour eux, leurs peines,

Tandis que d’autres font tout le contraire,

Comme pour s’en distraire ou soustraire.

.

Il y a ceux qui pour les joies sont à la peine :

Peine à jouir, à s’en réjouir, à s’en épanouir,

Lors ils se déclareront inaptes au bonheur.

.

Les joies se lisent sur les visages, ouverts ;

Tandis que les peines, sur visages fermés.

Parfois l’écoute, l’humour et compassion

Dérident un peu les tensions trop fortes

Ou trop proches  d’une  vive  explosion.

.

Détecter  l’état de solidité  d’un couple

Est œuvre difficile, il ne faut s’en tenir

Ni aux comportements… ni aux dires ;

Il faudrait être souris dans la chambre,

Dans le secret de leurs rapports intimes,

Dans leurs négociations  des  compromis.

.

On dit parfois que l’enfant, c’est la joie et la peine, à l’état pur.

Cette innocence se transforme en joies et en peines amoureuses

L’état adulte tente de conserver des joies et peines raisonnables,

Et  la vieillesse, de se délecter d’une nostalgie morose, des deux !

Tout cela dépend beaucoup de nous, et quel que soit notre âge !

Quel que soit les peines, avec le temps, si tout s’est bien passé,

On ne gardera que le meilleur si l’on est d’un bel optimisme.

Voilà qui relativise bien des choses sur l’enfance, vieillesse

Qui fait que ce qui compte avant tout c’est la tendresse.

.

S’il n’existait pas des peines,

Il n’y aurait non plus de joies :

On serait sans émotion aucune,

Pas plus compassion d’infortune

.

Ce qui est valable pour les couples,

L’est aussi pour tous et pour chacun

Sinon on aurait le choix  entre n’être

Qu’animaux ou remplacés par robots.

.

Une peine de cœur ne ressemblera pas

À peine de perdre quelqu’objet précieux

Car les humains ne se remplaceront pas,

Les objets n’auront jamais de vraies joies.

.

.

Épilogue

.

Chaque couple a quelque chose

Un fond commun qui se dit rose,

Qu’on dit être  amour réciproque,

Que proximité, intimité, provoque.

***

Il est fait tout autant de joie et peine,

Joie si l’autre nous comprend, satisfait,

Peine si l’autre devient un peu rengaine :

Nul ne sait de quoi lendemains seront fait.

***

Notre liberté  d’être ce que  l’on veut,

Voire ce que l’on est

L’Amérique l’aurait promis et à tous :

On voit ce qu’il en est.

Il ne reste que de cette belle promesse,

Qu’une statue, fétiche

Dont nombre de touristes… s’entichent.

 Le couple terre/liberté

N’a pas pesé longtemps dans la balance

Flamme est retombée.

***

Comme on ne compte pas quand on aime,

Pour l’autre on ne ménage sa joie et peine :

Comme le dit si bien Mirabeau, le pont tient

L’eau coule, quel que soit son cours, bas, haut

La joie reviendra toujours  après chaque peine,

Pour peu on ne se laisse pas prendre par haine !

.

.

653 – Calligramme  

 

Joies et peines,

Mélange bohème,

Couple se promène :

Péniblement, enchaine.

Joies et peines,

Joies que l’on se crée

Et peines que l’on recrée

Selon sa chance ou déveine.

Joies et peines

En amour ou en haine

Se transforment en routine

Si un renouvellement patine.

Joies et peines

Sans joie et sans peine,

Chacun fait et défait…s on lit

Comme chacun    fait, refait sa vie !

C

À chaque couple    O ses joies et peines

Mélange  des deux    U   fin de semaine,

Produits d’impressions  P   qui trainent

Et qui  seront saines ou      L      vaines !

Le temps  évolue, tel  un arc  E     tendu,

Par le stress, et, les efforts      :   perdus,

Décoche ses flèches  contre   J    vertus,

Faisant mouches en points   O    battus.

Il y aura les joies, que l’on    I    se crée,

Il y aura les peines que l’on  E      subit :

Premières, fruits amours     S     secrets,

Dernières : nos espoirs,    *    anéantis !

J’ai peine à croire que     E    l’on s’aime

Bien plus encore que     T     l’on se hait

Entre les deux  qu’est   *       ce  qui fait

Qu’on tient le coup     P    quand même.

