1141 – Le rite répète permanence d’humanité

Voir prose et illustrations

.

Rite, rituel, ritualisme

Pratiques …. religieuses

Habitudes quotidiennes,

Proches,  obsessionnelles.

.

Faire toujours  même chose,

Même façon, même moment

Pour se donner  bons repères

Ou se rassurer de son existence.

.

L’écriture peut être vécue en rite,

Tous les jours … aux mêmes heures.

Le baptême, le mariage, l’enterrement,

Sont les rites de l’Humanité,  fondateurs.

.

On peut être contre un rite ou pour un autre

On ne peut s’en passer, on ne s’en passera pas,

Rite social ou religieux reproduisent les vôtres,

Pour assurer conciliation de votre communauté.

.

La plupart sont déjà intériorisés dès l’enfance :

Rite des histoires racontées, avant le coucher ;

Amour, lui-même, est parfois rite ou ritualisé,

Pratiqué à outrance  et parfois en souffrance.

.

Tous les rites héritent de croyances spirites,

Simplifiant monde structurant, socialisant

Toute initiation n’est qu’histoire réécrite

De mythe primitif et nous humanisant.

.

Depuis que l’homme existe sur la Terre,

Il pratique des rites, figés, durs comme fer,

Transmis, codés de génération en génération,

Ce qui ferait, dira-t-on, le socle de civilisations.

.

Tout cela aura commencé par des rites mortuaires,

Le fait d’enterrer ses morts  en tombes  en ossuaires,

Pour respecter leurs mémoires en cortège funéraire,

Seul l’humain  enterre siens par rites humanitaires.

.

Extension

 .

 Un sacrement est comme une caution

Sur l’avenir en serment à ne pouvoir

Ni le démentir, ni même le défaire.

Il procède d’un engagement total

Et fatal si on ne les respecte pas.

.

Les baptisés ne peuvent renier

Leur foi, leur religion, leur église

Et les divorcés, leur union devant

Dieu lui-même par ses représentants,

Ne peuvent en principe remettre les pieds

Dans une église et encore moins… communier :

Peu importe à qui la faute, la victime est coupable.

.

Mais il existe d’autres rites que l’on prétend païens,

Et qui sont en fait, laïcs, républicain ou simplement

Fraternels, communautaires, familiaux, conviviaux.

Toutes les fêtes qui rassemblent une famille,

Une communauté, une tribu en font partie :

Il s’agit de socialiser les actes important d’une vie …

Champagne pour tout le monde mais pas tous les jours.

.

Les trois sacrements principaux, rites de l’Humanité.

Chaque culture ajoute ses rites, et idem, chaque religion.

Certains rites touchent à la sexualité d’homme et femme :

La circoncision  chez le jeune garçon ; excision chez la fille

Sans parler des rites d’initiation d’entrée dans des sectes

Des messes et confessions, des transes et processions,

Existe catalogue prières chrétiennes, musulmanes.

.

Cérémonial, cérémonie, coutume, habitude,

Pratique, protocole, rituel, routine, tradition,

Autant de synonymes du mot rite, témoignant :

D’une large couverture pour ce qui est sociabilité

.

Messe du dimanche a longtemps été un rite sacré

Mais le repas de famille qui suivait : un sacré rite

Il en est de même dans toutes les communautés,

Lors certains rites sont remplacés par d’autres.

.

En de nombreuses pratiques dites artistiques

Notamment la danse, et  notamment tango,

Des rites anciens sont devenus des codes

À respecter pour s’inviter sur la piste.

Lors si vous ne les respectez pas :

Tôt ou tard vous serez rejeté.

.

1141 – Calligramme

.

Rite, rituel, ritualisme

Pratiques …. religieuses

Habitudes quotidiennes,

Proches,  obsessionnelles.

.

¤ ¤ ¤       Faire toujours  même chose,     ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤       Même façon, même moment      ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤        Pour se donner  bons repères       ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤        Ou se rassurer de son existence.     ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤         L’écriture peut être vécue en rite,       ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤        Tous les jours … aux mêmes heures.       ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤        Le baptême, le mariage, l’enterrement,      ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤        Sont les rites de l’Humanité,  fondateurs.     ¤ ¤ ¤

.

¤ ¤ ¤     On peut être contre un rite ou pour un autre   ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤     On ne peut s’en passer, on ne s’en passera pas,   ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤     Rite social ou religieux reproduisent les vôtres,   ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤    Pour assurer conciliation de votre communauté. ¤ ¤ ¤

.

¤ ¤ ¤    La plupart sont déjà intériorisés dès l’enfance :   ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤    Rite des histoires racontées, avant le coucher ;   ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤    Amour, lui-même, est parfois rite ou ritualisé,   ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤    Pratiqué à outrance  et parfois en souffrance.   ¤ ¤ ¤

.

¤ ¤ ¤    Tous les rites héritent de croyances spirites, ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤    Simplifiant monde structurant, socialisant ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤    Toute initiation n’est qu’histoire réécrite   ¤ ¤ ¤

¤ ¤ ¤    De mythe primitif et nous humanisant.   ¤ ¤ ¤

            L                                    –

Depuis que  E  l’homme existe sur la  I  Terre,

Il pratique  *  des rites, figés, durs com T   me fer,

Transmis, R  codés de génération en gén  È   ération,

Ce qui fera I  dira-t-on le socle de nos civi  R   lisations.

T                                                   E

Tout cela     E  aura commencé par des rites  *  mortuaires,

Le fait d’en   *   terrer ses morts  en tombes  U  en ossuaires,

Pour respec    R  ter leur mémoire en cortè  N    ge funéraire.

Seul l’humain   É   enterre siens par rites   E humanitaires.

>  ^                                         V

P E R M A N E N C E      D  E     L ’ H U M A N I T É

.

.

Forme

.

Réduction

.

Évocation

.

1141 4

.

Une lampe à pétrole,

À pétrole éclairant lumière

Autant sa conscience ordinaire

Que partie  de  son environnement.

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche ici de forme)

.

Notre conscience humanitaire

Censée être lumière vie sur Terre :

Dans bien des cas, reste aveugle,

Et sourde,  à tous nos rites !

.

Symbolique    

.

Premier sens renvoie

À ce qui permet

Une représentation,

Même très simplifiée, du monde et

Des réactions par rapport à celui-ci.

Question de «conscience du monde».

 .

Évoquée dans des expressions  comme

«Perdre  conscience »,  ou,  à   l’inverse,

«Prendre conscience ».   La conscience

Est un «fait» laissant entendre que

«L’âme  serait un rapport  à soi ».

 .

L’examen de la conscience est

Doute méthodique dans un

Rapport à soi non erroné :

La conscience correspond aussi à

Une représentation, même très simplifiée,

De sa propre existence, de conscience de soi.

fr.wikipedia.org/wiki/Conscience

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1141 6

.

Notre conscience humanitaire

Censée être lumière vie sur Terre :

Dans bien des cas, reste aveugle,

Et sourde,  à tous nos rites !

.

Symbolique

.

Les luminaires,

Et surfaces éclairées

Qui renvoient la lumière,

Et, de  façon  plus  générale,

Source lumineuse n’éclairent

Pas  avec  la même  intensité

Dans toutes les directions.

L’indicatrice d’émission

D’une  source  reste

Proportionnelle

À la surface

Donnée

Wikipédia

.

.

Corrélations

Fond/forme     

 .

Il n’y aurait pas l’humanité sans rites,

Nous héritons  des rites de l’humanité :

Rites païens, religieux, et voire citoyens,

Autant de rituel social que de spiritualité

À commencer par convivialité et identité !

 .

Rite ne constitue pas apanage de religions

il est partout présent, en des communautés

qui se reconnaissent, grâce à lui en identité

qui persiste et se transmet par générations

sans parfois connaitre leurs significations.

 .

Pape : un officiant des rites

.

Scénario

 .

Le baptême, second acte de naissance dans l’Église Catholique.

Le mariage, rite universel pour sceller l’union d’époux entre eux.

L’enterrement en grande pompe pour finir sa vie… en majesté.

.

Voir prose et illustrations

.

1140 – Des humains stupides, cupides, avides !

Voir prose et illustrations

.

Stupide, cupide et avide :

Faut forcer la nature

Pour arriver.

.

Aucun animal  ne se soucie

De se conduire ainsi :

Que les hommes.

.

Disposer d e  quoi  survivre,

Plus de dix mille vies :

N’en avoir qu’une.

.

D’exploiter   les   ressources

Et spolier les gens :

Légalement.

.

Se regarder, dans son miroir,

Fier de soi, réussite :

Génocide.

 .

Je me laisse parfois aller au gré du vent

Quand ce n’est pas  de mes sentiments,

Le monde  des humains  plus lointain,

Ne résonne plus, en moi : il n’est rien.

 .

Je me dis  les humains  sont  stupides,

Je me dis  les humains sont… cupides,

Je me dis  que les humains sont avides

Je me dis  que les humains sont vides !

 .

Pourtant je proclame que, vers le haut,

Une mise en abîme dans mon cerveau,

Je le clame, et je le chante, tout  haut :

Humain  est ce qu’il y a  de plus  beau.

.

Plus beau  que je connaisse, sur  Terre,

Lors il nous protège  de toute la misère,

Bien que nous ne resterons comme frères

Et sœurs en temps de famine ou de guerre.

.

Ce sont humains cupides qui feront la guerre

Et, pour eux, humains, stupides, iront en terre,

Des dirigeants se montreront encore plus avides,

Et, pour finir, les pays dévastés deviendront vides.

.

.

Extensions

 .

Qu’il y ait eu, il y ait, y aura

Encore des gens d’un tel acabit,

C’est plus que certains, mais que

De nos jours, on les retrouve comme

Dirigeant de banque et ou grands pays,

C’est là comme déchirure dans la démocratie :

«Moins pire de tous les régimes »selon Churchill.

.

Certains États se battent contre une Mafia

Prétendue gangréneuse de corruptions

Alors qu’eux-mêmes en institue une

Autre, plus subtile, institutionnelle,

Sans aucun doute, mais aussi délétère.

.

Mais sans doute que le pouvoir et l’avoir

Corrompent, systématiquement, des gens

Qui ne l’étaient pas auparavant lors qu’ils

Auront compris comme ils ne pouvaient

Rien faire pour améliorer rapidement

Et   durablement,  la condition

De leurs concitoyens : il valait

Mieux se servir que les servir.

.

Stupides, les humains : allons  donc, le roi  des animaux,

Mais qui se met parfois plus bas que lui par négligence,

Cupide et avide quant à l’argent qu’il reçoit sans travail

En garde le maximum, pour lui,  sans aucune solidarité,

Ne pense qu’à s’enrichir et de plus en plus et sans limite !

.

Pour humains, dictateur ou pas

La fin justifie, à plein, les moyens,

Quand ils prennent pleins pouvoirs,

Pour  en  profiter  et un … maximum.

Diviser pour régner, tuer pour se protéger

Sont les maitres mots de grands prédateurs

Et s’ils conquièrent le pouvoir par les urnes,

Et voire par la force, lors d’un Coup d’État,

Le peuple contre eux, ils ne lâcheront pas

Cela se tait par petit nombre de fidèles

Dévoués aveuglément et prêts à tout

Tant et si bien  qu’au final, un seul

Homme incarnera plein pouvoir.

Mafias y trouvent leurs comptes,

Pour eux, la seule chose qui compte,

Est d’augmenter leurs parts du gâteau.

.

.

Épilogue

.

La menace la plus à craindre, sur Terre,

Ne sont catastrophes, maladies,  misères,

Ni mêmes les surpopulations, les guerres ;

C’est l’homme lui-même lors étant pervers.

***

Tant nous n’avons pas besoin de changement

Climatique nous menaçant  de réchauffement,

Nos divisions entre blocs  Est/ouest,  Sud/nord,

Sont telles qu’elles nous anéantiront, tous morts.

***

Non pas tous morts physiquement : psychiquement

Les uns se ruant sur les autres pour vivre ou survivre,

Tout cela pour que quelques-uns,  s’étant mis à l’abri,

Puissent jouir de plus de pouvoir  ou d’argent : merci.

***

Stupides, les hommes le sont, de croire en un miracle ;

Cupides, les hommes le sont, jusqu’à  jamais  s’arrêter ;

Avides, les hommes  le sont : de sang, d’argent, pouvoir,

Alors même que majorité dominée, silencieuse,  ne l’est.

***

Tout cela peut changer,  par meilleur entente de l’autre :

Il suffirait de se mettre autour d’une table et d’en parler.

L’organisme, existe,  chargé de le faire, et de l’appliquer,

Mais il n’a que peu de crédibilité, en tous cas pas assez !

***

Au final, et, comme toujours, l’Homme  n’aura qu’à s’en

Prendre à lui-même, mais la seule chose qu’il sait faire :

C’est de chercher des coupables, sinon des responsables

C’est ainsi que va le monde, et les pacifistes, on les tue.

.

.

1140 – Calligramme

 .

Stupide, cupide et avide :

Faut forcer la nature

Pour arriver :

Aucun animal ne se soucie

De se conduire ainsi :

Que les hommes !

Disposer de quoi survivre,

Plus de dix mille vies,

N’en avoir qu’une ;

D’exploiter   les  ressources

Et spolier les gens,

Légalement ;

Se regarder dans son miroir

Fier de soi, réussite

Génocide.

Je me laisse parfois       U       aller au gré du vent

Quand ce n’est pas       M      de mes sentiments,

Le monde  des hum    A       ains plus lointain,

Ne résonne plus en   I     moi : il n’est rien !

N

Je me dis  A    les humains sont stupides,

Je me dis  V     les humains sont  cupides,

Je me dis  I   que les humains sont avides

Je me dis  D  que les humains sont vides !

E ….……………………..

Pourtant je proclame   *     que, vers le haut,

Une mise en abîme    S    dans mon cerveau,

Je le clame, et je le     T   chante, tout  haut :

Humain  est ce qu’il   U     y a  de plus  beau.

   P

Plus beau  que je con    I       naisse, sur  Terre,

Lors il nous protège      D      de toute la misère,

Bien que nous ne res     *   terons comme frères

Et sœurs en temps de    C     famine ou de guerre.

U

Ce sont  humains, cup     P   ides qui feront la guerre

Et, pour eux, humains,     I      stupides, iront en terre,

Des dirigeants se mon      D  treront encore plus avides

Et, pour finir, les pays      E   dévastés deviennent vides.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

1140 4

.

Statue d’un dictateur,

Étant  riche, ambitieux,

Dominateur, despotique

Et fou de ses ambitions

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales,

Z : le fond s’accorde, ici, à la forme)

.

Dictateur  et  ambition  vont de pair,

il veut étendre son domaine, pouvoir

crée, pour lui, culte de personnalité,

si bien que la forme épouse le fond.

.

L’engrenage de la réussite mènera

Dictateur aux carnages

L’ambition personnelle se cache

Derrière l’espoir collectif !

 .

.

Symbolique

.

Le dictateur représente

Une partie de soi que l’on appelle l’égo.

L’égo sera cette partie de l’esprit, avide

De pouvoir, de contrôle, de possessivité,

De reconnaissance, et sans cesse réitéré,

D’adulation, besoin d’attention, d’amour,

Il est toujours en demande, mégalomane,

Il veut qu’on l’applaudisse, dès le moindre

Fait et geste, est capable de manipulation,

Mensonge, d’autorité despotique,

Tyrannie, impose ses lois, fait naître

Sentiment de terreur chez ses proches.

Source : psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/dictateur

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1140 6

.

L’engrenage de la réussite mènera

Dictateur aux carnages

L’ambition personnelle se cache

Derrière l’espoir collectif !

.

Symbolique

 .

Qu’est-ce que l’ambition ?

C’e n’est rien d’autre qu’une imitation.

L’ambitieux du roman stendhalien ou balzacien,

Qui, comme l’a vu Malraux, “porte en lui une semi-doctrine

“Imite” la vie de Napoléon, modèle absolu de ce que peut la Volonté.

L’ambition mène le deuil de la gloire, dont il ne reste que les symboles ;

En ce sens, l’imitation est un travail de deuil et un effort sur soi pour

Tâcher de s’approcher du Moi idéal qui a dialogué il y a peu

D’égal à égal avec le Monde.

cairn.info/revue-la-pensee-de-

midi-2008-2-page-24.htm

 .

.

Corrélations

Fond/forme   

 .

Dictateur, dit que t’a tort

Tant si tu dis  que j’ai tort,

Tu seras  un  homme  mort,

En somme voilà son pouvoir.

Il n’y a pas de contre-pouvoir,

Contestataire sera un dissident,

Qu’on transforme  ennemi d’État.

 .

Même si on se fait un tas d’ennemis

L’important est de garder le pouvoir,

Quitte à sacrifier partie de son peuple,

Et cela finira parfois en  bains de sang,

En guerre civile ou révolution de palais.

 .

.

L’argent avant l’humain

.

Scénario

 .

Le massacre des innocents en Judée dans le Nouveau testament.

Plus besoin de cerveau ni de pensée, capitaliser … uniquement.

Main en griffe dès qu’il s’agit d’argent, préhension, rétention.

.

Voir prose et illustrations

1139 – Une bourse aux valeurs ou aux idéaux !

Voir prose et illustrations

.

La bourse aux valeurs,

Tout le monde connait

Aux idéaux : y en pas,

Sinon,  ça se saurait !

Idéaux ne rapportent

Rien, au commerce :

Il  s’agit  d’humain,

Et qui le  supporte.

.

Idéaux nous tirent

Vers le plus haut,

Mais  attention

De  tomber  bas.

À force de grimper

Une échelle,  il n’y a

Plus  aucun  barreau,

Et pas plus  d’idéaux !

.

La bourse au faux pour s’appuyer au vrai

La bourse au bien pour se préserver du mal

La course au dieu pour vie posthume,  idéale,

La bourse  au beau pour se démarquer du laid,

La bourse au corps pour garder santé arbitraire,

La bourse au droit pour plus de justice, égalitaire.

.

Toutes ces bourses,  à perdre haleine et    …   sans répit,

Ne garantissent pas  une vie,  saine  de corps, ni d’esprit.

Elles  nous tirent  plus  haut  pour  redescendre  plus bas :

Laisse aller, c’est une valse, et   surtout,  ne te fatigue  pas !

Ce serait  un suicide  que de  vouloir  être  meilleur  en tout,

Et puis, de toute façon,  le monde,  tel qu’il existe,  s’en fout !

Qu’on s’améliore, qu’on  s’humanise,  qu’on  s’assagisse : bon,

Qui veut passer pour, vivre  comme, mourir  comme un : con !

Personne, à part celui qui l’est  déjà, ne risque pas de changer :

Qu’est-ce qu’une belle personne, qui n’a pas  d’amour à donner !

.

La bourse aux valeurs et aux idéaux, est un projet pour… demain.

L’on ne parvient qu’à la moitié, et  être un saint, n’a rien d’humain.

À quoi sert  de suivre un idéal si, le mieux devient  l’ennemi du bien,

Si rien n’a de valeur  que ce qu’il représente  comme plus qu’humain.

Je ne suis pas philosophe et ne prétend pas l’être, le néant m’entourant

N’apporte aucune réponse à mon vide intérieur et porteur de non-sens.

Philosopher pour moi n’est ni apprendre à mourir ni apprendre à vivre,

Elle aide à comprendre le monde,  pour y être  mieux présent, survivre.

.

Survivre à soi, aux siens, à son destin, qui n’est pas  entièrement écrit :

Homme, livré à lui-même, orphelin, doit tracer, seul, sa voie, en sa vie.

C’est cela qui fait  sa force, et sa faiblesse, sa petitesse, et sa grandeur,

Sa responsabilité, respectabilité non devant Dieu mais le prochain.

La philosophie est comme la science, la psychologie et la poésie,

Qui sait ce qu’elle contient, retient, rejette, commence, finit !

.

.

Extensions

  .

Valeurs, idéaux, principes moraux et environnementaux

Tout cela est bon mais forment-ils, pour autant l’éthique

Sachant qu’elle se reporte à la norme plus qu’à la valeur

Que la religion impose elle-même ses codes et  ses règles

Comment s’y retrouver entre les cultures et humanismes

Avec les «fake news», d’aujourd’hui : y a de quoi douter

De la véracité et de la probité de nos dirigeants d’États !

 

Les idéaux comprennent un ensemble de valeurs

 Intellectuelles, morales, esthétiques … politiques

Correspondant  aux aspirations les plus élevées,

Qui soient de quelqu’un, ou collectivité, société,

Quant à atteindre  les fins qu’ils … souhaitent !

Chacun, chaque groupe, collectif,  génération,

 De la société idéale, aurait ses propres visions,

Allant du pragmatisme à l’utopie irréalisable,

Finissant dans le chaos, l’anarchie détestable,

Lorsque le mieux deviendra l’ennemi du bien !

 

 .

Calligramme 

.

La bourse aux valeurs,

Tout le monde connait

Aux idéaux : y en pas,

Sinon,   ça se saurait !

Idéaux  ne rapportent

Rien, au    commerce :

Il s’agit  B   d’humain,

Et qui le O    supporte.

Idéaux    U nous tirent

Vers le    R   plus haut,

Mais       S     attention

De tom    E       ber bas.

* ..

À force de  A       grimper

Une échelle  U             il n’y a

Plus aucun       X             barreau,

Pas même            *                d’idéaux !

La bourse au faux  V  pour s’appuyer au vrai

La bourse au bien  A  pour se préserver du mal

La course au dieu   L pour vie posthume,  idéale,

La bourse au beau  E    pour se démarquer du laid,

La bourse au corps  U   pour garder santé arbitraire,

La bourse au droit   R  pour plus de justice égalitaire.

S ……………..

Toutes ces bourses,  à perdre haleine et    …   sans répit,

Ne garantissent pas  une vie,  saine  de corps, ni d’esprit.

Elles  nous tirent  plus  haut  pour  redescendre  plus bas :

Laisse aller, c’est une valse, et   surtout,  ne te fatigue  pas !

Ce serait  un suicide  que de  vouloir  être  meilleur  en tout,

Et puis, de toute façon,  le monde,  tel qu’il existe,  s’en fout !

Qu’on s’améliore, qu’on  s’humanise,  qu’on  s’assagisse : bon,

Qui veut passer pour, vivre  comme, mourir  comme un : con !

Personne, à part celui qui l’est  déjà, ne risque pas de changer :

Qu’est-ce qu’une belle personne, qui n’a pas  d’amour à donner !

E  T      V   O   I   R    E       A  U  X      I   D  É  A  U   X   !

La bourse aux valeurs et aux idéaux, est un projet pour… demain.

L’on ne parvient qu’à la moitié, et  être un saint, n’a rien d’humain.

À quoi sert  de suivre un idéal si, le mieux devient  l’ennemi du bien,

Si rien n’a de valeur  que ce qu’il représente  comme plus qu’humain.

Je ne suis pas philosophe et ne prétend pas l’être, le néant m’entourant

N’apporte aucune réponse à mon vide intérieur et porteur de non-sens.

Philosopher pour moi n’est ni apprendre à mourir ni apprendre à vivre,

Elle aide à comprendre le monde,  pour y être  mieux présent, survivre.

Survivre à soi, aux siens, à son destin, qui n’est pas  entièrement écrit :

Homme, livré à lui-même, orphelin, doit tracer, seul, sa voie, en sa vie.

C’est cela qui fait sa force, et sa faiblesse, sa petitesse, et sa grandeur,

Sa responsabilité, respectabilité non devant Dieu mais le prochain.

La philosophie est comme la science, la psychologie et la poésie,

Qui sait ce qu’elle contient, retient, rejette, commence, finit !

 .

.

Forme

.

Réduction

.

Évocation

.

1139 4

.

Ça ressemble à une bouteille

De shampoing, pour cheveux,

Ou eau de Cologne comme parfum

Flacon de produit, dans tous les cas !

.

(P : forme pleine, = : rimes égales,

X : le fond s’éloigne ici de la forme)

Shampoing et parfum n’ont rien à voir

avec une quelconque bourse aux idéaux

ils auront des effets sur la tête, pas dedans

tant et si bien que la  forme diffère du fond.

 .

L’un n’empêche pas l’autre, tant on peut  

Bien se shampouiner,

Se parfumer, pour complaire aux autres,

Et voire à soi-même.

.

Symbolique

 .

Un   shampooing

Est produit cosmétique

Présenté  généralement

Sous  forme  de  liquide,

Crème,  avec  substances

Tensioactives permettant

De nettoyer toute chevelure

Et autant éventuellement de

Traiter cheveu et cuir chevelu

Et si utilisé, trop fréquemment,

Le shampooing pourrait détruire

La pellicule protectrice des cheveux,

Les graisses, et ainsi abîmer les cheveux.

techno-science.net/glossaire-definition/Shampooing

.

.

Fond

.

Évocation

.

1139 6

.

L’un n’empêche pas l’autre, tant on peut  

Bien se shampouiner,

Se parfumer, pour complaire aux autres,

Et voire à soi-même.

.

Symbolique

.

Classiquement, un parfum

Se décrit par des notes olfactives

Qui se différencient en notes de tête

(Celles  qui  seront liées  à la première

Impression olfactive,  les plus volatiles),

Notes de cœur (celles qui constituent le cœur

Du parfum et demeurent pendant plusieurs heures),

Et enfin notes de fond (celles qui persistent longtemps

Après que le parfum a été vaporisé et peuvent

Rester des mois sur un vêtement ou cheveux).

Wikipédia : parfum

 

Corrélations

Fond/forme 

.

Valeurs et idéaux mènent le Monde,

Contre vices et trahisons immondes,

Il faut avoir une belle façade, devant

Peu importe arrière   magasin puant.

Valeur humaine et valeur marchande

Soufflent parfois des vents contraires,

Bien que  les deux  idéaux  cohabitent.

La perte des repères,  mondialisation

Se traduit par guerre de domination

Qui un flot d’interrogations, suscite.

Bon shampoing  permet de se laver

La tête, à l’extérieur, en apparence

Mais pas à l’intérieur, conscience.

Et de moins en moins de valeurs,

Conduiraient à plus de normes !

Le monde moderne est fait ainsi

Qu’il perd la tête pour son corps

On appelle cela le matérialisme.

 .

Quatre  valeurs à débourser !

.

Scénario

Il n’y aurait pas que sur les mairies qu’on le remarque !

Les idéaux seront-ils bientôt remplacés par  les capitaux.

La preuve, voilà ce que vous trouverez à la place du cœur.

.

Voir prose et illustrations

1137 – Un combat pour la paix et l’humanitaire

Voir prose et illustrations 

.

Combattre

Pour paix durable,

Semble être oxymoron

Et, pourtant, c’est bien

Ce que  l’on  doit faire,

Pour l’obtenir, garder.

Et,  il en est  de même,

Pour …  l’humanitaire.

Agir  ou non rien faire,

Si souffrance  extrême,

Lors famine ou  guerre.

.

On est trop gentil : écrasé

Car c’est la loi du plus fort,

Et trop méchant : combattu,

Et pour retrouver  ses libertés,

Un équilibre, par la diplomatie !

.

C’est le symbole de fleur contre fusil

Qui a débuté à l’époque des hippies

Et qui est bien révolue à présent

Que les armes parlent autant.

Colombe contre  … faucon :

Cette analogie de la… terre

Profite aux  va-t’en guerre,

Qui peuvent hausser le ton.

Diplomatie,  contre conflits :

Ou ma parole   contre la vôtre !

.

Aidons-nous, les uns les autres :

Entre frères, il n’y a pas d’ennemi.

Trois manières d’illustrer le même

État de fait, lieux qui font problème :

Reste la chanson,  musique et poésie,

Des  armes … provoquant des larmes.

.

Tant la parole fait redoutables frappes

Quand ses mots  percent toute carapace,

En plein cœur plein esprit pleine confusion

Elle apporte : lumière,  émotion, à la raison.

.

Les chansonniers, les  mu siciens, les poètes,

Sont moins des prophètes que porte-paroles,

Des sentiments profonds des milliers de gens

Excédés par injustices faites  aux  déshérités.

.

La balance, chez eux, penchera du même côté,

Celui des pauvres, des enfants et des immigrés,

Ceux qui n’ont personne pour  se faire entendre

Et, bien plus encore, pour  se faire  comprendre.

.

Paroles que tout cela, paroles en l’air, rhétorique,

Le monde des réalités est pragmatisme,  politique,

Le Monde, peut-être, mais l’homme, lui, est unique :

Ne vit, ne pense, ne meurt qu’une fois même cynique.

.

J’ai fini de bailler aux corneilles, et, de vous endormir :

L’humanitaire est une autre terre, un continent délaissé

Où l’homme est toujours présent : ai lleurs, il est perdant.

.

 .

Extensions

 .

L’humanitaire est et restera

Toujours le « pot de terre »,

Une fragile médecine contre

Les puissances armées et qui

Prétendent régler  les conflits

À coups de  … « barre de fer ».

.

La paix ne pourrait se reposer sur

L’absence de guerre, l’humanitaire.

Elle n’est peut être garantie par un traité,

Il faudra faire des efforts, et cela sans relâche,

Pour la conserver : ce n’est pas une donnée

De Nature mais de Culture pour ne pas

Dire, d’éducation, de civilisation !

 .

La paix et l’égalité sont deux valeurs semblant aller de pair,

Pour les garder, essentiel est de ne pas commettre d’impair

Sinon ce sera la guerre, histoire de bien tout foutre en l’air.

 Et ça les humains, faux frères, en colère, savent bien la faire

À moins que ce ne soit par pays interposés ou le contraire.

.

La paix dans le Monde est une vue de l’esprit

Depuis que le Monde existe, les conflits

S’enchainent puis se déchainent

Parfois jusqu’à l’extrême.

En dehors de domination de force contraire

Et de tentatives secrètes … diplomatiques

Seuls, l’ambulance avec l’humanitaire,

Viennent au secours du tragique.

Dans l’humanitaire il n’y a que des gagnants,

Lors dans les guerres il n’y a que des perdants

Combat d’armes et discours est non égalitaire

Dans le premier, y aura que vengeance en l’air.

.

1137 – Calligramme

.

Combattre

Pour paix durable,

Semble être oxymoron

Et, pourtant, c’est bien

Ce que  l’on  doit faire,

Pour l’obtenir, garder.

Et,  il en est  de même,

Pour …  l’humanitaire.

Agir  ou non rien faire,

Si souffrance  extrême,

Lors famine ou  guerre.

.

On est trop gentil : écrasé

Car c’est la loi du plus fort,

Et trop méchant : combattu,

Et pour retrouver  ses libertés,

Un équilibre, par la diplomatie !

.

C’est le symbole de la   L     fleur contre le fusil

Qui a débuté de cette  ‘    époque des hippies

Et qui est bien       H  révolue à présent

Que les armes   U    parlent autant.

Colombe con   M    tre  … faucon :

Cette analo     A   gie de la… terre

Profite aux     N     va-t’en guerre,

Qui peuvent   I       hausser le ton.

Diplomatie,   T      contre conflits :

Ou ma parole A      contre la vôtre !

Aidons-nous,     les uns les autres :

Entre frères, il  R   n’y a pas d’ennemi.

Trois manières   E    d’illustrer le même

État de fait, lieu   *    qui font problème :

Reste la chanson   *       musique et poésie,

Des  armes         C     provoquant des larmes.

Tant la parole     O    fait redoutables frappes

Quand ses mots     M    percent toute carapace,

En plein cœur plein   B    esprit pleine confusion

Elle apporte : lumière,   A      émotion, à la raison.

Les chansonniers, les  mu   T       siciens, les poètes,

Sont moins des prophètes      *       que porte-paroles,

Des sentiments profonds des    P          milliers de gens

Excédés par injustices faites         O         aux  déshérités.

La balance, chez eux, penchera       U          du même côté,

Celui des pauvres, des enfants et       R            des immigrés,

Ceux qui n’ont personne pour se          *            faire entendre

Et, bien plus encore, pour se faire          L             comprendre.

Paroles que tout cela, paroles en l’air      A                 rhétorique,

Le monde des réalités est pragmatisme    *                 et politique,

Le Monde, peut-être, mais l’homme, lui    P                  est unique :

Ne vit, ne pense, ne meurt qu’une fois        A              même cynique.

J’ai fini de bailler aux corneilles, et, de        I                vous endormir :

L’humanitaire est une autre terre, un         X              continent délaissé

Où l’homme est toujours présent : ai          *             lleurs, il est perdant.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1137 4

.

Une tour,

Une lanterne :

Et une plateforme :

Un phare, assurément.

.

(P : forme pleine, = : rimes égales,

Y : le fond s’approche, ici, de forme)

 .

Phare et paix vont très bien ensemble

mais il ne suffit pas d’éclairer problème

il faut tout autant, voire sinon plus, agir

en ce sens la forme évoque bien le fond.

.

La paix serait comme un phare

Qui éclaire les consciences :

Qu’il cesse de briller en obscurité

Lors la guerre menace.

.

Symbolique   

 .

Le symbolisme du phare

Reste toujours très positif.

Il représentera la lumière

Qui guidera  les hommes.

 .

Il indiquera une direction

Et parfois un sens du sacré :

Comme  tour,  affirme verticalité.

