343 – Amsterdam, ses habitants du centre-ville (II)

Visuels et textuels  >> 

.

Connaitre une ville, requiert du temps,

Autant de patience que de curiosité

Et il faut dépenser  de l’énergie,

Pour capter  l’âme des gens,

Sans parler de leur cité !

.

L’on peut se contenter

De surfer pour y croire,

Qu’on a été  à  l’essentiel,

Mais c’est toujours erroné.

.

Il y aura toute une éducation

Des gens, à faire, pour voyager,

Apprendre à observer sans juger.

.

Il y a l’éducation, gens  résidents,

Qui nous échappe, peu acculturé.

Et un dialogue de confrontations

Règles extérieures/intériorisées.

.

Et lors des lendemains de fête,

Nombre de bouteilles et détritus

Jonchent les trottoirs et chaussées

Ou, encore, les vélos, les trottinettes

Qui sont comme  norme  du transport

Chaos de leur rangement n’importe où.

.

On sait tous, pourtant, que les hollandais

Aiment beaucoup et l’ordre et la propreté.

Et ce sera donc  en fonction  d’un contexte,

Qu’il faudra relativiser  pour ne pas projeter

Tous les cadres de nos pensées  de référence,

Imprimés par son pays, sa propre éducation.

.

Finalement c’est un peu comme un carnaval,

Qu’il soit ici, soit aux Canaries, soit ailleurs .

Sauf qu’ici, ils mettent trois jours à nettoyer

Cela ne se produit qu’une fois dans l’année.

.

Gens du Nord sont moins démonstratifs

Que ceux du Sud, la majorité des fêtes

Se passent à l’intérieur des cours.

.

L’avantage d’avoir un vélo

Pour rentrer chez soi reste

Que tant qu’on tient l’équilibre

On peut pédaler sans avoir de crainte

De renverser quelqu’une, bien encore que…

.

.

Extensions

.

Fêtes sont de tous les pays,

Cultures, cités, ou quartiers,

Elles ne sont pas organisées,

Pas vécues, de la même façon

Selon chacune des traditions.

.

Lorsque dans les villes du sud,

C’est dans les rues et les places

Que tout se passe, tout s’amasse

À contrario, en les villes du nord,

Gens s’entassent en cafés et salles.

.

Il y a nul doute que la météo, y soit

Pour quelque chose, mais  pas  que…

Exubérances, retenues, ne se dérèglent

Pas de la même manière bien qu’au final,

Résultat soit souvent même, à voir les gens

Chanter, crier, tituber, ou rire, dans la rue !

.

Ici, à Amsterdam, ce sera la bière qui tient,

Naturellement en lumière, le haut du pavé,

Et quelques heures plus tard, et plus noir,

Le bas du trottoir si ce n’est du caniveau.

Nous, nous sommes  arrivés, trois jours

Trop tard pour profiter de l’événement

Annuel fête de la reine des Pays-Bas.

.

Aux Pays-Bas la couleur officielle des supporters de foot est orange.

Or elle ne figure pas sur leur drapeau, à bandes : rouge, blanc, bleu !

À l’origine, l’orange figurait aussi sur le drapeau, à la place du rouge :

La bande orange fut progressivement remplacée par une bande rouge,

Pour être plus visible en mer : orange est restée considéré par le peuple

Comme partie intégrante de la culture nationale et perdure aujourd’hui.

Oui mais alors pourquoi la couleur  fuchsia, me  direz-vous : les tulipes ?

.

.

343 – Calligramme (II)  

 .

Connaitre une ville, requiert du temps,

Autant de patience que de curiosité

Et il faut dépenser  de l’énergie,

Pour capter  l’âme des gens,

Sans parler de leur cité !

.

L’on peut se contenter

De surfer pour y croire,

Qu’on a été  à  l’essentiel,

Mais c’est toujours erroné.

Il y aura toute une éducation

Des gens, à faire, pour voyager,

Apprendre à observer sans juger.

.

Il y a l’éducation, gens  résidents,

Qui nous échappe, peu acculturé.

Et un dialogue de confrontations

Règles extérieures/intériorisées.

HABITANTS

Et lors des lendemains de fête,

Nombre de bouteilles et détritus

Jonchent les trottoirs et chaussées

Ou, encore, les vélos, les trottinettes

Qui sont comme  norme  du transport

Chaos de leur rangement n’importe où.

CENTRE-VILLE

On sait tous, pourtant, que les hollandais

Aiment beaucoup et l’ordre et la propreté.

Et ce sera donc  en fonction  d’un contexte,

Qu’il faudra relativiser  pour ne pas projeter

Tous les cadres de nos pensées  de référence,

Imprimés par son pays, sa propre éducation.

Finalement c’est un peu comme un carnaval,

Qu’il soit ici, soit aux Canaries, soit ailleurs !

Sauf qu’ici, ils mettent trois jours à nettoyer

Cela ne se produit qu’une fois dans l’année.

Gens du Nord sont moins démonstratifs

Que ceux du Sud, la majorité des fêtes

Se passent à l’intérieur des cours.

AMSTERDAM

L’avantage d’avoir un vélo

Pour rentrer chez soi reste

Que tant qu’on tient l’équilibre

On peut pédaler sans avoir de crainte

De renverser quelqu’une, bien encore que…

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

343 4

.

De quel objet s’agit-il,

Ici, peut-être verrier :

Je ne saurais trop le dire 

Ça ressemble à l’art déco ?

.

Objet d’art façonné peut-être

 Par  un artisan  ou  un  verrier :

Ça fait rétro, vintage, art déco,

Mais je me trompe certainement.

.

Symbolique 

.

L’Art déco est un mouvement artistique

Né au cours des années 1910

Et qui aura pris son plein épanouissement

Au cours des années 1920

Avant de décliner à partir des années 1930.

C’est le premier mouvement

Architecture-décoration  d’échelle mondiale,

Concerne l’architecture intérieure

Avec ses tapisseries, ses vitraux et peintures

Et ses sculptures ornementales,

Son ébénisterie, l’emploi de la céramique,

Sans compter de l’orfèvrerie.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

 

342 – Habitants centre-ville Amsterdam (II) 

Alignement central / Titre absent / Thème  habitat

Forme  courbe / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : art-déco  / Symbole de fond : verrier

.

.

Fond

.

Évocation 

.

343 6

.

Objet d’art façonné peut-être

 Par  un artisan  ou  un  verrier :

Ça fait rétro, vintage … art déco,

Mais je me trompe certainement.

.

Symbolique 

.

Le verrier est un métier d’art

Exercé par un artisan d’art ou un artiste,

Chargé de fabriquer, restaurer objets décoratifs

En  verre tels que vitrail, figurines et sculptures

Ou utilitaires tels que tous les arts de la table.

.

Il travaille sur base d’idées personnelles

Ou de modèles en utilisant des dessins.

Il sélectionne la matière et l’outillage,

Compte tenu des caractéristiques techniques

Matériaux : composition, point de fusion.

.

Il transforme ainsi la matière de base

Par le découpage, la mise en forme,

Le façonnage puis l’assemblage.

Modifié, source : Wikipedia /Verrier

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Canaux n’ont rien à voir avec verreries

Mis à part peut-être l’eau transparente

Voire, à  certains  endroits, translucide

Et les canaux ceinturent le centre-ville

En  autant  de parures et protections,

Qui en ont fait une ville magnifique 

À visiter à pied voire sinon en vélo

Et  prendre le temps  de s’arrêter

Ici ou là et comme pour flâner

Pour mieux  s’en  imprégner,

Par tous ses sens curiosités

En faire jardin souvenirs

 .

.

Orange, bleu du ciel et d’eau

.

Scénario

.

Foule bariolée avec de l’orange sur eux ou d’habillement : étonnant, non ?

quand il fait gris, ou qu’il pleut, les habitants s’habillent en plus sombre,

dès qu’il sont à la fête autour de l’eau, orange, fuchsia, refont surface.

 .

Visuels et textuels  >>

342 – Amsterdam, ses habitants du centre-ville (I)

Visuels et textuels  >>  

.

De parcourir le centre-ville,

Si grand, compliqué, soit-il :

En long, en large, en travers,

Finit par vous créer : système

Interne de repérage directions

De localisations, ou  situations.

.

« Ah, tiens … ça doit être par-là !

Tiens, on est déjà passé par ici !

Tiens, on se dirige vers le Nord !

Je n’avais pas vu la dernière fois !

On est en quartier près du centre !»

.

Tant il est vrai que les repères,

Physiques,   architecturaux,

Quand ils  sont  nombreux

Quand ils  sont  différents,

Bien connus et pertinents,

Seront d’égale importance

Aux  noms des rues, places

Qu’on peine à lire,  stocker.

.

Et puis il y a …..… les petites

Et les grandes … découvertes

Inscrites en aucun des guides,

Ou à peine signalées dans l’un

Pas dans l’autre  ou  qui ne font

Pas cas d’attentes ni préférences

De chacun mais de tout le monde.

.

Par exemple, sur  certaines  façades,

Pourtant exceptionnelles d’habitations

Sont pas signalées dans les guides, cartes,

Partant principe elles sont trop nombreuses

Qu’elles sont  du même style,  même époque,

Ou qu’on  les trouvera  en plusieurs  endroits.

.

Des guides vous signalent  la dizaine de bars,

Autant de restaurants,  et de clubs de loisirs,

Alors qu’il y en aura dix fois plus originaux,

Populaires, économiques et plus plaisants.

Vous amèneront aux meilleurs endroits,

Les plus chers mais pour consommer.

.

À suivre les indications d’un guide,

Yeux fermés, on finit par se faire

Toute la collection de photos

Qui seront autant de clichés

Que l’on trouve en imprimés

Touristiques pour la promotion.

.

Parcours obligé pour la même chose

Pour pouvoir en parler alors qu’il existe

Tant d’autres surprises même pas cachées.

.

.

Extensions

.

Il existe, dieu merci,

Maintes manières et façons

De parcourir et découvrir une ville

Que l’on ne connait pas et en particulier

Toutes les capitales de tous les pays étranger.

.

La meilleure étant bien sûr de résider chez l’habitant

Un long moment et se faire guider sinon conseiller par lui.

Chacun sait qu’il n’y a pas que l’extérieur des bâtiments

Qui soit intéressant, l’intérieur, côté jardin, se révèle

Parfois bien plus typique ou plus original,

En tous cas bien plus vivant.

.

Pour avoir visité un certain

Nombre de passages, cours,

Avec porte d’entrée discrète,

Je me suis fait à l’idée qu’il

Faut voir l’endroit, l’envers.

.

Le centre d’Amsterdam est en réalité petit par rapport à l’ensemble

Qui s’étend des deux côtés du fleuve Amstel et des réseaux de canaux.

Façades anciennes et nouvelles des maisons en pignons, sont typiques,

Et entièrement vitrées pour capter le maximum de lumière extérieure,

Sachant qu’elles sont bien allongées en profondeurs, tranches accolées

On trouve par d’endroits quelques fenêtres de toit ornées et sculptées

Dont certaines se réfléchissent en l’eau les jours de son plein miroir.

.

.

342 – Calligramme (I) 

 .

De parcourir le centre-ville,

Si grand, compliqué, soit-il :

En long, en large, en travers,

Finit par vous créer : système

Interne de repérage directions

De localisations, ou situations.

.

« Ah, tiens … ça doit être par-là !

Tiens, on est déjà passé par ici !

Tiens, on se dirige vers le Nord !

Je n’avais pas vu la dernière fois !

On est en quartier près du centre !»

HABITANTS 

Tant il est vrai que les repères,

Physiques,  architecturaux,

Quand ils sont nombreux

Quand ils sont différents,

Bien connus et pertinents,

Sont d’une égale importance

Aux noms des rues ou places

Qu’on peine à lire, à stocker.

  CENTRE-VILLE

Et puis il y a …..… les petites

Et les grandes … découvertes

Inscrites en aucun des guides,

Ou à peine signalées dans l’un

Pas dans l’autre ou qui ne font

Pas cas d’attentes ni préférences

De chacun mais de tout le monde.

  AMSTERDAM

Par exemple, sur certaines façades,

Pourtant exceptionnelles d’habitations

Sont pas signalées dans les guides, cartes,

Partant principe elles sont trop nombreuses

Qu’elles sont  du même style,  même époque,

Ou qu’on  les trouvera  en plusieurs  endroits.

Des guides vous signalent  la dizaine de bars,

Autant de restaurants,  et de clubs de loisirs,

Alors qu’il y en aura dix fois plus originaux,

Populaires, économiques et plus plaisants.

Vous amèneront aux meilleurs endroits,

Les plus chers mais pour consommer.

À suivre les indications d’un guide,

Yeux fermés, on finit par se faire

Toute la collection de photos

Qui seront autant de clichés

Que l’on trouve en imprimés

Touristiques pour la promotion.

.

Parcours obligé pour la même chose

Pour pouvoir en parler alors qu’il existe

Tant d’autres surprises même pas cachées.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

342 4

.

De quel objet s’agit-il,

Ici, peut-être verrier :

Je ne saurais trop le dire 

Ça ressemble à l’art déco ?

.

(forme stylisée, rimes libres,

le fond s’éloigne de la forme)

.

Un objet d’art façonné peut-être

 Par  un artisan  ou un verrier :

Ça fait rétro, vintage,…art déco,

Mais je me trompe certainement.

.

Symbolique 

 .

L’Art déco est un mouvement artistique

Né au cours des années 1910

Et qui aura pris son plein épanouissement

Au cours des années 1920

Avant de décliner à partir des années 1930.

C’est le premier mouvement

Architecture-décoration  d’échelle mondiale,

Concerne l’architecture intérieure

Avec ses tapisseries, ses vitraux et peintures

Et ses sculptures ornementales,

Son ébénisterie, l’emploi de la céramique,

Sans compter de l’orfèvrerie.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

 

342 – Habitants centre-ville Amsterdam (I) 

Alignement central / Titre absent / Thème  habitat

Forme  courbe / Rimes libres  / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : art-déco  / Symbole de fond : verrier

.

.

Fond

.

Évocation 

.

342 6

.

Un objet d’art façonné peut-être

 Par  un artisan  ou un verrier :

Ça fait rétro, vintage,…art déco,

Mais je me trompe certainement.

.

Symbolique 

 .

La verrerie est l’art

De la fabrication du verre

Et désigne l’atelier du verrier.

Depuis l’Égypte ancienne,

Le verre fascine par

Ses propriétés étranges.

.

Translucide ou transparent,

Il  se  travaille, au  feu,

Un peu comme un métal.

Fragile, il est aussi très dur

Une fois figé  dans sa … forme.

.

On a commencé à fabriquer du verre

Il y a environ 5 000 ans, dans la région

Du Croissant fertile et la vallée du Nil.

Modifié, source : Wikipédia Verrerie

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Canaux n’ont rien à voir avec verreries

Mis à part peut-être l’eau transparente

Voire, à  certains  endroits, translucide

Et les canaux ceinturent le centre-ville

En  autant  de parures et protections,

Qui en ont fait une ville magnifique 

À visiter à pied voire sinon en vélo

Et  prendre le temps  de s’arrêter

Ici ou là et comme pour flâner

Pour mieux  s’en  imprégner,

Par tous ses sens curiosités

En faire jardin souvenirs

 .

.

Centre, à visiter à pied ou vélo 

.

Scénario

.

Immeuble d’architecture ancienne avec façades en pignon et sculptures.

Carte du centre touristique entouré en rouge  et environs de la banlieue.

Immeubles d’architecture moderne, dépouillée mais toujours très vitrée.

 .

Visuels et textuels  >> 

341 – Qui dit canal, voit les rives d’Amsterdam

Visuels et textuels >>  

.

Qui dit canaux, dit ponts

Aux reflets dans l’eau, ronds.

.

Qui dit canaux, dit embarcations

Ou barques ou péniches en action.

.

Qui dit canaux, dit oiseaux graciles,

Cygne, canard, oie, élisant domicile.

.

Qui  dit canaux, dit  larges  espaces,

Aménagés, pour respirer  en  places.

.

Qui dit canaux, dit : près de la mer,

Comme interpénétrations  de terre.

.

Qui  dit  canaux,  dit   arbrisseaux,

Ou rangée arbres, abris d’oiseaux.

.

Qui dit canaux,  dit  des  badauds

Qui se tirent portraits  et photos.

.

Qui dit canaux, dit  restaurants,

Pour abreuver la faim, chaland.

.

Qui dit canaux,  dit romances,

Qui  attire  flots  d’affluences.

   .

Qui dit canaux,  dit poésies,

Avec cœur las  ou  transis.

    .

Qui dit canaux, dit rives,

Et habitations captives.

     .

Qui dit canaux, dira,

Que ça naviguera.

.

Qui dit canaux,

Dit des eaux,

Stagnantes

Coulants

Filets.

.

.

Extensions

.

Un canal est un cours d’eau artificiel, créé,

Tout au moins, aménagé par les hommes.

Il y en a plus souvent en campagne pour

Relier deux rivières proches entre elles

Afin de permettre  les  transports de

Marchandises à l’aide de péniches.

.

Elles servent aussi et de plus en plus

Au tourisme fluvial avec  pénichettes.

On en trouve  dans des grandes villes :

À Venise, Amsterdam, Bruges et Paris.

.

Il y a un côté romantique dans les canaux

Chanté par les romanciers et certains poètes,

Pour leurs ponts, leurs vedettes et habitations.

Les canaux d’Amsterdam sont concentriques :

Ils font autour d’une centaine de kilomètres,

Et ils relient de nombreuses iles entre elles

Classé au Patrimoine mondial d’Unesco.

.

Des fleurs ornent leurs rives, leurs ponts,

Si ce ne sont, des arbustes, ou des arbres.

La vue des canaux procure une impression

De fraîcheur et de nature et leurs largeurs

Estompent bruits urbains, allant parfois

Jusqu’au silence comme dans un parc.

.

Qui dit canaux dit bateaux qui vont sur l’eau, forcément.

Et il y en a  de toutes tailles, formes, allures, et couleurs !

Certains sont comme des fusées, des cigares, des  flèches

D’autres, des barques, des tableaux de peintures à l’eau.

Je crois je préfère les seconds, je les trouve plus beaux.

Aurais-je pour autant envie d’en avoir un, pas certain

Mais m’en souviendrai, comme à Venise ou Bruges !

.

Canaux d’Amsterdam ne sont pas

Comme les anneaux de… Saturne :

Ils sont en arc de cercle, pas ronds,

Ils se longent, se croisent, par ponts

Et par petits canaux comme bretelles

Tant et si bien qu’ils font labyrinthes !

.

Or nous n’en aurons emprunté aucun

Faute de temps, faute d’opportunités !

Pour autant, n’avons rien  à regretter :

Rien que de les voir, donne cœur léger,

Et puis pour tout vous dire, rien cacher

Nous préférons notre mer à nous, en ile.

.

.

Épilogue

 

Bac, barge, barque, barquette,

Embarcation, bachot,  bateau,

Auront un point commun : ba

***

Tout bateau de taille modeste

À voile, à avirons ou à moteur

Sera appelé une embarcation.

***

La barquette est de Marseille,

Pointue, à l’avant et à l’arrière

Avec un petit mat et une voile.

***

 Bachot n’est pas  baccalauréat :

Petit bateau à fond plat ou quille,

Pour passer bras de rivière, mer !

***

Amsterdam, c’est plutôt péniches,

Qu’on trouvera au bord de canaux

Dont la plupart, habités à l’année.

***

Sûr, ce ne sont pas les gondoles,

À touristes de canaux de Venise,

Avec folklore depuis des siècles !

***

C’est presque aussi  romantique,

Que de sillonner nombre canaux

Pour circuler, ici, en tranquillité.

.

.

341 – Calligramme 

 .

Qui dit canaux   Q    dit ponts

Aux reflets dans  U   l’eau, ronds.

 I

Qui dit canaux   *  dit embarcations,

Ou barques ou  D  péniches en action.

I  ……

Qui dit canaux   T  dit oiseaux graciles,

Cygne, canard   *  oie, élisant domicile.

C  ….

Qui dit canaux    A     dit larges espaces,

Aménagés, pour  N   respirer  en places.

A  ….

Qui dit canaux    U  dit : près de la mer,

Comme interpé   X  nétrations de terre.

*  …

Qui dit canaux     D      dit arbrisseaux,

Ou rangée arbres  I      abris d’oiseaux.

T

Qui dit canaux     *   dit  des badauds

Qui se tirent por  R  traits et photos.

I

Qui dit canaux   V   dit restaurant,

Pour abreuver    E   faim, chaland.

  S

Qui dit canaux    *    dit romance,

Qui attire flots   D    d’affluences.

    ‘

Qui dit canaux   A     dit poésie,

Avec cœur las   M   ou transis.

      S

Qui dit canaux T      dit rive,

Et habitation  E     captive.

      R

Qui dit can  D  aux dira,

Que ça na  A  viguera.

 M

Qui dit     canaux

Dit   des eaux,

Stagnantes

Coulants

Filets.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

341 4

.

Une forme de barque propre

Aux canaux d’Amsterdam, 

Avec une proue pointue,

Et largeur très étroite.

 .

Une barque, un bateau, une péniche …

Une maison flottante :

Comme autant d’embarcations de rêve

Qui naviguent sur l’eau.

.

Symbolique de forme

.

Barque de rêve,

Le bateau navigue sur

Tous les flots de nos rêves.

Il est le véhicule des vivants,

De leur vie et de leur histoire.

Symbolise transport temporel

Et collectif  et il s’agit toujours

Histoire vécue avec personnes,

Histoire qui viendra s’inscrire

Dans la durée plus ou moins

Importante de la traversée.

En prendre un est prendre

Un départ, nouveau cap.

Modifié, source psychologies.com/Therapies/

Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/Bateau

.

Descriptif

 

341 – Qui dit canaux dit rives d’Amsterdam

Alignement central / Titre droit / Thème découverte

Forme en pointe / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : barque  / Symbole de fond : embarcation

.

.

Fond

.

Évocation 

.

341 6

.

Une barque, un bateau, une péniche …

Une maison flottante :

Comme autant d’embarcations de rêve

Qui naviguent sur l’eau.

.

Symbolique

 .

Les embarcations

De manière générale,

Tous  véhicules  capables

De circuler sur et dans l’eau,

Représentent le potentiel affectif,

Et  la façon  d’avancer, se comporter

Sur le plan émotionnel, état du véhicule,

Sa taille, sa capacité, sa forme, sa couleur,

Son mode d’avancement ou de motorisation,

L’usage que l’on en fait, etc… seront autant

De facteurs à analyser afin de déterminer

L’état de conscience, niveau de stabilité

Émotionnelle des personnes qui

L’utilisent individuellement

Ou collectivement.

ucm.center/fr/symbole-bateau

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une promenade en barque sur les canaux

D’Amsterdam, on se croit à Bruges, à Venise

On ne risquera pas de se perdre en son tour,

Sachant qu’ils sont circulaires, non autour.

Il y a en fait toutes sortes d’embarcations

Même des péniches comme habitations :

On peut dire que canaux sont exploités

Au maximum comme cœur de la cité,

Que l’on garde plaisir à contempler.

  .

.

Canaux circulaires d’Amsterdam

.

Scénario

.

Canal intérieur, avec immeubles, verdure, barques à moteur.

Bifurcation entre deux ponts, le jour, comme un carrefour fluvial.

Même bifurcation, de nuit, avec reflets lumineux, ronds dans l’eau !

 .

Visuels et textuels >> 

340 – Petite semaine de visite à Amsterdam (IV)

Visuels et textuels  >> 

.

Dans les vitrines, rien que des filles,

Bien roulées et nues : le sourire aux lèvres,

Et, l’air, aguicheuse,  quoique  sans excès.

Et lors, chaque client en choisit… une !

Une porte  s’ouvre, rideau  se ferme

Quart d’heure, montre, sablier,

Commence pour les sexes,

À monter, décharger,

Débourser entre

Des cuisses

Lisses

 V

.

Ceci, cela n’est autre qu’histoire de vase

Communiquant échangeant orgasme et argent.

On peut penser le bien ou le mal, qu’on veut,

Une telle pratique a, toutefois, le mérite

D’être, pour le moins hygiénique,

Transparente, et, confortable,

Et tarifée correctement

Pour  des  clients,

De passage

Sage

V

.

Nous ne nous sommes guère attardés,

Sauf à titre de curiosité et, la fatigue

Commençant à se faire sentir,

Nous avons décidé de rentrer.

.

Quel vrai délice  que  de nous étendre,

De long en large  en un appartement

Sur deux étages où, chacun des lits

Peut accueillir quatre personnes

Sans se toucher ou presque.

Demain est un autre jour,

.

Avec d’autres projets de visites

D’autres découvertes et inattendues.

Vous pouvez préférer autre programme

Avec visites guidées pour vous assurer

Que rien d’essentiel ne vous échappe,

Mais l’effet de surprise ne sera plus

Au rendez-vous,  sera très minoré.

.

Découvrir un lieu, un bâtiment,

Une œuvre et y revenir n’ont

Pas la même saveur, l’on

Ne fait  plus  attention

Aux   mêmes    choses :

Une fois on fait attention

Aux choses,  ou aux lieux ;

Seconde on y ajoute les gens

Qui en font  leurs commerces :

La troisième, ambiance générale

Qui s’en détache … qui s’y attache.

.

.

Extensions

.

Le quartier

Dit chaud situé

Au centre d’Amsterdam

Est intéressant à visiter en tant

Que curiosité, dès la tombée du jour

Et jusque très tard dans la nuit.

À vrai dire, je ne sais trop

Si ce sont les filles dénudées

Dans les vitrines ou les clients

De passage qui font les spectacles

Les plus gais ou tristes, qui soient.

En dehors  de toutes  compulsions,

Argent, moralité, côté rouge sang

Des enseignes avec les lampes

Vous dépayse, totalement.

.

On s’approche, on fait les curieux, près des dames nous ignorant.

Il faut sonner, monsieur, montrer patte blanche, blanche d’argent.

Au bout d’une dizaine de vitrines, l’effet curiosité s’émousse un peu,

C’est un peu partout, le même produit, le même temps, le même prix,

C’est ce qu’on appelle un produit standard, disponible, tarifé à égalité.

Qui serait le plus à plaindre : les prostituées, ou leurs clients : les deux.

On préfère rentrer, dormir dans notre lit, dernier étage, en amoureux.

Ce n’est pas pour nous diversité qui compte, l’authenticité, l’intensité

Adieu Amsterdam, réputation libertaire pour ne pas dire, libertine.

.

Je ne suis pas allé à Amsterdam pour cela

D’autant qu’avec épouse, ça craint un max

Mais  ça m’aura beaucoup intrigué de voir

Femmes en vitrines comme marchandise.

.

On magnifie les femmes, dans les musées,

Et  on les vilipende  dans les rues d’à côté.

Ce serait à croire que le monde d’en haut,

N’aurait  rien à voir avec celui… d’en bas.

.

Ce serait porté là un jugement moral sur

La nature humaine et ses contradictions,

Tout existe et cohabite, en ce bas monde,

Et l’art n’est pas réservé au haut monde.

.

.

340 – Calligramme (IV)  

.

Dans les vitrines, rien que des filles,

Bien roulées et nues : le sourire aux lèvres,

Et, l’air, aguicheuse,  quoique  sans excès.

Et lors, chaque client en choisit… une !

Une porte  s’ouvre, rideau  se ferme

Quart d’heure, montre, sablier,

Commence pour les sexes,

À monter, décharger,

Débourser entre

Des cuisses

Lisses

 V

.

Ceci, cela n’est autre qu’histoire de vase

Communiquant échangeant orgasme et argent.

On peut penser le bien ou le mal, qu’on veut,

Une telle pratique a, toutefois, le mérite

D’être, pour le moins hygiénique,

Transparente, et, confortable,

Et tarifée correctement

Pour  des  clients,

De passage

Sage

V

.

Nous ne nous sommes guère attardés,

Sauf à titre de curiosité et, la fatigue

Commençant à se faire sentir,

Nous avons décidé de rentrer.

QUATRE JOURS  

Quel vrai délice  que  de nous étendre,

De long en large  en un appartement

Sur deux étages où, chacun des lits

Peut accueillir quatre personnes

Sans se toucher ou presque.

Demain est un autre jour,

DE VISITE,

Avec d’autres projets de visites

D’autres découvertes et inattendues.

Vous pouvez préférer autre programme

Avec visites guidées pour vous assurer

Que rien d’essentiel ne vous échappe,

Mais l’effet de surprise ne sera plus

Au rendez-vous,  sera très minoré.

À AMSTERDAM

Découvrir un lieu, un bâtiment,

Une œuvre et y revenir n’ont

Pas la même saveur, l’on

Ne fait  plus  attention

Aux   mêmes    choses :

Une fois on fait attention

Aux choses,  ou aux lieux ;

Seconde on y ajoute les gens

Qui en font  leurs commerces :

La troisième, ambiance générale

Qui s’en détache … qui s’y attache.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.340 4

.

Une pointe de diamant, en haut ;

Voire une de ses fabriques, en bas ?

Que dire de plus, voire de pertinent

Sinon qu’il y a dix formes en une !

 .

Diamant et formes vont ensemble

on imagine pas diamant informe

Amsterdam est un lieu pour eux,

aussi la forme épousera le fond.

.

.

Les canaux d’Amsterdam sont

Comme des arêtes du diamant :

Lorsque chacun  brille de son reflet,

Une fois sorti, de sa gangue puis poli.

.

Symbolique

.

Le diamant

Est la plus précieuse

De toute pierre précieuse.

On le nomme « Reine des gemmes »,

Quand ce n’est pas… « Reine des pierres ».

On dit parfois de lui qu’il est la larme de Dieu.

Le diamant symbolise la perfection, pureté intacte.

Selon Platon, l’axe du monde serait formé de diamants.

.

Éclat d’existence, il est associé au feu et à la foudre.

Il symbolise le soleil, la lumière et la vie.

En France, les noces de diamant

Fêtent les 60 ans mariage.

dictionnairedessymboles.com/

article-le-symbolisme-du-diamant

.

Descriptif

 .

339 – Quatre jours de visite, Amsterdam (IV)  

Alignement central   / Titre absent   / Thème bijou

Forme conique / Rimes libres  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : diamant  / Symbole de fond : forme

.

Fond

.

Évocation 

.

340 6

.

Les canaux d’Amsterdam sont

Comme des arêtes du diamant :

Lorsque chacun  brille de son reflet,

Une fois sorti de sa gangue puis poli.

.

Symbolique 

.

La gangue désigne

L’ensemble des roches

Minéraux sans intérêt économique,

Qui entourent les minerais,

Ou les gemmes, dans leurs gisements.

Elle désignera  lus particulièrement

L’intérieur d’un filon.

Les minerais (argent, plomb)

Les constituants de la gangue,

Sont versés sur terril de mines.

fr.wikipedia.org/wiki/Gangue

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Qu’on ne se méprenne pas

 Je  ne fais pas, l’apologie, là 

Du côté libertin d’Amsterdam

Mais d’un côté chaud, lumineux

Qui brille de toutes ses paillettes ?

.

Comme le fait, si bien, le diamant :

Cela dit la comparaison s’arrête là :

Rapprochements sexes n’en est pas !

Le diamant demeurera toujours objet

La femme, si on la respecte, un sujet.

.

Il n’est pas ici question de morale,

Seulement choix selon ses désirs,

Prix à payer pour ses plaisirs

Ville chaudron qui soupire.

 .

C’est chaud et pas que la couleur !

.

Scénario

.

 Chaud déjà, de loin, par ses éclats de lumières rouges orangées,

vitrines avec leurs appâts dénudés finissent par se ressembler,

rien de mieux grand lit pour dormir en un appartement privé !

 .

Visuels et textuels  >> 

339 – Petite semaine de visite à Amsterdam (III)

Visuels et textuels >>

.

Nous sommes sortis, de ce musée,

Abasourdis  par  cette  bien  triste  histoire,

Vraiment hors du commun, pour nous en remettre,

Nous décidons d’aller prendre un grand verre de bière

En un café du centre-ville, tant, comment ajouter

Le moindre commentaire qui soit pertinent,

Sur cette cruelle inhumaine illustration

D’injustice, à vrai dire, inégalée :

Nous n’avons qu’à compatir

Ou bien à  nous  taire

Ou  bien à prier

Un  dieu

V

.

