1110 – A quoi bon la vie si l’on ne croit en rien !

Visuels et textuels  >>

.

Il y a,  je le crois,  la foi de l’enfant,

Qui fait confiance  à  ses  parents ;

La foi du charbonnier

Qui fait  confiance  à une Église ;

La foi des religieux

Et, qui la mettent en pratiques ;

.

La foi du gnostique

Qui doute de toute mystique ;

La foi de l’athée

Qui croit qu’on va Néant ;

La foi du prosélytiste.

.

Mais qui va vivre en conquérant !

Il faudrait, déjà, avoir une foi

En soi, en l’autre, l’humain

Pour se trouver en un bon sens

Pour une vie, qui nous fait du bien !

 .

Il y a la foi de l’enfant qui croit au Père Noël,

Mensonge de parents de société que sur l’autel

De la vérité, jamais il ne faut penser  à sacrifier,

Pour ne pas faire s’écrouler les jouets sur marché.

 .

Il y a la foi du charbonnier, qu’il érige, en principe :

C’est comme ça et pas autrement, et le sera toujours,

C’est la source de sa vie, de ses douleurs,  ses amours,

L’homme est semblable à un Dieu duquel il participe.

 .

À l’opposé, il y a le positiviste, l’agnostique et l’athée,

Qui s’accordent pour détruire sens divin de l’Univers,

Ils n’ont rien à mettre, proposer, à l’endroit, l’envers

Qui le remplace, dont l’homme se réclame,   destiné.

 .

À errer d’une croyance à l’autre, sans buts ni fins,

Mourir, disparaître au néant, arrivé aux  confins

Du rien qu’il était, qu’il est, qu’il sera, et vivre,

Malgré tout, heureux d’exister à en être ivre,

 .

D’un espoir, dont il a du mal à se départir :

L’immortalité, de son corps, esprit, âme :

À quoi bon vivre si l’on ne croit en rien,

Pourquoi être humain  plus que chien.

.

Pour moi elle aura ce quelque chose

De magique et, à la fois, tragique

Comme on le vivra qu’une fois

Attention à ne pas la rater !

.

.

Extensions

.

Il y a la foi de l’enfant

Qui croit au monde magique,

Lorsqu’il mêle le merveilleux et le réel

Comme étant équivalents, puis petit à petit,

Établit  une distinction  entre  ce qui  est  virtuel,

Ce qui est réel et ce qui apparait comme si c’était irréel

Mais ne l’est pas vraiment. On prétend qu’il croit aux contes

Jusqu’au jour où il vous confie, comme pour vous avertir, que

«C’est pour faire comme ci mais qu’en vrai, ça n’existe pas »

.

C’est vous qui êtes pris à votre propre piège,

Arroseur arrosé en quelque sorte !

.

Les Évangiles,  la  Bible,  la religion,

Constituent un Monde, à part, puisqu’on

Lui demande d’y croire et ce sont les parents,

Les adultes, les autres, les prêtres qui le certifie.

De toute façon, notre  esprit  humain  fonctionne

De telle façon qu’on aura besoin qu’on lui raconte

Des tas d’histoires  pour qu’il  les intègre  dans la

Nôtre et notre humanité et les faits scientifiques

N’ont pas d’effet de conviction  par eux-mêmes,

Il faut les mettre en scènes et y croire vraiment.

.

À quoi bon la vie : question lancinante mais inutile

La vie nous est donnée, nous est reprise, c’est ainsi !

Bon, c’est vrai, qu’elle ait un sens, nous aidera à vivre

Mais  c’est à chacun de nous, de bien trouver  le sien !

Avec une réponse  comme celle- là : chacun  est servi !

Les athées, agnostiques, vivent bien  sans  aucun  sens

Et je ne parle pas  des épicuriens, ni, des bons à rien !

Alors finalement de  croire à rien, c’est encore croire :

Rien devient un objet de mes croyances, grand Dieu.

.

Pour certains, la vie est comme un rêve :

On ne sait pas si on dort ou on est éveillé

C’est la conception de Platon et du reflet

La vie est ailleurs, sommes spectateurs !

.

Pour chrétiens, vie est épreuve terrestre,

En attendant rejoindre le paradis au ciel,

Plus on est bon et plus on souffre douleur

Et plus on échapperait aux feux de l’enfer

.

Athée,  est un voyage,  est une expérience,

Dont on a aucune idée de son sens, finalité

Mais qui nous serait donné d’approfondir,

En exerçant notre liberté et libre-arbitre !

.

.

Épilogue

*

Avant nos derniers siècles

L’on avait coutume de diviser

 Les gens en croyants et incroyants,

Ou encore en fidèles contre infidèles :

Aujourd’hui on parle de religieux/athée,

Les formes changent, le fond reste le même.

***

Les religieux pratiquants ne remplissent plus

Les vases, ils se limitent à des tasses ici ou là.

Religions ne sont plus localisées : mélangées,

Souvent issues d’une conviction personnelle.

***

On ne va pas refaire l’histoire des religions,

Elles ont des côtés positifs et côtés négatifs

Elles sont créées, dirigées par des humains

Et sont donc le reflet  de leurs vicissitudes.

***

J’ai moi-même,  je le confesse,  ne le renie,

Avoir fait études secondaires en séminaire,

Poursuivi au-delà, après, jusqu’au moment

Où j’ai perdu la foi n’y croyant pas, ou plus.

Aujourd’hui, religion parait  peu catholique,

Qu’elle soit chrétienne, juive ou musulmane.

Pour autant je reste en quête  de spiritualité :

Avoir trouvé autre sens à ma vie, point athée !

.

.

1110 – Calligramme

.

Il y a,  je le crois,  la foi de l’enfant,

Qui fait confiance  à  ses  parents ;

 La foi du charbonnier

Qui fait  confiance  à une Église ;

La foi des religieux

Et, qui la mettent en pratiques ;

La foi du gnostique

Qui doute de toute mystique ;

La foi de l’athée

Qui croit qu’on va Néant ;

La foi du prosélytiste.

****************

.

Mais qui va vivre en conquérant !

Il faudrait, déjà, avoir une foi

En soi, en l’autre, l’humain

Pour se trouver en un bon sens

Pour une vie, qui nous fait du bien !

À ……………….

Il y a la foi de l’en   *   fant qui croit au Père Noël,

Mensonge de parents  Q   de société que sur l’autel

De la vérité, jamais il ne   U   faut penser  à sacrifier,

Pour ne pas faire s’écrouler  O   les jouets sur marché.

                 I

Il y a la foi du charbonnier, qu’il érige, B     en principe :

C’est comme ça et pas autrement, et le    O  sera toujours,

C’est la source de sa vie, de ses douleurs    N    ses amours,

L’homme est semblable à un Dieu duquel   *    il participe.

                                                     L

À l’opposé, il y a le positiviste, l’agnostique    A      et l’athée,

Qui s’accordent pour détruire sens divin de    *      l’Univers,

Ils n’ont rien à mettre, proposer, à l’endroit,   V         l’envers

Qui le remplace, dont l’homme se réclame,     I         destiné.

                                                       E

À errer d’une croyance à l’autre, sans buts     *          ni fins,

Mourir, disparaître au néant, arrivé aux      S          confins

Du rien qu’il était, qu’il est, qu’il sera,        I          et vivre,

Malgré tout, heureux d’exister à en          *        être ivre,

                                         O

D’un espoir, dont il a du mal à          N    se départir :

L’immortalité, de son corps,          *    esprit, âme :

À quoi bon vivre, si l’on ne       N     croit en rien,

Pourquoi être humain         E   plus que chien.

             *

Pour moi, elle aura     C   ce quelque chose

De magique et, à    R   la fois, tragique

Comme on le vi    O   vra qu’une fois

Attention à ne    I     pas la rater.

     T

E N      R  I  E   N   !  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1110 4

.

Vase      ancien,

Et assez commun,

 D’origine  étrusque 

Pas comme la tasse.

 .

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Un beau vase, si beau soit-il, vide,

S’il  ne contient matières,

Ne sert à rien, il n’est qu’une forme

 À remplir, comme sa vie. !

.

Symbolique

 .

Le vase possède le sens du Trésor.

S’emparer d’un vase, c’est conquérir un trésor.

.

Briser un vase, c’est anéantir par le mépris le trésor

Qu’il représente, un symbolisme identique se retrouve

En littérature mandéenne et dans la Pistis Sophia.

.

Dans le Bahir, les six jours de la Création sont

Couramment appelés les six beaux vases.

La Shekina est comparée à un vase.

.

Et dans la littérature médiévale,

Le vase contiendrait le trésor

Le Graal,  les Litanies, etc.

Source : expatmosaïque.fr/le-

symbole-de-la-semaine-le-vase

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1110 6

.

Cette belle tasse si belle soit-il, vide,

Si elle ne contient d’amour

Ne sert à rien, elle n’est qu’une forme

 À remplir, comme sa vie !

.

Symbolique

 .

Au XVIIIe siècle, d’abord

En Allemagne et en Autriche

Puis en France, les manufactures

De porcelaine commencent à fabriquer

Des «trembleuses », autrement dit des

Tasses très  profondément  enfoncées

Dans leur soucoupe, ce qui empêche

Le récipient de …  glisser.

Et l’origine  de telles tasses

Serait, parait-il, espagnole.

fr.wikipedia.org/wiki/Tasse

 .

 .

Corrélations

 

Fond/forme 

 .

Vase et tasse ne nous apprennent rien

Sur quelle qu’origine de nos croyances

Les deux seront vides  et ne demandent

Qu’à être remplis   de divers breuvages,

Dont chacun se serait épris de passion,

Pour ne pas sombrer  dans le non-sens,

Mais une fois remplis ils ne se videront

Il faut faire avec et  jusqu’à sa mort : 

Réviser sa croyance serait se renier :

Qui serait assez fou pour faire cela.

 .

.

Il faut croire, étant athée

.

Scénario

.

Trois valeurs humaines fondamentales : foi, espoir, amour !

La foi sauverait qui : lui, moi, tout le monde, ou  personne ?

Qu’y a-t-il derrière grille : ce qu’un y voit, ce que l’on croit ?

 .

Visuels et textuels  >>

1109 – L’Univers en expansion n’a pas de sens !

Visuels et textuels  >>

.

Si l’Univers connu n’aurait pas de sens :

Comment lors notre vie  en aurait un,

Sinon, ce serait un profond mystère

Qui ne serait  d’ordre de l’humain.

Il a un sens : il est  en  expansion.

Savez-vous  en quoi, dans le vide.

Et  quand  s’arrêtera-t-il : jamais

Avec tout ça, on est bien avancé !

.

Question métaphysique sidérale :

L’univers, lui, il s’en fout pas mal,

Il n’y a qu’homme pour se targuer

De chercher un sens à lui  trouver !

L’homme est à ce point orgueilleux,

Qu’il en vienne à vouloir égaler Dieu,

À l’origine et à la fin de toutes choses,

La Terre serait femme qu’il…engrosse.

Ce n’est pas parce qu’il ne le trouve pas,

Qu’un sens, ou un autre…n’existerait pas

Mais  l’humain  ne peut vivre  sans raison,

Tout autant  fait de chair,  que de passions.

.

Question métahistorique à notre conscience :

Pourquoi suis-je né,  pour partie … animal :

Je ne suis, dans une chaine,  qu’un élément

De l’humanité, venu par hasard de parents.

L’univers en expansion  n’aura aucun sens

Il est bâti sur du vide…bien gratuitement,

Il existe, peut-être, un Monde … parallèle,

Qui échapperait, à nos sens et à notre zèle

Faut-il plus, le souhaiter, que le craindre :

De le rechercher on ne peut s’en plaindre :

À chacun d’y répondre, voire s’y confondre,

Sinon toutes convictions et fois s’effondrent !

.

Question métaphysique échappant à la science

Malgré ses découvertes, son fond et obédiences,

Notre humanité, notre destin, notre âme n’en font

Pas partie et plus on en sait plus on ignore qui sont

Humains, à la fois arrogants modestes, nobles, sages.

Avec les paris de : Pascal, Voltaire, Nietzsche : élégants :

Tout aussi bien, Néant peut se retourner, comme un gant,

Matière noire, être pleine d’esprits, invisibles, à nos visages,

Aux yeux regardant ailleurs, aux oreilles ne nous écoutant pas

Mais qui, au travers de l’immensité du Cosmos et ses contresens

Reflètent en nous, nos désirs humains des plus hauts aux plus bas

Sans communiquer avec nous, faute de sens ou pétris de non-sens.

.

L’Univers, la Terre et l’Humain, auraient-il un même sens caché !

Notre propre d’orgueil consisterait à vouloir le trouver et prouver :

La vie reste un mystère, et pas seulement la nôtre, ailleurs aussi !

.

.

Extensions

 .

L’Univers,

La Terre et l’Humain

Auraient-ils un même sens, caché :

Notre défaut d’orgueil consisterait à vouloir

Le trouver et plus encore à le prouver : la vie reste

Un mystère et pas seulement la nôtre, ailleurs aussi !

«Homme de peu de foi» comme dit l’Évangile, révélation !

.

Une chose en expansion a forcément du sens,

Dès lors qu’elle  grandit, dès lors quelle grossit,

Elle prend plus d’importance, ou remplit du vide,

Comme un gaz liquide qui se dilate puis qui s’étend

Mais vers où il va, et dans quel temps : nul ne le sait,

Et c’est bien cela qui pose question, pas le phénomène :

Mais là je crois que je m’étends, moi aussi, et pour rien !

.

L’Univers aurait-il un sens

Questionnent astrophysiciens.

Oui, il est en expansion en l’infini.

Oui d’accord mais où s’arrête l’infini.

On ne peut observer, concevoir de limite.

Comment définir un sens, à quelque  chose,

Dont on n’a pas d’idée, c’est presque absurde.

.

S’il n’a de sens, en lui-même, comment peut-il

En avoir un, pour nous : c’est le vide complet,

Et ainsi, aller jusqu’aux confins de l’Univers,

Aller jusqu’au fond de l’Humain, est pareil,

Nous n’en découvrions pas …  leurs sens.

.

.

1109 – Calligramme

 .

Si l’Univers connu n’aurait pas de sens :

Comment lors notre vie  en aurait un,

Sinon, ce serait un profond mystère

Qui ne serait  d’ordre de l’humain.

Il a un sens : il est  en  expansion.

Savez-vous  en quoi, dans le vide.

Et  quand  s’arrêtera-t-il : jamais

Avec tout ça, on est bien avancé !

L’UNIVERS,

Question métaphysique sidérale :

L’univers, lui, il s’en fout pas mal,

Il n’y a qu’homme pour se targuer

De chercher un sens à lui  trouver !

L’homme est à ce point orgueilleux,

Qu’il en vienne à vouloir égaler Dieu,

À l’origine et à la fin de toutes choses,

La Terre serait femme qu’il…engrosse.

Ce n’est pas parce qu’il ne le trouve pas,

Qu’un sens, ou un autre…n’existerait pas

Mais  l’humain  ne peut vivre  sans raison,

Tout autant  fait de chair,  que de passions.

EN EXPANSION,

Question métahistorique à notre conscience :

Pourquoi suis-je né,  pour partie … animal :

Je ne suis, dans une chaine,  qu’un élément

De l’humanité, venu par hasard de parents.

L’univers en expansion  n’aura aucun sens

Il est bâti sur du vide…bien gratuitement,

Il existe, peut-être, un Monde … parallèle,

Qui échapperait, à nos sens et à notre zèle

Faut-il plus, le souhaiter, que le craindre :

De le rechercher on ne peut s’en plaindre :

À chacun d’y répondre, voire s’y confondre,

Sinon toutes convictions et fois s’effondrent !

N’A AUCUN SENS !

Question métaphysique échappant à la science

Malgré ses découvertes, son fond et obédiences,

Notre humanité, notre destin, notre âme n’en font

Pas partie et plus on en sait plus on ignore qui sont

Humains, à la fois arrogants modestes, nobles, sages.

Avec les paris de : Pascal, Voltaire, Nietzsche : élégants :

Tout aussi bien, Néant peut se retourner, comme un gant,

Matière noire, être pleine d’esprits, invisibles, à nos visages,

Aux yeux regardant ailleurs, aux oreilles ne nous écoutant pas

Mais qui, au travers de l’immensité du Cosmos et ses contresens

Reflètent en nous, nos désirs humains des plus hauts aux plus bas

Sans communiquer avec nous, faute de sens ou pétris de non-sens.

.

L’Univers, la Terre et l’Humain, auraient-il un même sens caché !

Notre propre d’orgueil consisterait à vouloir le trouver et prouver :

La vie reste un mystère, et pas seulement la nôtre, ailleurs aussi !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1109 4

.

Sonnette en céramique

Ou vase, en expansion

Du haut   vers  une  fuite,

Comme l’Univers l’Infini.

 .

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Expansion, Univers, Infini

trois réalités se complétant

formant un tout mystérieux

forme et fond se confondent.

.

Spirale partant d’un point central,

 Big bang, en expansion :

Le fait d’aller partout, et à l’infini,

Ne lui donne pas son sens !

.

Symbolique 

.

L’expansion  de l’Univers est

Le phénomène  d’éloignement  des

Galaxies distantes les unes des autres.

Le taux d’expansion  actuel   de l’Univers

Est rappelé  par « la constante de Hubble».

.

Expansion dénote  la tendance  d’un ensemble

De géodésiques  à  s’éloigner  les unes des autres

Selon la forme de la métrique expansion continue.

Modifié, source : wikipedia.org/wiki/Expansion

.

.

Fond

.

Évocation

.

1109 6

.

Spirale partant d’un point central,

 Big bang, en expansion :

Le fait d’aller partout, et à l’infini,

Ne lui donne pas son sens !

.

Symbolique 

.

Infini vient du mot latin « Infinitus »

Ce qui signifie sans limites, c’est à dire

Quelque chose  qui dure, pour toujours.

Ce symbole désigne le fait que l’Univers

Est indéfini, sans début ni fin, symbolise

Que rien n’est créé et que rien ne meurt.

.

En spiritualité, l’infini représente

Interaction du physique, spirituel,

Et l’’interconnexion  entre les deux.

.

Le signe infini se représente comme un 8 couché,

Il a une signification dans chaque culture  et  religion :

En civilisation indienne, ce symbole viendrait du dieu Shiva

Serpent enroulé sur lui représentant la forme du symbole infini.

Bijouxindiens.net/content/73-bagues-fines-bague-infini

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Cycle fermé et expansion ouverte

Sont parfaitement antinomiques

Soit l’univers se referme sur lui,

Soit il se diffusera  et à … l’infini

Mais on imagine mal, dans quoi,

Tout autant, comment,  pourquoi ?

.

Réponse de cosmologue surprenante

« C’est  un phénomène purement interne,

 Indépendant de toute notion de contenant,

Ou d’extérieur, de fait, réponse  à la question

Initiale est la suivante : l’Univers  ne   s’expand

Dans rien, il s’expand en lui-même, de lui-même. »

.

Finalement : avant, l’on sait rien, et après, non plus,

Au mieux il s’expand dans rien et qu’est-ce que ce rien.

Voilà qui me laissera dubitatif et pour le moins, rêveur.

 .

.

Univers en expansion Big Bang

.

Scénario

 .

Déjà, ce serait bien que moi, j’en aie un, de sens de vie

mais l’Univers n’en a pas, hormis son expansion infinie :

si je viens du néant, au néant je ne pourrai qu’y retourner.

 .

Visuels et textuels  >>

1108 – La quête du Graal est éternelle et vaine !

Visuels et textuels  >>

.

De légendes en légendes,

Depuis mort du Christ,

Celle-ci est parvenue

À rester d’actualité.

.

Sang, dans le vase

Qu’il  contiendrait,

Est prétendu divin :

Humain n’appartient !

.

Alors, à  quoi  s’obstiner,

Mais, son mystère fascine,

Tant qu’on ne peut qu’espérer

Sinon, le trouver …  l’imaginer !

.

Je cherche, cherche encore et toujours

Le sens  de  ma  vie mes folles amours,

En l’heure qui passe   jours qui s’écoulent,

En ce moment où toute vie s’écroule.

.

Que je me perde, religion art, nature, autrui, extrême,

Quelques soient les modes d’actions et mes… opinions,

Je serais condamné à ne me déterminer que par moi-même,

En vrai, une quête du Graal qui peut dire où elle nous mène.

.

Elle  nous  mène, tambour  battant, à faire des expériences,

Qui  nous  apportent connaissances parfois des sciences

Sur quoi est fait l’homme, sur sa différence, son essence,

Mettant à part ceux qui  mettent leur âme en vacances.

.

Si la vôtre ne l’est pas  et, si vous croyez qu’il existe

En le destin particulier chaque homme qui existe,

Interrogez-le pourquoi et comment  vous êtes là,

Cherchez en vous quel  Graal vous conviendra.

.

Sage, celui qui trouve réponse à cette question,

Elle n’est point folie pas plus que de raison,

Est juste  parcours parfois même poursuite

Pour autant n’est pas  celle de lâche en fuite.

.

Il n’est rien de plus vain, que de se connaître,

Ni de plus  courageux,  que de vouloir renaitre,

Attendant  d’autres vies : la sienne, bien lucide,

Quand le diable  nous offre  son contrat perfide

.

Celui d’être, riche, jeune, beau, en bonne santé,

Mais tout pourri de l’intérieur et pour l’éternité

J’aime mieux encore mendier voire vagabonder

Qu’être artificiel, flatté, vivre dans telle fausseté

.

L’homme  veut se dépasser, se surpasser,  défier

Pour ne pas se réifier et au contraire, se déifier :

Sa chute n’en est pas  moins cruelle, et, mortelle,

Étant seul à savoir  en quoi son âme, immortelle.

.

Immortel n’est contraire, complément  de mortel

Nous le sommes, tous, et, bien avant, que  naitre,

Il faudra une vie pour apprendre à bien connaître

Le sort, qui sera le nôtre, est bien au-delà  du réel.

Le réel n’a rien à voir  avec quête du Graal, éternel,

Elle fait, de nous, des êtres bien au-delà du charnel.

.

.

Extensions

.

Une quête éternelle, cela a-t-il du sens :

S’agit-il de résurrection, ou prolongation,

De la vie corporelle ou de la  vie spirituelle,

De l’éternité d’un homme ou de l’Humanité :

Par définition si cette quête est bien éternelle

C’est qu’elle est, par avance,  des plus vaines.

Homme serait-il à ce point croyant stupide

Pour rechercher cette chose, inaccessible

Pour lui ou qu’il a inventé lui-même.

.

À chacun son Graal,

Quête de vérité et justice,

Pour  les  chevaliers  arthuriens

Pour chacun, de sa réussite suprême !

.

Graal corne d’abondance, nourriture qu’on désire ;

Pierre tombée du front de Lucifer  et creusée en vase ;

Récipient utilisé ; par Jésus, à son dernier repas, la Cène.

.

Lors, pour cette dernière raison, certaines légendes  racontent

Que quiconque boirait dans un tel vase atteindrait l’immortalité !

À la recherche du Graal, le chevalier chrétien doit avoir le cœur pur.

.

.

1108 – Calligramme

.

De légendes en légendes,

Depuis mort du Christ,

Celle-ci est parvenue

À rester actualité.

Sang dans le vase

Qu’il  contiendrait,

Est prétendu divin :

Humain n’appartient !

Alors, à  quoi  s’obstiner,

Mais, son mystère fascine,

Tant qu’on ne peut qu’espérer

Sinon, le trouver …  l’imaginer !

.

*******************************

***************************************

.

Je cherche, cherche ¤¤¤ L ¤¤¤¤¤¤¤ encore et toujours

Le sens  de  ma  vie ¤¤¤¤ A ¤¤¤¤¤¤¤  mes folles amours,

En l’heure qui passe  ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ jours qui s’écoulent,

 En ce moment fatidique  ¤ Q ¤¤¤¤¤¤¤ où toute vie s’écroule.

Que je me perde, religion ¤ U ¤¤ art, nature, autrui, extrême,

 Quelques soient les modes   Ê   ¤¤ d’actions et mes… opinions,

Je serais condamné à ne me  T   déterminer que par moi-même,

En vrai, une quête du Graal   E   qui peut dire où elle nous mène.

Elle  nous  mène, tambour      *    battant, à faire des expériences,

Qui  nous  apportent con       D    naissances parfois des sciences

Sur quoi est fait l’homme,     ‘      sur sa différence, son essence,

Mettant à part ceux qui      U   mettent leur âme en vacances.

Si la vôtre ne l’est pas         N     et, si vous croyez qu’il existe

En le destin particulier      *         chaque homme qui existe,

Interrogez-le pourquoi    G        et comment  vous êtes là,

Cherchez en vous quel    R          Graal vous conviendra.

Sage, celui qui trouve   A     réponse à cette question,

Elle n’est point folie     A       pas plus que de raison,

Est juste  parcours      L     parfois même poursuite

Pour autant n’est pas !     celle d’un lâche en fuite.

ÉTERNELLE

Il n’est rien de plus vain,  *   que de se connaître,

Ni de plus  courageux,  que de vouloir renaitre,

Attendant  d’autres vies : la sienne, bien lucide,

Quand le diable  nous offre  son contrat perfide

Celui d’être, riche, jeune, beau, en bonne santé,

Mais tout pourri de l’intérieur et pour l’éternité

J’aime mieux encore mendier voire vagabonder

Qu’être artificiel, flatté, vivre dans telle fausseté.

ET VAINE !   

L’homme  veut se dépasser, se surpasser,  défier

Pour ne pas se réifier et au contraire, se déifier :

Sa chute n’en est pas  moins cruelle, et, mortelle,

Étant seul à savoir  en quoi son âme, immortelle.

Immortel n’est contraire, complément  de mortel

Nous le sommes, tous, et, bien avant, que  naitre,

Il faudra une vie pour apprendre à bien connaître

Le sort, qui sera le nôtre, est bien au-delà  du réel.

Le réel n’a rien à voir  avec quête du Graal, éternel,

Elle fait, de nous, des êtres bien au-delà du charnel.

 .

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1108 4

.

Un vase,

Ou  bien  calice

La coupe du Graal ?

pour une vie éternelle !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Le Graal est multiforme, est généralement

Une coupe ou vase :

Sa quête s’avère longue, vaine lors il s’agit

 D’atteindre vie éternelle.

.

Symbolique

.

Le Graal est une coupe,

Objet mythique de la légende

Arthurienne, et objet de la quête

Des  chevaliers  de la  Table ronde.

.

À partir du XIII e siècle, il est assimilé

Au Saint Calice (utilisée par Jésus-Christ

Et ses douze disciples au cours de la Cène,

Et qui aurait recueilli le sang du Christ)

Et prend alors le nom de Saint Graal.

.

La nature du Graal et le thème

De la quête qui lui est

Associé ont donné lieu

À des interprétations

Type symboliques

Voire ésotériques

Ainsi qu’à multiples

Illustrations artistiques.

Source, modifiée, de Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1108 6

.

Le Graal est multiforme, est généralement

Une coupe ou vase :

Sa quête s’avère longue, vaine lors il s’agit

 D’atteindre vie éternelle.

.

Symbolique 

 .

« Je crois à la vie éternelle »

Est  un article  du  Credo  selon  la

Formule originelle du Symbole des apôtres,

Prolongeant l’article « je crois à la résurrection de la chair »,

Où le terme « chair » désigne l’homme   dans  sa   condition

Faiblesse, mortalité rachetée par le «Verbe fait chair».

.

Le credo selon le symbole de Nicée-Constantinople

Professe, lui,  la   « résurrection des morts ».

.

Signifiant que  l’état définitif  de l’homme

Ne sera pas seulement l’âme spirituelle

Séparée du corps mais que les corps

Mortels, appelés à reprendre vie,

Au dernier jour, incorruptibles.

fr.wikipedia.org/wiki/Vie-eternelle

 .

.

 Corrélations

Fond/forme 

 .

La coupe du graal a subi de nombreux avatars

Dont le plus connu serait celui de la Table ronde

D’objet mythique et introuvable, il serait devenu

Le symbole de l’élévation suprême dans le sport,

Et toute autre discipline, et  toute autre religion

Atteindre le Graal serait touché le doigt de dieu

Boire dans la coupe, avoir accès vie éternelle !

 .

.

Caché, perdu, enfermé en église

.

Scénario

.

Un secret jalousement gardé en un coffre inaccessible

ou le secret, perdu, des Chevaliers de La Table Ronde

ou le ciboire où l’on met les hosties, corps du Christ.

 .

Visuels et textuels  >>

1107 – Mais où se trouvent l’enfer et le paradis !

Visuels et textuels  >>

.

L’enfer et le paradis ne seraient pas  des  lieux

Ou, dans un Néant, ne seraient pas des temps,

Ou bien alors, en toute l’éternité  de  l’instant.

En notre vaste Monde,  on   prétend  moderne,

On leur a conservé une vie, virtuelle, existence.

.

Sauf  que, par analogie, c’est plaisir, souffrance

L’enfer peut être joyeux, le paradis…  être terne.

Selon certains penseurs ou selon autres  athées

Nul besoin  d’aller  chercher si loin ou de trop :

Les paradis, enfers, sont tous des communautés

Proches de nous, et enfermées dans un huis-clos.

.

Pour de nombreux chrétiens, l’enfer se situe  dessous,

Il serait isolé de tout, dans des flammes  perpétuelles,

Tandis que leur paradis serait au firmament de belles

Et des beaux anges sinon, des angelots, et  c’est tout.

.

Pour de nombreux athées, l’enfer  serait … les autres,

Enfer est  soit de leur manquer, soit de les supporter,

Le paradis sur Terre est rempli  de très bons apôtres,

Qui peuvent bien jouir, de trop, soit nous manipuler !

.

Pour de nombreux agnostiques, enfer est vide sidéral

Nous sommes faits de matière bien plus que d’esprit.

Il n’y aura d’autre paradis que celui  que l’on se bâtit,

L’enfer est dans tout absolu, l’enfer est dans le … mal.

.

Pour les scientifiques : l’Éternité englobe  le Paradis,

Dans le temps, avant le Big Bang, incluant  un  Dieu :

Mais ni l’un ni l’autre, n’ont jamais pu exister jadis :

Créations d’hommes  pour sortir d’enfer d’un tel jeu !

.

Pour les romantiques, l’enfer serait  au même endroit

Que le paradis, à savoir … dans les yeux  de son aimé,

Prolongé  par ses cuisses, par son ventre, et  ses bras,

Il se trouve autant, en haut,  qu’au centre,  qu’en bas.

.

Mais pour moi, le paradis et l’enfer, ne seraient situés,

Ni en des lieux, ni des temps, bien que,  par moments

J’ai l’impression d’y aller, voire d’en revenir vraiment.

L’enfer serait, d’y rester, et sans pouvoir y échapper !

.

Le paradis entre humains ne serait autre que lien ténu

Accordant bonheur instable à certain, autre, détestable

J’apprends à le reconnaître, car il n’est qu’un processus

Faisant de moi, un ange ou minable, un saint ou diable.

.

.

Extensions

 .

Mais où se trouvent l’enfer et le paradis !

Non là où ils seraient, là où l’homme les a mis :

Paradis d’évasion sens de la vie, paradis d’évasion

Touristique, et voire même, paradis d’évasion fiscale.

Chacun  a  sa vision  d’enfer  et paradis, à  commencer

Par les siens, ceux qu’il voit vivre lui-même sur Terre.

Nous n’avons aucune description ni de témoignage

De ceux qu’ils sont au-delà, si vrai ils existent !

.

Le paradis au ciel ressemble à celui sur terre des croyants :

Une assemble de fidèles méritants, clergé d’autorité et Dieu.

Ça manque un peu d’imagination et c’est  bien trop humain.

On cherche encore porte de l’enfer puisqu’elle est sous terre

Il y en a forcément une, sinon un gouffre comme trou noir

Et dans lequel, l’on disparaîtrait, et à jamais, sans espoir

Un jour de revoir ni le paradis ni la terre, purgatoire !

