650 – J’ai omis, vomi, honni, de vous dire

Visuels et textuels  >>

.

On ne se parle plus

On  se ne   voit plus :

Non  pas  … par  haine

Mais,    par    inexistence,

Lors, hasard, je vous croise,

Je change de trottoir, en face,

Je ne marcherai sur vos traces

Ni de sorcière ni de bourgeoise.

.

De  m’être  séparée, de  vous,

M’a libérée  du même coup

De votre présence, d’haïr,

Même votre… souvenir.

 .

J’ai omis de vous dire

Nous sommes quittes

Et tout autant quittés

Tout  bien consommé :

J’ai honni  de vous dire

Je n’en avais pas la force

Ne voulant sur vous médire

Amour n’en avez pas l’amorce.

.

Puis  de vous dire, j’ai honni,

Puis  de vous dire, j’ai vomi,

Puis de vous dire, j’ai omis

Qu’on  ne  se  parlera plus,

Que je ne vous aime  plus,

Vous voir, je ne peux plus.

.

Nous étions en même état

Nous avions un bon contrat

Nous protégeant contre cela,

Trompés  par  nonchalance,

Trompés  par indifférence,

Trompés  par inexistence,

Voilà que je   vous croise,

Et voilà que je vous toise,

Et voilà que je vous noise.

.

Telle votre ennemie d’hier,

Telle une nouvelle mégère,

Ou telle la pire des sorcières.

Et même si  j’en suis pas fier,

Si, pour vous, c’est vrai   enfer,

Si    c’est   une   vraie…   misère,

Lors  de  m’être  éloigné  de vous,

Lors de m’être débarrassé de vous,

Nous rend quittes en tout, pour tout.

.

Notre union s’avère être consommée,

Notre rupture  s’avère  être  achevée,

Nos souvenirs s’avèrent être oubliés,

Il ne reste plus rien … de nous deux,

Il ne nous reste plus rien d’heureux

Si ce n’est avoir été très amoureux.

.

.

Extensions

 .

Omis, honni, vomi, sont comme autant

De musiques  bruyantes   d’un  instrument

Désaccordé que l’on ne parvient plus à réparer.

.

Quelque chose, en lui, s’est cassé,  définitivement,

Ressort qui ne se tend, se détend plus, en le forçant.

.

Ce n’est pas forcément une tromperie,  cela peut être,

Tout ou rien, la fatigue, lassitude, que sais-je  encore !

.

Toujours est-il que le simple fait de voir l’autre réveille

En soi tout une batterie de pulsions contraires que les

Psychanalystes appellent «mécanismes de défense»

.

Pour porter le focus sur le côté  plus inconscient,

Malgré soi : incontrôlable, ou irraisonnable.

.

Des comptes  à  régler, probablement,

Impossibilité et revenir en arrière,

Possiblement, la rage de s’être

Trompé sur quelqu’un à ce point,

Certainement, voire les trois à la fois !

.

Vous dire : que ce soit omis, vomi, honni,

Ne changerait rien au fond des choses

Tant seules, les formes, diffèrent !

Le fond a une couleur négative

Avec des formes affectives

Qui nous indisposent

Le temps arrange

Ou augmente

Son effet

V

.

.

650 – Calligramme  

.

On ne se parle plus

On  se ne   voit plus :

Non  pas  … par  haine

Mais,    par    inexistence,

Lors, hasard, je vous croise

Je change de trottoir, en face,

Je ne marcherai sur vos traces

Ni de sorcière,  de bourgeoise.

De  m’être  séparée, de  vous,

M’a libérée  du même coup

De votre présence, d’haïr,

Même votre… souvenir.

 .

HONNI,    VOMI …………

   J’ai omis de vous dire ……………………..

    Nous sommes quittes,………………………..

   Et tout autant quittés,……………………………..

Tout bien consommé……………………………….

J’ai honni de vous dire……………………………

   Je n’en avais pas la force,………………….

   Ne voulant sur vous médire…………

   Amour n’en avez pas amorce..…..

J’ai omis         de      vous dire,

J’ai vomi          de      vous dire,

J’ai honni         de       vous dire,

Qu’on  ne           se        parle plus,

Que je ne           vous       aime plus,

Vous voir          je n’en      peux plus.

Nous étions           O            même état

Nous avions            M           bon contrat

Protégeant               I           contre cela.

Tromper par           S        nonchalance

 Tromper par          *        indifférence

  Tromper par        D        inexistence.

   Voilà que je                  E        vous croise

     Et voilà que     *      je vous toise

       Et voilà que   V     je vous noise,

           Telle votre    O    ennemie d’hier,

              Telle une      U    nouvelle mégère,

               Ou telle la    S   pire des sorcières.

              Et même si   *      j’en suis pas fier,

             Si pour vous  D     c’est vrai   enfer,

        Si  c’est  une   I       vraie   misère,

       Lors de m’être R    éloigné  de vous,

      Lors de m’être  E débarrassé de vous,

     Nous rend quittes en tout et pour tout

      Et notre union    s’avère  être consommée,

    Et notre rupture      s’avère      consommée,

Nos souvenirs          sont         consommés.

Il ne reste plus         rien         de nous deux,

Il ne nous reste         plus         rien d’heureux

Si ce n’est avoir          été           très amoureux

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

650 4

.

Un animal plus qu’un humain :

Ou un grand ours taciturne 

Avec une proie sur la tête

Voire un grand pot ?

.

Un ours est par nature peu bavard

est même connu pour être taciturne,

ne devient agressif que si on le dérange,

tant et si bien que la forme évoque le fond.

.

Un ours, c’est certain, comme chacun le sait,

Ça cause très,  très peu :

Il n’y aura rien d’étonnant, pour quelqu’un de

 Taciturne, de ne rien dire.

 .

Symbolique 

.

Nous devons être conscients du fait

Qu’avant toute chose, l’ours est

Un symbole contradictoire.

D’un côté,  il y a des images

D’ours  des  plus  tranquilles

Et de l’autre, il y a des images

D’ours guerriers  et  de pouvoir.

.

C’est comme champ de la patience

Le fait que nous pouvons mettre en

Hibernation nos idées ou nos projets

Jusqu’à ce que des temps plus

Favorables se présentent.

lefrontal.com/symbolique-de-l-ours

.

Descriptif

.

650 – J’ai omis, vomi, honni, de vous dire

Alignement central  / Titre droit   /  Thème  humeur

Forme animal / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : ours  /  Symbole de fond : taciturne

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

650 6

.

Un ours, c’est certain, comme chacun le sait,

Ça cause très,  très peu :

Il n’y aura rien d’étonnant, pour quelqu’un de

 Taciturne, de ne rien dire.

 .

Symbolique 

.

En psychologie,

Le terme « taciturne« 

Est employé pour désigner

Une personne introvertie, silencieuse,

Qui a du mal à s’exprimer.

.

Être  taciturne  n’est pas  une  maladie,

C’est un trait de caractère

Qui se traduit par une grande

Inhibition et des difficultés à s’exprimer.

.

Les personnes taciturnes

Seront  qualifiées d’introverties.

Une caractéristique qui peut entraîner

Difficultés sociales importantes,

En cercle familial, amical

Et professionnel.

sante.journaldesfemmes.fr/fiches-

sante-du-quotidien/2739453-taciturne

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

L’ours est par définition peu causant,

Il peut manifester son humeur, caractère

Par des démarches, par des gestes violents.

Il dit que l’homme attaque ou fuit comme lui

Mais que la femme parle, s’énerve, vitupère

Faudra s’agiter devant l’ours, non le fuir !

Ne tentez pas de lui dire que vous l’aimer

Et pas plus  que vous  en êtes effrayé

Il n’en a cure, vous voie danger

Un ours averti en vaut deux.

 .

.

Tout à fait comme c’est dit !

.

Scénario

.

J’ai omis de vous dire que j’étais déjà prise, engagée en amour !

J’ai vomi de vous dire que j’ai rompu avec vous en amour !

J’ai honni de vous dire, qu’entre nous, rien ne va plus !

 .

Visuels et textuels 

649 – Je fais rarement ce qu’il faut !

Visuels et textuels >>

.

Je fais

Rarement

Ce qu’il faut,

Quand il le faut,

Comme  il  le faut :

Erreurs  se  cumulant

En une seule, imparfait.

.

Imparfait, je suis et le reste

Quoiqu’on  dise  et conteste !

Faire efforts pour s’améliorer,

D’accord, mais se transformer,

En un  gentil  garçon, obéissant,

À l’autre, comme à  une maman,

Non quand même, ai passé l’âge.

.

Il est certain que je fais rarement

Tout ce  qu’il  faudrait, qu’il faut !

Et  quand bien même, je le  ferais,

Je le ferais pas bien comme il faut.

.

Ce, tant et si bien que, finalement,

Je n’aurais plus, d’envie, ni de vie,

Et qui pourrait pourtant convenir

À quelqu’un comme moi, pour qui

Tout devrait, et, un jour,  advenir,

Tout comme il aime et il le désire.

.

Je fais ce qui  me semble

Et l’essentiel,  à mes yeux :

Vois que je ne te ressemble,

Au point de rendre ennuyeux.

.

Nos contacts ou, nos rapports,

Qu’ils   soient dedans ou dehors

Bien que je me conduise en ange

Ne te poursuis  de ma revanche

Ni du mal que  je  t’aurais fait,

Sans le savoir ou bien exprès.

.

Fais des efforts encore, encore,

Lors, tu réponds : t’y es pas, garçon

J’y serai peut-être, lors je serai mort

Mais attendant être  qui t’ira très fort,

Ne suis par défaut homme qu’il te faut.

.

.

Extensions

 .

Le rejet de l’autre peut devenir tel qu’on ne voit le changement,

de l’autre et on l’enferme en un cadre rigide dont il ne sortira pas.

.

– «  Ton conjoint a bien changé ces temps-ci, il est plus présent,

plus prévenant, plus aimant… »

« Ah bon, tu trouves : c’est juste pour donner le change,

pour un moment, il (elle) reprendra bien vite ses habitudes »

.

– «  Si ça dure, s’il change vraiment, pour de bon, que feras-tu ? »

– « Alors je lui donnerai une seconde chance  mais je ne crois

pas au miracle, changer dans la durée demande de  l’énergie… »

.

– « Tu devrais changer un peu de ton côté, pour l’accompagner »

– « Merci, je vais bien, ce n’est pas moi le problème, c’est l’autre ! »

.

– « Mais enfin, tu sais bien que dans un couple… »

« Laisse tomber, je te vois venir avec ta psychologie

de couple, regardes plutôt le tien, ça pas fort non plus ! »

.

– « Ça va bien mieux maintenant qu’on s’est beaucoup parler.

« Tu pourrais lui dire qu’il s’améliore, rien que pour l’encourager. »

.

« On en reparlera dans trois mois, un feu de paille, je te jure »

– «C’est à désespérer, dans un an vous êtes divorcés. »

« Et vous dans trois, j’aurai juste pris un peu d’avance ! »

.

Le niveau d’exigence, de perfection de l’autre

N’a d’autre miroir que le cadrage de son miroir.

Certains, certaines, demanderaient, au  conjoint,

De satisfaire de suite le moindre de leurs caprices

Quand d‘autres de combler leurs propres défauts,

Par des qualités qu’ils ne leur reconnaissent pas,

Et ainsi, on tourne en rond, en frustrant l’autre

Sans qu’il ne soit de contrat, de projet, récit,

Autre que de dire «ça ne va toujours pas».

.

Les accroches, anicroches et reproches

De l’un sur l’autre, ou réciproquement,

Ne peuvent durer qu’un certain temps

Jusqu’à ce que l’un deux ne … craque

Lors, en colère, enverra tout en l’air.

.

On dit : il faut être souple, tolérant,

Pour vivre en couple, communauté

Il ne suffit donc pas d’être amants,

Pour que paix ménage, s’instaure !

.

S’instaure, cinq torts, qui a raison :

Les deux ou aucun ou à mi-chemin.

On dit que  qui reconnaitra son tort,

Reste ouvert au dialogue  constructif,

Pour  trouver  compromis … accords !

.

.

Épilogue

.

Tempéraments, attitudes, caractères,

S’accordent, se tolèrent, s’indisposent,

Ça peut être par des gestes, mots, actes

Frictions se produisent, rompent pacte !

***

Certains, certaines, prétendent  qu’amour

Change un homme, une femme, en mieux,

Au bout, sur quelques temps : vœux pieux,

Ils retombent en leurs travers de toujours !

***

Quant à moi, il se peut  qu’elle ne m’aies vu,

Avant de se marier,  comme j’étais,  tout nu,

Voire elle exagère, invente, pour me quitter,

Mais imparfaite, ne le serait-elle pas autant.

***

Lorsque je fais quelque chose, me met à parler

Elle me sonne les cloches comme en une église

Et en outre, ces dernières me semblent… fêlées

Tant sa voix m’écorchera les oreilles : non lisse.

***

J’aimerais tant qu’un bel accord, en symphonie

Nous chante les louanges d’un bel amour choisi

J’ai changé, parfois, j’ai fait nombre compromis.

Rien n’y a fait : faudrait-il que je la quitte, pardi !

***

Mais, je reste, je l’aime encore … comme elle est !

Je ne suis pas l’homme qu’il lui faut, peu s’en faut,

Comment faire pour qu’elle me veuille … je la vaux

En faire peu c’est mal ; assez, bien ; trop… parfait !

.

.

649 – Calligramme  

 .

Je fais

Rarement

Ce qu’il faut,

Quand il le faut,

Comme  il  le faut :

Erreurs  se  cumulant

En une seule, imparfait.

.

Imparfait, je suis et le reste

Quoiqu’on  dise  et conteste !

Faire efforts pour s’améliorer,

D’accord, mais se transformer,

En un  gentil  garçon, obéissant,

À l’autre, comme à  une maman,

Non quand même, ai passé l’âge.

.

Il est certain que je fais rarement

Tout ce  qu’il  faudrait, qu’il faut !

Et  quand bien même, je le  ferais,

Je le ferais pas bien comme il faut

Ce, tant et si bien que, finalement,

Je n’aurais plus, d’envie, ni de vie,

Et qui pourrait pourtant convenir

À quelqu’un comme moi, pour qui

Tout devrait, et, un jour,  advenir,

Tout comme il aime et il le désire.

.

Je tente  de  faire    ce qui   me semble

L’essentiel,    F              C      à mes yeux :

Vois que je     A              E  ne te ressemble,

Au point de     I                *   rendre ennuyeux

Nos contacts    S               Q  ou, nos  rapports,

Qu’ils   soient    *                 U   dedans ou dehors

Bien que je me  R                    ‘    conduise en ange

Ne te poursuis   A                      I      de ma revanche

Ni du mal que     R                       L        je t’aurais fait,

Sans  le  savoir     E                         *       ou bien exprès.

Fais des efforts      M                         F       encore,  encore,

Lors, tu réponds     E                           A     t’y es pas, garçon

J’y serai peut-être    N                            U      lors je serai mort

Mais attendant être   T                                  qui t’ira très fort,

Ne suis que par défaut                                   homme qu’il te faut.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

649 4

.

Obus, de la première guerre

Un des  monuments  aux morts,

Ou une tour ronde d’un clocher

D’église avec une base carrée ?

.

Autant un clocher qu’une église

ne convient pour faire ce qu’il faut

on serait ici, entre le rond et le carré,

sans parler de tout autre porte-à-faux.

.

Ce n’est pas le bon fond, la bonne forme,

Ou le bon moment :

Il y a quelque chose qui cloche en église,

Ou qui résonne mal.

 .

 Symbolique 

 

Pour l’Église orthodoxe russe,

Les cloches sont des êtres  animés

D’un  nom, d’un corps et de sentiments.

Par ailleurs, la forme creuse et arrondie

De la cloche  l’assimile au corps féminin,

Tandis que le battant et aussi le manche

Évoquent un  phallus   en   connotations

Sexuelles contribuent    au symbolisme

De la cloche, du dorje (petit sceptre),

Souvent employés simultanément

Dans les rituels bouddhistes,

 Tibétains.

grandrêve1234.blogspot.com

.

Descriptif

 .

649 – Je fais rarement ce qu’il faut !  

Alignement central  / Titre analogue  / Thème  dialogue

Forme conique / Rimes égales  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : cloche / Symbole de fond : église

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

649 6

.

Ce n’est pas le bon fond, la bonne forme,

Ou le bon moment :

Il y a quelque chose qui cloche en église,

Ou qui résonne mal.

 .

Symbolique 

 .

Il est plusieurs façons de visiter une église.

On peut se munir d’un guide qui va vous donner

Tous les renseignements, historiques et artistiques,

Nécessaires, ou simplement se promener dans le lieu

Et se laisser imprégner  par l’atmosphère, ou encore

S’arrêter longuement, allumer cierge, pour y prier.

Notre parcours débute au clocher, source de la

Convocation du peuple par les cloches.

St-maurand-st-ame.cathocambrai.com/eglise-symboles

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Chacun sait qu’il y a des rites, codes, conventions

Des manières de faire, d’exister, de communiquer,

Propres à chaque lieu, tels que silence dans l’église,

Faire la queue à un guichet,  frapper avant d’entrer:

Dans un musée on ne s’approchera trop des tableaux

Et dans certains bars on paie à la commande ou pas !

.

Lors, de faire ce qu’il faut, comme il faut quand il faut

En permanence et quel que soit la situation et fatigue,

Requiert attention de tous les instants et énergie folle

Qui peut conduire à l’abattement voire au burn out.

L’intolérance à moindre imperfection de l’autre

Conduit droit au conflit, séparation, divorce.

 .

.

Mais comment faire ce qu’il faut

.

Scénario

.

Ce qu’il faut pour passer à l’acte, comme aveu de mes sentiments ;

ce qu’il faut pour ôter mon masque, me présenter tel que je suis ;

ce qu’il faut pour inviter celle aimée, à un week-end amoureux !

 .

Visuels et textuels >>

648 – Pour m’aimer, il aurait suffi que je sois

Visuels et textuels  >>

.

Il aurait

Suffit de peu

Pour  que  l’on  soit

L’un de l’autre amoureux

Oui mais voilà : je ne suis pas

Celui que ton cœur te désignera,

Comme l’élu, et qui te comblera !

.

Aurait-il  suffi que je

Amour est autre que jeu

Auquel je ne suis pas mieux

Si un jour, contraire adviendra

Tant pis si ton choix ne me sourira.

Au revoir et adieu car c’est un choix !

.

M’aimer, il aurait suffi que je sois

Un tantinet plus menteur,

Ou un tantinet plus joueur,

Pour que tu viennes  à  moi.

.

M’aimer, aurait suffi  que je sois

Authentique, transparent

Pour faire, de moi, l’amant

Avec ta belle aura magique.

 .

M’aimer, il aurait suffi que je sois

Pour toi, un dieu, un roi

À même que, de ton  émoi,

Naisse ta volonté de  choix.

.

M’aimer, il aurait suffi que je sois

Autre qu’un pauvre  farceur

N’ayant  pas que misères

À partager avec tes airs.

 .

M’aimer, il aurait suffi que je sois

Amour conçu un enjeu,

Pour un moment heureux,

Même s’il ne dure que peu.

.

M’aimer, il aurait suffi que je sois

Beau et riche et  célèbre,

Pour,  enfin,  tu me vois

Autre qu’un bon zèbre.

 .

M’aimer, il aurait suffi que je sois,

Je crois, mais ne crois pas,

Qu’entre nous ça changera,

Adieu à la prochaine fois.

.

.

Extensions

.

Il aurait suffi que … c’est ce qu’on se dit,

Après coup, peut-être pour se rassurer

Tant on ne saura pas si on avait été,

Avait agi, différemment, le résultat

N’aurait été le même pour question

De forme ou pour question de fond :

.

«De toute façon, tu ne me convenais pas,

Quoique tu fasses, tu n’étais pas mon genre,

Comme copain, d’accord, et pour un temps,

Comme conjoint, non, même pas en rêve! »

.

Pas assez d’autonomie  ou   de combativité,

Volonté de construire  l’économie du foyer,

Tout le contraire,  faiblesse d’être à charge,

Ou alors, drôle, comme ça, oui, en passant,

Mais ennuyeux à la longue et déstabilisant.

Il aurait suffi que …  mais, pourquoi, l’autre

Qui me ressemble a les faveurs de son choix :

Qu’est-ce qu’il a de plus que moi,  de différent,

Que je ne saisis pas, etc. Ou dont je n’ai pas idée

On dit que ce sont les phéromones,  testostérones,

Bref les éléments chimiques qui sont déterminants.

Si c’est le cas, pourquoi se poser des questions alors

La réponse claire : d’ordre animal, plus qu’humain !

.

Pour m’aimer il aurait suffi …. c’est certain

Qu’avec le conditionnel tout bien en main

Mais tout le monde sait qu’avec des si,

L’amour même en tout nous réussit

Que répondre à cela, rien, sinon

Que  c’est  bien  à  chacun,

De  capter  le   destin

Qui est  le  sien

Et le bon

V

.

Trente-six critères à souscrire

Afin de parvenir à me plaire,

Et pour que l’on construise

Vie commune, ensemble !

.

C’est dire : quels qu’ils soient

Aucun ne les satisfait, je crois.

C’est se contraindre à vivre seul,

Autant déjà préparer son linceul !

.

D’autant qu’entre ce qu’on est et devient

Il y aurait une moitié qui aurait changé.

C’est l’évolution normale de tout couple,

À moins d’être psychorigides patentés.

.

.

648 – Calligramme 

.

Il aurait

Suffit de peu

Pour  que  l’on  soit

L’un de l’autre amoureux

Oui mais voilà : je ne suis pas

Celui que ton cœur te désignera,

Comme l’élu, et qui te comblera !

.

Aurait-il  suffi que je

Amour est autre que jeu

Auquel je ne suis pas mieux

Si un jour, contraire adviendra

Tant pis si ton choix ne me sourira.

Au revoir et adieu car c’est un choix !

.

M’aimer, ….. il aurait suffi  M   que je sois

Un tantinet plus                 ‘  menteur,

Ou un tantinet plus          A    joueur,

Pour que tu viennes          I      à moi.

                            M

M’aimer, ….. il aurait suffi   E   que je sois

Authentique, trans            R     parent

Pour faire, de moi,             *    l’amant

Avec ta belle aura               A  magique.

                           U

M’aimer, ….. il aurait suffi   R    que je sois

Pour toi, un dieu,               A       un roi

À même que, de ton           I        émoi,

Naisse ta volonté de           T       choix.

                            *

M’aimer, ….. il aurait suffi   S    que je sois

Autre qu’un pauvre            U      farceur

N’ayant  pas que                 F     misères

À partager avec                   F     tes airs.

                           I

M’aimer, ….. il aurait suffi   *    que je sois

Amour conçu un                 Q         enjeu,

Pour un moment                U    heureux,

Même s’il ne dure               E     que peu.

                          *

M’aimer, il aurait suffi         J     que je sois

Beau                 et riche et    E       célèbre,

Pour,                  enfin,  tu    *        me vois

Autre                  qu’un bon  S          zèbre.

                           O

M’aimer, il aurait suffi          I    que je sois,

Je crois,      mais ne crois     S              pas,

Qu’entre      nous ça chan      !             gera,

Adieu et      à la prochaine    *              fois.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

648 4

.

Une tour, c’est sûr,

Mais pas un donjon :

Une pagode peut-être,

Et  avec six sept étages !

.

Pour être aimé, il faut empiler

Six ou sept qualités ou vertus :

Comme cette pagode, réelles

Ou pas seulement projetées.

  .

Symbolique de forme

 .

Le mot pagode

Désigne lieu où se

Trouve une relique

Et un  lieu  de culte

Pour    les    adeptes

Du tout bouddhisme,

En   prenant  l’aspect

De  tour  de  plusieurs

Étages, soit circulaire,

Octogonale, voire carrée,

Caractérisée par un toit évasé ou épi.

Venue d’Inde, la pagode s’est propagée

Avec le bouddhisme à partir du IIe siècle

En Chine, puis Corée, et enfin  au Japon.

fr.wikipedia.org/wiki/Pagode

.

Descriptif

 .

648 – M’aimer : il aurait suffi que je sois ! 

Alignement central  / Titre droit  / Thème  humeur

Forme droite / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : pagode / Symbole de fond : pagode

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

648 6

.

Pour être aimé, il faut empiler

Six ou sept qualités ou vertus :

Comme cette pagode, réelles

Ou pas seulement projetées.

 .

Symbolique 

 .

Les différents niveaux de pagodes

Ont des significations diverses :

Cinq niveaux représenteront

Le gardien  des cinq  sens

Par les empereurs.

 .

Cela améliore la fortune et la chance

Les sept niveaux  représenteraient

Les sept trésors du bouddhisme.

 .

C’est le symbole de la bénédiction

Des  sept  étoiles  du  Nord  qui

Apportent chance, richesse.

Source : natura-fengshui.fr/les-

differents-niveaux-de-pagode

 .

 .

Corrélations

 Fond/forme 

.

Pour m’aimer, il aurait suffi :

Si l’on met tout au conditionnel

Que pourrai-je-je  espérer d’elle !

Que je sois  son choix  d’amoureux,

Sois l’élu de son cœur et de son âme,

Sois des plus authentiques  et sincères,

Sois des plus riches, des plus prometteurs

Sans parler des plus beaux  et charmeurs :

Ce qui ferait cinq vertus  que je n’aurais pas,

Comme les cinq toits d’une pagode bouddhiste.

 .

.

Il aurait suffi que je sois

.

Scénario

 .

Que je sois ton semblable et ton complémentaire, à la fois ;

que je sois ton ami, franc et sincère, et disponible, etc. ;

que je sois un mentor, modèle, ascendant, pour toi.

 .

Visuels et textuels  >>

647 – Qu’est ce qui ne va pas entre nous !

Visuels et textuels  >>

.

Qu’est ce qui ne va pas,

Entre nous :

Qu’est ce qui allait et plus !

Rien et tout.

.

De vagues impressions

D’une fin… d’union

Sans  trop savoir

Ni pourquoi,

Pour qui

Vain

V

.

Qu’est ce qui ne va pas,

Entre nous :

Ne sais exactement quoi,

Ça c’est fou

 .

Comme, lassitude, banale,

Lors au bout

De chemin, commun, fatal,

Tout à coup.

 .

Lors qu’est-ce qui ne va plus,

Entre soi,

Marchant pourtant d’évidence,

Autrefois,

 .

Serions-nous en une contredanse

Sans foi,

Nous marchons sur mauvais pied,

Je le crois.

 .

Que faire sinon revenir sur nos pas

Et pourquoi

Si magie de notre union sacrée

Ne nous festoie.

 .

Tout n’est pas perdu

Tant que je crois

Qu’espérer,

Fait loi

V

.

Extensions

 .

Période de blues, de retrait sur soi,

D’en vouloir à l’autre, bref de déception

De son choix ou de fin d‘une belle harmonie.

La première crise à  trois ans de vie commune :

Pour certains c’est une respiration, un rajustement

Avant de se remettre en selle, définir le nouveau contrat

Pour d’autres c’est aveu, échec total, désillusion frontale :

« Tu n’es pas  ou tu n’es plus celui, celle, que je croyais ! »

« J’avais la vue brouillée ou tu auras changé à ce point ! »

.

Quelques années plus tard, ça revient et plus fort encore,

En intolérance au caractère créant des incompatibilités.

On sait que disputes conjugales ne sont pas mortelles,

Ce sont éruptions de volcans qui en temps ordinaire

Sont plutôt somnolents, la force même du couple

Est de les accepter, d’être capable les dépasser.

.

Entre la guerre sourde, la guerre froide,

La guerre ouverte la guerre frontale,

La guerre de tranchée, la guerre totale,

La guerre civile et autres scénarios visités,

Il y a toujours le choix des armes, les déposer.

Le pire  serait de l’ignorer, de ne pas en parler

Comme si  de rien n’était : un cancer s’installe,

Alors et prolifère au point qu’on ne peut guère

Faire marche arrière, guerre sera permanente.

.

Tout ne va pas entre nous : tout ne peut jamais aller

L’important est que l’essentiel aille, en s’y adaptant

Et en s’aimant, encore mieux mais parfois il y en a

Où ça ne va jamais, quoiqu’on dise ou qu’on fasse.

Juste un détail : il y en a qui se chamaille souvent

Et d’autres pas, en tous cas pas devant les autres.

Alors ce qui ne va pas est le problème du couple,

Et de lui seul, la plupart du temps et la solution,

C’est à lui de la trouver, en bien ou en plus mal.

.

Et si je t’offrais un bijou,

Ça irait mieux entre nous !

Voilà comment, l’un achète,

Tandis que l’autre compense,

Un déficit, d’amour, commun,

 Qui, pour le fond, ne résout rien.

.

L’important  n’est pas  ce qu’on a,

Le plus important sera ce qu’on est,

Et quand on n’est pas ou plus présent,

Attentionné, pour ne pas dire amoureux,

L’autre compense le manque, par ce qu’il a,

En profitant au moins de quelque chose de lui.

.

.

Épilogue

.

Tout allait bien  ou  semblait bien aller,

Entre nous pendant la dernière année,

Lors soudain et sans savoir pourquoi,

Rien ne va plus : ne comprenons pas.

***

S’agirait-il   d’un  écart… passager,

Voire de mouvements d’humeurs,

Qui, de  nous,  peut  le confirmer,

 Prétendre dénouer à cette heure.

***

Un trop plein de ceci  ou de cela,

Un air de routine ou monotonie,

Impression de distance, jalousie

Frustration, bijou qu’on n’a pas.

***

Aurions-nous besoin d’une pause

Afin d’en  mieux saisir  une cause,

Ou de davantage nous rapprocher

Au lit comme ailleurs  … délaissés.

***

J’ai pensé que pendentif en cadeau,

Compenserait le moindre des maux,

Et tu t’es dit qu’une nouvelle montre,

Marquera l’amour  que tu démontres.

***

Mais voilà : ce n’est pas l’argent ni cadeaux

Qui nous font le plus défaut mais sentiments

Qui nous relient  comme avant, étant amants

 Rien ne va, tout ira bien en escapade : il faut.

.

.

647 – Calligramme

.

Qu’est ce qui ne va pas,

Entre nous :

Qu’est ce qui allait et plus !

Rien et tout.

De vagues impressions

D’une fin… d’union

Sans  trop savoir

Ni pourquoi,

Pour qui

Vain

V

QU’EST CE QUI

Qu’est ce qui ne va pas,

Entre nous :

Ne sais exactement quoi,

Ça c’est fou

Comme, lassitude, banale,

Lors au bout

De chemin, commun, fatal,

Tout à coup.

NE VA PAS

Lors qu’est-ce qui ne va plus,

Entre soi,

Marchant pourtant d’évidence,

Autrefois,

Serions-nous en une contredanse

Sans foi,

Nous marchons sur mauvais pied,

Je le crois.

ENTRE NOUS ?

Que faire sinon revenir sur nos pas

Et pourquoi

Si magie de notre union sacrée

Ne nous festoie.

Tout n’est pas perdu

Tant que je crois

Qu’espérer,

Fait loi

V

.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

647 4

.

Un pendentif 

Avec  son attache,

Pouvant être un bijou

Ou rien que simple talisman

.

Un pendentif ou tout autre bijou

est un gage d’amour en principe

mais peu en fait, n’être qu’achat

et ainsi la forme évoque le fond.

.

Le pendentif que je t’ai offert

Et brillant d’un reflet jaune feu,

Ne te plait plus, ne convient plus,

Avec envie de le décrocher, le jeter.

 .

Symbolique 

 .

Tous les bijoux que nous portons

Contribuent à former notre personnalité.

Certains ne jurent que colliers fins, discrets,

Lors d’autres par des formes larges et visibles.

Chaque personne manifeste ses préférences,

Mais qui disent  quelque chose  de nous.

Témoins, ces   histoires   de   chacun,

Comme simple … coup  de  cœur,

Les pendentifs seront comme

Un ornement  qui délivrera

Sa beauté en harmonie

Avec celui ou celle

Qui les porte.

En cœur

V

.

Descriptif

647 – Qu’est ce qui ne va pas entre nous ?

Alignement central / Titre absent / Thème  humeur

Forme ronde   /   Rimes variées   /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : pendentif / Symbole de fond : bijou

.

.

Fond

 .

Évocation

.

647 6

.

Le pendentif que je t’ai offert

Et brillant d’un reflet jaune feu,

Lors tu préfères bijou cœur en or

Bien plus conforme à tes états d’âme.

 .

Symbolique 

 .

Tous les bijoux que nous portons

Contribuent à former notre personnalité.

Certains ne jurent que colliers fins, discrets,

Lors d’autres par des formes larges et visibles.

Chaque personne manifeste ses préférences,

Mais qui disent  quelque chose  de nous.