En

Sortant

De ce beau café,

Nous retrouvons ville,

Avec ses nombreux canaux,

Et ses rues et ses places, ses vélos

Qui nous frôlent à gauche ou à droite.

Le centre-ville n’est pas des plus étendu,

Dès lors il est possible de le faire à pied

En une journée sinon voire en vélo,

Voire en bateau ou en bus.

.

Les maisons sont accolées,

Ne dépassent pas quatre étages,

Monuments, administrations, hôtels.

Elles présentent toutes, un pignon en façade

Qui permet  de mettre  d’avantage  de maisons

Dans la rue où place fait cruellement défaut

À tel point que bon nombre de résidences,

Se sont établies sur les bords des canaux

Dans des péniches,  maisons flottantes.

.

Les rues commerçantes et piétonnières

Ressemblent aux capitales européennes,

Que nous connaissons avec un certain chic

Pour l’habillement avec des prix plus élevés,

Il faut compter  un tiers de plus  qu’en France

Pour le même article, et nous le savions déjà,

Dommage  pour  l’économie  d’Amsterdam,

Tant nombre touristes ne manquent pas.

Il en est tout autrement, à la périphérie

Mais au centre, c’est le choix du luxe.

.

Nous atteignons le centre appelé le DAM

Où la fête foraine bat son plein avec attractions

En tous genres, notamment roues et accélérateurs

Vous procurant sensations vitesse, voltige, vertige.

Nous y avons mangé de hot dog repas du soir

Ce qui nous a fait une bonne moyenne

Avec le prix du restaurant du midi.

.

.

Extensions

.

Nous avons

Poursuivi notre chemin

Tant et si bien que de fil en aiguille,

Disons plutôt ici de places en canaux,

Et nous nous sommes retrouvés

Dans le quartier chaud

Avec sex-shops,

Théâtres vivants

Et vitrines d’exposition

Des prostituées à tous coins de rues,

Y compris derrière une grande église

Qui en abritait  bien une vingtaine,

Avec feu orange et  rideau rouge,

Si ce n’est  le contraire, ma vue

En était un peu troublée,

Et tout le reste aussi.

.

Aller un peu à gauche, un peu à droite, un peu partout au gré d’envie

Quitter les ponts pour les places et les places, pour de nouveaux ponts,

Pour finir, à la tombée  de la nuit, dans le quartier chaud, même rouge,

Où services de ses dames sont offerts par affichages de leur semi nudité.

Je n’en dirai pas plus, je n’y suis pas entré : même  pas envie d’y penser,

J’aime à croire qu’elles ne sont là, rien que pour faire joli, pour saliver.

Il s’agit d’un commerce comme les autres à côté des cafés à cannabis.

.

Il ne faudrait pas en faire une fixette

Sur un quartier chaud, cafés cannabis :

Ca reste anecdotique en rapport au reste

Ici au moins, on ne pratique l’hypocrisie !

.

C’est tout un plaisir de flâner, vagabonder,

De ci, delà, de rues en places, en quartiers

Et de découvrir des curiosités culturelles

Qu’on ne trouverait nulle part ailleurs.

.

Ce d’autant  que  n’avons  de guides

Ni en personne,  même en papiers,

Si ce n’est sur Internet, portable :

Seulement yeux grands ouverts.

.

339 – Calligramme (III)  

.

Nous sommes sortis, de ce musée,

Abasourdis  par  cette  bien  triste  histoire,

Vraiment hors du commun, pour nous en remettre,

Nous décidons d’aller prendre un grand verre de bière

En un café du centre-ville, tant, comment ajouter

Le moindre commentaire qui soit pertinent,

Sur cette cruelle inhumaine illustration

D’injustice, à vrai dire, inégalée :

Nous n’avons qu’à compatir

Ou bien à  nous  taire

Ou  bien à prier

Un  dieu

V

.

****

****

.

En

Sortant

De ce beau café,

Nous retrouvons ville,

Avec ses nombreux canaux,

Et ses rues et ses places, ses vélos

Qui nous frôlent à gauche ou à droite.

Le centre-ville n’est pas des plus étendu,

Dès lors il est possible de le faire à pied

En une journée sinon voire en vélo,

Voire en bateau ou en bus.

QUATRE JOURS

Les maisons sont accolées,

Ne dépassent pas quatre étages,

Monuments, administrations, hôtels.

Elles présentent toutes, un pignon en façade

Qui permet  de mettre  d’avantage  de maisons

Dans la rue où place fait cruellement défaut

À tel point que bon nombre de résidences,

Se sont établies sur les bords des canaux

Dans des péniches,  maisons flottantes.

DE VISITE

Les rues commerçantes et piétonnières

Ressemblent aux capitales européennes,

Que nous connaissons avec un certain chic

Pour l’habillement avec des prix plus élevés,

Il faut compter  un tiers de plus  qu’en France

Pour le même article, et nous le savions déjà,

Dommage  pour  l’économie  d’Amsterdam,

Tant nombre touristes ne manquent pas.

Il en est tout autrement, à la périphérie

Mais au centre, c’est le choix du luxe.

À AMSTERDAM 

Nous atteignons le centre appelé le DAM

Où la fête foraine bat son plein avec attractions

En tous genres, notamment roues et accélérateurs

Vous procurant sensations vitesse, voltige, vertige.

Nous y avons mangé de hot dog repas du soir

Ce qui nous a fait une bonne moyenne

Avec le prix du restaurant du midi.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Une pointe de diamant, en haut ;

Voire une  de ses fabriques, en bas ?

Et que dire de plus, pour ces bijoux

Sinon qu’il y a dix formes en une !

.

Diamant et formes vont ensemble

on imagine pas diamant informe

Amsterdam est un lieu pour eux,

aussi la forme épousera le fond.

.

Évocation 

.

339 4

.

Le diamant demeure bijou

D’extrême valeur marchande :

Amsterdam est l’un des joyaux

Des Pays-Bas, le plus grand.

 .

Symbolique 

 .

Symbolique diamant

Et son origine peut varier

Selon les cultures, et, les pays.

Et russes  prétendent qu’il favorise

La chasteté, en France, le diamant serait

Pierre de la réconciliation, écartant la colère.

On prétend aussi qu’il symbolise la… Constance.

Le diamant a donc inspiré toutes les cultures

De manières  différentes, mais, en restant

Dans les superlatifs les plus extrêmes.

Il est en gros considéré par tous

Comme un talisman, objet

Qui protège l’homme.

guideachat.portaildubijou.com/

pierres-metaux/diamant

.

.

Fond

.

Évocation 

.

339 6

.

Le diamant demeure bijou

D’extrême valeur marchande :

Amsterdam est l’un des joyaux

Des Pays-Bas, le plus grand.

.

Symbolique 

.

Un bijou … les sciences humaines et sociales ont connu

Depuis une vingtaine d’années un «tournant matériel»,

C’est-à-dire une attention nouvelle, portée à l’objet,

Pris dans sa réalité physique, envisagé support

Signification, facteur explicatif du monde

Économique, social et symbolique.

psl.eu/agenda/lobjet-en-question-

de-lusage-au-symbole

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

De passer d’une fabrique de diamants

Avec  des  prix  des plus  exorbitants

Aux ruelles remplies de sex-shops

En passant  par  les péniches,

En canal,  de toute beauté

Nous  aura fait comme

Montée   au  paradis

Descente  en  enfer.

Amsterdam ville

Pleine visages

Se dévoilant

Au regard

Étonné

Yes

V

 .

.

Amsterdam vit fort, la nuit

 . 

Scénario

.

Des vélos, en veux-tu, en voilà, cadenassés sur les ponts des canaux.

La place centrale, ou DAM, toujours  des plus animées,  et  visités.

Vitrines du quartier chaud, la nuit, se rendent fort attrayantes !

 .

Visuels et textuels >>

338 – Petite semaine de visite à Amsterdam (II)

Visuels et textuels  >>

.

Bien plus

D’é-tran-gers

Que d’hollandais :

Japonais, américains !

Pourquoi étrange histoire

Du journal …… d’Anne Frank,

Parlera, autant, à leurs mémoires

Individuelles, si  ce  n’est, collectives.

La Shoah, même chose, pour Américains,

Qu’explosion atomique, Hiroshima, Japonais.

Laquelle aurait le degré de barbarie, le plus  fort,

Peut-on juger  l’Histoire, seulement, par ses morts !

Aucun pays, et, pas plus de continent, selon l’Histoire,

N’aurait  de leçons  à donner  à personne  ni en recevoir

Tant les mêmes horreurs, mêmes  dévastation, guerres,

Demeurent  toutes  aussi cruelles  et  universelles.

Son histoire  aura  fait  le tour  de la  Terre,

Aura frappé  esprits  de toutes cultures,

Aura été perçue pire des victimes

Contre  le pire   des régimes

L’Allemagne des nazis.

.

Une victime qui dépassera

Le souvenir de son bourreau

Par l’esprit, enfant de treize ans,

Cette guerre absurde et sans nom

Est résumée en lieu tenu secret,

Abritant huit personnes avant

Une dénonciation anonyme.

On ne refait  pas  l’Histoire,

C’est l’histoire qui nous fait.

Ce musée de témoignage vaut

Bien d’autres musées de guerre,

On entrevoit les conditions de vie.

 .

Le journal commence le premier jour

De son enfermement volontaire pour fuir

Les rafles des juifs et le terminera deux mois

Avant la Libération, morte, avec sa sœur ainée,

D’épidémie de typhus en camp de concentration.

Des témoignages oraux ou écrits émanant de juifs,

Qui ont subi les affres des rafles et certains, la mort,

Il y en a eu des centaines, des milliers …  des millions

Aux Pays-Bas ; c’est le seul qui ait pris  telle ampleur,

À faire partie de la  Culture, de l’ADN  des hollandais.

C’est un symbole d’innocence, faisant face à barbarie,

Que de parvenir à écrire page de journal chaque jour

Pour ne pas sombrer ennui folie de l’enfermement,

Obligée de ne pas faire de bruit dans la journée

De travail de l’atelier, situé au-dessous.

L’humanité contre la bestialité !

.

.

Extensions

.

Des témoignages oraux ou écrits émanant

De juifs qui ont subi les affres des rafles,

Il y en a eu des centaines,  des milliers.

Aux Pays-Bas ; c’est le seul qui ait fait

Partie  de  la  culture  des  hollandais.

L’innocence faisant face à la barbarie

Prenant l’initiative d’écrire  une page

De journal,  chaque jour, pour ne pas

Sombrer ennui folie d’enfermement,

Obligée pas faire de bruit en journée

De  travail  de l’atelier  au-dessous.

L’humanité   contre  la bestialité :

Sous vernis de culture, pourriture

De la solution finale d’éradication

Génocide systématisée en science.

.

La journée consacrée à la visite de la maison d’Anne Frank

Rien de monumental, de capital, qu’émotion, et authenticité.

La visite se passe sans musique, sans guide, dans le décor réel.

On est chez elle et quelque part au rez-de-chaussée d’entreprise,

On sent l’ambiance, volontairement feutrée, pour se dissimuler

L’histoire a passé la main : demeure le témoignage humanité,

De son côté face à la barbarie de guerre sans nom de l’autre.

.

Il n’y a pas grand-chose à ajouter

À raconter d’elle, tant il faut le visiter

Pour être imprégné  d’une telle émotion

Qui vous colle à la peau, ne peut s’oublier.

.

C’est sans doute pour cela et son innocence

Et authenticité que la maison d’Anne Frank,

Est demeurée telle qu’elle, sans rien changer :

Les murs et le décor disent plus long que texte.

.

.

338 – Calligramme (II) 

 .

Bien plus

D’é-tran-gers

Que d’hollandais :

Japonais, américains !

Pourquoi étrange histoire

Du journal …… d’Anne Frank,

Parlera, autant, à leurs mémoires

Individuelles, si  ce  n’est, collectives.

La Shoah, même chose, pour Américains,

Qu’explosion atomique, Hiroshima, Japonais.

Laquelle aurait le degré de barbarie, le plus  fort,

Peut-on juger  l’Histoire, seulement, par ses morts !

Aucun pays, et, pas plus de continent, selon l’Histoire,

N’aurait  de leçons  à donner  à personne  ni en recevoir

Tant les mêmes horreurs, mêmes  dévastation, guerres,

Demeurent  toutes  aussi cruelles  et  universelles.

Son histoire  aura  fait  le tour  de la  Terre,

Aura frappé  esprits  de toutes cultures,

Aura été perçue pire des victimes

Contre  le pire   des régimes

L’Allemagne des nazis.

QUATRE JOURS

Une victime qui dépassera

Le souvenir de son bourreau

Par l’esprit, enfant de treize ans,

Cette guerre absurde et sans nom

Est résumée en lieu tenu secret,

Abritant huit personnes avant

Une dénonciation anonyme.

DE VISITE,

On ne refait  pas  l’Histoire,

C’est l’histoire qui nous fait.

Ce musée de témoignage vaut

Bien d’autres musées de guerre,

On entrevoit les conditions de vie.

 À  AMSTERDAM 

Le journal commence le premier jour

De son enfermement volontaire pour fuir

Les rafles des juifs et le terminera deux mois

Avant la Libération, morte, avec sa sœur ainée,

D’épidémie de typhus en camp de concentration.

Des témoignages oraux ou écrits émanant de juifs,

Qui ont subi les affres des rafles et certains, la mort,

Il y en a eu des centaines, des milliers …  des millions

Aux Pays-Bas ; c’est le seul qui ait pris  telle ampleur,

À faire partie de la  Culture, de l’ADN  des hollandais.

C’est un symbole d’innocence, faisant face à barbarie,

Que de parvenir à écrire page de journal chaque jour

Pour ne pas sombrer ennui folie de l’enfermement,

Obligée de ne pas faire de bruit dans la journée

De travail de l’atelier, situé au-dessous.

L’humanité contre la bestialité !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Evocation 

.

338 4

.

Une pointe de diamant, en haut ;

Voire une de ses fabriques, en bas ?

Que dire de plus, voire de pertinent

Sinon qu’il y a dix formes en une !

.

Diamant et formes vont ensemble

on imagine pas diamant informe

Amsterdam est un lieu pour eux

aussi la forme épousera le fond.

.

A l’endroit ou à l’envers, de tous côtés,

Le diamant étincelle :

Amsterdam brille autant de mille formes,

Et mille attractions.

.

Symbolique 

 .

Le diamant

Est peut-être la pierre

La plus symbolique, étant

Qualifiée de tous les superlatifs.

S’il est l’un des plus beaux gemmes

Qui existe, et on aime le comparer à la

Perfection,  la  pureté,  le  soleil …  la vie.

Les noces  de diamant  sont d’ailleurs

Celles qui  célèbrent  les soixante

Années de mariage, un must

Qui reste atteint par peu

De couples aujourd’hui.

.

C’est dire l’intensité de la valeur du diamant.

On retrouve, toujours, la joie, la protection,

La pureté et le positif lorsque les cultures

Antiques discutaient du diamant.

guideachat.portaildubijou.com/pierres-metaux/diamant

.

Descriptif

 .

337 – Quatre jours de visite à Amsterdam (II)  

Alignement central   / Titre absent   / Thème  guerre

Forme conique / Rimes égales  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : diamant  / Symbole de fond : forme

.

.

Fond

.

Évocation 

.

338 6

.

À l’endroit ou à l’envers, de tous côtés,

Le diamant étincelle :

Amsterdam brille autant de mille formes,

Et mille attractions.

 .

Symbolique 

Si vous regardez autour de vous,

Vous verrez bien que la majorité

Des objets qui nous entourent ont

Forme géométrique concrète;

Que ce soit un livre, un panneau

De signalisation, voire un dé…

C’est de cette manière  que les

Cubistes  voyaient  le monde.

Pour décrire une œuvre d’art,

Vous devez  connaître  les noms

De formes, figures géométriques.

bonjourdefrance.com/exercices/

contenu/les-formes-géométriques

.


.

Corrélations

.

Liens fond/forme 

.

Anne Frank est un diamant, massacré,

Pour mauvaise raison,  mauvaise façon :

Est devenue un symbole innocence sacrifiée

.

Et à ce titre, elle mérite bien sa maison musée

Qui raconte sa tragique histoire plus délation

Dont elle  a laissé témoignage en son journal.

.

Ce qui est touchant, est l’état exact en lequel

Son appartement est conservé,  comme si

Elle y était, y vivait encore aujourd’hui

Et l’atelier en dessous comme avant.

.

Nous avons tous, besoin de lieux

Qui nous rappellent horreur

Et avons besoin de gens

Comme    testament

D’un    passé

Violent

V

.

.

Anne et sa famille

.

Scénario

.

La longue queue pour la visite du musée d’Anne Frank.

La façade du musée en laquelle est sa maison d’origine.

Anne Frank en train de rédiger le journal en un bureau.

 .

Visuels et textuels  >>

337 – Petite semaine de visite à Amsterdam (I)

Visuels et textuels >>

.

Juste une petite semaine de visite

En perspective pour visiter Amsterdam.

Y avons séjourné quatre jours quatre nuits

Tête pleine de souvenirs, envie d’y revenir.

Y a rien de trop,  mais,  c’est déjà assez,

Pour s’en faire première, petite idée.

C’est  la première fois  qu’on y va

Rien d’essentiel, on ne ratera.

Nous avons fait une étape

À Cambrai, en famille.

De là : trois bonnes

Heures de route

Et on y sera.

Y…sera,

Sera

V

.

Pas question de se garer au centre-ville,

Faute de place et bien qu’ayant réservé

Un appartement près de gare centrale.

.

Formule Park&Ride

Ceinture ville d’endroits

Pas chers et bien surveillés

Pour se garer au stade de foot !

.

Une fois parvenu sans encombre à la gare,  ensuite

Au terminus du métro : quantité bus, trams, taxis

Et, plus étonnant, le plus exotique, de vélos.

Ces derniers pullulent de toutes parts,

Pour la majorité, de couleur noire

Et d’aspect quelque peu rétro.

.

Impression qui domine d’abord,

Ils proviennent de même fabrique,

Puis, l’on observe, des détails visibles,

Mais ici, de toute façon … tout est plat :

L’on monte dessus  et  l’on pédale un coup,

Entretient la vitesse, l’effort, qui varient peu…

Nul besoin de musculatures, ni d’entrainements.

Malgré  un  plan  détaillé  pour  notre appartement,

L’on se trompe, deux fois, parmi les rues et les canaux,

On décide d’aller nous restaurer début en d’après-midi

Et nous tombons sur un restaurant typique, argentin,

Travers de porc salade ou entrecôte de bœuf, frites

Sur une place, très touristique, avec  belle église

Protestante, non loin du musée d’Anne Frank.

Ventre plein, on décide d’aller jeter un œil.

Chance nous sourit : on peut y entrer,

Après petite demi-heure d’attente.

.

.

Extensions

.

Flâner, errer, se perdre,

En Amsterdam, sans but,

Comme dans Paris ou dans

D’autres villes aussi chargées

De monuments et d’histoires,

Demeure, toujours, plaisant

Lors sujets  d’étonnement.

.

Pour nous le jeu en valait

La chandelle  et l’on peut

Saisir que pour certains

Ce n’est pas  rassurant :

Peur de passer à côté  de

Quelque chose  d’important,

Original, unique, les tenaillant.

 .

Visite par les transports en commun, et d’un arrêt à un autre,

Visite au gré de découverte, une fois à droite, une fois à gauche,

Vite en vélo, en accrochant ce dernier à la balustrade… d’un pont,

Le chic de se payer sortie sur un des nombreux bateaux sur canaux

De toute façon, avec sa voiture, c’est même pas la peine d’y penser

On passerait une heure à tourner avant de se trouver à se garer

Le taxi, c’est bien, pratique mais bien trop cher, à la journée.

.

Amsterdam est cité cosmopolite

Qui avoisine le million d’habitants

Est une ville les plus extraordinaires

Des plus romantiques et surprenantes :

Canaux, musées, mondialement célèbres ;

Multiples curiosités et richesses historiques,

Vous occuperont  une semaine, sinon un mois,

Lors pour la connaitre de fond en comble : 3 ans

.

.

337 – Calligramme (I) 

 .

Juste une petite semaine de visite

En perspective pour visiter Amsterdam.

Y avons séjourné quatre jours quatre nuits

Tête pleine de souvenirs, envie d’y revenir.

Y a rien de trop,  mais,  c’est déjà assez,

Pour s’en faire première, petite idée.

C’est  la première fois  qu’on y va

Rien d’essentiel, on ne ratera.

Nous avons fait une étape

À Cambrai, en famille.

De là : trois bonnes

Heures de route

Et on y sera.

Y…sera,

Sera

V

.

************************

*********************************

QUATRE JOURS

Pas question de se garer au centre-ville,

Faute de place et bien qu’ayant réservé

Un appartement près de gare centrale.

DE VISITE

Formule Park&Ride

Ceinture ville d’endroits

Pas chers et bien surveillés

Pour se garer au stade de foot !

À AMSTERDAM

 .

Une fois parvenu sans encombre à la gare,  ensuite

Au terminus du métro : quantité bus, trams, taxis

Et, plus étonnant, le plus exotique, de vélos.

Ces derniers pullulent de toutes parts,

Pour la majorité, de couleur noire

Et d’aspect quelque peu rétro.

 .

Impression qui domine d’abord,

Ils proviennent de même fabrique,

Puis, l’on observe, des détails visibles,

Mais ici, de toute façon … tout est plat :

L’on monte dessus  et  l’on pédale un coup,

Entretient la vitesse, l’effort, qui varient peu…

Nul besoin de musculatures, ni d’entrainements.

Malgré  un  plan  détaillé  pour  notre appartement,

L’on se trompe, deux fois, parmi les rues et les canaux,

On décide d’aller nous restaurer début en d’après-midi

Et nous tombons sur un restaurant typique, argentin,

Travers de porc salade ou entrecôte de bœuf, frites

Sur une place, très touristique, avec  belle église

Protestante, non loin du musée d’Anne Frank.

Ventre plein, on décide d’aller jeter un œil.

Chance nous sourit : on peut y entrer,

Après petite demi-heure d’attente.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

337 4

.

Une pointe de diamant, en haut ;

Voire une de ses fabriques, en bas ?

Que dire de plus, voire de pertinent

Sinon qu’il y a dix formes en une !

.

Diamant et formes vont ensemble

on imagine pas diamant informe

Amsterdam est un lieu pour eux

aussi la forme épousera le fond.

.

Amsterdam abrite une fabrique

 Pour retailler  un   tel diamant :

Amsterdam est-elle, comme  lui,

Paré de ses multiples alliances !

.

Symbolique 

.

Le diamant

Est une pierre précieuse

Incolore et extrêmement dure.

On lui attribue des vertus protectrices.

Cette pierre symbolisera : la pureté, l’amour,

Perfection, réconciliation, immortalité, constance.

Antiquité romaine, on utilisait le diamant en talisman.

Il était censé préserver des maladies, effets du poison.

Croyance populaire celui qui buvait un verre d’eau

Ou de vin contenant un diamant était protégé

De la goutte, l’apoplexie, la jaunisse.

Modifié, source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-diamant

.

Descriptif

 .

337 – Quatre jours de visite, à Amsterdam (I)  

Alignement central  / Titre absent   / Thème  bijou

Forme conique / Rimes libres  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : diamant  / Symbole de fond : diamant

.

.

Fond

.

Évocation 

.

337 6

.

Amsterdam abrite une fabrique

 Pour retailler  un  tel  diamant :

Amsterdam  est-elle, comme  lui,

Paré de ses multiples alliances !

 .

Symbolique 

.

Un diamant s’évalue

Selon couleur et pureté,

Son poids et selon sa taille.

Un grand  symbole  de pureté,

A réputation d’être très puissant :

Il accélérerait le travail des organes

Pour débarrasser toxines accumulées,

Et il stimulerait  le travail  du cerveau,

Le système musculaire  et immunitaire,

Régule hormones, et purifie nos pensées

Nous  protégerait  des énergies  néfastes.

Mais attention toutefois, celui ou celle qui

Prétend utiliser diamant en lithothérapie

Se doit  de posséder un cœur  pur, sous

Peine de voir les forces en présence

Se retourner contre lui !

alliancier.com/l-alliance-origines-histoires-et-symbole

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

La visite d’Amsterdam ne se limitera pas

À la fabrique de diamants, bien évidemment

Il y a tant à voir, à découvrir, à expérimenter,

Qu’on pourrait y consacrer un bon mois entier.

.

On peut bien sûr s’informer, prendre un guide,

On peut tout autant flâner au hasard des rues

L’important est d’être ouvert, curieux de tout,

Je veux dire autant des monuments et gens.

.

Quand on est seul, ou à deux, opportunités

S’offrent à vous, de rencontres inédites,

Certaines personnes valent diamants

J’en rencontre assez fréquemment.

 .

S

.

Amsterdam,  un peu partout

.

cénario

.

On peut  utiliser les  nombreux transports en commun,

 sinon louer une bicyclette, rouge, pour bien la retrouver,

ou encore, cerise sur le gâteau, faire une visite en bateau.

 .

Visuels et textuels >>

336 – Où mieux déambuler qu’à Amsterdam !

Visuels  et textuels >> 

.

L’esprit des plus libres

Le corps bien reposé

Et, le  cœur, en fête,

Et l’estomac  repu :

Comment  circuler,

Centre Amsterdam

En ses places, rues.

Mais on se gardera

Toutefois des vélos,

Qui  vous  raseront,

Le ventre  ou  le dos,

Il vous manque juste,

Un  peu  plus  de soleil,

Pour faire, de la journée,

Une étape pleine merveille.

.

D’étonnantes maisons pignons,

Prolongent jusqu’au plus profond,

Leurs escaliers étroits en pente raide

Demandant pour les bagages de l’aide.

On ne peut, quatre à quatre, les monter,

Descendre, regarder où on met les pieds.

.

De vastes ouvertures  baignent de lumières

Des intérieurs dépouillés  mais très confort :

Ici, les hommes soignent leur : « home » fort,

Tant des diverses façades s’en disent très fiers.

.

Certains  vivent  dans des péniches  aménagées,

D’autres, sur des maisons flottantes plus carrées,

Pas d’étage, pas de jardin   mais un home-cocoon

Qui fait qu’on se déplace  comme en honey-moon.

  .

L’esprit libre, le corps reposé et le regard étonné,

On y découvre ses restaurants, ses cafés, musées,

La vie reprend  comme  un nouvel air  de gaieté,

Quand on est assez disponible pour en profiter.

.

C’est sans doute la réussite de ce court séjour,

Que de découvrir architectures, chaque jour,

Où canaux et ponts fleuris de vélos, partout,

Vous laissent parfums d’ailleurs et de tout.

.

Extensions

.

À Amsterdam, cœur de ville

Péniches et maisons flottantes

Sont légions  par rapport  à Paris

Ou à d’autres villes pourvues, aussi,

De nombreux canaux  pour accueillir.

.

Nous n’avons pas eu le loisir d’en visiter

Mais notre imagination  aura compensé

Ce manque en voyant, par leurs fenêtres

Ou hublots, des salons des plus feutrés.

Quels sont avantages et inconvénients,

Fallait le demander à leurs résidents.

Notre choix aura été  de privilégier

Monuments, musées de peintures

Et, naturellement, cafés typiques.

.

Nous avons loué un appartement

En plein centre qui nous a bien plu

Par son espace, par son agencement.

Nous étions trois : on aurait pu être six,

Sans aucun problème et la prochaine fois,

Nous louerons une péniche, ça nous changera !

Faut dire c’est pas donné de loger en plein centre,

À moins d’avoir des combines, voire des amis

Qui vous sous-louent, ou vous hébergent.

.

Tous les moyens sont bons pour déambuler dans Amsterdam :

À pied, à cheval, en bateau, en bicyclette, en trottinette, en moto,

Chaque moyen donne un point de vue et un angle différent à voir :

Le plus utilisé, bien sûr est le vélo et le moins, la calèche, le traîneau

Certaines places sont réservées qu’aux piétons et  là règne un calme !

Chacun sait que souvenirs les plus marquants rentrent par les pieds

Parce qu’ils libèrent la vue, donne plus de temps pour contempler.

 .

Le mieux, pour déambuler  en rues

d’Amsterdam  est encore … à pied,

Tant à faire attention aux dangers

En vélo, et plus encore  en voiture

En bus, on n’est pas dans le bain.

.

À pied, l’on s’arrête où  et quand

On veut, en auto, quand on peut !

À pied, l’on peut entrer en maison ;

En vélo, il faut l’attacher cadenasser ;

En voiture, mieux vaut laisser tomber.

.

Et nous avons choisi l’option pédestre ,

Laissant la voiture en un Park and Ride

Près  stade de foot d’Amsterdam Arena

Et pris vers le centre-ville, par le Tram.

.

.

336 -Calligramme

 .

L’esprit des plus libres

Le corps bien reposé

Et, le  cœur, en fête,

Et l’estomac  repu :

Comment  circuler,

Centre Amsterdam

En ses places, rues.

Mais on se gardera

Toutefois des vélos,

Qui  vous  raseront,

Le ventre  ou  le dos,

Il vous manque juste,

Un  peu  plus  de soleil,

Pour faire, de la journée,

Une étape pleine merveille.

C  O  M  M  E  N  T

D’étonnantes maisons pignons,

Prolongent jusqu’au plus profond,

Leurs escaliers étroits  en pente raide

Demandant pour les *   bagages de l’aide.

On ne peut, quatre à  D  quatre, les monter,

Descendre, regarder    É   où on met les pieds.

  A

De vastes ouvertures      M   baignent de lumières

Des intérieurs dépouil     B   lés  mais très confort :

Ici, les hommes soignent  U       leur : « home » fort,

Tant des diverses façades L       s’en disent très fiers.

  E

Certains vivent dans des   R      péniches  aménagées,

D’autres sur des maisons   *    flottantes, plus carrées,

Pas d’étage pas de jardin   À      mais un home-cocoon

Qui fait qu’on se déplace    *   comme en honey-moon.

   A

L’esprit libre, le corps re    M  posé et le regard étonné,

On y découvre ses restau    S   rants, ses cafés, musées,

La  vie reprend  comme     T  un nouvel air  de gaieté,

Quand on est assez dispo  E    nible pour en profiter.

  R

C’est sans doute la réus   D  site de ce court séjour,

Que de découvrir archi   A   tectures, chaque jour,

Où canaux et ponts fleu M   ris de vélos, partout,

Vous laissent parfums  *   d’ailleurs et de tout.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

336 4

.

Un vase ou plutôt une bouteille,

Peut-être même d’eau minérale !

Nul doute sur  la forme, au fond

Eau, lait, bière, vin : tout égal.

.

Parler de bouteille à Amsterdam

c’est évoquer, bien sûr leur bière

oui mais, pas plus là qu’ailleurs,

aussi la forme diffère du fond !

.

Une bouteille de liquides,

Tous aussi divers que variés,

Tout comme bouteilles trouvées 

En marchant dans Amsterdam.

.

Symbolique 

.

Le contenant, fait avec la matière :

Verre, plastique, transparent, opaque,

Usage : boisson, parfum, remède, poison,

Renseignent sur signification de bouteille.

.

On sait que le champagne est des plus festifs,

Que le parfum  est positif  dans le relationnel.

.

Le poison symbolise les mauvaises intentions

De ce fait là, ouvrir une bouteille, en rêve,

Symbolisera qu’on essaye de rassembler

Ses  ressources pour améliorer sa vie

Source : rosalie-dans-tous-ses-etats.com/

2015/10/que-signifie-votre-reve-bouteille.

.

Descriptif

 .

336 – Comment déambuler à Amsterdam ?

Alignement central  / Titre droit  / Thème  découverte

Forme courbe /Rimes égales  /Fond approché de forme

Symbole de forme : bouteille / Symbole de fond : bouteille

.

.

Fond

.

Évocation 

.

336 6

 .

Une bouteille de liquides,

Tous aussi divers que variés,

Tout comme bouteilles trouvées 

En marchant dans Amsterdam.

.

Symbolique

 .

