373 – Touristes sur la Côte de granit rose en Trégor

Visuels et textuels >> 

.

Touristes : une chance

Pour région   qu’on visite

Et une manne économique

Par-dessus le ..…..  marché,

La  Côte  de   Granit  Rose

Est un  bijou de  beauté

Que d’autres régions

Nous disent envier

.

On ne peut la décrire

Encore moins la décrier

On ne pourra que la visiter

Afin de, réellement, en jouir

Tant d’y vivre, et toute l’année,

Demeure un  privilège immense

Tant durant l’hiver comme l’été

Par grande douceur d’existence.

.

Des milliers de touristes, affluent

Sur la côte de granit rose Trégor,

En voiture, vélo, à cheval, à pied,

Et tous disent en cœur, c’est beau.

.

Tant du côté terre que du côté mer,

Aucun endroit ne devra être oublié,

Tous arborent verdures sur crétacés,

Dans les rochers, en belles lumières.

.

Pourquoi aller chercher, à l’antipode,

Ce dont on dispose devant ses…pieds

Si ce n’est pour changer, ou comparer,

Ou peut-être, pour oublier de partager.

.

À force de voir ce paysage, toujours là,

Le paradis, même d’ici, finit par lasser.

Il faut entendre  alors autres, en deviser,

Pour reconnaître qu’on est chanceux, là.

.

Nombre touristes aimeraient beaucoup

Acheter ma maison, vivre sur mon ile

Où le printemps est vert, l’été fragile

Automne est pluvieux, hiver, doux.

.

.

Extensions

.

Arriver en voiture, en Trégor, bien sûr,

Mais aussi en train et en avion à Lannion,

Capitale, cœur culturel poumon économique.

La Côte de Granit Rose est l’un des sites visités

Bretagne : Agriculture, Technologie et Tourisme,

Forment trois mamelles de réputation de Lannion.

.

Sur côte, on y trouve, un quart résidences secondaires

Fermées dix mois de l’année et de locations saisonnières,

Pourtant le soleil n’est pas toujours présent, et  non garanti

Mais il y a un bon nombre d’activités de loisirs et de plein air

Autres que la plage et farnienté qu’on apprécie, qu’on pratique.

.

Mais vivre, en une région que tout le monde, presque, adore,

Ne dispense pas de partir, le monde est vaste et différent

Et il y a l’équivalent, sinon mieux, ailleurs mais c’est

Moins douloureux d’y revenir qu’en logis parisien,

Coincé entre un boulevard et un périphérique.

.

Trois côtes de granite rose dans le monde

Une en Bretagne, une en corse et une en chine,

Ce qui en fait une destination de vacances assez prisée.

Les îles, face à la côte, (archipel des sept iles) sont peuplées

D’espèces d’oiseaux rares et protégées faisant de Perros-Guirec,

Un site vacancier écotouristique de renommée nationale et mondiale

Le parc de Ploumanac’h en est l’épicentre majeur en quantité de rochers.

.

Il y a bien plus de mille lieux sur notre Planète

Qui mériteraient d’être visités et mis en valeur

Si on atteint cent, on est un bon globe-trotter

C’est peut-être ce que j’ai fait : pas compter.

.

S’il y a nombre d’entre eux, se ressemblant,

Il en est quelques-uns d’originaux, uniques

Côte de granit Rose, parc de Ploumanac’h

Est de ceux-là, avec la Chine  et  la Corse.

.

En prime, il y a l’ile aux oiseaux, Rouzic

Avec macareux-moines, fous de Bassan,

Ile reliée avec la LPO dans l’Ile-Grande,

Ports de Trébeurden et Perros-Guirec.

.

.

373 – Calligramme  

 .

Touristes : une chance…………

Pour région   qu’on visite…………

Et une manne  économique…………

Par-dessus le  …..  marché…………….

La  Côte  de   Granit  Rose……………

Est  un  bijou  de  beauté……………

Que d’autres régions…………….

Nous disent envier……………

.

On ne peut la décrire  T …………

Encore moins la décrier  O ………

On ne pourra que la visiter  U ….

Afin de, réellement, en jouir   R .

Tant d’y vivre, et toute l’année,  I

  Demeure un  privilège immense  S

  Tant durant l’hiver comme l’été   T

   Par grande douceur d’existence.  E

.

  Des milliers de touristes, affluent  C

   Sur la côte de granit rose Trégor,  Ô

… En voiture, vélo, à cheval, à pied,   T

….. Et tous disent en cœur, c’est beau.  E

.

……. Tant du côté terre que du côté mer,  G

…….. Aucun endroit ne devra être oublié,   R

………. Tous arborent verdures sur crétacés,  A

……….. Dans les rochers, en belles lumières.   N

                                                                                 I

…….… Pourquoi aller chercher, à l’antipode,    T

…..…. Ce dont on dispose devant ses…pieds     *

………. Si ce n’est pour changer, ou comparer,   R

………. Ou peut-être, pour oublier de partager.  O

                                                                                    S

….…. À force de voir ce paysage, toujours là,     E

……. Le paradis, même d’ici, finit par lasser.

….. Il faut entendre  alors autres, en deviser,   T

…. Pour reconnaître qu’on est chanceux, là.   R

                                                                                É

… Nombre touristes aimeraient beaucoup   G

   Acheter ma maison, vivre sur mon ile     O

 Où le printemps est vert, l’été fragile    R

Automne est pluvieux, hiver, doux.     *

.

.

Forme

Réduction 

.

.

.

Évocation 

.

373 4

.

Un flacon avec gris bouchon,

La silhouette d’un touriste,

Vu de profil, lors randonnée 

Ou une image d’un breton.

.

Images et touristes se correspondent

image touriste, touriste prenant image

rien de plus, rien de moins en Trégor

si fait que forme converge vers fond.

.

Un touriste, parmi d’autres,

Qui pourrait être moi, ou vous :

Tant, vu du ciel, il  paraitrait  que

Que ce n’est rien d’autre qu’image.

 .

Symbolique 

 .

J’ai réalisé que

Ma compréhension

Du tourisme ne pourrait

Jamais  se baser  sur ce qui

Accroche     l’imagination   de

Chaque touriste : nous pouvons

Tous avoir des motivations différentes d’être là.

.

La clé ne saurait se trouver dans l’esprit des touristes.

Elle doit se trouver dans l’attraction touristique elle-même.

Quelle est la source de son pouvoir symbolique capable de

Magnétiser des millions de désirs différents ?

journals.openedition.org/viatourism/2785?lang=en

.

Descriptif

 .

373 – Touristes sur la Côte de granit rose

Alignement central / Titre externe / Thème  voyage

Forme anthropo Rimes variées / Fond accordé à forme

Symbole de forme : touriste / Symbole de fond : image

.

Fond

.

Évocation 

.

373 6

.

Un touriste, parmi d’autres,

Qui pourrait être moi, ou vous :

Tant, vu du ciel, il  paraitrait  que

Que ce n’est rien d’autre qu’image.

.

Symbolique

.

L’espace touristique,

C’est, avant tout, une image,

L’image que s’en font les touristes,

Qu’en donnent  organisateurs  vacances.

.

Image que perçoivent avec inquiétude parfois,

Toujours avec surprises, populations autochtones.

.

Image complexe, rêve, reflété par affiches, guides,

Les dépliants, les peintures, les livres et les films.

.

Image,  évocation, que rapportent, colportent,

Touristes, évocations odeur,  son, sensation.

Modifié, source : Jean Miossec, « www.persee.fr/

doc/geo_0003-4010_1977_num_86_473_17568

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Belle région s’il en est, paradis à habiter,

S’il n’y avait une météo un peu mouillée.

40 000 habitants, durant toute l’année

Et dix fois plus  de touristes, tout l’été.

Se  souvenant  d’un  plus beau village

De France» au parc  de Ploumanac’h, 

Et une grande diversité de paysages,

Tant du côté de la mer que de la terre

Offre  aux  résidents, et aux visiteurs,

Une qualité de vie des plus…enviables

 .

 .

letelegramme.fr/soir/quelles-sont-

limites- cote-de-granit-rose

.

Scénario

.

Pour ce qui est d’être rose, le granit l’est bien, à Ploumanac’h,

à tel point que son phare se distingue peu de rochers avoisinants

comme le château rose de Costaérès dans son écrin de verdure.

.

Visuels et textuels >> 

372 – Sur la route, l’important c’est le mouvement

Visuels et textuels  >>  

.

Condamné à errer,

À changer   de trains,

De maisons,     de lieux,

Est la condi     tion même

De nombre      d’humains,

Pour ne pas   désespérer.

Ils ne trou  vent, en eux,

Pas plus autour d’eux,

De raisons, de vivre,

Ni même d’aimer :

Que des malheurs !

 .

Tout voyage est leurre,

Si le but est, de se perdre,

Pour de bon, en une course

Folle contre sa propre raison

Qui peut fortifier, ou détruire,

Nouvelle porte  d’un bonheur !

.

Sur la route “on the road again”

L’important  sera le mouvement,

Partir et revenir sans but, argent,

Est un rêve d’enfant, lors déveine !

.

Libre comme le vent, l’air du temps

Et ne dépendre que de soi, personne,

Ne pas attendre que quelqu’un sonne

À votre porte  pour occuper  l’instant !

.

Des rencontres, insolites,  improbables,

Vous raviront d’aise ou déstabiliseront,

Et de bons moments, adieu, c’était bon,

Vous reprenez  route, votre air, capable

.

De poursuivre l’aventure jusqu’au bout

Sans qu’il y en ait un qui vous séduise,

Point d’arrêt qui  vous réduise en tout

Ce que vous rejetez,   hors votre guise.

.

Tout est possible,  est ouvert, permis,

Réseau d’amis, peu à peu, construit,

Laisse augurer de certaine stabilité

Car être seul  sera  toujours honni.

.

Prendre  alcool,  drogue, femme,

Comme un réel virtuel voyage,

Fait qu’on y perdra son âme

En autre univers langage.

.

.

Extensions

.

L’important c’est bien le mouvement

Non désordonné, erratique, anarchique :

Mouvement vers quelque chose, quelqu’un

Qui en vaut la peine, un peu  mais bien !

.

Ça parait paradoxal or pour trouver

Ce qui est bien il faut de la chance

Et de nombreuses rencontres

Car l’on ne trouverait en définitive

Que ce qu’on est en train de chercher,

Même si ce n’est pas ce que l’on cherche.

.

Ce qui est vrai pour les inventions,

Le sera tout autant pour les gens.

Je croyais, je cherchais quelqu’un,

Qui me ressemble et je me retrouve

Encore plus à l’aise, avec quelqu’un,

Qui  est, vraiment, différent  de moi,

Par  certains  côtés,  lors, totalement,

Ça ne peut pas, durablement marcher.

.

En cas de malheur, difficile à supporter,

De mauvaise réputation, dans un endroit,

Partez, fuyez, déménagez : c’est la meilleure

Et la seule solution pour refaire sa vie ailleurs,

Quand on y croit et qu’on se plait dans un autre

Endroit sinon l’on errerait de misère en misère.

.

L’important, c’est le mouvement sinon à quoi bon énergie

Si elle ne se dispense, ou si elle ne se dissipe, en calories,

Qui nous font avancer vers, le but, résultat, recherché.

D’accord, il en faut moins en ligne droite sur le plat,

Qu’en terrain mouvementé, qu’en lacet montagne,

Mais si l’important, l’essentiel, d’est d’y arriver,

Il faut bien comment à se mettre à marcher.

.

On l’aura bien vu lors du confinement,

Que la vie est, avant tout, mouvement

Et lors que sans lui, rien d’important

Ne peut se passer sur le plan humain

.

Les handicapés,  en fauteuil roulant,

Réapprennent tout des mouvements

Ils ne peuvent  monter  les  escaliers,

Mais sont habiles  sur tous les plans.

.

Le fin du fin du mouvement est danse :

Gestes, postures, déplacements, denses.

Défiant les lois d’équilibre, avec gravité,

Parviennent souvent à nous émotionner.

.

.

372 – Calligramme 

.

Condamné à errer,

À changer   de trains,

De maisons,     de lieux,

Est la condi     tion même

De nombre      d’humains,

Pour ne pas   désespérer.

Ils ne trou  vent, en eux,

Pas plus autour d’eux,

De raisons, de vivre,

Ni même d’aimer :

Que des malheurs !

EN ROUTE,

Tout voyage est leurre,

Si le but est, de se perdre,

Pour de bon, en une course

Folle contre sa propre raison

Qui peut fortifier, ou détruire,

Nouvelle porte  d’un bonheur !

.

Sur la route “on the road again”

L’important  sera le mouvement,

Partir et revenir sans but, argent,

Est un rêve d’enfant, lors déveine !

L ’ I  M  P  O  R  T  A  N  T 

Libre comme le vent, l’air du temps

Et ne dépendre que de soi, personne,

Ne pas attendre que quelqu’un sonne

À votre porte  pour occuper  l’instant !

.

Des rencontres, insolites,  improbables,

Vous raviront d’aise ou déstabiliseront,

Et de bons moments, adieu, c’était bon,

Vous reprenez  route, votre air, capable

.

De poursuivre l’aventure jusqu’au bout

Sans qu’il y en ait un qui vous séduise,

Point d’arrêt qui  vous réduise en tout

Ce que vous rejetez,   hors votre guise.

C’ E S T   LE   M O U V E M E N T 

Tout est possible,  est ouvert, permis,

Réseau d’amis, peu à peu, construit,

Laisse augurer de certaine stabilité

Car être seul  sera  toujours honni.

.

Prendre  alcool,  drogue, femme,

Comme un réel virtuel voyage,

Fait qu’on y perdra son âme

En autre univers langage.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

372 4

.

Une quille probablement,

Une quille certainement :

En complément de boule

à lancer pour la renverser

.

Quille et boule, si elles se touchent

seront toutes deux, en mouvement,

les deux font la paire comme on dit

tant et si bien forme touche le fond.

.

Une quille, pour la bouger,

Il faudra lui lancer une boule :

Idem l’humain, casanier, qui ne

Voudrait jamais prendre la route.

.

Symbolique 

 .

Quille.  Symbole masculin

La forme ou maternel le bois.

Expressions : c’est  la  quille,

Signifie la fin d’une épreuve.

Être reçu  comme  un chien

Dans   un   jeu   de   quilles

Signifie   être  mal   reçu,

Accepté  par  un  proche.

.

En 1900, verbe «quiller»

Signifiait «abandonner»

« Quitter »  ou   «partir ».

« Quille »   pourrait   être

Substantif tiré du verbe

Pour désigner le départ.

expressio.fr/expressions/la-quille.

.

Descriptif

.

372 – En route, l’important : le mouvement 

Alignement central / Titre intercalé / Thème  voyage

Forme ovale/ Rimes variées / Fond approché de forme

Symbole de forme : quille / Symbole de fond : boule

.

Fond

.

Évocation 

.

372 6

.

Une quille, pour la bouger,

Il faudra lui lancer la boule.

Idem l’humain, casanier,  qui ne

Voudrait jamais prendre la route.

.

Symbolique 

 .

La plupart des objets sphériques

Sont des représentations de la Terre.

La boule  symbolise  le monde  perçu

Comme un jeu  et l’aire  de notre jeu,

Représente la terre mère, est relatif

À un univers enfantin et masculin.

Celui qui manipule, avec adresse,

Un  ballon  est  en  train  de  faire

La démonstration de sa puissance

Devant le monde. Si le rêveur utilise

Son pied pour propulser une boule ballon,

C’est une puissance sexuelle qui est représentée,

Celle qu’il peut maintenant exprimer dans la réalité.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/

Dictionnaire-des-reves/Ballon-Balle-Bille-Boule

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Que ce soit une quille ou une boule,

Les deux symbolisent le mouvement

Boule en  projectile, et quille, cible !

.

On ne se déplacera que pour un but

Sauf enfant pour qui le mouvement

Est gratuit et tourne  sur lui-même.

On peut remplacer boule par ballon

Et l’on performe un match de foot !

.

Et une voiture sur une route, idem

Comme un tapis  qui se déroule,

Sur lequel voiture… déboule !

 .

.

Décomposition mouvement

.

Scénario

.

Un mouvement droit, vers de perpétuels nouveaux horizons.

Mouvement, sans cesse, montant jusqu’atteindre les sommets !

Mouvement en lacets, batifolant le long de collines, fond de vallées.

 .

Visuels et textuels  >>

371 – Je suis ici et puis je vais là, aux rendez-vous

Visuels et textuels  >> 

.

Je suis ici,

Puis je vais là,

Mais nulle part,

Ma paix, ne sera

À ce rendez-vous,

Lors même vous,

M’aimant tant,

N’y êtes pas.

.

Les arbres ne se déplacent pas,

Ne sont autres que pieds sans bras,

Pour ça, humains, ne les envient pas

De devoir rester aux mêmes endroits

Car la vie, c’est bouger par-ci par-là,

Tout en marquant, parfois, le pas.

.

Qui ne bouge pas, s’enracinera,

Qui  ne bouge pas  finira, tas :

Voilà, que je suis ici, puis là,

Lieu est espace  où arrivera

Air nouveau  qui me ravira

D’aise, et qui sait, au-delà !

.

Regardes, les gens s’agite : va

Comprendre qui  et pourquoi,

Cela parait insensé en son état

Mais, qui, lui, ne bougera  pas.

.

Je viens cahin -caha et  je  vas,

En  fourmi, qui s’agite, au pas,

Et qui donc me commande là,

D’être ceci plutôt qu’être cela.

.

De positions où on observera,

Différentes visions,  l’on aura

Sur ce qui est beau … ou pas,

Sur ce qui est bien,  pour soi.

.

Ça va, ça va,  je n’insiste pas :

Bouge-toi et  après l’on verra,

Qui des deux  a raison, ou pas,

De s’en  tenir  ou s’accrocher à.

.

Ah je te vois ve nir, approcher là,

Tu voudras me conduire avec toi

Là où je ne veux aller : n’irai pas,

Pour que je devienne bras droit.

.

N’insiste pas, et viens avec moi :

J’en connais  des divins endroits,

Ceux-là  où tu ne t’ennuieras pas

Lors sera en amour en mes bras.

.

.

Extensions

.

Je suis ici, puis je vais là mais nulle part où je vais,

Je suis bien sans toi tant je voudrais te faire partager

Les lieux que je découvre, que j’admire, que je préfère.

L’espace, c’est de l’imaginaire : il existe, en tant que tel,

Il existe comme on le perçoit avec qui on partage ou pas.

.

Un rendez-vous au téléphone, où le lieu n’a d’importance,

N’est pas un rendez-vous, physique, et dans un lieu donné,

Se rendre dans un lieu est une démarche plus impliquante,

Et cela sera faire honneur à la personne  que l’on rencontre,

En lui consacrant le temps pour faire le trajet, en deux sens,

C’est le mouvement pour faire cadeau de la présence réelle.

.

Le rite amical : « On se téléphone, on se fait une bouffe »

Est dans l’ordre des choses et dans nombre protocoles,

Y compris amoureux, mais on peut aussi en abuser

En baladant le partenaire, d’un point à un autre,

Histoire de tester sa motivation à poursuivre

Ou d’éloigner les séducteurs bon marché :

Qui est prêt à tout, se déplace toujours

Pour ne manquer un rendez-vous.

.

D’un rendez-vous à l’autre, fixé ici ou là,

Je traine, et ma carcasse, et mon spleen !

J’en attends beaucoup et je ne crois rien,

En réalité je reste ouvert à tous et à tout,

Du moins pour ce qui est de mes  projets

Car de mon cœur, je suis sûr d’un rejet,

À moins coup de foudre, ce serait fou.

.

« J’ai rendez-vous avec vous,
Le menu que je préfère,
C’est la chair de votre cou,
Tout le restant m’indiffère,
J’ai rendez-vous avec vous !

 .

Extrait chanson j’ai rendez-vous

Avec vous par … Georges Brassens.

On dira que Brassens va droit au but

Et que pour le cou, il assure son coup !

.

Mais tous les rendez-vous n’auront pas

Ni le même intérêt ni le même résultat :

Il y en a qui sont décommandés ou bien

Se terminent par un râteau, un non-lieu.

.

.

371 – Calligramme

.

Je suis ici,

Puis      je vais là,

Mais       nulle     part,

Ma paix,             ne sera

À ce ren           dez-vous,

Lors mê         me vous,

M’aimant     tant,

N’y êtes pas.

.

Les arbres ne se  * déplacent pas,

Ne sont autres que   J    pieds sans bras.

Pour ça, humains   E    ne les envient pas

De devoir rester   *   aux mêmes endroits

Car la vie, c’est   S  bouger par-ci par-là,

Tout en marqu   U  ant parfois le pas :

Qui ne bouge pas   I    s’enracinera ;

Qui  ne bouge pas   S    finira, tas.

Voilà que je suis ici  *       puis là,

Lieu est espace où   I     arrivera

Air nouveau qui      me ravira

D’aise, et qui sait   I      au-delà !

.

Regardes, les gens *    s’agite : va

Comprendre qui   V  et pourquoi.

Cela parait insen  A sé en son état

Mais, qui, lui, ne  I  bougera  pas

Je viens cahin     S  caha et je vas,

En  fourmi, qui   *  s’agite, au pas,

Et qui donc me  L   commande là,

D’être ceci plu   À tôt qu’être cela.

.

De positions où  A     on observera,

Différentes vis    U   ions,  l’on aura

Sur ce qui est     X   beau … ou pas,

Sur ce qui est      *    bien,  pour soi.

Ça va, ça va,         R   je n’insiste pas :

Bouge-toi  et         E    après l’on verra,

Qui des deux          N    a raison, ou pas,

De s’en  tenir          D    ou s’accrocher à.

Ah je te vois ve        E    nir, approcher là,

Tu voudras  me        Z     conduire avec toi

Là où je ne veux        *         aller, n’irai pas,

Pour que je devi        V         enne bras droit.

N’insiste pas, et          O           viens avec moi :

J’en connais  des          U             divins endroits,

Ceux-là  où tu ne            S                t’ennuieras pas

Lors sera en amour          *                       en mes bras.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

371 4

.

Une silhouette d’homme ou femme

Attendant  votre rendez-vous :

Tout dépend de l’intérêt porté,

Autrement dit, suite à donner.

.

Rendez-vous suppose un intérêt

plus fort il est, plus vite j’y vais !

si c’est, en plus, entre amoureux,

sûr que la forme épouse le fond.

.

Lors d’un rendez-vous,

 L’on doit s’attendre … à tout :

La surprise, voire la déception,

À l’intérêt ou la perte de temps !

.

Symbolique 

.

Rendez-vous : rencontre entre

Deux ou plusieurs personnes,

Qui ont convenu du motif,

De la date et puis du lieu.

Rencontres amoureuses

Dont  la date, et le  lieu,

Auraient été   convenus.

Voilà qui est clair, précis

Sans erreur,  ni surprise,

Ni  désagrément  possible,

Et pourtant, il peut y avoir,

Des retards,  des annulations,

Défections  changements d’heure ?

Il n’est certain tant qu’il n’a pas eu lieu.

.

Descriptif

 .

371 – Je suis ici, je vais là, en rendez-vous

Alignement central / Titre serpente / Thème  voyage

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : rendez-vous / Symbole de fond : intérêt

.

.

Fond

.

Évocation 

.

371 6

.

Lors d’un rendez-vous,

 L’on doit s’attendre  à tout :

La surprise voire la déception,

À l’intérêt ou la perte de temps !

.

Symbolique 

 .

L’intérêt est un sentiment

Qui nous attache à nos avantages,

Qui nous fait recherche r…  l’agréable

Ou l’utile, le bien-être, la fortune, le profit.

.

L’intérêt consiste  en une curiosité et une

Bienveillance à l’égard d’une personne

Ou d’une chose et  lorsque l ‘intérêt

Est, exclusivement, orienté vers

La  satisfaction   personnelle,

On parle d’intérêt personnel

Ou d’égoïsme : expression

Péjorative dans ce cas.

fr.wikipedia.org/wiki/

Interet_(psychologie)

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il y a des gens courant de place en place

Toujours, affairés, ne tenant pas  en place,

Passant de pièce à l’autre, chez eux, bureau,

D’autres allant de ville en ville, paya en pays,

Moi, en rendez-vous, pour de belles rencontres,

Peu m’importe le lieu, y a que l’autre qui compte.

.

Et puis on s’en souviendra d’autant des rencontres

Que l’on en a gardé traces en son carnet de voyages

Une photo ici, avis par-là ou connivence, complicité

Si ce n’est lieu, temps à discuter en pub, restaurant !

Mais il est vrai que les  gens comme courants d’airs

Ne laissent que des souvenirs éphémères, distants.

 .

 .

Type rendez-vous calendaires

.

Scénario

.

Un point de rendez-vous, arrivée, repère est marqué par un signe.

Un premier rendez-vous est d’abord et avant tout une aventure.

Le i, de Ici et le L, de La, ce serait aller, ici, là, où il faut aller !

.

Visuels et textuels  >> 

370 – J’enrage d’être obligé de partir, alors que

Visuels et textuels  >>  

.

Partir alors que

J’allais te rencontrer

J’avais,  enfin,   trouvé,

Mon alter-ego amoureux

Ce n’est pas moi qui décide

C’est le cours de la vie, espace,

Qui me place, déplace, remplace

Transformant le sucré en acide.

Dieu merci il me reste à penser,

Pour  me  projeter  me consoler,

Qu’un jour, l’autre, je te reverrai,

C’est pour mieux re commencer.

.

J’enrage d’être obligé

De partir

Alors que je me sens ici

À ravir.

.

J’enrage d’être forcé

De  quitter

Une telle douceur,

À tes côtés.

.

J’enrage d’être contraint

De  laisser

Un champ de paix pour

Un de ruine.

.

J’enrage d’être impuissant,

Changer le cours

Des choses en cours de vie

Conditionnée,

.

Ne dépendant pas de moi,

Elle me rappelle et sans cesse

À  tous  mes  devoirs  de  citoyens.

Amour me pousse à jouer  aux infidèles,

Se révoltant au point de devenir déserteur

Et de tout plaquer pour lui, pour le bonheur.

.

.

Extensions

.

Les lieux où l’on réside, où l’on travaille,

Sont des repères, sont des marqueurs de vie.

La distance, et surtout quand un océan sépare,

Rend quasiment impossible tout rapprochement

Et, difficile, le maintien d’une relation amoureuse,

Voire d’une situation conjugale, avec, sans enfants.

Dans le cas d’une rencontre amoureuse où l’on sait

Que le partenaire est sur départ, ne reviendra pas.

.

Le voile se déchire, le choix deviendra binaire :

Ou partir avec lui, et le suivre où qu’il aille,

Ou accepter de le perdre définitivement,

Quitter  quelqu’un, pour une semaine,

Voire une journée peut être frustrant

Même si l’on certain de le retrouver.

.

D’une part on est sujet à l’abandon

Ou le renoncement, et, d’autre part

On subit le manque et la séparation.

On se rencontre, fraternise, se confie

Et d’autre part, on se sépare comme si

De rien n’était, pour ne jamais se revoir,

Pour ne plus communiquer, petits cailloux

Sur une route pavée de … bonnes intentions

Mais, hélas, aucune véritable réalisation.

.

Ainsi va la vie, ainsi vont les choses :

Il n’y a qu’amis qui tiennent à vous

En la route envers et contre tout.

.

Pars vite, ailleurs, un temps, pour que je reste … avec toi !

Je partirais bien ailleurs mais comment le faire sans toi,

Autant de propositions qui seront autant d’injonctions,

À penser revenir alors que je ne suis pas encore parti :

Ce n’est pas tant de revenir que trouver changement !

.

Il y a peu de gens qui se sont rencontrés

À l’autre bout du Monde  et qui se seront

Retrouvés, ni même demeuré en contact :

En dépit téléphone, messagerie, Facebook,

La distance tue l’amour comme un poison.

.

Un poison  et  non  un poisson … quoique !

Demandez poisson de faire un demi-globe.

Je crains que non, au-dessus  de ses forces,

Pas davantage au milieu et ainsi abandon.

.

A contrario, on retrouve parfois par hasard

Quelqu’un, apprécié, des années plus tard.

Cela ne veut pas dire que l’on poursuivra

Mais l’on peut échanger ses souvenirs.

.

..

Épilogue

.

De plus en plus de rencontres, de nos jours,

Se feront en cours de voyages ou de séjours :

Des liens se nouent, affinités électives, jouent,

Et l’on se retrouvera à danser joue contre joue.

***

Mais,  voilà que  l’on est obligé de partir, revenir

Chez soi,  pour le travail, la famille … que sais-je,

Il faut mettre terme à opportunité de s’en quérir.

Cette impression tourne la tête, à avoir le vertige.

***

Cristallisation d’amour profond n’ayant pas eu lieu

On ne peut que de de revoir, hasard, formuler vœu,

On s’en  remet au destin : ça doit se faire, ça se fera,

En attendant, il me reste ma frustration… patatras !

***

Vous me direz : et le téléphone, le courriel, Internet.

C’est vrai, mais, dans la précipitation de partir… vite

On a oublié s’en assurer auprès nouvel être, tout net

Ce sera bien la pire manière de se quitter : inconnu.

***

Après avoir ferré un beau poisson en eau trouble,

Voilà qu’on tombe sur un os, pardon, belle arête

Dont on ne sait que faire, sauf  avoir l’air bête

Et sa frustration, soudain en vous, redouble.

.

.

370 – Calligramme

 .

Par  O  tir………………

Alors  B    que …………….

J’allais   L   te rencontrer……

J’avais      I  enfin, trouver……..

Mon alter   G   ego amoureux……

Ce n’est pas   É   moi qui décide…..

C’est le cours  *    de la vie, espace…

Qui me place    P  déplace, remplace

Transformant     A  le sucré en acide.

Dieu merci il me   R     reste à penser,

Pour me projeter    T       me consoler,

Qu’un jour, l’autre,   I     je te reverrai,

C’est pour mieux re   R     commencer.

.

J’enrage d’être obligé

De partir

Alors que je me sens ici

À ravir.

.

J’enrage d’être forcé

De  quitter

Une telle douceur,

À tes côtés.

.

J’enrage d’être contraint

De  laisser

Un champ de paix pour

Un de ruine.

.

J’enrage d’être impuissant,

Changer le cours

Des choses en cours de vie

Conditionnée,

.

J’ENRAGE D’ÊTRE

 .

Ne dépendant pas de moi,

Elle me rappelle et sans cesse

À  tous  mes  devoirs  de  citoyens.

Amour me pousse à jouer  aux infidèles,

Se révoltant au point de devenir déserteur

Et de tout plaquer pour lui, pour le bonheur.

.

.

Forme

Réduction 

.


.

Évocation 

370 4

.

Une espèce de champignon

Un trophée sportif,  ou autre,

Peut-être une lampe d’ambiance

Aussi bien qu’arête de poisson ?

.

C’est sûr,  arête va bien avec poisson

Mais, pour lui, c’est la fin, non départ,

Quand on l’a mangé, qu’il ne reste rien

Si bien qu’ici, la forme diffère du fond !

.

Qu’y a-t-il, de commun, entre un départ

Et une arête de poisson :

Rien évidemment, à moins qu’on ne force,

Et fort, son imagination.

.

Symbolique

.

L’arête attire l’attention

Sur un environnement discutable

Qui a atteint et entaché son humanité.

Elle dit que l’on s’est laissé décharner, user.

.

Il est temps de reprendre sa vie en main,

Matérielle et affective, et de se recentrer

Sur des satisfactions.

.

Avoir mal à la gorge : la problématique

Avec la parole est clairement mise en évidence.

On a à « avaler » une contrariété, un affront.