Témoins, ces   histoires   de   chacun,

Comme simple … coup  de  cœur,

Les pendentifs  seront comme

Un ornement qui délivrera

Sa beauté en harmonie

Avec celui ou celle

Qui les porte.

En cœur

V

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Des bijoux, en veux-tu, en voilà :

Chacun ses préférences, ses choix

Ils signent et soulignent attitudes,

Par rapport à soi, autres, monde !

.

Si tout rapport  à l’autre,  se limite

À l’achat de bijoux, comme caprice

Si on en exige, par compensations,

Absences fréquentes ou infidélités

L’on se fera rouler dans la farine

 Pain noir au lieu de pain blanc.

 .

.

Le repli sur soi !

.

Scénario

.

On ne peut pas dire qu’ambiance est au calme, entente, sérénité,

l’orage éclate, le tonnerre gronde, éclairs les couperont en deux,

lors, ils se remettent côte à côte, ils se calment, se retrouvent !

 .

Visuels et textuels  >>

646 – Si pour m’aimer, il faudrait que je sois

Visuel et textuels  >>

.

Pour m’aimer, faut que je sois

Jeune et beau et riche, intelligent,

Et garant d’un bon potentiel en argent,

Disponible, puis  en quête d’être amant :

Voilà  le profil, d’un bon parti, mariant.

.

On croit rêver mais ça existe vraiment,

Pas que, en contes prince charmant,

Ce n’est pas moi, ne l’étais ni sera

Rapport à cela, fais profil bas.

.

Je fais partie d’une liste prétendants,

Peu souvent : second ou en dernier choix

Pour plaire, et séduire : je ne suis pas le roi !

Pourtant dieu sait que je  peux être  amant.

.

Me marier à tout prix et, à n’importe qui,

N’a jamais été pour moi une obsession

Connais quelques-uns …. paniqués,

Idée être célibataire très rejeté.

 .

Si, pour m’aimer faudrait

Je sois : jeune, riche,  beau

Et en plus, drôle et intelligent,

Disponible pour être ton amant,

Je ne serai pas celui qui  convient :

Dans ta liste je serais bien en trop !

.

Lors retraité,  me  voilà vieillissant

Et même  si je suis encore désirant,

N’ai pas profil de prince charmant

Qui ira d’une à l’autre, comblant

Son manque d’incomplétude.

.

En définitive … seuls comptent

De partager et autant sa… peine,

Que, sa joie, éprouvée  ou  déveine,

Avec quelqu’une   …   dont la passion

Correspond à ce que nous cherchons.

.

Est-ce  une chimère ou  une  raison,

Que  préférer vivre  en célibataire,

Que se marier, de toutes façons,

Par peur être seul sans plaire.

.

.

Extension

 .

Si pour m’aimer il faudrait que je sois

Quelqu’un d’autre, ce ne serait plus moi

Que l’on aime, cela se conçoit, va de soi !

Je ne peux jouer personnage permanent,

Sans me dévoiler en une intimité faussée

Quand la routine prend le pas sur l’amitié.

.

«Ah voilà, je ne te savais pas comme, cela,

Je te découvre, si j’avais su auparavant »

Ainsi certains, déçus, aigris,  soutiennent :

Qu’il y a eu tromperie sur la marchandise.

.

C’est la raison pour laquelle vivre ensemble

Un certain temps, d’expérimenter un certain

Nombre de situations de problèmes à résoudre,

Permet de faire le tri, découvrir l’autre tel qu’il est

Non tel que je l’ai imaginé, aveuglé par mes sentiments.

.

Enfin, personne n’est parfait et si je cherche un conjoint

Qui a toutes les qualités, y compris celle que je n’ai pas,

Je pousse la barre très haut, trop haut, c’est évident.

Il faut voir l’autre en projet, l’autre en devenir,

Autant qu’en son état actuel, en sa réalité.

.

Jeune et beau, drôle et disponible, sérieux et rassurant :

Voilà bien une annonce sur un site de rencontre mariage,

Mais il faut  déjà trouver l’oiseau rare et, sans doute, cher,

Cher à son cœur, mais va-t-il rester,  ne va-t-il pas changer

Tant de critères pour si peu d’hommes et de risques amers !

.

En sites de rencontres sérieux en  vue mariage,

On demandera aux prétendants de citer nombre

De qualités, de défauts, de passions et d’allergies,

Comme s’il s’agissait d’un produit sur le marché.

.

Cette objectivation tient peu compte d’émotions

Qui sont pourtant à la base de fondation couples,

Autant que nombre prétendants mentent un peu

Sur leur âge, apparence, situation, richesse, etc.

.

Qui se ressemblent, s’assemblent,  dit proverbe,

Mais souvent le sujet ne s’accorde pas au verbe

Il faut changer autant le préfixe que le suffixe,

 Se faire plus discret ou, au contraire, prolixe !

.

.

646 – Calligramme  

.

Pour m’aimer       M      faut que je sois

Jeune et beau et               riche, intelligent,

Et garant d’un bon      A     potentiel en argent,

Disponible, puis  en      I      quête d’être amant :

Voilà  le profil, d’un      M       bon parti, mariant.

On croit rêver, mais     E       ça existe vraiment,

Pas que, en contes      R        prince charmant,

Ce n’est pas moi,     *      ne l’étais ni sera

Rapport à cela,     I       fais profil bas.

L

Je fais partie d’une   *      liste prétendants,

Peu souvent : second   F     ou en dernier choix

Pour plaire, et séduire  A     je ne suis pas le roi !

Pourtant dieu sait que   U     je  peux être  amant.

Me marier à tout prix   D       et, à n’importe qui,

N’a jamais été, pour    R      moi une obsession

Connais quelques-     A       uns …. paniqués,

Idée être céliba       I     taire très rejeté.

 T

Si, pour m’ai    *   mer faudrait

Je sois jeune        *         riche,  beau

Et en plus,   Q    drôle   S  et intelligent,

Disponible    U   pour     O être ton amant

Je ne serai      E     pas     I      qui convient :

Dans ta liste     *     je      S    serais en trop !

Lors retraité,   J    me    !   voilà vieillissant

  Et même si je  E  suis  *   encore désirant,

N’ai pas profil    de   prince charmant

Qui ira d’une à l’autre, comblant

Son manque d’incomplétude.

.

En définitive … seuls comptent

De partager et autant sa… peine,

Que, sa joie, éprouvée  ou  déveine,

Avec quelqu’une   …   dont la passion

Correspond à ce que nous cherchons.

Est-ce  une chimère ou  une  raison,

Que  préférer vivre  en célibataire,

Que se marier, de toutes façons,

Par peur être seul sans plaire.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

646 4

.

Des éléments superposés

Formés par des pelotes

De laines en couleurs

Qui peuvent changer

.

On peut changer d’apparences

ou on peut changer de matière,

ou on peut changer de couleurs,

le fond s’accordera à tout forme.

.

Pour aimer, faut-il être de toutes

Les couleurs  ou une seule ?

La bonne et ne jamais en changer

Sous peine de décevoir.

.

Symbolique 

.

La perception des couleurs

N’aurait pas de valeur universelle.

Les croyances, les valeurs et symboles

Attachés aux couleurs, et interprétations,

Varient à travers le monde et apprentissage

La couleur est, demeure, produit très culturel.

.

Si l’occident connaît le jaune, le rouge ou le bleu,

Il ignore  les  couleurs : sèches, humides, rugueuses

Ainsi que les couleurs « dures », tendres ou « tristes »,

Autant de paramètres qui s’associent à couleur, Afrique.

.

De même le Japon connaît pour désigner gamme de blancs,

Une foule de termes  qui correspondront à autant de nuances

Et de désinences lumineuses imperceptibles à l’œil occidental.

.

Descriptif

.

646 – Pour m’aimer, il faudrait que je sois !

Alignement central / Titre analogue / Thème  apparence

Forme ronde   /    Rimes égales   /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : couleurs / Symbole de fond : changer

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

646 6

.

Pour aimer, faut-il être de toutes

Les couleurs  ou une seule ?

La bonne et ne jamais en changer

Sous peine de décevoir.

.

Symbolique 

 .

Depuis plusieurs années,

Le concept : «Génération Y»

Fait couler  beaucoup  d’encre.

.

Nouvelle génération,  récemment

Arrivée  sur le  marché  du travail,

Parfois décrite comme le cauchemar

Des RH  et des managers, et qui emble

N’être, finalement, que  le  symbole  des

Changements du monde de l’entreprise.

.

Un point de vue de Benjamin Chaminade,

Qui préfère parler de : «Culture Y» plutôt

Que se focaliser sur débat générationnel.

blog-emploi.com/la-generation-y-

symbole-du-changement-en-entreprise

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les qualité et défauts des uns

N’étant pas ceux des autres

Il faut qu’ils s’accordent

Car sinon tout ira mal,

En matière de physique

Comme de tempéraments,

Contraires peinent à se marier.

.

Mais ne suffit pas de s’accorder ici,

Plus tard, faut renégocier changement :

Si l’un bouge l’autre reste immobile, rigide,

Au bout d’un temps, on a beau être séduisant,

Ça ne suffira pas à combler un manque béant !

 .

.

Faudrait je sois branché Y

.

Scénario 

.

Pour m’aimer, il faudrait que je sois  jeune et beau !

Pour m’aimer, il faudrait que je sois drôle et disponible !

Et en plus assez riche et plein de promesses d’avenirs radieux !

 .

Visuel et textuels  >>

645 – Personne ne m’aime : si, moi, je t’adore.

Visuels et textuels  >>

.

Personne ne m’aime !

Mais, si, moi, je t’adore !

 .

Dis le moi, dis le moi plus fort,

Cela assurera un peu de réconfort.

Tu dis cela que pour me faire plaisir :

Je ne crois pas, je ne suis pas ton désir !

Tu as tenté de m’aimer, je ne t’en veux pas,

Je crois que c’est moi qui ne m’aime pas !

 .

-Personne ne m’aime !

-Si… moi, je t’adore !

 .

-C’est vrai, j’oubliais !

-Je ne suis pas ton fort.

 .

-C’est bien…le problème.

-Pour toi, ne suis personne.

 .

-Attends donc qu’on te sonne.

-Vous êtes pareils, les mêmes !

 .

-Y a bien quelqu’une qui m’aime !

-Tu ne le sais pas mais elle, le sait.

 .

-Comment le pourrait-elle : dis-moi !

-Lors elle te verra, elle te reconnaitra.

 .

-Dommage que ce ne soit réciproque !

-Toi alors, ta vie n’est pas un roman.

 .

-Je t’en prie, merci du compliment.

-Sinon vieux garçon, tu resteras.

 .

-J’ai tout tenté, j’ai tout raté.

-Comment tu le prends !

 .

-En drame, forcément.

-Tu y perds ton âme !

 .

 -Je renonce, femme.

.

.

Extension

 .

À force de ne pas être aimé, passionnément ;

À force de ne pas être capable d’aimer simplement,

Les choses se compliquent et puis se nivellent par le bas,

Au final, incapable d’aimer, incapable de se faire aimer :

Est-ce un trouble de la personnalité, refus de s’engager

Et ne plus rien maitriser, passage à vide, attendant

De trouver celui, ou celle, qui va tout changer ?

Il me faut croire que d’être aimé ne suffit pas

Bien que l’autre l’ait avoué, à maintes reprises,

Le doute persiste s’il est profondément ancré en soi.

À la fin, c’est l’autre qui le rejette, pensant sa chance

Est ailleurs et voilà qui confirme ses  prédictions

Alors qu’il s’agit d’auto-proclamation réalisée.

Vous me direz qu’il faut se tordre l’esprit

Pour en arriver à de telles extrémités :

Il suffit de laisser faire la vie, de ne

Pas la condamner l’amour d’avance

En donnant à l’autre toutes ses chances,

L’erreur, permet d’apprendre et se corriger.

Il n’y a que ceux qui n’avouent pas leur erreur,

N’assume pas leur part de responsabilité qui la

Commette à l’avenir : mécanisme de répétition.

Ou alors on jette l’éponge, on décide de garder

Sa liberté, de rester « vieux garçon »,

D’errer …   d’un amour …  à l’autre

En attendant, toujours, le  suivant.

Y perdre son corps n’est pas grave,

Y perdre son âme, beaucoup plus !

.

On se croit, on se  dit, on se plaint d’être un mal aimé

Lors, souvent, telle analyse est empreinte de fausseté,

En plus du besoin de confiance  et de reconnaissance

On voudrait être le chouchou de nos connaissances :

Seul fait de poser la question est signe de malaise !

.

Tout le monde, ou presque, finit par rencontrer

Quelqu’un, quelqu’une, qui l’accepte tel qu’il est

Et parfois même à tel point de, très fort, l’aimer

Sauf à être trop laid ou bien ou en outre… niais.

.

Tout le monde, ou presque, connaîtrait  l’histoire

De celui qu’on considère toujours comme copain.

Lors à chaque fois qu’il veut s’aventurer plus loin,

Il se fait remettre à sa place, t’es malade ou quoi.

.

Tout le monde, ou presque, se souvient de celui-là

Qui est demeuré amoureux de vous, sans l’avouer,

Et resté trop longtemps secret que vous  vous êtes

Marié et l’avez su après : romantique, mais trop !

.

.

Épilogue

.

D’ailleurs, personne ne m’aime,

Même pas vous … même pas toi :

Que de fois aura-t-on entendu cela

Bien que ça ne fasse pas problème.

***

Être aimé et perception : disjoint,

Y compris pour parents, conjoint,

Serait le signe d’une  non-pareille,

Qui pointe son nez, ferme l’oreille.

***

C’est comme… un appel au secours,

On crie sa vie… en danger, ses jours,

On se pourrit… comme champignon,

On s’éparpille… comme  un papillon !

***

Question d’aimer, serait mal formulée,

C’est ni oui ni non, comment m’aimer,

Je voudrais qu’on m’aime … pour moi,

Et non pour ce que je fais, ou je reçois.

***

Au final, quand on ne s’aime soi-même,

On ne peut aimer, être aimé des autres !

***

Personne ne m’aime  et  surtout pas moi :

Peut-être  faudrait-il   commencer  par  là.

***

Travailler avec un autre sur l’estime de soi :

Si je m’apprécie, les autres, davantage aussi.

.

.

645 – Calligramme

 .

PERSONNE

Personne ne m’aime !

Mais, si, moi, je t’adore !

NE  M’AIME : 

Dis le moi,  dis le moi   plus fort,

Cela assurera  un peu de    réconfort.

MAIS   SI, MOI,

Tu dis cela    que pour me     faire plaisir :

Je ne crois    pas, je ne suis pas     ton désir !

JE   T’ADORE

Tu as tenté      de m’aimer, je ne t’en    veux pas,

Je crois que          c’est moi qui ne       m’aime pas !

 .

-Personne ne m’aime !

-Si… moi, je t’adore !

 .

-C’est vrai, j’oubliais !

-Je ne suis pas ton fort.

 .

-C’est bien…le problème.

-Pour toi, ne suis personne.

 .

-Attends donc qu’on te sonne.

-Vous êtes pareils, les mêmes !

 .

  -Y a bien quelqu’une qui m’aime !

-Tu ne le sais pas mais elle, le sait.

 .

  -Comment le pourrait-elle : dis-moi !

    -Lors elle te verra, elle te reconnaitra.

 .

    -Dommage que ce ne soit réciproque !

     -Toi alors, ta vie n’est pas un roman.

 .

      -Je t’en prie, merci du compliment.

      -Sinon vieux garçon, tu resteras.

 .

     -J’ai tout tenté, j’ai tout raté.

   -Comment tu le prends !

 .

      -En drame, forcément.

           -Tu y perds ton âme !

 .

               -Je renonce, femme.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

645 4

.

Un bilboquet triangle,

Ou  une lampe de poche,

Ou alors un champignon

Si ce n’est pas un papillon !

.

Autant champignon que papillon

ne convient en amour non réciproque

même si papillon se pose sur champignon

de ce fait, la forme se distingue bien du fond.

.

Comme l’amour, les champignons

Poussent en deux,  voire  trois  jours

Mais on ne les verrait pas toujours,

Même en les cherchant sous le nez.

 .

 Symbolique

 .

Champignons sont des plantes

Qui, sous une apparence identique,

Peuvent être comestibles, vénéneuses.

Ils symbolisent en priorité, le soupçon.

.

En Asie, et  en Chine, il reste  le symbole

De la longévité  autant que de la fertilité.

.

D’ailleurs,  dans  la  mythologie,  il figure

Parmi les attributs  du dieu  de longévité.

Cette association tient sans doute au fait

Que, séché, il se conservera longtemps.

1001symboles.net/symbole/sens-de-champignon

.

Descriptif

 .

645 – Personne ne m’aime : si, moi, je t’adore

Alignement central  /  Titre absent  / Thème  dialogue

Forme courbe  /   Rimes libres  /   Fond éloigné de forme

Symbole de forme : champignon / Symbole de fond : papillon

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

645 6

.

Comme champignons, les papillons

Éclosent en deux, ou voire trois jours,

Mais  on ne les  verrait pas  toujours,

Même en les cherchant, sous le nez.

.

Symbolique 

.

Les rêves d’être submergés

Par une émotion amoureuse,

D’être  agité  et  de  ressentir

Des papillons dans le ventre.

.

D’être dans un état d’attendre

Avec impatience quelque chose

Sont tous des sentiments complexes

Et  beaux  qui  pourraient  être associés

Au concept de tomber vraiment amoureux.

.

Si ces sentiments  prévalent  dans votre rêve,

Mais que rien ne se passe jamais, ce qui signifie

Que personne ne sort du lot, qu’il n’y a personne

Ou une idée de quelqu’un en laquelle vous pouvez

Canaliser tous ces sentiments, c’est  que vous

N’êtes pas prêt pour un nouvel amour.

autourdelafrance.com/reves-de-tomber

-amoureux-signification-et-symbolisme

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

Papillonner est comme aller aux champignons,

on pose la main de ci, delà, sur l’un puis l’autre,

mais personne ne vous la prend, ne vous retient,

et pourtant vous êtes très séduit par ses couleurs

sans compter ses formes, son goût et son odeur,

or le champignon n’en a cure de vous, étranger

tant il n’est ni de sa famille ni de votre espèce.

 .

.

Ces mots qu’on adore

.

Scénario

 .

Personne ne m’aime, je ne vois venir, ni de près ni de loin,

j’en suis réduite à rester vivre seule, et j’en suis bien chagrin,

tandis qu’elle, s’affiche, moins belle, amoureuse, mais entourée.

 .

Visuels et textuels  >>

644 – D’être aimé… ignoré… détesté… rejeté !

Visuels et textuels >>

.

D’être aimé,  est flatteur :

C’est la porte d’un bonheur

À portée de mains, de pensée,

Comme  un  capital   de santé.

D’être rejeté : c’est  inhibiteur :

C’est un soupirail   du malheur,

L’obscur objet du  désir s’étiole

À  se rendre fou, se rendre folle.

.

Entre les deux,  ignoré, détesté

Sont états  provisoires, affectés,

Soit par manque connaissances ;

Soit, par  manque  d’expérience !

Je peux supporter  d’être détesté

Ignoré me ferait mal à en pleurer,

Être rejeté, je le comprendrais mal

Et l’amour, en moi, serait anormal.

.

Être aimé, ignoré, détesté, rejeté

Ou, quatre états  pour échanger

Est-ce, d’autres, leur choix,

Ou bien : une sorte de loi !

D’être  aimé  plein  émoi,

D’être ignoré, laisse… coi,

D’être  détesté, pisse-froid,

Et d’être rejeté,  plein effroi.

.

Tour à tour, l’un  ou  l’autre,

Je passe  d’esclave  à apôtre,

Ou je vis parfois en déphasé

Ou de mes pompes   à côté.

Lors je crois  être  en haut,

Je me retrouve là, en bas,

À essayer  de  t’en  parler,

Et pour bien te confirmer

.

Que je ne suis pas ou plus

Cet homme et que tu crois

Car j’ai changé  et bien plus

Je  me sens, mieux,  avec toi.

Me  serais-je  éloigné  un peu,

Étais-je le prisonnier de ton jeu,

Ou souterrainement  amoureuse,

Ou juste ou un peu pas heureuse.

.

Mais, voilà que, faisant le point,

Toi et moi nous sommes rejoints,

Au point tout est redevenu divin,

Comme  au premier jour, matin.

Aimé,  je l’ai été, le suis  encore,

Ignoré, parfois, à raison, à tort,

Détesté peut-être est peu fort.

Rejeté, jamais : serais mort !

.

.

Extension

.

Ignoré est comme un point neutre

Entre marche avant et marche arrière,

C’est pas indifférent : on se prononce, là,

Sur un sentiment tandis qu’ignorer, c’est

Ne pas en avoir du tout, et même n’avoir

Pas la moindre envie, d’aller vers vous :

Je n’existe pas, c’est tout, point final.

.

Je peux passer devant quelqu’un

Que je connais, lui dire bonjour,

Demander de ses nouvelles :

Pas de réaction : transparent,

Il passe directement au suivant.

.

Rejeté est un sentiment volontaire :

Oui je t’ai vu, oui je te connais, oui,

On s’est fréquenté mais à présent

C’en est assez, je ne veux plus

Entendre parler de toi,

Passe ton chemin

Et oublie-moi, etc.

.

Détesté n’empêche pas

L’attirance en forme d’agacement

Dont on ne parvient pas à s’en débarrasser :

Ah oui il est encore là, celui-là, il devient quoi !

.

Aimé, ignoré, rejeté : trois états sentimentaux

Avec un état neutre au milieu, quand ignoré

Aimé, la distance  est  faible, voire nulle,

Ignoré, lointaine, comme  sur écran ;

Rejeté, on la snobe volontairement

Tant je déteste que l’on ignore

J’ignore si on me déteste.

.

On a coutume de faire figurer l’amour conjugal

Par deux anneaux, imbriqués l’un dans l’autre,

Lors en fait, il y aurait un autre, intermédiaire,

Qu’on ne voit mais qui soudent les deux autres.

.

C’est celui-là  qui faiblit, s’étire,  puis se libère,

En cela, il n’y aura rien de bien extraordinaire,

Où une main voire une bouche tendue suffirait

Recoller morceaux et ressouder maillon défait.

.

Sinon, perte  et profit : moitié chaine, envolée,

Puis ignorée, puis rejetée, comme  …  détestée,

Sa simple pensée déclenche sa mise à distance,

Et on cherche autre chaine à mettre en balance.

.

.

Épilogue

.

Être aimé, ignoré, détesté, rejeté,

Quatre états,   quatre sentiments :

Pouvant  se  succéder … s’alterner,

Émotion plus que raison, invoquée

***

Si d’être aimé, j’en serais … comblé,

D’être ignoré, j’en serais  désespéré,

D’être détesté, j’en serais contrarié,

D’être rejeté, j’en serais … mortifié.

***

C’est un peu comme en une chaine,

Et qui aurait un maillon  à l’endroit,

Et puis les trois autres …   à l’envers.

***

Le plus simple, fréquent sera : ignoré,

L’on ne pourra aimer, détester, rejeter,

Tout le monde et chacun en particulier.

***

Le plus éprouvant, et de loin, est détesté,

Il consomme l’énergie, à nous en épuiser,

C’est comme si on avait du poil à gratter.

***

Le plus clivant, le plus dur,  reste : rejeté,

Un coup de poing, mis à distance,  sonné,

Ne t’avise plus  de m’entreprendre : raté !

***

Vaut mieux savoir quel état, on est perçu,

Car si on insiste  et qu’on est détesté, jeté,

Comme harceleur, très vite, on sera traité

Et la police, justice, sera en verdict rendu.

***

Pour être ignoré, détesté, point d’intimité :

La seule vue de l’autre suffit à le cataloguer,

D’avoir été aimé, rejeté, beaucoup il en faut,

Ce sont deux bouts d’une chaine avec défaut.

.

.

644 – Calligramme  

 .

D’être aimé,  est flatteur :

C’est la porte d’un Ê bonheur

À portée de mains,  T de pensée,

Comme un capital   R      de santé.

D’être rejeté : c’est    E     inhibiteur :

C’est un soupirail       *      du malheur,

L’obscur objet du       A       désir s’étiole

À  se rendre fou,         I      se rendre folle.

Entre les deux            M      ignoré, détesté

Sont états provi         É        soires, affectés

Soit, par  manque      *       connaissances ;

Soit, par  manque     I           d’expérience !

Je peux supporter   G            d’être détesté

Ignoré me ferait    N      mal à en pleurer,

Être rejeté, je le   O   comprendrais mal,

Et l’amour en    R moi serait anormal.

Être aimé, ig É noré, détesté, rejeté

Ou, quatre états  pour échanger

Est-ce, d’autres,     leur choix,

Ou bien : une    *     sorte de loi !

D’être aimé        *        plein émoi,

D’être ignoré       D          laisse…coi,

D’être  détesté       É          pisse-froid,

Et d’être rejeté        T         plein effroi.

Tour à tour, un         E          ou l’autre,

Je passe d’esclave       S         à apôtre,

Ou je vis parfois en     T        déphasé

Ou de mes pompes      É        à côté.

Lors je crois être en     *        haut,

Je me retrouve là, en  *      bas,

À essayer  de  t’en     parler,

Et pour bien  te confirmer

Que je ne suis pas ou plus

Cet homme et que tu crois

Car j’ai changé  et   bien plus

Je me sens, mieux,    *     avec toi.

Me serais-je éloigné      *         un peu,

Étais-je le prisonnier     R       de ton jeu,

Ou souterrainement      E       amoureuse,

Ou juste ou un peu       J       pas heureuse.

Mais, voilà que,          E      faisant le point,

Toi et moi nous      T       sommes rejoints,

Au point tout      É      est redevenu divin,

Comme au      *     premier jour, matin.

Aimé,  je     *   l’ai été, le suis encore,

Ignoré, parfois, à raison ou à tort,

Détesté peut-être mais peu fort.

Rejeté, jamais : serais mort !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

644 6

.

Une forme  avec  torsions

Avec anneaux  entremêlés,

Chaine, à n’en pas douter,

Mais fragile et peut casser !

 .

Toute chaine est faite de maillons

imbriqués les uns dans les autres

elle rapproche et rend prisonnier

ainsi la forme évoquera le fond.

.

Une chaine de cette  grosseur :

Quoi de plus solide,  sécurisant

Et  pourtant,  à  tout  moment,

Elle peut faiblir, peut casser.

 .

Symbolique 

 .

Le mot chaîne est lié au cadenas,

Aux entraves verrouillées dont

Il est impossible de se libérer,

Symbolise l’emprisonnement

Avec tout autant la servitude.

.

Briser les chaînes signifie se libérer,

S’affranchir de contrainte : solidarité

En se donnant la main pour former

Une chaîne  d’union, à l’image des

Anneaux assemblés, entremêlés.

.

Les personnes s’unissent  dans

La fraternité avec l’entraide:

Donner la main à quelqu’un

C’est l’aider et le soutenir.

source : 1001 symboles

.

Descriptif

.

644 – Etre aimé, ignoré, détesté, rejeté 

Alignement central  /   Titre serpente  / Thème  désir

Forme anthropo / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : chaine /  Symbole de fond : chaine

.

.

Fond

 .

Évocation

.

644 4

.

Une chaine de cette  grosseur :

Quoi de plus solide,  sécurisant

Et  pourtant,  à  tout  moment,

Elle peut faiblir, peut casser.

 

Symbolique.

Rêver de chaîne,

Est souvent l’image de la

Servitude  et  de l’esclavage,

Et aussi de la dignité et l’unité.

C’est un symbole  très ambivalent.

.

Dans les croyances anciennes la chaîne

Représente la connexion entre ciel et terre,

Entre deux extrêmes, deux êtres vivants.

Dans un autre sens, une chaîne, vue

Forme de bijoux, peut symboliser

Des sentiments, des valeurs,

Des normes,    des idéaux.

.

Lors rêver d’une chaîne,

 Inviterait  à ne plus être

Esclave de ses remords.

interpretation-reve.fr/

dictionnaire-reve-C/chaines

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Qui dit chaine dit liens plus ou moins forts

Dit aussi prisonniers plus ou moins retors.

Toute chaine se tend  et  puis … se distord,

Selon qu’amour est plus vivant que mort.

.

Si un maillon casse,  la chaine se défait,

Le couple n’est plus soudé, s’est libéré !

Et  que la chaine  soit en fer  ou en or,

L’un reste dedans, l’autre va dehors.

 .

.

Rejeté par tous !

.

Scénario 

.

D’être aimé, c’est se confier corps et âme et sans crainte à l’autre.

D’être ignoré, c’est se sentir seul ou transparent pour les autres.

D’être rejeté, c’est afficher une préférence pour un, une autre.

.

Visuels et textuels >>

643 – Désirer une femme, qui ne vous désire pas !

Visuels et textuels  >>

.

Désirer,

Ne pas désirer

Change le partage

Changerait l’amour,

Quand vous le forcer.

.

Amour,  à sens unique,

Ou  dévoyé  à son profit,

Si  elle se commet  en lit,

Bien vite, elle se ressaisit.

.

C’est pas l’amour en jeu,

La  forme  qu’il prend,

Et  qui, la  surprend,

Abus d’elle au pieu.

.

Désirer une femme qui ne vous désire pas

Elle  l’avoue  qu’une fois, elle  pardonnera,

Deux fois, vous fera comprendre : faut pas

Trois fois, de pervers obsédé, vous traitera.

.

Ainsi va la vie et ainsi vont désirs d’amours,

Combien vous attirent  et  ne  cèderont  pas,

De peur d’être rejetés, oubliés pour toujours

Si comblés en pensées,  réalité ne comblera.

.

S’il s’agit d’une femme  jeune et célibataire,

Elle  verra  en vous, un  séducteur, un père,

Pour sac ouche à gravir et pour elle, à ravir

Ou procréer un  enfant, l’éduquer, le servir.

.

S’il s’agit d’une femme mariée, avec enfants,

C’est, hors  de sa  bulle protectrice,   amants

Ont une chance minime d’accrocher le temps

Qu’elle peut consacrer  à quelque égarement.

.

S’il s’agit d’une amie  au long  cours de la vie,

Elle mettra en balance son groupe, sa croupe

Car de passer de l’autre côté sera trahir ami,

Rien ne vaut proue   par rapport  à la poupe.

Relation érotique  est basée  sur  un  contrat.

.

Si je te donne plaisir, tu m’en donneras aussi,

Et cela peut durer des jours  des années, ainsi,

Jusqu’à ce qu’un rompe  ou change, le contrat.

.

Si l’un en veut plus et que l’autre en veut moins

Désir n’est plus charnel plaisir, n’a pas charme,

En déséquilibre  et  vite un tel couple, désarme,

Car l’un désire l’autre qui ne vous désire  point !

.

.

Extension

 .

Le désir est capital entre un homme et une femme

N’est pas toujours charnel ou en tout cas, pas que :

Quand un homme aime une femme qui ne  le désire

On appelle cela le manque de réciprocité… Du désir

Il ne s’agit pas d’intensité, ou de forme, différentes,

Mais bien de contraire, l’un «oui» et l’autre  «non»

Il vaut mieux le dire que de laisser planer le doute.

.

Distinguer désir amical/désir sensuel

Désir d’être ensemble  et désir sexuel,

Le premier désir demeure platonique,

Et le second serait de nature lubrique

.

Ce qui est certain, c’est qu’en tel cas,

Si l’un veut, et si l’autre ne veut pas :

Le couple d’amoureux ne se formera,

Efforts de l’un sont voués  au trépas.

.

Dites à qui cela  n’est jamais arrivé :

C’est dans la nature, c’est dans sa loi,

Les animaux eux-mêmes faisant cour

Se font jeter ou préférer, selon atours.

.

.

643 – Calligramme

.

Désirer,

Ne pas    désirer

Change le   D      partage

Changera     É       l’amour,

Car si vous     S         la forcer.

Amour  à         I     sens unique,

Ou dévoyé       R      à son profit

Si elle se com   E        met  en lit,

Bien vite, elle   R      se ressaisit.

C’est pas l’a     *  mour en jeu :

La forme     U qu’il prend,

Et qui, la    N  surprend,

Abus d’elle E    au pieu.

  *

Désirer une femme             F     qui ne vous désire pas

Elle l’avoue  qu’une            E       fois, elle pardonnera,

Deux fois, vous fera          M     comprendre faut pas

Trois fois, de pervers       M   obsédé, vous traitera.

Ainsi va la vie et ainsi     E   vont désirs d’amours,

Combien vous attirent    *    et  ne  cèderont  pas,

De peur d’être rejetés,    Q   oubliés pour toujours

Si comblés en pensées    U   réalité ne comblera.

S’il s’agit d’une femme   I    jeune et célibataire,

Elle verra en vous, un    *     séducteur, un père,

Pour sac ouche à gravir N     et pour elle, à ravir

Ou procréer un  enfant,  E      l’éduquer, le servir.