Le contenant, la matière

Telle que verre, plastique,

Transparent ou opaque,

L’usage tel que boissons,

Parfum,  remède,  poison

Renseignent signification.

.

Le champagne est dit festif,

Lors le parfum est dit positif

Dans tout ce qui est relationnel.

.

Ouvrir une bouteille, en rêve, symbolise

Qu’on essaye de rassembler ses ressources

Pour améliorer sa vie, les choses, les deux.

rosalie-dans-tous-ses-etats.com/2015/

10/que-signifie-votre-reve-bouteille.

 .

.

Corrélations

Fond/forme

 .

.

 Rien ici

 .

 .

.

Marcher rythme de ses pas

.

Scénario

À vélo, en taxi ou en métro,

en barques, en bus, voire en calèches

ou encore, à pied dans ses grandes places.

.

Visuels  et textuels >> 

335 – La même chose partout, à Amsterdam !

Visuels et textuels  >> 

.

C’est toujours à peu près

La même chose, partout,

Des trains  et des métros,

Des bus,  des taxis,  autos,

Des rues, jardins et places,

Commerces  et  restaurants

Des hôtels, avec des clients,

Des touristes,  des résidents

Et pourtant,  il y a toujours,

Quelque chose de différent !

 .

Amsterdam n’est pas Venise

C’est vrai,  réciproquement,

En  dépit de  ses  multiples

Et ses circulaires canaux.

.

Elle  conserve des liens,

Avec la mer, d’autant,

Qu’eau, dans  sa ville,

N’est jamais de trop.

.

Et on goute  le plaisir

De chaque  découverte,

Œil aux aguets vous narre

Ce qu’on croit dû au hasard

Se transforme sous un regard.

.

Une troupe s’arrête pour photo,

En  un bus, un guide, avec  micro,

Raconte  ce qu’ils doivent entendre,

Sans se donner la peine de descendre.

.

Course, contre le temps, pour tout voir,

Ne donne, à l’émotion, que  peu d’espoirs

D’entrer en l’âme  du créateur, réalisateur,

On n’en garde qu’images, souvenirs, lueurs.

.

À pied, seul, à deux, trois, en petits groupes,

En arpentant les chaussées toute la journée,

L’œuvre apparait mieux dans son contexte.

.

L’argent et le temps ne sont plus prétextes,

À consommer modes rencontres, précitées.

Trois jours … trois … semaines, trois mois,

.

Ne vous procureront pa s mêmes  clichés.

C’est toute la différence entre voir une  fois,

Et revoir dix, cinquante, cent fois, un endroit

Où un nouveau détail frappera, à chaque fois.

.

À force de détours, de contours, et  de retours,

Vous  finirez, un jour, par  épuiser tous atours,

De certaines villes, que vous  connaissez déjà,

Qui se relivre, à vous, à chacun de vos pas.

.

Un musée, une exposition y font recettes,

Sa culture est le grand point attraction

Pour celui qui n’a d’autre occupation

Qu’être humain avec cœur en fête.

.

.

Extensions

.

À Amsterdam, comme dans d’autres capitales,

Temps est incompressible

Pour accéder  à toute architecture et culture.

De flâner, pour découvrir,

 .

Au coin d’une rue, voire au bout d’une place,

À  l’angle  d’un  carrefour,

Un grand trésor d’architectures sans savoir

De quoi il s’agit est un luxe

 .

Du visiteur qui errera sans plan ni guide

Lui donnant à voir ce à quoi

Il s’attend et qu’il connait un peu déjà

Par les informations fournies

 .

Soit sur le papier, soit par l’écran.

On peut rater des choses,

Mais pas toute ses émotions !

.

On dirait presque des photos d’art quand des immeubles

Se reflètent en l’eau d’un canal, en mode impressionniste :

Effet miroir sur le ciel étant de loin le plus impressionnant !

Il est vrai que l’eau est partout et en tous lieux à Amsterdam,

Et canaux  sont à même de surprendre, interpeller  le quidam !

Est-ce pour autant cité, que psycho qualifierait de narcissique :

Non, au vu de l’altruisme des résidents, expansion économique,

Simplement d’un quartier à l’autre, d’un demi-cercle à l’autre,

Les photos des cartes postales ont tendance à se ressembler !

.

Toutes les villes ou presque, d’importance

Comporteraient les mêmes équivalences,

Architecture, circulation, travail, loisir,

Qu’on peut apprécier selon ses désirs.

.

Ce qui distingue Amsterdam d’autres,

Sans aucun doute, canaux circulaires

Beau mixage  entre  terre, air et eau,

Qui rend d’autant, attrait plus beau.

.

Unité de style n’est pas pour déplaire

Avec ses façades qui se ressembleront

Ses ponts en arc de cercle, bien ronds,

Qui se reflètent  tant en eau  qu’en air !

.

.

335 – Calligramme   

 .

C’est toujours à peu près

La même chose, partout,

Des trains  et des métros,

Des bus,  des taxis,  autos,

Des rues, jardins et places,

Commerces  et  restaurants

Des hôtels, avec des clients,

Des touristes,  des résidents

Et pourtant,  il y a toujours,

Quelque chose de différent !

M Ê M E      C H O S  E

Amsterdam n’est pas Venise

C’est vrai,  réciproquement,

En  dépit de  ses  multiples

Et ses circulaires canaux.

Elle  conserve des liens,

Avec la mer, d’autant,

Qu’eau, dans  sa ville,

N’est jamais de trop.

P A R T O U  T

Et on goute  le plaisir

De chaque  découverte,

Œil aux aguets vous narre

Ce qu’on croit dû au hasard

Se transforme sous un regard.

Une troupe s’arrête pour photo,

En  un bus, un guide, avec  micro,

Raconte  ce qu’ils doivent entendre

Sans se donner peine de descendre.

À          A  M  S  T  E  R  D  A  M   

Course, contre le temps, pour tout voir,

Ne donne, à l’émotion, que peu d’espoirs

D’entrer en l’âme du créateur, réalisateur,

On n’en garde qu’images, souvenirs, lueurs.

.

À pied, seul, à deux, trois, en      petits groupes,

En arpentant les chaussées          toute la journée,

L’œuvre apparait mieux                 dans son contexte,

L’argent et le temps  ne                    sont plus prétextes,

À consommer modes                         rencontres, précitées.

Trois jours … trois …                             semaines, trois mois,

Ne vous procureront                               pas   mêmes   clichés.

C’est toute la différence                           entre : voir  une  fois,

Et revoir dix,  cinquante,                           cent fois, un endroit

Où un nouveau détail frap                        pera, à chaque fois.

À force de détours, de con                    tours, et  de retours,

Vous  finirez,  un jour, par                 épuiser tous atours,

De certaines villes, que vous              connaissez déjà,

Qui se re-livre, à vous, à chacun          de vos pas.

Un musée, une exposition y font       recettes,

Sa culture est le grand point attraction

Pour celui qui n’a d’autre occupation

Qu’être humain avec cœur en fête.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

335 4

.

Une quille dans un jeu, bowling

Bouteille,  flacon, ou pendentif :

De quel objet s’agit-il vraiment :

En art déco… d’un objet d’art.

.

Art déco et objets d’art vont ensemble

mais pas plus à Amsterdam qu’ailleurs

et même s’il existe un art bien flamand,

la forme ici, ne conviendra pas au fond.

 .

Un objet d’art façonné peut-être

 Par un artisan  ou  par un verrier,

Ça fait : rétro, vintage, art déco,

Cela dit, je me trompe peut-être.

.

Symbolique 

.

L’Art déco est un mouvement artistique

Né au cours des années 1910

Et qui aura pris son plein épanouissement

Au cours des années 1920

Avant de décliner à partir des années 1930.

C’est le premier mouvement

Architecture-décoration  d’échelle mondiale,

Concerne l’architecture intérieure

Avec ses tapisseries, ses vitraux et peintures

Et ses sculptures ornementales,

Son ébénisterie, l’emploi de la céramique,

Sans compter de l’orfèvrerie.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

335 – Même chose, partout, à Amsterdam   

Alignement central  / Titre intercalé / Thème  art

Forme courbe /Rimes égales  /Fond éloigné de forme

Symbole de forme : art déco / Symbole de fond : objet d’art

.

.

Fond

.

Évocation 

.

335 6

.

Un objet d’art façonné peut-être

 Par un artisan  ou  par un verrier,

Ça fait : rétro, vintage, art déco,

Cela dit, je me trompe peut-être.

.

Symbolique 

 .

L’objet

N’a pas fini de

Nous étonner par

Ses transformations ;

Par ses réutilisations,

Par ses affectations d’usages :

Il peut devenir un prétexte

Ou un support à notre imagination,

En y intégrant ou non un message

Concret ou abstrait au travers

De la réalisation d’un objet d’art.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Un œil avisé, voire connaisseur,

Remarquera, vite, des différences,

Entre bâtiments qui, pour touristes,

Se ressemblent, en briques pareilles.

.

En réalité il y a une foule des détails,

Qui se fondent en harmonie couleurs

Fenêtres, portes, ou toits, etcetera.

.

Et il n’y a pas que l’architecture

Tant il y a aussi  l’urbanisme

Et tout ce qu’il y a autour,

Parc, jardin, cours d’eau

Qui forme comme l’écrin

D’un art et style de vie !

 .

S

.

Constellation canaux, immeubles

.

cénario 

.

On avouera qu’un certain romantisme y règne en maître,

et que l’eau est présente à peu près partout tout autour,

que le ciel nuageux se mire dans le canal d’Amsterdam.

 .

Visuels et textuels  >> 

334 – Le centre-ville circulaire d’Amsterdam

Visuels et textuels  >>

.

Amsterdam, un  nom  de  ville  et  d’ouverture,

De  voyages, de  découvertes, et, d’aventures,

Tout autant que de diamants, de peintures,

Et tout un héritage de traditions cultures.

.

Le centre-ville circulaire d’Amsterdam,

Héberge plusieurs milliers … d’âmes :

À pied, en vélo, en auto … en bateau

Ils circulent au ralenti  et non trot.

.

Les gens du Nord sont très dispos,

En art de vivre : autant de tempos.

Ici le commerce fleurit,  bat son plein,

Nouveaux touristes  affluent, au matin !

.

Rien de carré ni de droit ni rectiligne,

Tout est en courbe, et partout différent.

Tout vous attire l’œil et tout en est digne

En demi-cercle comme théâtralement !

 .

Ici règne une atmosphère de lendemain

De fête, suite à nuit libations sans fin :

Bien difficile d’en résumer l’Histoire,

Tant rue jonchée de canettes à boire.

.

Ici, nombre siècles se sont succédés,

Nombre habitants y sont enterrés,

Demeure cette ville trait d’union,

Entre le passé et la… modernité,

Mais, qui aura très peu modifié,

Architectures, canaux… maisons.

.

Mais qu’est-ce que l’âme d’une cité,

Sinon mélange de ceux qui l’ont habité,

Qui l’ont bien façonné année après année,

En une sorte de communion d’espace-temps

Qui ont forgé  des parcours de vies, étonnants,

Et, qui fascinent toujours autant, les étrangers !

.

Notre court séjour, intense, s’est bien … terminé,

Il ne nous aura pas livré, d’Amsterdam, ses clefs,

Elle nous aura laissé toutefois, son parfum, aura,

Image de son visage imprégné de notre passage.

.

.

Extensions

.

Le centre-ville n’est pas grand :

On en ferait le tour en une journée

À pied, en marchant bien, ou en vélo,

Ça ne fait pas défaut, faut se lever tôt.

.

Son architecture reste assez marquée

Par le dix-huit et dix-neuvième siècle,

Époque plus florissantes de son histoire,

Due à son commerce, devenant   mondial.

.

Quant à son âme : elle est accessible, certes,

Mais à deux niveaux : en surface et profondeur.

En surface par les splendeurs qu’elle donne à voir

En profondeur par l’humeur elle donne à entrevoir.

.

Son art de vivre est plus difficile à cerner que son art

De construire même s’ils ont un lien étroit entre eux.

.

Vrai que la présence des canaux, joue énormément

Sur  son ambiance  et  sur  la circulation  car l’eau

Est présente, partout, tant elle tourne, sans cesse,

Autour point central, port fluvial, gare centrale.

.

Une ville, finalement, à nulle autre pareille,

Et qui nous cache ou qui nous réveille

Maints cadeaux et merveilles.

.

Un centre-ville semi circulaire, ce n’est pas commun

Avec des canaux qui l’épousent, si ce n’est contraire.

Voilà ce qui nous a été donné à, découvrir, admirer,

Pendant les quatre jours où nous y avons séjourner

En plein début mai, juste après la Fête de la Reine,

Où l’on a l’occasion de manger  spécialités locales,

Et qui plus est, de boire à volonté tout son saoul !

.

Les canaux ont été construits pour fortifier la ville.

La ville s’est étendue et les canaux qui se trouvaient

Autrefois  à l’extérieur  de la ville, se sont retrouvés

Comme en  partie intégrante de la ville elle-même.

Leur fonction de protéger la ville, des intrusions,

A évoluée, sert au transport des marchandises

De lieux de résidence de péniches habitables

De circulation pour vedettes touristiques !

Et si les trois premiers sont d’origine,

Quatrième a été rajouté : fortifier.

.

.

334 – Calligramme

 .

Amsterdam, un  nom  de  ville  et  d’ouverture,

De  voyages, de  découvertes, et, d’aventures,

Tout autant que de diamants, de peintures,

Et tout un héritage de traditions cultures.

C E N T R E   –   V I L L E,

Le centre-ville circulaire d’Amsterdam,

Héberge plusieurs milliers … d’âmes :

À pied, en vélo, en auto … en bateau

Ils circulent au ralenti  et non trot.

C I R C U L A I R E

Les gens du Nord sont très dispos,

En art de vivre : autant de tempos.

 Ici le commerce fleurit,  bat son plein,

Nouveaux touristes  affluent, au matin !

.

Rien de carré ni       A     de droit ni rectiligne,

Tout est en courbe,         M         et partout différent.

Tout vous attire l’œil            S          et tout en est digne

En demi-cercle comme              T            théâtralement !

                      E

Ici règne une atmosphère de         R            lendemain

De fête, suite à nuit libations        D           sans fin :

Bien difficile d’en résumer l’        A        Histoire,

Tant rue jonchée de canettes    M       à boire.

.

Ici, nombre siècles se sont succédés,

Nombre habitants y sont enterrés,

Demeure cette ville trait d’union,

Entre le passé et la… modernité,

Mais, qui aura très peu modifié,

Architectures, canaux… maisons.

.

Mais qu’est-ce que l’âme d’une cité,

Sinon mélange de ceux qui l’ont habité,

Qui l’ont bien façonné année après année,

En une sorte de communion d’espace-temps

Qui ont forgé  des parcours de vies, étonnants,

Et, qui fascinent toujours autant, les étrangers !

.

Notre court séjour, intense, s’est bien … terminé,

Il ne nous aura pas livré, d’Amsterdam, ses clefs,

Elle nous aura laissé toutefois, son parfum, aura,

Image de son visage imprégné de notre passage.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

334 4

.

Un pilier d’église, ou monument,

Voire un objet purement décoratif

Lampe à pétrole, probablement,

Lumière pétrole …  certainement !

.

Lampe et lumière, ne sont spécifiques

à la ville d’Amsterdam ni à ses canaux

même si leur lumière apparaitra bien

en tableau, la forme diffère du fond.

.

Quoi de commun entre lampe à pétrole

 Et Amsterdam :

Rien, en apparence, mis à part nombreux

Peintres de la lumière !

.

Symbolique

 .

Lampe,

Électrique,

À huile, pétrole,

Représente toujours

Une  lumière intérieure,

Une énergie, des capacités,

Des talents que nous maîtrisons.

C’est l’homme qui maîtrise la lumière

Avec un  pouvoir d’allumer et d’éteindre.

La lumière est le symbole de la connaissance,

On apprend de jour en jour à mieux se connaître,

On évolue grâce à ces informations et ces savoirs !

.

Descriptif

 .

334 – Centre-ville, circulaire, Amsterdam  

Alignement central  / Titre courbe  / Thème  ville

Forme courbe /Rimes égales  /Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

.

Évocation 

.

334 6

.

Quoi de commun entre lampe à pétrole

 Et Amsterdam :

Rien, en apparence, mis à part nombreux

Peintres de la lumière !

.

Symbolique 

 .

L’intensité de la lumière

Est une grandeur  exprimant

Cette capacité à éclairer d’une

Source   ponctuelle  de  lumière

Dans  des  directions … données.

.

En un environnement plus obscur

La vision humaine ne distingue plus

Les couleurs, et la sensibilité spectrale

Relative sera alors décalée vers le bleu.

.

On parle pour cela de vision scotopique.

Entre les deux domaines de luminosité,

On parle de vision mésopique.

Wiki intensité lumineuse

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Que serait, de nos jours, une ville

Sans lampadaires, lumières, la nuit

Avec assez d’intensité en vue d’éclairer

Nombre de zones sombres, dangereuses

Et surtout avec de tels canaux, partout !

Aujourd’hui une lampe de poche à leds,

Suffit  pour s’éclairer : il fut un  temps

Où lampes à pétrole donnaient halo

Pour voir où on mettait les pieds.

 .

.

Amsterdam, centre Pays-Bas

.

Scénario

.

Centre-ville d’Amsterdam à la fois circulaire et concentré,

avec des péniches pour maison sur certains de ses canaux,

et tout partout, des rambardes, et tout partout, des vélos !

.

Visuels et textuels  >>

705 – Consentir sensuellement au profit du sexe

Visuels et textuels >>

.

Le sexe n’est pas que … physique,

Le sexe n’est pas que mécanique,

Le sexe  n’est pas  qu’hystérique,

Le sexe n’est pas que  pratique,

Le sexe n’est pas que la nique,

Le sexe n’est pas  que piques.

.

Il peut être métaphysique,

Il peut être  romantique,

Il peut être    mystique,

Il peut être   poétique,

Il peut être  onirique.

.

Il peut être magique,

Il peut être consenti

Au profit des sexes,

Sans être amants :

Jeux   complexes !

.

Regards   partagés,

Regards   échangés,

Regards transpercés.

Regards   énamourés.

.

Amour suffit, une fois,

Amour se rempli de soi,

S’il faut le faire deux fois

C’est qu’il vous       déçoit.

.

Rien de tout cela  en sexe,

C’est   le corps    convexe,

C’est  le même  concave,

On remplit de sa lave.

.

Profonds  sentiments,

La fusion de  nos amants,

Leurs amours,  partageant,

Leur don de soi,  pratiquant.

.

Le désir devient un prologue,

Lors le sexe, un monologue,

Le sentiment,  analogue

L’amour : dialogue.

.


.

Extensions

 .

Consentir et sexe sont les deux mots clés

Servant de sésame pour ouvrir les portes

De deux corps enamourés.

Le consentement mutuel  reste une notion

D’acceptation  de contrat  afin que chacun

En tire bénéfice équivalent.

Le consentement forcé est proche d’un viol,

Même si, après, partenaire

S’en trouve finalement, réjoui et le remercie

Entre  volontaire  et  forcé,

Le curseur  se déplace, allant de l’acceptation

Complète  et  bien souhaitée

Au refus total à ce  point de s’en sentir … mal.

Acceptation pour avoir paix,

Est commune  dans les couples, consentement

De réparation avant de passer

À autre chose ou revenir à l’état d’auparavant.

Et c’est parfois pour l’homme,

L’occasion de tester  son pouvoir  de séduction

Ou d’asseoir, une fois de plus,

Son pouvoir de domination : l’enjeu consentir

À l’acte sexuel n’est pas toujours

Identique pour les deux partenaires sans pour

Autant que l’autre le sache, suppose.

 .

Consentir : un mot clé qui ouvre une porte

Consentement mutuel : mots qui emportent

L’espoir d’une jouissance partagée, du moins,

Sur le plan sexuel et plus, si affinité spirituelle.

La femme peut dire non et alors «non c’est non»

Mais l’homme tout autant, s’esquiver, ou refuser.

Comme dit  Gainsbourg« je t’aime, moi non plus »

.

Le sexe n’est pas ceci, cela,

Le sexe peut être : aime cela,

Qui peut prétendre le qualifier

Qui peut prétendre, l’embrasser.

Au-delà plaisir chair, cher plaisir,

Il y aura la finesse et force du corps

Qui prendra le cœur, l’esprit et l’âme,

Comme en tout en sa vision holistique.

.

Consentir au sexe : le maitre mot, lâché,

Dont on ne sait ni le centre ni les contours,

Chacun se croit en son périmètre sémantique

Jusqu’à interpréter un «non» comme un «oui».

Elle a consenti après du seul fait qu’elle aura joui.

Ce qu’on appelle : mettre la charrue avant les bœufs

À moins que ce ne soit prendre ses désirs pour réalité

.

.

Épilogue

.

Qu’est-ce donner son consentement :

Son accord, assentiment, permission.

Il est curieux, qu’en matière  sexuelle,

On ne parlera pas  de lui : que d’elles !

***

Permission n’inclurait pas soumission,

Soumission ne permettrait  perversion :

Ne faudrait pas verser dans l’exagération

En pleine fouge, sans moindre discussion.

***

Il ne saurait y avoir  de plaisir, forcé, violenté

D’un partenaire ou de l’autre, pas que de genre

Mais cela, il est vrai, on ne le dirait jamais assez,

L’amour à la hussarde est comme lance enfoncée.

***

Elle préfèrera un pendentif qui se balance, un peu

Beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout :

Prenant son temps  et son rythme  jusqu’au bout,

Où tout n’est que plaisir,  où tout n’est que jeux.

***

Pour la femme, non dira non et pas peut-être

Un non qui veut dire oui, n’existent chez elle

Cela deviendra une interprétation abusive,

Qui se rapproche d’un viol non consenti.

***

Or, parfois, en amour, femme varie

Elle a dit oui, et au milieu du gué

Elle vous dit non, c’en est assez,

Le partenaire devra accepter.

.

.

705 – Calligramme

 .

$

Le sexe n’est pas        S            que physique,

Le sexe n’est pas       E       que mécanique,

Le sexe n’est pas      N        qu’hystérique,

Le sexe n’est pas     S       que  pratique,

Le sexe n’est pas   U       que la nique,

Le sexe n’est pas  E        que piques.

Il peut être mé    L      taphysique,

Il peut être ro    L       mantique,

Il peut être       E      mystique,

Il peut être     M     poétique,

Il peut être    E    onirique,

Il peut être   N  magique,

Il peut être  T   consenti

.

Au profit    du sexe

Sans être  amants

Jeux complexes.

.

Regards partagés,

Regards    *   échangés,

Regards   C      trans      A   percés.

Regards   O         énam         U     ourés,

Amour     N             suffit           *  une fois,

Amour se  S            remplit           P      de soi,

S’il faut le  E              faire               L   deux fois

C’est qu’il  N             vous              A       déçoit.

Rien        T            de cela          I    en sexe,

C’est      I         le corps     S   convexe,

C’est     R    même    I   concave,

Remplit      R    ses laves.

.

Profonds  sentiments,

La fusion de  nos amants,

Leur amour  S     partageant,

Don de soi,    E      pratiquant.

Le désir est   X   un prologue,

Lors le sexe  E   monologue,

Le sentiment,  analogue

L’amour,  dialogue.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

705 4

.

Une décoration d’un ordre

 Militaire,  civil,  ou privé,

Ou encore un pendentif

D’amour par soi-même.

.

Pendentif et amour, pendentif d’amour,

l’un ne va pas sans l’autre pour médaillon

lors, si la forme ne ressemble pas au fond,

elle l’évoque tout de même plus qu’un peu.

.

De l’amour, très probablement,

Du sexe, très certainement :

Les deux se mêlent en pendentif  

Parfois difficile à séparer.

Symbolique de forme

 .

Symbolique 

 .

Courant utilisé depuis l’Antiquité

Pour représenter le centre : organe

Du cœur de l’activité … émotionnelle,

Spirituelle, morale voire intellectuelle.

.

Un cœur rouge sera… principalement

Utilisé comme symbole de l’amour

Il est, parfois, traversé  de  flèche,

Illustrant l’intervention d’Éros,

Ou bien brisé, représentant

Alors une  déconvenue

 Amoureuse.

.

Descriptif

 .

704 – Tout va bien, est bien, en va-et-vient     

  Alignement central / Titre droit cercle / Thème  sexualité

Forme  ronde  / Rimes égales  / Fond approché de forme

Symbole de forme : pendentif    /  Symbole de fond : amour

.

.

Fond

 .

Évocation

.

705 6

.

De l’amour, très probablement,

Du sexe, très certainement :

Les deux se mêlent en pendentif  

Parfois difficile à séparer.

.

Symbolique

 .

Les pendentifs peuvent

Avoir  diverses  utilités  au-delà

La fonction strictement ornementale.

Le rôle esthétique est aujourd’hui l’une

Des motivations du port de pendentifs.

.

Le rôle identitaire serait également une

Raison fréquente du port de pendentifs.

Ceux-ci peuvent être d’origine religieuse

Tels  croix, étoile, talisman mais aussi

À connotation sexuelle, ou, en signe

De soutien à certaines mouvances

Comme les tendances punk.

Modifié, source : Wikipédia

 

 

Corrélations

Fond/forme 

 .

L’amour sous forme de pendentif

Qu’on porte au cou et sur le cœur,

Voilà l’objet symbole d’un bonheur

Si tant est qu’elle reflète sentiment,

Il peut représenter tout autre chose

Tout comme tatouage noir ou rose,

Tout comme appartenance à secte

Ou à l’écologie comme les insectes

Le cœur reste d’amour, étendard

 .

.

Comme ça au moins c’est clair

.

Scénario

.

Consentir sera souvent le privilège de la femme

comme si celui de l’homme  serait acquis d’avance

avec toutes les femmes  qui s’offriraient à leurs yeux !

 .

Visuels et textuels >>

333 – A la voile et à pied et à ski et en vélo !

Visuels et textuels  >>

.

Autant de sports,

Autant de bonheurs

Du sud jusqu’au nord,

Autant bonne humeur !

.

En voiles, l’on  s’emporte,

Et en skis,  l’on se déporte,

Par les pieds, l’on se porte,

En vélo,  l’on se  téléporte !

.

Quatre moyens de voyager,

Lentement mais  surement

D’un  point, à l’autre, fixé,

Prenant bien  son  temps

.

Mieux  vaut être  deux,

Trois   pour  partager,

Instants … heureux,

À  se   mémoriser,

Sensations fortes

Qui ressortent,

De paysages,

En images.

.

Amours

De nature

Avec culture

Avec humour :

En mer, en terre,

On se perd souvent

En ses commentaires

En l’air  ou dans le vent.

.

La marche  garde  mystère

Des origines de … l’humanité

Mais naviguer, en hautes mers,

Nous force à mieux nous guider.

.

.

Extensions

.

Ces poèmes ne sont de trop pour évoquer ces iles,

Terres rassemblées, mis en forme pour communiquer.

Il existe quantité de sports tous aussi attrayants autres

À partir du moment où l’on s’en déclaré un passionné.

Moi, ce sont les quatre sports que je préfère, de loin.

.

On ne parle bien que de ce que l’on connait le mieux.

Sports collectifs, je ne les pratique pas, mais cela ne

N’empêche nullement de les aimer ou les admirer.

Il se trouve que ces quatre sports se pratiquent

Tous en plein air la pleine mer, pleine nature,

La voile, c’est pour mes bras, et  la rando,

C’est pour mes pieds, le vélo, mollets,

Le ski … c’est pour mes … genoux.

.

Mettre sport et nature, en poèmes,

Consomme aussi beaucoup d’énergie,

Pour la bonne cause, oui… cause toujours !

La poésie comme le sport, n’exclut pas l’humour

La tête y participe beaucoup plus qu’on ne le pense ;

La tête et les jambes direz-vous : j’ai entendu cela

Quelque part mais je ne sais plus très bien où !

.

Quel que soit le sport qu’on pratique, préfère, compète,

Il y a toujours un prix, une médaille, un trophée à gagner,

En dépit du fait qu’esprit olympique de Pierre de Coubertin,

Consisterait d’avantage à bien  participer qu’à vouloir gagner

Ce sont les champions qui entraînent autres vers leur sport :

Tous se valent à partir du moment où l’on atteint sommet

Chacun peut, toutefois, à son niveau espérer un trophée.

.

On peut difficilement comparer les sports :

À chacun ses difficultés, plaisirs, méformes,

On peut, en tant qu’individu en pleine forme

Les enchainer comme on le fait au décathlon.

.

Courses de vitesse ne sont pas courses de fond,

À chacun son défi, selon ses passions, capacités.

Moi qui ai pratiqué, la voile, marche, le ski, vélo,

Je ne saurais dire lequel sera resté  mon préféré !

.

Il m’est impossible d’expérimenter tous les sports

Ni même de m’y intéresser, à part, par curiosité :

Ce sont les engagements et plaisirs que j’assume

Qui me font les partager sous forme poétique.

.

.

Épilogue

.

À pied, à cheval, en voiture,

En vélo, en skis…en bateau :

Six  transports  à rajouter  à :

En bus, en train … en voilure,

Trottinette, mobylette, moto :

Pas un moyen qui manquera.

***

On dit qu’à pied,  on peut aller

Partout, en partie  vrai et faux,

Sur la neige : skis ou raquettes.

On ne traverse pas mer, océan :

Pas de pont : avion  ou  bateau :

Je ne me vois pas nager, si loin.

***

Tour du monde, à pied … à vélo,

Voire en bateau, mérite trophée,

Certains l’on fait, autres le feront

Et moi, je leur tire mon chapeau,

Un tour de la France ou traversée

Ça fait déjà une trotte sacré nom !

***

Quoiqu’il en soit, il en fût, en sera,

Bouger et voyager, est destination,

Pour les uns, pour autres, destinée.

On peut en faire et loisir et passion,

Je suis de ceux ayant devise : utiliser

Moyen nécessaire, là  où  il le faudra.

.

.

333 – Calligramme   

 .

Autant de  V   sports,

Autant     O  de bonheurs

Du sud    I   jusqu’au nord,

Autant    L   bonne humeur !

E ………..

En voiles,    *     l’on  s’emporte,

Et en skis,      P   l’on se déporte,

Par les pieds,    I     l’on se porte,

En vélo,  l’on se    E    téléporte !

            D

Quatre moyens de  S     voyager,

Lentement mais    *    surement

D‘un  point, à     S  l’autre, fixé,

Prenant bien    K    son temps

    I

Mieux  vaut  *    être   deux,

Trois pour   V    partager,

Instants    E     heureux,

À se       L  mémoriser,

Sensa O tions fortes

Qui  * ressortent,

De   paysages,

En images.

.

Amours

De nature

Avec culture

Avec humour :

En mer, en terre,

On se perd souvent

En ses commentaires

En l’air  ou dans le vent.

La marche  garde  mystère

Des origines de … l’humanité

Mais naviguer, en hautes mers,

Nous force à mieux nous guider.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

333 4

.

Un trophée sportif,

Oui, très probablement,

Oui d’accord mais lequel 

De voile, ski, marche, vélo ?

.

Trophée par ci, ou trophée par la

chaque sport a les siens, individuels

ou collectifs, tant et si bien que : tous

s’accordent que fond justifie la forme !

.

Impossible de déterminer,

De quel trophée, il peut s’agir :

Il n’y a, pour le moment,

Aucune inscription, aucun signe !

.

Symbolique 

 .

Conception, réalisation d’un trophée

Peut être confié à un sculpteur célèbre,

C’est en général une forme sur un socle :

Une allégorie de victoire ou d’honneur,

Empruntée   à    la     mythologie ;

La représentation d’un objet

Ou   d’une   attitude  de

Discipline concernée

Ou encore une

 Forme abstraite.

wikipedia.org/wiki/ Trophée-dans-sport

.

.

Fond

.

Évocation 

.

333 6

.

Impossible de déterminer,

De quel trophée, il peut s’agir :

Mais si voyons, de cinéma

Une création de César

.

Symbolique 

.

Le trophée  est  remis

Au vainqueur  et  des titres

Symboliques pour ses seconds

Lors d’une  cérémonie  officielle

Par un  ou des membres éminents

De la discipline  ou de son instance.

 .

