482 – Dictat beauté pour les femmes

Visuels et textuels >> 

.

Belle comme le jour

Belle comme l’amour :

Tel semble être le refrain,

De celles  qui plaisent bien.

.

La beauté … pour la publicité,

Est «parce que je le vaux bien»

Telle beauté sera marchandisée,

Pour choisir celle qui convient !

.

S’il suffirait, d’y mettre le prix,

Pour que résultat soit garanti

Cela  suffirait, en différences,

Amplifiant traits d’attirance.

.

Ne leur voilons  pas la face,

Leur beauté… aux femmes

Reste leur principal atout

Elle  peut  être  naturelle,

.

Quand, jeune  et pucelle,

Mais déjà bien apprêtée

Après que s’être mariée

L’enfant    la   déforme,

Changent ses  formes :

Si elle ne prend garde,

.

Ses kilos elle les garde

Jusqu’à  quarante ans,

Elles sont  au parterre,

Si leurs  murissements

Affirme leur caractère !

 .

Après cinquante années

Si  elles  s’entretiennent,

Ça passe  encore … sinon

Des différences  notoires,

.

Font que leur ménopause,

Survenant : leur plastique,

S’affaisse, ou, ne s’impose,

Qu’aux regards, lubriques.

.

Soins, coiffure, manucure,

Sinon, c’est la déconfiture,

Et un régime toute l’année

Sinon, c’est emmagasiné !

 .

Elle ne sera  plus regardée

Ni par plaisir  ni par désir

Lors se plaire à elle-même

Serait la dernière volonté,

Qu’elle souhaitera s’offrir.

.

Et  même si, de l’intérieur

Elle se  saura  supérieure,

De vieillir, et de s’enlaidir

Chez la femme serait pire

Que l’homme même étant

Quelque peu…bedonnant ! 

.

.

Extension

.

Cela, elles le savent bien dès leur prime jeunesse

Mais elles savent très bien aussi qu’aucune femme

Ne peut remonter le temps rien qu’en se maquillant.

.

Ne leur voilons pas la face, tant la beauté, aux femmes,

Est leur destinée si elles veulent attirer le regard sur elles.

.

Elles n’ont pas  le choix, elles y sont obligées, conditionnées.

Il suffit de feuilleter un magazine consacré au monde féminin.

.

Ce qui fait la beauté n’est pas sa plastique, plaisante, attirante

Mais le regard porté sur elles, on pourra dire par les hommes,

Mais par les femmes aussi, et parfois encore bien plus cruel,

Quand elles se montrent des plus  jalouses ou dégoutées.

.

La femme que vous mettez en votre lit, ou qui vous entraine en le sien,

Est-elle bien même en tous points le lendemain matin, démaquillée ?

C’est possible après tout, l’amour est aveugle, pas certain, probable 

Sans porter de jugement quelconque, de quel droit, ni souhaitable,

Celle qu’on aime sera celle de tous les jours, non d’artifice du jour.

Arrive même parfois, dans le cas d’une beauté naturelle sans fard

Que maquillée à outrance, la change, au point de la peinturlurer

Attention que sous la pression d’un dictat, trop ajouté, surjoué

On laisserait tomber la proie pour l’ombre, par trop de clarté.

.

Selon certaines femmes, la beauté,

N’est pas une option : une injonction !

Leur corps est pour être vue, être désiré

Alors que d’autres le voudront à égalité,

Avec les hommes et les autres femmes.

.

Attention à ne pas commettre d’excès

Vous menant tout droit à des impairs.

Quand trop c’est trop : effet contraire,

Comme parfum virant et lors n’attrait

Pot de peinture loin de tableau vivant.

.

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482 – Calligramme 

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Belle comme le jour

Belle comme l’amour :

Tel semble être le refrain,

De celles  qui plaisent bien.

La beauté … pour la publicité,

Est «parce que je le vaux bien»

Telle beauté sera marchandisée,

Pour choisir celle qui convient !

S’il suffirait, d’y mettre le prix,

Pour que résultat soit garanti

Cela  suffirait, en différences,

Amplifiant traits d’attirance.

LE DICTAT

Ne leur voilons  pas la face,

Leur beauté… aux femmes

Reste leur principal atout

Elle  peut  être  naturelle,

Quand, jeune  et pucelle,

Mais déjà bien apprêtée

Après que s’être mariée

L’enfant    la   déforme,

Changent ses  formes :

Si elle ne prend garde,

Ses kilos elle les garde

Jusqu’à  quarante ans,

Elles sont  au parterre,

Si leurs  murissements

Affirme leur caractère !

