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Visuels suggestion de scénario
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Un enfant, ça pleure très fort,
et au moindre mal, forcément
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mais enfant rie aussi de rien,
si ce n’est de pas grand-chose,
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lors parfois il se tiendrait entre
les deux : il est sur le point de…
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Textuels calligramme / extensions
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- £ L’enfant rit puis soudain l’enfant pleure, sans qu’il y ait eu un malheur ! L’humeur n’est pas encore fixée, elle tangue, roule, selon propre idée car dès que cela lui échappe, lui est étranger, il prend, de suite, peur. Il tient à le manifester bruyamment en pleurs en réclamant douceurs. Une fois dans les bras de mère consolatrice, il se calme et il rit comme étant à nouveau totalement ravi ! L’enfant passera des larmes aux rires, comme si les instants précédents avaient fait peu d’impressions sur lui, sur son tempérament. L’enfant passe d’inertie à action, est là, regarde, contemplation : il mélange acte et imaginaire, réalité abstraite et réalité arbitraire. L’enfant est innocent ou pervers, parfois les deux ou le contraire, il est jaloux, coupable, fier, demain autant que hier. L’enfant est un adulte miniature, qui apparait adulte immature, enfant surprenant de logique et tout autant, de magique. Arrêtez : l’enfant est ce qu’il est, et ce que, nous aussi, en faisons, il a, à la fois, tort et raison, tantôt génie, tantôt benêt. Si l’enfant vous pose problème, c’est qu’il cherche ses limites, et si en tout, il vous imite, c’est qu’il vous aime bien. Observer l’enfant, vous verrez l’homme miniature, en entier, qui s’inscrit et se construit en ses rêves réinvestis. Terminé, non : en restant enfant, on ne termine jamais de l’être, il y a toujours un peut-être se conjuguant autant.
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- + L’enfant, bébé, réagit comme un animal, qu’il est, en outre prématuré. Il manifeste ses émotions sans filtre ni interprétation et au premier degré. Qu’il passe du rire aux larmes n’a rien d’étrange, d’anormal, il évacue ses tensions et les manifeste comme il les sent. Le simple fait de revenir au contact de sa mère le rassure tant il fait entièrement corps avec elle et la lecture de l’expression souriante sur son visage suffit à le calmer. Le danger s’il existe, n’est plus pour lui. Un visage étranger le perturbe : même si ce dernier lui sourit, ce n’est pas l’empreinte qu’il attend : il y a une discordance dans ses gestes, expressions, mouvements. Il ou elle veut se faire passer pour son père ou sa mère mais il les reconnait pas. Ce n’est que tard qu’il établira la distinction entre sa mère et les autres mères, en étant capable, dans les bras d’une autre de décoder les expressions de sa mère.
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- & Crier, pleurer, verser des larmes est aussi naturel et fréquent chez le tout jeune enfant que rire et sourire, faut se le dire. Lors des signes avant-coureurs se profilent sur visage : de sa lecture, compréhension, directes, il faudra les compenser.
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- # L’enfant est une éponge : il absorbe tout ce qu’il voit, ce qu’il sent, ce qu’il ressent, sans recul, au premier degré ! On lira, sans cesse, sur ses airs, ses émotions de nature primaire, il n’en a pas encore de secondaires avant trois/quatre ans, langagières. S’il ne développe, entretient émotions, il y aura comme un soupçon d’autisme : pour autant il ne faut pas d’alarmisme, l’enfant changera vite lors de sa socialisation.
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Expressions
- Symbolique de forme : Enfants inventent, racontent et symbolisent leurs expériences à travers des histoires. Ils le font à travers leurs jeux ou leurs dessins, dans lesquels ils représentent une réalité issue de l’imitation ou de leur imagination. Les géants, les poupées ou les fées ont, souvent, des rôles principaux, fréquemment basés sur les parents, frères et sœurs, membres de la famille, amis et lors, la libre fonction symbolique chez l’enfant l’aidera à générer ses moyens d’expression. C’est souvent la base pour résoudre les conflits avec le monde des adultes. etreparents.com/limportance-de-lafonction-symbolique-chez-les-enfants
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Émotions
- Symbolique de fond : Il existe une théorie des «émotions de base : la Joie, la Tristesse, la Peur, la Colère, le Dégoût, la Surprise. Les émotions secondaires, la nostalgie par exemple, sont des mélanges des émotions de base. On parle d’émotions mixtes pour les émotions secondaires. Par exemple, d’après Paul Ekman, la honte est une émotion mixte : un mélange de peur et de colère, bloquée ou retournée contre soi. Source : Wikipédia Émotion
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Humeurs > labilité, rire, larme, immaturité, danger
- Liens fond/forme : Labilité définie comme propension à changer, à bouger, à être mobile pour l’expression, pour la position, comme passer du rire aux larmes, comme être sur le ventre, sur le dos tant il ne peut s’empêcher de réagir : manque de contrôle et immaturité, déclenchant sensations de danger.
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