.

Pour les religieux, l’enfer est sous Terre

Pour les non croyants, il est sur Terre :

Pour moi, il serait en chacun de nous !

.

Pour les religieux, le paradis est au ciel

Pour les non croyants, il est sur Terre :

Pour moi, il serait en chacun de nous !

.

Et pour humoriste, paradis est en enfer,

Lors voulant dire, par-là, qu’il est en fer.

Dur, dur, quand même : c’est pas crédit,

Lors faut pas s’en faire d’un tel paradis !

.

.

1107 – Calligramme

.

   *                  P

L’enfer et le paradis ne     O       <>      A    seraient pas  des  lieux

Ou, dans un Néant, ne      Ù       <>      R   seraient pas des temps,

Ou bien alors, en toute      *        <>       A    l’éternité  de  l’instant.

En notre vaste Monde,      S       <>       D   on   prétend  moderne,

On leur a conservé une     E       <>       I    vie virtuelle, existence.

Sauf  que, par  analogie,   *        <>       S   c’est plaisir, souffrance

L’enfer peut être joyeux    T       <>       /    le paradis…  être terne.

Selon certains penseurs    R       <>      E    ou selon autres  athées

Nul besoin  d’aller  cher    O       <>      N   cher si loin ou de trop :

Les paradis, enfers, sont    U       <>      F     tous des communautés

Proches de nous, et enfer   V       <>      E   mées dans un huis-clos.

   E  …                 R

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

.

¤¤¤   Pour de nombreux chrétiens, l’enfer se situe  dessous,   ¤¤¤

¤¤¤    Il serait isolé de tout, dans des flammes  perpétuelles,   ¤¤¤

¤¤¤    Tandis que leur paradis serait au firmament de belles   ¤¤¤

¤¤¤    Et des beaux anges sinon, des angelots, et  c’est tout.     ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour de nombreux athées, l’enfer  serait … les autres,    ¤¤¤

¤¤¤    Enfer est  soit de leur manquer, soit de les supporter,    ¤¤¤

¤¤¤    Le paradis sur Terre est rempli  de très bons apôtres,    ¤¤¤

¤¤¤    Qui peuvent bien jouir, de trop, soit nous manipuler !   ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour de nombreux agnostiques, enfer est vide sidéral    ¤¤¤

¤¤¤    Nous sommes faits de matière bien plus que d’esprit.    ¤¤¤

¤¤¤     Il n’y aura d’autre paradis que celui  que l’on se bâtit,    ¤¤¤

¤¤¤     L’enfer est dans tout absolu, l’enfer est dans le … mal.   ¤¤¤

.

¤¤¤     Pour les scientifiques : l’Éternité englobe  le Paradis,    ¤¤¤

¤¤¤     Dans le temps, avant le Big Bang, incluant  un  Dieu :    ¤¤¤

¤¤¤    Mais ni l’un ni l’autre, n’ont jamais pu exister jadis :     ¤¤¤

¤¤¤    Créations d’hommes  pour sortir d’enfer d’un tel jeu !    ¤¤¤

.

¤¤¤    Pour les romantiques, l’enfer serait  au même endroit    ¤¤¤

¤¤¤    Que le paradis, à savoir … dans les yeux  de son aimé,     ¤¤¤

¤¤¤     Prolongé  par ses cuisses, par son ventre, et  ses bras,     ¤¤¤

¤¤¤     Il se trouve autant, en haut,  qu’au centre,  qu’en bas.     ¤¤¤

.

¤¤¤   Mais pour moi, le paradis et l’enfer, ne seraient situés,    ¤¤¤

¤¤¤   Ni en des lieux, ni des temps, bien que,  par moments     ¤¤¤

¤¤¤   J’ai l’impression d’y aller, voire d’en revenir vraiment.     ¤¤¤

¤¤¤    L’enfer serait, d’y rester, et sans pouvoir y échapper !      ¤¤¤

.

¤¤¤   Le paradis entre humains ne serait autre que lien ténu    ¤¤¤

¤¤¤   Accordant bonheur instable à certain, autre, détestable    ¤¤¤

¤¤¤   J’apprends à le reconnaître, car il n’est qu’un processus    ¤¤¤

¤¤¤   Faisant de moi, un ange ou minable, un saint ou diable.   ¤¤¤

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1107 4

.

Ça ressemble fort à  porte

 D’entrée avec beau fronton

Au-dessus comme un livre

Ou encore comme balance.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Le paradis et l’enfer disposeraient

Chacun, d’une porte d’entrée :

C’est là, pure métaphore pour un

Pur produit de notre imaginaire !

Symbolique

Porte  d’entrée, symbolise  le   passage

D’un lieu à un autre, rôle de protection

Pour être mieux en sécurité chez soi.

Entrer, sortir, franchir un obstacle,

Ou bien reculer devant l’obstacle ;

Dépassement de soi ; sublimation

Ou encore échec devant la porte ;

Passage extérieur  et l’intérieur :

Référence  à la clé ;  la solution à

Enfermement, lumière, obscurité

La vie, la mort  (jugement dernier

Et l’entrée  au royaume des morts ;

Ce qui est révélé et ce qui est caché ;

Bien / mal et limite à ne pas franchir ;

Ce qui est sacré  et ce  qui  sera  profané.

Source : euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1107 6

.

Le paradis et l’enfer disposeraient

Chacun, d’une porte d’entrée :

C’est là, pure métaphore pour un

Pur produit de notre imaginaire !

.

Symbolique

.

L’imaginaire peut être défini sommairement

Comme le fruit de l’imagination d’un individu,

D’un groupe ou d’une société, produisant

Des images, des représentations,

Des récits ou des mythes plus

Ou moins détachés de ce qu’il

Est d’usage de définir comme la réalité.

.

Il s’agit de la capacité d’un groupe

Ou d’un individu à se représenter

Le monde à l’aide d’un réseau

  D’associations        d’images

Qui lui donnent un sens.

Wikipédia : imaginaire

.


.

Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Porte du paradis,

Ou porte  de l’enfer

Pourquoi  une  porte,

Là où on n’en sait rien !

.

Une anthropomorphisation non pas

De l’homme, de l’Espace, sauf à penser,

Qu’il ne s’agit là que de pures métaphores

Il s’agit davantage d’ouverture que mobilier,

De passage d’un état à un autre, non d’un lieu

 .

.

Escalier montant, descendant ?

.

Scénario

.

Imagination débordante et un paradis en fonction de ses croyances,

enfer plus sobre, secret, redoutable, derrière une porte mystérieuse,

tandis que sur Terre, on cherche encore le gouffre qui l’abriterait !

 .

Visuels et textuels  >>

1106 – Le paradis naturel ou paradis artificiel !

Visuels et textuels  >>

.

Plutôt que d’attendre

Hypothétique paradis

Après la mort, au ciel,

Ne vaut-il pas  mieux,

Admirer sur  la Terre,

Beautés de la Nature,

Ou se créer  …  le sien

À  l’aide  de  drogues !

.

Mensonge, simulation

Me direz-vous, certes,

Mais, seul,  le résultat

Compte, en définitive

Et si je m’y complais,

Qui m’en  empêchera,

Ce n’est pas ma perte

Bien que gain factice.

.

Le Paradis, l’Éden comme on l’appelle

N’existe nulle part comme chacun sait :

Pure invention pour « on se sait jamais »

Mais, depuis  lors, aucune autre nouvelle,

Le paradis naturel est dénommé bonheur.

.

C’est plus un moment, qu’un temps … lieu,

Qui dépend de soi et ne doit rien aux cieux,

Si on ne l’atteint pas : on risque le malheur,

Malheur, ou ennui de la condition humaine.

.

Malheureux au jeu, heureux en amour se dit.

Est-ce ainsi qu’on va gagner un autre paradis,

Qui peut s’avérer tout aussi artificiel, non réel,

Quand la belle se tire, et, ses enfants, avec elle.

.

Ah je vais me donner tout entier, à ma carrière

Au moins au bout j’entrerai au paradis, très fier

De moi, ma réussite d’aujourd’hui, celle de hier,

Car une fois viré, dehors, pour moi, c’est l’enfer.

.

L’enfer je ne peux le supporter sauf avec drogue,

Qui me ferait tout oublier, tout supporter : apaisé

Mes problèmes couleront sur moi comme douché

Par une force invisible qui en dessine… l’épilogue.

.

Ces substances, drogues nous rendent dépendants

Bien plus violents avec un pouvoir déshumanisant,

Elles nous transforment en…  zombies décérébrés :

Je n’ai rien dit lors nous sommes majeurs, vaccinés.

.

Jeunes se droguent pour rêver d’un monde, ailleurs,

Adultes se droguent pour fuir ce monde de frayeurs,

Les vieux ne se droguent plus ou bien ils sont morts,

Ou bien ils ont, de leur vie gâchée, bien des remords.

.

Seul organe produisant propre drogue, est le cerveau,

Oui mais, comment stimuler sa chimie, de l’intérieur :

Cela demande trop de temps, d’effort : risqué de trop,

Tandis qu’intraveineuse, vous lévite : un pur bonheur.

.

Réversible est le mot clé, de la drogue, douce ou dure,

Répressible est le mot de la société que la police épure,

Compréhensible est le mot des humanistes sans épures.

.

.

Extensions

 .

L’homme a-t-il, vraiment,

Un vrai moyen de choisir entre

Un trop lent paradis, bien naturel,

À se construire, et un paradis artificiel

Bien plus rapide pour la réalité apportant

La capacité de fuir de sa vie, devenue pour lui

Insupportable, et peut-être même innommable.

Les notions de paradis, comme lieu, d’éternité

Comme temps et de bonheur, comme état,

Se conjuguent ainsi et jusqu’à l’infini.

.

Paradis par ci, paradis par-là,

Le paradis est toujours ailleurs

Qu’autour de soi ou bien en soi,

Sauf évidemment, dans l’alcool,

Voire en une drogue  plus forte,

Et là, c’est tout de suite et vite :

Nul besoin de chercher un coin

Aux antipodes et plus au soleil.

L’artificiel remplace le naturel.

.

Il y a les petits paradis et enfers

Au sens propre et au sens figuré.

Ma maison et mon ile, en seront

Pour moi petit paradis c’est vrai

Un petit enfer  peut être  famille

Qui se déchirera et qui se haïra !

.

Les grands paradis sont fiscaux,

En iles Atlantiques et Pacifiques,

Où l’argent des riches coule à flot,

Sans la moindre taxation impôts.

Les grands enfers sont les guerres,

Qui mettent leurs pays en misère !

.

.

1106 – Calligramme

 .

P A R A D I S      

Plutôt que d’attendre

Hypothétique paradis

Après la mort, au ciel,

Ne vaut-il pas  mieux,

Admirer sur  la Terre,

Beautés de la Nature,

Ou se créer  …  le sien

À  l’aide  de  drogues !

Mensonge, simulation

Me direz-vous, certes,

Mais, seul,  le résultat

Compte, en définitive

Et si je m’y complais,

Qui m’en  empêchera,

Ce n’est pas ma perte

Bien que gain factice.

N  A  T  U  R  E L

Le Paradis, l’Éden comme on l’appelle

N’existe nulle part comme chacun sait :

Pure invention pour « on se sait jamais »

Mais, depuis  lors, aucune autre nouvelle,

Le paradis naturel est dénommé bonheur.

C’est plus un moment, qu’un temps … lieu,

Qui dépend de soi et ne doit rien aux cieux,

Si on ne l’atteint pas : on risque le malheur,

Malheur, ou ennui de la condition humaine.

E T   P A R A D I S     

Malheureux au jeu, heureux en amour se dit.

Est-ce ainsi qu’on va gagner un autre paradis,

Qui peut s’avérer tout aussi artificiel, non réel,

Quand la belle se tire, et, ses enfants, avec elle.

Ah je vais me donner tout entier, à ma carrière

Au moins au bout j’entrerai au paradis, très fier

De moi, ma réussite d’aujourd’hui, celle de hier,

Car une fois viré, dehors, pour moi, c’est l’enfer.

L’enfer je ne peux le supporter sauf avec drogue,

Qui me ferait tout oublier, tout supporter : apaisé

Mes problèmes couleront sur moi comme douché

Par une force invisible qui en dessine… l’épilogue.

A  R  T  I F  I  C I  E L !  

Ces substances, drogues nous rendent dépendants

Bien plus violents avec un pouvoir déshumanisant,

Elles nous transforment en…  zombies décérébrés :

Je n’ai rien dit lors nous sommes majeurs, vaccinés.

Jeunes se droguent pour rêver d’un monde, ailleurs,

Adultes se droguent pour fuir ce monde de frayeurs,

Les vieux ne se droguent plus ou bien ils sont morts,

Ou bien ils ont, de leur vie gâchée, bien des remords.

Seul organe produisant propre drogue, est le cerveau,

Oui mais, comment stimuler sa chimie, de l’intérieur :

Cela demande trop de temps, d’effort : risqué de trop,

Tandis qu’intraveineuse, vous lévite : un pur bonheur.

Réversible est le mot clé, de la drogue, douce ou dure,

Répressible est le mot de la société que la police épure,

Compréhensible est le mot des humanistes sans épures.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Une lampe de poche

Piédestal  avec statue,

Ou balayette commune

pour faire grand ménage.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

.

Évocation 

.

1106 4

.

La balayette, c’est pour balayer tous

Les soucis et angoisses :

Tant un paradis ne saurait souffrir de

Vous mettre dans la poisse !

.

Symbolique 

.

La balayette est

Un petit balai à main,

Utilisé   pour  rassembler

La poussière  vers  une pelle,

Nettoyer endroit peu accessible.

.

Les balais  sont  autant  un  outil

Qu’un symbole social. En effet,

Les tâches  ménagères sont

Souvent déléguées aux

Classes populaires.

.

Son utilisation peut

Avoir une connotation

Négative pour certains ;

Les balais sont le symbole

De la « femme  au foyer »,

Un stéréotype marquant

Les siècles précédents.

Modifié, source : Wikipédia

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1106

.

La balayette, c’est pour balayer tous

Les soucis et angoisses :

Tant un paradis ne saurait souffrir de

Vous enfermer dans le ménage !

.

Symbolique

.

En ménage, on nettoie

Son psychisme,   on remet

Toutes  les choses à leur place.

C’est un écho à la règle feng shui

Qui précise que tout objet cassé

Doit être jeté. Le ménage est

D’ailleurs  un rituel dans

Toutes les religions et,

Dans toutes les cultures,

Un symbole de purification :

D’avant pâques chez les orthodoxes,

Printemps les chrétiens, pessah, les juifs,

L’aïd chez les musulmans, mais aussi au Japon,

En Chine pour le nouvel an. On atteint là, une réalité

Universelle, qui n’a rien à voir avec statistiques, sociologie.

Homme ou femme, nous avons besoin d’ordre et de propreté.

psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Epanouissement

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Qui veut envoyer quelqu’un … en enfer

Commence par balayer devant sa porte

Afin de faire un grand ménage chez lui.

Voilà une expression qui résumera bien

Côté naturel, artificiel de tout paradis

Que l’on invente, et protège, entre soi

Y compris  dans  son petit chez soi.

Mais je dis cela, je n’aurai rien dit

Paradis des uns… enfer d’autres.

 .

.

Paradis accessible sur Terre

.

Scénario

.

Ici, sous les tropiques, paradis exotique, naturel.

Là, ça ressemble plutôt à un paradis artificiel.

Là, par numériquement, un paradis virtuel.

 .

Visuels et textuels  >>

1105 – Le paradis, l’enfer, demeurent mystères !

Visuels et textuels  >>

.

Le paradis, en haut

L’enfer, en bas :

C’est … faux :

Du simple fait

Que tous les deux

On les aurait inventés.

.

Paradis ne manque pas d’air,

Ses ressortissants sont aux anges,

D’un Dieu, ils chantent les louanges,

Ses saints font des miracles : mystères.

Enfer, à l’inverse, ne manque pas de feu,

Ses ressortissants brûlent… une éternité,

Un diable avec trident vient les torturer

Et des montres hideux, les terroriser.

.

L’un, l’autre n’existent pas,

Pure invention cela va de soi,

L’enfer c’est les autres, c’est soi,

On y entre, et on n’en revient pas !

On n’en revient pas qu’il en soit ainsi,

Que ce ne soit pas tous les jours paradis,

Paradis, enfer sont-ils des lieux, des temps,

Sont-ils longs, courts, sont-ils petits, grands !

.

Tenez … prenez  l’exemple de  l’enfer-me-ment,

Ce n’est pas que privations de liberté… de vérités,

L’enfer devient hallucinant, quand tout devient faux.

Lucifer doit adorer qu’on lui parle de paradis…fiscaux.

Pourquoi s’enferrer dans ses propres mensonges et pièges,

D’un paradis que l’on a mérité allant jusqu’à en faire le siège,

L’enfer de l’un peut-être le paradis de l’autre et réciproquement

En amour : prison dorée est un enfer dans un paradis charmant !

.

Mon paradis, à moi, est sur terre : ce sont les gens, que je côtoie :

Ils l’ont construit autour de moi et même, parfois bien malgré moi,

Mais, surtout, ils le partagent dans leurs esprits en pensant à tous :

Que serait un paradis si c’était un enfer : une vraie histoire de fous.

Les religions s’en sont emparées, pour nous culpabiliser, faire peur

Jusqu’à nous affirmer, que l’enfer est abîme, que paradis est cime.

.

Chacun sait que  le chapeau de la cime est tombé dans … l’abîme,

Restez couverts, en enfer où il gèle, vous pourriez attraper froid,

Et dévêtus au paradis où il pèle, votre peau morte serait intime

En douceurs veloutées, touchers, caresses, en frissons de soie.

Descente aux enfers, montée en paradis : de belles allégories

Pour des lieux qui n’existent pas où il n’y a, ni haut ni bas :

La droite de Dieu n’est que vœu pieux pour Lucifer déchu

Sur terre, son purgatoire est le nôtre, il nous est dévolu.

.

J’aurai approché  du paradis,  deux fois dans ma vie :

La première fois, en naissant, l’autre en mourant :

La même lumière, la même mère, le même air,

On ne voit pas clair…se croit au firmament.

Ventre de mère a été mon premier paradis

Celui de la terre deviendrait mon enfer

Ou est-ce réplique de même matrice

De glèbe dont corps se pétrisse.

.

.

Extensions

.

Un paradis peut être  un enfer, pour les uns,

Et réciproquement

«L’enfer, c’est les autres», dira Jean Paul Sartre.

Ça en ferait des milliards

Et pourquoi n’y aurait-il pas des intermédiaires,

Pour intercéder, plaider sa cause

À moins d’acheter sa place avec somme d’argent.

.

À défaut  de découvrir, ou  d’expliquer,

Sinon comprendre la vie après la mort,

On en a fait tout un mystère, comblant

Vide sidéral de notre sens d’existence !

.

Faut avouer que c’est bien vu et moral :

Le bien, tout en haut, et, en bas, le mal !

Et avec les deux incarnations virtualisées

Que son Dieu et son ange, déchu : démon !

.

.

1105  – Calligramme

 .

PARADIS

Le paradis, en haut

L’enfer, en bas :

C’est … faux :

Du simple fait

Que tous les deux

On les aurait inventés.

ET ENFER

Paradis ne manque pas d’air,

Ses ressortissants sont aux anges,

D’un Dieu, ils chantent les louanges,

Ses saints font des miracles : mystères.

Enfer, à l’inverse, ne manque pas de feu,

Ses ressortissants brûlent… une éternité,

Un diable avec trident vient les torturer

Et des montres hideux, les terroriser.

DEMEURENT

L’un, l’autre n’existent pas,

Pure invention cela va de soi,

L’enfer c’est les autres, c’est soi,

On y entre, et on n’en revient pas !

On n’en revient pas qu’il en soit ainsi,

Que ce ne soit pas tous les jours paradis,

Paradis, enfer sont-ils des lieux, des temps,

Sont-ils longs, courts, sont-ils petits, grands !

UN MYSTÈRE 

Tenez … prenez  l’exemple de  l’enfer-me-ment,

Ce n’est pas que privations de liberté… de vérités,

L’enfer devient hallucinant, quand tout devient faux.

Lucifer doit adorer qu’on lui parle de paradis…fiscaux.

Pourquoi s’enferrer dans ses propres mensonges et pièges,

D’un paradis que l’on a mérité allant jusqu’à en faire le siège,

L’enfer de l’un peut-être le paradis de l’autre et réciproquement

En amour : prison dorée est un enfer dans un paradis charmant !

Mon paradis, à moi, est sur terre : ce sont les gens, que je côtoie :

Ils l’ont construit autour de moi et même, parfois bien malgré moi,

Mais, surtout, ils le partagent dans leurs esprits en pensant à tous :

Que serait un paradis si c’était un enfer : une vraie histoire de fous.

Les religions s’en sont emparées, pour nous culpabiliser, faire peur

Jusqu’à nous affirmer, que l’enfer est abîme, que paradis est cime.

Chacun sait que  le chapeau de la cime est tombé dans … l’abîme,

Restez couverts, en enfer où il gèle, vous pourriez attraper froid,

Et dévêtus au paradis où il pèle, votre peau morte serait intime

En douceurs veloutées, touchers, caresses, en frissons de soie.

Descente aux enfers, montée en paradis : de belles allégories

Pour des lieux qui n’existent pas où il n’y a, ni haut ni bas :

La droite de Dieu n’est que vœu pieux pour Lucifer déchu

Sur terre, son purgatoire est le nôtre, il nous est dévolu.

J’aurai approché  du paradis,  deux fois dans ma vie :

La première fois, en naissant, l’autre en mourant :

La même lumière, la même mère, le même air,

On ne voit pas clair…se croit au firmament.

Ventre de mère a été mon premier paradis

Celui de la terre deviendrait mon enfer

Ou est-ce réplique de même matrice

De glèbe dont corps se pétrisse.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1105 4

.

Un beau flacon de parfum

Une bouteille avec bouchon

Forme d’insecte, du genre

Coléoptère, coccinelle.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Le paradis et l’enfer sont deux inventions

N’ayant rien à voir

Avec un insecte  coléoptère ou coccinelle

Mystère en commun !

.

Symbolique 

 .

Beaucoup d’espèces

Ou des groupes d’espèces

Ont des noms dits vernaculaires

Les scarabées, les coccinelles, lucanes,

Hannetons, charançons, sont coléoptères.

.

«Véritable panacée, le lucane-cerf-volant était

Autrefois utilisé pour soigner les œdèmes,

Soigner les rhumatismes, la goutte

Et les problèmes de rein aussi.

.

Une simple goutte d’huile,

Extraite du lucane, placée

Dans l’oreille devait

Même guérir de surdité.

wikipedia.org/wiki/Coleoptera

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1105 6

.

Le paradis et l’enfer sont deux inventions

N’ayant rien à voir

Avec un insecte  coléoptère ou coccinelle

Mystère en commun !

.

Symbolique 

.

Le symbolisme des coccinelles

Plus connu est le fait qu’elles sont

De  formidables   porte-bonheur !

.

Si une coccinelle se pose

Sur votre doigt, faites-la s’envoler

En pensant, très fort, à l’un de vos

Souhaits le plus cher.

.

Si elle s’envole, il y aura de grande

Chance  qu’il se réaliserait dans les

Semaines suivantes.

.

Soyez attentif et  écoutez bien votre

Instinct et mettez alors tous vos sens

En éveil afin de guetter

.

Tous les signes qui vous confirmeront

Ou non que votre vœu va s’exaucer.

wemystic.fr/guides-spirituels/

symbolisme-coccinelles

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Ni en paradis ni en enfer

On ne trouva  aucune trace

De coccinelle ni de coléoptère,

Si coccinelle est : bête à bon Dieu

Ce n’est que légende, moyenâgeuse,

Rapportée comme grâce de supplicié !

.

Coléoptère s’avère être symbole religieux.

En Égypte ancienne mais nullement en enfer

Mais peut-être, en serez un, dans un des lieux

Tant ce qui l’y a,  s’y passe, demeurent mystère.

 .

.

Paradis en haut, Enfer en bas

.

Scénario

.

Un paradis, tel qu’imaginé imagé par la peinture naïve.

Une porte de l’enfer  serait  pleine de doutes, d’angoisses.

Comment monter au paradis, ne pas descendre en enfer ?

 .

Visuels et textuels  >>

1104 – Mystères que l’amour, l’art, la religion !

Visuels et textuels  >>

.

Amour, art, religion : triptyque,

Trois mystiques ou passions selon

L’importance qu’on leur accordera,

Avec sa foi, ou raison : mais l’amour

A besoin de croyances : il est naturel.

L’art, de vrai réalisme : il est culturel.

La religion, ni de preuve  ni de raison,

Elle est avant tout, surtout spirituelle.

 .

Trois choses, dans ma vie, demeurent mystérieuses :

Le sexe, l’art et la religion,

Bien que je les découvre, entreprenne, pratique : étrange,

Je ne vois pas d’explication

Aux choses irrationnelles en mon désir mais bien humaines,

Comme toutes mes passions.

 .

L’amour d’abord : attrait physiologique et besoin hygiénique,

Prenant, produisant énergie

Capable de déclencher en moi, pour l’autre sexe, pour toujours,

L’amour  de toute une … vie,

Bien plus : concevoir l’enfant de ma confusion et de mes fusions,

Pour  m’assurer  ma… survie.

 .

L’art ensuite, un plaisir symbolique, un besoin de cristallisation,

De mes rêves d’interprétation,

Capable de sublimer en moi, pour d’autres regards, un talent fou

Pour exprimer ma jubilation

De concevoir, partager, d’inexprimables, admirables attractions

Pour  mes  contemplations.

 .

La religion enfin : désir lointain, qui m’a fait, chrétien, croyant,

Pour enterrer mes morts,

Pour donner comme semblant de sens à mon existence, aimant

Mon  créateur  de  sorts

D’avoir conçu un au-delà de vie, bien meilleur, bien différent :

Qui  a  raison  ou  tort !

 .

Face à tout cela, la Science avance hypothèses, supputations

Par bribes et preuves :

Sommes différents d’autres animaux vivants en évolution,

Nous faisons peau neuve

À chaque civilisation démontrant le contraire en action,

Guerres, misères, veuves,

 .

À ne savoir qu’en faire de notre bilan extraordinaire,

Traces de nous sur Terre,

N’avons rien à faire qu’enfants pour nous refaire,

Qu’arts pour nous parfaire.

.

Des religions, comment s’en défaire !

C’est sûr que cela me parait énorme

C’est pourtant ce qui me forme,

C’est ce qui me transforme,

Qui fait de moi, homme.

.

.

Extensions

 .

L’amour, l’art et la religion

Font partie des comportements

Spirituels voire rituels qui distinguent

L’homme des animaux, même supérieurs.

Ils auraient comme points communs,

De développer, s’appuyer sur,

Un tas de croyances qui

Nous subliment.

.

L’amour n’existe pas par lui-même,

Il doit être incarné, pour se dévoiler.

L’art est une interprétation sublimée

De ce qui nous entoure,  de la réalité !

La religion est  une certaine croyance,

Pas pour autant une croyance certaine

Le tout est puzzle d’Éclats d’existences.

.

Trois attachements pour trois sublimations,

Qu’amour, art et religion, qu’on peut cumuler

Mais que l’on pourra, parfois, même confondre

Quand on dit que l’amour est toute ma vie, etc…

Lors en fait tout cela tient d’une part de mystère.

.

Quoiqu’il en fût, et quoiqu’il en soit, l’homme

Ne peut se passer des trois : en témoignera

L’art pariétal des cavernes  et des grottes ;

La religion comme croyance en l’au-delà ;

L’amour comme soubassement du couple.

.

.

1104 – Calligramme

 .

MYSTÈRES

Amour, art, religion : triptyque,

Trois mystiques ou passions selon

L’importance qu’on leur accordera,

Avec sa foi, ou raison : mais l’amour

A besoin de croyances : il est naturel.

L’art, de vrai réalisme : il est culturel.

L’AMOUR,

La religion, ni de preuve ni de raison,

Elle est spirituelle.

Trois choses, dans ma vie, demeurent mystérieuses :

Le sexe, l’art et la religion,

Bien que je les découvre, entreprenne, pratique : étrange,

Je ne vois pas d’explication

Aux choses irrationnelles en mon désir mais bien humaines,

Comme toutes mes passions.

L’amour d’abord : attrait physiologique et besoin hygiénique,

Prenant, produisant énergie

Capable de déclencher en moi, pour l’autre sexe, pour toujours,

L’amour  de toute une … vie,

Bien plus : concevoir l’enfant de ma confusion et de mes fusions,

Pour  m’assurer  ma… survie.

L’art ensuite, un plaisir symbolique, un besoin de cristallisation,

De mes rêves d’interprétation,

Capable de sublimer en moi, pour d’autres regards, un talent fou

Pour exprimer ma jubilation

De concevoir, partager, d’inexprimables, admirables attractions

Pour  mes  contemplations.

La religion enfin : désir lointain, qui m’a fait, chrétien, croyant,

Pour enterrer mes morts,

Pour donner comme semblant de sens à mon existence, aimant

Mon  créateur  de  sorts

D’avoir conçu un au-delà de vie, bien meilleur, bien différent :

Qui  a  raison  ou  tort !

Face à tout cela, la Science avance hypothèses, supputations

Par bribes et preuves :

Sommes différents d’autres animaux vivants en évolution,

Nous faisons peau neuve

À chaque civilisation démontrant le contraire en action,

Guerres, misères, veuves,

À ne savoir qu’en faire de notre bilan extraordinaire,

Traces de nous sur Terre,

N’avons rien à faire qu’enfants pour nous refaire,

Qu’arts pour nous parfaire.

L’ART

Des religions, comment s’en défaire !

C’est sûr que cela me parait énorme

C’est pourtant ce qui me forme,

C’est ce qui me transforme,

Qui fait de moi, homme.

 LA RELIGION

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1104 4

.

Un flacon de parfum stylisé

Insecte du genre coccinelle,

Même voire un coléoptère

tant telle forme : mystère.

 .

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

 .

Coccinelle ou autre coléoptères,

 scarabée, hanneton, charançon,

de loin, on pourra les confondre

si fait que forme diffère du fond.

.

Amour, art et religion n’ont rien à voir

Avec ce coléoptère :

Mais certains insectes demeureront

Pour nous, un mystère.

.

Symbolique

 .

Beaucoup d’espèces

Ou des groupes d’espèces

Ont des noms dits vernaculaires

Les scarabées, les coccinelles, lucanes,

Hannetons, charançons, sont coléoptères.

.

«Véritable panacée, le lucane-cerf-volant était

Autrefois utilisé pour soigner les œdèmes,

Soigner les rhumatismes, la goutte

Et les problèmes de rein aussi.

.

Une simple goutte d’huile,

Extraite du lucane, placée

Creux de l’oreille, devait

Même guérir de surdité.

wikipedia.org/wiki/Coleoptera

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1104 6

.

Amour, art et religion n’ont rien à voir

Avec ce coléoptère :

Mais certains insectes demeureront

Pour nous, un mystère.

.

Symbolique 

.

La théologie catholique

Distingue les mystères naturels

Dont nous pouvons connaître l’existence

Et le contenu par analogie ; les vérités

Qui ne sont révélées que par Dieu,

Dans l’Histoire du salut ;

Les vérités   inaccessibles.

.

La  Trinité,   l’Incarnation,

La Rédemption : mystères

Selon les dogmes catholiques.

La mystique ou le mysticisme, 

Est ce qui a trait    aux mystères,

Des choses cachées voire  secrètes.

wikipedia.org/wiki/Mystère_(christianisme)

 

.

Corrélations

 

Fond/forme

.

 .

.

Un puzzle sans aucune figure

.

Scénario 

.

Mystère que l’amour entre deux êtres quels qu’ils soient.