DE LA BEAUTÉ

Après cinquante années

Si  elles  s’entretiennent,

Ça passe  encore … sinon

Des différences  notoires,

Font que leur ménopause,

Survenant : leur plastique,

S’affaisse, ou, ne s’impose,

Qu’aux regards, lubriques.

Soins, coiffure, manucure,

Sinon, c’est la déconfiture,

Et un régime toute l’année

Sinon, c’est emmagasiné !

POUR LES FEMMES

Elle ne sera  plus regardée

Ni par plaisir  ni par désir

Lors se plaire à elle-même

Serait la dernière volonté,

Qu’elle souhaitera s’offrir.

Et  même si, de l’intérieur

Elle se  saura  supérieure,

De vieillir, et de s’enlaidir

Chez la femme serait pire

Que l’homme même étant

Quelque peu…bedonnant ! 

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

482 4

.

Évocation

Bâton pour marcher,

Pinceau pour peindre:

Finalement, j’aurai choisi

Un  coffret  de  maquillage.

.

Pinceau à fard estompeur,

Sont des pinceaux trompeurs,

Maquillage joues et paupières

Pour attirer tous les regards.

 .

Symbolique 

Un  pinceau

Latin peniculus

Ou petite queue

Est  une  variété

De brosse à poils

Souples terminée

En pointe, destiné

À enduire surfaces

D’une couche mince

Matière de peinture,

Encre, vernis, fard.

Un   pinceau   sert

En calligraphie,

En  illustration,

En décoration,

En bâtiment,

En peinture,

Artistique,

Et dessin.

 Wikipédia

.

Descriptif

.

482 Le dictat de la beauté pour les femmes

Alignement central  /   Titre intercalé   /  Thème  image

Forme cône courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme

Symbole de forme : pinceau / Symbole de fond : maquillage

.

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Fond

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Évocation 

.

482 6

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Le coffret à maquillage

Pour joues yeux, cils, paupières

Permet d’attirer tous les regards,

Sur soi,  comme un «faux phare » !

 .

 Symbolique 

 .

Le maquillage est logiquement porteur

Du paradoxe dont le féminin est porteur :

Il sera critiqué sur toute femme ordinaire,

S’il est autre chose que … des plus discrets,

Obligatoire sur actrice, femme d’exception

Tant considéré comme malade, ou en crise

Si le fard reste absent de leur visage

Ou insuffisamment criard.

 echodecythere.com

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

.

Maquillage, comme son nom l’indique,

Consiste à embellir d’avantage par artifice

Il rime avec  poudre, crème, lotion, rimmel.

La plupart du temps, nécessite un pinceau

Et il s’applique pour la gent féminine

Si bien fond de teint rejoint forme

Comme double peau de crème

Peut-on leur en vouloir : non,

C’est leur liberté, notre attente.

.

Tout est une question d’application et de degré

Pas assez ne sert à rien, trop trompe pour rien

Dessous le maquillage, on percevra la personne

Qui en rajouterait de trop et ne devient crédible

Un maquillage, léger, donnerait plus d’éclats

À celle qui en aurait assez, naturellement :

S’agit de souligner non surligner le trait.

 .

Visuel

.

.

Canons de beauté

.

Beauté

.

Agréable à voir ou à entendre.

Qui fait éprouver une émotion esthétique

Qui plaît beaucoup à l’œil en étant opposé à laid.

Dont physique, visage, répond aux canons de beauté.

.

On le qualifie de : joli, magnifique, superbe,  admirable,

Quand ce n’est charmant, gracieux, éclatant, harmonieux

.

Quand il s’agit de vêtement on dit : bien habillé, apprêté.

Il, elle, est parvenu à se faire beau, belle, chic, élégante.

Dans le « beau monde », la société élégante, brillante.

.

La beauté ferait naître  un sentiment d’admiration,

Ou de satisfaction en opposé à mauvais, médiocre.

.

Quel joli grain de beauté, vous avez, là, ma chère !

.

 « Edmund Burke, dans Recherche philosophique sur l’origine de nos idées du sublime et du beau (1757), distingue le beau du sublime. Pour lui, le beau est harmonieux, attirant, le sublime disproportionné et terrible. Cette distinction sera reprise par Emmanuel Kant dans sa Critique de la faculté de juger (1790). »     Wikipédia/beau

.

BEAU, JOLI. Le joli n’est qu’un diminutif du beau ; il n’en a ni la grandeur, ni la régularité, ni la généralité, ni l’idéal. La chaîne des Pyrénées vue du haut du pic du Midi est un beau spectacle ; un joli paysage est quelque chose de bien plus restreint. Un vieillard peut avoir une belle tête, n’a jamais joli visage.