Peine à venir.

wikireve.fr/dir/3673-arete

.

Descriptif

 .

370 – J’enrage d’être obligé de partir 

Alignement central / Titre oblique / Thème  voyage

Forme animale / Rimes libres / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : arête / Symbole de fond : poisson

.

.

Fond

.

Évocation 

.

370 6

.

Qu’y a-t-il, de commun, entre un départ

Et une arête de poisson :

Rien évidemment, à moins qu’on ne force,

Et fort, son imagination.

.

Symbolique 

 .

Le poisson est à la fois cette créature

Qui vit  au fond des mers, en contact

Avec bien des mystères sous-marins

Et celui qui sera dans notre assiette.

.

Il a deux symboliques bien distinctes :

Le poisson sacré  que l’on  retrouve dans

Les interprétations ésotériques ou jungiennes

Et le poisson profane qui ne porte pas en lui-même

D’autre sens que celui d’être poisson prêt à être dégusté.

Source : doctissimo.fr/psychologie/dictionnaire-des-reves/reve-poisson

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un départ est, souvent, dieu merci, un choix,

Une obligation professionnelle en certains cas

On a rencontré quelqu’un, nourrit une passion

.

Et voilà qu’à la place de la prise d’un poisson,

On se retrouve, une fois parti avec son arête

Comme seul souvenir auquel se rattacher !

.

Ah me direz-vous, poisson est surtout fait

Pour être consommé frais, et sur place.

Si c’est le cas pour vous, bonne pêche.

.

.

Arête quelque peu inquiétante

.

Scénario

.

Injonction paradoxale : tu dois partir, en même temps, rester !

Depuis que parti, tu n’as plus qu’une seule envie : celle de rentrer.

Partir un peu, revenir beaucoup sera message difficile à interpréter.

.

Visuels et textuels  >>

369 – L’errance est autre chose qu’une itinérance

Visuels et textuels  >> 

.

L’errance définie par une action

De marcher et marcher sans cesse

Et même, parfois sans d’autre but

Que d’aller voir partout ailleurs

Pour   enrichir  son  intérieur,

Pour meubler son extérieur

Pour le pire ou  le  meilleur

Rares instants de bonheur.

Itinérance est un cousin,

Ressemblant   pèlerin

Croise son  chemin

Sans lendemain.

|

**

|

L’errance est autre chose

Que normale itinérance,

Il y a de la souffrance

En  toute  errance,

Alors que la joie

En itinérance.

|

**

|

L’errance

Ou je me traine,

Je manque de veine,

Ne sais plus où j’habite,

Me sens rempli de haines.

Itinérance, lors je voyage,

Je vais là où j’ai…envie

Et alors je m’y rends,

Le cœur content !

|

**

|

L’errance

A outrance,

Est pure folie,

Et non vacances,

Comme pénitence !

Quand  l’itinérance,

Ressemble à danse,

Celle où l’on rêve,

Coup d’avance,

Préférence.

.

.

Extensions

.

L’errance est aussi dans son esprit, et voire dans ses pensées,

À papillonner pensant à tout et à rien, sauter du coq à l’âne,

À zapper d’image à l’autre, sans retenir sans trier, creuser.

L’errance évoque un labyrinthe où l’on errera, en passant

Plusieurs fois aux mêmes endroits, mêmes croisements,

Sans se rendre compte en cherchant le centre ou sortie,

Sauf qu’ici ni l’un ni l’autre, déplacement est fin en soi.

.

Ce n’est pas destination, qui compte : voyage, chemin !

L’itinérance consiste à aller d’un point à  un autre, à la

Recherche à la conquête et souvenir de quelque chose.

L’errance consisterait à aller nulle part, de préférence.

L’itinérance évoque  l’itinéraire ; l’errance, l’arbitraire.

.

Un chien errant est un animal, sans maître, sans foyer,

Préoccupé par le besoin de survivre selon opportunités,

Désireux de trouver un foyer, contact, chaleur humaine.

Un chat, au contraire, s’attache, ou se détache, d’un lieu,

Plus que du maître, lui donnant à manger : indépendant.

.

Et  chez les humains, on trouvera aussi ces deux attitudes

D’indépendance économique  et d’indépendance affective,

La fugue, chez l’adolescent, est comme  une sorte d’errance

De protestation contre son sort, une impression  qu’ailleurs,

Se sera mieux que  dans le lieu, ou dans l’état où il se trouve.

L’abandon du domicile conjugal, chez l’adulte, est intolérance

À la vie de couple qui représente une prison et non une maison.

.

Errer, oui, mais pour aller où et faire quoi

Errer sur une plage, en ville, en campagne,

Sans but, voire sans fin, n’apporterait rien,

En termes de rencontre, voire même de soi.

L’animal erre, mais en quête de nourriture,

L’humain, lui, n’est plus du tout … fait pour

Suivre un chemin tracé est sa route, retour.

.

En France, on qualifie de quelqu’un à la rue

De «sans domicile fixe » mais sans préciser

S’il en a eu un, auparavant, ou bien jamais,

Lors au Québec, on le qualifiera d’itinérant.

.

On pourrait dire  qu’on est dans la nuance,

Mais qualifier quelqu’un par «sans xxxxxx

Apporte une note négative rejet de société,

Les noms auront connotation bien accolée.

.

Y a ceux qui s’en réclament et s’en cachent

Le pauvre ne brandit pas son statut sur lui

Question de dignité, humanité avant tout,

Statistiques ne sont révélatrices de tous !

.

.

Épilogue

.

Partance, ou  itinérance, ou errance,

Les trois ne seront sans conséquences

On pourrait certes, enchainer les trois,

Mais, ils ne pourraient exister, à la fois.

***

Partance : le cœur  y est,  l’esprit, autant.

Itinérance : l’esprit n’y est plus vraiment.

Errance : ni l’un  ni l’autre, ne demeurent.

L’on dira que … petit à petit … l’on meurt !

***

On parlait de divagations, de vagabondages

Allant comme zombies, de village  en village,

Quêtant nourriture pour survivre, en partage

N’ayant plus la conscience du temps ni d’âge.

***

Par se retrouver, en un labyrinthe, pour finir

Non seulement  de ses pensées, sa présence :

Ne sachant plus ni où il en est, ni s’en sortir,

Comment envisager dès lors quel qu’avenir.

***

L’on me dira : à moi, ça ne m’arrivera pas :

Je ne suis pas pauvre, ai  travail, existence,

En la majorité des cas, vrai, vraisemblance

Mais seul, abandonné, pas aidé : l’on y va !

.

.

369 – Calligramme

 .

A  U  T  R  E         C  H  O  S   E

 .

L’errance définie  E  *  I   par une action

De marcher et ma R           T rcher sans cesse

Et même, parfois  R                 I  sans d’autre but

Que d’aller voir   A                     N  partout ailleurs

Pour   enrichir   N                         É   son  intérieur,

Pour meubler    C                           R   son extérieur

Pour le pire ou  E                         A      le  meilleur

Rares instants  *                       N    de bonheur.

Itinérance est  P                    un cousin,

Ressemblant  A         E       pèlerin

Croise son  S   * chemin

Sans    *  lende

Main.

|

**

|

L’errance est autre chose

Que normale itinérance,

Il y a de la souffrance

En  toute  errance,

Alors que la joie

En itinérance.

|

**

|

L’errance

Ou je me traine,

Je manque de veine,

Ne sais plus où j’habite,

Me sens rempli de haines.

Itinérance, lors je voyage,

Je vais là où j’ai…envie

Et alors je m’y rends,

Le cœur content !

|

**

|

L’errance

A outrance,

Est pure folie,

Et non vacances,

Comme pénitence !

Quand  l’itinérance,

Ressemble à danse,

Celle où l’on rêve,

Coup d’avance,

Préférence.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

369 4

.

Chapelet de quelques choses,

 De perles, montées en bijoux,

D’objets pour faire un mobile

Et peut-être même de cœurs.

.

Quatre formes de cœurs, en chœur,

voire aller de l’un à l’autre, ailleurs

on s’approche un peu de l’itinérance

dont la forme évoque autant le fond

.

L’errance, divagatrice,

Pour aller  nulle part,  s’accompagne

Parfois d’itinérance

Amoureuse allant d’un cœur à l’autre.

.

Symbolique 

 .

Dans les traditions modernes, le cœur

Est devenu le symbole de l’amour profane

De la  charité  en tant  qu’amour, de l’amitié

Et de la droiture, organe central de l’individu,

Il correspond pleinement à la notion de centre.

.

L’occident en aura fait le siège de nos sentiments

Alors que nombre des civilisations traditionnelles

Y localisent au contraire l’intelligence et l’intuition.

La connaissance n’exclut pas les valeurs affectives.

.

Descriptif

 .

369 – Errance : autre chose qu’itinérance  

Alignement central / Titre cercle  / Thème  voyage

Forme ovale / Rimes libres / Fond approché de forme

Symbole de forme : coeur / Symbole de fond : coeur

.

.

Fond

.

Évocation

.

369 6

.

L’errance, divagatrice,

Pour aller  nulle part,  s’accompagne

Parfois d’itinérance

Amoureuse allant d’un cœur à l’autre.

.

Symbolique 

 .

Le cœur est un symbole courant

Utilisé depuis l’Antiquité pour représenter

Le centre organe appelé  « cœur »  de l’activité

Émotionnelle, spirituelle, morale, intellectuelle.

.

Un cœur rouge serait principalement utilisé

Comme symbole de l’amour ou l’amitié

Il est parfois traversé d’une flèche,

Illustrant  l’intervention d’Éros,

Ou bien brisé, représentant

Alors une déconvenue

Amoureuse.

.

De nos jours,

Selon le contexte, le cœur

Est aussi utilisé pour symboliser

La vie ou la santé, notamment cardiaque.

fr.wikipedia.org/wiki/Coeur_(symbole)

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

À quoi bon voyager, se déplacer,

Et voire même déménager,

Si le cœur n’y est pas !

Au bout de certain nombre de fois :

Itinérance devient errance

On ne sait où se fixer

On se retrouve comme en labyrinthe

Ou sortie n’existant plus

Renonce à chercher.

 .

.

Errance : perte en labyrinthe

.

Scénario

.

L’errance, c’est courir n’importe où de préférence ou droit devant ;

l’errance, c’est longer une longue rue puis une autre et une autre ;

l’errance, c’est marcher à travers champs, évitant ville et village.

 .

Visuels et textuels  >> 

368- De ci de là, de ville en ville, d’hôtel en hôtel

Visuels et textuels  >>  

.

Tout voyageur est routard

Quelque temps, quelque part,

Est chez lui partout, nulle part,

Dès son arrivée pense au départ.

.

Il effleure le cours du temps,

Il affleure le cours du vent

Il va, vient… il demeure

Semaine, jour, heure.

.

Rencontre tribune,

Quelqu’un, quelqu’une,

L’opportunité opportune,

C’est sa plus grande fortune.

.

De ci de là,

De ville en ville

D’hôtel  en hôtel.

D’un jour à l’autre,

De temps  en temps,

D’un point à un autre.

Cette litanie de, et d’un,

En fait sourire plus d’un :

Comme si faire mouvement

C’était vivre  à plein   temps.

Il y a  d’autres  transport, qui

Se font, sur place, de joies qui

Suffisent  à remplir  un temps

De ce qui comptera de vivant.

Autant en emportera le vent

À  tout perdre, finalement.

Voilà, parfois,  comment,

On s’en va,  par devant,

D’un point à un autre

De temps  en  temps

D’un jour à l’autre

D’hôtel en  hôtel,

De ville en ville

De ci   de là

Et  ainsi

Soitil

vvv

.

.

Extensions

.

L’errance consiste à se croire

Chez soi partout, et nulle part,

Et vouloir être toujours ailleurs

C’est la maladie de la nouveauté,

Fondé que la chance de rencontre

De bifurcation, de renouvellement.

.

Ne pas s’ancrer, pas laisser de traces

Derrière soi, rester comme neuf, ouvert,

Opportuniste or ailleurs c’est la même chose.

Ce n’est pas le décor qu’il faut changer, varier,

C’est soi-même et en plus, de fond en comble.

.

Et cela, si l’errance peut certes y contribuer,

Elle ne suffira pas pour se métamorphoser.

Le nomadisme est une culture et pratique

Qui ne s’improvise, faut des générations

Pour s’y plaire, voire s’y complaire.

.

L’errance est à la fois la recherche

D’aventures, d’émotions, d’adrénaline

Fuite en avant oubli problème existentiel

D’où l’expression populaire : il traine avec lui

Une valise de problèmes au point qu’on ne sait pas

Qui il est vraiment, qu’il vaut, attend de nous, de la vie.

.

Aller, c’est partir ; aller c’est revenir !

Avec, dans ses bagages, et, dans sa tête,

Le plein de souvenirs, et  de nouveautés :

Comme si on était  dans le cadre  de la télé,

Et non devant comme simple consommateur

De lieu en lieu, de ville en ville, de port en port

Que ce soit … vers le sud, l’ouest, l’est, ou le nord

Il y aura, toujours, quelque chose qui marque fort,

Bousculera son quotidien avec tout son train-train !

.

Si l’important n’est plus la finalité

Mais le chemin, se mettre en route

Devient comme sorte de pèlerinage,

Où on verra bien ce qu’il adviendra.

.

Or à vouloir voyager partout, on finit

Par n’arriver nulle part : pas de bout.

Il faut croire que pour rester debout,

De temps à autre, faut s’arrêter, fixer

.

Le voyage finit par devenir une fuite

Comme ces bourlingueurs des mers,

Une fois qu’ils ont posé pied, à terre,

Ne pensent qu’à reprendre… la mer.

.

.

Épilogue

.

Aller de ville en ville, hôtel,

Sans but, sans projet précis,

C’est vrai,   il n’y a rien de tel,

Pour  ne rien mettre  à  profit !

***

Ce n’est pas  que  toutes les villes

Se ressemblent : sont  différentes,

Ce serait comme d’aller d’ile en ile

Et de penser toujours à la suivante.

***

De temps à autre,  il faudrait se poser

Quelque part, pour ne pas  être  perdu

En dédales de tous souvenirs  amassés

Et se retrouver  comme pauvre  et  nu !

***

Pauvre  de  ses  sensations,  impressions,

Nu  de  ses trajets, distances  parcourues,

L’errance n’est pas  une fuite  en inconnu,

Souvenirs  ne tiendront  qu’avec passions.

***

Chaque voyage, chaque visite, chaque séjour

Doit être pareil que trouver un nouveau bijou

Même si l’on ne les porterait pas tous, au cou,

Ils nous rappelleront notre vie, certains jours !

.

.

368 – Calligramme

 .

Tout voyageur est routard

Quelque temps, quelque part,

Est chez lui partout, nulle part,

Dès son arrivée pense au départ.

 .

Il effleure le cours du temps,

Il affleure le cours du vent

Il va, vient… il demeure

Semaine, jour, heure.

 .

Rencontre tribune,

Quelqu’un, quelqu’une,

L’opportunité opportune,

C’est sa plus grande fortune.

.

De ci   D   de là,

De ville E en ville

D’hôtel    * en hôtel.

D’un jour  C   à l’autre,

De temps    I    en temps,

D’un point    *        à l’autre.

Cette litanie    D      de et d’un,

En fait sourire E      plus  d’un :

Comme si faire  *     mouvement,

C’était vivre à     L    plein   temps.

Il y a  d’autres     À    transport, qui

Se font sur pla     *    ce de joies qui

Suffisent à rem   V   plir  un temps

De ce qui comp   I   tera de vivant.

Autant en empo L   rtera le vent :

À tout perdre    L     finalement.

Voilà parfois    E      comment,

On s’en va       *    par devant

D’un point        à l’autre

De temps    N  en temps

D’un jour  *  à l’autre

D’hôtel   V     hôtel

De ville I     ville,

De ci   L  de là

Ain    L      si

Soit il !

vvv

HÔTEL

EN HÔTEL

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

368 4

.

Une pointe de quelque chose

De lance, de flèche, de couteau

Joyau, bijou avec une attache 

Et pourquoi pas une décoration ?

Que  ce  soit un joyau  ou un bijou,

Aucun lien avec : aller de ci, de là,

Ils  ne se  déplacent, juste suivent,

Si fait que forme  diffère du fond.

Un joyau par ci, un joyau par-là

Lors il y aura autant de bijoux

Que villes extra, exotiques,

À visiter dans le Monde

.

Symbolique 

.

Joyau et bijou viennent de Joie,

Substantif du verbe Jouir : par un affinement,

Il s’étend de l’appel des sens aux aspirations de l’esprit.

.

Ce n’est que par excès de moralité que l’on fait du bijou

Un symbole de la vanité des choses humaines et désirs.

Des légendes prétendent que les pierres précieuses

Naissent dans la tête, dent, salive des serpents

(Émeraude)  comme la perle de l’huître.

.

C’est aussi pierre travaillée, montée,

L’œuvre du joaillier et de l’orfèvre,

Ainsi que de la personne qui le

Commande ou qui le choisit.

.

Bijou finit par symboliser

Personne qui le porte

Et la société qui

L’apprécie.

.

Descriptif

 .

368 – De ci de là, ville en ville, hôtel en hôtel

Alignement central / Titre droit / Thème  voyage

Forme ovale / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : joyau / Symbole de fond : bijou

.

.

Fond

.

Évocation 

.

368 6

.

Un bijou par ci, un joyau par-là

Il y aurait  autant de bijoux

Que villes extra, exotiques,

À visiter dans le Monde.

.

Symbolique 

 .

Les bijoux traditionnels Africains

Peuvent présenter plusieurs formes

Même s’ils ont une essence commune.

.

Cette diversité dans la création des bijoux

Et dans leur présentation s’explique par

Le nombre important de peuple,

De village et de population

Qui constitue la nation africaine.

.

En effet, chaque village, chaque région

Possèderait une culture qui lui est propre

Et celle-ci se transmet dans la création

Des bijoux en question.

bijouexotique.com/les-bijoux-traditionnels-

africains-charges-de-symbolique-et-d-histoire

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il est considéré comme dangereux

Et voire suspect d’avoir des bijoux,

Sur soi à l’étranger ou ses bagages

Toutefois, au cas où, ils deviennent

Monnaie d’échange, pour survivre

Ou pour se rapatrier en son pays.

.

C’est, bien sûr, la dernière chose

Qu’on vend, nous appartenant.

Au cas contraire, on peut être

Considéré comme trafiquant.

 .

.

puis d’itinérance vers l’errance

.

Scénario 

.

  Aller de ci, de là…

Allez de ville en ville…

Aller d’hôtel en … hôtel…

Visuels et textuels  >>  

367 – On dit que les voyages forment la jeunesse !

Visuels et textuels  >> 

.

L’on voyage autant avec

Son âme que son… esprit,

Son cœur, son corps,  sexe,

Tant successions situations,

Sont simples et complexes.

.

L’âme s’enrichit toujours

De toute autre spiritualité,

Sans parler,  d’autres arts,

Voire, d’autres curiosités.

.

Et l’esprit incite toujours,

À utiliser  fines diplomaties,

Respecter les us et coutumes,

Ne pas se contenter d’arguties.

.

Et le cœur s’enrichit toujours,

De rencontres plus amicales,

En partageant les émotions,

Les dons,  à hauteur égale.

.

Et le corps se met toujours

En mouvement, en danger :

Il est  assez  souvent fatigué,

Parfois souffrant ou stressé.

.

Et le sexe est plus ou moins

Charmé, souvent sollicité,

Il ne resterait indifférent

À toute locale beauté.

.

On dit que les voyages forment la jeunesse !

L’on devrait ajouter : et retarde  la vieillesse.

Même si l’on ne fait pas les mêmes voyages,

Même quand l’on visite endroits identiques

À vingt ans, quatre-vingt ans sonnés,  d’âge,

Il  n’en demeure pas  moins  qu’en pratique,

Les désirs  sont aussi intenses, aussi  vivants,

.

Lors ils consistent aller vers l’autre au-devant.

Rien ne sert  d’être  un sage, si l’on ne   bouge ;

Et rien ne sert de bouger, si l’on n’est  pas sage

Un paradoxe qui nous éclaire bien au passage

Sur quelques chemins,  emprunts  de rouge

Sur tracé, tant ce n’est pas le but, ni la fin,

Qui comptent mais  la volonté de la faim.

.

Faim des connaissances et découvertes,

Ce sont de  grands   voyageurs qui  sont

Devenus grands savants, poètes et ont

Dispensés humanisme qui déconcerte,

Par sa variété de formes sur la planète

Où l’on se  croit cultivé : en fait,  bête.

.

Il n’y a ni lieu ni temps qui ne méritent de visites,

C’est toujours l’imprévu, l’inattendu, qui excitent

On dit que les voyages informent la … jeunesse !

L’on devrait ajouter : et réforment la vieillesse !

.

.

Extensions

.

Les voyages forment et déforment

Tout autant les jeunes que les vieux :

Ce n’est pas une question  d’âge civil,

Mais  c’est bien plutôt  une question

D’état d’esprit et aussi d’ouverture.

.

On voyager à tout âge, tous pays,

Sans se soucier de personne,

Comme le font les touristes

Parquées dans un club à l’étranger :

Il se sente chez eux tout en étant ailleurs.

.

Les autochtones ne sont que des personnes

À leur disposition qu’ils payent pour les services.

Rien à voir avec modèles immersions totales

Lors séjours en des familles étrangères.

.

Les voyages accélèrent la jeunesse et ralentissent la vieillesse.

Bouger est toujours bénéfique, quel que soit l’âge… métier.

On  y découvre bien plus de choses qu’en restant chez soi,

On y fait des rencontres, qu’on ne fait pas sur Internet,

Prend confiance en soi, devenant, restant autonome.

.

Les voyages forment la jeunesse

On est bien d’accord : ouverture

D’esprit, autres espaces, mœurs.

.

Les relativités et les alternatives

Servent de meilleures références

Que tous les cancans de clochers.

.

J’ai bien voyagé entre 40 et 60 ans,

Partout en Europe, un peu le Monde

Un travail de prise en compte humain

Dans les télécommunications, médias.

.

Qu’en reste-t-il, une fois à la retraite :

Je garde un œil sur le Monde, devenir

Une folle envie de voyage, de partage.

.

.

367 – Calligramme  

 .

L’on voyage autant avec

Son âme que son… esprit, 

Son cœur, son corps,  sexe,

Tant successions situations,

Sont simples et complexes.

 .

L’âme s’enrichit toujours

De toute autre spiritualité,

Sans parler,  d’autres arts,

Voire, d’autres curiosités.

 .

Et l’esprit incite toujours,

À utiliser  fines diplomaties,

Respecter les us et coutumes,

Ne pas se contenter d’arguties.

 .

Et le cœur s’enrichit toujours,

De rencontres plus amicales,

En partageant les émotions,

Les dons,  à hauteur égale.

 .

Et le corps se met toujours

En mouvement, en danger :

Il est  assez  souvent fatigué,

Parfois souffrant ou stressé.

 .

Et le sexe est plus ou moins

Charmé, souvent sollicité,

Il ne resterait indifférent

À toute locale beauté.

.

****************************************

On dit que les  *    voyages forment la   *  jeunesse !

L’on devrait     O  ajouter et retarde la   F   vieillesse.

Même si l’on   N  ne fait pas les mêmes    O  voyages,

Même quand   *  l’on visite endroits iden    R   tiques

À vingt ans,   D  quatre-vingt ans sonnés,   M  d’âge,

Il n’en dem   I    eure pas moins qu’en pra  E    tique,

Les désirs   T      sont aussi intenses aussi  N   vivants

Et consis    *    tent à aller vers l’autre au   T   devant.

Rien ne     L     sert  d’être  sage, si on ne   *    bouge ;

Rien ne    E     sert de bouger si on n’est   L  pas sage

Un para    S   doxe qui nous éclaire  au     A  passage,

Sur quel    *     ques chemins emprunts    *  de rouge

Sur tracé   V      tant ce n’est pas le but     J    ni la fin

Qui comp  O      tent mais  la volonté de    E   la faim.

Faim des    Y       connaissances et décou   U    vertes,

Ce sont        A       grands   voyageurs qui     N       sont

Devenus       G       grands savants, poètes,   E    et ont

Dispensés     E         humanisme qui décon   S    certe,

Par sa vari     S         été de formes sur la pla S     nète

Où l’on se       *           croit cultivé : en fait,    E   bête.

.

Il n’y a ni lieu ni temps qui ne méritent de visites,

C’est toujours l’imprévu et l’inattendu, qui excite.

On dit que les voyages informent la… jeunesse !

L’on devrait ajouter : réforment la vieillesse !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

367 5

Changer l’image ici

.

Un flambeau, en haut

Avec  une botte,  en  bas

Piédestal  avec  statue :

De la liberté qui le sait ?

.

La statue de La Liberté aux USA

évoque le voyage et l’immigration

et son flambeau est toujours activé

ce qui rapproche la forme du fond.

 .

Cette statue de la liberté invite

Au voyage et à la découverte :

Son flambeau semble éclairer

Un monde entièrement nouveau.

 .

Symbolique 

.

Le flambeau est une sorte de torche.

Il symbolise : la lumière, la raison,

Le génie, la nuit, la médisance.

.

En Amérique il est l’attribut de

La Statue de la Liberté qui

Symbolise la liberté éclairant le monde.

.

Aux jeux olympiques, l’idéal olympique.

Il rappelle le feu sacré de la Grèce antique

Qui brûlait en permanence en sanctuaires.

.

Aujourd’hui, il est allumée au cours de la

Cérémonie d’ouverture par des femmes

Jouant le rôle de prêtresses d’Héra

Déesse protectrice des femmes.

1001symboles.net/symbole/sens-de-flambeau.html

.

Descriptif

 .

367 – On dit voyages forment la jeunesse !  

Alignement central / Titre analogue / Thème  voyage

Forme anthropo/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : flambeau / Symbole de fond : statue

.

.

Fond

.

Évocation 

.

367 6

.

Cette statue de la liberté invite

Au voyage et à la découverte :

Son flambeau semble éclairer

Un monde entièrement nouveau.

 .

Symbolique

 .

Pour la petite histoire,

Elle fut expédiée   vers le

Nouveau   Monde   en   350

Morceaux  remontés  sur place.

Depuis cette date, la représentation

De la déesse romaine Libertas a accueilli

Des milliers d’immigrants arrivés par bateau.

.

C’est effectivement cette statue de la liberté

Que la plupart des voyageurs apercevaient

En premier en arrivant à New York,

Symbolisant alors rêve américain

Et l’espoir d’un avenir meilleur.

Source : Airfrance.fr/FR/fr/common/

travel-guide/la-statue-de-la-liberte

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La statue de La Liberté, avec son flambeau

Fait office de phare à l’entrée de New-York

Bien plus pour les gens que pour bateau.

Aujourd’hui il y a bien plus de visiteurs

Que de personnes pour l’immigration

Peu d’américains savent que la statue

Est un don de la France, d’un sculpteur

Architecte, juriste et ingénieur français.

 .

.

Voyage retarde vieillesse !

 .

Scénario

.

Globe et transports constituent naturellement le symbole du voyage.

Routard le porte sur dos : s’il est vieux, c’est qu’il a su rester jeune !

Panoplie du voyageur itinérant autonome étant souvent à pied !

.

Visuels et textuels  >>

366 – De quoi se souvient-on d’un voyage !

Visuels et textuels >>  

.

De quoi se souvient-on

    Après  un  long voyage,

         De détails,  d’émotions,

              D’instants, de paysages.

.

                     Lors les milliers  d’images

                          Prises comme instantanés,

                              Vous serviront d’hommage,

                                      En tant que purs succédanés.

.

                                           Lors l’on verra alors s’empiler

                                                Sur des étagères … non rangés,

                                                     Albums car temps le fera défaut,

                                                      Pour exploiter toutes vos photos.

.

                                                  Chacun  se  souviendrait  mieux

                                                 Des moments partagés heureux,

                                             Et chacun, pour autant, diffère,

                                       Dans des détails  qu’il préfère.

.

                               Qui notent dépenses, horaires,

                          Comme un bel organisateur né

                      Qui, aux émotions s’en réfèrent,

                    Comme un poète perdu, déclaré.

.

              Nous étions là tel jour telle heure

           Et avons mangé un … local menu,

         Et nous nagions, en plein bonheur,

      Où, quand, je ne me  souviens  plus.

.

  À chacun sa propre façon mémoriser

  Tel ou tel détail,  tel ou tel  événement. .

De les extérioriser,  de les intérioriser, …

Et demeurera, souvent, le seul garant………

.

Le Temps, filtre sans filet, oubliera tout ………..

Et bien plus, souvent, il mélangerait tout : ………..

Si aucune note écrite, aucune photographie …………

Ne peut vous servir, de support, repère : fini. …………..

.

.

Extensions

.

Des personnes se souviennent de tout,

Quelques autres : de rien ou  …  presque,

La majorité, de quelques faits marquants :

Randonnées, et paysages, visites, et soirées,

Rencontres, voyages, incidents, surprises !

.

Passant trop peu de temps à un endroit,

On n’a pas le temps d’imprimer, en soi,

De l’intérioriser, et c’est l’étonnement.

.

Quand l’on regardera la photo  qu’on

A prise et rapidement à cet endroit :

 «C’est  où,  ça,  c’est moi  qui  l’ai  prise

Cette photo, ne m’en souviens pas»

Et voilà comment on se fait piéger.

.

Combien de photos  de paysages,

Panoramas  à couper  le souffle,

Ai-je vu chez des amis ou relations,

Gâchées par leurs portraits en avant plan !

.

Dix fois, quinze fois, vingt fois même paysage,

Même pris sous tous les angles, ne remplaceront

Jamais le fait d’y être physiquement.

Différence entre les souvenirs

De lecture et photos de voyage :

Y être, y avoir été, en témoigner !

.

Les souvenirs s’adressent autant au copieur qu’à la raison

On ne demande pas ce qu’on a découvert d’astucieux,

On demande, et en premier, ce que l’on a aimé :

L’un n’empêche pas l’autre, curieux émeut

Mais il ne restera que… l’essentiel,

Et seul vous le déterminera,

Vous, s’en souviendra.

.

Il arrivait avant le retardateur et le selfie

Que ce soit la même personne  qui prenne

Toutes les photos d’un voyage en reportage

Et qui, après, au retour, n’apparaissait pas

Sur aucune et sans que cela soit volontaire.

.

Mieux est de demander à quelqu’un d’autre

De prendre la photo, s’il le veut bien, le sait

Avec smartphones, plus besoin de réglages.

Là aussi on a parfois des surprises de flous

Ou de doigt qui dépasse ou de mitraillage.

.

.

Épilogue

.

Presque tout le monde … souvenir gardera

De ses voyages et surtout hors de son pays,

Bien que ce ne soit pas… ce que l’on en dit,

Dépend de ce qu’on y cherche et y trouvera.

***

J’en ai connu se souvenant de presque tout,

Étaient intarissables, et précis, malgré tout,

On aurait cru qu’un guide ils avaient appris

Et le récitaient… sans le moindre parti pris.

***

J’en ai connu parlant des plages, des loisirs,

Ayant passé un mois en un club de touristes,

Sans le moindre mot sur coutumes, cultures :

Venus pour consommer, non visiter, partager.

***

Et j’en ai connu qui ont passé tout leur séjour

À participer aux fêtes, aux événements locaux

Communiquant, recevant, prenant des photos

De leurs meilleurs amis pour en revoir un jour.

***

Le pire que j’ai vu, à n’en pas croire ses yeux :

Nombre photos de chambres d’hôtels luxueux,

Ou de casinos… voire de tables de restaurants,

Au point : quels pays visités, les questionnant !

