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Visuels suggestion de scénario
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Le flirt sensuel, c’est oui,
tant on ne peut y résister,
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les avances sexuelles suivront,
pourquoi autant les retarder,
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le tout est de bien savoir ce
qu’on veut ou peut en tirer.
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Textuels calligramme / extensions
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£ Majeure partie des postures liées aux accouplements d’humains positionnent l’homme au-dessus, en membre actif et la femme, en réceptacle, passive. Est-ce en la nature des choses, en les gènes, appris, culturel, qui peut le dire ! Toujours est-il que l’homme s’en satisferait, croyant en sa mâle domination alors que pour la femme, il n’en est rien, pas certain. Imaginez-vous en amant excité, le sexe devant ses cuisses écartées : il n’a qu’à se dépêcher d’y entrer, comme un fier bateau entrant au port. Quand sa retenue d’elle se met au vert, lors cet abri bien douillet lui est offert, il ne sait faire demi-tour en courants forts : lors il se coule en elle, elle roucoule de lui. Leurs cris et mouvements s’accordent à merveille. On peut imaginer une femme dans chaque port qui vous attend pour calmer la tempête qui sort de son bas ventre et de sa tête embrumée d’alcool ! Voilà bien image machiste qui a fait long feu mais aura fait école. La plupart du temps, l’amant fait l’amour à la même, débarrassée de toute pudeur, voire de sentiment : sa porte, serrure, est un porche, que l’on ouvre souvent grâce à cette clef qui la pénètre et jusqu’aux extrêmes. Femme sous son corps représente dix, cent, mille, chaque fois que marin pense à une autre, vise dans le mille. C’est ainsi qu’aucun sexe, porte secrète, il n’en existe vraiment après dépucelage, défloraison, demeure ouverte vertement. Vouloir la refermer, soi-même, est courir en vain à sa perte ; il n’est plus doux désir que de rester songer à sa fenêtre et il y a un après, si l’avant est le fruit d’une conquête, se renouvelant en plaisirs, en joies et en fêtes. Une dernière porte secrète, impénétrable, est celle de l’âme : il faut y être invité, autorisé. Elle est impossible à forcer, impossible à manipuler, à la rendre esclave indigne, infâme ; sa clef, personne ne l’a, personne ne peut l’ouvrir ni fermer.
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- + Porte, fenêtre pour la métaphore, soupirail, trappe, vasistas, lucarne. Ouvertures évoquent emboitures en mur, en dur, aveugle à toute lumière extérieure, du soleil ou d’ailleurs. Une fois son seuil franchi, la porte peut rester ouverte et offerte ou se refermer sur vous pour vous rendre prisonnier, vous jetez dehors, se fermer pur vous à double tour. La pousser n’a rien d’un acte gratuit, innocent, futile !
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- & Renversés, couchés au sol, imbriqués l’une dans l’autre, toutes attitudes et postures en deviennent renversantes. Le fait accompli, le repos mérité comme de bons apôtres, les postures se transformeront en « statues dormantes » ? C’est ainsi que cela, se profile, et se passe, quand on tente le diable on le tire par la queue par assouvir son plaisir.
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- # L’homme actif, la femme passive, vieux cliché qui n’a jamais existé, dans le secret d’alcôves d’intimité, la force de désir de femme est vive. Et dieu merci la libération sexuelle est passée par là et elle aura libéré la parole de la femme … éternelle, qui est pour l’homme… à égalité. Je ne saurais en dire plus pour ne pas m’attirer les foudres des uns ou des autres ne pensant pas cela.
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Textuels symboliques et corrélations
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Renverser
- Symbolique de forme : Parmi les synonymes, expressions équivalentes de «renverser un verre», on trouve : faire tomber, répandre un liquide, mettre le haut en bas et le bas en haut, inverser, incliner en arrière, au sens figuré ou pour corps, plonger dans l’étonnement, démolir, saper, se renverser, s’incliner en arrière, tomber, chavirer, voire verser. Pas besoin de faire un dessin pour imaginer à quoi tout cela peut bien s’appliquer.
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Trinquer (verre)
- Symbolique de fond : Des sources font remonter la pratique de trinquer son verre à l’antiquité : la coutume de boire à la santé des vivants provient probablement du rite antique de boire en l’honneur des dieux et des morts : Europe, trinque avec un verre à pied remplie d’alcool, de bière, vin, cidre, vodka, etc., mais on pourrait le faire avec un verre non alcoolisé Et lors donc, avec qui, quoi et pourquoi trinquez-vous ?
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Calligramme > poème, graphique, texte, opposition fond/forme
- Liens fond/forme : Un calligramme est un poème dont la disposition graphique, sur la page formera un dessin, souvent en rapport avec le sujet du texte, mais il arrive parfois que la forme apporte un sens qui s’oppose au texte. Cela permet d’allier l’imagination visuelle à celle portée par les mots. Il s’agit parfois d’une dérive, mais parfois d’une bifurcation complète, ouvrant vers d‘autre univers : on pourrait ainsi, par rebonds, aboutir à des liens très éloignés.
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