.

Hegel affirme une différence conceptuelle entre le beau de nature et le beau artistique. Pour lui, le beau artistique est « très au-dessus de la nature », parce qu’il est œuvre de l’esprit. Il a pour but « la présentation de la vérité » sous sa forme sensible et permet à l’homme d’accéder à la conscience de soi.

.

Pour Platon, c’est par l’amour que l’on désire

Et découvre des choses de plus en plus belles

Beauté est à la fois un concept et une réalité

Qui dépend de celui qui regarde, qui écoute

Autant que de la chose regardée, entendue.

.

Mais dans la beauté il y a une dimension

Supérieure, sublime, parfois intérieure,

Qui en étant cachée demeure invisible

Aux yeux qui ne pénètrent l’intime !

.

Le beau, pour l’un, peut être laid

Pour l’autre …  subjectivement !

Et, ce qui n’est  ni l’un ni l’autre,

Est souvent qualifié de commun.

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Ce que j’en dis vous parait-il commun ?

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à mettre dans la page et non dans cet l’article

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Visuels scénario 

.

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Le fait de sur-maquiller ses yeux,

ses paupières,  sourcils, et joues,

.

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afin de leur donner plus d’éclats,

plus de présence, ou de couleurs,

.

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peut aboutir à l’effet contraire :

perdre l’attrait beauté naturelle.

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Textuel calligramme

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  • Belle comme le jour, belle comme l’amour : tel semble être le refrain de celles qui plaisent bien ! La beauté, pour la publicité, est parce que, je le vaux bien : telle beauté est marchandisée pour choisir celle qui convient. Il suffira d’y mettre le prix et le résultat sera garanti : cela fera la belle différence, amplifiant ses traits d’attirance ! Ne leur voilons pas la face, leur beauté, aux femmes, est leur principal atout : elle peut être naturelle, quand jeune, pucelle, quand, déjà apprêtée, après s’être mariée. L’enfant la déforme, changent ses formes et, si elle n’y prend garde, ses kilos, elle les garde. Elle a moins le temps et l’envie de s’occuper d’elle, consacre son énergie à l’éducation et à l’économie de son foyer. Jusqu’à quarante ans, elles sont au parterre, si leurs murissements affirment leur caractère, elles n’ont besoin de rien faire ou presque quand leur personnalité compense leur manque de fraicheur et de jeunesse naturelle. Après cinquante années, si elles s’entretiennent, ça passe encore, sinon des différences notoires font que leur ménopause survenant, leur plastique s’affaisse, ne s’impose qu’aux regards lubriques. Il leur faudrait quantité de soins, coiffure, manucure, sinon c’est la déconfiture et le régime toute l’année, sinon c’est emmagasiné et les vacances en thalasso pour massage, soins au visage, pour continuer à plaire à l’entourage. Elle n’est plus regardée par plaisir ni par désir et se plaire, à elle-même, est la dernière beauté qu’elle peut s’offrir même si l’intérieure est bien supérieure ! Oui, pour ceux qui peuvent la détecter et l’apprécier, non, pour tous les autres. De vieillir, s’enlaidir, pour la femme, est pire que pour l’homme, même étant bedonnant.

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Textuel extension

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  • + Cela, elles le savent bien dès leur prime jeunesse mais elles savent très bien aussi qu’aucune femme ne peut remonter le temps rien qu’en se maquillant. Ne leur voilons pas la face, tant la beauté, aux femmes, est leur destinée, si elles veulent attirer le regard sur elles. Elles n’ont pas le choix, elles y sont obligées, conditionnées. Il suffit de feuilleter un magazine consacré au monde féminin. Ce qui fait la beauté n’est pas sa plastique, plaisante, attirante mais le regard porté sur elles, on pourra dire par les hommes, mais par les femmes aussi, et parfois encore bien plus cruel, quand elles sont jalouses, dégoutées.   La femme que vous mettez en votre lit, ou qui vous entraine en le sien, est-elle bien la même en tous points le lendemain matin, démaquillée ? C’est possible après tout, l’amour est aveugle : pas certain ni probable ! Sans porter de jugements quelconques, et de quel droit, ni souhaitables, celle qu’on aimera sera celle de tous les jours et non d’artifices du jour. Il arrive même parfois, dans le cas d’une beauté naturelle et sans fard, que le maquillage, à outrance, la change au point de la peinturlurer. Attention alors que sous la pression d’un dictat, on rajoute, surjoué au point de laisser tomber proie pour l’ombre, par trop de clarté.  Selon certaines femmes, la beauté, n’est pas une option : une injonction ! Leur corps est pour être vue, être désiré alors que d’autres le voudront à égalité, avec les hommes et les autres femmes. Attention à ne pas commettre d’excès  vous menant tout droit à des impairs. Quand trop c’est trop : effet contraire, comme parfum virant et lors n’attrait, pot de peinture loin de tableau vivant.