Mystère que l’art qui interprète et sublime nos passions.

Mystère que religion qui nous fait à croire en l’invisible.

 .

Visuels et textuels  >>

1103 – Quand l’homme se prend pour un Dieu !

Visuels et textuels  >>

.

Ne pas savoir Dieu

Ni même s’il  y en a un

Homme  s’en   serait  fait

Nombreuses représentations

Auxquelles,  il   voudrait   bien

Ressembler et s’en rapprocher.

.

Les mythes grecs, des divinités,

Sont rendus bien trop humains

L’homme ne peut s’en  passer

Il ne cesse de les réinventer,

.

Dieu de ceci, dieu

De cela ou de tout,

Avoir besoin Dieu,

 Aurait toujours été.

.

De par la taille de son cerveau et de par ce qu’il peut contenir,

L’homme peut vivre le présent regardant son passé, son avenir,

Anticiper sa mort, qui met fin à son destin d’humain individuel :

Autant sa naissance lui parait belle ; sa mort, lui devient cruelle !

.

Toute une vie vouée à se parfaire, pour finir six pieds sous terre,

L’homme connaît les autres, le monde, mais lui-même, mystère

Toutes ses relations sont, à la fois, construites, prédéterminées,

Attractions, répulsions, indifférences, compassions, codifiées :

.

Se hisser, au plus haut point de son humanité

Pour  de son vivant, toucher le  doigt  de  Dieu,

Quelques  savants artistes politiciens  religieux

Ont traqué en vain cet invisible doigt  et déifié.

.

La tentation suprême n’est-elle pas elle-même

De s’y substituer jusqu’à mourir en bienfaiteur

De notre Humanité, qui n’est autre que vacuité.

.

La perfection n’étant pas de ce monde étant leurre

Nous entraine, voire nous enchaine, pour nos peines

Afin de parvenir, dans une transcendante spiritualité.

Homme est animal intelligent, ou, animal dominant :

Cela fait-il une grande différence avec un fossé béant,

.

Sommes-nous des demi-dieux, des animaux parlants

Appelés à se perpétuer, jusqu’à disparition, en néant.

Quand, un conjoint,  un parent,  un enfant, meurent,

Ces derniers emportent avec    eux une partie de soi,

.

Tant et si bien qu’à la fin,  on ne sait, à cette heure,

Ce qu’il reste de soi, on  est pour l’autre, émoi.

Supposons Dieu existe il est plutôt entre nous,

Qu’en chacun de nous, ou au-dessus de nous.

Il est lien, non un bien il est esprit, non objet,

Nous l’avons créé pour vivre comme en sujet.

.

Ce qui fait qu’histoire  boucle sur elle-même

Sommes juge et partie  ce, nous voulons être

Plus que comprendre  on s’efforce paraître,

Etre dieu et non bête  idée qu’on a en tête.

.

Et ni dieux ni diables  simple ange déchus

D’olympe ou paradis  endroit céleste déçu

Condition d animalité qu’on ne sait défaire

L’homme est un père  l’animal, son frère !

.

.

Extensions

 .

N’est pas Dieu qui veut et il n’y aurait qu’un seul !

Mais l’homme serait-il son représentant sur Terre !

La loi darwinienne de l’évolution conteste ce credo,

Lequel ferait foi devant l’Humanité, toute entière,

À moins que la Genèse, dans la Bible, c’est Dieu.

De représenter Dieu sous  une forme humaine

Est une aberration,  anthropomorphisme.

Dieu ne se prend pas pour un homme

Et réciproquement, ça va de foi !

.

Fils de dieu, un demi-dieu, un Dieu :

Que fils de rien, c’est toujours mieux !

.

Dieu est mort, l’homme est surhomme,

Nous proclame le philosophe Nietzsche :

Idée de la supériorité qu’un homme idéal

Aurait acquise sur reste du genre humain.

Ce qui nous refait penser à la quête de l’élu,

Rassurez-vous, ce ne serait pas moi, ni vous.

.

Je ne pratique pas grand mépris du bonheur,

 Au sens des stoïciens,

Pas davantage que  de la raison, en conscience

Morale vue par Kant,

De la vertu ou disposition au bien, qui ne serait

Qu’obéissance morale !

.

.

1103 – Calligramme

.

Ne pas savoir Dieu

Ni même    s’il    y en a un

Homme  ô  s’en   ô  serait fait

Nombreuses   //   représentations

Auxquelles,    //   il   voudrait  bien

Ressembler // et s’en rapprocher.

Les  mythes  grecs,   des divinités,

Sont passés ==== trop humains

L’homme ne peut  s’en  passer

Il ne cesse de les réinventer,

.

Dieu de ceci, dieu

De cela ou de tout,

Avoir besoin Dieu,

 Aurait toujours été.

QUAND  L’HOMME  

De par la taille de son cerveau et de par ce qu’il peut contenir,

L’homme peut vivre le présent regardant son passé, son avenir,

Anticiper sa mort, qui met fin à son destin d’humain individuel :

Autant sa naissance lui parait belle ; sa mort, lui devient cruelle !

Toute une vie vouée à se parfaire, pour finir six pieds sous terre,

L’homme connaît les autres, le monde, mais lui-même, mystère

Toutes ses relations sont, à la fois, construites, prédéterminées,

Attractions, répulsions, indifférences, compassions, codifiées :

Se hisser,              au plus haut point de son              humanité

Pour de                son vivant, toucher doigt                 de Dieu,

Quelques           savants artistes politiciens                religieux

Ont traqué         en vain cet invisible doigt                et déifié.

SE PREND  POUR

La tentation suprême n’est-elle pas elle-même

De s’y substituer jusqu’à mourir en bienfaiteur

De notre Humanité, qui n’est autre que vacuité.

La perfection n’étant pas de ce monde étant leurre

Nous entraine, voire nous enchaine, pour nos peines

Afin de parvenir, dans une transcendante spiritualité.

Homme est animal intelligent, ou, animal dominant :

Cela fait-il une grande différence avec un fossé béant,

Sommes-nous des demi-dieux, des animaux parlants

Appelés à se perpétuer, jusqu’à disparition, en néant.

Quand, un conjoint,  un parent,  un enfant, meurent,

Ces derniers emportent avec    eux une partie de soi,

UN DIEU !  

Tant et si bien qu’à la fin,   on ne sait, à cette heure,

Ce qu’il reste de soi, on          est pour l’autre, émoi.

Supposons Dieu existe        il est plutôt entre nous,

Qu’en chacun de nous,           ou au-dessus de nous.

Il est lien, non un bien         il est esprit, non objet,

Nous l’avons créé pour         vivre comme en sujet.

Ce qui fait qu’histoire           boucle sur elle-même

Sommes juge et partie          ce, nous voulons être

Plus que comprendre            on s’efforce paraître,

Etre dieu et non bête             idée qu’on a en tête.

Et ni dieux ni diables             simple ange déchus

D’olympe ou paradis             endroit céleste déçu

Condition d animalité          qu’on ne sait défaire

L’homme est un père             l’animal, son frère !

 .

.

Forme

 Réduction

.

.

Évocation 

.1103 4

.

Une silhouette d’homme

D’allure très  imposante

Ressemblant  à un dieu

Mais n’en étant pas un !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Autant  de postures pour un

Surhomme proche d’un dieu.

Dieu du stade,    roi du muscle,

Chef d’œuvre de la  Nature !

.

Symbolique 

.

La notion de Surhomme

Est à la fois la plus connue

De  Nietzsche,  mais,  aussi,

Et surtout la plus complexe.

Elle traverse son œuvre mais

Apparaît de manière éclatante dans

Ainsi Parlait Zarathoustra. Zarathoustra

Est présenté comme l’annonciateur

D’un retournement complet,

Prophète d’une nouvelle culture,

Faite de création et de spontanéité,

D’art, dont le jeu, l’activité enfantine

Ou la danse, sont la meilleure image,

Et dont Dionysos, le dieu de l’ivresse

Et de la danse, et non plus Socrate,

Serait le symbole.

la-philosophie.com/nietzsche-surhomme

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Autant  de postures pour un

Surhomme proche d’un dieu.

Dieu du stade,  roi du muscle,

Chef d’œuvre de la  Nature !

.

Symbolique

.

Dieu

Désigne un être

Ou une force suprême

Structurant    l’Univers ;

Il s’agit selon les croyances

Soit d’une personne physique,

D’un   concept  philosophique

Ou  d’un   dogme  religieux.

La notion  de  Dieu  revêt

Un considérable impact

Culturel, notamment

Dans la musique,

La littérature,

Le cinéma,

La peinture,

La représentation

De Dieu  et  la façon

De le nommer, varient

En fonction des époques,

Et systèmes de croyances.

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

C’est nous, les humains qui définissons Dieu

Il ne s’est jamais défini lui-même et y compris

Dans la bible. Yahvé est celui qui suis, qui est,

Nous voilà bien avancé avec cela, avec si peu

Néanmoins on ne peut s’empêcher, s’interdire

De se le représenter par conception, l’image.

.

Religieux en ont une, philosophes une autre

Artistes, une troisième ; astronomes, etc…

Par ailleurs, le fait que  nous n’ayons pas

La preuve scientifique existence de Dieu

N’est pas la preuve de son inexistence.

 .

.

Se prendre pour Dieu 

.

Scénario

.

Dieu, tel qu’il est représenté par l’Église catholique

et par Michel-Ange, pointant son doigt sur l’homme,

pour lui procurer de l’énergie, sous toutes ses formes !

.

Visuels et textuels  >>

1102 – Religion catholique nous rend coupable !

Visuels et textuels >>

.

Dans la religion catholique

 Eve serait coupable,

De s’être laissée

Tenter Diable

Et depuis

Chassé

Du

Paradis

Avec   Adam,

Bien qu’ +   innocent,

Depuis il   +    le cherche

Et, depuis    +       est mortel

Etant perdu  +++++    sur la Terre.

.

Et voici qu’il prétendrait que la femme serait

Coupable, de n’être pas devenue, demeurée,

Egale en responsabilité comme  l’homme

Qu’elle ne pouvait,  qu’elle ne pourrait

S’en prendre   rien   qu’à elle-même.

Religion catholique rend coupables

De ne pas devenir l’homme parfait,

Et la faute à qui : à Adam et  à Eve,

Chassés du paradis en éternelle vie.

Je n’y étais pas et je n’y souscris pas.

Faudrait encore qualifier leur faux pas

D’avoir choisi le seul arbre de la science,

Celui du bien et du mal…en connaissance !

Depuis, je suis responsable, même coupable,

Et je n’en serai acquitté qu’en royaume de Sion

Que je ne connais que de nom, sans descriptions,

Comment croire que j’en suis moi-même, capable !

Six milliards de misérables et autant …  d’incapables

Qui ont vécu et avant nous sans rien résoudre du tout,

Pourquoi les mille suivants  en seraient-ils moins fous,

Pour nous fabriquer  une éternité, humaine, agréable !

Faut-il voir la Terre comme seul paradis, seul conquis,

Fonction de quoi : non coupables, mais responsables,

Laissés seuls à nous-mêmes en serons-nous grandis

Si toute croyance repose sur cette Terre de sable !

Angoisse de disparaître, à jamais  insoutenable,

La religion est une réponse en forme d’espoir,

De petite lumière qui nous éclaire en le noir

Univers ne délivrant pas de clef, vérifiable.

Religion n’est  ni coupable, ni détestable :

Elle ne nous fait pas sourd, aveugle en tout,

Chacun a foi en quelque chose … d’impalpable,

Sinon en soi, en l’humanité fait de sages et de fous.

.

.

Extensions

 .

La

Religion

Catholique nous

Rend coupable, c’est nous

Et non Dieu,  qui l’avons décidé

Alors même que les lois de l’évolution

Nous démontrent que nous sommes issus

De la lignée des animaux appelés supérieurs.

Vérité révélée, lot de consolation que ce paradis

Auquel nous aspirons bien après notre disparition :

Qu’importe notre futur, l’essentiel, pour nous, est ce qui

Se passe maintenant et donc le vivre pleinement au mieux

Et non de remettre à plus tard.  D’un autre côté, plus tard ce

Sera trop tard : la religion nous tient dans cet illogisme

Et nous demande de parier à défaut de croire…

.

Des lieux de péché, de confession, rachat, rédemption.

«Faites pénitence, mes frères, tant vous avez tous … péché,

Dieu, en sa grande miséricorde, vous accorde son pardon»

Ainsi parlait Zarathoustra, comme Dieu, du bien  et du mal :

L’homme en ayant conscience s’élève de sa condition animale.

C’est le thème de sermons en chaire, église : «la chair est faible

Mais l’esprit et fort, peut  lutter en  suivant préceptes religions.

Une façon d’excuser les faiblesses humaines face aux tentations

 De la vie : boissons, bonne chère, sexualités, argent…infidélités !

.

Nous sommes tous et toutes responsables

De ce qui nous arrive, sauf de notre mort !

Mais pour autant avons-nous été coupable

D’un péché originel quelconques : curiosité

Et qui daterait d’un pseudo paradis perdu,

La faute à Ève, serpent, arbre, voire Adam.

.

Face à vérité, on a les crocs, on a les dents

L’homme ne serait pas né il y a 2 000 ans

Avant Jésus-Christ mais il a des millions,

Depuis l’évolution naturelle a fait œuvre,

De sélection, maturation, humanisation

Jusqu’à nos jours, issu d’homo habilis.

.

.

1102 – Calligramme

.

En la religion catholique

 Ève serait coupable,

De  s’être  laissée

Tenter Diable

Et depuis

Chassé

Du

Paradis

Avec   Adam,

Bien qu’ +   innocent,

Depuis il   +    le cherche

Et, depuis    +       est mortel

Étant perdu  +++++    sur la Terre.

.

*******************************************

************************************************

.

Et voici qu’il prétendrait que la femme serait

Coupable, de n’être pas devenue, demeurée,

Égale en responsabilité comme  l’homme

Qu’elle ne pouvait,     qu’elle ne pourrait

S’en prendre rien       * qu’à elle-même.

Religion catholique  R    rend coupable

De ne pas devenir   E  l’homme parfait

Et la faute à qui    L   à Adam et  à Ève,

Chassés du para   I   dis en éternelle vie.

Je n’y étais  pas   G  et je n’y souscris pas.

Faudrait encore   I    qualifier leur faux pas

D’avoir choisi     O   seul Arbre  de la Science

Celui du bien     N    et du mal en connaissance.

Depuis, je suis    *     responsable, même coupable

Et je n’en serai    R      acquitté qu’en royaume de Sion

Que je connais      E       que de nom,  et  sans descriptions,

Comment croire    N        que j’en suis, moi-même …capable !

Six milliards de     D          misérables, et, autant … d’incapables

Qui ont vécu et      *           avant nous, sans rien résoudre du tout,

Lors pourquoi     C           mille suivants seraient-ils… moins fous,

Pour nous fab     O          riquer une éternité, humaine, agréable !

Faut-il voir la    U         Terre comme seul paradis, seul conquis,

Fonction   de     P        quoi, non coupables mais responsables,

Laissés seuls    A       à nous-mêmes en serons-nous grandis

Si toute croy   B     ance repose sur cette Terre de sable !

Angoisse de  L  disparaître, à jamais  insoutenable,

La religion  E  est une réponse en forme d’espoir

De petite lumière  qui nous éclaire en le noir.

Univers ne délivrant pas de clef, vérifiable.

Religion n’est  ni coupable, ni détestable :

Elle ne nous fait pas sourd, aveugle en tout,

Chacun a foi en quelque chose … d’impalpable,

Sinon en soi, en l’humanité fait de sages et de fous.

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1102 4

.

Un grand vase pour y mettre

Un petit bouquet de fleurs ?

Comme on en voit souvent

En nombreuse églises !

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

Religion est comme un vase

La culpabilité,   comme fleurs 

Et les fleurs une fois fanées sont

Jetées mais sont vite remplacées.

.

Symbolique 

 .

Dans la littérature médiévale,

Le vase possède le sens de trésor.

S’emparer d’un vase, c’est conquérir un trésor

Briser  un vase, c’est  anéantir  par  le  mépris,

Le trésor qu’il représente. Le vase alchimique,

Le vase hermétique signifient toujours le lieu

Dans lequel les merveilles s’opèrent ;

C’est le sein maternel, l’utérus dans

Lequel une nouvelle vie se forme.

D’où cette croyance que le vase

Contient le secret des métamorphoses.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1102 6

.

Religion est comme un vase

La culpabilité,   comme fleurs 

Et les fleurs une fois fanées sont

Jetées mais sont vite remplacées.

.

Symbolique

.

Le

Bonheur

Est  une  fleur

Qu’il ne faut cueillir »,

Écrivait   André   Maurois.

S’il ne faut pas  cueillir  la fleur,

Mieux vaudra, sans doute, se mettre

À son école: ne serait-ce pas occasion de

S’en remettre, en toute confiance, aux mains

Du jardinier  qui lui aura donné  de s’épanouir ?

Car d’après le poète lumières Bernard de Fontenelle:

«De mémoire de rose, il n’y a qu’un jardiner au monde»

Modifié, source : www.cathobel.be/2018/03/30/100097

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Notre religion catholique ne nous a pas fait une fleur

Nous tenant coupable d’avoir mangé le fruit défendu !

De là dépendrait notre sort, notre condition humaine,

Alors qu’elle n’est que résultat  de l’évolution  continue

Des espèces vivantes et ce depuis des millions d’années

Mais on ne pourrait guère opposer religions et fleurs,

Dès lors que tous leurs rites en utilisent un maximum

Et sans pour autant se poser la question du jardinier

Chacun de nous serait son jardinier sans culpabilité

 .

.

Confessionnal culpabilise

.

Scénario

.

C’est le lieu du péché originel, au Paradis et selon la Genèse !

Confessionnal est lieu où l’on confesse, fesse les mauvaises pensées.

L’église est lieu où l’on se rachète d’avoir été faible, voire coupable !

 .

Visuels et textuels >>

1101 – Qu’est-ce qu’une belle âme, belle intention !

Visuels et textuels >>

.

Si Dieu n’existait pas,

L’homme l’aurait inventé

Afin de pouvoir décharger en lui

Les peines  qu’il n’a pas méritées,

Elles  sont  imposées  par   hasard,

Pour bien  le  remettre  à l’épreuve

Et cela, même si de paradis, enfer,

Nous n’avons moindre de preuves.

Il nous faut croire en des choses

Immatérielles, voire invisibles,

En des promesses des vérités

En des mystères indicibles,

Notre vie avec  notre âme

Est le projet d’amour,

Étincelle  spirituelle

Nous serait donnée

À notre   naissance

Et venant de qui :

Du Grand Éternel.

.

Notre âme s’accroche et nous nous quitte plus,

Sauf à notre mort, pour aller où, et quoi faire ensuite :

La religion répond : au Paradis pour qu’enfin elle profite

D’un bonheur qu’elle a perdu sur terre et qui lui serait dû !

Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est…le bon,

On me dit que c’est inscrit dans les écrits : versets, refrains :

Chaque religion serine : «lutte contre le mal et fais le bien» !

Ce sont des productions humaines… on connaît la chanson.

À qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon,

Serons-nous plus avancés d’avoir, sur le néant béant, misé,

Rien ne nous est confirmé, personne n’est venu le  prouver.

.

Qu’est-ce que je risque à croire que le pari de Pascal est le bon.

Qu’est-ce qu’une belle âme : un être paré des belles intentions,

Mais l’enfer, comme chacun le sait en est pavé, jusqu’au fond,

Jugez «en votre âme et conscience» dit-on aux jurés d’assises,

Rien en ce monde, ne ressemble, peu ou prou, à terre promise.

Pour les uns, notre âme est cachée au tréfonds  de notre être,

Pour d’autres est tapie en notre regard   comme dans miroir,

Pour certains, vous la caresserez, à fleur de peau, peut-être :

Elle peut se trouver partout, nulle part ni blanche ni noire.

.

Catholique, islamique, bouddhiste, animique ou mystifiée,

Les religions se vaudraient toutes par le principe du sacré,

«Sacré Pater» et «Sacré Ave»,  hommes, femmes, imaginés

Pour qu’on puisse mieux les représenter, les chérir, adorer.

Dieux, religions, ne sont pas vierges de sang sur leurs mains

Que de guerres, que de morts ont été perpétré en leur nom,

Pourquoi faut-il  se convertir, défendre telle ou telle religion

Prophétisant bon lendemain, tout en violentant le prochain.

Chacun en définitive, est libre de croire,  en ce, en qui, il veut,

Avant tout, l’important n’est-il pas qu’il passe sa vie, heureux,

Et  qu’il se cherche son propre  chemin de vie, droit, tortueux,

Pour qu’à la fin, il se dise, je le   referais encore, nom de Dieu.

.

.

Extensions

.

Une belle âme : qui dit cela de quelqu’un, quelqu’une ?

Personne, mis à part lorsqu’il s’agit du fait religieux !

On dit pourtant que l’âme n’est pas liée à la religion

Mais bien plutôt an principe de vie qui nous agit.

Serait-elle invention de l’homme pour se sauver

De sa condition animale lui collant à la peau,

Et pour quelle intention, pour quel paradis.

.

L’intention dépend plus de la conscience

Que de l’âme dont on ignore l’existence,

Sinon le contenu et voire les contours,

Que ce soit en raisons ou en amours.

.

On nous parle d’une hauteur d’âme,

Quand l’intention est belle, humaine,

C’est-à-dire totalement désintéressée,

Comme si, par elle, par le bien, dictée !

.

.

1101 – Calligramme

.

Si Dieu n’existait pas,

L’homme ?    l’aurait inventé

Afin de pouvoir   ?  décharger en lui

Les peines  qu’il n’     ?  a pas méritées,

Elles  sont  imposées      ?     par  hasard,

Pour bien le  remettre         ?     à l’épreuve

Et cela, même si de pa          ?  radis, enfer,

 Nous n’avons moindre          ?    de preuves.

Il nous faut croire en            ?     des choses

Immatérielles, voire           ?      invisibles,

En des promesses            ?     des vérités

En des mystères          ?      indicibles,

Notre vie avec         ?       notre âme

Est le projet      ?        d’amour,

Étincelle     ???   spirituelle

Nous  serait  donnée

À notre   naissance

Et venant de qui :

Du Grand Éternel.

Notre âme s’accroche et nous nous quitte plus,

Sauf à notre mort, pour aller où, et quoi faire ensuite :

La religion répond : au Paradis pour qu’enfin elle profite

 D’un bonheur qu’elle a perdu sur terre, et qui lui serait dû !

Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est…le bon,

On me dit que c’est inscrit dans les écrits : versets, refrains :

 Chaque religion serine : «lutte contre le mal et fais le bien» !

Ce sont des productions humaines… on connaît la chanson.

 À qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon,

Serons-nous plus avancés d’avoir, sur le néant béant, misé,

  Rien ne nous est confirmé, personne n’est venu le  prouver.

.

*****************************************************

.

     Qu’est-ce que je risque à croire   Q    que le pari de Pascal est le bon.

   Qu’est-ce qu’une belle âme : un    U   être paré des belles intentions,

  Mais l’enfer, comme chacun le sait  ‘       en est pavé, jusqu’au fond,

 Jugez «en votre âme et conscience»  E   dit-on aux jurés d’assises,

   Rien en ce monde, ne ressemble, peu S    ou prou, à terre promise.

   Pour les uns, notre âme est cachée, au   T  tréfonds de notre être,

     Pour d’autres est tapie en notre regard    *   comme dans miroir,

         Pour certains, vous la caresserez, à fleur  U  de peau, peut-être :

          Elle peut se trouver partout, nulle part    N  ni blanche ni noire.

                                        E

               Catholique, islamique, bouddhiste,     *   animique ou mystifiée,

              Les religions se vaudraient toutes   B   par le principe du sacré,

              «Sacré Pater» et «Sacré Ave»,      E   hommes, femmes, imaginés

              Pour qu’on puisse mieux les      L  représenter, les chérir, adorer.

           Dieux, religions, ne sont pas    L  vierges de sang sur leurs mains

      Que de guerres, que de morts    E     ont été perpétré en leur nom,

   Pourquoi faut-il  se convertir,    *   défendre  telle ou telle religion,

 Prophétisant bon lendemain,        tout en violentant le prochain.

 Chacun en définitive, est libre   M   de croire,  en ce, en qui, il veut,

Avant tout, l’important n’est-il  E    pas qu’il passe sa vie, heureux,

Et  qu’il se cherche son propre   ?    chemin de vie, droit, tortueux,

 Pour qu’à la fin, il se dise, je le   *     referais encore, nom de Dieu.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

.

Une forme avec une tête

Mais  qui voilerait son âme

En haut   et  un corps évoqué

En bas comme d’un fantôme !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Si la tête et l’âme vont bien ensemble

le corps y participe aussi évidemment.

de toute façon âme, point d’interrogation

tant et si bien que la forme épouse le fond.

.

Elle m’appartient, elle me tient tête,

Compagnie, me survit.

Qu’est-ce qu’une âme, une belle âme

Une bonne âme ?

.

Symbolique 

 .

Le mot âme évoque

Un pouvoir invisible :

Être distinct, partie d’un vivant,

Principe de vie, d’organisation, d’action.

.

Par son pouvoir mystérieux, elle suggère

Une force supranaturelle, un esprit,

Un centre énergétique.

Affirmée par la religion,

Rejetée par la science

L’âme est une imposture.

.

Pas d’âme au bout d’un scalpel.

Elle est acceptée  comme  évocatrice

D’une invisible puissance et provocatrice

D’un savoir, d’une croyance ou d’un rejet.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1101 6

.

Elle m’appartient, elle me tient tête,

Compagnie, me survit.

Qu’est-ce qu’une âme, une belle âme

Une bonne âme ?

.

Symbolique 

.

Tête est la partie

Qui domine le corps,

Le  siège  de  la  pensée

Et de la communication.

Elle symbolise : l’identité,

L’émotion, et  l’intelligence,

La communication, la volonté.

Partie du corps  la plus  sensitive.

En effet, elle concentre la vue, l’ouïe,

L’odorat  et le goût, partie du corps qui

Renferme le cerveau, le siège de la pensée

Contrôle de l’ensemble des comportements.

La tête est donc la partie la plus importante

Et de loin, la plus complexe de tout le corps.

Représente l’interface entre le monde

Extérieur et la réalité intérieure.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-tete

 .


.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

La tête est perçue comme étant le siège de «l’âme»

 Et beaucoup d’autres  organes, processus, facultés,

Et sans qu’aucun neurologue n’ait su où la placer :

De là à dire qu’elle est belle   si on ne sait pas même

Ce que c’est où elle est, ce qu’elle fait,  si nous survit,

C’est comme si on savait tout  sur l’avant-Big bang.

.

Peut-être y a-t-il confusion  entre âme et conscience

D’un côté, et entre science  et conscience, de l’autre !

De même que nous avons cerveau gauche, rationnel

Et  cerveau  droit, poétisée,  émotionnel, imaginaire

Et un corps calleux, au milieu, connectant les deux.

.

Vision un peu simpliste, voire  mécaniste, s’il en est,

C’est un mythe sui perdure, tout comme notre âme

Comme nous ne pouvons guère nous passer d’eux,

Nous persistons à les croire voire à les renforcer.

 .

.

Intention est-elle en clé avec âme 

.

Scénario

.

Fille à qui on donnerait le bon Dieu et sans confession …

Symboles du même Dieu et religions monothéistes ennemies.

Belle âme ne laisserait entrevoir que son reflet de lumière.

 .

Visuels et textuels >>

305 – Hutte de l’étang pour pêcher et chasser

Visuels et textuels  >>

.

Chasse, pêche, traditions.

 Ce slogan d’étang de Baralle

Où l’on chasse les migrateurs

D’une belle hutte de chasseurs,

Et où l’on pèchera,   avec ardeur,

D’une barque  remplie des leurres,

Comme écrins provenant ruisseaux,

Des sources et des fontaines, en eaux.

.

Étang aura grandi, aura creusé paisible

Abritant : des  poissons, truites,  gardons,

Oiseaux de passage, domestiques, nuisibles

Que l’on pèche  ou chasse, en toutes saisons :

Deux hectares d’eau, entourés  par peupliers ;

Le chemin de pierre, pour faire le tour, à pied ;

Des barques, planquées  … le long de ses berges,

Attendent fins rameurs …  pour ne pas s’y noyer.

.

Une hutte, bien camouflée, un chasseur héberge,

Pour tirer sur canards, qui viennent  s’y reposer !

J’ai pris barque, j’en ai fait le tour, puis le centre,

Pour autant, je n’ai pas pêché de poisson, sandre.

Cet étang est un lieu, de repos, de loisir et balade,

 Où des poissons prolifèrent, j’en suis déjà malade,

De savoir, qu’ils vont finir, frits en mets de choix,

Ou mangés par des oies ou des oiseaux de proies.

.

Les canards migrant vers le sud, ou, en  revenant

Pour s’y poser, s’y font piéger, par leurs appeaux,

Je ne donne pas cher, de leurs plumes et leurs os,

Si les chasseurs les guettent, à l’affut … les tirant.

Fortunes de  l’air  ou prélèvements cynégétiques,

L’arrêt brutal  de leur voyage s’achève : tragique.

La nuit, on entend, des grenouilles, des sarcelles,

Ou autres animaux grouillants, qui ensorcellent,

Chantant leur refrain, sans se soucier d’humains

Qui pêchent, repêchent, chassent, pourchassent.

.

La nature reprend ses droits, et ses lois et passe,

L’étang est fait, pour elle, voire pour notre bien.

J’ai remonté, en sa source, l’amont du ruisseau,

Me reposant,  à ses puits, ses mares, fontaines ;

Je me suis miré dans son eau claire et calcaire,

J’ai descendu l’aval jusqu’à jonction de rivière

Serpentant le long des talus pleins de chênes.

.

L’eau semble polluée des engrais de veines,

L’homme préserve cet ilot havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau et ses méfaits ;

En barque sur étang, hutte garnie

Je rame pour son écologie,

Je rame pour l’âme

Je rame.

.

.

Extensions

.

Je vous y invite, volontiers,

Pour faire le tour en entier,

Admirer votre reflet en eau

Ou ses chênes, et  bouleaux

Parant  sa nature, sauvage,

De doux parfum de liberté,

Sans entrave,  ramant sur

Un bateau, voire à l’affut,

En hutte où l’eau semble

Polluée  par des engrais

L’homme préserve ilot.

.

Havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau

Et ses méfaits ;

En barque, sur étang,

C’est un bienfait

Hutte garnie, je rame

En  parfait !

 .

Que ce soit pour la pêche ou pour simple promenade,

La barque vous transporte sur un élément liquide, calme,

Propice au repos, à la sieste, à la rêverie, voire romancerie !

Vous serez l’écoute d’une nature humide, limpide et… belle,

À moins de vous perdre, enfoncer en un marais saumâtre.

Bruit des rames, touchant l’eau pour la pousser, diriger,

Vous inspirera sensations d’écoulements de votre vie,

Dont vous maîtrisez ses  étapes ou qui à vau-l’eau.

Dans les deux cas, cette pause sera bénéfique

Comme parenthèse d’activités ludiques.

.

Un plan d’eau quel qu’il soit

Qu’il soit naturel  ou artificiel,

Soit petit ou grand, nu ou boisé,

Attire toujours amoureux de nature

.

Ici, il est souvent tranquille, étant isolé

On y voit des canards, des oiseaux d’eaux

On peut piqueniquer sur ses berges boisées

S’y reposer en regardant peupliers à l’envers.

.

J’ai mis les pieds en une barque, me suis arrêté

Au milieu de l’étang, comme en panne d’énergie

J’y ai cueilli des nénuphars blancs,  tomber failli,

Et je n’étais pas d’humeur à nager ni à m’y noyer.

.

.

305 – Calligramme

 .

HUTTE D’ÉTANG POUR

Chasse, pêche, traditions.