La force  de  l’habi   E   tude, la routine,

Changent  notre    amour, en estime,

Quand elle nous    N  berne en sourdine,

Par une tromperie E   bien trop intime.

    S

Et lors, un jour, le réveil  sonnera  la fin

De la récréation voire de notre illusion,

Que nous  vivons,    à deux, à l’unisson,

Vie bien remplie  du même  quotidien !

Et lors trop de distances se sont établies,

La force pour les franchir… pour les réunir,

Est trop importante, tellement que pour en finir,

Chacun fait son choix, défait son lit … refait sa vie !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

653 4

.

C’est un haut piédestal,

Pour  sûr, oui… mais

 Pour quelle statue

De la Liberté ?

.

Que vient faire statue de la Liberté

entre couples, ses joies, ses peines :

symbole d’espoir pour des immigrés

si fait que la forme évoquera le fond.

.

La statue de la Liberté

Telle qu’érigée à New York :

La liberté d’être ce que l’on est,

Valable pour soi, pour un couple.

 .

Symbolique 

 .

La statue de la Liberté

Sculpture  fut confiée,  1871,

Au français Auguste Bartholdi

Et  l’énorme  socle   permettant de

Porter  hauteur 46 mètres à 93 mètres,

Pour un total de  225 tonnes,  à une collecte

Des fonds américaine mais les travaux s’arrêtèrent

Aux fondations, suscitant critiques de la presse américaine

Face au projet jugé démesuré. Le journaliste Joseph Pulitzer,

Précurseur de la presse d’investigation engagée  socialement

Accepta  de  mobiliser les  premières pages  de son  quotidien

New York world pour récolter plus d’argent, gagnant aussi

Grâce à ce geste 50 000 nouveaux abonnés.

fr.wikipedia.org/wiki/Statue_de_la_Liberte

.

Descriptif

.

653 – Chaque couple : joies et  peines 

  Alignement central  / Titre serpente  / Thème  couple

Forme droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : statue /  Symbole de fond : Liberté

.

.

Fond

 

Évocation de fond

.

653 6

.

La statue de la Liberté

Telle qu’érigée à New York :

La liberté d’être ce que l’on est,

Valable pour soi, pour un couple.

 .

Symbolique de fond

 .

Le but de la statue de la Liberté

Était de sceller l’amitié entre la France

Et   les   États-Unis, à   cette   époque   où

Le pays redevenait  tout juste  républicain

C’est un symbole qui tendrait à disparaître,

Les deux pays ont des divergences politiques.

.

D’ailleurs, bon nombre d’américains ignorent

L’origine de la statue, ne voient en elle qu’une

Démonstration  des   prouesses   techniques

Dont est capable leur pays d’Amérique…

Ce qui peut faire rire les Français,

Constructeur de la statue !

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Je ne vais pas vous en faire

 Toute une poésie, tant d’autres

En auront fait des … centaines,

Plus  inspirées  que les miennes,

Simplement rappeler  l’essentiel.

Sa vue était  comme  voir le ciel,

S’éclairer après  mois de misères

Comme on voit trop sur Terre :,

Eldorado qui comme les autres

Traduira autant bas que hauts.

 .

.

Apollinaire le dit mieux que moi

.

Scénario

.

Une ombre plane souvent sur un jeune couple,

sa maturité fait naître comme un attachement,

qu’ils conserveront tout au long de leur vieillesse.

 .

Visuels et textuels  >>

652 – Ma lettre de rupture, jetée au feu, brûle

Visuels et textuels  >>

.

Une  belle lettre  de rupture,

Peut contenir trois mots,

Du genre : je te quitte

Pour faire au plus vite

Ou cent si je suis dispo

Voire  mille si  je m’étale.

.

Je peux la bruler

Suite renoncement,

Comme peux l’adresser

Au mauvais appartement.

.

Pour finir je peux la publier

Sur  le réseau  d’amis, privés

À charge, pour eux,  de révéler

Qu’elle est la dernière informée.

.

Je peux aussi, lui  téléphoner pour

Lui demander de nous rencontrer,

Afin  de signifier  et de  vive  voix :

Notre aventure est bien terminée.

.

Lettre adressée  à l’être, accroché

Peut autant le libérer que le tuer

Chaque mot compte, sera pesé,

À l’aune franchise, sincérité.

.