S’il s’agit d’une femme    *   mariée, avec enfants,

C’est, hors de sa  bulle     V  protectrice,    amants

Ont une chance minime    O    d’accrocher le temps

Qu’elle peut consacrer,        U   à quelque égarement.

S’il s’agit d’une amie au          S      long cours de la vie,

Elle mettra en balance son         *       groupe, sa croupe

Car de passer de l’autre côté         D       sera trahir ami,

Rien ne vaut proue par rapport      É               à la poupe.

Relation érotique est basée sur        S              un contrat.

Si je te donne plaisir, tu m’en          I         donneras aussi,

Et cela peut durer des jours           R       des années, ainsi,

Jusqu’à ce qu’un rompe ou          E        change, le contrat.

Si l’un en veut plus et que          *       l’autre en veut moins

Désir n’est plus charnel          P       plaisir n’a pas charme,

En déséquilibre et vite         A         un tel couple, désarme,

Car l’un désire l’autre       S     qui ne vous désire … point !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

643 4

.

Une silhouette de femme

Avec une taille bien marquée

Avec une chevelure assez longue,

Qui ne s’intéresse nullement à vous.

.

Ça pourrait être n’importe quelle femme,

Surtout vue de dos

Et dieu sait s’il y en a, qui ne s’intéresse,

Et nullement, à vous.

  .

Symbolique

 .

Prolongeant le rêve

De pureté des romantiques,

Symbolistes donnent aux femmes

Allure devenant de plus en plus virginale.

.

La femme a eu une symbolique très riche,

Qui a évolué au fil  du temps, des modes.

Toutefois, elle aurait, toujours, évoqué

La fécondité, la pureté voire le vice.

.

Nombre de mythologies antiques

Attribuaient valeur sexuelle

Aux déesses, incarnant

Souvent un désir et

Plaisir charnel.

1001 symboles

et poetes.com 

.

Descriptif

 

643 – Désirer une femme qui ne vous désire !

Alignement central /    Titre serpente    /   Thème  désir

Forme anthropo / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : femme /  Symbole de fond : intéressée

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

643 6

.

Ça pourrait être n’importe quelle femme,

Surtout vue de dos

Et dieu sait s’il y en a, qui ne s’intéresse,

Et nullement, à vous.

 .

Symbolique 

 .

L’intérêt est un sentiment

Qui nous attache à nos avantages,

Et qui nous fait  rechercher  l’agréable

Ou l’utile, le bien-être, la fortune, le profit.

.

L’intérêt consiste  en une curiosité  et une

Bienveillance à l’égard d’une personne

Ou d’une chose. Lorsque l’intérêt est

Exclusivement …  orienté  vers  sa

Propre satisfaction personnelle.

.

On parle d’intérêt personnel,

Ou d’égoïsme : expression

Péjorative dans ce cas.

Fr.wikipedia.org/wiki/Interet

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Panne désir sexuel, faut distinguer

D’une perte complète de toute libido !

Premier cas, attention, caresse, baiser,

Font que cela  revient, parfois, au galop,

.

Second est problématique, thérapeutique :

Elle n’est pas frigide qu’avec vous, avec tous

Ce qui la rend triste, mélancolique, et froide.

.

On pensera souvent à un manque d’amour

C’est juste un manque d’attirance sexuelle

Ce n’est pas une maladie en soi, défaut

Juste une manière d’envisager la vie.

 .

.

La vie est longue et le désir a faim

.

Scénario

.

On ne peut dire que cette femme  vous désire, elle semble froide.

Refus net ou acceptation voilée du désir de l’autre, allez savoir.

Quant à celle-ci, penchée sur ses pensées, elle semble ailleurs.

 .

642 – Quand tu m’échappes, tu es ailleurs mais où !

Visuels et textuels  >>

.

Être là   puis   ailleurs,

Écouter, sans entendre,

Parler pour ne rien dire :

Toute la question serait là

Au fond … je n’existe, pas !

Même, en  faisant  l’amour,

Joue contre  joue : c’est fou !

Tu ne parleras plus, avec moi,

Et tu m’ignores au  fond  de toi.

Tu seras ailleurs c’est sûr et où ?

Et tu m’échappes, lors je t’attrape.

.

Avec qui, avec quoi, me trompes-tu :

Peut-être simplement ton propre ennui.

Lors tu m’échappes, tu es ailleurs mais où.

Tu es là, tu n’es pas là, n’existe pas c’est fou,

Au point je me demande si tu n’es… fantôme

Tant, absence physique tu en as symptômes.

.

Quand je te parle,  tu m’écoutes d’une oreille,

Quand  je te fais l’amour, tu me vois, d’un œil,

Je ne sais où tu es, mais ce n’est en rien pareil,

Aux fois où tu auras pris les devants : merveille.

.

Qu’importe états d’âmes : en absence, tourment,

Tant que cela n’empêche pas d’être bons amants,

Qui sont conscients de ce qu’ils sont et qu’ils font,

En une relation duelle qui ne tourne plus en rond.

 .

Si esprit se projette sur un désir inconnu, interdit :

Me parait clair qu’il est plus attiré que, par moi, ici,

Dans bien des cas la superposition se fait  en fusions

Des corps alors que les deux esprits sont en fissions !

.

La confusion serait-elle prémisse  de compromission,

C’est à chacun  de  répondre, lui-même, à la question.

Divorce cérébral serait-il état normal, des plus banals

À vous, encore, l’avouer, le cacher pour le bien, le mal.

.

.

Extension

 .

Quand tu m’échappes, tu es ailleurs, mais où !

Je ne pénètre alors que ton corps en un lit

Dont l’esprit plane en son ciel obscurci

Sans savoir pourquoi ni pour qui !

.

Je peux aussi bien croire que tu

Te concentres ou te décentres

Mais certains frémissements,

Bien qu’involontaires, de ta part,

Me mettent en voie de savoir si tu penses

Réellement à moi, en dépit des apparences.

.

Comme en musique, si nombre instruments

Se mettent à produire mêmes harmoniques

Se renforçant par rythmes et par tonalités.

On peut, se tromper de partenaire,

Mais pas se tromper soi-même.

.

Si,  pendant  qu’on  est  avec  l’un,

On pense à l’autre, et réciproquement,

Il y a comme un blême, à devenir schizophrène

Mais là, je ne suis plus certain que j’aime l’autre,

Quel qu’il soit : en définitive et en réalité, que moi !

.

On peut s’échapper de multiples manières

Comme faire un long voyage avec long séjour

Décrocher son téléphone et même son ordinateur

Derrière des lunettes noires pour ne pas être reconnu

Quoiqu’il en soit, quelqu’un qui n’est pas là est ailleurs !

.

Être là sans y être, en pensant à tout et à rien,

Ou à quelque chose qui nous tracasse, taraude

 Ou pire : à quelqu’un  ou  à quelqu’une  d’autre,

Peut arriver de temps à autre : si c’est fréquent,

Le ver est dans le fruit, l’écorce, un jour, cédera !

.

Ailleurs  peut être : n’importe où,  n’importe quand,

Sans parler n’importe comment pour n’importe quoi.

Être à cent pour cent, avec son partenaire, en l’amour,

Est la première des preuves qu’on l’aime en lui-même,

Tant l’autre, s’il s’en aperçoit, s’échappera à son tour.

.

.

642 – Calligramme

.

Être là  et  ailleurs,

Écouter, sans entendre,

Parler pour   * ne rien dire :

Toute la ques    *     tion serait là

Au fond : je          L      n’existe, pas !

Même, en               O        ayant amour,

Joue contre              R         joue, c’est fou,

Tu ne parleras           S         plus, avec moi,

Et tu m’ignores            *          au  fond  de toi.

Tu seras ailleurs             *             c’est sûr et où ?

Et tu m’échappes,            T              lors je t’attrape,

Avec qui, avec quoi,          U               me trompes-tu :

Peut-être tout simplement  *     avec ton propre  ennui.

   X

Lors tu m’échappes, je dirais        *    que tu  es ailleurs et où.

Tu es là puis tu n’es pas là T             E  je n’existe pas c’est fou

Au point je me demande    ‘       ¤          S   si tu n’es un fantôme

Tant, absence physique    É       ¤¤¤        *    tu en as symptômes.

Quand je te parle, tu m’     C     ¤¤¤¤¤     A   écoutes d’une oreille,

Quand je te fais l’amour    H   ¤¤¤¤¤¤     I    tu me vois, d’un œil,

Je ne sais où tu es mais     A    ¤¤¤¤¤     L  ce n’est en rien pareil,

Aux fois où tu auras pris    P     ¤¤¤      L   les devants : merveille.

Qu’importe états d’âmes :  P       ¤       E     en absence, tourment

Tant que cela n’empêche    E             U   pas d’être bons amants

Qui sont conscients de ce    S          R   qu’ils sont et qu’ils font

En une relation duelle qui   *        S     ne tourne plus en rond.

    :

Si esprit se projette sur un       O       désir inconnu, interdit :

Me parait clair qu’il est plus    Ù        attiré que, par moi, ici,

Dans bien des cas la superpo    ?         sition se fait en fusions

Des corps alors que les deux     *       esprits sont en fissions !

La confusion serait-elle pré              misse de compromission

C’est à chacun de répondre                lui-même à la question.

Divorce cérébral serait-il état       normal et des plus banals

À vous, encore,   l’avouer, le  cacher  pour       le bien, le mal.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

642 4

.

S’échapper, c’est simple,

Sauf  en faisant l’impasse

Sur son  foyer de chaleur

Humaine, essence familiale

.

Le foyer désigne, en même temps,

poêle, âtre, cheminée de la maison

et  couple et enfants, qui y résident

tant forme et fond se confondent !

.

Une fois enfermé, en un tel endroit,

En un foyer rendu chaud,

Comment s’en échapper, sinon en

Se transformant en fumée !

 .

 Symbolique 

 .

Feu brûlant en un foyer

Est une image qui rassure,

En  apportant   un sentiment

De sécurité, voire de bien-être.

.

Ce rêve d’un foyer tranquille est

Une compensation pour apaiser

Contrairement au rêve incendie

Qui envoie un message d’alerte.

.

Le feu  de la cuisine  transforme

Du cru en cuit : c’est  une image

Alchimique qui représentera un

Changement profond, bénéfique,

Chez le rêveur ou bien la rêveuse.

Psycho/Interpretation-des-reves/Rever-

d-un-feu-de-bois-notre-interpretation

.

Descriptif

 .

642 – Lors tu t’échappes, tu es ailleurs : où !

Alignement central / Titre serpente / Thème  absence

Forme  courbe / Rimes égales  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : foyer   /   Symbole de fond : foyer

.

.

Fond

 .

Évocation

.

642 6

.

Une fois enfermé, en un tel endroit,

En un foyer rendu chaud,

Comment s’en échapper, sinon qu’en

Prenant la porte pour de bon !

 .

Symbolique 

 .

La symbolique sociale, intime et personnelle

Du foyer et de ses environnements fait l’objet

D’études théoriques aussi bien que pratiques.

.

La maison constitue, pour l’homme,

À la fois le «ventre protecteur»

Et la «sécurité primordiale»

Elle représente son berceau,

Sa citadelle et son cosmos.

.

Elle est l’une des grandes puissances d’intégration

Pour les pensées  et les souvenirs, selon Bachelard

Alimentant  et les rêves de l’homme  et ses rêveries !

Source : theses.univ-lyon2.fr/documents/getpart.php?id=lyon2

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Foyer pour… toit,

Et foyer pour moi,

Pour me chauffer,

Pour me protéger ;

Pour être  ensemble,

Au coin de cheminée,

Qui ronronne, chaleur

Et nous,  de bon plaisir,

Sauf lors tu t’échappes ;

Comme la  fumée en l’air,

Ou que tu prends la porte !

 .

.

Pour aller ailleurs, dehors

.

Scénario  

 .

Ailleurs c’est parfois la solitude, isolement, la déprime, le désespoir.

Tu m’échappes en tout, je le sens bien, je le vois bien, je le crains.

Tu as mis tes lunettes noires pour ne plus voir, être vu de moi.

 .

.Visuels et textuels  >>

641 – Quand nous sommes deux à aller très mal !

Visuels et textuels >>

.

Autre, le consoler, tentera,

Du mieux qu’il peut, pourra !

L’un est tendu et l’autre souple

Il est possible qu’ils y arriveront,

Amour fait miracle de cent façons

Lorsque  les deux ne vont plus  bien,

Il faudra que chacun  y mette du sien,

Pour  diminuer toute tension  entre eux,

Quitte à se séparer,  cocooner un temps.

.

Quand  nous sommes  deux, à aller très mal,

Que fait-on :

On se détruit mutuellement, comme animal,

On ne fait rien de bon

Ou l’on fait appel à son esprit et à son cœur

Et l’on entre en discussion

Sous une forme de paroles, ou de caresses,

Entre explications et fusions.

Tant que les corps  et  les âmes s’adressent

Toute tendresse est en rénovation

Lors, pour vous, actes vous écœurent,

Ou demeurent accessibles au pur pardon.

.

Si telle distance  semble  infranchissable,

Ne pas la percevoir comme mer de sable

Où, l’on s’enfoncera, sans  se  rejoindre,

La mort, nous attend, en est  capable !

Distance : question  de  point de vue !

Ne pas faire  le  procès  du  coupable,

Qui lors, condamné, n’en  peut  plus

De  se voir  traité, comme  minable

Alors  qu’il  voudrait voir poindre,

Une sorte d’amende honorable !

 .

Si nous sommes deux à aller mal,

À affronter un conflit, non banal,

Pour quitte ou double et partial,

L’amour  vaincra  si le familial,

Passe avant  l’aventure fatale,

Qui parle sur un autre canal.

Quand, la tension  est forte,

Parler, trop  on  s’emporte,

L’on prendre vite la porte,

Lors tout  nous  y  exhorte.

.

Rester, partir, est décision

À prendre très au sérieux,

Et surtout prendre à deux

Pour qu’il  y ait frustration.

Après quoi  vogue  la  galère,

Les jeux sont faits ou contraire,

Et dès lors commence nouvelle ère,

Où tout ira mieux ou tout ira de travers.

.

.

Extension

 .

La peur de perdre, voire de se perdre,

Est contagieuse quand le doute s’installe

Et que la confiance est mise à rude épreuve.

Dans chaque couple, il y aurait le plus souvent

Deux perdants ou deux gagnants, ou deux nuls !

.

Or le débat s’instaure autour de, qui sera gagnant,

Qui le perdant, par définition, comme dans les jeux,

Où il ne peut y avoir qu’un seul, jamais deux gagnants.

.

Tout l’art  de la négociation  et  du compromis, se jouera

Sur la sortie gagnante : et surtout de ne pas perdre la face,

Pas plus que de la faire perdre au partenaire est primordial.

.

Dans toute démarche en diplomatie, il s’agit de transformer

L’ennemi en adversaire puis conçurent, puis allié jusqu’à

Redevenir ami or parfois les jeux sont faits avant

De commencer, tout n’est que coup

D’épée dans l’eau, mascarade !

.

Comme aller mieux ou pire voire de travers

Ou encore cahin-caha, comme ci, comme ça

Lors la partie animale en nous veut se battre

Que notre partie  émotionnelle veut s’ébattre

Que l’esprit  cherche compromis à débattre !

Il y a un peu de son amour-propre à rabattre

Et la peur de réaction de l’autre à combattre.

.

Si vous demandez à un couple : comment ça va !

Ils vous répondent : très bien, et vous : de même.

.

Alors que ça va très mal  mais  ils ne tiennent pas

À étaler leurs problèmes, c’est affaire personnelle.

.

Mieux vaut  en parler à une personne  plus neutre

Qu’à un couple d’amis, qui se sentira  pris à parti !

.

La plupart du temps, problème de communication,

La ligne est bruitée, brouillée, occupée, inexistante.

.

La réalité quotidienne  reprend le pas  sur le plaisir,

Dû à la découverte, il faut s’ajuster  par compromis.

.

Si les deux conviennent qu’ils vont mal c’est possible,

Si c’est un seul qui est déçu, la rupture est en germe !

.

.

641 – Calligramme 

.

Si l’un    L  va mal en couple,……….

Autre, le    O    consoler, tentera,………

Du mieux     R  qu’il peut, pourra !……..

L’un est ten     S  du et l’autre souple……..

Il est possible     *     qu’ils y arriveront,…….

Amour fait mira    N     cle de cent façons……

Lorsque  les deux     O    ne vont plus  bien,….

Il faudra que chacun   U       y mette du sien,…

Pour  diminuer toute   S    tension  entre eux,

Quitte à se séparer,    *    cocooner un temps.

.

Quand  nous sommes  deux, à aller très mal,

Que fait-on :

On se détruit mutuellement, comme animal,

On ne fait rien de bon

Ou l’on fait appel à son esprit et à son cœur

Et l’on entre en discussion

Sous une forme de paroles, ou de caresses,

Entre explications et fusions.

Tant que les corps  et  les âmes s’adressent

Toute tendresse est en rénovation

Lors, pour vous, actes vous écœurent,

Ou demeurent accessibles au pur pardon.

.

Si telle distance   S   semble  infranchissable,

Ne pas la percevoir   O   comme mer de sable

Où, l’on s’enfoncera,  M   sans  se  rejoindre,

La mort, nous attend,   M    en est  capable !

Distance : question  de    E     point de vue !

Ne pas faire  le  procès   S       du coupable,

Qui lors, condamné,     *    n’en  peut  plus

De se voir  traité,         D  comme minable

Alors  qu’il  voudrait   E       voir poindre,

Une sorte d’amende    U       honorable !

              X

Si nous sommes deux  *     à aller mal,

À affronter un conflit,   À    non banal,

Pour quitte ou double   *    et partial,

L’amour  vaincra  si   A    le familial,

Passe avant  l’aven   L   ture fatale,

Qui parle sur un   L    autre canal.

Quand, la ten  E  sion  est forte,

Parler, trop   R    on s’emporte,

L’on prendre *      vite la porte,

Lors tout     *   nous y exhorte

.

Rester, par  M  tir, est décision

À prendre   A    très au sérieux,

Et surtout   L    prendre à deux

Pour qu’y    !    y ait frustration.

Après quoi          vogue  la  galère,

Les jeux sont        faits  ou contraire,

Et dès lors com         mence nouvelle ère,

Où tout ira mieux          ou tout ira de travers.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

641 4

.

Poisson  vivant,

Ou poisson  péché,

Ou poisson mangé, 

Restera les arrêtes.

.

Avec plein d’arêtes,

Quand l’on est deux, sur même poisson,

Il arrive qu’on en avale, on se sente mal,

Avant de l’extirper.

.

Symbolique 

.

L’arête

Attire l’attention

Sur un environnement

Discutable et qui a atteint et

Reste entaché par  son humanité.

Et dit qu’on s’est laissé décharner, user.

Il est temps de reprendre sa vie en main,

Matérielle et affective, et de se recentrer

Satisfactions si d’avoir mal à la gorge 

Est la problématique avec la parole,

Est clairement mise en évidence :

L’on a à avaler une contrariété,

Un affront, une peine à venir.

wikireve.fr/dir/3673-arete

.

Descriptif

.

641 – Lors nous sommes deux à aller mal ! 

Alignement central / Titre serpente / Thème  humeur

Forme  courbe / Rimes égales  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : arête   / Symbole de fond : poisson

.

.

Fond

 .

Évocation

.

641 6

.

Avec plein d’arêtes,

Quand l’on est deux, sur même poisson,

Il arrive qu’on en avale, on se sente mal,

Avant de l’extirper.

.

Symbolique 

 .

Le poisson demeure l’emblème de l’eau,

Avec lequel il partage aspect symbolique,

Il est symbole de fécondité et de sagesse.

Il est occulte  en profondeurs  des eaux,

Domaine d’une force sacrée de l’abîme,

Dont il sera pénétré par son influence.

.

Cet espace  aquatique,  de profondeur

Insondable  est associé  aux mystères

L’inconscient  humain, aux   pulsions

Les plus cachées, reculées de l’esprit.

les-voies-libres.com/symbolisme-du-poisson

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Être en  amour  comme  poissons  dans l’eau,

Qui  n’en  rêvera, si ce n’est bas : tout  haut !

Mais  quand l’eau devient trouble, acidifiée

Poissons n’ont plus aucun plaisir  à nager !

.

Ils délaissent eaux profondes pour surface,

En réalité, c’est pour mieux se voiler la face

Prétextant  avoir besoin d’air  pour  respirer.

.

Or les poissons trouvent l’oxygène dans l’eau,

D’ici que l’on en trouve  un ou deux  sur le dos,

Il vaudrait  mieux traiter  toutes les eaux usées.

 .

.

L’un console l’autre mais lequel !

.

Scénario

 .

Ça va mal, animal, ça fait mal,

lorsque notre alliance s’est rompue,

demeure espoir, vertu, attente secrète.

 .

Visuels et textuels >>

640 – Faire l’amour avec sa tête ou avec son pied !

Visuels et textuels >>

.

Avec tête et pied, l’amour

Jeu de mot bien accordé

À l’humeur   l’humour,

Partenaire et associé

Prendre   son  pied,

Est  une  expression

Pour dire  que sa tête,

Pleinement … satisfaite.

.

Évidemment, on entretient

La confusion des extrémités

Étant peu faits pour se parler

Mais  les deux restent reliés.

.

Un qui pense un qui baise,

Un qui pense  qu’à baiser

Un qui baise à penser,

De la tête au pied :

Autant postures

Que montures.

.

Faire l’amour avec sa tête, ou son pied,

L’important n’est-il qu’ils… s’accordent

Qu’en cela et en tout, tiennent la corde,

Pour mieux ressentir bonheur premier !

.

Dans la réalité, son pied se prend la tête,

En voulant jouer le cavalier, seul, en fête.

Si, l’important est d’atteindre l’orgasme :

On fécondera, en tête, délire et fantasme.

.

J’ai un ami qui pense, un autre qui baise :

Faut pas rêver, sans baiser, je ne suis rien,

D’autre que  simple esprit fort mal à l’aise,

De ne pas sentir plaisir de chair jouir bien.

.

Vous comprenez  alors que, dans un couple,

Si l’un baise avec sa tête et l’autre, son pied,

La situation reste  frustrante : ne peut durer

Si l’autre le lui reproche, même étant souple.

.

Si fait, cela se reproduit, et devient supérieur,

L’un ou l’autre décidera de rompre triste état,

Et cette fois, c’est, de l’intérieur… qu’il s’en ira

Pour chercher, ailleurs, une posture meilleure.

.

.

Extension

 .

Notre cerveau est reconnu

Comme étant organe humain

Le plus aphrodisiaque de tous.

Il  secrète  toutes les substances

Et, les hormones qu’il faut, pour

Faire l’amour avec le partenaire.

.

Point  n’est besoin  d’en  rajouter

Pour  prendre son pied,  à moins

Que  l’anxiété  de  ne pas réussir

Ne pas parvenez pas à contenir,

Vous coupera  tous vos moyens.

.

On se contente  alors  de séduire

Et de se faire aider pour le reste,

Les choses  se font, normalement,

Et naturellement quand on s’aime.

.

Il n’y a guère qu’en absence d’amour

Que l’on doit faire face à un problème.

Mais l’inverse sera vrai, aussi, parfois,

L’amour vient entacher  la perfection

Du geste par un surcroit d’émotions.

.

Faire l’amour, pour prendre son pied,

Faire du pied pour prendre l’amour,

Pourquoi le pied est-il en amour :

Et la tête alors, on en fait quoi

On la laisserait à ses pieds !

.

Faire l’amour, c’est prendre son pied

Une expression populaire, s’il en est !

Faire l’amour n’est pas  prise de tête :

Autre expression populaire, s’il en est !

Alors faire l’amour  de la tête aux pieds,

Est mienne sans qu’elle soit kamasoutra.

.

Le pied, il est vrai est le plus loin qui soit

De la tête : pour autant, se s’ignorent pas,

Bien au contraire, ils sentent, collaborent,

Pour établir cet équilibre,  cette harmonie

Entre ce qu’on pense, qu’on dit, qu’on fait :

Qui nous laisse sans mouvement, sans voix ?

.

.

640 – Calligramme

 .

Avec tête et     F   pied, l’amour

Jeu de mot   A  bien accordé

À l’humeur   I      l’humour,

Partenaire  R    et associé

Prendre     E     son pied

Est  une     *   expression

Pour dire        L     que sa tête,

Pleinement        ‘            satisfaite.

Évidemment        A        on entretient

La confusion         M      des extrémités

Étant peu faits     O      pour se parler

Mais  les deux     U      restent reliés.

Un qui pense     R     un qui baise,

Un qui pense    *      qu’à baiser

Un qui baise  A     à penser,

De la tête   V     au pied :

Autant E     postures

Que  C montures.

.

*****************

**********************

SA TÊTE

Faire l’amour avec sa tête, ou son pied,

L’important n’est-il qu’ils… s’accordent

Qu’en cela et en tout, tiennent la corde,

 Pour mieux ressentir bonheur premier !

 .

                      Dans la réalité, son pied se prend la tête,

                     En voulant jouer le cavalier seul en fête.

                        Si, l’important est d’atteindre l’orgasme :

                       On fécondera, en tête, délire et fantasme.

 .

J’ai un ami qui pense, un autre qui baise :

Faut pas rêver, sans baiser, je ne suis rien,

D’autre que  simple esprit fort mal à l’aise,

 De ne pas sentir plaisir de chair jouir bien.

 .

                        Vous comprenez alors que, dans un couple,

                        Si l’un baise avec sa tête et l’autre son pied,

                         La situation reste frustrante : ne peut durer

                          Si l’autre le lui reproche, même étant souple.

 .

Si fait, cela se reproduit, et devient supérieur,

L’un ou l’autre décidera de rompre triste état,

Et cette fois, c’est, de l’intérieur… qu’il s’en ira

Pour chercher, ailleurs, une posture meilleure.

OU SON PIED ?

.

.

Forme

.

.

Évocation

.

640 4

.

En haut, sorte de jarre,

Et en bas, une pile de livres

Mais ce ne seront pas les objets

Qui comptent, c’est la personne.

 .

Une jarre n’a rien à faire avec l’amour

Même si elle peut évoquer un utérus

Comme tout autre récipient creux :

La forme se distingue donc du fond

 .

On peut croire qu’il s’agit d’utérus

Lors c’est une jarre :

Quoiqu’il en soit, ce n’est pas l’objet

Qui compte : la personne.

 .

Symbolique 

 .

En mythologie grecque,

La jarre est associée

 À Pandore.

Contenant les

Maux de l’humanité.

Mais  Pandore, malgré

L’interdiction très formelle

De Zeus,    n’a pas   pu  résister

À la curiosité de découvrir ce qu’il

Y avait dans cette jarre l’ouvrit

Tous les maux s’échappèrent,

Sauf l’espérance, qui resta

Au fond du récipient.

Elle   symbolise

Abondance.

1001symboles.net/

ymbole/sens-de-jarre

.

Descriptif

.

640 – Faire l’amour avec sa tête ou son pied ?

Alignement central / Titre serpente / Thème  sexualité

Forme en ovale / Rimes variées  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : jarre  / Symbole de fond : personne

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

On pourrait croire qu’il s’agit d’utérus

Lors c’est une jarre :

Quoiqu’il en soit, ce n’est pas l’objet

Qui compte : la personne.

 .

Symbolique 

 .

Le symbolisme est une partie

Essentielle d’un récit pour déployer

Une myriade d’émotions chez le lecteur,

Moyen de réveiller des intuitions ou des

Représentations bien choisies et étudiées.

.

Si moi je trouve le symbolisme fascinant,

C’est parce que cela me permet de lier

Des scènes entre elles, d’approfondir

Relations personnes personnages

Sans avoir à les dire explicitement,

Mais simplement avec un jeu de symboles.

leahendersen-auteur.fr/les-symboles-dans-la-fiction

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Se prendre la tête

Pour prendre …  son pied

N’est pas idéal, n’est pas conseiller.

.

Faire l’amour est un chose  si naturelle

Qu’il n’est nul besoin de se faire des nœuds

Dans le cerveau ni de se mélanger les pieds

Comme on le fait en tableau, des pinceaux !

.

En fait on fait l’amour de la tête aux pieds

Sans réfléchir, sans s’évader, se parler,

C’est bien mieux ainsi pour s’écouter,

Se mettre en phase pour orgasmer.

 .

.

Une jarre, un utérus !

.

Scénario

.

Entre certitude féminine et interrogation masculine : tête ou pied.

Expressions  suivre traces de pieds, prendre son pied, perdre pied.

À première vue, c’est bien écrit : il s’agit là que de pendre son pied.

 .

Visuels et textuels >>

639 – Confiance partie, revenue, restaurée, réelle !

Visuels et textuels  >> 

.

Qu’est-ce que la confiance

Donnée,  pour l’autre,

Et, à   quel  niveau :

Totale  ou aveugle,

Partielle,  partiale

Confiance est pari

Qu’autre  va tenir,

Voire    soi-même,

Voire   les     deux,

Au  moindre écart,

Le pari   est  perdu,

On se   retrouve nu.

.

Histoire Ève et Adam

Où premier qui le rompt

Est désigné comme coupable

D’un Paradis innocent bien perdu,

Mais  qu’on ne retrouvera jamais plus.

.

Confiance partie, revenue, restaurée, réelle

Quatre états et  même sentiment  relationnel

Qui marque les esprits, cœurs, si ce n’est corps

Tant il est plus important  qu’il soit le plus fort !

.

En couple, vraie confiance serait la base de tout,

Non pas celle au jour le jour et sur toutes choses,

Mais  celle d’un parcours  où l’autre  tient  à vous,

Au point de vous associer à son secret dit d’alcôve.

.

Une fois trahie, une fois bafouée… une foi perdue,

L’on se retrouve seul et abandonné et presque nu,

À  se poser  la question : reviendra-t-elle jamais :

Avec de si, avec des peut-être, avec des oui mais.

.

Cette confiance trahie provoquera une blessure

Profonde qu’il faut le temps pour  s’en  guérir,

Prendre temps pour comprendre sans punir

Puis pardonner, rebondir, en devenir sûr.

.

Défiance, confiance, restent  en balance,

Tant que signes répétés de sa primauté

N’ont pas donné résultats de santé,

Meilleure, beau fixe d’espérance.

.

Pour que le couple dure, il faudrait

Basé sur autre chose en plus de l’amour :

Métier, maison, enfant, intérêts communs :

Cela marchait bien avant et maintenant, moins.

.

.

Extension

 .

La confiance commence par celle de soi :

Dès que l’on doute de soi, par ricochet,

On doute aussi, et autant, des autres.

Et, ce, bien qu’il ne soit pas  pertinent

D’assurer une confiance totale, aveugle.

.

Mettre sa confiance en l’autre, confier

Une très grande part de sa fragilité.

C’est pourquoi  la perte de celle-ci,

Serait, profondément, destructrice

On hésite encore plus à la redonner.

.

La trahison sera le point contraire

Et, le plus impardonnable,  du fait

Qu’il surprend, mais aussi d’autant

Qu’il se produit au mauvais moment,

Ne laissant pas de chance d’explication.

.

Dans  toute  négociation,  quel qu’elle soit,

Si l’on n’obtient pas un minimum de crédit,

La partie est mal engagée, l’accord ne se fera

Quel que soit les termes du contrat,

Ce dernier sera dénoncé, caduque.

.

Ayez confiance, ayez confiance… oui mais pas aveuglément.

Il faut distinguer confiance en soi et confiance en l’autre ;

Que tout va bien se passer, qu’il y a un risque à courir

Que la confiance est pour un acte, ou pour la vie !

Des situations où l’on a besoin de confiance,

De plus en plus nombreuses, diverses

Gouvernent notre vie … entière !

.

Quand on recherche les synonymes

De confiance, l’on trouvera :

Certain, digne de foi, fiable, honnête,

Intègre, loyal, sérieux, sûr.

.

Et, pour le moins que l’on puisse dire,

Cela n’encombre pas les rues

D’autant que la confiance est  toujours

Basé sur pari ou croyance.

.

Elle permet d’avancer à deux, se disant

Que l’autre sera là, elle permet

Aussi de se protéger de la peur qu’on

Peut avoir être quitté, jalousie.

.

.

639 – Calligramme

 .

Qu’est-ce que la confiance

Donnée,  pour l’autre,

Et, à  quel  niveau :

Totale ou aveugle,

Partielle, partiale 

Confiance est pari

Qu’autre  va tenir,

Voire     soi-même,

Voire les   C    deux,

Au moindre  O  écart 

Le pari   est   N  perdu,

On se   ret      F  rouve nu.

Histoire Ève  I         et Adam    

Où premier   A       qui le rompt

Est désigné    N     comme coupable

D’un Paradis   C   innocent bien perdu,

Mais qu’on ne     E  retrouvera jamais plus.