 Ce slogan d’étang de Baralle

Où l’on chasse les migrateurs

D’une belle hutte de chasseurs,

Et où l’on pèchera,   avec ardeur,

D’une barque  remplie des leurres,

Comme écrins provenant ruisseaux,

Des sources et des fontaines, en eaux.

Étang aura grandi, aura creusé paisible

Abritant : des  poissons, truites,  gardons,

Oiseaux de passage, domestiques, nuisibles

Que l’on pèche  ou chasse, en toutes saisons :

Deux hectares d’eau, entourés  par peupliers ;

Le chemin de pierre, pour faire le tour, à pied ;

Des barques, planquées  … le long de ses berges,

Attendent fins rameurs …  pour ne pas s’y noyer.

Une hutte, bien camouflée, un chasseur héberge,

Pour tirer sur canards, qui viennent  s’y reposer !

J’ai pris barque, j’en ai fait le tour, puis le centre,

Pour autant, je n’ai pas pêché de poisson, sandre.

Cet étang est un lieu, de repos, de loisir et balade,

 Où des poissons prolifèrent, j’en suis déjà malade,

De savoir, qu’ils vont finir, frits en mets de choix,

Ou mangés par des oies ou des oiseaux de proies.

Les canards migrant vers le sud, ou, en  revenant

Pour s’y poser, s’y font piéger, par leurs appeaux,

Je ne donne pas cher, de leurs plumes et leurs os,

Si les chasseurs les guettent, à l’affut … les tirant.

Fortunes de  l’air  ou prélèvements cynégétiques,

L’arrêt brutal  de leur voyage s’achève : tragique.

La nuit, on entend, des grenouilles, des sarcelles,

Ou autres animaux grouillants, qui ensorcellent,

Chantant leur refrain, sans se soucier d’humains

Qui pêchent, repêchent, chassent, pourchassent.

La nature reprend ses droits, et ses lois et passe,

L‘étang est fait, pour elle, voire pour notre bien.

J‘ai remonté, en sa source, l’amont du ruisseau,

Me reposant,  à ses puits, ses mares, fontaines ;

Je me suis miré dans son eau claire et calcaire,

J‘ai descendu l’aval jusqu’à jonction de rivière

Serpentant le long des talus pleins de chênes.

L‘eau semble polluée des engrais de veines,

L‘homme préserve cet ilot havre de paix,

Ruisseau charrie l’eau et ses méfaits ;

En barque sur étang, hutte garnie

Je rame pour son écologie,

Je rame pour l’âme

Je rame.

PÊCHER, CHASSER  

 

.

Forme

Réduction

.


.

Évocation 

.

305 4

.

Menhir qui serait monté  à l’envers,

Une pomme de pin    en plein hiver,

Une forme de barque à fond plat,

 pour pouvoir pécher sur un étang.

.

Barque, étang et hutte, chasse et pêche,

Autant de mots nature

Qui caractérisent un tel lieu de repos

Et de loisir champêtre.

.

Symbolique 

 .

Barque est  symbole de changement,

On l’empruntera  pour passer d’une rive

À une autre, donc d’un état … à  un autre.

État est en référence avec état émotionnel,

L’eau traversée est  symbole de sentiments.

Si l’eau  est calme, et, si la balade agréable,

C’est que tu abandonnes un comportement,

Une vieille habitude, émotion désagréable

Que tu t’améliores : mieux dans ta tête,

Tu as comme désir de te débarrasser

De certains comportements et

De découvrir des nouvelles

Facettes personnalité

Comme en rêve

En éveillé

V

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/barque

.

Descriptif

.

305 – Hutte d’étang pour pêcher, chasser    

Alignement central  / Titre absent / Thème  habitat

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : barque / Symbole de fond : étang

.

.

Fond

.

Évocation 

.

305 6

.

Barque, étang et hutte, chasse et pêche,

Autant de mots nature

Qui caractérisent un tel lieu de repos

Et de loisir champêtre.

.

Symbolique 

.

L’étang est une surface d’énergie

Contenue, stagnante, riche de potentiel.

C’est parfois une forme dépressive qui a pu

Être contenue et devenue une richesse.

« Ceci étant ». C’est donc une nature

De soi connue, mais canalisée.

.

Il faut associer à l’étang toute

Symbolique de l’eau : à l’eau

Calme s’oppose  l’eau rapide

Comme à l’étang la cascade,

À l’eau  lustrale  du baptême

L’eau épaisse, croupissante,

Limoneuse que la poétique

d’Edgar Poe a vite fait de

Confondre avec le sang.

mediations-aquatiques.com/

la-symbolique-de-l-eau-2.html

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Qui dit en barque sur un étang

Évoque un fond de romantisme

Sinon de pêche, voire de chasse

À chacun son loisir, après tout !

Moi, j’aime bien en faire le tour

M’y asseoir pour le contempler

Et c’est déjà belle randonnée !

 .

.

Étang entouré zone de chasse

.

Scénario

.

Une hutte en bord d’étang : pêche, chasse ou les deux.

Bords de l’étang : agréables et même pour picnic en barque.

Trois barques, étendue de l’étang, vue sur le village tout au fond.

 .

Visuels et textuels  >>

1100 – Tout le monde est beau, tout le monde gentil

Visuels et textuels  >>

.

Titre de chanson

Non pour bisounours

Pour des adultes majeurs,

Qui de, personne, n’ont peur.

Faut la prendre : second degré,

Monde Humain n’a jamais été

Ni beau, ni gentil, ni demain

On le voudrait : en vain.

.

Mais,  faut-il  le déplorer,

 S’en plaindre ou l’accepter

Chacun serait  libre  de s’en

Défendre en l’encourageant.

.

Tout le monde, il est beau,

Tout le monde, il est gentil :

Même un enfant de trois ans

Ne dirait pas ça aujourd’hui.

..

En  regardant  autour de soi,

On voit bien que ça ne va pas,

Que dire des télés et journaux

Affichant un  monde pas beau.

Monde n’est ni beau ni gentil

Pourtant, pas  l’enfer méchant :

Il est un mixte un puzzle géant,

Où fraternité  devient volatile !

Il faut se méfier des gentils :

Ils cachent un jeu pour dupes,

Ou auront une main baladeuse

Et qui trainera  sous des jupes.

Pas voir sous, méchant, gentil,

Parce que : mal  aimé, reconnu,

Est pure illusion de l’amoureuse

Que l’autre perçoit en charmeuse.

Victimes, et coupables s’affrontent,

Pour réparer ou pour nier un méfait,

Victime et coupable se confrontent

Pour trouver compromis bienfait.

Tout le monde  …   il est pas beau,

Tout le monde … il est pas gentil,

Qu’on soit intelligent ou bien sot

Tout dépend de son sex-appeal.

 

.

Extensions

 .

Tout le monde, il est beau,

Tout le monde, il est gentil :

Ce n’est pas que le titre d’une chanson,

C’est un slogan qui veut attirer l’attention

Sur son contraire : «Tout le monde, il est laid,

Tout le monde, il est méchant» qui est bien plus

Près réalité, quel que soit l’époque, pays, société.

.

Tout le monde, c’est vrai, c’est exagéré et puis

Le choix n’est pas binaire, y a des médianes,

Des moyennes, et  même … des extrêmes.

La même personne pourra être méchante

Dans un contexte et gentille en une autre !

.

Tout le monde évoquera le Monde extérieur,

Avec lequel on a affaire, mais peu  en contact,

Pas sa famille, ses amis, collègues, ou relations :

L’inconnu reste objet de méfiance par définition.

.

Les journaux auront tendance à relater les mauvais

Faits divers plus que les bons, télé, n’en parlons pas,

Les séries policières se succèdent avec tous le même

Message, les méchants seront punis et les victimes

Seront justifiées. En monde réel, des méfaits

Restent muets, classés ou déphasés.

.

«Être beau, gagné de l’argent et surtout être intelligent»

Chantait Daniel Balavoine, dans son texte sur «l’artiste» !

C’était dans les années 80, le Monde depuis, a bien changé,

Il n’y a plus de place pour les gentils, que pour les méchants.

Il faudra que je le sois si je veux, moi aussi être cru et être cru

Bien que je répugne à l’être, surtout avec mes proches, enfants

Dans un monde d’individualistes, se plaignant, et se défendant

En attaquant tout et tout le monde et en restant intransigeant,

Toute  confrontation ne peut produire que signaux alarmants.

.

Mais d’abord, soyons bien clair

Qu’est-ce donc qu’un  être … gentil ?

Ce serait quelqu’un, ce serait quelqu’une

Qui fait montre de délicatesse et prévenance,

Et voire noblesse de sentiments dans sa conduite.

.

On le qualifie d’affable, agréable, aimable, attentionné,

Bienveillant, bon, charmant, complaisant, délicat, doux,

Empressé, obligeant, prévenant, serviable,  sympathique :

Cumuler autant de qualités si ce n’est de vertus, en un être,

Friserait la perfection, ce qui est proprement insoutenable !

.

Épilogue

.

Être beau,  et gentil,  et intelligent :

Le rêve d’une mère pour un gendre

Sachant que son mari  ne l’est pas :

S’il l’a été, en tous cas, ne l’est plus.

***

Cela fleure, un peu, l’amour tendre,

Elle devrait se prendre un… amant,

Homme, amoureux  devient gentil :

Sa femme  le rendrait-elle méchant.

***

Que faire  lors on est, ni beau, gentil,

Pas suffisamment en plus intelligent,

En somme,  rien de bien satisfaisant,

Toute rencontre deviendrait volatile !

***

Des hommes seront beaux étant virils,

On ne se marie  avec quelqu’un, gentil,

On en fait un ami, témoin  de mariage,

Épouse aura plus besoin de protection.

***

Moi je l’ai été, beau, sensible, intelligent

Ça ne m’a pas aidé  à conquérir femmes,

Après l’armée : instructeur parachutiste,

Mon blason  s’est redoré,  près féminité !

***

Une femme belle, gentille  et intelligente,

Qui ne voudrait d’elle dans son lit, sa vie,

Si elle est très volontariste,  dominatrice,

Il faudra négocier espace  liberté, égalité.

***

Un homme méchant ou un homme gentil,

Quoi qu’il en soit, ne le sera tout le temps,

Hommes, méchants et femmes, gentilles :

Ça n’existe pas dans la vie : qu’en romans.

.

.

1100 – Calligramme

.

Titre de chanson

Non pour bisounours

Pour des adultes majeurs,

Qui de, personne, n’ont peur.

Faut la prendre : second degré,

Monde Humain n’a jamais été

Ni beau, ni gentil, ni demain

On le voudrait : en vain.

M

Mais,  faut-il    O      le déplorer,

 S’en plaindre      N       ou l’accepter

Chacun sera         D         libre  de s’en

Défendre en           E     l’encourageant.

*

Tout le monde        E               il est beau,

Tout le monde          S              il est gentil :

Même un en              T             fant trois ans

Ne dit pas ça             *                aujourd’hui.

En regardant             B              autour de soi,

On voit bien               E         que ça ne va pas,

Que dire des              A         télés et journaux

Affichant un              U         monde pas beau.

Monde n’est               *          ni beau ni gentil

Pourtant, pas            M          enfer méchant :

Il est un mixte          O          un puzzle géant,

Où fraternité            N         devient volatile !

Il faut se mé             D          fier des gentils :

Ils cachent un          E          jeu pour dupes,

Ou auront une         *          main baladeuse

Et qui trainera        E         sous  des  jupes.

Pas voir sous,          S        méchant, gentil,

Parce que mal        T          aimé, reconnu,

Est pure illusion    *          de l’amoureuse

Qu’autre perçoit    G          en charmeuse.

Victime, coupa      E        ble s’affrontent,

Pour réparer ou    N        nier un méfait.

Victime coupable T         se confrontent

Trouvant compro I           mis bienfait.

Tout le monde  …   il est pas beau,

Tout le monde … il est pas gentil,

Qu’on soit intelligent ou bien sot

Tout dépend de son sex-appeal.

.

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation 

.

1100 4

.

Silhouette d’un homme

 Inconnu, en vue de dos, 

Et  dont  on ignore  tout

De tempérament viril !

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

On peut être un homme… viril

et en même temps beau  et gentil :

ce n’est ni incompatible, automatique,

mais il ne représente pas tous les humains

.

Homme inconnu, vu de dos,

Et d’apparence sympa, gentil :

Qui me dit qu’il ne s’agirait pas

D’un méchant pervers, peu viril.

 .

Symbolique 

 .

L’Homme, en tant  qu’être  vivant

Doué de raison, fabricant d’objets élaborés,

Doté d’un langage articulé, chez lequel a émergé

La pensée conceptuelle  et  symbolique, se caractérise

Par une aptitude à l’émerveillement, capacité d’espérance,

Accompagnée d’un refus de l’absurde. Avec l’invention de l’outil

Manufacturé et les premiers témoignages d’une pensée symbolique,

Comment l’aventure culturelle et spirituelle de l’Homme a-t-elle débuté ?

cnrseditions.fr/catalogue/arts-et-essais-litteraires/le-symbolique-le-sacre-et-lhomme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1100 6

.

Homme inconnu, vu de dos,

Et d’apparence sympa, gentil :

Qui me dit qu’il ne s’agirait pas

D’un méchant pervers, peu viril.

 .

Symbolique

 .

La virilité se définit comme

Étant l’ensemble des qualités

Attribuées  à l’homme  adulte :

Fermeté, courage, force, vigueur.

.

Un mâle,  dans le bon sens  du terme,

Est un homme qui se différencie des femmes,

Qui les attire par complémentarité sans pour autant

Être un goujat, despote, égocentrique imbu de lui-même.

.

Un vrai homme cherche l’équilibre entre force, douceur,

Puissance et générosité, confiance et humilité,

Sans compter protection et sensibilité…

atoi2voir.com/developpement-

de-soi/etre-un-homme-viril

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Homme généralement est conjugué

avec virilité et femme avec fragilité,

mais c’est sans parler d’un caractère

qui pourrait, fort bien, s’être inversé,

Tout le monde il est beau, il est gentil

mais très peu le seraient, en réalité 

et donc, cela dit : moi le premier

je suis gentil si ça m’arrange !

 .

.

Beau, gentil, en apparence 

.

Scénario

.

Je ne suis pas certain que la pancarte convienne,

par contre, ici, c’est un deal  entre forte  et faible,

après avoir été trop gentille, faites gaffe, je mords.

 .

Visuels et textuels  >>

1099 – En notre monde de violence, c’est évidence

Visuels et textuels  >>

.

La violence est partout même sur nos ondes,

Nos écrans, journaux, même dans nos mots

C’est à croire  qu’elle  est enracinée en nous

Qu’elle fait partie de notre Adn…génétique.

 .

Or la violence, parfois ici, c’est le sexe,

Et là, violence est souvent  les armes,

Elle reste visible et d’ordre physique

Ou est invisible, d’ordre psychique.

 .

Violence attentats meurtriers

Repasse en boucles fermées

Et en vue de nous  apeurer

Nous précondi-ti-on-ner.

Nous mener  à un Monde

Où personne ne  sera   plus

En sécurité et cela nulle part,

Monde est toujours en danger.

.

En notre monde, de violence,

C’est devenu presqu’évidence,

Ce qu’on nous montre cinéma,

Âme sensible n’appréciera pas.

.

C’est  quoi, une  âme  sensible :

Une âme pas mûre,  enfantine,

Qui ne trouve  normal,  risible,

Torrent de sang,  hémoglobine.

.

Parfois la violence se fait douce

Quand elle manipule nos cœurs,

Quand vers la mort nous pousse,

Pour ne plus  voir  nos  malheurs.

.

Violence, soumission, vont de pair,

Nous enfoncent peu à peu  en enfer,

Jusqu’à nous rendre forts et blindés,

Face aux souffrances  de l’Humanité.

.

Âmes sensibles s’abstenir, mais de quoi,

Est-ce que  la vraie vie ne se montre pas

Sous, son vrai jour sans feinte, répulsion,

Âmes sensibles, sentez, voyez : tenez bon !

.

.

Extensions

En notre monde de violence,

Celle-ci devient de plus en plus banale,

De plus en plus normal, de plus en plus animale :

Où est l’homme raisonnable et sociable, où est l’humanité

Qui croient en sa « culture fraternité » et à son  projet de

«vivre ensemble» : la violence n’est pas que physique,

Elle est aussi psychologique, elle est aussi morale.

.

Elle est destructrice de la confiance en l’autre

Qui peut me faire mal. La violence verbale,

Intraduisible en justice, a trouvé un

Succédané de plainte dans

Le « harcèlement » et la

Proposition sexuelle

Dans « l’agression »,

En tant que  deux

Comportements inappropriés.

.

On a établi des différences entre l’influence,

La pression sociale et quelque subordination verbale.

La première est considérée comme normale en toute relation,

La seconde comme tolérable du fait que l’autre peut s’en défendre,

La troisième, inacceptable parce qu’il n’y aura plus de lien d’égalité.

«Il m’a dit ça, tu te rends compte, c’est violent,  qu’est-ce que je peux

lui répondre, sans conséquence, c’est mon chef, c’est pas la première

fois, il veut que je me soumette à ses ordres ou que je démissionne.»

.

La violence est de tous les temps, les âges, les sexes, nations,

Situations

La gendarmerie lutte contre la violence par la contrainte, lors

Manifestation,

Mais s’il est impossible de l’éradiquer, pourrait-on du moins la

Canaliser,

Et parfois on la remplace par la violence verbale, psychologique,

Mentale.

Qu’est-ce qui peut bien la justifier sinon le désir de domination,

Vengeance !

.

Selon certains, le seul fait de naitre

S’accompagnerait déjà de violences,

Le premier cri, en serait son témoin

Que l’on soit fils de roi ou… de rien.

Dès lors on ne peut y échapper sans

Se faire violence, et volontairement,

Mais violence agie et violence subie,

N’ont pas les mêmes conséquences !

Il est sain, il est humain, il est normal,

De lutter contre violences très animales,

Mais l’on ne pourra guère éradiquer ce mal

Il est inscrit dans notre barbarie… ancestrale !

.

.

Épilogue

.

La violence  devient un thème récurrent,

Non seulement dans nombre de médias,

Mais dans bon nombre de conversations.

***

On nous détaille crimes, guerres, exactions,

Des polars nous invitent à soulever son voile

Un fait, elle devient de plus en plus présente.

***

Elle envahit notre imaginaire, basé sur réalité,

On la trouve en écoles en forme d’harcèlement,

On se tourne vers punitions plus qu’éducations.

***

Aux USA, vente et possession d’armes reste licite,

Suffirait-il de les interdire, ce serait bien innocent

L’arme ne commet de crime : la main qui l’utilise !

***

En matière de violence, tous les coups sont permis,

Et dieu sait comme en torture, l’imagination règne,

Prise d’otages est classique du genre marchandage.

***

On en serait arrivé au point ou un dirigeant prônant

La non-violence aura plus de chance d’être assassiné

Qu’un dictateur devenant tyran, bourreau, boucher !

***

La violence appelle la violence comme la vengeance,

Je ne vous apprends rien, par cela : racine  du mal :

Est-elle le ferment des sociétés ou chacun de nous.

***

On peut se poser la question dès lors que millions

De citoyens élieront malade… comme président :

S’en apercevant, n’ont aucun moyen d’éviction !

.

.

1099 – Calligramme

 

M   O  N   D   E       D   E

V

La violence est partout  I     même sur nos ondes,

Nos écrans, journaux   O    même dans nos mots

C’est à croire  qu’elle    L  est enracinée en nous

Qu’elle fait partie de   E   notre Adn génétique

N

Or la violence par      C  fois ici, c’est le sexe ,

Et là, violence est      E   souvent  les armes.

Elle reste visible      *  et d’ordre physique

Ou est invisible      E  d’ordre psychique

N

Violence atten   *  tats meurtriers

Repasse en       É  boucle fermée

  Et en vue de     V    nous  apeurer

Nous précon    I     di-ti-on-ner.

Nous mener      D      à un Monde

Où personne      E     ne  sera   plus

En sécurité et       N      cela nulle part

Monde sera tou      C     jours en danger.

E

********************************

*********************************

En notre monde, de vio     <>    lence,

C’est devenu presqu’    <>     évidence,

Ce qu’on nous     <>    montre cinéma,

Âme sensible    <>     n’appréciera pas.

 

C’est quoi, une      <>     âme sensible :

Une âme pas mûre     <>      enfantine,

Qui ne trouve normale      <>     risible,

Torrent de sang, hémoglo     <>    bine.

 

Parfois la violence se fait    <>     douce

Quand elle manipule       <>  nos cœurs,

Quand vers la mort     <>    nous pousse,

Pour ne plus voir     <>      nos malheurs.

 

Violence, soumission     <>   vont de pair,

Nous enfoncent peu à peu    <>    en enfer,

Jusqu’à nous rendre forts et     <>   blindés, 

Face aux souffrances de l’      <>  Humanité.

 

Âmes sensibles s’abstenir  <>    mais de quoi,

Est-ce que  la vraie vie   <>    ne se montre pas

Sous, son vrai jour   <>   sans feinte, répulsion,

Âmes sensibles    <>   sentez, voyez : tenez bon !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1099 4

.

Un verre évasé en haut,

Sur  un  piédestal, en bas,

Ou n’importe quel support

Mais attention à la casse !

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Un verre fragilisé par sa position,

car, si on bouscule, tombe et casse,

et ce en dépit de support et hauteur

voila qui fait joindre forme et fond.

.

Chaque jour l’on nous en sert un verre

Pour le moins  de violence:

Si ce n’est pas un verre que l’on casse,

Certains jours et voire plus !

.

Symbolique 

.

Un verre est récipient utilisé pour boire,

De forme tubulaire et dont les parois sont

Solidaires  et  hermétiques, et  destiné à

Recevoir des liquides : il est constitué

D’une paraison, contenant verre,

D’une jambe puis  d’un pied.

Le terme désigne aussi

Par métonymie,

Le contenu de

Ce récipient :

Boire un verre d’eau.

wikipedia.org/wiki/Verre_(récipient)

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1099 6

.

Chaque jour l’on nous en sert un verre

Pour le moins  de violence:

Si ce n’est pas un verre que l’on casse,

Certains jours et voire plus !

.

Symbolique 

 .

Superstitions liées aux rêves de casse, bris de verre.

Si vous avez déjà cassé du verre ou si vous en avez rêvé,

Depuis l’Antiquité, les gens pensent que briser du verre

Est un mauvais signe car dans la plupart des cas,

On pense verre brisé est symbole de malheur.

.

Ce rêve signifie que vous échouerez dans

De nombreux aspects de votre vie et

Manquerez des opportunités

Très importantes.

fr.sr76beerworks.com/

broken-glass-meaning

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Un verre, chacun sait, est fragile,

Il ne supportera pas de gros chocs

Toute violence contre lui, l’achève !

Un verre en étain, voire en carton

Se déforme mais reste utilisable.

.

Et il en est ainsi des humains :

Certains fragiles, ou solides.

Fragile veut dire vulnérable,

Solide veut dire inébranlable,

Les autres, un peu entre deux ;

S’accommodent de  la  violence !

 .

.

Même par des cyberviolences 

.

Scénario

.

Un manifestant cagoulé  contre un policier avec un bouclier,

avec renfort, le manifestant vient d’être interpellé, neutralisé,

suivi de violence d’un interrogatoire et pour le moins musclé !

 .

Visuels et textuels  >>

1098 – Passion, consommation : non, addiction !

Visuels et textuels >>

.

Dernier mot à la mode ne serait plus

Passion, ni même consommation,

Mais, bien plutôt «addiction»

Au tabac, à l’alcool  ou au jeu,

À l’argent,  sexe,  aux études,

À la religion,   et  j’en  passe :

Toute drogue ferait penser

Recherche plaisir des sens,

Et, jusqu’à leur maximum,

Et, sans cesse, renouvelée.

.

Comme  rats  d’expérience

Conditionnés en laboratoire

Qui appuieront sur la pédale,

Pour obtenir  de la nourriture

Qui comble,  momentanément,

Un appétit,  de plus en plus fort.

.

«Si l’appétit vient en mangeant,

La soif s’en va  rien qu’en buvant»,

François Rabelais, l’a dit au XVI° siècle,

Mais cela n’aurait  guère changé depuis.

Anorexiques, boulimiques, savent bien.

.

Les premiers seront incapables manger,

Sans, de suite,  régurgiter,

Les seconds, incapables  de ne pas manger

Et tout cela, jusqu’à plus soif.

 .

À quoi êtes-vous addict en ce moment !

Impossible de répondre : à rien.

Vous pourriez pas faire partie du panel

Vous  vous sentiriez  marginalisé.

 .

Addict à tout ne vaut guère mieux,

Et à supposer que l’on en ait tous

Il faudra savoir  quelles bonnes

Quelles mauvaises addictions,

Être addict …  à la créativité :

Meilleure, plus productive,

Qu’à  la  buvette  ou  au  jeu.

.

Il y a un regard moralisateur là-dedans :

Tant que votre addiction ne vous détruit pas,

Ne détruit pas vos relations ni vos productions,

Dès lors et  de quel droit viendrait-on me dire :

Elle n’est pas bonne et du tout, ton addiction !

.

.

Extensions

 .

Si je passe mon temps sur Internet,

On dira que je suis un addict du Net.

Si je suis informaticien, documentaliste,

À contrario, rien de plus normal, plus sain.

.

L’un régule son addiction, par le laps de temps

Qu’il lui consacre, par l’énergie qu’il y dépense

Si ce n’est  par l’argent, quand l’autre la

Transforme en perpétuelle obsession.

.

Il existe des thérapies… de groupes,

Des addictions où la parole commune

Libère sentiment isolement, culpabilité.

Certains y adhèrent et vont jusqu’au bout,

Et en guérissent même tandis que d’autres

Demandent une autre drogue pour compenser.

.

Tant qu’on en est libre, on en fait ce que l’on veut.

Quand on en devient prisonnier, il faut tout faire

Pour s’en libérer. Oui mais quand et comment

Et pourquoi se fait le passage entre les deux.

.

On peut donc basculer d’un coup pour

Un long moment dans la dépendance,

Qui n’est pas que psychique,

Parfois physiologique.

.

L’addiction  … est  une  conduite  qui  repose  sur  une  envie

Répétée et irrépressible de faire ou de consommer quelque chose

En dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s’y soustraire.

C’est une définition, trouvée dans Wikipédia et d’autres dictionnaires,

Qui ressemble assez à l’injonction paradoxale  «viens ici, fous le camp»

Mais attention à ne pas confondre avec une passion, qui vous construit

Mais passionné par un art peut être passion, obsession, puis addiction.

.

Attention à ne pas confondre passion et addiction :

Une passion implique qu’une durée importante

Est volontairement consacré à une activité.

L’addiction est  automatique, impulsive,

Sans de contrôle ni de véritable plaisir

Avec  des symptômes de dépression.

.

On peut être passionné ou addict de tout,

Passer de l’un à l’autre, laisser tout tomber.

Un problème se pose si on ne peut s’en passer

Et que même avec l’aide des autres, on persiste

Que ce soit la seule chose pour laquelle on existe,

Dès lors trouver solution pour échapper aliénation.

.

.

Épilogue

..

Addiction n’a rien à voir avec diction,

A bien plus à voir avec consommation

Avec dépendance, besoin, soumission :

On le rapprochera parfois avec passion.

***

On dit addiction «négative» si le produit

Ingéré détruira, petit à petit, son cerveau,

C’est souvent le cas des drogues dites dures

Dont on ne peut se passer sans décompenser

***

On dit addiction  «positive»  si processus  choisi

Aide, conduit vers, le stabilise  en œuvre créative,

Le cerveau  produit sa propre drogue, sublimation,

C’est le cas des artistes, des sportifs, des chercheurs.

***

Comme pour le tabac, ou l’alcool, le problème résidera

Dans son courage de pouvoir ou pas, s’arrêter, se sevrer

Pour avoir travaillé en soignant un peu dans ce domaine

J’ai compris que le corps prend le pouvoir sur le cerveau.

***

La vie n’est pas toujours facile à supporter  pour surnager,

Une aide temporaire, efficace, on le comprend,  peut aider

Parfois la dépendance s’installe durablement en une prise

Et là on sera prisonnier d’elle comme en trappe,  attrape.

***

Le problème de fond ne serait pas l’addiction elle-même

Mais pourquoi on en est arrivé là, et, ce qu’on en fait :

C’est un peu une poterie qu’on casse en la chauffant,

Parfois en la décorant, bien que moins … violant.

.

.

1098 – Calligramme

.

Dernier mot à la mode ne serait plus

Passion, ni même consommation,

Mais, bien plutôt «addiction» !

Au tabac, à l’alcool  ou au jeu,

À l’argent,  sexe,  aux études,

À la religion,   et  j’en  passe :

Toute drogue ferait *   penser

Recherche plaisir  C   des sens,

Et, jusqu’à leur   O  maximum,

Et, sans cesse,    N   renouvelée.

Comme  rats      S    d’expérience

Conditionnés,    O   en laboratoire

Qui appuient     M       sur la pédale,

Pour obtenir       A       de la nourriture

Qui comble,          T       momentanément,

Un appétit,             I       de plus en plus fort.

«Si l’appétit              O          vient en mangeant,

La soif s’en va,          N          rien qu’en buvant»,

François Rabelais,     *         l’a dit au XVI° siècle,

Mais cela n’aurait      P        guère changé depuis.

Anorexiques, bouli      A        miques, savent bien.

Les premiers seront      S        incapables manger,

******* Sans, de suite,    S       régurgiter *******

Les seconds, incapables    I       de ne pas manger

**** Et tout cela, jusqu’    O       à plus soif. *****

À quoi êtes-vous addict     N       en ce moment !

*** Impossible de répon    :       dre : à rien. ***

Vous pourriez pas faire     A      partie du panel

 **  Vous  vous sentiriez   D      marginalisé **

Addict à tout ne vaut     D        guère mieux.

** Supposons qu’on     I       en ait tous **

Il faut savoir : il y      C         a de bonnes

** Et mauvaises    T       addictions **

Être addict,       I      à la créativité :

** Meilleure,  O plus productive **

Qu’à la  N buvette ou au jeu.

.

**************************

*****************************

.

Il y a un regard moralisateur là-dedans :

Tant que votre addiction ne vous détruit pas,

Ne détruit pas vos relations ni vos productions,

Dès lors et  de quel droit viendrait-on me dire :

Elle n’est pas bonne et du tout, ton addiction !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1098 4

.

Une poterie en longueur

Et aux bords  peu élargis,

Poterie comme contenant

Dont on ignore le contenu !

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Poterie comme contenant ne nous

indiquant rien de son vrai contenu

n’évoque pas passion ni addiction :

aussi la forme diffère bien du fond.

.

Une addiction pour la poterie,

Vous n’y pensez-pas :

Il ne s’agit pas d’un contenu,

Mais d’un contenant.

.

Symbolique 

.

La poterie, en Afrique de l’Ouest,

A très longtemps été la base de tous

Les objets  du quotidien, et  le  demeure

Majoritairement en zone rurale, les villes

Ayant peu à peu adopté des matériaux usinés,

Plus  modernes, et, plus résistants : pour  autant,

Dans chaque famille, on trouvera jarres de stockage.

.

Urnes funéraires, récipients destinés à contenir de l’eau,

De l’huile, stocker les céréales, vaisselles du quotidien,

Mais également sculptures, figurines, statuettes

Rituelles, ou objets d’apparat, les poteries

Rythment le quotidien population.

maisonintegre.com/la-poterie-art

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1098 6

.

Une addiction pour la poterie,

Vous n’y pensez-pas :

Il ne s’agit pas d’un contenu,

Mais d’un contenant.

.

Symbolique

 .

Des interactions existent

Lors du choix de l’aliment

Et de son contenant.

