1081 – La vie nous réserve nombre de surprises

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Quand

On va de surprise

En surprise, Charybde Scylla,

.

De mauvaise, plus mauvaise encore

Tout en espérant une bonne pour finir

Est souvent le lot de nombre d’humains

Quand tout va mal, c’est la loi des séries.

.

La vie nous réserve nombre de surprises

Certaines agréables, autres désagréables,

Il faut  s’attendre à tout,  quand, surtout,

Son propre passé vous rattrape par tout

Et à votre insu, de surprise en surprise.

.

Tout témoin deviendra gênant si alors

Il aurait connu votre  vie antérieure,

Que l’on veut effacer de sa mémoire,

Tout autant  que de celle des autres.

.

A  contrario : vraie surprise, plaisir

Que de revoir quelqu’un, quelqu’une,

Que l’on n’a pas vu depuis longtemps,

Et, que l’on croyait perdu vous rappelle

Des  moments  de grâce, de convivialité.

 .

«Déjà, à cet  âge-là, tu  aimais  écrire,

Faisais rire avec humour particulier.»

Il fait le lien  avec votre  passé,  ancien :

Écoles, collèges, lycées, ou  universités,

.

En  prouvant  que  vous êtes   constant

En vos valeurs, et,  en  vos  amabilités.

«Pour de vrai,  j’ai une bonne surprise

Et,  une mauvaise  surprise : laquelle

Vais-je vous annoncer  en  premier »

.

Qui n’a, jamais, entendu telle phrase,

Au lendemain d’un concours, examen,

Événement important scellant destin,

Je suis allé de surprises en  surprises.

.

Ma vraie, ma mauvaise, surprise, est

Que  tout cela  va finir, un beau jour,

Disparaitre   avec tout  et  moi aussi.

.

Monsieur  et Madame  Catastrophe,

Vont toujours de Charybde en Silla

Comme dans les voyages d’Ulysse.

 .

Extensions

 .

Il y a, c’est sûr, des degrés, dans les surprises,

Ainsi que des réactions adaptées ou exagérées

Un pain dans la gueule peut être une surprise,

Même si pour le caractériser, on utilise l’argot,

Lors un pain surprise vous ferait grands plaisir

Quand on va de mauvaise  en mauvaise surprise,

On dit «tomber de charybde en scylla», c’est quoi ?

.

Suivant instructions de Circé, Ulysse a doublé les sirènes

En qui des navigateurs expérimentés auront reconnu les Galli,

 Mis le cap sur scylla : arrivés  à mi-hauteur,  se trouve une grotte,

La falaise résonne des coups de boutoir que lui assènent des vagues

Déferlantes mais qui manqueront et de très peu de le faire chavirer.

.

La vie nous réserve bien des surprises,

Qu’elles soient bonnes  ou mauvaises,

Le ressort est on ne s’y attendait pas.

.

Certains, dans certaines  situations,

Diront aller de surprise en surprise

Comme escalade ou dégringolade.

.

Cadeaux sont censés être surprise

Or, ils ne le seront que rarement,

Correspondant attentes, envies.

.

Pour les rencontres c’est pareil,

Gens disent être là par hasard,

Alors qu’ils sont venus exprès.

.

Fragments

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Une vie sans la moindre surprise

Serait, pour le moins, surprenante,

La vie sera faite de choses et d’’autres

Dont certaines des plus entreprenantes.

.

Il y aura les petites et les grandes surprises,

Il y aura les bonnes et les mauvaises surprises

Nous espérons plus de bonnes que de mauvaises

Tant ces dernières nous mettront très mal à l’aise !

.

La meilleure des surprises : celle qu’on n’attendait pas

Oui, mais vous me direz que, c’est le propre de surprise,

Mais parfois, on ne se l’imaginait même pas, inattendue,

Tant la plupart des surprises sont attendues, ou espérées !

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Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Quand

On va de surprise

En surprise, Charybde Scylla,

De mauvaise, plus mauvaise encore

Tout en espérant une   bonne pour finir

Est souvent le lot de  L    nombre humains

Quand tout va mal,     A     c’est loi des séries,

La vie nous réserve        *   nombre de surprises

 Certaines agréables,       V     autres désagréables.

Il faut s’attendre à tout,  I             quand, surtout,

Son propre passé vous     E           rattrape par tout

Et à votre insu, de sur       *           prise en surprise.

   R

Tout témoin deviendra      É                  gênant si alors

Il aurait connu votre         S                  vie antérieure,

Que l’on veut effacer          R                 de sa mémoire,

Tout autant  que de            V                 celle des autres.

 À  contrario,   vraie            E               surprise et plaisir

Que de revoir, quel             *              qu’un, quelqu’une,

Que l’on n’a pas vu             C            depuis   longtemps,

Et, que l’on croyait             U           perdu vous rappelle

Des  moments  de               R          grâce et convivialité.

I

 «Déjà, à cet  âge                  E       -là, tu  aimais … écrire,

Faisais rire avec                U        humour particulier.»

Il fait le lien  avec               S        votre  passé,  ancien :

Écoles, collèges, ly              E          cées, ou  universités,

En  prouvant  que              S           vous êtes   constant

En vos valeurs, et,             E            en vos  amabilités.

«Pour de vrai,  j’ai             S           une bonne surprise

Et,  une mauvaise            *            surprise : laquelle

Vais-je vous annon          S           cer  en  premier »

 U

Qui n’aura jamais          R          entendu la phrase

Au lendemain d’un       P        concours, examen,

Événement impor        I      tant scellant destin.

Je suis allé  de sur      S     prise  en  surprise,

Ma vraie, ma mau    E   vaise, surprise,  est

Que  tout cela  va     S  finir, un beau jour,

Disparaitre avec    *   tout et moi aussi.

Monsieur  et  Madame  Catastrophe,

Vont toujours de Charybde en Silla

Comme dans les voyages d’Ulysse.

.

Forme

.

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Évocation 

.

Toute porte serait,

Par définition, un bel

Espace de projections 

D’ouverture maison ?

.

1081 4

.

Est-ce cette image, fantomatique,

Qu’on projette sur sa porte ?

Serait-ce la trace de voleurs entrés

En ma maison par effraction.

Derrière porte, il y a, parfois, surprise

Qu’il s’agisse de porte fictive ou maison

Et s’ouvre sur le connu comme l’inconnu

Et ainsi la forme rejoindrait ici le fond.

Symbolique 

Pendant  ……. des siècles

La porte  a été l’élément

Matérialisant le passage

Entre deux …….  mondes.

 .

Et que ce soit,  l’intérieur

Extérieur,   de la maison,

Et  le profane  et  le sacré.

 .

Nombre religions utilisent

La porte symbole passage

De l’obscurité à la lumière

Et de l’inconnu au savoir !

Modifié, source : cutivoo.com

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Fond

Évocation

.

1081 6

.

Est-ce cette image, fantomatique,

Qu’on projette sur sa porte ?

Serait-ce la trace de voleurs entrés

En ma maison par effraction.

.

Symbolique

.

Comme

La cité, le temple,

La maison est au centre

Du monde,  image de l’univers.

.

La maison chinoise et arabe est carré,

Univers clos quatre dimensions horizontales

À savoir : l’Est, l’Ouest, le Nord, et puis le Sud

Et deux  verticales avec cheminée et fontaine,

Yourte mongole est ronde suite à nomadisme.

.

La maison signifie l’être intérieur, Bachelard :

Ses étages, sa cave et son grenier symbolisent

Divers états de l’âme, lors  la cave correspond

À l’inconscient, grenier  l’élévation spirituelle.

 .

.

Fond/forme 

.

La porte, ah, la porte, que ne dit-on pas d’elle

À qui certains l’on intimera : prenez la porte,

La prendront, littéralement, et s’en iront avec,

Tout en sachant que ne n’est rien que la provoc.

.

Ouvrez la porte, derrière il y aura une surprise

Voilà qui excite l’imagination, puis la curiosité

Certains ont peur d’en trouver une mauvaise

D’autres, quelque chose qu’il n’attendait pas

Il y aura toujours un dedans et un dehors.

.

L’important est de ne pas rester sur seuil

 Faut se décider à franchir ou non le pas

La vie est faite ainsi, liberté de choix.

L’un en prenant la porte, l’emporte

L’autre, porte fermée, supporte

Parfois, la solution déporte,

En passant par la fenêtre

Devenant comme porte.

.

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1080 – Quelle bonne surprise que de te revoir !

Textuels et illustrations  >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

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Poème

.

Surprise quand

On ne s’y attend pas

Lors on ne s’y attend plus

Quand cela fait des années

Que l’on ne s’est point revu

Qu’on est demeuré muet

Sans moindre nouvelle.

.

Le plaisir de recevoir

Et, de diner,  ensemble :

Se rappeler bons moments

Ou pour tenter faire le bilan,

Chacun pour soi, de son côté

.

Mais cela pourra être aussi

Le matin même,  bel adieu

Et soir, je reviens te revoir,

Pas le temps perdre espoir

Que déjà à présent revenu

.

Bonne surprise que te revoir,

J’avais presque perdu tout espoir,

Est-ce par volonté…fruit du hasard

Tant je te sens en un trouble bizarre.

.

Ce matin, nous nous sommes quittés,

Comme dans un flou…un peu brouillé,

Sans nous dire, d’adieu … ni, au-revoir

Et voici que, par miracle, ce même soir,

.

Nous nous croisons, à nouveau, au coin

D’une rue qui a pour nom saint Amand,

Un signe que, nous ne sommes pas loin,

Un jour ou l’autre de redevenir  amants.

.

Il est déjà moins évident de se… quitter,

Quand on a la chance, de se revoir ainsi,

Comme si notre roman était déjà…écrit

Et qu’il suffisait, à présent, de le signer.

.

Quelque fortuit  qu’il soit, ou, plus, rare,

Il n’est ni de bonne ni mauvaise augure :

Simple coïncidence qui, jamais… ne dure,

À moins qu’un horoscope ne s’en empare !

.

Extensions

 .

Quelle bonne surprise que de te revoir,

Lors j’en gardais si peu l’espoir et maintenant

Que tu es là, je ne sais pas que te dire, faire avec toi :

L’effet de surprise m’a coupé les bras : chacun sait qu’on

Se prépare, on se répète, on joue son scénario mais que

L’on fait rien de cela une fois situation, décor, plantés.

.

On improvise, on se plante. C’est la dure réalité du

Séducteur timide, embarrassé ! D’un autre côté :

D’être toujours sous contrôle de soi-même et

De la situation  ne donne pas  bonne image

De son émotion tant on sait que la chimie,

En amour, l’emporte sur raison. Qui c’est !

.

Ah, c’est toi. Autrement dit : ce n’est que toi.

Tu n’es pas la rencontre surprise que j’attendais !

Le gant s’est retourné et on ferait presque mieux de

S’en aller, de se quitter avant d’avoir dit le moindre mot,

Esquisser le moindre geste, donner le moindre prétexte

Inventé pour se voir. La surprise est d’autant plus

Forte qu’on ne s’y attend pas, d’autant plus

Décevante qu’elle ne correspond pas

À son attente : contradiction entre

J’espérais, je n’osais y croire et si la surprise

Est bien là, ce n’est pas le cadeau qui me convient !

.

Histoire courante et banale, s’il en est

Que le retour d’un amant, ou d’un ex !

Et qui des deux serait le plus surpris :

Celui qui espère ou n’est plus attendu.

Les scénarios de surprise sont divers.

De je ne te connais plus, t‘ai assez vu,

Ah, enfin, te revoilà, je t’ai cru mort !

Il y a celui qui passait voir au cas où

Il pourrait, gratuitement, tirer un …

Trait sur le passé, vous pensiez quoi.

.

L’inconnu, l’impromptu, l’inattendu,

Créeront souvent des surprises survenues

Au moment où on ne s’y attend pas, ou plus.

.

Joie, danger, rejet : surprise est des plus brèves

On se reprend : mouvement de recul, d’avancée :

Quand c’est une déception, abattement sur place.

.

Notre déception serait d’autant plus forte, grande,

Que notre attente est longue et surprise engageante :

Un résultat d’examen voire une rencontre amoureuse.

.

Je me demande, parfois, si la découverte de mon texte,

Constituera pour des lecteurs, une surprise inattendue !

.

.

Fragments

.

La surprise est  une réaction   provoquée

Par une chose imprévue et voire étrange.

.

Sauf sursaut, recul, bouche grande ouverte

Pas de réaction, il faudra  attendre le recul.

.

Il y a de bonnes  et  de mauvaises surprises,

Et il y a celles qu’on attendait  et les autres !

.

Sens  contraire, on croit qu’elle est mauvaise,

Et en la voyant sous l’émotion, elle est bonne.

.

La plupart du temps, cadeaux font la surprise

Mais les rencontres inattendues : tout autant.

.

Y en a, aussi, qui auront surprises en horreur :

Se décomposant muettes, elles en auront peur

.

La surprise s’associerait  bien avec la curiosité

Qui va au-devant d’elle sans peur ni animosité

.

Surprise de visite qu’on n’attendait pas ou plus

Est souvent chargée émotion bonne/mauvaise.

.

Surprise tombe à plat si partiellement dévoilée

On fait mine d’être étonné, le cœur n’y est pas.

.

Il me reste  à espérer que, de me lire, ici  ou là,

Constituera, pour vous, à la longue : surprise !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

Q U E L L E

Surprise quand

On ne s’y attend pas

Lors on ne s’y attend plus

Quand cela fait des années

Que l’on ne s’est point revu

Qu’on est demeuré muet

Sans moindre nouvelle.

 S  U  R  P  R  I  S  E

    Le plaisir de recevoir

           Et, de diner,  ensemble :

                 Se rappeler bons moments

                     Ou pour tenter faire le bilan,

                       Chacun pour soi, de son côté

               Q  U  E      D    E

                       Mais cela pourra être aussi

                        Le matin même,  bel adieu

                         Et soir, je reviens te revoir,

                        Pas le temps perdre espoir

                      Que déjà à présent revenu

                      T  E     R  E  V  O  I  R   !

.

                 Bonne surprise que te revoir,

        J’avais presque perdu tout espoir,

   Est-ce par volonté…fruit du hasard

 Tant je te sens en un trouble bizarre.

.

Ce matin, nous nous sommes quittés,

Comme dans un flou…un peu brouillé,

Sans nous dire, d’adieu … ni, au-revoir

  Et voici que, par miracle, ce même soir,

.

     Nous nous croisons, à nouveau, au coin

       D’une rue qui a pour nom saint Amand,

         Un signe que, nous ne sommes pas loin,

           Un jour ou l’autre de redevenir  amants.

.

        Il est déjà moins évident de se… quitter,

     Quand on a la chance, de se revoir ainsi,

  Comme si notre roman était déjà…écrit

Et qu’il suffisait, à présent, de le signer.

.

Quelque fortuit  qu’il soit, ou, plus, rare,

Il n’est ni de bonne ni mauvaise augure :

Simple coïncidence qui, jamais… ne dure,

À moins qu’un horoscope ne s’en empare !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Apparition d’une femme

Pour le moins aguichante,

Voire même, en séduction

Mais pourquoi, pour qui ?

.

1080 4

.

Comme une apparition subite,

 Inattendu  et  voire séduisante :

Et voici comment une femme en

 Vient à percuter son… souvenir.

.

Symbolique

.

Sans doute, elle est reine

Du monde entier, mais

Elle est plus spécialement

Reine de France.

D’ailleurs c’est la France

Qu’elle a choisie pour se

Manifester trois fois

En trente-trois ans.

La Salette (1846),

Lourdes (1858)

Et Pontmain (1876)

Sont la triple affirmation

De cette mystérieuse et persistante

Prédilection. Vierge Marie, bien sûr,

Vierge Marie, apparition.

payot-rivages.fr/rivages/livre/

le-symbolisme-de-lapparition

.

.

Fond

 .

Évocation

.

1080 6

.

Comme une apparition subite,

 Inattendue,  voire  séduisante :

Et voici comment une femme en

 Vient à percuter son… souvenir.

.

Symbolique 

.

La séduction désigne,

En science psychosociale,

Un ensemble de procédés de

Manipulation visant à obtenir

Une faveur, donner  une image

Avantageuse de soi, ou  susciter

Délibérément  une vive émotion,

Une  admiration, ou  attraction,

Voire   un  sentiment  amoureux

De la part d’un  ou  de plusieurs

Le  mot  serait  dérivé  du  latin

Seducere, ou « tirer à l’écart »

Casanova,  figure historique,

Don Juan, figure mythique,

Seront considérés comme

Des types du séducteur.

Wikipédia

.

.

Fond/forme 

 .

Apparition et séduction se conjuguent, 

Pour séduire, il faudra bien apparaitre

Si c’est possible, sous son meilleur jour.

Mais une apparition  se conjugue aussi

Avec surprise qu’on attendait pas, plus

Qui nous met parfois dans l’embarras !

En ces deux cas, apparition est un aveu

Qui signifiera qu’on est ébranlé par elle

Qui provoquerait l’attirance ou le rejet.

.

Textuels et illustrations  >>

1079 – En pleurs, coulée d’eau, larme, sanglot

Textuels et illustrations   >>

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Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Tes pleurs sont langage

De ta souffrance et douleur,

Souffrance, physique  et morale,

Tant vrai qu’une seule de tes larmes

Illustre, contient, retient, son drame,

Lorsque  tes  yeux,  de  charmes,

Se mouillent, en  vrai, vacarme.

.

Un mouchoir  pour  les essuyer,

Et mes mains, pour les sécher,

Et un baiser pour les  ravaler,

Et un regard,  pour  sérénité.

  .

Tant, de te voir tant éploré,

J’ai failli aussi m’effondrer

Comment lors te rassurer

Qu’être présent à tes côtés.

.

Tant,  après un long soupir

Tu as esquissé un   sourire

Lors je ne te le fais pas dire

Tu étais reine sous empire,

.

De sens, sensation, émotion

Exprimé par fond de passion

Délaissé, ressuscité, d’amour

Qui redonnait sens à tes jours.

.

C’est le contraire de faire braire

Tout ton mal comme hystérique,

Toutes peurs  et où tu t’engages

Cri et crime : glande lacrymale

En  ferait un  réflexe, animal.

.

Tes pleurs en coulées d’eau,

Tes larmes et  les sanglots

Valent bien mille mots,

Qui seraient  de trop.

 .

Extensions

 .

Rassurer quelqu’un en le prenant contre soi,

Diminuer sa peine, sa douleur …  son angoisse,

Par des gestes simples et des paroles apaisantes,

Comme une mère sait le faire avec son enfant pour

Sécher ses pleurs, calmer et réfréner ses sanglots.

Il y a des jours où sa peine est si immense

Qu’on ne peut arriver, seul, à la porter.

.

Le fait qu’elle soit comprise et partager

Par un autre, sous le coup de l’empathie,

Nous libère du poids d’une solitude extrême :

«Moi aussi, j’ai connu ça lors je te comprends» !

.

Ce sont les gestes et les paroles simples, sans effet

De manche ni de rhétorique, qui apaisent le mieux

Pour peu  d’être sincères, et, pas  trop, les appuyer.

.

Il est vrai que les femmes sont sujettes aux larmes

Et aux sanglots que les hommes dont leur fierté

Consiste à ne pas laisser transpirer émotions.

.

 «Un homme ne pleure pas, ne dit rien, ne fait rien, encaisse »

Il encaisse le moment, mais il va se cacher après pour pleurer :

Simple code de conduite en société pour ne pas perdre la face,

Mais quelle face : perte provoque un sentiment de frustration

Et la femme réagira par culpabilité ; l’homme, par une colère !

.

Ça fait du bien de pleurer, ça soulage mais faut une bonne raison

Sinon c’e sera perçu comme preuve de faiblesse ou d’infantilisme

Je pleure un peu donc je suis

Un mort, ne pleure, ni ne rit !

Si des larmes coulent, parfois, et indépendamment de sa volonté,

Ceux, celles, qui ont les yeux secs : glande lacrymale défectueuse

Ont mal aux yeux, voient trouble

Expriment autrement émotions !

.

Il y en a qui ont la larme facile :

On les appelle les  hyperémotifs,

Et la plupart sont des femmes !

.

Hommes retiennent leurs larmes,

Ne veulent pas être ostentatoires,

Car ils pleurent surtout pour eux.

.

Pleur est un «pansement de l’âme»

Il guérit ou apaise bien des drames,

Il faut parfois l’arracher à quelqu’un.

.

Suite aux humiliations, on peut choisir

De pleurer en silence, la tête haute, droite

Ou en faisant des bruits avec la tête baissée.

Fragments 

 .

Les larmes seront, le plus souvent,

Expressions de souffrance, de peine,

Les larmes de joies seraient plus rares,

Comme débordement émotion positive.

.

Et nul besoin d’un torrent pour sa peine :

Une seule larme, à couler sur joue, suffirait

À faire comprendre à l’autre, état de douleur

En une retenue voire une discrétion, muettes.

.

Les hommes pleurent peu, où bien à l’intérieur :

Ce n’est pas qu’ils ne souffrent ou ne compatissent

C’est qu’on leur apprend les pleurs comme faiblesse

Et ils se conformeront à ce schéma comportemental.

.

Quoiqu’il en soit de cette différence basée sur le genre

Pleurer ferait du bien, et  y compris à chaudes larmes :

Elles libèrent non seulement des nervosités des toxines

Mais déclenchent autour de soi, sortes de compassions.

.

Des enfants  pleurent, pour un oui /non,  pour un rien :

Ils utilisent les larmes  pour obtenir une compensation,

Lors d’un caprice ou d’un bobo plutôt que crier, s’agiter

Mais, peu à peu, en grandissant, le code social s’établit.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Tes pleurs sont langage

De ta souffrance et douleur,

Souffrance, physique  et morale,

Tant vrai qu’une seule de tes larmes

Illustre, contient,   retient,  son drame,

Lorsque  tes            yeux  de               charme,

Se mouillent,            en  vrai                 vacarme.

Un mouchoir             pour  les                   essuyer,

¤ Et mes mains                pour les                       sécher, ¤

¤¤¤   Et un baiser                  pour les                        ravaler,   ¤¤¤

¤¤¤¤    Et un regard                        pour                         sérénité.    ¤¤¤¤

¤¤¤¤¤   Tant  te voir         Ô                                 Ô          tant éploré   ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤     J’ai failli aussi                          //                             m’effondrer   ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤    Comment lors                                                            te rassurer  ¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤    Qu’être présent                        //                                et à tes côtés  ¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤   Tant,  après un                                                              long soupir   ¤¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤¤    Tu as esquissé                         //                                    un   sourire,    ¤¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤¤    Lors je ne te le                                                                fais pas dire    ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤¤   Tu étais reine                                                               sous empire,   ¤¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤   De sens, sensa              =========                 tion, émotion   ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤   Exprimé par    P                                          C      fond de passion   ¤¤¤¤

¤¤¤   Délaissé, res       L                                       O     suscité, d’amour   ¤¤¤

¤¤¤ Qui redonnait     E                                    U        sens à tes jours. ¤¤¤

C’est tout le con    I                                 L  raire de faire braire

Tout ton mal      N                              É comme hystérique,

Toutes peurs      *                           E   et où tu t’engages

Cri et crime :     P                       *   glande lacrymale

En serait un      L                   D   réflexe, animal.

Tes pleurs en   E                ‘    coulées d’eau,

Tes larmes et  U      E      les sanglots

Valent bien   R   A      mille mots

Qui serai  S U   ent  trop.

L    A    R    M     E,  

S A N G L O T

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une forme de visage ovale

Avec ses deux grands yeux

Pleurant chaudes larmes 

Ou voire un tête de singe.

.

.

U

Ici, sur ce visage, les larmes,

Non retenues,   coulent à flots :

Elles    servent   à   communiquer

Autant qu’à libérer ses souffrances.

Visage, yeux, larmes vont ensemble,

Elles couleront, salées sur les joues,

Que ce soit l’œil ouvert  ou  fermé,

Ainsi la forme convient au fond.

.

Symbolique 

.

C

C’est à travers son visage

Que l’individu se met au monde,

Qu’il se donne à comprendreàlautre

Dansleface‑à‑face des communications

Qui trament toute notre  vie quotidienne.

Visage est matrice du sentiment d’identité,

C’est pourquoi il est, pour chacun de nous,

Une boussole incomparable de l’émotion,

Qui saisit l’autre, dans ses souffrances.

Déceler les significations imaginaires

Associés au visage est une manière

De répondre à la fascination

Qu’il   exerce  et  non

En déflorer lesecret,

Pour   senapprocher

Encore       davantage,

jdpsychologues.fr/article/le-visage

-symbole-de-notre-identite

.

.

Fond

 

Évocation 

.1079 6

.

Ici, sur ce visage, les larmes,

Non retenues, coulent à flots :

Elles  servent  à communiquer

 Puis à libérer  ses souffrances.

.

Symbolique

 .

La

Larme

À l’œil, essuyez

En un contexte de

Tristesse ou bien de joie

La personne verse larmes

En expression de leur sincérité :

Point  étant  intéressant à observer.

Pouvons logiquement nous demander

Ce qu’évoquent ces larmes, pour elle ?

Se sent-elle responsable, coupable ?

Cette situation la touche-t-elle

Per-son-nel-le-ment ?

http://www.ds2c.fr/

blog/la-larme-a-l-oeil.

.

.

Fond/forme 

 .

Les larmes, bien que liquides et muettes

Parlent un langage  qu’on décrypte bien,

Et qui déclenchent la question : pourquoi ?

.

Causes sont multiples, on peut se tromper,

Mais quand trop c’est trop, il faut attendre

Que le torrent s’assèche, mouchoir trempé

Sont difficiles à reproduire virtuellement

Non pas à cause de forme ou contenu

Mais expression du visage, yeux.

.

Textuels et illustrations   >>

1078 – Ses yeux, au bord des larmes, éclats

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Toute rupture amoureuse

Pour peu   qu’amour  persiste

Provoque  des  éclats et des larmes,

Parce que  peine à résister

À toutes les séparations, dites définitives.

.

Il se produit comme un vide, trou béant,

Que rien ne vient remplacer  sur le champ

Arrive qu’on s’y attende, on le vit,

.

On se trouve orphelin sans parents précis,

Au point qu’on s’effondre las sur lit

Ne sachant faire qu’être pleurant.

.

Ses yeux, au bord des larmes,

Perlaient de ces éclats de drame,

Qui suivent abandon de lit conjugal

Où l’homme aimé lui avait fait du mal.

.

Après trois années, d’une vie amoureuse,

Un voile est tombé, sur elle, malheureuse,

Pas question d’être parfaite, ou vertueuse :

Aucune femme ne peut rester voluptueuse.

.

Le désir est un élixir, qui perd son attrait,

Dès que l’autre vous a fait faux portrait,

De vous en vous dénigrant vos défauts

Il n’y a plus d’espoir de rester haut !

.

À présent qu’elle a rendu les armes,

Tout lui est indifférent semble égal,

Que va-t-elle faire  de ses charmes,

Si elle rejette autant bien que mal.

.

Trouver un homme, qui la conforte,

Et quand elle est en bas la réconforte,

N’est pas très aisée après être séparée

Mais elle est prête à lutter pour trouver.

.

Pour entreprendre avec lui une vie normale,

Se marier, enfanter, bâtir un foyer, un métier,

Mais pas avec un amant qui trouve cela banal,

Au point de lui dire que c’est rogner sa liberté !

.

Tandis que vie roule, déboule sens sus-dessous,

Bien qu’évincée, elle n’a pas  cœur  à se venger,

Mais bien plutôt de comprendre et de se situer

Dans un lien où l’amour reste, pour elle,  tout.

.

Extensions

 .

Ses yeux, au bord des larmes,

Brillaient d’éclats, qu’eau salée,

Donne aux iris  lors  ses  pupilles

Se dilatent  et sa vue se brouillent,

Que son cerveau s’embrouille en ses

Méandres  et circonvolutions  jusqu’à

Produire  vrai  feu d’artifice d’émotions

Primaires issus de sentiments contraires.

Drame sentimental comme dit la chanson

Avec ou sans éclats d’existences.

.

Je ne voudrais pas faire naitre en vous des larmes

En étant larmoyant au possible et inutilement.

S’il est vrai que c’est une réaction féminine

Bien plus que masculine, méfions-nous,

Tant celles qui coulent à l’intérieur,

Invisibles, font plus de dégâts :

Alors, laissez-vous aller !

.

Pleure, ô ma douleur,

Pleure, ô  mon  cœur,

Pleure, ô  mes   yeux :

Largement et copieux !

.

Les larmes sont émotionnelles :

Déprime, dépression, baby-blues,

Sa tristesse ne peut être contenue,

Elles coulent, barrage qui se fissure.

.

Elles se déclenchent, système limbique

Qui activera les nerfs parasympathiques,

Mais grâce à dieu, les nerfs sympathiques,

Diminueront leur production jusqu’à l’arrêt.

.

Voilà vous savez presque tout autant que moi ;

Les hommes, les durs, se cachent  pour pleurer,

Comme s’ils avaient honte  de leur vulnérabilité,

Alors qu’au contraire, elles guérissent la douleur.

.

Fragments

.

Larmes manifesteront,

Le plus souvent, tristesse

Tant ayant pour fonctions

De soulager toute détresse.

.

Larmes de joie arrivent parfois,

Lors émotion trop forte irruption

Son trop plein, elles manifesteront

Surprise, joies et pleurs … à la fois !

.

Pleurer à chaudes larmes, facilement,

Fait montre d’une sensibilité exacerbée,

Il ne faudra pas automatiquement s’y fier,

Pleurer sur commande est un entrainement.

.

Pleurs ne sont pas déclenchés que de l’extérieur

Elles peuvent provenir d’un état d’âme, intérieur,

Sans raison apparente, ruisseau soudain, de pleurs,

Comme on voit dans troubles bipolaires ou douleurs.

.

Larme du crime dirait un crocodile, mangeant sa proie,

On dit qu’il pleure, non par regrets, remords, culpabilités,

Mais parce qu’il souffre de la mâchoire… serrant les dents,

Crocodile lui irait bien comme non, lorsqu’il croque Odile !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

  .

Toute rupture amoureuse

Pour peu   qu’amour     persiste

Provoque  des  éclats  et  des larmes,

Parce que   Ô  cœur peine  Ô  à résister

À toutes les sépara // tions, dites définitives.

Il se produit com   //  me un vide, trou béant,

Que rien ne vient  //remplacer  sur le champ

Arrive qu’on   s’y  ====  attende, on le vit,

On se trouve orphelin sans parents précis,

Au point qu’on s’effondre las sur lit

Ne sachant faire qu’être pleurant.