Confiance partie,   *  revenue, restaurée, réelle

Quatre états même       P      sentiment relationnel

Qui marque les esprits,    A    cœurs, si ce n’est corps

Tant il est plus important    R       qu’il soit le plus fort !

En couple vraie confiance       T          sera la base de tout,

Non pas celle au jour le jour       I          et sur toutes choses,

Mais celle d’un parcours où           E           l’autre tient à vous,

Au point de vous associer à son         *           secret  dit d’alcôve.

Une fois trahie, une fois bafouée,        R                  une foi perdue,

L’on se retrouve seul et abandonné       E                   et presque nu,

À se poser  la question : reviendra         V                  t-elle jamais :

Avec de si, avec des peut-être, avec       E                  des oui mais.

Cette confiance trahie provoquera       N                 une blessure

Profonde qu’il faut le temps pour       U                s’en  guérir,

Prendre temps pour comprendre    E             sans   punir

Puis pardonner et rebondir, en    *           devenir sûr.

Défiance, confiance, restent    R         en balance,

Tant que signes répétés de  E     sa primauté,

N’ont pas donné résul    S   tats de santé

Meilleure, beau fixe   T   d’espérance.

         A

Pour que le couple   U  dure, il faudrait

Basé sur autre chose   R    en plus d’amour :

Métier, maison, enfant   É    intérêts communs :

Cela marchait bien avant   E   et maintenant, moins.  

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

639 4

.

Un flacon, pour sûr,

Mais flacon de quoi :

Potion  de  confiance 

À avaler sans méfiance.

.

L’optimisme serait-il, en partie

d’ordre chimique, que l’on mettrait

en flacon de confiance ou méfiance :

faut croire pour le savoir, inversement.

.

La confiance est élixir

Quand la méfiance est un poison 

Lorsqu’on boit une potion

En aveugle et sans savoir laquelle !

 .

Symbolique

 .

Trois dimensions différentes

Selon lesquelles toutes attentes

Constitutives  de  la  confiance

Peuvent être, ou  seront  déçues :

.

La continuité de l’ordre naturel et de l’ordre moral ;

La compétence technique des acteurs, en leurs rôles ;

Les obligations fiduciaires des acteurs non respectés,

.

C’est-à-dire leur devoir de placer les

Intérêts autres avant leurs propres

Et leurs motivations pour le faire.

cairn.info/revue-reseaux1-2001-4-page-15

.

Descriptif

 .

639 – Confiance partie, revenue, restaurée

Alignement central / Titre serpente / Thème  confiance

Forme en ovale / Rimes variées  /  Fond accordée à forme

Symbole de forme : confiance Symbole de fond : méfiance

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

639 6

.

La confiance est élixir

Quand la méfiance est un poison

Lorsqu’on boit une potion

En aveugle et sans savoir laquelle !

 .

Symbolique 

 .

La méfiance est expression

Voire un comportement formel

De non-confiance  envers d’autres

Individus pour une raison quelconque.

Celle-ci  n’implique  pas, nécessairement,

Une suspicion sérieuse ou une mauvaise foi.

.

Cela  peut survenir  à n’importe  quel moment

Lorsqu’un individu met ou remettra en question

Sa confiance envers un ou plusieurs individus

Selon plusieurs cas, plusieurs situations.

.

Psychiatrie, certains individus atteints

De troubles qu’on dit de la personnalité

Evitante, antisociale  et  paranoïaque

Peuvent expérimenter une méfiance

Envahissante à l’égard des autres

Allant souvent jusqu’à l’extrême.

.

En tel cas, le sujet ne souhaite

Être approché par quiconque

Qui lui semblera menaçant.

fr.wikipedia.org/wiki/Mefiance

 

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La confiance est la base de toute relation

Parce qu’elle engage son être, tout  entier,

Et que ce soit en sexe, en amitié, en amour, 

Le moindre manquement  sera  sanctionné.

Si l’on poursuit de déception en désillusion,

Arrive le moment  où  la confiance, perdue,

Agira en non-retour possible …  toute crue.

 .

.

Bulletin confiance : cinq ans  

.

Scénario 

.

Moi qui croyais que … je n’ai plus qu’à attendre confiance revienne.

Un smiley est des plus explicites sur impression de  déception  totale.

C’est pas fondamental, allez, on repart, on remet ça, on continue !

 .

Visuels et textuels  >> 

638 – Hypocrisie, cachotterie, mensonge et fidélité !

Visuels et symboliques >>

.

Pas  pris

Pas vu, pas  su,

La  belle    hypocrisie,

Mensonge … cachoterie,

Tromperie est secret béni.

 .

Et sur ce sujet, que de films

De romans, histoires à tiroir

Si ce n’est même de placards

Qui nous font rire ou pleurer.

 .

On en n’a pas  fini d’infidélité

Autant  à soi  qu’au  conjoint :

J’allais dire au compte-joint

Si c’est  par  l’argent, aliéné.

 .

Qu’importe écart ou raison,

Coup de folie foudre, passion

Une fois, mille, porté à l’écran

L’infidélité  au nez,  nous pend :

La vie des autres et leur malheur,

Est l’exutoire de notre frustration.

 .

Hypocrisie, cachoterie, mensonge et fidélité.

Hier, ai vu au cinéma le film «Les beaux jours»

Dont la moitié porte sur cette  histoire d’amour

Avec Fanny Ardant, vieillissante mais, ardente,

Qui ne sait que faire du temps libre en retraite,

Se rend dans un club de loisirs  pour les  vieux.

 .

Naturellement belle, séduisante comme elle est,

Rencontre, un garçon,  moniteur  informatique.

C’est le sujet, de vingt ans plus jeune, comment

Cela peut-il se faire, combien de temps, durer !

On le sait dès le début, du moins on le pressent

Mais ce qui m’étonne le plus est sa cachotterie.

 .

Vrai, sortir avec homme, ayant âge de son fils,

N’est pas très moral, pas très seyant ni séant

Cela reviendrait au même qu’avec tout autre

Dès lors que tous savent, sauf enfants, mari,

Ce dernier apprenant fait crise impuissance

Dépassé, largué, humilié et toujours présent.

 .

Happy end : conjoints  se rejoignent  à nouveau,

Mais on peut se poser la question, à soixante ans

Comment  se  fait-il  qu’elle se cache ainsi, de  lui !

Elle n’a pas peur de lui et elle   n’est pas sûre d’elle,

Elle se pose  juste des questions sur l’attrait sexuel,

Au point qu’elle n’y croit pas …… tout en y croyant.

 .

La morale  de  cette  histoire  dépendra  de chacun.

Pour ma part, elle reproduit  un schéma  du  passé,

Que l’on a vu, cent fois,  en vaudevilles  est dépassé,

Pour des jeunes, misant sur plus ….. d’authenticité.

.

.

Extension

 .

S’agit de gens frustré

Pour qui tout est permis

Du moment  que  c’est  caché.

.

Un mensonge reste un mensonge,

Loin de vérité, faisant mal en l’instant

Mais qu’on peut humainement accepter.

Se savoir cocu après coup, après les autres,

Est une hypocrisie, une faute, plus dure

À encaisser et donc à pardonner.

.

Au final, ce film me donne

Cette impression de vie, en un club

De retraités dont repères sont perdus,

Et papillonnant d’un loisir à l’autre

Dans des groupes,  tandis  qu’ils

Devraient exploser, en famille,

Bonheur du temps qu’il leur

Reste à vivre, à être utile.

.

Hypocrite : le mensonge peut l’être autant que vérité ou fidélité,

Le tout est de se protéger, de garder le secret pour sa tranquillité

Sa vie est parfois faite d’un tas de faux-semblants pour la société

Garder la face, et présenter son meilleur profil, est art de théâtre.

Garder le sourire en toutes occasions est art du mime à tout crin,

Dans un conflit, c’est celui qui fait bonne figure qui a le beau rôle

Celui qui s’énerve, invective et ment est taxé, d’égoïste, méchant !

.

Au début  d’une relation, les cachotteries

Renforcent le lien et créer une proximité

Ou éviteront les conflits et les tensions,

 Ou épargneront de blesser quelqu’un.

.

Les craintes d’infidélité surviennent

 Avec autres problèmes dans la relation,

L’arrivée d’enfants, ou surcroit de travail,

Monotonie, routine, manque de désir sexuel.

.

Enfant issu d’une relation adultère se considère

Comme une cachotterie qui entache une fidélité !

.

.

638Calligramme

.

Pas  pris

Pas vu, pas  su,

La  belle    hypocrisie,

Mensonge  ou  cachoterie,

Tromperie est secret  *  béni.

 .

Et sur ce sujet, que de   H   films

De romans, histoires   Y      à tiroir

Si ce n’est même     P      de placards

Qui nous font    O       rire ou pleurer.

On en n’a pas  C             fini d’infidélité

Autant à soi   R               qu’au conjoint :

J’allais dire   I                  au compte-joint

Si c’est par   S                     l’argent, aliéné.

Qu’importe   I                      écart ou raison,

Coup de folie   E                    foudre, passion

Une fois, mille,   *                     porté à l’écran

L’infidélité au nez,  *                      nous pend :

La vie des autres, et     C               leur malheur,

Est l’exutoire de notre        A              frustration.

Hypocrisie, cachoterie, men  C   songe et fidélité.

Hier j’ai vu au cinéma le film  H   Les beaux jours,

Dont la moitié porte sur cette  O  histoire d’amour

Avec Fanny Ardant vieillissan   T  te mais, ardente,

Qui ne sait que faire du temps   T   libre en retraite

Se rend dans un club de loisirs   E    pour les  vieux.

Naturellement belle, séduisante R   comme elle est,

Rencontre, un garçon, moniteur I      informatique.

C’est le sujet : de vingt ans plus  E  jeune, comment

Cela peut-il se faire, combien de  *     temps, durer !

On le sait dès le début du moins   *     on le pressent

Mais ce qui m’étonne le plus est  M   sa cachotterie.

Vrai, sortir avec homme, ayant   E    âge de son fils,

N’est pas très moral, pas très      N   seyant ni séant

Cela reviendrait au même qu’      S  avec tout autre,

Dès lors que tous savent, sauf     O     enfants, mari,

Ce dernier apprenant fait cri      N   se impuissance

Dépassé, largué, humilié mais   G toujours présent.

Happy end : conjoints se joig     E   nent à nouveau,

Mais  on peut  se poser  la question : à soixante ans

Comment  se  fait-il  qu’elle se  cache ainsi, de  lui !

Elle n’a pas peur de lui et elle   n’est pas sûre d’elle,

Elle se pose  juste des questions sur l’attrait sexuel,

Au point qu’elle n’y croit pas …… tout en y croyant.

.

La morale  de cette histoire  dépendra  de chacun.

Pour ma part, elle reproduit  un schéma  du  passé,

Que l’on a vu, cent fois,  en vaudevilles  est dépassé,

Pour des jeunes, misant sur plus ….. d’authenticité.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

638 4

.

J’ai l’impression

 Qu’il  s’agirait  bien

D’une   tour     d’ivoire

Complétement… hypocrite !

.

Si l’on s’enferme en tour d’ivoire,

On  ne communique plus, ou mal,

Et l’on y cultive,  soit hypocrisie,

Soit cachotterie, soit mensonge.

 .

Symbolique 

 .

Expression tour d’ivoire

Est  utilisée  pour  expliquer

Qu’une personne est solitaire

Vit dans sa bulle  en refusant

De s’engager dans une action

Dans la vie, tout  simplement.

.

L’origine  vient  du   Cantique

Des Cantiques de Salomon où

La tour d’ivoire  est comparée

Au   long   cou   d’une   femme.

.

Le poète exprime à sa manière

Qu’il s’isole, autant, du  monde,

L’expression passée  depuis, en

Langage courant pour désigner

Ces personnages étant solitaires

Totalement coupés de la société.

pourquoi.com/francais/pourquoi-

utilise-t-expression-tour-ivoire

.

Descriptif

.

638Hypocrisie, cachotterie, mensonge !

 Alignement central / Titre serpente / Thème  vérité

Forme droite / Rimes variées  / Fond approché de forme

Symbole de forme : tour-ivoire / Symbole de fond : hypocrisie

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

638 6

.

Si l’on s’enferme en tour d’ivoire,

On  ne communique plus, ou mal,

Et l’on y cultive soit hypocrisie,

Soit cachotterie, soit mensonge.

 .

Symbolique

 .

L’hypocrisie est une attitude morale

Par laquelle on exprime des sentiments,

Des opinions que l’on n’a pas ou que l’on

N’approuve pas ou plus simplement l’acte

De mentir consciemment en vue de s’attirer

Des faveurs sociales. Et le mot  vient  du grec

Hypokrisis), qui signifie «jaloux», «comédie»,

«Mauvaise conduite», « lâche», «dissimulation» !

.

Par son côté particulièrement proche du mensonge,

L’hypocrisie est le contraire de la sincérité  qui revient à

Exprimer fidèlement avec bonne foi des sentiments ou pensées,

À ne pas confondre avec l’honnêteté  qui est, au sens strict du terme,

La tendance à exprimer sans dissimulation tous ses sentiments ou pensées.

fr.wikipedia.org/wiki/Hypocrisie

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Hypocrisie, cachoterie, mensonge :

Trilogie d’attitudes qui vous rongent,

Crée la distance entre ce que vous êtes

Et qu’aux autres, vous laissez paraitre :

Faudrait parait-il garder quelque secret,

Pour ne pas mettre conjoint face aux faits

Or à se terrer dans son donjon, rester muet

On finit dans un déni, le jour où on est défait

Il en est ainsi de l’infidélité, mensonge éhonté

 .

.

Main derrière, devant

.

Scénario

 .

Hypocrisie : je dois sourire tandis que mon cœur est en peine !

Mensonge : j’aurai mis tout en scène pour te faire croire que.

Fidélité : trinquons pour elle, mais fidélité à qui et à quoi ?

 .

Visuels et symboliques >>

637 – Elle a dit, viens, je t’en supplie, pardonne-moi

Visuels et textuels  >>

.

Confiance et défiance,

Trahison, pardon,

Résolution :

Cinq mots

Pour un pur

Psycho … drame

De nature conjugale.

.

Vérités et mensonges,

Cachotterie, aveux,

Pour finir, regret.

Cinq mots pour

Blanchir ou ternir

Son image de fidélité

Au contrat de mariage.

.

Comprendre, accepter,

Pardonner, bannir,

Pour finir, haïr :

Cinq mots

Pour se dire

Que tout est fini

Ou que tout continue.

 .

Elle m’a dit : viens … je t’en supplie … pardonne-moi,

Je te promets, la prochaine fois, je ne recommencerai !

Je ne sais pas ce qui m’a pris…un flash m’aura ébloui,

Je crois avoir tourné la page : cette affaire est finie !

 .

Finie, tu l’es pour moi : mis au placard à balai,

Il ne fallait pas y aller alors que je n’y… étais,

Qui tu as rencontré n’est pas celui je croyais

Ce n’est pas par hasard, tu l’as fait exprès.

 .

Une moitié de ce que tu dis est vrai

Mais qu’importe ce qui est faux

Ce qui compte, c’est bon mot,

Pour me pardonner l’ivraie.

 .

Ivraie tu l’es … mauvaise fille

Mais une rose aussi et myrtille

Ce n’est pas à moi  de pardonner

À nous de le faire  ou nous casser !

.

Je vois que tu me comprends, cette fois,

Que tu ne me prends pas pour la traitresse

Car, j’ai toute hâte de retrouver tes caresses

Qui font, de moi, ton amante, de bonne foi.

.

.

Extension

 .

Elle a dit : viens, je t’en supplie,

Pardonne-moi et moi j’ai hésité

À me jeter dans ses bras.

Je lui ai demandé si

C’était prémédité !

Elle m’a dit non

Mais je ne l’ai pas cru

.

Tu me croiras, ou non, je le regrette !

C’est fait, j’en ai eu envie sur le moment,

Mon écart ne vaut pas mis au placard

Comme vieille chaussette au rencart.

.

La chaussette prenant son pied ailleurs

Est comme trouée de partout, bonne à jeter,

À moins de retrouver le seul qui peut, qui veux,

La réparer avec un fil bien cousu de ses sentiments.

.

Un fil que l’on faufile pour qu’on l’enfile comme avant :

Pardonne-moi si je n’ai fait que développer ta métaphore.

Je sais, la jalousie  n’est pas un tort  et ton amour est si fort.

.

Pardonner est donner par-delà ce que l’on croit ce que l’on voit

Ce que l’on conçoit comme gratification de l’autre, qu’on reçoit.

Reçois-moi alors et moi, en retour, je te redonnerai le meilleur

De moi-même lors dans l’intimité, en plein émoi et tout à toi.

 .

On peut partager toutes sortes de choses : idées, biens, valeurs

Par exemple, partager les torts  en une relation ou en un couple,

Partager  le pardon … partager l’oubli …  partager  son  bonheur,

Le tout est de prendre du recul, garder sa lucidité, rester souple :

N’en faut pas plus très souvent pour que les gens se rabibochent

Parfois les gestes remplacent les mots lors ce n’est le contraire,

Parfois un message, un mot suffit pour parvenir à s’excuser.

.

Le pardon peut être un des moyen de se libérer soi-même de l’étau

De la haine,  du poison émotionnel  du ressentiment, dont les effets

toxiques touchent en premier ceux qui les cultivent, les ressassent.

.

Le pardon reste accessible à chacun indépendamment de l’adhésion

 À des croyances religieuses du christianisme  ou  d’autres adhésions.

.

Pour Olivier Clerc et Fred Luskin, pardonner aiderait à mieux vivre

 Bon nombre sentiments de rancœur nous empêchent d’être heureux,

Et  qui plus est, aurait un impact sur notre qualité de vie,  longévité.

.

Vladimir Jankélévitch aura cité les deux faux-semblants du pardon :

L’usure temporelle : si l’on oublie les faits, c’est tout sauf du pardon

L’excuse importance : réduction gravité du fait, ne s’y substitue pas !

.

.

Épilogue

.

Une faute commise, qu’on juge impardonnable

Et que pour finir, l’on minimise voire on oublie,

Cela n’arrive qu’entre gens, s’aimant réellement.

***

Faut-il qu’on se présente comme le seul coupable,

Alors qu’autre pensait qu’on en serait pas capable

***

Pardonner serait bonne attitude  qui vous grandit,

Permet de poursuivre  et changer, sur vous, d’avis.

***

Encore que les pardons peuvent réaliser une piste :

J’ai beaucoup pardonné  mais j’en ai gardé la liste !

***

Aveu, échange, compromis, pardon, réconciliation :

Voilà bien une séquence d’une positive…discussion.

***

Tant la vengeance, la punition, l’exclusion, le mépris,

Sont des décisions montrant que l’on a rien compris.

***

Pour certains, pardonner  serait un signe de faiblesse

Tandis qu’autres, serait comme un geste de noblesse.

***

Je vous demande pardon : exclamation d’un offusqué,

Sens bien savoir l’interpréter au sens propre ou figuré.

***

Une question d’accorder le pardon est parfois jusqu’où,

Trop souvent ou trop important, c’est dire je m’en fous,

 L’autre ne se sentira plus du tout responsable, du coup.

.

.

637 – Calligramme 

 .

REVIENS,

Confiance et défiance,

Trahison, pardon,

Résolution :

Cinq mots

Pour un pur

Psycho … drame

De nature conjugale.

JE T’EN SUPPLIE,

Vérités et mensonges,

Cachotterie, aveux,

Pour finir, regret.

Cinq mots pour

Blanchir ou ternir

Son image de fidélité

Au contrat de mariage.

PARDONNE-MOI 

Comprendre, accepter,

Pardonner, bannir,

Pour finir, haïr :

Cinq mots

Pour se dire

Que tout est fini

Ou que tout continue.

 .

******************************

************************************

 .

Elle m’a dit : viens … je t’en supplie … pardonne-moi,

Je te promets, la prochaine fois, je ne recommencerai !

Je ne sais pas ce qui m’a pris…un flash m’aura ébloui,

Je crois avoir tourné la page : cette affaire est finie !

 .

Finie, tu l’es pour moi : mis au placard à balai,

Il ne fallait pas y aller alors que je n’y… étais,

Qui tu as rencontré n’est pas celui je croyais

Ce n’est pas par hasard, tu l’as fait exprès.

 .

Une moitié de ce que tu dis est vrai

Mais qu’importe ce qui est faux

Ce qui compte, c’est bon mot,

Pour me pardonner l’ivraie.

 .

Ivraie tu l’es … mauvaise fille

Mais une rose aussi et myrtille

Ce n’est pas à moi  de pardonner

À nous de le faire  ou nous casser !

.

Je vois que tu me comprends, cette fois,

Que tu ne me prends pas pour la traitresse

Car, j’ai toute hâte de retrouver tes caresses

Qui font, de moi, ton amante, de bonne foi.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

637 4

.

Une fontaine et, tout aussi bien,

En bas, un  verre pour partager

Avec  une sorte de flamme en haut

Pour célébrer une réconciliation.

.

De partager et se réconcilier

iront bien avec « pardonner »,

et dès lors quel que soit la forme,

celle-ci s’arrangerait avec le fond. 

.

C’est comme  pressant appel

À partager verre de réconciliation,

Sera-t-il entendu, négocié,

Apprécié, rabiboché,  pour… l’amour ?

  .

Symbolique

 .

Il est possible de

« Partager avec »

Lorsque celui qui partage

Transmet à quelqu’un d’autre,

Non pas un bien (sens le plus large)

Venant d’autrui : part de ce qu’il possède.

Si ce bien est un objet matériel parmi d’autres

Que l’on possède, temps dont on dispose, argent,

.

Dès lors  partager consistera à se séparer

D’une partie de ce que l’on a, aura

Au profit de quelqu’un d’autre.

Source : cairn.info/revue-du-

mauss-2010-1-page-587

.

Descriptif

 

637 – Reviens, je t’en supplie, pardonne-moi

 Alignement central / Titre intercalé / Thème  dialogue

Forme conique / Rimes variées  / Fond approché de forme

Symbole de forme : partager   /   Symbole de fond : réconcilier

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

.

C’est comme  pressant appel

À partager verre de réconciliation,

Sera-t-il entendu, négocié,

Apprécié, rabiboché,  pour… l’amour ?

 .

Symbolique 

 .

Rêver de réconciliation

Et se réconcilier ensuite en rêve,

Annonce d’une vie plus sereine, plus belle.

Faire un rêve de réconciliation  et s’opposer

À celle-ci  sera de très mauvais augure.

.

Rêver  de  réconciliation  avec  son ex,

Symboliserait  un   gage  de  sécurité,

De paix et de détente après la fatigue.

.

Réconciliation est signe de discussion,

Rêver de se réconcilier avec quelqu’un,

Annonce que des ennuis affectifs finiront.

interpretation-reve.fr/dictionnaire-reve-R/reconciliation

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Accepter de partager  la majeure partie

De sa vie  est accepter aussi de pardonner.

.

Une réconciliation sera comme une thérapie

Du couple qui se sera égaré, faute d’attentions

Et repartir sur nouvelle base, nouveau contrat

C’est ainsi que couple murit, dans les épreuves,

Bien plus qu’en saut d’un lit, qui s’est émoussé.

.

Une fois à terre on pourra apprécier sincérité

De celui ou celle qui aura commis un impair.

 .

.

Désolé sincère, non !

.

Scénario

.

Je suis désolé est message le plus fréquent pour se faire excuser.

Message des plus ambivalents lorsque pardonner, c’est oublier.

Amants joignent le geste à la parole pour mieux le confirmer.

 .

Visuels et textuels  >>

636 – Parfois, je me demande si…je ne perds pas

Visuels et textuels >>

.

Parfois, je me demande si…….. je ne perds pas

Ma dignité à  vouloir quémander l’amitié

D’amis qui viennent me voir…. en passant

Et pour qui je ne suis pas très important.

Ou encore à vouloir réaliser l’impossible

Tandis  qu’il me suffirait …. d’exister

Pour que ma vie soit comblée.

 .

Parfois, je me demande

Si  je  ne perds  pas

Mon … temps,

À vouloir aimer,

À vouloir être aimé,

En vraie… réciprocité !

 .

Parfois je me demande

Si  je  ne  perds  pas

Mon … argent,

À te faire cadeau

De ce qui te plaira :

Très cher, me coûtera !

.

Parfois je me demande

 Si  je  ne  perds  pas

Mon … énergie

À fouiller,  au lit,

L’intimité obscurcie

D’un postérieur absent !

 .

Parfois je me demande

Si je ne perds pas

Tous mes esprits,

À converser avec toi,

À converger … vers toi,

Vers l’harmonie parfaite !

.

Parfois je me demande

Si je ne perds pas

Mon … âme,

À  céder  à t out

Ce que tu réclames,

Et me brûler en flammes !

 .

Parfois, je me demande

 Si  je  ne  perds  pas

Mes sentiments

À vouloir les dépenser

À tort et travers

Pour des gens

Qui ne me les rendent,

Aucunement.

.

.

Extension

 .

Parfois, je me demande si je ne perds pas :

Voilà bien question légitime et nécessaire

À se poser  de temps en temps  afin de ne

Continuer  à  le  perdre … innocemment !

Relations, on peut perdre   un temps fou,

Et jusqu’à sept ans,  parait-il, à certains,

Qui espéraient, secrètement, un mariage

Et ont essuyé  un refus, poli, mais  ferme,

Les invitant à tenter leur chance ailleurs.

A contrario, d’autres, au bout  d’un mois,

Voire un an, prennent engagement ferme

C’est dire si tous les cas sont en la nature.

Mais l’on ne perdrait pas que son… temps,

Aussi de l’argent, de l’énergie … de l’estime,

De la confiance en soi son âme qu’on damne

À en devenir misogyne, et voire misanthrope.

Il est souvent question de gagner ou de perdre,

Dans la vie mais les sentiments échappent à toute

Prédiction tant ils ont irrationnels, très passionnels.

Exemples « j’ai perdu la femme que j’aimais tant,

Ou j’ai zappé cet homme qui était mon amant

Et le pire c’est que je l’ai perdu, bêtement,

En oubliant un rendez-vous important »

J’ai maintes fois entendu cela qui

M’étais présenté, comme acte

Manqué et… parfaitement

Réussi en même temps.

.

Perdre son temps, son sentiment, son argent, son honneur,

Et que sais-je encore, on y laisse des plumes, dans un échec

Y compris et surtout amoureux en dépit de nouveaux plans

Qu’on élabore ou stratégie  qu’on échafaude  pour restaurer

Ce qui est définitivement perdu, dont on doit faire son deuil

Certains le font vite : « une de perdue … dix de retrouvées »,

Certains ne le font jamais, si c’est pas lui, elle, c’est personne.

.

À quinze ans, non seulement, l’on accepte

De perdre du temps, voire volontairement,

Pour en gagner plus tard : meilleurs choix.

.

À trente ans, on commence déjà à se lasser

De ne pas trouver le partenaire idéal de vie,

Mais on se dira que l’on a encore du temps.

.

À trente-cinq, une horloge biologique sonne

L’alerte, pour ce qui est du père des enfants,

Tant, à quarante, elle en sonnerait le … glas !

.

Temps n’est pas tout : au chapitre des pertes,

Il y a aussi et autant l’énergie de ses vingt ans

Désespérance, déprime de ses trente-cinq ans.

.

.

Épilogue

.

De perdre son temps : on le ferait, souvent,

Pour des choses,  des gens,  des événements,

Qui ne valent la peine pour son étonnement !

***

On perd son temps quand on le force, le subit,

Gagne son temps, quand on le sent,  le choisit :

Pour certains, l’amour serait trop chronophage,

Pour d’autres, le seul qui vaille  qu’on s’engage !

***

Il n’y a pas que le temps : il y a l’énergie, l’argent,

Sans compter esprit, âme, nombre de sentiments,

Des jours, des semaines, des mois,  à ne rien faire,

En tous cas qui puissent, tant soit, vous satisfaire.

***

De ces perles, je pourrais composer grand collier,

Lors faut-il accepter d’en perdre pour en gagner,

Si time is money, comme l’affirment les anglais,

Le temps perdu ne se rattrape pas ni ne se paie.

***

Le temps est gratuit  et est le même pour tout,

Qu’on le passe  à fainéanter,  à courir partout,

Ne change rien à l’horloge un point c’est tout.

.

.

636Calligramme

.

Parfois, je me demande si…….. je ne perds pas

Ma dignité à  vouloir quémander l’amitié

D’amis qui viennent me voir…. en passant

Et pour qui je ne suis pas très important.

Ou encore à vouloir réaliser l’impossible

Tandis  qu’il me suffirait …. d’exister

Pour que ma vie soit comblée.

JE ME

Parfois, je me demande

Si  je  ne perds  pas

Mon … temps,

À vouloir aimer,

À vouloir être aimé,

En vraie… réciprocité !

DEMANDE

Parfois je me demande

Si  je  ne  perds  pas

Mon … argent,

À te faire cadeau

De ce qui te plaira :

Très cher, me coûtera !

Parfois je me demande

 Si  je  ne  perds  pas

Mon … énergie

À fouiller,  au lit,

L’intimité obscurcie

D’un postérieur absent !

SI JE NE

Parfois je me demande

Si je ne perds pas

Tous mes esprits,

À converser avec toi,

À converger … vers toi,

Vers l’harmonie parfaite !

Parfois je me demande

Si je ne perds pas

Mon … âme,

À  céder  à t out

Ce que tu réclames,

Et me brûler en flammes !

PERDS PAS

Parfois, je me demande

 Si  je  ne  perds  pas

Mes sentiments

À vouloir les dépenser

À tort et travers

Pour des gens

Qui ne me les rendent,

Aucunement.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

636 4

.

Un bon tire-bouchon,

Série de coupes empilées

Ou une vis auto perforante,

Un collier brillant de perles.

.

Un collier qui perdrait ses perles

une à une  et jusqu’à la dernière :

ce qui se produit lors des conflits,

faut que la forme évoque le fond.

.

J’étais jaune et or et je deviens gris et mat,

N’ai plus de brillants !

J’ai perdu,  dignité, félicité, temps, argent,

Sur collier de perles !

 .

Symbolique

 .

Perles sont formées  par nacre,

Étant secrétée par le mollusque

En réaction  aux greffons  et va

Entourer  ceux-ci   par   couches

Successives pendant des années.

.

Ce sont  les pigments  organiques

Contenus dans la conchyoline  qui

Vont lui donner couleur et brillant.

.

Blanc argenté à crème  ou rose clair

Avec  des irisations  dans les couleurs

De l’arc-en-ciel, fonction de l’épaisseur

Des  couches  successives : elles peuvent

Être translucides ou carrément opaques.

adamence.com/guide/perle-culture/perle-nacre

.

Descriptif

.

636Je me demande si je ne perds pas …

Alignement central / Titre intercalé / Thème  temps

Forme collier / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : brillant  /   Symbole de fond : perle

.

.

Fond

 .

Évocation d

.

636 6

.

J’étais jaune et or et je deviens gris et mat,

N’ai plus de brillant !

J’ai perdu,  dignité, félicité, temps, argent,

Sur collier de perles.

 .

Symbolique 

 .

Perles, symboles mystiques et moraux

Dans les  différentes  sociétés  du fait de

Leur origine  mystique, voire spirituelle.

Quelquefois, elles  incarnaient  des   êtres,

Des principes sacrés,   des idées abstraites.

.

Mais, de la préhistoire  à l’époque moderne,

La perle a toujours été le symbole de la beauté

Parfaite et pure, voire de l’amour en plénitude,

Sans oublier de l’innocence, l’humilité et du sens,

Ou encore de la gratitude ou de la reconnaissance.

gemperles.com/mythes-symboles-perles#4

 .

.

 Corrélations

 .

Fond/forme 

.

Ce serait plus qu’instructif de faire le test

Pour  chaque  femme, d’enlever une perle

De  votre collier, à chaque conflit majeur

À en provoquer une dispute mémorable

Jusqu’à entacher confiance ou fidélité. 

.

Ou alors  de  constater  que les perles

Se ternissent, perdent  leur brillant,

Les jours où, y a pas de réciprocité

Ou on a sensation perte de temps.

Si ce n’est argent, énergie, santé.

 .

.

Perdre son temps à vouloir le gagner

.

Scénario

.

Tandis que je demande si « OK », tu réponds : pour moi, c’est « KO »

Avec toi, après plan A, refusé, plan B, raté, faut plan C, sinon plan T.

Plantée nue, sur mes genoux, en attendant que ton désir t’assaille !

 .

Visuels et textuels >>

635 – Nos amours sont bénis, puis ne le sont plus

Visuels et textuels  >>

.

Apparition

Installation,

Cristallisation

Ou…disparition.

De quoi, ou de qui,

S’agit-il, là, au juste :

D’amour  ou  de relation

D’attraction ou révélation.