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Textuels symboliques 

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Pinceau

  • Symbolique de forme : Un  pinceau, du Latin peniculus ou petite queue, est une variété de brosse à poils souples terminée en pointe, destinée à enduire, des surfaces,  d’une couche de mince matière de peinture, d’encre, de vernis, de fard. Un pinceau sert en calligraphie, en  illustration, en décoration, en bâtiment, en peinture artistique et en dessin.  Wikipédia

 .

Maquillage

  • Symbolique de fond : Le maquillage est logiquement lié  au paradoxe dont le féminin est porteur : il sera critiqué sur toute femme ordinaire, s’il est autre chose que … des plus discrets. Il est obligatoire sur une actrice, ou une femme d’exception, tant considéré comme malade, ou en crise si le fard reste absent de leurs visages ou insuffisamment criard. Modifié, source : echodecythere.com

 

Maquillage > 

  • Liens fond/forme : Le maquillage, comme son nom l’indique, consiste à embellir d’avantage, par un artifice. Il rime avec  poudre, crème, lotion, rimmel. La plupart du temps, il nécessite un pinceau et il s’applique pour la gent féminine. Si bien que le fond de teint rejoint la forme comme double peau de crème. Peut-on leur en vouloir : non, c’est leur liberté, c’est notre attente. Tout est une question d’application et de degré : pas assez ne sert à rien, et trop, trompera pour rien. Sous le maquillage, on perçoit la personne qui en rajouterait de trop et ne devient plus crédible. Un maquillage, léger, donnera plus d’éclats à celle qui en aurait assez, naturellement : il s’agit de souligner et non de surligner les traits.

.

.

Beauté

.

Agréable à voir ou à entendre.

Qui fait éprouver une émotion esthétique

Qui plaît beaucoup à l’œil en étant opposé à laid.

Dont physique, visage, répond aux canons de beauté.

.

On le qualifie de : joli, magnifique, superbe,  admirable,

Quand ce n’est charmant, gracieux, éclatant, harmonieux

.

Quand il s’agit de vêtement on dit : bien habillé, apprêté.

Il, elle, est parvenu à se faire beau, belle, chic, élégante.

Dans le « beau monde », la société élégante, brillante.

.

La beauté ferait naître  un sentiment d’admiration,

Ou de satisfaction en opposé à mauvais, médiocre.

.

Quel joli grain de beauté, vous avez, là, ma chère !

.

 « Edmund Burke, dans Recherche philosophique sur l’origine de nos idées du sublime et du beau (1757), distingue le beau du sublime. Pour lui, le beau est harmonieux, attirant, le sublime disproportionné et terrible. Cette distinction sera reprise par Emmanuel Kant dans sa Critique de la faculté de juger (1790). »     Wikipédia/beau

.

BEAU, JOLI. Le joli n’est qu’un diminutif du beau ; il n’en a ni la grandeur, ni la régularité, ni la généralité, ni l’idéal. La chaîne des Pyrénées vue du haut du pic du Midi est un beau spectacle ; un joli paysage est quelque chose de bien plus restreint. Un vieillard peut avoir une belle tête, n’a jamais joli visage.

.

Hegel affirme une différence conceptuelle entre le beau de nature et le beau artistique. Pour lui, le beau artistique est « très au-dessus de la nature », parce qu’il est œuvre de l’esprit. Il a pour but « la présentation de la vérité » sous sa forme sensible et permet à l’homme d’accéder à la conscience de soi.

.

Pour Platon, c’est par l’amour que l’on désire

Et découvre des choses de plus en plus belles

Beauté est à la fois un concept et une réalité

Qui dépend de celui qui regarde, qui écoute

Autant que de la chose regardée, entendue.

.

Mais dans la beauté il y a une dimension

Supérieure, sublime, parfois intérieure,

Qui en étant cachée demeure invisible

Aux yeux qui ne pénètrent l’intime !

.

Le beau, pour l’un, peut être laid

Pour l’autre …  subjectivement !

Et, ce qui n’est  ni l’un ni l’autre,

Est souvent qualifié de commun.

.

Ce que j’en dis vous parait-il commun ?

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Visuels et textuels >> 


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