******************

*****************

******************

Ses yeux, au bord des larmes,

Perlaient de ces éclats de drame,

Qui suivent abandon de lit conjugal

Où l’homme aimé lui avait fait du mal.

.

*************************************

*************************************

.

Après trois années,  L   d’une vie amoureuse,

Un voile est tombé,  E   sur elle, malheureuse,

Pas question d’être   S  parfaite, ou vertueuse :

Aucune femme ne   *    peut rester voluptueuse.

Le désir est un   Y  élixir, qui perd son attrait,

Dès que l’autre  E  vous a fait faux portrait,

De vous en vous  U   dénigrant vos défauts

Il n’y a plus d’es   X   poir de rester haut !

* ….

À présent qu’elle a  A   rendu les armes,

Tout lui est indiffé   U  rent semble égal,

Que va-t-elle faire    *   de ses charmes,

Si elle rejette autant   B   bien que mal.

Trouver un homme, qui  O  la conforte,

Et quand elle est en bas la   R réconforte,

N’est pas très aisée après être   D    séparée

Mais elle est prête à lutter pour le  *  trouver.

D …………………………..

Pour entrepren   E  dre avec lui une vie normale,

Se marier, enfanter, S   bâtir un foyer, un métier,

Mais pas avec un amant   *   qui trouve cela banal,

Au point de lui dire que c’est    L   rogner sa liberté !

Tandis que vie roule, déboule sens   A      sus-dessous,

Bien qu’évincée, elle n’a pas  cœur à    R    se venger,

Mais bien plutôt de comprendre et de   M  se situer

Dans un lien où l’amour reste, pour elle,  E  tout.

.

Forme

 .

.

Évocation

.

En haut, un visage

De jeune fille en larmes

 En son …  intériorité

Chagrin d’amour ?

.

1078 4

.

Les yeux au bord des larmes,

Ça ne se voit guère, ça se ressent

Bien et fort de l’intérieur lorsqu’on

Aurait   de  la peine  à  les  retenir !

Larmes et intériorité se conjuguent

Sachant qu’elles seront  produites à

La suite d’une situation dramatique

Ainsi la forme épouse bien le fond.

.

Symbolique    

 .

Larme est un liquide

Salé et qui coule des yeux.

Elle   symbolise   la   tristesse

La douleur, mais parfois la joie.

 .

De  nombreuses  expressions  sont

Associées  aux larmes. Par exemple,

Expression « Pleurer à chaudes larmes »

Signifie que l’on pleure très sincèrement.

 .

Au contraire,  les  « Larmes de crocodile »

Désignent qui fait semblant de pleurer.

Ou  encore,  « Une larme » signifie une

Petite quantité de liquide, soupçon,

Et notamment d’alcool très fort.

Sour(ce : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-larmes.htm

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1078 6

.

Les yeux au bord des larmes,

Ça ne se voit guère, ça se ressent

Bien et fort de l’intérieur lorsqu’on

Aurait  de la peine à les retenir !

 .

Symbolique

 .

Intériorité est notion

Vague  et  visqueuse, propice

Aux malentendus : je ne l’entends pas

Au sens d’une métaphore assourdie de l’âme,

Ou comme une région privilégiée du soi tout entière

Consacrée à la contemplation, la spiritualité, méditation

Enclave religieuse naturelle  O qu’individu  porte  en soi.

Je vois mieux son intériorité  comme un terme fragile

Désignant une sorte de jardin secret de l’individu,

Dans son univers personnel, espace sans lieu

Où il se voit en sa nudité fondamentale.

Lors comme l’âme est immatérielle

Elle est du domaine invisible.

cairn.info/le-silence-et-la-parole-page

-117.htm#:text=L’interiotite

 .

.

Fond/forme 

 .

Larmes de tristesse plus que larmes de joie,

Lors le visage y participe, figé, comme froid.

 .

Les larmes ont pour fonction, et pour mérite,

D’évacuer le stress négatif  et qui empoisonne

La circulation du sang, de l’air et des humeurs.

 .

Un trop plein d’émotions prend corps et forme,

Au bord des yeux, dans les glandes lacrymales,

L’eau coule sur les joues, nécessitant mouchoir.

 .

Parfois feintes  car l’œil en vérité, reste trop sec,

On est dans le registre de la comédie, mensonge.

 

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1077 – Quand j’ai le sang chaud, mon sang bout

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Allez savoir pourquoi

Sang bout,     chaque fois

Que je vois,       t’aperçois !

Me mets en tous mes états,

Jusqu’à en perdre  ma voix.

.

Je n’ai  même  pas  le choix,

Sinon, je bégaie, aux  abois :

Reviens donc une autre fois,

Je garderai mon sang-froid !

.

Quand  j’ai  le  sang  chaud,

Mon sang bout ;

Quand j’aie  le  sang-froid,

Mon sang tue ;

Quand  j’ai le  sang tiède,

Mon sang sue !

.

Quand j’ai le sang mort,

Mon sang tort ;

Quand je le sens…mal,

J’en conviens ;

Quand je le sens fatal,

Je me retiens ;

Quand je ne sens rien,

Je m’abstiens ;

Quand je le sens bien,

J’y reviens !

.

Quand je le, sans toi,

C’est l’effroi ;

Quand je le sous moi,

C’est l’émoi ;

Quand je le, pour toi,

C’est ma joie ;

Quand je le, pour moi,

T’es ma proie !

.

Quand j’aurai cent franc

Je suis nu ;

Quand j’aurai cent mille,

Suis aux nues ;

Quand j’aurai cent torts,

Le tort tue ;

Quand j’aurai cent blanc,

Blanc battu !

.

Quand je, s’en viendra,

Serai là :

Quand je,  s’entichera,

Baisera ;

Quand je s’entendra,

Restera ;

Quand je s’en ira,

Plus là ! 

.

Extensions

 .

Le sang chaud, ou le sang froid

Sont expressions un peu exagérées,

Le sang ne change pas si facilement

Ni soudainement de température.

Même si, sur le coup de forte fièvre,

Il peut augmenter de quelques degrés,

Parler de chaud, froid, est sens figuré !

.

La suite : « sens mort, sans tort, etc. »

N’est qu’une série  de jeux de mots

En recherche de sens et de rimes

Qui vont bien ensemble avec le

«Je» qui répondrait au «jeu»

Pour accentuer son effet de

Répétition ou  de scansion.

.

Au final «je s’en ira, plus là

Ainsi se finirait ma chanson

Mais quel qu’en soit la raison,

L’absence de l’autre est définitive !

L’absence de sens est aussi embêtante,

Sinon plus, car l’absurde n’est pas loin

Et vous guette au premier tournant !

.

Quand j’ai le sang chaud…Sancho,

Sancho Panza, pense  à tout, sauf :

Il s’agit bien, ici, d’un jeu…de mots

Où je ne trouve aucune rime  en auf.

Faut-il que  je m’adresse  au maître :

Don Quichotte, conçu  par Cervantès,

Ou m’en tenir à un quoi, ou qu’est-ce,

En attendre  la réponse  de son cheval,

Mon sang bout : j’entends Monsanto !

.

Le sanguin est un être  optimiste et social :

Une personne chez qui le sang prédomine,

Lié à l’élément air : sens chaud et humide.

.

Colérique est un être coléreux et irritable :

Correspond à la bile, liée à l’élément feu

Et aux caractéristiques du chaud et sec.

.

Mélancolique est être analytique et calme :

Est lié à bile noire, liée à l’élément terre

Et aux caractéristiques du froid et sec.

.

Flegmatique est un être détendu, paisible :

Est lié, essentiellement, à l’élément eau,

Aux caractéristiques froid et humide.

D’après un article dans Wikipédia

.

Fragments

.

Sang froid, sang chaud,

Sang bout… sans repos !

.

Mieux vaut avec que sang

C’est jouer, là, sur les mots.

.

S’en bout, circulant en boucle,

À moins de blessure, sans coule.

.

Boucle de cheveux que cœur brosse

En tournant et en pompant son sens.

.

Rapprochement entre cheveux et sang

Ne va pas de pair, il n’est plus de chair

.

Et pourtant, rien n’empêche  de le faire :

Histoire de paraitre ou de nous distraire.

.

L’on imaginera mal rester avec une tignasse

Jamais peignée, jamais tressée, jamais lavée.

.

L’on imagine mal rester avec un sang qui bout

État d’hypertension permanente et dangereuse.

.

Lors, de même que la brosse régule une chevelure,

Exercice de respiration peut contrôler sang chaud.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

L O R S   J ’ A  I

Allez savoir pourquoi

Sang bout,     chaque fois

Que je vois,       t’aperçois !

Me mets en tous mes états,

Jusqu’à en perdre  ma voix,

Je n’ai  même  pas  le choix,

Sinon, je bégaie, aux  abois :

Reviens donc une autre fois,

Je garderai mon sang-froid !

.

L E  S  A  N  G  C H A U D,

Quand  j’ai  le  sang  chaud,

Mon sang bout ;

Quand j’aie  le  sang-froid,

Mon sang tue ;

Quand  j’ai le  sang tiède,

Mon sang sue !

Quand j’ai le sang mort,

Mon sang tort ;

Quand je le sens…mal,

J’en conviens ;

Quand je le sens fatal,

Je me retiens ;

Quand je ne sens rien,

Je m’abstiens ;

Quand je le sens bien,

J’y reviens !

Quand je le, sans toi,

C’est l’effroi ;

Quand je le sous moi,

C’est l’émoi ;

Quand je le, pour toi,

C’est ma joie ;

Quand je le, pour moi,

T’es ma proie !

Quand j’aurai cent franc

Je suis nu ;

Quand j’aurai cent mille,

Suis aux nues ;

Quand j’aurai cent torts,

Le tort tue ;

Quand j’aurai cent blanc,

Blanc battu !

Quand je, s’en viendra,

Serai là :

Quand je,  s’entichera,

Baisera ;

Quand je s’entendra,

Restera ;

Quand je s’en ira,

Plus là ! 

MON SANG BOUT  

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une longue vis, autoperforante,

Un écouvillon pour une bouteille

Ou un bracelet  pour une montre,

Ou brosse à cheveux de femme.

.

1077 4

.

La brosse à cheveux ronde et à picots :

Est-ce le meilleur choix

Pour tous les types de cheveux, surtout

Ceux qui sont longs et raides.

La brosse à cheveux et le sang chaud

ne se mêlent pas facilement ensemble

malgré leur longueur, force, couleur,

et ainsi leur forme ignore leur fond.

.

Symbolique 

.

La brosse est un

Style de coiffure simple

Pour dresser les cheveux

Verticalement sur la tête.

Cette coiffure  nécessitant

Des cheveux  plutôt lisses,

Un minimum de longueur

La coupe reste réalisable à

L’aide de  bon gel coiffant

Terminée avec un séchoir,

Coiffé arrière plusieurs

Fois en les mouillant.

Wikipédia : brosse

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1077 6

.

La brosse à cheveux ronde et à picots :

Est-ce le meilleur choix

Pour tous les types de cheveux, surtout

Ceux qui sont longs et raides.

.

Symbolique 

 .

L’ennemi  des filles, aux  cheveux  bouclés :

Est sans nul doute la brosse à cheveux.

Cette dernière offre peut-être l’avantage

   De démêler votre tignasse, mais, elle a

      L’inconvénient de casser vos boucles.

 

        Résultat : vous vous retrouvez avec

             Une  masse de  cheveux  mousseux

                  En plus, partant en tous les sens.

 

                         Pour ça, mieux vaut  privilégier

                                Une brosse en poil  de sanglier,

                                  Ces dernières sont plus douces

                                       Et abîment moins les cheveux.

                                              Source : www.cosmopolitan.fr/

                                                   quelle-brosse-pour-mes-cheveux

 

 

Fond/forme 

 .

À quoi pense-t-on en se brossant les cheveux :

À son, ou ses humeurs : humeur rose, morose,

La tête plein de vide, de rêveries  ou de choses,

Nous tracassant, pouvant nous gâcher la vie,

Mais des fois à quelques sensations sensuelles

Se faire brosser les cheveux ne le serait-il pas

Tant leur soyeux, leur souplesse, leur brillant

Évoquent un mélange de douceur et d’allant.

.

Textuels et illustrations  >>

1076 – La peur donne des ailes pour nous sauver

Poème et calligramme  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La peur donne des ailes

On aimerait tant voler

Et, s’en aller du lieu

Où il y a du danger.

Mais  quand la peur

Est toute intériorisée,

Qu’on  la  porte en soi,

Pour s’en   débarrasser,

Comment faire, mystère.

Ce sera  une vraie galère,

Quand   les médicaments

Ne pourront  la  soigner.

Avoir peur … de sa peur

Est l’angoisse absolue,

Pouvant rendre…fou

De tout : moi, vous.

.

La peur vous donne des ailes

Dès qu’il s’agit de vous sauver

Mais, est mauvaise  conseillère,

Lorsqu’elle provoque … méfaits.

Voilà deux vertus  …  contraires,

Qui usent  des mêmes charmes,

Qui abusent des mêmes armes

Parfois,  vous forcent,  à faire,

Choses, que vous  n’avez pas,

Vous-même, ou seul, choisi,

Vous ont été imposé ou pas

Par un quelque autre parti.

.

Peur, malgré vous, vous gagne ;

Confiance en vous,   vous calme ;

Confiance donne des ailes, pour

Vous rapprocher des gens, agir

.

Ce choix est dramatique

Car si la peur vous délite,

La confiance sera perdue

Vous  rendra   tout … nu,

Incapable  de  faire face,

À l’ennemi à  votre place

Qui  vous  dit  êtes foutu,

Mort : n’en parlons plus.

.

Il en serait ainsi de tout :

Amour, santé et l’argent,

Réussite, être compétent,

Faut croire en soi en tout

Gérer sa peur  sans la nier

Réorienter son énergie vers

Une solution viable, durable,

Convaincre tous  la   partager.

Peur et confiance  seront comme

Rigueur et relance  ou deux faces

De la même  monnaie, pugnaces,

En matière dont est fait l’homme.

.

Extensions

 .

                      La peur donne des ailes pour nous sauver :

                    Physiquement c’est vrai, pour échapper

                  À un danger réel, ça l’est moins moralement

               Pour éponger le stress, l’angoisse,

             La dépression qui demeurent tenaces.

           En ce cas, l’ennemi est intime,

         À l’intérieur de nous.

       Nous le percevons mal, nous

      N’avons pas d’armes

    Efficaces pour le combattre

  Et ne pouvons le fuir,

 Mais seulement le subir !

Si la peur donne des ailes,

L’angoisse nous les coupe,

Nous empêche  de bouger

Même de penser : anéanti !

.

Les peurs des fantômes, bien qu’ils  soient  imaginaires

Provoquent  des sortes d’angoisses,  des  atmosphères,

Qui les entourent et les animent, pour on ne sait quoi,

Toutefois, ils n’atteignent pas les seuils de la terreur :

Ils demeurent dans un registre gérable par le cerveau

Ce sont des trompe-l’œil, des projections, des illusions

Faisant appel à diverse puissances, dites surnaturelles

Dès qu’on cesse  d’y croire, on cessera  de les apercevoir

Et s’ils reviennent, on peut les chasser dans un trou noir !

.

La peur  demeure une émotion qui accompagne

 La prise de conscience du danger extérieur.

Elle est liée à l’instinct de conservation

Par la prudence qu’elle génère.

.

Créée par un afflux d’émotions,

Elle doit être distinguée de l’anxiété.

Elle peut devenir de plus en plus grande

Plus on se bat contre elle : plus menaçante.

.

L’angoisse deviendra difficilement contrôlable

Au point que parmi conséquences, on éprouvera

 Maux de tête et douleurs abdominales,

Baisses du niveau d’énergie, etc.

.

Fragments

.

Forme et fantôme iraient bien ensemble

Ils ont tous la même et ils n’en ont pas :

Bougent peu, ne marchent, parlent pas

Ainsi la forme et le fond se confondent.

.

La peur, des ailes, peut donner,

Comme les couper tout autant,

Tout dépend du comportement

Qu’on adopte,  face au danger :

Fuir, restant, danger conscient,

Sinon figé, impuissant, restant.

.

Émotion peur, en se déclenchant,

Devant un vrai danger, survenant,

Est plus fréquente, compréhensible

Que celle venant de soi, irrésistible.

.

La seconde est dénommée angoisse,

Ce sera en gros une peur, sans objet,

La peur d’avoir peur, avoir la poisse,

Peur fantôme d’un fantasme… irréel.

.

L’imaginaire tiendrait lieu de réalité,

Empêchant  cerveau de bien analyser,

Dit parfois : avoir peur de son ombre,

Il s’agit là de quelqu’un, très peureux.

.

En finir,  avec les peurs : facile  à dire,

Il est vrai que  c’est pas facile à vivre :

D’être manipulé, persécuté,  violenté :

Raisonner ne suffira pas en aucun cas

Thérapie s’avère être le meilleur choix

Si l’on n’en guérit, plus, on contrôlera.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

.

 Calligramme

 .

LA PEUR

La peur donne des ailes

On aimerait tant voler

Et, s’en aller du lieu

Où il y a du danger.

Mais  quand la peur

Est toute intériorisée,

Qu’on  la  porte en soi,

Pour s’en   débarrasser,

Comment faire, mystère.

Ce sera  une vraie galère,

Quand   les médicaments

Ne pourront  la  soigner.

 Avoir peur … de sa peur

Est l’angoisse absolue,

Pouvant rendre…fou

De tout : moi, vous.

DONNE DES

La peur vous donne des ailes

Dès qu’il s’agit de vous sauver

Mais, est mauvaise  conseillère,

Lorsqu’elle provoque … méfaits.

Voilà deux vertus  …  contraires,

Qui usent  des mêmes charmes,

Qui abusent des mêmes armes

Parfois,  vous forcent,  à faire,

Choses, que vous  n’avez pas,

Vous-même, ou seul, choisi,

Vous ont été imposé ou pas

Par un quelque autre parti.

.

Peur, malgré vous, vous gagne ; confiance en vous, vous calme.

Confiance donne des ailes, pour vous rapprocher des gens, agir

.

Ce choix est    A  dramatique

Car si la peur  I   vous délite,

La confiance    L   sera perdue

Vous rendra    E     tout … nu,

Incapable de   S      faire face,

À l’ennemi à     *    votre place

Qui vous dit      P     êtes foutu,

Mort, n’en par  O       lons plus.

    U

Il en serait ain    R       si de tout :

Amour, santé       *        et l’argent,

Réussite, être       S        compétent,

Faut croire en       E         soi en tout

Gérer sa peur         *         sans la nier

Réorienter son       S         énergie vers

Une solution via     A        ble, durable,

Convaincre tous     U        la   partager.

Peur et confiance    V      seront comme

Rigueur et relance   E       ou deux faces,

De la même mon      R     naie, pugnaces,

En matières dont      *   est fait l’homme.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Forme étrange

 Ressemblant plus

À grand fantôme

Qu’à  être  humain !

.

1076 4

.

Une forme blanche et qui apparait  avec

Des bras déployés 

Comme  fantôme  se déplaçant en silence

Avec vitesse et légèreté.

 .

Symbolique 

 .

Forme est apparence

Chose rendue identifiable.

Apparence extérieure qui

Peut  servir  de   modèle.

Apparence   physique de

Tous les  êtres humains.

Contour  considéré    du

Point de vue esthétique.

Manière  dont la notion

Se   présente  à  l’esprit,

Manière dont la pensée

 Ou    l’idée     s’exprime,

Manière  dont un acte 

Doit   être   accompli.

cordial.fr/dictionnaire/

definition/forme.php

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1076 6

.

Une forme blanche et qui apparait  avec

Des bras déployés 

Comme  fantôme  se déplaçant en silence

Avec vitesse et légèreté.

.

Symbolique 

.                  

Le fantôme fait partie intégrante

De nos imaginaires. Qu’on y croit ou pas,

Tout le monde sait très bien ce qu’est un fantôme

Mais personne n’en aurait jamais vu, sauf par illusion.

Le fantôme est une présence absente plus qu’une réalité.

C’est quelqu’un qui rôde entre la vie et la mort et qui

N’est pas si menaçant que cela contrairement

Au zombie qui cherche à tuer férocement.

Le rêve de fantôme  reste très présent

Chez les enfants  et les adolescents.

Sont décrits n’ayant pas visages.

On ne sait pas bien qui ils sont.

Ils glissent et créent le frisson.

On trouve l’attirail du thème

Drap blanc, puis chaines …

Murmures   en   château.

Doctissimo.fr/psychologie/

Dictionnaire-des-reves/reve-de-fantome

.

.

Fond/forme 

.

Les fantômes et quels qu’ils soient,

Apparaissent  avec une forme floue,

Qui parfois fait peur comme il se doit

Du fait qu’on ne les reconnaitrait pas.

Certains pourront être familiers mais

Comme aucun d’eux ne parlerait pas,

Ils nous  laissent  dans  l’incertitude,

D’être vivants, morts  ou  zombies :

C’est pas moi qui vous le contredis.

.

Poème et calligramme  >>

1075 – Tant que corps exulte, cœur compense

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Quand deux corps se rapprochent,

Se confondent, en l’intimité

Lorsqu’il n’y a pas qu’eux

Qui pulsent, exultent,

Les  cœurs  d’abord,

Émois,   accordés,

Rythme  accéléré

L’esprit  s’y joint

Avec imaginaire

Puis âme rejoint

En  subliminaire.

.

Et elle revient alors

En la musique de corps,

Toutes leurs harmoniques

Tant est que si le corps exulte,

Que le cœur compense un manque,

Si l’âme ne les enveloppe pas de joies,

Tout plaisir serait de courte durée, ma foi.

 .

Le corps  de l’autre  n’est pas qu’instrument,

Le cœur de l’autre est rempli des sentiments,

Présence  de l’autre, en vous, seule, est amour,

Si elle occupe le  fond de vos pensées  et jours.

.

Entre les adeptes du silence  et la surenchère,

Il y a de la place, pour l’amour, qui tempère

L’absence  de l’autre puissance des désirs,

.

Point d’amour,  sans  joie ni souffrance,

Il n’y a pas d’amour, sans  la délivrance,

Que ce soit : par un plus, par un moins,

Chacun se rejoint ;  chacun se disjoint.

.

Qui ne cherche, la magie de…l’absolu,

Petite musique en tête qui vous a plu

Qui vous obsédera, à chaque instant :

Vous rend âme, cœur, corps brûlants.

.

Extensions

 .

Corps est instrument de musique

Qui vibre des cordes et des touches,

Des vents de ses gammes d’émotions.

Corps du partenaire en fait  un archet,

Un doigté,  une caresse,  un effleurement,

Provoquant effets de caisse de résonnances

Production d’harmoniques en même temps.

.

Tant que le corps exulte,  le cœur compense

Sa débauche d’énergie, augmentant vitesse

Et débit de son sang, et de ses battements,

Grimpant  jusqu’à cent trente pulsations,

Voire cent cinquante pulsations/minute

Lors, en pleine transe,  quel qu’elle soit.

.

Si bien  que, chez les sujets cardiaques,

Le cœur peut lâcher, se briser, se fendre

Déjà que l’orgasme  est considéré  comme

L’expression, l’expérience d’une « petite mort »,

Du coup, là, il s’agit d’une grande, d’une définitive.

.

La fusion  des corps sert, parfois, à recoller  les cœurs,

Lors ils ont été meurtris, par mensonges, tromperies,

Si ce n’est des disputes, pour de banales étourderies,

Au point qu’ils réinitialisent croyances au bonheur !

L’autre attitude serait de bouder, s’isoler, se fermer,

Jusqu’à ce que la situation dégénère  vers la rupture

Il y a quelque violence, il y a même  de la souffrance,

Dans  les deux cas  mais, dans le premier, pansement

Tient lieu de médicament, de thérapie, de résilience !

.

Il y a plaisir et plaisir,

Celui du sexe, d’abord,

Court, brutal,  animal,

Qui s’épuise et tombe !

.

Celui du cœur,  ensuite,

Qui palpite à s’emballer,

Qui met le corps à vibrer

Jusqu’à le faire orgasmer

.

Celui de l’esprit … ensuite,

Qui se réjouit de mots dits,

 Glissés dans l’oreille en ouïe

Et la remplit par gazouillis.

.

Et celui  de  l’âme … enfin,

Tant totalement en phase

Que partenaire embrase

Pour qu’exulte l’extase.

.

Fragments

.

Corps exulte en maintes occasions,

Lors faisant l’amour, poussant cris.

.

Si cœur et l’esprit s’y mettent aussi,

Ça ne serait que fruit d’une passion.

.

Quand on boit, seul, un verre de vin,

C’est certain, le corps exulte, et bien.

.

Mais si l’on trinque entre amoureux,

Le cœur et l’esprit, sont bienheureux.

.

L’alcool  serait-il un  …  aphrodisiaque,

Produisant des effets … paradisiaques !

.

Un peu, c’est bien et trop, ça ne l’est pas,

Un verre, deux, trois, bonjour les dégâts.

.

Consolation, compensation : vin et amour,

S’unissent pour faire le bonheur d’un jour.

.

Mais l’excitation sexuelle, durable, humain,

Est plus en cœur, esprit, qu’en corps et vins.

.

Au début, les verres, côte à côte, sont pleins,

Mais deviennent vides et à l’envers… en  fin.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Quand deux corps se rapprochent,

Se confondent, en l’intimité

 Lorsqu’il n’y a pas qu’eux

Qui pulsent, exultent,

 Les cœurs  d’abord,

Émois,   accordés,

Rythme  accéléré

L’esprit  s’y joint

Avec imaginaire,

Puis âme  rejoint

En  subliminaire.

.

Et elle revient alors

  En la musi    C  que de corps,

 Toutes leurs    O   harmoniques

Tant est que si    R    le corps exulte,

Que le cœur com    P  pense un manque,

Si l’âme ne les enve  S    loppe pas de joies,

Tout plaisir serait de  *  courte durée, ma foi.

C

Le corps  de l’autre  n’   O  est pas qu’instrument,

Le cœur de l’autre est     E   rempli des sentiments,

Présence  de l’autre, en    U    vous, seule, est amour,

Si elle occupe  fond de     R      votre pensée et jours.

Entre les adeptes du si    *    lence de la surenchère

Il y a de la place, pour    E     l’amour, qui tempère

L’absence  de l’autre      S    puissance des désirs,

Car on sait comment    P      tout cela    va finir.

 

Point d’amour,  sans   I    joie   ni souffrance,

Il n’y a pas d’amour   T   sans  la délivrance,

Que ce soit par un    *  plus, par un moins,

Chacun  se rejoint    A  chacun se disjoint.

Qui ne cherche, la   U magie de…l’absolu,

Petite musique en   S  tête qui vous a plu

Qui vous obsédera,  S   à chaque instant :

Vous rend âme, cœ  I   ur, corps brûlants.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un verre assurément,

Plein, il serait renversé,

En préludes, renversant,

En consommation sexe !

.

1075 4

.

Ici, il est bien question d’un verre, mais

Pour le remplir d’émotions :

Consommer sexe n’est pas que renversant,

C’est aussi, parfois, renversé.

Le verre et le sexe ne sont pas familiers,

Mais boire un verre avant, après, se fait

Certains disent que c’est la même chose,

Ainsi sa forme évoque un peu son fond.

.

Symbolique 

.

Un verre est un récipient utilisé

Pour  boire, de  forme  tubulaire,

Et dont les parois sont solidaires

Destiné à recevoir  des liquides.

 .

Le verre est un matériau dur

Et cassant qui, ne pouvant

 Se dilater facilement,

Reste sensible

À la chaleur.

 .

Il supportera des

Montées progressives

En chaleur mais mal les chocs.

wikipedia.org/wiki/Verre_(récipient)

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1075 6

.

Ici, il est bien question d’un verre, mais

Pour le remplir d’émotions !

Consommer sexe n’est pas que renversant,

C’est aussi, parfois, renversé.

.

Symbolique 

.

Il   est   clair   que   les humains

Sont  des  mammifères   complexes.

L’excitation   sexuelle   ne serait    pas

Chez eux uniquement liée à des stimuli

Sensoriels  du sexe et ne conduit pas

Pas forcément à l’acte sexuel sans

Intervention des  pensées  

Et des  émotions.

Quant   aux  

 Fondements  de

L’excitation sexuelle

Chez la  femme,  

Tout reste à faire

Et l’on pariera aisément,

Que ce serait bien plus compliqué.

doctissimo.fr/html/sante/mag_

2000…/cerveau/sexe

 .

 .

Fond/forme 

 

Remplir un verre et le boire reste commun,

Le sexe l’est moins, sauf peut-être en pensée

Un verre de vin, ou d’alcool, augmenterait

L’excitation des partenaires et baisserait

Nombre d’inhibitions pour leurs jeux

Mais tout le reste y participe aussi

Le cœur, l’esprit et même l’âme.

Textuels et illustrations  >>

1074 – Faites-moi rire, jusqu’à en pleurer

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Rire est un réflexe

Rire est  un besoin,

Faire rire est un art,

Rire est une thérapie

Rire, de  soi,  de  rien,

De tout,  fait  du  bien,

.

Quand on  en a  marre,

De ce qui  est complexe,

Qu’on  ne voit  plus  loin,

Qu’on se dit, ben tant pis.

Rire, comme  un   malade,

Vous redonne moral, santé.

.

Faites-moi rire

Jusqu’à en pleurer

Tant une heure de rire

Déstressera rude journée

Bien plus que verre de vin,

Voire même que petit joint !

.

Faites-moi rire

À mourir de plaisir

Tant une heure de rire

Augmentera mon désir,

Vivre en réelle harmonie,

Avec ma famille, mes amis.

.

Faites-moi rire

À me tordre ventre

Tant une heure de rire

Me guérira de ces maux,

Qui me rincent les boyaux,

Me donnent froid dans le dos.

.

Faites-moi rire

Et aussi en sourire

Tant une heure de rire

Est une potion magique,

Qui changera mon humeur,

Me procurera instant bonheur.

.

Faites-moi rire

Avec votre fou rire

Qui… n’en finira pas

De gagner l’assemblée

Une heure sans s’arrêter,

Jusqu’à la cloche ait sonné.

.

Ces rires, divers

Et en formes de vers

Vous sont ici adressés,

Pour que vous puissiez,

En rire… tout à votre aise,

De moi, ne vous en déplaise.

.

Extensions

 .

Le rire est un comportement oral

Qui va bien avec la parole et le geste

Et qui va beaucoup moins avec le texte.

Il nécessite, la plupart du temps, un public

Qui accentue ou diminue les situations drôles.

Il y a une mise en scène  du rire, du comique

Qui tient des arts et des artistes du théâtre.

.