Ma  lettre  de  rupture

Jetée  au  feu, brûle :

J’ai  regardé, hagard,

Se consumer mon amour !

.

Elle est partie en fumée, en l’âtre,

Du salon de ma grande et belle cheminée.

.

Ce n’était que brouillon avant de mettre au propre,

Ou au figuré sinon à la figure de celui qui m’aura trompé,

Non pas par le sexe mais bien plus par le sentiment premier.

.

Ce qui était écrit tient en peu de mots car à quoi bon s’étaler

Lors rideau de la pièce vient de tomber pour la dernière

Tant par correspondance je l’ai vu, lui aussi, brûler.

.

Correspondance confiée bien  après, au postier,

À la donner en mains propres avec récépissé

Destinataire chez nouvelle partenaire.

.

Elle m’est revenue avec cette mention :

« N’habite pas, ou plus, à cette adresse »

Fallait s’attendre  à ce gage  de tendresse

Soufflé, je présume, par duplice maitresse.

.

Je n’ai plus qu’à la poster sur le réseau Facebook

Afin que cette nouvelle fasse le buzz dans le quartier,

Et que je me sente obligé de la rectifier ou la confirmer.

.

Mais non, finalement … sagement, j’attendrai son retour,

Nous aurons une discussion, face à face, sur notre amour

.

.

Extensions

 .

Toute affaire de couple

N’est que l’affaire de ce dernier.

Personne d’autre ne peut s’immiscer

En draps lit conjugal pour compter les coups,

Voir qui fait du bien ou du mal, comment cela

Peut évoluer dans le temps et les événements.

.

Combien  se précipitent, premier dérapage,

Voire soupçon, pour finir par comprendre

Qu’il y a eu maldonne ou confusion mais

Dont son rétropédalage ne marchera

Pas  dans  toutes  les  conditions.

.

Voilà, j’en ai fini avec la lettre,

Écrivez-moi la vôtre, postez-la,

Je la ferai bruler en un grand feu

Et alors, un grand émoi, me saisira

À l’idée que votre braise m’enflammera.

.

Jeter une lettre de rupture comme brouillon en une poubelle

Ou la brûler rageusement dans le feu pour faire tout disparaître

Dans le premier geste, on pourra vite se ressaisir puis la modifier

Dans le second c’est comme une bêtise qu’on regrette, qu’on annule

Ce qui brûle, n’est pas que  le papier, l’encre, le contenu : l’intention,

La décision, l’action même de mettre fin à un amour auquel on tient.

.

Une lettre de rupture amoureuse

 Peut être soit courte, soit longue,

Mais doit aller droit à l’essentiel,

 Et claire pour éviter ambiguïtés !

.

C’est loin d’être un exercice facile

Si on veut rester en bonne entente,

Moindre froissement amour propre,

Et c’est l’oubli définitif, mort, enterré.

.

C’est pourquoi, un brouillon et relecture

Après nuit de sommeil  avant de l’envoyer

Est plus que conseillée,  est recommandée :

Arrive que, le lendemain, le contenu change.

.

Il m’est arrivé d’en écrire  mais  ce n’est qu’en

Troisième réécriture que j’ai trouvé mes mots

Qui convenaient en vue d’adoucir la rupture

Et la suite m’a donné raison, lors amitié.

.

.

652 – Calligramme 

 .

Une  belle lettre  de rupture,

Peut contenir… trois mots,

Du genre : L   Je te quitte

Pour faire  E   au plus vite

Ou cent si   T   je suis dispo

Ou mille si   T       je m’étale.

Je peux la    R              bruler

Suite renon   E             cement,

Comme peux  *           l’adresser

Au mauvais     D     appartement.

Pour finir je      E     peux la publier

Sur le réseau        *          d’amis, privés

À charge, pour       R          eux,  de révéler

Qu’elle est la der      U            nière informée.

Je peux aussi, lui      P            téléphoner pour

Lui demander de       T            nous rencontrer,

Afin de signifier         U             et, de vive voix :

Notre aventure           R                 s’est terminée

Lettre adressée        E         à l’être, accroché

Peut autant le        *     libérer que le tuer

Chaque mot com  J        pte, sera pesé,

À l’aune franc    E    hise, sincérité.