 .

Cette construction possède cependant

Un sens  opposé : est faite  pour être vue

Alors que la tour est d’abord faite pour voir.

Le phare est porteur de lumière en l’obscurité.

Modifié, source : tristan-moir.fr/phare

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1137 6

.

La paix serait comme un phare

Qui éclaire les consciences :

Qu’il cesse de briller en obscurité

Lors la guerre menace.

.

Symbolique

 .

Le phare est toujours du côté de la paix,

De la lumière, ouverture vers l’extérieur

De la protection de soi, environnement

Lors la tour sera du côté de la guerre

De l’enfermement pour se défendre

De la  démonstration des armes

Et le combat pour la guerre,

Nuit fort à celui de la paix.

 .

.

Corrélations

Fond/forme   

 .

Le phare de la paix éclaire le Monde

Par sa lumière  blanche ou colorée,

Lors celui de la guerre, l’obscurcit,

De sa lumière sombre ou  noire.

 .

Humanitaire est soins de paix

La guerre est terreur d’enfer

Les deux  sont  des combats,

Non pas du bien contre mal,

 .

Mais civilisation / destruction

Ou de coopération / hégémonie

Ou dictature contre démocratie,

Et ce serait à  l’homme de choisir !

 .

.

L’humanitaire face à la guerre

.

Scénario

 .

Le symbole, le plus connu de la paix, reste une colombe.

La paix, c’est aussi l’égalité entre les hommes et femmes.

La paix, c’est aussi la justice légale avec l’égalité sociale !

.

Voir prose et illustrations 

1136 – Aller de l’imprécis à l’ambigu et au flou !

Voir prose et illustrations

.

Imprécis, je le suis

Toujours ;

Ambigu, je le suis

Souvent ;

Flou, je le suis

Parfois ;

Mais jamais

Et, par nature,

Les trois, à la fois.

.

Il n’en reste pas moins

Il est vrai que, les trois

Peuvent se confondre

Lorsque ma pensée

Profonde, se noie

Dans mes rêves

Ou rêveries.

.

La chose et  son nom,

Ont-ils points  communs !

L’intention et  son  fait,

Ont-ils mêmes parfums !

Un homme et une femme

Ont-ils mêmes  besoins !

.

Et si tout est approximatif

Pour le moins   est relatif :

Quel sujet reste affirmatif !

Car si tout reste nominatif,

Conjugué  ou  à   l’infinitif,

Qu’y aurait-il de définitif !

.

Je me crois  un homme  de bien.

Je n’en suis plus des plus certain,

Quand je fais du  tort  à quelqu’un,

Où est frontière entre le mal et bien.

.

J’affirme des choses si imprécises,

Avec des paroles, si mal comprises,

Parfois, le ton, ou  parfois, le  geste,

Les accompagnent ou les empestent.

.

Et quand il n’y a rien de transparent,

Ou que le discours n’est pas cohérent

Lors imprécis,  ambigus,  dans le flou,

L’emportent puis transforment le tout.

.

Quand une émotion bien trop pressée

De répondre à intime ou à ultime pensée

Je ne ferai rien d’autre  que me fourvoyer

À vouloir te persuader au lieu de t’écouter.

.

.

Extension

.

  « Ce que l’on conçoit bien,

S’énonce clairement et les mots

Pour le dire,  arrive aisément »

Citation de Boileau, et toujours

Et, de plus en plus,  d’actualité,

Avec l’expansion, médias, radios

Et les explosions des sites Internet

Et y compris, naturellement, le mien.

Oui, mais, voilà, c’était une époque, où

L’on prétendait pouvoir détenir … sinon

Approcher la vérité, qui entre nous soit dit,

Tombait du Ciel auquel il est difficile de croire

Aveuglément face avancée de science moderne.

On trouve aussi qu’il y a actuellement, du flou,

De l’ambiguë, de l’imprécis, dans la politique

Et cela ne va pas s’arranger pour les seniors

Avec la complexification croissante de la vie

Il faut être presque bachelier, pour s’en sortir.

Mais la poésie de nature avant tout évocatrice

Peut endosser être tantôt une part de chaque

Et tantôt être des plus lumineuse  et claire

Qui soit : c’est au lecteur de faire le tri,

C’est au lecteur de faire son choix.

 .

J’espère ne pas l’être, l’avoir été, le devenir

Tant, les trois à la fois, ça ferait beaucoup !

Être imprécis en sciences : laissez tomber !

Être ambiguë  en lettres : faudra  corriger !

Être flou en peinture : est-ce tableau raté ?

Expression  «où il y a du flou, y a un loup»

Ne vous  rappelle rien : de Martine Aubry.

La poésie, seule, peut se permettre, d’être,

Tantôt imprécise, tantôt ambiguë ou flou.

.

On ne sait lequel  de ces trois adjectifs

L’emporte sur les deux autres : un conseil

Aux politiques : soyez précis, clair et direct

Allez, faites un effort et trouvez-moi en un !

.

Croyez-moi, il y en a, et du moins au début

Mais peu à peu, la ruse ayant droit de cité,

Pour tenir la distance, croyance, en vérité.

La fonction crée l’organe : on se tiendrait

Entre demi-vérité étant demi-mensonge :

Je n’ai pas dit ça, vous avez mal compris !

Phrase, hors contexte, peut se contredire :

Demandez-le aux journalistes qui en usent.

.

.

Épilogue

.

« La connaissance des mots conduit

À la connaissance  des  …  choses »,

Nous dit Platon et repris par Boileau :

« Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent … aisément».

Que dire de plus sinon que c’est dans l’idéal.

***

Sophistication, appelée communément jargon,

Convient à certains experts, certaines professions

Tels que les médecins, les juristes, les savanturiers

Mais il faudra faire simple et juste pour vulgariser,

Sinon, le message passe haut au-dessus de nos têtes

Ce n’est pas qu’on le comprend : on ne l’entend pas.

***

Arrive que de jargonner sans maitrise sens des mots

Conduise à briller en société, à paraitre très cultivé,

Mais les retours et les questions qui fusent alors

Laisse ce pédant, des plus muets, embarrassé :

Ce n’est pas en parcourant pages d’un essai

Qu’on intègre sa substantifique moelle.

***

Imprécis, si c’est le cas, ça s’arrange,

En changeant, expliquant des mots.

Ambigu, plus subtil  à double sens,

Il faut tout reformuler, simplifier.

Flou, c’est à n’y rien comprendre,

De quoi il s’agit … laisse tomber !

.

.

1136 – Calligramme

.

Imprécis, je le suis

Toujours ;

Ambigu, je le suis

Souvent ;

Flou, je le suis

Parfois ;

Mais jamais

Et, par nature,

Les trois, à la fois.

 Il n’en reste pas moins

Il est vrai que, les trois

Peuvent se confondre

Lorsque ma pensée

Profonde, se noie

Dans mes rêves

Ou rêveries.

.

*******************

***********************

A   L   L   E   R         D   E

.

La chose et         L         son nom,

Ont-ils points     ‘      communs !

L’intention et      I             son  fait,

Ont-ils mêmes    M          parfums !

Un homme et      P        une femme

Ont-ils mêmes    R            besoins !

Et si tout est        É    approximatif

Pour le moins     C         est relatif :

Quel sujet reste   I          affirmatif !

Car si tout reste   S          nominatif,

Conjugué ou à      *             l’infinitif,

Qu’y aurait-il de   À             définitif !

 *

Je me crois  un      L homme  de bien.

Je n’en suis plus       des plus certain.

Quand je fais du    A   tort à quelqu’un,

Où est frontière     M entre mal et bien.

J’affirme des cho    B    ses si imprécises,

Avec des paroles,     I    si mal comprises,

Parfois, le ton, ou       parfois, le  geste,

Les accompagnent  U          les empestent.

 *

Et quand il n’y a ri   A  en de transparent,

Ou que le discours    U    n’est pas cohérent

Lors imprécis am       *     bigu, dans le flou,

L’emportent et puis    F     transforment tout.

Quand une émotion     L         bien trop pressée

De répondre à intime    O       ou à ultime pensée

Je ne ferai rien autre       U           que me fourvoyer

À vouloir te persuader      !       au lieu de t’écouter !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1136 4

.

C’est imprécis, ambigu,

Non, c’est  une  lampe,

Avec  un  faisceau  flou,

Ampoule électrique.

.

(S : forme stylisée, = : rimes égales

Y : le fond s’approche,  ici, de forme)

.

Une lampe torche produira une lumière

directrice pour un éclairement ponctuel

lors une ampoule électrique : un halo

si bien que la forme évoque le fond

.

Toute lampe, qu’elle soit à pétrole,

 À huile, ou bien… électrique

Est destinée à jeter sa lumière sur

 Toutes les ombres et les flous.

.

Symbolique

 .

La lampe,

Autant électrique,

À huile  ou  à  pétrole,

Représente toujours une

Lumière   intérieure,  une

Énergie,     des capacités,

Des talents      que  nous

Maîtrisons,   l’homme

Maîtrise la lumière

Avec un certain

Pouvoir et

D’allumer

Éteindre.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1136 6

.

Toute lampe, qu’elle soit à pétrole,

 À huile, ou ampoule électrique

Est destinée à jeter sa lumière sur

 Toutes les ombres et les flous.

.

Symbolique

 .

EUREKA !

L’ampoule,

Est le symbole de l’idée

Qui jaillit sans qu’on l’ait

Cherchée : hasard heureux,

Erreur fructueuse, sérendipité !

Qu’il s’agisse d’une lampe à huile,

À pétrole ou d’une lampe moderne,

Électrique, elle symbolise l’énergie

Que nous contrôlons, maîtrisons.

Dans la bande dessinée et le

Dessin animé, l’apparition

D’une idée est souvent

Représentée par lampe

À incandescence étant

Au-dessus de la tête

Du personnage.

 .

Corrélations

 Fond/forme 

 .

Le flou suscité par ampoule électrique

Peut recréer  une  ambiance  artistique,

Comme on peut voir en impressionnisme

L’ambiguïté, s’il y en a tiendra à la forme

Au sujet qu’on traite  plus qu’au contexte.

Peinture abstraite libère cette contrainte,

Il ne pourra plus y avoir d’imprécisions ;

Et parfois même plus d’interprétations.

.

Cercle pour le moins flou

.

Scénario

.

Imprécis : de quoi s’agit-il, de fragments ?

Ambiguë : regarde à gauche ou à droite ?

Flou : on n’y distingue vraiment rien ?

.

Voir prose et illustrations

1135 – Que sont la philosophie et la psychologie !

Voir prose et illustrations 

Ce n’est pas à moi de les définir,

Ils le sont, l’ont été bien avant moi !

Etymologiquement, philo pour…aimer,

Sophie pour sagesse, psycho pour … âme

Et logie pour parole, philo pour principes,

Valeurs et morales, et psycho pour actes,

Comportements : la philo  est  illustrée

Par Rodin, la psycho par mécanisme

D’échanges et des langages.

.

La philosophie est art du paradoxe :

Se battre contre tout en gant de boxe

La psychologie  est art du compromis

De se mettre à la place de l’autre aussi.

.

De même quand  cerveau, s’échauffant,

S’agite sans but en tous sens et librement,

Se repose en plein amour paradoxalement

On aime ce que l’on hait et réciproquement !

.

Voilà  bien des mystères, des comportements,

L’on ne sait pourquoi  et l’on ne sait comment :

L’on arrive à dire une chose et faire le contraire

Au point que notre attitude devienne arbitraire.

.

Pourquoi vouloir chercher à tout expliquer :

Savant nous taxerait de rationalité limitée,

Le médecin, de personnalité dupliquée,

Le poète, oxymoron alambiqué.

.

Cohérence est dans la durée

En accident de  parcours

Comme l’ultime recours

Des   cœurs  con-tra-riés,

Par  ennuis,  des  journées.

Eh bon sang  lors  je  me bats

Pour garder  retrouver  le calme

Mes émotions volent de haut en bas

Et, subitement, je  me trouve  bien las.

.

Sommeil, comportement, désir,  amour,

Fonctionnent au même rythme toujours,

Serait-ce alors    moi qui ne les suivrais pas,

En prenant les  libertés qui ne me vont pas.

.

Mon cerveau   trompé, se vengerait de moi

Me donnant idée blanche, noire à la fois,

S’il dit  je mens, il ne ment pas et moi :

Je ne le sais pas, reste perdu, sans foi.

.

De paradoxes en …   contradictions,

De délires, en mentales confusions,

Aurais-je explosé …  pour de bon

Et mélanger sentiment, raison,

Les prenant pour … passions

Inverses, et non adverses,

Là j’arrête pour de bon. 

.

.

Extension

  .

La philosophie

Parle plutôt de l’Homme

Avec un grand H tandis que

La psychologie parlera plutôt

D’homme avec un …  petit h !

.

C’est ce qui ferait la différence

Et qui fait même leur nécessité

Psychologie dérive de philosophie

Et médecine, entre autres, empruntant

Aussi à la biologie, pédagogie, sociologie.

 

La philosophie traitera des grands principes

Qui régissent l’Univers, les choses, les êtres !

Mais de toutes manières les deux s’avèrent

Très complémentaires et ce bien que

Très différentes et diversifiées.

 .

La psycho est issue de la philo.

La psycho ne vise pas la sagesse :

Elle s’adresse plus à toute détresse,

De névrose en psychose, autre maux.

Le cœur a même raison que le cerveau.

Psycho s’adresse à homme en particulier

Et philo s’adresse à l’homme… en général !

.

Bon nombre de sciences humaines,

Théoriques, appliquées, enseignées,

Cherchent à se valoriser et protéger,

Par diplômes décernées Universités,

.

L’expérience en la matière ne suffit pas

Tout le monde peut se dire psychologue

En allant du coaching au charlatanisme

Mais Société/État ne le reconnaitra pas.

.

Exerçant  comme  psychologue praticien,

Il est recommandé sinon exigé d’être suivi

Par un,  si ce n’est plusieurs,  de ses pairs,

Pour éviter des dérives, pertes objectivité.

 

.

1135 – Calligramme

.

Ce n’est pas à moi  Q   de les définir,

Ils le sont, l’ont été  U  bien avant moi !

Étymologiquement,  E philo pour…aimer,

Sophie pour sagesse  *   psycho pour … âme

Et logie pour parole,  S philo pour principes,

Valeurs et morales,  O et psycho pour actes,

Comportements : N  la philo  est illustrée

    Par Rodin, la     T psycho par mécanisme

D’échanges       *      et   des  langages.

La philosophie   L  est art du paradoxe :

Se battre contre   A    tout en gant de boxe

La psychologie      *   est art du compromis

De se mettre à la  P    place de l’autre aussi.

De même quand    H     cerveau, s’échauffant,

S’agite sans but en  I      tous sens et librement,

Se repose en plein    L     amour paradoxalement

On aime ce que l’on    O     hait et réciproquement !

Voilà  bien des mystè    S      res, des comportements,

L’on ne sait pourquoi    O      et l’on ne sait comment,

L’on arrive à dire une     P   chose et faire le contraire

Au point que notre atti  H  tude devienne arbitraire.

Pourquoi vouloir cher   I     cher à tout expliquer :

Savant nous taxerait   E   de rationalité limitée,

Le médecin, de per       sonnalité dupliquée,

Le poète, oxymo     P       ron alambiqué.

Cohérence est      S       dans la durée

En accident       Y     de   parcours

Comme l’ul      C    time recours

Des   cœurs     H     con-tra-riés,

Par ennuis       O     des  journées.

Eh bon sang    L    lors  je  me bats

Pour garder    O    retrouver le calme

Mes émotions   G   volent de haut en bas

Et, subitement  I   je  me trouve  bien las !

Sommeil, com  E  portement, désir, amour,

Fonctionnent    *  au même rythme toujours,

Serait-ce alors    moi qui ne les suivrais pas,

En prenant les  libertés qui ne me vont pas.

Mon cerveau   trompé, se vengerait de moi

Me donnant idée blanche, noire à la fois,

S’il dit  je mens, il ne ment pas et moi :

Je ne le sais pas, reste perdu, sans foi.

De paradoxes en …   contradictions,

De délires, en mentales confusions,

Aurais-je explosé …  pour de bon

Et mélanger sentiment, raison,

Les prenant pour … passions

Inverses, et non adverses,

Là j’arrête pour de bon. 

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation

.

1135 4

.

 

Une forme … étrange

Mais qui ressemble fort

À une tondeuse à barbe 

Bien plus  qu’à un rasoir ?

.

(P : forme pleine, = : rimes égales

X : le fond s’éloigne de la forme)

.

La philosophie et la psychologie

Ne sont pas rasoirs, loin s’en faut,

Ni au sens propre, prophète à barbe,

Ni figuré, qui serait fort ennuyeux.

.

Symbolique  

 .

Un rasoir est

Appareil destiné

À couper  les poils :

Barbe, cheveux, pubis,

Jambes, et les aisselles,

Tant  chez  les  hommes

Que  chez  les …  femmes.

 .

On appelle « rasoirs humides »

Ceux nécessitant l’usage lubrifiant

Huile d’amande douce, savon à barbe,

Mousse à raser, ou encore gel de rasage

Comme le rasoir droit, rasoir de sécurité.

Par opposition, le « rasoir sec »,

Comme le rasoir électrique,

S’utilise à même la peau.

fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1135 6

.

Philosophie et psychologie

Ne sont pas rasoirs, loin s’en faut :

Ni au sens propre, prophète à barbe,

Ni figuré, qui serait fort ennuyeux.

.

Symbolique    

 

La barbe est

Symbole de divinité,

Du savoir et de la virilité.

Peut aussi évoquer négligence.

En France, et, en Europe, la barbe

A été adoptée (courante XVIe siècle)

Puis  disparait au siècle suivant, pour

Réapparaître au XIXe siècle.

 

Et après être passée  de mode,

Pendant   décennies, elle revient

En force en ce début de XXIe siècle

Mais elle est  davantage considérée

Comme un accessoire esthétique que

Comme un objet  de sens symbolique.

1001symboles.net/symbole/sens-de-barbe.

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Quantité de philosophes barbus, imberbes,

Ce n’est pas parce qu’on attribue une qualité

À un aspect d’une personne, qu’elle la possède.

Les chauves sont ceci, les frisés sont comme cela

Qu’elle soit ou non objet de séduction, affirmation !

Pourquoi pas, selon les gens, les modes, interactions

Ce n’est qu’une légende, tant on change de registre

Lors on passe des apparences à  la profondeur

Puis à l’intimité, puis à l’âme de l’Homme

Qui nous échappe de l’extérieur.

 .

.

Psychologie hauteur, profondeur

.

Scénario

.

Le Penseur de Rodin, une des figures de la philosophie.

Les sept voies voire sept piliers de la sagesse dont la vôtre.

Nos pensées et nos émotions : cerveau et cœur à l’équilibre !

.

Voir prose et illustrations 

 

1134 – Lointain Cosmos, qu’en savons-nous au juste !

Visuels et textuels

De notre

Planète Terre : qu’en savons-nous

Qu’elle est …  ronde, qu’elle est … unique.

Plus on s’éloigne d’elle, moins l’on en sait

Et pourtant … toutes les traces seront là,

De son long passé et qui nous parle.

.

Le Cosmos est si disproportionné

Par rapport  à  petite Humanité,

Qu’on a du mal à se représenter

Ce qu’on y fait, pourquoi existe.

.

Si, ne sommes astrophysiciens,

Nous n’en savons presque rien

Planètes,  étoiles,  vide sidéral :

Rien là d’étrange,  ni d’anormal.

.

Lors, derrière ses secrets, y en a

Combien d’autres, jusqu’à l’infini

Il ne suffit pas de regarder le ciel,

Pour le comprendre  trop facile :

Lors derrière ses secrets, il y en a

Combien d’autres jusqu’à l’infini.

.

L’Univers est courbe, il se diffuse,

Nous dit Einstein, depuis Big Bang,

Instant suprême  du commencement,

Qu’y avait-il avant cela nul ne le sait !

.

Très au-delà de notre Galaxie Terrestre,

Des milliers  d’autres, se donnent  à voir,

En spirales, en couronnes, ou en noyaux,

Elles sont toutes de vrais, de purs joyaux.

.

Des millions d’étoiles ont déjà  disparues,

Quand nous en percevons leurs lumières

Et il en sera de même du soleil un jour

Tout disparaît, renait dans un  four.

.

Le  Cosmos : chaudron   magique,

Demeure   bien   énigmatique

Aux  humains, éberlués,

Par tant de beauté !

.

.

 Extensions

 .

Nous sommes un grain de sable en Univers

Incommensurable  et plus  nos instruments

Nous  permettent  de voir loin, et  plus  nous

Prenons  conscience   d’expansion,  infinitude.

A la question, d’où vient l’univers, où s’agrandit-il

N’avons que réponses parcellaires, insatisfaisantes.

Y a des étoiles qui naissent, d’autres qui meurent ;

L’Univers n’est pas qu’en expansion, vers l’intérieur,

Il  est  autant  en  transformation  de  l’intérieur   et

La découverte de l’existence réelle des «trous noirs»

Sortes  d’aspirateur  de densification  de la matière,

Y compris de la lumière, est là pour nous le prouver.

Quand l’humanité, la vie, la planète Terre elle-même,

Notre Galaxie aura disparu, que restera-t-il de la vie

À moins qu’elle ne se transporte ailleurs, mais ce ne

Peut être qu’une possibilité à laquelle, aujourd’hui,

Il n’est pas possible d’adhérer, ni même  d’espérer.

Nous sommes livrés à nous-même : point c’est tout

La mort guette notre planète tout autant que nous

Ce d’autant …sommes responsables de son avenir.

.

Plus nous approchons des confins du Cosmos

À travers  les télescopes, satellites, et sondes,

Plus celui-ci s’éloigne vers l’infini de son vide

On ne sait d’ailleurs pas en certitude absolue

«Ni le pourquoi du Big bang ni le comment »

Il paraitrait qu’il aurait d’autres dimensions

D’autres énergies, matières, ondes, formes !

C’est dire que nous en savons peu de choses.

.

La cosmologie est la science des lois générales,

 Par lesquelles l’Univers est structuré, gouverné.

L’univers est rempli de trois formes de matières :

Matière ordinaire (atomes, molécules, électrons),

Pour environ 5 % de la composition de l’univers ;

Matière noire (ou matière sombre), composée de

Particules massives étant non détectées à ce jour,

Entrant à environ 25 % de la composition totale ;

Énergie noire, entrant à 70 % dans la composition

Contenu matériel de l’Univers : étant mal connue.

Ce qui donne, pour nous, de grands étonnements

Mais qui s’amplifient encore par ses dimensions

On estime à 10 millions, nombre de superamas

Situés dans l’Univers observable on estime à :

10 millions, le nombre total  des  superamas

25 milliards le nombre d’amas de galaxies ;

350 milliards nombre galaxies massives ;

30 000 milliards de milliards (3×1022)

En résumé d’un partie d’article dans Wikipédia.

.

.

134 – Calligramme

.

De  notre

Planète Terre :   Q   qu’en savons-nous

Qu’elle est …  ronde,   U     qu’elle est … unique.

Que plus on s’éloigne d’   E   elle, et moins on en sait

Et pourtant … toutes    *     les traces seront là,

De son long passé      S    et qui nous parle.

Le Cosmos est si       A    disproportionné

Par rapport  à  pe    V    tite Humanité,

Qu’on a du mal à    O    se représenter

Ce qu’on y fait,       N     ce qui existe

Si, ne sommes ast  S     rophysiciens,

Nous n’en savons   *      presque rien

Planètes,  étoiles,   N    vide sidéral :

Rien là d’étrange,   O   ni d’anormal :

Lors, derrière ses   U    secrets, y en a

Combien d’autres,     jusqu’à l’infini

Il ne suffit pas de       *    regarder le ciel,

Pour le comprendre          L      trop facile :

Lors derrière ses secrets,       O           il y en a

Combien d’autres jusqu’à        I             l’infini.

L’Univers est courbe,          N            il se diffuse,

Nous dit Einstein,          T           depuis Big Bang,

Instant suprême            A        du commencement,

Qu’y avait-il avant           I           cela nul ne le sait !

Très au-delà de notre        N        Galaxie Terrestre,

Des milliers d’autres,           *      se donnent à voir,

En spirales, en couronnes,     C        ou en noyaux,

Elles sont toutes de vrais, de    O      purs joyaux.

Des millions d’étoiles ont déjà    S     disparues,

Quand nous en percevons leurs  M   lumières

Et il en sera de même du soleil   O un jour

Tout disparaît, renait dans un   S  four.

Le  Cosmos : chaudron   magique,

Demeure   bien   énigmatique

Aux  humains, éberlués,

Par tant de beauté !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1134 4

.

Un beau  vase

Et pourquoi pas

Tout  autre  chose,

Autre dimension !

.

(C : forme creuse, # = rimes mixtes

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

.

On peut représenter le cosmos

En toutes dimensions possibles

Il  en resterait, toujours, quelques

Zones d’ombres et des trous noirs.

.

Symbolique    

 .

La  pensée  symbolique

Met en œuvre symboles,

C’est-à-dire : des   images

Des allégories,   paraboles,

Métaphores,  dans des mots.

 .

Même les symboles graphiques,

Visuels, quand ils ne sont abstraits

Une forme géométrique, un paysage

Ne sont symboles qu’en tant que mots

 .

Car la conscience humaine reste une

Lecture mentale, elle est langage,

Interprète les mots autrement

Que selon le schéma binaire

Faisant correspondre signifié

À un signifiant réduisant symbole

À n’être qu’un signe, un attribut

Balance symbole de la justice

En une autre dimension

toiles-et-poemes.com/pdf/

trois-dimensions-symbole.

.

.

Fond

 

Évocation

.

1134 6

.

On peut représenter le cosmos

En toutes dimensions possibles

Il  en resterait, toujours, quelques

Zones d’ombres et des trous noirs.

 

Symbolique   

L’ombre est une partie

De la psyché formée

De la part individuelle

Qui ne se connaît pas elle-même,

Et dont l’existence même est souvent ignorée.

 

Figurée dans de nombreuses cultures

Et mythes sous la forme du personnage

Maléfique, patibulaire mais néanmoins

Ayant statut de double du héros,

Représentant le moi, l’ombre

Se retrouve également dans

Les rêves, et dans les projections

Corrélations

Fond/forme 

 

Le cosmos n’a pas de dimension

Dès lors qu’on le considère infini,

Majeure partie reste dans l’ombre

Inaccessible à notre connaissance

Or il demeure le symbole du Tout,

Et nous ne sommes que poussière,

Et bien que nous soyons une perle

Rien n’empêche qu’il nous ignore

S’ignorant peut-être lui-même,

Ce qui nous parait  absurde :

Cosmos devient corps-mort.

 

Scénario

 

Lointain cosmos pour ne pas dire ……… incommensurable,

tant au télescope je n’atteins pas la frontière de Galaxie Solaire,

et à vouloir y aller, laissons faire sondes spatiales plutôt que nous.

.

.

Visuels et textuels

.

.

Forme

Réduction

.

1134 0

.

Évocation

.

1134 4

.

Un beau  vase

Et pourquoi pas

Tout  autre  chose,

Autre dimension !

.

(C : forme creuse, # = rimes mixtes

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

.

On peut représenter le cosmos

En toutes dimensions possibles

Il  en resterait, toujours, quelques

Zones d’ombres et des trous noirs.

.

Symbolique    

 .

La  pensée  symbolique

Met en œuvre symboles,

C’est-à-dire : des   images

Des allégories,   paraboles,

Métaphores,  dans des mots.

 .

Même les symboles graphiques,

Visuels, quand ils ne sont abstraits

Une forme géométrique, un paysage

Ne sont symboles qu’en tant que mots

 .

Car la conscience humaine reste une

Lecture mentale, elle est langage,

Interprète les mots autrement

Que selon le schéma binaire

Faisant correspondre signifié

À un signifiant réduisant symbole

À n’être qu’un signe, un attribut

Balance symbole de la justice

En une autre dimension

toiles-et-poemes.com/pdf/

trois-dimensions-symbole.

.

.

Fond

 

Évocation

.

1134 6

.

On peut représenter le cosmos

En toutes dimensions possibles

Il  en resterait, toujours, quelques

Zones d’ombres et des trous noirs.

 .

Symbolique   

.

L’ombre est une partie

De la psyché formée

De la part individuelle

Qui ne se connaît pas elle-même,

Et dont l’existence même est souvent ignorée.

 

Figurée dans de nombreuses cultures

Et mythes sous la forme du personnage

Maléfique, patibulaire mais néanmoins

Ayant statut de double du héros,

Représentant le moi, l’ombre

Se retrouve également dans

Les rêves, et dans les projections

Corrélations

Fond/forme 

 

Le cosmos n’a pas de dimension

Dès lors qu’on le considère infini,

Majeure partie reste dans l’ombre

Inaccessible à notre connaissance

Or il demeure le symbole du Tout,

Et nous ne sommes que poussière,

Et bien que nous soyons une perle

Rien n’empêche qu’il nous ignore

S’ignorant peut-être lui-même,

Ce qui nous parait  absurde :

Cosmos devient corps-mort.

 

Scénario

 

Lointain cosmos pour ne pas dire ……… incommensurable,

tant au télescope je n’atteins pas la frontière de Galaxie Solaire,

et à vouloir y aller, laissons faire sondes spatiales plutôt que nous.

.

Visuels scénarios

.

1134 1

Lointain cosmos pour ne pas

dire ……… incommensurable,

.

1134 2

tant au télescope je n’atteins pas

la frontière de la Galaxie Solaire,

.

 1134 3

et à vouloir y aller, laissons faire

les sondes spatiales plutôt que nous !

.

Textuel calligramme

.

De notre planète Terre, qu’en savons-nous : qu’elle est ronde, qu’elle est unique. Plus on s’éloigne d’elle, et moins on en sait et pourtant les traces sont là d’un long passé qui nous parle. Le Cosmos est si disproportionné par rapport à notre petite Humanité qu’on a bien du mal à se représenter ce qu’on y fait, et pourquoi il existe !

Si nous ne sommes astrophysiciens, nous n’en saurons presque rien, planètes, étoiles, et vide sidéral : rien là d’étrange, ni d’anormal ! Il ne suffit pas de regarder le ciel pour le comprendre : trop facile, lors derrière ses secrets, il y en a combien d’autres jusqu’à l’infini. L’Univers est courbe, il se diffuse, nous dit Einstein, depuis Big Bang, instant suprême, du commencement, qu’y avait-il avant, ça, nul ne le sait ! Très au-delà de notre galaxie terrestre, des milliers d’autres, se donnent à voir, en spirales, en couronnes ou en noyaux, elles sont toutes de vrais, de purs joyaux. Des millions d’étoiles ont déjà  disparues quand nous en percevons leurs lumières et il en sera de même du soleil un jour tout disparaît et renait dans un four. Le Cosmos, chaudron magique demeure bien énigmatique aux humains éberlués par tant de beauté !

Textuel extension

.

+  Nous sommes un grain de sable en Univers incommensurable et plus nos instruments nous permettent de voir loin, plus nous prenons conscience de son expansion et de son infinitude. A la question, d’où vient l’univers et dans quoi s’agrandit-il , nous n’avons que des réponses parcellaires, insatisfaisantes. De plus, il y a des étoiles qui naissent et d’autres qui meurent ; l’Univers n’est pas qu’en expansion, vers l’intérieur, il est autant en transformation de l’intérieur et la découverte de l’existence réelle des « trous noirs, sortes d’aspirateur de densification de la matière, y compris de la lumière, est là pour nous le prouver. Quand l’humanité, la vie, la planète Terre elle-même, notre Galaxie aura disparu, que restera-t-il de la vie, à moins qu’elle ne se transporte ailleurs mais ce ne peut être qu’une possibilité à laquelle, aujourd’hui, il n’est pas possible d’adhérer, ni même d’espérer. Nous sommes livrés à nous-même, un point c’est tout et la mort guette notre planète tout autant que nous et ce d’autant que nous sommes responsables de son avenir.

& Plus nous approchons des confins du Cosmos à travers les télescopes, satellites, et sondes, pus celui-ci s’éloigne vers l’infini de son vide. On ne sait d’ailleurs pas, en certitude absolue, «Ni le pourquoi du Big bang ni le comment ?» Il paraîtrait qu’il aurait d’autres dimensions, d’autres énergies, matières, ondes, formes ! C’est dire que nous en savons peu de choses.

# La pensée symbolique met en œuvre des symboles, c’est-à-dire des images (allégories, paraboles, métaphores), donc des mots : même les symboles graphiques, visuels, abstraits (une forme géométrique, un paysage) ne sont symboles qu’en tant que mots, car la conscience humaine est une lecture mentale, elle est langage. Elle interprète les mots autrement que selon le schéma binaire qui fait correspondre un signifié à un signifiant réduisant le symbole à n’être qu’un signe, un attribut. (balance symbole de la justice)  toiles-et-poemes.com/pdf/trois-dimensions-symbole.

