.
Visuels suggestion de scénario
.
.
Dieu et soi, faut y croire en sa vie :
Dieu est lumière, et Dieu est amour.
.
.
Dieu et soi, dilemme après sa mort :
pourquoi garder la forme humaine ?
.
.
Tout le monde voudra vivre en paradis
terrestre, or peu de monde le peuvent.
.
Textuels calligramme / extensions
£ + & #
- £ Dieu a forcément quelque chose à voir avec nous et que ce soit lui qui nous ait inventé ou le contraire. Quelque chose, mais quoi : mystère, sur notre Terre, dans les Cieux, enfin les nôtres et qu’on imagine. Il se peut que j’en fasse partie et sans le savoir, en un grand Tout et que je le découvrirai, seulement une fois mort, fini ! Dieu a-t-il à voir avec les hommes ! Ne serait-ce pas plutôt les hommes qui auraient à voir avec Dieu ! Il y a tant de pensées, de paroles, de comportements, d’actes, de visions philosophiques, de morales et religions différentes entre les hommes que Dieu lui-même s’y perdrait en tout cela ! L’homme, il sait ce que c’est et pour cause : fait à son image et à sa ressemblance dit la Genèse dans la Bible, si ce n’est l’inverse, Dieu en tant que surhomme, tellement divin qu’il en est abstrait. Etre un homme c’est par définition être imparfait : il comporte des manques et des manquements à la sacrosainte loi de la déité. Il y en a bien qui s’en approchent ou s’en sont approchés : les prophètes, les rois, les apôtres, les saints, les gourous, les guides. Moi, je ne suis rien de tout cela, je ne suis qu’un homme parmi tant d’autres et je n’ai pas vocation à me sanctifier outre mesure. Je n’imagine pas non plus une balance dans la main de Dieu pour peser les âmes et garder les plus légères et transparentes. Cela dit, rien n’empêche que j’hérite à la naissance ou dès la conception d’une infime parcelle de Dieu que je rends, mort. Mais que Dieu soit un Tout lointain en l’Univers ou un atome immanent en nature, en chacun de nous, ne change rien : nous avons besoin d’entité créatrice du Monde au-dessus de nous. Que Dieu me pardonne de n’être qu’un homme mais peut-on lui pardonner de nous avoir fait ce que nous sommes et, mortels, en sus.
.
- + Dieu a forcément quelque chose à voir avec nous, puisqu’on le nomme, puisqu’on l’invoque puisqu’on le bénit, puisqu’on le craint mais s’agit-il d’un Dieu vivant, qui s’intéresse à notre sort ou d’un dieu inventé pour compenser l’idée et la réalité de notre mort, inacceptable pour notre esprit humain : là est toute la question qui reste insoluble depuis l’origine de l’Univers. Ce qui est certain c’est qu’il a bon dos pour régler des conflits proprement humains qu’on transforme en colères divines et en guerres !
.
- & Dieu est notre explication d’origine et de vie sur Terre. Pourquoi alors nous abandonnerait-il, moi, Humanité. Moi, passe encore : je ne sais si je mérite son attention. L’Humanité passée, présente et à venir, on en fait quoi ? Et pourquoi ceux qui croient, ont cru, seraient sauvés ? Des milliards de gens ne savaient pas que Dieu existe : Dieu les a-t-il condamnés pour leur faute de l’ignorer !
.
- # Que peut-on vraiment dire de Dieu : Dieu est Amour, disent les chrétiens, Dieu est Puissant, disaient les païens, Dieu est ceci, cela, n’est rien et tout. Être éternel, unique, créateur et juge. D’accord mais ce sont là des attributs que l’homme aura fort projeté sur lui sans lui demander son approbation ! Quant à nier …l’existence de Dieu ou quant à se prendre pour lui, cela reviendrait
.
.
Textuels symboliques et corrélations
.
.
Dieu
- Symbolique de forme : Une vraie image de Dieu : qu’est-ce que cela peut signifier ? Idem, l’homme fait à l’image de Dieu, et la conception intelligente de l’Univers ? Quel choix entre la Création ou l’Évolution ? Pourquoi importance de la musique pour nous ? Pourquoi avons-nous développé un sens artistique ? Pourquoi y aurait-il de l’amour entre nous ? Voilà autant de questions, lancinantes, non tranchées, et qui rapprochent ou qui nous éloignent de Dieu.
.
Anthropomorphisme
- Symbolique de fond : L’anthropomorphisme a mauvaise presse. On le considère comme une erreur philosophique et comme un blasphème religieux. Il rend Dieu, Humain, il ne perçoit pas sa divinité et il oublie l’altérité, et il nie la différence entre Dieu et l’homme. On l’accuse de tous les maux. Il serait responsable des superstitions, des idolâtries, des déviances religieuses. En ce sens, tout ce que nous disons de Dieu est anthropomorphe mais on ne doit pas se taire, se réfugier en silence, refuser discours sur Dieu : l’assumer, ayant conscience des limites. Il n’est ni entièrement faux, ni entièrement vrai. Le rejeter totalement est tout autant une erreur qu’utiliser sans critique. Il faut le relativiser. andregounelle.fr/vocabulaire-theologique/anthropomorphisme.
.
Dieu/nous >
- Liens fond/forme : Dieu nous aurait conçus à son image ou l’homme, anthropomorphisé par Dieu ? Une question métaphysique, vrai enjeu, qui fait de nous, des fous ou des sages. Comment faire comprendre un concept sans illustration, métaphore. De fil en aiguille, toutes représentations aura pris le pas sur toute présentation : Dieu devenant inséparable de sa barbe !
.