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Notre propre identité est héréditaire
Au sens d’être né d’un père, une mère.
Son identité est aussi liée aux personnes
Qui nous ont élevé, soigné, éduqué, et aimé !
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Notre identité est, aussi, liée à une communauté,
Qui nous a accueillis en son sein, où l’on aura grandi.
Sang, cœur et sol sont trois piliers de notre personnalité,
Lors ils se correspondent, s’allient, ils ne sont pas aliénés.
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L’enfant de qui je suis,
Et celui que j’ai fait :
Qu’ont-ils en commun
Sauf être frère humain
Pas de même époque,
Ni de mêmes parents,
Pas de même enfance,
Ni de même éducation.
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Et en quoi, liens du sang,
Prévaudraient, avant tout,
Sur tous les liens affectifs,
Nés sur sol, même maison.
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Sang, cœur et sol : effectifs,
En bonne mesure … se valent
Posent problèmes d’identités,
À ceux qui doutent de leur mal.
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De mes parents, j’aurais hérité,
Caractère qu’ils ne renieraient
Bien que le mien est plus nuancé
.
Air de famille vite le confondrait !
Et si deux parents n’en font qu’un,
Pour reconcevoir, une fois grandi,
Son propre projet deviendra choisi
Pour soi-même, avec leur soutien.
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Quand on a un doute sur identité
Allant au-delà de ses … filiations
Ce n’est plus la question du sol
Sang ou cœur qu’il faut traiter,
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Mais bien celle de personnalité,
Ne cadrant pas avec reste famille
Si ce n’est pas avec notre société,
Ou tout repré sentant de l’autorité.
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Extensions
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Le vilain petit canard, le mouton noir,
Le génie de la famille, l’artiste anarchique :
Autant de figures classiques qui ne reflèteront
Ni les gènes des parents ni les éducations sociales.
Entre l’enfant de qui je suis et l’enfant que j’ai fait,
Il peut y avoir comme forte ressemblance,
Physique, morale, professionnelle ou
Au contraire, aucun lien évident.
Il y a des enfants suivent un destin tracé
Et d’autres qui construisent le leur, à partir
D’opportunités, ou voire de volontés d’y arriver !
Droit du sang, droit du sol : la question ne se pose pas
Si on choisit, à sa majorité, l’identité que l’on préfère,
Ce qui ne signifie pas que l’on renonce à une seconde,
Mais la porte «en soi» au lieu de la porter «sur soi»
Je veux dire sur son passeport, sa carte d’identité.
Le statut d’apatride, c’est à dire de nulle part,
Ne rejoint pas celui de citoyen du monde,
Même Jésus, bien que fils de Dieu,
Reste connu comme roi des juifs
Alors qu’il est mort comme
Le premier chrétien !
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Il n’est jamais possible de connaitre l’ensemble de ses racines
Mais il nous est impossible de les renier
Si on peut remonter ses ascendant jusqu’à la fin du Moyen-âge
La plupart du temps, un siècle est moyenne
Et si moi je peux remonter jusqu’à mes arrières grand parents
Ça ne fera jamais que cent cinquante ans.
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L’enfant de qui je suis sera-t-il si différent
De l’enfant … que j’ai fait
Après deux grands mixages deux génomes
Qu’aura-t-il perdu et gagné.
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Quand l’on dit : «je ressemble à un parent»
Physique, caractère, les deux,
De plus, qu’aura-t-il acquis, par lui-même,
En fonction de son milieu de vie !
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992 – Calligramme
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Notre propre identité est héréditaire
Au sens d’être né d’un père, une mère.
Son identité est aussi liée aux personnes
Qui nous ont élevé, soigné, éduqué, et aimé !
Notre identité est, aussi, liée à une communauté,
Qui nous a accueillis en son sein, où l’on aura grandi.
Sang, cœur et sol sont trois piliers de notre personnalité,
Lors ils se correspondent, s’allient, ils ne sont pas aliénés.
E
L’enfant de N qui je suis,
Et celui que F j’ai fait :
Qu’ont-ils en A commun
Sauf être frère N humain
Pas de même T époque,
Ni de mêmes * parents,
Pas de même D enfance,
Ni de même E éducation.
*
Et en quoi, liens du sang,
Prévaudraient, avant tout,
Sur tous les liens affectifs,
Nés sur sol, même maison.
Sang, cœur et sol : effectifs,
En bonne mesure … se valent
Posent problèmes d’identités,
À ceux qui doutent de leur mal.
Q
De mes parents U j’aurais hérité,
Caractère qu’ils I ne renieraient
Bien que le mien * est plus nuancé
Air de famille vite J le confondrait !
Et si deux parents E n’en font qu’un,
Pour reconcevoir * une fois grandi,
Son propre projet S deviendra choisi
Pour soi-même, U avec leur soutien.
Quand on a un I doute sur identité
Allant au-delà S de ses … filiations
Ce n’est plus * la question du sol
Sang ou cœur A qu’il faut traiter,
Mais bien celle I de personnalité,
Ne cadrant pas * avec reste famille
Si ce n’est pas F avec notre société,
Ou tout repré A sentant de l’autorité.
I
T
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Forme
Réduction
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Évocation
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Un gros champignon,
Un arbre généalogique,
Avec ses grandes racines en bas
Et sa forte reproduction en haut
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(forme pleine, rimes égales,
la forme s’accorde au fond)
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Arbre généalogique et reproduction
s’accordent parfaitement, en succession
autant qu’en diversification, branche morte,
si fait que la forme illustre totalement le fond.
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Du grand-père, au père, à l’enfant
Toute une lignée généalogique,
Sans laquelle il n’y aurait plus
Reproduction, succession.
Symbolique
Que ce soit pour la reproduction sexuée
Ou la multiplication végétative,
L’hérédité n’est possible que si le support
De l’information génétique : l’ADN
Est dupliqué et transmis au nouvel organisme.
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Cela est possible dans tous les cas
Grâce à la réplication de l’ADN, qui précède
Toute division cellulaire comme
La mitose ou la méiose.
Le mode de réplication
De l’ADN est universel
Dans le monde vivant :
C’est le mode considéré
comme semi-conservatif.
wikipedia.org/reproduction informations genetiques
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Fond
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Évocation
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Du grand-père, au père, à l’enfant
Toute une lignée généalogique,
Sans laquelle il n’y aurait plus,
De reproduction, succession.
Symbolique
Au tournant de l’an mil, la généalogie
Accompagne la mise en place de la société féodale
Les efforts de l’Église pour la transmission des généalogies,
Affirmer sa vision de la famille et des règles matrimoniales strictes.
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La mise en place graphique de l’arbre généalogique représente
Pour de nombreux participants l’ayant expérimenté
Cette approche est un moment fort en émotions.
C’est aussi retrouver sa verticalité, sentir
Le flux de la transmission qui vient
Irriguer notre enracinement.
psychogenealogie.com/2403-2
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Corrélations
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Fond/forme
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Généalogie de la reproduction,
Que ce soit sous forme d’arbre
Ou de place dans une matrice
Chacun sera né de quelqu’un,
Pour donner vie à un autre,
Et selon une chaine, sans fin,
Où figure sur branche d’arbre
Mes ascendants et descendants
Jusqu’à leurs profondes racines,
Se perdant en la nuit des temps
Du moins jusqu’au moment
Où l’homme est advenu.
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Trois générations ensemble
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Scénario
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L’enfant de qui je suis : front contre front, contre lui, joyeux.
devient de plus en plus autonome, entreprenant en grandissant,
mais lors rendu adulte, il nous restera toujours un côté enfant.
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