Cela dit, l’objet  du trophée  peut être

Symbolique : une coupe, une médaille

Financier : un bon d’achat,  un  chèque,

Ou un contrat : d’édition ou distribution.

 .

La cérémonie est assez souvent enjolivée

D’un discours, d’une remise  de  bouquet

Ou d’une couronne, voire d’une montée

Des couleurs, drapeau,  de l’exécution

D’un  hymne spécifique ou national.

Wikipédia : trophée

.

.

Corrélations

.

Fond/forme

 .

J’en aurai trop fait, ou trophée,

Quel vilain jeu de mots, s’il en est.

Quand je pense trophée, pas sport,

Mais bien plutôt littérature, rature

Prendre les voiles, est ce que j’ai fait

Le plus, durant presque trente années

Et pour les autres, plutôt en pointillés,

Je me retrouve avec un sport cérébral

Qui a pour nom : Éclats d’existences,

Qui ressemble fort à un marathon.

 .

.

L’important, avoir sensations

.

Scénario

.

À la voile, quelque part sur une plage bretonne !

En ski, quelque part dans une station des Alpes !

En vélo, quelque part  dans une ville de France !

 .

Visuels et textuels  >>

332 – Le vélo est plus relax que la voiture

Visuels et textuels >> 

.

Vélo c’est mieux

Que petite auto,

Sur la voie verte

Au bord de… l’eau,

Où l’on peut pédaler

Sans souci, ni danger,

Et temps pour admirer,

Les paysages  vallonnés.

Et au fil des kilomètres,

Les profils de sentiers,

Changent… d’aspects

Voire de…dénivelés.

.

Aucune monotonie

Ne vous … guette,

Ni, de mélancolie,

Ne  vous inquiète.

Face au désespoir

De la vie moderne

Aucun … problème

Ne  vous  concerne,

Autre que de pédaler,

Souvent, droit, devant.

.

Chaque tour de roue vous entraine

Vers  des paysages, extraordinaires,

Réveillant, et inspirant l’imaginaire,

En lequel, tête et vélo,  s’enchainent.

Un arrêt, par ci, ou par-là, pour fixer

Des clichés de chapelle, en beau pré,

Nature est généreuse, à la campagne,

On l’apprécie, comme une compagne.

.

Ici chemin tout droit comme un trait

Là, des courbes, aux virages en lacets,

On passe en un sous-bois, ombrageux,

L’on franchit un col, un chemin creux.

La rivière, serpente, parfois, contrebas,

On entend son flot murmurer tout bas.

.

« Eh les humains en vélo, plein d’entrain,

Qui suivez le chemin, d’un ancien train,

Apprenez que, depuis milliers d’années,

Je coule et roucoule les eaux, à satiété ».

 .

Mais il est temps de se reposer à l’hôtel,

En soirée à déguster crêpes … dentelles,

Sommeil viendra à point nommé, fermé,

Un petit vélo, dans la tête, vous fera rêver

Que vous pédalez, sans cesse, et à volonté,

Pour mieux parcourir ce chemin, sans fin

De votre vie, qui se prolonge avec destinée

.

.

Extensions

.

Balade  à vélo peut vous faire vibrer,

Vous embarquer, comme en ciel, éthéré,

Procurer des ailes à votre imaginaire déluré.

Changement de braquet, voilà autre dimension

Qui laissera tout libre cours à votre imagination.

.

Comment objet aussi simple, muni deux roues,

Un cadre, un guidon, un frein, un dérailleur,

Peut nous procurer d’intenses sensations

Qui frôlent notre déraison !

.

Comment les chutes sont-elles vécues :

Tantôt comme bévue malvenue de notre part,

Tantôt comme dû à un terrain fort accidenté !

.

Comment le ruisseau qui coule à nos côtés

Nous ressource de la voir serpenter

Comme nous pour négocier

Pente en retenues et en torrents.

L’homme doit tout progrès à la roue,

Y compris à celle du temps, de la fortune.

.

La collaboration vélos et voitures si ce n’est compétition

Pour occuper les routes, aura toujours été problématique

Au point que nombre de gens ont réclamé pistes cyclables.

Mais  cela  ne résout pas tout, loin s’en faut, en urbanisme,

Encore  faut-il  être  prudent, compréhensif, vivre ensemble

Et cela ne dépend pas du moyen de transport : d’éducation !

.

Les meilleurs endroits pour les vélos

Sont là où il n’y aura pas de voitures.

En campagne c’est simple et possible,

En ville cela dépend de choix politique

.

Le stress ne sera pas le même, accident

De voiture serait plus grave que de vélo.

La faute à la vitesse ou confiance en soi,

Alors qu’il s’agira souvent d’inattention.

.

En vélo, on a le temps de voir le paysage,

En auto, on fait plus attention à la route ;

En auto, on se dit pressé arriver à l’heure,

En vélo, on s’arrête pour des événements.

.

Épilogue

.

Pour les trajets courts,

Accorder une préférence

Au vélo, plus qu’à l’auto !

***

Message, souvent imprimé,

Sur la publicité des véhicules

À vendre, voire aussi  à louer !

***

C’est pas que voiture soit stress :

C’est juste un confort, une paresse,

Il faut trouver équilibre avec le vélo.

***

En ville, vélo est beaucoup plus relax,

Que la voiture qu’on ne saura où garer,

Et puis on l’emprunte ici et le dépose là.

***

Courses : la voiture, y pas mieux, c’est sûr,

Lors le vélo sera idéal pour aller au boulot :

On peut mettre vélo sur voiture pour rando.

***

Pour la sécurité, parfois, en vélo, ça craint :

Il suffit de pas grand-chose, parfois de rien,

Pour se faire accrocher, tomber comme tas.

***

Mais il y a de plus en plus de pistes cyclables

Où l’on ne craindra autre que rencontre vélos

Chacun chez soi et les vaches, mieux gardées.

.

.

332 – Calligramme

.

LE  VÉLO 

Vélo c’est mieux

Que petite auto,

Sur la voie verte

Au bord de… l’eau,

Où l’on peut pédaler

Sans souci, ni danger,

Et temps pour admirer,

Les paysages  vallonnés.

Et au fil des kilomètres,

Les profils de sentiers,

Changent… d’aspects

Voire de…dénivelés.

Aucune monotonie

Ne vous … guette,

Ni, de mélancolie,

Ne  vous inquiète.

Face au désespoir

De la vie moderne

Aucun … problème

Ne  vous  concerne,

Autre que de pédaler,

Souvent, droit, devant.

E S T   P L U S   R E L A X

Chaque tour de roue vous entraine

Vers  des paysages, extraordinaires,

Réveillant, et inspirant l’imaginaire,

En lequel, tête et vélo,  s’enchainent.

Un arrêt, par ci, ou par-là, pour fixer

Des clichés de chapelle, en beau pré,

Nature est généreuse, à la campagne,

On l’apprécie, comme une compagne.

Ici chemin tout droit comme un trait

Là, des courbes, aux virages en lacets,

On passe en un sous-bois, ombrageux,

L’on franchit un col, un chemin creux.

La rivière, serpente, parfois, contrebas,

On entend son flot murmurer tout bas.

« Eh les humains en vélo, plein d’entrain,

Qui suivez le chemin, d’un ancien train,

Apprenez que, depuis milliers d’années,

Je coule et roucoule les eaux, à satiété ».

Mais il est temps de se reposer à l’hôtel,

En soirée à déguster crêpes … dentelles,

Sommeil viendra à point nommé, fermé,

Un petit vélo, dans la tête, vous fera rêver

Que vous pédalez, sans cesse, et à volonté,

Pour mieux parcourir ce chemin, sans fin

De votre vie, qui se prolonge avec destinée

De le recommencer, frais, et chaque matin.

Q  U  E     T O U T E   V  O  I  T  U  R  E   

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

332 4

.

Peut-être un pinceau de peinture

Ou peut être une cheminée d’usine

Ça ressemble plus  à une voiture

De course que vélo, même couché.

.

Voiture, voiture de course, d’accord

mais regardez bien un vélo couché,

c’est la même chose et en réduction

si bien que la forme épouse le fond.

 .

Une voiture avec ses quatre roues,

Moteur, carrosserie

Est engin de transport pour les uns,

De plaisir pour d’autres.

.

Symbolique 

.

La voiture exprime

Le désir, du rêveur

D’avancer vers quelque chose.

Le but n’est pas toujours défini.

.

Quand la voiture roule sans but précis,

Il s’agit d’un désir de bouger  et  de voir

Sa vie changer  et la nature de la voiture

Exprime un certain, et bon, niveau social.

.

Une voiture  de sport   exprime  un  désir

D’aller vite dans la vie, une petite voiture,

Demeure une marque de modestie tandis

Qu’une voiture endommagée est le signe

Que le rêveur a connu des déboires dans

Sa vie sociale et en supporte

Encore les conséquences.

Psycho/Interpretation-des-reves/

Rever-de-voiture-notre-interpretation-

.

Descriptif

.

332 – Le vélo est plus relax que voiture   

Alignement central / Titre absent / Thème  transport

Forme droite  /  Rimes égales   /  Fond accordé à forme

Symbole de forme : voiture   /   Symbole de fond : voiture

.

Fond

.

Évocation 

.

332 6

.

Une voiture avec ses quatre roues,

Moteur, carrosserie

Est engin de transport pour les uns,

De plaisir pour d’autres.

.

Symbolique

.

La voiture fait du bruit,

Voiture envahit les villes,

Le  bitume des campagnes.

Utilise  place  folle  à l’arrêt.

On lui construit des immeubles

Grottes souterraines pour la parquer.

.

Elle consomme énergie épuisable,  pollue.

Elle causera mort de 1,2 millions de personnes,

Chaque année selon l’OMS : en 6 ans, l’équivalent

De la population de toute  la Suisse qui disparaît.

.

A ces morts on peut ajouter les blessés graves,

Mutilés, amputés, handicapés à vie,

Et les enfants orphelins,

Les familles détruites.

Source : hommelibre.blog.tdg.ch/archive/

2011/04/19/la-voiture-symbole-liberte.

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

La voiture est loin du vélo,

Et cela à tous points de vue :

Sa forme et sa tenue de route

Quatre roues ne sont pas deux

Elle est couverte, caparaçonnée,

Le vélo est ouvert et mal protégé.

.

Vélo est lent lors voiture va vite :

Tout était fait pour elle, en ville,

Vélo est entre voitures, piétons,

Et attention aux vols de vélos 

Et aux glissades sous pluies,

Sans parler de tout le reste.

.

.

Trois, sept, douze, seize ans

.

Scénario 

.

Le conflit vélo/ voiture, pas toujours facile à régler.

Debout sur les pédales, en tout terrain, c’est mieux.

Et, là, relax, tout en bleu, sur un vélo… tout rouge !

 .

Visuels et textuels >>

331 – Vélo est comme marche accélérée

Visuels et textuels >> 

.

Le vélo c’est comme marcher

En accéléré,

Pour pédaler suffit appuyer léger

Pour démultiplier,

Il vous permet d’aller bien plus loin

En une journée.

De muscle respiration, prendra soin,

En une matinée.

.

Sinon, soin de votre ligne,  ou santé,

Ou embonpoint,

Tant et si bien, qu’en fin de journée,

Ne regrettez point,

Loin des autos, loin de pétarades,

Moteurs, motos,

Vous  aurez  silencieuse  balade,

Circuit cyclos.

.

Pour changer de lieux, endroits,

Vélos dans l’auto,

En Bretagne, cent lieux,  je crois,

Ne seront de trop

Pour cinq sens, stimulés cent fois,

Paysages beaux.

.

Seul, c’est bien, en famille, à deux

C’est mieux,

 Roulant sans souci, tracas, on peut

Etre heureux

Ou descendre  au fond des creux,

Faire curieux

Ou monter, à toucher  les cieux,

Faire envieux.

.

Tant que jambes ne flanchent,

Cœur ne calanche,

Allez au bout carte blanche

Chaque dimanche.

Avoir pignon, sur vélo,

Comme sur rue,

C’est à la fois, beau

Et bienvenu.

.

Bougez jeunesse

Bougez fesses

Pour votre

Santé.

V

.

.

Extensions

.

Le vélo n’est pas comme le voilier,

Synonyme de liberté, grand large, aventure.

C’est un moyen de transport ou loisir, parfaitement

Maitrisé, accessible à tous, petits, grands  jusqu’à cent ans.

.

Synonyme de balades le long des routes, chemins, sentiers,

Le plus souvent il est pratiqué en famille, en pleine nature,

Sauf pour les sportifs, et les fous de VTT, qui pratiquent

Des circuits spécialisés pour s’entrainer régulièrement.

.

Et son dérailleur, joint, de nos jours, à un indexeur,

Est devenue la merveilleuse invention technique

Qui donnerait de la force, voire de la souplesse

Pour adapter votre rythme, à votre parcours !

.

Les suspensions de la roue, avant apporteront

Un certain confort dans des terrains accidentés

Mais ne servent à rien sur routes très  bitumées.

.

Le compteur de kilomètres, variation de vitesses,

Consommation d’énergie, seront des aides utiles,

Mais, non indispensables,  quand ce qui compte,

Est avant tout le plaisir plus que la performance.

.

On peut aussi utiliser le vélo pour aller au boulot

Cela se pratique de plus en plus surtout en ville

Où les voitures n’avanceraient guère plus vite

Que transports en commun, mal desservis.

.

Relax, max, accélère et monte à vélo, pour un max,

Et puis si tu veux des sensations : le country cross,

Se plie à tous terrains avec un VTT, à suspensions,

Y a pas de mal à se faire du bien sur tous chemins

Les VTC sont faits pour ça, et pour la route, aussi.

.

Essayer de faire du vélo, sur le plat,

À côté d’un marcheur du dimanche

Vous tiendrez avec peine l’équilibre,

Et pied à terre au moindre faux pas.

.

Cela ne vous empêche pas de prendre

Un vélo pour gagner temps de marche

Car c’est au moins du simple au triple,

Autant d’énergie, en moins, dépensée !

.

Attention car si vos pieds sont autonomes,

Le vélo, lui ne l’est pas, demande entretien.

Un vélo qui crève  ou qui déraille, c’est vous

Qui écopez des ennuis, retard, réparations !

.

.

331 – Calligramme

 .

LE VÉLO

Le vélo c’est comme marcher

En accéléré,

Pour pédaler suffit appuyer léger

Pour démultiplier,

Il vous permet d’aller bien plus loin

En  une  journée.

De muscle respiration, prendra soin,

En une matinée.

.

EST UNE

Sinon, soin de votre ligne,  ou santé,

Ou embonpoint,

Tant et si bien, qu’en fin de journée

Ne regrettez point,

Loin des autos, loin de pétarades,

Moteurs,   motos,

Vous  aurez  silencieuse  balade,

Circuit cyclos.

.

Pour changer de lieux, endroits,

Vélos dans l’auto,

En Bretagne, cent lieux,  je crois,

Ne seront de trop

Pour cinq sens, stimulés cent fois,

Paysages beaux.

 .

MARCHE EN

Seul, c’est bien, en famille, à deux

C’est mieux,

 Roulant sans souci, tracas, on peut

Être heureux

Ou descendre  au fond des creux,

Faire curieux

Ou monter, à toucher  les cieux,

Faire envieux.

 .

ACCÉLÉRÉ

Tant que jambes ne flanchent,

Cœur ne calanche,

Allez au bout carte blanche

Chaque dimanche.

Avoir pignon, sur vélo,

Comme sur rue,

C’est à la fois, beau

Et bienvenu.

Bougez jeunesse

Bougez fesses

Pour votre

Santé.

V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

331 4

.

C’est peut être une simple vis,

Ou c’est peut-être un pendentif,

Ça ressemble plus à une fusée,

Qu’à un vélo, sans aucun doute !

.

A priori, aucun de rapprochement possible

d’une fusée avec un vélo, en cherchant bien

j’en ai trouvé un, spécial, en forme de fusée,

sa forme aérodynamique aura servi au fond

.

 À première vue rien de commun

Avec cette fusée, bien que…

Rien n’empêche d’imaginer un vélo,

Ayant une telle forme !

 .

Symbolique 

 .

Rêve

De fusée

Est un symbole

Que l’on rencontre

Souvent dans des rêves

De garçon, car il représente

L’énergie qui permet de s’élever,

D’aller conquérir de nouveaux horizons.

.

C’est le symbole du courage, de la curiosité,

De l’action, de la rapidité, et de l’efficacité,

De l’ouverture d’esprit  autant que  besoin

De découvrir le monde qui nous entoure.

psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles-de-reve/fusee

.

Descriptif

 .

331 – Le vélo est une marche en accéléré     

Alignement central   /  Titre intercalé  /   Thème  vélo

Forme pointe / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : fusée / Symbole de fond : homme-fusée

.

Fond

.

Évocation 

.

331 6

.

À première vue rien de commun

Avec cette fusée, bien que…

Rien n’empêche d’imaginer un vélo,

Ayant une telle forme !

.

Symbolique 

.

«L’homme-fusée»

Considéré comme mort.

L’Alsacien  François  Gissy,

Qui avait roulé jusqu’à 333 km/h

Allongé sur son vélo-fusée en 2014,

S’est tué, samedi matin, vers 7h55

Lors d’un de ses entraînements

Avec son vélo à moteur

En plaine d’Alsace.

leparisien.fr/faits-divers/haut-rhin-

il-decede-au-guidon-de-son-velo-fusee

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

J’ai déjà vu les coureurs du Tour de France,

Débouler sur le plat…  à cinquante à l’heure

De moyenne, et soixante contre la montre

Soixante-dix à quatre-vingt, en descente

Mais jamais aussi vite que va le TGV.

Faut-il l’appeler : Très Grand Vélo !

.

Il s’est tué  avec son vélo à moteur :

Comble quand même, pas assez vite

Moi quand j’atteins les 40 km/heure

Je me demande s’il faudrait freiner,

Pour bien assurer ma santé, sécurité

 .

.

Moitié marche et moitié vélo

.

Scénario

.

Cool, cool, si tu veux accélérer ton pas : suffit de monter vite sur vélo.

La marche, la course et le vélo : trois activités, rythmes sportifs.

Moitié marche, moitié vélo, en fonction de l’état du terrain !

 .

Visuels et textuels >> 

330 – Petite randonnée… en sous-bois

Visuels et textuels  >> 

.

Étang, ruisseau, marais

Avant de pénétrer  en l’ile,

Fort belle  ballade que voilà

Joli parcours  …. n’est-il pas !

Qui ne rêverait  d’un  sentier,

Aussi abrité et autant varié.

Une promenade de santé :

Fraiche nature, respirer.

.

Il y a tant de choses à contempler

Qu’on ne s’arrêterait pas de s’arrêter

Ici, ou bien là, ou un peu, tout partout,

Pour être sûr de ne rien rater : c’est fou.

.

Lors vous aurez deux heures de temps,

Vous entrerez dans ce grand sous-bois

Trouverez des champignons poussant

À l’ombre des grands  chênes, parfois.

.

Puis vous longerez deux longs étangs

Pleins de poissons et tous, frétillants

Vous apprécierez le calme de ce lieu

Seul,  en pleine  nature,  et heureux

.

Vous suivrez  le cours de ruisseau

Vous le longerez le long d’un pré,

Sur son sol vert bien gorgé d’eau

Foulerez leurs herbes mouillées.

 .

Vous accosterez village fermier,

Où les  maisons sont anciennes

Faites de pierres  et ardoisées,

Avec cour pavée  et en damier.

 .

Traverserez le marais marin,

Où des oiseaux  vont pécher,

Et savourerez endroit divin,

Par soleil couchant, éclairé.

 .

Tout y est : non …  attendez,

J’allais oublier cette humeur

Vagabonde  dont votre cœur

Restera, long temps, attaché.

 .

Enfin… rentrez dans mon ile,

Chocolat chaud, vous attend,

Comme un viatique reposant

D’une ballade  très tranquille.

.

.

Extensions

.

Il arrive que le retour d’une randonnée

Offre un paysage différent de celui de l’aller

Ou des points de vue qu’on n’a pas découverts.

.

Ile Grande, nombre de gens  se disent surpris,

Agréablement, par les différences, et variétés,

De paysages, de panoramas et lumières selon

Qu’ils ont fait le tour dans un sens, et l’autre.

.

Vous me direz, c’est une ile avec mer autour

Et ça, pour le moins, ça ne changera pas !

Eh, détrompez-vous, elle n’est pas même

Là  où  il  y  a  des  rochers  ou  du  sable,

Là où il y a une baie  ou un promontoire,

Là où il y a fort courant, où il n’y en a pas.

.

Et puis du côté terre, c’est encore plus net,

La végétation, la couleur, la morphologie,

Changent sans cesse : sentier des douaniers,

Comme on l’appelle, et qui longe toute la côte,

Fourmille de merveilles, tant naturelles, culturelles

On peut le pratiquer dix fois, vingt fois, sans s’en lasser.

.

Sous-bois est abrité, procure à la fois une atmosphère

De fraîcheur et un imaginaire propice à rêverie, rêveurs

Au printemps, le vert tendre domine et parfume canopée,

En automne, les couleurs flamboient,  charment le regard,

En été, on joue à cache-cache avec le soleil parfois torride

En hiver, on voit tout à travers et on se préserve du froid,

Chaque saison à son attrait ainsi que chaque sous-bois.

.

Disons-le : franchement, avouons-le, directement :

On ne se ballade longtemps pour se faire les pieds,

Bien plus souvent c’est le paysage, qui nous attire

D’autant qu’on ne le connait pas, on le découvre !

.

Quel plaisir de pénétrer, en sous-bois  ombragé,

De marcher sur un tapis de feuilles, desséchées,

Passer sous tunnel d’arbustes qui se rejoignent,

Marcher en chemin creux, à hauteur d’homme.

.

Et puis après, le retour à la lumière, au paysage

Et suivre les pas de ceux qui ont créé ce passage,

En regardant un ciel complice et sans un nuage :

La Nature nous aura donné tout cela en héritage.

.

.

330 – Calligramme 

 .

Étang, ruisseau, marais

Avant de pénétrer  en l’ile,

Fort belle  ballade que voilà

Joli parcours  …. n’est-il pas !

Qui ne rêverait  d’un  sentier,

Aussi abrité et autant varié.

Une promenade de santé :

Fraiche nature, respirer.

.

Il y a tant de choses à contempler

Qu’on ne s’arrêterait pas de s’arrêter

Ici, ou bien là, ou un peu, tout partout,

Pour être sûr de ne rien rater : c’est fou.

.

Lors vous aurez deux heures de temps,

Vous entrerez dans ce grand sous-bois

Trouverez des champignons poussant

À l’ombre des grands  chênes parfois.

Puis  vous longerez  deux longs étangs

Pleins de poissons, *   tous, frétillants ;

Vous apprécierez   P le calme de ce lieu

Seul, en pleine       E nature et heureux

 T

Vous suivrez  le      I  cours de ruisseau

Vous le longerez    T   le long d’un pré,

Sur son sol vert     E  bien gorgé d’eau

Foulerez leurs      * herbes mouillées.

  R

Vous accosterez    A   village fermier,

Où les  maisons    N   sont anciennes

Faites de pierres  D       et ardoisées,

Avec cour pavée    O       et en damier.

   N

Traverserez le           N       marais marin,

Où des oiseaux          É            vont pécher,

Et savourerez             E           endroit divin,

Par soleil cou               *            chant, éclairé.

 S

Tout y est :                    O               non attendez,

J’allais oublier                U                 cette humeur

  Vagabonde                       S                dont votre cœur

  Restera, long                     –                   temps, attaché.

 B

  Enfin, rentrez                      O                       dans mon ile,

    Chocolat chaud,                   I                             vous attend,

       Comme un via                      S                             tique reposant

         De votre ballade  ………………………………………….. très tranquille.

.

.

Forme

Réduction

.

.

 Évocation 

.

330 4

.

La silhouette d’un marcheur

Avançant, tranquillement

Et bien à son rythme

Long chemin ?

 .

Marcher met en exercice le bas du corps

même si le reste y participe grandement

marcher est un réflexe en partie contrôlé

la forme justifiera le parcours du fond !

 .

 En voilà un marcheur qui a l’air de

Bien prendre le temps : 

Petit chemin évoque une randonnée

Et des plus tranquilles.

.

Symbolique 

.

Si les pieds sont autant symbole de liberté,

Ce serait peut-être enfin à cause du lien

Entre  le marcheur  et ses pensées.

Un lien dont étaient convaincus

Des personnages aussi divers

Qu’Aristote, Beatriz   Padovan,

Nietzsche  Jean-Jacques Rousseau.

Cheminez à pieds, petits poucets rêveurs,

Et laissez donc vagabonder vos belles pensées !

.

Descriptif

 

330 – Petite randonnée dans les sous-bois     

Alignement central / Titre courbe   / Thème  rando

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : marcheur  / Symbole de fond : chemin

.

.

Fond

.

Évocation 

.

330 6

.

En voilà un marcheur qui a l’air de

Bien prendre le temps : 

Petit chemin évoque une randonnée

Et des plus tranquilles.

.

Symbolique 

.

Les schèmes symboliques

Qui  manifestent  cette  marche

De l’être humain vers l’inconditionné

Peuvent se décrypter derrière

Expérience spirituelle,

Que celle-ci soit d’ordre esthétique,

Philosophique, gnostique, mystique.

.

Tant le symbole du chemin constitue

L’un des éléments de l’image archétype

Qu’être humain se forme de lui-même.

Il lui révèlerait  l’essence humaine

En tant qu’«être-en-recherche».

universalis.fr/encyclopedie/chemin-symbolisme

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Randonnée suppose un circuit balisé

Mais, parfois, un aller-retour, accepté

Vous procure autant surprise et plaisir,

Voire d’un très bon exercice, pour finir !

.

Combien de fois ai-je fait le tour complet

D’Ile-Grande sans jamais un seul regret.

.

On pourrait croire à certaine lassitude

La craindre mais le paysage change

Très souvent et lors on ne marche

Que rarement même paysage.

 .

.

Sous-bois cachant secret

.

Scénario

.

Entre deux bois, passage à pied d’une rivière.

En automne, dans un sous-bois, tapissé de feuilles.

Au printemps, dans un fourré aux abords d’une clairière.

 .

Visuels et textuels  >> 

329 – Grande randonnée, en sous-bois

Visuels et textuels   >>  

.

Un sous-bois

Fait  toujours

Rêver, marcher;

Un  sous-bois  est  fait  pour

Se cacher :

Un  sous-bois  est,  d’amour,

Opportunité.

.

Un  sous-bois  met  émotions

Aux abois ;

Un   sous-bois  est  protection,

De bon aloi ;

Un  sous-bois  reste  en relations

Bon endroit.

.

Sous-bois serait pour et par Nature

Un vrai trésor ;

Sous-bois est calme, sous-bois est pur

Impression tout dort ;

Un sous-bois est comme épée d’Excalibur

Mystérieux en ses rapports !  

.

Mes pas s’enfoncent, en surface et doucement

En un tapis des feuilles mortes, jonchant le sol,

Venant juste tomber, ces jours derniers, au vent

Dans une dernière arabesque, dansée en sous-sol.

.

Cet humus qui, sans cesse, se renouvelle, et abrite

Centaines d’insectes : combien d’animaux … divers,

Je suis inconscient du poids destructeur de mes pas,

Je suis géant,  au pays des nains  et  réciproquement.

 .

La cime des arbres,  qui accroche les nuages,  sollicite

Ma vue, de leurs chatoiements de couleurs … exfoliées

Tant je sens  leurs odeurs suaves, envelopper mon nez,

Qu’un flot  d’images, en mémoire limbique, me suscite.

.

Quelle chance d’être accompagné  en tous les sous-bois,

Pour partager plein de sensations, vibrations, émotions,

Quelle chance  de se retrouver et au milieu de nulle part

Car nature se ressemble d’Est en Ouest  de toutes parts.

.

Un temps maussade ne produit pas d’effets sur l’esprit,

À peine un brin de blues nostalgie  et ou  de mélancolie

Que, bien vite, cette présence amie chasse… et me ravit,

Adam et Ève n’auraient pas été  chassés de ce paradis ci.

.

.

Extensions

.

Le sous-bois est, souvent, recherché

Pour marcher et autant à cause de

Sa fraicheur que de sa splendeur.

Le soleil est filtré par un voile de

Feuillages, plus ou moins dense,

Si fait qu’il scintille de lumières

Par contraste des zones d’ombre.

.

Quand il pleut, il retient  ou retarde

La tombée des goutes  sur votre tête,

Votre peau, et puis garde  l’humidité,

Si le soleil tape par la suite, très fort.

.

Le sol lui-même exhale des senteurs

D’humus sur tapis feuilles mortes,

En automne, et, parfois, en hiver,

Les oiseaux chantent leurs refrains,

Voire leurs couplets, l’on peut apercevoir

Quelques lapins, renards, faisans ou gibiers.

.

Par contre, il faut savoir se guider car la vue

Porte qu’à une centaine de mètres au plus

Et, les chemins nombreux, mal bornés,

Peuvent vous perdre en pleine forêt.

.

On peut randonner tout seul ou avec un chien,

Mais on peut être à deux ou je ne sais combien,

Essentiel est avancer, régulièrement, sur terrain,

Ne pas se dire, c’est fatiguant, quand  c’est la fin !

Moyennant, le plaisir est, souvent, au rendez-vous.

Il ne faut pas oublier que  l’humain reste un bipède,

Un nomade, ayant besoin de pieds, pour se déplacer.

La pensée se détend et s’exprime mieux en circulant,

Finalement, la marche c’est bon autant pour l’esprit.

.

La meilleure façon de marcher

C’est surement la nôtre

C’est de mettre un pied devant l’autre

Et de recommencer

Extrait, chant scout de Dans la troupe

.

Marche ou crève, me disait-on à l’armée.

Quelle idée d’aller faire service chez paras.

.

Tant que tu peux parler, tu peux marcher :

Restait plus qu’à tomber à terre … inanimé.

.

Voilà deux manières d’envisager une rando,

Je vous dirai pas mot de celle que je préfère.

.

.

Épilogue

.

La marche consiste simplement à mettre

Un pied devant l’autre et à recommencer.

Voilà définition facile, et qui marche bien,

Qui commence à un an, pour ne plus finir.

 

***

 

Et,  tant qu’à se faire plaisir pour marcher,

Autant le faire au bon endroit, en sous-bois

Le sol reste un peu élastique sans être mou,

Plus reposant  pour les pieds, qu’une route !

 

***

 

Puis les paysages sont, souvent, magnifiques

Tunnels de verdure seront plus qu’idylliques,

Lieu vallonné, ciel bleu, soleil, et herbe verte,

Une image carte postale, où  il  fait bon vivre.

 

***

 

On y marche, l’esprit léger,  sans se fatiguer :

On y passe des heures sans se rendre compte

Alors que tout au long chemin,  on se raconte

Des histoires, voire  souvenirs, à se partager !

 

***

 

Sous-bois, parfois sombres, jamais aux abois :

Décidons du sentier à chaque embranchement

Même si, parfois, on s’y perd, on se retrouvera,

Étonné d’avoir trouvé la sortie, et rando : finie.

.

.

329 – Calligramme

 .

Un sous-bois

Fait  toujours

Rêver, marcher;

Un  sous-bois  est  fait  pour

Se cacher :

Un  sous-bois  est,  d’amour,

Opportunité.

.

********************************

**********************************

.

Un  sous-bois  met  émotions

Aux abois ;

Un   sous-bois  est  protection,

De bon aloi ;

Un  sous-bois  reste  en relations

Bon endroit.

 

Sous-bois serait pour et par Nature

Un vrai trésor ;

Sous-bois est calme, sous-bois est pur

Impression tout dort ;

Un sous-bois est comme épée d’Excalibur

Mystérieux en ses rapports !  

 

G  R  A  N  D    E

Mes pas s’enfoncent, en surface et doucement

En un tapis des feuilles mortes, jonchant le sol,

Venant juste tomber, ces jours derniers, au vent

Dans une dernière arabesque, dansée en sous-sol.

 

Cet humus qui, sans cesse, se   R  renouvelle, et abrite

Centaines d’insectes : combien   A  d’animaux … divers,

Je suis inconscient du poids  des  N  tructeur de mes pas,

Je suis géant, au pays des nains     D    et réciproquement.