Le rire intérieur, différent du sourire

Qui demeure expressif, souvent

Subtil mais, parfois, commercial,

Est un état mental joyeux et facétieux

Comme si l’on ne se prenait pas au sérieux,

L’on se moquait de soi-même où de la situation

Où l’on se trouve, où l’on s’est mis,  de soi-même !

.

Par ailleurs, le rire possède la vertu thérapeutique

De se déstresser, combattre l’anxiété, la déprime

Il s’agit alors d’un rire, provoqué, auto-stimulé,

Mais il est conseillé de le pratiquer en groupe

Pour bénéficier d’entrainement des autres.

Un quart d’heure de rire, à gorge déployée,

En respirant profondément entre chaque séquence,

Vaudrait, parait-il, deux à quatre heures de repos ?

.

Pleurer à force d’en rire

Pour arrêter un fou-rire,

Et pouvoir enfin, sourire,

Après  un profond soupir,

J’en ris de me voir si belle

 En ce miroir, chante-t-elle

La Castafiore dans Tintin

Avant de faire déchanter

Son miroir, à en pleurer

.

Fragments

.

Rire à en pleurer,

Ça ne peut arriver,

Ou on rit, on pleure,

Mais pas … les deux !

.

Et pourtant, à force de rire

Les yeux se mettent à couler,

Non pas de tristesse, détresse,

De joie en larme pour se libérer.

.

On peut pleurer avec des chatouillis

Au début, font rire comme un damné,

Avec le temps le corps n’en pouvant plus

Pour arrêter,  il devra se mettre à pleurer.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

FAITES – MOI

Rire est un réflexe

Rire est  un besoin,

Faire rire est un art,

Rire est une thérapie

Rire, de  soi,  de  rien,

De tout,  fait  du  bien,

Quand on  en a  marre,

De ce qui  est complexe,

Qu’on  ne voit  plus  loin,

Qu’on se dit, ben tant pis.

Rire, comme  un   malade,

Vous redonne moral, santé.

RIRE,

Faites-moi rire

Jusqu’à en pleurer

Tant une heure de rire

Déstressera rude journée

Bien plus que verre de vin,

Voire même que petit joint !

Faites-moi rire

À mourir de plaisir

Tant une heure de rire

Augmentera mon désir,

Vivre en réelle harmonie,

Avec ma famille, mes amis.

JUSQU’À

Faites-moi rire

À me tordre ventre

Tant une heure de rire

Me guérira de ces maux,

Qui me rincent les boyaux,

Me donnent froid dans le dos.

Faites-moi rire

Et aussi en sourire

Tant une heure de rire

Est une potion magique,

Qui changera mon humeur,

Me procurera instant bonheur.

EN PLEURER 

Faites-moi rire

Avec votre fou rire

Qui… n’en finira pas

De gagner l’assemblée

Une heure sans s’arrêter,

Jusqu’à la cloche ait sonné.

Ces rires, divers

Et en formes de vers

Vous sont ici adressés,

Pour que vous puissiez,

En rire… tout à votre aise,

De moi, ne vous en déplaise.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Bracelet de montre où mailles

S’enchaînent pour vous

Faire un tour… du bras

Si ce n’est pendable.

.

1074 4

.

Les rires qui se suivent et s’enchaînent

 Finissent parfois en pleurs :

Pleurs de joie, pour sûr, tant mon corps

Est saturé de toutes chaines.

.

Symbolique    

La «chaîne symbolique» signifie

À la fois  un mouvement  et  des étapes :

Représentation, substitution, communication

Se construit, sans une solution de continuité,

Depuis  les  premiers  symboles  corporels

Jusqu’au symbolisme de la langue écrite.

 .

Il n’y a pas de « pré-langage », pas plus

Que   de   « prérequis »   au    langage :

Le  langage   corporel  est  un  langage

Anticipateur de la langue orale et écrite.

 .

Les différentes  étapes  de  la construction

De cette fonction qui ……. « s’enchainent »,

S’emboîtent, comme les maillons d’une chaîne.

etudier.com/dissertations/Chaîne-Symbolique/356257

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1074 6

.

Les rires qui se suivent et s’enchaînent

 Finissent parfois en pleurs :

Pleurs de joie, pour sûr, tant mon corps

 Est saturé de toutes chaines.

.

Symbolique 

.

Le mot «chaîne»

Est lié au cadenas,

Aux entraves

Verrouillées dont

Il est impossible

 De se libérer,

Symbolise

L’emprisonnement

Bien plus encore : servitude.

Et de briser les chaînes signifie

Se libérer,    de  toute  contrainte.

Au figuré,  elle  évoquera solidarité

Lorsqu’on  se donnera  la main  pour

Former une  longue  chaîne  d’union.

À l’image de ces  anneaux assemblés

Les uns  aux autres, les personnes

S’unissent alors en fraternité,

Donner main à quelqu’un

C’est aider, soutenir !

Modifié, source : 1001 symboles

 .

 

.

Fond/forme 

Chaine et rire ne vont pas ensemble :

Le rire suppose un minimum de liberté,

Avec certaines limites à ne pas dépasser,

Qu’on apprend au fil du temps, expérience

Le rire aurait cette propriété de déchainer

Notre aliénation, notre stress, ras-le-bol

De renouveler l’énergie emprisonnée

En nous qui empêchera d’avancer

Pleurer peut faire même effet.

.

Textuels et illustrations  >>

1073 – J’ai le cœur à rire, l’esprit à pleurer

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Des émotions,

Des  sentiments,

Pensées contraires

M’envahissent, sans

Que je puisse rien faire

Torturé par  injonctions

Des plus contradictoires,

Et tous blancs  ou noirs.

.

J’en pleure, de rire

Et j’en ris  à  pleurer,

Sans  vraiment savoir

Si cela va bien s’arrêter,

Lorsque le vent emporte

Tous instants, d’éternité

Frappant cœur,  esprit,

Tous deux contrariés.

 .

J’ai le cœur à rire et j’ai l’esprit à pleurer,

Lors je vois d’où je viens, et où je vais,

Le cœur à rire…il me faut bien vivre,

Chaque instant qui passe un peu ivre

D’émotion qui m’envahit, à ma …  joie

D’être au monde, chasseur et non proie !

.

Le passé ne sert à rien, et avenir, incertain :

Il n’y a là, rien d’autre que … d’humain,

Nous sommes tous en mêmes galères

Et nous prétendons tous être…frères,

C’est le moment d’une union … sacrée

Qui, seule, nous fera sortir de ce merdier !

.

Une dette faramineuse nous aura plombés,

Question est maintenant, qui va payer :

Les autres de préférence ou bien tous

Mais au profit de qui et là, on tousse,

Et rien ne nous garantira que les mêmes

L’ayant provoqué, non riches à l’extrême !

.

L’Europe du Nord résisterait bien … mieux

Que celle du sud, qui fera, encore, la fête,

Alors que tout s’écroule, sous leur pied,

Et qu’il faut se hâter vite de les sauver,

Partagée en deux, France est au milieu :

De quel côté ira-t-elle tourner… les yeux !

.

Extensions

 .

J’ai le cœur à rire, j’ai l’esprit à pleurer

Je passe de l’un à l’autre sans me fixer

Tant je me dis que la Politique est,

Tout comme la langue d’Ésope,

La meilleure et la pire des choses,

Tantôt elle nous enfonce, tantôt sauve.

.

Ah, elle me dira de garder mon sang froid,

Toute ma raison et de faire taire mes émotions,

Qu’on s’en tirera, ils sont là pour ça : c’est pas faux,

Mais je sais que cela recommencera car c’est le système

Lui-même qui génère ces états là et ce sont les mêmes

Qui produisent, et qui répareraient, les dégâts.

Et à qui profite cela, allez donc savoir :

Pas à l’humanité … en tous cas.

.

Le cœur et l’esprit peuvent être en inversion de phase

« Je suis très attiré par, mais j’ai peur de me tromper »

Il n’y a pas toujours de solution évidente à ce problème

Et les relations d’incertitudes  ne vont pas nous y aider :

 Il faut décider par soi-même : où est le bien où est le mal.

.

Le langage humain a ceci d’étrange, particulier,

Il est non seulement polysémique,  interprétable

Mais entaché de parties d’erreurs  et  de vérités !

.

Ce qui donne  des  innocents, déclarés  coupables,

Contre des coupables  qui se déclarent  innocents,

Le langage du juge  ne serait pas : vérité suprême.

.

Tout est une question de chiffres, de statistiques :

Le nombre, objectif, a pris l’avantage sur les mots,

Dont on se méfiera de par leur caractère subjectif.

.

Voilà qui fait que ce qui me donne le cœur à rire,

Me donnera, en fin du compte, l’esprit à pleurer.

.

Fragments

.

Le cœur à rire, c’est de l’émotion ;

L’esprit à pleurer, c’est de a raison,

Lequel des deux, devrais-je écouter :

Un doute survient, à m’en demander.

.

Découvertes en neurosciences expliquent

On peut passer de vision «achromatique»

En noir et blanc de nos processus cognitifs

À une représentation colorée,  enluminée

Par des processus émotionnels divers.

.

L’un influence l’autre  pour sortir,

De dilemme  qui ne pourra durer

Les émotions seront transitoires

Les sentiments, idées, durables.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

J  ’  A   I

 L  ………….

………….

Des   E  émotions…

Et  sen  S     timents…

 Pensées     P   contraires…

M’envahis     R    sent, sans…

Que je puisse     I      rien faire….

Torturé par in   T    jonctions…

Des plus contra  *       dictoires,

Où, tous blancs      À             noirs…..

Et j’en pleure            *            de rire ….

Et j’en ris à                P            pleurer ….

Sans vrai                    L       ment savoir

Si cela va bien         E         s’arrêter.

Lorsque, le vent     U        emporte

Chaque instant,   R       éternité

Frappant cœur   E        esprit

Tous deux con  R  trariés

 .

E  T  L E    C  Œ U  R     À     R   I  R   E 

J’ai le cœur à rire et j’ai l’esprit à pleurer,

Lors je vois d’où je viens, et où je vais,

Le cœur à rire…il me faut bien vivre,

Chaque instant qui passe un peu ivre

D’émotion qui m’envahit, à ma …  joie

D’être au monde, chasseur et non proie !

.

Le passé ne sert à rien, et avenir, incertain :

Il n’y a là, rien d’autre que … d’humain,

Nous sommes tous en mêmes galères

Et nous prétendons tous être…frères,

C’est le moment d’une union … sacrée

Qui, seule, nous fera sortir de ce merdier !

.

Une dette faramineuse nous aura plombés,

Question est maintenant, qui va payer :

Les autres de préférence ou bien tous

Mais au profit de qui et là, on tousse,

Et rien ne nous garantira que les mêmes

L’ayant provoqué, non riches à l’extrême !

.

L’Europe du Nord résisterait bien … mieux

Que celle du sud, qui fera, encore, la fête,

Alors que tout s’écroule, sous leur pied,

Et qu’il faut se hâter vite de les sauver,

Partagée en deux, France est au milieu :

De quel côté ira-t-elle tourner… les yeux !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Visage d’homme,

Vu de profil, riant,

Soucieux et rempli

D’incertitudes ?

.

1073 4

.

V

Émotions peuvent êtres diverses

Et voire même  contradictoires :

Ce qui provoque, en nous, l’état

 D’interrogations, incertitudes.

Homme est un être d’incertitudes

plein de croyances, fausses vérités

dans lesquelles il tente de surnager :

aussi sa forme correspond à son fond.

 .

Symbolique 

 .

Le cerveau

Est l’organe des émotions :

Il donnera naissance à la joie,

La tristesse,  la peur,  la colère,

La  surprise     ou    le    dégoût.

Comment ces affects sont-ils

 Mis en relation

Sont-ils placés  sous

Le contrôle de la raison ?

Découvertes en neurosciences l’expliquent

On peut  passer d’une vision «achromatique

En noir et blanc  des processus dits cognitifs

À une représentation plus colorée, enluminée

Par nombre de processus émotionnels divers.

Magazine Cerveau et Psycho

.

.

Fond

 

Évocation

.

.

Émotions peuvent êtres diverses

Et voire même  contradictoires :

Ce qui provoque, en nous, l’état

 D’interrogation, incertitude.

 .

Symbolique de fond

 .

L’incertitude, contraire de certitude,

Fait de ne pas être sûr de quelque chose.

En   Sciences, et   surtout   en   métrologie,

Incertitude désigne la marge d’imprécision

Sur valeurs de mesures grandeur physique.

 .

En  psychologie, l’aversion  à  l’incertitude,

Forme d’aversion  au risque, est la crainte

Assez  répandue  qu’en  cas  d’incertitude

Situation pourtant générale dans la vie

Et dans la société et comme dans tout

Système dynamique, plus à perdre

Qu’à gagner, d’où les tentatives  

De  maintenir  le  statu  quo.

wikipedia.org/wiki/Incertitude

.

.

Fond/forme 

 .

On ne peut vivre, en permanence, en incertitude :

La charge mentale serait trop lourde, déprimante

On risque de passer sans cesse du rire aux larmes

Ce qui causerait l’instabilité d’humeur ingérable !

.

Nous vivons souvent en une recherche d’équilibre

Que d’aucuns appelleront : sérénité, homéostasie.

Les émotions contradictoires sont plus fréquentes

Chez les jeunes enfants qui ne les contrôlent pas.

.

Chez l’adulte, passage rapide du rire aux pleurs

Sera un signe de forte instabilité  des humeurs.

Si l’on rit, ou pleure, tout le temps pour un rien

On n’est pas loin du burn out, voire dépression.

.

Textuels et illustrations  >>

1072 – Onde de vie me parcourt de pulsations

Textuels et illustrations >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Sommes fait molécules

Se rassemblant en cellules

Et en ondes   qui les agitent,

Lors, c’est moi, qui en profite.

Du plus micro    au plus macro.

.

Organisme vivant,  il en est ainsi

L’onde de vie me tient compagnie,

Jusqu’à, de ma mort, coup de faux.

L’onde qui nous vient du Big Bang

Nous y renvoie et par réflexions,

Suscite en nous la réflexion

Sur  la vraie origine

Du Monde !

.

Une onde de vie me parcourt de ses pulsations

Qui proviendraient d’une origine de notre monde.

Je suis un héritier d’un Big-Bang   et sans raison,

Lors mes molécules et mes particules, s’agitent.

Elles ne font que  se rassembler, à travers moi,

Et se complexifier en un petit cœur qui palpite,

Face au milieu, face  autres et à l’adversité.

.

Me voici au fait d’une  pyramide d’ondes,

Et à rechercher le pourquoi du comment.

Je suis l’animal, de cette unique  identité,

Et répliqué par un programme transmis,

Je disparais, mort ; sans  laisser de trace.

.

L’Humanité est  comme  un seul homme,

Qui, par fer et feu, aura conquis la Terre

Et se serait  promis d’explorer l’Univers,

Pour, si possible, y  rencontrer …Dieu.

Onde créée par   le Big-Bang, précède

Et suivra l’aventure Humaine, finie.

.

Ses pulsations en nous, résonnent,

Encore des matières  des galaxies,

Et nous sommes l’œil, et l’oreille,

Qui contemplons cette merveille

Comme une musique  d’images,

Que nos instruments entonnent

Jusqu’au   plus  haut  des  cieux.

.

Onde nous crée,  autre nous tue,

Elles font chauffer notre cerveau

Lors cancer, mutation génétique

Nous attendent : leurs tragiques

Conséquences  seraient  craintes,

Comme des châtiments d’un dieu.

.

Le plus rassurant, c’est, qu’en tout,

Y a autant de poésie que d’énergie

Et c’est ce qui me surprend le plus,

Dans onde, il y a  d’autres mondes.

Onde de vie, par  court de pulsations

Mon corps,  comme en tout  l’Univers

Microscope d’un monde… macroscope.

.

Extensions

 .

Je sens des pulsations

Comme autant de palpitations

De mon cœur qui varie en rythme

En fonction de mes émotions autant

Que de mes efforts et, qui parfois,

Conjuguées, s’affole et font

Augmenter mon stress et

Ma tension ou le contraire,

La font baisser au point que je

Me sens las, fatigué, vite déprimé.

.

Nous sommes tous composés d’ondes, d’atomes, molécules,

Et de croire qu’on est fait de tas d’autres choses serait ridicule

Ce n’est pas parce qu’on n’est pas conscient, qu’on ne les reçoit,

Ces ondes de vie, que l’on sentira, tantôt positives ou négatives.

Ceux qui sont hypersensibles sont considérés comme médiums

Capables de capter et de transmettre l’énergie à son optimum.

On y croit ou non n’y croit pas mais l’hypnose est l’acte en soi,

Qui démontre que par onde de voix ou peut prendre contrôle

Sur une autre conscience et la faire résonner dans le passé.

.

Nous serions, tous, remplis d’ondes,

Et traversés par de nombreuses autres

Hypersensibles en savent quelque chose

Qui, un usage du smartphone, ils n’osent.

.

Ondes mécaniques se propage en matière

Ondes électromécaniques en l’atmosphère,

Ondes cérébrales : alpha, béta, thêta, delta,

Régissent et notre activité et notre sommeil.

.

Pour nous débarrasser de toutes nos ondes

Il faudrait vivre dans une cage de Faraday,

Je vous y vois, vous, avec vos non, vos mais

De vous priver de toutes communications !

.

Fragments

.

Ondes de vie, chants, musiques, paroles

Et jusqu’au théâtre, au cinéma, poèmes :

Vibration du corps devance, suit l’esprit,

On est pris dans une bulle qui nous ravit.

.

Quand l’onde de vie est forte et puissante,

Elle est remplie de tant d’énergie positive,

Qu’elle peut aider  à la guérison  maladies

Psychosomatiques …  en chacun de nous !

.

La poésie, par association, correspondance,

Fait lien symbolique entre monde sensations

Et monde des idées plus ou moins abstraites,

Pour transcender la réalité, par l’imaginaire !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Sommes fait molécules

Se rassemblant en cellules

Et en ondes   qui les agitent,

Lors, c’est moi, qui en profite.

Du plus micro    au plus macro.

 Organisme vivant,   il en est ainsi

L’onde de vie me tient compagnie,

Jusqu’à, de ma mort, coup de faux.

L’onde qui nous vient du Big Bang

Nous y renvoie et par réflexions,

Suscite en nous la réflexion

Sur l’origine

 Du Monde !

Une onde  de vie  me   parcourt   de ses  pulsations

Qui proviendraient  O     d’une origine de notre monde.

Je suis un héritier     N   d’un Big-Bang   et sans raison,

Lors mes molécules    D       et mes particules, s’agitent.

Elles ne font que  se      E       rassembler, à travers moi,

Et se complexifier en     *       un petit cœur qui palpite,

Face au milieu, face        D           autres et à l’adversité.

Me voici au fait d’une       E           pyramide   d’ondes,

Et à rechercher le pour     *          quoi du comment.

Je suis l’animal, de cette   V         unique   identité,

Et répliqué par un prog     I       ramme transmis,

Je disparais, mort ; sans   E       laisser de trace.

L’Humanité est comme    *      un seul homme,

Qui par fer et feu  aura   M    conquis la Terre

Se serait  promis  d’ex  E     plorer l’Univers,

Pour, si possible,  y    *    rencontrer  Dieu !

Onde créée par       P le Big-Bang, précède

Et suivra l’aven    A   ture Humaine, finie,

Ses pulsations    R     en nous, résonnent,

Encore des ma  C      tières  des galaxies,

Et nous som    O    mes l’œil, et l’oreille,

Qui contem     U    plons cette merveille

Comme une    R     musique  d’images,

Que nos ins     T   truments entonnent

Jusqu’au plus   *        haut   des cieux !

Onde, nous       D          crée, autre tue,

Font chauffer    E           notre cerveau,

Cancer et muta   *          tion génétiques

Nous attendent   P     et leurs tragiques

Conséquences      U     seraient craintes,

Comme des châti  L     ments d’un dieu.

Le plus rassurant  S       c’est qu’en tout,

Y a autant de poé   A      sie que d’énergie

Et c’est ce qui me   T       surprend le plus,

Dans onde, il y a     I        d’autres mondes.

Onde de vie, par     O     court de pulsations

Mon corps,  com     N      me en tout Univers

Microscope  d’un     S      monde macroscope.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Silhouette d’un humain,

Immobile et qui reçoit

Des ondes de vie 

Jusqu’à mort !

.

1072 4

.

Ondes de vie proviennent de l’extérieur,

 Autant que d’intérieur,

Elles se rassemblent, se conjuguent ou non

En de vraies pulsations.

.

Symbolique

.

Toutes les

Vibrations sont

 Un  tout  dans

 L’Univers,

En Monde de basses

 Et  de   hautes  fréquences,

Création de tout instant où se vit

La vérité   toute nue   ou   l’illusion.

Chacun a accès  à ces ondes de vie

Qui partent à chaque instant car elles

Sont créées par vos pensées, et paroles

Et actions, où chaque être  est  pourvu

De la    toute-puissance   de   l’Univers

Et il doit donc aujourd’hui connaître

La portée de toutes ses créations.

Toute onde de    vie demeure forte,

Elle reste puis      sante, et elle définit

Une  puissance            d’énergie   afin que

Vienne guérison               en chacun de nous !

source : audeladesmots.org/?tag=londe-de-vie

.

.

Fond

Évocation 

.

1072 6

.

Ondes de vie proviennent de l’extérieur,

Autant que d’intérieur,

Elles se rassemblent, se conjuguent ou non

En pulsations de poésies.

.

Symbolique

.

La poésie   symbolique  chercherait  à vêtir

Idée, forme sensible qui, bien que n’étant pas

Son but premier servirait autant à l’exprimer

Qu’à rester, plus ou moins, sujette à la  forme.

 .

Il faut  faire  preuve  d’une belle  concentration

Pour comprendre  les  liens  avec le symbolisme

Parvenant à dépasser opposition entre réalisme,

Qui accordait  son attention aux objets matériels,

Idéalisme affirmant supériorité formes abstraites

Et représentation mentale sur toutes les matières.

 .

Ceci, à travers la notion même de correspondances

Faisant, trouvant  lien entre monde  des sensations,

Et le monde des idées ……  plus ou moins  abstraites.

Manifeste du Symbolisme de Jean Moréas. 1886

 .

.

Fond/forme 

 .

Des ondes de vie : qu’est-ce que cela ?

Viendraient-elles de nous, de l’univers.

.

Sont-elles barrages aux ondes de mort

Certains  parlent  de pulsations de vie,

Comme si on était bouillant d’énergie.

.

Parait qu’écrire un poème, en fournit

J’aurais plus que tendance à  y croire

Pour avoir confirmé propre histoire !

.

Textuels et illustrations >>

1071 – Le rire en bouche avec larme à l’œil

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Rire

 Reste

Sourire

Intérieur,

Lors pleurer

Sans      larmes,

Un visage  fermé

On pleure  de rire,

On rit  aux  larmes,

Lors  mot   d’esprit,

Surprend,  désarme,

Et ce  jusqu’à ce que

L’on se tord le corps

Suite à un…fou-rire

Com-mu-ni-ca-tif !

.

J’ai le rire …en bouche,

La larme à l’œil en fête,

Si ce n’est le…contraire,

Lors je suis en… douche,

N’ai rien  d’autre, à faire,

Que de me laver … la tête

De toutes pensées noires,

Qui me hantent des soirs,

Jettent en  vrai désespoir.

.

Quand je suis en errance,

Ou je suis  en  souffrance,

J’attends ma … délivrance

En sortant de ma coquille

Pour boire bonne humeur

Pour dissoudre  les peurs,

Quand verres s’enquillent

Avant affronter  le monde

Autour me perçant à jour.

.

Lors j’ai  le  rire  en  bouche

J’ai la larme  à l’œil, en fête,

Tant  mes succès  et défaites,

Croulent  sous pleine douche

Et  jusque  sous  mes aisselles

Comme  une eau  de vaisselle,

Savonné,  lavé,  frotté, purifié,

Je brille, comme un ostensoir !

.

Miasmes se seront tous fondus

Errance, souffrance… désespoir

Se sont évacués et ont disparu :

Leur délivrance m’a… régénéré,

Séché, pomponné et … parfumé,

Me voilà   un tout autre homme,

En mâle heureux… tout comme,

Qui ne demande qu’à… assouvir

Un irréductible désir de  séduire

Le miroir qui sert à… l’admirer !

.

Extensions

 .

J’ai le rire en bouche, la larme à l’œil,

Le nez en fête, je m’éclate ou je m’écarlate

Ou j’épate mon visage, en somme, ce dernier

Devient un livre ouvert sur mes états intérieurs

Que je ne pourrai masquer à personne, du moins

À ceux qui me connaissent et qui me fréquentent.

.

Cela rappelle la comédie tragique, tragi-comédie,

Cette manière de mélanger des actes et humeurs

Contraires dans un scénario au sein d’une scène

Afin de détendre  l’atmosphère, insoutenable

Lors d’un acte qu’on juge injuste ou cruel.

.

Cela rappelle le «rire jaune», expression

Pour une personne tentant de se forcer

À rire, afin de calmer sa colère ou ne

Veut pas montrer qu’elle est vexée.

.

C’est tout le contraire de « rire aux larmes ».

Les clowns sont les champions du «faire rire»

Les autres sont souvent tristes à l’intérieur

D’eux-mêmes : ceci compenserait cela !

.

Rire, pleurer en même temps, est-ce vraiment possible.

Oui si ce sont des larmes de joie qu’on ne pourrait retenir,

Non, si le rire et les larmes seront  des signes de sidération.

Joie et tristesse  peuvent se mélanger, comme se disjoindre :

Chez  les  enfants, on voit les deux, alternativement, poindre.

Certain que le fou rire n’est empreint d’aucune ambivalence,

Certain aussi qu’une larme  marquera un bonheur inespéré

En somme que l’extrême qu’on pourra décoder, évidence :

Pleurer de déception n’est pas rire de situation absurde.

.

Rire et pleurer, et à volonté, reste ce talent

D’acteur chevronné, habitué à faire passer

Une émotion sur son visage, authentique !

.

Enfants en bas âge, ont aussi cette faculté

Mais parce qu’ils ne maitrisent émotions,

C’est la manière d’attirer notre attention.

.

Il existe des visages,  inémotifs, placides,

Lors vous ne les verrez ni rire ni pleurer,

Ils sont autistes, insensibles, amorphes !

.

Fragments

.

Rouge à lèvres  et  sourire  vont  ensemble

Mais rire et larme ne s’en approchent pas

On dira que les premiers sont des aides,

Et  ainsi  la  forme  évoquerait  le fond.

.

Comment pouvons-nous avoir émotions

Contraires sans être soi-même contrarié.

.

Y a de quoi se faire des nœuds en cerveau,

Formulant autant d’oxymorons usant mots.

.

Pour l’émotion, le cerveau agit en bas niveau

Elle se déclenche, malgré nous, sans contrôle.

.

Les yeux et la bouche ne sont pas synchrones,

On peut avoir un sourire avec bouche en coin,

Et les yeux restant froids, neutres, insensibles,

Vérifiez-le chez vendeurs, vendeuses, magasin.

.

Le sourire est accentué par un  rouge aux lèvres

Surtout s’il tire sur le rouge et est bien applique

De mêmes pour les yeux,  sur les paupières, cils,

Les deux renforçant l’expression,  comme loupe.

.

Mais on peut très bien s’entrainer comme acteur

En simulant des variations d’émotions complexes

Qui n’ont rien à voir avec leurs états émotionnels,

Cela s’appelle, jouer la comédie ou les apparences.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

LE

Rire

 Reste

Sourire

Intérieur,

Lors pleurer

Sans      larmes,

Un visage  fermé

On pleure  de rire,

On rit  aux  larmes,

Lors  mot   d’esprit,

Surprend,  désarme,

Et ce  jusqu’à ce que

L’on se tord le corps

Suite à un…fou-rire

Com-mu-ni-ca-tif !

RIRE EN BOUCHE,

J’ai  le rire …  en bouche,

La larme, à l’œil en fête,

Si ce n’est le … contraire,

Lors je suis en… douche,

N’ai rien  d’autre, à faire,

Que de me laver … la tête

De toutes pensées noires,

Qui me hantent des soirs,

Jettent en  vrai désespoir,

Quand je suis en errance,

Ou je suis  en  souffrance,

J’attends ma … délivrance

En sortant de ma coquille

Pour boire bonne humeur

Pour dissoudre  les peurs,

Quand verres s’enquillent

Avant affronter  le monde

Autour me perçant à jour.

LA LARME À L’ŒIL !

Lors j’ai  le  rire  en  bouche

J’ai la larme  à l’œil, en fête,

Tant  mes succès  et défaites,

Croulent  sous pleine douche

Et  jusque  sous  mes aisselles

Comme  une eau  de vaisselle,

Savonné,  lavé,  frotté, purifié,

Je brille, comme un ostensoir !

Miasmes se seront tous fondus

Errance, souffrance… désespoir

Se sont évacués et ont disparu :

Leur délivrance m’a… régénéré,

Séché, pomponné et … parfumé,

Me voilà   un tout autre homme,

En mâle heureux… tout comme,

Qui ne demande qu’à… assouvir

Un irréductible désir de  séduire

Le miroir qui sert à… l’admirer !

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une fusée peut-être

Mais, tout  aussi  bien,

Tube de rouge à lèvres

Accentuant  ses  sourires !

.

1071 4

.

Le rouge à lèvres aurait-il quelque chose

 À voir  avec notre … rire ?

Non, disons plutôt, avec notre sourire qu’il

Accentue ou qu’il dessert.

.

Symbolique 

.

Le

Rouge

À lèvres

Rouge   reste

Le symbole de la

Séduction  absolue.

Le rouge à lèvres est

Sur   toutes  bouches,

Et dans tous  les sacs,

Augmente notre estime

Autant que sa séduction

Des  coulisses   à   la   vie

Quotidienne, il est notre

 Allié  de  la bonne mine,

«Arme  absolue séduction

De femme» Coco Chanel

Et un emblème de  la  

Pure  beauté  féminine

Et depuis cinq mille ans.

madame.lefigaro.fr/ /le-lipstick-

rouge-symbole-de-seduction-absolue

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1071 6

.

Rouge à lèvres aurait-il quelque chose

 À voir  avec notre … rire ?

Non, disons plutôt, avec notre sourire qu’il

Accentue ou qu’il dessert.

.

Symbolique

 .

Le sourire est

Une expression du visage

Témoignant en général de la sympathie.

Le mot sourire est apparu  au Moyen Âge, issu du

Verbe latin subridere  qui signifie prendre une expression

Rieuse, ironique, destiné à tromper, mais le sens se

Renforce comme positive, ce dès naissance,

Pour cela, il est considéré  comme inné

Et génétiquement déterminé.

fr.wikipedia.org/wiki/Sourire

 .

 .