En fonction du matériau

Dans lequel est servi l’aliment,

Il n’a pas la même valeur à nos yeux.

Couleurs, formes, contenant et aliment

Influencent grandement nos perceptions.

En fonction des matériaux et de notre vécu,

De nos habitudes, de nos valeurs, du contexte

Seul, au travail, en famille, avec des amis,

De notre sensibilité à…, le contenant

Sera perçu différemment.

auxplaisirs.over-blog.com/article-26044114.

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Une poterie servira, généralement,

de contenant pour divers contenus :

pour  contenus, divers contenants,

eau, vin, huile et tous des liquides

mais parfois aussi des solides

des viandes dans des jarres

des cendres dans des urnes

des céréales en des bacs.

 .

.

Addictions à l’alcool et au travail

.

Scénario

 .

Addiction cigarette,  cendrier jour : vers le cancer du fumeur.

Addiction aux écrans et aux jeux vidéo : vers le mal de crane.

Addiction médicaments, drogues : lobotomisation chimique.

 .

Visuels et textuels >>

1097 – Réveille-toi, on est sur Terre, c’est l’Enfer

Visuels et textuels >>

.

On ne s’en aperçoit tout de suite,

L’enfer survient progressivement

Et sans avoir été nullement invité,

Mais  demeure,  une fois  installé.

.

L’enfer, bien sûr, c’est  la  guerre :

C’est séries d’attentats  nucléaires.

On ne s’épaulerait plus entre frères

Haine est, partout, avec lots misères.

On s’habitue, parait-il, et on banalise,

Sa survie journalière, presque miracle

Ce n’est qu’une antichambre  de  mort

On l’est déjà un peu, en  tête, en corps.

Réveille-toi, on est bien sur la Terre,

Il n’y a d’amour,  y a plus qu’enfer :

.

Prépare-toi, à  parer  les  coups,

Qui  peuvent  mettre  à genoux

Et à donner,  à  te tordre le cou,

Où   les  respirations  se   nouent,

Frappe du poing, frappe des pieds

Les têtes en sangs, ils font éclater.

.

Je te dis ça, mon  frère  parce que

Je tiens, à toi,  à  ton combat,  que

Tu devras gagner, au vu  des enjeux

Être vivant est  ce qu’il y a  de mieux,

S’il n’y a plus été, plus que long hiver

Changeons d’atmosphères, d’univers.

Éternelle  ne  peut  être  une  guerre.

.

T’en souviens-t-en de celles de hier,

Elles se sont finies en paix amères,

Qui ne nous ont pas rendus frères.

Lutte contre un  ennemi mystère

Inventé pour troubler l’univers

De l’amour, qui  nous  confère

Tout  autre  œil  sur   la Terre,

Et  la Mort nous  atteint  tous.

Et  toi, tu la braves comme fou.

J’entends bien qu’on  se  battrait,

Contre un mal  qui n’existerait pas.

Souvent  ne dépendrait que de nous,

Ce soit la paix… sens  dessus-dessous !

.

.

Extensions

.

Réveille-toi, on est sur la Terre,

C’est l’enfer et quoique tu penses,

Quoique tu dises, il n’y a rien à faire

Qu’attendre la  fin pour disparaitre

À son tour au paradis des amours !

Amour du paradis, paradis des

Amours, en virtuel ou en fer.

.

L’enfer de la guerre est bien situé sur terre et nulle part ailleurs :

Elle cause suffisamment de morts et nous fait suffisamment peur,

Pourtant elle se renouvelle souvent comme étant presque éternelle

La dernière, à chaque fois, c’est sûr, détruisant tout, pour dominer

Dominer qui, dominer quoi : dominer l’autre, pour laver l’honneur,

 De simple avertissement, elle se transformera pour tous, en horreur

Mais pour la bombe atomique réciproque, c’est pire, par le néant.

On opte pour une guerre propre, sans morts, sans enfer géant,

Courte et puissante, pour ne pas la perdre, en l’enlisant !

.

L’enfer comme lieu

Sur terre, en l’univers

L’enfer comme situation,

Subissant partout souffrance

 Voilà bien deux notions proches,

Qui restent, toutes les deux, moches.

L’enfer, du  latin infernus pour en dessous,

 Est, selon religions, un état de souffrance extrême,

 Du corps ou esprit humain après sa séparation du corps

Douleur expérimentée après la mort, par ceux ayant commis

Des crimes et des péchés dans leur vie terrestre (selon Wikipédia).

.

.

1097 – Calligramme

.

On ne s’en aperçoit tout de suite,

L’enfer survient   R progressivement

Et sans avoir été    É   nullement invité,

Mais  demeure,        V      une fois installé.

L’enfer, bien sûr,       E        c’est  la  guerre :

C’est série d’atten        I          tats   nucléaires.

On ne s’épaulerait        L           plus entre frères

Haine est partout                  avec lot misères.

On s’habitue, parait     E           il et on banalise,

Sa survie journalière             presque miracle

Ce n’est qu’une anti    T       chambre de mort

On l’est déjà un peu,  O      en  tête, en corps.

Réveille-toi, on est   I    bien sur la Terre,

Il n’y a d’amour,  y a plus que l’enfer :

.

Prépare-toi, à parer  les coups,

 Qui  peuvent      S mettre à genoux

Et à donner à        U     te tordre le cou,

Où les respira          R       tions  se nouent.

Frappe du poing        *        frappe des pieds,

Les têtes en sang        L         ils feront éclater,

Je te dis ça mon          A            frère parce que

Je tiens, à toi,  à          *           ton combat, que

Tu devras gagner        T          au vu des enjeux

Être vivant est ce        E      qu’il y a de mieux.

S’il n’y a plus été,      R   plus que long hiver

Changeons atmo     R    sphère, d’univers.

Éternelle ne peut   E     être une guerre.

.

T’en souviens-t-en C   de celles de hier,

Elles se sont finies  ‘     en paix amères,

Qui ne nous ont       E    pas rendus frères.

Lutte contre un          S      ennemi    mystère

Inventé pour                T         troubler l’univers

De l’amour,                    *         qui  nous  confère

Tout autre                      L         œil   sur   la Terre,

Et la Mort                       ‘         nous  atteint  tous.

Et toi, tu la                    E        braves comme fou

J’entends bien              N       qu’on  se  battrait,

Contre un mal qui      F         n’existerait pas !

Souvent  ne dépen    E    drait que de nous,

Ce soit paix/sens  R   dessus-dessous !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1097 4

.

Un piédestal pour une statue 

un pied de table, une colonne,

forme sculpture totémique,

ou une autre, comme diable.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

 .

l’enfer est la superposition

de tous les maux possibles,

même les …inimaginables,

forme et fond convergent.

.

Un totem qui n’engage pas

Tout le monde à la conversation,

Son aspect figé évoque une posture

Diabolique, et sinon mystérieuse.

 .

Symbolique

 .

Les Totems sont des accessoires spirituels

Respectés par Amérindiens pour ce qu’ils sont,

Pour ce qu’ils représentent, et pour rien d’autre.

Mais bien que le Totem soit de nature spirituelle,

Il n’en demeurera pas moins de fait qu’un artifice.

.

Lors peu importe Totem, animal, végétal, minéral

L’essentiel est qu’il fonctionne, pour la personne

Qui  l’a choisi, le reste n’étant  qu’un exercice

Mental tant : ce qui  importe  est  d’avoir

Des contacts tangibles avec le Totem.

Source : sciencetradition.forumacti

.com/t299-symbole-du-totem

.

.

Fond

.

Évocation

.

1097 6

.

Un totem qui n’engage pas

Tout le monde à la conversation,

Son aspect figé évoque une posture

Diabolique, et sinon mystérieuse.

 .

Symbolique 

.

Dans la littérature, le Diable

Est souvent associé à la danse.

Et la diabolisation  du  langage,

En discours politique est courante.

.

Il a partie liée avec les forces du mal

Parfois même avec …l’extrême droite.

Il a toujours des adeptes, tout comme

Nombre de profanations le montrent

Perpétrées en quelques  cimetières.

.

Ce serait façon de braver la mort.

Par son ambivalence, le Diable est

Un mal utile et même  dit nécessaire.

Personnalisation de ce qui est négatif,

On lui reconnaît parfois  le pouvoir de

Réussir là où l’homme échoue en clair.

journals.openedition.org/terrain/9173

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Totem : ni une statue ni une image

Pourtant il représente une essence

De quelque chose qui nous dépasse

À l’origine il s’agissait d’un animal

Comme ancêtre protecteur du clan

Censé être objet de tabous, devoirs

Mais en culture moderne, profane

Il se sera transformé et généralisé

En forme de mâts sculptés de têtes.

Le lever du drapeau  s’en apparente :

On pourra y projeter tout  ce qu’on veut,

L’important comme pour tout est d’y croire.

 .

.

Enfer météo, ou météorites 

.

Scénario

.

Sauter en parachute au milieu  de m’ennemi, c’est l’enfer.

Sauter sur une bombe et perdre un membre, c’est l’enfer.

Sauter en  victime d’explosion atomique, c’est le néant.

 .

Visuels et textuels >>

1096 – Décrire la violence comme accès de colère

Visuels et textuels >>

.

On a coutume de décrire une violence

Comme un accès de colère  passager

D’un homme et voire d’une femme

Altercation,  suite à  provocation

Ou humiliation,  devant public.

.

Les  couples  seront   très peu

Mis  au-devant  de  la scène,

Cela  sur le principe que  ce

Qui se passe,  ne regarde

Que lui, personne autre

Même s’il y a  enfants

Sauf  s’ils  sont  battus.

.

Homme égal, être brutal,

Imposant directement, sa loi,

Et être une femme, c’est être douce

En  séduisant,  pour arriver  à ses fins,

Il ne fait aucun doute que nous restons

Encore près des temps pré-his-tori-ques.

.

Le machisme plait, parfois, aux femmes,

C’est mon mec : il  vient  à bout  de moi,

Il me force à jouir, parfois, malgré moi,

Mais le sadomasochisme n’en est pas

Moins une réelle perversion, et qui

Par  ses  manipulations  imposera

Déséquilibre jouissance douleur.

.

Certains hommes vont jusqu’à

Faire apologie de la violence

Pour résoudre leurs conflits

Au principe qu’en relation

Entre  dominant, dominé,

Problèmes  se résolveront

Presque …  d’eux-mêmes.

.

Mais   s’il   en   est  ainsi,

 Chez tous  les  animaux,

Ils n’ont  pas  de paroles,

Pour  pouvoir  s’exprimer.

.

Il n’en est rien pour des couples humains,

Où, la communication est plus importante,

De même le dialogue pour se comprendre.

.


.

Extensions

 .

Devoir conjugal et complémentarité,

Sont des manières d’asservir le conjoint

Qui n’a son mot à dire.

 .

Être marié n’est pas posséder, frapper, autre,

L’égalité dans un couple reste trop chose rare

À conserver long terme.

 .

Or lors passée la période de fusion amoureuse,

Les vieux démons refont surface et chacun tire

La couverture…  vers lui !

 .

La violence est, parfois, sournoise en un couple,

Par le simple fait qu’elle peut être  quotidienne,

Et parfois sans interruption.

 .

Il y a des hommes qui auront vu leur père battre

Leur mère, réplique, inconsciemment, en couple.

Dès que le conjoint  s’en plaint,

 .

Ne peut être tolérable, acceptable, pardonnable :

Ce n’est qu’une solution de faiblesse, non courage

Une partie des couples qui divorcent

 .

Seront le fait d’apparitions de violences répétées,

Complétées par des manipulations et tromperies

Et c’est dans tel cas, que la femme

Est portée à  quérir divorce, préférant être seule.

.

Colère de l’homme entraine parfois des abus de l’autre sexe,

Lors sous une pulsion incontrôlée, il veut vite la consommer

Sans son accord, simplement  pour jouir  d’un objet présent,

Qu’il convoite et qu’il force et qu’il pénètre comme une boite,

Qu’il referme en laissant, en elle, le plein, de son vide, de lui.

.

On dit que la colère est mauvaise conseillère,

Et qu’on la regrettera, après coup, en misère,

Mais le bleu au corps et à l’âme, persisteront

Malgré tous les efforts, voire malgré pardon.

.

Par principe et par réalité, et pour la Justice

On doit rester maitre de soi, comportement,

Un crime commis sous emprise de la colère,

Ne sera pas plus excusable que… tout autre.

.

.

Épilogue

.

Nombre  de violences  conjugales, font

De plus en plus «la une des journaux»

Ce n’est pas le fait d’homme au boulot

Contre celui de la femme au fourneau,

C’est un autre problème aussi de fond,

Celui de l’entente, de l’égalité, liberté !

***

Tout, dans un couple, ne se réduira pas

À désaccords, mésententes,  sexualités :

La manière de voir la vie, de se projeter,

Soin des enfants, se confortent,  ou pas !

***

L’alcool, autres drogues, les épuisements,

Jouent leur rôle mais ne les excusent pas.

En tout, surtout avec son conjoint : marié,

Aucune raison ne justifie être hors contrôle

***

La faute à qui, c’est lui, elle, qui a commencé,

Que la cause soit grande ou petite, qu’importe,

Ce n’est rien qu’autre que débordement de vase,

Et donc il est probable que la vase se brise, cassé.

***

De porter  la main  sur son conjoint, est faute grave,

C’est pousser  à  porter plainte : déclaration médecin,

Or toutes les violences psychiques, mentales, verbales,

En sont l’équivalent ne laissant aucune trace apparente.

.

.

1096 – Calligramme

.

On a coutume de décrire une violence

Comme un accès de colère  passager

D’un homme et voire d’une femme

Altercation,  suite à  provocation

Ou humiliation,  devant public.

Les  couples  seront   très peu

Mis  au-devant  de  la scène,

Cela  sur le principe que  ce

Qui se passe,  *   ne regarde

Que lui, per   D   sonne autre

Même s’il        É     y a  enfants

Sauf    s’ils        C     sont battus.

Homme égal       R        être brutal,

Imposant direc       I       tement, sa loi,

Et être une femme      R     c’est  être  douce

En  séduisant,  pour       E     arriver  à ses fins,

Il ne fait aucun doute       *       que nous restons

Encore près des temps       L     pré-his-tori-ques.

Le machisme plait par       A     fois aux femmes,

C’est mon mec, il vient        *       à bout de moi,

Il me force à jouir parfois   V     malgré   moi,

Mais le sadomasochisme     I     n’en est pas

Moins une réelle perver      O      sion, qui

Par  ses  manipulations     L      impose

Déséquilibre jouissance   E   douleur.

Certains hommes vont  N    jusqu’à

Faire apologie de la     C  violence

Pour résoudre leurs  E   conflits

Au principe qu’en   *  relation

Entre  dominant  /  dominé,

Des problèmes se résolvent

Presque …  d’eux-mêmes.

Mais  s’il   en  est  ainsi,

 Chez tous  les  animaux,

Ils n’ont pas  de paroles,

Pour  pouvoir  s’exprimer.

ACCÈS     DE     COLÈRE 

.

Il n’en est rien pour des couples humains,

Où, la communication est plus importante,

De même le dialogue pour se comprendre.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Vase avec des formes épurées,

Dont on ne sait ce qu’il contient 

Peut-être une fiole d’un poison

Ou  d’un  excitant qui casse !

.

(forme creuse, rimes libres,

le fond s’approche de la forme)

.

Tous les vases restent fragiles

tous les vases restent cassables

tant et si bien que forme de vase

évoque fragilité, brisure du fond.

 .

.

Forme

 .

Évocation de forme

.

1096 4

.

Violence ressemble à ce vase,

Doté  d’un  renflement  certain :

Sous la colère montante, gonfle

Et douceur d’un geste, le casse !

.

Symbolique de forme

.

Dans la littérature médiévale,

Le vase possède le sens de trésor.

S’emparer de vase, conquérir un trésor

Briser un vase, anéantir par le mépris,

Importance du trésor qu’il représente.

.

Le vase alchimique, le vase hermétique

Signifient toujours le lieu dans lequel les

Merveilles s’opèrent ; c’est le sein maternel,

L’utérus dans lequel une nouvelle vie se forme.

D’où cette croyance que le vase contient

Le secret des métamorphoses.

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1096 6

.

Violence ressemble à ce vase,

Doté d’un  renflement  certain :

Sous la colère montante, gonfle,

Et douceur d’un geste, le casse !

.

Symbolique

 .

En Italie, les jeunes mariés

Sont invités à casser un vase

Ou voire un verre à leur mariage

Et ils y mettent, souvent, du cœur

Parce que le nombre des morceaux

De verre ainsi obtenus symbolisera

Le nombre  d’années  où   le  couple

Restera  heureux  en son  ménage !

Et  ce geste  est, également, là pour

Éloigner  les   démons, qui, apaisés

Par ce geste, pourront, ainsi,  aller

Tourmenter des couples de mariés.

mariages.net/forum/

superstition-du-verre-brise-

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Casser un vase est signe de colère,

Volontairement mais cela va de soi

On évoque parfois scène de ménage.

Tout dépend, intention, cadeau, prix.

.

Il y en a que l’on peut  racheter, réparer,

Et d’autres qui sont uniques, personnels

Si on casse un vase, il vaut mieux le jeter

Que de le recoller car il restera des fissures

Tout comme dans un couple qui se sera déchiré.

 .

.

Qui a commencé, qui a raison

.

Scénario

.

Une situation d’isolement, de fragilité, soumission avant,

face à un prédateur, violeur, un mari macho, ou en colère

entraine posture d’humiliation, déprime, désespoir après.

 .

Visuels et textuels >>

1095 – L’instant hypnagogique !

Visuels et textuels  >> 

.

Hypnagogique ou somnolence

Précédent le sommeil  ou  l’éveil,

Profitant de la baisse  de vigilance

Pour fleurir rêverie qui émerveille.

C’est, à cet instant-là,  à son réveil,

Qu’on se rappelle  son dernier rêve,

Venant d’être achevé,  qui  poursuit

Mêlant allègrement fantasme, réalité

Instant qui conditionnant sa journée,

Combien d’auteurs s’en seront servis

Comme clé pour trouver  leurs idées,

Qu’ils n’auraient, éveillés,  endormis.

 

On sait que l’œil  est : appareil photo,

Et l’oreille est un  détecteur de mots,

Entre image,  sons, réalité présente,

S’évanouit, s’éclipse en hypnagogie.

Vous entends, même je vous vois

 Puis soudain, instant,  plus rien

Autre que fond sonore,    visuel

Qui ne me dit, ne traduit rien.

 

Entre l’éveil   et  le  sommeil,   

Je ferme porte et fenêtres

L’une après l’autre…soir

S’installe, tapis volant,

Me porte  endormant

Fenêtre  des …  sens.

Si   je   vous  quitte,

Corps,  seul,  existe,

Et l’univers consiste

En rêve image illicite,

Qui s’imposeront à moi,

De plain-pied, plein droit.

 

Enfermé en lieu  très secret

Où je puisse être  je m’imagine

Ailleurs, et vis une tout autre vie

Où l’espace et le temps, sont infinis,

Jusqu’à ce que  je me réveille à l’instant,

 

Où mon réveil sonne : il est grand temps

De revenir, à ce que j’étais, précédemment,

Avec un petit quelque chose qui aura changé :

Impression d’avoir résolu  un problème urgent,

Lors on a passé  la veille, à vouloir  le solutionner.

 

Réveil instant hypnagogique fonctionne à l’envers

Il nous sort, du sommeil, de cauchemar, de rêve,

Nous refait toucher du  doigt bribes des réalités

Comme lampe allumant en nous instantanés. 

.

.

Extensions

 .

L’instant  dit… hypnagogique

N’est ni l’éveil ni le sommeil

Mais, no-man-land, le long

D’une   frontière,   gardée,

D’un  côté,  par  le flot  de

Sensations  externes,  qui

Alimentent l’état de veille

Et, de  l’autre,  le  flux  de

Proprioceptions internes

Qui nourrissent, tiennent

Notre  état  de  sommeil.

Un  instant  merveilleux,

Comme   une  télépathie,

La téléportation qui nous

Ouvre des horizons étranges,

Où nous jouons un rôle qui décharge

Toutes nos pulsions restées en frustration.

.

Être entre deux, entre deux états, entre  deux eaux,

Pour, ensuite, se projeter, comme entre ciel et terre,

Sur un tapis volant, déroulant  ses rêves  récurrents,

Plus tout à fait éveillé, pas encore endormi  profond,

Comme sas pour plonger en sommeil, pour en sortir.

.

On appelle mélatonine, hormone du sommeil,

Tout comme la sérotonine : la pilule du bonheur

Créant sentiment de stabilité, bien-être, de plaisir.

.

La mélatonine peut tenir le rôle du marchand de sable

Dans un remake moléculaire de « Bonne nuit les petits » 

Le soir venu, la mélatonine facilite notre endormissement.

.

On lui prêtera d’autres superpouvoirs mais ne rêvons pas !

Il lui faudra certaines conditions afin  qu’elle fonctionne :

Absence de lumière, calme, position allongée, détendue.

.

.

1095 – Calligramme

.

Hypnagogique ou som   I  nolence

Précédent le sommeil    N  ou l’éveil,

Profitant de la baisse   S  de vigilance

Pour fleurir rêverie     T qui émerveille.

C’est à cet instant-là     A      à son réveil,

Qu’on se rappelle son      N     dernier rêve

Venant d’être achevé qui  T       se poursuit

Mêlant allègrement fan     *    tasme, réalité

Instant qui condition     H    nant sa journée.

Combien d’auteurs      Y      s’en seront servis

Comme clé pour        P    trouver  leurs idées,

Qu’ils n’auraient,     N      éveillés,  endormis.

On sait que l’œil      A    est : appareil photo,

Et l’oreille est un     G    détecteur de mots,

Entre image,  sons,   O    réalité présente,

S’évanouit, s’éclipse   G  en hypnagogie.

Vous entends, même   I     je vous vois

 Puis soudain, instant,   Q     plus rien

Autre que fond sonore,   U    visuel

Qui ne me dit, ne traduit  E rien.

Entre l’éveil   et  le  sommeil,   

Je ferme porte et fenêtres

L’une après l’autre…soir

S’installe, tapis volant,

Me porte  endormant

Fenêtre  des …  sens.

Si   je   vous  quitte,

Corps,  seul,  existe,

Et l’univers consiste

En rêve image illicite,

Qui s’imposeront à moi,

De plain-pied,   plein droit.

Enfermé en lieu   É   très secret

Où je puisse être  V   je m’imagine

Ailleurs, et vis    E  une tout autre vie

Où l’espace et    I  le temps, sont infinis,

Jusqu’à ce que   L    je me réveille à l’instant

Où mon réveil    \     sonne : il est grand temps

De revenir, à    S    ce que j’étais, précédemment,

Avec un petit   O  quelque chose qui aura changé :

Impression d’   M  avoir résolu  un problème urgent,

Lors on a passé  M   la veille, à vouloir  le solutionner.

Réveil instant hyp  E   nagogique fonctionne à l’envers

Il nous sort, du som  I   meil, de cauchemar, de rêve,

Nous refait toucher du  L  doigt bribes des réalités

Comme lampe allumant en nous instantanés. 

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Flacon   de   parfum 

Dont   la   senteur  serait

 Propice à l’hypnagogie,

Ou sommeil semi-conscient

 .

(forme creuse, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

 .

Le parfum est une senteur enivrante,

l’inconscient,  une puissance désirante,

lors de sentir ce type de parfum au réveil

nous mettra en état appelé hypnagogique

.

.

Forme

.

Évocation 

.

1095 4

.

Flacon  de parfum strié  blanc et rouge

 Et en spirale autour :

Illusion optique de l’instant hypnagogique

Entre éveil et sommeil.

.

Symbolique de forme

 .

Classiquement, un parfum

Se décrit par des notes olfactives

Qui se différencient en notes de tête,

Celles liées  à la  première impression

Olfactive et qui sont les plus volatiles,

Notes de cœur (celles qui constituent

Le cœur du parfum et demeurent

Pendant plusieurs heures,

Et enfin notes de fond

Celles qui persistent longtemps

Après que le parfum a été vaporisé

Et peuvent rester pendant des

Mois sur quelque vêtement.

Wikipédia : parfum

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1095 6

.

Phase préparatoire, tête sur un coude

Pour faire une bonne sieste

Par entrée instant hypnagogique

Entre éveil et sommeil.

.

Symbolique 

Etat étrange et fascinant,

Caractérisé  par des visions

Similaires  aux rêves  et  aux

Expériences, dites sensorielles,

Inhabituelles, situé à la frontière

De la pleine conscience et du repos.

.

Psychologue nomme hypnagogie,

Mais les artistes s’en servaient déjà

Et depuis des siècles, pour y puiser

Certaines de leurs meilleures idées.

.

L’artiste  surréaliste  Salvador Dalí

L’a qualifié de « sommeil avec une clé »

Et l’utilisait comme source d’inspiration

Créative pour bon nombre de ses peintures.

Modifié, source : lescheminsdelenergie.com/

l-hypnagogie-l-etat-de-semi-conscience

 .

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Parfum permet de créer des conditions

 propices au sommeil dès lors qu’on se trouve

Enveloppé d’une odeur rassurante qu’on connaît.

Il en est de même pour le réveil,  en sens inverse,

Parfum très fort  nous stimulera notre cerveau.

Si vous voulez l’expérimenter, un hypnotiseur

Il vous raconte une histoire pour endormir

Il compte très fort jusqu’à trois pour…

.

.

Instant bascule en sommeil

.

Scénario

.

Ce court instant entre l’éveil et le sommeil,

suivi de rêveries fantasques et rêves insolites,

si ce n’est pas hallucinatoire sur un tapis volant.

 .

Visuels et textuels  >>

1094 – Faire le vide autour de soi !

Visuels et textuels  >>

.

Faire le vide est impossible

Vrai que la Nature en a horreur

Elle se remplit et bien de partout,

Bien que cela ne soit qu’une image.

.

Faire le vide, c’est nettoyer

Ses idées blanches, idées noires

Les capter, trier, voire, les éliminer,

De stocks nouveaux anciens souvenirs.

.

Faire le vide, c’est s’isoler de tout

Peu importe où, en chambre ou nature,

Pour ne plus voir, ne plus entendre du tout,

Afin de pouvoir repartir avec belle âme… pure.

.

Faire le vide autour de soi,

Faire le vide chez soi…en soi,

S’allonger sur une chaise longue,

Sur terrasse jardin, sous beau soleil,

Et ne plus entendre que le bruissement

Des feuilles dans les arbres vus à l’envers

Entrecoupé par diverses mélodies d’oiseaux

Qui vous bercent l’oreille et charment le cœur.

.

Faire le vide autour de soi,

Le vide hors de chez soi, en soi,

Marcher le long d’une grève calme

Comme sentier du tour d’ile en brume

Et ne plus entendre que clapotis de l’eau,

Accompagné des chants des galets arrondis,

Qui vous inspire de quelque fantôme tourment

La crainte de rencontrer, revenant, au tournant !

.

Faire le vide autour de soi,

Le vide d’une rythmique en soi,

Au milieu de foule assistant concert

De rock, ou de folk, ou de rap, ou disco

Ne plus entendre   qu’un seul instrument,

Qui bat la mesure, dont portée notes durent,

En votre tête, comme cette chanson qui entête,

Sans que vous deviniez d’où elle provient en fait.

.

Faire le vide autour de soi,

Le vide lors d’un repas chez soi

Lors le débat familial bat son plein

Que l’on vous parle de tout et de rien

Et n’entendre que le son  de petite voix

D’enfant qui, à l’autre bout, vous regarde

Et qui vous dit par  un petit geste : je t’aime

Comme trop plein remplissant un vide autour.

.

.

Extensions

 .

Faire le vide autour de soi,

Sidéral quand on est au cœur

D’une dispute dont on est prétexte

Pour régler ses comptes, pas le sien,

Pour  n’entendre  que  le  murmure

D’une maman chantant berceuse,

À faire venir marchand de sable

Vous fermant les yeux plein

Des rêves, vous habitant,

La nuit jusqu’au matin.

.

Faire  le vide, intégral,

Lors  un orage  gronde,

Tonnerre éclate, zébrant

L’air d’éclairs fulgurants,

Pour  mettre  sa  tête  sous

L’oreiller, et ne plus entendre

Qu’un bref bruit étouffé comme

Si l’orage était hors de portée et

Se dire que quand il sera passé,

On pourra sortir la tête haute

De refuge improvisé, courir,

Vers autre fenêtre éclairée.

.

 Faire le vide, autant autour qu’en soi, est impossible.

Il s’agit donc d’un vide relatif d’abaissement sensible.

Néanmoins, le calme, le repos, un laisser-aller  certain,

Ne peut qu’y contribuer et lors, peu à peu, on y parvient

Il ne s’agit pas de rêverie, ni d’hypnagogie, ni de sommeil

Il s’agit tout simplement de se fermer les yeux et les oreilles

Et de ne plus penser à rien, de prendre tout comme ça vient !

Certains y parviennent comme en un rite de posture, attitude,

D’autres s’angoissent, dans trop de silence, ou trop de solitude.

.

Le vide est en réalité un mot creux,

Il n’y a rien dedans,  il n’existe pas :

La matière est connue pleine de vide

Et le vide est rempli … d’antimatière,

C’est le serpent qui se mord la queue.

.

Si on dit je sens comme un vide en moi

Est-ce qu’on le dit au sens propre, figuré

Autour de moi me parait être plus simple

Je ferme les yeux, oreilles : le compte y est

Sauf pour les vibrations lourdes et le cœur.

.

.

1094 – Calligramme

 .

F A I R E    L E   V I DE

Faire le vide est impossible

Vrai que la Nature en a horreur

Elle se remplit et bien de partout,

Bien que cela ne soit qu’une image.

.

Faire le vide, c’est nettoyer

Ses idées blanches, idées noires

Les capter, trier, voire, les éliminer,

De stocks nouveaux anciens souvenirs.

.

Faire le vide, c’est s’isoler de tout

Peu importe où, en chambre ou nature,

Pour ne plus voir, ne plus entendre du tout,

Afin de pouvoir repartir avec belle âme… pure.

.

Faire le vide autour de soi,

Faire le vide chez soi…en soi,

S’allonger sur une chaise longue,

Sur terrasse jardin, sous beau soleil,

Et ne plus entendre que le bruissement

Des feuilles dans les arbres vus à l’envers

Entrecoupé par diverses mélodies d’oiseaux

Qui vous bercent l’oreille et charment le cœur.

.

Faire le vide autour de soi,

Le vide hors de chez soi, en soi,

Marcher le long d’une grève calme

Comme sentier du tour d’ile en brume

Et ne plus entendre que clapotis de l’eau,

Accompagné des chants des galets arrondis,

Qui vous inspire de quelque fantôme tourment

La crainte de rencontrer, revenant, au tournant !

.

Faire le vide autour de soi,

Le vide d’une rythmique en soi,

Au milieu de foule assistant concert

De rock, ou de folk, ou de rap, ou disco

Ne plus entendre   qu’un seul instrument,

Qui bat la mesure, dont portée notes durent,

En votre tête, comme cette chanson qui entête,

Sans que vous deviniez d’où elle provient en fait.

.

Faire le vide autour de soi,

Le vide lors d’un repas chez soi

Lors le débat familial bat son plein

Que l’on vous parle de tout et de rien

Et n’entendre que le son  de petite voix

D’enfant qui, à l’autre bout, vous regarde

Et qui vous dit par  un petit geste : je t’aime

Comme trop plein remplissant un vide autour.

A   U   T   O   U   R      D   E     S   O   I !  

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation

.

1094 4

.

Un temple bouddhiste

À sept  étages  mais  est-il

Chinois, japonais, indien

 Qui le sait, qui l’affirmera ?

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme

.

Un temple évoquera en effet le besoin

de faire périodiquement le vide en soi,

et comme en lui-même il est assez vide

la forme aidera bien à atteindre le fond

.

