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Visuels suggestion de scénario
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Dieu, à l’image de l’homme,
si ce n’est pas le contraire ?
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Le Christ (Jésus historique)
crucifié pour nous sauver.
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Textuels calligramme / extensions
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- £ Dans la fresque de Michel-Ange, peint sur la voûte de la chapelle Sixtine, du Vatican … à Rome, on voit une image de l’homme d’un côté et de Dieu de l’autre et l’on interprète doigt de Dieu créant l’homme… à son image mais le contraire est autant vrai, l’homme créant son propre Dieu, bien que ce ne soit pas l’intention. Le Christ, un juif nommé aussi Jésus, est bien pus réel et à l’identité reconnue, né d’une femme comme nous, pauvre et nu : personne ne le conteste, historiens bienvenus. Dieu est un beau concept, Jésus-Christ est une réalité, c’est notre égocentrisme exacerbé : nous aimons trop les histoires incarnées. Dieu aurait pu nous envoyer son message de résurrection par un autre moyen qu’un fils mi-homme-divin. Si vous avez de belles pensées, pensez à les personnifier, vous faciliterez ainsi leurs identifications dès lors que c’est écrit à votre intention. Je me vois bien en elle, lui, c’est pareil que moi : je l’ai mieux compris ainsi. Comme un autre moi qui pourrais penser que si j’étais lui, par projections comparées, je dirais et je ferais comme lui, en virtualités et en réalités, par procuration d’intimité pour être plus crédible, souffrir mêmes maux, même martyr. Jésus-Christ, c’est l’histoire d’un homme qui a réellement vécu ou qui aurait pu vivre ceci ou cela, à en confondre sa personne et son personnage, inventé ou transformé ou transposé, jusqu’à faire plus vrai que sa réalité ! Ainsi, débute tout synopsis d’un nouveau film au ciné ! Ainsi, débute toute histoire, en un gros roman raconté ! Pourtant rien ne se passera comme au naturel ou prévu car l’intervention de l’auteur fera dériver son imagination. Pour finir, l’on ne retiendra que les émotions incarnées, sinon paroles passent et vents légers se chargeront de les disperser : la poésie et la pensée feront partie de l’histoire ou ne seront qu’autant d’artifices rapportés pour croyants. L’un n’empêche pas l’autre : dieu ne se vend, que ce qui est incarné, en chair, si possible, pas trop cher.
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- + Dieu est un concept, Jésus-Christ est une réalité. Il faut avouer qu’un concept incarné est plus compréhensible et visible qu’un concept virtuel, totalement désincarné. Si nous n’avons pas la même image de Dieu et du Christ, est-ce alors parce qu’il est caché, parce qu’il est multiple !
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- & Personne ne peut nier que le Christ n’ait existé, sous le nom de Jésus de Nazareth, a été crucifié mais l’Histoire, avec un grand H, s’arrêtera là ! Le reste est affaire de croyances, sens religieux ! Il est le seul à mentionner «Dieu» comme vivant et à affirmer qu’il en est le fils, élu, pour sauver une Humanité qui, peut-être, ne le mérite pas ! Lui-même ne demande à personne de le croire : le libre arbitre de chacun donne, seul, l’espoir.
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- # Combien d’écrits par les apôtres, en témoins dans leurs évangiles ou Nouveau Testament et St Paul par la suite et l’Église chrétienne, historiens anciens, romanciers modernes, auront relaté et confronté, voire enquêté, sur une existence d’un Jésus de Nazareth, pour finir par dire qu’il aura bien existé.
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Textuels symboliques et corrélations
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Croix
- Symbolique de forme : La croix, dans son symbole culte, représente la crucifixion bien sûr, mais avant tout l’abandon de soi, le détachement de tout ce qui est personnalité : c’est la rupture avec toute la mécanique de la personnalité, toute la roue de la personnalité, et roue des réincarnations. Lorsqu’il y a crucifixion d’un initié, crucifixion cosmique, l’initié devient détaché du plan des réincarnations. S’il revient, ce sera uniquement pour apporter quelque chose, ce n’est plus pour expérimenter quelque chose. Source : conscienceuniverselle.fr/ symbolisme-de-la-croix
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Incarnation
- Symbolique de fond : L‘Incarnation est le dogme chrétien où le Verbe divin s’est fait chair en Jésus-Christ. Et cette notion reste exprimée dans le Prologue de l’évangile selon Saint Jean : Le Verbe s’est fait chair» (1:14). Elle se situe au centre de la christologie. La notion d’incarnation a été débattue au cours du christianisme primitif. La controverse la plus vive : le docétisme. « Dieu s’est fait homme parce qu’il est plus difficile d’être un homme que d’être Dieu. » (Voltaire) « Dieu s’est fait homme pour que l’homme devienne Dieu. » (Irénée de Lyon). https://fr.wikipedia.org/wiki/Incarnation_(christianisme)
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Christ
- Liens fond/forme : Les religieux parlent plus du Christ que de Dieu en domaine de certitudes, le premier l’emporte. Les philosophes ne parleront jamais du Christ, il n’y aurait, pour eux, aucun lien entre les deux ! Quant à la croix, ce symbole existait bien avant, notamment d’anciens babyloniens de Bagdad, «Elle aura été christianisée par sainte Hélène, la mère même de l’empereur Constantin Ier qui aurait découvert la Croix de Jésus ainsi que celles des deux larrons, lors d’un pèlerinage en Palestine en 326. Wikipédia.
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