***

Y aller avec gens du pays est le mieux qui soit.

On constate qu’intérêts, souvenirs, sont variés,

Selon une échelle allant de un à cinq barreaux,

Mais faites vous-même votre classement perso.

***

Souvenirs, comme chacun sait, s’estomperont,

Avec le temps et parfois même se mélangeront.

Le mieux est rédiger un journal + album photo

Parfois ça ne suffira pas : un trou de mémoire.

.

.

366 – Calligramme

 .

De quoi se souvient-on

    Après  un  long voyage,

         De détails,  d’émotions,

              D’instants, de paysages.

 .

DE QUOI ……

                      Lors les milliers  d’images

                          Prises comme instantanés,

                              Vous serviront d’hommage,

                                      En tant que purs succédanés.

                  .        

                            SE SOUVIENT-ON

                                           Lors l’on verra alors s’empiler

                                                Sur des étagères … non rangés,

                                                     Albums car temps le fera défaut,

                                                      Pour exploiter toutes vos photos.

            .                           

                                     APRÈS UN VOYAGE !

                                                  Chacun  se  souviendrait  mieux

                                                 Des moments partagés heureux,

                                             Et chacun, pour autant, diffère,

                                       Dans des détails  qu’il préfère.

 .

  DE QUOI

                               Qui notent dépenses, horaires,

                          Comme un bel organisateur né

                         Qui, aux émotions s’en réfèrent,

                       Comme un poète perdu, déclaré.

 .

 SE SOUVIENT-ON…

               Nous étions là tel jour telle heure

             Et avons mangé un … local menu,

           Et nous nagions, en plein bonheur,

         Où, quand, je ne me  souviens  plus.

 .

APRÈS UN VOYAGE ! ……………

  À chacun sa propre façon mémoriser

  Tel ou tel détail,  tel ou tel  événement. .

De les extérioriser,  de les intérioriser, …

Et demeurera, souvent, le seul garant………

.

Le Temps, filtre sans filet, oubliera tout ………..

Et bien plus, souvent, il mélangerait tout : ………..

Si aucune note écrite, aucune photographie …………

Ne peut vous servir, de support, repère : fini. …………..

.

..

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

366 4

.

Une route en campagne

Ou des rails bord de mer

Ou une échelle … infinie,

Qui se perd en souvenir.

.

Échelle et souvenir grimpent ensemble

et même  s’ils ne se rejoindront  jamais,

ils se renvoyant leurs différentes images

si fait que la forme évoquera les fonds.

.

Tout voyage est envolée, embellie,

 Échelle pour notre imaginaire :

Lors les souvenirs restants seront,

Forcément, les plus marquants !

.

Symbolique

.

Symbole entre la terre et le ciel,

De l’ascension et de la valorisation,

L’échelle indique ascension graduelle

Et une voie communication  à double sens.

.

Hauteur, dimension d’un être vu de l’extérieur,

Tandis que la profondeur, sera vue de l’intérieur.

L’arc en ciel conduit à l’idée même de l’échelle.

Dans la  psychanalyse, l’escalade, l’escalier,

L’échelle tiennent une place importante.

.

Dans les rêves, l’échelle en tant que

Moyen d’ascension fait  peur,

L’angoisse ou contraire

La joie et la sérénité.

Crainte qu’échelle

Ne se renverse.

.

Descriptif

 .

366 – De quoi se souvient-on après voyage !

Alignement central / Titre absent / Thème  Réunion

Forme courbe/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : échelle / Symbole de fond : souvenirs

.

Fond

.

Évocation 

.

366 6

.

Tout voyage est envolée, embellie,

 Balance pour notre imaginaire :

Lors les souvenirs restants seront,

Forcément, les plus marquants !

.

Symbolique 

 .

Offrir des souvenirs

Signifie simplement

« Je   pense   à    vous ».

C’est la fleur qui permet

De dire que l’on a,  a eu,

Une pensée… affectueuse

Envers un de ses  proches.

.

Elle est utilisée pour exprimer

Le souvenir : mythologie grecque,

La jeune Io fut transformé en génisse

Par son amant Zeus en vue d’échapper

À la vengeance d’Héra

Puis déposée dans un champ, de pensées,

Pour y passer  la fin  de  sa vie, à déguster

Le souvenir de son amour.

des-fleurs-pour-vous.com/les-fleurs-langage-pensee

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les souvenirs ont une échelle de temps

Mais surtout d’importances, sentiments

Photos de familles, de groupes, de fêtes,

Étant placés au plus haut de l’échelle :

Celles auxquels, toujours, l’on tient,

Comme un trésor irremplaçable

Comme un résumé de sa vie

Qui lui donnera un sens

Qui nous appartient.

 .

Scénario

.

Par exemple, de la délicieuse vanille bourdon de l’Ile de La Réunion,

qu’on trouve au marché local, en forme de bâton, parfumé naturel,

de la bière locale du nom volatil disparu, indigène de La Réunion.

 .

.

Carnet, crayon, appareil photo

.

 .

Scénario

.

Par exemple, de la délicieuse vanille bourdon de l’Ile de La Réunion,

qu’on trouve au marché local, en forme de bâton, parfumé naturel,

de la bière locale du nom volatil disparu, indigène de La Réunion.

 .

Visuels et textuels >>

365 – Des pays où il fait toujours beau

Visuels et textuels  >>  

.

Des pays où il fait beau

Pays où il fait toujours bon,

Vivre sans se soucier de la météo,

Il en existe peu,  sur notre planète !

Et l’ile de La Réunion  en fait partie,

Non pas que ce soit le royal paradis

Mais l’on y vit près de la Nature,

Sans oublier bienfait Culture.

.

Tout se passerait dehors :

Dedans, cuisine sommeil,

Randonnée, ici, visite là :

Avec son boléro/chapeau.

.

Il est des pays où il fait toujours beau

Au point quelquefois susciter tel ennui,

L’on souhaite que tombent fortes pluies,

Pour rythmer les périodes avec et sans eau.

.

Le soleil est bienfait, tant pour vue que moral,

Car il permet de prévoir, et cela n’est pas banal,

Des activités poursuivies sur des longues durées,

Sans se soucier intempéries possibles annoncées.

.

Beaucoup se prétendent malheureux dès qu’il pleut,

Au point de relever, et très souvent la tête, aux cieux,

Comme si  aucun rayon de soleil ne pouvait se loger,

À l’intérieur d’eux-mêmes pour nuage, compenser.

.

C’est vrai que gens du nord sont plus besogneux

Que ceux du sud, qui préfèrent, de loin, mieux,

Musarder, bronzer, ou s’étaler, en plein soleil,

Quand tous les touristes aiment à faire pareil.

.

Le soleil est comme manne tombant d’un ciel

Où la vue de ce dernier vous rendrait si joyeux

Que, ne manquez de rien   d’autre, êtes heureux,

D’un  peu  que  vie ……………. sous  bel  arc-en-ciel.

.

.

Extensions

.

On ne peut pas dire qu’il fait du soleil

Tous les jours à l’ile de La Réunion.

Il arrive qu’il pleuve quinze jours

De suite et  sans discontinuer !

.

Le ratio soleil/pluie reste favorable

Au tourisme aux activités de plein air.

C’est la brume qui est la plus fréquente,

Dans les hauteurs et qui bien peut vous

Gâcher le paysage, en fin de matinée,

Au moment même où vous parvenez

Enfin au sommet  de votre marche,

Pour  profiter, à plein, du, spectacle

Des cirques de Mafat,  Salazie,  Cilaos.

.

Sur nos quinze jours de séjour fin mars

Deux de pluie et un en plein brouillard :

La vie  sous soleil, qui dure  quinze jours,

Est  organisée  autour du jardin, ou treille,

Terrasse qu’à l’intérieur même des habitations.

C’est typiquement ce que l’on recherche en congé :

Ne se soucier du temps qui passe, du temps qu’il fait !

.

Nous avons eu quinze jours de beau temps, et à suivre :

Qui s’en plaindrait, d’autres n’ont pas eu cette chance

Enfin La Réunion ce n’est pas l’Islande ni l’Irlande

Il peut pleuvoir toutefois  une semaine de suite

La preuve  en  est, le climat tropical du sud

Alors  qu’en nord,  il fait chaud  et sec :

Y a plusieurs climats, en la saison :

Soleil, plage, orage, montagne :

Rester zen avant tout, météo.

.

Pour ce qui est de nous changer

 De notre Bretagne, ça nous change

Un mois de beau temps … inespéré.

.

Gens vivent dehors et rien ne rangent

Il n’y a pas de météo  qui les dérange :

Vêtir, bermuda/tee-shirt tout le temps.

.

On en viendrait à croire en un… paradis

En creusant, même s’il y a bonne entente

Beaucoup se disent isolés et loin de Paris.

.

Et  par conséquent, ils veulent  venir vivre,

Ou travailler  en Métropole, sinon étudier :

Comme quoi nul n’est prophète de son pays.

.

.

Épilogue

.

Un flacon en forme, couleur, du soleil,

C’est un peu l’image de pays tropicaux

Où, quel que soit la saison, il fait beau,

Pour les pays du Nord : c’est merveille.

***

On a beau faire, on ne pourrait jamais

Mettre en bouteille de soleil condensé,

Faut aller le chercher là où il apparait,

Ce n’est pas le cas sous ciel… ennuagé.

***

Or, comme rien n’est stable ni parfait,

Toute une année : monotonie survient,

Chez les humains, des plus insatisfaits,

On aimerait la pluie, soleil on se plaint.

***

Pour ce qu’il en est d’Ile de La Réunion,

Alternance, sans chute de températures

Sauf exceptions  quelques jours par an,

Avec moyenne autour de trente degrés.

***

De mai à novembre, climat … variable,

Ni trop chaud, ni trop froid : agréable.

Et de janvier à mars il fera plus chaud,

Avril, en montagne, temperature zéro !

.

.

365 – Calligramme

 .

Des pays où il fait beau

Pays où il fait toujours bon,

Vivre sans se soucier de la météo,

Il en existe peu,  sur notre planète !

Et l’ile de La Réunion  en fait partie,

Non pas que ce soit le royal paradis

Mais l’on y vit près de la Nature,

Sans oublier bienfait Culture.

Tout se passerait dehors :

Dedans, cuisine sommeil,

Randonnée, ici, visite là :

Avec son boléro/chapeau.

L A     R  É  U  N  I  O  N 

Il est des pays où   P  il fait toujours beau

Au point quelquefois   A    susciter tel ennui,

L’on souhaite que tom      Y    bent fortes pluies

Pour rythmer les périodes      S   avec et sans eau.

                        *

Le soleil est bienfait, tant pour     O    vue que moral,

Car il permet de prévoir, et cela        Ù   n’est pas banal,

Des activités poursuivies sur des lon     *         gues durées,

Sans se soucier intempéries possibles     I            annoncées.

                                      L

Beaucoup se prétendent malheureux        *        dès qu’il pleut,

Au point de relever, et très souvent         F     la tête, aux cieux,

Comme si  aucun rayon de soleil           A    ne pouvait se loger,

À l’intérieur d’eux-mêmes pour          I      nuage, compenser.

                      T

C’est vrai que gens du nord          *    sont plus besogneux

Que ceux du sud, qui préfè      B    rent, de loin, mieux,

Musarder, bronzer, ou s’é    E    taler, en plein soleil,

Quand tous les touristes   A  aiment à faire pareil.

  U

Le soleil est comme manne tombant d’un ciel

Où la vue de ce dernier vous rendrait si joyeux

Que, ne manquez de rien   d’autre, êtes heureux,

D’un  peu  que  vie ……………. sous  bel  arc-en-ciel.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Evocation 

.

.

Une poivrière ou une salière

Un pion dans un jeu de société

Ou une concentration soleil,

Ou un flacon de parfum ?

.

Soleil et parfum vont bien ensemble :

chaleur magnifie, exhausse ce dernier

et son odeur persiste jusqu’en soirée :

forme en soleil évoque fond chaleur.

.

C’est un flacon de parfum

Qui évoquera bien un soleil :

Son odeur nous met souvent

 Dans même  joie …  pareille.

 .

Symbolique 

 .

Plus qu’un simple contenant

Qui protège le parfum de la lumière,

Le flacon est un véritable écrin invitant

À la découverte du jus qu’il renferme

Et en faire un objet de désir,

En véhiculant l’image de

La maison de parfum ou marque.

À charge pour le designer de jouer

Sur les volumes et sur les couleurs

Et sur les matériaux pour imaginer

Un flacon d’exception, qui deviendra

Un véritable objet de collection.

Modifié, source :cosmopolitan.fr/

les-parfums-et-leurs-flacons

.

Descriptif

.

365 – La Réunion : pays où il fait souvent beau  

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme anthropo/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : flacon   /  Symbole de fond : soleil

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

C’est un flacon de parfum

Qui évoquera bien un soleil :

Son odeur nous met souvent

 Dans même  joie, pareille.

 .

Symbolique 

.

Lorsque coucher

De  soleil  apparaît  à

L’horizon du rêve, le message

Est à l’ensoleillement de l’univers de

La vie du rêveur lors ce dernier sort des

Ténèbres, il bénéficie des énergies possibles.

.

Si fait que contempler un soleil rayonnant,

Est signe irradiation, force, affirmation

Toutes actions et sentiments d’éclats,

Illuminés par des joies intérieures.

Soleil noyé dans les nuages ;

Une dose de tristesse

En présage.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La météo en hiver est des plus chaleureuses

Atteignant parfois jusqu’aux quarante degrés

Plus on grimpera,  plus on trouvera plus frais,

Lors faut se mettre au parfum pour bien dormir

À moins d’être adepte, nuits blanches sur plage,

En bord de mer, les nuits resteront très chaudes,

Vers les mille mètres, l’air reste doux, respirable.

Parfois il y a quinze jours de pluies ininterrompues.

C’était le cas, deux semaines avant, coup de chance.

 .

.

Toute l’année, rafraichir

.

 Scénario

.

Soleil vous accompagne de l’Est en Ouest, jusqu’à son dernier rayon.

Carte thermique températures été La réunion : chaud quand même !

La nuit il fait parfois au-delà de vingt-cinq degrés : sommeil difficile.

 .

Visuels et textuels  >>

364 – Sept vacanciers, quinze jours à La Réunion

Visuels et textuels >> 

.

Sept vacanciers, quinze jours,

À peine le temps de faire le tour,

De l’Ile de La Réunion  …  d’amour,

Tant choses à voir, au centre, autour.

.

Nombre paysages, et climats, changent,

Du nord au sud, et  autant, d’est en ouest,

Sans compter du rivage jusqu’au sommet,

Il fait chaud, en bas, il fait froid en haut.

.

Pour bien faire, il faudrait trois mois,

Pour approcher toutes ressources,

Que cette île recèle en son sein :

C’est un minimum de temps !

.

Trois femmes, quatre garçons,

Couple de résidents au Tampon

En ville, au  cœur  de  La Réunion !

Voilà la belle troupe faisant trempette

À peine arrivé en eau chaude d’un lagon,

Loin de leur Bretagne, loin de ses tempêtes,

Sans moindre cri ni moindre vol de mouette.

.

Chacun appréciera, à sa façon et à sa mesure,

Ces atmosphères ondes dans des eaux pures,

Et que, La Réunion  sait offrir, aux estivants,

De métropole, parfois, en grands tourments,

De gouter, charme  de randonnée, matinale,

En cirque volcanique,  ou, en parc  régional,

Au-dessus des nuages,  de vapeur virginale,

Chaque journée, même très bien préparée,

Réserve  ses  flots  de problèmes  à régler.

.

La vie à La Réunion réclame pour moitié,

De l’organisation, doses d’improvisation

Fait appel  à la raison, et à l’imagination,

C’est cela qui fait son charme  et  passion

Cette ile est recouverte pleine végétation,

Gorgée de fruits et cela en toutes saisons.

.

Ce caillou  est Volcan  de l’Océan Indien.

Chacun s’approprie et chacun le fait sien

De vouloir flirter le piton de sa fournaise

On s’y sent comme un invité très à l’aise,

Et cela, bien qu’aucune herbe n’y pousse,

Et cela, bien que le cratère, ouvert, tousse.

.

Les filles d’ici, habillée, parfois, en pagnes

Font impressions, d’agréables compagnes,

À leurs hommes, hâblés, de ces montagnes,

Ou races, cultures et religions, se mélangent,

On trouvera autant, ici, de dieux que d’anges.

.

.

Extensions

.

L’Ile de La Réunion ne peut que

Nous laisser des souvenirs inoubliables,

Non pas parce qu’elle est française, volcanique,

Équatoriale, parce qu’elle est, simplement, magique.

Peu d’iles en Pacifique, peuvent prétendre à un tel statut.

N’étant pas une agence de tourisme, je n’en dirai pas plus.

Un avantage certain est de connaitre et de  fréquenter

Les habitants du coin, cela est vrai partout,

Cela est vrai à tous les coups.

.

Le tourisme, de voyage d’exploration, d’initiation, comparaison

Est devenu peu à peu une exploitation et une industrie de masse

Et ce mouvement mondial, planétaire est loin de son pic d’affaire

Nous sommes sept, pour quinze jours, logés en location vacances,

Mais il y a des autocars entiers remplissant les hôtels et les plages.

Tant mieux pour les uns tant pis pour autres, touriste est passager.

Il est matière première autant, sinon plus, qu’un humain, un frère !

Un instant, j’ai pensé, avec ma femme, m’y installer comme résident

L’envie est passée, nous nous sommes dit qu’on y reviendra souvent !

.

En famille ou en groupe,

Un voyage restera différent

Que tout seul, voire en couple

Souvenirs marqués par temps.

.

Nous avons avantage sur touristes,

Débarquant sans lien, ni connaissance,

Femme originaire de l’ile avec ses parents

Et une fratrie, toujours résidente, et jeune.

.

Lorsque nous les rencontrerons, plusieurs fois,

Nous échangeront, avec eux, sur le climat social

Qui nourrit les élections municipales prochaines

Les principaux problèmes qui se posent sur l’Ile.

.

.

364 – Calligramme  

.

Sept vacanciers, quinze jours,

À peine le temps de faire le tour,

De l’Ile de La Réunion  …  d’amour,

Tant choses à voir, au centre, autour.

Nombre paysages, et climats, changent,

Du nord au sud, et  autant, d’est en ouest,

Sans compter du rivage jusqu’au sommet,

Il fait chaud, en bas, il fait froid en haut.

Pour bien faire, il faudrait trois mois,

Pour approcher toutes ressources,

Que cette île recèle en son sein :

C’est un minimum de temps !

.

Trois femmes,   S   quatre garçons,

Couple de rési      E  dents au Tampon

En ville, au cœur    P      de La Réunion !

Voilà la belle troupe T     faisant trempette

À peine arrivé en eau   *    chaude d’un lagon,

Loin de leur Bretagne,   V   loin de ses tempêtes,

Sans moindre cri ni mo   A  indre vol de mouette.

      C

Chacun appréciera, à sa    A  façon et à sa mesure,

Ces atmosphères ondes,   N       en des eaux pures,

Et que, La Réunion sait   C      offrir, aux estivants,

De métropole, parfois     I     en grands tourments,

De gouter, charme de     E    randonnée, matinale,

En cirque volcanique,    R     ou, en parc  régional,

Au-dessus des nuages,    S      de vapeur virginale,

Chaque journée, même     *     très bien préparée,

Réserve ses flots  de pro   À        blèmes  à régler.

            *

La vie à La Réunion réc      L   lame pour moitié,

De l’organisation, dose        A     d’improvisation

Fait appel  à la raison, et       *    à l’imagination,

C’est cela qui fait son char     R     me et passion

Cette ile est recouverte plei    É    ne végétation,

Gorgée de fruits et cela en      U  toutes saisons.

                        N

Ce caillou est Volcan  de        I  l’Océan Indien.

Chacun s’approprie et cha   O   cun le fait sien

De vouloir flirter le piton   N   de sa fournaise

On s’y sent comme un in   * vité très à l’aise,

Et cela, bien qu’aucune     herbe n’y pousse,

Et cela, bien que le cratère, ouvert, tousse.

.

Les filles d’ici, habillée, parfois, en pagnes

Font impressions, d’agréables compagnes,

À leurs hommes, hâblés, de ces montagnes,

Ou races, cultures et religions, se mélangent,

On trouvera autant, ici, de dieux que d’anges !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

364 4

.

Un pion sur un échiquier,

Un flacon avec un bouchon

Une silhouette de touriste,

Réalisée en forme de LEGO ?

.

Difficile de reconnaitre silhouette de dos,

En étant immobile :

Et qui plus est quand il s’agit d’un touriste

Et donc non natif.

.

Symbolique 

.

Réflexion sur ce que

Nous voyons, croyons de nous,

Ou que nous donnons à voir,

Notre aspect, notre

 Silhouette.

.

Ce que nous pensons logique, normal,

Ce que majorité des personnes veulent,

C’est-à-dire une silhouette, dite parfaite,

Plutôt mince, est loin d’être l’évidence

Pour notre cerveau-ordinateur.

.

Le seul régime qui marche

Vraiment et à long terme

C’est l’amour inconditionnel

Que nous devons nous donner.

Plus   nous  nous  acceptons,

.

Plus nous aurons le poids

Qui nous  convient  et

La silhouette que

 Nous devons avoir.

ladv.biz/la-silhouette-en-decodage

.

Descriptif

.

364 – Vacanciers, quinzaine à La Réunion  

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme anthropo/ Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : silhouette  / Symbole de fond : touriste

.

.

Fond

.

Évocation 

.

364 6

.

Difficile de reconnaitre silhouette de dos,

En étant immobile :

Et qui plus est quand il s’agit d’un touriste

Et donc non natif.

.

Symbolique 

.

Manuel de l’Antitourisme,

Rodolphe Christin observe que

« L’un  des  paradoxes  du   tourisme,

D’aujourd’hui est : de tuer ce dont il vit,

Comme  véritable  parasite  mondophage.

Elle préfère le divertissement à la diversité.

.

Le premier est en effet plus confortable car

Il ne remet rien en cause. Ainsi le touriste

Déclare son amour à cette planète dans

Ses moindres recoins, ce faisant, pourtant,

Il contribue à l’épuiser et  impitoyablement »

Source : wikipedia.org/wiki/Tourisme_de_masse

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Comment distinguer un touriste, d’un natif :

Partout où l’on va, on se posera la question

La langue, bien sûr et, parfois, la couleur

La Réunion : y a tant de métropolitains,

Qu’on prendra le risque de se tromper,

Au moins une fois sur deux sinon plus.

.

Mais bon les indiens ça se verra bien,

Et les malgaches, pas très loin, aussi,

Mais le reste serait tellement métissé,

Que ce n’est même pas peine d’essayer,

Pour ma part, je ne m’y suis pas risqué !

 .

.

Le centre et le tour de côte de La réunion

.

Scénario

.

Résidence proposée aux touristes, tout  comme la nôtre,

pas très loin d’un plage, où l’eau est à vingt-cinq degrés,

nombreux lacs intérieurs au bord desquels piqueniquer.

 .

Visuels et textuels >> 

363 – Notre bain dans une cascade

Visuels et textuels  >> 

.

Notre bain dans une cascade,

Disons plutôt au pied, en mare,

Creusée par chute bouillonnante,

Participe bien être, contraste fort,

Entre douche froide, et bain chaud,

Entre bruit tonitruant et murmure.

..

Et, c’est là, qu’a été prise ma photo,

 Figurant en ce site dans «A propos»

Et c’était avant le bain pour mettre

Mon esprit en train de s’immerger

Dans cette eau, pure … et bleutée

Ce bonheur j’ai pu me permettre.

.

En partant  de  la  côte  marine,

En remontant  moitié de ravine,

Des paysages verdoyants défilent,

En voiture ou à pied, on s’y faufile.

.

Au fond  d’une  gorge  profonde,

Où l’eau se laisse tomber en onde,

On entend des cailloux, tout contre,

Chanter sa mélodie claire qui gronde.

.

Une rivière  s’alimente, et  serpente,

Au pied du volcan de La Fournaise,

Voici que nous en sommes bien aise

Au pied de sa cascade, sous sa pente.

.

Tombe  son eau  claire, moussante,

Et tombe son eau saine et mouvante,

Son eau pure et bleue, et si décapante,

De sensation eau fraiche, eau glaçante.

.

Un bain, un  plongeon, s’imposent

Dans le creux de son bassin … à flot

Accumulant les énergies de cette eau

Glissante en roches qui nous reposent.

.

Ces bruits,  incessants,  tonitruants,

Bercent nos oreilles de leurs… chants

Racontent les frasques de son parcours

Depuis les hauteurs d’un volcan en four.

.

.

Extensions

.

De remonter une rivière jusqu’à sa source,

Marcher le long de ses méandres et grimper

Sur ses cascades, se baigner  dans ses torrents.

Ce n’est pas ce qui manque en Ile de La Réunion.

.

On  y  trouvera, tout  aussi  bien,  des  cascades  en

Bordures  de  mer   qu’en  contrepentes  de  monts.

Toutefois   les   endroits   propices  à  la   baignade,

Ne sont pas légions sinon totalement inaccessibles.

.

L’eau est beaucoup plus fraiche que celle de plage :

Cinq à six degrés de moins et bien plus tonifiante.

Une fois que l’on y est, dedans, se forçant un peu.

Le bruit de la cascade n’est pas non plus celui

Du sac et du ressac en vagues de la mer.

.

En cascade, il est puissant, continu,

Il vous tombe sur la tête de haut.

Ce sont là deux opportunités parmi d’autres,

Pour se baigner laissant deux impressions différentes

En souvenir et qui n’ont rien à voir avec un bain dans

Une piscine, à laquelle avions accès en hébergement.

.

Quoi de plus rafraichissant que de se baigner

Au pied d’une cascade en bassin bouillonnant !

Son écume vous apporte un peu de son oxygène

Tant l’on peut y nager sans crainte ni sans gêne

Il y a comme une crique, un cirque de verdure,

Où bruit d’eau tombante, sans cesse, perdure

Et l’on en frisonne de joie, d’émotion pure

Comme en paradis perdu et retrouvé

Où le temps s’est soudain arrêté.

.

Une cascade, la possibilité de baignade,

Cela peut faire cliché  pour ile exotique.

Il est vrai qu’en métropole, montagnes,

Bassins cascades sont autour 15 degrés.

.

Attention  à ne pas se laisser emporter,

Par le courant de cascades à répétition,

À moins d’être  un adepte du canyoning,

Toujours bien équipé, bien accompagné.

.

L’eau qui stagne et l’eau qui bouge, court,

Ne fournit pas mêmes sensations au corps

Cette dernière  est vraie cure de jouvence,

Dont on se réjouit et on profite, d’avance.

.

.

Épilogue

.

Un bain sous une cascade

Vous imaginez quelle douche,

Mieux que les jets de la thalasso,

Avec tout sur les épaules, buste, dos.

***

Je n’ai pu y rester  qu’une minute  dedans

Tant la pression d’eau écumeuse, était forte,

 J’ai nagé après  dans son bassin bouillonnant :

Je me suis senti de suite au mieux qu’on se porte.

***

Attendez, y a partout des tas de cascades différentes,

Vous imaginez, si elle avait été très grosse, très longue,

Elle m’aurait assommé groggy dès les première seconde,

Je ne serais peut-être pas là à vous raconter sa descente !

***

Vingt minutes à : nager, buller, plonger…dans son bassin,

Les piscines des jeux ludiques : très cher, il faut les payer,

Lors ici, c’est gratuit, c’est très agréable  et c’est très sain,

Bien que sans  confort et il faut marcher pour y accéder.

***

Dans les chutes du Niagara, je n’irais pas me doucher

Je n’en sortirais pas vivant, tant ce serait suicidaire

Dans une mare dormante, non plus …  meurtrière,

Tant en microbes, substances polluées, chargée.

.

.

363 – Calligramme

 .

BAIN ………………………………

Notre bain dans une cascade,

Disons plutôt au pied, en mare,

Creusée par chute bouillonnante,

Participe bien être, contraste fort,

Entre douche froide, et bain chaud,

Entre bruit tonitruant et murmure.

EN UNE ………………………..……………

Et, c’est là, qu’a été prise ma photo,

 Figurant en ce site dans «A propos»

Et c’était avant le bain pour mettre

Mon esprit en train de s’immerger

Dans cette eau, pure … et bleutée

  Ce bonheur j’ai pu me permettre.

CASCADE ……………………………

   En partant  de  la  côte  marine,

      En remontant  moitié de ravine,

           Des paysages verdoyants défilent,

                En voiture ou à pied, on s’y faufile.

RÉUNIONNAISE ……

                Au fond  d’une  gorge  profonde,

                     Où l’eau se laisse tomber en onde,

                           On entend des cailloux, tout contre,

                                 Chanter sa mélodie claire qui gronde.

BAIN ………………

                                  Une rivière  s’alimente, et  serpente,

                                  Au pied du volcan de La Fournaise,

                                     Voici que nous en sommes bien aise

                                        Au pied de sa cascade, sous sa pente.

EN UNE ….

                                       Tombe  son eau  claire, moussante,

                                            Et tombe son eau saine et mouvante,

                                                Son eau pure et bleue, et si décapante,

                                                  De sensation eau fraiche, eau glaçante.

    CASCADE

                                            Un bain, un  plongeon, s’imposent

                                                Dans le creux de son bassin … à flot

                                                   Accumulant les énergies de cette eau

                                                      Glissante en roches qui nous reposent.

                       RÉUNIONNAISE

                                                    Ces bruits,  incessants,  tonitruants,

                                                       Bercent nos oreilles de leurs… chants

                                                           Racontent les frasques de son parcours

                                                              Depuis les hauteurs d’un volcan en four.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

363 4

.

Grosse cascade bouillonnante

Qui tombe dans un bassin d‘eau

Comme une douche sur une tête

Comme une fraicheur de vivre.

 .

Se baigner sous une cascade,

Dans un grand bassin de plaisir :

On s’imagine au paradis naturel

Des tous premiers hommes !

.

Symbolique 

.

Contrairement à la rivière,

À la mer, au lac, étant en relation

Avec la symbolique de l’horizontalité,

La cascade demeure sans équivoque

En relation avec toute sa verticalité.

La chute d’eau qui part d’un haut

Pour tomber et arriver, en bas.

.

La cascade, après la source,

Fait les rivières, les torrents, les lacs.

Cela dit en d’autres termes, elle évoque

De manière imagée l’incarnation

De l’homme sur Terre.

.

Comparée à un rideau

Cachant une grotte ou une caverne,

Elle symbolise le tissu ou voile séparant

 Bien  le monde visible  du  monde  invisible.

Modifié,  source :  wikireve.fr/dir/4420-cascade

.

Descriptif

 .

363 – Bain en une cascade réunionnaise

Alignement central / Titre absent / Thème  Réunion

Forme oblique / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : cascade  / Symbole de fond : bassin

.

.

Fond

.

Évocation

.

363 6

.

Se baigner sous une cascade,

Dans un grand bassin de plaisir :

On s’imagine au paradis naturel

Des tous premiers hommes !

.

Symbolique 

 .

Le site des bassins de Saint-Gilles-les-Bains

Est un lieu remarquable parmi les plus prisés

Et fréquentés  de l’ouest de l’île  de La Réunion.

.

Situés dans ravine Saint-Gilles, les trois bassins

Et leurs cascades seront  facilement  accessibles

En 10, 20 ou 30 minutes de  marche  seulement.

.