Fond/forme 

 .

Le rire serait différent si les lèvres sont

Soulignées ou marquées par du rouge,

Ou du noir ou n’importe quelle couleur

Si  l’on voit, ou non, des dents blanches,

Si le sourire est pincé genre commercial

Avec la larme à l’œil, l’on est interloqué.

.

Messages contraires : durs à décoder :

Et si,  en général, il n’y a pas de larmes

Avec les sourires, il arrive que l’émotion

Déborde  sur un rire au bord des larmes.

La différence serait que de vraies larmes

Tendraient la peau du visage vers le bas,

Que le rire plisserait la peau  vers le haut.

.

Textuels et illustrations  >>

1070 – Belle vague d’émotions me soulève

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Émotion est un des moteurs

De notre vie,  de notre énergie

Autant que raison, intelligence,

Il  ne  faut  pas  la sous-estimée

Et,   encore   moins,  l’étouffer,

Tant  elle  fait  de notre cœur

Notre  alliée  en  synergies :

Autant joie  et  souffrance

Accompagnent bonheur,

À tout instant du jour,

Que ce soit  d’amour

Ou de … langueur.

.

Belle vague d’émotions me soulève,

Mais je ne sais  jusqu’où  elle m’élève,

Tant elle investit tous   mes intérieurs

Et me rend la bouche et les yeux rieurs.

J’ai peine à jouir, de mon contentement,

Quand, son va-et-vient me bouscule tant,

Que je ne sais plus où je suis, où j’habite :

Je sens seulement qu’il peut retomber vite.

Ce n’est pas vraiment  ce que vous croyez !

.

Ne fais qu’écouter une rythmique branchée

Qui en un jeune temps m’aurait  bouleversé,

Amour sans doute, doux émoi d’un écervelé.

Emporté par une vague furieuse d’émotions,

Une nouvelle image me procure la sensation

D’être sur  un tapis d’Orient, un tapis volant,

Dont je  ne maitrise ni le sens ni le … temps.

.

Lorsque celui-ci  m’échappe, complétement,

J’ai l’impression qu’il boucle sur … l’instant,

Comme un réveil que l’on remonte et sonne,

Toujours à la même heure, qui vous résonne

D’histoires que vous êtes en train d’imaginer

Pour vous extraire de pesanteur du moment,

Car, en définitive, la vie réelle et la vie rêvée

Partagent votre être pour vous ré-enchanter.

.

Vague à l’âme, blues au cœur,  fleur  en nez,

Mon errance n’a d’égale que mon… aisance

À passer d’un monde à l’autre,  et  à volonté,

Sans que rien, personne, ne porte assistance.

Voilà bien mon secret, que je ne partage pas,

Aucune substance ne peut en  être…extradée

Pour faire commerce et pour en faire profiter

Ceux qui n’ont pas la chance  de savoir  voler.

.

Voler, au-dessus des pesanteurs de son corps,

Pour tenir aussi longtemps et  aussi… souvent

Qu’une imagination fertile lui permet d’autant

Qu’il ne s’ennuie, ne se dissocie et ne s’endort.

La meilleure stimulation que cerveau inocule,

Reste celle qu’il produit lui-même et à foison,

Quand émotions vagues  vagues d’émotions,

En  ses synapses, toutes chimies éjaculent.

.

Extensions

 .

Motion, émotion, émotionné… émotionnable :

On sent celle-ci monter, devenir irraisonnable.

Émotion et amour  peuvent être approchables,

Sans pour autant en sexe, être irréprochables.

Et il faut voir ce dont, l’émotion, rend capable,

Ce dont elle  nous rend innocent, ou coupable.

Lisant cela, aurez-vous une émotion agréable,

Ou vous direz-vous que c’est très désagréable.

.

La musique, le chant, la poésie seront autant

De stimulants puissants pour nous enfermer

Dans une bulle de sensations  et d’émotions

Qui nous transporte en extase, sentiments.

.

On dit parfois que l’émotion est palpable,

Qu’elle nous rendrait presque désirable,

On ne va pas épuiser les mots en  able :

On se contentera de rester … aimable.

.

Jouir de son corps n’est pas coupable

Il est aussi fait pour cela : admirable

Deviendra son pouvoir incomparable

De nous redonner goût à vie pensable.

.

Fragments

.

L’émotion reste plus que désirable

Dit-on lors d’un concert d’une star,

Auditeurs communient,  entre eux,

Autant qu’artiste sur scène, en eux.

.

Émotion, on la touche, est palpable,

Elle court sur les échines,  dans l’air,

Et parvient, parfois, à mettre à terre,

Ceux syncopant et étouffant au pied.

.

La joie et  la tristesse et la surprise,

Et la peur, et la colère,  et le dégoût,

Sont  six émotions,  dites primaires,

Étant communes à toute l’humanité.

.

L’émotion est dite contraire à raison

En réalité, elle est en deçà ou au delà

En deçà quand elle sera en trop plein,

Au delà aidant à prendre une décision.

.

Tonneau des danaïdes n’est jamais plein

Au fond, il y aurait un trou qui le régule,

Nous sommes équilibrés émotion/raison

N’ayons plus peur de vivre toute passion.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Émotion est un des moteurs

De notre vie,  de notre énergie

Autant que raison, intelligence,

Il  ne  faut  pas  la sous-estimée

Et,   encore   moins,  l’étouffer,

Tant  elle  fait  de notre cœur

Notre  alliée  en  synergies :

Autant joie  et  souffrance

Accompagnent bonheur,

À tout instant du jour,

Que ce soit  d’amour

Ou de … langueur.

.

********************

***************************

.

Belle vague d’émotions me soulève,

Mais je ne sais  jusqu’où  elle m’élève,

Tant elle investit tous   V  mes intérieurs

Et me rend la bouche et  A  les yeux rieurs.

J’ai peine à jouir, de mon  G    contentement,

Quand, son va-et-vient me   U     bouscule tant,

Que je ne sais plus où je suis, E           où j’habite :

Je sens seulement qu’il peut   *          retomber vite.

Ce n’est pas vraiment  ce        D            que vous croyez !

Ne fais qu’écouter une      ‘              rythmique branchée

Qui en un jeune temps   É                   m’aurait   bouleversé,

Amour sans doute,      M                    doux émoi d’un écervelé.

Emporté par une    O                       vague furieuse, d’émotions,

Une nouvelle       T                          image me procure la sensation

D’être sur      I                             un tapis d’Orient, un tapis volant,

Dont je      O                                 ne maitrise ni le sens ni le … temps.

Lors       N                                que celui-ci m’échappe, complétement,

J’ai       S                                    l’impression qu’il boucle sur…l’instant,

Com    *                                    me un réveil que l’on remonte, et sonne,

Tou      M                                 jours à la même heure, qui vous résonne

D’his     E                               toires que vous êtes en train  d’imaginer

Pour        *                             vous extraire de pesanteur du moment,

Car en       S                              définitive, la vie réelle et la vie rêvée

Partagent       O                         votre être pour vous ré-enchanter.

Vague à l’âme,     U                           blues au cœur,  fleur en nez,

Mon errance n’a         L                      d’égale que mon…aisance

À passer d’un monde      È                     à l’autre,  et à volonté,

Sans que rien, personne,      V                 ne porte assistance.

Voilà bien mon secret, que       E              je ne partage pas,

Aucune substance ne peut en       *             être…extradée

Pour faire commerce et pour en   M           faire profiter

Ceux qui n’ont pas la chance de      ‘          savoir voler.

Voler, au-dessus des pesanteurs É        de son corps,

Pour tenir aussi longtemps et   L      aussi… souvent

Qu’une imagination fertile   È  lui permet d’autant

Qu’il ne s’ennuie, ne se      V   dissocie, ne s’endort.

La meilleure stimulation E    que cerveau inocule,

Reste celle qu’il produit   *  lui-même et à foison,

Quand émotions vagues   *     vagues d’émotions,

En  ses synapses, toutes     *    chimies éjaculent.

.

Forme

.

Évocation 

.

Verre posé sur tonneau

Pour goûter le contenu 

Avec grande émotion

Ou bien le recracher !

.

1070 4

.

Un  tonneau  de  quelque  chose,

Pourquoi pas   d’émotions 

Bien plus que liquides, s’agit plutôt

D’images et de sons.

Vin va avec verre, bouteille et tonneau,

Mais pour ce qui est des émotions : non

À moins de « rire comme un tonneau »

De ce fait la forme divergera du fond.

.

Symbolique 

 .

Tonneau est grand récipient de bois,

Destiné   à    conserver    des    liquides.

Symbolise la conservation, l’abondance.

Dans      la          mythologie           grecque,

Il est associé aux Danaïdes : selon le mythe,

Elles     se      marièrent      le      même     jour

Avec cinquante autres, lors le soir des noces,

Elles           assassinèrent         leurs       maris,

À l’exception d’un seul   qui en fut le rescapé.

Aussi,      elles         furent           condamnées

Par Juge de Mort, remplir éternellement

Des     grands       tonneaux         percés.

Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-tonneau

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1070 6

.

Un  tonneau  de  quelque  chose,

Pourquoi pas d’émotions :

Bien plus que liquides, s’agit plutôt

D’images et de sons.

 .

Symbolique 

.

Il existe une théorie des

«Six émotions de base :

Joie,  Tristesse,  Surprise,

Peur, et Colère,  et Dégoût.

.

Émotions  dites secondaires,

Comme nostalgie en exemple,

Sont comme  mélanges  de ces

Émotions  considérées de base.

Appelées, également,  émotions

Mixtes au lieu de  secondaires.

.

D’après Paul Ekman, la honte

Est émotion mixte à la base

Mélange de peur et colère

Et retournée contre soi.

 .

.

Fond/forme 

 .

Remplir le tonneau de la Commission Européenne

Serait vu, par certains, comme celui des Danaïdes.

On donne, on donne  et  on n’en recevra jamais rien.

Vrai ou faux, qu’importe ça provoque vague émotion

Pour un oui, pour un non, ça peut changer l’humeur.

.

Les nerfs à fleur de peau ou les émotions, du visage :

Quand le tonneau ou le verre est plein, qu’il déborde,

Il faut s’arrêter : un moment de calme, on s’accorde.

.

Quand toutes  sont, positives, excitantes, exaltantes,

On continue jusqu’à plus soif, jusqu’à l’orée du jour.

Ce n’est donc pas le problème  d’en être submergée,

Que de s’y noyer sans pouvoir respirer qui compte.

.

Textuels et illustrations  >>

1069 – D’un flot d’images, ou de chants !

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Un concert, rock, folk, métal,

Ou tout autre style musical,

Est fait par se laisser aller,

Dans un délire à déchirer.

On chante, on saute,   on

S’électrise,   se balance,

Vibrations d’évidence,

Produisent émotions

Où c’est  mon corps

Qui s’en … délecte,

C’est mon esprit,

Qui s’en réjouit.

 .

Par   flux  d’images,  par   flot  de chants,

Remontent de forts courants de sensations

Qu’éprouvent  les foules  des passants

En autant de canaux  d’irrigations.

.

Les imagine comme un pré, herbes

Qui penchent, se plient, se ploient,

Dans un champ de blé  qui verdoie

Sous l’effet des vents  très acerbes.

Sons ondoyants ou sons chatoyants

Un concert de forts décibels, arrose,

Leurs oreilles  et  leurs cils vibratiles

En les rendant,  plus légers, volatiles,

Ils  provoquent, en eux, comme chant

Issu  d’autres  herbes bleues, ou roses.

Lors, je flotte sur le champ  des choses,

Comme si j’étais sans corps, sans pose.

.

Et en lévitation mon fantôme  dispose,

Des nouvelles libertés de mouvements

Pour me conduire jusqu’au firmament

Où, tout homme aime être, en planant.

Le concert s’achève gens se dispersent,

Et je reprends mes esprits, mon corps,

Je suis seul, sur sol, détrempé de pluie,

Des notes de silences tomberont encore

Lors une larme dans mes yeux,  j’essuie,

Qui, en hallucinations  les  transpercent.

.

L’on me dit arrête de  fumer la moquette

Bien que n’aurais pris qu’ima-gi-na-tions

Qui aura nourri mon cerveau, d’émotions

Et suffisantes, seules,  à me mettre à fête.

Je me souviens, des  parfums  des voisins

Senteurs des foins, de roses, de  benjoins,

Leurs mouvements, avec les bras ballants,

Qui rythmaient flots   d’ondes émouvants.

À chaque concert, cette image, me revient,

Comme bouffées d’herbes,  hallucinogènes,

Mon cerveau produirait   sa propre drogue,

Si la musique entretient   avec un dialogue.

.

Extensions

 .

D’un flot d’images ou de chants,

On s’en servira comme d’une amorce

Pour gamberger hors des sentiers battus

Et mélanger nos souvenirs réels à de

Nouveaux produits ou inconnus !

Le tohu-bohu de telles images

Enivre, lors, pour un temps,

Mon cerveau et jusqu’à  ce

Que la fatigue l’endorme.

.

En symbolique,

La fleur à un langage.

Coquelicot est : belle fleur,

En robe, d’un  rouge  éclatant,

Et pétales doux comme de la soie,

Il est aussi  appelé : pavot sauvage !

Peut avoir  significations  distinctes :

D’une part, il est le symbole du repos,

De la quiétude ou de la consolation,

D’autre part de beauté éphémère.

.

On vous parlera à raison ou à tort,

De transes musicales

Qui vous emporteront extra dehors,

En nombre festivals !

.

Point besoin de drogues, d’excitants,

La musique… suffira

À galvaniser le cerveau, en le sonnant

 À fond, il ressentira !

.

Sur la vidéo qui vous filmait aux pas

On ne vous reconnaitra

Et vous-même en demeurerez baba

De cet énergumène … là !

.

Fragments

.

Un flux d’images

Un flot de chants,

Chacun offre visage

Toujours marchands

.

Stars sont mises sur piédestal

Influenceurs nous manipulent,

Et les infos des réseaux, stipulent,

De descendre le bien pour plus mal.

.

Des images, paroles, il y en a tant et tant,

Qu’on y perd son latin, n’y comprend rien :

Y a plus que seul ténor chantant son refrain

Pour qu’on vote pour monde, mis à sa main.

.

On déboulonne statue héros, ne plaisant plus,

On demande au peuple d’élire un nouveau roi,

Qui redéfinirait selon lui, la décision populaire

Qui n’admettrait pas de contestation contraire.

.

Ah mais là, j’arrête, on me dira mais quel délire,

Ça ne risque pas d’arriver avec les contrepouvoirs

Sans compter les proactions et les autocorrections

 Sans compter tous les IA qui feront leur révolution.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme   

.

Un concert, rock, folk, métal,

Ou tout autre style musical,

Est fait par se laisser aller,

Dans un délire à déchirer.

On chante, on saute,   on

S’électrise,   se balance,

Vibrations d’évidence,

Produisent émotions

Où c’est  mon corps

Qui s’en … délecte,

C’est mon esprit,

Qui s’en réjouit.

Par   flux  d’images,       par    flot    de   chants,

Remontent   de  forts   courants   de sensations

Qu’éprouvent  les    F    foules  des passants

En autant de can    L      aux  d’irrigations.

Les imagine com   U       me un pré herbes

Qui penchent, se    X       plient, se ploient,

Dans un champ       *     de blé  qui verdoie

Sous l’effet  des      D    vents  très acerbes.

Sons ondoyants      ‘      ou sons chatoyants

Un concert, forts     I         décibels,  arrose,

Leurs oreilles et     M     leurs cils vibratiles

En les rendant,      A   plus légers, volatiles,

Ils  provoquent      G  en eux comme chant

Issu d’autres her    E   bes bleues, ou roses.

Lors, je flotte sur    S    champs  des choses,

Comme si j’étais,     *    sans corps, ni pose !

En lévitation mon   E     fantôme    dispose,

Des nouvelles liber  T    tés de mouvements

Pour me conduire    *   jusqu’au firmament

Où tout homme ai   F  me être, en planant.

Le concert s’achève  L    gens se dispersent,

Et je reprends mes   O   esprits, mon corps,

Je suis seul, sur sol   T    détrempé de pluie,

Des notes silences,    *      tomberont encore

Lors une larme de     D    mes yeux, j’essuie,

Qui, hallucinations    E     les   transpercent.

On me dit arrête de   *   fumer la moquette

Bien que n’ai  pris     C   qu’ima-gi-na-tions

Qui a   nourri  mon   H  cerveau, d’émotion

Suffisantes, seules,    A  à me mettre à fête.

Je me souviens, des   N parfums des voisins

Senteurs des foins      T   de roses, benjoins,

Leurs mouvements    S      des bras ballants

Qui rythmaient flot    *   d’ondes émouvant.

À chaque concert, cette image, me  revient,

Comme bouffées d’herbes,  hallucinogènes,

Mon cerveau produirait   sa propre drogue,

Si la musique entretient   avec un dialogue.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une silhouette humaine

Ou voire  un  pot  posé

Sur beau piédestal 

De fleurs, c’est sûr?

.

1069 4

.

Un piédestal peut supporter nombre

D’objets de valeur diverses :

Un simple pot tout aussi bien qu’un

Vase de Chine d’époque Ming !

 .

Symbolique 

 .

Un piédestal :

Support     élevé,

Où   l’on   placera   

Un objet  décoratif.

Support sur lequel repose sculpture

Mettre quelqu’un  sur  un  piédestal :

Lui  vouer   une  grande   admiration.

 

Tomber piédestal, perdre tout prestige.

Dans  les  régions    Han  de  la    Chine,

Piédestaux, posés plein air, sont variés.

 

Les stèles reposent, très souvent, sur un

Piédestal de pierre parfois en forme de

Tortue, symbole longévité nommée Bix.

Source : dictionnaire.sensagent.

leparisien.fr/PIEDESTAL

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1069 6

.

Un piédestal peut supporter nombre

D’objets de valeur diverses :

Un simple pot tout aussi bien qu’un

Vase de Chine d’époque Ming !

 .

Symbolique

.

Les architectes

De l’époque de

La Renaissance, d’abord

Italienne, puis française

Et  ensuite,  européenne,

Considéraient piédestal

Faisait  partie  intégrante

Des ordres  d’architecture.

Imposent, progressivement,

Sorte de canon … esthétique,

Régentant  les proportions de

Ces  ordres,  comme   pour  les

Corniches  nombre  piédestaux,

Formant  des  seuils  de  fenêtres

Balustrades galeries, ou statues !

wikipedia.org/wiki/Piédestal

 .

.

Fond/forme 

Piédestal pour mettre en hauteur

Pour en prendre, ou pour donner,

Certains s’y mettent  d’eux-mêmes,

Tellement imbus  de leur personne,

.

Quand ils profèreront leurs vérités,

Qui n’en sont pas,   qu’on leur prête,

Comme  des caisses de résonnances,

Et puis soudain, déboulonnés, jetés !

.

Mieux vaut rester les pieds sur terre,

Car plus le piédestal est haut et large

Plus dure sera la chute de son image

Et plus fort sera son chant funèbre !

.

 Textuels et illustrations  >>

1068- Le rire est-il propre à l’homme ?

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Rire est un poème

Faisant bien extrême

Détend corps  et  esprit,

Toujours  autant  de  pris !

.

C’est  le  propre  de l’homme,

Bien que … des animaux rient,

Aussi mais pas de même façon

Surtout  pas  de vous, de tout.

.

L’humour est

Le cousin du rire,

L’amour est le

Cousin du sourire.

.

Faut savoir les deux entretenir

Ça  donne  l’air   de   voir   venir,

Le rire est-il  propre  à  l’homme :

.

Rions  ensemble, alors … en somme

Pour que le monde, et  par contagion,

Soit verre davantage  plein d’émotions.

.

On dit : «vogue la vie et vogue la galère»,

Quand la roue tourne et l’on erre sur Terre,

Car de rire ne pourra que vous faire du bien

Vous ne serez pas mort au moins pour rien.

.

Le rire n’est que pur mécanisme conscient,

Mais qui peut se déclencher inopinément,

Il est, rien  qu’à lui seul : vraie thérapie,

Car l’on envie  celui qui, toujours, rit.

.

Il permet  de devenir, ou de rester,

De bonne humeur, genre farceur,

Tout semble plus léger… éthéré,

Si l’on secrète intime bonheur.

.

Et … si le sourire  est  son  frère,

L’humour est son proche cousin

On peut rire de tout, de rien

Mais cela ne modifierait,

Que peu, l’univers.

.

Extensions

.

Le rire est-il propre à l’homme :

Non, bien sûr, les singes rient

Parait que les chevaux aussi.

.

Mais l’homme est le seul à rire

De lui-même et cette autodérision

Lui donne de la distance et modestie.

.

Pourquoi riez-vous : j’ai dit quelque chose

De drôle  ou de  déplacé ! Non, pas du tout,

Je me suis juste  projeter  dans  la  situation

À laquelle  vous faites  référence  et  cela m’a

Fait penser  à autre chose, en ma propre vie.

.

Nous rions tous mais pas des mêmes choses

Pas avec les mêmes gens ni tout le monde.

Certaines choses, dont on se rit, peuvent

Provoquer surprise, incompréhension,

De l’indifférence ou contraire, colère.

.

Rions un peu, ce n’est qu’un jeu ;

Rions beaucoup si cela vaut coup ;

Rions de trop, déclenchera fou rire.

.

Entre rire et sourire, montrer les dents, découvrir ses dents.

Premier rapprochement, en la nuance ;  second, contredanse :

Le singe ici vous sourit-il, ou contraire, de vous, se moquerait-il !

Que penser d’un rire, ou d’un sourire, imperceptibles, intériorisés !

Quatre filles peuvent faire un sourire spontané ou quelque peu forcé,

Sachant que la prise de photos ou selfies entraine un automatisme.

Il fut un temps en peinture religieuse, où le sourire était proscrit,

Signe de vulgarité mais, depuis, la Joconde est passée par là !

De toute façon, ce que j’en dis, vous avez le droit d’en rire.

.

Il y a rire et rire, dès lors, celui de l’homme

Ne ressemblera guère aux mimiques du singe :

Même expression, peut-être, pas même intention !

.

L’on peut rire de choses qui ne feront rire personne,

Réciproquement, ne pas trouver drôle la plaisanterie.

.

Faire rire une salle, une foule, auditoire quelconque,

Exigera un certain talent et voire un talent certain.

.

Quant à rire pour se moquer … certains le feront

Gentiment, charrier ; méchamment, abaisser.

.

Fragments 

.

Vous allez rire,  du moins sourire

En consultant Google, ai trouvé

Pas moins de trois doctorats

 Sur le rire,  avec 500 pages.

.

Non mais sérieux, par qui

Par un anthropologue,

Par un  sémiologue,

Par un sociologue

Ajouter Bergson,

 Le… philosophe.

.

À  côté  d’eux,

Je fais pâle figure,

Y a pas de quoi en rire

C’en est presque à pleurer

Je vais me retenir et continuer

De rire … recul, humour, de moi.

.

Après tout, je suis bien un homme…

Et même si je ne ris pas, tout comme

Il le faut pour me détendre, ma santé,

L’autodérision m’évite trop de sérieux.

.

Il y aura des gens dont c’est le métier

Faire rire  les  autres : les humoristes !

Je leur tire mon chapeau : pas simple :

Lors ça tombe à plat, je ne vous dis pas.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Rire est un poème

Faisant bien extrême

Détend corps et esprit :

 Toujours  autant  de  pris !

.

C’est  le  propre  de l’homme,

Bien que … des animaux rient,

Aussi mais pas de même façon

Surtout pas de vous, de tout.

.

L’humour est

Le cousin du rire,

L’amour, le

Cousin du sourire.

LE VRAI

Faut savoir les deux entretenir

Ça  donne  l’air   de   voir   venir,

Le rire est-il  propre  à  l’homme :

Rions  ensemble, alors … en somme

Pour que le monde, et par contagion,

Soit verre davantage plein d’émotions.

RIRE

On dit : «vogue la vie et vogue la galère»,

Quand la roue tourne et l’on erre sur Terre,

Car de rire ne pourra que vous faire du bien

Vous ne serez pas mort au moins pour rien.

SERAIT-IL

Le rire n’est que pur mécanisme conscient,

Mais qui peut se déclencher inopinément,

Il est, rien  qu’à lui seul : vraie thérapie,

Car l’on envie  celui qui, toujours, rit.

PROPRE

Il permet  de devenir, ou de rester,

De bonne humeur, genre farceur,

Tout semble plus léger… éthéré,

Si l’on secrète intime bonheur.

À L’HOMME ? 

Et … si le sourire  est son frère,

L’humour devient proche cousin

Si l’on peut rire, de tout, et de rien,

Cela ne modifiera,

Que peu, l’univers.

.

Forme

.

Évocation 

.

Une quille de bowling,

 Probablement oui mais

Version personnalisée

Et pleine d’humour !

.

1068 4

.

La quille et le rire auront peu de points

Communs ensemble sauf  sens figuré,

Quille blanche animalisée

Puis personnalisée, avec air enjoué.

Elle possède ainsi un capital

De dérision, et à nulle autre pareil !

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1068 6

.

Quille blanche animalisée

Puis personnalisée, avec air enjoué.

Elle possède ainsi un capital

De dérision, et à nulle autre pareil.

 .

Symbolique 

 .

Moquerie     dédaigneuse,        raillerie

Mêlées     de     mépris,       de    sarcasme

Avances     accueillies       avec     dérision.

 .

Synonymes : comme          dédain   –  ironie 

Mépris,    réprobation  –    risée,    plaisanterie

 .

Antonymes : déférence,       respect,        sérieux

Ce qui                    est dérisoire          insignifiant :

 .

C’est une                 dérision que                de vouloir

Faire cela               avec si peu de                  moyens.

larousse.fr/dictionnaires/

francais/dérision/24015

 .

.

Fond/forme 

 .

L’expression : jeune chien dans un jeu de quille

C’est à peu près l’impression que donne le rire

Sans moindre effet de panique, voire terreur,

 Juste comme ça, pour rire, de n’importe quoi,

Encore que, pas de tout, avec n’importe qui.

Toutefois, avant de rire de tout, et de tous,

Il faut commencer par rire de soi-même,

L’auto dérision vous protège d’un «égo»

Qui juge les autres et se met au-dessus.

.

Textuels et illustrations  >>

275 – Gros dégâts après une nuit de tempête

 Textuels et illustrations  >> 

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La mer s’est faite très forte :

Sa colère a dominé la terre,

Qui lui aura fait  gros dos,

Accusant coups de fouets

Quand  les gifles du vent,

Les grandes gerbes d’eau

L’ont envahie, en hurlant,

Jusqu’au petit matin blême.

.

On découvre spectacle misère,

Si ce n’est  un spectacle d’enfer :

Eléments naturels se déchainent,

Ils s’entrainent vite, en chaines,

Font voler des aménagements

Qui retenaient mer en haine.

.

Sentier douaniers, faisant tour, endommagé en entier,

Rochers écorchés, effondrement pierre vrai raz de marée,

Pierres de roche caracolent et lors galets au vent s’envolent,

Comme paroles en furieux mariage entre terre, mer : convole.

.

Sur des cailloux retournés, l’on trouve trace de pétrole incrusté,

Chavirée en grève on décèle algue ébouriffée, tous sens hérissées,

Accompagnées de nombre d’arbustes déterrés et déplacés ailleurs,

Un enfer a chassé l’air de cette île paradis blessée par trop d’heurts.

.

Mottes de terre, arrachées ; troncs d’arbres, déracinés ; bois, flottés,

Tous déchiquetés sur le sol, dans leur trainée sur centaine de mètres.

On ne compte plus, les trous, les bosses, les ravinements, sur sentiers,

Devenus impraticables, tant terres, sables et cailloux … s’enchevêtrent.

   .

En son centre, routes, équipements, habitations, n’ont pas  été touchés,

Mais en périphérie, champ de bataille, des galets roulés, pleine déroute,

Ça prendra des mois  pour que sa grève  panse ses plaies et bosses toutes

Différentes, mais marquées, tant grosse tempête, aura, l’ile, bien frappée.

.

Mon cœur est plein de désolation, de voir ce si beau paysage … dénaturé,

Lors ce jour, l’érosion brutale aura fait autant de ravage  que cent années,

Souvent agitée, la voilà, pourvue d’une nature, bien plus sauvage, encore,

Qui a saccagé son visage, éclaté  tous ses membres, et, dévasté son corps.

.

Elle s’en remettra, elle en a connu bien d’autres… de tempêtes et marées

Mais on en vient à se demander si  son climat ne se serait pas détraqué,

Dans cent ans, parts du rivage sur le continent, auront pris autre allure

Et l’homme se mettra alors à penser que décidemment ; rien ne dure !

.

Vents et vagues, en les balayant,

Provoquent une montée des eaux,

L’homme en lutte, insécurité, fuite,

S’est senti, dans  cette folie, de trop !

.

Lors mon île, meurtrie par la tempête,

M’a rappelé que : les effets de la météo,

Peuvent être meurtrier, si imprévisibles,

Si ce n’est toujours vrai, ce n’est pas faux.

.

Extensions

.

C’était une nuit de mars

 Pendant les grandes marées :

 Les vents  s’alliaient  aux vagues

Pour tout casser en frange côtière.

Dans leurs fureurs  de convaincre,

Bien avant même  de s’éteindre,

L’Ile-Grande, pour la vaincre,

Ils l’auront forcé à geindre.

.

La puissance  d’une vague, lors déferlant,

Est telle  qu’il semble  que rien  ne peut

L’arrêter  dans tous ses débordements

Tant elle provoque un sauve qui peut

Le vent violent n’est pas plus tendre,

Avec les tuiles ou ardoises, des toits,

Qu’il fait voler, comme des confettis.

Après la tempête, c’est  comme, après

La bataille, chacun  compte  les  dégâts.

.

Il n’a a guère de grosse tempête,

 Sans de gros dégâts sur la Nature,

C’est, parfois, le long d’un littoral,

Parfois au cœur d’un bois ou forêt.

.

Plus impressionnants sont les toits

Arrachés comme des fétus de paille,

Ou les routes trouées et encombrées,

Quand ce ne sont des zones inondées.

.

La Nature s’en remet : elle a le temps,

Tempête ne suscite, en elle, d’émotion,

Or il n’en est pas de même des humains

Qui ont perdu leur maison, c’est pas rien.

.

Fragments

.

Les premiers dégâts d’une forte tempête,

Portent sur les arbres :

Qu’ils soient déracinés ou cassés, en tête,

On ne peut rester de marbre.

.

En bord de mer, vagues montent  à l’assaut

Des chemins piétonniers,

Pénètrent parfois en vent, grandes marées,

Jusqu’aux entrées de jardin.

.

