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Visuels suggestion de scénario
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Ça peut être plus haut, plus bas, mieux
ou pire, autorisé ou interdit :
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toujours est-il que l’indication du lieu
est indiqué, ici, par ce signe,
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mais là, c’est las : on appelle cela,
jouer sur les mots, la phonétique.
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Textuels calligramme / extensions
£ + & #
- £ Je suis ici, puis je vais là, là où mon esprit me traîne, à quitter l’autre, ou le système, lors tous départs entrainent que les gens que l’on aime, on les oublie derrière soi. J’imagine qu’il en est ainsi pour tous ceux qui voyagent. Le premier jour : sur un nuage, et puis soudain, revient l’ennui de ne plus avoir, tout près de soi, ceux qui n’ont pour seul souci, que penser chaque jour à soi. Partir à plusieurs est, déjà, fabriquer souvenir commun pour, plus tard, les échanger, pour se créer une communauté à laquelle on se sent soudé. Je suis ici, puis je suis là, où mon esprit me traîne : je t’en prie, rejoins-moi : ta compagnie m’est reine. Voyage, nouveau départ : voyage, mène autre part sauf à moi-même, tôt ou tard, encore, faut-il se le dire en poussant un profond soupir : partir, c’est renaître, lire. Renaître un peu, nouveau, mais sans changer de peau, faire le vide, faire le plein, être ailleurs, chaque matin. Deux, trois mois, en l’année, en tous points remarquables, font une durée, bien marquée de joies, surprises, ineffables !
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- + On se déplace pour des raisons professionnelles ou pour raisons privées, quand ce n’est pas un mixte des deux consistant à profiter d’une opportunité professionnelle pour prendre quelques jours de congés sur place pour visiter les lieux, aller à la rencontre d’amis, faire du shopping, tisser de nouveaux liens, repérer des locations pour ses prochaines vacances familiales. Combien de villes européennes ai-je visité avec ma famille pour y être allé auparavant en mission professionnelle ! Voyager donne l’envie et le goût du voyage à ceux qui sont curieux de tout et c’est toujours un plaisir que de faire découvrir aux autres des lieux et des gens que l’on a beaucoup apprécié. Et puis on ramène des photos qu’on a prises à l’improviste ou en pause, on raconte des histoires de voyages, de rencontres, de musées et que sais-je encore ! Les enfants qui ont beaucoup voyagé sont toujours partant, bien d’autres ne le font, plus tard, que contraints et forcés. Après, on peut aller d’un Club de vacances à l’autre sur le Globe en prétendant avoir beaucoup voyager en échangeant avec la même population, expatrié momentanément, en ne ramenant comme souvenir que le folklore local, rien des résidents, de leurs problèmes !
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- & On bouge, vers le haut, vers le bas comme en un ascenseur ou on marche droit, comme dans un couloir, dans une rue : qu’on s’arrête ou avance, on est à toujours un endroit précis, matérialisé par notre propre corps, bien qu’yeux voient loin. Yeux, c’est plus nous, même si Issy, c’est là : on est partout et l’on n’est nulle part à la fois par projection imaginaire, et l’on peut même rembobiner pour revenir en arrière.
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- # Quoiqu’on fasse on est toujours à un endroit donné de la planète du fait de notre corps dont nous ne pourrons nous départir. Être ici ou être là, c’est quelque part : la police vous demande où vous étiez, vous ne pouvez répondre : nulle part, qu’éventuellement : «je ne sais pas». Il n’y a même pas le Chat de Schrödinger, pour autant qu’il soit à la fois vivant et mort, il restera encore et toujours dans la même boite : la mécanique quantique confond onde et corpuscule.
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Textuels symboliques et corrélations
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Changement
- Symbolique de forme : Pour beaucoup de personnes, le changement est difficile à accepter. Nous avons tendance à vouloir conserver l’acquis et ce que nous pensons maitriser. Mais aujourd’hui, tout change tout le temps. Le changement est même devenu le moteur alimentant la machine et cela va s’accélérer. Osons ! Un autre regard sur l’innovation. Alain Conrard propose un cadre de pensée. Dans une approche ambitieuse, il dit que la seule chose stable sur laquelle on peut compter, c’est le changement. Paradoxal, le changement devient ainsi le symbole de la permanence. osonslinnovation.com le-changement-comme-symbole-immuable-de-la-permanence
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Recyclage
- Symbolique de fond : Le symbole de recyclage est un pictogramme identifiant un produit potentiellement recyclable ; Le triman signifiera, pour sa part, que le produit reste totalement recyclable. Il consistera en un dessin représentant trois flèches, dont chacune pointe vers l’empennage d’une des deux autres, de manière à former un ruban de Möbius en forme de triangle, éventuellement de couleur verte. wikipedia.org/wiki/Symbole_du_recyclage
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Réparer >
- Liens fond/forme : On ne recycle pas les objets comme sujets humains, même si on leur remplace, ajoute quelques morceaux. Pour objets, les composants seront redistribués ici ou là, nouveaux pour réparations, si bien qu’un second marché, qu’un second usage survient. Utiliser objet de seconde main ferait changer les mentalités.
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