                       O          

La cime des arbres, qui accroche     N     les nuages, sollicite

Ma vue, de leurs chatoiements de     É     couleurs … exfoliées

Tant je sens leurs odeurs suaves         E     envelopper mon nez,

Qu’un flot d’images en mémoire          *      limbique me suscite.

                       *           

Quelle chance d’être accompagné          S     dans tous les sous-bois,

Pour partager plein de sensations          O       de vibrations, émotions,

Quelle chance  de se retrouver                U        et au milieu de nulle part

Car nature se ressemble d’Est                S           en Ouest  de toutes parts.

        –

Le temps maussade ne                         B                produit d’effet sur l’esprit,

À peine un brin de blues                    O                    nostalgie et/ou mélancolie

Que bien vite cette présence            I                          amie chasse… et me ravit,

Adam et Ève n’auraient pas été     S                               chassés  de  ce paradis ci.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation  

.

329 4

.

Une silhouette d’homme,

En  train  de  marcher

Et même rapidement

  Avec carte, chrono.

 .

Marcher met en exercice le bas du corps

même si le reste y participe grandement

marcher est un réflexe en partie contrôlé

la forme justifiera le parcours du fond !

.

Diverses façons de marcher existent,

 Lente, moyenne, rapide :

Voici des marcheurs allongeant le pas

 De façon rapide, sportive.

 .

Symbolique

 .

Les pieds sont notre base.

La base de notre … posture,

De notre stature en verticalité

De notre ancrage dans la Terre.

.

Et ils servent  à notre déplacement.

Avant l’agriculture  durant néolithique

Sédentarisation, l’homme est  un nomade,

Marchait quotidiennement longue distance.

.

Les  pieds  permettent  la marche et sa manière

La plus rapide : la course. Que ce soit en catimini

Ou à toute allure, lors les pieds permettent de fuir.

Ils nous permettent aussi, de sauter et de grimper.

leguano.fr/blog/pieds-symbole-de-liberté/2016/09

.

.

Fond

.

Évocation 

.

329 6

.

Diverses façons de marcher existent,

 Lente, moyenne, rapide :

Voici des marcheurs allongeant le pas

 De façon rapide, sportive.

.

Symbolique de fond

.

Les pieds sont notre base.

La base  de notre posture,

De  notre  verticalité  et  de

Notre ancrage dans la Terre.

Ils servent à notre déplacement.

.

Avant  l’agriculture  au  néolithique

Et la sédentarisation, l’homme était nomade.

Il marchait quotidiennement de longues distances.

.

Les pieds permettent la marche et sa façon la plus rapide

La course, et que ce soit en catimini  ou à toute allure,  les pieds

Permettent de fuir, nous permettent aussi, de sauter et grimper. 

leguano.fr/blog/pieds-symbole-de-liberte/2016/09

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

.

Le poids n’aiderait pas à marcher, vite et longtemps

les champions ont des muscles longilignes, densifiés :

à quoi d’autre servent les pieds sinon courir, sauter, nager,

et je n’oublierai pas à danser et sur la pointe des pieds !

.

J’ai souvent été surpris par réserve d’énergie des enfants

ils se disent fatigués, faut les porter, ils courent à l’arrivée

je suis peut-être un peu vieux, lors je récupère moins vite

j’aimerais être encore comme eux, me dépenser pour rien

me dépenser uniquement, pour marcher, me fait du bien.

  .

.

Bois, sous-bois, protecteurs

.

Scénario

.

Au tout départ de notre rando, nous n’étions guère que deux,

puis nous en avons rattrapé quatre autres, dans la forêt,

pour finir notre belle randonnée à une quarantaine !

 .

Visuels et textuels   >>

328 – La marche est un sport non violent

Visuels et textuels  >>  

.

C’est une vraie

Chance que d’avoir

Un pied   …  deux pieds,

Des pointes  et   des talons.

 .

Et, sans cesse, recommencer,

À réussir pas courts et longs,

Marcher, luxe d handicapé

Alors même que valide

N’en aura jamais cure !

.

Marcher il suffirait pour perdre

Des kilos en trop, et bien attachés,

La marche  est un sport  non violent,

Et, épanouissant, le  marcheur, rend.

.

Marcher parait commun voire anodin

En tous cas,  pour un honnête  citadin,

Qui ira, de ses commerces, et bureaux,

Faire ses courses, démarches au…trot.

.

Marcher sur place, planter  ses talons,

Fatigue plus  que  d’allonger  ses pieds,

Même grimper  de très longs  escaliers,

Son rythme  s’accorde à sa respiration.

.

Marcher, pour faire  bonne  randonnée,

Pendant  trois  à six heures sans pauses,

Est le sport non violent à recommander,

Lors santé et endurance  se superposent.

.

Marcher laissera  son esprit  vagabonder

Car chaque pas  fournit  un ersatz d’idée,

Les souvenirs  s’impriment  par les pieds,

Et, la fatigue physique garantit sa nuitée.

.

Marcher,  seul, en compagnie, en groupe :

Trois déclinaisons, plaisirs, même activité,

Démarche, assurée, régulière,  chaloupée :

Le choix sera différent, selon vos affinités.

.

.

Extensions

.

La marche comme en plaine

N’est pas la marche en montagne,

N’est pas non plus la marche en désert,

Lors n’est pas la marche sur des rochers,

Chaque marche  a ses propres  contraintes

Qu’il faut savoir préparer, exécuter, négocier.

.

Marche en montagne avec sac à dos de dix kilos

Vous fait peur, sachez que ce n’est le plus souvent

Qu’une question de souffle, de rythme et de lenteur.

.

Une fois arrivé, au sommet, ou quel qu’autre hauteur,

Vous êtes récompensez  par le paysage qui s’offre à vous

Et par le bénéfique acquis pour votre santé et votre moral.

.

La marche, tout comme le vélo, autres activités de plein air,

Agit sur le moral en dépensant l’énergie, négative, du stress

Accumulé et la remplace par une autre, bien plus positive

Qui vous redonne confiance en vous, autres, en l’avenir.

.

Par contre, de marcher, ne vous fera pas maigrir

Mais vous donnera du muscle, et du tonus,

Pour mieux suivre votre bon régime

Et remplacer vos kilos de graisse

Par des kilos de muscle.

.

Façons de marcher, y en a plusieurs ;

Des chaussures de marches : plusieurs ;

Des surfaces, aspérités de sols : plusieurs ;

Des conditions météo randonnée : plusieurs.

L’on ne marcherait pas, qu’avec ses deux pieds,

Avec ses chevilles, genoux, hanches, dos, cou, tête

C’est la posture en mouvement qui se place, déplace

Normalement, on ne doit pas forcer d’un côté, l’autre :

Apprendre à marcher droit n’est pas réservé qu’au soldat.

.

Marcher, les poulains le feront dès leur naissance

Tout comme bon nombre d’animaux mammifères

Le bébé, lui prendra un an ou presque, sinon plus,

Pour affirmer, confirmer autonomie déplacement.

.

Mais après cela, fini le quatre, voire le trois pattes,

Il ne cesser de marcher jusqu’à mort, sauf accident

Il  y a même une compétition olympique, de 10 Km

À une vitesse,  variable, autour de 15 Km à l’heure !

.

Un sport  non violent, avez-vous dit ! Pas toujours !

15 km c’est violent alors que moyenne est de 5 ou 6.

La marche nordique  est intermédiaire : entre 8/9.

Il m’arrive de me faire violence, fin de randonnée.

.

.

328 – Calligramme  

 .

C’est une vraie

Chance que d’avoir

Un pied   …  deux pieds,

Des pointes  et   des talons.

Et, sans cesse, recommencer,

À réussir pas courts et longs,

Marcher, luxe d handicapé

Alors même que valide

 N’en aura jamais cure !

 .

L A     M  A R C H E     E S T

Marcher il suffirait pour perdre

Des kilos, en trop, et bien attachés,

La marche  est un sport  non violent,

Et, épanouissant, le  marcheur, rend.

.

Marcher parait commun voire anodin

En tous cas,  pour un honnête  citadin,

Qui ira, de ses commerces, et bureaux,

Faire ses courses, démarches au…trot.

.

U N    S P O R T    L E N T

Marcher sur place, planter  ses talons,

Fatigue plus  que  d’allonger  ses pieds,

Même grimper  de très longs  escaliers,

Son rythme  s’accorde à sa respiration.

.

Marcher, pour faire  bonne  randonnée,

Pendant  trois  à six heures sans pauses,

Est le sport non violent à recommander,

Lors santé et endurance  se superposent.

.

M  A  I   S       N O N     V I O L E N  T  

Marcher laissera son esprit vagabonder

Car chaque pas  fournit  un ersatz d’idée,

Les souvenirs  s’impriment  par les pieds,

Et, la fatigue physique garantit sa nuitée.

.

Marcher,  seul, en compagnie, en groupe :

Trois déclinaisons, plaisirs, même activité,

Démarche, assurée, régulière,  chaloupée :

Le choix sera différent, selon vos affinités.

.

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation 

.

328 4

.

Un piédestal pour trophée

Ou borne pour information

Si  ce  n’est  pas  un  pied,

Silhouette qui marche.

 .

Un pied, c’est fait pour se tenir debout,

mais tout autant pour marcher et courir

il y en a même qui y prennent leur pied :

forme et fond, sens propre, sens figuré !

.

L’équilibre et le mouvement

Sont deux maitres mots du pied 

Il suffit, d’y croire, de se lancer,

De marcher un tant soit peu !

 .

Symbolique 

 

Le pied permet de se déplacer.

En outre, c’est lui qui porte le corps.

Symbolise mouvement, impulsion, liberté,

Provoque impulsion permettant d’avancer.

.

Mais le pied permet, également, de bloquer

Ses appuis et de camper sur ses positions.

.

Ainsi, le pied  symbolisera nos attitudes

Est autant représentation symbolique

De tous nos appuis…relationnels,

Et donc du rapport au monde.

Source : 1001symboles.net/

symbole/sens-de-pied.

.

Descriptif

.

328 – La marche : sport lent, non violent  

Alignement central / Titre intercalé / Thème  rando

Forme anthropo  / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : pied  / Symbole de fond : marcher

.

.

Fond

.

Évocation 

.

328 6

.

L’équilibre et le mouvement

Sont deux maitres mots du pied 

Il suffit, d’y croire, de se lancer,

De marcher un tant soit peu !

.

Symbolique 

.

La marche est un exercice physique

Très complet  et  un temps  très  propice

Pour délier sa pensée, rêver, se ressourcer.

.

Elle participe d’un éveil sensoriel au monde,

Les odeurs, les bruits, la lumière, les couleurs

Et d’un retour à l’essentiel qui  permet de se

Désencombrer, de s’alléger de surcharges

Inutiles  afin  de reprendre  son souffle.

.

Il y a une sorte de douceur et d’équilibre

Dans la marche, on peut avancer longtemps

Sans fatigue par tous temps, toutes saisons

Et à chacun son rythme, son endurance.

cairn.info/revue-etudes-2010-11-page-519

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il y a plusieurs façons de marcher,

On ne marche pas qu’avec les pieds,

Avec  les genoux, les hanches, le dos,

Sans compter la tête, mental autant.

Marche ou crève, dit-on, à l’armée :

Mourir par les pieds  sera exagéré.

Toute marche est un déplacement

Petit mouvement de sa liberté

Et  exercice de bonne santé

Sans compter un sport.

 .

.

Marche nordique, sport en soi

.

Scénario

.

Mettre un pied devant l’autre et recommencer,

tout en s’aidant, pour aller  plus vite et bien : de bâtons

 ou en marchant en l’eau de mer, comme le font les «longe-côtes».

 .

Visuels et textuels  >>  

327 – Le vélo, art d’équilibre lors mouvements

Visuels et textuels >> 

.

Équilibre, direction,

Faut   un peu, avancer,

Sinon chute, vite, à terre,

Se trouver sens-sus-dessous,

Écorché, parfois bleui…blessé.

Les enfants savent cette chose,

Mettant  un point  d’honneur

.

Équilibrer satanée monture

Les  renversant  souvent.

En  vraie   déconfiture,

Et devant les parents,

Si ce n’est, les copains,

C’est dire monde entier.

.

Au-delà d’enfants ou amateurs de vélos

Du dimanche que ce soit en famille, club,

Il y a sportifs, dont certains de haut niveau

Vous laissent  sur place, lors en plein effort.

On dirait que, pour eux, toutes  les montées

.

S’équilibrent à être, sur du plat, pour vous,

Mieux, ils peuvent pédaler toute la journée,

Sans descendre, vous, au bout  d’une heure,

Fatigué et éreinté : tout prêt à abandonner.

.

Équilibre, on le pratique de diverses façons,

En faisant des figures, de cirque ou de VTT.

Autres sports, chutes peuvent être mortelles,

Si un seul saut, complètement raté : danger !

.

Équilibre est très différent, en cyclotourisme

Avec deux sacoches derrière, plus une devant

Et, sans compter, parfois, un lourd sac à dos,

Qui vous  déporte, en virages, dans les fossés.

.

Équilibre instable, lors on perd  de la vitesse,

Jusqu’au point de faire presque du sur place,

Mais, ce dernier demeure tout à fait possible,

Si vous disposez d’un vélo avec un pignon fixe

Permettant de tenir sur une roue, de reculer !

.

Toutefois, après vingt ans

D’absence, de non-pratique,

Il vous suffira …  simplement,

De remonter hardiment dessus

Pour que ça redevienne nature.

Peut-être, un château branlant

Au départ, mais, vite réassuré

Tout aussi vite, rééquilibré.

.

.

Extensions

.

J’ai connu des  jeunes femmes,

Adultes d’une trentaine d’années

Qui n’avait auparavant fait de vélo,

Jusqu’à être incapable  de démarrer,

Par manque de coordination, vitesse.

.

Vélo devient lors similaire à la nage,

Monter sur une pédale, pédaler,

Maintenir le guidon droit,

Changer de vitesse, freiner,

Descendre, et faire un écart

Brusque pour éviter un obstacle.

.

Tout cela parait simple, et facile,

Mais pose un énorme problème

À qui ne l’aura pas appris,

Étant encore enfant.

.

Apprendre à faire du vélo est synonyme de défi et liberté

Pour le jeune enfant et qui, des fois, en paie bien son prix,

Mais ce n’est pas comme la natation : ici, pas de moniteur,

C’est le père qui, souvent s’y colle, la mère a bien trop peur

Quand il a compris, a réussi, le vélo, c’est parti pour la vie

Les ados ne s’en privent pas de faire des tas de cabrioles,

Sans compter filles, parlant en pédalant, mains-libres.

.

Le vélo ne défiera pas les lois de l’équilibre,

Bien au contraire, il les applique en vitesse.

.

Faire du vélo sur place restera possible avec

Un pédalier fixe et appui avant puis arrière.

.

Après, il y en a qui s’amuse à lever le guidon

Rouler sur seul pneu arrière : faire attention

.

J’en ai vu s’asseoir sur guidon, porte bagage

Et même se retourner et pédaler… en arrière

.

Pour finir, il y a les champions qui sauteront

Bien des obstacles, sont taxés d’acrobatiques.

.

Moi, je me contente de me la jouer classique,

J’ai pris des gamelles, pas envie d’en rajouter.

.

.

327 – Calligramme

 .

Équilibre, direction,

Faut   un peu, avancer,

Sinon chute, vite, à terre,

Se trouver sens-sus-dessous,

Écorché, parfois bleui…blessé.

Les enfants savent cette chose,

Mettant  un point  d’honneur

.

Équilibrer satanée monture

Les  renversant  souvent.

En  vraie   déconfiture,

Et devant les parents,

Si ce n’est, les copains,

C’est dire monde entier.

VÉLO :

Au-delà d’enfants ou amateurs de vélos

Du dimanche que ce soit en famille, club,

Il y a sportifs, dont certains de haut niveau

Vous laissent  sur place, lors en plein effort.

On dirait que, pour eux, toutes  les montées

ART

S’équilibrent à être, sur du plat, pour vous,

Mieux, ils peuvent pédaler toute la journée,

Sans descendre, vous, au bout  d’une heure,

Fatigué et éreinté : tout prêt à abandonner.

D’ÉQUILIBRE

Équilibre, on le pratique de diverses façons,

En faisant des figures, de cirque ou de VTT.

Autres sports, chutes peuvent être mortelles,

Si un seul saut, complètement raté : danger !

EN

Équilibre est très différent, en cyclotourisme

Avec deux sacoches derrière, plus une devant

Et, sans compter, parfois, un lourd sac à dos,

Qui vous  déporte, en virages, dans les fossés.

MOUVEMENT

Équilibre instable, lors on perd  de la vitesse,

Jusqu’au point de faire presque du sur place,

Mais, ce dernier demeure tout à fait possible,

Si vous disposez d’un vélo avec un pignon fixe

Permettant de tenir sur une roue, de reculer !

.

Toutefois, après vingt ans

D’absence, de non-pratique,

Il vous suffira …  simplement,

De remonter hardiment dessus

Pour que ça redevienne nature.

Peut-être, un château branlant

Au départ, mais, vite réassuré

Tout aussi vite, rééquilibré.

.

.

Symboliques

.

.

Évocation 

.

327 4

.

Un moulin à poivre ou à sel,

Figure de fantôme nocturne,

Un jeune enfant, de cinq ans,

Apprenant à faire du vélo !

 

Enfant de cinq ans, qui apprend

À faire du vélo avec des roulettes

C’est touchant mais, hélas, quand

Il se retourne, parfois, patatras.

 .

Symbolique 

 .

L’apprentissage du vélo

Est une étape… stimulante

Pour l’enfant, tant sur le plan

Moteur que sur le plan affectif.

.

En effet, à vélo, l’enfant développe

Non seulement une nouvelle forme

D’autonomie dans ses déplacements,

Mais aussi un grand sentiment de

Compétence, confiance en corps.

.

Le tricycle, le vélo tiré avec une

Barre girafe, le vélo avec roues

D’appoint et l’utilisation du vélo

Avec un but, par exemple pour

Aller au parc, sont tous des outils

Nourrissant l’intérêt pour le vélo.

educatout.com/edu-conseils/ergotherapie

/l-apprentissage-du-velo.htm

.

Descriptif

.

327 – Vélo : art d’équilibre en mouvement

Alignement central   /  Titre absent   /   Thème  vélo

Forme anthropo  / Rimes libres / Fond accordé à forme

Symbole de forme : enfant  / Symbole de fond : faire du vélo

.

.

Fond

.

Évocation

.

327 6

.

Enfant de cinq ans, qui apprend

À faire du vélo avec des roulettes

C’est touchant mais, hélas, quand

Il se retourne, parfois, patatras.

 .

Symbolique 

 .

La draisienne

Est le meilleur apprentissage,

Puisqu’il  apprend   à  l’enfant

 L’équilibre par le mouvement,

Et  lui évitera  d’avoir recours

Par la suite, aux petites roues.

.

C’est, en tous cas, la  méthode

Que j’ai utilisée pour mon fils

Qui est passé directement

De la draisienne

À son vélo sans nécessité

De petites roues

À l’âge de 3 ans.

matosvelo.fr/index.php?post/

apprendre-a-faire-du-vélo

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Après à faire du vélo est un rêve d’enfant

Que tous, peu à peu, à réaliser, parvenant:

Certains difficilement, autres, naturellement,

Qui fait la joie des parents autant qu’enfants !

.

Rappelle-toi quand on t’a lâché, soudainement,

Tu t’en es pas aperçu, et tu fonçais droit devant.

Après quelques buches par ci par là, sans danger

Tu as appris à faire face à  nombreuses embuches.

 .

.

L’équilibre est donnée quotidienne

.

Scénario

.

Sur trois roues, c’est beaucoup plus stable,

sur deux, ça l’est moins, c’est plus que certain,

mais bien plus scabreux encore… sans les mains.

 .

Visuels et textuels >>

326 – Trois jours en vélo, plein cœur, Morbihan

Visuels et textuels  >>

Traverser le Morbihan,

De Pontivy jusqu’à Baud,

Puis de Mauron, à Ploërmel,

Josselin à Rohan, est excitant.

.

De même, pédaler, sans compter,

Le long de rivières, puis de canaux,

Sur les sentiers grandes randonnées,

C’est carrément des plus hallucinants.

.

Quant à découvrir une vraie…voie verte,

Réalisée, sur tracé d’ancienne voie ferrée,

C’est réjouissant et presque époustouflant.

.

Quarante, soixante kilomètres, par journée :

Font aller-retours, ou étapes sans encombre,

Entre des bourgs, qui se révèlent  attachants.

.

Quant  à la voie verte, traversant la Bretagne,

De Roscoff  à Nantes elle porte bien son nom

Arbres de chaque côté, la campagne, autour,

Avec paysages, vallonnés, colorés, épatants.

.

Quant à faire du vélo à deux et côte à côte,

C’est bien plus sympathique, romantique

Que seul, amateur, sportif, s’entrainant

Pédaler à son rythme, permet deviser

Sur la beauté  du paysage, traversé,

Lors on prend le temps d’admirer.

.

Faire un arrêt pour se reposer

Faire sieste, après déjeuner

Regarder, nuages, passer.

Faire du vélo, est exercice,

Qui peut s’avérer très sportif

Dans l’effort violent, soutenu,

.

Si ce n’est extrême et alors risqué,

Mais ludique en sorties, en familles,

Mais festif, en randonnées en groupes.

Dormir est possible en gite à la campagne

Comme manger aussi à la table d’une ferme,

Afin de se mettre en contact direct de l’habitant.

.

.

Extensions

.

C’est en fait un état d’esprit

Avant d’être un défi… sportif.

Ne portant de lourdes charges,

Il faut prendre le minimum vital.

.

Nul besoin d’autre qu’un bidon d’eau

Pour les trois ou quatre heures… de vélo

Il existe un bon nombre de circuits fléchés

Qui empruntent des petits routes vicinales,

Des chemins d’exploitations agricoles, etc.

.

Pour éviter les voitures qui vous frôlent

Ou les camions à vous déséquilibrer.

Bien des voies vertes se multiplient

Depuis bonne vingtaine d’années

Et constituent une alternative intéressante

Même si elles fonctionnent peu en circuit fermé.

.

Ce qui oblige de faire le retour ou positionner

Une voiture de transport à l’arrivée.

Nous est arrivé d’emporter pic-nic

Pour le midi en un panier posé

Sur guidon ou porte bagages.

.

Bords de mer, bords de rivières, chemin halage de canaux

Sont des chemins  cyclotourisme, de loin, les plus fréquentés,

Mais il ne faudra pas négliger les chemins perdus en campagne

Qui recèlent, et qui révèlent, leurs forêts aux attraits mystérieux

Sans parler lacets en montagne, qui nous rapprochent des cieux.

En Bretagne, et, comme chacun le sait, la bicyclette  est la reine :

Ça monte, ça descend tout le temps, c’est ce qui fait son charme.

À une  cinquantaine de kilomètres par manque d’entrainement

Vous commencez à ralentir, vous arrêter, voire rendre armes.

.

Voilà que je fais ici l’article pour la Bretagne :

Terre de vélo, s’il en est, alors … pourquoi pas !

.

Voilà bien région qu’on peut parcourir, à vélo,

En long en large et en travers, sans monotonie

.

On est loin plaines  Beauce, Flandre, Hollande :

Ici c’est sûr, ça monte et descend tout le temps.

.

Il y a vingt circuits dont des canaux, voies vertes

Ou faire le tour de la Bretagne  avec les coureurs.

.

Son identité forte, son authenticité, et sa culture,

Séduisent : 1700 kilomètres de plages et de  côtes

Escarpées, nombreux paysages à couper le souffle,

Accueil, gastronomie, ambiance, qui feront plaisir.

.

.

326 – Calligramme

 .

Traverser le Morbihan,

De Pontivy jusqu’à Baud,

Puis de Mauron, à Ploërmel,

Josselin à Rohan, est excitant.

.

TROIS

De même, pédaler, sans compter,

Le long de rivières, puis de canaux,

Sur les sentiers grandes randonnées,

C’est carrément des plus hallucinants.

Quant à découvrir une vraie…voie verte,

Réalisée, sur tracé d’ancienne voie ferrée,

C’est réjouissant et presque époustouflant.

.

JOURS DE VÉLO,

Quarante, soixante kilomètres, par journée :

Font aller-retours, ou étapes sans encombre,

Entre des bourgs, qui se révèlent  attachants.

Quant  à la voie verte, traversant la Bretagne,

De Roscoff  à Nantes elle porte bien son nom

Arbres de chaque côté, la campagne, autour,

Avec paysages, vallonnés, colorés, épatants.

.

PLEIN CŒUR

Quant à faire du vélo à deux et côte à côte,

C’est bien plus sympathique, romantique

Que seul, amateur, sportif, s’entrainant

Pédaler à son rythme, permet deviser

Sur la beauté  du paysage, traversé,

Lors on prend le temps d’admirer.

Faire un arrêt pour se reposer

Faire sieste, après déjeuner

Regarder, nuages, passer.

Faire du vélo, est exercice,

Qui peut s’avérer très sportif

Dans l’effort violent, soutenu.

.

DU MORBIHAN   

Si ce n’est extrême et alors risqué,

Mais ludique en sorties, en familles,

Mais festif, en randonnées en groupes.

Dormir est possible en gite à la campagne

Comme manger aussi à la table d’une ferme,

Afin de se mettre en contact direct de l’habitant.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

326 4

.

Une quille pour un bowling

Ou un pion pour un échiquier,

Pourquoi pas lampe ambiance 

Et voire un éclairage de secours.

.

Lampe et éclairage sont nécessaires en vélo

la nuit peut vous surprendre, sur route, danger,

d’autant elles sont légères, puissantes, longue durée,

tant et si bien si ce n’est parcourt, fond/ forme concoure

.

Lampe n’a rien à voir avec vélo

Même s’il  s’agit d’une voie verte

Mais  vélo demande éclairage

Et de toutes sortes de lampes.

  .

Symbolique

 .

Le symbolisme de la lampe

Dont l’huile brûle Éros est double.

Tant  chez Grimm, la lumière  seule

Chassera l’amant caché de l’héroïne.

.

La lumière, et  dans tous les contextes

Mythologiques, symbolise conscience.

.

La lumière d’une lampe représente

Particulièrement le conscient

Qui est entre les mains

Et sous le contrôle de l’être humain,

Par contraste avec la lumière du soleil,

De nature divine et cosmique.

.

Descriptif

.

326 – Trois jours de vélo, cœur Morbihan   

Alignement central   /  Titre absent   /   Thème  vélo

Forme anthropo / Rimes libres /Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe / Symbole de fond : éclairage

.

.

Fond

.

Évocation 

.

326 6

.

Lampe n’a rien à voir avec vélo

Même s’il  s’agit d’une voie verte

Mais  vélo demande éclairage

Et de toutes sortes de lampes.

 .

Symbolique 

 .

La signalisation des cycles

Est une problématique cruciale

En termes de sécurité et d’utilisation.

.

Ces dernières années, l’évolution des

Batteries au lithium et des LED

Ont permis d’avoir un éclairage

Avant et arrière puissant qui

Permet de bien voir la route

Et non seulement d’être vu.

.

Le marché proposerait de nombreux

Éclairages  avec  différentes  puissances,

Des intensités lumineuses et des éclairements

Irréalistes ou fallacieux avec pour but de vendre

 Et de mieux se démarquer de la concurrence.

eduscol.education.fr/sti/sites/eduscol.

education.fr.sti/files/ressources/techniques

.

.

Corrélations

.

Fond/forme 

 .

Un périple de plusieurs jours en vélo

Ça  ne s’improvise pas, ça s’organise.

Il y en a portant tous leurs bagages,

Mais ça ralentit un max et fatigue.

Je ne suis ni champion ni lumière

Mais, mon côté  sportif, préfère

Profiter à fond du tout terrain.

 .

.

Pour tous vélos !

.

Scénario

.

En bord de mer et de rivière,

dans les dunes et les sentiers herbeux,

le long du chemin de halage, bordé d’arbres.

 .

Visuels et textuels  >>

.

325 – Faire du cyclotourisme, loisirs et découvertes

Visuels et textuels  >>  

  .

La randonnée cyclotouriste

Est plaisante à part entière.

Tant la civilisation des loisirs

Jointe à celle  du temps libre,

Et du tourisme par la nature,

Encourage  toute réalisation

Voies bleues, rouges, vertes.

En pratiques randonneurs

Et vélocyclistes amateurs.

.

Attraits supplémentaires

Pour visiter et séjourner,

En Bretagne, intérieure,

Tonique par tous temps.

.

En  Bretagne,  il  y a  des

Richesses architecturales

Chapelles, manoirs, châteaux

Sans parler de cités de caractère

Ni de tous trésors naturels qu’offre

La nature sauvage, voire sauvegardée

Forêts, cours d’eau, lacs, vallées, monts,

Qu’on pourrait lui consacrer  l’été entier.

.

Il est vrai : temps variable, avec éclaircies

Participe du risque à  courir  certains jours

Ce ne sont pas  ces  quelques  gouttes  d’eau

Qui font fondre envie irrésistible, chevaucher

La campagne à travers champ, cultures, prés.

.

À mi-mai, le temps est encore frais et frisquet

On se protège, du froid, avec une petite laine,

Du vent et de la pluie,  avec un très bon ciré,

De coup de blues  ou  spleen  avec un calva.

.

Alors  qu’on  pédale, droit, et  sur  le  plat,

Et  bien plus penché, dans  les descentes,

Plus  rond, en  côtes, les  reins  prennent

Les genoux trainent, les pieds  freinent.

.

Long de cours d’eau, maisons éclusier,

Rythment tous les chemins de halage,

Qui n’ont vus de péniche marchande

Depuis un siècle de Nantes à Brest,

De même anciennes voies ferrées.

.

Les maisons  gardes-barrières

Entre les gares désaffectées,

Témoins  autres activités,

Aujourd’hui, dépassées.

.

Que ce soit en groupes,

En famille, ou en couple.

La majorité  des touristes,

Tant  français, qu’étrangers,

Se massent sur parcours côtier.

.

.

Extensions

.

Cyclisme

Et cyclotourisme

Vont de pair,  même

Quand il pleut et que tout

Va de travers avec le vent de face

Ou de côté. Traverser la Bretagne à vélo

Ou en faire le tour, n’est pas un pari stupide,

N’est pas du infaisable, pour peu d’avoir du temps

Devant soi et des muscles aux mollets et enthousiasme.

 .

Une sacrée ballade en cyclotouriste tout de même,

Quelques petites routes, et des arrêts, découvertes,

 Des chemins de diverses natures, conforts, dangers,

Pour pédaler côte à côte et de concert en se parlant,

Ou l’un derrière l’autre, et en passant  tantôt devant.

Au bout de la journée, ça nous a fait un bien extrême.

En Bretagne en France, Europe, ce ne sont pas les tours

Qui feront défaut, avec, chacun, leurs charmes et atours.

.

On trouve sur Internet, foule de conseils

Pour s’équiper en vue du cyclotourisme :

 .

Choix du bon, meilleur vélo tout d’abord :

Plus votre voyage, long, plus serez chargé.

 .

Type de sacoches : sac à dos, mauvais idée

Une devant et deux, derrière, mais légères !

 .

Parcours sont siglés de flèche avec 2 cercles:

Jaune, local ; rouge «Grande Traversée VTT»

 .

Je n’en dirai pas plus, je me suis documenté, ici,

Auprès du site officiel de la Fédération Française

De Cyclotourisme, qui est bien fait et bien avisé :

Faites en autant, ce ne sera  pas du temps gâché.

.

.

325 – Calligramme

 .

                                      La randonnée cyclotouriste

                                     Est plaisante à part entière.

                                     Tant la civilisation des loisirs

                                   Jointe à celle  du temps libre,

                                 Et du tourisme, par la nature,

                          Encourage toute réalisation

                        Voies bleues, rouges, vertes.

                 En pratiques randonneurs

             Et vélocyclistes amateurs.

        Attraits supplémentaires

     Pour visiter et séjourner,

 En Bretagne, intérieure,

 Tonique par tous temps…

                   En Bretagne,  il y a des……………………..