Il arrive qu’un arbre tombe sur une route,

Barrant circulation autour

Paralysant l’ile pour un jour somme toute

Grâce intervention secours.

.

Les seconds dégats portent sur l’électricité,

Étant coupée … par endroits

Et dieu sait qu’une maison, en étant privée,

Est comme isolée, en fragilité.

.

Les derniers dégâts portent sur anses, ports

Des embarcations souffrant

D’avoir été ballotées, déplacées ou abimées,

Ou voire, carrément coulées.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  

 .

La mer s’est faite très forte :

Sa colère a dominé la terre,

Qui lui aura fait  gros dos,

Accusant coups de fouets

Quand les gifles du vent,

Les grandes gerbes d’eau

L’ont envahie,  en hurlant,

Jusqu’au petit matin blême,

On découvre spectacle misère,

Si ce n’est un spectacle … d’enfer.

Éléments naturels se déchainent,

Ils s’entrainent vite, en chaines,

Font voler des aménagements

Qui retenaient mer en haine.

.

************************************

****************************************

Sentier douaniers, faisant tour, endommagé en entier,   D

Rochers écorchés, effondrement pierre vrai raz de marée,   E

Pierres de roche caracolent et lors galets au vent s’envolent,   G

Comme paroles en furieux mariage entre terre, mer : convole.  A

Sur des cailloux retournés, l’on trouve trace de pétrole incrusté,   T

Chavirée en grève on décèle algue ébouriffée, tous sens hérissées,   S

Accompagnées de nombre d’arbustes déterrés et déplacés ailleurs,    *

Un enfer a chassé l’air de cette île paradis blessée par trop d’heurts.   A

                                                                                                                               P

Mottes de terre, arrachées ; troncs d’arbres, déracinés ; bois, flottés,     R

Tous déchiquetés sur le sol, dans leur trainée sur centaine de mètres.     È

On ne compte plus, les trous, les bosses, les ravinements, sur sentiers,     S

Devenus impraticables, tant terres, sables et cailloux … s’enchevêtrent.    *

En son centre, routes, équipements, habitations, n’ont pas  été touchés,   N

Mais en périphérie, champ de bataille, des galets roulés, pleine déroute,   U

Ça prendra des mois  pour que sa grève  panse ses plaies et bosses toutes   I

Différentes, mais marquées, tant grosse tempête, aura, l’ile, bien frappée.  T

.

Mon cœur est plein de désolation, de voir ce si beau paysage … dénaturé,     *

Lors ce jour, l’érosion brutale aura fait autant de ravage  que cent années,   T

Souvent agitée, la voilà, pourvue d’une nature, bien plus sauvage, encore,   E

Qui a saccagé son visage, éclaté  tous ses membres, et, dévasté son corps.   M

Elle s’en remettra, elle en a connu bien d’autres… de tempêtes et marées    P

Mais on en vient à se demander si  son climat ne se serait pas détraqué,    Ê

Dans cent ans, parts du rivage sur le continent, auront pris autre allure   T

Et l’homme se mettra alors à penser que décidemment ; rien ne dure !   E

.

Vents et vagues, en les balayant,

Provoquent une montée des eaux,

L’homme en lutte, insécurité, fuite,

S’est senti, dans  cette folie, de trop !

Lors mon île, meurtrie par la tempête,

M’a rappelé que : les effets de la météo,

Peuvent être meurtrier, si imprévisibles,

Si ce n’est toujours vrai, ce n’est pas faux.

.

Forme

.

.

Évocation  

.

En haut, sorte de petit arbuste

Poussant, au ras du sol, massif,

En bas, j’y verrai bien un arbre,

 Sur le point  d’être  bien déraciné.

.

275 4

.

Un bel arbre ce chêne bien vert,

Déraciné par vent violent

Et il loin d’être le seul dès lors que

Même des galets… volent !

Tempête  provoque  déracinement

D’arbres, c’est bien connu,  couru,

Causant ou pas d’énormes dégats :

Si fait que la forme rejoint le fond !

.

Symbolique

.

L

L’arbre prend racine,

Et puis grandit et puis meurt :

Symbole de la vie et de l’évolution.

Une sorte d’étoile de terre, d’air et vent,

À l’image d’une boussole et ses directions.

Ses racines avancent en monde souterrain,

 

Ses feuillages, vers le haut,

Ses branches vers la droite

Et  autant  vers la gauche,

Tandis que son tronc droit

Demeurera  l’axe central.

Ils peuvent  être  touffus,

Rabougris  ou  rabattus,

Fourchus squelettiques.

Modifié,  source : Mots  56

.

.

Fond

.

Évocation 

.

275 6

.

Un bel arbre ce chêne bien vert,

Éclaté par vent violent

Et il loin d’être le seul dès lors que

Même des galets… volent !

.

Symbolique 

 .

 

Un arbre                                                                        éclaté

Est un être en                                                 totale rupture

Avec son passé,                            sa véritable nature.

Nos racines font par             tie de notre histoire,

De notre être vérit      able, ce déracinement

Indique une im     possibilité à trouver

Sa place  après    avoir quitté  la

Cellule maternelle, sentiment

D’être en terre étrangère et

De  ne  pouvoir  prendre

Légitimement sa place.

psychologies.com/Therapies/

Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/Arbre

 .

.

Fond/forme 

 .

Une grève qui se remplit d’algues mortes,

Un arbre qui craque, qui se casse en deux,

Un toit qui s’envole et qui laisse un creux.

 .

Autant de  gros dégats par  tempête forte,

Qui marquent la nature et les esprits avec

Pour des jours,  des semaines, ou des mois

Et provoqueront pour tous, nombre émois.

 .

Jusqu’à et c’est bien peine, la prochaine fois

Avec la rapidité du  changement climatique,

Et qui nous surprend bien que non fatidique,

Écume de la tempête n’a rien de celle du jour,

Mais nous rappellera notre précarité toujours.

.

 Textuels et illustrations  >>  

1067 – Pourquoi quelque chose plutôt que rien (VII)

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Un Dieu, un seul, m’aurait suffit

Une langue, grammaire aurait suffi

Mais il en existe plus d’une … centaine

Chacun veut la sienne sa voix humaine !

  .

S’élever au-dessus est perçu une qualité

Mais le faire par orgueil toujours un défaut !

L’avenir humain ne change pas en ce domaine

Il veut s’ériger en dieu,  tombe souvent de haut.

 .

Le vide  et le plein, sont deux faces  de la réalité,

Sommes creux et le remplissons de notre mieux.

La diversité de comportements est une richesse,

Leurs impositions provoquent toujours détresse.

.

Désespoir  de construire  une  Tour de Babel,

Qui ne pourra que  nous  ériger  en rebelles,

L’homme a toujours  voulu atteindre Dieu

Mais en cela il n’a pas fait de son mieux.

 .

Et pour quoi faire, pour n’en rien faire

C’est destin de la Terre et de l’Univers

Qui nous échappe, rattrape en avenir

Dans  lequel, nous  allons tous finir !

 .

Nous  sommes ni choyés, ni punis,

Mais  laissés  à nous-mêmes, ébahis

Par notre persistance à être étourdis

Par des fantasmes qui nous assaillent

Provoquant entre nous force batailles,

Quand la mort règle  toutes nos failles !

.

Le vide  et  le plein  de mon  inexistence,

Sont autant de non-sens qui s’équivalent,

Mais il nous plait de les mettre en balance

Pour remplir notre mission en l’intervalle.

.

À partir du moment où nous sommes nés,

Nous avons pris conscience de l’existence,

De  la mort, comme  finitude : notre  passé

Est notre seul passeport de l’idée d’éternité.

.

Extensions

 .

La langue est à la fois la meilleure chose

Qui nous rassemble et la pire qui nous sépare.

L’anglais est la langue internationale du commerce

Et échanges mais elle est loin d’être la langue des peuples,

Nations, ethnies, communautés, pour que langue soit partagée,

Il faut qu’elle soit choisie pour parler de tous les événements de vie.

.

Les barrières langagières autrefois sources de nombreux conflits,

Ont été franchies par traducteurs humains, puis automatisés :

Il n’y a plus de langue qui ne soit traduisible en la sienne

Et pour autant, nombre de conflits demeure tant

Que la langue constitue autant une arme,

Qu’un  bon outil de communication.

.

Notre langue est pleine de nous-même ;

Celle des étrangers, vide de sens pour nous.

La communication échoue en ne trouvant pas,

De « terrain commun » qui nous lie et nous relie.

.

Les mythes ont la dent dure, question pérennité et symbolismes

La Tour de Babel en est un exemple : nul ne sait et tout le monde,

Croit sa légende bien plus  qu’ancrage, historique, archéologique !

La mort de quelque chose, ou de quelqu’un, permet fantasmagories

Plus que de leur vivant, au cours d’une existence supposée, inventée.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

 .

P   O   U   R   Q   U   O   I

Un Dieu, un seul,  *  m’aurait suffit

Une langue, gram   * maire aurait suffi

Mais il en existe plus  Q    d’une … centaine

Chacun veut la sienne  U     sa voix humaine !

    E

S’élever au-dessus est      L         perçu une qualité

Mais le faire par orgueil   Q       toujours un défaut !

L’avenir humain ne chan   U       ge pas en ce domaine

Il veut s’ériger en dieu,       E     tombe souvent de haut.

 C

Le vide  et le plein, sont      H     deux faces de la réalité,

Sommes creux et le rem     O    plissons de notre mieux.

La diversité de compor      S   tements est une richesse

Leurs impositions provo  E  quent toujours détresse.

*

Désespoir de construire  P         une Tour de Babel,

Qui ne pourra que nous  L           ériger en rebelles,

L’homme a toujours      U     voulu atteindre Dieu

Mais en cela il n’a          T   pas fait de son mieux.

 Ô 

Et pour quoi faire,         T       pour n’en rien faire

C’est destin de la           *      Terre et de l’Univers

Qui nous échappe         Q        rattrape en avenir

Dans  lequel, nous        U          allons tous finir !

E

Nous  sommes ni          *          choyés, ni punis,

Mais  laissés  à             R    nous-mêmes, ébahis

Par notre persis            I    tance à être étourdis

Par des fantasmes       E       qui nous assaillent

Provoquant entre        N    nous force batailles,

Quand la mort règle    ?       toutes nos failles !

.

Le vide  et le plein           de mon  inexistence

Sont autant de non-sens      qui s’équivalent

Mais il nous plait de les mettre en balance,

Pour remplir notre mission en l’intervalle.

.

À partir du moment où nous sommes nés

Nous avons pris conscience de l’existence

De la mort, comme  finitude : notre  passé

Est notre seul passeport de l’idée d’éternité !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Urne funéraire,

Prob-able-ment,  

Urne funéraire,

Pour cendres !

.

1067 4

.

Lors on répand l’urne en l’air ou l’eau :

Que deviendra-t-elle !

Cette fois, c’est la fin, parce que la cendre,

C’est… presque  rien !

Urne et cendres commenceront

À signifier qu’on  est  devenu  rien,

Qu’en bref, on n’était pas grand-chose

Ainsi la forme se distingue bien  de fond.

 .

Symbolique 

 .

L’urne est un récipient destiné

À recueillir les  cendres humaines.

Elle reste donc  associée  à la mort.

.

L’urne funéraire  est connue  depuis

La plus haute antiquité dans l’histoire

Aussi, alors  que  l’incinération  était

Très répandue en la Rome antique,

Elle l’était peu en Égypte antique.

.

Avec montée du Christianisme,

Les inhumations devinrent

La règle admise au choix.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-urne

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1067 6

.

Lors si on répand l’urne en l’air ou l’eau :

Que deviendra-t-elle !

Cette fois, c’est la fin, parce que la cendre,

C’est… presque  rien !

.

Symbolique

 .

La cendre

Symbolise l’humilité,

Mortification, pénitence,

 Voire l’an-ni-hi-la-tion,

La régénérescence

Et la fertilité de la terre.

 .

Elle est  aussi  le résidu  d’un corps  organique

Après sa calcination, poussières inertes, sans vie

Car celle-ci s’en est allée avec l’extinction du feu.

 .

Elles se dispersent au vent et se répandent sur

La terre ou se dissolvent rapidement en l’eau.

La  cendre  nous  renvoie  à  notre  peu

D’importance,  notre   misérable   et

Éphémère    condition    humaine.

 .

Elle  nous  invite   à   observer

L’humilité devant  l’Univers.

 .

Cendre représente le néant

Ou  le  ni-vivant-ni-mort,

Un état amorphe tel

Qu’il était avant la Création.

dictionnairedessymboles.com/article

-symbolisme-de-la-cendre-102008147

 .

.

Fond/forme 

 .

L’urne n’aura pas qu’une fonction funéraire

Elle sert aussi à recueillir bulletins d’élections,

Qui ont, pour mérite, d’attribuer une majorité,

Entière ou relative comme un terrain commun

En fondement même parait-il de la démocratie.

.

Textuels et illustrations  >>

1066 – Pourquoi quelque chose plutôt que rien (VI)

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Cumuler  des  biens,

Et même connaissances

Depuis naissance à mort,

Nous sert vraiment à quoi

En plus minimum, sans foi.

.

Science délivre de l’ignorance,

Mais, son progrès ne nous rend pas

Plus altruiste plus digne de confiance

Et l’exploitation reste  la règle ici-bas !

.

Une tentative de nous libérer pleinement

Reste vaine : nous en  sommes conscients !

Telle impuissance  et  limite nous révoltent :

Grâce à dieu, notre esprit restera désinvolte.

.

S’il faut remplir le    vide, de notre inexistence

Séparant un temps notre mort de naissance,

Quand survivre n’est plus une contingence

Que faire d’accumuler biens ou sciences.

.

Science de qui, de quoi : exploitations

De ressources d’univers de la Terre,

L’Espace ordonné par un horloger,

Que  l’homme s’entend  à dérègler.

.

Que signifie millénaire, éternité,

Instant, un temps  n’a pas existé

Métaphysique des temps anciens

A vécu, pour autant, non disparu,

.

Se dilue en mécanique quantique,

Qui ne traite  de si peu de matières

Qu’une grande part de notre univers,

Échappe autre partie reste un mystère.

 .

Nous voici face  à la condition humaine,

Et tentative de nous en libérer, sera vaine

Nous sommes conscients, seuls à le savoir,

Et c’est ce qui entretient notre fol désespoir.

.

À chaque fois qu’on découvre  un pan  du voile,

Autre encore plus grand et  mystérieux se profile

C’est comme Internet qui tisse et densifie sa toile

Plus sa taille augmente  plus son sens diminue !

.

Extensions

Cumuler pour avoir et être,

Pour conserver de l’importance

Et récompense le jour de l’héritage

Et cela d’autant si l’on est parti de rien

Et que l’on y a consacré toute sa vie.

.

Enfants qui dispersent, dépensent

L’héritage en quelques années

Les font retourner en leur tombe,

Ils sont partis de plein ; revenus à rien.

Mais il y a pire encore : les savants, érudits,

Qui transmettent peu ou rien à leurs enfants

De leurs connaissances et leurs expériences.

.

Finalement, avoirs et savoirs se rejoignent

Quelque part dans le cycle perpétuel

De renaissance et de progression

Plus  ou  moins  lente  ou  rapide

En fonction des époques, politiques.

Le gratuit perdure autant que le payant

Mais  comment  faire  de l’investissement

Ou de la recherche, autrement qu’à crédit !

.

Cumuler, cumuler, cumuler…. il en restera forcément quelque chose

Celui qui n’accumule rien, il ne lui reste rien, par la force des choses.

On peut tout autant cumuler des tas de choses, et tout cela, pour rien

De moi, qui pourtant ne suis pas une chose, il ne restera presque rien

Alors même que, de l’Humanité, après son apocalypse : rien de rien !

.

Fragments

.

Flacon, parfum, savon, voire bleu à l’âme

Tout cela n’est pas rien mais quand même,

Ça ne dit rien sur ce qu’est quelque chose

Aussi la forme n’entretient pas le fond !

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme (VI)

.

P O U R Q U O I

Cumuler  des  biens,

Et même connaissances

Depuis naissance à mort,

Nous sert vraiment à quoi

En plus minimum, sans foi.

.

Science délivre de l’ignorance,

Mais, son pro Q  grès ne nous  * rend pas

Plus altruiste   U  plus digne  C de confiance

Et l’exploitation E      reste   H  la règle ici-bas !

Une tentative de  L   nous   O  libérer pleinement

Reste vaine : nous  Q   en    S  sommes conscients !

Telle impuissance   U  et  E  limite nous révoltent :

Grâce à dieu, notre  E   * esprit restera désinvolte.

.

S’il faut remplir le    vide, de notre inexistence

Séparant un temps notre mort de naissance,

Quand survivre n’est plus une contingence

Que faire d’accumuler biens ou sciences.

.

Science de qui, de quoi : exploitations

De ressources d’univers de la Terre,

L’Espace ordonné par un horloger,

Que  l’homme s’entend  à dérègler.

.

Que signifie  millénaire … éternité,

Instant, un temps   P  n’a pas existé

Métaphysique des   L  temps anciens

A vécu pour autant   U      non disparu,

Se dilue en mécani    T   que quantique,

Qui ne traite  de si     Ô   peu de matières

Qu’une grande part    T   de notre univers,

Échappe autre partie   *    reste un mystère.

     Q.

Nous voici face  à la     U   condition humaine,

Et tentative de nous      E    en libérer, sera vaine

Nous sommes consci      *      ents, seuls à le savoir,

Et c’est ce qui entreti      R    ent notre fol désespoir.

À chaque fois qu’on dé     I   couvre  un pan  du voile,

Autre encore plus grand   E    et  mystérieux se profile

C’est comme Internet qui N    tisse et densifie sa toile

Plus sa taille augmente     ?    plus son sens diminue !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon certes, mais

Pas forcément de parfum

Ou, qui sait,  d’un savon 

Pour passer un savon.

.

1066 4

.

Un flacon quelconque de savon:

Du moins en apparence :

Mais qui donc serait susceptible

De me passer un… savon !

.

Symbolique 

.

Selon la légende,

Les anciens Romains

Célébraient           des

Holocaustes animaux.

 .

Les cendres de bois des feux de leurs

Autels se mêlaient à la graisse des

Animaux sacrifiés, formant une

Sorte de savon assez primitif.

Ce  liquide, savonneux, aurait

Coulé  vers  les  bords  argileux

D’un  cours  d’eau voisin,  où  les

Habitants auraient constaté  qu’à

Cet endroit, le linge  se pouvait  être

Nettoyé particulièrement, facilement,

Et efficacement : c’est pourquoi le savon

Tire son nom latin, sapo, nom montagne.

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1066 6

.

Un flacon quelconque de savon:

Du moins en apparence :

Mais qui donc serait susceptible

De me passer un savon !

 .

Symbolique 

.

Agent purificateur

Et parfois agressif,

Au figuré.  Il ne faut

 Pas confondre les deux,

Le savon emprunte forme du verbe savoir

À la deuxième personne du pluriel présent.

Mais que savons-nous  de plus   du savon ?

Sinon qu’il lave bien comme dans la réalité

Et qu’il permet de se purifier  en nos rêves.

Il symbolise alors l’outil de la purification,

Dans l’acquisition d’un savoir et de l’usage

De ce que nous en savons…….. réellement.

Il est alors positif de se passer un savon

Sur le corps ou les mains, mais beaucoup

 Moins de  ….    se faire    passer un savon.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/

Dictionnaire-des-reves/Savon

 .

.

Fond/forme 

 .

Se laver avec un bon savon

Fait des bulles et nettoie bien

Lors se faire passer un savon,

Ne laisse aucune trace visible,

Et donc n’aura pas d’existence.

.

Pourtant pour celui qui le donne

Bien plus encore celui qui le reçoit

C’est tout sauf rien pour sa personne,

Alors frottez-vous bien si avez bon dos.

.

Textuels et illustrations  >>

1065 – Pourquoi quelque chose plutôt que rien (V)

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Bien sûr, faut

Quelque chose plutôt

Notre mort elle-même définit

Ce qu’est humainement notre vie

Animaux ne perdent pas souvenir

Du fait qu’ils  n’en  avaient pas,

Mais  nous,  nous  perdons

Toute notre histoire,

Même si, familiers,

Témoins la ravivent.

.

Ravivent,     mais  non,      revivent,

Tant  notre  vie    demeure  unique

Car ça changerait tous rapports

De  n’avoir,  jamais,  existé !

Tout pareil,   pour les siens,

Les sociétés et l’ humanité.

.

Lors on ne voit, on ne rêve, on ne parle plus,

Et lors  personne  ne vous    reconnaît plus,

Notre souvenir  d’avoir été .….  quelqu’un

Nous échappe nous coupant tous liens,

Notre mort ne  nous évoquera plus rien.

.

Mourir, en étant conscient, de son vivant,

Serait pire que toutes les fins des temps,

Si fait  qu’entre  quelque  chose  ou rien,

Advient, de rien,  quelqu’un l’on devient,

Ce quelqu’un, à  sa mort, n’est  plus rien.

.

Vaudrait-il mieux alors n’avoir jamais existé

Qu’être né, avoir vécu, avoir joui  et souffert :

Tel raisonnement serait, quelque peu, pervers

Lors nous sommes seuls vivants pour le poser.

  .

Il en est de même de l’Humanité, de l’Univers,

Entre quelque chose, rien : où en est la raison,

Le Cosmos, artefact du Big Bang et l’homme :

Artefact de notre système solaire   en somme !

 .

Nous savons que nous n’avons pas,   toujours,

Existé  et que nous n’existerons pas, toujours !

Simple parenthèse en notre cosmique destinée

Quand, notre Soleil, notre Terre  aura absorbé.

.

Extensions

 .

La mémoire est ce

Qui nous rend humain

Mais aussi nous personnifie,

Nous rend unique, voire irremplaçable,

Même si chacun de nous n’a rien d’indispensable.

Les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer

N’ont pas perdu que leur mémoire, ils ont perdu

Leur identité, leurs liens avec leurs proches,

Et même,  leur environnement familier :

C’est qu’ils seront morts, socialement

Qu’à l’intérieur d’eux-mêmes c’est

Plus ou moins le vide, l’absence,

La solitude extrême, même

S’ils n’en souffrent pas.

Antichambre de disparition :

On meurt tous les jours amis en

S’en rendant compte ; eux, non.

.

Tomber en carafe quelque part, au milieu de nulle part

C’est être complétement perdu, démuni de moyens, solutions,

Celui qui est abandonné en carafe, se retrouve comme une cruche,

Comme un imbécile le sens ayant alors glissé d’un récipient à un autre

Qui peut bien être celui du vin par un alcoolique ayant raté son train.

.

Fragments

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  (V)

.

Bien sûr, faut

Quelque chose plutôt

Notre mort elle-même définit

Ce qu’est humainement notre vie

Animaux ne perdent pas souvenir

Du fait qu’ils  n’en  avaient pas,

Mais  nous,  nous  perdons

 Toute notre histoire,

Même si, familiers,

 Témoins la ravivent.

.

P  O   U   R   Q   U   O   I

Ravivent,     mais  non,      revivent,

Tant  notre  vie    demeure  unique

Car ça changerait tous rapports

De  n’avoir,  jamais,  existé !

Tout pareil,   pour les siens,

Les sociétés et l’Humanité.

.

Lors on ne voit,    Q   on ne rêve, on ne parle plus,

Et lors personne   U        ne vous    reconnaît plus,

Notre souvenir     E       d’avoir été  .….  quelqu’un

Nous échappe       L         nous coupant tous liens,

Notre mort ne      Q        nous évoquera plus rien.

  U                   *

Mourir en étant    E     conscient,    de son vivant,

Serait pire que      *      toutes les   fins des temps,

Si fait qu’entre      C      quelque       chose ou rien

Advient, de rien    H       quelqu’un     l’on devient,

Ce quelqu’un, à     O         sa mort, n’est  plus rien.

 S                  .

Vaudrait-il mieux  E    alors, n’avoir jamais existé

Qu’être né, d’avoir  *     vécu, avoir joui et souffert.

Raisonnement        P     est  quelque peu     pervers

Lors nous som        L      mes vivants pour le poser.

    U                   *

Il en est de même   T   de l’Humanité, de l’Univers

Entre quelque cho   Ô   se, rien, où en est la raison

Le Cosmos, artefact  T     du Big Bang et l’homme :

Artefact de notre sys  *    tème solaire   en somme !

R   .

Nous savons que nous     I    n’avons pas,   toujours,

Existé  et que nous n’exis   E    terons pas, toujours !

Simple parenthèse en notre     N    cosmique destinée

Quand, notre Soleil, notre Terre      ?     aura absorbé.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une belle carafe droite

Pour  des alcools forts,

Mais sans bouchon,

Elle ne vaut rien.

.1065 4

.

Quand la carafe est vide, qu’il n’y a rien

Pour remplacer contenu :

La mort de l’espérance se profilerait car

Plus rien est rien pour toujours.

 .

Symbolique 

 .

Une carafe est

Un récipient 

De table,

En verre voire en  cristal

Pour le service

D’alcools forts,

Des  grands  vins  (carafe à vin),

De l’eau  (carafe d’eau),  ou  du  café.

Les vins vieux, dont la robe devient tuilée,

Ont structure trop faible pour être carafés

Durablement : on les laisse  décanter dans

Leur bouteille,  redressée     à  la   verticale

Plusieurs  heures  et    que   l’on   débouche

Avant    la     dégustation.    Au   contraire,

Un passage       en carafe            d’une heure

Ou deux est     bénéfique        à certains vins

Jeunes ou vin de garde en pleine maturité.

Source : Wikipédia

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1065 6

.

Quand la carafe est vide, qu’il n’y a rien

Pour remplacer contenu :

La mort de l’espérance se profilerait car

Plus rien est rien pour toujours.

 .

Symbolique 

 .

Il y a des questions qui,

Vont toujours rester sans réponse,

Non pas parce qu’on ne peut pas s’essayer

À leur trouver quelque solution.

.

Mais parce que, aussitôt la réponse trouvée,

Elles ressurgissent indemne,

Comme un bouchon de liège  se remet à flotter

Aussitôt qu’on lâche prise

Après l’avoir enfoncé sous l’eau. Cette question :

.

« Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien? »,

Tout comme la majorité des questions

Philosophiques revêtent l’insolubilité.

.

Platon l’a illustré abondamment dans ses dialogues

Où Socrate, après un long exercice maïeutique

Conclut en formulant la question initiale restée indemne.

philo5.com/Cogitations/070921PourquoiYA-T-IlQuelqueChosePlutotQueRien

 .

 .

Fond/forme 

 .

L’inconnu, c’est rien, juste un concept

mais quand on en découvre davantage,

ce n’est plus rien, c’est déjà quelque chose

en fait entre tout et rien, y a une similitude

on ne peut rien connaitre, ni tout connaitre

le savoir est réparti sur plusieurs, lacunaire

Tout ce que je sais,  aurait dit  Jean Gabin,

est que je ne sais rien, mais ça je le sais.

.

Textuels et illustrations >>

1064 – Pourquoi quelque chose plutôt que rien (IV)

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Et pourquoi quelque chose

Plutôt  que rien … question

Lancinante nous traversant

Esprit à tout bout de champ

Juste milieu ou intrications,

Entre  deux  contradictions :

Voilà bien sagesse dite libre,

D’esprit sain de gros calibre.

.

L’homme oscille entre le mal et le bien

En confondant parfois les deux les mixant

Lors dans un parti-pris matérialiste croyant,

Il se dit juge et arbitre entre l’animal et le divin.

.

Quand on meurt, on finit de bouger, de braire,

On ne vient plus s’entremêler  autres affaires.

Comédies tragédies sont finies pour nous,

Plus d’âme ni de mot ni d’ani-maux.

.

Ce qui tombe en escarcelle

Est toujours autant de pris,

Un parti pris,  matérialiste,

Vous donnant la part belle.

.

Où est le mal, où est le bien

Si on est tout, si on est rien

Mon libre arbitre, contre le droit,

Me limite par nature, en mes choix

Reste qu’infinité de possibles   échoit

Pour prendre le meilleur par devers moi.

.

Je ne sais le meilleur, pour qui, pour quoi,

Mais plutôt qu’en être esclave, en être  roi :

Roi de mon ego et de ma lignée qui, ma foi,

Rend fier de ses acquis, passion sans effroi.

.

Peut-on vraiment être juste content d’être,

Et se dire, qu’à personne, ne se  soumettre

Se balancer entre : c’est sûr, et peut-être,

Se  voir  marcher, en rue,  de sa fenêtre.

.

Homme est paradoxe et contradiction,

Dessine son destin, ignorant le mot fin,

Lors si nous ne  sommes que animaux,

Notre mort se résume alors au bas mot

À  la mort  de  l’esprit, sans  l’ani-mot !

.

Extensions

 .

Le juste milieu est possible à trouver

Plutôt  difficile  à conserver, tant si

L’on ne  bougera plus  d’un pouce,

Le monde s’agite autour de nous :

Impossible de se la couler douce !

.

Où est  le  mal, et  où  est  le bien :

Personne  garant de l’un ou l’autre

Tant ces deux valeurs sont relatives

Le long d’un curseur  qui varie avec

Politiques, événements, du moment.

.

Ici c’est comme ça, ailleurs autrement

«Alors  pourquoi  ne changez-vous  pas ».

«Mais  nous sommes  très bien  comme ça :

Pourquoi ce ne serait pas à vous de changer».

Voilà qui résume  des siècles  et  de colonisation,

Évangélisation, domination d’un peuple par l’autre.

.

À première vue, on ne voit rien dans une œuvre d’artiste

 Puis on distingue  des éléments étranges, mais  sans liens,

Puis l’idée nous traverse  que cela peut dire quelque chose

Et que nous réinventons, pour le mettre à la place de rien,

C’est cela la magie de l’art : faire voir pour faire imaginer.

.

Fragments

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  (IV)

.

Et pourquoi quelque chose

Plutôt  que rien … question

Lancinante nous traversant

Esprit à tout bout de champ

Juste milieu ou intrications,

Entre  deux  contradictions :

Voilà bien sagesse dite libre,

D’esprit sain de gros calibre.

P   O   U   R   Q   U   O   I

L’homme oscille entre le mal   Q  et le bien

En confondant parfois les deux    U  les mixant

Lors dans un parti-pris matérialiste E     croyant,

Il se dit juge et arbitre entre l’animal  L  et le divin.

Quand on meurt, on finit de bouger   Q     de braire,

On ne vient plus s’entremêler  aut  U  res affaires.

Comédies tragédies sont finies  E   pour nous,

Plus d’âme ni de mot ni    *  d’ani-maux.

Ce qui tombe en   C  escarcelle

Est toujours au   H  tant de pris,

Un parti pris      O     matérialiste,

Vous donnant   S      la part belle.