+  Nous sommes un grain de sable en Univers incommensurable et plus nos instruments nous permettent de voir loin, plus nous prenons conscience de son expansion et de son infinitude. A la question, d’où vient l’univers et dans quoi s’agrandit-il , nous n’avons que des réponses parcellaires, insatisfaisantes. De plus, il y a des étoiles qui naissent et d’autres qui meurent …

1133 – A force de ne jamais savoir, pouvoir, vouloir !

Visuels et textuels  >>

.

Et c’est à  force  de

De remettre cent fois

Le métier sur ouvrage

Et si  ce n’est  l’inverse

Comme  dirait  Boileau,

Qu’on finirait par perdre

Le fil premier  de sa pensée,

 Et digresser dans ses coulisses.

.

Entre ne pas savoir et tout savoir

Il y a comme un gouffre  à remplir,

Il en est  de  même : vouloir, pouvoir,

Tant on n’en finit jamais de dé cevoir

Et si l’école  nous apprend tout et rien

C’est un commencement  non, une fin.

.

À  force de ne jamais savoir,

À force de ne jamais pouvoir,

.

Force essayer ou force   de   surseoir,

Force de ne jamais vraiment vouloir,

J’ai comme  l’impression m’accrocher,

En rythme tant qu’en rime  et sa plume

Au crochet de la  poésie, dans sa…Lune

Pour voir  en ma nuit,  un soleil  briller,

Un soleil  de midi  ou  soleil de minuit,

Ajoutant  à mon œuvre, ombre portée

Qui en le maelstrom de mes pensées

Donne un  nouvel  horizon  au  récit.

.

Il me suffit alors  persévérer,  croire

En quelque  destin  étant  le  mien

Pour qu’un te  art enfin se déclare,

En moi comme discours arlésien

Belles paroles dès lors s’envolent,

Vers des sommets pour beautés,

Mots s’enchainent : farandoles

Sans point entrave  formalité

À force  de  vouloir  l’écrire

Ce qui me traverse l’esprit,

J’espère  atteindre  le vôtre,

Pour partager  mes  soucis :

Par mes paroles,  et contraires

À votre vie, si des plus ordinaires

Dès lors impropre   à vous satisfaire.

.

 .

Extensions

 .

Il me faudra bien distinguer

Le « flot » du « flux » de pensées ;

Le flot vient en quantité et en désordre,

Tandis que le flux vient en qualité et en ordre.

Le flot s’impose à moi comme des mots à choisir

Et à gérer tandis que le flux est comme une pelote

De phrases préconstruites, que j’ai juste à dévider.

Dans ce dernier cas, je ne sais si ce sont les mots

Qui gouvernent ma pensée ou …  le contraire

Mais je n’en ai que faire, je me contente

De les relier, relire, corriger, parfaire.

.

Savoir ou le premier des quatre mousquetaires

Pouvoir ou les moyens de presque tout faire,

Vouloir ou l’intention de débuter et de finir

Écrire suppose bien évidement les trois

Savoir est connaitre les littératures,

Pouvoir est  se mettre en posture,

Vouloir est mettre sa signature.

.

SPV ou savoir, pouvoir, vouloir.

Est-ce que suis au courant du fait…

Est-ce que je peux faire quelque chose

Est-ce que j’aurai envie, intérêt à le faire

.

L’information, une fois vérifiée sa source

Serait donc bien le premier déclencheur

Qu’on nie par la suite si ça tourne mal

Pouvoir est lié à sa fonction et statut

Tandis que vouloir : à sa personne !

.

Je sais écrire, et je peux écrire,

Certes, comme tout le monde

Mais quel sera mon intérêt

Surtout celui des autres

En lecteurs assidus

De mon œuvre !

.

.

1133 – Calligramme

.

Et c’est à   …     force  de

De remettre     cent fois

Le métier sur   ouvrage

Et si ce n’est      l’inverse

Comme dirait     Boileau,

Qu’on finirait   par perdre

Le fil premier  de sa pensée,

 Et digresser dans ses coulisses.

Entre ne pas savoir et tout savoir

Il y a comme un gouffre  à remplir,

Il en est  de  même : vouloir, pouvoir,

Tant on n’en finit jamais de dé  *  cevoir

Et si l’école  nous apprend     J tout et rien

C’est un commencement   A     non, une fin.

À  force de ne                M           jamais savoir,

À force de ne            A            jamais     pouvoir,

Force essayer        I          ou force   de   surseoir,

Force de ne       S            jamais vraiment vouloir,

J’ai comme     *             l’impression  m’accrocher,

En rythme    S             tant qu’en rime et sa plume

Au crochet  A             de la  poésie, dans sa … Lune

Pour voir    V             en ma nuit,  un soleil  briller,

Un soleil     O             de midi  ou  soleil de minuit,

Ajoutant     I              à mon œuvre, ombre portée

Qui en le      R             maelstrom de mes pensées

Donne un      *             nouvel  horizon  au  récit.

Il me suffit       V         alors  persévérer,  croire

En quelque        O          destin  étant  le  mien

Pour qu’un tel      U         art enfin se déclare,

En moi comme       L         discours arlésien

Belles paroles dès,   O          lors s’envolent,

Vers des sommets      I         pour beautés,

Mots s’enchainent       R          farandoles

Sans point entrave         *         formalité

À force de vouloir           P           l’écrire

Ce qui me traverse          O        l’esprit,

J’espère  atteindre          U       le vôtre,

Pour partager  mes        V         soucis :

Par mes paroles,  et     O       contraires

À votre vie, si des      I    plus ordinaires

Dès lors impropre    R   à vous satisfaire.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1133 4

.

Un beau vase

Ou alors un flacon

 De parfum,  de savoir,

Pouvoir, d’influence, etc.

.

(forme creuse, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Flacon de parfum a peu à voir avec

les trois thèmes  du texte poétique,

malgré son grand effet d’influence

ainsi la forme se distingue du fond

.

Le parfum du savoir est un parfum

Qui ne tiendra pas au corps :

Parfois il suscite influences du pouvoir,

Et du vouloir sur les autres !

.

Symbolique 

 .

La subtilité du parfum

Est insaisissable et pourtant

L’apparence est réelle symboliquement

À une présence spirituelle et à la nature de l’âme.

.

La persistance du parfum d’une personne

Après le départ de celle-ci, évoque une

Idée de durée et de souvenir.

.

Le parfum symbolise la mémoire

C’est en ce sens son l’utilise encore

Dans  les  cérémonies   funéraires.

.

Les parfums facilitent  l’apparition

D’images et de scènes significatives

Qui suscitent et orientent à leur tour

Des émotions et des désirs,

D’un passé lointain.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1133 6

.

Le parfum du savoir est un parfum

Qui ne tiendra pas au corps :

Parfois il suscite influences du pouvoir,

Et du vouloir sur les autres !

 .

Symbolique 

.

De tout temps, chaque individu

Vivant en société, reçoit influences,

Provenant de son milieu de vie, sa famille

Par tendances et modes qui s’y dessinent,

Et  par les autres individus avec lesquels

Il  partage, quotidiennement, des règles

Et des normes établies, bien respectées.

.

Le consommateur subit, volontairement

Ou non, toutes sortes de pressions sociales.

Ces pressions le mèneront souvent à modifier

Son comportement, habitudes de consommation,

Et, parfois même, ses croyances, dans le but  d’être

Socialement accepté, reconnu par majorité de gens.

Source : joiedevie.forumpro.fr/t15923-symbolique-des-parfums

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Drôle de fonction que celui d’influenceur,

Et qu’on paie cher pour affirmer tendance

Voire la susciter,  comme  autoréalisatrice

Que ce soit  en commerce  ou  en politique

Lors, à vrai dire, tout le monde influence

D’une manière ou d’une autre, par choix

Puis le rationalisant, mais a posteriori.

Sur les conseils de …     j’ai décidé de….

Ne se fiant qu’aux recommandations.

Manque de temps, confiance, risque !

 .

.

Ni savoir, ni vouloir, ni pouvoir !

.

Scénario

.

À force de ne jamais savoir,

À force de ne jamais … pouvoir

À  force  de  ne  jamais  …  vouloir

Qu’écrire nous mènera quelque part !

 .

Visuels et textuels  >>

1132 – Je suis nul en tout : ignorance sans lacune !

Visuels et textuels  >>

.

Je suis nul, je suis un  bel ignorant,

En grammaire, comme en calcul,

Je suis ignorant  parce que nul !

.

Je sais aligner des mots, chiffres

Mais leur donner un sens, non :

Je sais me comporter en société,

Mais de trouver des idées, point.

.

J’envie mes collègues, mes amis,

Qui étalent leurs sciences infuses,

Quoique dès qu’on creuse un peu

Ils ne valent, de moi, guère mieux.

.

Je suis nul en tout, c’est pas le souci

Tant que c’est moi qui le sait et le dit,

Je pourrai toujours appuyer mes faits

Sur le peu de culture,   que  je  connais.

.

Peu est beaucoup pour les analphabètes,

Lors beaucoup est peu pour les moins bêtes,

Tout est relatif,  tant la connaissance absolue,

Ferait de nous des dieux, et non plus ses élus.

.

Élus à l’accession des savoirs qui s’apprennent,

Pour peu qu’on en dispose, qu’on les comprenne,

Lors plus je sais, moins je suis certain de connaître

Ce qui, en ce monde, a bien pu me faire apparaître.

.

L’humanité vit en un néant possédant cette faille,

 À part lui, n’y a-t-il donc rien d’autre  *  qui vaille

Que l’on s’y intéresse si tout doit disparaître

Comme l’ardoise magique : ne plus être !

.

Le langage est un code parmi d’autres

Qui nous permet  gloser à l’infini

Pour parole sensée, neuf autres

Ne sont, ne font rien, du bruit.

.

.

Extensions

 .

Qui ne connait  la différence  entre

L’homme idiot regardant le doigt

Pointé vers direction tandis que

L’homme normal regarde l’endroit

Qu’il veut désigner qui est loin de lui.

Mais si l’un est myope et l’autre, presbyte,

Il ne s’agit plus de savoir : de capacité à voir.

.

Notre connaissance des choses, gens, évènements

Ne peut être que lacunaire, orientée, voire limitée

Car elle a besoin, sans cesse, d’être remis à jour

En fonction de nouveaux savoirs ou éléments :

On appelle cela, l’enquête pour l’instruction

Du dossier, puis complément d’enquête,

Puis réexamen des faits à la lumière de…

.

Rien à voir  avec  l’Instruction Publique

Ni l’éducation familiale, deux processus

Qualifiant  apprentissage, mémorisation,

Hors contextes ou hors actes particuliers.

.

Faire l’idiot alors qu’on sait pertinemment

Que … c’est un peu comme  prêcher  le faux

Pour savoir le vrai : on est là en la stratégie

Si ce n’est parfois, tromperie, diplomatie

Le vrai mensonge ou la fausse vérité.

.

Ignorant en tout, est impossible, même en étant idiot.

Qu’est-ce qui définit  qu’un homme est  cultivé, érudit ?

L’idiot sait très peu de choses,  l’érudit  ne sait pas tout :

Un expert pointu saurait presque tout sur presque rien,

Un ignorant ne saurait rien et aurait un avis sur tout.

.

J’ignorais que je manquais à ce point d’instruction

Que ma connaissance était limitée et proche de zéro

Je suis passé à côté de l’instruction, culture générale

Tel échec pourrait m’être attribué comme une faute.

.

Il nous faudra faire une différence en cas de  torture

Entre celui qui avouer : je sais rien mais je dirai tout

Et je sais tout mais je ne dirai rien, fausse ignorance

Innocent les mains pleines, appellerait-on ce dernier

.

Vous n’êtes pas sans ignorer voudra dire vous savez

 La particularité de ce qu’on appelle double négation

Et si j’ignore cette règle, je ferai un vrai contresens,

Qui suscitera, de part et d’autre, incompréhension.

.

.

1132 – Calligramme

.

Je suis nul, je suis un  bel ignorant,

En grammaire,  comme en calcul,

Je suis ignorant  *  parce que nul !

Je sais aligner des  I  mots, chiffres

Mais leur donner   G  un sens, non !

Sais me compor    N   ter en société,

Mais de trouver    O  des idées point.

J’envie mes col     R    lègues, et amis,

Qui étalent leurs   A    sciences infuses,

Quoique dès qu’    N   on creuse un peu

Ils ne valent, de      C   moi guère mieux.

Je suis nul en tout   E     c’est pas le souci

Tant que c’est moi     *    qui le sait et le dit

Je pourrai toujours     S     appuyer mes faits

Sur le peu de culture,      A          que je connais.

Peu est, beaucoup, pour      N       les analphabètes,

Lors beaucoup est peu pour     S        les moins bêtes :

Tout est relatif tant la connais     *           sance absolue,

Ferait de nous des dieux, et non     L            plus ses élus.

Élus à l’accession des savoirs qui      A         s’apprennent,

Pour peu qu’on en dispose, qu’on les    C         comprenne,

Lors plus je sais, moins je suis certain   U     de connaître

Ce qui, en ce monde, a bien pu me faire N    apparaître.

L’humanité vit en un néant possédant   E  cette faille,

 À part lui, n’y a-t-il donc rien d’autre  *  qui vaille

Que l’on s’y intéresse si tout doit disparaître

Comme l’ardoise magique : ne plus être !

Le langage est un code parmi d’autres

Qui nous permet  gloser à l’infini

Pour parole sensée, neuf autres

Ne sont, ne font rien, du bruit.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1132 4

.

Un pot quelconque,

Comme un réceptacle

D’un savoir qu’on vide 

Sur un terrain commun.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Si un pot peut être vide, c’est courant

l’ignorance ne peut l’être, c’est humain

être nul en tout, c’est déjà le prononcer :

la forme n’a plus rien à voir avec le fond.

 .

Le pot du savoir ne serait jamais

Tout à fait vide ni plein :

Quand il déborde, il se restructure

 Pour faire de la place !

.

Symbolique 

 .

La cruche est un symbole de stupidité.

Le pot demi-plein est l’image du… sot.

Symbole pouvant se trouver à évoquer

Le karma lors façonné par nos actions.

.

Ce  symbole  féminin  évoque aussi les

Génies  domestiques : danse  du  pot

Est rite de fertilité jugé très sexuel.

Le liquide, contenu, évoque, en lui

Les possibilités de concrétisation.

.

Le pot est  aussi  en rapport avec

La surdité  et les oreilles, puisque

L’on  dit  “Sourd  comme  un pot”.

En rapport avec la communication.

mamevoy.pagesperso-orange.fr/

astrologie/CRUCPOT.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1132 6

.

Le pot du savoir ne serait jamais

Tout à fait vide ni plein :

Quand il déborde, il se restructure

 Pour faire de la place !

.

Symbolique 

 .

À travers l’imaginaire

Du plein et du … vide,

Nous investissons la réalité

Selon les trois plans de la connaissance :

Ceux de la matière, de la vie et de l’esprit.

.

Le « vide », n’ayant  aucune  consistance,

N’offre  aucune   tangibilité, et, pourtant,

Il entre, de près ou de loin, dans la forme

Fabriquée, exemple, en le vide du moule.

universalis.fr/encyclopedie/vide et plein

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

À voir un pot même avec un couvercle

On ne sait s’il est plein ou s’il est vide,

C’est en le soulevant, et plus l’ouvrant

Regardant dedans qu’on a certitude

Remplacement du totalement vide,

On peut y mettre de l’imaginaire,

Qui le remplit de ses projections

Ou mettre sur lui une étiquette

Indiquant qu’il est bien vide,

On n’en sera plus ignorant.

 .

.

Ignorance par statistiques

.

Scénario 

.

« Je sais tout, mais je ne dirai rien »,

« Je ne sais rien, mais, je dirai tout »,

sont-elles propositions équivalentes ? 

 .

Visuels et textuels  >>

1131 – La vérité est simple, l’homme est compliqué !

Visuels et textuels >> 

.

La vérité est souvent simple

Or l’homme, si cela le dérange,

Ne veut la voir en face, l’affronter,

Gagner une guerre, reste compliqué.

.

En science  humaine, communication,

Il n’y a d’erreurs, sauf d’interprétations

Les mots sont différents,  dans leur sens,

Leurs associations, contresens, non-sens.

.

Et puis, l’homme aime  qu’on lui raconte,

Des histoires or la science dans sa vérité

Est plutôt sèche, aride, non motivante,

L’histoire, même fausse, implique.

.

La vérité serait simple, l’homme, compliqué

À première vue comme  France ingouvernable

À la fois très aimable,  indifférent,  détestable,

Un animal qui, en un tapis, se prend les pieds.

.

Demandez  à  un  psychologue ce qu’il en pense.

Il vous dira c’est une danse  et  une contredanse

Il fait quatre pas au centre et deux pas de côté

On ne sait jamais où il va ni par où il y est allé.

.

L’inconscient, étant côté  de la force  obscure,

Le conduit à prendre des décisions contraires,

Arguant qu’il  est un sujet chargé d’arbitraire,

Qu’émotion régit tout autant  que raison pure.

.

Suite à cela, il ne sera plus à un paradoxe près,

Les maniant, comme autres, leur épée en duel,

Seule, sa signature en  gage un fait contractuel,

Dialectique demeure  active pour virer au près.

.

La sombre clarté d’étoiles produit l’oxymoron

Qui ne le choque en rien, par cette association

Contre nature, contre logique en contradiction

Entre mots qui se suivent s’annulent : pardon !

.

Nombre d’oxymorons, paradoxes,  contraires :

Autant de zones d’ombres en pleines lumières

Qui lui procurent conduites   noires,  altières

Selon qu’il est égoïste, altruiste ou égalitaire.

.

Les romanciers, les théâtreux, les cinéastes,

En font un fonds de commerce, scénario

Changeants d’humeur, valeur, caste :

Nous montrent nos   a contrario.

.

.

Extensions

 .

 La vérité est simple,

L’humain est compliqué :

On ne le dira jamais assez !

Ce n’est pas entièrement de sa faute,

Lors il est à la fois l’observateur et l’acteur

C’est-à-dire s’il s’agit de se définir, de se situer,

De s’évaluer et, plus encore, quand il s’agit

De trouver un sens unique pour un acte.

Comment peut-il être à contre-sens

Si sens, a contrario, est indéfini !

.

La vérité sur ceci, la vérité sur cela : c’est pas si simple

Un mensonge en une rumeur sera parfois plus crédible.

Foi en Justice, n’est pas lui dire la vérité, ça ne suffit pas,

Il faudra lui apporter la preuve intangible et argumenter :

Une vérité vaut une contrevérité sauf à prouver le contraire.

Il y a une longue distance à franchir entre vérité et crédibilité

À partir du moment où vous ne n’êtes pas, on ne vous croira pas.

Après quoi, on pourra se contenter de rechercher sa propre vérité,

En menant une enquête pour savoir d’où on vient et donc qui on est.

.

La vérité est simple comme la preuve,

Quand on la connait, qu’on en dispose,

Est complexe, voire même compliquée,

Quand on aura  des doutes  à son sujet.

.

La vérité, mensonge, doit être crédible,

Sachant que les deux… passés au crible,

Susciteront plus questions que réponses,

En définitive, le jugement serait reporté !

.

Vérité est simple, homme la complique :

Il aurait besoin que tout on lui explique

Même s’il s’agit d’attitude irrationnelle,

Il y a une raison, intention, criminelle.

.

.

1131 – Calligramme

 .

La vérité est souvent simple

Or l’homme, si cela le dérange,

Ne veut la voir en face, l’affronter,

Gagner une guerre, reste compliqué.

En science  humaine, communication,

Il n’y a d’erreurs, sauf d’interprétations

Les mots sont différents,  dans leur sens,

Leurs associations, contresens, non-sens.

Et puis, l’homme aime  qu’on lui raconte,

Des histoires or la science dans sa vérité

Est plutôt sèche, aride, non motivante,

L’histoire, même fausse, implique.

********************

********************

La vérité serait simple,      V       l’homme, compliqué

À première vue comme      É        France ingouvernable

À la fois très aimable,         R         indifférent,  détestable,

 Un animal qui, dans le        I            tapis, se prend les pieds.

T ……

Demandez  à  un  psy         É        chologue ce qu’il en pense.

Il vous dira c’est une          *        danse  et  une contredanse

Il fait quatre pas au          S        centre et deux pas de côté

On ne sait jamais où        I        il va ni par où il y est allé.

M ……

L’inconscient, étant        P      côté  de la force  obscure,

Le conduit à prendre     L     des  décisions  contraires,

Arguant qu’il  est un     E      sujet chargé d’arbitraire,

Qu’émotion régit tout   *     autant  que  raison  pure.

.

Suite à cela, il ne sera    H     plus à un paradoxe près,

Les maniant, comme     O      autres, leur épée en duel,

Seule, sa signature en     M        gage un fait contractuel,

Dialectique demeure       M         active pour virer au près.

E   ………

La sombre clarté d’é        *        toiles produit l’oxymoron …

Qui ne le choque en          C        rien, par cette association ….

Contre nature, contre       O        logique en contradiction ……

 Entre mots qui se sui        M        vent s’annulent : pardon ! …..

P ….…….

Nombre d’oxymorons,     L     paradoxes,  contraires : ………

Autant de zones d’om    I    bres en pleines lumières ……

Qui lui procurent con   Q   duites   noires,  altières …..

Selon qu’il est égoïste  U   altruiste ou égalitaire. ….

É …..

Les romanciers, les théâtreux, les cinéastes,

En font un fonds de commerce, scénario

Changeants d’humeur, valeur, caste :

Nous montrent nos   a contrario.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1131 4

.

Silhouette d’une femme

N’ayant plus grand-chose

À cacher, en  toute  vérité,

Sauf les vœux de son âme 

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

La vérité toute nue, chacun la désire,

L’appellera de ses vœux :

Mais pourquoi faire simple quand

On sait faire compliqué !

.

Symbolique 

.

C’est simple, vous êtes la victime,

Vous ne pouvez pas être condamné,

Dit l’avocat de la défense, à la jeune

Femme qui porte plainte pour viol.

.

Condamné, le violeur ne le sera pas,

Faute de preuve, vice de procédure

Oui mais la femme, pour autant,

Pas blanchi de son honneur !

.

Voilà  qui  donne  à réfléchir

Sur le décalage, sinon voire

Le déphasage  entre ce dont

Vous être sûr en toute vérité

Et est par l’autre, interprété !

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1131 6

.

La vérité toute nue, chacun la désire,

L’appellera de ses vœux :

Mais pourquoi faire simple quand

On sait faire compliqué !

.

Symbolique 

 .

C’est simple, vous êtes victime,

Vous ne pouvez pas être condamné,

Dit l’avocat de la défense,

À une femme qui porte plainte pour viol.

.

Condamné le violeur ne l’est pas,

Faute de preuve, vice de procédure

Mais la femme, pour autant,

N’aura pas été blanchi de son honneur !

.

Voilà qui  donne à réfléchir sur le décalage,

Sinon voire le déphasage entre ce dont vous

Être sûr en vérité et qui est par autre, interprété !

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

La vérité serait une tendance

Elle est peu souvent une certitude

 « L’homme est la mesure de toute chose»

Cela signifierait  que la «vérité» n’est pas

Quelque chose  d’indépendant de l’homme,

Mais qu’elle dépendrait  de sa perspective.

.

En allant à peine plus loin, on soutiendra

La thèse que rien ici-bas, n’est vrai,

Et que tout … serait … relatif

Déjà, selon Platon.

 .

.

Toute vérité est simple ou ne sera pas

.

Scénario 

.

Rue de la vérité : ce n’est un mensonge ni impasse : lors c’est  clair.

Plusieurs vérités en réponse à une seule question : mal de crane !

Qui ne la connait, qui ne la cherche pas, du moins, une fois né ?

 .

Visuels et textuels >> 

1130 – Saurez-vous jamais si le mystère s’éclaircit !

Visuels et textuels >>

.

Dans toute affaire,

Pénale, civile ou d’État,

Subsiste des zones d’ombre,

Qui empêchent juger en toute

Clarté,  conscience … évidence !

.

Et, pourtant,  les   faits,  sont  là,

Avérés, même parfois, certifiés,

Mais on ne peut pas les relier

Encore moins interpréter

Un puzzle incomplet.

.

Vous ne saurai jamais si,

Là est toute la question :

Nulle réponse ni solution

Et le mystère ne s’éclaircit.

.

Est-il coupable ou bien pas,

S’est-il suicidé  dans prison :

Est-elle enceinte ou bien pas,

Est-ce secret… contraception !

.

Savoir est une pure curiosité,

Lorsqu’il s’agit de vie privée,

Savoir préside à une destinée,

À laquelle l’on serait associée.

.

J’aurais bien aimé savoir si,

Pour cela il faudrait être souris

Et être présent et sans être vu

Pour voir en vérité, un aperçu.

Si je ne suis … ni dans l’action

Ni dans la tête  ni confidences

.

Toute hypothèse et mise balance

Fournit fausses  interprétations.

Savoir n’est ni  inférer, déduire,

Infos, preuve, aveu, témoignage

Sont les seuls à pouvoir induire

La piste, pour  de vrais lignages.

En vrai vous ne  saurez jamais si

.

Ce message aura  quel qu’intérêt,

Pour vous, si…vous n’avez pas lu,

Pour dire après … «si j’avais su ».

.

Le mystère peut  durer vingt ans

Puis,  quelqu’un  quelque  chose,

En fournit la clé   ainsi  va la vie,

Ainsi vont vérités  vont les roses.

.

.

Extensions

.

Quand on parle de mystère,

On parle plus souvent de religion,

Voire de magie ou de phénomène inexpliqué

Mais parfois aussi d’un crime étant non élucidé.

.

Ce ne sont pas les hypothèses qui font défaut,

L’imagination est au pouvoir, mais les

Preuves tangibles,   les actions avérées,

Les témoignages, déclarations, les  aveux.

.

Selon le Larousse : « ce qui est inaccessible

À la raison humaine,  d’ordre  du surnaturel,

Obscur, caché, inconnu, ou  incompréhensible,

Événement inexplicable, aventure énigmatique»

.

Y a de quoi   se pencher, sans fin, sur la question,

Sauf à  en détenir la clé, elle-même  en  possession

D’un personnage  mystérieux : écrivains,  policiers,

Journalistes, juges, à vos plumes, tirer cela au clair.

.

À défaut de preuve suffisante, témoignages étayés,

Le juge aura prononcé relaxe, non-lieu ou renvoi.

Ce  qui est certain, c’est que quelqu’un de mort

Emporte une part de son mystère et à jamais.

.

La religion a coutume de trancher net entre deux vérités ;

La science argumente le pour et le contre et le démontre ;

La mort, elle, tranche et définitivement, sans explication.

Dans ces trois domaines, une part de mystère, demeure,

Mais personne ne pourra jamais la réduire totalement,

Foi du charbonnier … affaire classée … mort déclarée,

Qui peut dire que toute la lumière a été faite sur ce.

.

On parle plus souvent de part d’ombre

D’informations cachées, voire erronées,

Que de mystères, qui nous échapperait

Et pourtant on en crée volontairement.

.

Que serait un auteur auréolé de mystère

Roman Gary a tenté pour prix Goncourt

Avec second, d’Émile Ajar : provocation !

Le mystère a fait flop sur sa vraie identité

.

Dans les crimes non élucidés, et il y en a,

Le mystère tombe parfois en détail révélé

En matière de miracle, nombre entre eux

Auront donné lieu à explication plausible.

.

.

1130 – Calligramme

.

                      Dans toute affaire,

                    Pénale, civile ou d’État,

                    Subsiste des zones d’ombre,

                Qui empêchent juger en toute

               Clarté,  conscience … évidence !

              Et, pourtant,  les   faits,  sont  là,

             Avérés, même parfois, certifiés,

             Mais on ne peut pas les relier

            Encore moins interpréter

            Un puzzle incomplet.

.

********

********

.

Vous ne saurai jamais si,

Là est toute   S   la question

Nulle réponse  A      ni solution

Et le mystère     U    ne s’éclaircit.

Est-il coupable    R       ou bien pas,

S’est-il suicidé      E       dans prison !

Est-elle enceinte    Z          ou bien pas,

Est-ce secret de       –        contraception

 Savoir est une         V        pure curiosité,

  Lorsqu’il s’agit        O            de vie privée,

   Savoir préside         U          à une destinée,

    À laquelle on            S           serait associée.

*

    J’aurais bien           J             aimé savoir si,

     Pour cela il fau       A           drait être souris

     Et être présent        M              et sans être vu

     Pour voir en vé        A             rité, un aperçu.

     Si je ne suis ni          I                   dans l’action

    Ni dans la tête          S               ni confidences

*

    Toute hypothèse       M            et mise balance

    Fournit fausses          Y            interprétations.

    Savoir n’est ni            S            inférer, déduire,

     Infos, preuves            T           aveu, témoignage

    Sont les seuls             È          à pouvoir induire

     La piste, pour            R           de vrais lignages.

    En vrai vous ne          E             saurez jamais si

*

    Ce message aura         É               quel qu’intérêt,

    Pour vous, si                C                 vous n’avez lu,

      Pour dire après            L                 «si j’avais su »

   Le mystère peut           A              durer vingt ans

    Puis, quelqu’un             I                 quelque chose,

    En fournit la clé           C                  ainsi va la vie,

    Ainsi vont vérités          I                   vont les roses.

T

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1130 4

.

Silhouette du juge,

Vu de profil, à  qui on

 Demandera de trancher 

Sur un cas : Alea jacta est !

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

 .

« Adjugé, vendu ; la cour a tranché ;

Le sort en est jeté » :

Expressions réduisant de beaucoup

Nombre de mystères.

.

Symbolique 

 .

Symboliques

De  la   justice :

Les yeux bandés ;

La balance  constitue

Le symbole plus ancien

De la fonction  de  juger.

.

Elle est représentée  dans

Des mythologies antiques

Comme moyen de peser

Les âmes après la mort

Pour la valeur d’un individu.

.

Le glaive  symbole de puissance,

Rappelle quant à lui que la justice

N’est rien sans la force qui permet

De la faire appliquer tant  juger ne

Consiste pas seulement à examiner,

Peser, équilibrer, mais bien encore

À trancher et à sanctionner.

Source : Wikipédia justice

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1130 6

.

« Adjugé, vendu ; la cour a tranché ;

Le sort en est jeté » :

Expressions réduisant de beaucoup

Nombre de mystères.

 .

Alea jacta est

Est une locution latine

Signifiant « le sort en est jeté »,

Ou « les dés sont jetés », que Jules César

Aurait prononcé 49 av. J.-C. Avant le

Passage du fleuve Rubicon.

Ce qui peut signifier que l’individu

S’en remet à la chance,

Aux événements sur lesquels

Il n’aurait aucune emprise,

N’ayant plus la possibilité

De revenir sur ce qui

A été commis.

fr.wikipedia.org/wiki/

Alea_jacta_est

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

Trancher : c’est dur, coupant

Définitif, et lors parfois injuste

Mais comment faire autrement,

En l’absence de preuves tangibles,

Et il en serait de même de la justice

Que pour religion, science et éternité,

Tant qu’ils garderont toujours une part

De mystère  qui … au four et à mesure,

Qu’on le dévoile, s’éloignera d’autant,

Jusqu’à rester  aussi inatteignable !

Quand  on  dira : « alea jacta est »

On n‘attend pas que tout s’éclaire.

 .

.

Main de la justice, Dieu ?

.

Scénario

.

Le mystère de la religion comme foi en Dieu.

Le mystère de la science qui découvre un voile.

Le mystère de la mort, comme tunnel lumineux !

 .

Visuels et textuels >>

1129 – Vingt mille mots en cerveau, dont certains !

Visuels et textuels  >> 

.

Vingt mille mots ça paraitra

À certains, peu, autres beaucoup

On en utilise  cinq mille,  courants,

Autres, spécifiques  ou  plus savants :

Dictionnaire en fournit soixante mille

Vingt mille, ça  fait   donc  que le tiers

Et cinq, fait moins de … dix pour cent

S’en crée  tous  les jours, tous les ans

Certains vieillissent ou disparaissent,

Ils ont donné leur temps, leur sang

Certains resurgissent autre sens.

C’est vivant,  une langue ou morte.

.

Vingt mille mots dans mon cerveau,

Pas un de plus, mais, pas un de trop :

Si certains, je ne sais que les entendre,

D’autres, plus restreints pour les parler,

Plus encore le sont, ceux pour les écrire.

.

Il ne me suffira pas de les apprendre,

Faudra aussi les stocker, les réutiliser,

Le premier qui me vient est le familier,

Puis je change, ou j’essaye de trouver,

Celui qui  convient le mieux, à fixer !

.

En vers, c’est moins facile à conter ;

En rime, moins simple à diversifier,

Parfois,  ce sont les sens, la logique,

Qui l’emportent, déroulant fil rouge

De la phrase argumentant la chose

Dont il est question et qui s’impose,

À mon cerveau, comme … évidence

.

Tandis que d’autres  sont en balance

Pour frapper l’esprit ou par chance.

Parfois, ce sont les sons,  sonorités,

Qui coulent comme l’eau,  limpides,

Source, inspirée, jaillissante, fluide,

Sans qu’un sens s’impose à  l’esprit.

.