T

Ma lettre   É de rupture

Jetée  au    E feu, brûle :

J’ai regardé   *    en hagard,

Se consumer  À      un amour

U

Elle est partie en fumée, en l’âtre,

Du salon de ma grande et belle cheminée.

Ce n’était que brouillon     *   avant de mettre au propre,

Ou au figuré sinon à la figure F       de celui qui m’aura trompé,

Non pas par le sexe mais bien  E     plus par le sentiment premier.

Ce qui était écrit tient en peu  U    de mots car à quoi bon s’étaler

Lors rideau de la pièce vient  *         de tomber pour la dernière

Tant par correspondance    B        je l’ai vu, lui aussi, brûler.

Correspondance confiée  R         bien  après, au postier,

À la donner en mains    Û       propres avec récépissé

Destinataire chez         L         nouvelle partenaire.

Elle m’est revenue   E    avec cette mention :

« N’habite pas, ou plus, à cette adresse »

Fallait s’attendre à ce gage de tendresse

Soufflé je présume par duplice maitresse.

.

Je n’ai plus qu’à la poster sur le réseau Facebook

Afin que cette nouvelle fasse le buzz dans le quartier,

Et que je me sente obligé de la rectifier ou la confirmer.

Mais non, finalement … sagement, j’attendrai son retour.

Nous aurons une discussion, face à face, sur notre amour.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

652 4

.

Deux formes superposées

Et dont le tout ressemble

À une lampe allumée 

À bien la regarder !

.

Une lampe pour regarder le contenu

d’une lettre, bien écrite, à la main ,

il n’en faut pas plus  pour évoquer

une forme qui approche le fond.

.

Cette même lampe peut servir,

À lire une lettre d’amour,

Tout autant que de la brûler puis

À  la regarder se consumer.

 .

Symbolique 

.

La lampe,

Qu’elle soit électrique,

À huile ou à pétrole,

Représente toujours une

Lumière intérieure,

Une énergie,

Des capacités,

Des talents que

Nous maîtrisons.

C’est l’homme qui maîtrise

La lumière avec un certain pouvoir

D’allumer et d’éteindre, elle est le symbole

De la connaissance : on apprend, de jour

En jour, à mieux se connaître, on évolue

Grâce à ces informations et ces savoirs.

.

Descriptif

.

652 – Lettre de rupture, jetée au feu, brûle

  Alignement central     /   Titre droit      /   Thème  feu

Forme courbe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : regarder

.

Fond

 .

Évocation

.

652 6

.

Cette même lampe peut servir,

À lire une lettre d’amour,

Tout autant que de la brûler puis

À  la regarder se consumer.

 .

Symbolique 

 .

Le regard est chargé

De toutes passions de l’âme

Et doté  d’un pouvoir magique

Qui lui confère terrible efficacité.

Instrument des ordres intérieurs :

Il tue, il fascine, il foudroie, séduit

Et ce d’autant qu’il exprime la vie.

Les  métamorphoses  du  regard

Ne révèlent pas seulement celui

Qui regarde  mais aussi celui

Qui est regardé/regardant.

 .


.

Corrélations

 .

Liens fond/forme 

 .

On peut lire une lettre à la lumière

D’une belle lampe à pétrole, allumée,

La bruler au feu de cette même lampe 

Ce sont des usages contraires d’un feu

À savoir briller  puis se consumer !

.

L’amour éclaire aussi, et autant,

S’il ne se limite pas qu’au pieu.

Lettre que l’on brule sera l’acte

De destruction,  renoncement

Avec un point de non-retour,

Bien loin du parfait amour !

 .

.

Bien belle lettre, bien belle écriture

.

Scénario

.

Ma lettre de rupture, n’est pas argumentée, est désolée,

brûle, comme une allumette, en flammes, en un instant,

en dernier éclat d’existence, vit amour au delà de mort.

 .

Visuels et textuels  >>

651 – Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Visuels et textuels   >>

.

Je ne suis pas ceci,

Ni cela, loin s’en faut,

En bref, ne suis pas celui

Que pour un couple, te faut.

Je suis cheval  et pas taureau,

Je ne suis pas bon, pas salaud,

.

Ne suis qu’homme et pas loup,

Et cela fait un peu … beaucoup.

Étalons, et talons, étalons-nous,

Qualités, et défauts : déclinons.

Tu n’es pas, non plus… déesse :

Juste  enfant  mère,  promesse.

C’est là  surtout, où le bât blesse.