Où est le mal   E  où est le bien

Si on est tout  *  si on est rien

Mon libre arbitre,   P   contre le droit,

Me limite par nature,   L   en mes choix :

Reste qu’infinité de pos    U  sibles   échoit

Pour prendre le meilleur par   T   devers moi.

Je ne sais le meilleur, pour qui,   Ô   pour quoi,

Mais plutôt qu’en être esclave, en   T  être  roi :

Roi de mon ego et de ma lignée qui,   *   ma foi,

Rend fier de ses acquis, passion sans   Q   effroi.

Peut-on vraiment être juste content   U    d’être,

Et se dire qu’à personne, ne se     E     soumettre

Se balancer entre c’est sûr,      *       et peut-être,

Se voir marcher, en rue,       R        de sa fenêtre.

Homme est paradoxe       I        et contradiction,

Dessine son destin,      E       ignorant le mot fin,

Lors si nous ne        N      sommes que animaux,

Notre mort se      *       résume alors au bas mot

À la mort         *        de l’esprit, sans l’ani-mot !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un  flacon d’un  parfum,

Respiré  à pleins poumons :

Pour autant parviendrait-t-on

À le distinguer de tous autres !

.

1064 4

.

Le parfum du bien  et  du mal,

Se mélangent-ils naturellement.

Si tel  était  bien le cas,  il serait

Plus  difficile  de  les  distinguer !

De distinguer un parfum, d’un autre,

Est parfois un art d’une grande subtilité.

Il y en a même ne sentant pas grand-chose :

Autant dire en tous cas pour eux, ce n’est rien.

 .

 Symbolique 

 .

L’ex-pé-rien-ce

De l’odeur dépend

De la transmission

 Des       minuscules

 .

Particules en terminaisons

Du nerf olfactif. Nous ne pouvons

 Pas   le voir et   pas   les entendre.

 .

Pourtant,   nous sentons qu’elle

 Est définitivement là.

Parfum est symbole de quelque

 .

Chose de  très subtil  et  très  délicat,

Quelque chose d’intangible qui est bien

 Définitivement là qui  peut être  perçu,

Qui peut produire   certains  effets, qui

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1064 6

.

Le parfum du bien  et  du mal,

Se mélangent-ils naturellement.

Si tel  était  bien le cas,  il serait

Plus difficile de les distinguer !

 

Symbolique 

 

L’article  s’attachera  à montrer la

Différence  sociologique  et  théorique

Entre la distinction et la différenciation,

Entre  un modèle  de la distinction sociale

Et un modèle  de la  différenciation sociale.

.

Pour  cela,  il   examine  la  conceptualisation

Qu’élabore P. Bourdieu, livre La distinction.

Domination, holisme, élitis­me et objectivisme

Forment quatre caractéristiques de ce que

L’on peut désigner comme conception

Structurale de la distinction.

journals.openedition.org/rsa/3838

 .

.

Fond/forme 

 .

Rien n’est rien tandis  que trois fois rien

C’est déjà quelque chose, être moins que rien.

.

C’est n’être pas grand-chose : un raisonnement

Des plus subtils s’il en est comme sentir parfum

Qui n’existe pas mais dont on crée la sensation.

.

Drôle de mécanisme tout de même qu’absence

Recrée comme une présence, par la pensée.

.

Nos pensées et nos sensations, internes,

Ne sont rien,  sans la moindre trace

Directe, juste sur IRM cérébrale.

.

Textuels et illustrations  >>

1063 – Pourquoi quelque chose plutôt que rien (III)

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

On est rien peut-être, d’accord

Mais supérieurs aux animaux,

Qui ne peuvent articuler mots,

Ne décident pas de leur sort !

.

Etre divin est connaitre

Notre savoir est  limité,

Plus lève  coin  du voile

Plus il agrandit sa toile.

.

De découvrir que l’on est rien …  nous permet

De devenir quelqu’un, ainsi que  trait d’union,

Entre notre vie biologique et notre vie d’esprit.

 .

Différent d’animal,  ce trait  nous donne appétit

De voir, au-delà de soi-même, question  du sens

De la vie, de l’humanité, du monde, de l’Univers.

 .

Cela sans a priori religieux  ni autres déraisons,

Tant  nos  croyances, connaissances, sont toutes

Lacunaires, erronées, finies, soumises  à doutes.

 .

Nos sens, nos cerveaux, langages,  instruments,

Seront, toujours, insuffisants sinon inconstants,

Pour extraire, d’univers, la vraie clé du mystère.

 .

De notre existence, science, ersatz… de divinité,

Nous ne pouvons, et, ne saurons  que prolonger

L’étendue de notre ignorance  et indéfiniment.

 .

On choisira d’être religieux, athée, agnostique,

Sinon d’être animiste, ésotérique ou mystique

 Ou quelque chose plutôt que rien tout à la fin.

.

.

Extensions

 .

Quelque chose ou rien : même chose !

Voilà une pensée  qui rejoint  bien le

«Je ne sais quoi  et le presque rien »

Du célèbre philosophe Jankélévitch,

En rapprochant par-là, en équilibre

À chaque instant l’amour et la mort

Et par rapport à la dignité humaine,

Conduite morale, émotion esthétique.

.

Si le tout n’est pas rien, le rien n’est pas tout,

Que nous reste-t-il à attendre de la vie, à part ce

Que l’on y met, ce que l’on y amis, ce que l’on espère

Y mettre, que ce soit collectivement, individuellement.

.

Comme il nous faut que la vie ait un sens, que le non-sens

Nous ferait tomber dans l’absurde, si nous n’en trouvons pas,

Nous en créons un qui nous convient, s’il  n’est pas même

Pour tous peu importe, important est qu’il y en ait un.

Qu’il évolue au cours du temps, qu’importe,

Pourvu qu’il ne disparaisse pas.

.

Je suis quelqu’un et quelque chose en même temps

Par mon corps, je suis un quelconque être humain

Et par mon âme, je suis supposé provenir du divin

Un parfum, est une odeur dans l’air et l’air de rien

Mais néanmoins une vraie musique pour les nez !

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  (III) 

 .

P   O   U   R   Q   U   O   I

On est rien peut-être, d’accord

Mais supérieurs aux animaux,

Qui ne peuvent articuler mots,

Ne décident pas de leur sort !

Etre divin est connaitre

Notre savoir est  limité,

Plus lève  coin  du voile

Plus il agrandit sa toile.

Q   U   E   L   Q   U    E

De découvrir que l’on      C   est rien …  nous permet

De devenir quelqu’un,     H   ainsi que  trait d’union,

Entre notre vie biologi     O  que et notre vie d’esprit.

S

Différent d’animal, ce      E  trait nous donne appétit

De voir, au-delà de soi      *   même, question du sens

De la vie, de l’humanité   P   du monde, de l’’Univers.

L

Cela sans a priori religi    U    eux   ni autre déraison,

Car nos croyances, con     T     naissances, sont toutes

Lacunaires ou erronées    Ô   finies, soumises à doute.

T

Nos sens, nos cerveaux,    *    langages,  instruments,

Seront toujours insuffi     Q  sants sinon inconstants,

Pour extraire d’univers    U    la vraie clé du mystère.

E

De notre existence, scien   *      ce, ersatz…de divinité,

Nous ne pouvons, et, ne    R     saurons que prolonger

L’étendue de notre igno    I     rance  et indéfiniment.

 E

On choisira d’être religi    N    eux, athée, agnostique,

Sinon d’être animiste,       *    ésotérique ou mystique

 Ou quelque chose plu        *   tôt que rien tout à la fin.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un flacon de parfum

 À moins que  ce  ne soit

 Un  diffuseur  d’odeur : 

Croyance en laquelle ?

.

1063 4

.

Un  parfum d’existence qui se diffuserait

Dans l’air ambiant :

Faut-il encore y croire et ne nous endort-il

Pas  tout le temps !

Un parfum est une sensation pure

Une croyance   est  une idée trouble,

Si la forme et le fond ne sont pas rien,

Représentations peuvent être faussées !

.

Symbolique 

.

La subtilité du parfum

Insaisissable,  pourtant

Son apparence

Serait      réelle,

 .

Symboliquement   présence   spirituelle

Sa persistance, après diffusion, évoque

Une  idée  de    durée   et   de    souvenir.

 .

Symbolise  la mémoire,  c’est en ce  sens

Qu’on l’utilise en cérémonies funéraires.

 .

Les parfums  faciliteraient  l’apparition

D’images  et   de    scènes  significatives,

Suscitant, et   orientant,  des    émotions 

Et  des  désirs, d’un passé assez lointain

(madeleine de Proust).

.

Fond

 

Évocation 

.

1063 6

.

Un  parfum d’existence qui se diffuserait

Dans l’air ambiant :

Est-il simple croyance et ne nous endort-il

Pas tout le temps !

 .

Symbolique 

 .

L’anthropologue

Peut-il    espérer   saisir

La formation   des     croyances ?

  1. Leach (1966) qui   s’intéressera   surtout

À la valeur de vérité sociale, voire de convention

Que prend la croyance  en sociétés traditionnelles,

Répond                        par                            la négative.

J’ai plutôt partagé au cours du travail le point de vue

Soutenu par R. Needham (1972) M. Southwold (1979)

Pour qui la croyance  correspondrait  à un ensemble

D’attitudes cognitives, par lesquelles  les individus

Cherchent à maîtriser les accidents qui viennent

Bouleverser leur vie.  Différent est ce propos,

Puisque je cherche à définir comment

La croyance est intériorisée.

books.openedition.org/

editionscnrs/1366?langue.fr

 .

.

Fond/forme 

 .

Le parfum n’est rien, on ne le prend

Pas, on ne le voit pas, sur ses mains,

Et pourtant il est bien là en petit rien,

Qui change tout, qu’on sent comme fou

Alors mettez-vous au parfum de… rien 

 .

Ce sera toujours mieux que rien du tout :

Rien c’est déjà quelque chose  dès lors que

L’on le nomme, tout comme vide ou néant

Il n’y a  que  dieu qui, en  religion juive,

Demeure «celui qui n’a pas de nom»

Et qui pourtant existe : exception !

.

Textuels et illustrations  >>

1062 – Pourquoi quelque chose plutôt que rien (II)

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

De quoi est faite réussite,

À qui en premier elle profite

Trop souvent la messe est dite

Et l’on passe à l’action trop vite.

.

À l’autre bout, les codes de survie,

Allument des signaux qui  amplifient

Décalages entre humains pauvres et riches,

Bien qu’au fond, tout le monde s’en fiche !

.

 Chacun  cherche, exploite, défend,

Ses propres valeurs d’humanité

Prêt à mourir pour les sauver,

Diplomatiquement s’entend.

.

On brait, pour des valeurs,

Menant  bonheur, malheur,

Pour autres, faute de solidarité.

.

Chacun se fixe un fil  rouge en sa vie,

Manger, se reproduire et, surtout, jouir,

De tout ce dont il peut pourrait se réjouir,

La réussite est faite  de ce que l’on a gagné,

Il n’y a  rien inutile,  dans  ce qui nous  ravit.

.

Quand  l’humanité  atteindra-t-elle l’équation,

Voire un nouvel équilibre entre  folie et raison,

En la moindre de nos actions et instants de vie :

.

Nos sens se concentrent en actes qui s’effectuent

En un esprit qui se remplit autant qu’il se dilue,

À peine suis-je apparu : on ne m’aura guère vu.

.

La comédie, l’apparat, l’extérieur  des  choses

Tiennent lieu de réalité  de codes de survie,

Personnage emprunt gens ne prend poses

Pour faire valoir leur exception normative

Pour ne pas être écartés, ou pire : exclus. !

.

Extensions

 .

Ce que j’affiche et défend comme valeurs

N’est pas ce que je pratique à l’heure

Mais plutôt comme dit le dicton,

Tantôt pour besace de devant,

Et tantôt  pour besace de derrière.

Intérêt commun rejoint intérêt collectif

Ou s’y oppose : le mien que je privilégierai.

.

Humain est toujours fait ainsi, sauf exception.

Les carrières et les notoriétés se font et se défont

Comme  des édifices, éphémères, dès lors qu’elles

Sont portées  par des croyances  plus populaires.

.

Il y a toujours eu  ceux  qui font de la politique,

Par conviction et ceux qui la font par intérêt ;

Les premiers résisteront mieux à la pression

Des lobbyistes  davantage  que les seconds.

Les premiers se disent bien de passage,

Les seconds s’y installent pour la vie.

.

Rien, c’est  rien, mais trois fois rien, c’est déjà quelque chose

Si, en partant  de rien, on peut arriver  à pas grand-chose,

On peut aussi faire fortune, et faire tout ce que l’on ose !

Mais je sens bien que je me mêle là, de tout et de rien,

 Je ne voudrais pas vous fatiguer, me lire pour rien.

.

Fragments

.

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme  (II) 

.

De quoi est faite réussite,

À qui en pre      mier elle profite

Trop souvent         la messe est dite

Et l’on passe à             l’action trop vite.

À l’autre bout,              les codes de survie,

Allument    des    signaux     qui    amplifient

Décalages  entre    humains  pauvres et riches,

Bien qu’au fond, tout le monde  s’en fiche !

 Chacun  cherche, exploite, défend,

Ses propres valeurs d’humanité

Prêt à mourir pour les sauver,

Diplomatiquement s’entend.

.

On brait, pour des valeurs,

Menant  P bonheur M malheur,

Pour autres   O       faute    A   de solidarité.

Chacun se fixe   U        un fil       T   rouge en sa vie,

Manger, se repro  R           duire         I    et, surtout, jouir,

De tout ce dont il     *               peut            È    pourrait se réjouir,

La réussite est faite   Q                 de                R    ce que l’on a gagné,

Il n’y a rien inutile   U                dans               E     ce qui nous ravit.

Quand l’humanité  O             atteindra             *    t-elle l’équation,

Voire un nouvel   I          équilibre entre         P   folie et raison,

En la moindre    *         de nos actions et       A instants de vie

Nos sens se      C      concentrent et actes    S     s’effectuent

En un esprit  H   qui se remplit autant   *  qu’il se dilue

À peine suis O  je apparu, on ne m’  R aura guère vu.

La comédie,  S  l’apparat, l’ex  I  térieur des choses

Tiennent lieu   E de réalité   E  de code de survie,

Personnage emprunt  N  gens  ne prend poses

Pour faire valoir leur    exception normative

Pour ne pas être écartés ou pire, exclus.

.

Forme

.

.

Évocation

.

Une bouteille d’encre,

Un flacon de parfum,

Ou belle  verroterie,

Comportant métaux.

.

1062 4

.

Qu’y aurait-il donc dans de telles 

Verroteries transparentes sinon de

Vagues  matériaux   de ce  qui pourrait

Être analogues aux substances de la vie !

Tout  ce  qui aurait  une forme

Soit naturelle ou soit fabriquée

N’est pas rien, ce qui n’en a pas,

Non plus,  du moins sur le fond !

.

Symbolique

 .

Objets en verre  

De  toutes

Sortes  mais de

 Bien peu de valeurs.

 

Le capitaine les engagea pour ramer dans

Nos embarcations, promettant de les payer

À quatre livres sterling par mois, coutellerie,

Verroterie, quincaillerie évaluée à taux fixé.

(Dillon,   en Voyage  dans la mer  du sud).

 

Synonymes : clinquant, strass, babiole

Toc, éclat trompeur, voire tapageur.

C’est comme  la mélancolie cossue,

La fantaisie distinguée, néant

Bien-pensant Mendelssohn.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1062 6

.

Qu’y aurait-il donc dans de telles 

Verroteries transparentes sinon de

Vagues matériaux de ce qui pourrait

Être analogues aux substances de la vie !

 .

Symbolique 

 .

Le symbolisme des métaux

Concerne les métaux dans leur capacité

À désigner, signifier, exercer une influence.

Le métal, en général, aurait son symbolisme

Lors il représentera la solidité, la matérialité,

Mais chaque métal, a, son propre symbolisme

L’or représente la perfection, le fer la guerre.

Sous peine délire, la symbolique des métaux

Doit rester dans le cadre de la métallurgie

Et  des  caractéristiques  des  métaux :

Un  métal  reste  un « corps simple,

Bon conducteur  de la chaleur

Et d’électricité, doué  d’un

Éclat souvent brillant ».

fr.wikipedia.org/wiki/

Symbolisme_des_materiaux

 .

 .

Fond/forme 

 .

Verroterie serait péjoratif pour verre :

Elle est plus commune, moins précieuse,

Et si on la transpose en termes de valeurs

Plus populaire, qu’aristo voire bourgeoise

Mais si chacun défend ses propres valeurs,

Verroterie s’assimile à écologie, économie !

Textuels et illustrations  >>

1061- Pourquoi quelque chose plutôt que rien (I)

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Y a-t-il quelque chose plutôt que rien,

Quelque chose, et, qui serait bien

Quelque chose, qui n’est rien !

.

De quoi s’interroger, douter.

Curieux, logique,  inquiet :

Ma quête demeure vaine,

Ne ménageant pas peine,

Je n’en suis pas satisfait.

.

Faire l’ange, serait bête ;

Diable,  serait  malhonnête,

L’humain  doit  rester  lucide

Pas question de penser au suicide.

.

Y-a-t-il quelque chose plutôt que rien,

Pourquoi tant d’animaux, seul humain

Ma vie serait-elle réduite  à  presque   rien,

L’Humanité, l’Univers : mystère de chien !

.

Combien de questions sur ma vie sur Terre

Et qui me laisseront toujours sur la faim,

Ou si ce n’est sur ma soif du divin,

Et auxquelles aucune réponse,

Ne me vient ni ne  me  convient.

.

Curieux, logique autant qu’inquiet,

Poursuis la quête et même m’entête,

Tout en la sachant longue, vaine, infinie

Car, d’origine de l’Univers, je ne capte

De fait que  des légers bruits de fond

Qui provoquent incompréhensions.

.

Terre est royaume des contraires

Ici, on tue, assassine et venge

Là, on sauve, on chante fête

L’intelligent devient bête,

Le démon parfois ange.

.

Et, chacun de braire

Qu’il aurait raison

Et pour   de bon,

Et sans    que cela

Impacte  notre Univers

Pas plus que toute  poussière.

.

Extensions

 .

Notre humanité fait aussi le  lit

De tous les paradoxes : ici, l’on  rit,

Là-bas on pleure, lors on ne pleure pas

De rire ou l’on ne rit pas bien qu’en pleur.

.

D’un côté c’est la tête commandant au corps

De rire ou pleurer, de l’autre,  c’est le corps qui

L’impose à la tête par automatismes  ou réflexes.

.

«Pourquoi ceci,  pourquoi cela»,  demande l’enfant,

Auquel le père tente de répondre par des métaphores

Ou des contes et s’il n’y parvient pas, ou n’en peut plus,

Est fatigué d’entendre ses questions, répond simplement

.

«Et pourquoi pas ! » De là naitrait notre curiosité, sur nous

Sur toutes choses qui nous entourent, nous interpellent :

L’enfant croit encore à la magie, souhaite pourtant que

Le monde ait un sens afin d’acquérir connaissance

Des plus explicables, raisonnables.

.

Magie est une sorte de rite d’initiation

À tout ce qui est trop compliqué à expliquer

Et après, le savoir acquis sert de rite d’introduction

À la part d’inexplicable. Entre magie, mystère :

L’homme se situe à leurs frontières !

.

Quelque chose plutôt que rien, interrogation

Mais à la fin, rien plutôt que quelque chose !

En somme on n’en sait pas grand-chose, rien

Alors, que cela nous fasse du mal, ou du bien,

Ne changera rien à notre condition d’humain.

.

Fragments

.

.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme (I) 

.

Y a-t-il quelque chose plutôt que rien,

Quelque chose, et, qui serait bien

Quelque chose, qui n’est rien !

De quoi s’interroger, douter.

Curieux, logique,  inquiet :

Ma quête demeure vaine,

Ne ménageant pas peine,

Je n’en suis pas satisfait.

Faire l’ange, serait bête ;

Diable,  serait  malhonnête,

L’humain doit rester luci   P  de

Pas question de penser au    O suicide

Y-a-t-il quelque chose plutôt  U     que rien,

Pourquoi tant d’animaux,       R      seul humain

Ma vie serait-elle réduite      Q       à  presque   rien,

L’Humanité, l’Univers :      U           mystère de chien !

Combien de questions      O            sur ma vie sur Terre

Et qui me laisseront    *    I     *      toujours sur la faim,

Ou si ce n’est sur  *                       *      ma soif du divin,

Et auxquelles      *         BIG            *    aucune réponse,

Ne me vient ni   *       BANG         *   ne  me  convient.

Curieux, logique  *                      *  autant qu’inquiet,

Poursuis la quête   *              *     et même m’entête,

Tout en la sachant       *         longue, vaine, infinie

Car, d’origine de                   l’Univers, je ne capte

De fait que  des         U      légers bruits de fond

Qui provoquent       N       incompréhensions.

Terre est royau       I        me des contraires

Ici, on tue, as       V        sassine et venge

Là, on sauve,      E         on chante fête

L’intelligent    R        devient bête,

Le démon    S    parfois ange

Et, chacun    de braire

Qu’il aurait raison

Et pour   de bon,

Et sans    que cela

Impacte  notre Univers

Pas plus que toute  poussière.

.

Forme

.

.

De l’époque grecque

Ou  voire d’étrusque,

Mais un vase peint,

Et un vase très creux

.

Évocation

.

1061 4

.

Pourquoi y-a-t-il presque toujours

Dessin sur un vase peint !

L’intérieur d’un vase est creux,

Extérieur est plein !

Un vase qu’il soit creux ou plein

En plus qu’il soit d’extérieur peint

Signifierait qu’il est loin d’être rien,

Tant et si bien forme évoque le fond.

.

Symbolique

 .

Dessin, sur vase peint

Est spécifiquement utilisé

Hors  la   vie   quotidienne,

Des  familles  les plus aisées,

Voire  aristocratiques, dans le

Cadre du banquet  ou  la  toilette.

Certains étaient aussi choisis pour

Honorer  les  dieux  ou  les  morts.

Une  céramique  commune a été

Utilisée au quotidien. Elle fait

Objet de recherches de plus

En   plus   approfondies.

Et dès lors …  constituent

La part la plus importante

Peintures de  Grèce antique,

Actuellement bien conservées.

fr.wikipedia.org/wiki/Ceramique_grecque_antique

.

.

Fond

Évocation

.

1061 6

.

Pourquoi y-a-t-il presque toujours

Sur un vase, une peinture!

L’intérieur d’un vase creux,

Extérieur est plein !

.

Symbolique 

.

Par sa forme,

La grâce de ses courbes

Et sa fonction de réceptacle,

Vase creux un symbole féminin.

Son creux évoquerait celui de l’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides vitaux.

.

Dans l’art, et, les rites funéraires, le vase

Apparaît parfois emblème vie éternelle.

Le symbolisme de la coupe (le calice)

Est, liée à connotations opposées :

L’une positive, signe d’un destin

Favorable, l’autre négative

Comme urne funéraire

heraldie.blogspot.com/2014/08/le-vase

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Vase vide ou plein,

Vase creux ou non,

Vase lisse ou peint,

Vase n’est pas rien,

Vase est un symbole

Contenant et contenu

Il  est  donc  impossible,

Dès qu’il y aurait matières,

De n’être rien, pas grand-chose.

.

 Textuels et illustrations  >>

1060 – Notre Terre tourne et tourne toujours

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

Poème

.

Que  la

Terre  tourne,

C’est   l’évidence

Déjà sur elle-même

Et  autour  du  Soleil,

Expérience  ou  science,

Erreur avérée et merveille

Sur terre, tout tourne aussi :

Culture, services et industries

Avec leurs vertus  et leurs vices,

Et  en  accélérant  tout  le temps.

Jardin Éden  dont parlera la bible,

Ne  serait-il,  simplement  la  Terre,

Que l’homme saccage,  pour son profit

Et son enfer serait de le perdre à jamais.

.

Notre Terre tourne et tourne

Toujours et encore sur elle-même

Autour du Soleil, centre de notre galaxie,

Mais personne ne sait de quoi il en retourne,

De tourner et tourner toujours ainsi et à l’infini.

.

Sur Terre, humains accélèrent

Transformations d’environnements

Et bétonnent et bétonnent et encore plus,

Les côtes et les villes pour leur profit, confort,

Nature diminue, est souillée, de plus en plus fort.

.

On me dira, je suis un écologiste

Pensant avant tout aux fleurs, abeilles

Tandis qu’humains crèvent encore de faim,

C’est la Nature qui nous enseigne notre survie :

Plus de production, moins de danger pour nos vies.

.

Tout est affaire d’équilibre, raison,

Il n’y a rien de politique dans pollution,

Il y a simplement que ça ne tourne pas rond

Et, si l’on ne fait rien, la Terre touchera le fond,

Alors que sans nous elle tourne comme une horloge.

.

Notre monde humain de fourmis,

Qui s’active en tous lieux et tous temps,

N’est que de passage comme le noir nuage.

Un jour s’il étouffera sur lui-même, s’écroulera

Univers n’en continuera pas moins sa ronde folle !

.   

Extensions

 .

Notre Terre tourne :

On la voit, seule, ronde et réelle,

On la dit inébranlable, on la croit éternelle.

Or il n’en est rien, tout est déterminé par le temps

Et, le pire, c’est que nous le savons et que, même Dieu,

S’il y en a un, n’y pourrait rien changer à cette horlogerie.

Étrange paradoxe, que notre Terre, enfermée  dans un cycle

Se renouvelle par rotation, attraction, distanciation du Soleil,

Appelé lui-même à disparaitre ainsi que toute notre galaxie

De Voie Lactée, comme si notre Horloger de l’Univers

Qui l’a organisé, n’en avait cure, l’avait oublié.

Qu’importe : si nous supprimons

La dimension temporelle,

Quatrième    dimension

De l’Univers,  sommes,

Avons été, serons en un

Même     espace-temps,

Tournant sur lui-même !

.

Et pourtant, elle tourne, murmurera Galilée, après sa rétractation,

Car jusque-là, tout tournait autour d’elle, bien qu’elle soit dite plate :

Non seulement elle tourne autour du soleil mais notre galaxie tourne…

Restons sur Terre, tournons-nous vers notre hérédité et notre évolution :

Quelque chose ne tourne pas rond, dès lors savons que nous disparaitrons.

Tournez, tournez manèges, comme le temps, dont on ne connait  l’horloger,

Il arrivera forcément le moment où c’est à nouveau le néant qui aura gagné.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

^

^^^

^^^^^

Que  L       la

   Terre  A      tourne,

C’est   l’  *    évidence

Déjà, sur   T   elle-même

Et autour    E     du  Soleil,

Expérience     R     ou science,

Erreur avérée    R    et merveille

Sur terre, tout     E    tourne aussi

Culture, services    *     et industries

Avec leurs vertus    T      et leurs vices,

Et  en  accélérant    O        tout le temps.

Jardin Éden dont     U       parlera la bible,

Ne serait-il, sim       R         plement la Terre

Que l’homme sac     N       cage pour son profit

Et son enfer serait   E        de le perdre à jamais.

.

TOUJOURS

Notre Terre tourne et tourne

Toujours et encore sur elle-même

Autour du Soleil, centre de notre galaxie,

Mais personne ne sait de quoi il en retourne,

De tourner et tourner toujours ainsi et à l’infini.

.

Sur Terre, humains accélèrent

Transformations d’environnements

Et bétonnent et bétonnent et encore plus,

Les côtes et les villes pour leur profit, confort,

Nature diminue, est souillée, de plus en plus fort.

.

On me dira, je suis un écologiste

Pensant avant tout aux fleurs, abeilles

Tandis qu’humains crèvent encore de faim,

C’est la Nature qui nous enseigne notre survie :

Plus de production, moins de danger pour nos vies.

.

Tout est affaire d’équilibre, raison,

Il n’y a rien de politique dans pollution,

Il y a simplement que ça ne tourne pas rond

Et, si l’on ne fait rien, la Terre touchera le fond,

Alors que sans nous elle tourne comme une horloge.

.

Notre monde humain de fourmis,

Qui s’active en tous lieux et tous temps,

N’est que de passage comme le noir nuage.

Un jour s’il étouffera sur lui-même, s’écroulera

Univers n’en continuera pas moins sa ronde folle !

ET ENCORE 

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un beau sapin

Peut-être de Noël

Lors  c’est  un  sapin

Chargé de cadeaux !

.

1060 4

.

Nous célébrons la nouvelle année avec

Un sapin des plus décorés. 

Preuve que la terre tourne, le nouvel an

Est fêté avec des cadeaux.

Un sapin, même de Noël  et  cadeaux,

N’ont rien à voir avec Terre qui tourne

Ici il sera question de pérennité cyclique

Si fait que forme et fond se distingueront.

Symbolique

.

Le

 Symbolisme

Nombre d’arbres

Concerne leur capacité

À   désigner,      à signifier,

Voire   à  exercer  une  influence.

Symbole (de l’homme, de la vie),

Chaque arbre symbole (chêne, la majesté,

Aulne, humilité). On dit que  le sapin empêchait

La foudre de tomber, conjurait mauvais  sorts.

En  Allemagne, on  flagellait, autrefois, les femmes

Durant le mardi gras, avec des branches de cet arbre,

Dans le but de

Leur permettre

D’avoir de nom

Breux  enfants.

Wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_arbres

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1060 6

.

Nous célébrons la nouvelle année avec

Un sapin des plus décorés. 

Preuve que la terre tourne, le nouvel an

Est fêté avec des cadeaux.

.

Symbolique

 .

Dans le cas de Noël,

 On  peut  comprendre

Que la dimension ultra-

Consumériste de cette fête

L’abondance  de  cadeaux

 Étalés   au     pied   du sapin,

Tout     cela      soit      devenu,  

Pour       certains,       écœurant.

Donc ceux-là sont peut-être mus par

Des  convictions  politico-économico-écologiques,

En tout cas, ils sont,  sans doute, en attente d’un

Mouvement de don, cadeau, étant un peu plus

Plus naturel, plus spontané, moins  « obligé ».

Au fond, un cadeau  qui soit  plus affectif,

Finalement alors même que cette façon

Qu’ils ont de refuser ce jeu de l’offre

Et de l’accueil du cadeau les fait

Spontanément         passer

Pour    des    goujats !

francetvinfo.fr/replay-radio/modes-de-vie/

la-symbolique-du-cadeau-le-don-et-contre-don

 .

 .

Fond/forme 

 .

Le sapin a la forme d’une toupie,

Mais à l’envers, pointé vers le ciel

Tandis que la toupie …vers la terre

Mais il n’empêche que tous les deux

Tourneront et tout autant en rond,

Comme tous les autres  planètes

Sans la moindre interruption,

Lors les sapins et les toupies

Le font mais avec moment

Qui constituera leur fin.