Il est question de rythmes couleurs,

De touchers, de parfums et saveurs,

De plaisirs,  de l’oreille,  enchantée.

Vingt mille mots en   mon cerveau :

Pas un de plus mais  pas un, de trop.

.

Si l’on ne dispose que de trois mille,

Comment fait-on pour être… subtil

Sans parler que l’erreur de syntaxe,

Entraine contraire de ce qui est dit

Syntaxe : priez pour nous, pêcheurs.

.

Faute grammaire ajoutera désordre,

Lors orthographe bouscule  concorde,

Et prononciation … incompréhension.

Quand je bute, sur  des mots, phrases,

Je laisse tomber et  je révise ma copie,

Aucun script langage, ne me convient :

Trop mal codé pour toute communauté.

.

.

Extensions

 .

Chaque mot est relié à, au moins, deux autres dans une phrase,

Celui d’avant lui, s’il y en a un, et celui d’après lui, s’il y en a un.

De manière simple et claire : précédant et suivant mais pas que

Tant les mots auront différents sens, selon différents contextes,

 Seront reliés à votre interprétation, subjective, personnelle :

Beaucoup signifiera une telle quantité chez une personne

Mais une autre quantité, pour une autre personne !

Ça fait comme une différence pour un seul mot

Pour finir, je ne dirai qu’un mot : réseaux.

.

Un mot : le premier mot d’un bébé

Curieusement «papa» et non «maman»

Or que les mères, pour autant, ne s’étonnent

S’il dit souvent « papa » en premier, c’est pour

Raison simple : le  «p» est plus facile à prononcer.

.

« Selon la revue Cerveau Psycho : Un vocabulaire

De 300 mots environ  vers l’âge de deux ans.

Alain Bentolila : « À la fin du CE1, enfants

Au vocabulaire pauvre : 3000 mots ;

 Moyen : 6000, et supérieur : 8 000.

L’on estime, pour un adulte cultivé :

 20 000 utilisés, et 40 000 compris ?

.

.

1129 – Calligramme 

 .

Vingt mille mots ça paraitra

À certains, peu, autres beaucoup

On en utilise  cinq mille,  courants,

???      Autres, spé  ô cifiques  ô ou  savants :       ? ??

Dictionnaire  en //fournit soixante mille

Vingt mille, ça  //  fait  donc  que le tiers

Et cinq, fait    // moins de dix pour cent

???     S’en crée  tous  ===  les jours, les ans      ???

Certains vieillissent ou disparaissent,

Ils ont donné leur temps, leur sang

Certains resurgissent autre sens.

C’est vivant,  une

Langue ou morte.

Vingt mille mots dans mon cerveau,

Pas un de plus, mais, pas un de trop : V

Si certains, je ne sais que les enten   I   dre,

D’autres, plus restreints, pour les   N   parler,

Plus encore le sont ceux pour      G      les écrire

Il ne me suffira pas de les         T         apprendre,

Faudra aussi les stocker       *             les réutiliser,

Le premier qui me         M       vient est le familier,

Puis je change,         I            ou j’essaye de trouver,

Celui qui              L        convient le mieux, à fixer !

En vers,            L          c’est moins facile à conter ;

En rime,        E            moins simple à diversifier.

Parfois,          *          ce sont les sens, la logique,

Qui l’em        M     portent, déroulant fil rouge

De la phrase      O        argumentant la chose

Dont il est ques    T      tion et qui s’impose,

À mon cerveau,       S    comme l’évidence,

Tandis que d’autres     *    sont en balance

Pour frapper l’esprit ou   E     par chance.

Parfois, ce sont les sons,     N     sonorités,

Qui coulent comme l’eau,     *     limpides,

Source, inspirée, jaillissante,   T     fluide,

Sans qu’un sens s’impose à     Ê    l’esprit.

Il est question de rythmes     T    couleurs,

De touchers, de parfums     E    et saveurs,

De plaisirs, de l’oreille      *       enchantée.

Vingt mille mots en       D    mon cerveau :

Pas un de plus mais    O    pas un, de trop.

Si l’on ne dispose     N   que de trois mille,

Comment fait-on   T     pour être… subtil !

Sans parler que     *       l’erreur de syntaxe,

Entraine contrai   C       re de ce qui est dit

Syntaxe : priez      E    pour nous, pêcheurs.

Faute grammai     R    re ajoutera désordre,

Lors orthographe   T       bouscule  concorde,

Et prononciation            incompréhension !

Quand je bute, sur        I         des mots, phrases,

Je laisse tomber et          N         je révise ma copie,

Aucun script langage,            S              ne me convient :

Trop mal codé pour toute             *                   communauté.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1129 4

.

Silhouette d’un enfant

Pose question sur langage

Et sur les mots qu’il entendra

Ou qu’il emploie, est-ce le bon ?

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

Le langage sera constitué de mots :

faut des mots pour analyser langage

langage de mots et mots de langage

marieront les formes avec le fond

Vingt mille mots, en lecture

Mais, cinq mille, en écriture :

Et faut-il encore  comprendre

Tous les sens, utiliser le bon !

 .

Symbolique

 .

Le langage, écrit ou parlé,

Est imprégné de valeurs symboliques :

Images, idées, émotions, sonorités, graphismes,

Dans ce qu’il exprime, mais aussi dans une certaine mesure

Dans ce qu’il n’exprime pas. Le passage du mot  la réalité,

C’est l’ouverture à la manière d’un bourgeon.

.

Moyen de communication entre les hommes

Mais aussi d’invocation de la Divinité.

Symbole du Verbe, Logos, Intelligence,

Activité, Volonté divines de la Création.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1129 6

.

Vingt mille mots, en lecture

Mais, cinq mille, en écriture :

Et faut-il encore  comprendre

Tous les sens, utiliser le bon !

 .

Symbolique 

.

Le mot sera

Un symbole que

L’on utilisera afin

D’exprimer sa pensée,

Afin d’exprimer l’intention,

Afin de décrire ce que l’on ressent.

Cependant, n’oublions pas qu’il

N’est pas la chose elle-même.

.

Beaucoup se laissent avoir

Par force du mot, toute

La charge émotionnelle

Qu’il pourrait contenir.

.

En effet, en grandissant,

Le mot pourra prendre un

Poids énorme dans nos vies.

Je vois ce qui m’entoure à travers

Le sens précis que j’ai donné au mot.

Source leducationspirituelle.over-blog

.com/2016/02/le-mot-est-un-symbole

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le mot peut n’avoir qu’une seule syllabe

Voir un seul caractère ou syllabe muette,

Et il peut en contenir jusqu’à vingt quatre.

.

Anticonstitutionnellement serait… détrôné

Comme mot le plus long, langue française.

.

Avec ses 27 lettres, bien comptées, le mot

«Intergouvernementalisations» ola, oups !

Hippopotomonstrosesquippedaliophobie,

S’utilise, par plaisanterie,  pour désigner

Peur de mots trop longs, trop de syllabes.

.

Exercez-vous  à le prononcer   et sortez-le

Conversation de salon, effet bœuf garanti

 .

.

Mille mots en cerveau

.

Scénario 

.

Certains sont utilisés de manière routinière ; d’autres, créative.

Un exemple de réseau sémantique simple pour « mammifère ».

Mots attachés au cerveau comme branches et brindilles en arbre.

.

Visuels et textuels  >> 

1128 – Devant Dieu, devant les hommes, soi-même

Visuels et textuels  >>

.

Devant Dieu,

Devant homme

Devant soi-même

Sont repères connus,

Qui nous positionnent,

Sur nos jugements, sur

Innocence et culpabilité

Dans notre bel Occident,

Ou sur  l’honneur, honte,

En plein Extrême-Orient.

 .

Certains font plus grand cas de Dieu qu’hommes,

Et, si ce n’est Dieu … d’une conscience externe,

Qui connait tout de leurs actes et de pensées,

Un œil regardait Caïn, de Victor Hugo.

.

Certains font plus grand cas d’eux que de Dieu,

Dès lors qu’ils sont athées «pas vu, pas pris»,

Il n’existe pas de faute, en réalité, que

Prouvée par les hommes

Et incontestable.

.

Certains font grand cas de leur conscience

Et ils se culpabilisent, et pour un rien,

Tant ont peur  de faire du mal

À quelqu’un malgré eux.

.

Tant Dieu  est  grand,

Dieu  est  infaillible,

Dieu est miséricorde

L’Homme  fait Justice

Au-dessous des hommes

Et dépassant   tous les cas,

Individuels   et  particuliers,

Elle ne pourra pas se tromper,

Bien qu’existe erreur judiciaire.

.

La conscience est plus souple et plus lâche

À la fois dans le rôle du juge, et  de  l’assassin.

Elle peut choisir,  les circonstances  atténuantes

Ou, tout au moins, quel  que doute sur l’intention.

.

.

Extensions

 .

Jurer devant Dieu ne

Concernant pas  le  bien

Ou le mal, mais le parjure,

Où   le mensonge   volontaire ;

En Amérique ça revient au même.

On ne peut pas échapper au jugement

En cas de crime, de violence ou faute grave

On fera porter le chapeau à quelqu’un d’autre

En fabriquant même des preuves irréfutables.

.

Engrenage des doutes : plus vous clamer

Votre innocence  et plus l’on s’acharnera à

Vous rendre  coupable. Moralité : dès qu’on

A affaire justice des hommes, coupable ou pas,

On est dans le pétrin, on en sort jamais blanchi,

Par la grande porte. Utile à savoir au moment de

Porter plainte, elle peut se retourner contre vous

Et vous aurez beau  jurer : devant Dieu,  devant,

Les hommes, vous : la machine  vous  écrasera.

.

Dieu voit tout, Dieu juge de tout, Dieu est en tout

Il est le seul à comprendre nos intentions, actions

Justice d’État émane des lois dépassant l’individu

Connue et la même pour tous : simple à appliquer

«En son âme et conscience»,  est point de vue moral

Intériorisé, conditionné, culpabilisant, s’accusant !

Dieu n’a rien vu, Justice n’a de preuve, moi cynique

En somme «un Péché avoué est à moitié pardonné»

 Contre « un péché non avoué, péché non condamné».

.

Quand j’étais enfant …  j’étais très effrayé

Par cette vérité qui n’avait pas d’échappée :

Dieu voit tout, n’oublie, ne laisse rien passer !

.

Je n’avais pourtant pas encore lu Gorge Orwell,

Qui à sa manière, en 1984, défait le communisme

Maintenant je me rends compte que c’est possible.

.

Internet voit tout, lit-tout, et peut analyser tout !

Les informations sur la vie privée  de quelqu’un

Ce n’est pas Dieu qui les interprète : l’homme.

.

Je pense que ce n’est pas mieux, c’est pire :

On aura chassé Dieu et autre le remplace,

Après vous, chaque jour, part en chasse.

.

.

Épilogue

.

Justice divine : divine surprise,

Justice humaine sinon dictatoriale

Justice par soi-même ou immanente !

***

Ces trois formes, trois contenus, de justice,

Tantôt se confondent, se séparent, s’opposent !

Mais si on peut renier celle de Dieu transcendant,

Si on peut échapper à celle sociale en pas vu, pas pris

En aucune manière, l’on se soustrairait à sa conscience.

***

Ce n’est pas tant que l’on mette une justice sociale de coté

Chaque société à ses règles : les oublier, les braver, danger

Que de jouer au chat et à la souris c’est pas moi, monsieur.

Combien de romans policiers seront bâtis sur cette trame

On vous promène ici et là : l’assassin est sous vos yeux !

***

Hygiène de l’assassin, de rien révéler, toujours mentir

Le crime parfait existe mais résolu parfois sur le tard.

Il faut se mettre dans la tête du criminel  pour saisir,

Non par mobiles ou motivations, mais personnalité,

Expliquant le pourquoi  du comment  hors preuves.

***

Bien que justice dise : ne pas commettre d’erreur,

Celles-ci existent bien, c’est  la pire des injustices,

Que de condamner un innocent pour un coupable

Tant cela  ferait  deux victimes, pour le prix d’une,

Et  sans, pour autant, punir,  le  véritable  auteur !

.

.

1128 – Calligramme

.

Devant   D    Dieu,

Devant    E     homme

Devant    V     soi-même

Sont re    A  pères connus,

Qui nous  N     positionnent,

Sur nos    T     jugements, sur

Innocen    *     ce et culpabilité

Dans no   D    tre bel Occident,

Ou sur      I     l’honneur, honte,

En plein   E    Extrême-Orient.

U ………….

Certains font plus grand cas de Dieu qu’hommes,

Et, si ce n’est Dieu … d’une conscience externe,

Qui connait tout de leurs actes et de pensées,

Un œil regardait Caïn, de Victor Hugo.

.

Certains font plus grand cas d’eux que de Dieu,

Dès lors qu’ils sont athées «pas vu, pas pris»,

Il n’existe pas de faute, en réalité, que

Prouvée par les hommes

Et incontestable.

.

Certains font grand cas de leur conscience

Et ils se culpabilisent, et pour un rien,

Tant ont peur    L  de faire du mal

À quelqu’un   E    malgré eux.

Tant Dieu      S     est  grand,

Dieu est         *      infaillible,

Dieu est         H  miséricorde

L’Homme       O    fait Justice

Au-dessous      M   des hommes

Et dépassant     M      tous les cas,

Individuels          E        particuliers,

Elle ne pourra       S    pas se tromper,

Bien qu’existe er     *     reurs judiciaires

*

La conscience est plus  S     souple et plus lâche

À la fois dans le rôle du  O   juge, et  de  l’assassin.

Elle peut choisir,  les cir   I  constances  atténuantes

Ou, tout au moins, quel     * que doute sur l’intention.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1128 4

.

Une belle fontaine

Dans certains palais,

Ou en places publiques,

Jaillissement jets d’eau.

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’approche de forme)

.

Le jaillissement d‘eau directement su sol

ou l’intermédiaire d’une fontaine à étage

demeure toujours des plus spectaculaires

ce qui fait que sa forme évoque son fond.

.

Fontaine étages : soi, en bas, les hommes,

Et Dieu, tout en haut :

L’eau qui y coule,  y ruisselle, se renouvelle

Comme un jaillissement !

.

Symbolique

.

La fontaine est le symbole

De l’immortalité, la purification

Et de la régénérescence et en continu.

.

La fontaine de jouvence est une fontaine mythique

Dont l’eau à le pouvoir de régénérer le corps et l’âme

De celui qui la boit, aussi, elle guérit toutes les maladies,

Et les chagrins et rend immortel et plusieurs mythes feront

Références  à cette fontaine : dans la mythologie romaine,

Jupiter transforme la nymphe Jouvence  en une fontaine

Qui a la vertu de rajeunir de manière quasi  perpétuelle

Modifié, source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-fontaine

.

.

Fond

 

Évocation de fond

.

1128 6

.

Fontaine étages : soi, en bas, les hommes,

Et Dieu, tout en haut :

L’eau qui y coule,  y ruisselle, se renouvelle

Comme un jaillissement !

.

Symbolique 

.

Tous les hommes vivent constamment

Au milieu de sentiments plus ou moins profonds

Mais il est difficile de les percevoir avec finesse

Et de les rendre dans la langue humaine,

Car souvent ils se cachent ou nous oppressent.

.

De même qu’il prend dans ses poumons

L’air de l’atmosphère et absorbe dans

Son organisme l’eau des sources

Et les éléments de la terre, l’être

Humain grandit et chemine

Au rythme des sentiments.

.

Alors qu’il invente, crée, pense

Et s’extériorise, l’être humain

Jaillissement sentiments,

 Tantôt sereins

Et tantôt troublés, tantôt

À peine esquissés

Et tantôt débordants.

keulmadang.com/2011/01/13/archives/

essais/le-sentiment-dans-les-poesies

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

On parle de jaillissement d’eaux

Pour une source ou une fontaine :

Jaillissement de la pensée au figuré,

De la justice quand le couperet tombe

Oui mais  comment faire  se rejoindre

Celui des lois et celui de sa conscience

La conscience sourd de terre ou ciel

Justice est construction sociale !

 .

.

Justice d’homme ou de Dieu ?

.

Scénario

.

Devant la justice de Dieu.

Devant la justice des … hommes.

Devant soi-même, justice de conscience.

 .

Visuels et textuels  >>

1127 – Le divin paradis, inaccessible, septième ciel

Visuels et textuels  >>

.

Divin … paradis,

Septième ciel inaccessible

Il n’appartient   à aucune réalité

Du monde visible monde sensible,

Il n’est que projeté par les hommes,

Purement virtuel et non existentiel.

.

Ce n’est pas      l’antimatière

N’est pas ma   tière sombre,

Qu’on ne voit  pas ….. plutôt

Autre monde, où le temps est :

Espaces, mouvements,  énergies,

Seraient substitués par conception

Incluant l’idée inventée, d’Éternité.

.

Monde du divin, de l’âme ou de Dieu,

D’un lieu, où l’on se rend après mort,

La fin du corps d’apparence physique.

 .

Que ce lieu existe ou n’existe pas,

L’homme dans    toutes périodes,

Toutes cultures  ou civilisations,

L’a  promulgué  e n  salut  final :

Il y a, bien entendu, des athées,

 .

Des agnostiques  et des ignorants

Niant la possibilité d’improbable

Ou pour le moins d’in-trou-vable,

Et qui nous échapperait toujours

En dépit de savoir en technologies.

.

Pour autant jour d’aujourd’hui,

Rien ne nous autorise à affirmer

Que ce septième … ne serait  que

Produit de l’inconscient  collectif,

Pour contrer inacceptable destin

.

De notre mort humaine  en fin,

En se projetant sur réincarnation

Résurrection esprit dénué matière

Que sais-je encore, immortalité

Toujours encore à vérifier.

 .

.

Extensions

 .

En redescendant sur terre,

Regardant d’autre point de vue

Ce « moi initial », ce « moi total »,

S’il lui manque sa dimension spirituelle,

Se rapprocherait, confondrait monde animal.

.

Si nous sommes animaux, notre destin sera scellé :

Sommes appelés à être remplacés, disparaître sans traces.

S’il s’agit d’une expérience qui a mal tournée, erreur de casting

De la part d’un Maitre du Monde alors la boucle se transforme

En dédale où se nouent, dénouent paradoxes, contradictions.

.

Cercle, monde, paradis, demeurant à jamais indécidables,

Ne peuvent satisfaire les esprits rationnels humains

Fonctionnant selon des logiques différentes

En s’appuyant sur le réel, non le virtuel.

.

Et, toutefois l’imaginaire humain, quel qu’il soit

Et quoiqu’il conçoive fait bien partie d’un certain réel

Et c’est bien avec lui, et grâce à lui, que nous avons fait

Des découvertes et des avancées, et, il y aurait dilemme

Si les choses sont équivalentes conséquences différentes.

.

Les cercles de la connaissance n’ont rien de scientifiques,

Initiatiques, métaphysiques et encore moins mystiques :

Ils ne sont qu’une construction de l’esprit pour mieux

Se situer dans le déjà vaste monde que l’on habite.

.

Le septième ciel : pourquoi pas sixième ou le huitième ?

L’on n’en est pas à un, près, dans un tel lieu, suprême,

Lors d’un voyage sans retour en destination extrême

Dépassant et de loin, sept couches de l’atmosphère,

Aucun astronaute ne s’est senti  près d’un Paradis

Mais, on ne sait pas tout, et on ne voit pas tout :

Certes, nous n’avons pas la preuve  qu’il existe,

Non plus qu’il n’existe pas sauf en La Marelle.

.

Le ciel est le seul lieu que l’Homme

N’a pas encore totalement exploré et compris.

Les humains restent fascinés par cette voûte bleue

Constellée d’étoiles s’exhibant au-dessus de leur tête.

Car depuis l’Antiquité, ils tentent de l’expliquer :

C’est à cette période qu’on l’associe à félicité.

.

L’homme veut toujours aller plus haut.

De surenchère en surenchère, nous sommes

Tous montés jusqu’à se rapprocher du dernier,

 Celui qui nous mettra au plus près des dieux

On rejoint un peu, ici, la quête d’un Graal,

Qui serait proche de l’extase amoureuse

Mais le septième ne sera que spirituel.

.

.

Épilogue

.

Le jeu de La Marelle est des plus pédagogiques,

Pour apprendre cette notion d’un septième ciel.

***

On est censé aller tout droit au ciel après la mort,

Ce n’est pas tant qu’on l’ait mérité…qu’on y croit.

***

Cette croyance s’illustre en action dans La marelle

On n’utilise le pied en sautant, poussant, un palet.

***

Palet empiète  des cases : tout est à recommencer,

L’on passe d’une case à l’autre en un ordre imposé

***

Le Ciel atteint en haut, l’on redescendra sur Terre :

Pourquoi des cases horizontales au milieu, en haut.

***

Je ne suis pas certain d’une interprétation que voilà,

 Comparons un tel chemin à celui de notre propre vie

***

La première étape horizontale  correspond au milieu

De notre vie, c’est-à-dire pas loin de … quarante ans.

***

Première fois pour beaucoup, sens de vie questionne,

On est bien installé, en son métier, son couple, foyer !

***

Seconde fois, on est  au début  de sa retraite d’activité

Dernière étape, en perspective est celle de notre mort.

***

Ces deux périodes seront favorables à toute expérience,

Qui nous mène en recherche de spiritualité à une autre,

***

La deuxième sera  alors  comme une sorte d’achèvement

Dans son choix et de révélation  intime  d’une vraie joie !

***

 Après cela la mort ne sera autre qu’étape supplémentaire,

Qu’on aurait accepté, compris, intégré, sans en avoir peur.

.

.

1127 – Calligramme

.

Divin      *       paradis,

Inaccessible  D   septième ciel

Il n’appartient   I  à aucune réalité

Du monde visible  V  monde sensible,

Il n’est que projeté    I   par les hommes,

Mais purement virtuel  N et non existentiel.

.

Ce n’est pas      l’antimatière

N’est pas ma   tière sombre,

Qu’on ne voit  pas ….. plutôt

Autre monde, où temps est :

Espace/mouvement/énergie,

P

Seraient substitués         A        par une conception

Incluant cette idée          R       inventée, d’Éternité.

Monde du divin,              A       de l’âme ou de Dieu,

D’un lieu, où l’on             D         se rend après mort,

La fin du corps d’            I       apparence physique.

S

Que ce lieu existe    *        ou n’existe pas,

L’homme dans        *       toutes périodes,

Toutes cultures       S       ou civilisations,

L’a promulgué               en salut final :

Il y a, bien enten    P        du, des athées,

T

Des agnostiques      I      et des ignorants

Niant la possibili    È      té d’improbable

Ou pour le moins   M      d’in-trou-vable,

Et qui nous échap   E       perait toujours

En dépit de savoir   *      en technologies.

*

Pour autant jour     C         d’aujourd’hui,

Rien ne nous au       I      torise à affirmer

Que ce septième      E        cercle n’est que

Produit d’incons      L      cient … collectif,

Pour contrer inac     *       ceptable destin.

.

I   N    A   C   C   E   S   S   I   B   L    E

.

De notre mort         *     humaine  en fin,

En se projetant     * sur réincarnation

Résurrection esprit dénué matière

Que sais-je encore, immortalité

Toujours encore à vérifier.

 .

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1127 4

.

Ça ressemble assez fort

À  un jeu  connu, appelé  

La Marelle pour le ciel

Qu’il faut gagner au pied.

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

 .

La Marelle n’atteint pas  le ciel

ce jeu étant sur sol, horizontal :

il y en a de différentes structures

mais forme est conforme au fond

.

Et bien même par jeu La Marelle :

Tout le monde n’atteindrait pas le ciel

Il y a ceux qui poussent l’espoir devant,

Et puis ceux le trainant  vers l’Oméga.

.

Symbolique 

.

La Marelle est un jeu ancestral

D’initiation à la connaissance de soi,

Dont sont issus le jeu du labyrinthe,

La  pétanque  et  le  jeu  de  l’oie.

 .

La plupart des jeux pour enfants

Jeux de société étaient, à l’origine,

Divinatoires  et  initiatiques.

 .

Dans un monde où la raison,

La logique et la science exacte

Font force  de  lois, les principes

Divinatoires initiatiques des jeux

Ont  été  relégués   aux  oubliettes,

Dans un passé dont  nous pensons

Que l’obscurantisme, superstitions

Régnaient en maîtres absolus

Dans les mentalités.

minuit.forum-actif.net/t1010-la-marelle

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1127 6

.

Tout le monde n’atteindrait pas le ciel

Et bien même par jeu Marelle :

Il y a ceux qui poussent l’espoir devant,

Ceux le trainant vers l’Oméga.

.

Symbolique de fond

.

Comme le remarque Mircea Eliade,

« La prière, la plus populaire, du Monde

S’adresse à notre Père qui est aux Cieux ».

C’est dire l’importance du symbolisme céleste.

.

Certains, tel P. W. Schmidt, ont même voulu voir

Dans ce dernier la matrice archétypique de tout

Le symbolisme religieux. Nombreuses cultures

Confondent l’appellation du Dieu suprême

Avec dénomination du ciel et des cieux.

universalis.fr/encyclopedie/symbolisme-du-ciel

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

Tout enfant accèdera peu à peu au ciel

En jouant à ce petit  jeu de La Marelle

En poussant son palet à cloche pied

Sans déborder des cases tracées !

.

Un jeu qui n’a rien de religieux,

Un des plus vieux jeu d’enfant

Défiant les lois de l’équilibre

Sans compter précision

Comme aime enfants

Pour tester adresse

Des déplacements.

.

.

Paradis Walhalla vikings !

.

Scénario

.

Sept étages, en spirales et qui se déroulent jusqu’au septième ciel.

Un astronaute sorti hors station orbitale et qui s’y croit presque.

Ça pourrait être ça le septième ciel, si ce n’était pas photoshopé.

 .

Visuels et textuels  >>

1126 – Quand l’enfer me ment, le paradis dément !

Visuels et textuels >>

.

En jeu de mots,

Enfer me  ment,

Paradis   dé-ment,

Avec force mystère !

.

Lors paradis d’amour

Demeure enfermement

À deux, en  tours  d’ivoire

En ignorant environnement.

.

Enfer dément feu éternel existe

Le paradis ne serait  pas  sexiste,

Du simple fait qu’ange, sans sexe,

Ne s’en font plus  aucun complexe.

 .

Lors enfer me ment, paradis dément,

Que peut vouloir dire cette phrase ci,

Que le paradis pourrait être un enfer

Ou bien  qu’il existe, déjà, sur Terre.

.

Paradis d’amour et d’enfermement,

Ressemblent fort à l’enfer d’autant

Qu’on ne le voit  et qu’on ne le sent

Tant que l’on a des yeux d’amants.

.

Qui souligne comme une évidence

Que tous les contraires se joignent

Avec plus, sinon moins, de poigne.

.

L’enfer dément  qu’un feu … existe

Alors que toutes les visions artistes,

Le met en avant-plan d’avant-scène.

  .

Quelque part entre l’enfer et paradis,

Il y aura la lucidité d’une conscience,

Qui ne se ment pas déjà à…elle-même,

Même quand prise d’émotion extrême.

.

.

Extensions

 .

Prise entre l’enfer et le paradis, l’Église,

En état d’indigence, en besoin d’indulgences,

Dans les deux sens du terme, pardon et argent,

A inventé le purgatoire dont on ne sait ni le lieu,

Ni la fonction exacte  et ressemble un peu à une

«Garde à vue»  dans  une cellule  de  dégrisement,

Où l’on attend, patiemment, son passeport  pour

Le paradis  ou l’acheminement définitif en enfer,

Selon ses actes de contritions, voire d’expiations.

.

Mais si le purgatoire est provisoire, pourquoi pas

Le paradis, l’enfer, ne le seraient-il pas : illogique ?

L’Église aura fait la distinction entre péchés véniels,

Capables d’être expiés purgatoire et péchés mortels,

Conduisant directement en enfer de Jérôme Bosch.

.

Au Moyen-Âge, le purgatoire est symboliquement

Illustré comme étant un lieu de feu purificateur.

Il aurait été redéployé au milieu du XIXe siècle

Face à la montée du spiritisme ou  d’invocation

Des âmes trépassées par des moyens ésotériques,

Non chrétiens. Son évocation s’est depuis raréfiée.

.

Enfermement et enfer me ment : en un ou trois mots,

L’enfer ce serait  toute  privation de liberté et de vérité,

On peut être enfermé seul ou en couple enfer ou paradis

L’enfer si l’un domine l’autre et l’empêche d’être, de sortir

Paradis  si celui qui est sorti  ouvre la porte à l’autre, vérité

Dément en tant que personne et dément en tant que… verbe

S’écrivent et se prononce  de la même façon,  n’ont rien à voir

Et quand l’enfer dément que le paradis est un lieu de bonheur

Le paradis rétorque que l’enfer est réservé à tous les déments !

.

Entre l’enfermement en paradis dément

Ou rester sur Terre, même si purgatoire,

Mon cœur et mon esprit sinon mon âme,

Ont choisi cette dernière pour agrément.

.

Tant si l’enfer, c’est le mensonge, le faux,

Un paradis de vérité, ne sera pas si beau.

Qui décide, vraiment, du vrai et du faux :

L’Église voire le gouvernement d’en haut.

.

L’on dit que toute prison est enfermement,

Qu’il soit physique, psychologique ou moral

Vivre en un paradis peut être insupportable

Pour ceux qui seront inaptes aux bonheurs.

.

.

Épilogue

.

Il se trouve, comme il se doit,

Que tout paradis et tout enfer,

Ont une porte entrée à franchir

Avec des juges pour son sézame.

***

Il faut s’entrainer avec le Sphinx,

À résoudre des énigmes mortelles,

Sinon l’on serait pris  au dépourvu,

En tombant  de paradis  vers l’enfer.

***

Qui dit porte, dit liberté, enfermement :

Religion adopte second en… manipulant

L’humain pour peur de sa mort, en enfer,

Mort deux fois : sur Terre et en l’éternité !

***

Ce n’est pas que  cette croyance  soit inutile,

Il en faut une, de toute façon, mais  pourquoi

L’imposer  comme seule et unique, sans savoir

Ce qui nous attend réellement autre côté miroir.

***

Comme tout ce qui nous importe et fait sens de vie,

Notre libre-arbitre, si tant est qu’il existe, fonctionne

Nous accorde le choix, venant de l’intérieur, personnel

Suite à notre propre et unique expérience individuelle !

***

Qui ment et qui dément, qui dit vérité et qui dit fausseté :

Allez savoir, ce n’est pas qu’affaire de science, connaissances

Mais d’un processus d’individuation basée sur notre intuition

Venant combler les manques de toutes nos croyances erronées.

.

.

1126 – Calligramme

.

     QUAND

     E  *  P  

   En jeu    N       A de mots

Enfer me   F            R      ment

Le paradis  E                A   dément,

Avec force   R                  D     mystère !

Lors para     *                    I   dis d’amour

Demeure     M                   S   enfermement

À deux, en    E                   *    tours   d’ivoire

En ignorant    *                 D   environnement.

Enfer dément  M              É   feu éternel existe

Le paradis ne    E             M   serait pas sexiste

Du simple fait    N             E   qu’ange sans sexe

Ne s’en font plus  T            N   aucun complexe.

                         T

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

 ¤¤¤    Lors enfer me ment, paradis dément,   ¤¤¤

¤¤¤    Que peut vouloir dire cette phrase ci,   ¤¤¤

¤¤¤    Que le paradis pourrait être un enfer   ¤¤¤

¤¤¤    Ou bien  qu’il existe déjà sur Terre !    ¤¤¤

.

¤¤¤     Paradis d’amour et d’enfermement,    ¤¤¤

¤¤¤      Ressemblent fort à l’enfer d’autant     ¤¤¤

¤¤¤      Qu’on ne le voit  et qu’on ne le sent     ¤¤¤

¤¤¤      Tant que l’on a des yeux d’amants.     ¤¤¤

.

¤¤¤      Qui souligne comme une évidence     ¤¤¤

¤¤¤      Que tous les contraires se joignent     ¤¤¤

¤¤¤      Avec plus, sinon moins, de poigne.     ¤¤¤

¤¤¤      L’enfer dément  qu’un feu … existe     ¤¤¤

¤¤¤     Alors que toutes les visions artistes,    ¤¤¤

¤¤¤     Le met en avant-plan d’avant-scène,   ¤¤¤

¤¤¤    Quelque part entre l’enfer et paradis,   ¤¤¤

¤¤¤    Il y aura la lucidité d’une conscience,   ¤¤¤

¤¤¤   Qui ne se ment pas déjà à…elle-même, ¤¤¤

¤¤¤  Même quand prise d’émotion extrême. ¤¤¤

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1126 4

.

Cela ressemble à une grande porte

Avec, au dessus, un grand fronton, 

Et sur lequel serait écrit «paradis»,

Tandis qu’en bas, écrit c’est l’enfer.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

 .

Pourquoi s’imaginer enfer et paradis

avec une porte, une sirte de sasd’entrée

toutes les religions en parle, et l’adopte

ainsi telle porte évoque bien le fond !

.