 .

Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Je ne suis pas  l’homme qui te vaut,

Je ne suis pas,  cet  homme … beau

Que  tu  souhaites   comme  cadeau

Bien que quelque chose me dira que

J’ai malgré tout, ma place près de toi,

Qu’elle soit : de fait, d’amour, de droit

Essentiel est que, nous deux, heureux.

.

Je ne suis pas l’homme  qu’il te faut !

Je suis : cheval, bouc  ou … taureau,

N’importe lequel,   de ces animaux,

Que tu aimes bien en ton hameau,

Mais quelque chose me dit que, si,

Si je me transforme… homme-loup,

Je pourrai t’approcher, pour le coup,

Pour mieux te dévorer de mes yeux.

 .

 Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Je ne suis pas assez bon, ou  salaud,

En restant entre, pas assez, et trop,

Je manque bons gestes, bons mots

Mais  quelque chose me dit que, si

Je deviens un homme imprévisible,

Je cache mon âme dans …l’invisible,

L’offre, cadeau nouveau, merveilleux.

 .

Si je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Je ne suis pas, déjà, j’espère, de  trop :

À pied, à cheval, au trot ou au galop,

Te conquérir, je ferai, ce qu’il faut,

Mais quelque chose me dit que si

Nous n’avons pas  épuisé le rêve

Qui  ferait, notre  vie, trop brève,

Tu ne   peux  perdre  l’amoureux.

 .

Ne suis pas l’homme qu’il te faut,

Ne suis pas l’homme qui : à mots

Couverts, t’aura promis berceaux,

Où nos enfants  seraient des faux,

Mais, quelque chose me dit que si

Leur réalité l’emporte, aujourd’hui.

.

.

Extensions

 .

Je ne suis pas l’homme qu’il te faut.

Combien de fois, me le suis-je répété,

L’ai-je, moi-même, vérifié, et pourtant,

Je persévère, et, pourtant, ne désespère,

Que ton choix ne bascule, en ma faveur

Et je profite des tiennes à toute heure.

Je ne suis pas homme, je suis faux.

Est-ce la même chose ou c’est

Parce  que  je  ne  te  vaux.

Je peux me poser mille

Et  une  fois  ces

Questions sans

Trouver   la

Réponse

Il faut.

.

L’homme qu’il faut : sur plus d’un milliard, y a ce qu’il faut

Eh bien, parfois, non, ce n’est pas qu’elle ne trouverait  pas,

Mais celui qui l’approche, qu’elle rencontre ne convient pas

Trop intériorisé, extériorisé, trop intellectuel ou exubérant

Problème de fond est qu’il n’existe pas pour elle autre que

Dans son fantasme, son illusion, son rêve, non en réalité

Qui est finalement régulateur de toute chose sur Terre.

De là à imaginer de manière obsessionnelle et le dire

Que son conjoint n’est pas le bon, qu’un pis-aller !

.

Qu’est-ce ça peut bien vouloir dire :

« Je ne suis pas  l’homme  qu’il te faut »

On dirait presque une erreur de casting,

On ne pourra pas tourner la scène prévue.

.

On peut modifier un tantinet la phrase

« Je ne suis pas  l’homme  qui  te  vaut »

Ça aura au moins le mérite d’être clair,

À chacun de juger si c’est vrai ou faux.

.

On peut même aller plus loin,  jugement

« Je ne suis pas  l’homme  sans   défaut»

Mais qui peut bien l’être, sauf être ange,

On touche à des commentaires abyssaux.

.

.

651 – Calligramme 

.

Je ne suis pas ceci,

 Ni cela, loin s’en faut,

   En bref, ne suis pas celui

      Que pour un couple, te faut.

          Je suis cheval  et pas taureau,

             Je ne suis pas bon, pas salaud,

                Ne suis qu’homme et pas loup,

                   Et cela fait un peu … beaucoup.

                     Étalons, et talons, étalons-nous,

                     Qualités, et défauts : déclinons.

                    Tu n’es pas, non plus… déesse :

                  Juste  enfant  mère,  promesse.

                 C’est là  surtout, où le bât blesse.

