768 – L’enfant naît comme liesse des parents

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Visuels suggestion de scénario

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Il est bien vivant, et

curieux de tout, ce bébé,

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ses parents sont, pour lui,

des plus attentionnés,

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ses parents sont, pour lui,

des plus attentionnés,

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et surtout sa mère qui ne

tarit d’éloges à son sujet.

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Textuels calligramme / extensions

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  • £  Un enfant qui nait est toujours une joie : quel qu’il soit, tout il est : nouvel espoir, nouvelle aventure, nouvel être sur Terre, nouveau rire, en la maison. Il est encore un prématuré, vu le nombre de mois, s’il était né, où lors il nait, de même qu’il est prématuré de savoir ce qu’il deviendrait s’il était né ailleurs, autre cité, de parents riches, miséreux. L’enfant nait comme liesse, de parents qui reconnaissent un être encore prématuré et qu’il faudra accompagner, à partir de maintenant, et toute sa vie durant. L’enfant nait comme la promesse d’une aventure, nouvelle adresse, de soins, d’amours à dispenser, de craintes et d’espoirs à cerner : ce n’est pas qu’une page blanche, ce ne sera pas, non plus, un ange ! L’enfant nait comme un tempérament qui se transforme au contact de parents en caractère qui s’affirme – s’oppose mais ce ne sont que par jeux qu’il ose : il sait qu’il sera toujours soutenu, qu’il est fruit d’un bel amour ! L’enfant nait comme un destin que, peu à peu, il fera sien, et, parmi d’autres, son chemin, jusqu’à ce qu’il se sente bien, que ses parents se sentent récompensés de tous leurs efforts, de toutes leurs transmissions. Quoi de plus beau que de donner la vie sinon que de la transformer en valeurs, en bonheurs, en armes pour se défendre contre le vacarme du monde, lors quittant le cocon familial, où tout semble tourne rond ! Enfant, que je ne connais pas, d’yeux noirs, verts ou bleus, aux sourires faciles, déjà, fait rire le frère anguille en charmante famille, je lui souhaite une belle destinée par laquelle tu parviendras, à plein, te réaliser. Rayonnant, toujours joyeux, il vous ouvre une porte du paradis qui se construit, petit à petit, sous vos yeux pour vous rendre, chaque jour, heureux de lui donner tout votre amour en plus de soins et de confrontations.

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  • + L’enfant nait comme liesse, de parents qui l’ont désiré, qui ne pensent qu’à le choyer comme le plus beau des cadeaux que la nature leur a offert pour passer leur vie sur Terre. L’enfant rend toujours ce qu’on lui donne, d’une manière ou d’une autre : présence, soin, attachement, amusement, bien avant qu’il soit grand, et longtemps après avoir quitté ses parents. Il ne le donne pas en argent mais en sentiment, en attachement, partageant ses enfants devenus petits-enfants.

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  • & L’enfant ne saura pas qu’en naissant,  il fait une  joie immense à ses parents. Il se contentera d’être là,  l’air  content, comptant sur eux, mais, cela est animal. L’un, l’autre, comme son seul lien parental qu’il ressent comme comportement normal. Cette relation, de totale confiance, le grandit. Il ne le sait pas bien  encore, mais il y souscrit, et si on le laisse seul, on l’abandonne, il dépérit.

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  • # L’enfant est loin d’être une page blanche, ne serait-ce que par génétique, hérédité ! Ensuite il reconnaitrait la voix de sa mère, il a déjà quelques expressions, émotions ! Ensuite il décode la joie de ses parents,  comme un bien être très réconfortant. Ensuite, il criera  quand il aura faim, il pleurera en cas de gêne, abandon. Enfin, il observe tout l’entourage, sans compter l’environnement.

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Textuels symboliques et corrélations

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Graine 

  • Symbolique de forme : Pour mère nature, l’essentiel est la graine : des graines ou des noyaux. Du  point de vue symbolique, la graine, le noyau, c’est l’esprit. La chair, c’est l’espace pour l’âme lors la peau, l’enveloppe matérielle, le corps physique, qu’on voit, touche. L’homme véritable n’est  pas  le corps mais ce point imperceptible qui est là, quelque part au-dedans et qui pense, qui aime, qui crée et qui vit sa vie.   Source : groups.google.com/forum/#!topic/francom.esoterisme

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Unicité

  • Symbolique de fond : Le problème des rapports de l’appareil neuropsychique avec le tout de tout l’organisme, serait maintenant clairement posé grâce aux progrès ayant été réalisés dans recueils des connaissances des communications… intercellulaires. En dépit de la complexité  des liens qui unissent les milliards de cellules constituant le corps de l’être humain, les deux caractéristiques essentielles des êtres pluricellulaires sont l’unité et l’unicité. Ces caractéristiques indissociables se retrouvent à tous les niveaux et de structures et de fonctions, que celles-ci soient ou non qualifiées de psychiques, que l’on considère l’organisme simplement comme un ensemble intégré ou comme une personne. cairn.info/l-homme-fou–9782130461623-page-151

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Naissance > biologie, graine, enfant, parents, mâle/femelle

  • Liens fond/forme : En culture biologie, il n’y aura pas de bonnes ou de mauvaises graines, il n’y aura que des graines tout court. C’est l’homme, si ce ne sont les animaux, qui les séparent et puis les sélectionnent : l’enfant ne sera pas la graine,  il sera est issu de deux germes des parents, qui ont fusionné pour donner un troisième germe, mâle ou femelle. C’est la loi de la nature qui prévaut et se renouvelle.

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