Les bassins se succèdent, étant nichés au milieu

D’un magnifique paysage verdoyant, et offrent

Chacun un décor différent, l’eau douce, claire

Et très rafraîchissante des bassins invite

Les visiteurs à la baignade, l’’endroit

Est également idéal pour

Effectuer pause

 Pique-nique.

cartedelareunion.fr/listings/les-

bassins-de-saint-gilles-les-bains

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Cascades et bassins parfois s’enchainent

Tout dépend de comment l’eau se déchaine

Sur des pentes abruptes avec des parapets

Ici, c’est un large, c‘est un profond bassin

Où l’on se baigne en une eau à 20 degrés

Quand, à l’air libre : près de 35 degrés.

Le contraste est très fort  et bénéfique,

Pour la peau, et pour le corps entier,

Tant et si bien qu’on finit par rester,

Une heure ou deux sans s’y lasser !

 .

.

Formation naturelle de bassin cascade

.

Scénario

.

Des cascades dans l’Ile de La Réunion, il y en a beaucoup,

y a des simples avec de grands bassins pour s’y baigner,

et des multiples, d’où l’eau tombe de haut et de partout !

.

Visuels et textuels  >> 

362 -La visite du temple Tamoul

Visuels et textuels >> 

.

Faut montrer

Pattes blanches,

Lors bons chrétiens,

Lors… métropolitains,

Car si vous voulez visiter

Le moindre Temple…Indien,

Religion Tamoul n’est pas rien !

.

Faites d’abord ablutions

Des mains et des … pieds.

Le pantalon, et la chemise,

Sont de rigueur pour femmes

Pas de chaussures, de ceintures

En cuir tanné : faut rien d’animal,

Sur vous, qui souillerait votre âme !

.

Les statues, des plus bigarrées,

Avec plein de symboles convenus,

Nous aurons toutefois ouvert l’esprit

Sur un monde,  qui nous était inconnu.

On dit que toutes les religions  se valent,

Tamoul parait, bien sincère, et, bienvenue !

.

D’abord, trois tours d’un temple carré,  rond 

Par guide, faites-vous mener ensuite au vestibule

Où, grand garçon, marqué d’un point rouge au front,

Prie pour ses dieux Tamoul, en gardien …   en émule.

.

À l’extérieur, cent statues, des colorées, variées,

Divinités symboliques, moitié animale, humaine ;

D’autres sur le toit, empilées sur trois étages au carré

À toutes, les fidèles font leurs dévotions, par centaines.

.

À l’intérieur, sanctuaire des divinités sacrées,

Dans un patio étant réservé à la crème des fidèles,

Avec en plus sur les côtés, les sept planètes modèles

Qui faisaient naturellement objets de différentes piétés.

.

Saint des saints, protégé derrière porte ouverte

Était totalement inaccessible, à nous, les impurs,

Réservé aux prêtres et aux autres guides de l’azur :

Stop, ici ce serait sacrilège, serait même votre perte.

.

Grand seigneur, le guide, pour nous consoler,

Nous montre en la remise un grand char en bois :

Bien que de taille importante, onze tonnes, de poids,

Tous les ans il est, cérémonie, par fidèles Tamouls, tiré.

.

.

Extensions

.

Chaque religion a ses temples,

Rites, dévotions, interdictions, profanations.

On peut les critiquer, sans fondements, dépassés :

Jugement porté à partir de notre culture et civilisation.

.

Nous avons dans la religion catholique et chrétienne,

Nos rites et nos processions que d’autres religions

Ont du mal en en saisir le sens, voire la portée.

.

Traverser  des  feux de braise, en  marchant

Dessus, se percer la langue ou mutilation

Symboliques et cependant bien réelles

Peuvent  nous  sembler  inhumaines.

Mais toute religion,  par définition,

Comporte  bonne  part d’irrationnel

Et bien des traditions se poursuivent

Et se transmettent sans qu’on connaisse

Ni l’origine ni la raison : que traditions !

.

Des temples, lieux de cultes, il y en a pour toutes les religions

Chacune avec ses croyances, ses rites, ses coutumes, ses fêtes.

Résidents d’ile de La Réunion les accueille toutes, ou presque,

Et il ne se souciera pas d’en imposer une parmi tant d’autres :

Cette tolérance ou cette neutralité ou cette égalité religieuse,

Est rendue possible sur rocher loin de toute folie pour dieu

On peut en trouver, peu catholique en tous sens du terme

Lors il s’agit de troquer une croyance, contre une autre,

Toutes les religions se valent si elles ne sont déviantes

La secte et sectarisme ont conduit souvent à l’enfer.

.

.

362 –Calligramme

 .

UN

Faut montrer

Pattes blanches,

Lors bons chrétiens,

Lors… métropolitains,

Car si vous voulez visiter

Le moindre Temple…Indien,

Religion Tamoul n’est pas rien !

TEMPLE

Faites d’abord ablutions

Des mains et des … pieds.

Le pantalon, et la chemise,

Sont de rigueur pour femmes

Pas de chaussures, de ceintures

En cuir tanné : faut rien d’animal,

Sur vous, qui souillerait votre âme !

TAMOUL

Les statues, des plus bigarrées,

Avec plein de symboles convenus,

Nous aurons toutefois ouvert l’esprit

Sur un monde,  qui nous était inconnu.

On dit que toutes les religions  se valent,

Tamoul parait, bien sincère, et, bienvenue !

RÉUNIONNAIS

D’abord, trois tours d’un temple carré,  rond 

Par guide, faites-vous mener ensuite au vestibule

Où, grand garçon, marqué d’un point rouge au front,

Prie pour ses dieux Tamoul, en gardien …   en émule.

UN

À l’extérieur, cent statues, des colorées, variées,

Divinités symboliques, moitié animale, humaine ;

D’autres sur le toit, empilées sur trois étages au carré

À toutes, les fidèles font leurs dévotions, par centaines.

TEMPLE

À l’intérieur, sanctuaire des divinités sacrées,

Dans un patio étant réservé à la crème des fidèles,

Avec en plus sur les côtés, les sept planètes modèles

Qui faisaient naturellement objets de différentes piétés.

TAMOUL

Saint des saints, protégé derrière porte ouverte

Était totalement inaccessible, à nous, les impurs,

Réservé aux prêtres et aux autres guides de l’azur :

Stop, ici ce serait sacrilège, serait même votre perte.

RÉUNIONNAIS

Grand seigneur, le guide, pour nous consoler,

Nous montre en la remise un grand char en bois :

Bien que de taille importante, onze tonnes, de poids,

Tous les ans il est, cérémonie, par fidèles Tamouls, tiré.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

362 4

.

Un escalier pour monument

Ou un toit  à multiples étages

Servant de modèle  au temple

Plutôt indien, plutôt bouddhiste.

.

Temple est mot, édifice, générique

pour un bon nombre de religions :

dieu sait combien y en a hindoues,

aussi la forme convient au fond !

.

Temple Tamoul  ressemble  autre

Temple tout en étant différent :

Codes et rites, seront particuliers :

Il ne faudra pas porter de cuir !

.

  Symbolique

.

Importance du Temple,

Tant pratique que symbolique,

Tient en cela que c’est un objet matériel,

Ayant utilité, utilisation, précises et évidentes.

C’est un contenant. Il est possible d’y pénétrer,

De s’y tenir, d’y demeure, de s’y recueillir.

.

Le Temple est une unité de lieu

Où les hommes  sont  ensemble,

Où ils deviennent  un  Ensemble

Au sens mathématique du terme.

Ils y acquièrent   caractéristiques

Sans le Temple dirait  Bachelard,

L’homme serait un ordre dispersé.

Modifié, source : symbuli.pagesperso-orange.fr/

inaccessible_etoile/pages_etoile/s18-temple.

 

Descriptif

 .

362 – Un Temple Tamoul Réunionnais

Alignement central / Titre absent / Thème  Réunion

Forme superposée / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : temple    /     Symbole de fond : temples

.

.

Fond

.

Évocation 

.

362 6

.

Temple Tamoul ressemble autre

Temple tout en étant différent :

Codes et rites, sont particuliers :

Il ne faudra pas porter de cuir !

.

Symbolique d

.

Les

Temples

Hindouistes

Sont souvent dédiés,

À une divinité primaire,

Appelée la divinité tutélaire,

Et à d’autres divinités subalternes

Associées à cette divinité principale

En matière d’architecture, l’on peut

Dégager quelques règles générales.

.

Tout temple hindouiste  se compose,

Au minimum d’un cœur de sanctuaire

Appelé  garbha  griha  et  ensuite d’un porche

Permettant d’y accéder  mais   tout  sanctuaire

Est recouvert  et protégé  par une, ou des tours,

Plus ou moins haute, plus ou moins nombreuses.

Lors l’entrée s’effectuera toujours par un porche.

wikipedia.org/wiki/Architecture_des_temples_hindouistes

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Divers temples et nombres de religions

Ce n’est cela qui manque à La  Réunion,

Chacun peut pratiquer selon croyance,

Cette liberté est comme une évidence

Cela en fait un pays, pour tolérance,

Cela vous fait du bien en vacances.

 .

.

Maha Shiva Lingam

.

Scénario

.

Un temple hindou et qui visiblement n’est pas de chez nous,

avec ses statues, statuettes nichées en haut, un peu partout,

char hindou trainé à la main le jour de célébration rituelle !

.

Visuels et textuels >> 

361 – Seconde, longue randonnée

Visuels et textuels  >> 

.

Tout là-haut,

Sur la montagne,

Étant bien plus haute

Que notre belle Bretagne,

L’authentique forêt primaire

Nous attend et elle comprend,

Arbre, arbuste… fleur d’antan.

.

C’est un vrai, et un pur régal,

L’endroit est bien silencieux

Le paysage,  bien en creux,

Un long sentier en gravit

Sa colline impénétrable

En tous points, divine !

.

Lors nous y enfonçons,

D’un pas plus que léger,

En paysages  de fin d’été

Regorgeant  des verdures,

Et, de plantes,  si  sauvages

Que  l’on pourrait   en parler

Comme legs,  ou   sauvetages !

.

Entre haies roses,  qui jaunissent,

Ça monte, tourne, descend,   glisse,

Il faut tenir sa main qui tire et hisse

Afin que nos montées  ne rompissent

Le tour de chauffe, première montée.

.

Au bout  de  trois quatre, randonnées,

Vous serez roi des monts haut-perchés

Vous procurant points de vue extasiés.

Ici,  forêts  de  l’ile, vierges,  inhabitées,

Métropole : toutes exploitées,  spoliées ;

Ici, si vous jetez  une graine, elle pousse,

Là-bas, que chiendent, ronces, mousses !

.

Pour finir, la brume nous a pris et surpris

Par sa candeur, sa fraicheur sans la pluie,

Bien que, vite, chaleur du soleil, la dissipe,

Ça glisse encore assez pour se casser la pipe.

.

Une longue randonnée vous plongera et d’avantage,

Dans le paysage, dans la nature et jusqu’aux nuages

Car tout change, à chaque montée, à chaque virage,

Qui plus est, vous perdez du poids, finissez en nage.

.

La marche en montagne se compte en heures plus

Qu’en distance, vrai qu’il faut compter un quart

De temps en moins pour descente régulière.

Indications pancartes correspondent,

Temps des pauses non compris.

.

.

Extensions

.

Une petite

Randonnée fait ici

De quatre à cinq heures

Sur terrain pas trop dénivelé,

Une grande, de six à sept heures,

Sur terrain beaucoup plus accidenté.

.

Les forêts primaires, on ne les trouvera

Qu’à quinze cent mètres en les hauteurs,

Aussi faut-il grimper pour les atteindre,

Le silence est très impressionnant :

L’on peut se croire à mille lieux

De civilisation, d’habitations !

.

Une  boussole,  et  une carte,

Sont indispensables en lieux

Couverts des forêts primaires

Où les sentiers se ressemblent,

Et carrefours sont mal orientés :

On perd une heure si l’on se trompe.

.

Mon épouse devant, et moi derrière, et l’ami Pierre, qui suit :

Sommes tous trois en bermuda, tee-shirt et chapeau adéquat

Une première partie, facile, en pente légère, et bien régulière,

Suivie de quelques raidillons qui vous raidissent les tendons,

Et pour finir, un pic qui nous met l’estomac dans les talons.

Nous aurons fait quinze kilomètres et bu deux litres d’eau,

Sous un soleil frisant les 35 degrés en bas, et 25 en haut !

 Nous ne regrettons pas au vu du panorama imprenable,

Deux heures à le contempler entre le repas et la sieste.

.

L’on commence à grimper dans les hauteurs,

Et c’est de là qu’on voit la mer, de tous côtés,

On prend conscience des dimensions de l’ile,

Et de son caractère volcanique … accidenté.

.

Ce qui nous impressionne le plus : cirques,

Au nombre de trois et chacun son charme,

Et bien sûr la Fournaise encore en activité

Où l’on s’est promis d’aller jour prochain.

.

.

361 – Calligramme

.

Tout là-haut,

Sur la montagne,

Étant bien plus haute

Que notre belle Bretagne,

L’authentique forêt primaire

Nous attend et elle comprend,

Arbre, arbuste… fleur d’antan.

C’est un vrai, et un pur régal,

L’endroit est bien silencieux

Le paysage,  bien en creux,

Un long sentier en gravit

Sa colline impénétrable

En tous points, divine !

***************************

**************************

Lors nous y enfonçons,

D‘un pas plus que léger,

En paysages  de fin d’été

Regorgeant  des verdures,

Et, de plantes,  si  sauvages

Que  l’on pourrait   en parler

Comme legs,  ou   sauvetages !

Entre haies roses qui jaunissent,

Ça monte, tourne, descend   glisse,

Il faut tenir sa main qui tire  et hisse

Afin que nos montées  L ne rompissent

Le tour de chauffe   O    première montée.

Au bout de trois   N        quatre, randonnées,

Vous serez roi      G     des monts haut-perchés

Vous procurant    U         points de vue extasiés.

Ici, forêts de l’ile      E               vierges, inhabitées,

Métropole : toutes      *              exploitées, spoliées ;

Ici, si vous jetez une       R              graine, elle pousse,

Là-bas, que chiendent,       A               ronces, mousses !

Pour finir, la brume nous       N              a pris et surpris,

Par sa candeur, sa fraicheur        D                 sans la pluie,

Bien que, vite, chaleur du soleil        O                   la dissipe,

Ça glisse, encore assez, pour se casser    N                 la pipe !

Une longue randonnée vous plongera, et     N      d’avantage,

Dans le paysage,  dans la nature  et  jusqu’aux  É      nuages,

Car tout change, à chaque montée,   à chaque    E  virage,

Qui plus est, vous perdez du poids, finissez en   *  nage.

La marche, en montagne, se compte en heures plus

Qu’en distance, vrai qu’il faut compter un quart

De temps en moins pour descente régulière.

Indications pancartes correspondent,

Temps des pauses non compris.

À   L A   R  É  U  N  I  O  N  

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

Lors on randonne,

Il faut toujours garder

Une poire, pour la soif,

Voire des letchis locaux.

.

Poire et fruit exotique ont peu à voir

avec une randonnée en cirque, ou pic

au delà des mille mètres, il y en a peu

si fait que la forme diffèrera du fond.

.

Une poire est bien issue d’une fleur de poirier

 Qui ne produit le fruit exotique letchi

Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtus et goutés.

.

Symbolique 

.

Les grecs

L’auraient appréciée

La poire puisque Homère

Disait d’elle que c’était cadeau

Des dieux. Mais c’est aux romains

Que l’on doit  sa véritable  diffusion

Dans le reste de l’Europe,  l’auraient

Plusieurs fois croisée et auraient créé

Une cinquantaine de  variétés. Chine,

La fleur du poirier est le symbole du

Caractère éphémère de l’existence,

Car elle est très fragile. Occident,

Dans l’univers onirique, poire

Symbole érotique féminin.

patybio.over-blog.com/article-

petite-histoire-de-la-pyra-ou-poire

.

Descriptif

.

360 – Longue randonnée, à La Réunion   

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme  en courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : poire    /     Symbole de fond : letchi

.

.

Fond

.

Évocation

.

.

Une poire est bien issue d’une fleur de poirier

 Qui ne produit le fruit exotique letchi

Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtus et goûtés.

 .

Symbolique 

 .

Il s’agit du véritable symbole

Pour la belle  île de la Réunion !

Un letchi agréable à consommer,

Surtout pour les fêtes de fin d’année,

Letchi n’a pas que qualités gustatives.

.

Il s’agirait, aussi, d’un fruit  qui  possède

De nombreux bienfaits   pour notre santé,

Véritable source de fibres, le letchi est aussi

Très riche en vitamine C et en vitamine B9.

.

En dégustant le letchi de l’île de la Réunion,

Vous ferez du bien à vos papilles et santé !

blog-colipays.com/739/le-letchi-

le-symbole-de-lile-de-la-reunion

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le letchi est un arbre majestueux

Atteignant 20 mètres  de hauteur :

Il présente un houppier  volumineux,

Il est de forme  généralement arrondie.

Cultivé depuis plus de 4.000 ans en Chine,

 Et il aura été introduit à La Réunion en 1764.

Le fruit arrive à maturité au mois de décembre.

Gourmandise prisée  des Réunionnais,  les letchis

 Ornent tables de Noël et Jour de l’An à La Réunion.

 .

.

Belle forêt primaire

.

Scénario

.

Ma femme et moi, un ami, lors partie de montée facile, verdoyante,

qui nous procure vue panoramique  et  imprenable  sur un cirque,

projet de grimper sommet : sept heures de marche aller-retour !

 .

Visuels et textuels  >> 

360 – Première, courte randonnée

Visuels et textuels >> 

.

Facile sur le papier,

Facile, sur une carte,

Facile par les sentiers,

Facile avec… pancartes.

.

Au début, avons pied léger,

Grimpons  vers  les montées,

Descente, avons cœur, fatigué

Notre entrain nullement altéré.

.

Même quand une très raide pente

Ralentit notre marche, rendue lente

Quand racines nous feront trébucher,

Ferons bien attention à ne pas glisser.

.

Une petite pause, bienvenue et Petit-Lu,

Boire de l’eau n’est pas non plus, superflu,

Nous n’avons pas fini,  ne sommes pas d’ici,

Encore trois heures de marche, courage parti.

  .   

Nous traversons quantité de bois et de sous-bois,

Longeons quelques haies de plantes, fleurs des bois,

Et toutes ces végétations luxuriantes, de la fin de l’été,

Nous mettent nos yeux en émois, notre cœur aux abois.

   .

Une dernière pause, s’impose, avant d’attaquer la montée,

Casse-croûtes, bouteilles d’eau, commencent  à nous peser :

Oh hisse on s’arrache on s’agrippe à quatre pattes, grimper

On sue, on suffoque, on expire, soupire : cette fois on y est.

   .

Au bout d’un haut sentier en plein milieu de la randonnée

Il ne nous reste plus qu’à descendre quelque peu fatigué,

Notre journée aura été très longue,  dès six heures levés

Cela dit, à aucun moment, ne songerons à la regretter.

.

Facile sur le papier  ….  plus dur sur la montée :

Notre sort  de  randonneurs   réunionnais,

N’est pourtant pas des plus mauvais,

Il y en a d’autres à nous envier.

.

.

Extensions

.

Vrai que petite mise en jambes

Avant d’attaquer les plus longues

Et hautes randonnées, s’avère  plus

Que nécessaire, puis vital, à l’arrivée.

.

Vous débarquez, station  de ski, l’hiver,

Vous n’attaquez pas d’emblée piste noire

Prenant le risque de vous casser, de passer

Votre semaine de vacances dans un hôpital.

.

Une marche est  moins dangereuse,  violente.

Corps s’habitue à endurer, de mieux en mieux,

À se dépasser, à se surpasser,   jusqu’à vous faire

Comprendre le moment, l’endroit où  il serait bon

De souffler  ou, parfois, de s’arrêter, voire renoncer.

.

Chaleur, fraicheur, compteront autant que longueur,

Et hauteur de randonnée, boire est impératif absolu

Au-delà trente-cinq degrés, le corps se déshydrate

Nettement plus vite, et le fait faire une pause

Pour grignoter retarde l’hypoglycémie.

.

La première randonnée sera une, d’échauffement, d’acclimatation.

Elle ne sera pas trop longue, pas trop haute, et pas trop fatiguante.

Un sac léger sur le dos, contenant rien que le pic-nic, et  boissons,

Une marche non rapide, avec des arrêts fréquents pour souffler.

Il y a quand même et avant tout décalage, déphasage, horaire

À compenser et ce n’est pas en forçant que l’on va y arriver.

On risquerait de plus de se faire des ampoules ou entorse.

.

Faut se mettre en train, sans se forcer :

Dix kilomètres, premier jour, c’est assez,

Vingt nous auraient cassés genoux, pieds

En plus des trois heures d’horaire décalé,

.

Avec métropole  et  un coucher fort tard,

On est un peu zombies,  dans le coltard :

 Mal réveillé, lors en état de somnolence,

Randonnée ne doit pas être pénitence.

.

.

360 – Calligramme

 .

Facile sur le papier,

Facile, sur une carte,

Facile par les sentiers,

Facile avec… pancartes.

.

Au début, avons pied léger,

Grimpons  vers  les montées,

Descente, avons cœur, fatigué

Notre entrain nullement altéré.

.

Même quand une très raide pente

Ralentit notre marche, rendue lente

Quand racines nous feront trébucher,

Ferons bien attention  à ne pas glisser.

.

Une petite pause, bienvenue et Petit-Lu,

Boire de l’eau  n’est pas,  non plus, superflu,

Nous n’avons pas fini  *    ne sommes pas d’ici,

Encore trois heures de    C marche courage parti.

   

Nous traversons quantité    U   de bois et de sous-bois,

Longeons quelques haies de  R      plantes, fleurs des bois,

Et toutes ces végétations luxu  T      riantes, de la fin de l’été,

Nous mettent nos yeux en ém    E     ois, notre cœur aux abois.

     *

Une dernière pause, s’impose,      R      avant d’attaquer la montée,

Casse-croûtes, bouteilles d’eau,      A       commencent  à nous peser :

Oh hisse on s’arrache on s’agrip      N       pe à quatre pattes, grimper

On sue, on suffoque, on expire,         D       soupire : cette fois on y est.

              O

Au bout d’un haut sentier en plein       N        milieu de la randonnée

Il ne nous reste plus qu’à descendre       N        quelque peu fatigué,

Notre journée aura été très longue,         É     dès six heures levés

Aucun moment, ne songerons                E      à la regretter.

À     L A     R É U N I O N   

.

Facile sur le papier  ….  plus dur sur la montée :

Notre sort  de  randonneurs   réunionnais,

N’est pourtant pas des plus mauvais,

Il y en a d’autres à nous envier.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

.

Lors on randonne,

Il faut toujours garder

Une poire pour la soif,

Voire fruit exotique.

.

Poire et fruit exotique ont peu à voir

avec une randonnée en cirque, ou pic

au delà des mille mètres, il y en a peu

si fait que la forme diffèrera du fond.

 .

Une poire est bien issue d’une fleur de poirier

 Qui ne produit de fruit, de fleur exotique 

Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtues et goutés.

.

Symbolique 

 .

En chine,

La fleur du poirier

Est symbole du caractère

Éphémère de notre existence,

Tant elle est perçue comme fragile.

.

En occident dans notre univers onirique

La poire serait un symbole érotique féminin,

Les noms, qu’on lui a donnés, au fil  des siècles.

.

En témoignent assez bien : comtesse d’Angoulême

Belle lucrative, doyenne comice, duchesse Orléans

Galien y voit le fruit le plus propre à désaltérer,

Et de fait l’expression désormais populaire

Qui est de  » garder une poire pour la soif « 

N’est pas tout à fait dénuée de sens.

Source : patybio.over-blog.com/article-

petite-histoire-de-la-pyra-ou-poire

.

Descriptif

.

360 – Courte randonnée, à La Réunion   

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme  en courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : poire    /     Symbole de fond : fruit

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

.

Une  poire n’est pas ce qu’on peut appeler

Un fruit exotique :

Mais dieu sait s’il y en a, à La Réunion,

Des plus goûtues et goutés.

.

Symbolique 

.

Il est assez courant

De se voir dans des jardins fruitiers

Ou bien même devant un potager dans ses rêves.

Il est possible, aussi, de voir apparaître des fruits

Exotiques bien mûrs, appétissants en sa vision.

Tout cela n’est évidemment pas dû au hasard

Car tous ces fruits, légumes, ont un sens

Au niveau symbolique spirituelle.

crystallia.unblog.fr/symbolique

-des-fruits-et-legumes

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les poires et les fleurs de poiriers,

Pour sûr, seront des plus communes

Lors fruits exotiques sont découvertes

Pour un métropolitain, de la Bretagne.

.

En voit en certains magasins spécialisés,

Mais pas sur des plantes, arbres, pousser.

C’est vrai plaisir que de pouvoir les cueillir,

En saison ou les acheter sur les étals locaux.

Des ananas Victoria, mangues et bananes.

Letchis,  longanis,  papayes,   goyaviers,

Anones, jusqu’aux fruits de la passion,

Et j’en passe…  tant il y en a, y en a !

 .

.

Temps pour contemplation

.

Scénario

.

Une allée couverte d’arbustes sauvages se profilant en montant.

Plus en hauteur, la même avec une végétation sèche et tombante.

Arrivés à destination sur les bords d’un cirque, le moment pic-nic.

 .

Visuels et textuels >> 

359 – Conservatoire botanique

Visuels et textuels  >>

.

C’est vrai, difficile,

Comment vous décrire

Un tel plaisir de nos yeux,

Que d’observer, de contempler,

Une telle nature,  vierge, en ce lieu !

Il  faut  des jours,  si ce n’est semaines,

Pour prétendre en  avoir bien fait le tour,

Pour bien connaître, pour bien apprécier,

Quels sont fruits indigeste, fruit amour.

Tant vrai qu’homme  n’a jamais cessé

De bouleverser, ou modifier,

       Équilibre culture ile,

      Sur   floraisons,

   Étagées

.

Près de la mer, cannes,

Mi-hauteur, géraniums,

Tout en haut : orchidées,

Sa déforestation a grimpé

Sévi, faisant place à profit.

.

Conservatoire est concentré

Des plantes  et des végétaux,

On en trouve partout sur l’ile,

À différents endroits, niveaux.

.

Un coin de vallée  merveilleux :

Un parc de sept hectares, arboré

D’espèces de plantes par milliers,

Faisant des jaloux et des heureux.

.

Un paradis floral  pour les oiseaux,

Nulle part, n’avons vu  de plus beau

Partout, on les voit  voleter, chanter,

Du cardinal … au tisserin bien niché.

.

En fond d’allée,  en palier, champêtre,

L’on voit la grande maison, de maitre,

Flanquée  d’une  cuisine, dépendances,

Construites par un  Marquis de France.

.

Un jardin, paradisiaque et dans une ile,

Qui ne l’est pas moins, et, d’après nous,

Contraste fort avec les forêts primaires

   Qu’on trouve encore, en quelques coins.

.

      Une église … en forme de croix romaine,

          Sise à l’orée du parc, ouverte en semaine,

              Nous invite à remercier dieu, d’avoir créé,

                 Arbres, plantes, fleurs, et tant de diversité.

.

                    Toute végétation mérite  notre  attention :

                        Chacune raconte son histoire, colonisation,

                         Les espèces indigènes sont les plus rares,

                           Ce caillou est volcanique et sans tare.

.

.

Extensions

.

Il est difficile d’imaginer

Qu’à partir de rien ou de laves,

Voire de pierres ou cendres chaudes,

Refroidies peu à peu, il y est une végétation

Des plus florissantes après des milliers d’années.

Comme ne croyant pas à une génération spontanée,

Elles sont forcément venues d’ailleurs mais comment.

.

Ce sont, probablement, des oiseaux qui ont emporté

Des graines puis, plus tard, avec une colonisation

Par les premiers hommes,   quelques vaisseaux

Lors aujourd’hui, vous jetez n’importe quelle

Graine sur le sol et elle se prend à pousser.

Si cela n’a pourtant rien d’un miracle,

C’est quand même extraordinaire !

.

Un conservatoire dans une ile qui l’est elle-même, cela a-t-il du sens !

En un seul endroit se trouve rassemblées,

Nombre espèces végétales endémiques de La Réunion : ce n’est pas rien.

Et puis cela a été un apport de la métropole :

Marquis de France, Joseph Antoine Sosthènes d’Armand de Chateauvieux

1804 – 1885, domaine acheté par La Réunion 1986.

Voilà, vous savez tout ou presque, de l’histoire, en tous cas autant que moi !

Je vous conseille d’aller y faire un tour, voire long détour.

Rien que la collection d’orchidées, vaut à elle-seule, le prix du billet d’entrée.

.

Il y a comme des … différences

 Entre nombre de plantes et fleurs,

Dans la nature et jardin botanique :

C’est leurs proximités et leurs densités

.

Séduits par leurs arrangements en allées,

Leurs densités dans des serres spécialisées,

Le parcours s’avère être un plaisir des yeux,

En plus d’odeurs, parfums parfois capiteux.

.

Ce qui m’a le plus impressionné, n’a pas été

La gousse de la vanille, mais la marguerite.

J’ai appris qu’on en extrayait la substance

Ayant longtemps servie fixateur parfum !

.

.

359 – Calligramme

.

Vrai,     difficile :

Com  B  ment vous  C décrire

Un tel plaisir O             O     de nos yeux,

Que d’observer,  T        N     de contempler,

Une telle nature,      A   S      vierge, en ce lieu !

Il faut des jours,            E        si ce n’est semaines,

Pour prétendre en            R   N       avoir bien fait le tour,

Pour bien connaître,        V         I         pour bien apprécier,

Quels sont fruits indi   A               Q       geste, fruit amour.

Tant vrai qu’homme  T                     U        n’a jamais cessé

De bouleverser, O                           E      ou modifier,

       Équilibre I                                   *    culture ile,

      Sur   R                                 flora *   isons,

   E                                  étagées  *

L  A      R   É   U   N   I   O   N  

.

Près de la mer, cannes,

Mi-hauteur, géraniums,

Tout en haut : orchidées,

Sa déforestation a grimpé

Sévi, faisant place à profit.

Conservatoire est concentré

Des plantes  et des végétaux,

On en trouve partout sur l’ile,

À différents endroits, niveaux.

Un coin de vallée  merveilleux :

Un parc de sept hectares, arboré

D’espèces de plantes par milliers,

Faisant des jaloux et des heureux.

Un paradis floral  pour les oiseaux,

Nulle part, n’avons vu  de plus beau

Partout, on les voit  voleter, chanter,

Du cardinal … au tisserin bien niché.

En fond d’allée,  en palier, champêtre,

L’on voit la grande maison, de maitre,

Flanquée  d’une  cuisine, dépendances,

Construites par un  Marquis de France.

Un jardin, paradisiaque et dans une ile,

Qui ne l’est pas moins, et, d’après nous,

Contraste fort avec les forêts primaires

   Qu’on trouve encore, en quelques coins.

      Une église … en forme de croix romaine,

          Sise à l’orée du parc, ouverte en semaine,

              Nous invite à remercier dieu, d’avoir créé,

                 Arbres, plantes, fleurs, et tant de diversité.

                    Toute végétation mérite  notre  attention :

                        Chacune raconte son histoire, colonisation,

                         Les espèces indigènes sont les plus rares,

                           Ce caillou est volcanique et sans tare.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

359 4

.

Sauf  erreur  grossière, de ma part,

Je pencherais pour un champignon

Qui correspondra bien à pleine nature,

Bien qu’il s’agisse de jardin de fleurs.

.

Champignon, quel qu’il soit,

 Évoquerait toutes les botaniques 

Et puis, il y a tellement de fleurs

Qu’il serait dur de les représenter.

 .

Symbolique

 .

Les champignons

Sont tous des plantes qui,

Sous une apparence identique,

Sont  comestibles  ou   vénéneuses.