.

J’étais seul, nous voilà deux,

Et, nous semblions heureux,

Pour ne pas dire, chanceux,

Mais, ne voilà-t-il pas que,

Je me retrouve … boiteux

De ne plus marcher que

D’un pied  sur deux !

.

Comment l’amour,

Se sera soudain envolé

Sans m’en rendre compte,

Sans me donner une raison

Que je ne le méritais guère

Si ce n’est le contraire :

Choix est arbitraire,

Bonheur/misère.

.

 Nos amours sont bénis, puis ne le sont plus

Sans savoir pourquoi et sans l’avoir voulu :

Légères  impressions  qu’amour   a disparu,

En perdant ses traces en un sable moulu.

.

Lors je me retrouve seul, pauvre et nu,

À supporter ces états des plus incongrus,

Qui me redonneront ma liberté à ma vertu

Et dont je ne sais que faire pris à l’imprévu.

.

Mais  de quoi  ou  de qui  s’agit-il : veux-tu,

Bien nous le dire  et  nous le  partagerais-tu !

Nous ne sommes pas, pour toi, des inconnus,

Alors accouches, on te dira si : bien, malvenu.

.

Malvenu n’est pas le mot : en vrai, j’avais cru,

Qu’il m’aimait autant qu’aimais, si j’avais su,

Il m’a fait faux bond et   je m’en suis aperçu

Avec l’autre, en me narguant  par-dessus.

.

Si  tu en es sûre : laisse  tomber, foutu.

Sinon, dispute beaucoup hurluberlu,

Dis-lui il aura fait  exprès d’être vu

Pour retester une jalousie vécue.

.

.

Extension

 .

Dis-toi que tu

N’auras  rien  perdu,

Que  ça n’aurait pas tenu,

Et qu’il n’est plus le bienvenu,

De t’être servi de toi comme appât

Pour une proie que tu n’aimes pas,

Et que tu regardes déjà en victime

Et en attendant, déjà, la suivante.

.

Bénis, finis, oubliés : nos amours sont éphémères, inconstants,

Qui n’en a fait l’expérience, amère, en croyant vaincre le temps.

Dieu sait combien notre passion nouvelle nous unissait, amants

Comme si un mauvais génie s’acharnait  sur nos amours bénis !

Un rien nous unit, un rien nous détruit…et notre bonheur, avec.

Faut-il dès lors croire à l’amour encore, ou  n’est-ce qu’illusion :

C’est à chacun de décider en son cœur, en son âme, conscience.

.

On maudit d’autant mieux quelqu’un,

Qu’on l’a beaucoup adoré, choyé, béni.

.

La haine se nourrit d’un amour trompé,

Comme toute trahison : impardonnable.

.

Tous les couples ont des conflits, disputes,

Scènes de ménages, autres coups de putes.

.

Partir, avec un ou une autre, n’est pas  facile

L’autre à l’impression d’un rejet puis abandon.

.

La résilience peut parfois permettre de renouer

Si ce n’est des liens bénis, du mains pas maudits.

.

Et j’ajouterais même bien volontiers que le pardon

Peut être solution pour revenir à la paix du ménage.

.

.

635 – Calligramme

 .

Apparition

Installation,

Cristallisation

Ou…disparition.

De quoi, ou de qui,

S’agit-il, là, au juste :

D’amour  ou  de relation

D’attraction ou révélation.

 .

J’étais seul, nous voilà deux,

Et, nous semblions heureux,

Pour ne pas dire, chanceux,

Mais, ne voilà-t-il pas que,

Je me retrouve … boiteux

De ne plus marcher que

D’un pied  sur deux !

 .

Comment l’amour,

Se sera soudain envolé

Sans m’en rendre compte,

Sans me donner une raison

Que je ne le méritais guère

Si ce n’est le contraire :

Choix est arbitraire,

Bonheur/misère.

.

**************************

******************************

.

 Nos amours sont bénis, puis ne le sont plus

Sans savoir pourquoi et sans l’avoir voulu :

Légères  impressions  qu’amour   a disparu,

En perdant ses traces en un  A     E sable moulu.

Lors je me retrouve seul, pau  M        T    vre et nu,

À supporter ces états des plus   O          *   incongrus,

Qui me redonneront ma liberté  U            N  à  ma vertu

Et dont je ne sais que faire, pris   R              E   à l’imprévu.

Mais de quoi ou de qui s’agit-il    S                *           veux-tu

Bien nous le dire  et nous le par    *                L     tagerais-tu :

Nous ne sommes pas pour toi     S                E    des inconnus,

Alors accouches, on te dira si   O                *   bien, malvenu.

Malvenu n’est pas le mot en   N              S   vrai, j’avais cru,

Qu’il m’aimait autant l’ai    T             O  mais si j’avais su,

Il m’a fait faux bond et   *           N je m’en suis aperçu

Avec l’autre, en me    B          T narguant par-dessus.

Si tu en es sûre     É         *  laisse  tomber, foutu.

Sinon, dispute   N       P beaucoup hurluberlu,

Dis-lui il aura   I        L  fait  exprès d’être vu

Pour retester    S       U    une jalousie vécue.

S

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

635 4

.

Un pot en terre d’extérieur

Avec une belle plante verte,

Ou une poubelle de table,

Objet  jeté à la poubelle !

.

Amours bénis sont gardés, choyés

Amours maudits sont jetés, oubliés,

comme des objets dans une poubelle.

et c’est ainsi que forme rejoint le fond.

.

Amour, jeté à la poubelle comme fané,

 Comme amour objet :

Ça n’a à voir avec un bénitier servant

À nous sanctifier, déifier.

 .

 Symbolique 

 .

La poubelle n’a

Pas de sens …  caché,

C’est le symbole de vouloir

Se débarrasser  de  quelqu’un

Ou  quelque  chose : tout   dépend

Ce que  nous jetons  dans la poubelle.

Elle peut aussi représenter le désir de se

Délester d’habitudes, d’attitudes mentales

Qui ne nous plaisaient pas, dans ce cas-là,

C’est un symbole de désir de changement.

Source : psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/poubelle

.

Descriptif

 .

635 – Amours sont bénis, et ne le sont plus 

Alignement central / Titre analogue / Thème  amour

Forme ronde  /  Rimes égales   / Fond accordé à forme

Symbole de forme : poubelle  /   Symbole de fond : objet

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

635 6

Amour, jeté à la poubelle comme fané,

 Comme amour objet :

Ça n’a à voir avec un bénitier servant

À nous sanctifier, déifier.

 .

Symbolique 

.

Au croisement

Entre      l’amour

Et  le désir : l’objet.

Un objet tout à la fois

Privilégié  puis  valorisé

Dans  un   amour  passion

Étant  ravalé  dans  le désir,

Ceci en raison de  sa proximité

Avec l’objet de la pulsion sexuelle.

.

Pour Freud,  comme  pour  Lacan,

L’être aimé reste toujours un sujet,

Alors que celui qui est désiré passe

Au statut  d’objet. L’objet du désir

Désir en rapport avec la pulsion

Devient un objet quelconque.

.

Il peut être changé, rejeté,

Et même partagé : il s’agit souvent

D’un leurre ou d’un objet… dévalué !

cairn.info/revue-cahiers-de-psychologie

-clinique-2008-2-page-165.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Encore, de nos jours, lettres, mots, d’amour,

Adressés à quelqu’un qui n’est pas amoureux,

Reviennent, retour expéditeur s’ils ne sont pas

Directement jetés à la poubelle et sans lecture.

.

L’on appellera cela  «une fin de non-recevoir»

Tout  le  contraire  «d’une faim  de se revoir»

Suffit  donc, en cas  de  non réponse rapide,

De faire sa poubelle pour avoir cœur net !

.

Ce que personne ne fait sauf un détective

Et à quoi bon, personne ne va en prison

Pour un amour, renvoyé, déchiré, jeté.

 .

.

Plus belle … poubelle

.

Scénario

.

Nos amours sont bénis par un ange du Saint-Esprit qui les unit.

Nos amours sont maudits par un ange démoniaque qui les rompt.

Nos amours sont finis par une mort irrémédiable qui les dissout.

.

Visuels et textuels  >>

634 – Les amoureux manquent de mots ou gestes


Visuels et textuels >>

.

Des mots et des gestes servent

À communiquer notre pensée,

Voire, même, notre intention,

Mais, l’on n’a guère  appris,

À les  manier pour amour.

Résultat : l’on  improvise,

Entre emphase et incise,

On se trompe de devise

L’on perd sa promise,

Femme bacchanale,

Femme virginale,

Femme fatale

Et  jusqu’à

Fendre

Bois

V

Les amoureux manquent  de mots ou gestes,

Improvisent et attendent que suive le reste,

Mauvais mot  n’effacera pas le bon geste,

Mauvais geste  n’efface  pas le bon mot.

 .

Si l’un parfume,   que l’autre empeste,

Elle est belle, en soie lui, en oripeaux,

Pour peu que les deux s’en accordent

Contre-danse tiendra lieu de cordes.

 .

Cent fois revue … cent fois désirée,

Belle est consommée et banalisée,

À en confondre celle donnant le la,

Et manger un gâteau  au chocolat.

.

Au-delà du regard,  au-delà du mot,

Et au-delà du geste, au-delà cadeaux,

L’amour deviendra  d’autant plus beau

Qu’il aurait grandi  sous deux chapeaux.

 .

Une femme fatale ne sera qu’illusion espoir,

La femme maritale, il y aura plus rien à voir,

Femme virginale est porte secrète dans le noir,

Femme bacchanale comme déshabillé d’un soir.

.

.

Extension

.

Mots, gestes, attitudes, expressions, postures, mimiques, etc.

Ce ne sont ni mots ni gestes qui manquent dans le vocabulaire

C’est leurs connaissances et pratiques en situation amoureuse.

Ce d’autant que l’émotion domine et que les signaux sont ténus,

Tant et si bien  il faut un apprentissage  pour bien les maitriser !

.

Il y aurait cent façons de faire l’amour,

du sexe, dit hard, à l’extase …mystique.

.

L’important n’est pas d’adopter manière,

Parfaite  et  qui  satisferait  tout le monde,

Mais de trouver à s’accorder mutuellement.

.

Il y a autant de gestes  qui pourront paraitre

Grossiers, vulgaires, inadaptés, voire sadiques

Que de sensibles, de touchants, voire de divins,

Tout est une question d’intentions, d’attentions.

.

Et puis parler, avant et après, est bien mieux que

Pendant où tous les sens sont déjà presque saturés.

En outre, de murmurer à l’oreille des mots grossiers,

Peut d’un coup, briser tout le plaisir en pleine montée.

.

634 – Calligramme

 .

Des mots       A      et des gestes servent

À communi    M    quer notre pensée,

 Voire, même,    O     notre intention,

 Mais, l’on  n’a   U    guère  appris,

  À  les  manier    R   pour amour.

   Résultat : l’on     E   improvise,

    Entre emphase   U et incise,

    On se trompe de  X devise

    L’on perd   sa  promise

      Femme   bacchanale,

      Femme  virginale,

      Femme fatale 

      Et  jusqu’à

     Fendre

      Bois

      V  

Les amoureux manquent        M              de mots ou gestes,

Improvisent et attendent     A           que suive le reste,

Mauvais mot n’effacera     N          pas le bon geste,

Mauvais geste n’efface     Q         pas le bon mot.

         U

Si l’un parfume, que       E    l’autre empeste,

Elle est belle, en soie      N  lui, en oripeaux

Pour peu que les deux   T   s’en accordent

Contre-danse tiendra    *  lieu de cordes.

              D            

Cent fois revue, cent      E       fois désirée,

Belle est consommée     *      et banalisée,

A en confondre celle      M      donnant le la

Et manger un gâteau     O         au chocolat.

          T

Au-delà du regard,          S       au-delà du mot,

Et au-delà du geste,           *        au-delà cadeaux,

L’amour deviendra            G        d’autant plus beau

Qu’il aurait grandi             E       sous deux chapeaux.

S

Une femme fatale ne          T         sera qu’illusion espoir,

La femme maritale, il         E             y aura plus rien à voir,

Femme virginale est           S          porte secrète dans le noir,

Femme bacchanale           *         comme déshabillé d’un soir.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

 634 4

.

On dirait un merlin

Qui fait entrer bon coin

En sa bûche pour la fendre

Et la faire craquer, en cœur !

.

Un mot, frappé avec un merlin adapté,

Est plus que pénétrant :

Il y a une différence entre fendre à cœur

Et fendre … le cœur.

 .

Symbolique 

.

Ici,

Un merlin

Est une hache

À gros tranchant

Unique et servant

À fendre le bois.

Il   peut   être

Utilisé seul,

Par      un

De   ses

Cotés

V

En pointe, tranchant

Voire avec un coin

Plus pénétrant

Par l’autre

Coté

V

Son efficacité            pour fendre

Une bûche de        bois serait due

À nombreuses    frappes répétées

À l’intérieur et    jusqu’à écarteler

 Voire séparer     complétement les

Deux parties     fendues… à cœur.

.

Descriptif

.

634 – Amoureux manquent de mots, gestes

Alignement central / Titre droit / Thème  dialogue

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : merlin    /   Symbole de fond : fendre

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

634 6

.

Un mot, frappé avec un merlin adapté,

Est plus que pénétrant :

Il y a une différence entre fendre à cœur

Et fendre … le cœur.

 .

Symbolique 

 .

Rêver de bois symbolise

Votre état émotionnel intérieur,

Vous vous sentez vide en émotions.

.

Votre vie quotidienne reste rythmée

Par trop d’automatismes, il est temps

De trouver  alternatives à la routine.

.

Lors rêver de bois pour un homme,

Peut  symboliser une vie sexuelle,

Et les questions de fendre qu’il

Se pose, parfois, sur ce sujet.

.

Rêver de bois sculpté, symbolise

Spiritualité, énergie vitale du dormeur.

interpretation-reve.fr/dictionnaire-reve-B/bois.

 .

.

 Corrélation

Fond/forme 

 .

Fendre le sexe, fendre le cœur,

Fendre l’âme … fendre l’armure :

Il n y a rien de plus bestial  ou pur,

Qui soit une torture  ou un bonheur !

.

Fendre avec une hache, avec les doigts

N’aurait rien d’équivalent, quel que soit

L’objet, la personne, qui en subit le geste.

Il en résultera un dommage ou hommage.

Fendre évoque tantôt, résistance, fragilité,

Et ce qui est fendu méritera d’être défendu !

 .

.

Joindre le geste à la parole

.

Scénario

.

En ce cas, ce geste-là est des plus concrets et des plus explicites.

En ce cas, ces mots-là disent la même chose en toutes les langues.

En ce cas, telle attitude n’est pas de souffrance mais de jouissance.

 .

Visuels et textuels >>

633 – Quand il manque corde à votre arc

Visuels et textuels  >>

.

La corde, l’arc,  la flèche, cible,

L’énergie, précision, fait mouche,

Tout est dit dans cette  métaphore

De l’amour qui soudainement touche

Point sensible … jusqu’à lui succomber

Avant même d’avoir ouvert … la bouche.

.

Mais cela ne marche pas à tous les coups,

Ce serait trop simple et trop conditionné,

Où serait notre libre arbitre,  de décider,

Si la flèche nous atteint, passe par trou,

Si amour est parfois un gruyère éventé

Ou que Cupidon est bien trop pressé,

De nous toucher, se moque de nous

.

Et puis certains ont une carapace,

Fendre l’armure  n’est pas donné,

Aucune flèche ne pourra percer

Quelqu’un qui chasse  en  rapace.

.

Quand il vous manque une corde à votre arc,

Vous ne pouvez  le tendre, décochez  flèches :

Votre bois n’est pas assez souple,  il est rêche

Car vous ne serez pas sûr de prendre marque.

Pour vous introduire, en cœur même de cible,

.

Et y rester planté comme à demeure en place,

Si la cible parfois se tord, bouge… se déplace,

C’est  qu’elle a un cœur, trop fragile, sensible

Cupidon, que l’on sait, d’un amour sans nom,

Tire à bout pourtant à la moindre inclination,

.

Et, il rate, une fois sur deux : il est trop pressé,

S’il  s’occupe  du  suivant, qu’il vient  observer.

Certains ont un carquois, un arc, trois flèches

La nuit et le jour s’en servent comme mèches,

Pour allumer tout feu, là où il devient brûlant,

.

Pour qu’en partant, cible fasse de vous amant.

Mais  il existe de ces flèches, qui rebondissent

Et ne perforent jamais leur cible, les rejettent

Comme si, impénétrable à vos tirs trop précis,

Déjà vous disent adieu ni sans vous dire merci.

.

.

Extension

 .

                    La corde, l’arc, flèche et cible, force, trajectoire :

                    Autant de mots accouplés et qui vont de pair

                    Avec un but à atteindre, la mort ou l’amour,

                    Tout comme deux côtés d’une même pièce

                    Sur laquelle l’amour sera au sens figuré.

                    La cible est vue passive, dans la mort :

                    Celui qui la reçoit ne la voit pas venir

                    Lors elle est vue active, dans l’amour :

                    Celui qui la reçoit, la fait rebondir vers

                    L’archer, pour signifier qu’il l’a acceptée.

                    Métaphore, pour sûr, que ce messager que

                    L’on ne peut plus fort, et, des flèches, comme

                    Celles-là, l’on en espère encore, et … en corps,

                    Jusqu’à la fin de ses jours, la fin de ses amours.

.

Arc, flèche, cible, archer, intention, centre, but, tension, décochage

Tout un vocabulaire, balistique, sportif, mais  souvent  guerrier

Accompagne la corde qui se tend et se détend brusquement

Si la flèche n’atteint pas son but c’est la faute à Zénon

Soutenant que l’évidence des sens est fallacieuse

Et donc que le mouvement est impossible

Ce qui a été résolu en mathématique

Par résultats sur suites infinies

Ceux portant sur l’analyse.

.

Une corde représentera ici, l’adresse au tir.

En tout, même en amour, il faut s’exercer,

Et ce d’autant qu’il n’existe pas de manuel

Expliquant comment toucher à tous coups.

.

Il n’y a que Cupidon, à qui l’on aura attribué,

Un tel talent, hélas… il ne se manifesterait guère

De nos jours où rien n’est plus aussi manipulatoire

Et lors s’adresser à lui n’est pas cibler, crier, victoire.

.

Il n’empêche  qu’on parle du coup de foudre amoureux

Comme de flèche qui vous  frappe, touche en plein cœur

Et qu’on ne pourrait retirer, sans mourir sur le champ

En finissant à bout de souffle et vidé de son sang !

.

.

633 – Calligramme

 .

La corde, l’arc,   M  la flèche, cible,

L’énergie, précisi  A   on, fait mouche,

Tout est dit dans    N   cette  métaphore

De l’amour qui sou   Q   dainement touche

Point sensible … jus  U   qu’à lui succomber

Avant même d’avoir   E   ouvert … la bouche.

.

Mais cela ne marche    C  pas à tous les coups,

Ce serait trop simple    O   et trop conditionné,

Où serait notre libre    R   arbitre,  de décider,

Si la flèche nous atte   D    int, passe par trou,

Si amour est parfois   E     un gruyère éventé,

Ou que Cupidon est    *       bien trop pressé,

De  nous  toucher     À   se moque de nous

  .

Et puis certains      A ont une carapace,

Fendre l’armure     R    n’est pas donné,

Aucune flèche ne    C        pourra percer

Quelqu’un qui chas  *         se  en  rapace.

.

Quand il vous manque une corde à votre arc,

                     Vous ne pouvez le tendre, décochez flèches :

                                            Votre bois n’est pas assez souple, il est rêche >

                       Car vous ne serez pas sûr de prendre marque.

 Pour vous introduire, en cœur même de cible,

.

Et y rester planté comme à demeure en place,

                       Si la cible parfois se tord, bouge… se déplace,

                                            C’est qu’elle a un cœur, trop fragile, sensible >

                       Cupidon, que l’on sait, d’un amour sans nom,

Tire à bout pourtant, à la moindre inclination,

.

Et, il rate, une fois sur deux : il est trop pressé,

                        S’il s’occupe du suivant, qu’il vient observer.

                                             Certains ont un carquois, un arc, trois flèches >

                          La nuit et le jour s’en servent comme mèches,

Pour allumer tout feu, là où il devient brûlant,

.

 Pour qu’en partant la cible fasse de vous amant.

                        Mais il existe de ces flèches, qui rebondissent

                                                 Et ne perforent jamais leur cible, les rejettent >

                             Comme si, impénétrable à vos tirs trop précis,

Déjà vous disent adieu ni sans vous dire merci !

.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

633 4

.

En haut, un bel arc, tendu 

Et en bas, un lot de flèches

Disponibles à cible, tirer

Et jusqu’en plein cœur !

.

Un arc bien tendu avec quatre flèches

ne manquera que choix cible à toucher,

cible sans doute de quel qu’amoureuse,

si fait que forme épouse bien le fond.

.

Sans corde, arc ne peut lancer de flèche,

Atteindre une cible 

Et on aura beau avoir plusieurs flèches :

Paradoxe de Zénon !

.

Symbolique 

 .

                              En tant qu’outil ou instrument,

                              Et non plus seulement en tant que signe,

                              La flèche, symbole pénétration,

                             .

                              La flèche symbolise aussi la pensée,

                              Qui introduit la lumière et l’organe créateur.

                              La flèche est l’objectivation, le choix,

                              .

                              Symbole aussi de la pointe acérée

                              Qui vole pour surprendre et tuer sa victime.

                              Symbolise la mort foudroyante.

.

                             G. Bachelard : vitesse et droiture.

                              Comme celles des dieux, les flèches de l’amour

                              Sont infaillibles, comme  un éclair.

.

Descriptif

 .

633 – Quand il manque corde à votre arc !

Alignement central / Titre droit / Thème  désir

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : flèche    /   Symbole de fond : cible

.

.

Fond

 .

Évocation

.

633 6

Changer l’image ici

.

Sans corde, arc ne peut lancer de flèche,

Atteindre une cible 

Et on aura beau avoir plusieurs flèches :

Paradoxe de Zénon !

.

Symbolique 

 .

L’arc symbolise l’adresse.

En effet, c’est  une  arme qui

Nécessite de la concentration,

Mais  aussi    de  la  force  pour

Atteindre  cible  en  plein cœur.

.

Dans  la  mythologie,  les  flèches

Que   Cupidon  tire  avec  son  arc,

Symbolisent   le  coup   de  foudre.

.

D’ailleurs,  la foudre  reste associée

Aux flèches de l’arc chez les indiens.

En effet, pour ces derniers la flèche

Envoyée par l’arc est comparée à

Un éclair qui perce l’obscurité,

C’est-à-dire l’ignorance.

1001symboles.net/symbole/sens-de-arc.html

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

                           On dit parfois de quelqu’un

                           Ce n’est pas une flèche … celui-là >>>

                           Il ne termine pas vite projet.

                            Et ce qui est vrai au travail

                           L’est encore davantage en amour >>>

                           Remettre est perdre toujours.

                          Quatre éléments interviendront

                          Arc, flèche, cible, en tant qu’objets >>>

                          Le tireur et son adresse autant.

 .

.

Cupidon ou cupide ?

.

Scénario

 .

Une représentation pour le moins bucolique d’un arc et d’un amour.

Gauche ou droite : le tireur peut viser la gauche, atteindre la droite.

Il peut viser, pour s’en approcher, jusqu’à l’atteindre en plein cœur !

.

Visuels et textuels  >>

632 – Un afflux de sang n’est jamais innocent

Visuels et textuels >>

.

Un afflux  de sang  et  qui  monte  aux joues

Les  faisant rosir,  ou  rougir, malgré  soi,

De honte, de gêne,  de désir,  de plaisir,

Parfois plaisant,  souvent  embêtant.

.

S’il est  de sang, n’est pas innocent

Dépend pourquoi, dépend de qui.

Entre femmes  juste  événement,

Avec homme,   c’est déclaration.

.

Afflux de sang augmente encore,

En proportion  d’un corps  à  corps,

Qu’emprunte, qu’affronte, qu’effronte

L’émotion vers la joie,  ou vers la honte,

Lors tel afflux de sang, atteint le cerveau,

Il  est trop tard pour espérer le contrôler.

.

Un afflux de sang n’est, jamais, innocent,

Qu’il soit aux joues  au  ventre ou partout,

Il  en résulte  la cause,  l’effet,  d’émotions,

Que l’on ne contrôlera  et  d’aucune  façon.

.

Celui-ci enflamme bien corps, fille, partout,

La mettant en embarras et cause son tracas,

Comme si, elle  s’avouait  en  être … touchée,

Choquée par ce que vous  avez  dit,  ou  fait !

.

Celui-ci monte aux lèvres, petites  et grandes

Les rosissent sans fards  ni rouges  artificiels,

Lui fait sentir quel qu’antichambre  d’un  ciel

Quand homme, en son sein, l’habite, la hante.

.

Il arrive que ce soit de peur ou voire de honte

Qu’il s’agisse de son front, subissant affronts,

Rougir d’avoir été insulté, parfois malmené

Quand en les yeux s’éteint sa pudeur salie.

.

Un afflux de sang n’est jamais innocent

Surtout pendant l’effort très important

Pour le contrôler, ne pas  s’épancher,

Avant qu’il soit tard pour l’éponger.

.

Allumer, en ses yeux, une  lumière

Qui scintille, sous un flux  de sang

Parvenant à illuminer en cerveau,

Cet arbre de noël   des plus beaux,

Affolant ses  nerfs, et ses  humeurs,

Tout autant sinon plus que son sang

Pour les retrouver comme innocents,

D’interdits partagés venant de tomber.

.

.

Extension

 .

Un afflux de sang ne serait jamais innocent,

En quel qu’endroit du corps qu’il arrive,

Rougir de plaisir après rugir de désir :

Nos sensations, des plus animales

Conditionnent à se sentir bien, mal,

Femelle, mâle, terne, original.

Est-ce mieux d’avoir sang chaud

Que d’avoir du sang-froid.

 .

Le sang chaud démarre

Au quart de tour quand

Le sang-froid demande un temps

À monter en température.

Le sang chaud se doit de garder

Son sang-froid pour ne pas

Partir avant  que l’autre  n’atteigne

Son plateau pour que tous deux

Montent encore ensemble au plus haut.

.

Vasodilatation et vasoconstriction ont racine commune avec vase

Par remplissage ou par gonflement  ou par  conjugaison les deux

Mais pour autant que le sang  afflue  aux joues, ne les gonfle pas,

Il indique seulement fort état émotionnel inconscient qui se voit

Et qui est le fruit d’une certaine timidité maladive, incontrôlée.

Le pire serait de le faire remarquer, provoquant honte ou gène

Et en contrepartie un rejet de celui qui l’a dit,  comme goujat !

.

Le sang étant rouge, dès lors que la peau

Sur les joues se teinte de la même couleur,

De façon innocente, inconsciente, incontrôlée

On peut parier apparition très fortes émotions

.

Il peut aussi bien s’agir  d’une joie très intense,

Que de timidité maladive sous effet de surprise

Ou encore conséquemment à une humiliation,

Culpabilité ou honte suite à une réprimande.

.

Bien qu’ici il s’agirait plutôt d’un amour

Que quelqu’une cherche à dissimuler

Afin de ne pas trahir ses émotions,

De se trouver en vulnérabilité.

.

Comme  quoi  un cœur

Pas  qu’un   muscle :

Est le modérateur

De flux sanguin

Amoureuse

Transie.

.

.

632 – Calligramme 

.

Un afflux  de sang  et  qui  monte  aux joues

Les  faisant rosir,  ou  rougir, malgré  soi,

De honte, de gêne,  de désir,  de plaisir,

Parfois plaisant,  souvent  embêtant.

 S’il est  de sang, n’est pas innocent

Dépend pourquoi, dépend de qui.

Entre femmes  juste  événement,

Avec homme,   c’est déclaration.

Afflux de sang augmente encore,

En proportion d’un corps à corps,

Qu’emprunte, qu’affronte, qu’effronte

L’émotion vers la joie,  ou vers la honte,

Lors tel afflux de sang, atteint le cerveau,

Il  est  trop  tard, pour  espérer  le  contrôler.

.

Un   afflux    de   sang  n’est,    jamais, innocent,

Qu’il soit aux joues      A         J   au ventre partout,

Il en résulte la cause   F                 A   l’effet d’émotions,

Que l’on ne contrôlera  F                       M  et d’aucune façon.

Celui-ci enflamme bien  L                            A  corps, fille, partout,

La mettant en embarras  U                               I   et cause son tracas,

Comme si, elle  s’avouait  X                                 S  en  être … touchée,

Choquée par ce que vous   *                                  *   avez  dit, ou  fait !

Celui-ci monte aux lèvres  D                                I   petites et grandes

Les rosissent sans fard ni  E                              N  rouges artificiels,

Lui fait sentir quel qu’anti *                           N chambre d’un ciel

Quand homme, en son sein S                       O l’habite,  la hante.

Il arrive que ce soit de peur A                 C ou voire de honte,

Qu’il s’agisse de son front    N             E subissant affront,

Rougir d’avoir été  insulté   G       N parfois malmené

Quand en les yeux s’éteint   *  T    sa pudeur salie.

.

Un afflux de sang n’est    jamais innocent

Surtout pendant l’effort très important

Pour le contrôler,  ne pas  s’épancher

Avant qu’il soit tard pour l’éponger

Allumer, en ses yeux, une  lumière

Qui scintille, sous un flux  de sang

Parvenant à illuminer en cerveau,

Cet arbre de noël   des plus beaux,

Affolant  ses  nerfs, et ses  humeurs,

Tout autant sinon plus que     son sang

Pour les retrouver comme         innocents,

D’interdits partagés venant             de tomber.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

632 4

.

Vase ancien, décoré

Peut-être période étrusque

Mais qui est de toute beauté

Avec comme cœur en corps !

 .

Vase ancien, avec ou sans anse

manipulé toujours avec aisance

se comporte comme cœur qui bat,

et évoquera dès lors afflux de sang.

.

Quel  rapport  entre un vase ancien

Et un afflux de sang :

Aucun, bien qu’il ressemblerait un peu

À un cœur qui bat !

  .

Symbolique 

 .

L’assimilation symbolique

Du cœur au vase ancien

Et à la coupe remonterait

Assez  loin  dans le  passé.

Déjà, en ancienne Égypte,

Il serait hiéroglyphe  cœur.

.

En druidisme, existait, aussi

Quelque chose de tel et la coupe

Présentée par la jeune fille à celui

Qu’elle avait choisi, lors du repas

De fiançailles, signifiait très

Clairement don du cœur.

.

Descriptif

 .

632 – Afflux de sang n’est jamais innocent 

Alignement central / Titre analogue / Thème  humeur

Forme courbe / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : vase ancien  / Symbole de fond : cœur

.

.

Fond

.

Évocation 

.

632 6

.

Quel  rapport  entre un vase ancien

Et un afflux de sang :

Aucun, bien qu’il ressemblerait un peu

À un cœur qui bat !

 .

Symbolique 

.

Dans les traditions modernes,

Le cœur  est devenu  le symbole

De  l’amour profane,  de la charité

De l’amour, amitié et de la droiture.

Cœur, l’organe central de l’individu,

Correspondra à la notion de centre.

L’occident en aura fait  le siège des

Sentiments  tandis  que  toutes les

Civilisations  viendront  ajouter

L’intelligence  puis    ’intuition

Tant culture traditionnelle,

Connaissance, n’excluent

Pas toutes  valeurs

Affectives.

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

.

Un vase en forme de cœur

Un cœur en forme de vase :

Il est plus fréquent d’évoquer

Un utérus  en  forme  de vase

Mais le cœur y sera autant,

Vase peut contenir sang 

Qui coule, se répand

Pour quelqu’un,

En vous

Oui

.

.

Guerrier victorieux

.

Scénario

.

Afflux de sang aux joues : signe d’un intérêt sentiment puissant

dont le smiley ne fait aucun doute, aucune cachotterie ni complexe

Ce qui n’est pas le cas de cette charmante femme, l’air un peu timide.

 .

Visuels et textuels >>

631 – Trois états de moi-même, d’elle, de nous

Visuels et textuels  >>

.

Trois états de moi-même, d’elle,

Et   de   nous,

Mais quels sont-ils, clairement,

C’est fou :

États, entre ombre et lumière,

Et en tout

Trois couleurs, pour chacun,

Arc en ciel,

Si on les ajoute font qu’un

Seul et même

Rayon qui nous entoure

D’un prisme

Qui le décompose jour

Ou de source

De notre bel amour

Se  renouvelle !

.

Projection  de  ce,

Qui nous embrasse,

Voire,  nous tracasse,

Parfois,  nous  dépasse,

Mais jamais ne nous lasse.

.

Trois états de moi-même, d’elle et de nous.