L’enfer, c’est l’enfermement,

Même racine, et même … réalité :

Paradis on y serait enfermé aussi,

Derrière une porte : confusion !

.

Symbolique

 .

Paul Diel interprète l’enfer

Perspective psychologique,

«L’esprit  est  appelé  Zeus ;

Pour l’harmonie  des désirs,

Apollon : l’inspiration intuitive,

Athénée : le refoulement, Hadès».

L’enfer est à l’intérieur de soi-même,

L’enfer de ses démons qui nous possèdent.

.

Dans la tradition chrétienne, l’enfer

Est le péché mortel              lui-même

Dans lequel  les damnés  sont morts.

C’est la perte  de la présence de Dieu,

Malheur absolu, privation radicale.

.

La rédemption du damné n’est plus

Possible, fixé dans sa peine.

Dans une conception moderne

Et existentialiste : « l’enfer c’est les autres »

Selon Jean Paul Sartre

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1126 6

.

L’enfer, c’est l’enfermement,

Même racine, et même … réalité :

Paradis on y serait enfermé aussi,

Derrière une porte : confusion !

.

Symbolique

 .

La porte d’entrée, est un

Passage d’un lieu à un autre,

Un rôle de protection pour être

En totale sécurité, lors chez soi :

Sert autant à entrer qu’à sortir ;

Ou même  à franchir  un obstacle,

Sinon reculer devant un obstacle ;

Porte gérant l’extérieur, l’intérieur.

.

Référence à clé  (solution problème)

L’enfermement  ou emprisonnement

Lumière  de  coté / obscurité, autre ;

La vie  et la mort / jugement dernier

Ou l’entrée  au royaume  des morts ;

Ce qui  est  révélé / ce qui est  caché ;

Bien / mal, limite à ne pas franchir :

Ce qui est sacré / ce qui est profané ;

euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

La porte, après vous : fermez-là bien

Car il n’y aura pas de place pour tous

Au paradis où les places sont chères

Entendons-nous bien, pas d’argent

Uniquement vertus don, altérité.

.

L’enfer est immense et sa porte

Serait cent fois plus grande

Tout comme un porche

Non chas d’aiguille

Pour chameau.

 .

.

Paradis, Raphael Toussaint

.

Scénario

.

Sur un côté le paradis trompant mais sur l’autre, l’enfer dément.

Enfermement, oui c’est sûr : où sont les clés d’un vrai paradis ?

Un couple paradisiaque : l’un est enfermé, l’autre, en liberté !

 .

Visuels et textuels >>

1125 – L’éternité ne serait que concept lié au temps

Visuels et textuels  >>

.

L’éternité …

Ça prend du temps

L’éternité  eh,  attendez :

Pourquoi chercher à la définir

Clairement,  et,  définitivement,

Si on a, tout le temps  d’y penser,

Ni interruption   ni  discontinuité.

.

On ne vous dira jamais sauf à la fin

Si toutefois, par  chance, y parvenez,

Tant la moitié de l’infini, c’est l’infini

On se perd avoir tel début … sans fin.

.

S’il n’y avait pas  de temps,  d’espace

Il n’y aurait pas  d’espace, d’éternité.

L’éternité mais  cela, chacun, le sait,

Ne serait que  concept lié au temps

Qui sera une pure  durée humaine,

Afin de pouvoir mieux le compter.

 .

L’éternité,  qui a  un début,

Sans aucune fin … prévue

Est un non-sens logique,

Au sens mathématique.

.

Pourtant faut y croire,

Pour garder  l’espoir,

Sinon le grand soir,

Serait … trou noir.

.

Troublant  miroir,

Pour    s’apercevoir

Que vie est voyage

Passe comme nuage

.

Et, si la brève éternité

Nous attend l’autre côté

Il vaut mieux se préparer

Pour ne pas  se la regretter

.

Instant, et éternité, n’existant

Que dans un esprit fort chagrin

Qui ne voit mort, sans lendemain

Pour ce faire, recrée infini, temps.

.

.

Extensions

 .

 

À quoi bon s’éterniser à écrire et toujours

De vains mots sur l’Éternité

Que personne ne connait et dont personne,

Qui ait vanté ses mérites,

N’en ait revenu pour nous dire à quel point

Elle est désirable,  admirable.

 .

Éternité, assis sur un banc, en pleine solitude,

Et attendant la fin,  s’il y en a une

De quoi d’ailleurs ne me parait pas souhaitable.

Vous vous imaginez mort en pleine

Souffrance  pour une Éternité : c’est déjà  l’enfer.

Mais rassurez-vous, le bonheur même,

Surtout s’il reste intense,  finit par lasser,  énerver.

Il faut donc penser l’Éternité comme une

Sérénité parfaite  que rien ne peut venir perturber,

Que nombre d’agnostiques  appellent ennui.

 .

Et ce dernier peut être pire que douleur le bonheur.

On ne s’en tirerait jamais à si bon compte.

Peut-être est-il préférable de disparaitre et à jamais

Dans le Néant bien que l’esprit y rechigne :

Sa seule mission serait de se projeter dans l’au-delà

De ce qu’il est, dans ce qu’il adviendra

Si on supprime le temps, l’éternité perd son sens

Et son utilité et même l’Homme avec.

L’Éternité nous reste donc des plus nécessaires

Ne serait-ce que pour espérer…

 .

La distinction entre passé, présent et futur ne garde que

La valeur d’une illusion, si tenace soit-elle. » Albert Einstein

Pourquoi lors dire que « nous avons l’Éternité devant nous »,

Alors que nous y sommes déjà, depuis longtemps, toujours,

Si ce n’est que le temps de l’espace, et l’espace du temps,

Se confondent réellement en un seul et même concept.

Et bien que la science de la « relativité restreinte »

 S’opposerait alors à ma philosophie contrainte,

Il n’est pas de mon ressort de les rejoindre

 Dans un artifice jugé métaphysique !

.

Soit une durée qui n’a ni commencement ni fin,

Qui échappe à toute détermination chronologique

Ou durée ayant un commencement, mais pas de fin :

Comme le prône la religion : naissance puis vie future.

.

Dans les deux cas, il y aurait une contradiction interne

Comment concevoir une durée qui est un temps compté,

Puis comment concevoir un début qui n’aurait pas de fin,

Et lors s’il n’y a pas de durée, l’éternité est l’instant présent.

.

.

Épilogue

.

Si l’on admet qu’espace-temps n’existe pas

Ou du moins échappe à notre connaissance

Et plus encore à l’expérience de la physique

Alors l’éternité non plus, n’a plus lieu d’être.

 

***

 

C’est un peu contraire à la raison, je l’admets

Tant comment imaginer, qu’après notre mort

Nous continuerions de vivre : où et comment.

On frise paradoxe, celui quadrature du cercle.

 

***

 

Si on va  au-delà : toute la physique quantique,

Qui dit qu’une particule pourra être paradoxale

En deux états, deux espaces différents et reliés :

Vivant et mort d’un côté, voire affecté de l’autre.

 

***

 

C’est à n’y rien  entendre, comprendre, accepter :

On est loin de dualités cartésienne, einsteinienne,

Moi, qui suis psychologue… je rends mon tablier !

 

***

 

Attendez, non : avant  de mourir, j’aimerais  savoir,

Je ne veux pas  quitter cette Terre, dans un tel noir :

Je suis pris de vertige  et je tombe  dans une spirale !

 

***

 

Une spirale  d’un espace-temps, sans espace ni temps,

Qui me fera sentir, éprouver Dieu, à l’intérieur de moi,

Non mais ce serait vraiment merveilleux, j’y crois pas !

.

.

1125 – Calligramme

.

L’éternité …

Ça prend  *      *    du temps

L’éternité    É                    S  eh, attendez 

 Pourquoi cher  T                       /   P    cher à la définir

Clairement et   E                         /       M    définitivement,

Si on a, tout le   R           \              /            E   temps d’y penser,

Ni interruption    N             \          /                T   ni … discontinuité.

 On ne vous dira    I                  \       /                   *     jamais sauf à la fin

Si toutefois par     T                      o                       T    chance, y parvenez,

Tant la moitié de   É                                            P   l’infini,   c’est l’infini

On se perd avoir   *                                           E   tel début … sans fin.

S’il n’y avait pas   E                                       C    de temps,  d’espace

Il n’y aurait pas   S                                   N   d’espace, d’éternité.

L’éternité mais  T                            O    cela, chacun, le sait,

Ne serait que   *                    C   concept lié au temps

Qui sera pure     U    N         durée … humaine,

Afin de pouvoir   mieux le compter !

 .

L’éternité,  qui a  un début,

Sans aucune fin … prévue

Est un non-sens logique,

Au sens mathématique.

Pourtant faut y croire,

Pour garder  l’espoir,

Sinon le grand soir,

Serait … trou noir.

.

Troublant  miroir,

Pour    s’apercevoir 

Que vie est voyage …

Passe comme nuage …

Et, si la brève éternité ….

Nous attend l’autre côté …..

Il vaut mieux se préparer ……

Pour ne pas  se la regretter …….

Instant, et éternité, n’existant …….

Que dans un esprit fort chagrin ……..

Qui ne voit mort, sans lendemain ………

Pour ce faire, recrée infini, temps  ……….

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1125 4

.

Cette forme représente

Bien  une main, tenant

Au creux une lumière,

brillant pour l’éternité.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Lumière et éternité vont bien ensemble,

à quoi bon une éternité dans l’obscurité,

le principal problème est ailleurs : durée

ainsi la forme évoque un trou sans fond.

.

Cette main nous parle de lumière

Il existe plusieurs représentations

De ce fameux concept de l’Eternité.

Dans laquelle nous fusionnerions !

.

Symbolique 

.

Y a-t-il une vie après la mort ?

Sur cette question que toute personne

Se pose à un moment ou à autre de sa vie,

C’est peu de dire que les opinions divergent.

.

À ce jour, des milliers de livres ont été écrits

Sur ce sujet, les uns affirmant quelque chose

Subsiste, d’autres au contraire postulant

Le retour « au néant de conscience »

Lorsque vie s’achève enfin en

Lumière d’éternité.

Source : belle-emeraude.com/

dans-la-lumiere-de-l-eternite-

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1125 6

.

Cette main nous parle de lumière

Il existe plusieurs représentations

Du fameux concept de l’Eternité.

Dans laquelle nous fusionnerions.

.

Symbolique

.

L’éternité symbolise

Ce qui est privé de limite dans la durée.

C’est l’affirmation de l’existence

Dans la négation du temps.

.

L’Irlande qui ne possédait

Aucun    moyen    de   faire

Comprendre une telle  notion

Aura  brisé le cycle  des  années

À n’en plus finir qui s’additionnent.

.

C’est ainsi que : « Un an et un jour »

Serait devenu le symbole de l’éternité.

Pour  l’homme, le désir  d’Éternité  reflète

Sa lutte incessante contre le temps et plus encore,

Sa lutte pour une vie si intense qu’elle triomphe de la mort.

 .

.

Corrélations

 

Fond/forme 

.

L’éternité serait mise en lumière en religion

Par l’évocation du fameux tunnel de lumière

Que l’on franchirait à l’instant de notre mort.

Passage d’un temps terrestre, mesuré, mortel

À un temps illimité, fondu dans le grand Tout,

Est une affaire de croyance  et de foi religieuse,

Qui n’a aucune preuve pragmatique scientifique

On parle de cinquième dimension… atemporelle

N’ayant aucune connexion possible avec nous !

 .

.

Éternité spirale sans fin

 

Changer l’image ici

.

Scénario

.

Deux anneaux croisés pour l’éternité

tant que le soleil brille, c’est notre éternité

mais, après, qu’adviendra-t-il de nous sur banc ? 

 .

Visuels et textuels  >>

1124 – A part les enfants, qui croit aux contes

Visuels et textuels  >>

.

Enfants croient aux contes

Parce  qu’ils  ont  besoin

En vue  de  se structurer

Leur double imaginaire

Comportant des niveaux

L’un   de compréhension,

Et le second sur la logique,

Et de passer de l’un à l’autre

Les fait grandir dans leurs têtes.

Ils croiront sans y croire vraiment,

Et, si vous dites   qu’ils sont  faux,

Vous les privez de leur jugement.

.

Qui croit  encore aux  contes,

Les jeunes enfants, et  encore,

Si vrai que tout ce qu’on raconte,

N’est pas la  trouvaille  de trésor.

Que  veut  dire : ni vrai  ni faux !

.

Autant  dire : je  n’en  sais  rien,

Scientifique n’est pas  plus beau

Que poésie,  contes,   entretiens.

.

On adore, tous, belles  histoires,

Nous laissant  entrevoir l’espoir

Que tout ira mieux, en l’avenir :

Se marièrent, enfants pour finir.

.

Douter de tout, n’entendre, rien,

Conduirait à devenir un nihiliste

Qui voudrait vous rendre autiste

Lors le réel n’est, ni mal ni bien.

Ainsi que reflet, dans un miroir,

.

Un conte est  une vérité, révélée,

N’est que  votre image, projetée,

En forme de fictions, d’histoires.

.

Il y a d’ailleurs, conte et contes :

Conte fleur bleue, princesse, fée,

Conte fleur noire, sorcière ronde

Conte cruels, sexuels, nymphées.

.

Au bout du compte… que trouver

D’autre que mèche d’imagination

Qui éclaire un monde, émerveillé,

Où magie opère sans distinctions.

.

Nous en avons tous besoin… pour

Supporter notre sort… et la réalité

De notre monde et au fil des jours

Qui, eux, nous sont bien comptés.

.

Ils nous racontent que,  méchants

Seront punis et bons récompensés

S’ils se battent pour la juste cause,

En usant de ruses et non de forces.

.

Toute écriture est proche de conte,

Même si ce sont faits qu’on raconte

Car l’interprétation toujours seconde

Est en définitive, la seule qui compte !

.

.

Extensions

 .

Le « compte » y est,

Même si le « conte » y est,

Dans une histoire de «comte»

Telle que  celle de : Dracula !

Un simple jeu sur les mots,

Bien évidemment,

Mais qui en dit long

Sur séries n’en finissant pas.

Le besoin de se projeter, vivre

Par procuration est infini

Dans l’enfance

Où l’imagination est reine.

.

Conte vous raconte,

Et c’est ce qui compte,

Celui d’héros qui affronte

Un roi ou une méchante,

Ou sauve  une héroïne,

Qu’on nomme Prince

Et elle, Princesse

Vous tient en haleine

Par toutes leurs peines,

Ce jusqu’au « happy end »

Vrai ou faux est d’importance

Mais surtout  pour leur morale :

Les gentils vaincront les méchants

Même si c’est pas vrai tout le temps.

.

Psychanalyse des contes de fées est

Un livre de Bruno Bettelheim paru en 1976.

 «Écrit pour aider les adultes, et plus spécialement

Ceux qui ont charge d’enfants, à comprendre

 L’importance des contes de fée»

.

Grands thèmes comme le complexe d’Œdipe

Ou encore la rivalité fraternelle chez les enfants,

Ces contes répondent aux angoisses des enfants

 En les informant sur leurs épreuves à venir,

Efforts à accomplir avant leur maturité.

.

Inspiré de l’article  dans Wikipédia

.

.

1124 –  Calligramme

.

Q              T

Enfants     U   croient   N  aux contes

 Parce qu’ils  I                            A    ont besoin

En vue de se   *                                F      structurer

Leur  double    C                                    N     imaginaire

Com-por-tant   R                                      E     des  niveaux

L’un   de com     O                                      :       pré-hen-sion,

Et  le  second      I                                     S     sur la logique,

Et   de   passer     T                                E    de l’un à l’autre

Les fait grandir   *                            T  dans  leurs  têtes.

Ils croiront sans  A                     N y croire vraiment,

Et si vous dites  U             O  qu’ils sont faux …

Vous les privez X      C  de leur jugement.

.

Qui     croit      encore      aux      contes,

Les     jeunes    enfants   et   encore,

Si vrai que tout  ce qu’on raconte,

N’est pas la  trouvaille  de trésor.

Que  veut  dire : ni vrai  ni faux !

Autant  dire : je  n’en  sais  rien,

Scientifique n’est pas  plus beau

Que poésie,  contes,   entretiens.

On adore, tous, belles  histoires,

Nous laissant  entrevoir l’espoir

Que tout ira mieux, en l’avenir :

Se marièrent, enfants pour finir.

Douter de tout, n’entendre, rien,

Conduirait à devenir un nihiliste

Qui voudrait vous rendre autiste

Lors le réel n’est, ni mal ni bien.

Ainsi que reflet, dans un miroir,

.

Un conte est  une vérité, révélée,

N’est que  votre image, projetée,

En forme de fictions, d’histoires.

Il y a d’ailleurs, conte et contes :

Conte fleur bleue, princesse, fée,

Conte fleur noire, sorcière ronde

Conte cruels, sexuels, nymphées.

Au bout du compte… que trouver

D’autre que mèche d’imagination

Qui éclaire un monde, émerveillé,

Où magie opère sans distinctions.

.

Nous en avons tous besoin… pour

Supporter notre sort… et la réalité

De notre monde et au fil des jours

Qui, eux, nous sont bien comptés.

Ils nous racontent que,  méchants

Seront punis et bons récompensés

S’ils se battent pour la juste cause,

En usant de ruses et non de forces.

Toute écriture est proche de conte,

Même si ce sont faits qu’on raconte

Car l’interprétation toujours seconde

Est en définitive, la seule qui compte !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1124 4

.

Un long parchemin

Avec une belle histoire

De conte à raconter 

Tel celui de Cendrillon

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

 Bon nombre de contes commencent par :

Il était une fois…

Et on déroule l’histoire, en premier, puis

Second, degré de lecture.

 .

Symbolique

 .

Conte est récit court

Qui est destiné à distraire,

Inspiré de faits réels, historiques,

D’aventures purement imaginaires.

.

Le conte principal est de fée, merveilleux,

Mais il en existe d’autres, apparues après.

Le rêve, la fantaisie, l’absurde, l’humour

Élargissent les thèmes en imaginaire

Et irrationnel dans lequel l’enfant

Investit… ses…  propres … rêves.

.

Andersen introduit un merveilleux

Quotidien où objets et nature s’animent

Pour faire vivre une féérie riche d’émotions.

Ainsi, Alice aux pays des merveilles de Lewis Caroll.

.

.

Fond

 .

Évocation .

1124 6

.

Bon nombre de contes commencent par :

Il était une fois Cendrillon

Et on déroule l’histoire, en premier, puis

Second, degré de lecture.

.

Symbolique 

.

Le saviez-vous ?

La première trace écrite

De Cendrillon et ses sœurs jalouses

Apparaît dans un manuscrit chinois

Qui serait vieux de trois mille ans.

Pourquoi des histoires anciennes

Qu’on peut les croire désuètes,

Inadaptées à notre époque,

Nous parlent-elles encore autant ?

.

Elles  reflèteraient  nos   structures

Psychiques les plus fondamentales.

Bien loin de l’esprit  d’une  simple

« Littérature enfantine », contes,

Mettant, en scène, fantasmes,

Apportent, à leur manière,

Solutions de problèmes.

psychologies.com/Culture/Savoirs

 .

 .

Corrélations

Fond/forme

.

Tous les enfants aiment les contes,

Que parents, amis, leurs racontent

Mais ils savent qu’ils sont inventés

Ils font mine d’y croire lors jouant

Sur les deux tableaux,  vrai et faux

Les romanciers, voire les politiciens,

En raconteront  d’autres  aux adultes,

Auxquels ils adhéreront  en disant non :

L’inconscient prend le pas sur le conscient.

 .

.

Petit côté Walt Disney !

.

Scénario

.

Pour un conte, que l’on raconte,

ça commencera, toujours, comme ça,

et ça finira, souvent, trop bien ou trop mal.

 .

Visuels et textuels  >>

1123 – Croyances d’être dans les bras de Morphée !

Visuels et textuels  >>

.

Sommeil  réparateur,

Régulateur,  producteur,

Ou lors trois rôles  dédiés,

Qui restent indispensables

Pour notre  équilibre… vital.

.

Il faudra aimer son sommeil,

Faut écouter insomniaques,

 Nous dire  ne pas réussir

À dormir : passer nuit

Blanche, deviendra

Un enfer éveillé.

.

Dormir dans les bras de Morphée :

Croyance sur sommeil vous laissant,

Abandonné, endormi parfois hors lit !

Morphée fils d’Hypnos dieu du sommeil

.

Ainsi que de Nyx, cette déesse de la nuit :

Qui, dispersant, en l’air, graines de pavot,

Endormait profondément, en faisait rêver,

Les bons, et, même  les mauvais dormeurs.

.

Jean de La  Fontaine aura de même œuvré

En ses fables, et, pour faire de «Morphée »

Un quasi synonyme  français  du  sommeil

«Dans les bras de» est signe de protection,

D’homme conjuguant sommeil nuit, rêve.

.

Qu’espérer de mieux que la douceur infinie

D’un  laisser-aller, voire,  d’un lâcher-prise,

Qui  nous  transporterait  en  autre  temps

Nulle part ailleurs, voire  pour  un voyage

Plein de surprise voire plein d’inventivité.

.

Image du «lancer  de  graines  de  pavot »

A été reprise dans «Marchand  de sable »

Dans l’émission : «Bonne nuit les petits»

Mais on la retrouve dans tous les livres,

Qui servent pour endormir les enfants.

.

.

Extensions

.

Cette image a ce côté potion magique

Jouant le rôle hypnotique.

Première réduit la lumière dans le jour,

Seconde l’augmente en nuit,

Le cobra hypnotise, la chouette nyctalope.

.

Sommeil pas réservé à la nuit

Et ce que l’on voit dans le jour n’est pas pareil

À ce que l’on voit dans la nuit.

 .

Il arrive que deux réalités, au lieu de se continuer,

De se superposer, se dissocient,

Se scindent en deux, sans liens logiques entre elles :

En état d’éveil et en état de rêve.

Le rêve supprime  toute censure, et permet  de jouer

Tous les rôles toutes les situations.

 .

Le sommeil  aura, longtemps,  été considéré  comme

Un long processus de déconnexion

De la réalité perçue, de reconnexion, en plein éveil :

Il s’agit d’une réalité qui se poursuit

De manière inconsciente, déformée et transformée.

.

Morphée utilise la drogue pour faire

Dormir et rêver, l’écriture, la peinture, la musique,

Les arts sont des drogues à faire rêver

Au réveil, vous en récolte les fruits, ou les oublier.

.

Morphée ou dormir au pays des songes

En un rêve auquel tout le monde songe

Au lieu d’un cauchemar qui vous ronge

Et pour qui, vous serez comme éponge !

C’est un enfant dans les bras d’une mère

Une amoureuse dans ceux de son amant

C’est l’inconscient, en lequel, on se perd !

.

Il fallait bien un  dieu du sommeil

En la panoplie des dieux olympiens

Tout comme dieu/déesse de la nuit :

Hypnos/Nix pour ne pas les nommer

Mais davantage liés aux cauchemars,

.

Phobétor, serait “celui qui épouvante”

Prenant apparence d’animaux féroces.

Lors Thanatos  personnifierait la Mort,

Les Oneiroi (songes) seraient divinités

Qui personnifient les rêves : la totale.

.

.

Épilogue

.

Le sommeil, le rêve, la nuitée

Avaient-ils besoin d’un mage

Afin de se… métamorphoser

En scènes,  plein d’images !

***

Tant, le marchand de sable

A pris la suite aujourd’hui

Vous disant : bonne nuit,

Et vous en serez capable.

***

C’est sûr, l’on dort mieux

Dans des bras bien aimés,

Que seul, voire abandonné,

 Sur un vieux, mauvais pieu !

***

Mais autre  mage  du sommeil,

A pris autant relève : somnifère

Mélatonine, en pilules, merveille,

On ne pourra résister, s’en défaire.

***

Il y a pléthore de mages, divinités,

Pour se couper de toute la réalité :

Morphée,  rêve, Hypnos sommeil,

Nyx, nuit ; Oneroi, pour  songes !

***

Nuits sont aussi utiles ou futiles,

Que nos jours, bien mercantiles,

Nuit  blanche : cauchemar noir,

Lors tueuse  de rêves d’espoirs.

***

J’arrête, je vais vous endormir

De tous mes propos ennuyeux,

Et si je vous racontais Casimir

Ce héros  qu’on dit valeureux !

.

.

1123 – Calligramme

.

Sommeil  réparateur,

Régulateur,    producteur,

Ou trois Ô  rôles   Ô   dédiés,

Qui restent  //    indispensables

Pour notre  //   équilibre …  vital.

Il faudra  //  aimer son sommeil,

Faut écouter des insomniaques,

 Nous dire ===  ne pas réussir

À dormir : passer nuit

Blanche, deviendra

Un enfer éveillé.

.

*************

****************

CROIRE ÊTRE

.

Dormir dans les bras de D  Morphée :

Croyance sur sommeil    A   vous laissant,

Abandonné, endormi    N  parfois hors lit !

Morphée fils d’Hypnos   S   dieu du sommeil

Ainsi que de Nyx, cette    *   déesse de la nuit :

Qui, dispersant, en l’air,     L  graines de pavot,

Endormait profondément,   E   en faisait rêver,

Les bons, et, même  les mau  S  vais dormeurs.

Jean de La  Fontaine aura de  *   même œuvré

En ses fables, et, pour faire de  B   «Morphée »

Un quasi synonyme  français     R du sommeil

«Dans les bras de»  est signe de  A   protection,

D’homme conjuguant sommeil  S  nuit, rêve.

.

***************************************

***************************************

.

Qu’espérer de mieux que la  D  douceur infinie

D’un  laisser-aller, voire,  d’ E  un lâcher-prise,

Qui  nous  transporterait    *     en autre temps

Nulle part ailleurs, voire  M    pour un voyage

Plein de surprise, voire  O  plein d’inventivité.

Image du «lancer de   R     graines de pavot »

A été reprise dans    P «Marchand de sable »

Dans l’émission :   H  «Bonne nuit les petits»

Mais on la ret    É  rouve dans tous les livres,

Qui servent    E     pour endormir les enfants.  

.

.

Forme

 .

Réduction

.

.

Silhouette d’un homme

Aux allures de statue grecque :

C’est peut-être  bien  Morphée, 

Et qui le voit sommeille avec lui.

.

(forme pleine, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

.

Morphée et sommeil font la paire

comme un dieu païen hypnotiseur,

qui régira le monde de l’inconscient,

et ainsi forme et fond ses confondent.

 .

Évocation  

.

1123 4

.

Morphée : on pense à une femme

Lors il s’agit d’un homme :

Suscitant et gardant son  sommeil,

Favorisant les rêves heureux.

 .

Symbolique

 

Dans la mythologie grecque,

Morphée,  dieu des rêves,

Est le fils d’Hypnos,

Dieu du sommeil et de Nyx,

Déesse de la nuit.

.

Il est souvent représenté par

Un jeune homme tenant un miroir

À la main et des pavots soporifiques de l’autre.

Il donne  le sommeil en touchant une personne

Avec ses pavots, donne des rêves pour la nuit.

.

Les bras étant symbole de sécurité et de  force,

On comprend  pourquoi  cette image  est restée

Pour désigner personne qui dort profondément.

linternaute.fr/expression /etre-dans-les-bras-de-morphee

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1123 6

.

Morphée : on pense à une femme

Lors il s’agit d’un homme :

Suscitant et gardant son sommeil,

Favorisant les rêves heureux.

.

Symbolique 

 .

Dans la mythologie grecque,

Morphée,  dieu des rêves,

Est le fils d’Hypnos,

Dieu du sommeil et de Nyx,

Déesse de la nuit.

.

Il est souvent représenté par

Un jeune homme tenant un miroir

À la main et des pavots soporifiques de l’autre.

Il donne  le sommeil en touchant une personne

Avec ses pavots, donne des rêves  pour la nuit.

.

Les bras étant symbole de sécurité et de  force,

On comprend  pourquoi  cette image  est restée

Pour désigner personne qui dort profondément.

linternaute.fr/expression /etre-dans-les-bras-de-morphee

.

 .

Corrélations

 .

Fond/forme 

.

Existe-il encore, de nos jours, un lien direct

Entre le mythe de Morphée et les somnifères

Ne cherchez pas, consulter le Réseau Morphée,

En lequel il est mentionné de manière très claire

« À utiliser uniquement de manière occasionnelle,

Sinon il y aura un risque de certaine dépendance.

Pas de prise la veille d’une échéance importante :

 Ils peuvent entraîner une somnolence plus longue

Que prévue, perturber toutes nos performances. »

Alors, à bon entendeur, salut, surtout bon sommeil

.

 .

Sommeil ou extase ?

.

Scénario

.

Morphée endormi, 

Morphée rêvant de nymphe,

Extase, sommeil ou mort : allez savoir ?

 .

Visuels et textuels  >>

1122 – Boite Pandore, mythe fécond et dramatique !

Visuels et textuels  >>

.

La boite de Pandore est

Un mythe grec … d’Hésiode

Selon lequel, Zeus, pour châtier

Impiété des hommes, aurait fait

Forger par le dieu Héphaïstos

Une toute  première  femme,

Qu’il se dépêcha d’envoyer

Toute, nue, sur notre Terre.

.

Sous le nom ironique de Pandore

«Don universel», munie  d’une boite,

Qu’on lui recommanda de ne pas ouvrir

Mais voilà, curiosité féminine ne tint pas.

.

De la boite, jaillirent maux de l’Age de fer,

Seule, l’espérance, sans objet, reste au fond

Comme l’équivalent païen  de la faute d’Ève,

Voire de l’origine biblique du péché originel.

.

Et depuis, et au sens figuré, et par extension,

La boite de Pandore est un bienfait apparent

Qui cache à l’intérieur, ses effets désastreux.

 .

Tentation  féminine ,malsaine, obsessionnelle,

De découvrir un  secret  du Mal,  et  malicieux

Et curiosité masculine, saine, persistante

De découvrir le secret du Bien précieux

Se renvoient, mutuellement, le débat.

.

Entre religions jusqu’à la science

C’est une différence entre lire

En boule de cristal,  l’avenir

Ou instrument scientifique

Pour comprendre le passé.

.

Toute boite, fermée à clé

Avec consigne de ne jamais

L’ouvrir, ne peut que susciter

Une tentation de passer outre ;

.

Il n’y a aucune raison pour que

Ce soit la femme qui prenne

L’initiative . de braver

L’interdit jusqu’à en

Endosser la faute.

.

.

Extensions

 .

Il se pourrait que la boite contienne des bienfaits,

Comme pour Ève avec l’Arbre  de la  Connaissance,

Du bien et mal engageant responsabilité de l’homme

Et comme mettant fin  à une innocence paradisiaque.

C’est le même mythe, la même cause, les mêmes effets.

Son universalité  trouvera son origine  dans la nécessité

D’expliquer les malheurs récurrents de notre humanité.

.

La religion chrétienne prend parti, du fait qu’espérance

Est foi en notre rédemption mais en ajoutant qu’elle est

Impossible en notre Monde terrestre mais Jésus-Christ

Nous l’a prouvé, nous l’a promis pour la fin des temps.

La science aussi s’intéresse à ce mythe en l’inversant,

Les bienfaits  qu’elle aurait dispensés  au premier

Degré peuvent  s’avérer  désastreux au second.

.

L’enfer, on le dit, serait pavé des meilleures

Intentions du monde, un médicament qui

Soigne un organe peut créer dommages

Les plus irrémédiables et à tout autre

Si ce mythe  nous renseigne  peu  sur

Le rôle de l’espérance, il nous mettra

En garde  contre  tout faux-semblant

En nous incitant à critique, prudence.

.

Pandore, une femme encore, et accusée d’avoir été tentée

Comme dans la perte du Paradis, en mangeant la pomme.

On n’en sort pas, sauf en conservation d’espoir, rédemption

Pour dire vrai, c’est l’Humanité qui en est seule responsable.

Ce n’est pas punition divine que le réchauffement climatique

La plupart des maux, dont nous subissons  les désagréments :

Soit nous les avons créés, soit nous en avons éradiqué certains.

.

Pandore est  le nom de la première femme,

Mortelle de l’humanité, envoyée sur Terre,

 Par Zeus, en vue de se venger des hommes.

Elle a apporté, dans ses bagages, une boîte

Mystérieuse que Zeus lui interdit d’ouvrir.

.

Celle-ci contient tous maux de l’humanité :

Vieillesse, maladie, guerre, famine, misère

Ainsi que Folie, Vice, Tromperie, Passion,

 L’orgueil, le tout  avec intrus : l’Espérance.

.

Ouvrir la boite de pandore … nous rappelle

Combien les hommes autant que les femmes

Sont vulnérables et succombent à la tentation,

Quitte à en subir des répercussions inéluctables.

.

.

Épilogue

.

Pandore sera un mythe sacré

Faisant partie des archétypes,

Mis en lumière par C. G. Jung,

Révélant l’origine de tous maux

Sur la Terre, avant  un  paradis !

***

Une métaphore, une symbolique

Pour mieux illustrer  la nécessité

La toute la puissance de l’Espoir,

Appelée,  tout autant, Résilience,

 En qui, on a mis toute confiance.