Champignons symbolisent soupçon.

En Asie, et, notamment, en  Chine,

Le champignon reste le symbole

De la longévité et fertilité.

En mythologie,

Il figure  parmi

Attributs du dieu

De cette longévité.

Cette  association

Tient, sans doute,

Qu’une fois séché,

Il se conserverait

Très longtemps.

1001symboles.net/symbole/

sens-de-champignon.

.

Descriptif

.

359 – Conservatoire botanique, La Réunion  

Alignement central / Titre oblique / Thème  Réunion

Forme  en X   /  Rimes libres    /    Fond accordé à forme

Symbole de forme : champignon / Symbole de fond : fleurs

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

Champignon, quel qu’il soit,

 Évoquerait toutes les botaniques 

Et puis, il y a tellement de fleurs

Qu’il serait dur de les représenter.

.

Symbolique 

 .

Les fleurs sont l’attribut

De Flore et parfois de l’Aurore

Ainsi que les figures allégoriques

Du Printemps, de la Logique,

De l’Espérance et de l’odorat.

.

La Logique, un des sept arts libéraux,

Portera, parfois, un bouquet de fleurs.

L’Espérance détient aussi cet attribut,

Fleur annonce future naissance fruit.

.

Niveau mythique, Zéphyr,

Le  vent  du  printemps,

S’étant  épris de Flore,

L’enlève et s’unit à elle

En mariage : en gage

De son amour, il lui offre de régner

Sur les champs et jardins cultivés.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_fleurs

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Les plantes exotiques et indigènes

Sont, souvent, des plantes exquises,

Qu’on voit par milliers à La Réunion,

En quelques exemplaires, en Métropole !

Champignon frais : faible valeur énergétique.

.

Ami indispensable de cuisine saine et savoureuse.

On trouve du cuivre, du potassium, du phosphore

Il y a, aussi, ceps et bolets, bella rosé, portobello.

Agrémentés de plantes à cuisiner, un vrai régal,

Sans oublier les orchidées et les cannes à sucre

 .

.

Fleur appelé Oiseau du paradis

.

Scénario

.

On a vu plantes et  fleurs aux allures peu communes en Métropole.

Ancienne demeure de Marquis de France, s’y intègre parfaitement.

Végétation est flamboyante, bien fleurie, bien odorante en la saison.

 .

Visuels et textuels  >>

358 – Programme des visites

Visuels et textuels  >> 

.

Lors nos deux amis, locaux,

Sont prévenants charmants

Seul fait de les voir arriver

Nous voilà déjà contents.

Et La Réunion comment

Lui consacrer du temps,

Y demeurer  longtemps,

Y revenir,  plus souvent.

.

Flâner et puis farnienté,

Pied manguier, cocotier,

Ou la valse à trois temps,

Nager, cuisiner, marcher.

Il n’est jamais … trop tard

Pour visiter et s’acculturer,

À  un si  accueillant caillou,

Que pleurerons en quittant.

.

Comme  en fous  de nature,

Demeurons  en émerveillés

De sa richesse  botanique,

Toute  en  fleurs, boutons.

Sans oublier sa … cuisine

Parfumée ou bien épicée

Dont toutes nos papilles

S’émoustillent, encore.

.

Chaque journée bien que programmée,

Réserve ses flots de problèmes à régler,

La vie à La Réunion réclame la tension

De l’organisation et de l’improvisation

Fait appel à la raison, à l’imagination,

Lors cela lui donne charme, passion.

.

L’ile est recouverte de végétations,

Gorgée de fruits en toutes saisons,

Ce caillou, volcan d’Océan Indien,

Chacun se l’approprie, le fait sien.

.

De flirter avec piton de Fournaise

On s’y sent comme invité, à l’aise

Bien qu’aucune herbe n’y pousse

Bien que cratère s’ouvre, tousse.

.

Les filles, d’ici, parfois, en pagnes,

Constituent d’agréables compagnes,

Aux hommes hâblés hors montagnes,

Races, cultures  religions se mélangent

On trouve ici autant dieux que d’anges.

.

Nos yeux, narines, oreilles pores, palais,

S’ouvrent  sur paysages, coutumes, mets,

Zoreilles pour blancs, Zarabes pour autres,

Deux semaines à passer, parmi eux apôtres

De nos us et coutumes,  de notre métropole,

Que beaucoup ne connaissent, n’étant créole.

.

.

Extensions

.

Présents en l’ile de La Réunion,

Il y aura de quoi faire pendant

Au moins deux mois, et, nous

N’avions que deux semaines.

.

Ce qui est frappant,

C’est cette correspondance

Harmonieuse, entre la diversité

Des climats, celle des végétaux,

Des maisons  et  des résidents.

Tout ici se côtoie, se mélange

 .

Se fréquente, se marie,

Sans exclusion, sans hiérarchie.

On aimerait bien connaitre ça,

En Métropole, faut pas rêver.

Huit  cent  mille  habitants

 .

En Ile La Réunion,

Huit millions en Ile de France,

Ce n’est pas qu’une question d’échelle

Mais de quantité, densité cohabitations.

.

Mais qu’est-ce qu’on est donc allé faire si loin et sur un caillou ?

Il parait qu’il y a de quoi et on peut se prélasser de rien du tout !

Il y a, la mer, les villes, les montagnes, les cirques, et les vallées :

De quoi marcher deux semaines en diversifiant, sans se reposer,

Sauf à faire la Diagonale du fou,  à toute vitesse, en deux jours !

Très peu pour moi je l’ai supprimé de la liste de mes randonnées

Je crois que je peux faire le fou autrement, même en diagonale.

.

Un programme de visites, rencontres, randos,

Sur une durée de deux semaines, ça fait court,

Et il faut l’adapter chaque fois au gout du jour

Pour ne pas, lors fatigués en avoir plein le dos.

On commence naturellement par une rencontre,

Des locaux, des amis de la famille ou des parents

Nous aidant par leur présence à être dans le bain

Que nous reverrons, certainement, jour prochain.

.

Comme c’est la première fois que je débarque ici

Je n’ai que peu d’informations et aucun a priori,

Je me propose de jouer l’éponge et au fil de l’eau

Me faire à l’idée que c’est lieu d’accueil et rando.

.

.

358 – Calligramme

.

Lors nos deux amis, locaux,

Sont prévenants charmants

Seul fait de les voir arriver

Nous voilà déjà contents.

Et La Réunion comment

Lui consacrer du temps,

Y demeurer  longtemps,

Y revenir,  plus souvent.

Flâner et puis farnienté,

Pied manguier, cocotier,

Ou la valse à trois temps,

Nager, cuisiner, marcher.

Il n’est jamais … trop tard

Pour visiter et s’acculturer,

À  un si  accueillant caillou,

Que pleurerons en quittant.

Comme  en fous  de nature,

Demeurons  en émerveillés

De sa richesse  botanique,

Toute  en  fleurs, boutons.

Sans oublier sa … cuisine

Parfumée ou bien épicée

Dont toutes nos papilles

S’émoustillent, encore.

 .

*********************************

****************************************

P  R  O  G  R  A  M  M  E

.

Chaque journée      D     bien que programmée,

Réserve ses flots de     E       problèmes à régler,

La vie à La Réunion      S       réclame la tension

De l’organisation et de      *        l’improvisation

Fait appel à la raison, à      V       l’imagination,

Lors cela lui donne char         I       me, passion.

L’ile est recouverte de               S      végétation,

Gorgée de fruits en toutes             I        saisons,

Ce caillou, volcan d’Océan              T       Indien,

Chacun se l’approprie, le fait          E          sien.

De flirter avec piton de Four         S           naise

On s’y sent comme invité :          *            à l’aise

Bien qu’aucune herbe              À         n’y pousse

Bien que cratère                *        s’ouvre, tousse.

Les filles, d’ici,            L        parfois, en pagnes,

Constituent d’         A       agréables compagnes,

Aux hommes         *      hâblés hors montagnes,

Races, cultures      R       religions se mélangent

On trouve ici autant    É       dieux que d’anges.

Nos yeux, narines, oreilles   U       pores, palais,

S’ouvrent sur paysages, coutumes   N        mets,

Zoreilles pour blancs, Zarabes pour   I    autres,

Deux semaines à passer, parmi eux    O apôtres

De nos us et coutumes, de notre mé   N tropole,

Que beaucoup ne connaissent : n’étant créoles !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

358 4

.

Un piédestal avec sa statue,

Une brosse à cheveux, ronde,

En haut,  notre première liste,

En bas, la première randonnée.

.

Une liste de choses à faire, acheter, voir :

quoi de plus normal, arrivant pour séjour,

et qui plus est pour prépare une randonnée

tant et si bien que la forme converge à fond.

 .

Les listes seront diverses et variées

En fonction des souhaits :

Nous, nous sommes venus, ici, pour

Visiter et pour randonner.

.

Symbolique 

 .

En poésie, la liste

Peut être une figure de style

Économe, efficace comme en vers :

« Adieu veau, vache, cochon … couvée »

.

Ou comme dans la prose, plus descriptive

« Les  arbres  des  boulevards,  les  vespasiennes,

Les bancs, les grilles, les becs de gaz, tout fut arraché».

.

Prévert a intitulé un de ses poèmes inventaire  commençant

« Une pierre deux maisons trois ruines quatre fossoyeurs ».

Source : wikipedia.org/wiki/Liste

.

Descriptif

 .

358 – Programme des visites à La Réunion  

Alignement central / Titre serpente / Thème  Réunion

Forme  droite  /  Rimes égales  /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : liste  / Symbole de fond : randonnée

.

.

Fond

.

Évocation de fond

.

358 6

.

Les listes seront diverses et variées

En fonction des souhaits :

Nous, nous sommes venus, ici, pour

Visiter et pour randonner.

.

Symbolique 

.

La marche est un

Exercice physique

Très complet et un temps

Propice pour délier sa pensée,

Rêver, se ressourcer.

Elle participe d’un éveil

Sensoriel au monde :

Les odeurs, les bruits,

La lumière, les couleurs

Et d’un retour à l’essentiel,

Qui permet de se désencombrer,

De s’alléger des surcharges inutiles

Et de reprendre son souffle.

Le sens de la marche Cairn.info

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La liste est longue des raisons d’aller à La Réunion,

Et une à la Prévert ou Boris Vian, n’apporterait rien,

Quand il s’agit  de s’y rendre  comme par vraie passion

Des iles exotiques, qui nous feraient le plus grand bien !

.

Voilà bien tel refrain méritant un nombre de couplets,

Je m’en vais de ce pas, vous en écrire quelques-uns !

.

Quelques-uns, pas trop, il suffit d’entendre chants

Créoles pour comprendre l’amour des résidents

Et de participer à nombre des joyeuses fêtes

Qu’ils ne manquent pas de vous concocter,

Comme devenus, zoreilles, l’un de leurs.

 .

.

Un petit point sur le Globe

.

Scénario

.

Vue aérienne de l’Ile de La Réunion, Pacifique, près de Madagascar.

Cirques creusés par volcans rapprochés et le cratère de la Fournaise.

La ville de Saint-Denis de La Réunion : contraste mer et montagne.

 .

Visuels et textuels  >> 

357 – La montagne en été, hiver, est différente

Visuels et textuels  >>

.

La montagne,

En été et en hiver

Sur, un même lieu,

Deux pays différents :

Passant de tout vert été

À  tout en blanc … l’hiver !

.

Elle passe aussi de plus trente

À moins de vingt degrés dehors,

Cela procure caractères trempés,

À force d’être isolés longtemps.

.

Toute montagne,

Pendant tout l’été,

Offre des ombrages

Boisés sur  sentiers

Aux  randonneurs,

Aux  explorateurs

Qui  la parcourt,

Partout, à loisir

Pour  combler

Un rêve désir

Gravir mont

En hauteur.

.

Il est vrai que montagne    en    l’hiver,

Nous offre un monde étrange, à l’envers

À tous raquetteurs  et à tous les skieurs,

Pour marcher, pour glisser, à cœur joie,

En sa neige épaisse  qui nous poudroie,

Donnant  au corps,  vrai, pur bonheur.

.

Autant montagne  l’été,   et    l’hiver,

Sont deux paradis non  deux enfers.

Monde à l’endroit monde à l’envers

De grimper, on  est toujours fier

D’arriver, enfin, tout au haut,

Soulagement pas  en trop.

.

Lors montagne de vers

Montagne de proses,

Est  effort certain,

Un pas compose

Sur beau sentier,

Vous pose, repose,

Au-dessus de la mêlée.

.

Ses accès sont plus aisés,

Plein été  qu’en plein hiver,

Car, quand un col reste fermé,

Parfois, vous y resterez  coincés.

Rassurez-vous, il y  a de quoi faire

Vous n’allez, jamais,  vous ennuyez !

.

.

Extensions

.

La  montagne l’été,

C’est pour randonnée :

Montée par-ci, crête par-là ;

Une boucle par-ci, un lac par-là, etc…

Quand ce n’est le tout d’affilée en cinq jours

D’un col à l’autre, d’une vallée à l’autre, passant

Par les refuges et parfois des villages hauts-perchés.

.

La montagne en hiver, c’est la glisse avec tire-fesse,

Eh, oh, hisse, dix fois recommencer sauf à explorer

Un domaine qui ‘en finit pas en descentes variées

Et en alternance avec le verre dit de vin chaud

En auberge de montagne sur hauts plateaux.

.

La saison, l’été, dure deux mois, à peine

Tandis qu’en hiver, s’étale sur quatre.

En intersaison, il y a moins de monde,

La montagne est à vous, seul ou presque,

Que ce soit pour marcher, voire pour skier.

.

La montagne en été ne vous vous coute rien,

Hormis la location ; en hiver, un bras, tellement

Les forfaits coûtent très cher, en plus des locations

Y vivre à l’année demeure un autre challenge ouvert.

.

C’est peu dire, qu’il y a une différence entre été hiver en montagne :

Ce n’est pas le même climat ni même végétation ni même activités.

Chacun préfère sa saison, chacun préfère sa moisson d’émotions !

C’est un peu comme la marée en Bretagne, ça change le paysage

Ici au printemps, fonte des neiges ; en Bretagne, les tempêtes.

Comparaisons  s’arrêtent là : la mer, en Bretagne, c’est plat.

Les deux sont attrayants et en toutes saisons : randonner

En vallées sur les pics, l’été, est aussi plaisant que skier

En plein hiver, avant de rentrer boire un vin chaud !

.

Sur photos, on voit bien la différence

 Entre montagne, en été et en hiver :

On se demande si c’est même lieu

Si ce n’est pas le mont d’à côté !

.

Je ne saurais le dire, en réalité,

Laquelle je préfère, en été, hiver,

Tant sont différentes, contrastées :

Elles me paraissent aussi… altières !

.

.

357 – Calligramme

.

La montagne,

En été et en hiver

Sur, un même lieu,

Deux pays différents :

Passant de tout vert été

À  tout en blanc … l’hiver !

Elle passe aussi de plus trente

À moins de vingt degrés dehors,

Cela procure caractères trempés,

À force d’être isolés longtemps.

Toute montagne,

Pendant tout l’été,

Offre des ombrages

Boisés sur sentiers

Aux randonneurs,

Aux explorateurs

Qui la parcourt,

Partout à loisir

Pour  combler

Un rêve désir

Gravir mont

En hauteur.

**********************************

**********************************

 M

Il est vrai que mon        O      tagne    en    l’hiver,

Nous offre un monde     N       étrange,   à l’envers

À tous raquetteurs,        T      et à tous les skieurs,

Pour marcher, pour      A       glisser, à cœur joie,

En sa neige épaisse       G       qui nous poudroie,

Donnant au corps,       N       vrai pur bonheur.

Autant montagne        E        l’été,   et    l’hiver,

Sont deux paradis     *      non  deux enfers.

Monde à l’endroit    D    monde à l’envers

De grimper, on      I   est toujours fier

D’arriver enfin    F     tout au haut,

Soulagement    F   pas  en trop.

Lors monta  È  gne de vers

Montagne  R   de prose,

Est effort  E  certain,

Pas com  *     pose

Sur beau  È   sentier

Vous pose  T    repose,

Au-dessus de È    la mêlée.

Ses accès sont    *    plus aisés,

Plein été  qu’en     H       plein hiver,

Car, quand un col    I         reste fermé,

Parfois, vous y res      V        terez coincés.

Rassurez-vous, il y        E          a de quoi faire

Vous n’allez, jamais,        R            vous ennuyez !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

357 4

.

Un calvaire  du  type  breton,

Une fontaine  avec   jets d’eau,

Un verre ou une coupe, en bas,

Imaginaire de montagne, haut.

.

La coupe n’a rien  à voir avec la montagne

mais faut la boire pour atteindre le somment

et même plus d’une tant il faut doubler l’effort

c’est ainsi que la forme évoque un peu le fond.

.

Une coupe n’aura jamais été, en soi,

Un emblème de montagne :

Il n’en reste pas moins qu’elle constitue

 Une grande réserve d’eau.

 .

 Symbolique

 .

La coupe est un symbole cosmique :

L’œuf du monde coupé en moitiés,

Deux coupes opposées ;

L’une, celle du Ciel,

Est l’image du dôme,

L’autre, celle de la Terre,

Est l’image de la coupe réceptrice.

.

C’est pourquoi la coupe est associée

Au  croissant  lunaire, ou  à  la  barque,

En tant que réceptacle des énergies célestes.

Le symbolisme de la coupe revêt autres aspects :

Celui du vase d’abondance et précieux vase contenant

Un breuvage d’immortalité, dont chacun voudrait boire.

echange-spirituel.kazeo.com/la-coupe-et-son-symbolisme

.

Descriptif

 .

357 – La montagne : différente l’été, hiver

Alignement central  /  Titre droit  /  Thème  montagne

Forme en ovale / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : coupe  / Symbole de fond : montagne

.

.

Fond

.

Évocation 

.

357 6

.

Une coupe n’aura jamais été, en soi,

Un emblème de montagne :

Il n’en reste pas moins qu’elle constitue

 Une grande réserve d’eau.

.

Symbolique 

.

La

Montagne

A provoqué chez

L’homme quantité de

Sentiments contradictoires.

.

Interdite,  promise,  refuge  des

Ermites,  siège  des  combats  entre

Les Titans et Dieux, entre les Archanges

Et les Dragons, lieu de l’immortalité, colline

De la pureté, le centre et  le sommet  du Monde.

.

Génératrice  des  paniques  comme  d’exaltations,

La montagne suscite  depuis  toujours  le sentiment

D’un univers  qui échapperait   à  l’échelle  humaine.

.

Proche des cieux, éloignée de l’ordre humain,

Elle est le point de rencontre, privilégié, entre

Le Ciel et la Terre.  Elle reste le lieu le plus bas

Pour les dieux et le plus élevé pour les hommes.

le-symbolisme-de-la-montagne

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Seul fait de grimper au sommet

D’une très haute montagne mérite

Bien une coupe, je veux dire trophée

Et que cela se fasse en été ou en hiver,

N’y pourra rien changer tant c’est dur.

Conditions, équipements, entrainements

Sont diffèrent mais c’est bien la montagne

Qu’il faut affronter pour espérer la dominer

Sans y laisser sa santé et même voire sa peau.

 .

.

Même montagne, hiver, été

.

Scénario

.

La montagne en hiver avec la neige et la glace sur un piton rocheux.

La montagne en été, au même endroit, avec ses herbes de pâturage.

Plus bas, une végétation d’été, spécifique, abondante, bien fleurie !

 .

Visuels et textuels  >>

356 – Feu de Saint-Jean est autre qu’un simple feu

Visuels et textuels >> 

.

Vrai que  feu  de  Saint Jean

N’est pas un  feu  de paille,

N’est pas   grosse  pagaille

C’est lointaine  tradition,

Qui rassemble, des gens,

.

Pour fêter l’arrivée d’été

Avec soleil pour allumer

Et la pluie pour l’arroser

Fête du quartier, de nuit

Qui, souvent, émerveille,

Les grands et les petits !

.

Les grands et les petits !

Feu de bois n’est pas que feu,

Est ainsi depuis la nuit des temps,

Ici sa domestication  sophistication,

Sont comme portés à leur paroxysme.

.

Une construction d’un bûcher qui, déjà,

Ressemble et beaucoup à une  pyramide,

Ensuite, façon de l’allumer, par son faîte,

Pour finir flamme régulière, gigantesque.

.

Au bout de  près d’une heure de flambée :

Tout en braise et rougeoyant de partout,

L’assemblage troncs tient encore l’édifice,

Dégageant une forte chaleur de fournaise.

.

Intense, au point d’obliger tout le monde

À reculer au moins vingt pas à la ronde,

Illuminant le ciel bleu d’une pleine nuit

Comme étant en plein  jour plein four.

.

Un spectacle qui restera  inoubliable :

Entre monde païen divin  Saint Jean,

Pour millier de Vosgiens, et en fêtant,

Classe de conscrit service mobilisable !

.

.

Extensions

.

En Bretagne, la tradition

Des feux de la Saint-Jean

Est restée  des plus vivaces,

Moi, j’en ai vu, régulièrement

Depuis ma plus tendre enfance.

.

Mais il s’agissait, la plupart du temps,

D’un assemblage en épis, de fagots, qui  ne

Dépassait pas trois à quatre mètres de hauteur

Ce bûcher de fortune brulait en un quart d’heure.

Ici, dans les Vosges, c’est d’une autre dimension,

Tradition bucheronne et forêt de sapin obligent.

.

Les jeunes le montent, encadrés par un senior.

Le bucher est monté   sur une haute colline,

À trois cent mètres  des  premiers  arbres,

Alentour et les pompiers  veillent au grain.

.

Le plus à craindre était l’orage, soudain, qui

Peut éteindre le feu ou minimiser son auréole.

C’est ce qui a  bien  failli  arriver, mais, ce ne fut

Que simple averse dont le feu n’en a fait grand cas :

Il a émis quelques fumées pour narguer ennemi intime.

.

Un véritable et spectaculaire ensemble de tours en bois

Pour un non moins impressionnant… Feu de Saint-Jean

Qui a pris feu, s’est consumé comme torche en pleine nuit,

S’est effondré  et a projeté ses flammèches, et de tous côtés,

Pour plaisir des yeux d’adultes, et surtout, ceux des enfants,

Et pour sacrifier à la tradition, ou pour des milliers de gens,

Qui auront gardé leurs distances pour ne pas être enfumés.

.

Le feu a quelque chose de magique

D’effrayant à la fois, comme unique

Nous vient du fond des volcans, âges,

Sans compter éclairs violents d’orage !

.

Cette belle  tradition des feux de Saint Jean

Remonte à 1346, l’Europe ravagée par la Peste

On décida de brûler  tout ce qui pouvait propager

La maladie à commencer par les cadavres d’animaux.

Ces feux ont été pérennisés, transformés en fête, St Jean.

.

On fête la lumière et l’arrivée de l’été comme nouvelle saison :

L’Église, au Ve siècle, a placé le solstice d’été sous signe de saint

Jean-Baptiste, né un 24 juin pour lutter contre les cultes païens

Du soleil et ainsi ces feux auront lieu dans la nuit du 23 au 24.

.

.

Épilogue

.

Les feux, qu’ils soient de saint Jean,

Ou de saint Autre, mis à part de Dieu

Ont tous des pouvoirs de combustion,

Plus ou moins lentes, ou rapides, selon

***

Selon qu’on les alimente, on les flambe,

Or le feu de saint Jean  est un tas de bois

Qu’on allume en plein air, en pleins vents

C’est dire il ressemble plutôt à un bûcher.

***

Il ne fait pas même effet de jour et de nuit

La nuit, il illumine tout, tout autour de lui,

Si, important, il chauffe  comme chaudière

L’on ne peut s’en approcher sans se bruler.

***

Lors, moi, je brule  de vous communiquer

L’émotion intense qui soudain, m’envahit

En voyant  telle construction,  s’écrouler,

Comme un château de cartes… anéanti.

***

Ici, il n’y avait pas un mais trois feux,

Il ne fait pas bon se trouver ente eux.

Un moment, il nous a fallu… reculer,

L’air était trop chaud, manque d’air.

.

.

356 – Calligramme

 .

Vrai que  feu  de  Saint Jean

N’est pas un  feu  de paille,

N’est pas   grosse  pagaille

C’est lointaine  tradition,

Qui rassemble, des gens,

Pour fêter l’arrivée d’été

Avec soleil pour allumer

Et la pluie pour l’arroser

Fête du quartier, de nuit

Qui, souvent, émerveille,

Les grands et les petits !

Les grands et les petits !

Feu de bois n’est pas que feu,

Est ainsi depuis la nuit des temps,

Ici sa domestication   F   sophistication,

Sont comme portés à    E  leur paroxysme.

             U

Une construction d’un       *  bûcher qui, déjà,

Ressemble beaucoup à         D   une  pyramide,

Ensuite, façon de l’allumer,    E      par son faîte,

Pour finir flamme régulière,      *     gigantesque.

                            S

Au bout de  près d’une heure      A     de flambée :

Tout en braise et rougeoyant       I        de partout,

L’assemblage troncs tient en      N   core l’édifice,

Dégageant une forte chaleur    T    de fournaise.

                       

Intense, au point d’obliger    J   tout le monde

À reculer au moins vingt    E  pas à la ronde,

Illuminant le ciel bleu d’  A  une pleine nuit

Comme étant en plein  N  jour plein four.

.

P A S     FEU      D E      P A I L L E ! 

.

Un spectacle qui restera  inoubliable :

Entre monde païen divin  Saint Jean,

Pour millier de Vosgiens, et en fêtant,

Classe de conscrit service mobilisable !

.

.

Symboliques

.

.

Évocation 

.

356 4

.

 Flacon parfum, gros bouchon,

Et voire une bombonne de gaz

Peut-être un poêle d’extérieur

 À feu ouvert, avec cheminée

.

Poêle et feu fonctionnent ensemble

en fournissant chaleur et lumière

et un feu de Saint Jean est pareil

ainsi forme correspond au fond.

.

Un feu est un feu, qu’il soit naturel,

En poêle ou cheminée :

Le feu de Saint Jean est en pleine

Nature, fait pour éclairer.

.

Symbolique 

 .

Avec son tuyau,

Le poêle, bien

Souvent noir,

Possède un

Aspect graphique

Saisissant, rappelle

L’architecte Thibault.

.

«Telle une colonne, il se

Découpe dans l’espace»,

Dit-il. Sans compter sa

Puissance d’évocation.

.

«Symbole de rusticité,

Le poêle à bois, avec

Son conduit de raccordement,

Demeure l’un des archétypes

Les plus évocateurs de la

Maison chaleureuse»

.

.

Fond

.

Évocation 

.

356 6

.

Un feu est un feu, qu’il soit naturel,

En poêle ou cheminée :

Le feu de Saint Jean est en pleine

Nature, fait pour éclairer.

.

Symbolique 

.

Le feu

Possède une

Symbolique très riche.

Il est, notamment, associé à

La purification, enfer et lumière,

Chaleur, passion, destruction, soleil,

Tous associés à  la purification.

.

Autrefois, le bûcher faisait partie

Des condamnations    des sorcières,

Considérées comme des plus impures.

De même, en cas d’épidémie  importée,

Le recours au feu pour stériliser, purifier

Est bien connu de tous.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-feu.

.

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Le feu est l’un des quatre éléments

Qui symbolisent  le cosmos  et la vie :

L’homme a mis du temps à le maitriser

Il l’a cru, au début,  d’une origine céleste,

Jusqu’à  le produire  lui-même, avec silex !

.

Auparavant, énergies de chauffage, cuisine,

Voici qu’il est aussi bucher, en  fête collective,

Voilà qu’il est autant, brandit en procession

Lors quoique qu’il en fut, quoiqu’il en soit

Le feu dans tous ses états nous fascine

Bien que feu incendie nous consterne.

 .

.

Procession feu Saint-Jean

.

Scénario

.

Les petites et la grande tour, construites à l’aide de rondins sapins :

une fois allumés, ça brûle bien et fort avec tant de chaleurs soudaines

que la grande tour se disloque, se consume, comme un fétu de paille.

 .

Visuels et textuels >>

355 – Gérardmer serait-elle une ville prédestinée !

Visuels et textuels >> 

.

Station balnéaire

Et aussi  lingère,

Fréquentée  l’été

Comme en hiver.

.

Ville  Gérardmer,

Dans  son bel écrin

De verdure apprêtée

A comme un air divin

Près d’eau, sans marin,

Sans marée  et sans mer.

.

La ville respire   grand air,

Entourée  de forêts de sapins

Qui colorent ses monts de verts,

Comme tous les coteaux vosgiens :

On s’y rend, on s’y plait, on y revient

Gérardmer, ville dont on se souvient !

.

Je me souviens, d’y avoir été, en hiver,

Il y a déjà longtemps, pour faire du ski,

Mes enfants avaient alors dix, treize ans

Eux, ils préféraient glisser sur les pistes,

Que venir, avec moi, visiter Gérardmer !

.

Montagne  enneigée, autour de grand lac,

Ce dernier paraissait surgir  de nulle part.

Pour ce qui est, de mer,  il n’a que Gérard,

De marée, il n’a jamais connu, sac, ressac,

Quand bien gelé les patins glissent dessus.

.

Cet été, m’y revoici, une  autre fois, encore,

Avec un fils et ses deux petits-enfants en or

On en fait le tour pour chercher un endroit,

Où on peut pique-niquer au frais,  esseulés,

À l’ombre de grand pin, près d’un ruisseau.

.

Plus loin, une petite plage  sur un des côtés,

Voisine  avec des pelouses, pour s’allonger :

Une grande école de voile, pour les enfants,

Des barques électriques, pédalos, sur le lac,

Y a de quoi s’amuser sans jamais se lasser.

.

Pour les petits, c’est leurs naturels paradis,

Même les chiens, les chats, ici sont admis.

Pour les grands c’est un artificiel paradis

Avec casino pour des jeux, plus sérieux,

Et magasins d’étoffes, moins ruineux.

.

.

Extensions

.

Gérardmer est une grosse commune

D’environ huit mille cinq ans habitants.

Connue pour son lac et pour ses textiles.

On la surnomme : «La perle des Vosges».

.

C’est, en tous cas, l’avis  de  Victor Hugo,

Mais, pourquoi pas : il y en a bien d’autres

Ailleurs, l’Ile grande ne pourrait-elle pas être

« La perle  des Cotes  d’Armor  en  Bretagne! ».

.

On peut faire le tour du lac de Gérardmer en

Une après-midi ou y faire un tour en barque

À moteur ou bateau à voile : école de voile

Nous incitera à participer à sa régate.

.

En hiver, on y pratique le ski alpin

Et de fond sur ses pentes neigeuses

Tant sa capacité d’accueil demeure

Importante et de loisir, intéressante.

.

Comme en stations, sports et détente,

Elle a deux visages fortement contrastés,

Un d’été, très chaud et une d’hiver, très froid.

Je la préfère l’été, elle a plus de charme, d’attrait.

.

Gérardmer, pour quelqu’un se prénommant ainsi,

Je me sens déjà chez moi et pas le moindre à l’étroit !

La confusion avec  Gérard s’est effectuée fin  xvie siècle.

On trouve ce nom de Géraud dans Gérauvilliers (1338).

En dialecte, des hautes vallées : mô signifie « mer »,

Et moué signifie « maison avec champ cultivé ».

Ça casse le mythe pour moi, rétablit la vérité

Cela dit, c’est une ville agréable à vivre

Où textiles y sont toujours actifs.

.