 Richesses architecturales…….

                 Chapelles, manoirs, châteaux……………….

Sans parler cités de caractère….

              De trésors naturels qu’offre ……………………

La nature, sauvage, sauvegardée…..

       Forêts, cours d’eau, lacs, vallées, monts,…

  Qu’on pourrait lui consacrer été entier….

Il est vrai temps variable avec éclaircie……

Participe du risque à  courir  certains jours…

   Ce ne sont pas  ces quel    C   ques gouttes d’eau…

    Qui font fondre l’envie ir    Y     résistible  chevaucher

  La campagne, à travers    C   champs, cultures, prés,

À mi-mai, le temps est     L   encore frais et frisquet

On se protège, du froid,   O      avec une petite laine,

Du vent et de la pluie,     T     avec un très bon ciré,

De coup de blues, ou      O    spleen, avec un calva.

 Alors qu’on pédale,        U       droit, et sur le plat,

Et bien plus penché,      R      dans les descentes,

Plus rond, en  côtes,      I       les reins prennent

Les genoux trainent,     S     les pieds freinent.

  Long de, cours d’eau,    M     maisons éclusiers

Rythment tous les che   E       mins de halage

Qui n’ont vus de péni     *       che marchande

Depuis un siècle de        R      Nantes à Brest,

De même anciennes      A          voies ferrées.

Les maisons de gar       N          des-barrières

Entre deux gares          D            désaffectées,

Témoins d’au                O            tres activités

Aujourd’hui                   *                 dépassées.

  Que ce soit                    D                en groupes,

     En famille,                    É                ou en couple.

      La majorité                   C                 des touristes,

       Tant français,               O                 qu’étrangers,

        Se massent par*****   U   ******** cours côtier.

      V

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

325 4

.

Une forme d’ours debout,

ou fourchette a deux dents

Un cyclotouriste enfant,

Publicité pour bicyclette ?

.

Un jeune en cyclotourisme

Un futur adepte   du cyclocross

Et dont le grand père se déplaçait

Toujours  avec sa  vieille  bicyclette.

 .

Symbolique 

.

Vélo tandem :

À deux places

Deux pédaliers

Est  volontiers

Associé imaginaire collectif

Aux premiers congés payés.

Bien que rares, aujourd’hui,

A encore  de fervents adeptes

Parmi   les   cyclotouristes.

.

Il est symbole  du couple  uni

Dans  l’effort  d’économiser

Ses forces  contre  le  vent

Frottements de la route

En proximité propice

À la conversation.

.

Il permet de faire découvrir

À une personne plus faible

Ou moins assurée les joies

De la randonnée cycliste.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

325 – Cyclotourisme : rando découverte

Alignement central   /  Titre droit   /   Thème  vélo

Forme anthropo  /  Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : cyclotourisme / Symbole de fond : bicyclette

.

.

Fond

.

Évocation 

.

325 6

.

Un jeune en cyclotourisme

Un futur adepte   du cyclocross

Et dont le grand père se déplaçait

Toujours avec sa vieille bicyclette.

.

Symbolique de fond

.

La bicyclette apparaît

Dans nombre rêves modernes.

Elle évoque trois caractéristiques.

.

1) Moyen de transport mu par

La personne qui la monte.

2) l’équilibre n’est assuré que

Par le mouvement en avant.

3) Une  seule personne à la fois

Peut l’enfourcher, cavalier seul.

.

Le rêveur enfourche son inconscient

Se porte en avant par ses propres moyens,

Au lieu de perdre les pédales par stagnation.

Il peut compter sur lui-même et prendre

Son indépendance, sa personnalité,

Qui lui sont propres.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Le cyclotourisme a bien des vertus,

Tant vrai, qu’à vélo, on va, partout,

Sur des chemins caillouteux, pentus,

On s’aventure, pédale, on risque tout,

En couple, c’est bien en famille, mieux,

On partage les découvertes, sensations

Il y en a et  pour les jeunes, et les vieux,

On ne s’en lasse pas, si on en a passion.

 .

Scénario

.

On part à fond,

On découvre la région

Attention cailloux : crevaison !

.

.

Un futur pilote de formule 1

.

Scénario

.

On part à fond,

On découvre la région

Attention cailloux : crevaison !

.

Visuels et textuels  >>  

324 – Le vélo en famille reste un vrai plaisir

Visuels et textuels  >> 

.

Rien de plus simple, sans peine,

Que faire du vélo  en pédalant,

Lors, par  réflexes, on  freine,

Sinon, on  se  rentre  dedans.

Les petits, devant, les grands,

Derrière, et  à la queue leu leu.

Contraire de la famille canards,

Quoique petits en ont vite marre.

Impossible de démarrer  sur place,

Il faut  rouler, si l’on veut  faire face,

Au déséquilibre  qui vous entrainerait

Nulle part ailleurs, qu’en fossé, exprès !

.

Et toc ma chaine a sauté mon pneu crevé,

Manquerait plus que mes freins me lâchent

Pour que j’envoie ce maudit vélo, promener,

Voilà, je me trouve forcé, marcher à ses côtés.

.

Ça roule, ça déboule, ça s’écroule … ça déroule,

En chaussée privée, l’air fier, sourire aux lèvres,

Et soudain, c’est la course, à qui arriver premier,

Vélo, y a pas mieux  en famille, pour l’ambiance.

.

Il y en a toujours, bien devant ou bien derrière,

Il est rare que, moyens, forces, soient à égalité,

Il y en a même qui n’arrêtent pas  de dérailler

Et tous les autres s’arrêtent pour la dernière

.

Et puis,  en chemin caillouteux, en VTT,

Si ce n’est boueux… en pentes raides,

L’important est d’abord d’avancer

Et  de tenir, sur le vélo, en tête.

.

Coup de pédale,  de frein,

Assis, debout sans fin,

Un  vélo est  moyen

S’amuser malin.

.

À deux, à un

Et autant,

Et sans

Fin !

 .

.

Extensions

.

Pour certains, faire du vélo,

Ce sera d’abord faire du sport,

Ce sera aller le plus vite possible,

Un chrono, tenir distance, cadence.

.

Pour d’autres c’est avant tout un loisir

Lors peu importe la distance et l’effort,

Le plus l’important est de prendre l’air

Pour  se  dépenser  un  tant  soit  peu.

.

Les deux ne sont pas incompatibles,

Mais on ne fait pas la même chose,

Le  même  parcours, avec un vélo

Tout terrain et course sur route.

.

Dix kilomètres pour premiers,

Sur des chemins  mal  pavés,

Représente  trente  kilomètres

Parcourus à plat, pour les derniers.

.

Crevaisons, sont de plus en plus rares,

Et  les déraillements de la chaine, idem.

Un bon et solide vélo tient bien la route,

Comme l’on dit et il se prête volontiers

À toutes les facéties ou … presque.

.

Le vélo, en famille, ou en groupe d’amis, et, voire les deux,

C’est un plaisir, à l’état pur : tout le monde sera heureux,

De  partager, le chemin, la route, les moments, les rires,

Et de se lancer des défis, le long d’un chemin de halage,

Avant d’entamer copieux picnic pour restaurer énergie.

Où sont passés les contraintes, emmerdements, soucis :

Disparus momentanément, par séance de vidage de tête.

Nous aurions, pour les vélos, en pleine  nature,  une dette,

Dont nous devons nous acquitter pour être en bonne santé !

.

.

324 – Calligramme

 .

Rien de plus simple, sans peine,

Que faire du vélo  en pédalant,

Lors, par  réflexes, on  freine,

Sinon, on  se  rentre  dedans.

Les petits, devant, les grands,

Derrière, et  à la queue leu leu.

Contraire de la famille canards,

Quoique petits en ont vite marre.

Impossible de démarrer  sur place,

Il faut  rouler, si l’on veut  faire face,

Au déséquilibre  qui vous entrainerait

Nulle part ailleurs, qu’en fossé, exprès !

Et toc ma chaine a sauté   V mon pneu crevé,

Manquerait plus que      É   mes freins me lâchent

Pour que j’envoie ce      L       maudit vélo, promener,

Voilà, je me trouve       O       forcé, marcher à ses côtés.

* ……….……..

Ça roule, ça déboule,   E              ça s’écroule… ça déroule,

En chaussée privée,     N          l’air fier, sourire aux lèvres,

Et soudain, c’est la      *       course, à qui arriver premier,

Vélo, y a pas mieux     F       en famille, pour l’ambiance.

A ………….

Il y en a toujours, bien  M        devant ou bien derrière,

Il est rare que moyens,   I        forces, soient à égalité,

Il y en a même qui n’arrê  L   tent pas  de dérailler,

Et tous les autres s’arrêtent  L   pour la dernière

                         E

Et puis,  en chemin  caillouteux, en VTT,

Si ce n’est boueux… en pentes raides,

L’important est d’abord d’avancer

Et  de tenir, sur le vélo, en tête.

.

E  S  T       U N     V  R  A  I

Coup de pédale,  de frein,

Assis, debout, sans fin,

Un  vélo est  moyen,

S’amuser   malin.

.

P L A I S I R 

À deux, à un

Et autant,

Et sans

Fin !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

324 4

.

Une plume  d’un stylo  à encre,

Un pendentif ou boucle d’oreille,

Une pointe de lance  ou de flèche,

Ou alors une amphore ancienne.

.

Amphore est loin de vélo en famille

je ne vois pas, avec une, en panier

je préfère provision de nourriture,

ainsi la forme diffère bien du fond

 .

En voilà une belle amphore

Bien que des plus communes :

En groupe, seront nombreuses

Très proches ou presque collées.

 .

Symbolique 

.

L’amphore est,

En Antiquité

Le récipient

 Le  plus  utilisé

Pour le transport

De produits de base :

Le vin, l’huile, la bière,

Ou de sauces de poissons.

Parfois, elle sert de cercueil

Pour  une sépulture d’enfant.

Enfin, on la jettera souvent dès

Que son contenu est consommé :

C’est ainsi que le Mont Testacio 

S’est formé de l’accumulation

De débris d’amphores

Ville de Rome.

Wikipédia

.

Descriptif

.

324 – Vélo en famille : un vrai plaisir !

Alignement central  /  Titre courbe   / Thème  vélo

Forme pointe / Rimes variées / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : amphore / Symbole de fond : groupe

.

.

Fond

.

Evocation 

.

  324 6

.

En voilà une belle amphore

Bien que des plus communes :

En groupe, seront nombreuses

Très proches ou presque collées.

 .

Symbolique 

 .

Le 26 février 2000,

Groupe de vingt cyclistes

Était fauchée par une voiture

Roulant trop vite sur une route

À la sortie du village de Vauvert.

Bilan : 4 morts   avec  17  blessés.

.

Le collectif des cyclistes gardois,

Créé  pour  soutenir  les victimes,

A édité un maillot souvenir et qui

Rappelle toutes règles de sécurité.

.

Tous les ans, les cyclistes du collectif

Se rendent sur la départementale 135,

Pour rendre hommage à tous les victimes

De l’accident du dimanche 26 février 2000.

france3-regions.francetvinfo.

fr/occitanie/gard/cyclistes-tues-vauvert

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Aucune amphore, seule ou en groupe,

Ne pourra faire évoquer un, ou des vélos

Même faisant des efforts, on est d’accord.

Ce qui compte ici, c’est la famille, non objet

Le père, la mère, le fils, la fille, les cousins,

Chacun avec un vélo, pareil ou différent !

Quoiqu’il en soit, il faudra rester visible

Éviter se faire heurter par chauffard

Comme dramatique histoire 2002.

.

.

Conciliabule avant départ

.

Scénario

.

Un, deux trois, et l’on s’arrête, pour mieux lire les panneaux,

lors étant quatre, cinq, on utilise toute place chemin de halage,

qu’on soit six, sept, huit, l’heure du picnic ou de sieste, qui sait ?

.

Visuels et textuels  >> 

323 – Tours de vélo : Josselin-Malestroit

Visuels et textuels >>  

.

Rohan, Josselin, Malestroit,

Une vraie voie verte en canal,

Sur la rivière de l’Oust, chenal :

Piétons, vélos, comme  il  se doit.

.

Ces trois cités, dites de caractères,

Se font à vélo  en  une seule journée,

Faut  deux heures, chacune, à visiter,

Petite, grande, moyenne, en mystères.

.

Mystère  que l’architecture médiévale

Conservée par endroit presque en état

Maisons, presque toutes, de guingois,

.

Nous font mesurer passé d’intervalle.

Rohan, ville de quinze cent habitants

Trône  en  bassin-retenue, fièrement,

Non loin de Timadeuc  et son abbaye

Où, les pères trappistes vous prient !

.

Josselin est  grande ville  d’autrefois,

Avec  château, bordant l’Oust en eau,

Cinq tours et maisons à pans de bois,

Une basilique, place  trésors de Roi !

.

Malestroit, est entre rives    à l’étroit,

Ses moulins à grains tourner faisant,

Et ruine d’église, datant  de mille ans,

Moyenne  cité, qui,  jamais, ne déçoit.

.

D’écluse  en  écluse  une  quarantaine,

Rythment  une ballade  dont certaines

Sont inhabitées, voire, à vendre, à qui,

Veut profiter de l’Oust,  et de son … lit !

.

Les retenues d’eau formeront … autant

De cascades, chantant  les mouvements

De ses flots qui auront été domestiqués

Pour bienfaits bateliers avant cavaliers.

.

Sans compter les pié-

Tons  et  les  cyclistes,

Se  tenant  debout ou

 Assis sur  cette  piste,

Mais, moindre écart,

Un plouf  dans  l’eau,

Ne  comptez  pas  sur

  Secours  d’un  bateau !

 

Rares péniches,  plai- 

  Sanciers,     naviguant,

Prennent ici, le temps      

 De vivre,  en   éclusant

Leur temps, en le pas-  

Sant  en le remontant,

Et nous : charmés,   en    

Vélo, en le descendant.

Flâner, le long de ber- 

 Ges, rivières… canaux,

D’une  ville   à l’autre,

 Caractère, vrai régal.

.

.

Extensions

.

Notre parcours, en vélo, le long d’un canal

Est comme une nouvelle  expérience à vivre

Et sans monotonie  ni ennui,  regrets, aucun,

Malgré le manque de descentes et de montées,

Car un canal est toujours plat, sauf aux écluses.

.

Allez d’une ville à l’autre,  est des plus plaisants,

Traversée de cours d’eau des plus intéressantes.

On y voit lavoirs le long des berges témoignant

Des activités des lavandières de par le passé.

.

Même s’il n’y a de péniches, transportant

Des cargaisons de sable ou blé, autre :

Imagine apparaissant au tournant.

 .

De Josselin à Malestroit, par le chemin de halage

Du Canal de Nantes à Brest au cœur de  la Bretagne,

Demeure un plaisir inégalé dans la fraîcheur d’un bel été

De la verdure, du sable, le long de l’eau, écluses parsemées :

Même pas besoin de changer de vitesse ni d’avantage d’allure,

C’est le calme, la contemplation, voire la relaxation, à l’état pur :

À l’arrivée, une bonne bière dans une taverne datant du Moyen-âge.

.

Je ne sais pas si je ferais

Le canal de Nantes à Brest

En vélo, pas d’un seul trait,

360 km : il faut la semaine.

.

On peut faire des incursions,

À droite et à gauche du canal

En le faisant sur deux années

Afin de varier les excursions !

.

Vélo n’a de limite que le temps

Qu’il faudra pour atteindre but

Il y a des formules avec services

De bagage, couchage voire repas.

.

Encore est-il qu’en couple, groupe,

Ce sera souvent mieux que tout seul,

Ce n’est pas qu’on s’ennuie, monotonie

Un voyage, une passion, cela se partage !

.

.

323 – Calligramme  

.

Rohan, Josselin, Malestroit,

Une vraie voie verte en canal,

Sur la rivière de l’Oust, chenal :

Piétons, vélos, comme  il  se doit.

Ces trois cités, dites de caractères,

Se font à vélo  en  une seule journée,

Faut  deux heures, chacune, à visiter,

Petite, grande, moyenne, en mystères.

T   O   U   R        D   E

Mystère  que l’archi  V  tecture médiévale

Conservée par end  É  roit presque en état

Maisons, presque    L   toutes de guingois,

Nous font mesurer    O      passé intervalle.

Rohan, ville de quinze    *    cent habitants

Trône,  bassin-retenue,    J         fièrement,

Non loin de Timadeuc      O  et son abbaye

Où, les pères trappistes    S    vous prient !

Josselin est  grande ville  S       d’autrefois,

Avec  château, bordant   E     l’Oust en eau,

Cinq tours et maisons   L     à pans de bois,

Une basilique, place    I       trésors de Roi !

Malestroit, est entre    N    rives    à l’étroit,

Ses moulins à grains          tourner faisant,

Et ruine d’église, da   M  tant  de mille ans,

Moyenne cité, qui,      A   jamais, ne déçoit.

D’écluse  en  écluse      L   une quarantaine,

Rythment  une ballade  E      dont certaines

Sont inhabitées, voire,    S   à vendre, à qui,

Veut profiter de l’Oust,   T   et de son … lit !

Les retenues d’eau for     R    ment … autant

De cascades, chantant    O  les mouvements

De ses flots qui auront    I   été domestiqués

Pour bienfaits bateliers, T   avant cavaliers.

.

Sans compter les pié-

Tons  et  les  cyclistes,

Se  tenant  debout ou

 Assis sur  cette  piste,

Mais, moindre écart,

Un plouf  dans  l’eau,

Ne  comptez  pas  sur

  Secours  d’un  bateau !

Rares péniches,  plai- 

  Sanciers,     naviguant,

Prennent ici, le temps     

 De vivre,  en   éclusant

Leur temps, en le pas-  

Sant  en le remontant,

Et nous : charmés,   en   

Vélo, en le descendant.

Flâner, le long de ber- 

 Ges, rivières… canaux,

D’une  ville   à l’autre,

 Caractère, vrai régal.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

323 4

.

Un randonneur

Ou une randonneuse

Lors d’un circuit en vélo

Sur une chemin de halage.

 .

Circuit en vélo et chemin de halage,

forme plate mais belle longue rando

pour autant les paysages changent

si bien que la forme rejoint le fond.

 .

Un circuit en vélo, entre deux villes,

Reliées par un canal :

Une trentaine de kilomètres sur le plat

D’un chemin de halage.

.

Symbolique 

 .

Itinéraires, parcours,

Circuits en  vélo en France !

France Vélo Tourisme vous invite

À changer de rythme et partir en voyage

À vélo le temps d’un week-end ou de vacances.

Partez en famille, en couple, entre amis ou en solo

Itinéraires cyclables et VTT aménagés en France.

Restez  toujours prêts à prendre le guidon ?

francevelotourisme.com

.

Descriptif

.

323 – Tour de vélo : Josselin-Malestroit  

Alignement central /  Titre serpente  / Thème  vélo

Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : circuit / Symbole de fond : chemin

 .

.

Fond

.

.Évocation 

.

323 6

.

Un circuit en vélo, entre deux villes,

Reliées par un canal :

Une trentaine de kilomètres sur le plat

D’un chemin de halage.

.

Symbolique 

.

Une balade incontournable,

Et n’ayons pas peur des mots, assez magique.

Chemin de halage à Pont-l’Abbé a quelque chose d’onirique.

Sillonner courbes rivière, c’est pénétrer en un autre univers.

.

Le chemin de halage a, d’abord, eu vocation  économique.

Il permettait, aux haleurs, à l’aide  d’une corde, de remonter

Les navires en direction du port mais les progrès techniques

Vont précipiter  la fin de cette activité  dans les années 20.

.

Devenu un lieu prisé de promenade, le chemin de halage

Est désormais un sentier familier et pourtant, il cache

Encore des secrets bien gardés.

letelegramme.fr/finistere/pont-labbe/un-

symbole-mysterieux-sur-le-chemin-de-halage

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Le vélo a repris ses lettres de noblesse

Droit même de cité dans nombre de villes

Depuis la chasse au carbone, vélo cartonne

Mais un bien pour un mal, en vélo électrique

Moi je serais plutôt adepte du vélo classique

VTT tout terrain comme son nom l’indique,

Il faut pédaler dur, ça fait mal aux fesses.

.

Il est vrai qui suivre chemin de halage

Ne sera pas grimper le Tourmalet,

Aucun mérite donc, une ballade

En dépit de quoi, l’un est

 Très content le soir

Mettre pied

À terre

V

 .

.

Qui dit canal dit écluse

.

Scénario

.

Le grand château de Josselin sis tout au bord de la rivière.

Beau et long chemin de halage entre Josselin et Malestroit.

 La ville de Malestroit avec ses maisons type moyenâgeuses.

 .

Visuels et textuels >> 

 

322 – Faire quelques tours de pédales !

Visuels et textuels  >>

.

Tour de pédale, deux tours

Mille, dix mille …   cent mille.

Du matin au soir tous les jours,

Les jambes, à la fin… fourmillent.

Un tour, ou deux, de piste  cyclable,

Vous donne des jambes  de vingt ans.

.

À tout âge, le vélo, on en serait capable,

Il vous videra la tête  en remuant le sang,

Parfois, un coup de pompe, manque d’air,

Vous coupe  les mollets dans une montée.

Un brin de fierté vous empêche d’arrêter

Vous perdiez les pédales, pieds à terre.

 .

Sur le plat, descente, vous caracolez,

Tête relevée, pleine d’images nature

Devant vous, défile paysage coloré,

Senteurs montent, au nez, pures.

 .

La joie que de se laisser porter

Par  deux roues,  selle, guidon,

Le plaisir d’appuyer pédalier

Pour rouler chemin en rond.

Encore un effort et l’arrivée,

Dans moins d’un kilomètre.

.

Dernier sprint pour attester

Train d’enfer qu’on a su mettre

Aux autres qui pédalent derrière

Et qui souffrent de fesses, mollets

L’effort se lit sur la figure guerrière

Mais c’est vous le héros du jour, ollé.

.

Le vélo est un jeu, un loisir, un plaisir

Autant, sinon plus, qu’un sport de masos

Qui luttent contre les côtes contre le chrono,

Pédalent sur des kilomètres à n’en plus finir

À en perdre le souffle, les muscles, le moral

Pourquoi pédaler, comme un fou, animal.

.

.

Extensions

.

Toutes les lois de  l’équilibre

Soumises au mouvement continu

Sont impardonnables : pas impraticables,

Simplement il faut se coordonner pour y arriver

Débuts de l’apprentissage sont parfois… rebutants,

Essayez-donc d’apprendre à faire du vélo à un adulte

De trente ou quarante ans qui ne l’a jamais pratiqué

Enfant de trois ans au centre de gravité plus bas,

Certes, mettra peu de temps … pour y arriver.

Après, pratiquer le cross et le tout terrain,

C’est autre chose, sans parler du vélo

À une roue ou encore du tandem.

.

La panoplie du vélocipède est large

Les innovations ne manquent ni plaisirs.

Cela dit, pour aller très vite ou pour grimper,

Il faut pédaler fort et faut choisir le bon braquet

Question muscle, poids, entrainement, pas égaux.

Certains sur leur vélo, ressemblent à un crapaud

Sur des boites d’allumettes alors il ne faut pas

Leur demander des chronos, c’est déjà bien

De rester en selle avancer vite en rando.

En tandem, il faudra être synchro,

Pour pédaler, pour freiner ?

.

Petite femme, petit vélo en couleur, promenade et robe de charme

Grand homme et grand vélo, posture de course et efforts intenses !

Bon d’accord, ce sont clichés : aujourd’hui nous sommes à égalité !

La preuve : les couples hétérosexuels  ont presque les mêmes vélos.

Quand on dit tours de pédales, la distance peut varier énormément

Allant de dix à deux cent kilomètres, sur chemins et routes pavées :

On peut donc en faire des milliers sans jamais penser à les compter.

.

Pour les obligés ou amateurs de tours de pédales,

Pas besoin de sortir…  dehors,

On peut en pratiquer en salle sur le home-trainer,

Ou en fixant vélo sur béquille.

.

Moi, j’aime prendre l’air en chemin de campagne,

Seul, ou avec ma compagne :

Les dénivellations, les freinages, les accélérations,

Donnent piment sensations.

.

En ville, il est vrai, il faut faire attention aux yeux,

Il pleut, routes sont glissantes.

En collines, un vélo tout-terrain c’est bien mieux,

Attention à chutes, blessantes.

.

.

Épilogue

 .

Le vélo est, à la fois, un sport,

Un loisir,  moyen de transport :

Nous fait respirer, en campagne,

Nous fait transpirer, en montagne

En ville, nous fait, du stress, gagner,

Dans les bouchons  ou pour se garer !

***

Un tour de pédale, suivi d’autres tours :

Cela par milliers, toujours sans compter,

Font bouger abdominaux muscles fessiers

La fierté de tous ceux qui en font toujours :

Vélo sans assistance sera appelé musculaire

Bien que ce ne soit partie de jambes en l’air !

***

Tant pour grimper les côtes  et tenir le chrono,

Il faut appuyer  fort, faut pousser  les chevaux :

Avec un entrainement régulier, voire supervisé,

On parvient à s’en satisfaire sans course gagner,

On passerait du statu d’amateur à professionnel,

Je ne vous dis pas : tours de pédales, à tire d’ailes

***

Ce sera, toujours mieux, à plusieurs que tout seul :

En couple c’est pas mal, ou voire avec un vieil ami,

En famille, c’est le pied, c’est le mieux qu’on veuille

Allez, allez,  et ne trainez pas, en vélo, tous en selle.

.

.

322 – Calligramme   

.

Tour de pédale, deux tours

Mille, dix mille …   cent mille.

Du matin au soir tous les jours,

Les jambes, à la fin… fourmillent.

Un tour, ou deux, de piste  cyclable,

Vous donne des jambes  de vingt ans.

.

 ****************************************

****************************************

.

À  tout  âge,  le vélo, l’on    P   en  serait  capable,

Il vous  videra la tête  en  O      remuant le sang.

Parfois, un coup de pom U    pe, manque d’air,

Vous coupe  les mollets  R   dans une montée.

Un brin de fierté vous   Q  empêche d’arrêter

Vous perdiez les péda  U   les, pieds à terre.

       O

Sur le plat, descente   I     vous caracolez,

Tête relevée, pleine    * d’images nature

Devant vous, défile  D  paysage coloré,

Senteurs montent   E    au nez, pures.

      S

La joie que de se    *     laisser porter

Par  deux roues    T     selle, guidon,

Le plaisir d’ap     O  puyer pédalier

Pour rouler che   U    min en rond.

Encore effort      R      et, l’arrivée,

Dans moins d’    S    un kilomètre.

   *

Dernier sprint    D     pour attester

Train d’enfer qu’ E    on a su mettre

Aux autres qui     * pédalent derrière

Et qui souffrent    P  de fesses, mollets

L’effort se lit sur   É la figure guerrière

Mais c’est vous le   D héros du jour, ollé.

A

Le vélo est un jeu,     L   un loisir, un plaisir

Autant, sinon plus,    E  qu’un sport de masos

Qui luttent contre les  S  côtes contre le chrono,

Pédalent sur des kilo   ? mètres à n’en plus finir

À en perdre le souffle,     les muscles, le moral

Pourquoi pédaler, comme un fou, animal.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

322 4

.

Une  grande chope de bière

 Ou vase  de facture artisanale

Ou un flacon avec un bouchon

Pourquoi pas un tambour ?

.

Le vrai tambour fait plus de bruit

que les freins à tambour des vélos

mais il est dix fois plus résistants :

analogie inspire forme et non fond..

.

Un tambour peut être considéré

Comme bel  équipement d’un vélo,

Qui servira à le freiner en utilisant

L’intérieur du moyeu de sa roue !

.

Symbolique 

.

Instrument tambour,

De tout temps, incarna

Les  battements  du  cœur

De l’Univers, et,  son rythme,

Régulier ou voire même monotone

Équivaut au battement du cœur humain.

.

D’où  sa forte symbolique  pour quiconque

Souhaite entrer en contact avec la Nature

Tous ses mondes secrets. Le tambour est

Donc considéré comme sacré par bien

Des peuples et bien des cultures.

echange-spirituel.kazeo.com/

le-tambour-et-son-symbolisme

.

Descriptif

.

322 – Pourquoi faire tours de pédales ?   

Alignement central  /   Titre droit   /  Thème  vélo

Forme courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : tambour / Symbole de fond : freins

.

Fond

.

Évocation 

.

322 6

.

Un tambour peut être considéré

Comme bel  équipement d’un vélo,

Qui servira à le freiner en utilisant

L’intérieur du moyeu de sa roue !

.

Symbolique 

.

Les freins à tambours,

Comme  les freins à disques

Freinent le moyeu de la roue.

Sur les  modèles  traditionnels

Deux  patins,  surdimensionnés,

Pressent contre surface circulaire

À l’intérieur du moyeu, le tambour.

Modèles   Rollerbrake   de   Shimano,

Meilleurs freins à tambour du marché,

Font appel à des rouleaux cylindriques

Qui par expansion interne sous l’action

Du levier de frein, pressent contre

Une paroi intérieure du frein.

mapage.noos.fr/ptis.trucs.

sympas/freins_velo

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

On pourrait dire, d’un coureur,

Qu’il foncerait tambour battant

Mais s’il n’a de freins à tambour

Finir dans le décor, il aura peur.

Tomber dans un fossé, peut faire

Dans votre tête, coup de tambour,

Et non coup de foudre ou d’amour

Oh là, j’ai un petit vélo dans la tête

D être si amoureux d’une bicyclette

Je ne voudrais pas qu’on le répète.

.

.

En paysage assez morose

.

Scénario

.

Une  belle parisienne sur un vélo, telle que l’imagine la provinciale.

Baisse la tête, t’auras l’air d’un coureur, voilà expression moqueuse.

 Pause s’impose devant le paysage, restant ou non appuyés sur vélos.

.

Visuels et textuels  >>

321 – Des vélos : en veux-tu…en voilà !

Visuels et textuels  >> 

.

Des vélos, des vélos : en veux-tu… veux-tu, en voilà :

Il y a des vélos de ville avec leurs airs tranquilles,

Des vélos tous terrains, avec plein d’entrain.

.

Des vélos de course, pour toutes bourses,

Ou de tandem pour ceux qui s’aiment,

Et originaux assis, qui vous trainent,

Vous entrainent, à pédaler sans fin.

.

Aller ici, ou là, au bout du chemin,

Revenir sur ses pas : boucle entière

Sur parcours dont on sort tout fier !

.

Pédaler  soigne l’équilibre et la santé,

Redonne souffle au cœur, à l’endurer.

Plus de bruits, plus de stress : libres !

.

Le vélo, en vous  et  sous vous, vibre,

Secousses, lors route  vous rossent,

Avec creux et bosses, vous tossent.

.

Vos fesses et reins, dos, épaules :

Tout votre corps … vous tremble,

De  tous  vos  muscles,  membres,

Et vos boyaux de votre plat ventre.

.

Tout en vous, se remue sous contrôle,

Autour d’un coup de pédale, qu’endosse,

Des nids de poules qui vous fera des œufs

Dans vos pneus si ne prenez pas soin d’eux.

.

En un chemin trempé inondé, caillouteux

Vous voilez votre roue dans une ornière,

Et n’avez plus que vos mains en prière

Pour vous sortir de ce sort tortueux.

.

Des vélos, en veux-tu … en voilà,

Le mien passe partout mais là,

Il lâche au milieu du  chemin,

Le portant à réparer demain,

Je dirai, au réparateur, étonné,

Que mes freins, soudain, ont cédé.

.

Pente m’a fait, à toute pompe, dévaler,

Un chemin qu’une barrière avait fermé.

Accidents de vélo, il y en a, tous les jours.

.

À quatre ans, apprenant, enfant s’étale, four !

Maudit vélo, qui ne veut pas tourner très court,

Et qui vous jette par-dessus son guidon d’amour.

 .

.

Extensions

.

J’ai débuté le vélo à quatre ans,

Comme le font tous les enfants,

Et après, j’en ai fait tous les ans

Ou presque jusqu’à maintenant.

Depuis les ans que je le pratique,

Il ne m’a jamais lâché, d’actualité.

.