.

Textuels et illustrations  >>

1059 – Si l’on laisse l’humain à son libre arbitre

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

..

Libre arbitre humain,

Est-il cadeau divin sibyllin.

Le laisser penser, dire ou faire

N’importe quoi, ou d’arbitraire,

Serait-il un service à lui rendre ?

.

Au-delà du fait,  l’interprétation ;

Au-delà interprétation, croyance ;

Au-delà croyance vérité religion,

Voire cosmogonie mystique.

.

Il faudrait aller voir derrière le…Big Bang

Pour tout savoir enfin, mais pour savoir quoi,

Plus important encore : par quoi et pourquoi

Car si l’on laisse l’humain  à son libre arbitre

Il finira par trouver un sens  à sa vie de pitre.

.

Mais sens diffèrent seulement en apparence,

Acquérir de l’argent voire somme de science

Le pouvoir, le savoir ultime, lui échappent.

.

Nous répéter voir et des centaines de fois

Sans qu’il y ait aucun ne disant : assez,

Cela suffit comme ça de se plagier !

   .

Cela vous paraître  in-cro-ya-ble,

Peut vous paraître invraisemblable

Moi, je trouve cela plutôt délectable

Preuve  que    nous  soyons capables.

 .

Il faudra, peut-être  inventer une foi,

En autre chose, que  ce qu’on sait déjà,

Derrière le Big Bang faudrait aller voir,

Si Dieu n’aurait pas  laissé de marques

Pour induire, l’erreur d’être, été, d’espoir.

.

Dieu les a classés au  rayon farces, attrapes

Quand on a tout dit, on a encore rien dit, pire,

On s’acharne à en douter, même à tout contredire.

.

Extensions

 .

Tout fait sens sur notre planète Terre

Et dans notre vie et dans l’Univers,

Et  rien  ne  le ferait … vraiment :

C’est un  paradoxe que  de nous

Laisser libre de voir en esprit,

Alors qu’on est aveugle en

Perception  physique :

La vérité se cache derrière

Un voile, on le sait mais on n’y

A  pas accès, expérimentalement,

Pour le prouver : le Big bang, constitue

Le dernier voile connu, au-delà duquel tout

Nous est inconnu et le restera  pour l’éternité.

Si l’on laisse l’humain à son libre-arbitre,

Certains le prendront pour eux seuls :

« Je suis libre de faire, de dire,

Et de croire ce que je veux »

Tandis que d’autres penseront

Qu’ils ont une responsabilité envers

Les autres et que leurs attitudes peuvent

Exercer domination, insupportable, sur eux.

D’un côté, les égoïstes, cyniques,

De l’autre les altruiste, humanistes.

.

La liberté et le libre arbitre semblent être des concepts occidentaux

Pour ne pas dire, des valeurs gréco-latines, voire judéo-chrétiennes !

La liberté a un prix : la responsabilité, la culpabilité, la honte, prison,

Mais le manque de libertés, qui s’apparente à une obéissance aveugle,

Ne fait pas des citoyens à part entière capables de voter pour le mieux.

La marge de manœuvre sera, de toute façon restreinte quel qu’elle soit

Dès lors que ma liberté s’arrête où commence celle de l’autre, autres.

.

On aura écrit des tonnes de livres,

Articles éditoriaux, voire tribunes

Sur libre arbitre et responsabilité

Sans, complétement, les clarifier !

.

Le serpent se mord un peu la queue

Pour exercer son plein libre arbitre,

Sans manipulation de toutes parties

Il faudrait avoir bonne connaissance,

.

Or la pleine connaissance,  expérience,

Est le fait des seuls experts dit patentés,

Qui ne prennent pas en compte l’émotion,

Comme agir sur coup de colère, humiliation.

.

Fragments

.

La liberté reste un concept, et  un  droit

Fondamental de l’être humain, dit-on.

Mais si le concept va de soi dès lors

Que l’on nait tous libres et égaux,

Son application  se veut combat

Pour faire valoir tout son droit

Pas seulement en tribunaux :

Dans le public, dans le privé !

.

Hors liberté, serions soumis

À l’arbitraire,  au contraire,

Selon le bon vouloir acquis

Par nos dirigeants, maitres

Pour qui  tout  libre-arbitre,

Est comme injure à leurs lois.

.

Face  au  dictateur, responsable,

Des  sujets, déviants … coupables,

Et alors des prisons se remplissent,

Sans que ne rien faire l’on ne puisse.

.

Mais,  la liberté  des uns, finissant là où

Commence  celle des autres,  il  faut fixer

Toutes limites  de notre marge de libertés,

Pour exercer notre libre-arbitre, garde-fou.

.

J’avoue que parfois j’y comprends rien du tout,

Nul n’est censé ignorer la loi, la même pour tous,

Mais qui l’a décidé, la change, la connait vraiment,

Affaire de spécialistes, nous accablant ou défendant.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Libre arbitre humain,

Est-il cadeau divin sibyllin.

Le laisser penser, dire ou faire

N’importe quoi, ou d’arbitraire,

Serait-il un service à lui rendre ?

Au-delà du fait,  l’interprétation ;

Au-delà interprétation, croyance ;

Au-delà croyance vérité religion,

Voire cosmogonie mystique.

****************

****************

Il faudrait aller voir derrière le…Big Bang

Pour tout savoir enfin, mais pour savoir quoi,

Et plus important encore : par quoi et pourquoi !

¤¤¤ Car si l’on laisse l’humain à son libre arbitre¤¤¤

¤¤¤¤ Il finira par trouver un sens à sa vie de pitre, ¤¤¤¤

¤¤¤¤  Mais sens diffèrent seulement en apparence,  ¤¤¤¤

¤¤¤¤¤ Acquérir de l’argent voire somme de science ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤     Le pouvoir, le savoir ultime, lui échappent.   ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤        Nous répéter voir et des centaines de fois       ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤           Sans qu’il y ait aucun   L   disant : assez,          ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤            Ça suffit comme ça     I    de se plagier !           ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤             Cela vous paraître      B     in-cro-ya-ble,             ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤              Peut vous paraître     R    invraisemblable            ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤               Moi, je trouve cela     E  plutôt délectable               ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤               Preuve  que    nous     –   soyons capables.               ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤                Il faudra, peut-être    A     inventer une foi,                ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤                En autre chose, que    R   ce qu’on sait déjà,                 ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤¤                Derrière le Big Bang    B   faudrait aller voir,                 ¤¤¤¤¤

¤¤¤¤                Si Dieu n’aurait pas      I    laissé de marques                   ¤¤¤¤

¤¤¤¤               Pour induire, l’erreur     T    d’être, été, d’espoir.                ¤¤¤¤

¤¤¤                 Dieu les a classé en un    R   rayon farces, attrapes                ¤¤¤

¤¤                  Quand on a tout dit, on    E   a encore rien dit, pire,                ¤¤

¤¤¤               On s’acharne à en douter, même à tout contredire.              ¤¤¤

.

Forme

.

.

Évocation

.

Silhouette d’homme

Et  qui   s’interroge,

Sur libre-arbitre 

Et responsabilités ?

.

1059 4

.

Libre arbitre, tout le monde en parle,

En use voire en abuse :

Nous serions seuls en responsabilité,

De tout ce qui nous arrive.

Un homme qui écarte les bras et mains

Se demandant ce qu’il peut et doit faire,

Est une image d’un certain libre-arbitre,

Si fait que la forme converge vers le fond.

 .

Symbolique

 .

Libre-arbitre

 Décrit la propriété

Qu’aurait  volonté

  Humaine  de

Se déterminer  librement

Ou      alors     arbitrairement

À agir et à penser, par opposition

Au déterminisme, au fatalisme,

Qui affirmeront que la volonté

Est déterminée dans chacun

De ses actes par des forces

Qui    l’y    nécessitent.

Se   déterminer   à, 

Être déterminé  par,

Est l’enjeu de l’antinomie

Du destin et du libre-arbitre.

Source : histophilo.com/libre_arbitre

.

.

Fond

.

Évocation

.

1059 6

.

Libre arbitre, tout le monde en parle,

En use voire en abuse :

Nous serions seuls en responsabilité,

De tout ce qui nous arrive.

 .

Symbolique 

 .

De façon générale,

La responsabilité collective

Signifie, non pas la responsabilité

D’un  collectif, en  tant  que tel,  mais

Celle  des  membres  qui  le  composent.

.

Si  la  France  envahissait  un pays voisin,

Sans raison légitime, s’engageraient, d’abord,

La responsabilité du président de la République,

Des membres du gouvernement et des armées,

Mais  aussi  celle  de l’ensemble  des  Français

Les ayant élu  et accepté son gouvernement.

.

Comme ils auraient pu empêcher intrusion

En s’opposant frontalement à leurs dirigeants,

Ils auraient participé, eux aussi, et indirectement

À cette action belliqueuse qu’ils ne cautionnaient pas.

.

Mais une telle explication, fondée sur la logique causale,

Se heurte, et de prime abord, à cette difficulté classique

De réduire le comportement du collectif aux actions

De ses membres individuels.

cairn.info/revue-bulletin-de-psychologie-2008-2-page-131

 .

.

Fond/forme 

.

Pas de responsabilité sans aucun libre-arbitre

Sur ce point-là, au moins la justice aura tranché :

On doit être en pleine conscience de ce que l’on fait :

Dans un  cas contraire, on ne peut être jugé coupable.

Entre la vérité et l’erreur, il y aurait l’interprétation

Qui prend en compte ou science ou croyance

Ou se détermine parole contre parole

Ou selon son intime conviction.

.

Textuels et illustrations  >>

1058 – Si la Terre tourne sur elle-même, moi aussi

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Terre tourne sur elle

Moi aussi, si je réfléchis,

Où je vais vite retomber dès

Que je me lancerai  des défis.

Parfois, le jour, parfois, la nuit,

Comme en amour, prends paris.

Homme réfléchit, lors il n’est sûr

De rien, lors craint de se tromper.

L’homme réfléchit, lors il imagine

Solutions meilleures que d’autres,

Pires : finalement, combien votent

En fonction d’une animale émotion

Non, d’intimes convictions, raisons !

L’homme a un destin très personnel,

Mais  il lui  reste, à lui, de la trouver.

Elle est ni écrite,  prescrite, interdite,

Tant que  chacun    peut  se retrouver,

En lui-même pour bien faire un point

Et lors, il pourra la modifier à sa guise.

À sa guise, autant selon son éducation,

Ses réseaux de relations, son âge, sexe,

Moyens financiers  puis motivationnels

Il faut  du courage  pour choisir la voie,

Autre que celle vous menant, pente douce,

En  pente  douce  vers  le confort, la stabilité

Tandis qu’autour, règnent, violence, précarité.

Même chez retraité n’ayant pas à se retrouver

Il y a toujours une angoisse de manquer,

Manquer quelque chose, dans sa vie,

Alors qu’il n’aurait pas  vu venir.

Qu’il a côtoyé et qu’il a ignoré

Faute d’en être informé et

Faute  pris le temps

De se tourner

Sur   lui-

Même

V

.

Tourner sur soi-même ralentit une progression,

Mais cela procure la vision de l’environnement,

Rien ne sert de courir si on se sait…où l’on va,

Si on ne sait d’où on vient…ne sait où on est !

.

Extensions

 .

La fuite, la lutte,

Le statuquo, ou l’abandon

Sont solutions face aux problèmes :

On en fuit un, et, on lutte pour un autre,

Temporise pour un troisième, on abandonne

Pour un quatrième  parce que l’on ne pourra pas

Toujours être sur la brèche, parfois je tourne en rond,

Comme la Terre, sans savoir ce que je fais, je dis,

Ce que je pense même. Je me sens prisonnier

D’un brouillard m’empêche de voir au loin

Autour de moi : retraite est nécessaire

À l’avancement de mon projet de vie

Ou est-il préférable de sans cesse

Courir pour ne pas risquer d’être

En retard d’un trimestre mois, année.

La Terre, à force de tourner me donne

Le tournis, ma vie, quand elle fait

Du sur-place, me donne

De l’angoisse.

.

Tout tourne autour d’un axe : l’Univers, la Galaxie, la Terre, moi

Et à force de regarder en l’air, on finirait par avoir le tournis,

Comme un vertige d’escalier, vu par en haut, vu par en bas.

En plus, la terre tourne bien sur son axe mais de travers

Mais elle ne s’arrête jamais, garde même régularité

Tandis que la toupie, ralentit, finit par tomber

Tout comme nous, à la fin de notre vie !

Par comparaison avec la Terre qui tourne

Et qui ne produirait rien durant son cycle.

.

On dit de quelqu’un, qui va, vient, sans but

Qu’il ne sait pas où il va et tourne en rond !

.

Tourner en rond restera souvent lié au fait

De ne pas oser choisir, c’est faire un choix.

.

Qui ne choisit pas, c’est son droit  …  mais

Un autre, ou le contexte, choisira pour lui.

.

Si on tourne trop longtemps sur soi-même

Sauf à s’entrainer, être derviche tourneur,

.

On finira par perdre tout sens équilibre,

Vaciller et tomber comme une toupie.

.

Qui par la force dite centrifuge,

Parvient à nous désaxer

.

Sur une pointe

Dure.

.

Fragments

.

Nombre d’images pour telle forme,

Mais une seule va avec le contexte

En  son  mouvement, perpétuel,

Fond  et  forme  se rejoignent !

.

La Terre tourne sur elle-même

Et tout autant autour du Soleil

Ce n’est pas scoop … révélation

C’est juste  réalité scientifique.

.

Tant pis pour croyance platistes

Hérétiques pour les astronomes

Ne pouvant changer sa rotation

Prouvant que la Terre est ronde

.

Et moi aussi, je tourne en rond,

Lors je ne me sors de problème

Je n’entrevois pas de solutions

Suite à des calculs…extrêmes.

.

Je me compare à une toupie,

Quand tout va bien, j’avance,

Je suis réglé comme horloge,

Sauf qu’à la fin, je me plante.

.

Toupie est régulière, prévisible

Moi, fantasque ou imprévisible

Au final, je meurs tombe au sol

On me crée mélodie en sous-sol.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Terre tourne sur elle

Moi aussi, si je réfléchis,

Où je vais vite retomber dès

Que je me lancerai  des défis.

Parfois, le jour, parfois, la nuit,

Comme en amour, prends paris.

Homme réfléchit, lors il n’est sûr

De rien, lors craint de se tromper.

L’homme réfléchit, lors il imagine

Solutions meilleures que d’autres,

Pires : finalement, combien votent

En fonction d’une animale émotion

Non, d’intimes convictions, raisons !

L’homme  a   un  T  destin   personnel,

Mais cela reste      E  à lui, de la trouver.

Elle est ni écrite     R  prescrite, interdite,

Tant que  chacun     R      peut  se retrouver,

En lui-même pour     E       bien faire un point

Et lors, il pourra la   *       E   modifier à sa guise.

À sa guise et autant  T             L    selon son éducation,

Ses réseaux de rela  O                     L   tions, son âge, sexe,

Moyens financiers   U                         E   puis motivationnels

Il faut du courage    R                          *    pour choisir la voie,

Autre que celle vous  N                      R  menant, pente douce,

En pente douce vers  E               U    le confort, la stabilité

Tandis que tout autour  *  S règne, violence, précarité.

Même chez retraité n’ayant pas à se retrouver

Il y a toujours une angoisse de manquer,

Manquer quelque chose, dans sa vie,

Alors qu’il n’aurait pas  vu venir.

Qu’il a côtoyé et qu’il a ignoré

Faute d’en être informé et

Faute  pris le temps

De se tourner

Sur   lui-

Même

V

E T   M O I     A  U  S  S  I  

Tourner sur soi-même ralentit une progression,

Mais cela procure la vision de l’environnement,

Rien ne sert de courir si on se sait…où l’on va,

Si on ne sait d’où on vient…ne sait où on est !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Une pointe d’un pendentif,

Un balancier d’une horloge,

 Sorte de toupie volumineuse

Comme pour  jouet d’enfant ?

.

1058 4

.

Une toupie peut tourner en avançant

Tout droit ou en cercle.

La terre tourne de manière prévisible,

Moi, imprévisible !

.

Symbolique 

.

Le monde tourne,

 Comme une toupie.

Qui symbolise l’axe du monde

Sur lequel tourne le globe terrestre.

Mouvement  rotatif  évoque l’équilibre

En un univers en perpétuel mouvement.

« Comme  la vie  d’un Homme, cette toupie,

Lancée, cherche son équilibre  sur son axe

Et très rapidement tourbillonne, avec brio,

Semble avoir éternité devant elle avant de

Perdre petit à petit de la vitesse s’épuiser

Et, au final, s’arrêter au sol, terrassée

Par sa course folle contre les forces

Physiques qui régissent

Notre Univers »

toupie-shop.com/

informations-toupie

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1058 6

.

Une toupie peut tourner en avançant

Tout droit ou en cercle.

La Terre tourne de manière prévisible,

Moi, imprévisible !

.

Symbolique

 

La terre

S’oppose

Sy-m-bo

Liquement

 À notre ciel

Comme     le

Principe passif

Au principe actif.

La   terre   supporte

Tandis que le ciel couvre.

 .

La terre est  née  du              chaos primordial

Et séparée des eaux                dans la Genèse.

Universellement, la             Terre  est  une

Matrice  qui  conçoit         les  sources,

Les minéraux, et les           métaux.

Symbole fonction mater  nelle.

Elle donne, reprend la vie.

Symbole de fécondité

Régénération

Cyclique

V

 .

 .

Fond/forme 

.

Dieu merci, notre Planète Terre

Ne tourne pas aussi vite que toupie

Sinon nous aurions, et bien, le tournis

Différence : elle tourne perpétuellement

Et, de son cercle elliptique, ne s’en éloigne

Est toujours campée sur son axe qui oscille.

On dira qu’une force d’attraction universelle

Nous préserve de ses errements cosmiques.

.

Textuels et illustrations  >>

1057 – La Nature ou Dieu m’a pourvu de conscience

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La Nature ou Dieu,

M’a donné conscience,

Qui plus est : connaissance,

Pour exercer mon  libre arbitre,

Dans la responsabilité de mes actes.

.

Me voilà, à présent, bien embarrassé,

Pour retrouver mon chemin de vérité,

Dans le labyrinthe de mes pensées.

Où le conscient et l’inconscient

Se brouillent à bon escient

Et à volonté

.

De suivre guide éclairé

Est seul moyen s’en sortir,

Et que l’on vous conseillera,

Pour couper court à l’angoisse.

.

Si décisions personnelles

Ne peuvent être collectives

L’inverse s’avère moins vrai,

On adhère plus à communauté.

.

Devise : ni dieu ni maître,

Vous fera, à tous, apparaître

Comme anarchiste ou libertin,

Et  non  comme un loyal citoyen.

.

Croyance religieuse ou laïque,

Ne change pas votre destin terrien

Les lois étant les mêmes en pratique

Chacun se fait propre idée mal et bien.

.

Etre conscient, c’est exercer,

En jungle d’opinions contraires,

Son esprit critique, et bien affûté,

Garantissant, seul, liberté de pensée.

.

Extensions

 .

La conscience est  physique  avant d’être  intellectuelle :

Conscience de quelque chose, percevoir physiquement,

Avant de l’analyser et de le traiter intellectuellement.

Conscience de ce que pensent, imaginent les autres,

Est déjà plus délicat et puis avoir conscience  de ce

Qu’on pense par soi-même, c’est à dire qui ne soit

Pas dicté par les autres, les contextes, les circonstances,

Est encore plus subtil. Conscience que mes paroles ou écrits

Actes seraient  interprétés  autrement  que ce que  j’en pense

Est tout un art de la diplomatie tout comme de la rhétorique.

.

Il ne suffit pas d’exprimer idées, opinions, comportements

Mais de mesurer et d’anticiper l’impact que ces derniers

Peuvent avoir sur les autres en fonction de ce

Qu’ils sont  et  qu’ils connaissent de vous.

« Jugez en votre âme et conscience »,

Dit-on en prétoires aux assises juridiques

Et là, on quitte le domaine du droit pur et dur

Pour entrer dans la conviction intime qui n’est plus basé

Sur les seuls faits mais sur leurs intentions secrètes, inavoués.

.

Le diable est dans les détails d’après Nietzsche,

Comme l’astérisque pour les contrats d’assurance

D’accord, mais Dieu et le diable, ne permutent pas,

Ou bien  alors  dans certaines puissances mythiques !

Si c’est bien la lumière qui nous fait sortir des ténèbres

C’est bien aussi elle qui nous ferait connaître les ténèbres,

De même  que  la liberté  nous  fait connaître  la servitude !

C’est Dieu qui nous fait connaître  le diable, le bien et le mal :

S’il nous a pourvu d’une conscience de cela, est un vrai cadeau.

.

Nous sommes bien les seuls sur Terre à être doté,

Avec but à atteindre,  de conscience d’exister,

Sans compter  d’une conscience cosmique,

Qui nous rend  tout sentiment tragique !

.

Quand on dit Dieu, c’est nous-mêmes

Qui avons, au fil des ans, développés

Une conscience de la mort extrême

Comme négation, forte, d’exister !

.

Fragments

.

Conscience d’un Diable opposé à Dieu

Reste une pure invention  des hommes,

Et comme il figure parait-il parmi nous,

De ce fait, la forme évoquera bien le fond.

.

Nature ou Dieu m’a pourvu d’une conscience

Voilà beau sujet pour devoir de philo, au Bac :

Dix-huit ans, a-t-on assez d’expérience pour ça

En mon âme est conscience je pense oui et non.

.

Voilà qui inspirerait thèse, antithèse et synthèse

La question n’est pas binaire, elle serait ternaire

Comme Dieu le Père son fils, Jésus, Saint esprit,

Mais la religion définit mal ce qu’est conscience.

.

Edgar Morin, né en 2021 et aujourd’hui centenaire,

A eu, pris le temps de bien y réfléchir «un moment»

Il distingue avec le dico Larousse, deux définitions :

Conscience de soi ; conscience des autres, du Monde.

.

Caractère intuitif, autoréflexif, introspectif d’un coté

Caractère  observationnel, réflexif, objectif, de l’autre

Introspectif on prend conscience de soi comme objet

On ne se l’explique pas : on peut juste la comprendre.

.

Dans le « je pense donc je suis » par René Descartes

Le je s’adresse à mon moi, et le suis à son état de vie

C’est un des fondements essentiels de la philosophie

Encore faut-il être sincère et jouer table sur cartes !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

NATURE, DIEU,

La Nature ou Dieu,

M’a donné conscience,

Qui plus est : connaissance,

Pour exercer mon  libre arbitre,

Dans la responsabilité de mes actes.

Me voilà, à présent, bien embarrassé,

Pour retrouver mon chemin de vérité,

Dans le labyrinthe de mes pensées.

Où le conscient et l’inconscient

Se brouillent à bon escient

Et à volonté

M ’ A   P O U R V U

De suivre guide éclairé,

Est seul moyen s’en sortir,

Et que l’on vous conseillera,

Pour couper court à l’angoisse.

.

Si décisions personnelles

Ne peuvent être collectives

L’inverse s’avère moins vrai,

On adhère plus à communauté.

.

Devise : ni dieu ni maître,

Vous fera, à tous, apparaître

Comme anarchiste ou libertin,

Et  non  comme un loyal citoyen.

.

Croyance religieuse ou laïque,

Ne change pas votre destin terrien

Les lois étant les mêmes en pratique

Chacun se fait propre idée mal et bien.

.

Etre conscient, c’est exercer,

En jungle d’opinions contraires,

Son esprit critique, et bien affûté,

Garantissant, seul, liberté de pensée.

D’ U N E      C O N S C I E N C  E

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Personnage mythique

 Petit diable diablotin

Et conçu par LEGO 

Pour sa conscience

.

1057 4

.

Un petit diable, diablotin,

Narguant bonne conscience,

Mais d’où vient-elle vraiment

Et qui pourra bien me le dire !

 .

Symbolique

 .

Dans

La littérature,

Notamment policière,

Le diable est associé

À la danse.

La   diabolisation langage, dans  le

Discours politique est assez courante.

Il a partie liée  avec les forces du mal,

Et il a, toujours, des  adeptes, comme

Le montrent nombre de profanations

Perpétrées  dans   nombre cimetières.

De  par   son  ambivalence, le   Diable

Est un mal utile, et même  nécessaire.

Personnalisation de ce qui est négatif,

On lui reconnaît le pouvoir de réussir

Là  où   l’homme   échoue.

Il est accusé  de toutes les

Misères du monde mais il permettrait

Catalyser peurs, angoisses, fantasmes.

journals.openedition.org/terrain/9173

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1057 6

.

Un petit diable ou diablotin,

Narguant bonne conscience,

Mais d’où vient-elle, vraiment,

Et qui pourra bien me le dire !

 .

Symbolique 

.

Le premier

Sens          renvoie à ce

Qui  permet une  représentation,

Même des plus simplifiée, du Monde

Et des réactions      par rapport à celui-ci.

 .

Il est question de    « conscience du monde »

Évoquée expression              « perdre conscience »,

Ou, à l’inverse,                       « prendre conscience ».

 .

La conscience                            est un « fait » laissant

Entendre que              « l’âme est un rapport à soi ».

Examen de la     conscience est doute méthodique

Afin d’entrer        en rapport à soi, non erroné.

 .

La conscience        peut correspondre à une

Représentation     de son existence.

Il est alors      question de 

Conscience de soi.

fr.wikipedia.org/wiki/Conscience

 .

 .

Fond/forme 

 .

Le Diable est représenté en traditions populaires

Avec des oreilles pointues et une queue fourchue ;

.

Mais l’idée est celle d’un mauvais génie en général

Sauf s’il s’agit d’un diablotin, c’est plutôt un enfant

Du genre turbulent, espiègle, comme il y en a tant.

.

Si on en a conscience, c’est parce que  Dieu et bon,

Et qu’il fallait un équivalant pour contrebalancer.

.

Sinon comment régler les problèmes de justice :

À qui on donnerait le Bon dieu sans confession.

.

Textuels et illustrations  >>

1056 – La vie ne serait autre qu’un parcours sans fin

 Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

La vie ne serait autre qu’un voyage

Qu’un parcours,  une expérience,

Où notre connaissance  et conscience,

Nous laissent le choix d’un tel passage,

De se déterminer par rapport à sa  fin.

.

Avant, je n’étais pas, après, ne serai plus,

La condition humaine où suis contenu.

Le pari est que je ne sais pas  si j’ai réussi

Mais j’aurai la certitude  d’avoir cherché

.

Et ce n’est pas la moindre qualité de vie

Car ne pas le faire serait vivre aveuglé,

Sourd à tout ce  qui nous questionne.

 .

La vie ne serait que  un parcours sans fin

En un labyrinthe où on se perdrait en vain,

Sauf d’être messie ou  de se dire en mission.

.

Nous n’avons ni de raison ni de sens-fiction

De vivre sur planète Terre où  notre misère,

Ne nous sauve en rien, au-delà de  lumière.

.

Nous ne connaitrions que de pâles reflets

Que la religion nous sert comme  couplets

Pour nous tenir tranquille à voir  ailleurs,

S’il n’y a pas trésor nous portant bonheur.

.

Pourtant le jeu en vaut  bien  la chandelle :

J’aurai vécu expérience unique  et enviable,

Prenant conscience de ma force, ma fragilité,

De la préséance sur les animaux, d’humanité

À laquelle je ne suis pas peu fier d’appartenir,

En dépit de méfaits, tendances, à en souffrir.

.

L’individu, sa communauté, et l’humanité

Ne feront qu’un au cours  d’histoire passée

Entre croitre, multiplier, exploiter, dominer :

Faut désormais rajouter  polluer, s’exterminer.

.

Extensions

 .

La vie ne serait autre que parcours sans fin

Car le Monde d’hier, pour ce qui est sens,

Serait le même que celui de demain,

À gouvernances et techniques près.

On court après sa réussite personnelle

Comme si le sens de sa vie dépendant d’elle

Lors elle ne peut être que collective et sociétale.

Une fois ma vie terminée, je passerai le flambeau

À mes enfants et ainsi de suite et jusqu’à la fin :

Ils occuperont leur vie, à courir et à se poser,

Pour regarder cette infinité des étoiles qui

Continueront à briller bien après leur

Disparition comme si la Lumière

Était d’éternité et si elle l’est,

Lors, pourquoi pas nous.

 .

Parcours sans fin, pensez donc avec une fin

Mais, parfois, circulaire, erratique, de travers

Quand certains vont tout droit, bien en courbe,

D’autres  se perdront  au fond d’un labyrinthe,

Ne se dirigent, que si peu, qu’ils en meurent !

Comme on dit, on peut se perdre en chemin

Et même des fois se retrouver à la rue :

Fin de parcours, c’est le terminus.

 .

La religion et la philosophie bouddhiste

Nous enseignent que  la priorité en sa vie,

N’est pas le but à atteindre mais le chemin :

Voilà qui est sage, contraste avec Chrétienté,

Pour laquelle le but serait de sauver son âme.

.

Attention à ne pas confondre la fin et la finalité

À ne pas mélanger parcours linéaire et erratique

Dans un parcours en partie risqué, voire inconnu

Non seulement on s’arrête, bien pire, on s’égare

 On fait parfois marche arrière en régressant.

.

Fragments

.

La vie, parcours sans fin : il y a erreur

La mort vient la terminer, signer sa fin,

Mais ce n’est pas propos qui importe ici,

C’est plutôt la question de … son parcours.

.

Certains ont parcours apparaissant linéaire

Tandis qu’autre vont et viennent, de travers,

L’amplitude et la fréquence des changements,

Courbe ascendante/descendante, dents de scie.

.

Lors certains prendront du retard, et pour tout

Souvent en état et en mode, de procrastination

Autres s’arrêtent de vivre en maison de retraite

Le temps s’est figé, disent-ils, et j’attends la fin.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

 Calligramme

.

<  < <  <  <  <  < <  <    ……………………

 ¤¤¤¤     v   La vie ne serait       L            autre qu’un voyage

¤¤¤¤     v   Qu’un parcours,           A            une expérience,

¤¤¤¤    v    Où notre connaissance      *         et conscience,

¤¤¤¤    v    Nous laissent le choix d’un       V       tel passage,

¤¤¤¤    v    De se déterminer par rapport     I          à sa  fin.

¤¤¤¤    v    Avant, je n’étais pas, après, ne     E      serai plus,

¤¤¤¤   v     La condition humaine où suis     *         contenu.