Pour ne rien vous cacher, j’aime bien

Deux petites villes situées à l’Est et Nord

De la France, à savoir Gérardmer en Vosges

Du fait qu’elle commence  par  mon prénom

Et Poulainville au nord d’Amiens en Somme

Du fait qu’elle commence par mon…  nom

Je sais, que ça fait, un peu, nombriliste

Mais ne peux  m’empêcher  de penser

Réunissant les deux, même endroit

Je me sentirais comme chez moi.

.

.

355 – Calligramme

 .

Station balnéaire

Et aussi  lingère,

Fréquentée  l’été

Comme en hiver,

Ville  Gérardmer,

Dans  son bel écrin

De verdure apprêtée

A comme un air divin

Près d’eau, sans marin,

Sans marée  et sans mer,

La ville respire   grand air,

Entourée  de forêts de sapins

Qui colorent ses monts de verts,

Comme tous les coteaux vosgiens :

On s’y rend, on s’y plait, on y revient

Gérardmer, ville dont on se souvient !

GÉRARDMER :

Je me souviens, d’y avoir été, en hiver,

Il y a déjà longtemps, pour faire du ski,

Mes enfants avaient alors dix, treize ans

Eux, ils préféraient glisser sur les pistes,

Que venir, avec moi, visiter Gérardmer !

Montagne  enneigée, autour de grand lac,

Ce dernier paraissait surgir  de nulle part.

Pour ce qui est, de mer,  il n’a que Gérard,

De marée, il n’a jamais connu, sac, ressac,

Quand bien gelé les patins glissent dessus.

UNE VILLE

Cet été, m’y revoici, une  autre fois, encore,

Avec un fils et ses deux petits-enfants en or

On en fait le tour pour chercher un endroit,

Où on peut pique-niquer au frais,  esseulés,

À l’ombre de grand pin, près d’un ruisseau.

Plus loin, une petite plage  sur un des côtés,

Voisine  avec des pelouses, pour s’allonger :

Une grande école de voile, pour les enfants,

Des barques électriques, pédalos, sur le lac,

Y a de quoi s’amuser sans jamais se lasser.

PRÉDESTINÉE !  

Pour les petits, c’est leurs naturels paradis,

Même les chiens, les chats, ici sont admis.

Pour les grands c’est un artificiel paradis

Avec casino pour des jeux, plus sérieux,

Et magasins d’étoffes, moins ruineux.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

355 4

.

Une  simple  bouteille

 Sinon une gourde d’eau

Mais  toute  en plastique,

Pour minimum  de poids !

.

Que ce soit bouteille ou gourde,

bien qu’elles contiendraient de l’eau

aucune ne va avec ville, lac Gérardmer

si fait que la forme diffère ici du fond !

.

Pas goûté l’eau de ma bouteille,

Qui me tient lieu de vraie gourde.

Ce lac  reste  un lac et  qui est loin

Des proportions d’une vraie mer.

.

Symbolique 

 .

Moyen mnémotechnique

Permet  de  mémoriser  les

Tailles  de  bouteilles  dans

Ordre croissant de contenance

«Car de bon matin, je remarquais

Mal ..… sa banalité   .…   naturelle »

(Quart,     demi,     bouteille,   magnum,

Jéroboam,      réhoboam,    mathusalem,

Salmanazar, balthazar, nabuchodonosor.

Pour  autant, ce ne sera pas   la  grandeur

Du contenant  qui signifiera, à elle-seule,

La qualité  du contenu, de  même qu’une

Cloche fromage contient meilleur/pire.

.

Descriptif

 .

355 – Gérardmer : une ville prédestinée !  

Alignement central  /  Titre serpente  /  Thème  ville

Forme courbe  / Rimes égales  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : bouteille    /  Symbole de fond : gourde

.

.

Fond

.

Évocation 

.

355 6

.

Pas goûté l’eau de ma bouteille,

Mais j’imagine  qu’elle reste pure.

Elle n’a rien à voir avec une gourde

étant issue d’une courge bien recyclée.

.

Symbolique

.

La gourde en Chine

Parfois surnommée gourde magique

Était réalisée à base d’une calebasse vidée, séchée,

Servant à transporter médicaments, vin ainsi qu’élixirs.

Ils la considèrent comme symbole de prospérité à cause

Du nombre important des graines que porte le fruit.

.

Et, dans certaines régions, une coutume voulait

D’ailleurs que les paysans aillent en arracher

Dans les champs voisins lors du Festival

De la Mi-automne, dans le but d’avoir

Nombreux enfants, nombreux  fils.

chine.in/guide/gourde_3691

 .

.

Corrélations

Fond/forme

 .

Bouteille contiendra de 25 centilitres

Jusqu’à 16 litres …  soit 16 bouteilles,

Mais loin de millions de litres du lac

De Gérardmer,  ville  dans les Vosges.

.

Il faudrait être complétement gourde

Pour tenter la moindre comparaison.

.

Gérardmer reste une cite accueillante

Ou il fait bon randonner autour du lac,

Si ce n’est flâner dans le cœur de la ville.

 .

.

Reposant lac de Gérardmer

.

Scénario 

.

La ville et le lac de Gérardmer, situé dans les Vosges, vu de loin ;

le lac et les activités nautiques avec des petites embarcations ;

et la plage du lac, grouillante de baigneurs et de plongeurs !

 .

Visuels et textuels >>

354 – Étrange randonnée que la chambre du loup

Visuels et textuels >>

.

Allons voir au bois

Si le loup, n’y est pas :

Loup y es-tu, m’entends-tu

Qui ne connait cette comptine

De l’école  maternelle  enfantine

Et plus vite que cela… turlututu !

.

L’enfant croit bien  qu’il y en a un

Sans toutefois…vraiment y croire

Perdu un peu dans ces histoires

Que lui raconte ses parents

Pour pousser à imaginer

Monde fantastique.

 .

Une bien étrange randonnée

Que celle de la chambre du loup,

Au départ du village du Haut du Tôt.

Après le départ, chemin, parfois, coupé,

Sur un kilomètre, par des sapins tombés.

.

Ils sont là, en travers et depuis longtemps,

Il faut les contourner, sinon, les enjamber.

Pas  évident, avec  un bébé  de  cinq mois,

Tout  contre soi, tout blotti dans ses bras.

.

Enfin, nous y voilà, au bout d’une heure,

La chambre est perchée toute en hauteur

En l’anfractuosité, d’un amas de rochers,

Qu’on rejoint par étroit chemin, arpenté.

.

Il se peut que loup ait pris quartier d’été,

De la place, pour un, pas pour une famille

Encore moins  toute une meute de loups.

.

Ce n’est pas la réalité historique qui compte,

Mais une légende qui court, ou qu’on modifie,

Voire que l’on invente pour cette occasion rêvée.

.

En tous cas, elle vaut le détour, elle a bien intrigué

L’enfant qui en a eu peur, autant avant que pendant

Et qu’après, bien qu’on ait trouvée une chambre vide.

.

Au fond, c’est l’imaginaire   fantastique quant au loup,

Qui demeurera présent et de  génération en génération,

Alors même que l’on en  voit plus, tellement    beaucoup,

À part en parc animaliers ou  en zoos

.

.

Extensions

.

Le loup est un animal fantastique,

D’imaginaire d’enfant de cinq ans.

C’est un peu comme le Père Noël :

Il y a croit encore à cinq ans mais

Sans trop y croire, vrai, vraiment.

.

Il y a de la porosité entre son réel

Et son imaginaire faisant il peut

Croire tout et  ….. son contraire,

Aller voir la chambre d’un loup,

Dont on sait  qu’il n’existe plus,

Sera une sorte de voyage  extra

Dans le temps  et dans l’espace

Qui nous rapproche des contes

De fées et d’histoires horribles.

.

Il faut  bien  se donner  un  but

Pour  une  promenade  en forêt,

Celui-là en vaudra bien d’autres.

Nous avons failli essuyer  l’orage,

Au moment de la découverte de la

Chambre et ça a ajouté du mystère,

Et de la profondeur, à cet événement.

Le beau temps  est revenu, et, a un peu

Casser le mythe, on dira la prochaine fois.

.

Une randonnée en pleine montagne vosgienne, qu’à cela ne tienne

Allez rendre visite à la chambre du loup

Déjà le titre fait peur aux enfants mais pourquoi dans une chambre !

Je croyais que c’était réservé aux humains.

Voyons-donc, ce doit être un grand loup, chef de meute, certainement

Il va nous manger si on le dérange, le déloge

À moins que ne se soit qu’une chambre abandonnée, qu’on a tué le loup.

Voilà bien de quoi faire fantasmer l’imaginaire

Et qui ne demande qu’à grandir au fur et à mesure que l’on s’en approche.

.

« Quand on s’en va se coucher
Dans le lit de notre chambre
Faut juste pas trop me toucher
Chu devenue comme sauvage.

Ton petit méchant loup
Je lui obstrue l’accès
Je sers les genoux
Je clôture ma forêt
Juste à penser au string
Je ne trouve plus le sommeil »

 .

Cette chanson de Lynda Lemay

s’adresse à un « doux méchant loup »

qui n’est pas celui du Petit chaperon rouge

ni d’aucun autre conte à nous faire frissonner.

Il y a loup et loup : l’homme en est un pour elle.

.

.

354 – Calligramme

 .

Allons voir au bois

Si le loup, n’y est pas :

Loup y es-tu, m’entends-tu

Qui ne connait cette comptine

De l’école  maternelle  enfantine

Et plus vite que cela… turlututu !

L’enfant croit bien  qu’il y en a un

Sans toutefois…vraiment y croire

Perdu un peu dans ces histoires

Que lui raconte ses parents

Pour pousser à imaginer

Monde fantastique !

 

É  T  R   A  N  G  E

 

R    …………….

Une bien   A  étrange randonnée

Que celle de la   N   chambre du loup,

Au départ du village   D  du Haut du Tôt.

Après le départ, chemin, O   parfois, coupé,

Sur un kilomètre, par des   N sapins tombés.

Ils sont là, en travers et depuis   N   longtemps,

Il faut les contourner, sinon, les   É  enjamber.

Pas  évident, avec  un bébé de    E     cinq mois,

Tout  contre soi, tout blotti    *   dans ses bras.

Enfin, nous y voilà, au bout C       d’une heure,

La chambre est perchée    H  toute en hauteur

En l’anfractuosité, d’un    A   amas de rochers,

Qu’on rejoint par étroit  M    chemin, arpenté.

Il se peut que loup ait   B   pris quartier d’été,

De la place, pour un,   R   pas pour une famille

Encore moins  toute   E      une meute de loups.

Ce n’est pas la réalité   *   historique qui compte,

Mais une légende qui  D   court, ou qu’on modifie,

Voire que l’on invente  U pour cette occasion rêvée.

* ….

En tous cas, elle vaut le   L  détour, elle a bien intrigué

L’enfant qui en a eu peur,  O    autant avant que pendant

Et qu’après, bien qu’on ait   U    trouvée une chambre vide.

Au fond, c’est l’imaginaire      P      fantastique quant au loup,

Qui demeurera présent et     ce de      génération en génération,

Alors même que l’on en          voit plus,         tellement    beaucoup,

À part en

Animaliers

Zoos

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

354 4

.

Une cloche, probablement,

 Une cloche, très certainement

À moins que ne soit la clochette

Qui pendra au cou des vaches

.

Une cloche sied bien à une vache

mais pas à une chambre du loup !

car qu’en ferait-il à courir partout

et ainsi la forme diffère du fond.

.

Battant cloches seraient toutes les  églises

Ainsi que vaches, ou autres mammifères,

Pour mieux les localiser en montagne

Voire les prémunir contre les loups.

  .

Symbolique 

 .

Pour l’Église orthodoxe russe,

Les cloches sont des êtres  animés

D’un  nom, d’un corps et de sentiments.

.

Par ailleurs, la forme creuse et arrondie

De la cloche l’assimile au corps féminin,

Tandis  que  le  battant, et, le manche,

Évoqueraient  comme  un   phallus.

.

Toutes ces connotations sexuelles,

Contribueraient au symbolisme

De la cloche, employé dans les

Rituels bouddhistes tibétains.

grandrêve1234.blogspot.com

.

Descriptif

 .

354 – Étrange randonnée à la chambre du loup   

Alignement central  /  Titre serpente  /  Thème  animal

Forme courbe  / Rimes variées  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : cloche    /  Symbole de fond : vache

.

.

Fond

.

Évocation 

.

354 6

.

Battant cloches seraient toutes les  églises,

Ainsi que vaches ou autres mammifères

Pour mieux les localiser en montagne

Voire les prémunir contre les loups.

 .

Symbolique 

 .

Ces cloches permettent

Aux éleveurs de retrouver leurs vaches

Quand certaines d’entre elles se sont égarées.

.

Que ce soit en alpage ou dans d’immenses prairies,

Elles s’avèrent très utiles en s’apparentant à un GPS

Ancienne génération car même lorsqu’il fait nuit ou

Que le brouillard s’invite, les agriculteurs  peuvent

Se diriger uniquement à l’aide du son de cloche.

.

Autre raison de présence de cloches

Autour du cou des vaches, la volonté

De faire fuir les prédateurs.

Les loups notamment

Sont sensibles

Au bruit.

ledauphine.com/savoie/2019/08/04/

pourquoi-les-vaches-portent-elles-des-cloches

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un loup n’aura rien d’une vache :

Meute et capable de tuer son veau

Mais ce sont, surtout, les agneaux

Qu’il apprécie comme nourriture.

 Mais un chien de berger veillera

À ce que le troupeau aille bien

Et sans compter le berger,

Dans sa cabane en bois

Ne craignant le loup

En sa chambre !

.

.

Vosges point GPS chambre loup

.

 .

Scénario

.

La fameuse chambre du loup mais qui ne ressemble à rien du tout.

Le loup, comme il y en avait autrefois, en nombre, dans les Vosges.

Une pause pour se désaltérer au-dessus du village du Haut du Tôt.

 .

Visuels et textuels >>

353 – A cinq ans, il rêvait d’une cabane en bois

Visuels et textuels  >> 

.

Il y a bien longtemps,

Une époque… lointaine,

Où les hommes vivaient,

En parfaites… harmonies,

Où  les arbres,  et les gens,

Parfois,   se mélangeaient :

Et lors   morts  en hommes,

En  arbres,  ils   revivaient !

.

Aujourd’hui,   ils ne  parlent

Plus … sauf, à  ces  enfants,

Construisant  leur  cabane,

Et cela,  afin de perpétuer,

Leurs légendes  …  de fées

Lors demeurant les seuls

À pouvoir les … décoder.

.

Il en est, ainsi, d’enfants,

Qui, à l’âge  de  cinq  ans,

Imagine  monde parallèle,

En images, où  … vos amis,

Voire des ennemis invisibles

Menacent, ou bien défendent,

Sa cabane devenue très visible.

.

^

Oui

À cinq ans,

On rêve de cabane

En bois, branche,  tronc,

Où l’on s’amuse, ou se pavane,

Se sent chez soi,  se fait son nom.

.

Facile à dire  mais bien moins à faire,

À cinq ans, il n’y a rien qui aille de soi,

Il faut déjà l’appuyer sur quelques bois,

Sinon elle risque de tomber vite, à terre.

Il faut manier, couteaux, liens, marteaux,

Pour assembler, solidement, la structure.

.

Se faire un plancher avec  toit de verdure,

Un lit, un siège,  une   table, un feu, haut.

Ne pas oublier de se ménager  une porte,

Petit cadre  sur  un  pignon, sur  un côté,

Petite fenêtre pour faire de l’air, circuler,

Râtelier d’armes, pour chasser cloportes.

.

Entrez donc pour vous mettre  à l’ombre,

En forêt qui vous   accueille  et   entoure,

Il n’y a pas de meilleur  endroit  sombre,

Pour vous reposer des misères des jours.

Fermez  les  yeux,    devenez     écoutants

Éternels chants  dits discrets   de la forêt

Vous faites parties intégrantes à présent

Des magies de leurs  murmures,  secrets.

.

.

Extensions

.

Une cabane ou la première habitation

De l’homme après avoir quitté la caverne,

Celle de l’enfant après avoir quitté berceau !

À cinq ans, il est trop jeune encore pour

Se la bâtir, et solidement, tout seul.

.

Aussi profitera-t-il de la présence

Disponibilité et savoir d’un père

Ou grand-père pour s’y essayer

En lisière  d’une  forêt  qui  lui

Fournira tout bois nécessaire.

.

Il y a toutes sortes de cabanes,

Certaines, haut perchées en arbre,

D’autres, demi enterrés en sous-bois :

Chacun selon ses moyens et ses fins.

.

Mais une fois celle-ci construite,

Une autre tâche commencera,

Celle de la meubler, l’habiter,

Et ensuite celle de la défendre,

Pet ensuite celle de la faire évoluer

La détruire pour construire une autre.

Microcosme du monde adulte en somme.

.

La part d’enfance comprise dans l’idée même

Que l’on se fait, aujourd’hui, en nous, de la cabane

 Est sans doute un exceptionnel support à l’imaginaire.

Cette unité minimale est le point de départ à l’expression

D’une création plastique, et voire artistique, qui prend

En compte questions d’espace, de lieu, de fonction

Comme des besoins, désirs de l’être humain.

Inspiré par habiter-autrement.org

.

Achèvement

#

«Ma cabane au Canada
Est blottie au fond des bois
On y voit des écureuils
Sur le seuil
Si la porte n’a pas de clé
C’est qu’il n’y a rien à voler
Sous le toit de ma cabane au Canada
Elle attend, engourdie  sous  la neige,
Elle attend le retour du printemps.»

.

Une belle chanson de Line Renaud

C’est le retour en une pleine nature

Et cela ne manque pas au Canada,

Au point que chacun a la sienne.

 

.

353 – Calligramme

 .

Il y a bien longtemps,

Une époque… lointaine,

Où les hommes vivaient,

En parfaites… harmonies,

Où  les arbres,  et les gens,

Parfois,   se mélangeaient :

Et lors   morts  en hommes,

En  arbres,  ils   revivaient !

Aujourd’hui,   ils ne  parlent

Plus … sauf, à  ces  enfants,

Construisant  leur  cabane,

Et cela,  afin de perpétuer,

Leurs légendes  …  de fées

Lors demeurant les seuls

À pouvoir les … décoder.

Il en est, ainsi, d’enfants,

Qui, à l’âge  de cinq  ans,

Imagine monde parallèle,

En images, où  … vos amis,

Voire des ennemis invisibles

Menacent, ou bien défendent,

Sa cabane devenue très visible.

^

Oui

À cinq ans,

On rêve de cabane

En bois, branche,  tronc,

Où l’on s’amuse,   ou se pavane,

Se sent chez soi,    *    se fait son nom.

Facile à dire  mais  À   D bien moins à faire,

À cinq ans, il n’y a       *        ‘  rien qui aille de soi,

Il faut déjà l’appuyer    C             U       sur quelques bois,

Sinon elle risque de       I                    N     tomber vite à terre.

Il faut manier, coute      N                       E    aux, liens, marteaux,

Pour assembler, solide    Q                           *        ment, la structure :

Se faire un plancher          *                               C      avec  toit de verdure,

Un lit, un siège,  une      A                                     A      table, un feu, haut.

Ne pas oublier    N          se ménager          B       une porte,

Petit cadre sur   S          un pignon, sur       A         un côté,

Petite fenêtre     *           pour faire l’air,       N       circuler,

Râtelier d’ar       I          mes pour chasser     E     cloportes.

Entrez donc       L         pour  vous mettre     *     à l’ombre,

En forêt qui       *         vous   accueille  et      E       entoure,

Il n’y a pas         R        de meilleur  endroit    N       sombre,

Pour vous          Ê        reposer des misères     *     des jours.

Fermez              V        les yeux,      devenez     B    écoutants

Éternels             A       chants  dits discrets     O   de la forêt

Vous faites        I         parties    intégrantes    I    à présent,

De magies         T        de leurs   murmures     S        secrets.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

353 4

.

En haut, une haute cheminée ;

Et en bas, une cabane en bois !

À moins que ce ne soit chapelle

Avec un très très grand clocher.

.

Cabane et chapelle vont bien ensemble

une grande cabane ou petite chapelle

tant dans les deux, l’on se recueille :

ainsi forme correspond au fond.

.

Cabane en bois en forêt, quel enfant

De cinq ans n’en rêve pas :

Jamais très compliquée à construire,

 Et toujours… comme chapelle

.

Symbolique de forme

.

Construire une cabane

Demeure un rêve d’enfant

Elle place l’enfant, au cœur

De tout  son  environnement,

Et, souvent, en  pleine  nature.

.

C’est un abri, de bric  et de broc,

Patiemment construit durant l’été

Au fond du jardin, pour se réfugier,

Jouer et rêver ou bien  carton géant

Détourné de sa fonction d’emballage.

.

Planté, dans la chambre, font partie

Des grands classiques de l’enfance,

Une sorte de petit espace à soi

Dans le grand tout que constituent

L’appartement, la maison familiale.

habiter-autrement.org/08.minimaliste

.

Descriptif

 .

353 – A cinq ans : rêvant de cabane en bois

Alignement central  /  Titre analogue  /  Thème  habitat

Forme oblique    / Rimes égales  /   Fond accordé à forme

Symbole de forme : cabane    /  Symbole de fond : chapelle

.

.

Fond

.

Évocation 

.

.

En haut, une haute cheminée ;

Et  en bas,   une cabane   en bois !

À moins que ce ne soit une chapelle

Avec un très très grand clocher.

.

Symbolique 

 .

Chapelle

Est souvent

Au centre bourg

Ou la ville, au cœur

D’un quartier souvent le

Plus ancien, donc  au cœur

De l’histoire  de  communauté

La forme  de l’édifice : souvent en

Forme de croix, avec la nef et le chœur

Coupés par transept figurant les bras du

Christ en croix. Clocher  signale  l’église.

.

Le tintement  des cloches  convoque au

Rassemblement dominical et annonce

Toutes les étapes de la vie chrétienne

On  pourra, en certains, lieux, noter

Aussi l’angélus du matin et du soir.

Sitecoles.enseignement-catholique.fr

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une petite cabane aura toujours été

Un lieu propice au rêve, imaginaire

Souvent cachée  au fond des bois,

Elle est en contact avec la nature

Chasse  et  cueillette  dans les bois

Et, aujourd’hui, en construire une

Serait s’intégrer pour s’y remettre

Sous forme de jeu et non nécessité

Pour se protéger comme caverne !

 .

.

Une cabane de sorcière

.

Scénario

.

 Une cabane construite en une heure, des plus simples et précaires.

Une cabane plus grande, plus élaborée construite  en deux jours.

Cabane servant de refuge aux chasseurs pour casser la croute.

 .

Visuels et textuels  >> 

352 – De l’eau qui coule, qui tombe et qui chante

Visuels et textuels  >> 

.

Une eau qui coule,

Une eau qui tombe,

Une eau qui chante.

.

Une eau qui  écume,

Une eau qui déboule,

Une eau qui serpente.

.

Une cascade, pour sûr,

Avec son eau, très pure,

Qui excite nos…tympans.

.

Des sons, forts émouvants,

Que l’on gardera longtemps,

Parmi ses souvenirs torrents.

.

Torrent moussant sur roc flanc,

En bordure arbres flamboyants,

Nous ravissant les sens et le vent

Rafraîchissant la peau et le sang.

.

Lors leur eau claire et…limpide,

Nous rend la vie moins insipide

Lors tout s’affole en soi autour,

En longs flots d’émois du jour.

.

Succédané d’eau, ayant coulé

Sur ma tête, pour ce baptême

Devenu le symbole de pureté

Comme en onction suprême.

.

On dit que : les bruits d’eau,

Rassurent même  les bébés :

Adulte se souvient, avoir été

.

Jeux d’eau, pleurs, à vau-l’eau,

Comment avoir peur d’un liquide

Qui nous aura bercé … dans  le dos,

D’un ventre, d’une mère, si candide

.

.

Extensions

.

De l’eau qui coule, qui tombe et qui chante

Constitue un doux murmure à nos oreilles, qui les enchante.

Il nous rappelle que nous sommes faits à soixante pour cent

D’eau et sans elle, nous ne pouvons survivre !

 .

Un chant de la vie, en quelque sorte comme est celui du vent

Pour l’air, dans le chuintement  d’une serrure de porte, celui

Du feu éclatant son bois en âtre de cheminée.

 .

L’eau vive n’est pas de l’eau calmante, de l’eau croupissante,

De l’eau tonitruante, eau écumante, son pouvoir symbolique

Est l’un des plus forts en nos représentations

 .

Naturelles, voire culturelles et voire parfois confessionnelles.

Lors elle chante, elle nous parait  rassurante, lors elle tombe,

Elle nous paraît bruyante, voire inquiétante.

 .

C’est toujours amusant pour un enfant même pour un adulte

De laisser flotter  une embarcation en carton, voire un simple

Bout de bois sur un ruisseau et de le suivre,

 .

Des yeux, sinon de ses pas pour l’accompagner en son périple,

Et constater à quel endroit, à quel moment il rejoindra la rive

S’accrocher à branche morte, ne plus bouger,

 .

Avec la force du courant, se dégager subitement et continuer

Sa route et ainsi de suite, jusqu’à destination.

 .

L’eau qui coule et qui roucoule est comme le bruit de fond

De notre corps dans nos veines et nos artères.

 .

Différentes formes de cascades, différentes hauteurs, différents volumes.

De la plus petite, à la plus grande, elles ont toutes, un charme, particulier.

L’une tombe à pic, l’autre se divise en de multiples, la dernière, glougloute

Elles chantent, elles grondent, elles murmurent, elles dévalent et sautent,

Laissant une impression de jeunesse et de vitalité à nulle autre, pareille.

.

Eau qui coule et roucoule,

Eau qui déroule et enroule

Des roches ou branchages,

Des poissons qui… nagent.

.

De sa source vers ruisseau

Eau se déplace vers rivière,

Se jette en fleuve et en flots

Après long chemin en terre.

.

Chant aquatique n’est capté

Que par poissons et oiseaux,

Longeant son parcours noyé

En paysage des plus beaux !

.

.

Épilogue

.

Le torrent fait couler toutes ses eaux

En pente régulière, lorsque la cascade,

En pente raide et voire parfois verticale !

***

L’on entend son flot chantant entre pierres

Et soudain, son murmure sur surface plane

Quand il ne glougloute…entre deux bassins.

***

La cascade fait comme des bruits de vagues,

Qui s’élancent à l’assaut des grands rochers,

On la devine, puis on l’entend, de plus loin !

***

Et, quand plusieurs cascades se succèdent,

Elles évoquent Grandes Eaux de Versailles

Avec lumières, en  plus, comme il se doit !

***

Quand je pense à torrents  et cascades :

Je pense à moulins, avec roue à aubes,

C’est dire s’ils auront et force énergie.

***

Énergie de la jeunesse… tonitruante,

Contrastant  avec  mare, étang, lacs,

Avec eaux stagnantes et dormantes.

***

Autre que bruits : torrents, cascades

Offrent à la vue, des spectacles divers

D’eaux blanches  et  comme laiteuses !

.

.

352 – Calligramme

 .

                                                 Une eau qui coule,      D

                                             Une eau qui tombe,    E

                                       Une eau qui chante.    *

                                                                             L

                                  Une eau qui  écume,    ‘

                             Une eau qui déboule,    E

                         Une eau qui serpente.    A

                                                                U

                    Une cascade, pour sûr,     *

                  Avec son eau, très pure,    Q

                Qui excite nos…tympans.   U

                                                              I

            Des sons, forts émouvants,     *

          Que l’on gardera longtemps,    C

         Parmi ses souvenirs torrents.    O

                                                               U

     Torrent moussant sur roc flanc,    L

    En bordure arbres flamboyants,    E

    Nous ravissant les sens et le vent    *

     Rafraîchissant la peau et le sang.  Q

                                                               U

     Lors leur eau claire et…limpide,    I

     Nous rend la vie moins insipide    *

      Lors tout s’affole en soi autour,    T

      En longs flots d’émois du jour.     O

                                                               M

        Succédané d’eau, ayant coulé      B

        Sur ma tête, pour ce baptême     E

        Devenu le symbole de pureté       *

         Comme en onction suprême.      Q

                                                                U

        On dit que : les bruits d’eau,       I

         Rassurent même  les bébés :       *

        Adulte se souvient, avoir été        C

        Douché par  des jeux  d’eau !       H

                                                               A

     Jeux d’eau, pleurs, à vau-l’eau,       N

   Comment avoir peur d’un liquide    T

  Qui nous aura bercé … dans  le dos,  E

D’un ventre, d’une mère, si candide    !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

352 4

Peut-être une fontaine,

Ou une petite cascade

Et en pleine montagne

Provenant de torrent.

.

Cascade et torrent vont bien ensemble

poussés par la pente et par le courant

lors, quel que soit le débit et les chutes

la forme coursera bien  avec le fond !

.

La cascade, pire encore qu’un torrent,

Fait beaucoup de bruit

Mais on ne sait pourquoi, on a plaisir

À la voir, à l’entendre !

.

Symbolique

.

La cascade est le symbole de la chute

Et de la puissance, de la vitalité de la jeunesse.

L’eau est un élément vital  et  est  considérée comme

Une source de vie. Aussi, l’énergie générée par la cascade

Évoque la vitalité de la jeunesse : quant à son écoulement,

Il est associé au temps qui passe : en ce sens, cascade

S’oppose aux eaux stagnantes, comme les lacs,

Qui évoquent notamment l’intemporalité.

1001symboles.net/symbole/sens-de-cascade

.

Descriptif

 .

352 – De l’eau qui coule, tombe, chante

Alignement central  /  Titre externe  /  Thème  eau

Forme oblique  / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : cascade   /  Symbole de fond : cascade

.

.

Fond

.

Évocation

.

352 6

.

La cascade, pire encore qu’un torrent,

Fait beaucoup de bruit

Mais on ne sait pourquoi, on a plaisir

À la voir, à l’entendre !

.

Symbolique 

 .

On désigne du nom de torrent,

Un cours d’eau impétueux et rapide,

Pour distinguer rivière d’un ruisseau.

La vitesse des eaux d’un torrent est due

À ce qu’il dévale des pentes très fortes ;

Le plus souvent  c’est  un  cours  d’eau

Temporaire qui s’assèche l’été et ne

Coule  qu’à  la saison  des pluies.

Le lit du torrent est mal défini

Varie avec les chutes d’eau

Qu’il doit canaliser.

topbible.topchretien.com/

dictionnaire/torrent

  .


.

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’eau coulera en suivant sa pente

Naturelle, sinon créée par l’homme,

Artificielle et  voire dans des tuyaux

Si ce n’est conduite forcée, électricité

On peut descendre certains torrents,

En kayak, mais faut bien bon niveau

À la vitesse où l’esquif va, porte bien

Son nom quand il s’agira d’esquiver.

Enfin, moi, je n’irais pas les tutoyer.

 .

.

Belle cascade dans les Vosges

.

Scénario

.

Cascade en forêt, coulant à pic,  entourée de roches mousseuses.

Double cascade qui tombe en une verdure étoffée et fort sauvage.

Torrent qui chante son murmure en se faufilant entre les pierres.

 .

Visuels et textuels  >> 

351 – Un plouf en l’eau tiède du lac de Saulxsure

Visuels et textuels  >> 

.

Plouf, la tête dans l’eau,

L’enfant boit la tasse,

De ne savoir nager,

Et recommencer.

Heureusement

Son papy, veille,

Sur lui, gentiment,

Chaque fois le reprend.

.

Grand battement de mains,

Grand débattement de pieds,

Il se donne  l’illusion de  nager

Pour se faire grand en …. fin !

.

Pour sûr, marcher sur l’eau

Serait plus facile pour lui,

Ne sera pour aujourd’hui

Même en faisant gros dos.