***

Là où mythe d’Ève et de Morphée

Est sujette  à question, déviation,

Est qu’il s’agit  que d’une femme,

Est sans doute  écrit par homme,

Pour la tenir à distance du sacré.

***

Curiosité masculine serait positive,

Féminine, négative et voire fautive,

C’est tout de même leur faire injure

Moi que les pensait  naïves et pures,

Ou bien sont-elles été instrumentées

Pour mieux justifier … l’injustifiable.

***

De conclusion hâtive à tirer : aucune,

Toutes seraient critiques, opportunes,

Autant rejeter toute faute sur la Lune.

.

.

1122 – Calligramme

.

La boite de Pandore est……

Un mythe grec d’Hésiode……

Selon lequel, Zeus, pour châtier

   Impiété des hommes, aurait fait

       Forger par le dieu Héphaïstos

             Une toute  première  femme,

                Qu’il se dépêcha d’envoyer

                  Toute, nue, sur notre Terre.

        Sous le nom   B    ironique de Pandore

     «Don universel»,  O   munie  d’une boite,

        Qu’on lui recommanda I    de ne pas ouvrir

         Mais voilà, curiosité fémi  T  nine ne tint pas,

       De la boite, jaillirent maux   E de l’Age de fer,

      Seule, l’espérance, sans objet,   *  reste au fond

    Comme l’équivalent païen de la  D  faute d’Ève,

    Voire de l’origine biblique péché E        originel.

    Et depuis, et au sens figuré, et    *   par extension

    La boite de Pandore est un   bienfait apparent,

  Qui cache à l’intérieur,   A   ses effets désastreux.

N

    Tentation  féminine   D    malsaine,  obsessionnelle,

  De découvrir un se   O  cret du Mal, et malicieux…

  Et curiosité mas   R   culine, saine, persistante,…..

 De découvrir     E  secret  du Bien  précieux………

 Se renvoient    :    mutuellement le débat………….

Entre religions M    jusqu’à la science…………….

 C’est une diffé     Y    rence entre lire……………..

En boule de cris   T    tal,  l’avenir………………

  Ou instrument sci  H   entifique………………..

  Pour comprendre   E le passé………………..

 Toute boite, fermée  *  à clé,………………

  Avec consigne de ne  F  jamais…………

  L’ouvrir, ne peut que  É  susciter……..

    Une tentation de passer C outre…….

    Il n’y a aucune raison, O  pour que

  Ce soit la femme N qui prenne

L’initiative         D   de braver

  L’interdit           *      jusqu’à en

   Endosser             *              la faute.

D   R   A   M   A   T   I   Q   U   E  !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1122 4

.

Silhouette de femme

Nue et qui pourrait bien

Ressembler  à   Pandore 

En posture de… curiosité ?

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Pandore et curiosité font la paire

il fallait une femme pour ce faire :

une femme déchue, bannie sur terre

si bien que sa forme épousera le fond.

 .

Pandore serait l’envoyée d’un  dieu  olympien,

En nôtre paradis terrestre,

Avec une boite et sa curiosité poussera à l’ouvrir

 Pour le malheur des  humains.

.

Symbolique 

 .

Georges Charachidzé  met en évidence

Que des  éléments du mythe de Prométhée

Ont été empruntés aux légendes géorgiennes.

.

Tous ces contacts avec le Caucase sont aussi

À la base d’un tel mythe de Pandore,

Fondé sur l’idée reprise par Hésiode

Que la femme est à l’origine

Des maux de l’homme.

.

Néanmoins, sa création

Comme celle du premier

Homme à partir de la terre

Glaise est d’origine mésopotamienne.

wikipedia.org/wiki/Pandore#Interprétation

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1122 6

.

Pandore serait l’envoyée d’un  dieu  olympien,

En nôtre paradis terrestre,

Avec une boite et sa curiosité poussera à l’ouvrir

 Pour le malheur des  humains.

.

Symbolique 

 .

La curiosité est une attitude

De disponibilité et/ou d’intérêt

À l’égard  sujet phénomène donné.

Peut être un trait de caractère,

Présente en toutes occasions,

Elle est considérée très positive

Par  la  Science, lorsqu’elle aide

À l’intelligibilité de notre monde.

.

La curiosité est un vilain défaut,

Rappelle, qu’en société, le désir

De connaissance qui nourrit

La curiosité peut heurter

Les sensibilités ou les intérêts

D’autrui et être ressenti gênant.

fr.wikipedia.org/wiki/Curiosite_(faculte)

 .

 .

Corrélations

 .

Fond/forme

 .

Il faut bien attribuer les malheurs du Monde

À quelqu’un, mais mieux encore, à quelqu’une

Étrange qu’en monde dominé par la masculin,

Ce soit une femme qui ait le désir de tout savoir

Alors il aura tourné une telle vertu en  un vice

De commérage que, seule, la femme assouvit,

En un tour de passe-passe en quelque sorte,

C’est là, en tous cas, mon interprétation !

 .

.

Pandore de J. P. Cortot

.

Scénario

.

Tel qu’on l’a imaginé pur vous, et curieux : ouvert par une femme,

et qu’est-ce qu’on y voit à l’intérieur : l’espérance… qui y est resté,

tant, pour le reste : tout a explosé et s’est disséminé sur la Terre !

 .

Visuels et textuels  >>

1121 – Nous aurions acquis un sacré sens du sacré !

Visuels et textuels >>

.

Sacré n’est seulement pensées

Il est  aussi en actes  pratiques,

Utilisant nombre de rituels

Comme en exorcise de sa foi.

.

En lui à laquelle ne pas déroger

Et cela, depuis la nuit des temps,

Il n’y a qu’à voir nos enterrements

Avec  pour cérémonial  inhumation :

Les bougies et les hosties, les homélies,

Les lumières et les prières et bréviaires,

Sous une forme et voire sous bien d’autres

Faisant de nous, du sens sacré, bons apôtres

 .

Pour survivre  dans ce Monde  ou  pour  y perdurer,

Vide,  néant,  inutilité,  ne pourraient   nous aider :

Il nous faut : but, finalité en laquelle nous croyons

Œuvrons : en somme, cela définira notre religion.

.

Je vous arrête de suite car, un athée, incroyant,

Ni aucun agnostique n’aura pas de de religion :

Il ne croit pas en un dieu : rien qu’en lui-même,

Et trouve insensé toutes finalités téléologiques !

.

Lors impossible de résoudre problème insoluble :

De manière subtile on se contente de le déplacer.

Et idoles de païens sont devenues dieu unique,

Qui s’est transformé en de nouvelles idoles

Virtualisées par l’internet, et le cybernet,

En un cyberespace, une cyber-pensée.

.

Et nous ne pouvons pas y échapper

Sans être taxé de bestial, de bestialité

Car libre à chacun de mettre le «sacré»

Là où  il l’entend : l’amour, liberté, santé,

Le plaisir, les enfants, y compris, l’argent !

.

Tout cela parce que le sacré suppose

Réalité extérieure qui nous dépasse

Et qui nous élève en même temps.

Tous les arts …  s’en approchent,

Par un côté…sublimation de soi,

Humanisme par côté don de soi.

.

Don de soi et sublimation n’ont

Peut-être rien de sacré selon moi,

Ce sont des choix de vie, de valeurs

Auxquelles on croit, et que l’on défend

Pratique : il n’y a ni messe ni prophète !

.

.

Extensions

 .

Pas de vrai prophète pour sauver notre Monde

Ni annoncer la fin des temps, ni la délivrance

De l’Humanité, du fardeau, qui est le sien

Pour l’accueillir en une Terre promise,

Racheter son âme égarée, la ressusciter.

 .

On croirait synthèse religions monothéistes.

Je ne suis pas prêt à renoncer à liberté de penser,

De rêver, d’imaginer, ni de créer qui me sont sacrées.

 .

Voilà bien deux croyances, qui te tiendront éveillé mais

Ne donne pas un sens à ta vie, t’aident à la supporter.

 .

Le sacré est un sentiment qui fascine et terrifie,

Quelque chose de surnaturel mais qui ne se

Manifeste pas dans notre vie… réelle !

 .

Serait sacré  tout ce qui se donne

Pour tel  aux yeux  d’un croyant,

Qui pense être dans le vrai mais

Cherche à l’imposer aux autres.

.

Notre sens du sacré nous viendrait de ce rite, établi

Pour enterrer nos morts, que les animaux n’ont pas.

Naissance, mariage, enterrement en sont les témoins

Et ce quel que soit la religion et même chez les athées.

Il s’agit de quelque chose d’humain qui se projette divin

Sens sacré, suite à cela, aura pris  deux voies divergentes,

En relation avec Dieu et avec ce à quoi nul ne peut toucher,

Ainsi on parle de sanctuaire, à propos de la défense de l’État,

Comme si c’était un dieu qui gardait le trésor royal inviolable.

.

Tout d’abord, qu’est-ce que la sacré :

Qui appartient au domaine séparé,

 Intangible, inviolable du religieux

Doit inspirer crainte et respect

Lors on l’opposera à profane

En désignant toute réalité

N’étant pas  consacrée ;

Personne non initiée,

Et voire ignorante.

.

.

1121 – Calligramme

.

Sacré n’est    A  seulement S     pensées

Il est  aussi  V  en actes     E  pratiques,

Utilisant    O      nombre   N   de rituels

Comme     N   en exorcise  S     de sa foi.

En lui à     S      laquelle ne  *  pas déroger

Et cela        *      depuis nuit  D   des temps,

Y a qu’à       A     voir nos en    U   terrements

Avec  pour     C      cérémonial    *   inhumation

Les bougies,    Q    et les hosties   S   les homélies,

Les lumières      U   et les prières   A   et bréviaires,

Sous une forme   I     et voire sous  C   bien d’autres

Faisant de nous,   S   du sens sacré, R   bons apôtres

                                     É

Pour survivre  dans ce Monde  ou  pour  y perdurer,

Vide,  néant,  inutilité,  ne pourraient   nous aider :

Il nous faut : but, finalité en laquelle nous croyons

Œuvrons : en somme, cela définira notre religion.

.

Je vous arrête de suite car, un athée, incroyant,

Ni aucun agnostique n’aura pas de de religion :

Il ne croit pas en un dieu : rien qu’en lui-même,

Et trouve insensé toutes finalités téléologiques !

.

Lors impossible de résoudre problème insoluble :

De manière subtile on se contente de le déplacer.

Et idoles de païens sont devenues dieu unique,

Qui s’est transformé en de nouvelles idoles

Virtualisées par l’internet, et le cybernet,

En un cyberespace, une cyber-pensée.

.

Et nous ne pouvons pas y échapper

Sans être taxé de bestial, de bestialité

Car libre à chacun de mettre le «sacré»

Là où  il l’entend : l’amour, liberté, santé,

Le plaisir, les enfants, y compris, l’argent !

.

Tout cela parce que le sacré suppose

Réalité extérieure qui nous dépasse

Et qui nous élève en même temps.

Tous les arts …  s’en approchent,

Par un côté…sublimation de soi,

Humanisme par côté don de soi.

.

Don de soi et sublimation n’ont

Peut-être rien de sacré selon moi,

Ce sont des choix de vie, de valeurs

Auxquelles on croit, et que l’on défend

Pratique : il n’y a ni messe ni prophète !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1121 4

.

Un piédestal pour trois statues

Ou une forme de ciboire religieux

Ou une forme  de  cercueil humain

Voire peut-être, de sarcophage ?

.

(forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

Pour une momie, le sarcophage

 Témoigne  assez du sens du sacré

Tant c’est ce qui nous distingue,

Et pour partie, des animaux !

.

Symbolique 

 .

Momie est également une machine.

En effet, pour les Égyptiens : la mort

Est la dissociation entre le contenant

Appelé son enveloppe charnelle et

Le contenu impalpable, son âme.

.

Pour assurer  l’Éternité de la vie,

Il faut alors conserver également

Le contenant : le corps. Elle est moyen.

C’est une véritable machine à traverser

Le passage  vie-mort» sans encombre.

.

Selon le point de vue de l’embaumeur,

La momie est un produit et résulte

D’une activité,  d’un long procédé

De fabrication mettant lui-même

En jeu, d’autres objets  et  outils,

Vrai savoir-faire du technicien.

fr.wikipedia.org/wiki/Momi

ficationen_Egypte_antique

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1121 6

.

Pour une momie, le sarcophage

 Témoigne  assez du sens du sacré

Tant c’est ce qui nous distingue,

Et pour partie, des animaux !

 .

Symbolique 

 .

Le sarcophage est un coffre

Qui est destiné à recueillir le défunt.

Il est associé à la mort : dans l’antiquité,

Égyptiens  utilisaient nombre  de sarcophages

Pour préserver momie qui se trouvait à l’intérieur.

.

Il représente la demeure du défunt en l’au-delà,

Le décor du couvercle représenterait le Ciel,

Tandis que le fond de la cuve : la Terre !

1001symboles.net/symbole/sens-de-sarcophage

.

.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Tant que nous sommes vivants

L’on représente un être animé,

Et quand nous sommes morts :

Un objet, une chose,  inanimés.

Pourquoi  alors  vouloir durer,

Dans  un  sarcophage, cercueil

En une tombe, en un cimetière,

Sinon pour croire résurrection

Pas  sous  la même forme, sûr,

Mais un autre principe de vie,

Qui lui, ne serait  plus  soumis

À une mort bien trop charnelle.

 .

.

Un sacré sens du sacré

.

Scénario

.

On pourrait l’acquérir par soi-même pendant années de jeunesse,

à chaque enterrement, célébration nouveau mortel, élu pour le ciel,

chez certains, esprit curieux, critique, scientifique, chamboulant tout.

 .

Visuels et textuels >>

1120 – Faut-il croire en son étoile pour lever le voile !

Visuels et textuels  >>

.

Comment ne pas croire en son étoile !

Il y en a tant,  en l’Univers sombre,

Que de les compter  en nombres,

Impossible, incommensurable

Mais  la mienne  existe  bien,

La mienne, me suit, de loin,

Et j’ai sa lumière en ma tête,

Sinon je serais triste…et bête.

.

Elle me préserve de l’ignorance

Que la Terre est sans importance

L’on peut juste y faire abondance

D’idées pour chasser souffrances !

.

Faut-il alors croire en son étoile

Pour oser enfin lever le voile

Sur une œuvre, sur une toile,

Mais qui vous dévoile,

Nu  et paraître orné

D’une belle qualité,

Qui fait de vous, rêver

D’être doué en créativité.

.

Et si vous ne l’étiez pas

Votre ombre survivra,

Matière de vos pas

Et vous bercera

D’illusions… nées

De pensée insensée

Qu’il suffit de l’espérer

Pour être auteur à succès.

.

Succès, échec confondent

Votre vitalité, en ondes,

Cachent, pudibondes,

Intérieur monde.

.

Croire en son étoile

Persistante, géniale :

C’est oser…diagonale

De fou, extraterritoriale.

.

Telle curiosité, me mène

Aux confins   d’un poème,

Où les vertus de mes peines

Me ramène  au …   je t’aime !

.

Je t’aime, non pas moi,  l’autre

Lecteur d’un labyrinthe … vôtre,

Où on se perd, se retrouve, apôtre

De vérité en laquelle  on se vautre.

.

Entre oser dire la vérité toute nue,

Et fabriquer un mensonge éperdu,

Seule la croyance sera un fil ténu,

Pour les distinguer, entr’aperçus.

.

.

Extensions

 .

Il faut croire en son étoile,

Étoile étant pris au sens figuré,

Car un étoile, lors on la voit, en ciel

Est morte depuis des millions d’années,

On en perçoit que la lumière et nous-mêmes,

Un jour, ce sera pareil, pour la planète Terre.

L’étoile est en nous, sa lumière nous éclaire

Pour voir, avec notre esprit, les confins

De spiritualité, les limites destinées.

.

La dernière, ultime, source de lumière,

La nuit, quand la Lune ne nous transmet plus

Le reflet du soleil comme la parabole qui tourne

Et il y a l’étoile polaire qui nous indique le nord,

Et bien d’autres qui constellent le ciel, en voûte,

Ce ne seront pas les mêmes au Nord et au Sud,

Aujourd’hui, ou hier, et, il y a  cent mille  ans !

.

« Ah,  lui,  il  est  né  sous  une   bonne   étoile »,

Dit-on, de quelqu’un qui aura  de la chance,

Facilité du succès dans ce qu’il entreprend.

Qui n’espère pas faire partie  de ceux-là.

Cela veut dire aussi qu’il en existerait

De mauvaises …  quelle malchance

Tout de même, injustice même !

.

Enlever son voile n’est pas lever le voile sur son étoile

Découvrir voile n’est pas voir son corps nu, ou sa tête,

Le voile ici est à prendre au sens figuré, hors un visage

Il s’agit d’une connaissance  d’étoile, qui nous échappe,

Et qui, dans son mystère, ferait  référence à notre Terre.

Les astronomes  découvriront, de plus  en plus, d’étoiles,

Et ça ne me dit pas, quelle est  la mienne,  si elle existe !

Mais quand même, quand on a beaucoup de réussites,

On peut y croire : «né sous une bonne étoile», dit-on.

.

Certains prétendent que le sens

De notre vie est dans les étoiles ;

D’autres, qu’il est inscrit en nous,

En réalité, on le cherche  partout !

.

Lever le voile suppose qu’il y en a un

Lors à vrai dire, l’on n’en sait trop rien.

Au final, on ne peut guère se déterminer

Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles !

.

C’est la position d’un sage, qui sait qu’il ne peut

S’extraire de sa propre réalité, réalité environnante,

Qu’il ne peut tout autant s’en satisfaire en conscience :

Connaissance, science n’apportent qu’une part de vérité !

.

.

Épilogue

.

On vous dit : être né sous une bonne étoile,

Sans préciser au sens propre ou sens figuré.

Au sens  propre,  difficile à  croire : mortes !

Au sens figuré,  on vous laisse l’interpréter !

***

Pour lever le voile en quoi : lumière, ombre,

Lumière céleste voire ombre de vous-même.

Quelque chose de mort, devenu une lumière,

C’est que l’on dira de nous, a près avoir vécu.

***

Cela voudrait-il dire que : tout  est  bien relié,

Que les étoiles  et moi, suivront même destin,

Un simple voile  de connaissance nous sépare.

***

«Divine révélation» : ce ne serait pas  le ciel  qui

Tombe sur notre tête, nous qui montons vers lui,

Cela suppose qu’on ait un bel élan de spiritualité.

***

Mais alors, ceux qui n’en auront pas, ou  iront-ils :

Dans un grand «trou noir» en grande constellation

Voilà qui interpelle, c’est  pour le moins, troublant !

***

Expression les pieds sur terre, la tête dans les étoiles,

Évoquera assez bien notre sort  distinct des animaux,

Encore qu’on l’emploie plutôt pour poètes, mystiques,

Ne me réclamant ni d’un, autre que suis-je, en réalité !

.

.

1120 – Calligramme

 .

I L   ME    F A U T     C R O I R E

  Comment ne pas croire en son étoile !

Il y en a tant, en l’Univers sombre,

Que de les compter en nombres,

 Impossible, incommensurable

Mais la mienne existe bien,

    La mienne, me suit, de loin,

        Et j’ai sa lumière en ma tête,

             Sinon je serais triste…et bête.

                  Elle me préserve de l’ignorance

                        Que la Terre est sans importance

                           L’on peut juste y faire abondance

                               D’idées pour chasser souffrances !

.

                        EN  MON  ÉTOILE, POUR

                              Faut-il alors croire en son étoile

                          Pour oser enfin lever le voile

                              Sur une œuvre, sur une toile,

                    Mais qui vous dévoile,

               Nu ; paraître orné

                  D’une belle qualité,

                        Qui fait de vous, rêver

                              D’être doué en créativité.

                           Et si vous ne l’étiez pas

                          Votre ombre survivra,

                    Matière de vos pas

               Et vous bercera

              D’illusions nées

                  De pensée insensée

                      Qu’il suffit de l’espérer

                          Pour être auteur à succès.

                        Succès, échec confondent

                  Votre vitalité et ondes,

             Cachent, pudibondes,

         Un intérieur monde.

.

       LEVER  LE VOILE  

     Croire  en  son  étoile

   Persistante,  géniale :

 C’est oser…diagonale

   De fou, extraterritoriale.

Telle curiosité, me mène

Aux confins   d’un poème,

Où les vertus de mes peines

Me ramène  au …   je t’aime !

Je t’aime, non pas moi,  l’autre

Lecteur d’un labyrinthe … vôtre,

Où on se perd, se retrouve, apôtre

De vérité en laquelle  on se vautre.

Entre oser dire la vérité toute nue,

Et fabriquer un mensonge éperdu,

Seule la croyance sera un fil ténu,

Pour les distinguer, entr’aperçus.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1120 4

.

Une forme de voile

Et qui flotte bien au vent

Et cacherait quelque chose, 

Comme mystère, ou destinée ?

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Le voile est comme un brouillard

entre soi et les choses, êtres, idées,

il cache ce qu’il nous faudra révéler

en ce sens sa forme épouse son fond.

.

.

Lever son voile, vaste programme

Et surtout sur son étoile :

Ce, d’autant que le lien, avec elle,

N’est pas des plus évidents.

.

Symbolique

.

Hijab veut dire en arabe,

Ce qui sépare deux choses.

On doit parler aux femmes

Derrière un voile.

 .

Il signifie

, selon qu’on le met

Ou qu’on l’enlève, la connaissance

Cachée ou révélée.

  .

Prendre le voile,

Dans la tradition chrétienne monastique,

C’est se sépare du Monde : truchement  et

Obstacle à la fois, le voile, ne cachant qu’à

Demi, invite à connaître : toutes coquettes

Le savent depuis que le monde est monde.

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1120 6

.

Lever son voile, vaste programme

Et surtout sur son étoile :

Ce, d’autant que le lien, avec elle,

N’est pas des plus évidents.

.

Symbolique de fond

.

Le fait de cacher ses cheveux

Peut, en des contextes, être considéré

Comme le signe d’une éducation convenable.

.

« Sortir en cheveux », tête-nue, marque de désinvolture

Pour une femme, de piètre extraction, de « mauvaise vie »

.

Dans les années 60 les femmes françaises milieux populaires

Mettaient un voile sur leurs cheveux, en dehors quartier,

Ainsi qu’en témoignent des reportages d’époque.

Source : Wikipédia

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le voile est une projection, une figuration

De son destin personnel en son libre-arbitre

Mais ce n’e serait là autre qu’une croyance

Qu’une bonne, ou mauvaise, étoile nous

Gouverne tout au long de notre vie

Etoile est  astre, hormis planète

Continuant émettre lumière

Alors qu’elle est morte

Comment dès lors

Elle rayonne

Sur nous

Non

V

 .

.

Flot d’étoiles sur un voile.

.

Scénario

  .

Là-bas dans le fond, par le télescope,  j’ai cru  apercevoir  mon étoile :

quelque part entre Pluto et Charon, et c’est non loin de Nix et de Hydra

 Mais on me dit que je ne peux voir que sa lumière car elle est morte !

 .

Visuels et textuels  >>

1119 – Dieu aurait-il quelque chose à voir avec nous !

Visuels et textuels  >>

.

Dieu aurait forcément quelque chose

 À voir avec nous,

Et que ce soit lui

Qui nous ait inventé ou le contraire.

.

Quelque chose mais quoi, mystère,

Sur notre Terre,

Dans   les Cieux,

Enfin les nôtres, et qu’on imagine.

.

Or il se peut que j’en fasse partie,

Et  sans  le savoir,

En un grand Tout

Et le découvrirait : mort, fini !

.

Dieu a-t-il à voir avec les hommes !

Ne serait-ce pas plutôt les hommes

Qui auraient à voir avec leur Dieu !

.

Il y a tant de pensées, de paroles,

De comportements, d’actes,

De visions philosophiques,

De morales, et  de religions

Différentes entre les hommes

Que Dieu lui-même s’y perdrait !

.

Homme, Dieu sait ce que c’est, pour cause,

Fait à son image et à sa ressemblance

Dit la Genèse dans la Bible,

Si ce n’est l’inverse :

Dieu en tant que surhomme,

Tellement divin qu’il en devient abstrait.

.

Etre homme est par définition, être imparfait,

Il comportera des manques, des manquements,

À la sacrosainte loi de déité pour immortalité.

 .

Il y en a qui s’en approchent

Qui s’en seront bien approchés :

Les prophètes, rois, les apôtres,

Les saints, les gou rous ou les guides !

 .

Mais moi je ne suis rien de tout cela :

Je ne suis qu’un homme parmi les autres

Je n’ai vocation à me sanctifier outre mesure.

 .

Que Dieu me pardonne de n’être qu’un homme,

Peut-on lui pardonner de nous avoir fait

Ce que nous sommes : tous mortels !

.

.

Extensions

 .

Dieu a forcément quelque chose à voir

Avec nous, puisqu’on le nomme,

Puisqu’on l’invoque, bénit,

Et puisqu’on le craint

S’agit-il d’un Dieu vivant,

Qui s’intéressera à notre sort

Un dieu inventé pour compenser

L’idée et réalité même de notre mort,

Inacceptable pour notre esprit humain ?

Là est toute la question, qui reste insoluble,

Depuis origine de l’Univers : ce qui est certain

C’est qu’il a bon dos pour régler des conflits

Proprement humains qu’on transforme

En colères divines et en guerres !

.

Dieu est notre explication d’origine, de vie sur Terre,

Pourquoi alors nous abandonnerait-il, moi, Humanité

Moi, passe encore : je ne sais si je mérite  son attention

L’Humanité passée, présente, et à venir, on en fait quoi

Et pourquoi ceux qui croient, ont cru, seraient sauvés ?

Des milliards de gens ne savaient pas que Dieu existe :

Dieu les a-t-il condamnés pour leur faute de l’ignorer.

.

Que peut-on vraiment dire de Dieu :

Dieu est Amour, disent les chrétiens,

Dieu est Puissant, disaient les païens

Dieu est ceci… cela, n’est rien et tout.

.

Être éternel, unique, créateur et juge.

D’accord mais ce sont là des attributs

Que l’homme aura fort projeté sur lui

Sans lui demander son approbation !

.

Quant à nier …l’existence de Dieu

Ou quant à se prendre pour lui

Cela reviendrait … au même

Comme péché d’orgueil !

.

.

1119 – Calligramme

.

Dieu aurait forcément quelque chose

 À voir avec nous,

Et que ce soit lui

Qui nous ait inventé ou le contraire.

.

Quelque chose mais quoi, mystère,

Sur notre Terre,

Dans   les Cieux,

Enfin les nôtres, et qu’on imagine.

.

Or il se peut que j’en fasse partie,

Et  sans  le savoir,

En un grand Tout

Et le découvrirait : mort, fini !

.

Dieu a-t-il à voir avec les hommes !

Ne serait-ce pas plutôt les hommes

Qui auraient à voir avec leur Dieu !

.

Il y a tant de pensées, de paroles,

De comportements, d’actes,

De visions philosophiques,

De morales, et  de religions

Différentes entre les hommes

Que Dieu lui-même s’y perdrait !

Homme, Dieu sait ce  D  que c’est, pour cause,

Fait à son image et I   à sa ressemblance

Dit la Genèse  E  dans la Bible,

Si ce n’est  U   l’inverse :

Dieu en tant     * que surhomme,

Tellement divin qu’    A il en devient abstrait.

*

Etre homme est par dé   À  finition, être imparfait,

Il comportera des man     *  ques, des manquements,

À la sacrosainte loi de       V    déité pour immortalité.

O

Il y en a qui s’   I   en approchent

Qui s’en seront   R bien approchés :

Les prophètes,     *    rois, les apôtres,

Les saints, les gou   A  rous ou les guides !

V

Mais moi je ne suis   E      rien  de tout cela :

Je ne suis qu’un hom   C      me parmi les autres

Je n’ai vocation à me      *  sanctifier outre mesure.

N

Que Dieu me pardonne   O  de n’être qu’un homme,

Peut-on lui pardon        U   ner de nous avoir fait

    Ce que nous som    S   mes : tous mortels !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1119 4

.

Et comment  donner

Une forme à un Dieu,

Dont on ne perçoit rien, 

Et anthropomorphisé.

.

(forme pleine, rimes libres,

le fond s’accorde à la forme)

.

Dieu comme concept, virtualité

ne peut être anthropomorphisé :

dans notre imagination il occupe

toutes les formes et tous les fonds

.

Bon nombre des images de Dieu

Seront  plutôt  anthropomorphes.

Dieu nous aurait fait à son image

Qui sait, et si c’était le contraire !

.

Symbolique 

.

Une vraie image de Dieu :

Qu’est-ce que cela peut signifier ?

Idem,  homme  fait  à l’image  de Dieu?

Et la conception intelligente de l’Univers ?

Quel choix  entre   la Création  ou  l’Évolution?

Pourquoi importance de la musique pour nous ?

Pourquoi avons-nous développé sens artistique ?

Pourquoi y aurait-il de l’amour entre nous ?

.

Voilà autant de questions, lancinantes,

Non tranchées, et qui rapprochent

Ou qui nous éloignent de Dieu.

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1119 6

.

Bon nombre des images de Dieu

Sont plutôt anthropomorphes.

Dieu nous aurait fait à son image

Qui sait, et si c’était le contraire !

 .

Symbolique 

 .

L’anthropomorphisme a mauvaise presse ;

On le considère comme une erreur philosophique

Et comme un blasphème religieux. Il rend Dieu

Humain, il ne perçoit pas sa divinité et il oublie

L’altérité, et il nie différence Dieu et l’homme.

.

On l’accuse de tous les maux.

Il serait responsable des superstitions,

Des idolâtries, des déviances religieuses.

.

À mon sens, tout ce que nous disons de Dieu

Est anthropomorphe mais on ne doit pas se taire,

Se réfugier en silence, refuser discours sur Dieu :

L’assumer, ayant conscience des vertus et limites.

.

Il n’est ni entièrement faux,  ni entièrement vrai.

Le rejeter totalement est tout autant une erreur

Qu’utiliser sans critique. Il faut le relativiser.

andregounelle.fr/vocabulaire-

theologique/anthropomorphisme.

 .

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Dieu nous aurait conçus à son image

Ou l’homme, anthropomorphisé Dieu

La question métaphysique, vrai enjeu

Qui fait de nous des fous ou des sages,

Comment faire comprendre un concept

À certains, sans illustration, métaphore

De fil en aiguille, toutes représentations

Aura pris le pas sur toute présentation :

 Dieu devenant inséparable de sa barbe !

 .

.

Comment être intime avec Dieu

.

Scénario 

.

Dieu et moi,  y croire en ma vie : Dieu est lumière, Dieu est amour.

Dieu et moi, dilemme, après mort, pourquoi garder forme humaine ?

Tout le monde veut aller en paradis terrestre, peu de monde achète.

 .

Visuels et textuels  >>

1118 – Croire que l’esprit n’habite que mon cerveau !

Visuels et textuels  >>

.

Est-il vrai, à ce qu’il parait

Esprit est tout partout en nous,

L’esprit humain peut être ailleurs

Bien  que situé, majoritairement,

Dans le fond  de  notre cerveau.

.

L’esprit est plus que des mots

Il est fait  autant des gestes,

Est fait, aussi, de réflexes.

Lors le  geste est réalisé

Avant que je le décide.

.

Est-ce   le  cerveau

Ou nerf  reptilien

J’ai mal au bras

Qui n’existe pas

Esprit trompe

Ou le recrée.

.

Croire que l’esprit n’habite   que le cerveau.

Les physiologistes, ont, depuis longtemps,

Prouvé le contraire, expérimentalement :

Que serions-nous en effet … sans mains,

Sans pieds, sans yeux et, sans oreilles.

.

Ce sont, pour large  part, organes,

Perceptifs et sensitifs et moteurs,

Qui façonnent notre esprit, pensée,

À la manière de gros calculateurs

.

Qui ordonneraient tous éléments

En   mémoires,  en   traducteurs

Avec les éléments périphériques

Clavier, écran,   souris, et  micro.

     .

L’esprit  sera mon intelligence,

Et se trouve partout, en corps,

Lors quand l’on me dira : mort,

Mon esprit  quittera mon corps,

.

Mais qu’est-ce que cela veut dire,

S’il n’est pas  indépendant  de lui,

Qui anime l’esprit, anime  le corps,

L’esprit mourrait bien avec le corps,

Ne saurait lui survivre, emprisonné.

.

Or les personnes dites tétraplégiques

Qui n’ont donc plus ni jambes ni bras,

Garderaient esprit, parfaitement intact,

 Et ils ont même l’impression d’avoir mal

Aux membres comme présents en cerveau.

.

Esprit  comme pensée ou idée, vie, principe,

Âmes, humeurs  et  attitudes  et imaginaires,

Tout se mélange  en ondes, chimies en l’esprit,

.

En m’éclairant en fonction des contextes choisis

Esprit ne s’oppose au corps que par commodité,

D’accord… d’accord, mais là, pour le coup :

Je crois bien que l’esprit n’y sera plus !

.

.

Extensions

 .

Encore, encore et encore : je suis d’accord

Mais je crois que l’esprit n’y est plus !