¤¤¤¤   v     Le pari est que je ne sais pas    N      si j’ai réussi

¤¤¤¤   v     Mais j’aurai la certitude      ‘     d’avoir cherché

¤¤¤¤   v     Et ce n’est pas la moin      E      dre qualité de vie

¤¤¤¤   v     Car ne pas le faire       S       serait vivre aveuglé,

¤¤¤¤   v     Sourd à tout ce     T            qui nous questionne.

*

¤¤¤¤   v     La vie ne serait   Q             que parcours sans fin

¤¤¤¤   v     En un labyrinthe où   U   l’on se perdrait en vain,

¤¤¤¤   v     Sauf d’être messie ou   E    de se dire en mission

¤¤¤¤   v     Nous n’avons ni de raison  *   ni de sens-fiction

¤¤¤¤   v     De vivre sur planète Terre où    P   notre misère,

¤¤¤¤   v     Ne nous sauve en rien, au-delà de  A      lumière.

¤¤¤¤   v     Nous ne connaitrions que de pâles    R      reflets

¤¤¤¤   v     Que la religion nous sert comme      C    couplets

¤¤¤¤   v     Pour nous tenir tranquille à voir     O      ailleurs,

¤¤¤¤   v     S’il n’y a pas trésor nous portant  R       bonheur.

                                                 S

¤¤¤¤   v    Pourtant le jeu en vaut bien         *        chandelle :

¤¤¤¤    v    J’aurai vécu expérience unique    S      et enviable,

¤¤¤¤    v    Prenant conscience de ma force    A   ma fragilité,

¤¤¤¤    v    De la préséance sur les animaux    N    d’humanité

¤¤¤¤    v    À laquelle je ne suis pas peu fier    S   d’appartenir,

¤¤¤¤    v    En dépit de méfaits, tendances    *     à en souffrir.

  ¤¤¤¤    v    L’individu, sa communauté,      F         et l’humanité

  ¤¤¤¤    v    Ne feront qu’un au cours        I      d’histoire passée

   ¤¤¤¤    v   Entre croitre, multiplier     N    exploiter, dominer :

   ¤¤¤¤      v  Faut désormais rajouter  *  polluer, s’exterminer.

> > > > > > > > > > > > …………………….

.

Forme

.

.

Évocation

.

Un parcours à l’extérieur

Et puis autant à l’intérieur

Et bouclant sur lui-même,

Avec nombre de dénivelés.

.

1056 4

.

U

Un  parcours  parmi  d’autres,

Avec retour au point de départ,

Qui n’en a connu,  dans  sa  vie,

Avec un faible ou fort dénivelé !

La vie, en parcours et dénivelés

on observe bien ici, son déroulé

qui fait qu’on revient en boucle,

et la forme rejoint alors le fond.

 .

Symbolique 

 .

L’étude     des   parcours de vie

Porte  sur  les  événements, étapes,

Et transitions vécus par personnes,

En différents domaines de la vie que

Sont  les résidences, puis  les relations

 Familiales ………………………………………

Sociales, activités : formation, emploi,

 Loisirs, santé. L’interdépendance de ces

Trajectoires est cœur question recherche

Parcours de vie. ………………………………….

Capacité   agir indique  que malgré poids

Indéniable des structures,     les individus

Conserveraient  une   certaine  marge   de

Manœuvre …………………………………………..

Et ils seraient  placés  devant des choix  qui

 Détermineront suite de leur parcours de vie.

.

.

Fond

 .

Évocation 

.

1056 6

.

Un  parcours  parmi  d’autres,

Avec retour au point de départ,

Qui  n’en a  connu,  dans  sa  vie,

Avec un faible ou fort dénivelé !

 .

Symbolique 

 .

Le dénivelé,

Est la différence d’altitudes

Entre deux points de la surface terrestre,

Dans la plupart des cas relativement proches.

Points sont référencés par coordonnées géographiques.

.

Le dénivelé est une caractéristique importante

Pour la pratique de certains sports :

Rallye, randonnée pédestre, trail,

Course en montagne, cross-country,

Vélo tout terrain, cyclisme, ski de randonnée,

Ski alpin, course de côte, parachutisme,

Parapente, base jump, spéléologie.

fr.wikipedia.org/wiki/denivele

.

.

Fond/forme 

 .

La vie est un parcours, du début à la fin,

Oui mais, lequel, lesquels, tant nombreux,

Tant différents, continus ou en dents de scie

Qui dit parcours dit trajectoire, projet de vie,

Et marge de manœuvre pour établir ses choix

Et à s’adapter, en changer et jusqu’à bifurquer.

.

Car qui ne se met en route n’arrivera nulle part.

Pas de vent favorable pour qui ne saura où il va.

De changer, constamment, on en perd fil et sens,

comme en un labyrinthe où l’on tourne en rond

au lieu de se focaliser, sur l’issue, sur la sortie,

ne plus se faire piéger par de faux parcours.

.

Textuels et illustrations  >>

1055 – D’un jour à l’autre, d’un événement à l’autre

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

D’un jour à l’autre

Événement, à l’autre,

D’une rencontre à l’autre

Les jours passent, s’enfilent

Comme un chapelet à l’infini

Avec une météo qui change,

Et, les saisons, qui défilent,

Et les années qui passent,

Si ce n’est sa vie qui s’en va,

Vers son apogée  chute et fin !

 .

 Car qu’est-ce qu’une vie finalement !

Passage dans l’histoire sans laisser de trace !

Qu’elle dure vingt quarante soixante, cent ans

Ne change rien à cette limitation… ridicule,

Au regard du passé, avenir, du Cosmos.

Parenthèse…émouvant soi-même,

Que faire l’amour en cachette.

  .

 Un tel accès à la conscience

Reste fort de conséquence.

Et, si, l’homme, n’est plus

La mesure de toute chose,

Il n’empêche, nous sommes,

Bien les seuls à nous préoccuper

Autant, de notre sort, pour l’éternité.

.

Les gens qui se disent «cinquante ans, déjà»

Contredisent les disant «cinquante ans, enfin».

Entre déjà, et enfin : différence de points de vue.

.

Premiers ont l’air ne pas  s’en être rendu compte,

Tandis que les seconds ont eu peur ne pas y arriver.

On dit, très souvent, qu’il y a un âge pour tout :

.

Pour faire des galipettes   ou dire n’importe quoi,

Pour chercher l’âme  sœur et pour fonder un foyer,

Pour éduquer les enfants pour les voir grandir,

.

Se retrouver seul, avant de mourir entouré.

Pour  l’amour, il ne saurait  y  avoir  d’âge :

Seules les formes changent  ainsi que tailles

Des objets, des sujets, des projets, des jouets.

.

Extensions

 .

Pour le reste, c’est le même élan

Et  la même énergie  qui imprime

À la vie son tempo pour aller ou non

Vers les autres et les aimer au maximum.

«Passent les jours et passent les semaines»,

Dit Apollinaire, ne dit rien d’autre ni contraire

De ce que je viens d’écrire, au delà de l’arbitraire.

Être content de son sort n’est-il pas être content

D’exister, être là, encore, à participer au monde

Et le modifier, si insignifiant  et inutile  soit-il.

Il y a, aura toujours à apprendre, à connaître,

À découvrir, dans le Monde, chez les autres

Y compris  en soi-même  et lors  ceux qui

Prétendent le contraire sont défaitistes

Tant que je communique  mes doutes

Et mes interrogations, je suis vivant.

Quand j’aurai acquis cette certitude

Ultime que rien  ne sert à rien, alors

Je serai mort, ne servirai plus à rien.

.

D’un jour à l’autre, d’un mois à l’autre, d’une année à l’autre

Le temps passe et s’égrène et tourne, parsemé d’événements,

Qui s’accumulent en notre mémoire comme perles de collier

Sans savoir pour autant si son compte un jour va s’arrêter.

Chaque jour devient la répétions du même et du différent,

Comment savoir lesquels de ces nombreux événements,

Sont les marqueurs d’une vie pleine, vécue autrement

Que la routine, en un cycle sans fin de tourments !

.

Si les jours se suivent et ne se ressemblent,

Ils s’accumulent tous et le temps passant,

D’un travail, diversion, loisir … à l’autre,

Il nous restera bien trop peu de temps,

Pour achever ce qu’on comptait faire

Sans parler réparer erreurs passées !

.

Qui a conscience du temps qui passe,

Sinon la femme avec horloge biologique

Qui lui dit qu’une fois quarantaine arrivée

Il est bien trop tard pour songer à … enfanter,

Tandis que l’homme est au sommet de sa carrière

Et ne penserait qu’à encore grimper l’échelle sociale.

.

Fragments

.

Le temps passe et le temps nous trépasse

Il file si vite que, parfois il nous dépasse,

On a raté événement, jamais ne repasse,

On se trouve dès lors, dans une impasse.

.

Période de nubilité ou âge pour se marier

Varie  d’une femme,  d’un pays, à l’autre :

Nubilité en Europe  est à partir de 18 ans

16 ans au canada, pour islam, à puberté

.

Fertilité : le temps joue en leur défaveur

Non seulement en quantité mais qualité

De 14 ans jusqu’à la ménopause à 50 ans

La nature est injuste, homme reste fertile

.

Par contre, espérance de vie est de 85 ans

Pour femmes et 80 ans pour les hommes,

Mais tout cela ne rétablit en rien l’égalité,

On va pas s’en plaindre : 37 ans  en 1810 !

.

La perception que nous avons du temps

Est assez relative à l’âge que nous avons

À 15 ans, on a la vie devant soi, au loin,

À 75 ans, la vie derrière soi et très loin !

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

  J

D’un jour  O  à l’autre

Événement,  U     à l’autre,

D’une rencon   R    tre à l’autre

Les jours pas      * sent, s’enfilent

Comme un cha   À   pelet à l’infini

Avec une météo  *      qui   change,

Et, les saisons,     A       qui défilent,

Et les années       U       qui passent,

Si ce n’est sa vie  T         qui s’en va,

Vers son apogée  R       chute et fin !

 E

 **** Car qu’est-ce qu’une vie … finalement !

Passage dans l’histoire sans laisser de trace !

Qu’elle dure vingt quarante soixante, cent ans

* Ne change rien à cette limitation… ridicule,

 **     Au regard du passé, avenir, du Cosmos. **

 ***      Parenthèse…émouvant soi-même,     ***

 ****        Que faire l’amour en cachette.       ****

 ****          Un tel accès à la conscience          ****

 ****          Reste fort de conséquence.           ****

 ****          Et, si, l’homme, n’est plus            ****

 ****         La mesure de toute chose,            ****

 ****       Il n’empêche, nous sommes,         ****

 ****     Bien les seuls à nous préoccuper    ****

 *** Autant, de notre sort, pour l’éternité. ***

Les gens qui se disent «cinquante ans, déjà»

Contredisent les disant «cinquante ans, enfin».

Entre déjà, et enfin : différence de points de vue.

.

Premiers ont l’air  ne pas    É   s’en être rendu compte,

Tandis que les seconds ont   V   eu peur ne pas y arriver.

On dit, très souvent, qu’il       É         y a un âge pour tout :

Pour faire des galipettes         N      ou dire n’importe quoi,

Pour chercher l’âme  sœur       E       et pour fonder un foyer,

Pour éduquer les enfants          M           pour les voir grandir,

Se retrouver seul, avant             E                de mourir entouré.

Pour  l’amour, il ne sau               N               rait  y  avoir  d’âge :

Seules les formes chan                 T              gent  ainsi que tailles

Des objets, des sujets,                   *            des projets, des jouets.

.

Forme

  .

.

Évocation  

.

Silhouette de femme,

Vue de dos, statique,

Et  interrogative 

Sur son temps ?

.

1055 4

.

Une femme, aux cheveux déjà gris,

S’en va l’on ne sait où :

Le temps aura passé sur elle et elle

S’en va vers sa destinée !

Femme et temps se conjuguent

Mais le plus souvent au présent

Or bien qu’on reste dans le flou,

Telle forme évoquerait tel fond !

 .

Symbolique 

.

La femme

Aurait        une

Sym-bo-li-que

Très riche

Évoluant au fil du temps.

Elle a toujours évoqué la fécondité,

La pureté, mais aussi hélas, le vice.

 .

À partir XXe siècle, des mouvements

Féministes  sont apparus  pour tenter

De rétablir équilibre  hommes/femmes,

Et aussi de rétablir les droits de femmes.

 .

Désormais, ces mouvements occupent une

Place importante dans tous débats publics !

Source : 1001 symboles

.

.

Fond

.

Évocation 

.

1055 6

.

Une femme, aux cheveux déjà gris,

S’en va l’on ne sait où :

Le temps aura passé sur elle et elle

S’en va vers sa destinée !

.

Symbolique 

 .

Plus nous vieillissons,

Plus avons l’impression

Que le temps passe vite.

.

Mais  il demeure possible

D’apprendre  à   savourer

Le moment présent et ainsi

«Ralentir»  le  cours  du  temps.

.

N’avez-vous pas le sentiment que

Plus vous vieillissez, plus le temps s’accélère.

Les semaines, les mois, les années  et parfois

Les décennies s’enchaînent, à se demander :

«Où est passé tout ce temps : est-il perdu ?»

.

Une réponse scientifique à ce phénomène.

La perception que nous avons du temps

Est relative à l’âge que nous avons.

lesechos.fr

 .

.

Fond/forme 

 .

La symbolique de la femme, tient compte

Des luttes et de événements de libération :

Elle est évoquée comme active non passive

Elle grignote certains pouvoirs d’hommes,

Certaines, allant par vouloir s’y substituer

D’autres ne réclamant que simple égalité.

.

Quoi qu’il en fut, quoi qu’il en soit, en sera

La vie passera vite en séries d’événements

Qui nous touchent, nous affectent ou pas,

Mais sur monde ne produit changement.

.

Textuels et illustrations  >>

1054 – A quoi bon la vie rime si toujours l’on trime

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

À quoi bon ceci,

À quoi bon … cela !

Mais combien de fois

Entend-t-on  telle  voix !

.

Et l’on passe tout en revue

Y a rien qui va,  qui avance :

Pertes de temps,   d’évidence :

Pas même  un peu … reconnu !

.

Tout est bouché, tout est bâclé

Impossible,  avoir vie sereine

Bien que sans   ne ménager,

Ni son énergie ni sa peine.

.

À quoi bon la vie rime

Si, toujours, l’on trime,

En ces temps, d’abîmes,

Qui vous sous-estiment.

.

À quoi bon… un enfant,

Si … devenu adolescent,

Lutte contre les parents

Pour se sentir existant.

.

À quoi bon… conjoint,

Si l’on ne se … rejoint,

Que sur peu de points,

Et de moins en moins.

.

À quoi bon une maison

Si elle coûte  déraisons,

Vous enferme  au salon,

Loin, voyages,  passions.

.

À quoi bon, soleil … pluie,

Si, en sa vie,  l’on s’ennuie,

L’on est dedans, dehors, ici,

Trop rarement avec les amis.

.

À quoi bon …  une profession,

Dans un Monde aussi abscons,

N’offrant que  lointain horizon,

Autant aux filles qu’aux garçons.

.

À quoi bon se donner la  …    peine,

De se construire une vie   …   sereine,

Quand, trop vite, la coupe est … pleine,

Au point on dirait : manque de … veine !

.

Extensions

 .

À quoi bon : on pose la question,

La réponse penche vers la négative.

On baisse les bras, arrête de chercher

Des solutions, et  y compris  transitoires.

Découragement prend énergie constructive.

Il absout aussi l’échec  comme détermination

À ne pouvoir réussir et défaite par anticipation,

Participe de ce « A quoi bon », l’autre est déclaré

Comme étant plus fort que soi lors d’autres diront

«Tant que  la  partie  n’est pas jouée : pas gagnée !».

Optimistes et pessimistes   se partagent le monde

De l’espoir et du désespoir,  courage et lassitude.

Le monde appartient, clairement, aux premiers

Qui font montre d’une motivation sans relâche

Même quand ils savent pertinemment qu’ils

Vont perdre : au moins, ils l’auront essayé

Auront appris quelque chose de l’échec,

Pour une éventuelle prochaine fois.

Cette attitude rejaillit sur tous les autres

Domaines et comportements devant un problème,

Quel qu’il soit. On appelle cela la théorie du renforcement :

La réussite appelle la réussite donnant plus de confiance en soi.

Mais parfois elle en donne de trop et l’échec en devient alors

D’autant cinglant qu’il n’aura pas été, du tout, anticipé.

.

À quoi  la vie  rime : a-t-elle  besoin de rimer

Avec quelque chose  qui nous ferait vibrer ?

Certainement: pas forcément tout le temps

Dans nombre d’emplois, c’est pas souvent.

Dire  à quoi bon, c’est déjà baisser les bras

S’avouer que c’est inutile, on y arrivera pas

Pensez il faut raccourcir, mettre fin, arrêter,

Alors qu’il y aurait tant d’autres choses à faire,

Et qui feraient que tout cela rime avec imprime.

 .

Le travail est une occupation dite contrainte

Nous permettant d’assurer  notre autonomie.

.

On pourra y trouver  comme réalisation de soi,

Dans la mesure où  son intérêt nous … convient.

.

Mais parfois, bien que confortable physiquement

Il nous fatiguera nerveusement, jusqu’au burn-out.

.

Et c’est là que le bât blesse, d’avoir troqué une fatigue

Physique contre épuisement devenu moral  et nerveux !

 .

Au final, si l’on trime  toute sa vie,  en y laissant sa santé :

Peut-on encore parler de progrès humain pour la conserver.

.

Fragments

 .

À quoi bon ceci,

À quoi bon  cela,

Si dépité de tout,

Voire démoralisé.

.

Question a un sens

Différent, pour soi,

Et pour les autres :

Qui en bénéficiera !

.

Si l’on trime sans cesse

Sans pouvoir  s’en sortir,

Si on vit sous grand stress

Et lors on voudrait en finir.

.

Qu’on ne verra jamais le bout

De sa misère  et de sa détresse,

Si en plus tout le monde s’en fout

Y a de quoi perdre toute tendresse.

.

On ne vit pas d’amour et d’eau fraiche,

De musique douce nous berçant d’illusion,

Il faut bien manger et être bien dans sa peau,

Sinon, le suicide est tentant voire la dépression.

.

Le travail et la flute son à l’opposé

Car le travail fatigue, la flute repose,

C’est le seul lien  que je vois entre eux :

Si fait que la forme se distingue du fond.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

 .

À QUOI LA VIE

À quoi bon ceci,

 À quoi bon … cela !

Mais combien de fois

Entend-t-on  telle  voix !

Et l’on passe tout en revue

Y a rien qui va,  qui avance :

Pertes de temps,   d’évidence :

Pas même  un peu … reconnu !

Tout est bouché, tout est bâclé

Impossible,  avoir vie sereine

Bien que sans   ne ménager,

Ni son énergie ni sa peine.

RIME SI

À quoi bon la vie rime

Si, toujours, l’on trime,

En ces temps, d’abîmes,

Qui vous sous-estiment.

.

À quoi bon… un enfant,

Si … devenu adolescent,

Lutte contre les parents

Pour se sentir existant.

.

À quoi bon… conjoint,

Si l’on ne se … rejoint,

Que sur peu de points,

Et de moins en moins.

TOUJOURS

À quoi bon une maison

Si elle coûte  déraisons,

Vous enferme  au salon,

Loin, voyages,  passions.

.

À quoi bon, soleil … pluie,

Si, en sa vie,  l’on s’ennuie,

L’on est dedans, dehors, ici,

Trop rarement avec les amis.

ON TRIME

À quoi bon …  une profession,

Dans un Monde aussi abscons,

N’offrant que  lointain horizon,

Autant aux filles qu’aux garçons.

.

À quoi bon se donner la  …    peine,

De se construire une vie   …   sereine,

Quand, trop vite, la coupe est … pleine,

Au point on dirait : manque de … veine !

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Instrument de musique

À vent,  du genre  flûte 

Mais on dirait un pipeau,

Pour des interjections ?  

.

1054 4

.

Sa chanson se joue avec un instrument flûte,

Non imposé :

Sinon on le jouera  à contrecœur, sans plaisir :

Flûte alors !

.

Symbolique 

.

Le langage

 Musical est,

Représentation

 De la réalité :

Tant les timbres

 D’instruments

Se substituent à

Animal, son cri.

La musique pro

Poserait-elle

Des sortes d’en

Chantements

Du monde comme

Avec  la  flûte ?

Sans doute, si l’on

 Considère que

L’une de ses fonc

Tions serait   d’être

Un langage…poétique.

.

.

Fond

 

Évocation 

.

1054 6

.

Sa chanson se joue avec un instrument flûte,

Non imposé :

Sinon on le jouera  à contrecœur, interjection:

Flûte alors !

.

Symbolique

 .

Une interjection est

Une catégorie de mot invariable,

Qui permettrait à un sujet parlant,

D’exprimer une émotion spontanée

Joie, colère, surprise, tristesse,

Admiration, douleur, etc.

.

D’adresser un message

Au destinataire (acquiescement,

Dénégation, salutation, ordre, etc.),

Ou encore de réaliser une image sonore

D’un événement (cri d’animal, explosion,

Bruit quelconque, etc.)

.

L’interjection peut consister

En une petite phrase de type

Exclamatif ou interrogatif.

wikipedia.org/wiki/Interjection

 .

.

Fond/forme 

 .

Les airs de flûte auront toujours eu

Ce petit côté magique … enchanteur,

Adressant autant le corps que l’âme,

Avec de douces, contraires, émotions,

Qui nous mettent en des états seconds

Nous berçant de leurs hallucinations !

Tout l’inverse de la réalité d’un travail,

Qui nous occupe et nous distrait du sens

Qu’on pourrait, devrait, donner à la vie.

.

Textuels et illustrations  >>

1053 – Moments passés à trouver un sens à sa vie !

Textuels et illustrations  >>

.

Originaux : poème,  extensions, fragments

.

Poème

.

Perdre du temps pour trouver

Un sens à sa vie  est en gagner,

Car au final il est mieux rempli

Si l’on a un espoir non anéanti

Par une disparition, soudaine

Ou  par sa filiation, lointaine,

Qui ne  donnera pas  de sens,

À   notre   humaine   essence !

.

La mort est pleine d’incertitudes

Mais, notre vie ne le sera pas moins,

Tant notre destin n’est pas programmé.

Moments passés à trouver un sens à sa vie !

Peu en vérité au regard de  toutes nos activités,

Economiques, utilitaires, festives, désœuvrées !

.

Moments opportuns seront ceux liés

À un décès, enterrement, Toussaint,

Aux catastrophes,  guerres, accidents

Maladies graves  visites hôpitaux.

.

Cette liste n’épuise pas occasion

Car le bonheur de l’amour

Est l’acte lui-même,

Paradoxalement,

Appelé petite mort

Met en selle la fin de sa vie,

De toutes bonnes choses sur Terre.

.

Or si l’on fait la somme des moments,

Elle ne représente qu’écume de jours,

Qui flottent,  en esprits, en pensées,

Comme toutes brumes de l’hiver,

Nous faisant lever les yeux au ciel.

.

Passer tout le temps à réfléchir,

Au vrai ou faux sens de la vie,

Celles des autres ou  la sienne,

Serait grandement  la gâcher.

.

Consacrer temps  à penser

En marchant  avançant

Voyageant   s’activant

Est  bien  plus  qu’utile,

Est essentiel pour mourir

Corps en lutte, âme en paix.

.

Extensions

 .

La mort est pleine d’incertitudes

Mais la vie ne le serait pas moins tant

Le cours d’un  destin n’est pas programmé :

L’on ne peut être sûr de rien sauf de sa fin

Qui peut être très proche ou assez loin.

Y en a cherchant plus que d’autres

Et qui continueront à le faire,

D’autres qui ont décidé de ne pas

Ou de ne plus jamais s’en faire pour ça.

Chacun décide s’il convient la vie fasse sens

Le mot «sens» a d’ailleurs deux significations,

Une direction, c’est par là qu’il faut aller, on va

Et une compréhension, cela veut dire quoi

Mais les deux coopèrent dès lors qu’il

Faut savoir où on va et pourquoi !

Si tout le monde allait dans le même sens

Et savait pourquoi, l’homme ne serait pas celui qu’il est,

Une girouette qui change, au gré des vents et des humeurs,

Croyances, événements : au final, l’important n’est pas tant

Un « sens » trompeur que d’assumer son choix, librement.

Question sacrée  et métaphysique  que le sens de la vie

Du fait qu’on la délègue à la religion, philosophie.

.

La vie a-t-elle besoin d’avoir un sens :

Un bon nombre semblent s’en passer

Et cela  ne les empêche pas d’exister,

Tout aussi heureux que les croyants.

D’autres prétendent que : s’il y en a

Plusieurs,  c’est qu’il y en a aucun !

Alors, est-ce plutôt mal  que bien !

Notre planète est isolée au milieu

D’un Univers qui parait sans fin.

Pourquoi et quand serait sa fin,

Mais alors tout cela pour rien !

.

On ne pourrait passer sa vie,

À lui trouver un sens, le sien :

Ce serait que du temps perdu,

Et tout cela ne servirait à rien.

On en choisirait un, ou aucun,

L’on passerait à autres choses,

Et voilà un problème … résolu.

 Or l’esprit demeure insatisfait,

Ne pourrait se fier à l’inconnu

C’est pourquoi,  cycliquement,

Se repose question : comment.

Parait que les morts d’accidents

N’ayant pas eu le temps d’y songer

Restent en suspens pour le trouver !

.

Fragments 

.

Si certains passeront beaucoup de leur temps

À chercher, et voire à trouver un sens à leur vie,

Qu’ils soient religieux, scientifiques, agnostiques,

C’est qu’ils ont en eux un vrai désir de spiritualité.

.

D’autres  ne s’en soucieront guère : du temps perdu !

On ne serait pas là pour se sauver, juste pour en baver

C’est un peu comme mythe de Sisyphe et de son rocher,

Rien n’aurait vraiment de sens, et pas plus que d’utilité !

.

On peut aussi invoquer légende du tonneau des Danaïdes

Dont le fond est percé et ne retient que très peu de choses

Plus on le remplira et plus il se videra le plus rapidement,

Autant ne rien mettre, chercher à comprendre, c’est ainsi.

.

Le contenant aurait-il autant d’importance  que le contenu,

 Manière dont on pense, autant importance que ce qu’on dit

Tout cela pour que son sens de la vie, chacun se le construit

Après tout, on nait  bien nu et on est enterré, brulé, tout vu.

.

Et que se passerait-il si, à la fin,

De sa vie… l’on n’a pas trouvé

De bon sens : rien de divin,

Rien que de l’humain raté

Il n’y aura pas de sésame

De l’autre côté, s’ouvrant

Sur questions / réponses,

Et si possible : les bonnes.

.

Graphiques : calligramme, forme et fond

.

Calligramme

.

Perdre du temps pour trouver

Un sens à sa vie  est en gagner,

Car au final il est mieux rempli

Si l’on a un espoir non anéanti

Par une disparition, soudaine

Ou  par sa filiation, lointaine,

Qui ne  donnera pas  de sens,

À   notre   humaine   essence !

La mort est pleine d’incertitudes

Mais, notre vie ne le sera pas moins,

Tant notre destin n’est pas programmé.

Moments passés à trouver un sens à sa vie !

Peu en vérité au regard de  toutes nos activités,

Économiques, utilitaires, festives, désœuvrées !

.

**************************************************

**************************************************

.

Moments oppor    M    tuns seront ceux liés

À un décès, enter   O    rement, Toussaint,

Aux catastrophes,  M  guerres, accidents

Maladies graves     E   visites hôpitaux.

Cette liste n’épui   N  se pas occasion

Car le bonheur   T        de l’amour

Est l’acte       S      lui-même,

Paradox      *        alement,

Appelé       T       petite mort

Met en   R   selle la fin de sa vie,

De toutes  O    bonnes choses sur Terre.

Or si l’on   U   *  fait la somme des moments,

Elle repré    V         *  sente qu’écume des jours,

Qui flottent,   E             À  en esprits, en pensées,

Comme toutes    R               *    brumes de l’hiver,

Nous faisant lever  *                 S  les yeux au ciel.

Passer tout le temps  U                 A    à réfléchir,

Au vrai ou faux sens  N                *      de la vie,

Celles des autres ou  *              V    la sienne,

Serait grandement  S          I   la gâcher.

Consacrer temps   E      E     à penser

En marchant   N  *   avançant

Voyageant   S   * s’activant

Est  bien  plus  qu’utile,

Est essentiel pour mourir

Corps en lutte, âme en paix.

.

Forme

.

.

Évocation 

.

Un vase, de forme commune

Surmonté de grand couvercle

Pour retenir  le sens caché,

Qu’il nous faut découvrir.

.

1053 4

.

Un vase a toujours un sens naturel :

Ouverture vers le haut :

Si on le couche, le casse  ou le renverse,

Est-ce pareil ou non ?

Vase et sens forment un non-sens

mais de le fabriquer et le remplir

en auront un, sinon… à quoi bon

et ainsi la forme évoque le fond.

.

Symbolique

 .

Dans la littérature médiévale,

Le vase possède le sens de trésor.

S’emparer d’un vase, c’est conquérir

Un trésor : par exemple,  un   Graal.

 .

Briser un vase, c’est anéantir par le

Mépris, le trésor qu’il représente.

 .

Le vase alchimique, hermétique

Signifient toujours le lieu dans

Lequel les merveilles s’opèrent.

 .

C’est comme le sein maternel

Comme l’utérus  dans lequel

Toute nouvelle vie se forme.

 .

D’où cette croyance que le vase

Contient le secret des métamorphoses.

.

.

Fond

Évocation 

.

1053 6

.

Un vase a toujours un sens naturel :

Ouverture vers le haut :

Si on le couche, le casse  ou le renverse,

Est-ce pareil ou non ?

.

Symbolique

.

« Tout rapport au monde

Qui ne dépend que des sens

Est voué à une certaine confusion.

Les sensations,     même prolongées

En émotions marquent une emprise

Du   corporel  que  l’homme  subit.

 .

Dès lors, le but de la philosophie

Moderne serait d’envisager,

Dans  une mise  à distance

De  ce  qui  est…  souffert,

Une aire d’action nouvelle

Sur les choses par laquelle

La pensée lirait la Nature

À son profit. » Selon Thèse

«Représentations du monde

Et symbolique élémentaire »

tel.archives-ouvertes.fr/

tel-00985100/document

 .

 

.

Fond/forme 

 .

Il y a sens et sens à ne pas confondre,

Le premier  fait appel  aux sensations,

Lors le second, à leurs interprétations !

Le premier est dit aller dans le bon sens

Le second peut aboutir à un contre-sens

Mais le plus important demeure le sens

De sa vie : ou quel forme de contenant

Pour le remplir de quels contenus, 

S’il reste vide, c’est un non-sens !

.

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