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Visuels suggestion de scénario
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Se changer d’abord soi-même
et profondément,
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avant de vouloir changer
les autres tout bousculer,
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et aussi savoir attendre
le bon moment pour changer.
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Textuels calligramme / extensions
£ + & #
- £ Changer, c’est énergie de vie, changer de ci, changer pour ça : mobilité professionnelle, familiale, pour poursuivre, ou, recommencer ! Changer pour revenir est une parenthèse, changer pour quitter est une hypothèse, d’un meilleur sort ou très différent des limites, contraintes, précédent. Cela procure des vies multiples, dont certaines, doubles, voire triples, où certaines gens se perdront, lors d’autres se trouveront. Changer de lieu, programme, activité, de temps à autre il faut se débrancher, être quelque autre ailleurs, un temps, équilibrer ses rêves et ses tourments. Partir, pour ne plus jamais revenir, partir pour souffler, mieux devenir, partir sans savoir ce qui va venir, partir pour éclater d’envies d’en rire. Autant de raisons et autant de façons, de rompre avec son quotidien ronron, prendre recul nécessaire, pour de bon, avant d’en arriver à péter les plombs ! Partir seul, en couple, en famille, amis, partir avec d’autres, inconnus, ennemis, partir droit devant, à l’instinct, aventure, partir pour se réfugier en sauvage nature. Juge de paix qu’un court ou long séjour, qui mettra en sa balance tous les amours, avec des alternances, retour et non-retour et plaidoyers pour jamais contre toujours. Et puis un beau matin, en pleine lumière, le destin nous fait signe pour vous avertir de rester, aller plus loin, voire de revenir : aujourd’hui n’est pas demain et fini hier. C’est ainsi que liberté choisie conquiert une vie, pour la rendre plus attachante à nos yeux, aux yeux de tous et nous serons fier d’elle en tant qu’amant, ou en tant qu’amante.
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- + La routine est le pire des pièges car elle nous enferme dans la répétition du même sans pouvoir en rien la maîtriser. Rompre la routine permet de prendre du recul par rapport à elle, par rapport à soi-même, à sa dépendance aux autres et à ses propres obsessions. Partir ailleurs faire autre chose, avec d’autres gens ou seul fait partie d’une bonne hygiène de vie et d’un salut de l’esprit ? Partir crée une rupture dans me ronronnement du quotidien et laisse des souvenirs, des marques sur le calendrier, d’un avant et d’un après. S’évader est une nécessité, ne serait-ce que pour respirer, se ressourcer : « va-t’en ailleurs prendre l’air, ça te fera du bien » certains rajoute ; « à moi aussi » dont acte !
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- & Je ne suis pas pour le changement pour le changement sinon ce ne serait rien d’autre qu’une pure fuite en avant qui se terminerait par un retour en arrière en l’économie, sans compter de cultures diversifiées ou pire, d’humanité. Le changement est nécessaire et bénéfique s’il a été pensé sinon ce n’est autre que de l’énergie, argent mal dépensé. Avant de changer pensez-y et faites le : le monde a bougé avec ou bien sans vous et il ne vous aura guère attendu, rien qu’à le regarder, sans rien faire, vous serez déçus.
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- # La vie n’est pas que mouvement, elle est tout autant changement, changement de lieu et de temps, changement relations, d’amant ! Changer pour changer ne fait rien, pour quelque chose faisant du bien, pour quelque valeur vers nouveautés, pour s’adapter au monde déstabilisé. Changer est plus facile à dire qu’à faire, il y a des choses, dont il faut se défaire : si on a le restant de sa vie pour se refaire, il reste que notre vie se doit nous satisfaire.
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Textuels symboliques et corrélations
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Changement
- Symbolique de forme : Depuis plusieurs années, le concept «Génération Y» fait couler beaucoup d’encre. Cette génération, récemment arrivée sur le marché du travail, parfois décrite : cauchemar des RH, voire des managers, semble être le symbole des changements du monde de l’entreprise. C’est le point de vue de B. Chaminade, qui préfère parler de « Culture Y » plutôt que de se focaliser sur un débat générationnel. blog-emploi.com/la-generation-y -symbole-du-changement-en-entreprise
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Mobilité
- Symbolique de fond : La mobilité est souvent dépeinte comme symbole d’ouverture vers l’autre, vers le monde, d’inclusion sociale, tandis que l’immobilité est associée à l’exclusion, la fixité, l’ancrage, l’immobilisme. Les mobilités et immobilités, dans l’espace géographique, apparaissent ainsi associées dans les représentations et les imaginaires, à mobilités ou immobilités en l’espace social. Les déplacements géographiques ont alors l’image d’être, également, des mouvements sociaux, d’ouverture, d’intégration, voire de changement social. journals.openedition.org/sociologies/La mobilité
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Ouverture >mobilité/immobilité, espace physique/espace social
- Liens fond/forme : Mobilité contre l’immobilité, espace physique/espace social, lutter contre une psychorigidité qui nous empêche d’être normal qui fait, peu à peu, perdre pied, qui fait vouloir au monde entier.
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