866 – Faut occuper le corps autant qu’esprit !

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Visuels scénario

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L’esprit n’est rien sans le corps,

la chair, les sens, mouvement !

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Reposer son  corps ce sera aussi

« lâcher prise » pour son esprit !

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Être le premier, la première, oui

mais en corps autant qu’esprit !

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Textuel calligramme 

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  • Occuper le corps et l’esprit, un programme bien défini, quotidien, qui nous nourrit de tout ce qui nous va bien. Car, si l’on ignore le corps, celui-ci, peu à peu, faiblit, sa santé s’altère et mollit, faut du temps avant rétabli ! Et si l’on délaisse l’esprit, sa conscience s’obscurcit jusqu’à créer  des ennuis pour s’adapter en société. En bref : la tête et les jambes, simple à comprendre, exécuter ;  encore faut-il sans cesse y penser, pour ne pas se trouver déséquilibré ! Il faut occuper son corps et son esprit tout au long de notre vie, il ne  faut pas craindre la mort, ou toute paralysie. De canaliser notre énergie  occupe notre esprit et notre corps en loisirs, en sports et lors, tout divertissement sert d’accompagnement à notre futur sort. « Men sana in corpore sano », prêchaient tous les latins : du pain nourrissant notre corps et des jeux occupant notre esprit. Nos besoins fondamentaux ont peu changé aujourd’hui, ils se sont diversifiés en plus de cultures, de confitures, en plus de savoirs et de techniques, plus de formes et de matières. Le sport sert à se laver la tête du stress quotidien accumulé, d’être angoissé. Le cinéma à se reposer le corps sur un fauteuil bien matelassé en une salle cocon.  Certains préfèrent les sports, sont les champions de l’effort glorifiant le corps. D’autres préfèrent d’autres loisirs qui donnent d’autres choses à découvrir à leur liberté d’esprit. Dieux du stade que l’on vénère sont parfois multimillionnaires : leur argent d’abord. Dieux des arts que l’on glorifie, sont parfois peu sains d’esprit : leur folie en corps.

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Textuel extension

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  • Cette dichotomie corps/esprit n’a plus lieu d’être depuis que l’on sait qu’ils sont, non seulement totalement imbriqués, mais dépendants aussi l’un de l’autre comme la vie et l’énergie. On parle de se muscler le cerveau comme le cœur, on parle de se laver la tête comme le corps, on parle de ses vider de ses idées noirs comme de ses viscères en cas d’indigestion. En bref, on parle de l’esprit comme du corps et réciproquement. On connait tous des gens qui ne sont productifs que lorsqu’ils sont stressés et d’autres qui paniquent, qui bloquent, qui abandonnent. Sans compter les maladies ou épisodes psychosomatiques dont il y aurait tant à dire sur le plan clinique tout autant que psychique.  Impossible de séparer l’esprit du corps et mettre l’esprit dans le seul cerveau : qu’en savons-nous et réellement : zéro  ou presque puisque cerveau sans corps n’a jamais, à ce jour, été expérimenté !  On a longtemps cherché à dissocier le corps et l’esprit comme si l’esprit était le chef et le corps, l’exécutant or il n’en est rien, le corps prend parfois la décision bien avant que l’esprit intervienne, faute de temps. Je pense avec mon corps, avec ses états et ses actions autant qu’avec mon cerveau jouant rôle d’intégration. Mon cerveau consommant la moitié de mon énergie sans produire une once, il faut bien que mon corps pallie, totalement, à telle dépendance, tel manque !   Mens sana in corpore sano, esprit sans en corps sain : voilà qui ne date pas d’hier, c’est de Juvénal (100 AJC ) tant sans exercices, le corps et le cerveau s’affaiblissent bien que religion dise qu’esprit peut se passer du corps. Physiologie et psychologie demeureront étroitement liées. Si on ne trouve pas d’âme sous un scalpel dans la chirurgie, on ne trouvera pas non plus tous remèdes, pharmacologie. On ne peut s’adresser au corps humain comme à une machine.

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Textuel épilogue

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  • Le corps, la nuit, dort,  mais  l’esprit, non : il poursuit travail de manière inconsciente, filtre événements et pensées de la journée, les réorganise fonction de sa personnalité. Partie du fonctionnement est automatisé, par réflexes perception-action ou pensées, partie remontée jusqu’au cerveau, traitée, partie, entre les deux voire l’un ou l’autre. L’esprit serait dit le seul à voyager ailleurs par des projections dites extra-sensorielles. Certains diront se retrouver, virtuellement, à un autre endroit en autre corps, invisible,  appelé «corps astral» ou corps éthérique ! L’expérience de hors-corps est sensation  de flotter en dehors de son propre corps en  prétendant avoir aperçu son corps depuis endroit autre que celui où il est. Dans voyage astral, âme quitte le corps, entreprend voyage vers le plan astral : royaume de conscience au-delà du monde physique, peuplé d’esprits,  d’anges et d’autres êtres qui sont perçus non physiques. On y croit ou pas, cela est rapporté  par 5/10 % au moins une fois en sa vie.

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Textuels symboliques

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Lampe

  • Symbolique de forme : Le symbolisme de la lampe dont l’huile brûle Éros est double. La  lumière, dans  tous  les contextes mythologiques, symbolise la conscience. La lumière de lampe re-pré-sente le conscient qui est entre les mains et sous contrôle de l’être humain, et, par contraste, avec la lumière du soleil, de nature divine et cosmique.

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Corps

  • Symbolique de fond : Toutes les images venant constituer notre imagination, proviennent du monde transitant par nos sens et dès lors notre corps lui-même devient un mode de représentation. En guise d’exemple, l’enfant apprend à compter sur ses dix doigts, et, nous ne pouvons penser un concept abstrait sans une image concrète pour l’illustrer. Modifié, source : lagazelle.net

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Corrélations > d’un côté, corps ; de l’autre, esprit : 2 cerveaux

  • Liens fond/forme : Il n’y aurait pas d’un côté le corps, de l’autre l’esprit, d’autant qu’on aurait paraitrait-il plusieurs cerveaux. L’homme est un tout holistique insécable naturellement. Nos dix doigts des mains nous apprennent à compter lors nos dix doigts de pieds nous servent à marcher. Notre corps ressemble à cette lampe de chevet, un long support, en bas, prolongé d’une grosse tête et cela rime avec ampoule, lumière, intelligence, tandis qu’effort du corps, avec nos performances mais si cette forme évoquera assez bien le fond, elle ne s’y confond : que serait cerveau sans mains : rien d’autre qu’un programme artificiel, sans fin !

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