Oui mais lesquelles, soit dit entre nous

Le premier, c’est moi-même je l’avoue,

Le second, mon ombre  avant tout,

Le troisième,  ma lumière floue.

.

Et pour elle la même chose,

À ceci près qu’elle est rose,

Sa lumière sur toute chose,

Qui me fait voir, bien bleus,

Le fond, de  ses beaux yeux.

.

Univers en devenant le nôtre,

Que nous partageons, apôtres

Éclairé par les ciels des autres,

Qui nous met à l’ombre,  vautre

Deux corps et esprit, patenôtres.

.

Entre  nos deux ombres, lumières,

Nous éclairant demain comme hier,

D’un amour  dont nous sommes fiers

Lors  voyageant sur notre Terre entière

De moi, elle et puis de nous, d’états tiers.

.

Si en la nuit je te vois comme dans le jour,

C’est  que ta présence  m’entoure toujours,

Toute aussi forte que la chaleur de ton four,

Alimentant sans cesse, sincérité de l’amour,

Qui depuis lors éclaire ombre âme, humour.

.

.

Extension

 .

Trois états

De moi-même

D’elle, de nous !

.

Ce nous  n’est pas

Qu’une … addition,

Pas plus soustraction,

Division, multiplication,

Plutôt projection  de ce qui

Nous embrasse, nous tracasse

Voire bien souvent nous dépasse.

.

Ce jeu d’ombres et lumières,  permet

De jouer  sur divers points de vue, pour

Éclairer portrait changeant avec le temps,

Les événements, les rôles et les contextes

Qui constituent la toile de personnalité

Et le sujet, l’histoire du personnage.

Notre vie privée est dans l’ombre

Et vie publique dans sa lumière.

.

Chacun, chacune a sa part d’ombre et donc le couple aussi

Ce n’est pas qu’une addition, un recouvrement, c’est un récit,

Qui met, en lumière, ce qu’il y a, de commun, de clair, partagé,

Tente de masquer ce qui est du non-dit, du déni, du pas permis.

C’est ainsi que la part d’ombre augmente ou diminue sans cesse,

Selon que l’on est clair, transparente, en confiance avec l’autre,

En un couple, même uni, il y a donc bien trois états d’ombre.

.

Trois états de nous : objet, sujet et une part d’ombre.

.

Objets, sommes éclairés  par la lumière extérieure

 Comme tout autre objet de notre environnement,

 Et l’ombre qu’elle projette en est toute  dérivée ;

.

Sujets, sommes éclairés par lumière intérieure,

De par un principe vital et spirituel, immanent

En sus de notre sensibilité et notre intelligence ;

.

Ombres, nous errons comme fantômes sur Terre

Ne sachant, in fine, à quoi  nous sommes destinés,

Sauf à nous inventer des mythes, croyances, religions.

.

.

631- Calligramme

.

                         Trois états de moi-même, d’elle,

Et   de   nous,

                                 Mais quels sont-ils, clairement,

C’est fou :

                                     États, entre ombre et lumière,

     Et en tout

                                     Trois couleurs, pour chacun,

         Arc en ciel,

                                   Si on les ajoute font qu’un

             Seul et même

                              Rayon qui nous entoure

         D’un prisme

                       Qui le décompose jour

    Ou de source

          De notre bel amour

Se  renouvelle !

.

********************

********************

.

Projection  de  ce,

Qui nous embrasse,

Voire,  nous tracasse,

Parfois,  nous  dépasse,

Mais jamais ne nous lasse.

.

Trois états  É  de moi-même, d’elle et     *  de nous.

Oui mais   T     lesquelles, soit dit   * entre nous

Le premier A   c’est moi-même  *   je l’avoue,

Le second   T  mon ombre  *    avant tout,

Le troisième   S    ma  *    lumière floue.

Et pour elle       *   *     la même chose,

À ceci près         D     qu’elle est rose,

Sa lumière        E   sur toute chose,

Qui me fait       *    voir, bien bleus,

Le fond, de       M   ses beaux yeux.

Univers en de   O    venant le nôtre,

Que nous parta I    geons en apôtre

Éclairé par les    *    ciels, des autres,

Qui nous met à   D    l’ombre et vautre

Deux corps et        ‘      esprit, patenôtre.

Entre nos deux   E om *     bres lumières,

Nous éclairant  L demain  *    comme hier,

D’un amour      L dont nous    *  sommes fiers

Lors  voyage    E  ant sur notre   *   Terre entière

De moi, elle     *     et puis de nous   *   d’états tiers.

Si en la nuit     N    je te vois comme    *    dans le jour,

C’est que ta      O   présence m’entoure     *         toujours,

Toute aussi     U    forte que la chaleur de     *        ton four,

Alimentant     S       sans cesse, sincérité de       *        l’amour,

Qui depuis     *      lors éclaire ombre d’âme         *       humour.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

631 4

.

Euh, je ne vois pas trop :

Peut-être bien l’ombre

D’un adepte de l’Aïkido

En plein exercice !

 .

L’ombre ne met pas tout en pleine lumière

mais si l’on apprend à la décoder, elle éclaire

un geste, posture, intention, voire une activité

tant et s bien que sa forme évoquera son fond.

 .

S’agit-il de moi-même,

Mon ombre ou ma lumière floue ?

En voilà déjà un d’état,

D’un exercice physique mais lequel !

  .

Symbolique 

 .

L’ombre est une partie

De la psyché formée de la part

Individuelle qui ne se connaît pas

Elle-même, et dont l’existence même

Est souvent ignorée. Figurée en de

Nombreuses cultures et mythes

Sous la forme du personnage

Maléfique, patibulaire mais

Néanmoins ayant statut de

Double du héros, représentant le moi,

L’ombre se retrouve également

Dans les rêves, et projections

Psychiques liées souvent

À la peur de l’autre.

Source : Wikipédia

.

Descriptif

.

631- États de moi-même, d’elle, de nous !

Alignement central / Titre analogue / Thème  le corps

Forme conique / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : ombre  / Symbole de fond : exercice

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

S’agit-il de moi-même,

Mon ombre ou ma lumière floue ?

En voilà déjà un d’état,

D’un exercice physique mais lequel !

.

Symbolique

 .

L’exercice physique

Modéré et adapté,

Permet de conserver

Des articulations souples et fonctionnelles.

Elle augmente  notre force,  notre souplesse,

Notre endurance, nos capacités d’adaptation

Résistance physique, mentale et immunitaire

Avec large  accroissement de l’énergie vitale.

.

Une activité équilibre le  système hormonal.

La sécrétion de sérotonine et la régulation

Naturelle de la glycémie sont améliorées.

.

Toutes les fonctions du corps peuvent se

«Dé-fragiliser» grâce aux efforts sportifs,

N’outrepassant certaines limites biologiques.

maloxxx8.wixsite.com/malonaturo/post/activite physique

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

 L’ombre est doublure d’objet sans sa matière

Reflète, d’un seul côté, le manque de lumière

Autant de de couleur mais évoque sa forme

Qu’on devine et qu’on complète : conforme

À ce que l’on attendait comme une partie

Suggère le tout au risque de se tromper.

 .

.

Trois états qui resteront à décoder

.

Scénario 

.

Trois états de moi-même : explicite, dans l’ombre, en lumière floue,

trois états d’elle : sa lumière rose, ses yeux bleus, ses cheveux noirs,

et de nous : proches, distants, absents selon moments, événements !

 .

Visuels et textuels  >>

630 – Je t’imagine par la pensée … présente

Visuels et textuels  >>

.

La présence d’une amie…chère

N’est pas que physique, en chair,

Elle est aussi dans le cœur, l’esprit

Et dans ce je ne sais quoi, qui ravit.

Plan sur la Comète : n’en avons pas :

Nous n’en auront probablement pas,

Lors si j’insistais, tu ne voudrais pas.

Je ne te reproche rien,  reproche pas,

Je ne peux m’empêcher, malgré moi,

De t’imaginer présente par la pensée

Comme fée bienveillante à mes côtés

Faisant que jeu, me mette en émoi !

.

Je t’imagine           par          la pensée

Je t’imagine,         réelle,         habillée,

Je t’imagine,      présente,   à mon côté,

Je t’imagine, nue, défaite,  abandonnée,

Sans que pas une seule fois  vision de toi,

Ne ternisse aura, ne change, ne me déçoit.

Comme si  c’était toujours la  première fois.

Que je  J   te découvre, que   P   je m’aperçois

Que     E   tu ne  m’es  pas      E      indifférente,

Que             tu me serais          N       une amante

Si         T        un déphasage       S          inconstant

Ne          ‘          contrecarrait        E           mes plans.

Car          I               de plan, tu          E                n’en as,

Sauf         M                celui jouer                         au yo-yo,

Je suis       A                 en bas, tu es        P               en haut,

Près de       G                toi jamais dans      R               tes bras.

Il aurait       I                fallu, suffi, peut-        E              être, que

J’insiste       N             je persiste, avec toi,        S              coexiste,

Ou que        E           nous soyons plus assidus       E             aux jeux

Mais,                     je saisis très bien jusqu’où tu       N            résistes,

Qu’il          P         en faut plus pour partir avec toi       T           en piste,

Que        A          vieux tromblon bramant toute son      E          émotion,

Et,         R          qui plus est, n’entonne pas la bonne                 chanson.

.

Comment               se fait-il que longtemps,                  bien plus tard

J’éprouve              encore, ce même sentiment,             très bizarre,

Que rien,          n’est joué, ni perdu, ni gagné,      n’est  trop tard,

Dès lors que          tout cela ne doit plus         rien…au hasard.

.

.

Extension

 .

Je t’imagine, par la pensée,

Mais aucune de mes pensées

Ne peut et ne pourra jamais

Se substituer  à ta présence,

Et plus encore à ton contact

Réel, sensuel, voire charnel.

.

Amoureux, persévérant, obsédé,

Amoureux, je ne serais que la victime ;

Persévérant, je ne serais que constant

Obsédé, je ne penserais qu’à baiser.

.

À toi de voir, à toi de savoir,

À toi de sursoir ou non,

En fonction du degré de mon

Authenticité, je ne changer rien

Au flot des pensées à chaque marée.

.

Comme elle, ses coefficients varient

Ils augmentent dès que je te quitte

Et dès que je vais te revoir bientôt.

Peut-être que prochaine rencontre

Me ramènerait à plus juste raison,

Mais, toujours, lors je pense à toi,

Je laisse flotter mon imagination.

.

La pensée forme une image mentale au plus près de  réalité

Mais par le fait même de l’absence, elle est parfois déformée :

Souvent embellie par l’amour mais défraichie par le désamour.

Parfois elle se cantonne au visage et parfois au corps tout entier

Et elle ne s’embarrasse pas d’habit, elle se projette sur la nudité

Mais entendons-nous bien du cœur, l’esprit, l’âme en premier

C’est sa lumière, et son regard, qui parviennent à l’animer !

.

Par la pensée on peut simuler nombre de formes :

Habillements différents plus ou moins conformes

Désirs, envies, projections, fantasmes : à souhait,

Je te dénude, et te revêts tout comme il me plait !

.

Encore que  la réalité dépasse, parfois, la fiction :

Je ne t’avais jamais imaginé vêtue de cette façon,

Et lors je me dis que ton choix se doit être le bon,

Qu’il correspond intérieur/extérieur à ta passion.

.

.

630 – Calligramme 

 .

La présence d’une amie…chère

N’est pas que physique, en chair,

Elle est aussi dans le cœur, l’esprit

Et dans ce je ne sais quoi, qui ravit.

Plan sur la Comète : n’en avons pas :

Nous n’en auront probablement pas,

Lors si j’insistais, tu ne voudrais pas.

Je ne te reproche rien,  reproche pas,

Je ne peux m’empêcher, malgré moi,

De t’imaginer présente par la pensée

Comme fée bienveillante à mes côtés

Faisant que jeu, me mette en émoi !

Je t’imagine           par          la pensée

Je t’imagine,         réelle,         habillée,

Je t’imagine,      présente,   à mon côté,

Je t’imagine, nue, défaite,  abandonnée,

Sans que pas une seule fois  vision de toi,

Ne ternisse aura, ne change, ne me déçoit.

Comme si  c’était toujours la  première fois.

Que je  J   te découvre, que   P   je m’aperçois

Que     E   tu ne  m’es  pas      E      indifférente,

Que      *       tu me serais          N       une amante

Si         T        un déphasage       S          inconstant

Ne                   contrecarrait        É           mes plans.

Car          I               de plan, tu          E                n’en as,

Sauf         M                celui jouer          *              au yo-yo,

Je suis       A                 en bas, tu es        P               en haut,

Près de       G                toi jamais dans      R               tes bras.

Il aurait       I                fallu, suffi, peut-        É             être, que

J’insiste       N             je persiste, avec toi,         S              coexiste,

Ou que        E           nous soyons plus assidus       E             aux jeux

Mais,           *         je saisis très bien jusqu’où tu       N            résistes,

Qu’il          P         en faut plus pour partir avec toi       T           en piste,

Que         A         vieux tromblon bramant toute son      E          émotion,

Et,         R          qui plus est, n’entonne pas la bonne      *           chanson.

Comment               se fait-il que longtemps,                  bien plus tard

J’éprouve              encore, ce même sentiment,             très bizarre,

Que rien,          n’est joué, ni perdu, ni gagné,      n’est  trop tard,

Dès lors que          tout cela ne doit plus         rien…au hasard.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

 Évocation 

.

630 4

.

Une robe fuchsia qui affiche

Un encrier peut-être

Poivrier  ou   salière,

Mieux une belle robe

Pour étaler son aura.

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Z : le fond s’accorde, ici, à la forme)

.

Une robe, à elle seule, peut bien déjà

dégager, d’emblée, une certaine aura,

mais lors elle est bien portée,  elle aura

une plus forte encore en vue fond/forme

.

Une robe fuchsia qui affiche sa présence,

Se fait remarquer :

Son aura féminine serait comme une

Assurance de sérénité !

 .

Symbolique 

 .

Au début, la robe servait

À tout cacher du corps de la femme,

Pour différentes raisons, mais surtout

Pour la réalité de sa nudité, par pudeur :

Plus les tissus sont élaborés

Et plus leur beauté

Peut s’exprimer.

Après la Renaissance,

Le nu, magnifié, s’entoure

De prestige mais au quotidien,

Des parties du corps sont considérées

Comme vulgaires, il est indispensable

De les cacher,  or,  en les dissimulant,

On construit  projections imaginaires

Autour de leur réalité cachée comme

Un mystère demandant à se révéler.

.

.

Fond

Évocation

.

630 6

.

Une robe fuchsia qui affiche sa présence,

Se fait remarquer :

Son aura féminine serait comme une

Assurance de sérénité !

 .

Symbolique

.

L’aura désigne la lumière

Entourant tête êtres solaires,

C’est à dire doué de lumière divine.

Cette lumière est auréole pour la tête,

Auréole  pour  le corps : l’aura  est

Comparable à nuée lumineuse :

Ses colorations sont diverses.

.

La lumière est

Signe de sacralisation.

L’auréole est manifestée par

Rayonnement autour du visage

Parfois  du corps, en  sa  totalité.

L’auréole  est   parmi  procédés

Pour valoriser un personnage

En ce qu’il a de plus noble.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Une robe sert d’interface entre le corps

Qui se nichera parfaitement à l’intérieur

Et qui lui donnera qui sait, certaine aura

Et l’âme ou dans tous cas, son apparence

Qui se diffuse comme lumière extérieure :

On a impression qu’au milieu de la foule,

Sa présence s’impose en halo de couleur

Grisant les autres, inconnus d’ailleurs.

C’est ainsi que magie opère en pensée

Pour rapprocher délire et réalité.

.

 .

.

L’aura, l’auras pas !

.

Scénario 

.

La présence est une aura intérieure qui vous envahira tout entier

elle prendra  la forme que vous désirez,  forme que vous aimez,

elle s’anime, est comme vivante, virevoltante, et à vos côtés.

.

Visuels et textuels  >>

629 – Il y a de la rondeur et de la souplesse

Visuels et textuels  >>

.

Rondeurs des courbes,

Souplesse du mouvement,

Douceur des élans  du cœur,

Chansons d’âme, de bonheurs,

Font que ta grâce, et ta légèreté,

Expriment pleinement féminité,

Dans  tes  sourires  accueillants,

En souci de mari et des enfants.

.

Ton écoute  console, plus  d’un,

Plus d’une qui, à toi, se confie,

La lumière, de ton âme, ravit

Celui qui t’aborde, chagrin.

.

J’aimerais avoir un caractère

Enjoué, disponible, comme toi,

Ronde, souple, ta manière d’être

Fait de toi meilleure amie qui soit

Il y a de la rondeur, de la souplesse,

En toi ton corps, ton esprit, caractère

En autant  de réservoirs de tendresses,

Remplis d’humeurs  de ton être, en air.

.

En  airs  de  sourire  à la vie  aux  amis,

Les consolant d’être,  parfois,  esseulés,

Par suite  de quelques-uns  fréquentés,

Ne m’apportant pas  une paix établie !

.

Il y a de la douceur et de la profondeur

Dans ta voix résonne comme un chœur

Pour celui qui écoute, qui la comprend

En mélodie secrète issue de ton chant.

.

Le chant de ton âme qui, cachée

Pour ceux  que  tu aimes, révélée

Transparente  lors  dans lumière,

En brillance en couleur primaire.

.

Une prière à tes enfants, heureux,

Une prière  à ton mari amoureux,

Une prière  à tes choix, chanceux,

Une prière à tes amis, affectueux.

.

Ta façon de bouger, ta silhouette,

Et de marcher, d’un pas très léger,

Expriment en toi grâce et légèreté,

Dynamisant le tréfonds de ton être.

.

Je m’étonne encore que ta féminité,

Suite à enfants nés, n’ait pas changé,

Bien qu’elle se voile, sous la mère,

Faisant, séduction, deuil sévère.

.

.

Extensions

Rondeur, douceur, profondeur :

C’est là tout ce que l’homme,

Carré, brutal, superficiel,

Attend d’une femme,

Pour l’équilibrer !

.

Une mère en quelque sorte,

Attentive, compréhensive, défensive.

Ce qui n’est pas étonnant si elle l’est déjà,

Mère de ses propres enfants et rayonne de joie,

À s’occuper d’eux, certains évoqueraient davantage,

Repos du guerrier allusion semblant être d’un autre âge

Où l’homme avait, sinon le beau rôle, bon droit pour lui.

«Autres temps, autres mœurs» comme dirait Cicéron

Rond comme longueur,   carré comme largeur,

Tant,  de mettre  un rond,  dans  un  carré

Ou de mettre un carré dans un rond,

Ne donne pas même effet visuel,

Sémantique, métaphorique

Allez savoir pourquoi !

 .

Rondeurs ne veut pas forcément dire «très bien en chair»

 Suggèrent des formes féminines harmonieuses, au contraire

Et une manière d’être, de bouger  et de se déplacer dans l’air

Qui lui donnera beaucoup de souplesse  et un peu de mystère.

Voilà qui est, qui me plait : en résumé, un peu  mais pas trop

Certains pourraient  y voir une image réductrice, voir sexiste

Mais je le répète cela n’engage que moi, chacun peut plaire.

.

Rondeurs riment avec chaleur du corps et du cœur

Autant que courbures, qu’équilibres, qu’harmonies !

Rondeurs rime avec ce que l’on dit, avec état d’esprit,

L’on agit avec prudence, respect de l’autre, diplomatie,

On prend fond tel qu’il est : on y met formes amorties,

Autant au salon qu’en cuisine, même y compris au lit

Et c’est ainsi qu’advient, le désir, le plaisir, bonheur.

.

La rondeur, la souplesse, sont comme deux sœurs :

L’une ne va pas sans l’autre : agissent de concert,

Pour que le carré ne l’absorbe comme … dessert,

En face de dure terre, elle réagit en douce mer,

Comme face au strict père, en aimante mère,

Pour ce qui est d’éducation d’enfant, colère,

Et ainsi, advient, le désir, plaisir, bonheur.

.

.

629 – Calligramme  

 .

Rondeurs des courbes,

Souplesse du mouvement,

Douceur  des élans  du cœur,

Chansons * d’âme, de bonheurs,

Font que ta  I  grâce, et ta légèreté,

Expriment plei L   nement  féminité,

Dans tes sourires    *      accueillants,

En souci de mari et  Y  des enfants.

Ton écoute  console,  *  plus  d’un,

Plus d’une qui, à toi  A se confie,

La lumière de ton âme  *  ravit

Celui qui t’aborde, chagrin.

.

J’aimerais avoir un caractère

Enjoué, disponible, comme toi,

Ronde, souple, ta manière d’être

Fait de toi meilleure amie qui soit

Il y a de la rondeur, de la souplesse,

En toi ton corps, ton esprit, caractère

En autant  de réservoirs  de tendresses,

Remplis des humeurs  de ton être, en air.

En airs de sourire     à la vie aux     *       amis,

Les consolant       d’être parfois      D     esseulés,

Par suite de        quelques-uns     E        fréquentés,

Ne m’ap            portant pas une   *           paix établie !

Il y a de             la douceur et      L       de la profondeur

Dans ta             voix résonne    A         comme un chœur

Pour celui         qui écoute     *             et qui la comprend

La mélodie        secrète     R                issue de ton chant.

Le chant de        ton       O          âme qui,       E    cachée

Pour ceux          que    N          tu aimes,       T     révélée

Transparente          D            lors dans        *     lumière,

En brillance         E          en couleur      S    primaire.

Une prière         U        à tes enfants   O      heureux,

Une prière       R       à ton mari     U     amoureux

Une prière             à tes choix     P      chanceux,

Une prière          à tes amis    L     affectueux.

Ta façon de bouger, ta        E      silhouette,

Et de marcher, d’un pas   S       très léger,

Expriment en toi grâce   S    et légèreté,

Dynamisant le tréfonds  E   de ton être

Je m’étonne encore  que * ta féminité,

Suite à enfants nés, n’ait pas changé,

Bien qu’elle se voile,      sous la mère,

Faisant, de séduction, le deuil sévère.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

629 4

.

La rondeur  autant

Qu’en  un vase  ou  en

Un flacon de parfum

Et si ce n’est, de femme.

.

Un flacon de parfum n’est pas

toujours rond, et loin s’en faut,

mais le parfum l’est plus souvent

ainsi le fond évoquerait la forme.

.

Sur l’extérieur de ce flacon,

Une fille  toute en rondeur :

Ferait sentir à un garçon

Un parfum d’intérieur.

 .

 Symbolique 

 .

Le rond est évocateur de douceur et d’unité,

Révèle la tendresse typiquement féminine

Et a tendance  à rassembler les hommes.

Mais lorsqu’il sera associé à la femme,

Il incarnerait également la fécondité.

En ce sens, le cercle évoque le ventre

Rond d’une mère et donc de la vie.

Vous l’aurez compris, un flacon

À la silhouette arrondie aura

Tendance à connoter

Une image très positive.

tendance-parfums.com/parfum-

femme/choisir-un-parfum/flacon

 .

Descriptif

 .

629 – Il y a de la rondeur et souplesse

Alignement central / Titre oblique / Thème apparence

Forme ovale  /  Rimes égales  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : flacon  / Symbole de fond : parfum

.

.

Fond

 .

Évocation

.629 6

.

Sur l’extérieur de ce flacon,

Une fille toute en rondeur :

Ferait sentir à un garçon

Un parfum d’intérieur.

 .

Symbolique 

 .

Les phéromones,

Sont des combinaisons

De molécules complexes

Provenant  de produits  de

Sécrétion glands spécialisée.

La  palme  d’or  des  parfums

Revient jusqu’ici au Chanel n° 5

Qui rend les femmes irrésistibles

Grâce à son musc naturel, allié à

Des essences subtiles, demeurées

Secrètes, aujourd’hui, ce parfum

Aurait perdu sa principale vertu

Car il  ne  serait  plus  composé

Comme autrefois de matières

Premières  naturelles mais

Molécules synthétiques.

sciences-et-magie.com

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il existe bien des flacons carrés

Mais la plupart  seront plutôt ronds

Le rond, comme on sait, est côté féminin,

Le rond, comme chacun sait, plait au masculin

Le rond  évoquera plus la souplesse que  le carré,

Ne dit-on pas, de quelqu’un de carré : qu’il est dur.

 .

.

Rondeur et souplesse

.

Scénario

 .

Il y a de la rondeur dans tes épaules, dans ton dos, ta posture,

 et quand tu l’allonge dans l’herbe à te rouler dans les fleurs,

 plus encore dans ton regard qui m’enveloppe tout entier.

 .

Visuels et textuels  >>

628 – Quand je te regarde : je t’imagine !

Visuels et textuels  >>

.

Regarder une bonne amie

C’est à la fois se rapprocher

Et tout à la fois se distancier

À défaut d’intimité  physique.

.

Pas d’ambiguïtés pour le désir,

Rien que  pur instant de plaisir,

D’être   ensemble, et  d’en   jouir,

Et copain et copine …  pour finir.

Éclats, de rire, et    éclats, de voix,

Sont tous des  éclats d’existence».

.

Passer d’amitié  à amour passion,

Reste, toujours, secrète tentation,

À en souffrir parfois de n’être pas

L’élu qu’elle cajolera en ses bras.

.

Quand je te regarde, je t’imagine

Et quand je t’imagine, je te vois,

C’est comme cela à chaque fois,

À présent que tu es ma copine.

.

Il arrive que ma raison vacille

Et me dise, tu es gentille fille,

Puis, mes yeux,  se décillent :

Rien que fantôme,  coquille !

.

J’écoute  ta voix : pur délice,

Chantante et d’accent coloré,

Lors moi, te parler : supplice,

Pour trouver le mot «aimer».

.

Je sais, je suis un bel imbécile,

Que de croire cette chose facile

Plus un crétin doublé d’un idiot

Que d’écrire aujourd’hui ce mot.

.

Ça soulage, le cœur, la conscience

Mais cela augmentera ta défiance,

Comprenant, en bonne intelligence,

Que statu quo garde bonne distance.

.

Entre nous, au-delà d’attraits… désirs

Nous restons en contact,  à en souffrir,

Sans avoir moindre occasion du plaisir,

Que la chair peut donner à … s’évanouir.

.

J’écris, je crie, je n’en aurai … jamais fini,

D’espérer, qu’un jour, nous soyons  réunis,

Par un beau projet et qui nous tient à cœur

Qui deviendrait le début d’un vrai bonheur !

.

.

Extension

 .

Quand je te regarde, je t’imagine :

Toute une série de portraits

Passent devant mes yeux

Avec  tes expressions  qui

N’appartiendraient qu’à toi,

Mais que moi et moi seul je vois.

.

Lors, j’entends, par intermittences,

Tes cris, ou  tes rires, en  abondance,

Soupirs, comme  autant  résonnances,

Si ce n’est tes murmures  à mes oreilles,

Qui me gratifieront de leurs espérances.

.

Me remémore instants passés avec toi,

À faire les fous, à faire un peu tout

Ce qui nous passait par la tête,

Nous procurait un air de fête,

Avec des tonnes de chansons bêtes.

.

Et puis, surtout, quand tout s’arrête,

Lors fête est finie, je me suis vidé la tête

Mais je l’ai remplie de toi pour un jour

Deux, trois, une semaine,  jusqu’à

La prochaine fois où je te vois.

.

L’imagination, comme chacun sait, est la folle du logis

Mais au sujet  d’une fille qu’on aime, elle est plus ravie,

Que ce soit pour partager écriture empreinte de poésie,

Pour examiner au microscope, les secrets de la biologie,

Pour une autre activité  et qui, par passion, nous réunit.

On peut projeter n’importe quoi, sur l’être que l’on aime

Sauf des pensées ou des actes qui l’humilie ou le sacrifie.

.

On ne regarde sa chérie,

Qu’avec les yeux du corps transi,

Les yeux du cœur et de l’esprit, aussi.

.

On ne regarde ce qu’elle est, elle fait,  dit :

On regarde l’ensemble comme une holographie,

Et on gomme ses défauts autant par-là que par-ci.

.

Si fait que les fantasmes, les désirs, les imaginaires,

Iront  plus loin, plus haut, que de s’envoyer  en l’air,

Même si cela conserve toute chose, extraordinaire.

.

Quand je t’imagine, je te regarde les yeux fermés

J’imprime ton portrait sur intérieur paupières

Comme si tu demeurais présente face à moi.

.

.

628 – Calligramme

.

Regarder une bonne amie

C’est à la fois se rapprocher

Et tout à la fois se distancier

À défaut d’intimité  physique.

Pas d’ambiguïtés pour le désir,

Rien que  pur instant de plaisir,

D’être   ensemble, et  d’en   jouir,

Et copain et copine …  pour finir.

Éclats, de rire, et    éclats, de voix,

Sont tous des  éclats d’existence».

.

J E    T  E     R  E  G  A  R  D  E,

Passer d’amitié  à amour passion,

Reste, toujours, secrète tentation,

À en souffrir parfois de n’être pas

L’élu qu’elle cajolera en ses bras.

.

Quand je te regarde, je t’imagine

Et quand je t’imagine, je te vois,

C’est comme cela à chaque fois,

À présent que tu es ma copine.

.

Il arrive que ma raison vacille

Et me dise, tu es gentille fille,

Puis, mes yeux,  se décillent :

Rien que fantôme,  coquille !

.

J  E      T ’ I M  A  G I N E, 

J’écoute  ta voix : pur délice,

Chantante et d’accent coloré,

Lors moi, te parler : supplice,

Pour trouver le mot «aimer».

.

Je sais, je suis un bel imbécile,

Que de croire cette chose facile

Plus un crétin doublé d’un idiot

Que d’écrire aujourd’hui ce mot.

.

Ça soulage, le cœur, la conscience

Mais cela augmentera ta défiance,

Comprenant, en bonne intelligence,

Que statu quo garde bonne distance.

.

C  O M  M  E      U N E      A M I E !

Entre nous, au-delà d’attraits… désirs

Nous restons en contact,  à en souffrir,

Sans avoir moindre occasion du plaisir,

Que la chair peut donner à … s’évanouir.

.

J’écris, je crie, je n’en aurai … jamais fini,

D’espérer, qu’un jour, nous soyons  réunis,

Par un beau projet et qui nous tient à cœur

Qui deviendrait le début d’un vrai bonheur !

.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

628 4

.

Colonne de sustentation

Ou empilement de livres

Peut-être une bombarde

Avec un garçon musicien

.

Bombarde, et air, et tempo

De musicien  et  d’imagination,

Qui galope pour créer nombreux

Scénarios, amoureux, gratuits !

  .

Symbolique

 .

Connues dès

La plus haute antiquité

Moyen âge,  la cornemuse

Et la bombarde ont très vite

Pris racine dans les pays bretons.

Au gré  des  évolutions  techniques,

Modes musicales, pressions sociales,

Et des grands évènements historiques,

Le couple bombarde-biniou  est  devenu,

Par excellence  l’expression d’une certaine

Culture populaire. Une culture qui puisera

Sa force dans la tradition orale, rayonnant

Des cours de ferme au cœur des bourgs,

Des grèves à la lande, de la

Basse Bretagne à toute la péninsule.

mesgenealogies.blogspot.com/2013/07/la-bombarde.

.

Descriptif

 .

628 – Je te regarde, je t’imagine amie !

Alignement central / Titre absent / Thème humeur

Forme ovale  /  Rimes égales  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : bombarde  / Symbole de fond : musicien

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

628 6

.

Bombarde, et air, et tempo

De musicien et d’imagination,

Qui galope pour créer nombreux

Scénarios, amoureux, gratuits.

 .

Symbolique 

 .

Créé en 1985, le Festival

De Kleg-Bombarde & Cie

Sera  devenu  le  symbole

Des  musiciens  bretons,

Résolument contemporains

Et très ouverts  sur le Monde.

.

Car la bombarde aurait nombre

De cousines partout sur la planète,

Et toutes se retrouveront de nouveau

En famille à Cléguérec (près de Pontivy)

Letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?

 .

.

Corrélation

Fond/forme 

 .

Bombarde provient du latin bombus

Signifiant  bourdonnement, bruit sourd

Il projette tellement de sons forts, même

Quelqu’un, de sourd,  l’entendrait de loin.

 .

Le son peut être joyeux ou mélancolique,

Passant de l’un à l’autre, comme usage

Comme pour amie tendre et espiègle.

 .

Elle peut être joué en solo ou couple

Avec une cornemuse ou un biniou

Tout comme  un  bagad entier

.

.

Je t’imagine lire des poèmes

.

Scénario

 .

Quand je te regarde, je t’imagine en train d’écrire une poésie,

que je lirai peut-être, un jour, dans un grand livre … ouvert,

sur les voyages, l’amour, sentiments, sciences, philosophie.

 .

Visuels et textuels  >>

627 – La femme qui se bat pour sauver son couple

Visuels et textuels  >>

.