Mais de quel esprit parlez-vous !

De l’esprit du corps ou bien

De l’esprit de l’esprit !

.

Oh là, ça se complique, là,

Un peu, beaucoup, trop même,

Au point de rendre, ici, mon tablier.

Mon esprit est partout et nulle part,

En réflexions autant qu’en actions.

.

C’est dire qu’il ne se cantonne

Pas  qu’au  cerveau, mais en

Notre corps, et tout entier,

Nos mains, nos pieds, etc.

.

Le cerveau est connu pour être le siège de l’esprit

Mais l’esprit ne fonctionnera point sur lui-même

Il lui faut se développer  et pour cela, l’alimenter

Par le système digestif, respiratoire  et sanguin,

De même, par nos cinq sens,  moult sensations.

Un cerveau sans corps, sans visage, sans cœur,

À quoi pourrait-il  bien servir : d’ordinateur !

.

Le corps et le cerveau sont des objets publics,

Accessibles au regard, externalisés et objectifs.

L’esprit est privé, masqué, interne et subjectif,

L’esprit et la pensée sont activités du cerveau !

.

Mythologie : esprit est substance immatérielle.

Philo : âme désincarnée douée de pensée, vie.

Psycho : principe de pensée  et de réflexion !

Lors d’où vient lorsque le corps y participe.

.

Un cerveau  privé sensations, perceptions,

Ne peut alimenter l’esprit très longtemps

Il finirait  par tourner … sur lui-même :

Sans sens, conscience serait non-sens.

.

.

1118 – Calligramme

.

                                         Est-il vrai,   C   à ce qu’il parait

                                      Esprit est tout   R   partout en nous,

                                      L’esprit humain   O      peut être ailleurs

                                     Bien que situé,       I       majoritairement,

                                   Dans le fond         R        de notre cerveau.

                                  L’esprit est        E        plus que des mots

                                 Il est fait         *         autant des gestes,

                                Est fait         Q         aussi de réflexes.

                             Lors le       U        geste est réalisé

                          Avant       E    que je le décide.

.

                   Est-ce   le  cerveau

                Ou nerf  reptilien

           J’ai mal au bras

         Qui n’existe pas

    Esprit trompe

Ou le recrée.

.

Croire que l’esprit *  n’habite   que le cerveau.

Les physiologistes,  L  ont, depuis longtemps,

Prouvé le contraire    ‘    expérimentalement :

Que serions-nous en  E   effet … sans mains,

Sans pieds, sans yeux  S     et, sans oreilles.

  Ce sont, pour large      P       part, organes,

  Perceptifs et sensitifs  R      et moteurs,

      Qui façonnent notre   I  esprit, pensée,

         À la manière de gros T     calculateurs

           Qui ordonneraient   *  tous éléments

             En mémoires, en   N     traducteurs

                Avec les éléments   ‘   périphériques

                    Clavier, écran,    H  souris, et  micro.

                  A

                         L’esprit  sera   B   mon intelligence,

                           Et se trouve    I   partout, en corps,

                             Et quand on  T    me dit que : mort,

                               Mon esprit    E  quittera mon corps,

                                Qu’est-ce        *       que cela veut dire,

                                 S’il n’est pas  Q   indépendant  de lui,

                                L’âme pourra U   être ce mouvement,

                                Qui anime l’es E   prit, anime le corps,

                                L’esprit mour   *  rait bien avec le corps,

                              Ne saurait lui     L   survivre, emprisonné.

                 E

                          Or les personnes   *      dites tétraplégiques

                        Qui n’ont donc     C    plus ni jambes ni bras,

                     Garderaient es    E   prit parfaitement intact,

                  Et ils ont même   R    l’impression d’avoir mal

                Aux membres    V  comme présents en cerveau.

            Esprit  comme   E  pensée ou idée, vie, principe,

       Ames, humeurs   A      et attitudes  et imaginaires,

     Tout se mélange   U     en ondes, chimies en  l’esprit,

   En m’éclairant en  *  fonction des contextes choisis :

  Esprit ne s’oppose au corps que par commodité.

D’accord… d’accord, mais là, pour le coup :

Je crois bien que l’esprit n’y sera plus !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1118 4

.

Une forme humaine

Avec une tête, en laquelle

Un cerveau  surdéveloppé :

Esprit distingue des animaux.

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

Cerveau, tous les mammifères en ont

esprit, seul l’homme prétend en avoir

La forme et la taille du sien le suppose

aussi la forme épousera, ici, le fond.

.

Un cerveau … pour un esprit :

Ça se conçoit, ca se sent, ça se voit :

Que devient le cerveau, sans le corps :

Un esprit qui n’est là qu’en pure survie ?

 .

Symbolique 

 .

La perception inconsciente

Des battements du cœur par

Le cerveau influe sur la qualité de la vue :

Le fonctionnement intrinsèque de l’organisme

Modifie  les sens, et probablement la cognition

Et le comportement. En effet, le cerveau

Reçoit et régule les signaux provenant

Des différents organes du corps.

lessymboles.com/le-cerveau-adapte-

la-vue-en-fonction-du-cœur

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1118 6

.

Un cerveau … pour un esprit :

Ça se conçoit, ca se sent, ça se voit :

Que devient le cerveau, sans le corps :

Un esprit qui n’est là qu’en pure survie ?

 .

Symbolique 

 .

Notre asymétrie céré                  brale aura fait couler

Beaucoup d’encre, elle               aura donné  naissance

À  certains mythes, on              peut citer un exemple :

Selon certains,  nous n’            utiliserions     que faible

Partie des capacités de            notre cerveau,  à savoir

10% de nos neurones, ce         n’est que  pure fantaisie.

Nous en avons besoin de       toute  notre tête car il est

En outre difficile d’imagi       ner que fruit d’évolution

Nous aurait pourvus d’un     organe inutile … à 90% !

Le cerveau n’exprime pas  tout son esprit simultané

Modifié, source : www.180-360.net/cerveau-deux-hemispheres

.

.

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

Le cerveau se ramifie, dans notre corps entier,

Qui en retour, nourrit, fait grandir ce dernier.

Au final mon cerveau serait un peu partout

Dans le système nerveux, géré par ma tête

Et s’il ne fonctionne pas à cent pour cent

C’est qu’il n’en a besoin instantanément

Et ce d’autant qu’il délègue des tâches

À nos réflexes peu à peu automatisés.

 .

.

Cerveau, conscience, voire esprit

.

Scénario 

.

Les zones corticales et fonctionnelles de mon cortex cervical.

L’extension physiologique, nerveuse de mon cerveau.

Mon système nerveux de mon corps est comme vrai réseau !

 .

Visuels et textuels  >>

1117 – Et si l’amour n’était qu’un rêve, hallucination !

Visuels et textuels  >>

.

Si amour n’est qu’hallucination

Alors la vie, même la mort, autant.

Formulée, ainsi, la messe  est dite :

Vérité dont personne  n’en profite.

.

Je ne parle pas  d’amour physique

L’un en l’autre, réciproquement

Nos sens ne  nous abusent pas,

Le plaisir  est bien présent là.

.

Mais,  l’amour   dans  l’âme,

Amour  de l’âme  de l’autre

Je n’en dirais pas  autant,

Même le croyant vivant.

.

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

Ou une hallucination, irréalité : trêve

De plaisanterie, ailleurs que sur terre,

Quelque part en un ciel…sans misère.

.

Comme je me sens bien, suis heureux,

Pour le dire, faut encore avoir souffert,

L’extase n’est pas ce. .. nouvel univers,

Où suffit d’être deux, d’être amoureux.

.

Descend sur Terre : tu n’es pas un ange,

L’amour n’est qu’une folie…passagère :

Reviens vite en ce monde … où tu erres,

À sa recherche, pour le perdre en fange.

.

Amour est une maladie jusqu’à la mort

De soi-même …  quand la vie de l’autre

Est beaucoup plus pour vous, que vôtre,

Est unie en un même temps même sort.

.

Tout le monde … ne serait-ce qu’un jour,

Se devrait connaitre un tel état d’amour

Quel que soit la souffrance pour y arriver

Et celle qui se produira, une fois tombée.

.

Toucher du doigt les étoiles de l’éternité,

Est un cadeau des dieux pour l’humanité

Et entre vous et l’autre cet espace existe,

Faut y croire pour, qu’en vous, il persiste

.

Et qu’il ne vous lâche plus comme frappé

Par la foudre d’éclair vous rendant habité

Par une force qui va et ne vous quitte pas,

Tout devient rêve en vous jusqu’au trépas.

.

.

Extensions

 .

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

Une hallucination de plus, tout comme

Dans le « mythe de la Caverne »  de Platon

Mais sensations, émotions, passions, déraisons,

Constructions qui en émanent nous occupent bien.

C’est déjà ça, car à quoi me servirait  une montagne

D’argent  si je n’en  retire pas  l’émotion, susceptible

De suffire à mon bonheur ou  si attrait et séduction,

Pour une charmante personne, ne me coutent rien,

Lors si elle est réciproque, elle me rapporte joies.

L’amour est un rêve que l’on concrétise à deux,

L’amour est un rêve qui nous rend heureux ;

L’amour est un rêve qui nous consolerait

D’être seul au monde, malheureux !

.

 «La forme, pas les formes», disent les vendeurs de régime

Les idées sont bonnes, il ne reste qu’à les mettre en forme,

La forme déteint sur le fond autant que fond sur la forme.

En matière de fond, pas de limites ; en forme, des normes

En amour  y-at-il besoin de formes pour exprimer le fond

Et si la forme n’a de fond, c’est qu’il s’agit d’hallucination

Ainsi en déclaration d’amour, il faut y mettre les formes,

Tout en mettant à l’épreuve, rêve, en matière de réalité.

.

L’amour serait un rêve qui se réalise, parfois,

Quand il échoue, il était fruit d’une illusion,

Mais quand il est projeté, sans se réaliser,

Il peut constituer comme hallucination.

Hallucinations visuelles, je l’ai aperçu

En la foule, il ne m’a pas remarqué

Vérification faite, il n’y était pas

Hallucinations … auditives

J’ai entendu sa voix :

Ce n’était pas …  lui.

Non mais  dites-moi,

Je rêve toujours de lui,

L’amour serait-il un rêve,

Ou je rêve, sur lui, d’amour !

.

.

1117 – Calligramme

 .

E T     S  I

Si amour n’est qu’hallucination

             Alors la vie, même la mort, autant.

          Formulée, ainsi, la messe  est dite :

       Vérité dont personne  n’en profite.

     Je ne parle pas  d’amour physique

  L’un en l’autre, réciproquement

 Nos sens ne  nous abusent pas,

Le plaisir  est bien présent là.

Mais,  l’amour   dans  l’âme,

Amour  de l’âme  de l’autre

Je n’en dirais pas  autant,

Même le croyant vivant.

L’A M O U R   N’ É T AI T

L’amour n’est peut-être qu’un rêve,

    Ou une hallucination, irréalité : trêve

       De plaisanterie, ailleurs que sur terre,

         Quelque part en un ciel…sans misère.

.

               Comme je me sens bien, suis heureux,

                 Pour le dire, faut encore avoir souffert,

                  L’extase n’est pas ce. .. nouvel univers,

                     Où suffit d’être deux, d’être amoureux.

.

                          Descend sur Terre : tu n’es pas un ange,

                            L’amour n’est qu’une folie…passagère :

                               Reviens vite en ce monde … où tu erres,

                                 À sa recherche, pour le perdre en fange.

.

                                 Amour est une maladie jusqu’à la mort

                                De soi-même …  quand la vie de l’autre

                                Est beaucoup plus pour vous, que vôtre,

                              Est unie en un même temps même sort.

.

                             Tout le monde … ne serait-ce qu’un jour,

                         Se devrait connaitre un tel état d’amour

                        Quel que soit la souffrance pour y arriver

                     Et celle qui se produira, une fois tombée.

.

                  Toucher du doigt les étoiles de l’éternité,

               Est un cadeau des dieux pour l’humanité

           Et entre vous et l’autre cet espace existe,

        Faut y croire pour, qu’en vous, il persiste

.

   Et qu’il ne vous lâche plus comme frappé

  Par la foudre d’éclair vous rendant habité

 Par une force qui va et ne vous quitte pas,

Tout devient rêve en vous jusqu’au trépas.

Q  U ’ H  A  L  L  U  C  I  N  A T  I  O  N ?

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1117 4

.

Une  forme très souple

Ou la fusion est imaginée,

Mais non réelle et en vérité

Et ici double, en couleurs !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Formes et couleurs se complètent

et permettent de jouer sur plastique

changeante selon le focus du regard

ainsi les formes épousent couleurs.

.

Jeu d’ombres de formes d’un théâtre chinois

Derrière un rideau :

L’homme et la femme se doublent, confondent,

Entre sexes et baisers !

 .

Symbolique

 .

Comme les couleurs, les formes

Influenceront  notre perception

Des choses qui nous entourent

Design industriel des meubles

.

Ou  automobiles : le  carré  ou

Le cercle, et voire la ligne droite

La courbe, représentent la féminité,

Harmonie, douceur ; rigidité, masculinité.

.

Idem en design graphique, création d’affiches

Ou de logo, dont nous analysons consciemment

Ou inconsciemment les formes : chaque forme,

Symbole a une signification selon nationalité,

Interprétés de façon similaire ou arbitraire.

Source : multi-graf.com/la-symbolique-des-formes

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1117 6

.

Effet de chromatisme de tableau de maitre

Qui juxtapose, superpose

Différentes formes, de différentes couleurs

Pour mieux nous émouvoir.

 .

Symbolique 

 .

La couleur est une

Notion très subjective.

Ce qui évoque une sensation

Pour moi en évoquera une différente

Pour une autre personne, parfois

Pour des raisons de préférences

Personnelles, ou culturelles

Cameron Chapman.

.

Quelle couleur bonheur ?

Orange : Énergie, Bonheur, Vitalité.

Jaune : Bonheur, Espoir, Tromperie.

Vert : Commencement, Abondance, Nature.

Bleu : Calme, Responsabilité, Tristesse.

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme

 .

Le rêve a-t-il un fond, une forme, une couleur,

Tout comme  l’amour,  un sexe,  une attraction,

Ou bien les deux participent de la même illusion 

Question mérite  qu’on s’y arrête,  approfondisse,

En rentrant dans le vif du sujet, sans restriction,

Mais voilà qu’une grande partie de l’explication

Nous échappe, étant à la fois, réalité et mystère

 .

.

Confondre réalité, rêve, hallucination

.

Scénario

.

Un complexe d’enfance  plutôt assez halluciné,

avant le contrat de mariage, qui lui, deviendra bien réel,

tant vrai que  notre  rêve  d’amour et amour vrai n’en feraient qu’un !

 .

Visuels et textuels  >>

1116 – Sûr que tout le monde ne pense pas comme moi

Visuels et textuels  >>

.

Pensée universelle, impensable.

Ce serait, d’ailleurs, détestable,

Pensée propre est honorable,

Nous en sommes capables.

.

Des lecteurs, de ce texte,

Vont dire, je suis d’accord,

Lors d’autres le critiqueront,

Prétexte, fonction du contexte.

.

On ne lit  que ce  que  l’on  veut,

On n’entend que ce que l’on peut

Polysémies et ambiguïtés, à foison,

Interpréter autrement est la raison.

.

Monde ne pense pas comme moi.

Il faut me rendre, à l’évidence :

Nombreux ceux qui pensent

À des choses différentes,

Des choses, auxquelles

Je n’ai jamais pensé.

.

La question «à quoi penses-tu»

Se réfère aux  instants présents,

À quelque chose, ou, à  quelqu’un,

À ce à quoi, l’on pense  plus souvent :

Vie, mort, succès,  métier, famille, amour.

.

On ne peut penser,  à tout, en même temps,

Ni même à tout ce que l’on fait, doit faire

Dans les heures, les jours qui viennent,

Et on peut penser successivement

À des choses n’ayant aucun lien.

.

Si on arrête de penser, tout simplement :

Mais  c’est plus facile à dire, qu’à faire

Cerveau n’arrête jamais de travailler :

Il se repose différemment la nuit

Structurant pensées en rêvant.

.

Certaines pensées sont comme révélations :

On a fait un lien  entre plusieurs choses,

Qui n’en avait pas, pour nous, avant,

Dans un contexte, hors contexte,

On appelle cela, la création.

.

Il y a des gens, aux  pensées  constructives,

Ou destructives, novatrices  ou répétitives.

Il est difficile pour un créatif de se mettre

À la place d’ouvrier qui fait même geste.

«Je ne sais pas, à quoi, vous pensez :

Je ne suis pas dans votre tête ».

.

C’est vrai et en partie faux !

Enchainement tours de paroles

Dans une conversation  très suivie,

Permet une anticipation de la réponse,

Si on connaît l’interlocuteur et le contexte.

.

.

Extensions

 .

On en arrive à cette fameuse phrase de Descartes :

«Je pense donc je suis » qui est plutôt contradictoire

Car on aurait pu dire autant : « Je marche donc je suis ».

Mon esprit, autrement dit,  ma conscience, me démontre

Que lors je marche, je pense que je marche, donc je suis.

On appelle cela des métadonnées.

.

Parce que l’animal marche aussi mais n’a conscience

Pour autant qu’il existe en tant qu’individu social

Ni même en tant qu’identité isolée qui dispose

De liberté de dire, faire, d’être.

.

Comment se déroule la pensée en mon cerveau !

Les biochimistes  vous disent : par des synapses,

Des flux d’électricité, atomes : d’accord, mais ça

C’est la plomberie, ça ne dit rien du contenu !

.

Peut-on se penser, ailleurs, dans une autre

Époque, dans une autre tête : oui et non,

En partie, par projection, en partie, par

Fiction mais ce ne seront guère que des

Constructions a priori, pas des réalités.

.

Penser, d’accord, tout le monde pense, mais à quoi ?

Sûr que tout le monde ne pensera pas… comme moi :

Je ne suis en rien une référence  pour tout un chacun,

J’admets que les autres pensent différemment de moi

Je pense que c’est une richesse, et non, une faiblesse !

Je pense de trop, et peut-être même mal, qui le sait !

Peut-être faut-il se contenter, de vivre, simplement,

 En méditant, faire le vide en soi sans autour de soi.

Amour et compassion restent à penser pour tous.

.

Souvent opposée à la volonté et au sentiment,

La pensée est définie par Platon comme un dialogue

De la raison avec elle-même sur  des paroles, événements.

Elle est pour Descartes «tout ce que ce qui se fait en nous

De telle sorte que nous l’apercevons  en nous-mêmes ».

Elle est donc un synonyme possible de la conscience.

.

Avoir conscience de quelque chose est-il : penser

La conscience de la même chose est différente

Pour culture française  et  culture chinoise :

Si on ne s’appuie sur acception commune

On pensera les choses… différemment !

.

.

Épilogue

.

Tout le monde ne pense pas comme moi

Ce sera plutôt une chance en démocratie

Sinon, imaginez que je suis un dictateur,

Déviants de ma pensée en bannissement.

***

Moi-même d’ailleurs, je pourrai très bien

Penser des choses, différentes, contraires,

Comme mal pour bien et réciproquement,

***

La pauvreté de la pensée serait l’uniformité

Je ne veux voir qu’une seule tête : les autres

Comme  confondues, cachées …  disparues !

***

Discussion, confrontation, concluent accord

Sinon  chacun camperait  sur fixes positions,

Et la guerre ne serait plus loin, à raison/tort.

***

Personne ne pourra avoir  entièrement raison,

Donc personne ne peut avoir entièrement tort,

La vérité, si elle existe, est dans un compromis.

***

Enfant, j’ai pensé que les parents avaient raison

Je me suis aperçu qu’ils n’étaient pas infaillibles

Je me suis dès lors mis à penser par moi-même :

Depuis je n’ai cessé de tout remettre en question.

.

.

1116 – Calligramme

.

Pensée universelle     L  impensable.

Ce serait, d’ailleurs  E  détestable,

La pensée propre    *  honorable,

Ce dont  sommes  M  capables.

Des lecteurs, de    O    ce texte,

Vont dire je suis  N  d’accord,

Et d’autres le cri  D  tiqueront,

Prétexte fonction  E du contexte.

On ne lit que ce      *   que l’on veut,

On n’entend que   N  ce que l’on peut

Polysémies et am  E   biguïtés à foison,

Interpréter autre   *   ment est la raison

Monde ne pense  P     pas comme moi.

Il faut me ren   E   dre, à l’évidence :

Nombreux    N  ceux qui pensent

À des cho  S    ses différentes,

Des cho   E  ses, auxquelles

Je n’ai  * jamais pensé.

.

La question   P «à quoi penses-tu»

Se réfère aux    A      instants présents,

À quelque cho    S    se, ou, à  quelqu’un,

À ce à quoi, l’on    *      pense  plus souvent :

Vie, mort, succès,    C    métier, famille, amour.

On ne peut penser,  O    à tout, en même temps,

Ni même à tout ce  M    que l’on fait, doit faire

Dans les heures,   M  les jours qui viennent,

Et on peut pen  E     ser successivement

À des choses   * n’ayant aucun lien.

.

Si on arrête de pen    *       ser, tout simplement :

Mais  c’est plus fa   M       cile à dire, qu’à faire

Cerveau n’arrête   O    jamais de travailler :

Il se repose dif    I      féremment la nuit

Structurant      !  pensées en rêvant.

.

Certaines pensées sont comme révélations :

On a fait un lien  entre plusieurs choses,

Qui n’en avait pas, pour nous, avant,

Dans un contexte, hors contexte,

On appelle cela, la création.

.

Il y a des gens, aux  pensées  constructives,

Ou destructives, novatrices  ou répétitives.

Il est difficile pour un créatif de se mettre

À la place d’ouvrier qui fait même geste.

«Je ne sais pas, à quoi, vous pensez :

Je ne suis pas dans votre tête ».

 .

C’est vrai et en partie faux !

Enchainement tours de paroles

Dans une conversation  très suivie,

Permet une anticipation de la réponse,

Si on connaît l’interlocuteur et le contexte.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

.

Forme, avec cire et paraffine

qui ressemblerait à une bougie  

Ou bois sculpté  d’un chandelier,

Empilement de formes diverses.

 .

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

Là où, moi, je chandelier pour bougie

Allumée, bien d’autres

Verront un pur empilement de formes

En segments ronds

.

Symbolique 

.

Un chandelier

Est un objet qui

Sert de support

À des chandelles

Des   cierges   ou

Bien des bougies.

Le chandelier ou

Ménorah   est  un

Emblème biblique,

Devenu également

L’un des symboles

De l’État…d’Israël

Autres institutions.

Pour certains le chandelier

Serait dérivé de l’arbre de

Lumière babylonien.

soued.chez.com/menora

.

.

Fond

 .

Évocation

.

.

Là où, moi, je crois voir une bougie,

Allumée, bien d’autres

Verront un pur empilement de formes

Aux couleurs diverses !

.

Symbolique de fond

Bougie est associée

À la lumière, au temps,

À la prière : autrefois,  la

Bougie  était utilisée comme

Source  de  lumière,  mais aussi

Pour mesurer le temps qui s’écoule.

.

Cette notion de temps  sera  exprimée

Aujourd’hui par bougies d’anniversaire,

Chaque bougie représentant année de vie.

.

La bougie évoque  l’élévation  de la pensée,

Mais aussi la communication avec le divin,

D’ailleurs, elle  est, et souvent, utilisée  dans

Les rituels religieux, notamment pour prier.

Source  1001symboles.net/symbole/sens-de-bougie

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un chandelier supporte une bougie

Qui éclaire avec flammes vacillantes,

Lumière éclaire aussi symboliquement

Nos lumières, qui elles, sont à l’intérieur

De notre cerveau mais dont les contenus

Demeurent parfois en l’ombre, en retrait,

Ce qui fait que notre histoire, connaissance

Sont différentes de celles de tous les autres !

 .

.

Opinions sur grain de poussière

.

Scénario

.

À quoi pense-t-on quand on est seul et en plein désert ?

Penser autrement : raisonnable, mais  est-ce possible ?

Penser  qu’un autre monde est mieux, est-ce un mythe ?

 .

Visuels et textuels  >>

.

1115 – Dieu est un concept, le Christ est une réalité

Visuels et textuels  >> 

.

Dans la fresque de Michel-Ange,

Peint sur la voûte de la Chapelle

.

Sixtine, situé au Vatican, à Rome, on voit une image de l’homme

D’un côté, et de Dieu de l’autre et entre les deux, le doigt de Dieu

Comme le moyen choisi de la création de l’Homme, à son image.

Mais le contraire est autant vrai, l’homme crée son propre Dieu.

.

Même si ce n’est pas son intention

 Le Christ, juif,   nommé aussi  Jésus,

Est plus réel,  à l’identité  reconnue,

Né d’une femme  comme nous, nu :

Qui contestera son histoire vécue.

.

Et si Dieu reste  un beau concept

Et Jésus-Christ, reste une réalité

Mon égocentrisme est exacerbé,

Nous aimons l’histoire incarnée.

.

Si vous avez des belles pensées

Pensez bien  à les personnifier,

Et  facilitez  une identification

C’est écrit et à votre intention.

.

Je me  vois  bien, en elle,  lui,

Car c’est moi, je l’ai compris,

Un autre moi et qui pourrait

Bien    penser : si  j’étais lui !

.

Par  projections comparées,

Je dirais, ferais, comme lui,

En virtualités et en réalités,

Par procuration d’intimité.

.

L’histoire d’un homme qui

A, réellement, vécu  ou  qui

Aurait pu vivre ceci ou cela

À en confondre la personne

Et  son personnage, inventé

Faire plus vrai que, réalité !

.

Ainsi, débute  un   synopsis

D’un nouveau film  au ciné,

Ainsi, débute  toute histoire

En un gros roman, raconté :

Pourtant  rien ne se passera

Comme au naturel ou prévu.

.

Pour finir,  on n’en retiendra,

Que  des émotions, incarnées,

Sinon passent  et vents légers,

Se chargeront de les disperser.

.

La poésie et la pensée… feront

Partie  d’histoire  ou ne seront

L’un  n’empêche  pas  l’autre,

Et dieu merci, elle ne se vend,

Que ce qui  est incarné chair

Et si possible  pas trop cher. 

.

.

Extensions

 .

Dieu est un concept, Jésus-Christ est une réalité.

Il faut avouer qu’un concept qui a été incarné

Est bien plus compréhensible et visible

Que concept virtuel, désincarné.

.

Si nous n’avons pas la même image

De Dieu et du Christ, est-ce lors parce

Qu’il est caché, parce qu’il est multiple !

.

Personne ne peut nier que le Christ n’ait existé

Sous le nom de Jésus de Nazareth, a été crucifié

Mais l’Histoire, avec un grand  H,  s’arrêtera là !

.

Le reste est affaire  de croyances, sens religieux !

Il est le seul à mentionner «Dieu» comme vivant

Et à affirmer qu’il  en est  le fils, élu, pour sauver

Une Humanité qui, peut-être, ne le mérite pas !

.

Lui-même ne demande à personne de le croire,

Le libre arbitre de chacun donne seul l’espoir.

 .

Combien d’écrits par les apôtres, en témoins

Dans leurs évangiles ou Nouveau Testament

Et St Paul par la suite et l’Église chrétienne,

Historiens anciens,  romanciers modernes,

Auront relaté  et  confronté, voire enquêté,

Sur une existence d’un Jésus de Nazareth

Pour finir par dire qu’il aura bien existé.

.

.

1115 – Calligramme

.

Dans la fresque de Michel-Ange,

Peint sur la voûte de la Chapelle

.

Sixtine, situé au Vatican, à Rome, on voit une image de l’homme

D’un côté, et de Dieu de l’autre et entre les deux, le doigt de Dieu

Comme le moyen choisi de la création de l’Homme, à son image.

Mais le contraire est autant vrai, l’homme crée son propre Dieu.

.

Même si ce n’est pas son intention

 Le Christ, juif,   nommé aussi  Jésus,

Est plus réel,   *  à l’identité reconnue

Né d’une femme   D  comme nous, nu,

Qui contesterait    I      l’histoire vécue.

Et si Dieu reste    E    un beau concept

Et Jésus-Christ   U     reste une réalité

Mon égocentris   *    me est exacerbé,

Nous aimons l’  E   histoire incarnée.

Si vous avez      S   des belles pensées

Pensez bien      T  à les personnifier,

Et  facilitez       *  une identification

C’est écrit et    U  à votre intention,

Je me  vois       N  bien, en elle, lui,

Car c’est moi    *   je l’ai  compris !

Un autre moi,    C        qui pourrait

Bien     penser :   O     si j’étais lui 

Par projections    N     comparées,

Je dirais, ferais    C     comme lui,

En virtualités et   E    en réalités,

Par procuration  P     d’intimité.

L’histoire d’un    T    homme qui

A réellement       ;     vécu ou qui

Aurait pu vivre   L    ceci ou cela

À en confondre   E    la personne

Et  son person    *  nage, inventé

Faire plus vrai   C   que, réalité !

Ainsi, débute     H   un   synopsis

D’un nouveau    R   film  au ciné,

Ainsi, débute     I    toute histoire

En un gros ro    S  man, raconté :

Pourtant  rien   T   ne se passera,

Comme au na    *  turel ou prévu.

U

Pour finir, on     N      ne  retiendra,

Que des émot     E   ions, incarnées,

Sinon passent    *     et vents légers,

Se chargeront    R   de les disperser

La poésie et la    É   pensée… feront

Partie  d’histoi   A   re  ou ne seront

L’un n’empê       L  che  pas l’autre,

Et dieu merci     I   elle ne se vend,

Que ce qui  est  T   incarné, chair

Et si possible   É  pas trop cher. 

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1115 4

.

Une forme de croix

Comme celle où aura

 Été  crucifié le  Christ :

En incarnation de Dieu

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Croix Jésus, incarnation, et  Dieu :

Tout y est pour qu’histoire suscite

l’intérêt de tous, voire de chacun

et ainsi fond et forme s’épouse.

.

.

Forme

 .

Évocation 

.

Crucifixion du Christ n’est pas fiction :

 Un fait historique :

Et l’incarnation de Dieu serait lui prêter

Une intention humaine.

.

Symbolique 

 .

La croix, dans son symbole culte,

Représente la crucifixion bien sûr,

Mais avant tout l’abandon de soi,

Le détachement de tout ce qui est

Personnalité : c’est la rupture

Avec toute la mécanique de

La personnalité, toute

La roue de la personnalité,

Et roue des réincarnations donc.

.

Lorsqu’il y a crucifixion d’un initié,

Crucifixion cosmique, l’initié devient

Détaché du plan des réincarnations.

S’il revient, ce sera uniquement pour

Apporter quelque chose, ce n’est plus

Pour expérimenter quelque chose.

Source : conscienceuniverselle.fr/

symbolisme-de-la-croix

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1115 6

.

Crucifixion du Christ n’est pas fiction :

 Un fait historique :

Et l’incarnation de Dieu serait lui prêter

Une intention humaine.

.

Symbolique 

.

L’Incarnation 

Est le dogme chrétien

Où    le Verbe divin s’est

Fait chair en Jésus-Christ.

Et cette notion reste exprimée

Dans le Prologue de l’évangile selon

Jean : Le Verbe s’est fait chair» (1:14).

.

Elle se situe au centre de la christologie.

La notion d’incarnation a été débattue

Au cours du christianisme primitif.

La controverse la plus vive : le  docétisme.

« Dieu s’est fait homme parce qu’il est plus difficile

D’être un homme que d’être Dieu. » (Voltaire)

« Dieu s’est fait homme pour que l’homme

Devienne Dieu. » (Irénée de Lyon).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Incarnation_(christianisme)

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Les religieux parlent plus du Christ que de Dieu

En domaine de certitudes, le premier l’emporte

Les philosophes ne parleront jamais du Christ,

Il n’y aura pour eux aucun lien entre les deux !

.

Quant à la croix, ce symbole existait bien avant

Notamment d’anciens babyloniens de Bagdad

«Elle aura été  christianisée par  sainte Hélène,

Mère même de l’empereur  Constantin Ier,

Qui aurait découvert la Croix de Jésus

 Ainsi  que  celles  des  deux  larrons,

 Lors d’un pèlerinage en Palestine

Entrepris en 326. Wikipédia.

 .

.

Dieu est un concept ou une réalité ?

.

Scénario

.

Dieu à l’image de l’homme … si ce n’est pas le contraire ?

Le Christ (Jésus historique) … crucifié pour nous sauver.

Visage même de Jésus nous est inconnu : moult images.

 .

 

 Visuels et textuels  >> 

1114 – Pour certains, la vie n’est qu’un long drame !

Visuels et textuels  >>

.

La vie n’est qu’un drame

Pour  les  pessimistes,

Pour  les alarmistes,

Pour les fatalistes ;

.

N’est que  bonheur,

Pour les optimistes

Ou  les progressistes,

Pour les non-défaitistes.

.

Or pour nombre de gens,

Comme  le basculement brutal

De l’un vers l’autre, en alternance.

.

Pour  certains la vie ne sera que drame

Entre coupé de brefs moments de brame

Pour mieux supporter un  destin chagrin,

Tout  comme celui de n’en avoir aucun.