.

Un grand plouf en eau tiède

Brassard d’air rouge  sur bras :

Cinq ans : pas encore coordonné

Il  nage  en  petit chien  à mon côté.

.

Il aime faire mouvements très  rapides

Mais quand il boit la tasse bien humide,

Il  crache  tout ce qu’il peut par le haut :

Pour autant,  il ne renonce plaisirs eaux.

.

Son papy lui tient la main fer-me-ment,

Pour qu’il fasse battements de ses pieds,

Faisant le requin, son père le surprend,

Il tremble de peur, il rit d’un air coquin.

.

Sorti de l’eau, il jouera au ballon rugby,

Il marque  un essai, facile contre papy,

Puis retourne, vite, à l’eau avec   papa,

Complice, content comme y  en  a  pas.

.

Quelle joie de vivre,  cet enfant, gamin,

Qu’il transmet à tous tout autour de lui

Moulin à paroles aux questions sans fins

On ne s’ennuie pas  avec lui …  que de lui.

.

.

Extensions

.

Un enfant de cinq ans qui fait des ploufs dans l’eau

Est un spectacle des plus amusants lorsque sa joie

Éclatera à chacun de  ses  nouveaux  battements.

.

Apprendre à nager, soi-même, n’est pas impossible

Mais est beaucoup plus ardu : ce ne sont, en aucun cas,

Mouvements coordonnés pour marcher qui vous aideront.

.

Le premier pas pour maitriser sa nage, plus correctement,

Est de se familiariser avec l’eau et ne pas avoir peur d’elle,

Tout comme de tomber pendant sa marche, bien qu’ici

On manquerait, en plus, de suffoquer, boire la tasse.

.

Marcher dans l’eau, en écartant, puis rassemblant

Les bras est la seconde étape avant de se laisser porter

Par l’eau, grâce aux mouvements grenouillés des jambes.

.

S’il n’y a pas de méthodes  pour apprendre à marcher,

Il en faut bien une, pour nager, bien que les réflexes

Soient déjà là le jour de la naissance mais oubliés.

.

N’avons-nous pas été poissons, avant mammifères,

Cela n’aurait-il pas laissé des traces dans nos gènes !

.

Se baigner quand on a cinq ans, avec des brassards, naturellement,

Un parent qui l’accompagne, le stimule, joue avec lui comme enfant,

Quand, même parfois, se joue de lui en lui faisant faire des cabrioles,

Tant et si bien qu’on ne sait lequel des deux prend le plus de plaisirs.

Voilà bien un divertissement qui crée des liens solides affectivement.

.

Plaisir de plongeon n’est jamais lassant

Batifolant dans l’eau,  d’un petit enfant.

Il bat des pieds et des mains en souriant

Et il joue avec vous en vous éclaboussant.

.

L’émotion pure, nature, au comble, restant

Pendant de longs et très répétés, moments.

L’on s’imagine des fois, être bien à sa place

Mais sensations adultes, ne les remplacent.

.

Peut-être retrouve-t-il le ventre de sa mère,

Avec son eau tiède et bercements continus :

Sans doute aussi parce qu’ici, est autant nu

Et ses yeux malicieux interrogent son père.

.

.

351 – Calligramme

 .

Plouf, la tête dans l’eau,

L’enfant boit la tasse,

De ne savoir nager,

Et recommencer.

Heureusement

Son papy, veille,

Sur lui, gentiment,

Chaque fois le reprend.

.

*********************

**********************

.

Grands battements        P    de mains,

Grand débattement       L    de pieds,

Il se donne  l’illusion     O   de  nager

Pour se faire grand       U   en….fin !

Pour sûr, marcher        F   sur l’eau

Serait plus facile           *    pour lui,

Ne sera pour au            D   jourd’hui

Même en faisant           A    gros dos.

Un grand plouf en          N    eau tiède

Brassard d’air rouge        S     sur bras :

Cinq ans : pas encore        *     coordonné

Il  nage  en  petit chien      U     à mon côté.

Il aime faire mouvements     N       très  rapides

Mais  quand il boit  la tasse      *        bien humide,

Il  crache  tout ce qu’il peut        L            par le haut :

Pour autant,  il ne renonce           A              plaisirs eau.

Son papy lui tient la main             C             fer-me-ment,

Pour qu’il fasse battements            *             des ses pieds,

Faisant  le requin, son père           D            le sur-prend :

Il tremble de peur, il rit d           E         un air coquin.

Sorti de l’eau, il jouera au           S          ballon rugby,

Il marque  un essai, facile          *          contre papy,

Puis retourne, vite, à l’eau       V         avec   papa,

Complice, content comme     O        y  en  a  pas.

Quelle joie de vivre, cet       S     enfant, gamin,

Qu’il transmet à tous    G  tout autour de lui

Moulin à paroles aux  E questions sans fins

On ne s’ennuie pas  S  avec lui : que de lui.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

351 4

.

En haut, une poterie,

fabriquée en colombins

 Sur   un  tour  de  potier

Actionné en bas au pied.

.

Colombins, tout de potier, poterie :

cela ne colle pas avec des plongeons

dans un petit lac, d’un petit garçon,

ainsi la forme n’atteint pas le fond

.

Parfois mécaniquement, parfois à la main,

avec ou sans colombins.

Presque toutes les poteries seront fabriquées

sur un tour de potier.

 .

Symbolique de forme

.

La poterie en colombins

Est une technique, primitive,

Dans  l’art de  toute céramique

Utilisée  depuis la préhistoire.

Boudins qui la composent

Prirent à  cette époque

Le nom de colombins.

Cette technique permet

De créer des formes libres,

Par opposition  aux formes de

Révolution issues poterie tournée.

En contrepartie,  les pièces, montées

Aux colombins sont, usuellement, plus

 Épaisses et d’une facture plus rustique.

wikipedia.org/wiki/Poterie_en_colombins

.

Descriptif

 .

351 -Un plouf dans un lac des Vosges 

Alignement central   /  Titre absent  /     Thème  bain

Forme conique  /  Rimes égales  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : colombin /  Symbole de fond : tour de potier

.

Fond

.

Évocation de fond

.

351 6

.

Parfois mécaniquement, parfois à la main,

avec ou sans colombins.

Presque toutes les poteries seront fabriquées

sur un tour de potier.

.

Symbolique

 .

Un tour de potier est,

Dans le domaine de la poterie,

Une machine utilisée en création

De céramiques dites arrondies.

.

La poterie en colombins est

Une technique, primitive,

En l’art de la céramique

Importée des Amériques

Après   leur   découverte

Par  Christophe  Colomb.

.

Potier solidarise colombins

En les pressant les uns contre

Les autres puis lisse la surface

Au fur et à mesure que s’élève la pièce.

Façonnage rend poterie plus solide à la cuisson.

Modifié, source wikipedia.org/wiki/Poterie_en_colombins

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Plouf ! On dirait une pierre ou une poterie

Qui tombe dans l’eau, en éclaboussant tout

Et qui se débat comme il peut avec ses bras

Comme s’il était dans sa baignoire, et il rit,

De l’eau, de l’air,  on dirait qu’il en fait fou.

.

En vous confiant tous bas « encore papa »

Et il se relève, sort de l’eau, il recommence

Jusqu’à plus soif, évitant de boire la tasse

Plaisir, sensation, à l’état pur, innocent,

Voilà de quoi est capable petit enfant !

 .

.

Plongeon lac de Saulxsure

.

Scénario

.

Le lac de Saulxsure sur Moselotte, en bas des Vosges, et vu de loin ;

sa plage arc de cercle avec une langue de sable entre lac et pelouse,

eau fraiche, où  je me suis baigné, avec mon petit-fils de cinq ans !

 .

Visuels et textuels  >> 

350 – Cascades en montagne, y en a milles et cent

Visuels et textuels  >>  

.

Des cascades, en montagne :

Il y en a des mille et des cents,

Chaque fois, l’émoi d’un torrent

Vous retient,   vous accompagne.

.

Il  nourrit  un  délire  romantique,

Tant  la Nature, sauvage, et  belle,

Sauts et rapides vous rappellent,

À tendres  et beaux sentiments !

.

Votre  cœur, si tôt, s’entrouvre,

À quiétude semblant éternelle

De sa douche… d’eaux vives.

Qui entre leurs deux rives,

Sont pures … originelles

À vous impressionner

Par leurs…beautés.

.

Fris-son-nantes,

De …. félicité,

Et écarlates

De  santé,

En filet

 Est !

V

^

Une

Cascade

En général

Con-tien-dra,

Tout  en  amont

.

Une réserve d’eau

Qui s’évacue  par un

Étroit goulet tombant

À pic, ou  très en pente.

.

La  chute  crée, un bruit,

Le poids  de l’eau, l’écume

 En cuvette  tourbillonnante,

Et le flot  reprend  son cours,

.

En allant  jusqu’à la prochaine

Mais elles  différeront  toujours,

Par un détail ou signe particulier

Qui lui donne  certaine originalité.

.

Ainsi, les  cascades, et, les humains,

Auront, au moins, ce point commun,

Qui est de couler de source et s’agiter

Avec des débits, des cours irréguliers.

.

.

Extensions

.

Cascade évoque torrent en montagne,

Un saut dans le vide, une succession

D’obstacles à franchir et parcours

Et exercice, parfois dangereux,

Voire  que  sais-je … encore !

.

Il y en a faisant une chute d’une

Centaine de mètres le long de paroi

D’une falaise, d’autres plus modestes,

Hauteur de quelques mètres seulement,

Pour réaliser une cascade sur un ruisseau.

.

Il faut faire comme les castors, un mini barrage

Créant une retenue d’eau suffisante pour déboucher

En force sur une chute : il faut aussi imaginer  le bruit

Et bouillonnement de l’eau transformant en écume le jet

Qui tombe  dans une marmite, qui serait, parfois, géante !

.

Le torrent, tout en amont, dévale déjà une bonne pente ;

D’autres se joignent à lui, et forment une cascade étroite ;

Pour finir il poursuit sa descente mais bien plus tranquille.

Autour, il n’y a que, de la verdure, des arbres, et des rochers,

Et bien sûr, le bruit des eaux qui serpentent en glougloutant.

.

Il y aurait des cascades avec une seule chute

Et d’autres avec des paliers, des trous d’eau,

Certains avec mince filet tombant ruisseau,

Autres avec des roches, sur qui elles butent

.

Vosges, elles ne sont ni minces, mollassons

Quoique cela dépendra des pluies et saisons.

Toutes font des bruits, bien caractéristiques,

Sonnant, à mes oreilles, comme une musique.

.

Pleine relaxation, pleine détente au bord d’une

Cascade au son de l’eau qui coule et qui tombe.

On atteindra, on jouira de cette paix intérieure,

Et qui nous conduirait à tomber …  de sommeil !

.

.

350 – Calligramme

 .

Des cascades, en montagne :

Il y en a des mille et des cents,

Chaque fois, l’émoi d’un torrent

Vous retient,   vous accompagne.

.

D E S     C A  S C A D E S    E  N

Il  nourrit  un  délire  romantique,

Tant  la Nature, sauvage, et  belle,

Sauts et rapides vous rappellent,

À tendres  et beaux sentiments !

Votre  cœur, si tôt, s’entrouvre,

À quiétude semblant éternelle

De sa douche… d’eaux vives.

Qui entre leurs deux rives,

Sont pures … originelles

À vous impressionner

Par leurs…beautés.

Fris-son-nantes,

De …. félicité,

Et écarlates

De  santé,

En filet

 Est !

V

MONTAGNE 

^

Une

Cascade

En général

Con-tien-dra,

Tout  en  amont

Une réserve d’eau

Qui s’évacue  par un

Étroit goulet tombant

À pic, ou  très en pente.

La  chute  crée, un bruit,

Le poids  de l’eau, l’écume

 En cuvette  tourbillonnante,

Et le flot  reprend  son cours,

En allant  jusqu’à la prochaine

Mais elles  différeront  toujours,

Par un détail ou signe particulier

Qui lui donne  certaine originalité.

.

D  E  S           M  I  L  L   I  E  R  S  

Ainsi, les  cascades, et, les humains,

Auront, au moins, ce point commun,

Qui est de couler de source et s’agiter

Avec des débits, des cours irréguliers.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

350 4

.

Une cascade est un point de chute

Très étroit de forme géométrique,

Un filet inversé point de passage

Étroit, pour pèche de poissons

.

 

Une cascade est un point de chute

Très étroit de forme géométrique :

Un poisson s’y engouffre, pris en filet

 Gesticulant en un bouillon d’écume.

.

Symbolique 

 .

Par symbolisme des

Figures géométriques,

On entend la capacité

Qu’a une figure, de désigner,

Autre chose qu’elle-même.

Carré : l’imperfection du monde

Terrestre … la matérialité ;

Le cercle : la perfection, l’absolu,

L’infini, le divin, spiritualité ;

Losange : la vie, le passage, l’échange ;

Rectangle s’apparente au carré ;

Pour le Triangle : la sainte trinité, l’unité

Trois parties d’un ensemble, par ex;

La thèse, puis l’antithèse, puis la synthèse ;

L’angle droit existe peu dans la nature,

Le cercle lui, est plus abondant dans la nature.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme des figures géométriques

.

Descriptif

 .

350 – Cascades en montagne : des milliers  

Alignement central   /  Titre absent  /     Thème  rando

Forme conique  /  Rimes libres  /  Fond approché de forme

Symbole de forme : forme géométrique /  Symbole de fond : filet

.

.

Fond

.

Évocation 

.

350 6

.

Une cascade est un point de chute

Très étroit de forme géométrique :

Poisson s’y engouffre, pris en filet,

 Gesticulant en un bouillon d’écume.

.

Symbolique de fond

.

Le filet

Est associé au

Poisson et à la pêche.

Il symbolise la capture.

Le filet peut être assimilé

À une arme et d’ailleurs,

Il est employé dans la

Pêche et la chasse.

.

Toutefois,

Arme passive,

Qui ne blesse pas.

Ainsi, le filet implique

Une capture intellectuelle,

Par la ruse plutôt que

Par la violence.

1001symboles.net/

symbole/sens-de-filet.html

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Nombre de cascades s’évaseront

En  tombant  comme  en escaliers,

Sous l’effet des plus fortes pressions

Elles   prennent  leurs  aises, libérées.

Produisent des écumes, sur les rochers,

Qui finissent par se laminer par érosion.

L’eau prend vie soudainement, elle danse

En se précipitant dans une chute endiablée

Et en plus, elle se met à chanter  sa chanson

Murmurant, à l’oreille, le temps qui s’écoule

Et pourtant  l’on n’en finit pas de l’entendre,

Rien qu’à la regarder  tomber indéfiniment.

 .

.

Cascade, cônes inversés ! 

.

Scénario

.

Et d’une, qui tombe à pic, perdue dans les forêts situées en hauteur

et de deux, et double, et qui répond au nom  «le saut du Bouchot»

qui  descend, en serpentant, vers le chalet que nous avons loué !

 .

Visuels et textuels  >>  

 

349 – Randonnée lac de Saulxsure sur Moselotte

Visuels et textuels  >>  

.

Sur vingtaine d’hectares de parc,

Un lac profond de dix mètres.

Il en occupe une moitié,

Avec plage au bout,

Bien exposée,

Surveillée.

Veillée

V

^

Tout

Alentour,

Cadre de verdure,

Fait de forêt de sapins,

Et autres essences diverses

Agrémentent les yeux, paysage

Dans un ciel bleu, sans nuages.

.

La plage est prolongée

Par une   belle pelouse,

A l’herbe,   bien tendre,

Et, fraichement coupée,

Parsemée  de bouleaux,

Qui procurent du frais :

Un vrai havre de repos,

Un vrai havre de paix !

.

Les enfants y jouent, sous l’œil des parents,

Il n’y a ni stress ni agitations ni hurlements,

Un temps, comme … suspendu, nous abreuve

D’images et sensations … qui nous émeuvent.

.

Pour un peu, le monde aurait comme disparu,

Pour nous garder, ici,  comme pauvres  et nus,

Et la cloche du bébé nous rappelle à la réalité :

Il est temps de rentrer pour lui donner à diner.

.

.

Extensions

.

Nombre de lacs sont considérés, voire aménagés,

Comme des lieux de nature et de détente, propices

Au repos, rêverie, si ce n’est promenade  en famille,

Voire à la randonnée à bicyclette.

.

Contrairement aux canaux qui sont droits et linéaires,

Les lacs sont très souvent plus ronds et plus circulaires.

Quelques-uns auront un ou plusieurs ilots, en leur sein,

Qui leur donnent un air de petite mer, qui en tous cas,

Accroche, ravi l’œil, en tous points.

.

Celui de Saulxsure, nom peu familier pour un breton

Est enchâssé  au fond d’une vallée fermée, autour de

Nombreux  monts des Vosges, comme  Gérardmer.

.

On peut aisément en faire le tour sans se fatiguer

En très belle promenade pour s’ouvrir l’appétit

Ou pour faciliter la digestion : quel que soit

L’heure de la journée, la plage et le bain

Vous tendent les bras et l’eau en été

Est  agréable  pour  s’amuser,

Se détendre, s’hydrater.

.

Il y a bien sûr de nombreux lacs dans Les Vosges.

Ici nous sommes dans le sud, dans les Haut-Rupts.

Le lac n’est pas aussi grand que celui de Gérardmer,

Mais il est, tout comme lui, encaissé, dans une vallée,

Avec une ville  à côté, et, aménagé, pour s’y baigner.

Ce lac respire, la montagne, la mer, la tranquillité.

Il offre, à qui y séjourne, un charme particulier.

.

Les noms locaux donnés aux plans d’eau

Par la population, ne s’accordent pas,

 Toujours aux définitions officielles :

Lors c’est souvent la grande taille

 Et voire une grande profondeur

Qui seront prises en compte.

.

Un lac est ainsi plus grand

Plus profond que l’étang,

Lequel est plus grand et

 Plus profond  que mare.

D’après article Wikipédia

.

Cela dit en faire le tour

Sera toujours plaisant,

Plat  et  non fatiguant,

Avec les petits-enfants,

Ne rechignant pas tant.

Belle rando… bel amour !

.

.

349 – Calligramme 

 .

Sur vingtaine d’hectares de parc,

Un lac profond de dix mètres.

Il en occupe une moitié,

Avec plage au bout,

Bien exposée,

Surveillée.

Veillée

V

^

Tout

A-len-tour,

Cadre de verdure,

Fait de forêt de sapins,

Et autres essences diverses

Agrémentent les yeux, paysage

Dans un ciel bleu  et sans nuages.

*****************************

*****************************

R  A  N   D   O   N   N  É  E

L  …..

La plage      A      est prolongée

Par une       C      belle pelouse,

À l’herbe      *       bien  tendre,

Et fraiche    V      ment coupée

Parsemée    O      de bouleaux,

Qui procu    S       rent du frais

Un vrai ha   G      vre de repos,

Un vrai ha   E       vre de paix !

S  ….

D  E     S   A  U   L   X   S   U   R   E

Les  enfants  y jouent,   sous  l’œil  des  parents,

Il n’y a  ni stress  ni  agitations  ni  hurlements.

Un temps,  comme … suspendu,  nous  abreuve

D’images et  sensations … qui  nous  émeuvent.

Pour un peu,  le monde aurait comme disparu,

Pour nous garder, ici,   comme pauvres  et nus.

Et la cloche du bébé  nous rappelle à la réalité :

Il est temps de rentrer pour lui donner à diner.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

349 4

.

Deux formes géométriques

Comme bouée cardinale

Ou peut-être un filet,

De pêche, en bicone

.

Un filet est souvent plat, rectangulaire,

avec une poche bien rond tout en bout

rien de comparable à forme conique

ni rando : forme diffère du fond !

.

Deux figures géométriques formant

 Bouée cardinale

Car nous sommes ici sur un lac avec un

Petit filet !

.

Symbolique

 .

Par symbolisme des

Figures géométriques,

On entend la capacité

Qu’a une figure, de désigner,

Autre chose qu’elle-même.

Carré : l’imperfection du monde

Terrestre … la matérialité ;

Le cercle : la perfection, l’absolu,

L’infini, le divin, spiritualité ;

Losange : la vie, le passage, l’échange ;

Rectangle s’apparente au carré ;

Pour le Triangle : la sainte trinité, l’unité

Trois parties d’un ensemble, par ex;

La thèse, puis l’antithèse, puis la synthèse ;

L’angle droit existe peu dans la nature,

Le cercle lui, est plus abondant dans la nature.

wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_figures_géométriques

.

Descriptif

 .

349 – Randonnée lac de Saulxsure, Vosges 

Alignement central   /  Titre droit  /     Thème  rando

Forme conique  /  Rimes variées  /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : forme géométrique /  Symbole de fond : filet

.

.

Fond

.

Évocation

.

349 6

.

Deux figures géométriques formant

 Bouée cardinale

Nous sommes ici sur un lac avec un

Petit filet !

.

Symbolique 

 .

Le filet

Est associé au

Poisson et à la pêche.

Il symbolise la capture.

Le filet peut être assimilé

À une arme et d’ailleurs,

Il est employé dans la

Pêche et la chasse.

.

Toutefois,

Arme passive,

Qui ne blesse pas.

Ainsi, le filet implique

Une capture intellectuelle,

Par la ruse plutôt que

Par la violence.

1001symboles.net/

symbole/sens-de-filet.html

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Un lac ne se conformera pas souvent

À une quelconque figure géométrique,

Il y en aura de toutes formes, étendues,

Le double cône en est une parmi d’autres

Mais plutôt rare : et celui de Saulxsure

Est assez rectangle, dans l’ensemble,

En arrondi au centre sur un côté,

Artificiel avec plage et base.

.

.

Randonnée lac de Saulxsure

.

Scénario

.

Le lac de Saulxsure sur Moselotte, en bas des Vosges, vu de loin ;

ses abords avec son sentier randonnée autour et maisonnettes ;

sa plage où  je me suis baigné avec mon petit-fils de cinq ans !

.

Visuels et textuels  >> 

348 – Dans le quartier populaire d’Amsterdam (IV)

Visuels et textuels  >> 

.

Pour nous en consoler … nous nous réfugions

Dans le café « Catala » … où nous commandons,

Chacun un verre  de genièvre,  spécialité de ce bar,

Typiquement flamand auparavant, devenu espagnol.

.

On consulte la carte de tapas nous tentant finalement

Alors l’on commande, accompagné verre de vin blanc,

Ou chope de bière glacée sortant du fût, à zéro degré.

.

En fin de soirée, nous repartons  de  l’appartement,

Pour aller prendre … l’adresse  d’un site internet,

Apposé à la vitrine d’une proche maroquinerie

Qui exposait un sac en cuir noir et orange,

Objet de convoitise pour les…dames.

.

Au retour, nous céderons au denier

Plaisir de prendre un ultime dessert,

Dans le bar attenant à l’appartement,

De bon accueil, et de bonne ambiance,

Dégustons mini-crêpes, des fruits frais,

.

Autour de bouteille  de blanc, allemand

De l’autre côté du Rhin, sans nul doute,

Au pied la Forêt Noire et face à l’Alsace

Eh bien, il avait du gout, et de la tenue,

Ce vin avec sa note fruitée et pétillante,

Comme fameux, vino verde, portugais.

.

Finalement, il n’y a plus  de frontières,

Pour déguster un bon vin … mais allez

Donc demander un vin …  hollandais :

Au mieux : vexé,  l’on  vous  ignorera,

Jusqu’au pire : on  vous rira  au nez !

.

C’est la fin de soirée  de notre séjour,

Et vrai que, c’est souvent en flânant,

Au détour d’une grande rue, avenue

D’une ruelle ou au coin d’une place,

Ou d’un carrefour que l’on déniche

La petite merveille d’architecture

Et qui ne figure sur aucun guide,

Et pas plus sur aucun parcours.

.

.

Extensions

.

Le lendemain était le jour pour notre départ :

Fallait se dépêcher d’emmagasiner le maximum

De sensations et impressions avec cette frustration

De n’avoir vu que peu de choses et le désir d’y revenir

Venise, Florence, Rome,  mais aussi, Séville et Lisbonne

Tout comme Prague et Berlin, ont donné les mêmes envies.

.

Amsterdam n’aura pas brillé de par ses talents … culinaires,

Au vu nombre de restaurants proposant des plats étrangers.

On ne peut espérer tout avoir en un seul et même endroit.

.

Paris fait figure d’exception sur ce plan- là : par contre

Nous avons eu la chance de déguster un vin qui avait

Goût et tenue bien que cultivé, élevé en Hollande.

Il faut d’attendre à tout, en matière de boisson.

.

Notre dernière soirée à Amsterdam s’achève comme en apothéose

Entre deux brasseries, mangeons une glace pour nous rafraichir

Avant d’’entamer quelques  tapas espagnols au bar du  Catala.

Minuit nous descendons demander un verre, de vin du pays

M’enfin Gaston, on a du germanique, mais ici, aucun vin !

Voilà comment le vin de la discorde nous aura fait sortir,

Pour revenir à l’appartement  pour préparer nos valises.

.

La plus longue est souvent la dernière soirée,

Pour maximiser notre temps et opportunités

Lors nous l’avons à la gastronomie, consacrée

Tant cafés, brasseries, ferment tard en soirée.

.

C’est un peu la fête et si nos souvenirs entrés

Par nos pieds, parfois aussi, par nos gosiers :

Tant vrai qu’à Amsterdam, bière coule à flot :

Quant à gouter son vin, bon courage matelot.

.

Allez un dernier verre avant d’aller se coucher,

Nous nous sommes rabattus sur vin allemand.

Difficile de s’arracher de quatre jours à visiter

Escapade à l’étranger est toujours bon temps.

.

.

348 – Calligramme (IV)

 .

Pour nous en consoler … nous nous réfugions

Dans le café « Catala » … où nous commandons,

Chacun un verre  de genièvre,  spécialité de ce bar,

Typiquement flamand auparavant, devenu espagnol.

On consulte la carte de tapas nous tentant finalement

Alors l’on commande, accompagné verre de vin blanc,

Ou chope de bière glacée sortant du fût, à zéro degré.

En fin de soirée, nous repartons  de  l’appartement,

Pour aller prendre … l’adresse  d’un site internet,

Apposé à la vitrine d’une proche maroquinerie

Qui exposait un sac en cuir noir et orange,

Objet de convoitise  pour les … dames.

Q U A R T I E R  P O P U L A I R E

Au retour, nous céderons  au  dernier

Plaisir de prendre  un ultime dessert,

Dans le bar attenant à l’appartement,

De bon accueil, et de bonne ambiance,

Dégustons mini-crêpes, des fruits frais,

Autour de bouteille  de blanc, allemand

De l’autre côté du Rhin, sans nul doute,

Au pied la Forêt Noire et face à l’Alsace

Eh bien, il avait du gout, et de la tenue,

Ce vin avec sa note fruitée et pétillante,

Comme fameux, vino verde, portugais.

D  ’  A  M  S  T  E  R  D  A  M

Finalement, il n’y a plus  de frontières,

Pour déguster un bon vin … mais allez

Donc demander un vin …  hollandais :

Au mieux : vexé,  l’on  vous  ignorera,

Jusqu’au pire : on  vous rira  au nez !

C’est la fin de soirée  de notre séjour,

Et vrai que c’est, souvent, en flânant,

Au détour  d’une grande rue, avenue

D’une ruelle  ou au coin d’une place,

Ou d’un carrefour que l’on déniche,

Une petite merveille d’architecture

Et qui ne figure sur aucun guide,

Et pas plus sur aucun parcours.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

348 4

.

Je ne suis certes pas une lumière

Mais je penche pour une torche 

Non pas ancienne faite matières

Mais électrique et à faisceau.

 .

Une torche électrique n’aurait rien à faire

avec quelque quartier populaire que ce soit

lors rien à voir non plus avec café et vin

si fait que la forme diffère du fond.

.

Petit à petit, la lampe  électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière n’est pas aussi diffuse,

Elle est plus orientée, plus stable.

.

Symbolique de forme

.

Qu’il s’agisse

D’une lampe à huile,

À pétrole ou d’une lampe

Moderne ou électrique, elle

Symbolise toute l’énergie

Que  nous contrôlerons,

Que nous maîtrisons.

Lumière intérieure,

Rassurante et simple,

Connaissance transmise

Par notre environnement,

Celle que  chacun  reçoit en

Naissant et dont il a besoin.

Dans  certains  rêves  son

Symbolisme est proche

De celui de la bougie.

tristan-moir.fr/lampe

.

Descriptif

.

345 – Quartier populaire Amsterdam (IV)  

Alignement central  / Titre absent  /  Thème  ville

Forme droite  / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : torche

.

Fond

.

Évocation 

.

348 6

.

Petit à petit, la lampe  électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière  n’est pas  aussi diffuse,

Elle est plus orientée, plus stable.

 .

Symbolique

.

Torche

Est un bâton

Enflammé,

Qui sert à éclairer,

Symbolise la lumière et l’espoir.

Représente la lumière dans l’obscurité.

Symbolise le savoir et la connaissance,

La révélation qui émane des ténèbres.

.

Lumière que produit  feu de la torche

Est une lumière chaude, lumière

.

Qui réconforte et qui

Réchauffe le cœur.

Mais contrairement

À la lampe électrique,

La lumière de la torche

Est une lumière  plutôt

Vacillante, et  instable.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-torche.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Torche et lampe diffuse de la lumière

Mais qui seront loin d’être la même,

Ce sont presque les deux extrêmes :

Un feu brut et des plus domestiqués,

Des lampes qui diffusent ambiance,

On en trouvera dans bien des cafés

Ça pousserait à se confier, à boire

Et si cela est vrai : à votre santé !

 .

.

Retour de voyage à Amsterdam

.

Scénario

.

Ce ne sont pas les cafés qui manquent où la bière coule à flot.

Le café Catala nous propose des tapas avec des bières glacées.

Dernier verre avant de se coucher et décamper pour le retour.

.

Visuels et textuels  >> 

347 – Dans le quartier populaire d’Amsterdam (III)

Visuels et textuels  >> 

.

Nous prenons un repas complet par jour,

Et marchons en rue centre d’Amsterdam

Sans tomber dans l’état d’hypoglycémie !

Le décor est assez typique de l’Argentine,

L’ambiance musicale est plutôt plaisante

Il y a des salsas, des sambas, des rumbas

Même, pour finir, des airs connus tango.

.

Le Sud, eh quoi, là … et à fond, c’est  sûr.

Puis suivront  de nouvelles  découvertes :

Un cours et café du musée d’Amsterdam.

Avec tableau céramique sur mur d’entrée

Représentant vingtaine d’anciens métiers

En sortons par le hall, voûté en arc cercle.

.

Ça se passe en 1811, ça fait deux cents ans

Avant notre propre venue comme touriste.

Non loin, on découvre les : « béguinages »

Sorte de grande cour, avec jardin intérieur

Autour desquels,  l’on trouve  des maisons.

.

Près d’une cinquantaine, je crois,  au total,

Et occupées par femmes toutes célibataires

Et fortement croyantes, même pratiquantes

Mais n’ayant toutefois pas déclaré leurs vœux

De chasteté, comme on le fait,  en un couvent.

Une maison  accueillait  chapelle clandestine !

.

Car il fut un temps où, la religion catholique,

Était proscrite à Amsterdam, par protestants.

Nous quittons, au bout  d’un temps, ces lieux,

Vraiment charmant, et, tout autant reposants,

Que l’on aura abordé  par une porte ordinaire

Et un long  et étroit passage,  comme il se doit,

Pour rejoindre le quartier juif, n’étant pas loin.

.

