1022 – Etre quinze jours à moitié malade, c’est long

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Visuels suggestion de scénario

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Un rhume qui  énerve, puis s’éternise,

qui ne devait durer que quelques jours

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Un virus qui ne veut plus me quitter,

déjouant tous les pièges, lors mutant.

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J’en ai avalé des tonnes de cachets

 de toutes les couleurs et pour rien !

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Textuels calligramme / extensions

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  • £  J’ai  été  à moitié-malade pendant ces quinze derniers jours : à moitié car je ne me suis jamais alité pour autant, j’ai continué mes activités, écriture, ménage, bricolage et même voyage. Un peu ralenti et beaucoup gêné tout de même et je suis heureux de retrouver ma santé et mon tonus habituel. Le temps se distord en charpie quand on est mal en point et l’on sent se profiler ce que sera la fin si cela continue ainsi pendant des mois entiers.  Cela a commencé par une légère fièvre, suite à un coup de froid durant la Fête de la Science dont j’étais organisateur. Le front fiévreux avec mal de crane. J’ai pris quelques cachets d’aspirine. Le virus s’en est bien sorti en se transformant en rhume : j’ai pris du fervex qui a provoqué une laryngite allant presque jusqu’à l’extinction de voix. Autre médication, autre transformation : cette fois ce sont les bronches qui se mettent à tousser par quintes successives au point de me réveiller la nuit et m’empêcher de dormir. Quand le sommeil n’est pas bon, la récupération ne se fait pas et c’est le cercle vicieux qui l’emporte sur le vertueux. Alors que je commençais à aller mieux à la fin de la semaine, voilà qu’un voyage dans la famille dans le Nord, en me changeant d’air et d’alimentation me donne un mal à l’estomac qui m’éreinte. A la fin du séjour, l’estomac a fini de produire ses borborygmes et je me dis que le virus s’en est allé ailleurs mais de retour à la maison, une diarrhée carabinée et un vomissement de deux repas de la journée me tordent de spasmes insoutenables. Aujourd’hui, quinze jours après le début, c’est fini mais j’aurai été visité par ce virus, du haut du crane jusqu’au fondement.

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  • + Pour une vaccination complète, c’en est une car tous les organes ont été concerné : nez, gorge, poumons, cœur, estomac, foie, reins, intestin et j’en passe. Chacun sait que l’on apprécie mieux encore la santé à la sortie d’une longue maladie. Il m’est souvent arrivé d’être à moitié malade pendant un jour ou deux mais rarement quinze jours durant avec cette panoplie de symptômes. Est-ce une des marques du commencement de la vieillesse ou simplement un check-up auto-immune du corps entier pour mieux me préparer pour l’hiver à venir : à vrai dire, ne le sait ! Travailler dans un tel état est pénible et écrire est très fatigant.

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  • & La durée est une donnée importance dans toute maladie. Une grippe ou un rhume, dure une semaine, en général : si c’est le double ou d’avantage, il faudra médicamenter : il vaut mieux prendre u traitement préventif que curatif : depuis dix ans, la moyenne se situe à 350 morts par an.

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  • # Je ne suis pas souvent malade, je l’ai été enfant, lors cela a dû fortifier mes défenses immunitaires, je ne m’en plains pas, c’est sûr. Il m’arrive d’avoir comme grippe, en dépit d’un vaccin administré. De ce fait, je la subis moins forte : vaccin protège du mauvais sort ! Les gens bien portants sont des malades  qui s’ignorent et je le croirai bien  comme Jules Romains, Knock : vaut mieux prévenir que guérir.

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Textuels symboliques et corrélations

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Pichet

  • Symbolique de forme : En héraldique, le pichet est, très souvent, représenté avec une anse et un col verseur. Sa  déformation  suggère  l’étain. Aujourd’hui, les fabricants  français garantissent étains 100% alimentaire. L’usage du plomb dans leurs usines est totalement interdit  depuis  1995. Une cruche est un vase de terre ou de grès, à anse, ayant  la panse large et le col étroit. La cruche est destinée à contenir  de l’eau voire parfois même du vin. Source : heraldie.blogspot.com/2014/08/la-cruche-et-le-pichet

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Médicaments

  • Symbolique de fond : Les médicaments non-utilisés ou périmés sont à déposer en pharmacie. Que devient-il ? Jetés dans la poubelle, dans l’évier ou dans les toilettes. Les médicaments peuvent polluer les sols et les rivières car ils contiennent des principes actifs. Cyclamed  valorise les Médicaments Non Utilisés (M.N.U.) à usage humain, périmés ou non, dans le respect des règles environnementales à des fins de valorisation énergétique, ce qui permet d’éclairer et de chauffer l’équivalent de 7 000 à 8 000 logements tout au long de l’année.

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  • Liens fond/forme : Pour sûr, bien des médicaments, sous quelque forme  qu’ils soient, et administrés avec ou  sans eau, aident bien à guérir des maladies ou, pour le moins,  empêcheront toutes sortes de complications. Pour certaines, comme les rhumes, on pourra, certes, s’en passer mais avec, c’est un confort, qui améliore notre moral et dieu sait si ça compte.

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