JE NE SUIS              

                Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

           Je ne suis pas  l’homme qui te vaut,

       Je ne suis pas,  cet  homme … beau

    Que  tu  souhaites   comme  cadeau

  Bien que quelque chose me dira que

J’ai malgré tout, ma place près de toi,

Qu’elle soit : de fait, d’amour, de droit

Essentiel est que, nous deux, heureux

 PAS L’HOMME          

Je ne suis pas l’homme  qu’il te faut !

 Je suis : cheval, bouc  ou … taureau,

    N’importe lequel,   de ces animaux,

       Que tu aimes bien en ton hameau,

            Mais quelque chose me dit que, si,

                 Si je me transforme… homme-loup,

                      Je pourrai t’approcher, pour le coup,

                        Pour mieux te dévorer de mes yeux.

            QU’IL TE FAUT ! 

                           Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

                            Je ne suis pas assez bon, ou  salaud,

                             En restant entre, pas assez, et trop,

                              Je manque bons gestes, bons mots

                                Mais  quelque chose  me dit que, si

                                 Je deviens un homme imprévisible,

                                Je cache mon âme dans …l’invisible,

                               L’offre, cadeau nouveau, merveilleux.

           .

                          Si je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

                        Je ne suis pas, déjà, j’espère, de  trop :

                    À pied, à cheval, au trot ou au galop,

                   Te conquérir, je ferai, ce qu’il faut,

                    Mais quelque chose me dit que si

                       Nous n’avons pas épuisé le rêve

                          Qui ferait, notre vie, trop brève,

                              Tu ne   peux  perdre  l’amoureux.

           .

                                Ne suis pas l’    homme qu’il te faut,

                                 Je ne suis pas l’    homme qui, à mots

                               Couverts, t’aura        promis berceaux,

                             Où nos enfants         seraient des faux,

                             Mais, quelque          chose me dit que si

                                 Leur réalité l’em              porte, aujourd’hui.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

651 4

.

Un  très bel animal

Se dressant debout :

 Un cheval, surement, 

Mais sans son cavalier

.

En voilà bien un bel étalon,

Avec lequel on peut t’entendre.

 Je ne suis qu’un cheval de trait,

Je n’en ai pas d’un pur-sang.

 .

Symbolique

 .

Une croyance ancrée

En la mémoire des peuples

Associe l’origine du cheval

Aux  ténèbres  d’un  Monde,

Dont il surgit, en  galopant

Comme sang en les veines,

Des entrailles de la terre

Des abysses de la mer.

Comme fils de la nuit

Et   d’un   mystère,

Il  serait  porteur

À la fois de mort

Et de vie,

Destructeur

Et triomphateur.

.

Descriptif

.

651 – Je ne suis pas l’homme qu’il te faut !

Alignement central  / Titre intercalé  /  Thème  humeur

Forme animal / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : cheval  /  Symbole de fond : cavalier

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

651 6

.

Je ne suis rien qu’un cavalier

Conscient le jour sur cheval aveugle

Aveugle la nuit, sur un cheval voyant

Selon interprétation psychanalyse.

 .

Symbolique 

 .

Psychanalyse du cheval et du cavalier :

En plein midi, entraîné par la puissance de sa course,

Le cheval galope à l’aveugle et le cavalier, les yeux grands ouverts,

Prévient ses paniques et le dirige vers le but qu’il s’est assigné.

.

La nuit, quand le cavalier devient à son tour aveugle,

E cheval peut se faire voyant et guide.

C’est lui alors qui commande car

Lui seul peut franchir impunément

Les portes du mystère

Inaccessible à la raison ?

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

En vrai, il te faudrait un homme qui soit

Comme si, comme ci, et surtout pas comme ça !

Je suis comme ça, pas comme ci, cherchez l’erreur !

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On peut transformer un poulain en cheval, en étalon,

Mais pas en chat ni en chien  et encore moins en lion.

Aucun déguisement ne suffit  pour la transformation

Ou proverbe : chassez le naturel, il revient au galop

Encore une histoire de cheval qui se cabre  et rue .

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En fait, il faut rester comme on est et progresser

C’est une question d’histoire, non d’instantané.

Apprécier le potentiel, malléabilité de l’autre

Plutôt que condamner à n’être que ce qu’il est.

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Confondre ambigu, ambivalent

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Scénario

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Je ne suis pas l’homme qu’il vous faut : trop intériorisé !

Je ne suis pas l’homme qu’il vous faut : trop extériorisé !

C’est certain, sauf peut-être en politique, pour le reste …

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