Pour sauver son couple…femme se bat,

Lors homme le fait pour l’abandonner,

L’un veut continuer, mais l’autre, pas,

Divorce quelque part est déjà décidé.

.

Séduire est art qu’elle connait aussi,

Elle se met en chemin, d’y parvenir

Plus qu’attentive, à lui,  à le servir,

Tant à la cuisine qu’en salon et lit.

.

Elle se refait une beauté ou vertu,

Offrant une image, d’elle, rénovée

Mais lui demeure très indifférent,

À peine si changement, remarqué.

.

Fantôme à ses côtés pourrait partir

Sans qu’il s’en aperçoive longtemps,

Elle joue le tout pour le tout : sexuée,

Et il revient vers elle, tout amouraché !

.

Femme qui se bat pour sauver son couple

Et qui pour ce faire, entière, s’accouple

À celui pour lequel, elle se désespère,

De le perdre, à jamais, qu’elle erre,

Jusqu’à la fin de ses jours, amère

De n’avoir pas répondu à prière

De l’aimer, comme il désirait.

.

Bien, qu’en tout, imparfaite,

Elle sera de beauté suprême,

Et en nombre points, extrême :

En nudité totale, nudité conjugale

Elle rétablira ce lien, des plus nuptial,

Qui vous ont établi en un régime marital.

.

Femme qui se bat pour sauver son couple

Donnera à homme, image d’elle, rénovée

Par un supplément d’âme, authenticité,

Elle ne peut que le séduire, l’emporter

Face aux griefs qu’il aura accumulé

Sur elle afin de pouvoir la quitter

Sans s’en vouloir, culpabiliser,

Voilà le moment de l’avouer :

.

Elle n’en peut plus d’exister,

Comme fantôme, à ses côtés,

Et elle ferait mieux de se tirer,

Que vivre cela  encore une année,

Rien qu’à me sentir et savoir frustrée

Vexée, humiliée d’indifférence affichée,

Elle ne pourra instamment que se retirer.

.

La belle a senti boulet  siffler à ses oreilles :

Elle ne peut se permettre séparation pareille

Sans se perdre, à jamais, en un flot d’amants

Qui ne la satisferont, sans liens permanents,

Il n’y a pas de bon, ou de mauvais contrat,

Il y a juste celui que l’on respecte, ou pas,

Quoi qu’il arrive, quoique soit faux pas,

Faut trouver terme qu’on renégociera.

.

.

Extensions

 .

Deux tambours, avez-vous dit, deux battements de cœurs

Parfois il arrive que  l’un ne résonne plus et se rend muet,

Ou qu’il ne bat plus à la même fréquence, même rapidité !

Il faut les réaccorder, en les resserrant, et tant qu’il le faut,

Il ne s’agit pas de corde vibrante : de peau tannée, sensible.

Des fois, on y arrive, ça repart, des fois l’on n’y parvient plus

Lors on voit  la femme tendre ses bras à l’homme qui craque.

.

Conquérir le cœur d’un homme une fois

Ne suffit pas, pour assurer durée d’union,

Une fois que s’étiole nouveauté de passion,

La routine prend le pouvoir et nul ne la bat !

.

Reconquérir devient lors injonction salvatrice

Pour ne pas se laisser aller à l’envie de divorcer

Ne pas l’avoir tenté, sera comme être désabusé,

Dès la première grosse tempête émancipatrice !

.

Ce n’est pas simple de mettre bouchées doubles,

Là où tout semblait couler de source auparavant

Mais c’est bonne façon  de raccorder leur couple,

De se retrouver en amante attachée à son amant.

.

.

627 – Calligramme

 .

Pour sauver son couple…femme se bat,

Lors homme le fait pour l’abandonner,

L’un veut continuer, mais l’autre, pas,

Divorce quelque part est déjà décidé.

Séduire est art qu’elle connait aussi,

Elle se met en chemin, d’y parvenir

Plus qu’attentive, à lui,  à le servir,

Tant à la cuisine qu’en salon et lit.

.

Elle se refait une beauté ou vertu,

Offrant une image, d’elle, rénovée

Mais lui demeure très indifférent,

À peine si changement, remarqué.

Fantôme à ses côtés pourrait partir

Sans qu’il s’en aperçoive longtemps,

Elle joue le tout pour le tout : sexuée,

Et il revient vers elle, tout amouraché !

FEMME QUI

Femme qui se bat pour sauver son couple

Et qui pour ce faire, entière, s’accouple

À celui pour lequel, elle se désespère,

De le perdre, à jamais, qu’elle erre,

Jusqu’à la fin de ses jours, amère

De n’avoir pas répondu à prière

De l’aimer, comme il désirait.

SE BAT POUR

Bien, qu’en tout, imparfaite,

Elle sera de beauté suprême,

Et en nombre points, extrême :

En nudité totale, nudité conjugale

Elle rétablira ce lien, des plus nuptial,

Qui vous ont établi en un régime marital.

SAUVER COUPLE 

Femme qui se bat pour sauver son couple

Donnera à homme, image d’elle, rénovée

Par un supplément d’âme, authenticité,

Elle ne peut que le séduire, l’emporter

Face aux griefs qu’il aura accumulé

Sur elle afin de pouvoir la quitter

Sans s’en vouloir, culpabiliser,

Voilà le moment de l’avouer :

.

Elle n’en peut plus d’exister,

Comme fantôme, à ses côtés,

Et elle ferait mieux de se tirer,

Que vivre cela encore une année,

Rien qu’à me sentir et savoir frustrée

Vexée, humiliée d’indifférence affichée,

Elle ne pourra instamment que se retirer.

La belle a senti boulet  siffler à ses oreilles :

Elle ne peut se permettre séparation pareille

Sans se perdre, à jamais, en un flot d’amants

Qui ne la satisferont, sans liens permanents,

Il n’y a pas de bon, ou de mauvais contrat,

Il y a juste celui que l’on respecte, ou pas,

Quoi qu’il arrive, quoique soit faux pas,

Faut trouver terme qu’on renégociera.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

627 4

.

Ou deux tabourets,

Montés l’un sur l’autre,

Ou bien deux tambours 

Communiquant entre eux

.

L’on aura envie de dire que les tambours

Resteront silencieux :

En réalité, ils communiquent, mais par

L’intérieur, lors couplés !

  .

Symbolique 

 .

Le tambour

Est un instrument

De musique à percussion.

Le battement d’un tambour

Évoque les rythmes de la vie,

Symbolise battement de cœur

De la Terre.

.

Aussi, sa régularité  agirait

Comme un vecteur d’ondes

Permettant aux chamans

D’entrer dans de vrais

États de la transe

Thérapeutique

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-tambour.html

.

Descriptif

 .

627 – Femme se bat pour sauver couple 

Alignement central / Titre absent / Thème couple

Forme ovale  /  Rimes égales  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : tambour  / Symbole de fond : communicant

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

627 6

.

L’on aura envie de dire que les tambours

Resteront silencieux :

En réalité, ils communiquent, mais par

L’intérieur, lors couplés !

 .

Symbolique

 .

La communication

Vue comme un système complexe

Concerne tout ce qui se passe lorsque

Des individus entrent en interaction.

Les processus cognitifs,  puis affectifs

Et inconscients  sont pris  en compte.

Dans cette optique,  les informations

Transmises sont toujours multiples.

La transmission des informations

N’est qu’une partie du processus

 Communication, participants

Traitent plusieurs niveaux

De sens simultanément.

Wikipédia : communication

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Battements tambours attirent l’attention

Autant sur ce qui va, que ce qui ne va pas,

Mais de battre le tambour dans un couple

Signifie bien que des conflits sont majeurs

Et nullement résolus et devenus embêtants.

.

Le tout est de battre le tambour  en rythme

Ensemble ou séparément pour se répondre,

Pouvant dialoguer  comme tout instrument.

.

Il y a autant : « tambour et cœur battant »

Si l’on sent que l’autre est devenu écoutant

Bien rythmé, tambour devient envoutant.

 .

.

Ne peut le lâcher d’un pouce

.

Scénario

.

Visiblement ça ne va plus très fort entre eux, dans ce couple,

une ombre s’est glissée sur eux, pour les rendre invisibles,

mais femme, séductrice, elle n’a pas dit son dernier mot.

 .

Visuels et textuels  >>

626 – Je doute de tout, même de moi, pas de toi

Visuels et textuels >>

.

Le  doute  reste  inhérent

À  la conscience  de tout :

Ce qui change,  est erroné

Et ce depuis que je suis né.

.

Ancien candide vite déniaisé

Qui n’a pas peur…de la vérité

Même si celle-ci… fait souffrir

Même si je n’ai force  d’en rire.

.

Aussi, je  ne  doute  point, de toi,

Non  sur  ton  infidélité  conjugale

Qui ne  peut être que  … passagère,

Mais sur long terme de notre union,

Fondant notre liberté, notre passion,

Pouvant se renouveler et ce, d’autant,

Que l’on souhaite, afin la voir renaitre.

.

Je doute  de tout,  moi,  mais  pas de toi,

Je t’ai fait confiance,  je n’ai plus le choix

De revenir en arrière, arrête, douter de toi.

.

De ta liberté d’aimer, j’ai fixé la ligne rouge,

Faut bien que tu t’aventures si monde bouge

Mais pas au point de confondre sexe et gouge.

.

Si une passion d’amour ne durera qu’un temps

Alors, on pourra la renouveler, et  cela d’autant,

Qu’on transforme ami en mari, sinon en amant.

.

Tant rien, ne serait pire, que devenir indifférent,

Au sort du conjoint en niant tous son sentiment,

Le transformant en désert ou muraille du néant.

.

Si haut que nous pourrions montés firmament,

Si bas, nous serons tombés en un enfer béant,

Fera renaitre ou durer l’amour en l’espérant.

.

C’est en doutant qu’on en fait tout un plat,

C’est en doutant qu’on remet tout à plat,

Et en doutant, à deux, qu’on repartira.

.

Négociant autre contrat qui durera,

Doute, fondateur du couple, sera,

Et  une  plus  longue  durée  fera.

.

.

Extension

.

Le doute peut être autant créatif que destructif,

Il agit comme filtre avant de prendre la décision,

Il mettra un écran de raison sur une folle passion,

Et permettra, une fois décidé, de se rendre jouissif.

Le doute vous dit : vous pouvez y arriver, et, réaliser

Vous n’y êtes pas encore, ce n’était autre qu’une étape

Je reste encore ouvert sur mes doutes, mes certitudes !

.

Quand même étrange que douter de soi, autant,

Et pas de son conjoint,

Comme  quand on a confié gestion de son argent

Au titulaire compte joint

.

Cela dit, s’appuyer sur l’autre et réciproquement,

Est loi de vie communautaire

Deux se mettent à douter : tout devient arbitraire

Décision prise involontairement.

.

Il en est de même pour l’amour que pour l’argent,

En vue de le gérer consensuellement,

Si on commence à douter de soi, confiance s’en va

Lors le doute, rien qu’à lui seul, la pourrira.

.

.

626 – Calligramme

 .

         JE DOUTE DE TOUT,

         Le  doute  reste  inhérent

       À  la conscience  de tout :

    Ce qui change,  est erroné

   Et ce depuis que je suis né.

.

Ancien candide vite déniaisé

Qui n’a pas peur…de la vérité

Même si celle-ci… fait souffrir

Même si je n’ai force  d’en rire.

.

Aussi, je  ne  doute  point, de toi,

Non  sur  ton  infidélité  conjugale

Qui ne  peut être que  … passagère,

Mais sur long terme de notre union,

Fondant notre liberté, notre passion,

 Pouvant se renouveler et ce, d’autant,

   Que l’on souhaite, afin la voir renaitre.

.

  V O I R E   M Ê M E    D E     M O I 

     Je doute de tout, moi,  mais pas de toi,

        Je t’ai fait confiance,  je n’ai plus le choix

            De revenir en arrière, arrête, douter de toi.

.

                 De ta liberté d’aimer, j’ai fixé la ligne rouge,

                    Faut bien que tu t’aventures si monde bouge

                        Mais pas au point de confondre sexe et gouge.

.

                          Si une passion d’amour ne durera qu’un temps

                           Alors, on pourra la renouveler, et  cela d’autant,

                           Qu’on transforme ami en mari, sinon en amant.

.

                           Tant rien, ne serait pire, que devenir indifférent,

                          Au sort du conjoint en niant tous son sentiment,

                         Le transformant en désert ou muraille du néant.

.

                      Si haut que nous pourrions montés firmament,

                  Si bas, nous serons tombés en un enfer béant,

               Fera renaitre ou durer l’amour en l’espérant.

.

         M A I S       J A M A I S      D E        T O I  

         C’est en doutant qu’on en fait tout un plat,

      C’est en doutant qu’on remet tout à plat,

   Et en doutant, à deux, qu’on repartira.

.

   Négociant autre contrat qui durera,

Doute, fondateur du couple, sera,

Et  une  plus  longue  durée  fera.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

626 4

.

Méandre d’une rivière,

Menhir un peu de travers,

Silhouette  femme enceinte.

Voire un enfant qui se tortille.

 .

Une femme enceinte, un enfant

vont l’un à l’autre, comme gant,

son ventre en avant, proéminent

font que la forme épouse le fond.

.

Sûr que le doute n’est pas l’apanage

 De la femme enceinte :

Il est plutôt avant, d’aimer et vouloir

 Cet enfant de l’autre ou pas.

.

Symbolique 

.

Pour les gens les plus créatifs,

Rêver  de  femme enceinte

Peut simplement symboliser

Qu’un processus créatif est

Arrivé à un résultat final.

Ce qui est certain est que

Rêver qu’on est enceinte

Est plus que symbolique,

D’un vrai aboutissement,

D’une longue  maturation

Pour atteindre un résultat.

Rêver de grossesse est donc

En quelque chose très positif.

viversum.fr/online-magazine/

rever-d-être-enceinte

.

Descriptif

 .

626 – Je doute de tout, de moi : pas de toi !

Alignement central / Titre absent / Thème enceinte

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : enceinte   /  Symbole de fond : enfant

.

.

Fond

.

Évocation 

.

626 6

Sûr que le doute n’est pas l’apanage

 De la femme enceinte :

Il est plutôt avant, d’aimer et vouloir

 Cet enfant de l’autre ou pas.

.

Symbolique

.

En le vécu de l’enfant,

Sa relation avec ses parents

Environnement est importante.

Comment se mettent en place les

Systèmes de croyances, de ressentis,

Et nos modes de fonctionnement issus

De tout  cet  ensemble  de forces  et qui

Vont représenter notre base des vécus

Somatisations que nous travaillerons

Tout au long d’une longue existence.

Passer de l’enfant qui sait à l’enfant

Qui est puis à l’adulte qui sera à la

Reconquête de l’enfant intérieur.

lessymboles.com/seminaire/lenfant

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Que dire de la femme enceinte

Et que l’on n’ait pas, déjà, dit !

 De là, à en rêver,  il n’y a qu’un

Pas, que certains  franchissent

Et d’autres en font cauchemar

Et en rêver est différent d’être.

On dit  qu’un auteur  accouche

D’une œuvre, peinture, roman

Il s’agit bien là  de conception

Par métaphore et  figuration.

.

On le dit aussi pour quelqu’un

Qui n’arrive pas à bien parler.

En  tous cas, plus  facile  à  dire

Qu’à faire, demandez aux mères.

 .

Je doute de tout, sauf de toi

.

Scénario

.

Quand j’exerce un art, quel qu’il soit, je doute beaucoup de moi.

quand je suis premier, promu, perché, je doute que c’est bien moi.

quand je suis en amour et avec toi, je doute de tout mais pas de toi !

 .

Visuels et textuels >>

625 – Je me dis que c’est heureux que tu sois

Visuels et textuels  >>

.

Être encore en vie

Et en tirer…profit

Sans un handicap

Et, sans  maladies,

Et  avec  économies

Et avec très  bon cap

Bonne retraite, aussi !

 .

Plus malheureux que moi,

Il y en a, des cents, milliers,

Le verre, à moitié vide, plein

Pour qui, il en restera encore,

Qu’importe  tout temps  passé,

Tant seul compte  celui à venir.

 .

Sans parler l’endroit où j’habite,

Lors je me sens, comme  absorbé,

Par ce lieu où j’aurai passé ma vie

Qui demeure  le meilleur  possible,

Pour la terminer,  en toute beauté

À l’admirer, à le peindre, le narrer

Tant que j’ai un bon moral, santé.

 .

Et je me dis que… c’est heureux,

Que tu sois, toujours .…… en vie

Et je me dis, que c’est heureux,

Que tu en tires de bons profits.

.

Et je me dis que c’est heureux,

Que tu n’aies pas  de maladies,

À ton âge, tant de malheureux,

Souffrent, se sentent, démunis.

.

Et je me dis  que c’est heureux,

Parait comme luxe de nos jours

Lors chaque matin les journaux

Nous racontent drame alentour.

.

Et je me dis que … c’est heureux,

De ne rien écouter, que tes folies,

De m’aimer, sans jamais jalouser

Ni de regretter ce que tu as… été.

.

Et je me dis que c’est …. heureux,

Que tu habites, en un calme pays,

Où tu coules des jours tranquilles,

Comme retraité où tout est facile.

.

.

Extension

 .

Ah mais c’est une vraie ritournelle

Que ta chanson du bonheur sur l’air

« Y a  bien  plus  malheureux  que toi ! »

À ce compte-là, en  pays  industrialisé,

Qui ne l’est ou ne le sera pas, heureux.

Le bonheur, comme chacun sait, est

Un concept relatif, dépendant de

Son histoire et de son état,

Ainsi  que  de  sa  culture

Communauté, ses affinités

Notion complexe, en définitive.

.

Enfin, rien n’empêche de se réjouir

Bonheur d’autres sans être jaloux d’eux.

On le fait bien pour ses enfants et sa famille,

Et pourquoi pas pour tous les gens du voisinage !

.

Être en vie suffit parfois à son bonheur, ne serait-ce

Que lorsqu’on a échappé à la mort par accident

Ou que l’on guérit d’une maladie incurable.

Heureux d’être retraité : qui ne l’est pas,

Avec comme perspective : le cimetière ;

Heureux  si l’on dit : il reste encore» ;

Malheureux : «il ne reste plus que !».

.

Parfois notre  bonheur est des plus simples ; celui d’être en vie

En vie et envie se résignent et se confondent comme en poésie !

Et il nous vient souvent le désir de partager, cela, avec des amis

Comme c’est contagieux, les voilà rendus aussi heureux que moi

Ce qui rend encore plus heureux que tout, est de te savoir en vie,

Car mon bonheur sans toi ne serait qu’une farce, qu’une illusion.

.

Être heureux peut être de se satisfaire

De ce qu’on est, de ce qu’on fait, désire,

Plutôt que rêver d’accumuler  des biens,

Et passer tout son temps  à les fructifier.

.

Tout seul,  il reste difficile d’être heureux :

Couple, famille, communauté,  c’est mieux,

Ne serait-ce déjà pour le partager en entier,

Et pour le plus longtemps possible, le garder.

.

De dire : «Plus malheureux que moi, tu meurs »

Donnerait dans l’exagération, voire l’exaspération

On n’empêchera pas, les gens aigris, de se plaindre,

Que leur sort n’est pas glorieux, tant ils sont envieux.

.

.

Épilogue

 .

Je me dis que c’est heureux,

Et, c’est loin d’être vœu pieux,

Que tu sois ceci, que tu sois cela

Quand tout en toi, et en nous, va !

***

D’accord, ce n’est pas, toujours, le cas,

Mais ça revient toujours  au premier pas

Et s’il en est ainsi dans nombre de couples

Le nôtre continuera de rester le plus souple.

***

Surtout  ne  change pas : demeure sans peines,

Ou alors change avec moi sans rien renier de toi

Il ne faut pas que l’un devance l’autre, à la traine,

Je serai encore ta reine, tu seras toujours mon roi.

***

Je bois de l’eau, parfois, du bon vin, jamais d’ivresse,

Ma seule ivresse vient de toi, qui me procure ta liesse,

Nous ne sommes pas malade, ni fatigué, ni handicapé,

Bien qu’ayant dix ans de plus que moi : gardes ta santé.

***

Je sais que tes jours, tout comme les miens, sont comptés

Mais nous les passerons à nous raconter, des plus heureux

Qui soient et dans tous les cas, à chaque jour qu’on le peut,

Et c’est ainsi que nous vieillirons, toujours à … nous aimer.

.

.

625 – Calligramme 

 .

Être encore en vie

Et en tirer…profit

Sans un handicap

Et, sans  maladies,

Et  avec  économies

Et avec très  bon cap

Bonne retraite, aussi !

JE ME DIS

Plus malheureux que moi,

Il y en a, des cents, milliers,

Le verre, à moitié vide, plein

Pour qui, il en restera encore,

Qu’importe  tout temps  passé,

Tant seul compte  celui à venir.

C’EST HEUREUX

Sans parler l’endroit où j’habite,

Lors je me sens, comme  absorbé,

Par ce lieu où j’aurai passé ma vie

Qui demeure  le meilleur  possible,

Pour la terminer,  en toute beauté

À l’admirer, à le peindre, le narrer

Tant que j’ai un bon moral, santé.

QUE TU SOIS… 

Et je me dis que… c’est heureux,

Que tu sois, toujours .…… en vie

Et je me dis, que c’est heureux,

Que tu en tires de bons profits.

.

Et je me dis que c’est heureux,

Que tu n’aies pas  de maladies,

À ton âge, tant de malheureux,

Souffrent, se sentent, démunis.

.

Et je me dis  que c’est heureux,

Parait comme luxe de nos jours

Lors chaque matin les journaux

Nous racontent drame alentour.

.

Et je me dis que … c’est heureux,

De ne rien écouter, que tes folies,

De m’aimer, sans jamais jalouser

Ni de regretter ce que tu as… été.

.

Et je me dis que c’est …. heureux,

Que tu habites, en un calme pays,

Où tu coules des jours tranquilles,

Comme retraité où tout est facile.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

625 4

.

Colonne soutènement

Ou bouteille plastique,

 Contenant  ou  de l’eau 

Ou alcool  pour ivresse

.

Bien qu’ici, il est des plus communs,

Plus naturels puisque eau :

Peu importe le flacon et le contenu,

Pourvu qu’on ait l’ivresse !

.

Symbolique 

.

L’eau, dans les rêves

Est représentative de l’âme

Essence féminine, représente

Ainsi l’origine de la vie  par

Toutes  eaux  placentaires,

La fécondité de la femme

.

Mais aussi la fertilité

De la terre à travers

L’image de la pluie.

.

La psyché féminine

S’identifie ainsi très

Spontanément à l’eau.

.

Elle  est  figurée  dans  les

Images des déesses, nymphes,

Naïades, des sirènes et d’autres.

Source : grandsreves1234.blogspot.com/

2015/08/l’eau-un-symbole-au-féminin

.

Descriptif

 .

625 – Je me dis c’est heureux que tu sois… 

Alignement central / Titre intercalé / Thème humeur

Forme droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme :  eau    /  Symbole de fond : ivresse

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

625 6

.

Bien qu’ici, il est des plus communs,

Plus naturels puisque eau :

Peu importe le flacon et le contenu,

Pourvu qu’on ait l’ivresse !

 .

Symbolique 

 .

Pourvu qu’on ait l’ivresse !

Tour à tour crainte et recherchée,

Symbole de célébration et de déchéance,

L’ébriété  porte  toutes les ambivalences.

.

Si peu de personnes  osent la défendre,

Elle accompagne pourtant l’humanité

Synonyme de désordre, l’ivresse a

Aussi fait l’objet de nombreuses

Tentatives d’encadrement

 Depuis les plus vieux âges:

«Elle est redoutée depuis toujours,

Surtout lorsque ce sont les autres qui sont ivres.

.

Car s’il y a bien une règle que vous pouvez tirer

De l’histoire de l’ivresse, c’est que boire est bien

Quand je le fais, mais terrible quand ce sont

Les autres qui s’y adonnent.»

letemps.ch/societe/pourvu-quon-ait-livresse

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’eau et l’ivresse ne s’accorde pas dans le corps

Mais a contrario, s’accorde parfaitement dessus

Sauf à avoir un handicap ou une grosse maladie,

Tout le monde peut nager en l’amoureuse passion,

De voyager tout partout, étant bien accompagné

En outre, faire la fête dès la moindre occasion.

Et la retraite permet les deux avec bonheur

Pour peu qu’économie d’argent, suive.

.

.

Y a pas plus joyeuse que moi

.

Scénario

.

Je me dis que c’est heureux que tu sois ceci,  heureux, et pas cela.

Je me dis que  c’est heureux  que tu m’accueille  les bras, en croix.

Je me dis que c’est heureux que nous soyons à faire la fête, en joie.

 .

Visuels et textuels  >>

624 – Je me sens revivre, et intensément

Visuels et textuels >>

.

Revivre intensément

Mon énergie décuplée,

Par le simple fait exister,

Par la magie d’être amants.

.

Quelques  instants, ensemble,

Rien  au monde,  ne  ressemble

À  celui  d’avant, terne, décoloré,

Moral dans les chaussettes, arrivé.

.

Alors, quel  prix  pourrais-je  payer,

Pour ces  beaux  instants, d’éternité,

Qui me tiennent en joie, la semaine,

Des jours, mois, voire même année.

.

Aucune drogue n’a une telle vertu,

Il suffit pour moi que tu sois nue

Pour qu’effet en moi s’institue

Hors du temps événement.

.

Je me sens revivre intensément parfois

Tout est au beau fixe, tout est à la joie

En pleine possession  de mes moyens,

Je souris à  la vie qui me le rend bien.

.

Et pour ces instants bonheurs parfaits

Où  je partage, avec toi, notre intimité,

Bien des années  de ma vie, je donnerai

Espérant cela puisse durer une éternité.

.

L’éternité, à ce moment-là, précisément,

Est capturée en cet instant hors du temps

Où nous, seuls au monde, en bulle amants,

Où le ciel nous  accueille en son firmament.

.

Platitude, monotonie habitudes sont honnis,

Quand notre sang bouillonne, nous rajeunit,

Par cet élan tellement fort  qu’il en illumine

Notre cerveau, en arbre de Noël… fulmine.

.

Je me sens revivre, intensément cette fois,

Lors je  te vois nue, bien qu’en l’obscurité,

Que ta présence  fasse contact, la journée,

Qu’âme  et  corps  se sentent   rassasiées !

.

.

Extension

 .

L’intensité et la durée,

L’intensité  en la durée,

L’intensité sans la durée

La durée sans l’intensité :

Cette grammaire d’unions,

Oppositions, décline le fond

De ma pensée et se conjugue

Comme le futur plutôt proche

Qui conditionne  notre  avenir.

De se ressentir  revivre, signifie,

Pour moi,  qu’il y a  des moments

De calme plat où il ne se passe rien,

Où tout va de travers, ou me laisse las,

Je te reçois dans mes bras, et les nuages

Disparaissent, comme par enchantement !

C’est le feu sous la cendre qui revit,

L’eau qui coule à en revendre,

L’air qui souffle, à ne plus s’entendre,

La terre qui se soulève à pourfendre.

La source  d’amour, se  transforme

En ruisseau, en rivière, en fleuve,

En embouchure jusqu’à l’océan.

.

Qu’est-ce cela peut bien vouloir dire : «revivre intensément»

Serait-ce vivre à toute allure des choses ou bien tous à la fois

L’amour, le travail, le loisir,  la spiritualité,  voire  la morale :

Toutes choses de notre vie seraient soumises à cette exigence

D’être intense, fort, coloré, voire incandescent tout le temps.

Mais il nous arrive, parfois, que tout va mal sauf les amours

Et que délaissant tout le reste on se sent vivre intensément :

Ce serait notre part, force de subjectivité, qui nous drogue.

.

L’intensité de la vie est un ressenti

Qui nous est propre, fort subjectif,

On n’aurait pas la même joie aussi

Pour les mêmes faits… admiratifs.

L’un s’extase devant une fille belle,

Et l’autre devant une voiture belle,

En dehors de l’association… sexiste

Aux deux, l’intensité  de vie, existe.

.

On dit que les personnes primaires,

Sont plutôt solaires, autres, lunaires

Mais l’intensité peut être intériorisée

Ce qui mettra tout le monde à égalité.

Et moi, je me sens revivre, intensément,

Quand cœur est en phase avec sentiment,

Me sens léger et comme pousser des ailes,

Quand je suis au lit, près, tout près, d’elle !

.

.

624 –  Calligramme

 .

                            Revivre intensément

                         Mon énergie décuplée,

                      Par le simple fait exister,

                  Par la magie d’être amants

              Quelques  instants, ensemble.

 .

Rien au monde ne ressemble

À celui d’avant    terne, décoloré,

Moral, dans les     chaussettes, arrivé.

Alors,  quel  prix          pourrais-je  payer,

Pour ces  beaux             instants, d’éternité,

Qui me tiennent       *       en joie, la semaine,

Des jours, mois       J      voire même année.

Aucune drogue n’    E      a une telle vertu,

Il suffit pour moi   *     que tu sois nue

Pour qu’effet en  M  moi s’institue

Hors du temps  E  événement.  

.

Je me sens  revivre  * intensément parfois

Tout est au  S  beau fixe, tout  T  est à la joie

En pleine   E    possession de mes  N     moyens,

Je souris   N      à  la  vie  qui  me  le   E  rend bien.

Et pour    S        ces instants bonheurs   M     parfaits

Où   je     *           partage avec toi, notre    É    intimité

Bien des   R            années de ma vie, je       S     donnerai

Espérant    E            cela  puisse  durer        N      l’éternité.

L’éternité     V              à ce moment-là       E    précisément

Est capturée    I              en cet instant      T   hors du temps

Où nous seuls    V           au monde      N   en bulle amants,

Où le ciel nous      R       accueille   I    en son firmament.

Platitude, monotonie   E        * habitudes sont honnis,

Quand notre sang     bouillonne    nous rajeunit,

Par cet élan tellement fort qu’il en illumine

Notre cerveau, arbre de noël  fulmine.

.

Je me sens revivre, intensément cette fois,

Lors je  te vois nue, bien qu’en l’obscurité,

Que ta présence  fasse contact, la journée,

Qu’âme  et  corps  se sentent   rassasiées !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

624 4

.

Encrier avec bouchon,

Ou flacon  pour  parfum,

Un bonhomme  de neige 

Qu’on prend en photographie

 .

Bonhomme de neige, même en photographie

n’est synonyme de ses sentir revivre intensément

mais le fait de le fabriquer y participe cependant

tant et si bien que la forme évoquerait le fond !

.

Avec ce sourire de bonhomme de neige,

La vie devient belle :

Lors il n’y a plus qu’une seule chose à faire,

C’est de le photographier !

  .

Symbolique 

.

Le personnage

Bonhomme de neige

Sculpture de neige compacte

À une apparence humaine,

Dimensions variables.

.

Comme château de sable,

Tout bonhomme de neige

Appartient à catégorie

De l’art éphémère.

.

Il est généralement

Confectionné à l’aide

De deux ou trois boules

De neige de taille variable.

Modifié, Source : Wikipédia

.

Descriptif

 .

624 –  Je me sens revivre, intensément 

Alignement central / Titre en cercle / Thème humeur

Forme anthropo  /  Rimes égales  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : bonhomme-neige /  Symbole de fond : photo 

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

624 6

.

Avec ce sourire de bonhomme de neige,

La vie devient belle :

Lors il n’y a plus qu’une seule chose à faire,

C’est de le photographier !

 .

Symbolique 

.

La photographie a connu

Une utilisation fréquente dès

Son apparition dans la deuxième

Moitié du XIXème siècle, les peintres

Et sculpteurs du symbolisme, s’en servirent

Tout naturellement pour des raisons pratiques.

.

Avec la photographie, plus besoin de poses

Longues et éreintantes durant des heures

Pour les modèles, et aussi la possibilité

De réutiliser la même pose dans

Différents  contextes. Rodin,

Fernand Khnopff ou encore

Mucha s’en servirent abondamment.

neo-symbolisme.over-blog.com/article-34769863.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

On donne toujours au bonhomme de neige,

Un sourire  quelque peu  béat, naïf, enfantin,

Parce qu’il nous évoque une vie d’insouciance

Autour de la neige et de nos batailles de boules

Ce qui reste paradoxal avec son froid glacial,

Est qu’il réchauffe,  tout de même, le cœur

Au point on le prend en photographie

Et voire souvent même en selfie.

.

.

Tout est écrit dessus

.

Scénario

 .

Je saute de joie comme si j’étais, soudain, en apesanteur.

Quatre nuances du même sentiment, d’amours partagés.

Le soleil envahi ma vie de ce jaune champêtre, aimant !

 .

Visuels et textuels >>

.

Visuels  scénario

.

.

Je saute de joie comme si

j’étais, soudain, en apesanteur.

