.
Textuels : poème, extensions, fragments
.
Textuel poème
.
- L’énergie pour faire l’amour, quel que soit notre état physique ou mental, l’on en aura toujours : c’est comme le cantique du quantique ! Il s’en trouve même s’il n’y en a plus comme si notre réserve d’amour demeure inépuisable. Il suffit d’une forte stimulation pour que les sexes passent à l’action tout autant que de s’en aller quand l’autre vous supplie de rester, de venir, vers lui, si ce n’est en lui. L’énergie vient en nous dès que je penserai à nous : fini notre amour, point, lors ton image, en moi, jamais, ne me quittera, jusqu’à ma fin ici-bas. La mémoire retient tout et, d’être à tes genoux, de m’en aller serait fou : ton visage, chez moi, jamais ne disparaitra car jamais ne s’effacera. Tant de moments bonheurs ont été partagés par nos cœurs ! Si partir est un malheur, alors souffrir l’est aussi, de peur de gâcher sa vie pour celle que l’on chérit. Si « un train peut en cacher un autre », des rails inversés, trop vite, vers lui, précipité, ton arrière-train peut l’être aussi, mais ton âme, ce n’est pas permis car elle est la sœur de ta profonde folie ! Souvent, quand je pense à toi, mon amie, tes belles images s’avancent et se balancent jusqu’à remplir tout mon cerveau. J’y vois un beau cadeau que tu m’offres par amour si beau. Si un jour, on se quitte, pour autant tu n’en seras pas quitte, car même, si tu t’acquittes de tout, persisteront nos chansons nourrissant les sons d’un chant d’amour trop bon. L’énergie est cette aventure d’assurer notre progéniture ! Même si cela ne marche pas, après essais, infructueux, las, tout n’est pas à jeter ici- bas. Un enfant de nous restera !
.
Textuel extensions
.
- Comment refuser « excuse-moi, ce soir, je suis fatigué, je n’ai qu’une envie : dormir comme loir, bon vent et bon soir, je ne ressentirai rien, ce serait gâcher le plaisir, si vraiment t’en as besoin, trouve-toi quel qu’un (une) d’autre ». L’énergie en nous est à la fois quantifiable, inépuisable. Fatigué, usé, à bout de force, il reste encore l’énergie pour s’aimer, d’une manière ou d’une autre : il n’y a guère qu’éloignement, la maladie, conflits, qui peuvent couper court à nos élans, par impossibilité, insuffisance ou blocage. L’énergie de faire trois fois l’amour une nuit n’est pas performance sportive, simplement la force du désir : ce n’est pas nombre de fois qui compte, ni qu’on raconte, qu’on monte ! L’énergie se situerait et se propagerait de manières différentes : l’énergie brute comme un coup de foudre, un éclair, jaillissement ; l’énergie de reconnaissance mêlant deux feux intérieurs en un seul ; l’énergie symbolique se traduisant en gestes, du quotidien, ensemble. Il est bien connu qu’en faisant l’amour on perd et on gagne de l’énergie. On perd de l’énergie physique, on gagne énergie mentale, sentimentale : en somme, quand on en n’a plus pour rien, en reste encore pour l’amour. Faire l’amour consomme et produit de l’énergie ! Lors même ce ne serait pas la même dont il s’agit, elle se transforme, se métamorphose, s’enrichit ! Tu m’as tué, dit l’un, tu m’as ressuscité, dit l’autre. Mais les amours ratés, conduisent à des déceptions. Je n’aurai eu que l’image : il m’aura manqué le son, et ce d’autant que l’orgasme se doit être à l’unisson, pour produire sensations dépassant toute sa raison. Des feux d’artifices jumeaux, avec bouquets finaux explosant en plein ciel, dans un nuage de fumées qui laisseront cette impression de tapis volants, du fait de mettre temps avant retoucher terre.
.
Textuel fragments
.
- Chacun de nous sait qu’il faudra dépenser beaucoup d’énergie, pour l’amour, gagner, de l’autre, que rien ne sera jamais acquis : parfois ça vient de commencer et, déjà, fini ! L’amour a le visage de Janus à double face : il vous fait tantôt du bien et tantôt du mal ; il peut être très profond, n’être que surface : il peut être merveilleux ou n’être que banal. L’énergie, on veut la conserver, l’économiser, or, pour l’amour, l’on ne saurait la compter : on la comparerait à la batterie à recharger, à brancher sur l’imaginaire ou sur la réalité. Tout amour génère une flamme, pour briller, que même sous la cendre, il faudra entretenir, une fois éteinte, l’énergie double pour rallumer, de même pour que confiance règne à n’en finir. L’énergie de l’un, quand elle fonctionne en four, peut recharger celle de l’autre, à plat, vidée : c’est le miracle de l’amour, miracle de toujours qui fait de ce dernier, une pile de son éternité.
.
Illustrations : visuels, scénario et fiction
.
Visuels
.
.
Tous les feux d’artifices sont des plaisirs
en plein jaillissements
.
.
qui invitent à l’ouverture des regards
et sensations d’écoutes
.
.
et un bouquet final est joindre leurs mains
pour former un cœur.
.
.
deux énergies d’amour se font face
et remplissent ainsi vase entre eux.
.
Textuels symboliques
.
.
Pile
- Symbolique de forme : Je tiens une pile dans ma main, et tout à coup, elle se désintègre à terre. Je vois ce qu’il en reste : des petits fils noirs qui sautent. Une pile est une source d’énergie autonome. Elle se rapportera donc au sujet, à son énergie interne, sa vitalité. Ainsi, tous les rêves qui montrent des batteries usagées, des appareils dont la batterie tombe en panne, le besoin d’acheter de nouvelles piles, disent, symboliquement, la nécessité de retrouver son potentiel d’énergie. signification-reves.fr/pile-electrique
.
Énergie
- Symbolique de fond : Deux êtres qui se donnent et s’abandonnent, se retrouvent l’un dans l’autre mais élevé à un degré d’être supérieur en se faisant la courte échelles si le don a été total et non limité à …un seul, le niveau de leur être, le plus souvent charnel. L’amour est source d’énergie, de progrès lorsque l’union ne sera pas qu’appropriation. La perversion détruit valeur de l’autre, divise en objet, asservissement, principe de mort !
.
Corrélations > pression comme pile d’énergie chargée à bloc
- Liens fond/forme : Le problème se pose quand la pile de l’un est en haut, et que celle de l’autre reste en bas, en panne d’énergie mais il arrivera, parfois, presque un miracle, que celle d’en haut branche et charge celle d’en bas si ce n’est l’inverse, tant par trop de sollicitations, elle contrariera et détruira le courant porteur. La pression du désir est comme celle d’une pile d’énergie chargée à bloc et qui ne demandera qu’à se décharger pour ne pas péricliter ou ne pas surchauffer ! L’énergie rime avec dépense, débauche de plaisir qui nous met à plat, en petite mort, pour finir. Si le fond ne peut ni épuiser ni épouser la forme dernière, quelle qu’elle soit, il l’évoquera. La pile, à chaque fois, se renouvellera, jusqu’à sa mort brutale ici-bas.
.