Faut dire que vélo est basé sur des

Mouvements devenus réflexes

D’anticipation d’équilibre

Qui, tout comme au ski,

Demandera  un  torse

Penché vers la pente,

Ce qui, avouons-le ne parait pas

Naturel au premier abord

Le devient, spontanément ensuite.

.

J’aime bien faire du vélo en couple,

En famille, entre amis.

Et ce n’est pas tant, que je m’ennuie,

Quand je suis pédale seul,

Mais on peut échanger, passer devant,

Derrière et voire sur le côté.

.

Un vélo, deux vélos accolés, quatre vélos en tandem

Autant de formules offertes à tous ceux qui l’aiment,

Et je vous parlerai ici  de joie tant loin de toute peine.

L’effort de pédaler sera bénéfique  pour tous, et même

Que l’on roule dans des chemins et paysages suprêmes !

Plus simple, qu’un vélo, tu meurs : deux roues, une selle,

Un guidon, un frein, une chaine un pédalier, un indexeur.

Bon d’accord, il faut un peu de coordination, et d’équilibre

Mais  avec le mouvement, la vitesse, tout va bien : miracle !

.

Le règne du vélo serait revenu

On en aurait jamais autant vu !

.

Catalogues débordent de modèles

Et qui auront, chacun, leurs fidèles

.

J’en ai un, moi-même, et, de course !

Lors ma femme en a un aussi, de ville.

.

Les prix grimpent en flèche, électriques,

Dont le prix moyen atteint les trois mille.

.

On pourra en emprunter d’un lieu à l’autre

Signe que le vélo se sera bien  démocratisé.

.

Pour finir, pistes cyclables… un peu partout

Si ce ne sont des parcours tracés pour vélos.

.

.

Épilogue

.

Le vélo est magique, trouve

Son équilibre dès qu’il roulera :

Il suffit de faire un tour de pédale

Et de se pencher dans tous virages.

***

Et aujourd’hui, il sera même assisté,

Par les bons soins de la fée électricité,

Plus besoin de pédaler  dans les côtes :

Suffit d’utiliser aide, dite la plus haute.

***

Cela dit, des vélos, en veux-tu, en voilà :

Y en a  pour tous  usages, gouts, bourses,

Entre le vélo de ville  et le vélo de course,

Entre différents modèles, l’on a le choix !

***

En vélo jusqu’à l’école, me souviens, allant

Dès l’âge de sept ans, jusqu’à mes neuf ans,

Cinq kilomètres, une demi-heure  de route :

Parfois en faisant la course : en avant toute.

***

Ma future épouse avait offert : demi-course

Quarante ans plus tard… je pratique encore

C’est dire si vélo de qualité, résiste très fort

À une submersion de nouvelles ressources.

***

Vélo, V.T.T, cycle, 2-roues,  course, bonne :

Quel que soit l’appellation  qu’on lui donne,

Il sera toujours et pour tous, la petite reine,

Qui partout, en tout temps, nous promène.

.

.

321 – Calligramme  

 .

Des vélos, des vélos : en veux-tu… veux-tu, en voilà :

 Il y a des vélos de ville avec leurs airs tranquilles,

Des vélos tous terrains, avec plein d’entrain.

Des vélos de course, pour toutes bourses,

Ou de tandem pour ceux qui s’aiment,

Et originaux assis, qui vous trainent,

Vous entrainent, à pédaler sans fin.

.

Aller ici, ou là, au bout du chemin,

Revenir sur ses pas : boucle entière

Sur parcours dont on sort tout fier !

Pédaler  soigne l’équilibre et la santé,

Redonne souffle au cœur, à l’endurer.

Plus de bruits, plus de stress : libres !

Le vélo, en vous  et  sous vous, vibre,

Secousses, lors route  vous rossent,

Avec creux et bosses, vous tossent.

.

Vos fesses et reins, dos, épaules :

Tout votre    V   corps…vous tremble,

De tous vos        É      muscles,    membres,

Et vos boyaux         L          de votre plat ventre,

Tout en vous, se         O          remue sous contrôle,

Autour d’un coup           S          de pédale, qu’endosse,

Des nids de poules             :          qui vous fera des œufs

Dans vos pneus si ne           E        prenez pas soin d’eux.

En un chemin trempé          N          inondé, caillouteux

Vous voilez votre roue           *            dans une ornière,

Et n’avez plus que vos            V           mains en prière

Pour vous sortir de ce             E           sort tortueux.

Des vélos, en veux-tu              U                 en voilà,

Le mien passe partout           X              mais là,

Il lâche au milieu du              *            chemin,

Le portant à réparer              T        demain,

Je dirai au réparateur           U     étonné,

Que mes freins, soudain     *   ont  cédé.

                 E

Pente m’a fait, à toute  N   pompe, dévaler,

Un chemin qu’une      * barrière avait fermé.

Accidents de vélo,    V    il y en a, tous les jours.

À quatre ans, appre O   nant, enfant s’étale, four !

Maudit vélo, qui ne  I      veut pas tourner très court,

Et qui vous jette      L   par-dessus son guidon d’amour.

   A                   ………………

 .

.

Forme

Réduction

.

Évocation 

.

321 4

.

Une base très arrondie,

Avec un col  très rétréci,

Et une ouverture  large :

Un vase imaginaire.

.

Un vase imaginaire … allons dons !

vous en aurez trop … il est bien là :

mais de là  à représenter beau vélo

forme et fond ne se marieront pas.

.

Que peut-il bien y avoir de commun

Un entre ce vase et un vélo :

Rien, ni en apparence, ni en réalité,

Même forçant l’imagination !

.

Symbolique 

 

Le vase est d’abord un contenant :

La boîte, le sac, l’armoire, le vase

Et un symbole féminin.

.

Dans le vase, on met de l’eau,

Symbole de la vie, de la terre aussi,

Une plante qui pourra s’y développer.

.

Les alchimistes appelaient aussi vase

Le creuset dans lequel ils projetaient

Leurs transformations  intérieures.

.

Ce lieu clos est propice à une image

De renfermement, sur soi, le temps

D’une élévation niveau de conscience,

Dans le cadre processus d’individuation

Modifié, source : signification-reves.fr/Vase

.

Descriptif

.

321 – Des vélos, en veux-tu : en voilà !  

Alignement central  /   Titre droit   /  Thème  vélo

Forme droite / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : imaginaire

.

.

Fond

.

Évocation 

.

321 6

.

Que peut-il bien y avoir de commun

Un entre ce vase et un vélo :

Rien, ni en apparence, ni en réalité,

Même forçant l’imaginaire !

.

Symbolique

.

L’imaginaire

Peut être défini

Sommairement

Comme le fruit

D’imagination

D’un  individu,

Ou d’un groupe

 Ou  d’une  société,

Produisant images,

Des   représentations,

Des récits ou des mythes

Plus ou moins détachés de

Ce qu’il est d’usage de définir

Comme la réalité. Il s’agit de la

Capacité d’un groupe, voire  d’un

Individu à se représenter le monde

À l’aide d’un réseau d’associations

D’images qui lui donnent un sens.

Wikipédia : imaginaire

.

.

Corrélations

Fond/forme 

.

L’imaginaire prend le pouvoir, à chaque fois

Qu’il utilisera un symbole à la place de chose

Comme ici un vase pour représenter un vélo

Mais parfois la distance entre est si grande

Que cela ne marche pas,  ne peut marcher.

Un vélo aura deux roues, donc deux ronds

Un cadre souvent en forme d’un triangle

Mais jamais une forme courbe en vase.

 .

.

À louer à l’heure, journée, demie

.

Scénario

.

Vélo simple, des plus classiques voire même des plus rustiques !

Deux vélos accrochés ensemble comme témoignage d’amoureux.

Jeune couple sur tandem et extension de remorque, pour enfants.

 .

Visuels et textuels  >>

320 – La montagne est grande, nous, petits

Visuels et textuels  >> 

.

Grimper toujours plus haut,

Voilà bien  une belle devise,

Mais  s’agit-il d’un sommet

Ou se dépasser  soi-même.

 .

Et pourquoi  se fourvoyer,

En des sentiers  extrêmes,

Lors l’argent, coule  à flot,

En rivières, et, en devises.

.

Pourquoi    risquer   glissade,

Sur  une pente,         trop raide,

Si l’avalanche,       en dévalant,

Vous tue, vous    enfouissant.

.

Sur le plateau,   une cloche,

D’une vache,   tintinnabule,

Le berger,   avec  son  chien,

Parfois,   coince   la  …  bulle.

.

Et moi aussi  lors  que j’y suis,

Lors  m’abreuvant aux  torrents,

D’eaux, torrents,  mots ou d’images,

Qu’ils soient de plein air, soient plein vent.

La montagne est immense, ses espaces infinis

Devant elle on se sent désarmé, on se sent petit.

  .

À  perte  de vue, ses sommets, ses crêtes,  ses pics

Nous plongent  dans un désert, de glace, arctique :

Si quelques vagues montent    à l’assaut,  plus haut,

La mer est  toute plate  et  l’horizon, courbe, pareil !

    .

Ici, les glissements de  plaques,  les volcans  chauds,

Ont entassé  les  roches, en un  tohu-bohu, merveille.

Au loin dans la plaine les campagnes restent sereines,

Elles regardent leurs grands frères pleurer du sourcil,

Pour les arroser de leurs torrents  d’alluvions, fertiles

Où hauts bois sont, parfois, rois et les plaines, reines.

  .

Ils sont  plus près du ciel,  exhalant air pur, oxygéné,

Bien que  très froid, réfrigéré,   voire raréfié, des fois,

Ils se moquent des nuages  qu’ils toisent, embrumés,

Encombrant la vallée, aveugle d’un soleil  qui croît !

  .

Combien d’hommes ont flirté avec pic, en virginité,

Taxé d’inaccessible par sa face Est ou sa face Nord,

Combien ont subi tempêtes, combien sont morts

Pour l’amour de grimpette sur ego, escaladé !

.

Parvenu au sommet

De montagne de solitude

L’homme comprendra mieux

Sa petitesse voire même sa finitude

Qui l’habitent  comme au-delà des défis

Qu’il s’est lancé à lui-même, l’ont conquis !

..

Extensions

.

Quand  la  mer  vous  rend … tout  petit,

Par très large horizontalité,

La montagne le fait, par sa verticalité,

La campagne, par diversité.

 .

Quoique  l’on fasse  et où qu’on  aille,

On n’a que taille humaine

Et allongé par terre, l’on ne s’assoira

Plus haut que son séant.

 .

Philosophie de bas étage, direz-vous !

Pas tant que cela en fait :

Si l’on est  à trois mille mètres, de haut,

Voire à dix mille nautiques,

 

Tout autour de vous, change de dimension.

Grimper en pentes et en lacets

Et louvoyer contre les vents, contre les marées,

Pour avancer pour atteindre son but

Ont en commun : sommes petits, pas grande chose !

.

Montagne est grande, on la dit écrasante,

Bien qu’elle nous élève et qu’on la domine,

La grimper devient  une aventure épatante,

Qui nous réjouit et nous donne bonne mine.

Parvenus  au sommet : un panorama, géant,

Nous tend les bras, captive nos yeux et cœur,

Nous suscite envie d’y rester un long moment

À contempler l’œuvre du mystérieux créateur,

Il faut bien redescendre, il y fait froid, la nuit !

Dans la vallée, la vie bat son plein  hors l’ennui.

.

On n’a jamais fini  de contempler

La montagne de sa base au sommet :

Nombre textes, photos, chants, sonnets,

Auront été publiés, joués, pour la célébrer.

.

Aucun poème, sur elle, ne pourrait être plat :

 Quel que soit la rime, elle sera en dents de scie,

En pente montante, voire en pente descendante,

Quel que soit auteur, grimpeur, il l’incrémentera.

.

C’est un peu l’esprit de poésies d’Éclats d’existence,

Que de suivre, voire créer, des formes montagneuses,

Non pas pour en atteindre pour chacun, des sommets,

Mais pour magnifier à la fois le merveilleux et l’essentiel.

.

Qu’on soit indulgent avec moi, je ne suis pas sûr y parvenir

J’aurai, du moins, tenté de gravir, de mon âme, la montagne.

La montagne m’inspire tout autant que la mer et la campagne

Je me sens si petit, face à ces trois, que j’ai plaisir à … décrire !

.

.

Épilogue

.

Passer rapidement de la mer à la montagne,

Vous donnera comme vertige des hauteurs :

Autant la mer est plate et voire la campagne

Autant sa verticale donne idée de grandeur !

***

Au fin fond d’une profonde vallée encaissée,

Horizon est cerné, parait comme très limité,

Une chaine de monts et de pics la surplombe

De ses versants adret, ubac et de ses combes.

***

Point à l’horizon, lors vous êtes  en haute mer,

Vous vous sentez petit comme en plein désert,

Mais, ici, en montagne, en plus, comme écrasé

Par la magnificence des lieux, tout en majesté.

***

Il ne faut partir en montagne sans lampe, seul,

Le ciel peut s’obscurcir d’un coup sous l’orage :

L’on n’y voit plus goutte, sur certains passages,

L’on sera forcé d’attendre et quoiqu’on veuille !

***

Pourquoi, jusque là-haut, s’acharner à grimper,

Ne suffit-il  de  s’arrêter, à mi pente, au milieu :

Est-ce pour le sport  ou  mieux mériter, profiter

Du panorama unique qui nous mène aux cieux.

***

Je n’ai pas qu’une seule réponse à vous donner,

Chacun a la sienne, tout comme foi en un Dieu.

.

.

320 – Calligramme  

 .

Grimper toujours plus haut,

Voilà bien  une belle devise,

Mais  s’agit-il d’un sommet

Ou se dépasser  soi-même.

 .

Et pourquoi  se fourvoyer,

En des sentiers  extrêmes,

Lors l’argent, coule  à flot,

En rivières,  et,  en devises.

.

Pourquoi    risquer   glissade,

Sur  une pente,       trop raide,

Si l’avalanche,     en dévalant,

Vous tue, vous    enfouissant.

.

Sur le plateau,    une cloche,

D’une vache,   tintinnabule,

Le berger,   avec  son  chien,

Parfois,   coince   la  …  bulle.

.

Et moi aussi  lors    que j’y suis,

Lors  m’abreuvant    M  aux  torrents,

D’eaux, torrents mots   O       ou d’images,

Qu’ils soient de plein air,   N   soient plein vent.

La montagne est immense,  T   ses espaces infinis

Devant elle on se sent désar   A  mé, on se sent petit.

                G

À perte de vue, ses sommets,    N      ses crêtes,  ses pics

Nous plongent dans un désert,  E        de glace, arctique.

Si quelques vagues montent       *     à l’assaut, plus haut,

La mer est toute plate et l’hori    G    zon, courbe, pareil !

                  

Ici, les glissements de plaques,   A      les volcans chauds,

Ont entassé  les  roches, en un    N   tohu-bohu merveille.

Au loin dans la plaine, les cam    D   pagnes  sont sereines,

Elles regardent de grands frères E     à pleurer du sourcil,

Pour les arroser de leur torrent   *        d’alluvions, fertiles

Où hauts bois sont parfois rois   N     et les plaines, reines.

                O

Ils sont plus près du ciel, exha   U    lant air pur, oxygéné,

Bien que très froid, réfrigéré      S     voire raréfié des fois,

Ils se moquent des nuages qu’    *   ils toisent, embrumés,

Encombrant la vallée, aveugle   P    d’un soleil  qui croît !

               E

Combien d’hommes ont flirté    T    avec pic, en virginité,

Taxé d’inaccessible par sa face  I       Est ou sa face Nord

Combien ont subi tempêtes,   T  combien sont morts,

Pour l’amour de grimpette   S   sur ego, escaladé !

.

Parvenu au sommet

De montagne de solitude

L’homme comprendra mieux

Sa petitesse voire même sa finitude

Qui l’habitent  comme au-delà des défis

Qu’il s’est lancé à lui-même, l’ont conquis !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

320 4

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Nous dirons peut-être un lampion 

Comme présence de vie en montagne.

.

Lampion ne va pas bien avec montagne,

il y en a partout et pour toutes occasions

certains sont éclairant, autres lumignons

si fait que la forme s’écarte de son fond.

 .

Nous ne sommes qu’un petit lampion

 Face à gigantesque montagne :

Celle–ci  est illuminée de partout alors

Que nous ne sommes que falot !

.

Symbolique 

 .

Un lampion

Est un récipient de terre,

De fer blanc ou verre épais

Dans lequel  on met du suif,

Ou de l’huile avec une mèche,

Pour   faire  des  illuminations.

Quand  son usage  est  décoratif

S’inscrit en tradition particulière,

Abat-jour souvent réalisé en papier,

Parfois creusé  dans une légumineuse.

On trouve lampions  de diverses formes,

Tailles, modes de construction sont variés.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

320 – La montagne est grande : nous, petits  

Alignement central  /  Titre droit  /  Thème  montagne

Forme droite  /  Rimes égales    /  Fond éloigné de forme

Symbole de forme : lampion / Symbole de fond : montagne

.

Fond

.

Évocation 

.

320 6

.

Nous ne sommes qu’un petit lampion

 Face à gigantesque montagne :

Celle–ci  est illuminée de partout alors

Que nous ne sommes que falot !

.

Symbolique

.

La

Montagne a

Provoqué chez l’homme

Quantité de sentiments contradictoires.

Interdite, promise, refuge des ermites, siège des combats

Entre  les Titans et les Dieux, entre les Archanges et les Dragons,

Lieu de l’immortalité, colline de la pureté, centre et sommet du monde.

.

Génératrice de paniques tout comme d’exaltations, la montagne suscite

Depuis toujours le sentiment d’univers échappant à l’échelle humaine.

.

Proche des cieux, éloignée de l’ordre humain, est point de rencontre

Privilégié entre le Ciel et la Terre,  lieu le plus bas pour les dieux

Et le plus élevé pour les hommes.

le-symbolisme-de-la-montagne

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Notre petitesse sur une très haute éminence

N’a d’égale que notre profondeur d’esprit,

Pour mesurer  cette grande différence

Qui nous dépasse et jusqu’à l’infini !

.

En plus, là-haut le silence régnant

Qui frise l’oubli et voire le néant

Si ce n’est choses essentielles,

Nous rapprochant  du ciel,

De notre propre existence

D’une poussière cosmique

Lors y prenant conscience.

  .

.

Dieu, que la montagne est grande !

.

Scénario

.

Montagne est impressionnante par majesté, diversité, panoramas,

mêlant ses  verts forêts au blancs des neiges fondantes, éternelles,

chapeauté, parfois, par pic, comme une sorte d’échelle vers cime.

 .

Visuels et textuels  >> 

319 – Après le ski, le réveillon à Chinaillon

Visuels et textuels  >>  

.

L’année s’achève sous

Les  lampions      allumés,

Et chargée     d’évènements

Vécus devenant     souvenirs.

Nouvelle année     commence

Dans les bras,        en baisers,

Des gens crient        leur joie,

Par leur fenêtre       ouverte,

Lors chacun, de       tracer,

Plans   sur   sa     comète.

.

 Même si vie, pas drôle,

Raison pour faire fête,

Une année … de plus,

Aura  rempli  sa tête,

Et si l’on ne riait pas,

L’on serait  des bêtes.

Réveillon … aux tisons

Grisons… à Chinaillon !

À dix autour d’une table,

Autour de bonnes cuissons,

.

Et qui enchanterons nos palais

Nous chantons, et, pour de bon,

Nous souhaitons  une … longue vie

À tous, et, à chacun,  et,  à   l’unisson !  

.

Folle journée que la dernière d’une année

Pas d’impair avant qu’elle ne soit terminée,

Jusqu’ici  pas  d’accident, d’incident notoire

Je ne voudrais pas la finir en séries noires !

.

Pour ma dernière journée de ski de l’année,

Allez,  schuss : belle rouge pour s’échauffer.

 Ça va très vite, comment  faire  pour  arrêter

Dans  ces champs  de bosses, à tout casser !

.

Étrange, je tiens encore sur les skis, au faite

Remonte  au tire-fesses vers une belle crête,

Où  casse-croute  vient me refaire une santé,

Contrebas sur  le flanc d’Aravis trois vallées.

.

Laquelle  choisir, pour traverser   les   sapins,

Et bonjour  les trous,  bonjour plantage alpin

Ce jour, au moins, je n’ai  pas  skié  pour  rien

L’année prochaine, je m’en souviendrai bien.

.

La veille de l’an, au réveillon, réveillons-nous,

Cette nuit à dix,  nous amusons  comme fous,

Car cinq filles  veulent délurer cinq garçons :

Déguisement, photo, souvenir pour maison.

.

Vin   blanc    coule      à flot,

Foie  gras,     reste  en  bouche,

Festin s’achève, pétards, cartouches,

Feux d’artifices éclatent, dans les vallées,

Tant et si bien, qu’impossible de se coucher.

.

.

Extensions

.

La  fête  du  Réveillon,

Chaque an, recommencée,

Avec pas toujours les mêmes

Pas souvent au même endroit,

Comme il se doit, mais toujours

Et dans la joie, comme autrefois !

.

Mais skier le dernier jour de l’année,

Sera prendre le risque  de commencer

L’année sur les genoux mais, ce jour-là,

L’on  s’en  fout, l’année a été fort bonne.

.

On passera une nuit blanche, ou  presque,

Car cela ne peut que nous procurer  espoir

Que l’année suivante sera du même acabit

Qu’on pourra en faire son meilleur profit

Les années passent, ne reviennent pas,

Et cela que l’on soit à la neige ou pas.

.

De la décoration minimaliste à un peu kitsch

On en voit de tout pour célébrer  le réveillon !

Des plats hors du commun, flutes champagne

Mais surtout le cœur en fête et le reste… avec,

Plus rien  ne compte : que la famille, les amis,

Un verre par ci, verre par-là, on est pompette,

On se met à minuit à pousser la chansonnette,

En s’embrassant, faisant des vœux en mousse :

Une année se termine et une nouvelle, pousse !

.

Toutes nos années passent,

Se succèdent sans bruits,

Lors tout nous tracasse :

Autant soleil  que pluie !

.

On formulera  des vœux,

Pour  la  plupart : pieux !

Est-on maitre des destins,

 Les changer chaque matin !

.

Il n’y a pas  de vent favorable

Pour celui qui ne sait où il va :

Faut-il se laisser porter à tout va

Vers fin du monde, inconcevable !

.

.

319 – Calligramme

 .

L’année s’achève sous

Les  lampions      allumés,

Et chargée     d’évènements

Vécus devenant     souvenirs.

Nouvelle année     commence

Dans les bras,        en baisers,

Des gens crient        leur joie,

Par leur fenêtre       ouverte,

Lors chacun, de       tracer,

Plans   sur   sa     comète.

S    É    J    O    U    R

 Même si vie, pas drôle,

Raison pour faire fête,

Une année … de plus,

Aura  rempli  sa tête,

Et si l’on ne riait pas,

L’on serait  des bêtes.

Réveillon … aux tisons

Grisons… à Chinaillon !

À dix autour d’une table,

Autour de bonnes cuissons,

A  U     S  K   I

Et qui enchanterons nos palais

Nous chantons,   R  et, pour de bon,

Nous souhaitons      É    une … longue vie

À tous, et, à chacun,      V       et,  à   l’unisson !  

Folle journée que la der    E       nière d’une année

Pas d’impair avant qu’elle    I        ne   soit terminée,

Jusqu’ici  pas  d’accident,        L        d’incident notoire

Je ne voudrais pas la finir         L           en séries noires !

Pour ma dernière journée         O           de ski de l’année,

Allez,  schuss : belle rouge        N             pour s’échauffer.

 Ça va très vite,  comment           *              faire  pour arrêter

Dans ces champs  de bos           À             ses, à tout casser !

Étrange, je tiens  encore            *             sur les skis au faite

Remonte  au tire-fesses            C             vers une belle crête

Où   casse-croute  vient           H           me refaire une santé

Contrebas, sur  le flanc           I            d’Aravis trois vallées.

Laquelle  choisir, pour          N          traverser   les   sapins,

Et bonjour  les trous,           A         bonjour plantage alpin

Ce jour, au moins, je          I         n’ai  pas  skié  pour  rien

Et l’année prochaine       L      je m’en souviendrai bien.

La veille de l’an, au     L      réveillon, r  éveillons-nous

Cette nuit à dix,    O    nous amusons  comme fous,

Car cinq filles  N  veulent délurer cinq garçons :

Déguisement, photo, souvenir pour maison.

.

Vin   blanc    coule      à flot,

Foie  gras,     reste  en  bouche,

Festin s’achève, pétards, cartouches,

Feux d’artifices éclatent, dans les vallées,

Tant et si bien, qu’impossible de se coucher.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Evocation

.

319 4

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Nous dirons une sorte de lampion

Très bien  dans  le thème : réveillon

Un lampion va bien avec un réveillon :

C’est une lumière qui réchauffe le cœur

Quelle que soit sa forme, sa luminosité,

Les deux décorent magiquement fond.

Un lampion,  ça rime parfaitement

 Avec fête, avec réveillon :

À minuit on éteint tout, ne garde

Que lui pour s’embrasser !

.

Symbolique 

.

Un lampion

Est un récipient de terre,

De fer blanc ou verre épais

Dans lequel  on met du suif,

Ou de l’huile avec une mèche,

Pour   faire  des  illuminations.

Quand  son  usage  est  décoratif

S’inscrit en tradition particulière,

Abat-jour souvent réalisé en papier,

Parfois creusé dans une légumineuse.

On trouve lampions de diverses formes,

Tailles, modes de construction sont variés.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

318 – Lever, coucher de soleil, montagne   

Alignement central  /  Titre oblique  /  Thème  ski

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : lumière

.

Fond

.

Évocation 

.

319 6

.

Un lampion,  ça rime parfaitement

 Avec fête, avec réveillon :

À minuit on éteint tout et ne garde

Que lui pour s’embrasser !

.

Symbolique    

.

Des fêtes romaines seraient à l’origine

Des festivités du réveillon, qui sont à l’origine

De la Saint-Sylvestre, donnant lieu à de grands festins

Qui permettait de faire en bonne compagnie le pont jusqu’au

Jour de l’an neuf, Jules César a fixé la fin d’année au 31 décembre.

 .

La tradition voulait que plus le repas sera long et les plats nombreux,

Et plus l’année nouvelle sera heureuse  et prospère  en plus des vœux.

 .

D’où  la tradition d’aligner les petits  et grands plats  et de festoyer,

Souvent entre amis mais parfois aussi avec de parfaits inconnus,

Afin de passer au mieux, le cap symbolique de nouvelle année,

En échangeant des vœux pendant les douze coups de minuit,

Puis de s’amuser longtemps jusque très tard dans la nuit.

consoglobe.com/saint-sylvestre-cg

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Réveillon, un mot qui réveille en nous,

Souvenirs et désirs de renouvellements

De finir l’année un peu comme des fous

Commencer une autre, tout autrement !

On appelle cela : des vœux de nouvel an

Mais, malgré tout, peu  seront exaucés ! 

.

Ce ne sont là que des Éclats d’existences,

Formant autant souvenirs de conscience

Que la roue tourne en bon, mauvais sens

Mais que l’on aurait tort  de s’en priver,

Sachant que la vie est de courte durée.

 .

.

Réveillon avec feu d’artifice

.

Scénario

.

Réveillon des plus traditionnels, un sapin en coin de la cheminée,

avec nombre de plats divers, variés, pour pouvoir tenir  la soirée,

sans compter flutes champagnes, bons vins, pour accompagner.

 .

Visuels et textuels  >>  

 

318 – Lever, coucher de soleil en montagne

Visuels et textuels  >>  

.

Hiver, disque du soleil

Pointe un nez embrumé,

Au-dessus, des  pics, cols,

De  ses  sommets, enneigés.

Il éclaire  la chaine d’Aravis,

En dispensant sa timide clarté

Peu à peu il impose sa lumière,

Ouatée, devenant crue, projetée.

.

Il trace le demi-cercle,

Non zénithal, diagonal,

Inonde le  fond  du salon,

Entrée, chambre à coucher.

Son rayon caresse vos joues,

Pour vous réveiller en douceur,

Il est temps de chausser ses skis,

Sur son versant, ensoleillé, royal.

.

Le voici il-lu-mi-nant

Et jusqu’au fond des vallées,

Vainqueur de tous nuages noirs.

C’est sans parler des épais brouillards.

Au point d’éblouir l’œil par réverbérations

Obligeant son regard à se plisser par des fentes,

Pour pouvoir percer blancs de neige les plus variés.

.

Contraste fort la froidure de l’air, en dessous de zéro,

Je me  déshabille, rhabille selon l’ombre,  l’exposition,

Midi, il s’est fixé sur la pointe  du Mont Blanc, là-haut,

Le versant nord est, déjà la victime de son inclinaison.

.

En milieu  d’après-midi, il joue avec les monts, les cols,

Il crée des ilots de lumière et, des forteresses d’ombres,

Plus l’heure passe, et plus son faisceau devient sombre,

Bientôt, il ne sera plus qu’une tache aplatie sur les sols.

.

Il s’éloigne en descendant vers l’ouest plein de mépris,

Derrière les collines, cachées, il fera déjà presque nuit,

Ce soir, du fond des vallées montent encore des lueurs

Avant qu’elles ne se transforment en ciels de couleurs.

.

Il n’y aura pas de rayon vert ni bleu, qui s’en détache,

En montagne le soleil ne s’enfonce pas dans des eaux

Autres que celles de sources mares, lacs…ruisseaux :

On ne le voit de la journée quand, frileux il se cache.

.

Ses jeux d’ombres et de lumières, lueurs et couleurs,

Je les garde intacts, dans mes yeux, tout en dévalant

La pente tantôt obsurcissante  et tantôt éblouissante

Sans les lunettes de protection de ce soleil flambeur.

.

Il se fait tard, les formes géantes

D’un mont étouffent paysage devant

Chalet marron : lumière éclaire le village.

Soleil se couche sur une nuit, d’hiver éternel.

.

.

Extensions

.

Il est tard,

Les formes géantes,

Ramassées, d’un mont,

Étouffent son paysage devant

De notre chalet couleur marron.

.

Des lumières éclairent les villages

Des sapins de Noel et des lampes

Le soleil se couche sur une belle

Nuit d’hiver, éternel.

.

En montagne, au ski,

Le soleil n’est pas toujours

Fidèle heures de rendez-vous

Et pas souvent aussi facétieux,

Il y a aussi la pluie, la neige,

La brume qui vous cache

La piste et paysage.

.

Le soleil ne se lève, ni ne se couche et, pour autant,

Est-ce un abus, une erreur ou une faute de langage,

Apparence tient lieu de réalité en sachant contraire,

C’est toute la beauté, et la poésie, de ces événements

Qui l’emporte sur la vraie réalité, et, pour cela aussi,

Soleil mérite bien de se lever, comme de se coucher,

Et l’on aura jamais fini de les admirer, de les aimer.

.

Le soleil s e lèvera  assez tard,

Se couchera tôt en montagne

Et non pas qu’il soit fainéant

Pas plus qu’il ne soit fatigué

Mais masqué par hauteurs,

Qu’il doit franchir le matin

Par lesquels, caché le soir.

.

Des journées assez courtes,

Où il faut se donner à fond,

Compensées  nuits longues,

Où la fête battra…son plein,

Parfois, jusqu’au petit matin

En somnambules infatigables,

Dont je ne suis, merci : de rien.

.

.

318 – Calligramme   

 .

Hiver, disque du soleil

Pointe un nez embrumé,

Au-dessus, des  pics, cols,

De  ses  sommets, enneigés.

Il éclaire  la chaine d’Aravis,

En dispensant sa timide clarté

Peu à peu il impose sa lumière,

Ouatée, devenant crue, projetée.

.

Il trace le demi-cercle,

Non zénithal, diagonal,

Inonde le  fond  du salon,

Entrée, chambre à coucher.

Son rayon caresse vos joues,

Pour vous réveiller en douceur,

Il est temps de chausser ses skis,

Sur son versant, ensoleillé, royal.

.

Le voici   L     il-lu-mi-nant

Et jusqu’au  E   fond des vallées,

Vainqueur de  V    tous nuages noirs.