Faire le vide durant sept fois de suite

Est d’être sûr d’y parvenir :

C’est mieux d’être en temple

Bouddhiste, tant c’est en sa nature.

.

Symbolique

 .

Pagodes,

Pavillons,

Monastères,

Temples japonais

Autels shinto bornent

Les paysages du Japon.

.

Quelles que soient les croyances, les lieux

De culte coexistent au pays de myriade de divinités.

Rien de plus normal car selon un adage populaire :

« Le Japonais naît shintoïste et meurt bouddhiste »

vivrelejapon.com/theme-temples-sanctuaires

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1094 6

.

Faire le vide durant sept fois de suite

Est d’être sûr d’y parvenir :

C’est mieux d’être en temple

Bouddhiste, tant c’est en sa nature.

.

Symbolique 

 .

Huit symboles apparaissent

Tout d’abord  en Inde  dans les

Cérémonies d’investiture royale.

Liste ancienne énumère : un trône,

Un svastika, une empreinte de main,

Un nœud et puis une urne aux trésors,

Une aiguière, et  un couple  de  poissons,

Un bol  couvert …  dans  le bouddhisme,

Ce sont : la conque, le parasol,  les poissons,

L’urne, la roue, la bannière, le lotus, le nœud.

Ils furent  offerts, par les devas,  au Bouddha,

À sa naissance, reconnaissance de «royauté».

Modifié, source : Wikipedia.org/wiki/Ashtamangala

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le vide appelle le vide

Le plein appelle le plein :

Y a-t-il là-dedans du divin

 Sinon de plus clair et limpide

Entre des temples, que choisir

Japonais, bouddhiste, chrétien,

Ou encore humaniste, cosmique.

Le vide de l’Univers est immense,

Aucune religion ne le compense !

 .

.

Faire le vide pour refaire le plein

.

Scénario  

.

Faire le vide autour de soi : question d’attractivité !

Faire le vide autour de soi, question de solitude !

Faire le vide, autour de soi, question de sensations !

 .

Visuels et textuels  >>

1093 – La douceur d’un rayon de soleil

Visuels et textuels  >>

.

Le soleil est une valeur sûre

Le soleil est une valeur pure

Chaleur gratuite, non fortuite

Lumière, éclatante, reposante

Lors on a dit cela on a tout dit

Que non, Dieu Soleil nous ravit

Autant esprit, âme, que le corps

Lors il s’en va, on lui dit : encore.

.

Idylle avec La lune nous réfléchit

La nôtre, compagne, compagnon,

À qui l’on ne sait jamais dire  non

Ou ombre, aussitôt, nous envahit

La douceur d’un rayon… de soleil

Caresse ma peau … toute en éveil,

.

Comme si plumes d’un bel oiseau

Chatouillaient pores de mon dos,

Sensations, montant au cerveau,

Déclenchent comme  avalanches

D’impressions, de ce pays, beau,

Où l’on se rapproche  des anges.

.

Entièrement gratuit… pain béni,

Tant soleil appartient  à chacun,

Et  à tout le monde, en bon ami,

Qui ne prend parti, pour les uns,

Oubliant les autres,  sans merci :

Sa lumière, elle-même, obscurcit

Toute pensée, qui ne se raffermit,

Que quand un sexe  s’est endormi.

.

Le soleil en aurait fait … divaguer

Plus d’un et plus d’une, en plage,

En dune, en  terrasse, pré-carré,

Avant d’être voilé, par un nuage

Apportant autre douceur suave,

Contre feu  de chaleur, sauvage,

.

Qui vous donne instant de répit

Après des pleines sueurs, au lit,

La douceur produit la rougeur,

Qui au sang, transmet l’ardeur,

Vous procure, comme vapeurs,

Et chasse toutes  peines, peurs.

.

Dès lors … l’ensemble du corps

Ne peut plus faire aucun effort,

Pour résister à cette… tentation

De remettre l’amour, en action,

Amour du bien-être… solitaire,

Avec le soleil,  pour partenaire,

.

Fini de penser et fini de braire,

Lui seul est là pour…satisfaire,

Moindre de vos désirs,  subtils,

Moindre de vos désirs, intimes,

D’instants précieux qui défilent,

Tant qu’ils se gardent en estime.

.

.

Extensions

 .

Douceur d’un rayon de soleil sur la peau nue,

Ressemble à une caresse tendre et bien venue.

Le soleil s’évertue, qu’on soit homme ou femme

À nous réchauffer et le corps et le cœur et l’âme,

Mais  attention, trop point n’en faut, expositions,

Il a son côté sombre et qui n’est pas dans l’ombre.

Un coup de soleil par ici, ou une insolation par-là,

Et, à force répétitions, provoque cancer de la peau,

Ami qui vous veut du bien, qui peut vous faire mal !

.

Un fin rayon de soleil dans une pièce sombre

Est comme un faisceau  lumineux en l’ombre

Comme un coup de projecteur sur la surface,

Où tout le reste autour s’estompe ou s’efface.

.

On appelle cela en théâtre et communication

Sortir de l’ombre pour être en pleine lumière

On est plus dans sa chambre on est sur scène

Moindre mouvement est capté comme signe.

.

Le premier rayon est tout naturel : du soleil !

Le second est complétement artificiel … irréel

Si j’adore le premier, le second, me fera peur :

Je ne me sens pas prêt à soutenir telles lueurs.

.

.

1093 – Calligramme

 .

                              LA DOUCEUR D’UN

Le soleil est une valeur sûre…………………………………………………..

Le soleil est une valeur pure,………………………………………………

Chaleur gratuite, non fortuite,………………………………….………

Lumière, éclatante, reposante :……………………………………

Lors on a dit cela on a tout dit…………………………………

Que non, Dieu Soleil nous ravit,……………………………

Autant l’esprit, l’âme que le corps…………………….

Lors il s’en va, on lui dit : encore !………………

Idylle, avec La lune, nous  réfléchit……….

 La nôtre, compagne et compagnon, ….

À qui l’on ne sait jamais dire  non…

Ou ombre aussitôt nous envahit….

  La douceur d’un rayon … de soleil

    Caresse ma peau … toute en éveil,

      Comme si plumes d’un bel oiseau

         Chatouillaient pores de mon dos.

            Sensations, montant au cerveau,

              Déclenchent comme  avalanches

                 D’impressions, de ce pays, beau,

                   Où l’on se rapproche  des anges.

                       Entièrement gratuit… pain béni,

                          Tant soleil appartient  à chacun,

                            Et  à tout le monde, en bon ami,

                               Qui ne prend parti, pour les uns,

                                  Oubliant les autres,  sans merci :

                                     Sa lumière, elle-même, obscurcit

                                         Toute pensée, qui ne se raffermit,

                                             Que quand un sexe  s’est endormi.

                                               Le soleil en aurait fait … divaguer

                                               Plus d’un et plus d’une, en plage,

                                                 En dune, en  terrasse, pré-carré,

                                                   Avant d’être voilé, par un nuage

                                                     Apportant autre douceur suave,

                                                       Contre feu  de chaleur, sauvage,

                                                         Qui vous donne instant de répit

                                                           Après des pleines sueurs, au lit.

                                                             La douceur produit la rougeur,

                                                                Qui au sang, transmet l’ardeur,

                                                                   Vous procure, comme vapeurs,

                                                                      Et chasse toutes  peines, peurs.

                                                                       Dès lors … l’ensemble du corps

                                                                           Ne peut plus faire aucun effort,

                                                                              Pour résister à cette… tentation

                                                                                De remettre l’amour, en action.

                                                                                  Amour du bien-être… solitaire,

                                                                                   Avec le soleil,  pour partenaire,

                                                                                      Fini de penser et fini de braire,

                                                                                       Lui seul est là pour…satisfaire.

                                                                                          Moindre de vos désirs,  subtils,

                                                                                             Moindre de vos désirs, intimes,

                                                                                                 D’instants précieux qui défilent,

                                                                                                    Tant qu’ils se gardent en estime.

                                                                                      R A Y O N  D E  S O L E I L 

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1093 4

.

Un rayon de soleil

Qui se réfracte en angle

En verre, dit «cathédrale»

Produit lumière diaphane.

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’accorde à la forme)

.

Un rayon de soleil forme un faisceau,

Lumineux et intense :

S’il se réfracte, en l’eau ou autre surface,

Lumière devient oblique.

.

Symbolique 

 .

Souvent, le Soleil

Représente le pouvoir.

Cet astre donne la vie

Lors si le Soleil venait

À disparaître, même

Si  ses  rayons  ne

Nous parvenaient plus,

La vie s’éteindrait sur Terre,

D’où le symbole : donneur de vie.

.

En alchimie, le symbole  du Soleil  est

L’or est un cercle avec un point au centre.

Évoque intérieur, avec ce qui gravite autour.

.

Astronomie et astrologie, le symbole est le même.

Soleil est aussi employé par métaphore en poésie

Pour « jour, journée » et par analogie aux

Sens de « plein jour », de « vie publique »

Et de « grand homme » (Roi Soleil).

Source : rts.ch/découverte/sciences-et-

environnement/terre-et-espace/le-soleil

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Un rayon de soleil forme un faisceau,

Lumineux et intense :

S’il se réfracte, en l’eau ou autre surface,

Lumière devient oblique.

Symbolique

 

La lumière traverse l’air

En suivant une certaine direction

Et alors se propageant en ligne droite.

Puis, au moment où elle entre en contact

Avec l’objet transparent, conserve trajectoire

En ligne droite, change brusquement de direction.

.

Enfin, un nouveau changement de direction intervient

Lorsque la lumière quitte l’objet transparent pour retourner

Dans l’air et lorsqu’elle se trouverait  dans un  milieu  homogène,

La lumière se propage en ligne droite. Lorsqu’elle change de milieu,

Ou bien lorsque le milieu n’est plus homogène, elle est alors déviée,

C’est le phénomène courant dénommé de réfraction.

superprof.fr/ressources/scolaire/dictionnaire/

action-de-devier-un-faisceau-lumineux.

 .

 .

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Le rayon de soleil ne peut être qu’un bienfait,

En terme figuré, il représentera une embellie

Simple rayon de soleil, en chambre obscure,

Suffirait  à  représenter  le  monde extérieur,

.Comme favorable pendant toute une journée.

.

Il apporte avec lui énergie, lumière, douceur

Qui comme chacun sait, fait du bien au cœur

Et nous met dans des états seconds de rêverie

Que certains ont appelé du nom  hypnagogie

Semi conscience qui accompagne notre réveil

Et, parfois, conditionne tous nos états d’éveil.

 .

.

Un bain de soleil en amoureux

.

Scénario

.

Vue, pratiquée, appréciée par un homme,

vue, pratiquée et appréciée  par une femme,

et par deux copines, dormant durant bronzette.

 .

Visuels et textuels  >>

1092 – Le grand silence qui m’entoure

Visuels et textuels  >>

.

Le silence est, chacun sait,

Indispensable  à méditation,

Silence  autour  autant, en soi

Douce musique   de votre corps,

Envahissant entier, de l’intérieur,

Rythme flot calme de vos pensées.

.

Harmoniques vous créera telle bulle

Sensation  externe   deviendrait  nulle,

Lors l’écho du cœur, seul, vous parvient.

Et vous en oublieriez presque de respirer

Si complètement plongé  dans cette idée

Qui du stress vous repose de la journée.

 .

Ce grand silence, et qui m’entoure,

N’étoufferait pas bruits intérieurs

Et qui me jouent bien des tours

Lors je recherche un bonheur.

.

Il me protège et de l’extérieur,

De  nuit  tout comme  de  jour

Ou, il me rend les yeux, rieurs

Surtout, quand je fais l’amour !

 .

Bruit  se  transforme, chanteur,

Puis douce musique tout autour

Et  me réchauffe : sang  et cœur

Lorsque point d’orgue,  accourt.

 .

Harmoniques s’enchainent,

Et  me  libèrent, des  chaines,

Tout en peuplant les alentours,

D’ondes,  en autant de discours,

Berçant  mes oreilles, en mineur,

Rythmant paroles de troubadour

Ponctuée d’un silence  à  l’heure,

Où tout est luxe, calme, velours.

.

Silence et bruit sont états transitoires

Qui se renforcent ou qui se contrarient.

Et la minute de silence en vue d’honorer

La mémoire de quelqu’un qui est mort,

A une signification symbolique certes

Est message plus fort que discours.

.

.

Extensions

 .

Il y a aussi «luxe, calme et volupté»

Après l’amour,  pour Baudelaire

Mais on peut aussi le décliner

En  «luxe, calme et satiété»

Après dîner, ou bien encore

«Luxe, calme  et  discrétion»,

Toujours est-il que le silence est

Propice à des pensées intérieures,

Des rêveries, des fantasmes, de folies.

.

Le moindre bruit  deviendra susceptible

D’interprétations qui se transformeront en

Sons intérieurs, se poursuivent en symphonie.

Bruit du vent  qui passe, siffle à travers  la serrure,

Celui de feuilles du peuplier qui bougent sans s’arrêter,

Celui du coq qui chante, du chien qui aboie, il y en a etc.

.

Il y a une  grande différence  de traitement, entre les sons

Qu’on subit et ceux qu’on produit, et, qu’en plus, on aime.

Bruit de pas de sa bien-aimée, sur le plancher de l’escalier,

Agace les voisins, vous ravit, vous avertit  de  sa  proximité

Bientôt de sa présence dans l’intimité, et silence précédant

Qui précède la musique, c’est de la musique, comme suit.

.

Le silence existe dans la Nature … pleine, et, sauvage,

Hormis quelques bruits naturels et de cris d’animaux

Et dans des grottes, on peut même, en se concentrant,

Entendre son propre cœur battre et jusqu’à l’unisson !

Au point que, pour certains, ça en devient…angoissant.

Moi j’apprécie, surtout la nuit quand la mélodie secrète

Des étoiles, de notre  galaxie, bien au-delà,  de l’Univers,

Me parvient  en ondes faibles, et m’émerveille, à souhait,

À tel point que je me confonds en elle, en sa joie d’exister.

.

Le silence complet comme chacun le sait

Donne l’impression que le temps s’arrête

Tout comme le bleu d’un ciel…  sans vent

Crée l’impression que tout est immobile.

.

Lors les deux s’ajoutent, ça crée panique

Dans notre cerveau, qui s’interroge alors,

Si environnement est faux, irréel, disparu

Moment d’égarement où il plane sur l’air.

.

Silence qui précède tremblement de terre

Lors animaux, captant signaux, se taisent

Tandis que, chez nous, l’activité continue,

Comme si de rien n’était, aveugle, sourd.

.

.

Épilogue

.

Il y a, comme chacun  le sait :

Le bruit et le silence extérieur,

Le bruit et le silence intérieur :

Les deux peuvent nous affecter.

***

Pour se prémunir,  débarrasser

Des bruits  extérieurs … s’isoler

En un endroit  calme, inhabité,

Se mettre en position de repos.

***

Pour se prémunir, débarrasser

Des bruits intérieurs : méditer,

En prenant un thème, fil rouge,

Duquel l’on ne devra décrocher.

***

C’est plus facile à dire  qu’à faire,

Me direz-vous : avez bien raison,

On n’entre pas  en l’introspection,

Sans être dispo  pour ne rien faire.

***

Selon que l’on est un ours ou singe,

Le premier taciturne ; l’autre, agité,

On y parviendra plus vite, concentré

Il n’est pas question remue méninge.

***

C’est plus facile aussi, en congé, voyage,

S’il n’y a plus aucun souci, aucun tapage,

La vue et calme des iles exotiques ou non,

De tous sont connues pour cela, de renom.

***

Sons, bruits, que  je produis, sont  différents

De ceux  qui  me percutent, ceux que je subis,

Des airs mélodiques, doux, rythmes relaxants,

Nous élèvent vers bien être comme en paradis.

.

.

1092 – Calligramme

.

Le silence est, chacun sait,

Indispensable  à méditation,

Silence autour    * autant, en soi

Douce musique     L  de votre corps,

Envahissant entier  E      de l’intérieur,

Rythme flot calme     *      de vos pensées.

    G

Harmoniques vous     R     créera telle bulle

Sensation externe        A       deviendra nulle,

Lors l’écho  du cœur,    N   seul, vous parvient.

Et vous en oublieriez     D   presque de respirer

Si complètement plon    *       gé dans cette idée

Qui du stress vous re      *      pose de la journée.

    S

¤    Ce grand silence,      I      qui m’entoure,    ¤

¤¤    N’étoufferait pas      L  bruits intérieurs    ¤¤

¤¤¤    Et qui me jouent     E    bien des tours     ¤¤¤

 ¤¤¤¤    Lors je recherche   N      un bonheur,      ¤¤¤¤

¤¤¤¤     Il me protège et      C    de l’extérieur,      ¤¤¤¤

¤¤¤¤      De nuit    tout,        E   comme de jour      ¤¤¤¤

¤¤¤¤       Ou, il me rend        *     les yeux, rieurs      ¤¤¤¤

¤¤¤¤       Surtout, quand      Q    je fais l’amour !     ¤¤¤¤

    U  

¤¤¤¤       Le bruit se trans    I     forme, chanteur   ¤¤¤¤

 ¤¤¤¤      Puis douce musi     *    que tout autour    ¤¤¤¤

¤¤¤¤    Et me réchauffe     M     sang et cœur    ¤¤¤¤

¤¤¤   Lorsque point d’or  ‘      gue,  accourt.  ¤¤¤

     E

 Harmoniques    N s’enchainent,

Et me libèrent,      T     des chaines,

Tout en peuplant    O     les alentours,

D’ondes en autant    U         de discours,

Berçant mes oreilles   R            en mineur,

Rythmant paroles de    E             troubadour

Ponctuée d’un silence    *                   à l’heure,

Où tout est luxe, calme   *                  et velours.

.

*******************************************

******************************************

.

Silence et bruit sont états transitoires

Qui se renforcent ou qui se contrarient.

Et la minute de silence en vue d’honorer

La mémoire de quelqu’un qui est mort,

A une signification symbolique certes

Est message plus fort que discours.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.1092 4

.

Je ne sais si la forme ressemble

 À un singe ou un bien un  ours

Y a des humains  qui sont ours,

Et peu d’ours qui soit humain.

.

(forme stylisée, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

À vrai dire la forme ressemble plutôt

à un robot qu’à un ours ou un singe :

quoiqu’il en soit, loin d’un être humain

si bien que le fond diffère rade la forme

.

Il ressemble à un homme-singe,

Et voire un ours en pleine jungle.

C‘est sans doute à force de solitude

Qu’il demeure toujours silencieux !

 .

Symbolique 

 .

Le singe est un vrai primate

Présentant de fortes ressemblances

Avec l’homme : comme lui il symbolise

L’agilité, l’intelligence,  voire l’ingéniosité.

.

Lors, dans la mythologie égyptienne, le singe

Est associé au scribe car il note la parole de Ptah

Le dieu créateur puis  d’Anubis la déesse funéraire.

.

Aussi, il était considéré comme un magicien suprême,

Un artiste, un prestidigitateur tout à fait capable de lire

Les plus mystérieux, les plus complexes  des hiéroglyphes.

1001symboles.net/symbole/sens-de-singe

.


.

Fond

 .

Évocation

.

1092 6

.

Il ressemble à un homme-singe,

Et voire un ours en pleine jungle.

C‘est sans doute à force de solitude

Qu’il demeure toujours silencieux !

 

Symbolique 

 

L’ours fut considéré

Comme un double de l’homme,

Un ancêtre tutélaire, un symbole

De puissance, de renouveau,

Du passage des saisons,

Et même de royauté

Puisqu’il fut longtemps

Symbole de protection en Chine.

L’ours est surtout le symbole de la

Transition entre la pulsion animale

Et la maîtrise humaine : il est le

Symbole  de  la  maîtrise  des

Instincts et de la bestialité.

Il est donc celui qui prépare

La paix, en corrigeant, en

Premier lieu ses propres excès.

Source : guillaumedoucere.

canalblog.com/archives

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le singe est plutôt bruyant en pleine nature

Tandis que l’ours est plutôt du genre discret

Chacun d’eux interprètera silences et bruits

En signaux de calme ou danger potentiel !

En symbolisme, on ne peut les associer,

Bien que chacun ait lien avec l’homme

Le silence et le bruit qui les entoure.

 .

.

De l’homme, au singe, à l’ours 

.

Scénario  

.

Grands espaces instaurent grand silence environnant,

îles désertes, exotiques, tout autant, mais touristiques,

où lors j’entends mon cœur battre comme un tambour.

.

Visuels et textuels  >>

1091 – Silence complet autour, hormis esprit

Visuels et textuels >>

.

Le silence complet est

Propice aux projections

Diverses et envahissantes,

Et voire saturant son esprit.

.

On pense à tout, on pense à rien

À des idées, et voire, à des images,

Défilent, sans aucun lien entre elles.

.

Dans ces états, appelés hypnagogiques,

Entre la fin du sommeil et le début d’éveil

S’entremêlent, se confrontent,  à merveille :

L’inconscient se détend avec sa raison logique

.

Silence complet autour   Tout y passe : programme

.

Hormis en mon esprit       De la vieille et d’aujourd’hui,

.

Sept heures et je viens       Le moindre de mes problèmes

.

De me réveiller, au lit,         Avec le moindre de mes soucis

.

C’est fou je gamberge,            Parfois,  j’en pleure, ou, parfois

.

Vrai, on ne m’a rien dit.           Je tempête,  pour finir,  j’en rie.

.

Il n’y a pas un bruit dans          L’instant  réveil,  n’a rien  à voir

.

La maison, chat dort aussi,       Avec celui du profond sommeil

.

J’aime cet instant où tout est      L’entrée en état de somnolence

.

Suspendu, et puis, s’évanouit       N’est pas état  de  grande veille,

.

Où mes pensées les plus folles      Tout se relâche, tout se détend

Finissent par pousser  leur cri.       Et, soudain, tout se renouvelle.

.

J’ai rêvé, cette nuit, d’autre vie       Silence  du  petit  matin, au lit,

.

Et  d’un destin, plus personnel,      Est  une vraie, pure, merveille,

.

Où fantasmes et cauchemars et      Nouveau jour se lève pour moi

.

Où les projections s’entremêlent    Et dès lors  rien ne sera pareil,

.

Jusqu’à ce que fin me paraisse       Le tout, en un cycle  des jours

.

Bien douce, et moins cruelle.         Qui me parait être perpétuel.

.

.

Extensions

 .

Silence complet autour de moi,

Sauf en mon esprit qui ne s’arrête pas,

Qui ne prend de repos, sauf à être débranché

Mais là je serais mort, je crois que j’aurais tort :

Pur esprit, je ne le suis, du moins pas encore.

Le silence complet est lié à un manque de

Sensations externes mais non internes :

Toutefois, il y a,  et  il y aura, toujours,

Comme dans les confins  de l’Univers,

Un bruit de fond,  dans  mon cerveau.

Mon cerveau ne fait pas de bruit mais

Il ne peut  s’en passer : simplement, je

Ne l’entends pas  parce qu’il m’écoute !

 .

Le silence extérieur ne suffit pas à établir l’intérieur

S’il y a, bien sûr, une certaine corrélation entre eux,

Il n’y a pas d’automaticité comme un «On» et «Off»

On sait que le cerveau n’arrête jamais d’être stimulé

Si ce n’est de l’extérieur, par remaniements internes

Même durant méditation, et même durant sommeil,

Cerveau poursuit  son travail  comme en autre éveil !

Il est bien connu que nos oreilles n’ont pas de clapet,

Lors fermer ceux du voisinage, n’y pensez même pas.

 .

On sait que le cerveau ne dormira que d’un œil

Pour ne pas dire, ici, lors silence : d’une oreille !

L’esprit fonctionnerait au moment du plein éveil,

Sur un mixte de stimulations internes et externes.

.

On intègre parfois la sonnerie du réveil en son rêve

Lors on vient au travail, on invoque panne d’oreiller

Ça prend une dois, deux fois, trois fois, puis au-delà,

C’est comme cette l’histoire d’enfant qui crie au loup.

.

.

1091 – Calligramme

.

Le silence complet est

Propice aux projections

Diverses et envahissantes,

Et voire saturant son esprit.

.

On pense à tout, on pense à rien

À des idées, et voire, à des images,

Défilent, sans aucun lien entre elles.

.

Dans ces états, appelés hypnagogiques,

Entre la fin du sommeil et le début d’éveil

S’entremêlent, se confrontent,  à merveille :

L’inconscient se détend avec sa raison logique

.

Silence complet autour    #    #   Tout y passe : programme

.

Hormis en mon esprit    #       #   De la vieille et d’aujourd’hui,

.

Sept heures et je viens    S         H   Le moindre de mes problèmes

.

De me réveiller, au lit,     I          O     Avec le moindre de mes soucis

.

C’est fou je gamberge,       L           R      Parfois, j’en pleure, ou, parfois

.

Vrai, on ne m’a rien dit.       E           M      Je tempête, pour finir, j’en rie.

.

Il n’y a pas un bruit dans        N           I      L’instant  réveil  n’a rien à voir

.

La maison, chat dort aussi,       C           S     Avec celui du profond sommeil

.

J’aime cet instant où tout est     E           #     L’entrée en état de somnolence

.

Suspendu, et puis, s’évanouit      #           L     N’est pas état de grande veille,

.

Où mes pensées les plus folles      C           ‘      Tout se relâche, tout se détend

.

Finissent par pousser  leur cri.     O           E      Et, soudain, tout se renouvelle.

.

J’ai rêvé, cette nuit, d’autre vie    M           S      Silence  du  petit matin, au lit,

.

Et  d’un destin, plus personnel,     P           P      Est une vraie, pure, merveille,

.

Où fantasmes et cauchemars et     L          R     Nouveau jour se lève pour moi

.

Où les projections s’entremêlent   E          I     Et dès lors  rien ne sera pareil,

.

Jusqu’à ce que fin me paraisse      E         T      Le tout, en un cycle  des jours

.

Bien douce, et moins cruelle.         #         #      Qui me parait être perpétuel.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1091 4

.

Une forme de manteau

Avec rabat et suspendu

À un crochet au mur,

Pensée fantôme ?

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’approche de forme)

.

À peine aurai-je mis le col de mon manteau,

Appliqué  fort autour de ma tête,

J’entends moins tous les bruits extérieurs :

De ma pensée intérieure, seuls.

.

Symbolique 

 .

Notre manteau

Nous protège  bien

Du froid et de la pluie,

De la nudité, et de nombre

D’agressions  extérieures, telles

Que le bruit, et voire la poussière.

.

Il symbolise un mécanisme mental

Qui nous protègerait des souffrances.

Les froids peuvent représenter les

Comportements froids des gens,

Distants, silencieux, qui blessent.

.

Si l’on rêve de mettre un manteau,

C’est que l’on manque, en ce moment,

De chaleur affective ou que l’on se sent

Vulnérable  aux diverses  stimulations,

Et  ce, tant  intérieures  qu’extérieures.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1091 6

.

À peine aurai-je mis le col de mon manteau,

Appliqué  fort autour de ma tête,

J’entends moins tous les bruits extérieurs :

De ma pensée intérieure, seuls.

.

Symbolique 

.

Au sens large, la pensée

Est une  activité  psychique,

Consciente dans son ensemble,

Qui recouvre tous processus par

Lesquels  sont élaborés, en réponse

À toutes perceptions venues des sens,

Des images, des sensations ou internes

Tels que des concepts  que  l’être humain

Associera  pour apprendre, créer  et  agir.

C’est  aussi, une  représentation  psychique,

Ensemble d’idées étant propres à un individu,

Ou à un groupe, une façon de juger, une opinion

Un trait de caractère, comme pensée rigoureuse !

fr.wikipedia.org/wiki/Pensée

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un manteau nous protège de quelque chose

Le plus souvent du froid pour lequel il est fait

Mais parfois aussi, il cacherait  quelque chose

Qu’on donne ou non à voir, en vérité ou nudité

Parfois, il fait silence sur ce qui nous dérange :

On dira alors qu’il est caché «sous le manteau»

Mais il pourra aussi nous évoquer le fantôme

De quelqu’un qu’on a connu, qui l’a porté.

 .

.

Posture, silence, méditation

.

Scénario

.

Silence complet autour,

hormis mon chat qui ronronne

et les bruits familiers ou du voisinage.

 .

Visuels et textuels >>

1090 – Mille bruits, mille images, sensations !

Visuels et textuels >>

.

Bruits, images  et sensations

Donnent  impression de vivre

Et, à fond,  toutes ses actions,

Et pourtant,  me rendent ivre,

D’être, toujours, à  saturation

Avec l’envie de stop  et encore,

Comme si, d’une  telle drogue,

Je ne pourrais plus me passer

 .

Jusqu’à  la  fin, mon attention

Baisse, tout devient cacophonie

Et kaléidoscope, images, défilant

À toute vitesse ou sans perception

Autre qu’impression que je me noie

En océan de sensations, me broyant,

En tous cas, je suis incapable d’écrire

Pour composer des textes faisant sens.

.

Mille bruits, mille images, sensations,

Des jours, m’assaillent, avec émotions,

Bien dormi, bien réveillé et frais dispo,

J’en capte un peu, beaucoup… de trop.

.

Mille bruits, mille images… sensations,

Font que, en mon cerveau, se brouillent,

Tous mes programmes d’interprétations

À tel point  que  ma bouche  en bafouille.

.

Mille bruits, mille images… sensations,

Font chambres d’échos  à mes horizons,

Lors en brumes légères de mes rêveries,

Les transposent, cauchemars ou fééries.

.

Mille bruits, mille images… sensations,

Comment s’extraire de telle cacophonie

Qui s’impose à moi, lors me déconstruit,

Au point que je ressens une indigestion !

.

Mille bruits, mille images … sensations,

Parfois, évoquent chez moi mille unions

De choses qui se percutent, sans soucis,

Et se fondent toutes comme… joyeuserie.

.

.

Extensions

.

Mille bruits, mille images, sensations :

Trop, c’est trop, d’ailleurs, à quoi bon.

Je préfère les choisir, à mon  rythme,

Plutôt que d’avoir à les subir et trier,

Comme les bruits incessants de rue,

Comme  les images  de  la Publicité.

.

Qu’est-ce que j’ai à faire du passage

D’un camion klaxonnant ou freinant

Puis redémarrant, sec, au feu rouge !

Où,  qu’est-ce que j’ai à faire, du prix

De voiture  dont je n’aurai pas besoin,

Ou que je ne pourrai jamais m’acheter.

.

Lors j’ai besoin, envie, de quelque chose,

Je préfère aller le chercher par moi-même

Les informations le concernant, mais même

En allant sur Internet on vous pollue avec des

Offres tant et si bien qu’on ne peut y échapper.

.

La télé : sur des chaines, aux heures de pointes,

Vingt minutes de programme,  dix de publicité.

À la radio, on vous couperait une chanson, pour

Vous la passer  « temps de cerveau disponible »

Pour approfondir une information, est en nette

Diminution : qui s’en plaint, et qui s’en soucie !

.

Bruits, images, sensations  ou  le  trio  gagnant

Que ce soit en direct, en différé  ou en télévisé,

Comment mon cerveau les filtre, déjà fatigué,

Ne serait-il pas, déjà, en permanence, saturé !

Je ne me pose plus cette question, pas le temps

Tant je zappe d’un chose à l’autre, en les fuyant,

Sans jamais pouvoir leur échapper, et, pourtant :

Bruits se transforment en images, réciproquement,

Si mes sensations ne sont pas vécues : perte de temps.

.

Nous sommes, il faut bien nous l’avouer,

Bombardés de bruits, images, sensations

Par des publicités, séries …  informations,

Dont il y a autant de fausses que de vraies.

.

La lecture d’un livre du début jusqu’à la fin,

S’avèrera être exercice presque marathonien

Voilà bien récit, roman, essai dont on retient

Des choses, pour s’être impliqué, non en vain.