.

.

Quatre nuances du même

sentiment, d’amours partagés.

.

.

Le soleil envahi ma vie de

ce jaune champêtre, aimant !

.

.

Textuel calligramme 

.

  • Revivre intensément, mon énergie décuplée par le simple fait d’exister, par la magie d’être amants. Quelques instants, ensemble : plus rien du monde ne ressemble à celui d’avant, terne, décoloré, le moral, en les chaussettes, arrivé. Lors, quel prix pourrais-je payer pour ces beaux instants d’éternité qui me tiennent en joie la semaine : des jours, mois, voire même année. Aucune drogue n’a une telle vertu, il suffit pour moi que tu sois nue pour qu’effet en moi s’institue hors du temps, d’événement.  Je me sens revivre intensément : parfois tout est au beau fixe, tout est à la joie, en pleine possession de mes moyens, je souris à la vie, qui me le rend bien. Pour ces instants de bonheur parfait où je partage, avec toi, notre intimité, bien des années de ma vie, je donnerais en espérant que cela puisse durer une éternité, un temps suffisant pour ne jamais t’oublier. L’éternité, à ce moment-là, précisément, est capturée dans cet instant, hors temps, où nous sommes seuls au monde, en bulle d’amants, où ciel nous accueille en firmament. Instant où nous nous dépassons nous-mêmes pour convoler. Platitude, monotonie, habitude, sont honnis, quand notre sang bouillonne et nous rajeunit par cet élan, tellement fort, qu’il en illumine notre cerveau comme arbre de Noël qui fulmine. Chaque petit élément de vie est perçu comme un tout, merci. Je me sens revivre plus intensément parfois lors je te vois nue, bien qu’en l’obscurité. Ta présence est contact durant la journée, lors mon âme et mon corps se sentent rassasiés à tel point qu’un long temps, je peux, avec toi, l’amour, différer.

.

.

Textuel extension

.

  • L’intensité et la durée, l’intensité dans la durée, l’intensité sans la durée, la durée sans l’intensité : cette grammaire d’unions et d’oppositions, décline le fond de ma pensée et se conjugue comme un futur qui conditionne notre avenir. Se sentir revivre signifie, pour moi, qu’il y a des moments de calme plat où il ne se passe rien, où tout va de travers, ou tout me laisse las, à en désespérer. Je te reçois en mes bras, nuages disparaissent par enchantement. C’est le feu sous la cendre qui revit, l’eau qui coule à en revendre, l’air qui souffle à ne plus s’entendre, la terre qui se soulève à pourfendre. La source d’amour se transforme en ruisseau, en rivière, en fleuve, en embouchure jusqu’à l’océan.  Qu’est-ce cela peut bien vouloir dire : «revivre intensément» ! Serait-ce vivre à toute allure des choses ou bien tous à la fois, l’amour, le travail, le loisir, la spiritualité, voire  la morale : toutes choses de notre vie seraient soumises à cette exigence d’être intense, fort, coloré, voire incandescent tout le temps. Mais il nous arrive parfois que tout va mal, sauf les amours et que délaissant tout le reste on se sent vivre intensément : ce serait notre part et force de subjectivité qui nous drogue.  L’intensité de la vie est un ressenti qui nous est propre, fort subjectif. On n’aurait pas la même joie aussi pour les mêmes faits admiratifs. L’un s’extase devant une fille belle, et l’autre devant une voiture belle. En dehors de toute association sexiste, aux deux, l’intensité de vie, existe. On dit que les personnes primaires, sont plutôt solaires, autres, lunaires mais l’intensité peut être intériorisée, ce qui mettra tout le monde à égalité. Et moi, je me sens revivre, intensément, quand cœur est en phase avec sentiment, me sens léger et comme pousser des ailes, lors je suis au lit, près, tout près, d’elle !

.

.

Textuels symboliques 

.

.

Bonhomme de neige

  • Symbolique de forme : Le personnage du Bonhomme de neige, sculpture de neige compacte, a une apparence humaine, des dimensions variables. Comme château de sable, tout bonhomme de neige appartient à une catégorie de l’art éphémère. Il est généralement confectionné à l’aide de deux ou trois boules de neige de taille variable.   Modifié, Source : Wikipédia

 .

Photographie

  • Symbolique de fond : La photographie a connu une utilisation fréquente, dès son apparition, dans la deuxième moitié du XIXème siècle, les peintres et sculpteurs du symbolisme, s’en servirent tout naturellement pour des raisons pratiques : avec la photographie, plus besoin de poses longues et éreintantes durant des heures pour les modèles, et aussi la possibilité de réutiliser la même pose dans différents contextes. Rodin,  Fernand Khnopff ou encore Mucha, s’en servirent abondamment. neo-symbolisme.over-blog.com/article-34769863.

 .

Corrélations > Selfie,  insouciant, bataille boules, froid glacial,

  • Liens fond/forme : On donne toujours au bonhomme de neige, un sourire  quelque peu  béat, naïf, enfantin, parce qu’il nous évoque une vie  d’insouciance autour de la neige et de nos batailles de boules. Ce qui reste paradoxal avec son froid glacial, est qu’il réchauffe,  tout de même, le cœur au point on le prend en photographie,  et voire souvent même en selfie.

623 – Ce weekend, je t’ai trouvé belle

Visuels et textuels  >>

.

Le regard change tout, regard est plat,

Regard devient flou selon qu’on voit, ou pas

L’autre avec yeux doux comme ceci, comme cela,

Sans prêter attention à sa tenue ni à son maquillage

Finalement … à sa beauté  selon sa jeunesse et son âge.

C’est une vraie découverte comme réelle  illumination,

Que de renouer sa passion avec celle que l’on connait,

Qu’on croyait connaitre sur le bout des seins, doigts

Sans parler du reste, femme peut changer d’air,

Et aussi de peau, d’allure, c’est en sa nature.

Ce week-end je t’ai trouvé belle

Bonne, aimable  et  à mon goût,

C’est d’autant une bonne nouvelle,

Que je ne m’y attendais pas, du tout.

.

Comme un retournement de situation

Amour a vaincu toute idée de séparation,

Je n’en reviens pas,  encore, de  ce miracle

Intime loin de toute hystérie ou de spectacle.

.

Renouer avec une femme ancienne, nouvelle,

Comme découverte de ce qu’on croit savoir,

Et qui s’avère faux, non  sensé, à percevoir

Pas  comme  on,  l’a   imaginé, rien de tel.

.

Tel n’est  plus  celui, celle  qui  est  sourd,

Avec qui on vit, pourtant, tous les jours,

L’enfermant  dans  un modèle d’amour

   Qui pour lui ou pour elle, n’a plus cours.

.

   De s’ajuster à ce l’on devient ou l’on est,

     Est plus que nécessaire, si …  conflictuel,

      L’on ne vit pas en couple, une ritournelle

       Qui jamais ne change d’airs, ni de traits !

.

       Redécouvrir l’autre est bonheur complet,

       Et sa présence nous rendra  déjà satisfait

           Et je ne parle pas du reste,    simple pudeur

            Et je vous laisse deviner    à  quelle hauteur.

.

        Il est presque magique que demeure effet

       Et jours entiers  comme en plateau après

        Comme si la pensée faisait s’autostimuler

        Désir le maintenant longtemps, à satiété !

.

      Tel scénario, se répétant, sans lassitudes,

   Est comme un air qui vous trotte en tête

   Et qui lui donne comme humeurs de fête

    Tout en rompant avec sa bonne habitude.

.

 Ce week-end je t’ai trouvé belle  et bonne,

Même  imparfaite, tout n’est pas  à jeter,

Lors,  je me demande,  encore, pas mérité.

Restaurer n’est pas tout  recommencer à zéro,

C’est faire la part du vrai, authentique, du faux,

Le reste n’est qu’un  supplément  d’âme …cadeau,

Qui fait que la vie est belle, que le monde  est beau.

.

.

Extensions

 .

Ah que n’a-t-on pas dit au sujet de la beauté des femmes

Ses canons variant  en fonction des pays  et des époques !

Et, si chacun aura ses critères, chacune aura ses mystères,

On n’épousera pas, obligatoirement, celle que  l’on préfère.

Et pour être encore plus belle il  faut qu’elle soit amoureuse

De vous, jusqu’à projeter une image réciproque en ses yeux.

C’est alors que beauté extérieure et intérieure se confondent,

Et que le sable se transforme en verre, puis en devient cristal,

L’amour le rend d’autant brillant, transparent même si banal.

.

Si la beauté seule suffisait pour mieux se marier

Cela se saurait et laissera les autres sur la touche,

Or il n’en est rien, bien que cela aide grandement :

Ce qui compte est sentiment du beau, non de l’être.

.

La beauté d’une femme reste en partie indéfinissable,

Même s’il existe des critères, qu’on appelle des canons.

La beauté intérieure l’emportera, parfois, sur l’extérieur

Celle qu’on a choisi n’est pas la meilleure, en vaut autres.

.

.

623 – Calligramme  

 .

Le regard change    C     tout, regard est plat,

Regard devient flou     E     selon qu’on voit, ou pas

L’autre avec yeux doux    *      comme ceci, comme cela,

Sans prêter attention,  à     W   sa tenue ni à son maquillage

Finalement … à sa beauté    E    selon sa jeunesse et son âge.

C’est une vraie découverte    E    comme réelle  illumination,

Que de renouer sa passion    K   avec celle que l’on connait,

Qu’on croyait connaitre sur  –    le bout des seins, doigts

Sans parler reste, femme    E        peut changer d’air,

Et aussi de peau, d’allure   N     c’est en sa nature.

               D

Ce week-end je t’ai trouvé belle

Bonne, aimable  et  à mon goût,

C’est d’autant une bonne nouvelle,

Que je ne m’y attendais pas, * du tout.

Comme un retournement de  J   situation

Amour a vaincu toute idée de    E  séparation,

Je n’en reviens pas,  encore,    *   de  ce miracle

Intime loin de toute hystérie  T  ou de spectacle,

Renouer avec une femme    ‘  ancienne, nouvelle,

Comme découverte de ce   A   qu’on croit savoir,

Et qui s’avère faux, non   I   sensé, à percevoir

Pas  comme  on,  l’a  *  imaginé, rien de tel.

Tel n’est  plus  celui, celle  qui  est  sourd,

Avec qui on vit, pourtant, tous les jours,

L’enfermant  dans  un modèle d’amour

  Qui pour lui ou pour elle, n’a plus cours.

   De s’ajuster à ce l’on devient ou l’on est,

     Est plus que nécessaire, si …  conflictuel,

      L’on ne vit pas en couple, une ritournelle

       Qui jamais ne change d’airs, ni de traits !

       Redécouvrir l’autre est bonheur complet,

      Et sa présence nous rendra  déjà satisfait

        Et je ne parle pas du reste,    simple pudeur

         Et je vous laisse deviner    à  quelle hauteur.

.

        Il est presque magique  *    que demeure effet

       Et jours entiers  com    T  me en plateau après

        Comme si la pensée     R     faisait s’autostimuler

        Désir le maintenant     O     longtemps, à satiété !

      Tel scénario, se répé      U    tant, sans lassitudes,

   Est comme un air qui       V     vous trotte en tête

  Et qui lui donne comme     É      humeurs de fête

 Tout en rompant avec sa       E    bonne habitude.

 Ce week-end je t’ai trouvé         *       belle et bonne,

Même imparfaite, tout n’est          B     pas. ..  à jeter,

Lors,  je me demande,  encore,          E           pas mérité.

Restaurer n’est pas tout  recommen      L            cer à zéro,

C’est faire la part du vrai, authentique      L                du faux,

Le reste n’est qu’un  supplément  d’âme       E                 cadeau,

Qui fait que la vie est belle, que le monde        *                est beau.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

623 4

.

Ce n’est pas une extra-terrestre,

Ce n’est pas un animal familier,

Ce n’est ni salière, ni poivrière,

C’est juste une belle  femme !

.

Allez donc savoir qui se cache vraiment

Derrière cette  forme…  extraterrestre.

Une femme est grand mot lorsqu’on voit

Cette étrange silhouette sur son profil !

  .

Symbolique 

 .

Personne n’a vu

Un extraterrestre !

Pourtant, chacun en a

Une image plus ou moins

Consciente et claire.

.

L’extraterrestre représente

L’étranger, celui que l’on ne

Peut concevoir totalement

Et qui pourtant anime

Nos débats intérieurs.

.

Il est irréel et réel à la fois !

C’est un semblable différent.

C’est l’absolue différence et

La ressemblance secrète.

L’extraterrestre est une image

Du paradoxe inscrite en nous.

doctissimo.fr/psychologie/dictionnaire-

des-reves/rever-d-extraterrestre

.

Descriptif

.

623 – Ce week-end, je t’ai trouvée belle  

Alignement central / Titre serpente / Thème apparence

Forme anthropo  /  Rimes égales  /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : extra-terrestre / Symbole de fond : femme

.

.

Fond

.

Évocation 

.

623 6

.

Allez donc savoir qui se cache vraiment

Derrière cette  forme …  d’extraterrestre.

Une femme est grand mot lorsqu’on voit

Cette étrange silhouette sur son profil !

 .

Symbolique 

.

Il est difficile de décrire

La beauté d’une femme.

Chacun  a  ses critères

Et une belle femme

Peut ne pas plaire

À tout le monde.

.

Malgré… tout,

Au delà de sa

Beauté physique

Une femme aura une

Beauté   intérieure   sur

Laquelle il y a consensus.

.

Une femme belle, serait, à

Mes yeux, cette femme qui

Mélange, avec harmonie :

Grâce, intellect, présence,

Sans oublier son charme :

Cette femme  chez laquelle,

Il est  agréable  de se perdre

Dans le mystère de son regard

fr.answers.yahoo.com/question

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La définition, la perception, d’une femme belle

Est culturellement des plus subjectives qui soient

Certains pensent que la beauté s’impose naturelle

D’autres qu’elle sera le fruit de canons, d’un choix.

.

Quant à évoquer la beauté d’un regard,  il faut déjà

S’y jeter  jusqu’au point de s’y perdre complétement,

Pour être à même de l’apprécier comme reflet du sien

Et si beauté  intérieure, extérieure peuvent se cumuler,

Elle deviendra alors comme un phare qui vous éblouira.

 .

.

Belle comme beau paysage 

.

Scénario

.

Il y a comme bonheur intérieur, joie de vivre, en ton expression,

innocence, authenticité naturelle, dans ton visage et expression,

reflet de ta grâce et beauté dans ton miroir qui n’est pas virtuel.

 .

Visuels et textuels  >>

622 – Faire autrement quand on aime !

Visuels et textuels >> 

.

Quand on aime, on ne compte pas

Quand on aime… l’on ne conte pas.

Seule chose vraie dans ces deux cas,

L’on agit, l’on n’en parle plus ou pas !

.

C’est ce que font les gens  qui  s’aiment,

Faire l’amour, faire leur nid,  leur  enfant

Faire leur vie en somme, tout simplement

Quel que soit le parcours riche ou bohème

.

Enfant désiré, n’est ni le fruit ni le produit

D’amour du passé  qui tarde  à  s’incarner,

N’est que promesse d’un avenir qu’induit

La nécessité de le faire quand on s’aime !

.

Comment faire autrement quand on aime

L’on ne va pas que se parler quand même

D’une façon qui ne rejoint pas l’extrême

Lors même tout y pousse en un poème.

.

Poème que de se toucher,  que caresser

Des peaux nues par nos mains tendues

Par leur désir, à n’en plus finir, de tisser

Toile pour se rendre prisonnier ou confus.

.

Poème d’embrasser «bouche que veux-tu»

Pour y goûter le langage nouveau, inconnu

De ceux  qui n’ont, pour langue …que vertu

De ne jamais  pénétrer, là où, c’est défendu.

.

Poème, de pénétrer, comme soc de charrue

Le ventre d’une terre fertile  et bien conçue

Pour que petite graine pousse et grandisse

Que greffe enfant de l’amour, y réussisse !

.

Mais que faire autrement quand on aime

À moins  de se   faire  violence,  se taire,

C’est pourquoi je t’adresse cette prière

Ne dis rien et fais le moi en l’extrême

.

.

Extension

 .

Faire autrement est toujours possible,

On peut s’abstenir, jouer l’indifférence,

Remettre à plus tard… donner le change,

Le tout pour susciter la jalousie de l’autre.

.

Comment faire  autrement que  de se revoir,

Se fréquenter assidûment, se mettre en couple,

Se marier ou tout comme, désire, faire un enfant,

Fonder une famille, bâtir une maison, une carrière,

Un style de vie, voire une manière d’être ensemble,

Pour une fidélité à toute épreuve et tutti quanti…

.

L’enfant est le pivot, est l’élément déterminant,

Fédérateur, épreuve de vérité, c’est souvent

À ce moment que le bât blesse et que les

Couples se disjoignent et finiront

Tôt ou tard …  par se séparer.

.

L’enfant devient la fleur de

L’amour conjugal mais aussi

Et bien plus encore, le fruit de

L’amour parental, l’amour conjugal

Est virtualité ; l’amour parental, réalité

L’enfant survit à tout cataclysme amoureux

Et a besoin de ses deux parents, ne serait-ce

Que pour grandir, pour assurer son avenir !

.

Comment faire autrement ! Eh  bien si, justement, l’on peut :

L’amour dans un couple n’est pas fatalement lié à la grossesse

L’amour serait d’abord et avant tout, un échange de tendresse

L’enfant qui en sera enfanté ne sera que l’enfant que l’on veut,

Pour se prolonger, s’occuper, transmettre, ou  donner encore

Ce qu’il y a de mieux pour qu’amour se construise et dure

 Que l’enfant prenne modèle sur ses parents, et s’invente.

.

Faire autrement peut très bien se conclure

Par je ne veux pas d’enfant, et de personne ;

Je ne veux pas d’enfant de toi, moi non plus ;

Je me ferai faire un enfant toute seule, adieu ;

.

Cas de figure échappant à coutume maritale :

Je ne voulais pas  d’enfant : tu m’as  bien eu,

Est un autre sans moindre accord préalable

Et ainsi va la vie et ainsi vont …  les choses.

.

Ça n’empêche pas l’Humanité de croitre

Mais ce sont souvent les plus fortunés,

Qui ne s’embarrassent pas d’enfants.

.

.

622 – Calligramme 

 .

           Quand on aime  C   on ne compte pas

          Quand on aime   O       on ne conte pas.

        Seule chose vraie M   dans ces deux cas,

      L’on agit, on n’en  M   parle plus, ou pas !

E

C’est ce que font les  N    gens  qui  s’aiment,

Faire l’amour, faire   T  leur nid, leur enfant…….

Faire leur vie en som  *   me, tout simplement …….

Quel que soit le par  F  cours, riche ou bohème …….

   A …………….…

Enfant désiré        I     n’est ni le fruit ni le produit

D’amour du         R    passé qui tarde à s’incarner.

N’est que pro      E      messe d’un avenir qu’induit

La nécessité        *      de le faire quand on s’aime !

A ……………………

Comment faire   U   autrement ….. quand on aime

L’on ne va pas    T   que se parler quand même……..

D’une façon qui   R    ne rejoint pas l’extrême ……………

Lors même tout    E    y pousse en un poème ………………….

Poème que de se   M   toucher,  que caresser ………………………

Des peaux nues     E  par nos mains tendues ……………………………

Par leur désir, à     N   n’en plus finir, de tisser …………………………….

Toile pour se ren    T  dre, prisonnier, ou confus ……………………………

Poème d’embras    *  ser «bouche que veux-tu» …….………………………

 Pour y goûter le    Q   langage nouveau, inconnu ….….…………………..

De ceux qui n’    U     ont pour langue que vertu …….……………….

De ne jamais    A     pénétrer, là où, c’est défendu ………………

Poème, de     N    pénétrer, comme soc de charrue ……..

Le ventre    D    d’une terre fertile et bien conçue…

Pour que    *  petite graine pousse, grandisse   *

   Que greffe      O    enfant d’amour, y réussisse !

N ………………..

 Comment faire   *         autrement si on aime

 À moins de se     A    faire  violence,  se taire,

C’est pourquoi     I   je t’adresse cette prière

Ne dis rien et     M    fais le moi en l’extrême

E  ……………

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

622 4

.

Un fruit visible d’un amour

Conjugal et puis parental,

 Est celui d’être enceinte

Bébé presqu’à terme.

.

Enceinte d’un bébé fruit d’un désir

pas toujours il est vrai avant  mais

le plus souvent après ou pendant :

le fond prend forme en neuf mois.

.

Comment faire autrement :

Être enceinte, sans contraintes 

Lors dans toute nos réalités sociales,

Le bébé en sera la preuve visible.

  .

Symbolique 

 .

Le sens des rêves enceinte

Ne renvoient pas forcément à

La conception d’un enfant.

Si ce rêve de grossesse

Est très symbolique,

Il représente  l‘aspect

Fertile puis créateur  qui

Et met en place dans votre vie

Au moment du rêve dont  les détails

Et vos préoccupations à l’état de veille

Vous montreront de quel domaine de votre vie

Il s’agit, ainsi que ce que vous pourrez en déduire :

Sur le plan matériel, psychique, intellectuel, spirituel.

Modifié, source : solutionreves.com/glossary/rever-detre-enceinte

.

Descriptif

 .

622 – Comment faire autrement quand on aime ? 

Alignement central  / Titre serpente / Thème enceinte

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : enceinte / Symbole de fond : bébé

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

622 6

.

Comment faire autrement :

Être enceinte, sans contraintes :

Lors dans toute  nos réalités sociales,

Le bébé en sera la preuve visible.

 .

Symbolique 

 .

Que l’on se voit bébé,

         Ou père ou mère  d’un bébé,

                   Ou bien encore en train d’assister,

                         De vivre soi-même un accouchement,

                               Rêver de bébé est un rêve très fréquent.

                                Bien que plus souvent chez les rêveuses

                             Les raisons sont très évidentes tant

                         La maternité aura à voir avec la

                        Grossesse  et corps des femmes.

                    Ce rêve sera-t-il à interpréter

                  Comme  beau  désir d’enfant

               Voire  envie  de   parentalité

              Vous pensez qu’ils sont liés à

     «L’instinct de maternité »,

        Bien que parfois contesté ?

doctissimo.fr/psychologie/

dictionnaire-des-reves/reve-bebe

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

Qui dit enceinte dit la conception à deux

Qui dit bébé dit accouchement prochain

Faire autrement reste toujours possible,

Comme d’adopter un enfant  né ailleurs,

Le chérir, élever, comme si c’était le sien.

Si les liens du sang  sont très importants,

Ceux du cœur ne le seraient guère moins.

Ce ne sont enfants adoptés qui le nieront.

 .

.

Un microcosme familial

.

Scénario

.

Comment faire autrement qu’avoir bébé pour transfuge d’amour.

Comment faire autrement, le porter, à bout de bras, chaque jour.

Comment faire autrement, le mettre entre nous, lien indéfectible.

.

Visuels et textuels >> 

621 – D’où te provient ton… mystère !

Visuels et textuels  >>

.

Ton mystère, aurais-je décelé,

Ton mystère, l’aurais-tu révélé,

Ton mystère, l’aurais-je inventé,

Ton mystère demeure-il caché !

S’il n’est en toi, il est autour, l’aura

Qui t’enveloppe, te nimbe de brume

Ou de lumière, de parfum, de fortune,

Et que tu diffuseras en suivant ton pas.

.

Tantôt, il s’éclaircit,  il s’épaissit,

Ou quand il disparait rebondit,

Plus dense et plus fort  encore,

Il est de partout et nulle part,

De l’autre côté de ton miroir.

.

D’où te provient ton mystère où le caches-tu,

J’ai fouillé partout chez toi en toi, et pas perçu

Le moindre indice qui me mettrait sur une piste

Ni la moindre hypothèse à coucher sur une liste.

.

Tu n’es et tu n’as, pourtant, rien d’extraordinaire,

Justifiant, d’un tel étonnement, de telles émotions,

Tressaillant tout mon corps et à chaque perception

De  ta silhouette  dansante  comme  parure, en l’air.

 .

Ton aura demeure un mystère lors j’ai beau soulever

Un coin ou autre, de son voile, jamais,  ne se dévoile :

Il est partout, et nulle part, en toi, hors de toi, ancré :

Comme le portrait qui me dévisage et peint sur toile.

.

Sans doute, est-il en ton étoile,  dont reflet manifeste

Son éclat, son ombre, en tes moindres faits et gestes

Dont je ne percevrais  que l’image  que  je  m’en fais,

Transformée en mystère qui m’échappe et me plait.

.

Chaque fois  que  je crois  pouvoir,  enfin te cerner,

Tu disparais et réapparais autrement d’autre côté,

En tes jeux de miroirs, plans concaves, convexes,

Je comprends mieux ta personnalité complexe.

.

.

Extension

 .

D’où te provient ton mystère :

Serait-ce-moi qui l’ai créé, inventé,

Projeté sur toi pour te parer de qualités

Que tu n’as pas  mais qu’il me plait de voir

En toi double de moi, complément au choix.

.

Énigmatique,  pourtant,  tu ne l’es pas tant

Je connais  de choses,  à présent,  sur toi,

Mais  j’ai beau creuser, creuser  encore,

Plus je te fouille plus je m’embrouille

En ton image qui au départ, floue

Devient de plus en plus  nette,

Et très nette, redevient floue.

.

Tantôt myope et tantôt presbyte,

Parfois je sais bien, et parfois moins,

Où mon cœur habite quand je suis pris

D’une folle envie subite, d’avenir commun,

Je médite, à me demander si, de notre amour,

L’on sera quitte, maintenant, je comprends

Que c’est  ton  âme qui … m’échappe,

C’est la même qui me rattrape

Quand le moral me sape.

.

Le mystère d’une attirance n’est pas celui de l’amour

On peut que globaliser les deux mais pas les analyser

Ni une personne ni l’amour n’existent en éprouvettes

L’amour est, à la fois, un don et fruit d’une conquête.

Il est vrai que des personnes  ont l’aura d’un mystère,

Ont force d’attraction, peu commune ou un charisme

Qui les révèlent comme des chamans, ou guérisseurs,

Mais il y a aussi, il y a les bellâtres et les mannequins

Qui n’ont besoin de rien pour conquérir, en requins !

.

Le mystère de l’amour s’épaissit des projections

Et fantasmes que l’on associé au partenaire aimé.

Pendant quelques temps, on aura du mal à avouer,

En réalité pourquoi on est attiré, pourquoi on aime.

.

Peu à peu, avec le temps, les événements, et l’usure,

Le mystère s’éclaircira, sans se dissiper totalement

On s’inventera alors des raisons qui n’en sont pas

Pour garder le lien ou se séparera pour d’autres.

.

.

Épilogue

.

Une part de lumière,

Une part  …  d’ombre,

Une part … de mystère

En chacun, son nombre.

.

Mystère rime avec secret,

Lumière  rime  avec reflets,

Ombre rime avec obscurité :

Le tout compose personnalité.

.

La tienne m’interroge sans cesse

Je ne parviens jamais à la cerner,

Or c’est cela aussi ce qui me plait :

Je ne pourrais te révéler d’un trait.

.

Ce n’est pas tu es muette, taciturne,

Tout, en toi, me semble bien diurne,

Des choses m’échappent, infortunes,

Il me faut faire l’enquête, plus d’une.

.

Peut-être qu’une part de ton mystère,

Serait créé du seul fait de nous aimer,

On la partagera sans pouvoir la révéler

Du moins tant qu’on vivra père et mère.

.

Parfois, avec le temps, mystère s’éclaircit,

On attribue le choix partenaire à l’enfance :

Ce n’est qu’une hypothèse voire une éclaircie

Qui ne nous fournit pas une vérité, délivrance.

.

.

621 – Calligramme

 .

Ton mystère,  D  aurais-je décelé,

Ton mystère,    I   l’aurais-tu révélé,

Ton mystère,    S   l’aurais-je inventé,

Ton mystère      –     demeure-il caché !

S’il n’est en toi,   M    il est autour, l’aura

Qui t’enveloppe,   O   te nimbe de brume

Ou de lumière, de  I      parfum, fortune,

Que tu diffuse, en   *     suivant tes pas.

Tantôt, il s’éclaircit,  D     il s’épaissit,

Ou quand il disparait       rebondit,

Plus dense et plus fort  O  encore,

Il est partout et nulle  Ù  part

 D’autre côté de ton  * miroir.

                        T

D’où te provient ton mystère  E   où le caches-tu,

J’ai fouillé partout chez toi    *    en toi, et pas perçu

Le moindre indice qui me    P   mettrait sur une piste

Ni la moindre hypothèse    R      à coucher sur une liste.

O ………..

Tu n’es et tu n’as,          V   pourtant, rien d’extraordinaire,

Justifiant, d’un tel          I     étonnement, de telles émotions,

Tressaillant tout mon       E        corps et à chaque perception

De ta silhouette dansante      N             comme parure, en l’air.

         T

Ton aura demeure un mystère lors     *              j’ai beau soulever

Un coin ou autre, de son voile,         T          jamais ne se dévoile :

Il est partout, et nulle part,     O           en toi, hors de toi, ancré :

Comme le portrait qui       N         me dévisage et peint sur toile.

* ……………….

Sans doute, est-il en       M      ton étoile, dont reflet manifeste

Son éclat et son ombre     Y     en tes moindres faits et gestes

Dont je ne percevrais que      S       l’image, que je m’en fais,

Transformée en mystère qui    T    m’échappe et me plait.

                   È

Chaque fois que je crois pouvoir,    R    enfin te cerner,

Tu disparais et réapparais autrement  E d’autre côté,

En tes jeux de miroirs, plans concaves  ?  convexes,

Je comprends mieux ta personnalité  * complexe.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

621 4

.

Une fiole remplie

Liquide mystérieux :

Un parfum d’intimité

Qui sait philtre d’amour

.

Intimité et philtre d’amour surtout

s’il s’agit d’un bon parfum capiteux

se rapproche du mystère d’influence

et donc l’évoquera  et plus qu’un peu.

.

Mais que sont donc le mystère de l’intimité

De l’attirance mutuelle : 

Que ce soit phéromones, philtre d’amour

Personne ne l’a percé à jour.

 .

Symbolique 

 .

Interaction entre hommes / femmes

Un vrai match, vous vous en doutiez,

Les hommes et les femmes  n’ont pas

Même mode d’emploi,  mode de vie !

.

Si tout le monde  se retrouve  autour

De définition commune de l’intimité

Nécessité  de  presque  tout  partager,

La vision du corps, elle,  reste  le point

De dissonance entre hommes / femmes.

.

Mais l’homme d’aujourd’hui sait parler :

Lors il n’hésite plus à partager son intimité

Et cherche même à comprendre toute femme

Tant il est vrai que l’homme en sait plus sur elle

Que vous ne l’imaginez, et ce, malgré vos préjugés,

Votre intimité a de moins en moins de secret pour lui.

magicmaman.com/,l-intimite-feminine-vue-par-les-hommes

.

Descriptif

 .

621 – Dis-moi d’où te provient ton mystère ?

Alignement central  / Titre serpente / Thème regard

Forme ronde  / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : intimité / Symbole de fond : philtre

.

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Fond

 .

Évocation 

.

621 6

.

 Mais que sont donc le mystère de l’intimité

De l’attirance mutuelle : 

Que ce soit phéromones, philtre d’amour

Personne ne l’a percé à jour.

 .

Symbolique 

 .

Une plante magique est une plante à laquelle

La tradition populaire  confère  des propriétés

Surnaturelles  pouvant être utilisées, en magie,

Ou en sorcellerie, des plantes favorisent l’amour,

C’est-à-dire aphrodisiaques, également les plantes

Qui refroidissent les ardeurs, ou  anaphrodisiaques.

.

Mais que sont très exactement tous ces phéromones ?

À quel point peuvent-elles influer sur  comportement ?

On leur prêtera  vertus dignes des philtres d’amour.

Elles seraient comme des sortes de messages invisibles

Irrésistibles, et  influençant nos choix de partenaires.

Wikipédia + allodocteurs.fr/actualite-sante-les-pheromones

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un mystère plane toujours autant sur l’amour,

Qu’au début de l’Humanité et basé sur l’émotion

Qui paraitrait être un véritable philtre d’amour

Que nous distillons nous-mêmes en notre sang.

.

Il demeure difficile à un  observateur étranger

À un couple de pénétrer cœur de son intimité

Mais on constate que pendant un orgasme,

Arbre de noël s’allume en deux cerveaux.

On est plus niveau des ondes externes

Mais bien des connexions internes.

 .

Air bien mystérieux

.

Scénario

.

Le mystère de ton regard qui semblerait percer la lumière.

Le mystère de ton buste qui provoque et conforte, à la fois.

Le mystère de ton aura qui t’entoure d’un bleu  si éclatant.

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Visuels et textuels  >>