.

À d’autres, n’est qu’aventure heureuse,

Entrecoupée de périodes  malheureuses,

Pour mieux leur faire sentir un éphémère

De leur destin basculant vers d’autres fins.

.

Si la vie n’est qu’éternel recommencement,

Chaque jour, même rythme,  geste, toujours,

Infimes évolutions se produisent en pensée

Changeant perceptions du monde, d’idées.

.

Jusqu’au dernier souffle, dernier moment,

Tout peut encore changer et se modifier,

Chacun voit sa vie comme il l’entend,

Chacun peut, sa veste, la retourner.

.

Face à  l’infinitude  de l’Univers,

Nous sommes nus comme ver

Celui qui vous dira contraire

Ne ferait rien que … braire,

Tant certains ont eu une

Enfance malheureuse.

.

.

Extensions

 .

La mort est un drame éternel,

L’accident, la maladie, le divorce,

L’échec, sont des drames temporaires

Qu’on parvient à surmonter voire oublier ;

Le reste, c’est la vie tout simplement,

Comme le soleil après la pluie,

Comme le jour après la nuit.

.

De ne pas pouvoir, de ne pas vouloir

En profiter parce qu’on pressent qu’un drame

Peut surgir d’un instant à l’autre est une attitude

Plus funeste et pratiquée par les pessimistes :

«Aujourd’hui, pas terrible ;  demain, pire »

Face à l’Univers, l’on est « tout » dès lors

Que l’on ne se connait pas d’équivalent

Et l’on est « rien » dès lors qu’on sait

Que l’on va bientôt disparaitre.

.

Mais entre ce tout et ce rien,

Il y a matière à profiter de tout,

De ce qui se passe, et qui nous arrive,

De ce qu’on veut faire, autres font, de leur côté.

La vie est-elle un drame ou la vie est une chance !

À  chacun d’en décider et d’en faire son parti.

.

La vie est un drame si on la prend par la fin ;

La vie est un charme si on la prend par le début,

Entre les deux, ce sera tantôt l’un et tantôt l’autre :

Mourir à vingt est un drame, à cent, une consolation

L’important est de vivre longtemps, et en bonne santé !

Le drame absolu, comme chacun sait, n’est pas le cancer,

C’est de voir son enfant mourir, pour un père, et  une mère.

La vie n’est autre que comédie, je ne dirais pas ça, encore que,

Le verre à moitié plein je le bois, tandis que le vide, je le perçois.

.

Il y aurait ceux qui sont bien nés

Solides, immunisés, en bonne santé,

Et en plus, positifs et de bonne humeur

Et ceux qui sont mal-nés, mal embouchés

Qui se plaindront de tout, leur vie entière

Souvent prêts à tourner tout en négatif.

.

Comment faire la différence entre ceux

Pour qui la vie sera comme vrai drame,

Qui en font un, pour se mettre en valeur

Et ceux pour qui le drame est passager :

Question nuance, subtilité, pensez-vous

Point du tout : le sens même de sa vie.

.

.

Épilogue

.

De passer sa vie sans aucun drame

Autre la mort de… ses parents,

Est comme passer à travers

Les gouttes de la pluie,

***

Tandis que d’autres vivront entre

Deux drames puis les suivants

À croire qu’ils les attirent,

Ou voire les suscitent !

***

Mais le pire n’est-il pas : certains

En feraient un drame de tout

Étant mécontent du sort

Qu’on leur a réservé.

***

Face au drame, après la sidération

Et après la conscientisation

On pense à résilience

Ou inconscience.

***

Dernier acte de la vie, drame ou peu,

Est notre mort pour l’éliminer,

L’anxieux la vit en pointillé

Toujours sous ses yeux

***

Drame ultime n’est-il pas son suicide,

On veut le fuir, en l’exécutant,

De croire en dieu déicide,

Acte de foi dans néant.

***

Mais sans drame que serait le bonheur,

Chacun rappelle vulnérabilité,

Solitude, finitude forcées,

En attendant l’heure.

.

.

1114 – Calligramme

.

La vie n’est P  qu’un drame

Pour  les    O  pessimistes,

Pour  les    U    alarmistes,

Pour les     R     fatalistes ;

N’est que    *        bonheur,

Pour les     C       optimistes

Ou  les       E    progressistes,

Pour les    R    non-défaitistes

Or pour   T      nombre de gens,

Comme   A   le basculement brutal

De l’un  I    vers l’autre, en alternance.

Pour   N certains la vie ne sera que drame

Entre  S  coupé de brefs moments de brames

Pour    *    mieux supporter un destin chagrin,

Tout        V       comme celui de n’en avoir aucun.

D’autres,        I             n’est qu’aventure heureuse,

Entrecoupée          E         de périodes malheureuses,

Pour mieux leur          *         faire sentir un éphémère

De leur destin bascu         N         lant vers d’autres fins.

Si la vie n’est qu’éternel          ‘            recommencement,

Chaque jour, même rythme,          E       geste, toujours,

Infimes évolutions se produisent      S          en pensée

Changeant perceptions du monde         T        d’idée.

Jusqu’au dernier souffle,  dernier    *     moment,

Tout peut encore changer     Q   et se modifier,

Chacun voit sa vie     U    comme il l’entend,

Chacun peut,   E    sa veste, la retourner.

Face à  l’ *     infinitude    de l’Univers,

Nous     D  sommes nus comme ver

Celui qui  R   vous dira contraire

Ne ferait    A  rien que braire.

Car certains M    ont eu une

Enfance mal   E heureuse.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1114 4

.

Un vase des plus communs

 Mais qui s’est peu à peu fendillé 

Jusqu’à  se  rendre  inutilisable

Lors complétement cassé !

 .

(forme creuse, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

 .

Un vase cassé peut créer un drame

fonction de son prix, attachement :

la vie lui ressemble un tant soit peu

ainsi la forme évoque bien le fond.

.

Pour certains, tout comme ce vase,

Collé, rafistolé, de partout,

 Leur vie est devenue et elle restera

Cassée tant qu’ils existeront !

.

Symbolique 

 .

Dans la kabbale, le vase

Possède le sens du Trésor.

S’emparer d’un vase, c’est

Conquérir un trésor.

.

Briser  un vase, c’est

Anéantir par le mépris

Le trésor qu’il représente.

.

Un   symbolisme   identique

Se retrouve dans la littérature

Mandéenne  et la Pistis Sophia.

.

Bahir, les six jours de la Création

Sont appelés : les six  beaux  vases,

La Shekina est comparée à un  vase.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1114 6

.

Pour certains, tout comme ce vase,

Collé, rafistolé, de partout,

 Leur vie est devenue et elle restera

Cassée tant qu’ils existeront !

.

Symbolique 

.

Il est bien admis

Qu’un vase dans la maison

Symbole de bien-être, prospérité.

.

C’est une décoration de l’intérieur,

Donne à la pièce un aspect particulier.

Les vases peuvent être au sol et sur table.

Sont utilisés pour décorer des bureaux,

Des hôtels et centres commerciaux.

Le vase est facile à casser, car il

Est composé principalement de

Leurs matériaux   …    fragiles.

.

« Pourquoi  ce vase  s’est-il  cassé,

C’est une bonne chance, vous devez

Dire à haute voix « pour la bonne chance ».

kayabaparts.ru/fr/razbitaya-vaza-po-

sonniku-razbitaya-vaza-schastlivaya-zhizn

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme  

 .

Qui casse, paye, lit-on sur un écriteau

D’une boutique de céramique, bibelots

Si l’on se comparera à un vase et que

Quelqu’un nous casse ou nous-même

On peut le payer de sa vie, paralysie

Nous ne sommes pas en … porcelaine

Dieu merci, pas en acier…  non plus

Pour notre malheur ou  chance !

 .

.

Vie ne serait que drame

.

Scénario

.

Pour ceux/celles qui se suicident,  la vie n’est qu’un drame,

autres,  tantôt une comédie et tantôt proche psychodrame,

pour moi, la vie est expérience fortuite à ne pas manquer.

 .

Visuels et textuels  >>

1113 – Il ne saurait y avoir de paradis, ni d’enfer

Visuels et textuels  >>

.

Le paradis

Avec  l’enfer

Sont valeurs contraires,

Bon…heur,  mal…heur,

Dans la vie se mêlent

Intimement et en

Chacun  de  nos  actes

Nos   sentiments.

Et,  sans  compter,

Projection de pensées,

Mais qui nous traversent.

.

Il ne saurait y avoir ni paradis ni enfer ;

Il ne saurait y avoir  ni beauté, laideur ;

Il ne saurait y avoir  ni fortune, revers ;

Il ne saurait y avoir  ni vérités, erreurs.

.

Ce sont là de fausses relatives valeurs

Constituant des rapports  symboliques,

Départageant les bonheurs malheurs,

Faits pour guider notre sens pratique.

.

Ils existent, mais le long de  curseurs,

Tantôt en distance, tantôt en hauteur,

Ressemblant à ce mélange qui évoque

Air d’espéranto, jouant sur équivoque.

.

Considérant une même valeur à tous

Certains, autres la trouvent différente

 Il n’y a aura jamais universelle entente,

Valeurs  langues sont histoires de fous.

.

Aspirer au sens, à des valeurs de vie,

Représente la question la plus cruciale

À laquelle on ne peut échapper ou mal,

Tant la mort vous rappelle son  souci.

.

Respect de l’autre comme de soi -même

Constitue la principale règle à observer :

En vie, tout n’est pas du pareil au même

Sinon c’est vite l’anarchie et la brutalité.

.

Il ne saurait y avoir  ni paradis ni enfer,

C’est nous  qui les inventons, projetons,

À force de vivre en misère ou de travers,

Sont fausses réalités, auxquelles croyons.

.

.

Extensions

 .

Pourquoi s’en faire paradis !

Et pourquoi paradisiaque enfer !

C’est juste qu’il faut  trouver un lieu

Pour y mettre tous les hommes de bien

Et autre, les suppôts du mal : point barre !

.

Un paradis  où l’on serait seul, serait un enfer,

Un enfer où on serait convivial, serait un paradis ;

L’homme n’est pas fait pour vivre seul, ni sur Terre

Ni ailleurs, il communique : l’enfer serait de ne

Pouvoir satisfaire le moindre de ses désirs,

Le paradis, de les avoir tous satisfaits.

.

Mais le Paradis se transformerait

Alors en enfer plus aucune envie.

L’enfer, c’est la lutte et c’est la fuite

Mais c’est surtout l’ennui lors le paradis,

C’est le bien-être, le plaisir, la joie, le bonheur.

.

Chacun a sa propre vision de l’enfer et du paradis.

Distinction entre celui que l’on vit sur Terre  et celui

Projeté après mort : y a que premier qu’on vit, subit !

.

Portes du Paradis sont ouvertes sur une grande lumière

Portes de l’Enfer sont condamnées par une entrée en fer,

Des anges  en  Paradis, des démons en Enfer : est-ce nous,

Ou ceux qui nous accueillent ou bien s’occuperont de nous,

C’est à chacun d’en décider selon le fruit de son imaginaire.

.

L’enfer est cité en toutes les religions

Et il n’est nulle part en même temps :

Ce n’est pas vraiment un lieu, lequel ?

Pas plus vraiment  un temps : lequel ?

.

Quelque paradis terrestre aurait existé

Avec Adam et Ève, sous le nom d’Éden,

Entre Tigre et Euphrate, Mésopotamie,

Parfois ailleurs aussi en lieux inconnus.

.

Le plus curieux, le plus extraordinaire :

Enfer et paradis ont traversé les siècles

Suite à fausses traductions, croyances

Il nous faut croire on a besoin d’eux !

.

.

1113 – Calligramme

.

Le paradis

 Avec  l’enfer

Sont valeurs contraires,

Bon…heur,  mal…heur,

Dans la vie se mêlent

Intimement et en

Chacun  de  nos  actes ……….

Nos   sentiments.

Et,  sans  compter,

Projection de pensées,

Mais qui nous traversent.

.

Il ne saurait y avoir I ni paradis ni enfer ;

Il ne saurait y avoir     L    ni beauté, laideur ;

Il ne saurait y avoir         *       ni fortune, revers ;

Il ne saurait y avoir            N       ni vérités, erreurs.

Ce sont là de fausses              ‘        relatives valeurs

Constituant des rapports       Y         symboliques,

Départageant les bonheurs      *          malheurs,

Faits pour guider notre sens    A        pratique.

Ils existent, mais le long de       *     curseurs,

 Tantôt en distance, tantôt en     N    hauteur,

Ressemblant à ce mélange qui    I    évoque

Air d’espéranto jouant sur équi   *    voque.

Considérant une même valeur     P   à tous

Certains, autres la trouvent dif    A  férente

 Il n’y a aura jamais universelle    R entente,

Valeurs  langues sont histoires     A  de fous.

Aspirer au sens, à des valeurs       D     de vie,

Représente la question la plus      I     cruciale

À laquelle on ne peut échapper      S         ou mal,

Tant la mort vous rappelle son       *               souci.

Respect de l’autre comme de         N         soi -même

Constitue la principale règle        I            à observer :

En vie, tout n’est pas du pa       *            reil au même

Sinon c’est vite l’anarchie    E             et la brutalité.

Il ne saurait y avoir       N        ni paradis ni enfer,

C’est nous qui les      F       inventons, projetons,

À force de vivre    E    en misère ou de travers,

Sont fausses  R  réalités, auxquelles croyons.

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

1113 4

.

Un trophée sportif,

Ou alors  une lampe

 À pétrole, avec ampoule 

Pour bien mieux… s’éclairer.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Que vaudrait une lampe, sans feu,

ni ampoule ni ressources pour durer

en enfer, des lampes sans ampoule ;

en paradis, ampoules sans lampe.

.

Le feu de la lampe et du brasier

Seront des symboles  identiques :

Leur différence sera en l’intensité,

Pour éclairer comme l’ampoule.

.

Symbolique de forme

 .

La lampe,

Qu’elle soit électrique,

Ou à huile  ou  à pétrole,

Représentera toujours une

Sorte de lumière  intérieure,

Une énergie, et des capacités,

Talents que nous maîtrisons.

L’homme maîtrise lumière,

Avec  un  pouvoir

Allumer, éteindre.

Psycho2rue.fr/dictionnaire-

Des-symboles-de-reve/lampe

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1113 6

.

Le feu de la lampe et du brasier

Seront des symboles identiques :

Leur différence sera en l’intensité,

Pour éclairer comme l’ampoule.

.

Symbolique

 .

Eureka !

L’ampoule,

Symbole de l’idée

Qui jaillit sans que l’on

L’ait vraiment cherchée :

Hasard heureux, erreur fructueuse!

Tant   qu’il s’agisse  d’une lampe  à huile,

À pétrole ou d’une lampe moderne, électrique,

Elle symbolise l’énergie que nous contrôlons,

Celle que nous maîtrisons. Dans la bande

Dessinée et le dessin animé, l’apparition

D’une idée est souvent représentée

Par une lampe à incandescence

Qui s’allume au-dessus de la

Tête du personnage.

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

La lampe serait éclairée, éclairante,

Au paradis

La lampe serait éteinte, obsurcissante

En  plein  enfer

Sauf que nous n’avons pas de lumières

Ni sur l’un ni l’autre

Et  que  leur obscure clarté, oxymoron,

Brouille bien notre raison

Au point de faire une  totale confiance

Dans notre propre imagination.

 .

.

Il n’y aurait ni paradis ni enfer !

.

Scénario

.

Porte du paradis, corridor tunnel avec, au fond, une lumière.

Dans l’une, des anges blancs ; dans l’autre, des diables rouges.

Porte de l’enfer, elle est comme murée, sans espoir de lumières.

 .

Visuels et textuels  >>

1112 – Chemin du paradis est même pour enfer

Visuels et textuels  >>

.

Des choses pouvant nous faire

Du bien tout comme de se marier,

Peut faire du mal comme de divorcer.

Le bien et le mal, sont autant de valeurs

Tout à fait  relatives et  voire, subjectives !

Personne ne détient sa mesure, ni sa vérité.

Et l’on prône parfois, un mal pour un bien !

 .

Tant, s’il n’y  avait pas le mal, il n’y  aurait pas,

Non plus  de bien,  bien que ce soit  antinomique.

Le chemin du paradis est le même que pour enfer.

Il est en sens inverse, et, sur  vous, haine, il déverse,

Et dès lors, vous aurez beau dire  ou aurez beau faire

Rien ne vous serait épargné, en été  comme en  hiver,

Quand il pleuvra des maux tombant  à seaux à verse.

 .

L’amour ferait      des ravages,

Coup de canif, ou de bambou,

Vous poussant à aller au bout

Révision  contrat  de mariage,

Tant votre blessure, profonde,

Et aura provoqué la déchirure

D’un état naturel,  grâce pure,

En d’autres mauvaises ondes.

.

La douleur et la souffrance se mêlent au désespoir

De ne plus entrevoir : l’avenir, bonheur, assurance,

Remplacé à nouveau par une profonde incertitude

De retrouver, un jour, en  quelqu’un,  la  confiance,

Que  tourments  tristesse du désamour empêchent

De refixer en foyer, accroché comme une idée fixe,

Où la folie et ou  frénésie ne seront plus   prolixes.

.

Avec le temps, souci mélancolique,

Desserrera  son étreinte, résilience,

Reprendra goût à  vie sympathique

Qu’émotion réserve  et en nuances,

Lors plus serein, hors dépendance,

.

On se met à courir après la chance,

Qui ne sera autre qu’une croyance,

Qui vous aide  par la bienveillance,

S’appuyer sur quelqu’un, nouveau,

Pour se sauver,  pour se retrouver,

.

À condition de ne plus se reperdre

En lui, ni lui, en vous,  en tous cas,

Sinon cela aura été fait, et en vain,

Si l’autre s’en ira, lui direz  merde,

Pardon, en paradis… antichambre

.

De l’enfer vous glisserez et êtes

À terre ou, atterrés, d’avoir

Été autant aveuglés.

.

.

Extensions

Le chemin du paradis

Est le même que pour l’enfer,

Mais fait en sens inverse, tombant

Ainsi, de pas en pas, jusqu’au plus bas.

Stress, angoisse, dépression en sont étapes.

On ne s’en sort jamais seul, qu’avec l’appui

Des autres, si l’on est à même  de vouloir

Prendre  la main  qu’il nous tend  pour

Nous aider  à nous relever, marcher,

Nous aider non vivre à notre place

Afin de sortir de l’enfer sournois

Où l’on vit  pour  le Paradis

Qu’on espère par ce que

On l’appellera déjà la

«Porte de l’espoir ».

.

Le paradis et l’enfer se croisent, à chaque carrefour

Chacun peut se tromper de route, allez y faire un tour.

Dans aucun des deux, personne n’en reviendra indemne,

Tant le bien et le mal se confondent en un brouillard moral

Qui nous a fait créer les deux pour les distinguer en autre vie.

.

L’enfer est pavé de bonnes intentions :

Est à dire que le ciel est de mauvaises !

Je en sais que penser de ces affirmations.

.

De même : qui veut faire l’ange, fait la bête :

Faut-il alors «faire le bête» pour être un ange.

Je sais, c’est jouer sur les mots : quand même !

.

On pourrait lui donner le bon dieu sans confession

Cela n’engage pas à faire confiance aux apparences

Le diable se cacherait sous le manteau d’un bon dieu.

.

Le bien le mal, qu’est-ce que c’est, comment distinguer

Si nous en sommes les seuls juges, c’est pas très normal,

Comment savoir ce qui est amoral de ce qui est immoral.

.

Le chemin de l’égoïsme et du cynisme, est visible,  balisé,

Celui de la générosité et de la vertu est bien plus hypocrite

Distribue quelques miettes aux pauvres pour être apprécié.

.

.

1112 – Calligramme

          *                        C

Des choses pouvant nous   H    faire

Du bien tout comme de se  E    marier,

Peut faire du mal comme   M  de divorcer.

Le bien et le mal, sont au  I    tant de valeurs

Tout à fait  relatives et  N   voire, subjectives !

Personne ne détient    *    sa mesure, ni sa vérité.

Et l’on prône par    D    fois, un mal pour un bien !

U ………………………

Tant, s’il n’y        *    avait pas le mal, il n’y  aurait pas,

Non plus  de bien,    P   bien que ce soit  antinomique.

Le chemin du paradis est  A    le même que pour enfer.

Il est en sens inverse, et, sur   R   vous, haine, il déverse,

Et dès lors, vous aurez beau dire  A   ou aurez beau faire

Rien ne vous serait épargné en été    D  comme en  hiver,

Quand il pleuvra des maux tombant  I    à seaux à verse.

                                    S

L’amour ferait      des ravages,

Coup de canif, ou de bambou,

Vous poussant à aller au bout

Révision  contrat  de mariage,

Tant votre blessure, profonde,

Et aura provoqué la déchirure

D’un état naturel,  grâce pure,

En d’autres mauvaises ondes.

.

La douleur et la     E souffrance  se mêlent Q  au désespoir

De ne plus entre    S    voir avenir, bonheur   U    assurance,

Remplacé à nou    T    veau par une profonde  ‘   incertitude

De retrouver un     *     jour, en  quelqu’un,  la  E   confiance,

Que  tourments    M    tristesse  du désamour   N empêchent

De refixer en foy  Ê      er accroché comme une  F   idée fixe,

Où la folie et ou  M      frénésie ne seront plus    E   prolixes.

             E                                                      R

Avec le temps, souci mélancolique,

Desserrera  son étreinte, résilience,

Reprendra goût à  vie sympathique

Qu’émotion réserve  et en nuances,

Lors plus serein, hors dépendance,

.

On se met à courir après la chance,

Qui ne sera autre qu’une croyance,

Qui vous aide  par la bienveillance,

S’appuyer sur quelqu’un, nouveau,

Pour se sauver,  pour se retrouver,

.

À condition de ne plus se reperdre

En lui, ni lui, en vous,  en tous cas,

Sinon cela aura été fait, et en vain,

Si l’autre s’en ira, lui direz  merde,

Pardon, en paradis… antichambre

.

De l’enfer vous glisserez et êtes

 À terre ou, atterrés, d’avoir

 Été autant aveuglés.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

1112 4

.

Ça ressemble assez fort

 À un jeu pour atteindre ciel

Un jeu  appelé : la Marelle 

Joué à cloche-pied avec palet.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Qui n’aura pas connu et pratiqué,

 Jeu de La Marelle,   étant enfant :

Un chemin assez rude, à cloche pied,

Poussant le palet de terre vers le ciel.

.

Symbolique 

 .

La marelle est un jeu ancestral

D’initiation à la connaissance de soi

Dont  sont issus  le jeu  du labyrinthe,

La pétanque et le jeu de l’oie.

.

Plupart des jeux pour enfants

Et  des jeux  de société  étaient,

À l’origine,  divinatoires,  initiatiques.

.

Dans un monde moderne où la raison,

La logique et plus encore science exacte

Font force de loi, ces principes

Jeux divinatoires et initiatiques

Ont été relégués aux … oubliettes,

Dans un passé, dont  nous pensons

Que l’obscurantisme et superstitions

Régnaient en maîtres dans les mentalités.

Source : minuit.forum-actif.net/t1010-la-marelle

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1112 6

.

Qui n’aura pas connu et pratiqué,

 Jeu de La Marelle,      étant enfant :

Un chemin assez rude, à cloche pied,

Poussant un palet de terre vers le ciel.

.

Symbolique 

 .

Le ciel est symbole

Des puissances supérieures à l’homme,

Bienveillantes ou redoutables, l’insondable immensité,

La sphère de rythmes universels, celle des grands luminaires,

Le gardien des secrets de la destinée.  Séjour des divinités,

De toute puissance divine et des bienheureux ?

.

Bouddhisme, Islam, chrétienté distinguent

Sept cieux : autant d’états spirituels gravis

Les langues modernes  distingueront le ciel

Religieux du ciel atmosphérique qui pour

Les Gaulois est voûte d’où leur crainte

Qu’elle ne leur tombe sur la tête.

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le chemin d’un paradis

Serait le même que l’enfer

Mais, en miroir,    l’envers,

Si on croit ce qu’on nous dit.

Mais pour le savoir : allez-y !

Et surtout revenez-y, mais vite,

Pour dire  ce que vous avez-vu,

Entendu,  senti, pour qu’enfin

 L’on sache à quoi s’attendre !

 .

.

Chemin paradis et enfer ?

.

Scénario

.

Si c’est bien, par-là, le paradis, y a qu’à y aller comme indiqué,

au risque d’emprunter la route comme pour un véritable enfer,

de terminer seul, à pied, sur des rails qui ne mènent nulle part.

 .

Visuels et textuels  >>

1111 – Tout ne serait qu’apparences sur Terre !

Visuels et textuels  >>

.

Le mythe de la caverne,

Mythe hautement platonicien

Est brume, en notre ignorance,

Apparence  nous  va  très bien !

Apparence  du  Soleil  tournant

Autour de notre Planète Terre,

Comme le centre du Monde

Pour des fervents croyants.

Mais voilà que le temps

Nous échappe autant

Il ne serait que

Pul-sa-tions

D’après le

Big Bang.

.

Tout ne serait

Qu’apparence sur notre Terre,

Pouvoir, avoir, savoir, égale misère,

Lors, tout se termine, dilue, poussière,

Lors notre mort demeure pur mystère.

.

Relié à bien d’autres comme par un fil,

M’attirant, repoussant autant invisible

Mais, qui s’épaissit et devient tangible,

Quand nouvel amour en moi, le surfile,

En un cocon que l’on appelle … famille.

.

Je suis et je resterai, un temps, encore,

De moins en moins  plaisant, de corps,

Tout en gardant mon bel esprit retors,

Qui s’amusera, de lui, jusqu’à sa mort.

.

Vie se charge, parait-il … de m’assurer,

Mon avenir  dans une éternité méritée,

Elle m’accorde cent ans, pour y penser,

À moi d’en jouir, pour en bien profiter.

.

Alors en attendant Goddot, dit Beckett,

N’attendons pas la fin, et faisons la fête,

Même si dans notre vie bien imparfaite,

Elle ne satisfera pas toutes nos requêtes.

.

.

Extensions

.

On dit que les apparences sont parfois trompeuses

C’est sans doute vrai, elles ne sont que

Ce qu’elles sont, ce qu’elles nous donnent à percevoir.

À nous de les interpréter en fonction de

Ce que l’on sait d’elles, qu’elles peuvent  être  un miroir

Déformant, embellissant ou enlaidissant,

De la réalité, tant  il sera humain, que  chacun  essaye de

Se présenter au mieux de sa forme, agréable

À voir ; ne serait-ce que  pour attirer  l’attention sur lui et

Pour qu’on s’en souvienne et qu’on y revienne.

Il peut  en être, de même,  s’agissant  des  comportements,

Des attitudes : quelqu’un  de  timide  peut  être

Entreprenant, sous  l’effet  de l’alcool, quelqu’une  de  triste,

Peut être gai en compagnie, quelqu’un d’agressif

Peut être tendre  pour séduire  et comment alors  distinguer

Le vrai du faux : nous avons  en notre cerveau,

Tout un catalogue de portraits physiques et psychologiques

Auxquels nous pouvons comparer, cataloguer

Les nouvelles personnes que l’on rencontre un peu partout.

Nul besoin d’être psychologue pour ce faire :

L’observation, l’intuition  la comparaison suffisent à jeter

À bas des masques pourtant trompeurs.

 .

Apparences, avez-vous dit : réalité ou surface des choses,

Un peu les deux, forcément, tant, son apparence fait partie

Des images qu’on souhaite ou qu’on  veut imposer à l’autre !

On y distingue, le plus souvent, sa surface,  de sa profondeur :

Chez certains, la surface leur en tient lieu, il n’y a rien derrière.

Je suis moi-même le complice et la victime de mes apparences.

J’ai l’air d’être un poète, philosophe et ne suis rien de tout cela :

Contraire  aux apparences, le succès rendrait  plus grand que soi

On est là dans un paradoxe absolu, lors passant du rien au tout !

.

.

Épilogue

.

L’apparence est humaine,

La vraie forme sera divine :

Idée des reflets est de Platon,

 Sans faire références à un ciel !

***

On n’en pas si loin avec l’Olympe

Pays des dieux dans le monde grec

Ayant liens de pouvoir sur l’humain,

Une religion imaginaire pour le sacré.

***

Une transposition, aujourd’hui, martien,

Des êtres venus d’ailleurs … nous asservir,

Voire, au mieux, nous aider à mieux vivre :

Un monde surgit encore d’une imagination.

***

Tout ne serait qu’apparence sur Terre, un credo

Qui plairait bien aux agnostiques et aux platistes.

À partir du moment où l’on émet le moindre doute

Tout est possible, égal, en tout et… réciproquement.

***

En tous cas, en sociétés, communautés, voire  familles,

Il est parfois question de moyen à sauver les apparences

Certains considérant le Monde  comme un théâtre vivant,

Où ce qui importe est ce qu’on dit et voit, non ce qu’on est.

.

.

1111 – Calligramme

.

Le mythe de la caverne,

 Mythe hautement platonicien

 Est brume, en notre ignorance,

             Apparence                 nous va très bien !

               Apparence                   du Soleil tournant

        Autour de la               Planète Terre,

Comme  le  centre  du Monde

Pour des fervents croyants.

Mais voilà que le temps

Nous échappe autant

Il ne serait que

 Pul-sa-tions

D’après  le

Big Bang.

.

Tout ne serait

Qu’apparence sur notre Terre,

Pouvoir, avoir, savoir, égale misère,

Lors, tout se termine, dilue, poussière,

Lors notre mort demeure pur mystère.

.

Relié à bien d’autres comme par un fil,

M’attirant, repoussant autant invisible

Mais, qui s’épaissit et devient tangible,

Quand nouvel amour en moi, le surfile,

En un cocon que l’on appelle … famille.

.

Je suis et je resterai, un temps, encore,

De moins en moins  plaisant, de corps,

Tout en gardant mon bel esprit retors,

Qui s’amusera, de lui, jusqu’à sa mort.

.

TOUT NE SERAIT

Vie se charge, parait-il … de m’assurer,

Mon avenir  dans une éternité méritée,

Elle m’accorde cent ans, pour y penser,

À moi d’en jouir, pour en bien profiter.

.

QU’APPARENCE SUR TERRE  

Alors en attendant Goddot, dit Beckett,

N’attendons pas la fin, et faisons la fête,

Même si dans notre vie bien imparfaite,

Elle ne satisfera pas toutes nos requêtes.

.

.

Forme

 

Réduction

.

.

Évocation 

.

1111 4

.

Silhouette d’une statue

Voire  d’un martien dont on

Ne sait rien, hors apparence,

Si elle reste, et vraiment, réelle !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Pour les martiens : quelles différences

 Entre l’homme et le … robot ?

Ils se ressemblent, ont un comportement

D’apparence identique !

.

Symbolique 

 .

Si H. G. Wells a

Popularisé la menace

Venue de la planète Mars,

La figure du Martien dans la

Science-fiction, littéraire

Ou cinématographique,

Est devenue le symbole

Ambivalent de l’extraterrestre.

.

Les  dits « petits hommes verts »

En 1912, Edgar Rice Burroughs, auteur de Tarzan,

Projette le héros de son Cycle de Mars, John Carter,

Un combattant immortel, au passé planète Mars,

.

Et lors il croise différentes races de Martiens,

Dont des humanoïdes verts à quatre bras,

Fondant ainsi une imagerie … populaire

De l’extraterrestre martien qui devient

Autre nous-même aux mille visages.

historia.fr/les-metamorphoses-du-martien

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1111 6

.

Pour les martiens : quelles différences

Entre l’homme et le … robot ?

Ils se ressemblent, ont un comportement

D’apparence identique !

.

Symbolique de fond

.

Les métiers, les choix de groupes et les opinions,

Les uniformes officiels et les codes vestimentaires

Nous rattachent à un groupe, ou une catégorie.

.

Plus personnels : les gestes  et  les  attitudes,

Les façons de marcher, le ton de la voix,

Le choix des mots, positionnements

À l’intérieur d’un groupe.

.

Les choix se mélangent avec les expressions,

Le verbal avec le non-verbal.

Volontaire peut même finir  par se confondre

Avec l’involontaire.

.

Ça ne permet pas de savoir qui est «derrière»

Ni comment il arrive à fonctionner,

Vivre avec ses apparences.

Source : lessymboles.com/

les-apparences-utilité-et-pièges

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Que connaitrait-on réellement de l’apparence

D’un martien ou n’importe quel extra-terrestre,

Rien, évidemment lors  on les aura juste inventés

À des fins littéraires, voire cinématographiques

On peut confondre le réel  sous une apparence

Mais ce qui existe avec ce qui n’existe pas

Apparences peuvent être trompeuses

Mais nous ne le sommes pas.

 .

.

Apparence trompeuse

.

Scénario

.

Si l’irréel, est l’apparence, dites-moi alors  où est le réel :

le réel c’est la représentation construite que l’on s’en fait,

et c’est valable aussi pour la femme transformée en objet. 

 .

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