.

Quand j’étais enfant, on me faisait  apprendre,

Des tas de choses, diverses  et utiles, par cœur,

Lors maintenant c’est à peine si je me souviens

De mon numéro de téléphone et de ma femme.

.

.

Épilogue

.

Notre cerveau, notre esprit … voire  notre pensée,

Ne peuvent survivre sans stimulations longtemps,

Pour autant, trop point n’en faut, en même temps,

Entrée cerveau est limitée et traitement est saturé.

***

Mille est un chiffre symbolique pour dire beaucoup,

Ce n’est pas que nombre qui compte, force, violence,

La force des sons, des bruits,  la violence des images,

Qui allument l’arbre de Noël, en cerveau, qui brûlera.

***

Burn-out,  les anglophiles appellent cela : saturation !

Burn-in, faudrait-il dire, en ce cas,  étant hors travail.

Journaliste : trop d’informations, tuent l’information.

***

Bruits,  images s’additionnent, se répercutent en échos

On a comme l’impression de grimper,  vite, un escalier,

Et soudain, de chuter, atterrir et sombrer dans le coma.

***

Il existe des méthodes, garde-fous,  pour ne pas sombrer

Dans une angoisse, voire une panique dont on ne se sort :

Bien respirer, prendre du recul, hiérarchiser ses entrées. !

***

Fatigues : la fatigue physique, bien plus, encore,  nerveuse,

Déclenchent des emballements qu’on ne contrôlerait plus :

Mille bruits, images, sensations : aucune de remise à zéro !

.

.

1090 – Calligramme

.

………..………..………

Bruits,   I   images  et sensations

    Donnent    L   impression de vivre

        Et, à fond,    L    toutes ses actions,

           Et pourtant,    E   me rendent ivre,

               D’être, toujours,    *    à saturation

                    Avec l’envie de stop    B   et encore,

                        Comme si, d’une  telle    R   drogue,

                          Je ne pourrais plus me  U    passer

                                                   I      

                              Jusqu’à  la  fin, mon    T   attention

                                 Baisse, tout devient   S    cacophonie

                                    Et kaléidoscope d’   *  images défilant

                                     À toute vitesse    I   ou sans perception

                                       Autre qu’imp  M  ression que je me noie

                                       En océan de    A    sensations me broyant,

                                    En tous cas    G      suis incapable d’écrire

                                 Pour com     E   poser textes faisant sens.

S

    M ILL E    S E N S A T I O N S 

.

Mille bruits, mille images, sensations,

Des jours, m’assaillent, avec émotions,

Bien dormi, bien réveillé et frais dispo,

J’en capte un peu, beaucoup… de trop.

.

                             Mille bruits, mille images… sensations,

                               Font que, en mon cerveau, se brouillent,

                                Tous mes programmes d’interprétations

                                À tel point  que  ma bouche  en bafouille !

.

Mille bruits, mille images… sensations,

Font chambres d’échos  à mes horizons,

Lors en brumes légères de mes rêveries,

Les transposent, cauchemars ou fééries.

.

                              Mille bruits, mille images… sensations,

                              Comment s’extraire de telle cacophonie

                               Qui s’impose à moi, lors me déconstruit,

                                Au point que je ressens une indigestion !

.

Mille bruits, mille images … sensations,

Parfois, évoquent chez moi mille unions

De choses qui se percutent, sans soucis,

  Et se fondent toutes comme… joyeuserie.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Symbolique 

.

1090 4

.

En haut, un couloir,

Et en bas, un escalier

Avec des marches alternées

Lors attention à ne pas chuter

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Escalier et chuter  ont peu à voir avec

mille bruits, images et  voire sensations,

même si cela fait chuter la concentration

et ainsi la forme se distinguera du fond.

.

Chacun sait qu’un escalier sert

Autant  à descendre  qu’à monter

Mais faut penser  qu’on peut aussi

Glisser, et chuter, en plein milieu !

.

Symbolique

.

L’escalier a de tous temps une symbolique double :

Il est le symbole de la montée, de la descente aussi

Escalier montant évoque ascension vers le ciel,

Qui correspond aussi à élévation spirituelle.

.

Il peut aussi désigner l’ascension sociale,

C’est-à-dire gravir l’accès à un statut

Supérieur dans toute hiérarchie

Qui structurera notre société.

.

Lors l’escalier descendant

Évoquera l’entrée dans

Le monde souterrain.

source : 1001 symboles

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1090 6

.

Chacun sait qu’un escalier sert

Autant  à descendre  qu’à monter

Mais faut penser  qu’on peut aussi

Glisser, et chuter, en plein milieu !

.

Symbolique de fond

 .

Le plus souvent, la chute

Dans le rêve s’accompagne

D’une peur qui traduirait un

Grand   sentiment  d’insécurité.

.

On se sent seul, et  guère  soutenu

Et ce surtout  lorsque l’on rencontre

De gros problèmes dans notre vie réelle.

.

La chute peut, aussi, indiquer que l’on serait

Sur chemin dangereux, faut revoir son jugement,

Une chute dans le vide, peut refléter un échec auquel

.

On est confronté : tomber dans les escaliers est signe de

Danger qu’il faut craindre : une chute, dans un trou, nous

Prévient que de gros soucis nous attendent prochainement.

madame.lefigaro.fr/bien-etre/signification-des-reves-rever-dune-chute

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Chute d’escalier se fait en descendant

Tandis qu’en montant, on dit : butant.

Fait de mettre marches  en quinconce,

N’aident pas à assurer  bonne stabilité.

.

Entre pas assez de bruits, créant ennui,

Et trop allant jusqu’à créer un burn out

Faut trouver, voire rétablir l’équilibre

Qui satisferont et le corps et l’esprit.

 .

.

Cinq sens en éveil

.

Scénario

.

Mille bruits.

Mille  images.

Mille sensations

.

Visuels et textuels >>

1089 – J’ai bien joui, mal, j’ai bien dormi, mal !

Visuels et textuels  >>

.

Dans mon lit, j’ai bien joui

De la magique  compagnie

De  l’amour,  du  sommeil.

Dans mon lit, j’ai mal joui,

J’étais seul,  aussi j’ai mal

Dormi, et ce, toute la nuit.

.

Un sommeil, en bosses,

Ou en creux, c’est selon

Que je me sens, ou pas,

Stressé, voire trop seul,

Car  tendresse,  caresse,

Valent bien  somnifère !

.

Ai-je bien joui,  mal ;

Ai-je bien dormi, mal ;

Ai-je bien gagné,  mal ;

Ai-je bien  travaillé, mal ;

Ai-je bien  échangé,  mal ;

Et l’on pourrait continuer ;

Et ainsi, tant bien que  mal,

À tout lister et à tout évaluer.

.

Bien ou mal ….. ça changera quoi,

En fonction de moi  … ou, de la loi

Bien pour l’un, et, mal, pour l’autre,

Tout dépend  de quel seuil, franchis,

Auparavant et de bonne progression

De si on est ou pas perfectionniste.

.

Quand faire bien toujours serait,

Du mieux qu’on peut,  formule

Que l’on emploie trop souvent

Pour tempérer valeur absolue.

.

D’abord   …  est-ce bien moi

Qui en juge,  ou  bien autrui

Qui me, le fait savoir,  le dit,

Ensuite … entre bien et mal,

.

Il y a de l’espace  à combler,

Entre l’animal  et la volonté,

Enfin… il ne faut pas oublier

Effets de l’humeur sur vérité,

Est relative jusqu’à en douter.

.

Et puis, tout dépend aussi du temps

Et  de l’énergie qu’on y  met, mettant

Toute sa concentration, son attention.

.

Pour finir en beauté, un travail débuté,

La moindre interruption va déstabiliser,

Faire perdre du temps, faire tout bâcler.

.

Il en est ainsi de ce texte bien improvisé,

Qui ne sera ni bien ni ma mais édulcoré

Par une forme qui le contient, restreint

À ce qu’il est, ce qu’il veut interpréter.

.

.

Extensions

 .

Bien et mal seront relatifs l’un

Par rapport à l’autre, non en absolu :

«Je suis bien, je vais bien, je le sens bien »,

Sont des valeurs subjectives, apprécié par

Quelqu’un en fonction de son état actuel,

De son passé, de toute son expérience.

.

Il en est de même du plaisir et repos

Et de tous les gains  où une évaluation

Est relative à ce qu’on attend en résultat.

Si je me dis que  c’est bien, qu’autre me dit

Peut mieux faire ou c’est nul ou je n’aime pas.

.

J’en fais quoi et il en est de même de la critique

On peut se débarrasser de quelqu’un, lui disant

« C’est bien continue » ou mettre son grain de sel

L’aider à progresser avec des suggestions,

Des transformations, des  questions.

 .

J’ai joui de mon sommeil toute la nuit

Pendant le sexe, je me suis  endormi !

Si on peut jouir de tout en fantasmes

On ne peut s’endormir en marasme !

Jouir et dormir seront, certes, reliés,

Lors les deux s’enchaînent seulement

Sinon, l’un dit vrai mais l’autre ment,

Ici, la femme n’a pas eu son…content,

Ça peut être l’homme, les deux, néant.

.

Le plaisir de sa jouissance … sexuelle,

Qui peut en juger, qui peut l’étalonner !

Peut mieux faire, injonction permanente

L’orgasme très fort et simultané et répété,

Est-il le nec plus ultra de sa «petite mort».

.

C’est là que  la force du désir, interviendrait

Et prendrait le pas sur tout plaisir à assouvir

Car si le plaisir n’est autre  qu’une prestation,

Il ne laissera pas, longtemps, sa forte émotion.

.

.

1089 – Calligramme

.

                                      Dans mon lit, j’ai bien joui de la magique compagnie

                                               De l’amour, du sommeil. Dans mon lit, j’ai mal joui :

                                               J’étais seul, aussi j’ai mal dormi, et ce, toute la nuit.

.

Un sommeil, en bosses,

Ou en creux, c’est selon

Que je me sens, ou pas,

Stressé, voire trop seul,

Car  tendresse,  caresse,

Valent bien  somnifère !

                 A

 Ai-je bien joui     I     mal.

Ai-je bien dormi      mal.

Ai-je bien gagné    J   mal.

Ai-je bien  travaillé  E mal.

 Ai-je bien  échangé   *  mal.

 Et on pourrait conti  B nuer

     Et ainsi tant bien que I     mal,

       À tout lister et à tout  E évaluer.

                               N

          Bien ou mal ….. cela changera quoi,

           En fonction de moi ou,  M       de la loi

             Bien pour l’un, et, mal,  A   pour l’autre,

              Tout dépend  de quel   L   seuil, franchis,

              Auparavant et de bon  *     ne progression

            De si on est  ou pas    J  perfectionniste,

        Quand faire bien tou  O  jours serait,

     Du mieux qu’on peut  U     formule

   Que l’on emploie trop  I   souvent

     Pour tempérer valeur ?  absolue.

*

D’abord   …  est-ce bien moi

Qui en juge,  ou  bien autrui

Qui me, le fait savoir, le dit,

 Ensuite … entre bien  et mal,

 Il y a  de l’espace   à  combler,

 Entre l’animal et B  la volonté,

  Enfin… il ne faut  I  pas oublier

   Effets de l’humeur  E  sur vérité,

     Est relative jusqu’à  N  en douter.

                     *

               Puis, tout dépend   M  aussi du temps

                   Et de l’énergie que l’on y  A  met, mettant

                      Toute sa concentration        L  son attention,

                                Pour finir en beauté, un         *           travail débuté,

                                 La moindre interruption         D        va déstabiliser,

                                   Faire perdre du temps              O       faire tout bâcler.

                               Il en est ainsi de ce texte         R     bien improvisé,

                          Qui ne sera ni bien ni mal    M    mais édulcoré

                      Par une forme qui le con    I  tient, restreint

                  À ce qu’il est, ce qu’il  ? veut interpréter.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1089 4

.

Silhouette femme

Allongée, avec la tête,

Et les pieds bien relevés

Comme en  éveil, alerte !

 .

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

Silhouette d’une femme

À son réveil, l’air songeuse,

Ne parvenant pas à s’extirper

De son rêve d’un amour d’amant.

.

Symbolique 

 .

Vous avez sûrement déjà entendu

Parler morphologie femme.

En A,  V,  X,  ou en O, 8 ou H.

Elle se définirait  selon  votre

Structure osseuse,  différente:

La forme de vos os la détermine.

.

Une silhouette femme a ses règles :

Une jupe évasée  sera recommandée

Aux morphologies en V  tandis qu’elle

Sera  déconseillée à celles qui sont en A.

.

Pour les hommes, c’est même principe :

On conseillera une ceinture tape à l’œil

Pour ceux ayant de larges épaules

Tandis qu’une morphologie en H

Devra plutôt privilégier un

 accessoire plus sobre.

www.thevillageoutlet.

com/morphologie-femme

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1089 6

.

Silhouette d’une femme

À son réveil, l’air songeuse,

Ne parvenant pas à s’extirper

De son rêve d’un amour d’amant.

 

Symbolique 

 .

Rêver  serait, pour  certains,

D’oublier le   temps   pesant,

Sa  matérialité  et  anxiété,

Des  sentiments  partagés,

De   vivre   ses  espérances,

D’être ce qu’il voudrait être,

Il sert de décompression aux

Grandes fatigues  psychiques.

 .

On rêve au lieu d’agir, on rêve

Parce qu’on ne peut pas agir.

D’autres  se prélassent  dans

Multitude  de   songes  creux

Ou  vivent  comme  endormis,

Dans leur confort, leur misère :

L’inconscient et le conscient sont

Alors  parfaitement  … complices !

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Rêver de la morphologie d’une femme

Est une projection  des plus courantes,

Qui se reproduit, parfois, à l’identique,

.

Tant conditionnés par un seul modèle,

À tel  point  qu’on  jouisse, davantage,

Avec forme de femme que l’on préfère.

.

Comme quoi, sexe et amour : subjectif,

Cette fois forme et fond s’accorderont,

L’un dans l’autre, et réciproquement !

 .

.

Nuit éveillée en clair-obscur 

.

Scénario

.

J’ai bien joui,

et puis j’ai bien dormi,

j’ai mal joui, puis j’ai mal dormi. 

 .

Visuels et textuels  >>

1088 – Au petit matin, le silence remplit la montagne

Visuels et textuels  >>

.

Le silence … à la montagne,

Grandiose …   demeurera,

Quel  que  soit  l’endroit,

Plus qu’en campagne !

.

Le petit matin ajoute

Encore  autre  chose,

Sur chemin ou route,

Comme en apothéose.

.

Loin des villes et plages,

Bondées  de gens, en l’été,

On peut à loisir, s’y reposer

À perte de vue,   et  paysages.

.

Au petit matin, pleine montagne,

Le silence,  la lumière, sont reines,

Se promener  avec belle compagne,

Rendra votre vie joy euse et sereine.

 .

Une rosée  qui perle sur les arbustes

Cristallise  le  rayon  d’un soleil levant,

Oiseaux gazouillent de leur plein chant,

Ils s’exercent pour sonner au plus juste.

.

Aucun souffle  de vent  ne vient troubler,

Ce charme  des  instants, qui se déroulent,

À vos pieds, et à vos yeux, et  à vos oreilles,

En cette nature, encore,  en demi-sommeil.

 .

Elle nous  livre  une  beauté  loin de  la foule,

D’humains  sur plages   avec leurs pollutions,

Qui ne pensent qu’à se bronzer et à s’amuser

Tandis nous sommes, ici, à nous émerveiller,

.

De voir un cerf, à l’arrêt, et qui nous regarde,

Comme si nous étions des intrus fort étonné,

Que le monde, nôtre, soient  trop  étrangers

Pour pouvoir s’harmoniser avec  sa harde !

 .

Il est temps de faire demi-tour, de rentrer,

Sinon de nature, demeurent prisonniers,

Filtre de Merlin s’active à nous tromper

Pour nous faire passer de  l’autre côté.

.

.

Extensions

 .

Dès l’aurore au petit matin,

Le silence remplit la montagne,

L’air est calme et le temps est serein

Et nous ne serons pas venus là pour rien

Tant cet endroit nous fait le plus grand bien.

.

C’est un constat un peu fou  quand on pense

Que  nos lointains aïeux  n’avaient  d’autres

Situations, d’autres horizons que ces lieux

Où ils vivaient, cueillaient, chassaient,

Jouaient, enfantaient, sans se soucier

De rupture quelconque avec Nature.

.

Quand la Nature n’est plus en nous,

Il nous faut renouer le contact avec elle.

Ce n’est plus toujours immédiat et ce n’est

Plus toujours facile, et c’est même  angoissant

Pour certains, tellement c’est dépaysant pour eux.

.

C’est comme si la Nature, encore vierge et sauvage,

Était une étrangère à leurs yeux et qu’ils n’avaient pas

Les codes pour l’interpréter : c’est beau, certes, mais

Ça me surprend trop et ça me laisse indifférent.

.

Matin, à l’aube, l’aurore.

 L’aube est la  première lueur du soleil qui commence

 À blanchir l’horizon.

L’aurore est la lueur brillante en rosée qui la suit, précède

 Le lever du soleil

Le soleil perce d’abord l’obscurité par point et rayon lumineux

Lors un nuage,

Masque ce dernier, il est absorbé, se dilue en lui, comme aquarelle.

En hauteur

Il parvient toujours à éclairer, de sa majesté lumineuse, tous contours.

 .

Le silence est l’absence totale de bruit

Il est si rare qu’on peine à l’imaginer !

 .

Montagne est bruit de ville, qu’on fuit,

Pour faire le vide dans sa tête, oreilles !

.

Peut être angoissant au bout d’un temps

Comme manque de stimulation, excitant.

.

Tout comme un tel manque peut se remplir

Du sentiment d’être au monde et tout en lui.

.

Toute contemplation d’un espace sans bruit,

Peut susciter autant l’ennui que méditation !

.

.

Épilogue

.

Matin, avant que les moindres activités

Ne résonnent dans les profondes vallées,

Une  montagne semble encore endormie,

Elle  a peut-être rêvé  de  voyager, la nuit !

***

Toujours est-il que de s’y réveiller, couché

Sur l’un de ses flancs et voire son sommet,

L’on entendra comme un souffle d’air pur,

Et  le bruit de son cœur, des plus soutenus.

***

Si ce n’est pas  le silence total, voire absolu,

Il s’en approchera  lorsque l’esprit décroche

Un écho qui se répercute, de loin en proche,

Jusqu’à  croire, avoir, voix  du ciel, entendu !

***

J’aime ce silence, paraissant vide, remplissant

L’âme de ses inspirations vers ce qui est vivant,

Je me sens seul, et, en même temps, très entouré

D’impressions de Monde étant présent d’éternité.

***

Le Monde, pendant la nuit, s’est estompé … brumeux,

Il ne demeure que moi, la nature, la montagne et Dieu,

Si ce n’est lui, son œuvre en lien avec son grand Univers,

Sa symbolique s’est emparée de moi : en prose et en vers !

***

Paysage, devant moi, autour de moi, s’étend comme sans fin

Aussi loin que mes yeux se portent, jusqu’au fond de l’horizon,

Il n’y a ni bruits ni mouvements, pas même moindre agitation,

Nous sommes trois, moi, la montagne, le ciel, ne formons qu’un.

***

Je peine à m’extraire d’un tel rêve que je visualise les yeux ouverts,

Je me pince fort pour savoir si je suis parmi les vivants ou les morts.

Je me réjouis de cette pleine sensation de souffrir un bonheur encore

Et je m’apprête à redescendre vers un monde, ayant la tête  à l’envers.

.

.

1088 – Calligramme

 .

Le silence … à la montagne,

Grandiose …   demeurera,

Quel  que  soit  l’endroit,

Plus qu’en campagne !

 

Le petit matin ajoute

Encore  autre  chose,

Sur chemin ou route,

Comme en apothéose.

 

Loin des villes et plages,

Bondées  de gens, en l’été,

On peut à loisir, s’y reposer

À perte de vue,   et paysages.

 

M  A  T  I  N   :

Au petit matin,  pleine montagne,

Le silence,  la lumière,  sont reines :

Se promener  avec   S belle compagne,

Rendra votre vie joy   I   euse et sereine.

         L

Une rosée  qui perle     E     sur les arbustes

Cristallise  le rayon      N   d’un soleil levant :

Oiseaux gazouillent     C   de leur plein chant,

Ils s’exercent pour      E   sonner au plus juste.

Aucun souffle  de       *   vent  ne vient troubler,

Ce charme des ins    R    tants, qui se déroulent,

À vos pieds, et à      E   vos yeux, et à vos oreilles,

En cette nature,     M    encore, en demi-sommeil.

P ……………..

Elle nous livre         L     une beauté loin de la foule,

D’humains sur pla    I      ges   avec leurs pollutions,

Qui ne pensent qu’à    T     se bronzer  et à s’amuser

Tandis nous sommes,    *     ici, à nous  émerveiller,

De voir un cerf, à l’arrêt,  M    et, qui nous regarde,

Comme si nous étions des   O   intrus, fort étonné,

Que le monde, nôtre, soient    N     trop étrangers

Pour pouvoir s’harmoniser avec  T     sa harde !

                                      A

Il est temps de faire demi-tour   G  de rentrer,

Sinon de nature, demeurent  N  prisonniers,

Filtre de Merlin s’active à E  nous tromper

Pour nous faire passer *  de  l’autre côté.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1088 4

.

Un vase de forme longue

Comme une vieille bouteille

Chacun y voit la symbolique

Qui lui convient, voire commune

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de la forme)

 .

Vase n’évoque pas montagne, c’est sûr

Mais rien n’empêche d’y voir  cheminée,

Et y compris celle des fées ou d’un éperon,

Et ainsi la forme se retrouvera dans le fond.

.

Ce vase pourrait être de différentes

Formes : longues, courtes :

Chaque forme aurait son symbole,

Signification, interprétation !

.

Symbolique

.

Comme les couleurs,

Les formes influencent

Notre perception des choses

D’environs qui nous entourent.

.

Que ce soit dans  design industriel,

Meubles ou le monde de l’automobile,

Le carré ou le cercle, voire la ligne droite

Ou la courbe, représentent  la  masculinité,

La rigidité ou la féminité, harmonie, douceur.

.

Il en est de même, dans le design graphique,

Que ce soit dans la création d’affiche ou de

Logo, nous analysons consciemment

Ou inconsciemment les formes.

multi-graf.com/la-symbolique-des-formes

.

.

Fond

.

Évocation

.

1088 6

.

Ce vase pourrait être de différentes

Formes : longues, courtes :

Chaque forme aurait son symbole,

Signification, interprétation !

.

Symbolique 

.

« Dans le domaine de la symbolique,

Pas de code général de déchiffrement,

Il y a seulement des codes particuliers,

Eux-mêmes, exigeant une interprétation.

.

Un symbole ne signifie pas : il évoque

Il focalise, assemble et concentre,

De façon analogiquement polyvalente,

Une multiplicité de sens qui ne se

Réduisent pas à une seule signification

Ni à quelques-unes … seulement…

.

Pénétrer dans le monde des symboles,

C’est percevoir vibrations harmoniques

C’est deviner une musique de l’univers.»

René Alleau : « La science des symboles »

cairn.info/revue-la-chaine-d-union-2010-4-page-34

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Toute forme aurait une symbolique

Parfois unique mais parfois multiple,

Forme extérieure autant qu’intérieure,

Et qu’elle soit géométrique ou sonore,

Rien n’échappera à l’interprétation.

Il ne faudra, toutefois, en abuser,

Évoquer, comparer… figurer,

N’est pas décrire la chose :

Peinture n’est pas photo

Poésie,  pas que texte !

 .

.

Grand silence de la montagne

.

Scénario

.

Le silence remplit

toutes nos montagnes,

et lors, qu’en dire de plus !

 .

Visuels et textuels  >>

1087 – D’éprouver des émotions fortes, sinon faibles

Visuels et textuels >>  

.

Fortes, faibles,

Émotions se lisent

Sur visages pour peu

Qu’on sache les décoder

Les classer, interpréter

Fonction contexte.

.

Émotions fortes

Impliquent le corps,

Émotions faibles laissent

Transpirer sourire esquissé,

Front froncé,  l’œil surpris

Lors, tout dépendrait  du

Degré de son expression

Sinon extériorisation.

.

Émotion a, de particulier,

Qu’il échappe aux contrôles.

Chacun, ou   presque,  a  connu,

Éprouvé émotions fortes et faibles

Qu’on partage avec les animaux dits

Supérieurs, communicants entre eux,

.

Pour créer, défendre, réguler un clan.

Les asiatiques ont retenu un ensemble,

Faisant la gamme de huit expressions :

La neutralité, l’euphorie, joie, tristesse,

Férocité, déception, gêne ou perplexité,

Avec mélange d’instinctifs  et  cognitifs.

 .

Les occidentaux en ont sept, primaires :

La joie, la tristesse, le dégoût …  la peur,

La colère, la surprise  et enfin, le mépris.

Leurs mixages donnent des secondaires,

La honte demeure l’exemple  le plus cité.

.

Il n’y a  guère  plus  d’un  siècle, que  l’on a

Découvert le rôle, primordial, de l’émotion,

Pour notre moral et notre prise de décision,

Sans émotions nous ne serions pas humains,

Ce serait cela le credo, le vrai défi de demain.

 .

Il faut se servir des émotions pour être créatif,

Pour vivre, plus intensément, l’instant présent,

Pour partager états de conscience et déficience,

Afin que l’on sente, l’onde de vie, nous sublimer,

Au lieu de moutonner dans une triste uniformité.

.

.

Extensions

 .

Faibles, moyennes, fortes : nos émotions varient tout le temps

Et notre manière de les ressentir, de les  exprimer, tout autant

Sur scène, au théâtre ou cinéma : on les code et on les décode !

Et depuis notre plus jeune enfance, elles sont câblées en nous !

Nous tenons des expressions neutres, lors nous sommes seuls,

Mais dès que l’on rentre en interactions, elles se manifestent

Parfois on fait des efforts pour les cacher, les minimiser,

Aucun décodeur de mensonge n’a réussi à les cibler,

Bien que le cœur et la peau, en soit marqueurs.

Car si, de nos émotions, ne sommes maître

Pour autant, n’en soyons pas esclave.

.

Ce n’est pas sans un brin d’émotion

Que je vous écris, aujourd’hui, ceci, cela

J’imagine la vôtre, en recevant la nouvelle :

D’autant forte, fonction de votre attachement.

.

Il y a ceux qui manifestent très fort leurs émotions

Peut-être aussi pour mieux extérioriser, les évacuer,

Il y a ceux qui les gardent en secrets, restent muets,

Jusqu’à, parfois les étouffer et voire les déprimer !

.

.

1087 – Calligramme

.

Fortes, faibles, ……………..

Émotions se lisent …………….

Sur visages pour peu  …..….

Qu’on  sache  les décoder

Les classer, interpréter

Fonction contexte.

************

************

Émotions fortes

Impliquent le corps,

   Émotions faibles laissent

       Transpirer sourire esquissé,

    Front froncé, œil surpris

Lors tout dépendra du

Degré  … .d’expression

 Sinon d’extériorisation.

Émotion a, de particulier,

Qu’il échappe aux contrôles.

Chacun, ou   presque,  a  connu,

Éprouvé émotions fortes et faibles

Qu’on partage avec  les animaux, dits

Supérieurs, communi   cants entre eux,

                É

Pour créer, défendre    P   réguler un clan.

Les asiatiques ont   R  retenu un ensemble,

Faisant la gamme  O    de huit expressions :

La neutralité, l’    U  euphorie, joie, tristesse,

Férocité, décep   V    tion, gêne ou perplexité,

Avec mélange     O    d’instinctifs  et  cognitifs.

N ……….….

Les occidentaux       S    en ont sept, primaires :

La joie, la tristesse,     *        le dégoût …  la peur,

La colère, la surprise        É      et enfin, le mépris.

Leurs mixages  donnent       M     des secondaires,

La honte demeure l’exemple     O          le plus cité.

                              T

Il n’y a  guère  plus  d’un  siècle,    I           que  l’on a

Découvert le rôle, primordial,     O        de l’émotion,

Pour notre moral et notre       N      prise de décision,

Sans émotions nous ne      S      serions pas humains,

Ce serait cela le credo,      *       le vrai défi de demain.

F

Il faut se servir des émoti    O     ons pour être créatif,

Pour vivre, plus intensément,     R      l’instant présent,

Pour partager états de conscience    T      et déficience,

Afin que l’on sente, l’onde de vie, nous   E       sublimer,

Au lieu de moutonner dans une triste uni    S     formité.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1087 2

.

Silhouette d’une femme

Avec une robe longue

Et fort désirable

Mais par qui ?

.

  (forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

Émotion forte lorsqu’un homme

 Regarde une femme désirable :

Émotion faible lorsqu’il regarde

Une femme à la  beauté plate !

 .

Symbolique 

.

Il faut bien différencier

Le  besoin et  le  désir :

Le besoin serait issu des

Pulsions d’autoconservation,

Il est associé à la survie de par ses

Besoins vitaux : manger, boire, dormir

Le désir a pour seul et unique but le plaisir.

.

On peut se passer du désir  mais pas du besoin.

Le besoin nécessite un objet réel pour être assouvi,

Le désir peut se contenter  d’un objet fantasmé.

.

L’objet n’est pas la cause du désir mais son

Moyen d’accomplissement. Le fantasme

Participe au désir. Comme le désir

Il est issu de l’inconscient,

Est véhicule du désir.

www.philippeblazquez

psychanalyste.com/desirs

.

.

Fond

.

Évocation

.

1087 6

.

Émotion forte lorsqu’un homme

 Regarde une femme désirable :

Émotion faible lorsqu’il regarde

Une femme à la beauté plate !

 .

Symbolique 

 .

Canons de beauté 

Sont basés sur des mesures.

Avec les communications modernes,

Ils ont simplement laissé la place aux modes,

Plus éphémères mais aux effets encore plus forts

Sur les femmes et l’image qu’elles doivent dégager.

.

Mais la liberté grandissante chez les femmes a fait

Qu’elles s’assujettissent moins à simples mesures,

Les canons de beauté ont donc été abandonnés.

.

Oui, mais, parfois, la servitude de l’image,

Besoin  de se conformer  aux autres,

Sont restés présent malgré tout.

Modifié, source : absurdephoton.fr/

Les-canons-de-beaute-feminins

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le désir a suscité quantité d’ouvrages et à n’en plus finir

Il semblerait qu’il soit multiforme à n’en pas faire le tour,

Mais tout en disant tout cela, j’ai tout dit et je n’ai rien dit

De lui, sinon que sans lui, il parait que nous sommes morts.

.

Voilà au moins le bon moteur qui nous fait vivre, avancer

Le désir de mort serait en quelque sorte la mort du désir

Et je ne parle pas là de mort physique mais psychique

Comme le soulignent bien nombre de psychanalystes,

.

Lors s’il faut suivre ses désirs tout comme ses rêves

Lequel est le produit de l’autre et réciproquement

Je n’en dirai  pas plus  quand tel est  mon désir

De deviner le mien, correspondant au vôtre.

 .

.

Grand écran = émotion forte

.

Scénario

.

Émotions fortes à la fin d’une représentation, spectacle.

Les  neuf émoticons  utilisables  pour ponctuer des SMS.

Variations d’émotions faibles, forte sur visage d’homme.

 .

Visuels et textuels >>  

1086 – Il est des gens blindés, inémotifs qui ne seront

Visuels et textuels >>

.

Les gens dits blindés n’écoutent pas ou plus

Leur émotion : ils n’ont pas ou n’ont plus

D’empathie, proprement, humaine !

Et les gens  considérés  sensibles,

Les  écoutent   un peu, ou trop.

Ils  en  deviennent la  victime,

Et,  ils   souffrent,  pour  eux

Et,  lors  ils  se  confrontent,

Ils  ne  s’entendent …..  pas.

