823 – Envers, endroit, personnage et action (I)

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Textuels

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Textuel poème  

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  • Envers et endroit ; en vers et en  droit ! Envers quel mot est-on en droit d’interpréter en contexte, que ce qui est soi, est un masque, est un personnage, tient du reflet, du mensonge, pas d’authenticité. Comment être transparent tout en se protégeant, et simultanément, de tous événements qui vous seraient comme traitres. Je suis envers et contre tout, me direz-vous ; envers et je me contrefous de tout comme d’ailleurs, de partout ! C’est mon droit, je me proclame pour une justice à mon endroit tant que je me réclame, de vous, des autres, des sociétés, confondant l’envers et l’endroit,  lors, décors, personnes, actions, seront tous autant dépréciés. Je me crois libre, et c’est mon droit,  j’ai mis mon costume à l’endroit, mais je ne cesse d’essuyer des revers dans un monde où tout est à l’envers. Comment peut-on être transparent ! Et pourquoi faire, sinon pour jouer l’innocent ! Habillez-vous de masques et parures et qui vous procureront fières allures. Bien des hypocrisies sont au cœur de nos préoccupations, nos bonheurs : peaufinez vos compétences de tricheur, vous gagnerez votre vie avec beaucoup plus d’ardeurs. Des gens vous attrapent en suivant votre  pas et ils vous tombent dessus comme véritable ami dans vos bras et puis vous plombent en véritable ennemi sur les bras, vous menaçant d’autant de bombes toutes prêtes à exploser en l’air. Misère de misère : à qui se fier de nos jours pour ne plus se faire extorquer plus qu’hier, pour ne pas confondre vraies, fausses actions premières pour soulager la Terre ! Il y a certains qui disent que les actions sont en hausse alors qu’ils sont en baisse tandis que leurs paroles, confiances en leurs bénéfices, sur votre dos, vous taillent des costumes. Suis envers et contre tout,  me direz-vous … c’est fou, je suis en droit d’être envers, dès lors que je me contrefous d’être ailleurs, partout,  c’est mon droit, je me proclame pour une justice à mon endroit tant que je me réclame, de vous, des autres,  des sociétés.

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Textuel extensions

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  • Trois figures : doubles, dissociatives, inverses ! Le même homme, la même femme, même effigie : double costume, double conscience, double  visage ! C’est plus fort que la polysémie des mots communs, parce qu’ils sont et en même temps, vrais et faux, ou qu’on ne sait comment les prendre en défaut. L’endroit deviendrait proche d’une authenticité tandis que l’envers resterait proche  d’une … hypocrisie ! Si certains ne pencheront que d’un seul côté, d’autres joueront tantôt l’un et l’autre. Les personnes instables et voire toxiques sont difficiles à décoder, imprévisibles,  on ne sait sur quel pied danser, lors d’autres demeurent toujours lisibles à l’œil nu. Les mythomanes se font prendre à leurs propres pièges comme l’arroseur arrosé, ne se souvenant plus de quoi et à qui, ils ont menti, et ils se dévoileront ainsi en  se contredisant totalement.

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Textuel fragments

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  • Il existe des vestes, manteaux, imperméables, réversibles comme on trouve des vêtements unisexes, vénérables, paisibles. On pourrait retourner sa veste, en se parant d’officieux  manteau  de  droit en dépit de quoi, et au final, l’habit ne fera pas le moine, juste hypocrite. De même que les personnes et leurs personnages ne se superposent pas au point de les confondre, le verre transparent n’aura pas deux apparences, pas plus que le verre translucide n‘aura deux… lucidités. Le verre opaque, pourrait avoir  deux  couleurs bien différenciées, soit voisines, soit opposées. La lampe, en éclairant, révèle son  endroit, voir son envers, diminuant, ainsi, son ambivalence ou son ambiguïté. C’est le rôle du détective de débusquer une personne ou personnage pris main dans le sac, en vérité,. Que la lumière soit et la lumière fut double, et il ne peut plus jouer son jeu, ne plus tromper son monde. Certes on peut mener parfois une double vie, on ne peut être à l’envers et l’endroit, à la fois.

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Illustrations

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Visuels  

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823 1

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Déguisé, l’on aurait peine à croire

que je suis bien le même homme,

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comme ici, lequel des deux, je suis,

 le plus : tantôt ange, tantôt démon !

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et, ici, Janus  personne, personnage

 de face et de dos face, double visage !

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envers et endroit, homme paradoxal,

la solution : rester simple et humain.

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Textuels symboliques 

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Lampe

  • Symbolique de forme : Le symbolisme de la lampe est lié à  celui  de l’émanation de la lumière. La lampe est une représentation de l’homme : comme lui, elle a un corps d’argile, une âme végétative ou principe de vie, qui est l’huile, l’esprit étant  flamme. L’usage chrétien d’offrir et  de brûler  des cierges, devant la statue des saints, symbolise à la fois le sacrifice, l’amour, la présence, comme une flamme.

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Lampe

  • Symbolique de fond : Constituant un substitut au soleil, ou  comme   dispositif de mise en valeur, les  lampes sont l’objet d’appropriations symboliques, de coutumes, de rituels en éclairant l’endroit et l’envers par une source  de  lumières à l’intérieur, extérieur, du verre.  Source : Wikipédia

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Corrélations > halo lumière plus inspirant ampoule électrique

  • Liens fond/forme : Verres de lampes anciennes, à pétrole, ont disparu mais leur empreinte est restée  dans les mémoires collectives qui se transmettent de mères en filles. Son halo de lumière est plus inspirant qu’une ampoule électrique et aurait un endroit, plus un envers. Tout est question d’éclairage sur un objet selon l’angle où la lumière s’y reflète. Le verre est pourtant des plus transparents, il renvoie, dos à dos, deux visages opposés, un pour mieux voir, l’autre pour protéger : question de point de vue avant toute chose, la lampe s’éclaire elle-même et alentours ! Le vent lui sert pour s’enflammer, subsister et le verre empêche sa flamme de s’éteindre. Tout feu, tout flamme, transparence et opacité, ont-ils quelque-chose à voir avec l’endroit, l’envers. Bien qu’éclairant question, on est en droit d’en douter.

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