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Visuels suggestion de scénario
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Qu’il soit riche et beau
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ou pauvre et déjà abimé par la vie
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l’enfant reste une personne à part entière !
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Textuels calligramme / extensions
£ + & #
- £ L’enfant reste un partage, lors un couple s’entend ; l’enfant devient l’otage, lors un couple se fend. Il est reconnu et nié, lors simultanément, devient seul trésor, quelqu’un de mort. On nomme un enfant, pour devenir personne : l’ambiguïté de ce mot, fait de lui tout ou rien. Enfant-personne se façonne au fil des saisons, des années, lors il prend ce qu’on lui donne sans avoir à le rendre, remercier. L’enfant est une personne : il ne suffit pas qu’on le nomme pour le reconnaître, en somme, faut-il encore qu’on le façonne ! Deux parents avec un enfant, et deux enfants avec un seul parent, ne sont pas des situations comparables : laquelle est la plus souhaitable ! Combien de parents préjugent que la garde de l’enfant leur est attribuée par une justice qui s’adjuge le droit de décider, trancher. Car la présence des parents est très bien pour l’enfant né, tant, seul l’amour en sera son juge si eux-mêmes se déjugent. L’enfant est bien une personne ; adulte, il le devient encore plus, il le prolonge, l’abandonne s’il ne le retrouve plus.
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- + L’enfant était considéré, il n’y a pas si longtemps, comme une personne, à partir de trois ans. Il faut dire que mortalité infantile, très forte, ne suscitait pas d’attachement profond dès lors que l’enfant devait prouver qu’il était suffisamment résistant pour durer. Aujourd’hui, c’est différent : on s’attache à l’enfant et on le considère déjà comme une personne bien avant sa naissance, dès l’annonce de sa présence au sein d’une gestation. Autres temps, autres mœurs : le concept de personne évolue aussi avec la religion : le nouveau-né devient une personne en le baptisant et puis la science s’en mêle à son tour, en découvrant l’Adn des deux parents qui en forme un troisième qui lui est propre et le conditionnera toute sa vie. L’amour des parents intervient autant pour établir les fondements d’une personne, pour la faire grandir, stagner, régresser que la génétique et l’environnement, la culture et l’éducation. L’enfant n’est pas une page blanche ni un tableau noir, il est une compétence et une performance qui ne demande qu’à grandir en même temps que ses neurones se connectent entre eux et que ces connexions produisent des centres nerveux spécialisés dans le langage, la motricité, la vue, l’ouïe, les sens, les connaissances, les expériences requises.
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- & Passer de l’enfant qui ignore qu’il est un enfant mais répond vite à son prénom, à l’enfant qui sait qu’il a droit à son statut protégé d’enfant dans toutes les situations ; à l’enfant qui est quelqu’un rendu capable de réfléchir et donc de prendre ses propres décisions ; à l’enfant qui pense à son avenir, et, qui se rend compte, qu’il n’aura pas toujours ses parents pour lui.
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- # La preuve, s’il en est que l’enfant est une personne : il a des droits ! On ne pourra faire ce qu’on voulant de lui, avec lui : que ce que l’on doit ! Un adulte se définira par une autonomie acquise, peu à peu, auprès de lui et d’elle, on dit même qu’il vole de ses propres ailes, on dit même que grand, il quittera son nid. Petit, on perçoit, son caractère, tempérament, comme des fondements réels de sa personnalité : l’enfant est une personne, quelqu’un qu’on nomme pour ce qu’il est, il était, et pour ce qu’il deviendra !
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Textuels symboliques et corrélations
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Enfant
- Symbolique de forme : Dans le vécu de l’enfant, toute sa relation avec ses parents et son environnement, reste importante. Comment se mettent en place les systèmes de croyances, de ressentis, et modes de fonctionnement issus de cet ensemble de forces, et qui vont représenter les bases des vécus et somatisations, que nous travaillerons tout au long de notre existence. Nous passons de l’enfant qui sait, à l’enfant qui est, puis à l’adulte qui sera à la reconquête de l’enfant intérieur. Source : lessymboles.com/seminaire/lenfant
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Quelqu’un
- Symbolique de fond : Si tout va bien après 3 ans, il est inutile de chercher à fouiller la petite enfance. S’occuper de la vie de quelqu’un qui ne vous le demande pas, serait pathogène. C’est pour cela que je n’ai jamais soigné d’enfants sans leur accord. «Tes parents s’inquiètent. Est-ce que cela t’ennuie de ne pas réussir en classe? – Oh non, ça m’est égal. – Très bien; le jour où tu en éprouveras le besoin, tu réussiras, parce que tu es intelligent. Y a-t-il autre chose qui t’embête ? – Je voudrais que ma petite sœur, elle ne soit pas née… – Ça, c’est difficile. lexpress.fr/informations/l-enfant-est-une-personne
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Personne >
- Liens fond/forme : – Cet enfant c’est vraiment quelqu’un. – Ah non, cet enfant ce n’est personne, pas encore mais peut-être plus tard. – Je voulais dire, déjà femme, homme. – Ah oui, l’on jouerait là sur les mots. – J’ai connu dont le nom est « personne », ça n’empêche : devenu « quelqu’un ». – Arrêtes… t’es trop fort pour moi, ou je confonds tout, bonhomme.
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