Triptyque indispensable à la vie : je veux mais je ne peux pas ; je sais mais je ne veux pas ; je peux mais je ne sais pas. Nous sommes comme cela : il manque une corde à notre arc lorsque rien que celle du savoir, est savoir, savoir-faire, savoir être. Le pouvoir de dire non aux élections et pouvoir candidat en manipulation, s’équilibrent, dominent, au profit de qui : des mêmes, hélas … des gouvernants. Savoir n’est pas connaître, diffuser l’information, mais comprendre, débattre pour ou contre, raison, disposer de plus d’une vision, plus d’une opinion. Vouloir, n’est pas faire une campagne de publicité mais entraîner l’adhésion, l’action pour plus déshérité que soi en se penchant du côté du bien non du mal incarné. Pouvoir n’est pas brandir le principe de précaution mais anticiper la perte, le bénéfice pour l’humanité, non au profit de quelques-uns mais de la grande majorité. Vous me direz tout cela a plus à voir avec être qu’avoir ! Notre monde des lumières fonce d’autant dans le noir que nous sommes tous en survie, certains au bord du désespoir Par ici, la guerre des canons ; là, celle des informations, rejoignant celle de notre économie, notre santé, nutrition. Les brevets déposés nous possèdent, l’argent nous manipule et la marge d’autonomie devient de plus en plus ridicule. Savoir, vouloir, pouvoir, contrôlés, financés, auparavant, par les pays démocratiques, le sont aujourd’hui, foncièrement, par les multinationales pulpeuses, par leurs têtes financières, qui n’ont qu’argent pour unique raison, pour unique religion. Quand on ne sait rien, que l’on ne veut rien, on ne peut rien. On croit que le monde est beau et qu’il cherche notre bien. On devient la proie facile de promesses qui nous engagent à voter, à adhérer, à tout sacrifier en hypothéquant nos gages. Que faire, quand on le sait, quand on le veut, voire le peut : par des bulletins de votes, des législations, protestations. C’est entamer le combat du pot de terre contre le pot de fer car, devant le lobbying des riches et puissants : quoi faire ! Êtes-vous pour ou contre, est le sens profond de cette question, dans un monde qui a perdu son sens : où trouver la solution, à ce point de non-retour d’emballement d’être apprenti sorcier : nous y sommes condamnés jusqu’à la fin de notre humanité ! L’un dit, j’ai rêvé ; l’autre, je crois ; l’autre, j’ai vu, expérimenté, mais même les mesures nous cachent une grande part de vérité. Que restera-t-il de démocratie si multinationales exercent sur consciences, technologies, économies, sa totale emprise.
& Savoir, ça reste à voir : est-on jamais sûr qu’on sait : j’ai su mais je n’ai rien retenu, je ne me souviens plus. Vouloir, j’ai ai bien l’intention et je me suis bien motivé mais, j’ai un doute sur le résultat de ce que je veux faire. Pouvoir, toutes les conditions me semblent bien remplies, il n’y a plus qu’à le faire, et, on verra bien ce que ça donne : au final peut-être y aura un problème venu d’on ne sait où !
Savoir c’est bien mais encore comment le dispenser ?
Vouloir c’est bon mais est-ce abandonner à l’autre sa volonté ?
Pouvoir, c’est beau mais est-ce le déléguer à la force publique ?
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Savoir, ça reste à voir : est-on jamais sûr qu’on sait :
J’ai su mais je n’ai rien retenu, je ne me souviens plus.
Vouloir, j’ai ai bien l’intention et je me suis bien motivé,
Mais j’ai un doute sur le résultat de ce que je veux faire.
Pouvoir, toutes les conditions me semblent bien remplies
Il n’y a plus qu’à le faire et on verra bien ce que ça donne.
Au final peut-être y aura un problème venu d’on ne sait où.