C’est sans parler   E  des épais brouillards.

Au point d’éblouir   R  l’œil par réverbérations

Obligeant son regard   * à se plisser par des fentes,

Pour pouvoir percer bla  C ncs de neige les plus variés.

O

Contraste fort la froidure   U   de l’air en dessous de zéro,

Je me  déshabille, rhabille   C    selon l’ombre,  l’exposition,

Midi, il s’est fixé sur la poi   H   nte  du Mont Blanc, là-haut,

Le versant nord est, déjà      E   la victime de son inclinaison.

R

En milieu  d’après-midi, il    *     joue avec les monts, les cols,

Il crée des ilots de lumière    S    et, des forteresses d’ombres,

Plus l’heure passe, et plus     O  son faisceau devient sombre,

Bientôt, il ne sera plus qu’      L une tache aplatie sur les sols.

E

Il s’éloigne en descendant       I  vers l’ouest plein de mépris,

Derrière collines cachées,        L        il fera déjà presque nuit,

Ce soir, du fond des vallées     *    montent encore des lueurs

Avant qu’elles ne se transfor    E    ment en ciels de couleurs.

     N

Il n’y aura pas de rayon vert      *     ni bleu, qui s’en détache,

En montagne le soleil ne s’en   M      fonce pas dans des eaux

Autres que celles de sources      O      mares, lacs…ruisseaux :

On ne le voit de la journée          N  quand, frileux il se cache.

         T

Ses jeux d’ombres et de lumiè   A      res, lueurs et couleurs,

Je les garde intacts, dans mes    G      yeux, tout en dévalant

La pente tantôt obsurcissante    N     et tantôt éblouissante

Sans les lunettes de protection  E   de ce soleil flambeur.

.

Il se fait tard, les formes géantes

D’un mont étouffent paysage devant

Chalet marron : lumière éclaire le village.

Soleil se couche sur une nuit, d’hiver éternel.

.

.

Forme

Réduction 

.

.

Évocation  

.

318 4

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Pas facile d’y voir sa forme précise

Nous dirons une lampe tempête !

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

.

Symbolique

.

La lampe-tempête

Est à pétrole et transportable,

Dont la flamme est protégée du vent.

Il en existe deux modèles, et  améliorés,

Au cours du xxe siècle, à recyclage d’air,

Type ancien,  à recirculation d’air chaud,

Aujourd’hui l e »plus souvent abandonné,

Modèle actuel, à recirculation d’air froid

Et qui s’avèrera nettement plus efficace.

Les deux modèles seront à mèche plate,

Et avec un verre plus ou moins bombé.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

318 – Lever, coucher de soleil, montagne   

Alignement central  /  Titre oblique  /  Thème  ski

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : lumière

.

.

Fond

.

Évocation 

.

318 6

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

 .

 Symbolique 

 .

Les frontières demeurent très  indécises

Entre lumière symbole, lumière métaphore.

La lumière est mise en relation avec l’obscurité.

La lumière succède aux ténèbres. Si la lumière

Solaire meurt chaque soir, elle renaît chaque

Matin, assimilant  le destin de l’homme à

Sa pérennité et sa puissance.

.

Les psychologues, analystes

Ont observé qu’à l’ascension

Sont liées des images lumineuses,

Accompagnées d’un sentiment d’euphorie,

Tandis qu’à la descente, images sombres,

À davantage de sentiments de crainte.

 . 

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Entre le lever et le coucher du soleil,

La lampe-tempête ne vous sert à rien !

Même entre chien et loup, comme on dit,

La luminosité reste suffisante pour guider

Vos pas et vous faire profiter des couleurs

D’un soleil moribond qui se couche vite,

Et se lève, parfois tard, entre monts :

Il est déjà ou encore là, mais caché

L’on ne voit que son reflet flouté.

 .

.

Lever ou coucher de soleil ?

.

Scénario

.

Le lever de soleil est spectaculaire pas ses ombres, couleurs portées,

jusqu’à ce qu’il inonde, de lumière, vallée profonde, toute entière,

lorsqu’il se couchera, son reflet procurer une ambiance feutrée.

.

Visuels et textuels  >>  

317 – Notre beau chalet, sur le mont Aravis

Visuels et textuels >> 

.

Un chalet n’a rien à voir

Avec un bateau mis sur l’eau,

Un chalet se trouve, se construit,

A flanc de montagne ou de coteau.

.

Hiver il a toit de neige

En forme de chapeau

En montagne, perdu,

Sur un haut plateau !

.

Les bois blonds y abondent,

Beaucoup provenant d’un sapin

Qui perdant ses pommes et sève,

Est transformé en planche à pin.

.

Il a, en nom de baptême :

«Chalet traditionnel alpin»

À l’intérieur,  c’est chaud,

Et l’on s’y sent … très bien.

.

En salle commune avec son poêle,

Ou à l’ancienne, grande cheminée,

Chauffe avec rondins de bois fendu

Entassés extérieur pour alimenter.

.

Sa vue plongeante sur les combes

Et une vallée, de son pignon vitré,

Nous offre espace au soleil de midi

Brillant à même de nous émerveiller. 

.

On l’investit seul, en groupe, en famille…entre amis,

On l’aime bien au pied des pistes vierges… enneigées,

On  voit  le village, la ville, loin, en dessous, illuminés,

On se sent ailleurs, nulle part, à mille lieues, de Paris.

.

Loin des mille et un soucis  d’un  quotidien, stressant,

Ici, on goute la vie et montagne, ici, on prend le temps

D’être en phase avec soi-même, les autres, et la nature

Jusque milieu de nuit, clair de lune éclaire neige pure.

Le repas s’éternisant et le bon vin chaud, ragaillardant

Chacun y va de son couplet, de son refrain…déconnant.

.

Un chalet n’est pas un bateau mais on le trouve… beau,

Un chalet est comme un ilot, nous immergeant là-haut.

Parfois, pendant, après, une  tempête, très avalanchée :

On s’y retrouve, soudain, reclus, perdus, isolés, de tout,

Mais le bois, qui craque, flambe, fume  de la cheminée,

Est signe  qu’un refuge intérieur  nous rassure, en tout.

.

Dans certains, des animaux occupent  rez-de chaussée,

Moutons, veaux, vaches en hibernation, avec le berger,

Dans d’autres, une ferme auberge, a élu droit de servir,

Randonneurs, skieurs et visiteurs,  pour les rafraichir !

.

En  montagne illuminée

Par la présence de lumières,

On se sent tous bien, tous à l’abri

Des froideurs, et rigueurs de l’hiver.

.

.

Extensions

.

Que dire de plus

Sinon que tout contraste

Jouera, très  fort, ici,

Entre jour et nuit,

Entre chaleur et froideur,

Entre activité et repos,

Entre sortie et repas

Et facilite des rencontres

Aventureuses et qui

Fabriqueront des

Souvenirs impérissables.

.

Des chalets en montagne, il y en aura de toutes sortes

Des petits, des grands, des immenses même des barres.

Les plus authentiques en rajoutent question ambiances,

On se croirait au siècle dernier, s’il n’y avait l’électricité !

Cela dit, au moins tel dépaysement serait plus que total !

Les exotismes marins des iles  peuvent aller se rhabiller

Le feu dans la cheminée, le pin qui craque de partout,

Sans parler ambiance fantôme ours en la chambrée

Pour un peu on resterait siester toute la journée.

.

Chalet en bois doré et feu de cheminée

Table de monastère, chaise basculante

Des chambres avec des lits superposés

Ou grands, séparés avec peaux de bête

Je crois qu’on a fixé comme un cliché,

En réalité on y trouve l’IKEA mobilier.

.

La perte de charme due à la modernité,

N’a de gain que l’argent que vous verser

Vieux et pur chalet vous coutera un bras

Isolé en forêt et facile d’accès : les deux !

Mais le nôtre était très bien à mi-chemin

Entre traditions et commodités … super !

.

.

317 – Calligramme

.

Un chalet n’a rien à voir

Avec un bateau mis sur l’eau,

Un chalet se trouve, se construit,

A flanc de montagne ou de coteau.

UN BEAU

Hiver il a toit de neige

En forme de chapeau

En montagne, perdu,

Sur un haut plateau !

CHALET,

Les bois blonds y abondent,

Beaucoup provenant d’un sapin

Qui perdant ses pommes et sève,

Est transformé en planche à pin.

SUR LE

Il a, en nom de baptême :

«Chalet traditionnel alpin»

À l’intérieur,  c’est chaud,

Et l’on s’y sent … très bien.

MONT

En salle commune avec son poêle,

Ou à l’ancienne, grande cheminée,

Chauffe avec rondins de bois fendu

Entassés extérieur pour alimenter.

ARAVIS

Sa vue plongeante sur les combes

Et une vallée, de son pignon vitré,

Nous offre espace au soleil de midi

Brillant à même de nous émerveiller. 

.

On l’investit seul, en groupe, en famille…entre amis,

On l’aime bien au pied des pistes vierges… enneigées,

On  voit  le village, la ville, loin, en dessous, illuminés,

On se sent ailleurs, nulle part, à mille lieues, de Paris.

.

Loin des mille et un soucis  d’un  quotidien, stressant,

Ici, on goute la vie et montagne, ici, on prend le temps

D’être en phase avec soi-même, les autres, et la nature

Jusque milieu de nuit, clair de lune éclaire neige pure :

Le repas s’éternisant et le bon vin chaud, ragaillardant

Chacun y va de son couplet, de son refrain…déconnant.

.

Un chalet n’est pas un bateau mais on le trouve… beau,

Un chalet est comme un ilot, nous immergeant là-haut.

Parfois, pendant, après, une  tempête, très avalanchée :

On s’y retrouve, soudain, reclus, perdus, isolés, de tout,

Mais le bois, qui craque, flambe, fume  de la cheminée,

Est signe  qu’un refuge intérieur  nous rassure, en tout.

.

Dans certains, des animaux occupent  rez-de chaussée,

Moutons, veaux, vaches en hibernation, avec le berger,

Dans d’autres, une ferme auberge, a élu droit de servir,

Randonneurs, skieurs et visiteurs,  pour les rafraichir !

.

En  montagne illuminée

Par la présence de lumières,

On se sent tous bien, tous à l’abri

Des froideurs, et rigueurs de l’hiver.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

317 4

.

Une tour, un minaret, un cairn,

Ou une sorte de piston, ou ressort

Nous dirons une lampe tempête 

Qui éclaire de sa chaude lumière.

.

Lampe tempête garde sa lumière,

qu’il vente, qu’il pleuve  qu’il neige,

elle est symbole même du guidage,

tant sa forme inspire tant son fond.

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

 .

Symbolique 

.

La lampe-tempête

Est à pétrole et transportable,

Dont la flamme est protégée du vent.

Il en existe deux modèles, et  améliorés

Au cours du XXe siècle, à recyclage d’air,

Type ancien,  à recirculation d’air chaud,

Aujourd’hui l e »plus souvent abandonné,

Modèle actuel, à recirculation d’air froid

Et qui s’avèrera nettement plus efficace.

Les deux modèles seront à mèche plate,

Et avec un verre plus ou moins bombé.

Modifié, source : Wikipédia

.

Descriptif

.

317 – Un beau chalet, sur le mont Aravis 

Alignement central  /  Titre absent  /  Thème  ski

Forme droite / Rimes égales / Fond approché de forme

Symbole de forme : lampe  /  Symbole de fond : lumière

 

.

Fond

.

Évocation 

.317 6

.

Quoi de plus courant que lampe tempête

Dans un chalet pour faire face

En lumière à éventuelle coupure de courant

 Tant au-dedans qu’au dehors.

 .

Symbolique

 .

L’intensité de lumière

Est une grandeur qui exprime

La capacité à éclairer d’une

Source très ponctuelle de lumière

Dans une direction donnée.

Dans un environnement plus obscur,

La vision humaine ne distingue

Plus les couleurs, et la sensibilité

Spectrale relative se décale vers le bleu.

On parle de vision scotopique.

Entre les deux domaines de luminosité,

On parle de vision mésopique.

Wiki intensité lumineuse

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Rien à voir entre la lampe tempête et chalet

Encore que, il faut un temps, le seul éclairage

Possible  quand le vent  se mettait de la partie,

Pour marcher la nuit et bien que  clair de Lune.

.

En montagne si on ne voit pas bien, n’y voit rien

On pourra tomber dans un trou ou dans un ravin

La vue du moindre  chalet, ou  de refuge de berger,

Est, de suite rassurante et bienvenue, en protection.

.

Qu’ils soient rudimentaires spartiates ne gêne guère

On se contente de peu  quand on est en pleine galère.

Mais on en trouve aussi des cosys comme des cocons

Où l’on se sent confortable et à l’abri et pour de bon.

 .

.

Grand village de chalets

.

Scénario

.

Un chalet ancien, authentique, fait tout en bois et bien rouge,

et dont son intérieur reste plutôt cosy, chaud, et même douillet,

sans parler des lits type nordique comme pure invitation à rêver !

 .

Visuels et textuels >> 

316 – Notre descente en skis du mont Aravis

Visuels et textuels  >>  

.

Le ski

Est sport

Est un loisir

Est un marché

Descente  à  pied

Suppose   remontée

Mécanique tire-fesses

Ou en œufs  en cabines.

La descente est pratique,

Qui  ne s’improvise guère,

Ça glissera et ça tournera,

Du côté de la pente, raide

Ou  douce  selon  terrain.

Jambe  cassée, entorse,

Genou tordu sur bosse

Sont au rendez vous

Pour débutant

L’imprudent.

Le ski         |      simple

c’est facile      |     je te montre

hop je chausse     |    et skis je presse.

hop je mets gants   |    lunettes et bonnet

hop, au  télésiège    |   enserre  tire-fesses

hop, suis  en haut   |    pousse  et on y est,

me  voici  fin prêt    |   première  descente

attention à bosses   |    plaques  sur pente,

je  plonge,  je  vire   |    et  je  recommence

au-dessus    skieur   |   tout schuss,   pense

à m’éviter à droite    |   me fonçant  dessus

si tombe suis mort   |   frappé,  transpercé,

planchiste   affolée   |   dérape  à moi salut

émotions  intenses   |   descentes  répétées

la neige poudreuse   |     ici devient verglas,

le domaine  Aravis    |    grand, ne finit pas

la  rouge  me  tend    |    en kilomètre glisse

ne  m’arrêtera  pas    |    jusqu’en bas, hisse

temps n’a pas prise   |     bien que un degré,

au-dessous  de zéro   |    les plateaux  gelés,

y a plus  qu’espérer    |   que manteau blanc

en   neige  éternelle    |   fonde  Mont-Blanc

la marche  pataude    |   chaussures  plomb

les  skis   les bâtons   |   claquent sur béton

ma tête  est  encore   |  sous un grand soleil

dans une sensation   |   nulle autre pareille

va-t’en, dégage vite   |  de passage  danger

petit ou plus grand   |   droit, parabolique

tous savent glisser  |   tourner et freiner

même planche    |     guère flanche

et bosse          |       cabosse.

.

.

Extensions

.

On peut apprendre

À skier à tous les âges

En faire jusqu’au plus grand âge,

À condition de respecter les consignes

À la fois  de prudence, et de sécurité,

Et  de ne pas  chercher  à  dépasser

Son niveau et vitesse de croisière.

.

Il m’est arrivé  de perdre un ski,

Qui s’est enfoncé sous la neige

Lors d’un grand vol plané.

.

Il a fallu sonder la neige

Avec le bâton pour au bout

D’une demi-heure le retrouver

Plus en amont que je ne le croyais.

.

Un ski, cela  demeure  quand même

Plus grand qu’une paire de lunettes

Ou un gant et en plus, il était noir,

L’aurais-je retrouvé… si blanc !

.

De la pente, de la pente… encore et toujours de la pente.

Surtout ne pas oublier de tourner  et chasser, en rythme.

Le schuss, tout droit, n’est permis  qu’à certains endroits.

Hormis les compétitions, le chrono n’est pas de la partie :

Faire mieux que la dernière fois, après tout, pourquoi pas

Vite un caillou je glisse, mais le ski n’est pas sur roulettes

Si caillou pourra le faire dévier, pas empêcher de glisser

Dieu merci le ski est souple, il encaisse certains coups,

Sinon je ne vous dis que ça, gare à torsion du genou.

.

Je ne suis pas un champion de descente

Cela va sans dire… c’est un sujet glissant.

C’est pas naturel de se pencher en pente,

Je le fais sinon sur fesse ou dos tombant.

.

Prendre de la vitesse est, certes, grisant,

Mais trop, cela devient, vite, angoissant

Si on ne doit pas descendre vitesse lente

Il vaut mieux s’arrêter…  skis en attente !

.

Il m’est arrivé, des fois, dans le brouillard,

De descendre «tout schuss» sans savoir où.

Aveugle n’aura pas fait mieux d’éviter ravin,

Il y a seconde vue, chez skieurs inconscients !

.

.

Épilogue

.

Casse ta gueule en skis : merci  pour lui.

Non ce n’est pas mon nom, de personne

Mais cela peut arriver, à n’importe qui !

***

Moi le premier qui n’est qu’un amateur,

Mal équipé, mal habillé …  mal entrainé,

Sur plaque de neige  glacée, en hauteur !

***

Descente sur noire ne me ferait pas peur

Mais  c’est  certain : pas à cent à l’heure :

Je tiens trop  à rester  en vie, par ailleurs

Je suis accompagné  par famille, entière.

***

Voilà-t-il pas qu’un imprévu me déporte,

Après trois méchantes bosses … un trou :

Un de mes skis se fait la malle,  il percute

Un mont de neige poudreuse et disparait

***

Plat ventre, nez dans la neige, contrebas :

 Je me relève groggy, je me tâte de partout,

Rien de cassé mais … je n’ai plus qu’un ski

C’est grâce à la suite que je le retrouverai.

***

Car, un moment, j’ai cru qu’il avait glissé,

Jusqu’en bas … vous me voyez sur un seul,

L’air d’un homme, avec une jambe de bois,

Moralité, en ski, faites-vous accompagner !

.

.

316 – Calligramme  

 .

U N E

Le pur ski

Est  D  sport

Est un  E    loisir

Est un       S  marché

Descente      C      à pied

Suppose la     E   remontée

Mécanique     N     tire-fesses

Ou en œufs     T      en cabines.

La descente    E       est pratique,

Qui ne s’im      *      provise guère,

Ça glissera      E     et ça tournera,

Du côté de       N    la pente raide

Ou douce se      *      lon terrain.

Jambe cassée    S     entorses,

Genou tordu      K     bosses

Sont au rendez  I   -vous

Pour débu    S  tant

L’imprudent.

D  U     M  O  N  T

Le ski                       simple

c’est facile       |     je te montre

 hop je chausse     |     et skis je presse.

hop je mets gants   |    lunettes et bonnet

hop, au  télésiège    |   enserre  tire-fesses

hop, suis  en haut   |    pousse et on y est,

me  voici  fin prêt    |   première  descente

attention à bosses   |   plaques  sur pente,

je  plonge,  je  vire   |  et  je  recommence,

au-dessus    skieur   |   tout schuss,   pense

à m’éviter à droite   |   me fonçant  dessus

si tombe suis mort  |  frappé,  transpercé,

planchiste   affolée   |   dérape  à moi salut

émotions  intenses   |   descentes  répétées

la neige poudreuse   |    ici devient verglas,

le domaine  Aravis   |    grand, ne finit pas

la  rouge  me  tend   |    en kilomètre glisse

ne  m’arrêtera  pas   |    jusqu’en bas, hisse

temps n’a pas prise  |    bien que un degré,

au-dessous  de zéro  |    les plateaux  gelés,

 y a plus  qu’espérer   |    que manteau blanc

en    neige  éternelle  |    fonde  Mont-Blanc

la marche  pataude   |    chaussures  plomb

les  skis   les bâtons  |   claquent sur béton

 ma tête  est  encore  |  sous un grand soleil

dans une sensation   |   nulle autre pareille

va-t’en, dégage vite  |  de passage  danger

petit ou plus grand  |   droit, parabolique

tous savent glisser   |    tourner et freiner

même planche    |     guère flanche

et bosse                cabosse.

A   R   A   V   I    S  

.

.

Forme

Réduction

.

.

.

Évocation 

.

316 4

.

Une paire de skis,

Avec un skieur dessus

Et en mode  de plongée

Vers le bas, tout schuss.

.

Ski chausse et s’accorde au skieur

encore qu’il y aura skis et skieurs :

un bon skieur avec de mauvais skis

fera mieux qu’inverse forme égal fond

.

Ce seraient-là, et, visiblement,

Des skis simples, pour débutants

On fait beaucoup mieux en gamme :

Faut savoir s’en servir comme skieur.

.

Symbolique 

 .

Adaptés aux natures enneigées,

Les skis  permettent  d’y évoluer

Avec aisance, vélocité  et plaisir !

.

La neige représentant les énergies

D’amours gelées : on peut  déduire

Que le  skieur  aura  été  confronté à

Cette difficulté relationnelle affective,

Dans l’enfance, ou une relation actuelle.

.

Ce peut être rejouance aussi, dans le couple.

Comme tous les accessoires qui vont par paire,

Le ski représente un comportement lié au couple.

.

Si le ressenti du déplacement en ski, reste agréable,

Le rêveur prendra du plaisir actuellement et avancera

Facilement, même dans un couple froid ; il sait s’adapter.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/Ski

.

Descriptif

.

316 – Une descente en skis du mont Aravis  

Alignement central  /  Titre serpente  /  Thème  ski

Forme droite / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : skis  /  Symbole de fond : alpins

.

.

Fond

.

Évocation 

.

316 6

.

Ce seraient-là, et, visiblement,

Des skis simples, pour débutants

On fait beaucoup mieux en gamme :

Faut savoir s’en servir comme skieur.

.

Symbolique 

 .

La descente est la discipline

La plus rapide et ses parcours

Sont les plus longs des épreuves

De ski alpin appelées des géants.

.

Descente combine maîtrise technique

Vitesse à l’état pur et un grand courage

Ski hors-piste : skier ou surfer hors-piste

Consiste à arpenter  pentes  non balisées,

Non surveillées et bien sûr non damées.

.

Cette pratique procurera davantage

De sensations que le ski sur piste,

Mais elle restera également

Des plus dangereuses.

skiset.com/lexique/

disciplines-ski-glisse

.

..

Corrélations

Fond/forme 

 .

Une fois monté là-haut au sommet des pistes

Il n’y a d’autre solution que descendre à skis,

À pied ce sera une telle galère  et telle fatigue,

Qu’on aura plus jamais envie de recommencer,

.

Faut dire que dix minutes pour monter, et deux

Pour descendre, c’est cher payé, en temps perdu

Mais essayez donc de monter avec des skis fartés

Ça prendrait une heure…sinon deux, et voire plus.

 .

.
Piste pour longue descente

.

Scénario 

.

Notre arrivée dans télésiège jusqu’au col du mont Aravis,

prêts pour se jeter en pente afin de faire du hors-piste,

et une fois dans le bain, tout schuss en tournant.

 .

Visuels et textuels  >>  

315 – La balade avec raquettes en La Clusaz

Visuels et textuels  >>  

.

Raquette

N’est pas racket

Pratique, et pas cher,

Pour marcher toute neige

Facile chausser  déchausser

Indispensable, en forte  pente,

Et plus encore rapide, descente.

.

On peut aller partout hors-piste,

Des randonnées, y en a des listes,

Et on ne risque  pas de  se blesser,

En plus, on  aura temps  d’admirer

Des monts, paysages, tout  enneigé.

.

On aura tort de vouloir s’en priver

Et puis il y a chalets, restaurants,

Où on peut se reposer et manger

Avant entamer descente station

Rendre ses raquettes, garder

Au choix, si le plaisir y est.

Balade

Neige et soleil,

Marcher avec raquettes,

Six adultes montent tout là-haut

À La Clusaz, au plateau Beauregard,

Ce nom ne lui pas été donné par hasard,

.

Quand on le voit, et on y marche … c’est beau

Comme les traces de nos douze raquettes rondes,

Qu’on laisse, derrière soi, sont larges, non profondes,

Elles nous chatouillent les oreilles de leurs craquements

Quand on est bien équipé, l’on se sent, pleinement, vivant.

.

Chalet par ici, chalet par-là, une demi-douzaine disséminés

Sur ce plateau pour les alpages d’été  et ses fromages laitiers,

Reblochons, tartiflettes, que l’on mange le soir, jusqu’à satiété

Avec saucissons, avec  lardons, avec  vins  apremonts, du  pays.

.

Ce n’est pas encore ici qu’on va mourir de faim, je crois, merci.

Émerveillés,  nous finissons la pause-déjeuner, ce midi en  assis

À une table, à la terrasse d’un chalet, qui nous tendait  les bras !

Fini le repos : en route, belle troupe, et, attention aux faux pas !

.

Miracle … On dirait que c’est le Mont Blanc qui émerge là-bas !

Il se trouve à  environ quatorze lieues d’ici, enfin à vol d’oiseau.

Dieu qu’il est grand … Dieu qu’il est près… Dieu qu’il est beau.

Le jour viendra où l’on grimpera peut-être là-haut sur le dos.

.

La descente se fait par un long chemin, à travers les sapins.

Le paysage change à chaque dénivellation, chaque virage

Au bout d’un temps, rejoignons déchaussés, le village,

Fatigués, charmés, impatients de prendre un bain.

.

Fouler la neige est  un  des plaisirs  enfantins,

Qui même après bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé

De blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

.

.

Extensions

.

Au bout d’un temps,

Nous rejoignons, déchaussés,

Le village, assez fatigués, charmés,

Et très impatients de prendre un bain.

Fouler la neige est un des plaisirs enfantin,

Qui même  après  bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé par

Blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

Sans commentaire

Sauf à en tomber

De ses raquettes !

Dans  des  endroits

Avec un mètre de neige

On ne pourrait s’en passer.

.

Il y a eu un temps où il y avait peu différence

Entre raquette de tennis, et raquette à neige !

Qui s’imagine randonner sur raquette tennis :

Aujourd’hui et bien pire encore pour  l’inverse.

S’enfoncer jusqu’au genou  dans la neige molle,

C’est drôle, enfantin, mais, au bout d’un temps,

Ça lasse, ça fatigue beaucoup, et cela, pour rien,

Tant la petite surface, avec trous sous ses pieds,

Vous maintient au-dessus du manteau neigeux.

.

Des raquettes, mais enfin c’est pour les vieux

Ça n’a rien de sportif, c’est en canard pataud,

Attendez donc d’en faire en neige poudreuse !

.

De toute façon vous n’aurez guère autre choix,

J’ai tenté de faire cent mètres, flanc de colline :

L’effort pour soulever une jambe est trop grand.

.

Tandis qu’avec des raquettes les doigts dans le nez

Disons, pas de pieds s’enfonçant jusqu’aux cuisses.

Enfin quand même, les dix kilomètres… ça fatigue !

.

.

315 – Calligramme  

Raquette

N’est pas  B  racket

Pratique, et  A  pas cher,

Pour marcher  L  toute neige

Facile chausser   A     déchausser

Indispensable, en D     forte  pente,

Et plus encore rap E    ide, descente.

On peut aller par      *   tout hors-piste,

Des randonnées,       R   y en a des listes,

Et on ne risque pas   A        de  se blesser,

En plus, on  aura      Q  temps  d’admirer

Des monts, paysa     U    ges, tout enneigé

On aura tort de       E  vouloir s’en priver

Et puis il y a cha    T    lets, restaurants,

Où on peut se re  T   poser et manger

Avant entamer  E  descente station

Rendre ses ra  S  quettes, garder

Au choix, si le plaisir y est.

Balade

Neige et soleil,

Marcher avec raquettes,

Six adultes montent tout là-haut

À La Clusaz, au plateau Beauregard,

Ce nom ne lui pas été donné par hasard,

Quand on le voit, et on y marche … C’est beau

Comme les traces de nos douze raquettes rondes,

Qu’on laisse, derrière soi, sont larges, non profondes,

Elles nous chatouillent les oreilles de leurs craquements

Quand on est bien équipé, l’on se sent, pleinement, vivant.

Chalet par ici, chalet par-là, une demi-douzaine disséminés

Sur ce plateau pour les alpages d’été  et ses fromages laitiers,

Reblochons, tartiflettes, que l’on mange le soir, jusqu’à satiété

Avec saucissons, avec  lardons, avec  vins  apremonts, du  pays,

Ce n’est pas encore ici qu’on va mourir de faim, je crois, merci.

Émerveillés,  nous finissons la pause-déjeuner, ce midi en  assis

À une table, à la terrasse d’un chalet, qui nous tendait  les bras !

Fini le repos : en route, belle troupe, et, attention aux faux pas !

Miracle … On dirait que c’est le Mont Blanc qui émerge là-bas !

Il se trouve à  environ quatorze lieues d’ici, enfin à vol d’oiseau.

Dieu qu’il est grand … Dieu qu’il est près… Dieu qu’il est beau.

Le jour viendra où l’on grimpera peut-être là-haut sur le dos.

La descente se fait par un long chemin, à travers les sapins.

Le paysage change à chaque dénivellation, chaque virage

Au bout d’un temps, rejoignons déchaussés, le village,

Fatigués, charmés, impatients de prendre un bain.

Fouler la neige est  un  des plaisirs  enfantins,

Qui même après bien des années, revient

Toujours aussi ému, ébloui, aveuglé

De blancheur neige immaculée.

On ne s’ennuie jamais.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

315 4

.

Une poêle à frire ou flacon,

Deux formes  de raquettes,

À neige, une ancienne, en haut

Actuelle, en bas, à randonner.

.

Raquettes vous évitent de vous

Enfoncer, dans  la  neige, épaisse,

On pourra randonner partout avec

Mais attention … aux fortes pentes !

.

Symbolique 

.

Pratiquer

La raquette à neige

Dans les plus beaux décors

Hivernaux procure un bien-être

Immense  pour le corps et l’esprit.

.

Sa simplicité en fait le sport d’hiver

Le plus facile parmi tous les autres

Dès lors, si vous pouvez marcher,

Vous pouvez « raquetter ».

.

De toutes inventions pour se mouvoir dans la neige,

Aucune autre n’est à la fois aussi simple et efficace.

C’est probablement pourquoi il a fallu attendre

8 000 ans avant que s’opère une révolution

Technologique considérable : la venue,

Dans les années 1980, de raquettes

En aluminium et en composites

Munies de crampons.

gvsnowshoes.com/fr/

histoire-de-la-raquette

.

Descriptif

.

315 – Une balade en raquettes à La Clusaz  

Alignement central   /  Titre courbe   /   Thème  ski

Forme en ovale / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : raquettes  /  Symbole de fond : rando

.

.

Fond

.

Évocation 

.

315 6

.

Raquettes vous évitent de vous

Enfoncer, dans  la  neige, épaisse,

On pourra randonner partout avec

Mais attention … aux fortes … pentes !

.

Symbolique 

.

Station

En plein hiver

Bien des amoureux

De nature et randonnée

Aiment partir à la conquête

Des petits sommets enneigés,

Loin des remontées mécaniques

Et skieurs qui dévalent les pentes,

Lors d’autres feront du ski de rando.

.

Les marcheurs,  quant à eux, opteront

Pour la randonnée avec des raquettes

Vous offrant large surface sous les pieds

Afin de votre poids sur la neige et ainsi

Vous évitez de s’enfoncer à chaque pas

En épaisses couches   de  neige molle.

Modifié, source : auvieuxcampeur.fr/

guide-de-choix-raquettes-neige

.

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Il n’y a de lien commun entre raquettes

De neige et de tennis que : mains et pieds

Et je ne me verrais, point, jouer au tennis,

Avec une raquette de neige, et inversement.

.

Cela dit, il paraitrait difficile  de s’en passer,

Pour plaine de neige   d’un mètre de hauteur,

Sans compter descendre et monter assez à pic

Mais pour bien courir avec,  c’est un vrai défi !

 .

.

Le village de La Clusaz !

.

Scénario

.

Une paire de raquettes modernes, avec ses deux fins bâtons, carbone,

avec la manière de les chausser facile et les tenir, pour toute flexion,

avant d’entamer une très longue randonnée sans le moindre souci.

 .

Visuels et textuels  >>