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Visuel scénario
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Vue aérienne de l’Ile de La Palma,
de son volcan et de sa belle coulée.
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Cette épée est-elle : celle de Durandal,
celle Excalibur ou celle de Damoclès ?
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Zone maritime affectée par un
possible Tsunami de La Palma.
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Textuel calligramme
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- La Palma est une terre de cultures, de vins et de bananes en particulier, au sud, près d’un volcan et d’autres cultures telles que les tomates, le tabac et les amandes, mais aussi une terre d’observation astronomique, au nord et elle n’est pas à l’abri d’un glissement d’une partie dans l’océan qui provoquerait un tsunami hors du commun. C’est une épée de Damoclès en quelque sorte, comme il y en a dans de nombreuses autres régions du globe terrestre, avec des plaques tectoniques mouvantes qui se chevauchent. De population avoisinant quatre-vingt-dix mille habitants, il y fait bon vivre bien que l’espace soit très restreint du fait des pentes volcaniques et de l’aridité des sols. Nous y avons passé une semaine en randonnée, du nord au sud, en ayant loué une voiture pour nos déplacements. Nous avons eu du beau temps et nous avons pu profiter de la diversité incroyable de paysages sauvages, voire primaires de l’île. Elle présente une sorte de cœur et possède une végétation verdoyante évoquant celle de l’ile de Madère. En somme, une nature authentique, préservée, comprenant une forêt pluviale luxuriante au nord, des paysages volcaniques déserts et tourmentés au sud, des paisibles pinèdes du Parque Nacional de la Caldera de Taburiente au centre. Rien d’étonnant pour que l’île entière soit classée « réserve de biosphère » au patrimoine mondial de l’Unesco.
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Textuel extension
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- Elle dispose d’une marina sur la côte Est à Santa Cruz et d’un autre sur la côte Ouest, à Taza Corte si fait qu’on peut en faire le tour en voilier en deux ou trois jours et cela sans danger. Elle n’a qu’une plage, celle de Bajamar, son relief volcanique ne crée de grandes plages de sable blanc comme aiment les touristes en mal de bronzage et de bain de mer, activités nautiques et marines. Cela ne nous a pas empêché de nous baigner à Puntallana au-dessus de Santa Cruz dans les rochers formant comme une piscine de mer et qui nous a rappelé celles de l’île de Madère. Au final, comme nous n’étions pas « très plage », cela ne nous a pas réellement manqué et nous l’avons bien compensé par d’enchantées longues et belles, randonnées dont le souvenir restera longtemps présent dans nos mémoires. Où que l’on aille et quoique l’on fasse, en aucune ile de l’Archipel des Canaries l’on ne peut tout avoir et il est bon de le savoir. Légende, rumeur, probabilité, perspective ou réalité, un tel effondrement virerait, de suite, au cataclysme ! Est-ce la raison pour laquelle les habitants de La Palma sont remplis de vie, savent faire la fête pour en profiter ? Chaque humain vivrait avec une épée au-dessus de sa tête, épidémies, accidents nucléaires, guerres intestines, famine, il y a autant de vraies, fausses, raisons à craindre pour sa vie, que l’on se demande pourquoi faire des enfants, par milliards, et les exposer aux pollutions et variations climatiques délétères. L’île de La palma craint un affaissement maritime comme d’autres craignent un réveil brutal de volcans, comme d’autres craignent régulière montées des eaux, comme d’autres craignent d’être dévastés par ouragans. En somme, bien des iles vivent avec une épée de Damoclès sur la tête ou sous les pieds, quand ce n’est pas corps entier. Certains avancent l’effet ravageur du changement climatique quand d’autres minimisent son importance comme effet local. Je ne suis ni scientifique, ni politique, et encore moins, devin, je ne sais rien de ce qui nous attendra de si terrible, demain : la seule chose que je sais est que choses changent rapidement, pouvant ébranler planète par des événements concomitants.
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Textuels symboliques
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Bombe
- Symbolique de forme : Alors qu’on nous bassine avec ce déficit qu’il faut résorber, cette règle d’or à laquelle il n’y a pas d’autre alternative, aurait dit Margaret, nous devons nous soumettre à cette Allemagne qu’on nous montre en modèle. Alors que le gouvernement français traque gaspillages, il y a toujours un sanctuaire que tout le monde connait, mais que, seuls, de rares blasphémateurs oseraient remettre en cause : c’est la bombe de dissuasion nucléaire. blogs.mediapart.fr/rimbus/blog/ 230414/la-bombe-atomique
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Damoclès
- Symbolique de fond : Denys l’Ancien, tyran de Syracuse, vivait en un château cerné d’une fosse, sans cesse sous surveillance des gardes. Il évoluait alors au milieu de courtisans qui devaient le flatter et le rassurer. Parmi eux, Damoclès ne cessait de le faire sur la chance qu’il avait d’être roi qui, agacé, lui proposa de prendre sa place, une journée. Au milieu d’un festin, Damoclès lève la tête et voit une épée suspendue au-dessus de lui, accrochée par un crin de cheval, d’autres diront par le tyran lui-même ! Modifié, source : Wikipédia
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Corrélations > bombe atomique, champ terreur, terre brulée
- Liens fond/forme : L’épée de Damoclès, longue, effilée, en fer ou acier, s’est transformée, de nos jours, en bombe atomique. Mais peut-on encore parler d’épée quand tout disparait. Ça ne rime plus à rien, le champ de terreur est trop large et donc trop libre et ce jusqu’à profonde sidération ! On ne peut donc ni rimer avec quoi que ce soit ni associer avec un symbole matériel, et ancien, comme une épée : quand on en voit sa forme, il est trop tard pour le fond : politique de la terre brulée est à cent lieues de poésie.
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