.

Gens dits blindés inémotifs

Ne seront en rien marqués

Que s’ils sont touchés à vif.

Ils ne sont pas indifférents,

Ils sont même charmants :

Ne s’embarrassent jamais,

Des  moindres  tourments.

.

Hyperémotifs  ou  craintifs

Qui se disent, vite, touchés,

Parce qu’ils seront écorchés

Par souffrances  de  leur vie,

Que jamais, ils n’oublieront,

Car moindre faux-pas arrivé,

Les ferait très vite, trébucher.

.

Gens blindés, et gens craintifs,

Sont sur deux planètes opposées :

Ils ne se comprennent  qu’à moitié,

Se traitant de «sans-cœur», plaintif.

.

Financier sans cœur … poète plaintif,

Chacun trouve à l’autre  un bon motif

Pour  s’éviter, lors d’une  table   ronde

Où  on partage ses  valeurs du  Monde.

.

Qu’est-ce qui prouve  que,  côté sombre

De nos poètes que l’on traite d’illuminés,

N’est pas, en  fait, que dimension cachée

Échappant à toute statistique et nombre.

Il faut de tout … pour faire … un Monde

Et si personne n’a ni raison ni tort,

Chacun de nous sera plus fort

Pour le refaire à sa faconde.

.

Car, toute lutte et cynisme

Ne sont pas  seuls  moyens

Pour définir un humanisme

Dont on connaît mieux la fin.

Il se peut : entente diplomatie,

Vienne à bout, un jour, de conflit

Paraissant, insoluble, aux blindés,

Lors bonnes paroles auront frappé.

.

.

Extensions

 .

Il est des gens blindés,

Inémotifs étant autistes

Au mauvais sens du terme,

Et n’ont que faire de sentiments,

Et qui pensent même que cela nuit à

Leur objectivité rationnelle alors

Même qu’il ne s’agira que de

Subjectivité  relationnelle :

Sont-ils atteints de cécité !

.

Blindés, inémotifs : parlerait-on des animaux ?

Non, d’humains de tous sexes, âges, conditions

Et qui ne connaissent aucune grande passion !

L’empathie, la sympathie, leur sont étrangers

À chacun de vivre ou survivre sans amitié !

Doit-on les envier ou bien … les plaindre,

A-t-on d’eux quelque chose à craindre

Je vous laisse vous… déterminer :

Je me contente de les éviter.

.

Loin de moi de blâmer quel qu’autiste :

Ils ne sont responsables du peu d’émotion

J’en parle ici  par une fausse comparaison :

Il n’y a chez eux aucune mauvaise intention !

.

Il n’en est pas de même  de gens rassis, aigris,

Qui pensent, qui voient, qui agissent, pour eux,

Se moquant bien de ce que les autres ressentent,

Comme s’ils était des objets et non pas des sujets.

.

J’en ai rencontré un certain nombre dans ma vie,

Je les évite quand c’est possible sinon je les plains,

Ils auront surement manqué d’amour étant petits

Ça ne les excuse en tout, d’être allergique au bien.

.

.

1086 – Calligramme

 .

Les gens dits blindés n’écoutent pas ou plus

Leur émotion : ils n’ont pas ou n’ont plus

D’empathie, proprement, humaine !

Et les gens  considérés  sensibles,

Les  écoutent   un peu, ou trop.

 Ils  en  deviennent  la   victime,

Et,  ils   souffrent,    pour   eux

Et,  lors   ils   se   confrontent,

Ils  ne   s’entendent …..     pas.

.

Les gens dits blindés inémotifs

Ne seront en    L  rien marqués

Que s’ils sont   E  touchés à vif.

Ils ne sont pas  S   indifférents,

Ils sont même   *    charmants :

Ne s’embarras G   sent jamais,

Des moindres  E     tourments.

Hyperémotifs N    ou  craintifs

Qui se disent  S    vite touchés,

Parce qu’ils     *    sont écorchés

Par souffran  D  ces de leur vie,

Que jamais,    I  ils n’oublieront,

Car moindre  T  faux-pas arrivé,

Les ferait très  S  vite, trébucher.

.

Gens blindés,      et gens craintifs,

Sont sur deux   planètes opposées :

Ils ne  se comprennent  qu’à  moitié,

Se traitant de   *   sans  * cœur plaintifs.

Financier sans  B    cœur    I  poète plaintif,

Chacun trouve  L     à l’autre   N   un bon motif,

Pour s’éviter,    I       lors d’une    É    table   ronde

Où on partage  N       ses valeurs    M    du   Monde.

Qu’est-ce qui   D       prouve  que,    O    côté sombre

De nos poètes  É      que l’on traite   T    d’illuminés,

N’est pas en     S    fait que dimen   I    sion cachée

Échappant à  * toute statistique F   et nombre.

Il faut de tout  * pour faire     S    un Monde

Et si personne  *  n’a  * raison ni tort,

Chacun de nous sera plus fort

Pour le refaire à sa faconde.

.

Car toute lutte et cynisme

Ne sont pas seuls moyens

Pour définir un humanisme

Dont on connaît mieux la fin

Se peut qu’entente diplomatie,

Vienne à bout, un jour, de conflit

Paraissant, insoluble, aux blindés,

Lors bonnes paroles auront frappé !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1086 4

.

Un vase, probablement,

Pour honorer la décoration

Ou pour y mettre une fleur

Mais avec quel parfum ?

.

(forme creuse, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Le vase, par le fait qu’il accueille fleurs

ne pourrait correspondre à l’inémotivité,

sans compter parler de sa propre beauté

tant et si bien que forme n’épouse le fond.

 .

Tous les vases sont différents, certains

 Sont utilitaires, autres sont décoratifs,

Or on imagine bien ce dernier, servir à

D’autre chose qu’à  y mettre une fleur.

 .

Symbolique 

 .

Le vase est un symbole féminin.

Le creux du vase évoque celui de l’utérus,

Le ventre féminin, contenant des fluides vitaux.

.

Par la grâce de ses courbes, fonction de réceptacle

De fleurs, le vase évoque  souvent le corps féminin.

Les fleurs en sont le principe vivant et l’expression

De la beauté intérieure de la rêveuse.

.

L’eau qu’il contient et qui nourrit

Les fleurs devient lors  le fluide vital,

Énergie féminine bénéfique, nourricière.

Dès lors, l’éclat des fleurs est le témoin de

La bonne circulation de son fluide vital.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/

Dictionnaire-des-reves/Vase

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1086 6

.

Tous les vases sont différents, certains

 Sont utilitaires, autres  sont décoratifs,

Or on imagine mal ce dernier, en forme

De coupe et non à  y mettre une fleur.

 .

Symbolique

 .

L’assimilation  symbolique  du  cœur

Au vase et à la coupe remonte loin

Dans le passé. Déjà, dans la plus

Ancienne Égypte,   le vase AB

Est le hiéroglyphe  du cœur.

Et même dans le druidisme,

Existait aussi quelque chose

De tel et, la coupe présentée,

Par la jeune fille à celui qu’elle

Avait choisi, et  lors  du repas de

Fiançailles, signifiait don du cœur.

 .

.

Corrélations

.

Liens fond/forme 

 .

Les gens, blindés, insensibles, inémotifs

Ne s’intéressent pas aux peines de cœur.

D’humeur égale, rationnels en apparence

Ils se moquent si le vase  est plein ou vide,

.

Ils ne pensent qu’à le consommer, l’ignorer

Chez eux le calcul, et voire la manipulation,

L’emporteront  que le sentiment et l’émotion

Certains sont simplement des goujats, porcs,

.

D’autres sont qualifié de séducteurs don juan,

Les derniers de pervers narcissiques, sadiques.

Qui se ressemble, s’assemble … dirait un dicton,

Mais je sens mal la concrétisation de telle union.

 .

.

Blindé, inémotif : bon tueur !

.

Scénario

.

Un homme blindé

et une femme inémotive

ne risquent pas de se rencontrer !

 .

Visuels et textuels >>

1085 – Sexe, amour et poésie font un même chant !

Visuels et textuels  >>

.

Le sexe et l’amour

Font bon ménage,

On le sait : merci !

Amour  et poésie :

On le sait autant,

Par conséquent :

Sexe  et  poésie,

Même … chant.

L’amour penche

D’un côté, autre,

Ou alors des deux

Et simultanément !

.

Pas de poésie sans sexe,

Mais sexe existe sans poésie

Ce sera bien là, toute la différence

Entre orgasme bestial  et romance.

Sexe, amour, poésie, ne  sont  qu’un

Seul et même chant  pour un… divin

Moment passé  en bonne compagnie.

.

On ne peut  s’enfoncer, dans l’absolu,

On ne peut que pénétrer en un corps

Plus ou moins habillé, si ce n’est, nu,

On y trouve sa jouissance, délivrance

Au-delà de vices, en deçà  de vertus.

.

Un être qui ne jouit, jamais, s’ennuie,

Non pas des autres, mais bien de lui :

Comme le bon vin,  amour se partage,

Et, si dieu nous l’a  donné en héritage,

C’est pour nous osciller entre fou/sage

.

Au-delà des  gestes,  au-delà des mots,

Il n’y a qu’amour, en panne, ou galop,

Extase n’est pas  l’orgasme, sarcasme,

Il dure et dure encore, comme baume

Au cœur qui vous chante son bonheur

J’ai oui de vous que vous me désiriez !

.

J’ai jouis de vous et votre corps entier.

Je me réjouis avec vous d’un tel péché,

Je me ré-enfouis sous votre aile aimée,

Et je m’épanouis en votre plaisir inouï.

.

Que ce soit, la couleur la forme,  le son,

Et je n’exclue ni les gouts  ni les odeurs,

Tout en vous m’attire, et soutire soupir,

Jusqu’à  extrême  pointe de mes désirs,

Qui n’en finiront jamais de m’assouvir.

.

On parle de bulle : néant c’est un océan

De douceurs, de vapeurs et de chaleurs,

Qui inonde nos âmes et jusqu’à l’infini,

Qu’on croit avoir rêvé,  avoir bien joui,

Alors qu’on a passé la nuit, seul, au lit.

.

.

Extensions

 .

Entre vie courte et sexe long,

Entre sexe bon  et vie longue,

Entre sexe court  mais canon,

Il faut choisir avant de partir,

Tant, au moment de mourir,

Le corps disparait, enterré

Ou brulé, ne connaitrait

Plus de désir, plaisir.

Votre âme éthérée,

Et bien qu’épurée

Ne pourra guère

Le faire revenir !

Sexe, amour, poésie,

Font un même champ,

De plaisirs renouvelés.

.

Sexe ou  poésie, les deux extrêmes en amour :

Le premier consommant, second, sublimant

Le sexe, le chantant et puis le débandant,

La poésie divinisant  l’amour, l’amant

Mais si l’un n’empêche pas l’autre

Poésie est fulgurance d’esprit

Sexe est décharge produit.

.

Achèvement

#

Sexe, amour et poésie, avez-vous dit :

C’est boire du vin, manger du pain béni

Et ce jusqu’à son saoul et jusqu’à satiété :

Bulle parenthèse dans notre monde étriqué.

.

Le vent de l’histoire nous pousse vers le haut

Autant que vers le bas, à en avoir le vertige.

Impossible qu’un état d’équilibre se fige :

Il n’y a que le spectaculaire qui prévaut.

.

Peut-on dire  autant  de poésie et sexe :

Poésie nous élève lors sexe nous abaisse.

Je vais vous dire une chose, je le confesse :

J’ai trouvé beaucoup de poésie dans le sexe.

.

.

1085 – Calligramme

.

Le sexe et l’amour

Font bon ménage,

 On le sait : merci !

Amour et poésie :

On le sait autant,

 Par conséquent :

Sexe  et  poésie,

Même … chant.

L’amour penche

D’un côté, autre,

Ou alors des deux

Et simultanément !

.

Pas de poésie sans sexe,

Mais sexe existe sans poésie

Ce sera bien  S   là, toute la différence

Entre orgasme     E    bestial et romance.

Sexe, amour, poésie,     X     ne sont qu’un

Seul et même chant pour     E     un… divin

Moment passé en bonne     *    compagnie.

On ne peut s’enfoncer,    A     dans l’absolu,

On ne peut que péné     M  trer en un corps

Plus ou moins habil     O  lé, si ce n’est, nu,

On y trouve sa jouis    U  sance, délivrance

Au-delà de vices, en   R      deçà  de vertus.

     *

Un être qui ne jouit,   P   jamais, s’ennuie,

Non pas des autres,   O   mais bien de lui :

Comme le bon vin,    É   amour se partage,

Et, si dieu nous l’a   S    donné en héritage,

C’est pour nous    I  osciller entre fou, sage

Au-delà des     E  gestes, au-delà des mots,

Il n’y a      * qu’amour, en panne, ou galop,

Extase    F   n’est pas  l’orgasme, sarcasme,

Il dure    O    et dure encore comme baume

Au cœur  N   qui vous chante son bonheur.

J’ai oui de  T    vous que vous me désiriez !

* …………………….

J’ai jouis de  U   vous et votre corps entier !

Je me réjouis   N   avec vous d’un tel péché,

Je me ré-enfouis  *     sous votre aile aimée,

Et je m’épanouis en  M   votre plaisir inouï.

Que ce soit, la couleur    Ê  la forme,  le son,

Et je n’exclue ni les gouts   M  ni les odeurs,

Tout en vous m’attire, me sou E  tire soupir

Jusqu’à  l’extrême  pointe de  *  mes désirs,

Qui n’en finiront jamais de    *   m’assouvir.

                         C

On parle de bulle,  néant    H  c’est un océan

De douceurs, de vapeurs A   et de  chaleurs,

Qui inonde nos âmes    N   et jusqu’à l’infini

Que l’on croit avoir  T rêvé, avoir bien joui,

Alors que  l’on a passé  sa nuit, seul, au lit !

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

Évocation 

.

1085 4

.

Forme bouteille,

Probablement,

De  bouteille

D’amour !

 .

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’approche de forme)

.

La bouteille évoque les sexes :

 Goulot, masculin ; corps, femme 

Et de même,  pour ses contenus :

 Amour, élixir et poésie, ivresse !

.

Symbolique

 .

Il y a peu de temps encore,

Le vin tenait de l’appétence

De  la seule gente masculine.

Si les femmes pouvaient boire

Et apprécier le vin, il semblait

En effet contraire aux usages

Qu’elles  le manipulent,  en

Débouchant la bouteille

Ou en le servant à table.

.

Origine de cet interdit ?

Pourquoi  reproche-t-on

Aux  femmes, indisposées

De faire « tourner » le vin ?

Pourquoi dit-on qu’il fait plus

«Tourner la tête» … des femmes ?

journals.openedition.org/lhomme/23718

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1085 6

.

La bouteille évoque les sexes :

 Goulot, masculin ; corps, femme 

Et de même,  pour ses contenus :

 Amour, élixir et poésie, ivresse !

 .

Symbolique 

 .

L’amour relève de la symbolique

De l’union des opposés.

Il est pulsion fondamentale de l’être,

La libido qui pousse chacun

À se réaliser  dans  l’action.

.

Ce passage à l’acte ne se produit que

Par le contact avec l’autre,

Par  une  suite   d’échanges

Et matériels et sensibles et spirituels

Qui sont autant de chocs.

.

L’amour tend à surmonter

Tous ces antagonismes, à assimiler

Des choses différentes,

À les intégrer dans une même unité.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amour du vin et le vin de l’amour

Rejoignent, tous deux, sorte poésie

Qui émoustille les papilles et esprit

Et lors se clôturant, parfois, au lit,

Sauf évidement, s’il y a un interdit

À la différence du vin, si on en boit

Trop, on finira par devenir saoul,

Lors le sexe se limite de lui-même,

Par une perte d’énergie soudaine.

 .

.

Do mi sur sol est fa si la ré … ver

.

Scénario

.

Sexe

amour,

et poésie.

.

Visuels et textuels  >>

1084 – L’heure est à la peine, à l’ennui, repos, joie

Visuels et textuels >>

.

Une heure   en joie,

Une heure en peine

 Une heure avec  toi,

 Une heure, déveine.

.

Une heure de repos,

Une heure…d’ennui

Et bien trop fatigué,

Ou bien trop énervé.

.

Une heure  de  repas,

Ou heure  de sommeil

Chacune, lors un cycle

Quotidien sempiternel.

.

L’heure est à la peine ;

L’heure  est   à l’ennui ;

L’heure est … au repos,

L’heure est…   à la joie.

.

C’est  ce  que  je  me  dis

Chaque jour … semaine :

Chaque heure  est crédit,

Cela peut faire rengaine !

.

Heure, de travail,  de repas,

Pour gagner et se restaurer :

De sommeil : ne compte pas,

L’on dira que je n’y suis pas !

.

Si, chacun voit midi à sa porte,

De dormir est ce qui m’inspire,

 Où jours me restituent les nuits,

 Où rêves, ailleurs, m’emportent.

.

L’heure est à quoi…aujourd’hui,

Devinez : à tous ressourcements,

Que me soupirent poids des ans,

Avec, sans vous étonnamment !

.

.

Extensions

 .

Chaque heure du jour, a son action, sa communication, sa tonalité.

Une réunion d’une heure dure des plombes si on s’ennuie à mourir,

Lors un rendez-vous amoureux, un éclair, si passion nous nourrit.

Dans bien des domaines, domestique ou professionnel, l’on fait,

À peu de choses près, les mêmes choses aux mêmes moments.

On appelle cela, les tâches, communément  fort routinières.

.

Les heures  intéressantes, et marquantes, de la journée,

Sont celles  où l’on ferait  quelque chose   de différent

Avec des gens: sport, loisir, repas, soirée, ou sortie,

Nuit n’est pas exempte d’heures de joie ou peine,

Pour peu qu’on ressasse sa journée avec plaisir.

.

Ou que l’on se réveille en plein cauchemar.

Une heure de joie, sauvera une journée,

Une seule heure de peine, la gâchera,

Comme une rencontre, l’illuminer

Mais, dans autre, l’assombrir !

.

Quand on est bien avec quelqu’un,

Au petit matin, dans son lit, on cherche

À gagner une bonne heure de plus avec lui…

Quand on  est bloqué  dans un  embouteillage,

Au même moment … c’est une heure de perdue.

Celui qui a pris le train et aura pu dormir durant

Ce même temps en a gagné une sur son sommeil !

.

Une heure à la peine,

Une heure au repos,

Une heure à l’ennui,

Une heure   à la joie :

Tristesse  ou bonheur,

Sauf à rester passionné

Par une activité préférée,

Apportant le plus de joies.

.

Une heure, ce n’est rien,

Ce n’est pas grand-chose :

Jaune, noire, verte  ou rose,

Nous fait du mal ou du bien.

.

Une heure ne peut être avec toi,

Qu’une heure de grande … félicité,

Une heure en plaisir d’aimer, de joie,

Qui me procure un sentiment d’exister.

.

Une heure par ci, puis  une heure, par-là :

D’ennui, travail, repos, amour se cumulent,

Parfois, se combinent et, parfois, s’annulent

Une avec toi, suffit au bonheur, en tous cas !

.

.

Épilogue

 .

On peut passer chaque heure à suivre

En changeant d’état mental, émotion :

De la peine, à l‘ennui, au calme, la joie,

Fonction des contextes  ou événements.

***

Tout comme de sauter d’un pas japonais

À l’autre, pour traverser la pelouse verte,

Chaque élément résonne de sa substance

Indépendamment des autres ou presque.

***

La peine de perdre une heure à s’ennuyer,

Est compensée par la joie de se retrouver,

Le stress provoqué  par  travail harassant,

Sera oublié par l’heure de repos  ou sieste.

***

Cela me laisse à penser qu’aucune émotion

Ne dure longtemps, succédant, combinant,

Tout comme passer, d’un sujet  à  un autre,

Sans lien entre eux, sans aucune transition.

***

Acteurs seront des professionnels pour cela :

Ils parviennent à rire, pleurer sur commande,

Qui plus est avec forte impression de sincérité,

Comme si cela venait de l’intérieur, en illusions.

.

.

1084 – Calligramme

 .

L’HEURE EST À

Une heure   en joie,

Une heure en peine

 Une heure avec  toi,

 Une heure, déveine.

————————————————- Une heure de repos,

————————————————- Une heure…d’ennui

————————————————– Et bien trop fatigué,

————————————————– Ou bien trop énervé.

LA PEINE,

Une heure  de  repas,

Ou heure  de sommeil

Chacune, lors un cycle

Quotidien sempiternel.

L’heure est à la peine ; ——————————————————-

L’heure  est   à l’ennui ; ——————————————————

L’heure est … au repos, ——————————————————

L’heure est…   à la joie. ——————————————————

L’ENNUI,

C’est  ce  que  je  me  dis

Chaque jour … semaine :

Chaque heure  est crédit,

Cela peut faire rengaine !

—————————————————————- Heure, de travail,  de repas,

—————————————————————– Pour gagner et se restaurer :

—————————————————————–  De sommeil : ne compte pas,

——————————————————————  L’on dira que je n’y suis pas !

AU REPOS,

Si, chacun voit midi à sa porte,

De dormir est ce qui m’inspire,

 Où jours me restituent les nuits,

 Où rêves, ailleurs, m’emportent.

L’heure est à quoi…aujourd’hui, ——————————————–

Devinez : à tous ressourcements,  ——————————————-

Que me soupirent poids des ans, ——————————————–

Avec, sans vous étonnamment ! ———————————————

À LA JOIE !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1084 4

.

 Ce sont huit pas japonais,

En  quinconce, sur une

 Pelouse  bien plate

Et à préserver !

.

(forme pleine, rimes égales,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Pas japonais et pelouse ignorent

autant peine, ennui, repos, joie

sentiments humains, s’il en est,

aussi la forme n’épouse le fond

Des pas japonais pour avancer à cloche pied,

Quinconce, sur pelouse :

À chaque pas, j’ai le choix  entre être

À la peine, ennui, repos, joie.

.

Symbolique 

 .

Le pas japonais vient

Des jardins ……   japonais

Où il existe  depuis des siècles.

La fonctionnalité de ces structures

Était  de créer  des chemins  d’accès

En des jardins souvent gorgés d’eau.

.

Il a trouvé  une utilisation  en Europe

Car il permet de structurer un jardin

De  façon  naturelle  tout  en créant

Des  courbes  plus  harmonieuses.

.

Contrairement à l’allée en béton 

Ou un dallage serré, il délimite

 Un chemin tout en donnant

Une impression de marcher

Dans la Nature puisque les végétaux

Tapissent l’espace entre chaque pierre.

Greenastic.com/fiche/pas_japonais

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1084 6

.

Des pas japonais pour avancer à cloche pied,

Quinconce, sur la pelouse :

À chaque pas, j’ai le choix  entre être

À la peine, ennui, repos, joie.

.

Symbolique

.

Au fil des ans, les pelouses

Ont une tendance à mal vieillir.

Elles deviennent de moins en moins

Belles et se dégarnissent par endroits.

On aimerait  bien  pouvoir  les rajeunir,

Sans avoir à tout reprendre, tout refaire.

.

Il faudra  ressemer de la pelouse, oui  mais

De quelle manière faire voilà le problème ?

Elles se détériorent pour diverses raisons,

En tous cas, avant de regarnir gazon,

Il va falloir résoudre problème qui

A abîmé votre si  jolie pelouse.

conseils-coaching-jardinage.fr/

2012/08/comment-refaire-pelouse

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Les pas japonais, sur une pelouse,

Forment un sentier pour la traverser

Pour éviter d’écraser ses herbes tendres

Pour améliorer son esthétique, prétendre.

.

On pourrait les sauter à cloche-pied comme

Au jeu de la Marelle jusqu’au septième ciel,

Sans peine, sans ennui et même avec joie,

.

Ou se reposer sur l’un d’eux et méditer

Sur ces ilots, en mer de tranquillité, 

Avec écriteau défense de marcher.

 .

.

Successions : joie, peine

.

Scénario

.

Une heure à la peine, une heure à la fois

Une heure au repos à la peine, ou à la joie.

Une heure  à l’entrain, de la peine à la… joie.

 .

Visuels et textuels >>

1083 – Mon corps me meut, mon esprit m’émeut

Visuels et textuels  >>

.

Mon corps me meut

Du verbe …  mouvoir.

Mon esprit  m’émeut,

Du verbe  émouvoir !

.

En une seule voyelle

À rajouter au verbe

Et l’on passe ainsi,

Du corps à l’esprit

.

Jeu de …..  mots,

Jeu…phonétique

Qui  démontrent,

 Et à quel …  point

 Les deux  sont liés,

Sans aucune dualité,

On pense en marchant,

Ou on marche en pensant.

.

Tandis que mon corps me meut,

Mon esprit très surpris, m’émeut,

Ouah : ces deux rimes  font taches,

Et sont justes dignes   d’un potache.

.

Ce n’est pas que rimes   qui poétisent,

Elles peuvent, aussi,     dire des bêtises

Certaines, mêmes,     vous ridiculisent :

Ne vous étonnez       plus  qu’on médise.

.

Je me fais prendre      à mon propre jeu :

J’ai la main, le pied       bien malheureux

Moi qui m’astreins       à être vers-tueux,

J’en fais des drôles        et   des  boiteux !

.

J’en ris moi moi-      même car essentiel

De ne pas confon    dre la rime et  miel,

Dès qu’une larme     fond sous rimmel

Il vaut mieux chan   ger  ritournelle !

.

Faut dire  que mon corps me meut

Et que mon esprit épris m’émeut,

Faire coup de la vache qui meuh

En meuglant «sauve qui peut !»

.

.

Extensions

 .

 Jeux de maux et de mots s’enchainent

Et s’imbriquent et…à qui mieux mieux.

Émouvoir et mouvoir seront très proches

L’un de l’autre lors signifiant mouvement :

Mouvement du cœur, mouvement du corps,

Quelque chose bouge, quelque chose  change,

Communique,  s’observe : l’on peut, d’ailleurs,

S’émouvoir  de ce que l’on se dira  à soi-même,

De ce que l’on écrit, même de ce qu’on l’on fait :

Nul besoin d’auditeur, de lecteur, de spectateur.

La pensée seule, souvenir particulier, quelqu’un,

Événement ou chose, vient à déclencher des rires

Ou des sourires, des larmes et voire des spasmes.

Un simple lapsus,  ou jeu de mot, bien frappé,

Ou absurde, suffit à déclencher une émotion,

Comme un raté en un moteur qui s’étouffe.

«Qu’est-ce que  je disais, déjà : ah  oui,

Ma langue a fourché et puis dérapé

J’ai fait une embardée, un lapsus ! ».

Autre analogie du mouvement d’émotion :

Celui de la langue rejoint celui de la voiture.

Une simple rime ou une rime simple, voilà

Que l’oreille est chatouillée et voire ravie,

Par une répétition du même son

Ou contraire, surprise, heurtée !

Nous sommes programmés à entendre

Selon certaines formes d’élocution de mots

Et pour peu qu’on en change, la forme prendra le

Pas sur le fond, mon corps me meut, point mon esprit !

.

Émotion, émeuve, émeut, émoi, ému :

Conjugaison  et déclinaison d’émouvoir.

De quoi rire, de quoi pleurer, être surpris

Être dégouté, avoir peur, ou être en colère.

On les a appelés les six émotions primaires.

L’on y ajouterait : culpabilité, mépris, fierté

Et l’on passera à des sentiments complexes.

.

Émotion avant, pendant, après un mouvement,

Émotion avant, pendant, après comportement,

Émotion avant, pendant, après un événement !

.

L’émotion est souvent comparée à un transport

Du corps, du cœur, de l’âme, voire sexe, esprit.

.

L’émotion est associée à un état affectif intense

Troubles  divers : pâleur, accélération du pouls.

.

L’émotion donne de l’énergie qui se traduit dans

Mouvement corporel,  durant quelques minutes,

Sentiment l’intègre, rendre complexe et durable.

.

.

1083 – Calligramme

.

Corps me meut,

Du verbe  mouvoir.

Mon esprit m’émeut,

Du verbe  émouvoir !

En une seule voyelle

À rajouter au verbe

Et l’on passe ainsi,

Du corps à l’esprit

Jeu de .…..  mots,

Jeu … phonétique

Qui    démontrent,

 Et   C   à quel  point

 Les    O  deux sont liés

Sans au    R  cune dualité

On pense en   P    marchant,

Ou on marche en    S    pensant.

                  *

Tandis que mon corps  M  me meut,

Mon esprit très surpris  E  m’émeut,

Ouah : ces deux rimes    * font taches

Et sont justes dignes     M de potache.

                E

Ce n’est pas que rimes  U  qui poétisent,

Elles peuvent, aussi,    T   dire des bêtises

Certaines, mêmes,     *  vous ridiculisent :

Ne vous étonnez       E  plus qu’on médise.

 S

Je me fais prendre    P    à mon propre jeu :

J’ai la main, le pied  R       bien malheureux

Moi qui m’astreins   I       à être vers-tueux,

J’en fais des drôles   T       et   des  boiteux !

*

J’en ris moi moi-       M même car essentiel

De ne pas confon       ‘   dre la rime et miel

Dès qu’une larme     É   fond sous rimmel

Il vaut mieux chan   M   ger  ritournelle.

       E

Faut dire  que mon   U corps me meut

Et que mon esprit ép  T  ris m’émeut,

Faire coup de la vache  !   qui meuh

En meuglant «sauve qui   peut !»

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1083 4

.

Ça ressemble fort

 À quille de bowling,

À   grande    bouteille,

Sinon   quoi   d’autre ? 

.

(forme creuse, rimes mixtes,

le fond s’éloigne de la forme)

.

La quille ne va guère avec un corps

même si sa forme peut lui ressembler

déjà, elle n’a ni bras ni pieds, pas stable

tant et si bien que forme diffère du fond.

 .

Dès que je perds la boule, je pense,

Tout de suite, à une quille :

Et quand je m’y prend au jeu, voilà,

 Qu’à nouveau, tout roule !

.

Symbolique 

.

Quille.  Symbole masculin

(La forme) ou maternel (le bois).

Expression : c’est la quille = Fin d’épreuve.

Être reçu comme un chien dans un jeu de quilles

= Être mal reçu, mal accepté par quelque proche.

Vers 1900, le verbe ‘quiller’ signifiait

Abandonner, quitter ou partir.

.

Quille  pourrait  donc  être  un

Substantif tiré de ce verbe pour

Désigner  le départ, et, il pourrait

Aussi y avoir un lien avec l’argotique

Quille qui désigne aussi une bouteille.

expressio.fr/expressions/la-quille.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1083 6

.

Dès que je perds la boule, je pense,

Tout de suite, à une quille :

Et quand je m’y prend au jeu, voilà,

 Qu’à nouveau, tout roule !

.

Symbolique

 .

Le jeu de quilles

Est une activité sportive

Dans laquelle le joueur fait rouler

Ou jette projectile, souvent une boule

Vers les quilles pour les faire tomber.

Il existe diverses variantes de jeux

De  quilles,  que ce soit  dans  le

Nombre de quilles, les règles

Du jeu, la surface de jeu.

.

.

Corrélations

 .

Liens fond/forme 

 .

La quille est faite pour être abattue,

Pour s’aligner comme petits soldats,

N’a aucune autonomie, ne bouge pas,

Et n’a pas le moindre soupçon d’esprit

Lors la seule chose qui la ferait bouger

Est projectile en forme  boule bowling.

.

L’émotion naitra de la réussite ou non

De la faire tomber… avec ses voisines

Vaincre immobilité par mouvement

C’est ainsi que le corps de la quille

Et l’esprit du joueur s’associent.

 .

.

Corps me meut, esprit m’émeut

.

Scénario

.

Mon corps me meut rien qu’à danser pour toi,

toi avec moi : qui meut l’autre  et qui l’émeut :

moi, mon esprit m’émeut rien qu’à te regarder.

 .

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