Ce dernier nous aura surpris totalement rénové

Ce qui aura provoqué en nous quelque déception

Il ne restait, de lui, que le nom  et une synagogue :

Cela n’avait plus rien à voir avec d’autres quartiers

Tels ceux de Strasbourg ou de Venise ou d’ailleurs,

Que nous connaissons bien et que nous apprécions.

.

.

Extensions

.

Ce quartier abrite une manufacture

De diamants nommée « Diamond factory »

Construite au XIXème siècle par son fondateur

Et dont la statue trône dans le grand hall d’accueil.

On visite gratuitement, manière de les tailler de a à z.

.

Des bus, dans la cour, apportaient des flots d’asiatiques.

Il est trop tard pour la visiter, nous reviendrons peut-être

Lors d’un autre séjour car, demain, nous partons déjà.

Amsterdam est connu pour ses nombreux joaillers

Ils ont pignon sur rue ici et là en quartier juif.

.

La religion d’un côté et l’argent de l’autre,

On est en une terre bien protestante,

C’est normal et depuis des siècles.

Leurs temples en attestent.

 .

 «Béguinages» curiosité d’Amsterdam, aux temps des persécutions,

Réservés uniquement aux femmes, tenues et entretenues par elles !

Un endroit calme s’il en est et qui pousse à un certain recueillement.

La faim nous tire d’une rêverie romantique, pour chercher à manger.

Notre choix se porte sur un restaurant argentin, et son nom l’indique.

Après nous être sustenté et abreuvé copieusement, place à la digestion,

Et c’est là que nous avons fait connaissance avec la «Diamond Factory».

.

On creuse, toujours plus loin, dans l’histoire

D’Amsterdam jusque deux cent ans en arrière :

Parc romantique qui fait flamber un imaginaire,

Qui extirpera événements bien restés dans le noir.

.

De passer, d’une place à l’autre, sans transitions,

Mélangera, dans notre tête, moult impressions

Qui feraient moutures pour nos rêves, la nuit

Les inscriront dans notre mémoire, infinie.

.

Exemple a contrario  Diamond Factory

Ne l’ayant vu que du dehors et fermé

Nous laissera un souvenir imprécis

Et pourtant diamant bien taillé.

.

.

347 – Calligramme (III) 

 .

Nous prenons un repas complet par jour,

Et marchons en rue centre d’Amsterdam

Sans tomber dans l’état d’hypoglycémie !

Le décor est assez typique de l’Argentine,

L’ambiance musicale est plutôt plaisante

Il y a des salsas, des sambas, des rumbas

Même, pour finir, des airs connus tango.

Le Sud, eh quoi, là … et à fond, c’est  sûr.

Puis suivront  de nouvelles  découvertes :

Un cours et café du musée d’Amsterdam.

Avec tableau céramique sur mur d’entrée

Représentant vingtaine d’anciens métiers

En sortons par le hall, voûté en arc cercle.

Q  U  A  R  T  I  E  R

Ça se passe en 1811, ça fait deux cents ans

Avant notre propre venue comme touriste.

Non loin, on découvre les : « béguinages »

 Sorte de grande cour, avec jardin intérieur

Autour desquels,  l’on trouve  des maisons,

Près d’une cinquantaine, je crois,  au total,

Et occupées par femmes toutes célibataires

Et fortement croyantes, même pratiquantes

  Mais n’ayant toutefois pas déclaré leurs vœux

 De chasteté, comme on le fait,  en un couvent.

Une maison  accueillait  chapelle clandestine !

P  O  P  U  L  A  I  R  E

 Car il fut un   *    temps où, la religion catholique

 Était proscrite à    D   Amsterdam, par protestants.

Nous quittons au            bout d’un temps ces lieux,

Vraiment charmant, et,     A       tout autant reposants,

Que l’on aura abordé par         M        une porte ordinaire

Et un long et étroit passage,           S         comme il se doit,

Pour rejoindre le quartier juif,             T       n’étant pas loin.

Ce dernier nous aura surpris : totale        E          ment rénové

Ce qui aura provoqué en nous quelque      R             déception

Il ne restait, de lui, que le nom et une      D           synagogue :

Cela n’avait plus rien à voir avec           A    d’autres quartiers

Tels ceux de Strasbourg ou de        M       Venise ou d’ailleurs,

Que nous connaissons bien      *      et que nous apprécions.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

347 4

.

Je ne suis certes pas une lumière

Mais je penche pour une torche 

Non pas ancienne faite matières

Mais électrique et à faisceau.

.

Une torche électrique n’aurait rien à faire

avec quelque quartier populaire que ce soit

rien à voir avec un par cet une  fabrique

si fait que la forme diffère du fond.

.

Petit à petit, la lampe  électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière n’est pas aussi diffuse,

Elle est plus orientée, plus stable.

.

Symbolique 

.

Qu’il s’agisse

D’une lampe à huile,

À pétrole ou d’une lampe

Moderne ou électrique, elle

Symbolise toute l’énergie

Que  nous contrôlerons,

Que nous maîtrisons.

Lumière intérieure,

Rassurante et simple,

Connaissance transmise

Par notre environnement,

Celle que  chacun  reçoit en

Naissant et dont il a besoin.

Dans  certains  rêves  son

Symbolisme est proche

De celui de la bougie.

tristan-moir.fr/lampe

.

Descriptif

.

345 – Quartier populaire Amsterdam (III)  

Alignement central  / Titre absent  /  Thème  ville

Forme droite  / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : torche

.

.

Fond

.

Évocation

.

347 6

.

.

Évocation de fond

.

Petit à petit, la lampe  électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière  n’est  pas aussi diffuse,

Elle est plus orientée, plus stable.

 .

Symbolique 

.

Torche

Est un bâton

Enflammé,

Qui sert à éclairer,

Symbolise la lumière et l’espoir,

Représente la lumière dans l’obscurité,

Symbolise le savoir et la connaissance,

La révélation qui émane des ténèbres.

.

Lumière que produit  feu de la torche

Est une lumière chaude, lumière

.

Qui réconforte et qui

Réchauffe le cœur.

Mais contrairement

À la lampe électrique,

La lumière de la torche

Est une lumière  plutôt

Vacillante, et  instable.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-torche.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Torche et lampe diffuse de la lumière

Mais qui seront loin d’être la même,

Ce sont presque les deux extrêmes :

Un feu brut et des plus domestiqués,

Y compris dans ce parc romantique,

Héritage des anciens «béguinages».

 

.

Diamants taillés Amsterdam

.

Scénario

.

Le parc intérieur  et romantique des « béguinages » d’Amsterdam.

Un restaurant argentin pour déguster une côte de bœuf de là-bas,

L’immeuble de la Diamond Factory construite au XIXème siècle.

.

Visuels et textuels  >> 

346 – Dans le quartier populaire d’Amsterdam (II)

Visuels et textuels  >>  

Nous avons assisté à un concert d’orgue

Donné non loin de la Maison Anne Frank,

Que nous avions visité,  notre premier jour.

.

Au programme de la demi-heure, annoncée,

Trois morceaux, liturgiques, de  César Frank,

Suivi de morceaux profanes  de Tom Leuwen,

Et, enfin, contemporains, de  Maurice Duruflé.

.

Orgue  de  belle facture, architecturale, sonore,

S’ouvre : panneaux, peints de motifs, de fleurs.

Sa sonorité limpide et claire, laisse prédominer

Les médiums, les aigus, tous, hauts en chœurs,

Sur les basses profondes et les basses appuyées

Comme certains orgues de factures françaises.

.

Du fait volume et de l’écho du temple,

Les timbres sont, bien étagés, distincts

En chacune des gammes  chromatiques,

Ce qui les rend agréables  à  notre oreille.

En résumé, davantage d’effet d’harmonie

Fluidité que de présence ou de puissance.

.

Le public est une centaine de personnes,

Assises  sur des chaises, et, plein centre,

Semble apprécier du fait que la moitié

D’entre eux gardent les yeux fermés,

Pour, se recueillir, et s’en délecter.

.

L’organiste, Matthias Havinga,

Accusant la quarantaine,  à peine,

Quitte son instrument  pour  descendre

De son perchoir et venir saluer les auditeurs

Qui l’applaudissent avec une vraie,  réelle ferveur.

.

Avant de quitter les lieux,  faisons un tour de l’église,

Pour comparer le dépouillement des temples protestants

Contrastant la magnificence ornements églises catholiques

Sa sobriété nous parait conforme  au message de l’Evangile,

Et elle porte au recueillement tout autant sinon davantage

Que les tableaux et statues de nos chapelles bretonnes.

.

.

Extensions

.

Pour déjeuner, avons le choix entre

Les indiens, les chinois ou les argentins

Tant les restaurants, de tradition hollandaise,

Ne courent pas  les rues, y compris  au centre-ville

Et nous n’en avons pas vu, jusqu’à présent, de français.

.

Rapport qualité/quantité, service/prix, ce sont les argentins

Qui l’emportent en équivalents de nos brasseries parisiennes.

Chez eux on peut avoir un travers de porc mariné ou une

Entrecôte grillée pour environs une dizaine d’euros.

.

Ailleurs, c’est bien plus cher : chez  un italien,

Nous avons payé le double pour des sandwiches

Dans une rue, super chic, mais quand même !

 .

Ah, une musique d’orgue baroque dans un temple qui l’est

Ça vous charme les oreilles, et vous fait vibrer tout le corps !

Déjà que ce bel instrument avec tuyaux en façade bien jaunes

Nous ravit la vue, comme un tableau de Jéricho, en  pleine fête.

Les morceaux choisis sont interprétés,  sans la moindre outrance

Au bout de l’heure j’en avais plein la tête, étant totalement ailleurs

Jésus que ma joie demeure, joué par Jean Sébastien Bach lui-même.

.

Il y a différents types, qualités d’orgues

Dans les églises, les temples, cathédrales,

Tout comme environnements acoustiques,

Sans parler des morceaux et des organistes

.

Nous avons été servis en tout par meilleurs :

Cela  se sent, s’entend, se voit : vrai bonheur.

J’en garde encore comme des frissons de joie

Procurant comme torrent d’émotions en moi.

.

Quoi de mieux, pour se remettre d’un chant,

Qui aura ébranlé cerveau, estomac et tripes,

Que de sustenter en un excellent restaurant

Avec bruit de fourchette comme musique.

 .

Gastronomie est un autre art culinaire,

Produisant émotions extraordinaires

Ne manque qu’oreille à son tableau,

Les quatre autres sens sont beaux.

.

.

346 – Calligramme (II)  

 .

Nous avons assisté à un concert d’orgue

Donné non loin de la Maison Anne Frank,

Que nous avions visité,  notre premier jour.

Au programme de la demi-heure, annoncée,

Trois morceaux, liturgiques, de  César Frank,

Suivi de morceaux profanes  de Tom Leuwen,

Et, enfin, contemporains, de  Maurice Duruflé.

Orgue  de  belle facture, architecturale, sonore,

S’ouvre : panneaux, peints de motifs, de fleurs.

Sa sonorité limpide et claire, laisse prédominer

Les médiums, les aigus, tous, hauts en chœurs,

Sur les basses profondes et les basses appuyées

Comme certains orgues de factures françaises.

Q  U  A  R  T  I  E  R

Du fait volume et de l’écho du temple,

Les timbres sont, bien étagés, distincts

En chacune des gammes  chromatiques,

Ce qui les rend agréables  à  notre oreille.

En résumé, davantage d’effet d’harmonie

 Fluidité que de présence ou de puissance.

P  O  P  U  L  A  I  R  E

Le public est une centaine de personnes,

Assises  sur des chaises, et, plein centre,

Semble apprécier du fait que la moitié

D’entre eux gardent les yeux fermés

Pour, se recueillir et s’en délecter.

D  ’ A  M  S  T  E  R  D  A  M

L’organiste, Matthias Havinga,

Accusant la quarantaine,  à peine,

Quitte son instrument  pour  descendre

De son perchoir et venir saluer les auditeurs

Qui l’applaudissent avec une vraie,  réelle ferveur.

Avant de quitter les lieux,  faisons un tour de l’église,

 Pour comparer le dépouillement des temples protestants

Contrastant la magnificence ornements églises catholiques

Sa sobriété nous parait conforme  au message de l’Évangile,

Et elle porte au recueillement tout autant sinon davantage

Que les tableaux et statues de nos chapelles bretonnes.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

346 4

.

Je ne suis certes pas une lumière

Mais je penche pour une torche 

Non pas ancienne faite matières

Mais électrique et à faisceau.

 .

Une torche électrique n’aurait rien à faire

avec quelque quartier populaire que ce soit

Rien à voir non plus avec église et orgue

si fait que la forme diffère du fond.

.

Petit à petit, la lampe  électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière n’est pas aussi diffuse,

Elle est plus orientée, plus stable.

.

Symbolique 

.

Qu’il s’agisse

D’une lampe à huile,

À pétrole ou d’une lampe

Moderne ou électrique, elle

Symbolise toute l’énergie

Que  nous contrôlerons,

Que nous maîtrisons.

Lumière intérieure,

Rassurante et simple,

Connaissance transmise

Par notre environnement,

Celle que  chacun  reçoit en

Naissant et dont il a besoin.

Dans  certains  rêves  son

Symbolisme est proche

De celui de la bougie.

tristan-moir.fr/lampe

.

Descriptif

.

345 – Quartier populaire Amsterdam (II)  

Alignement central  / Titre absent  /  Thème  ville

Forme droite  / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : torche

.

.

Fond

.

Évocation 

.

346 6

.

Petit à petit, la lampe électrique

Aura remplacé la torche à flamme

Sa lumière n’est pas aussi diffuse :

Elle est plus orientée, plus stable.

.

Symbolique 

 .

Torche

Est un bâton

Enflammé,

Qui sert à éclairer,

Symbolise la lumière et l’espoir.

Représente la lumière dans l’obscurité.

Symbolise le savoir et la connaissance,

La révélation qui émane des ténèbres.

.

Lumière que produit  feu de la torche

Est une lumière chaude, lumière

Qui réconforte et qui

Réchauffe le cœur.

.

Mais contrairement

À la lampe électrique,

La lumière de la torche

Est une lumière  plutôt

Vacillante, et  instable.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-torche.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Torche et lampe diffuse de la lumière

Mais qui seront loin d’être la même,

Ce sont presque les deux extrêmes :

Un feu brut et des plus domestiqués

Toujours est-il que dans une église,

L’éclairage demeure bien électrifié

Y compris orgue pour bien sonner

.

.

Restau argentin Amsterdam

.

Scénario

.

L’église protestante située tout près de la maison d’Anne Frank,

avec ancien orgue, de très belle facture, architecturale et sonore,

ses voûtes et arcades en pierres blanches, et des plus dépouillées !

 .

Visuels et textuels  >>  

345 – Dans le quartier populaire d’Amsterdam (I)

Visuels et textuels  >>  

.

Lors

D’une  longue  flânerie

En un  quartier qu’on dit populaire,

Et aux frontons   ornés  de blasons

Qui affichaient des  sujets divers,

.

J’ai observé que sur des façades

Le plus souvent dans  pignons,

Le noir, foncé,  s’en extrayait,

Malgré  l’étroitesse  pignons.

.

Les fenêtres sont très larges

Afin de capter le maximum

De la lumière et y compris

Jour de pluie jour d’hiver

L’on trouvera  des cours,

Et des jardins intérieurs

.

Avec  d’étroits  couloirs,

Pour pouvoir y accéder

Comme  si  l’on voulait

Les  tenir  très  secrets,

Aux yeux,   des curieux,

Et  même  des passants.

.

Il y a  peu  de  publicités,

Tapageuses  et  flashantes

Venant  percuter votre œil

Lorsqu’architecture rythme

Rue place, maison anonyme

S’alignant le long des canaux

.

Peu d’animaux,  chiens laissés

Errants entre chats faméliques

Bon nombre enfants en bas âge,

Se promènent,  avec les  parents :

Sur  leur vélo, ou  derrière  la selle,

Sinon  sur le guidon  ou  en caissons

Rattachés, par une barre, à  leur vélo :

Attelage spécialement aménagé pour eux.

.

Si les immeubles ont l’air de se ressembler,

Y regardant de près, ils sont tous particuliers,

En proportions, couleurs, ouvertures, matières.

.

Vélos sont dix fois  plus nombreux  que les autos,

Quasiment, tous, de  couleur noire. Noir et orange,

Sont bien deux couleurs, représentant  La Hollande.

.

Cela procure une atmosphère  de silence et de calme,

Ponctuée de sonnettes plus que de klaxon de voiture.

Cela fait contraste  avec villes du Sud de la France,

Où les couleurs rageuses et les bruits continuels

Font partie gènes, comportements culturels !

.

.

Extensions

.

Cela donne un air  de dernière guerre où

Le vélo était le seul moyen de se déplacer

Soixante ans en arrière ou en avant pour

Les généraliser  dans  les villes françaises.

Il y pleut moins souvent et la température

Y est plus clémente : pour nous désaltérer.

.

Nous prenons  café  et  gâteau aux pommes

Maison au café T’Smalle, avec pour sa façade

En encoignures ses vitraux, d’origine, de 1780,

Émaillés par des macarons ornés d’inscriptions.

.

L’intérieur est, tout en bois, d’époque, et  patiné

Par le temps, par les clients, lieu de rendez-vous,

Chargé d’histoire et d’art mais conservé en l’état

Là aussi, là, encore, un très étroit escalier en fer

En spirale permet d’accéder à l’étage restaurant.

Pas de place pour monter  les gros et les grosses.

.

Chambre d’hôte ressemble, souvent, à un grand couloir :

Toute en longueur et avec une grande ouverture en façade

Brasseries à l’ancienne ont gardé, leur cachet, atmosphère,

Et c’est vrai que l’on y aura bu de bonnes et  grandes bières

On a autant apprécié les pelouses vertes et bien entretenues

Mais le must dans notre visite, ce sont les cours intérieures,

Qui donnent une sorte d’intimité bien que communautaire.

.

Le café est une substance qui réveille nos neurones

Quand on en prend trop c’est le cœur qui s’emballe

Mais c’est autant, un rite, besoin, familial et social

En témoigne invitations, consommations en cafés.

Flânerie nous pousse à nous asseoir à une terrasse

Après avoir marché des heures, à visiter curiosités,

Le meilleur endroit pour observer gens qui passent,

Avant en chambre d’hôtel, appartement, de rentrer.

.

.

345 – Calligramme  (I)  

 .

Lors

D’une  longue  flânerie

En un  quartier qu’on dit populaire,

Et aux frontons   ornés  de blasons

Qui affichaient des  sujets divers,

Q  U  A  R  T  I  E  R

J’ai observé que sur des façades

Le plus souvent dans  pignons,

Le noir, foncé,  s’en extrayait,

Malgré  l’étroitesse  pignons.

Les fenêtres sont très larges

Afin de capter le maximum

De la lumière et y compris

Jour de pluie jour d’hiver

L’on trouvera  des cours,

Et des jardins intérieurs

Avec  d’étroits  couloirs,

Pour pouvoir y accéder

Comme  si  l’on voulait

Les  tenir  très  secrets,

Aux yeux,   des curieux,

Et  même  des passants.

P O P U L A I R E

Il y a  peu  de  publicités,

Tapageuses  et  flashantes

Venant  percuter votre œil

Lorsqu’architecture rythme

Rue place, maison anonyme

S’alignant le long des canaux

Peu d’animaux,  chiens laissés

Errants entre chats faméliques

Bon nombre enfants en bas âge,

Se promènent,  avec les  parents :

Sur  leur vélo, ou  derrière  la selle,

Sinon  sur le guidon  ou  en caissons

Rattachés, par une barre, à  leur vélo :

Attelage spécialement aménagé pour eux.

D ’ A M S T E R D A M

Si les immeubles ont l’air de se ressembler,

Y regardant de près, ils sont tous particuliers,

En proportions, couleurs, ouvertures, matières.

Vélos sont dix fois  plus nombreux  que les autos,

Quasiment, tous, de  couleur noire. Noir et orange,

Sont bien deux couleurs, représentant  La Hollande.

Cela procure une atmosphère  de silence et de calme,

Ponctuée de sonnettes plus que de klaxon de voiture.

Cela fait contraste  avec villes du Sud de la France,

Où les couleurs rageuses et les bruits continuels

Font partie gènes, comportements culturels !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

345 4

.

Ça ressemble assez

À une belle carafe,

Probablement pour  

Vin ou thé ou café !

.

On peut imaginer liquide possible

En  cette belle carafe, en verre :

Du vin bien sûr mais aussi de la

Bière, du café, du thé, de l’eau !

.

On peut imaginer liquide possible

En  cette belle carafe, en verre :

Du vin bien sûr mais aussi de la

Bière, du café, du thé, de l’eau !

.

Symbolique 

.

Carafe est

Plus que bouteille,

Car on a pris la peine

D’y transvaser le liquide,

Un précieux liquide méritant

Un contenant, à sa hauteur.

Elle est un symbole féminin,

Promet fécondité et richesse

À moyen  ou  à long  terme.

Faut-il  qu’elle  soit pleine !

Elle annoncerait de la joie,

Des événements agréables

Rendant force et vigueur.

Dire « Rester en carafe »

Renvoie à la carafe vide,

Abandons, frustrations,

Arrêts, dus  aux  oublis,

Autres désagréments.

Wikireve.fr/dir/4446-carafe

.

Descriptif

.

345 – Quartier populaire Amsterdam (I)  

Alignement central  / Titre courbe  /  Thème  ville

Forme courbe  / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : carafe  / Symbole de fond : café

.

.

Fond

.

Évocation 

.

345 6

.

On peut imaginer liquide possible

En  cette belle carafe, en verre :

Du vin bien sûr mais aussi de la

Bière, du café, du thé, de l’eau !

.

Symbolique

 .

Le café demeure d’abord

Un marqueur  relationnel,

Tout à la fois indice et rituel

Aidant à accueillir  un  client

En point de vente, agence, etc.

.

Ensuite, marqueur symbolique

D’une « lutte des classes » entre

Ceux qui ont en entreprise accès

À un café de qualité et les autres.

.

Cela dit, partant, pose la question

D’une  pure   «symétrie des tasses»

En préalable  indispensable à toute

Démarche de care : prendre soin de.

forbes.fr/management/quand-le-cafe-

marqueur-symbolique-experience-collaborateur

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Ne pas confondre la carafe pour le café

Avec la cafetière pour le préparer, faire

Pas plus que le verre pour boire de l’eau

Et la tasse à café spécialement pour café

Il  arrive  qu’une  carafe   soit  surmontée

D’un étage avec un filtre pour café et eau,

La version populaire de machine expresso

Qu’on trouve dans les cafés,  et  les hôtels.

Et on trouvera 20 modèles de cafetières.

 .

.

Café et gâteau aux pommes 

.

Scénario

.

Une chambre d’hôte, grande fenêtre en façade, au centre

Comptoir dans un café-brasserie à l’ancienne au centre

Petit côté anglais  avec pelouse au raz des immeubles.

 .

Visuels et textuels  >>  

344 – Pas de mouvement, pas de vie à Amsterdam

Visuels et textuels  >> 

.

Pas de

Mouvement

Lors pas de vie :

Choses et gens figés,

Rapidement s’ennuient,

Ainsi,  les hommes  vivent,

Transitent entre rues et rives.

.

En dépit, télés/mobile/internet,

Voyage serait ce qu’il y a de mieux,

À maintenir l’esprit, ouvert,  curieux :

Se faire à l’idée des réalités,  plus nettes.

.

Il est vrai que le soleil est moins fort au nord

Mais on devine riche vie intérieure du dehors

Lors un manteau, un parapluie un cœur en or,

Vous tend la main, aide à la cerner plus encore.

.

Ici et là, bon nombre de gens  vont, et, viennent,

Certains pour le travail, d’autres pour la gaieté,

Si ce n’est pour la famille quelques nécessités,

Affaire de tous besoins  quoiqu’il  advienne !

.

L’important est l’impression  qui demeure

Après un passage et l’envie d’y séjourner

Lors chez soi on est de nouveau, rentré,

Émus des souvenir  des belles heures.

.

Lors la vue, l’ouïe, l’odeur, le goût,

Sont tous aux abois,

Il ne faudrait, jamais, se contenter

De voir tout, de chez soi,

Tant est utile, d’aller, sur place,

Voir ce qui, de droit,

Différencie bien, les choses,

Autres, par devers soi.

.

.

Extensions

.

Pas de mouvements, lors pas de vie à Amsterdam :

Pour autant c’est loin d’être ville morte, inanimée.

Il est vrai qu’en les pays nordiques, l’hiver, la vie

Se passe en habitations ou en cours intérieures

Plus qu’en grandes rues, voire grandes places.

.

Il suffit d’aller dans les cafés  pour constater

Joie de vivre n’ayant à envier  gens du sud :

La bière y coule à flot, et la bonne humeur

Devient de rigueur pour tous les convives.

.

Les Hollandais ont  comme sens de la fête

Autant en famille, communauté, publique,

Ou lors des événements dits nationaux dont

La fête de la Reine, en constitue  le summum.

.

Nous sommes arrivés  le lendemain,  et les rues

Étaient, souvent, jonchées par canettes de bière,

Et autres boissons rafraichissantes ou alcoolisées.

.

Nul besoin, pour un étranger, ou un touriste,

De parler le néerlandais   tant les résidents

Sont familiers de l’anglais, de l’allemand.

Le français sera très apprécié aussi pour

Sa connotation de culture et de gastronomie

Il faut bien le reconnaître : peu de gens le parle.*

.

Les cafés où l’on vend et consomme librement

Du hachich nous auront autant interpellés

Que les box rouges des prostituées.

Autres lieux, autres mœurs :

Qui a tort, qui a raison !

.

La foule au dehors dans les quartiers les plus commerçants

N’empêche pas de s’arrêter en lieux plus, calmes, tranquilles,

Pour déguster une bonne bière, dans une taverne déjà bondée.

Et où cette dernière coule du robinet comme sans interruption !

Naturellement la première gorgée de bière, je ne vous dis pas plus

Fleuve Amstel, et bière Amstel, vont de pairs : ils coulent de source,

Jusqu’à ce que les gosiers et les ventres, n’en puissent plus d’écluser !

.

Le mouvement, comme chacun sait,

C’est la vie et, sans lui, un bel ennui.

L’animation, c’est ce qu’on cherche,

Dans une ville, sinon, elle est morte.

.

Le jour, c’est le travail, les courses ;

La nuit, c’est loisir, sport et culture

Car c’est ainsi que la vie, on endure

Sinon on passera vite pour un ours.

.

.

Épilogue

.

La vie, comme chacun sait, c’est le mouvement,

Cela se voit, on ne le dira jamais assez

Il arrive que les rues soient désertes, sans gens,

Ni magasins ouverts, passages de bus.

***

Durant la journée, en plein midi, pleine activité,

Vrai chassé-croisé, quasi permanent,

Et agitation, amplifiée par terrasses restaurants,

Emplissant trottoir, bord des places.

***

Nuit, lampadaires s’allument comme des éclairs,

Et diffusent leurs diverses lumières

Entremêlées avec celles cafés, salles de spectacles

Si ce n’est celles quartiers chauds.

***

Et parfois, cris de foule vous viennent aux oreilles,

Signe d’une fête populaire ou défilé

L’on y est attiré vers eux comme autant de curieux

Qui veulent en profiter, y participer.

***

Notre jour d’arrivée, lendemain de fête de la reine,

Il  avait des canettes, verres en papier

Dans les rues centrales loin d’être encore nettoyées

Spectacle ahurissant, non consternant.

.

.

344 – Calligramme

 .

Pas de

Mouvement

Lors pas de vie :

Choses et gens figés,

Rapidement s’ennuient,

Ainsi,  les hommes  vivent,

Transitent entre rues et rives.

En dépit, télés/mobile/internet,

Voyage serait ce qu’il y a de mieux,

À maintenir l’esprit, ouvert,  curieux :

Se faire à l’idée des réalités,  plus nettes.

 P A  S       D   E

Il est vrai que le soleil est moins fort  M    au nord

Mais on devine riche vie intérieu    O   re du dehors

Lors un manteau, un parapluie    U    un cœur en or,

Vous tend la main, aide à la cer  V     ner plus encore.

Ici et là, bon nombre de gens    E    vont, et, viennent,

Certains pour le travail d’au  M    tres pour la gaieté,

Si ce n’est pour la famille    E    quelques nécessités,

Affaire de tous besoins     N     quoiqu’il advienne !

L’important est l’imp    T    ression  qui demeure

Après un passage et     =    l’envie d’y séjourner

Lors chez soi on est   V    de nouveau, rentré,

Émus des souvenir   I      des belles heures.

 E

Lors la vue, l’ouïe, l’odeur, le goût,

Sont tous aux abois,

Il ne faudrait, jamais, se contenter

De voir tout, de chez soi,

Tant est utile, d’aller, sur place,

Voir ce qui, de droit,

Différencie bien, les choses,

Autres, par devers soi.

A M S T E R D A M

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.344 4

.

Un pendentif à l’envers

Vase, avec  un couvercle,

Mais, tout aussi  bien   que

Lanterne ou lampadaire.

.

Les lanternes, les lampadaires

ne créent pas d’agitation, bruit,

ils ne font qu’éclairer  des lieux,

ainsi la forme s’écarte du fond

.

Rien n’empêche d’avoir agitation sous une lanterne,

 En intérieurs 

S’il n’y en aucune sous les lampadaires, à l’extérieur,

 Dans les rues.

.

Symbolique

.

La lanterne est un

Symbole de connaissance

D’intelligence, celle qui éclaire

Le monde des hommes  et elle abrite

Le feu fragile, sacré, qu’il faut préserver.

.

La lanterne contient la lumière individuelle

Qui peut se transmettre. Elle nous guide

Et elle peut aussi guider les autres.

.

Si nous rêvons d’une lanterne,

Elle représente l’intelligence

D’une personne précise.

Sa pensée nous éclaire.

tristan-moir.fr/lanterne

.

Descriptif

 

344 – Pas de mouvement : de vie Amsterdam

Alignement central  / Titre courbe  /  Thème  ville

Forme ovale  /  Rimes libres    / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lanterne  / Symbole de fond : lampadaire

.

.

Fond

.

Évocation 

.

344 6

.

Rien n’empêche d’avoir agitation sous une lanterne,

 En intérieurs 

S’il n’y en aucune sous les lampadaires, à l’extérieur,

 Dans les rues.

.

Symbolique de fond

.

Quand on parle

D’éclairage public,

Deux termes reviennent :

Lampadaire et … réverbère.

D’un point de vue étymologique,

Le mot réverbère provient du latin

«Verbero» qui  voudrait dire frapper.

.

Et, en effet, à l’époque des premiers

Lampadaires, ceux-ci comportaient

Plusieurs miroirs qui  étaient frappés

Par  la lumière : celle-ci était  alors

Diffusée aux alentours éclairant

Partie de la rue et la chaussée.

.

Quant au mot «lampadaire»

Il se réfère  aux lampades,

Des nymphes issues de la

Mythologie grecque qui

Portaient des torches

Diffusant un halo

De lumière.

objets-de-legende.fr/histoire-

evolution-lampadaire.html

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Pas d’agitations, pas de bruits :

Par ce seul fait, pas d’ambiance

Je vous parle du milieu de nuit

Les réverbères ou lampadaires

Auront tous éteints leurs feux

Et les cafés auront tous cessé

 D’assurer les boissons, jeux.

 .

.

Centre-ville d’Amsterdam

.

Scénario

.

La foule circule devant les cafés, commerces,  centre d’Amsterdam,

nous nous arrêtons devant l’un d’eux, un peu au hasard, pour boire,

une bonne bière hollandaise en salle bien remplie, des plus animées.

 .

Visuels et textuels  >>