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Textuels : poème, extensions, fragments
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Textuel poème
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- La race humaine domine le Monde depuis fort longtemps, des millénaires. Elle a du mérite, elle se dépense, se défend mais elle ne respecte pas, toujours, la Nature, y compris la sienne qui est de la ménager. Et la race humaine fait ce qu’elle veut des autres races, de tous animaux, mis à part, quelques espèces protégées : n’en est-elle pas elle-même, sommet de la pyramide. L’individu lui-même se croit au-dessus de tout : de la vie des plantes, animaux, bon nombre d’entre s’en foutent ! L’espèce humaine a vu le jour depuis très longtemps, certains prétendent même depuis la nuit des temps : elle n’est la seule même si elle en couronne le sommet : pour qui elle se prend si à la place des autres ne se met. Les uns admirent la nature, ses arbres, et ses champs ; les autres, les herbes, fleurs, fruits, légumes et plants ; les enfants s’étonnent des ruminants, carnivores, si ce n’est rongeurs ou reptiles qui dévorent. Des oiseaux, poissons, insectes par milliers : géographie, botanique, zoologie, mêlés, végétaux, animaux, tout être vivant : se reproduire est son seul tenant. Homme est seul, conscientisé par sa mort, immortalité : mais sa race se multiplie, et bien au-delà du permis. Serait-ce pour ne pas disparaître qu’en tel nombre il doive apparaître, en prédateur du monde et de tout le reste, il extermine beaucoup d’autres par ses gestes. Animaux sont là, bien avant lui, autant que pour lui, hommes se divisent, certains tuent d’autres sauvent ; certains prélèvent leur dû et d’autres vivent en harmonie : on protège chauves-souris, mais on chasse souris-chauves ! Que fait pourtant d’autre, la race humaine, l’espèce humaine, que chercher comme plante, animal, à survivre sans haine, estimant ça se ferait aux dépens du monde qui l’entoure. La nature sauvage recule, se meurt peu à peu et, seuls, survivront ceux que l’on aura capturés, élevés, domestiqués, mis en prison, dans un nouveau jardin d’Éden, avec des miradors aux alentours ! Serait-ce ainsi que l’homme est fier de progresser en l’humanité ! Serait-ce ainsi que les riches affament les pauvres, en animalité ! Plante, animal ne prennent nourriture que pour croitre, survivre, l’homme en prélève cent fois plus pour son seul plaisir de vivre !
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Textuel extensions
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- On a constaté la disparition des dinosaures, suite à cataclysme et l’on parle aujourd’hui de la perte des biodiversités animales ! Serait-ce notre tour demain, en tant que dominateur, exploiteur ! Tout ce qui n’est pas domestiqué, ou préservé dans des réserves. Va-t-il péricliter jusqu’au point de rupture et de non-retour ? Les réponses à cette question sont diverses et complexes, ais nous devons tous retrouver notre réflexe Nature. Faut-il parler de race ou bien d’espèce humaine : race est utilisé pour les animaux domestiques. Elle est une subdivision d’une espèce vivante en fonction de caractères morphologiques. Pour l’espèce humaine, la différence est celle de la couleur de la peau : critère morphologie secondaire qui est totalement irrationnel. Les blancs, les jaunes et les noirs ne sont ni des races ni des espèces, ils ont le même génome génétique : la différence n’est que suprémaciste !
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Textuel fragments
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- La notion de « race humaine » ne permettrait pas d’expliquer notre diversité génétique ni notre évolution. Présentes idéologiquement, distinctions raciales sont celles de qui désirera justifier les discriminations entre humains. Citation d’après le Museum National d’Histoire naturelle. Les blancs, les jaunes et les noirs ne sont ni des races ni des espèces, ils ont le même génome génétique : la différence n’est que suprématiste ! La « race humaine » domine le Monde depuis fort longtemps : des millénaires ! Elle a du mérite, elle se dépense, se défend, mais elle ne respecte pas, toujours, la Nature et y compris la sienne, qui sera de la ménager. La diversité biologique est loin d’être une constante de la Nature, d’autant que l’homme y intervient pour réguler, pour faire disparaitre des espèces, jugées, par lui, nuisibles. Le Monde est vase pour bouquet de fleurs à qui il manquerait des fleurs :quatre exactement : une pour espèce, race, individu, et homme !
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Illustrations : visuels, scénario et fiction
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Visuels
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Espèces animales dont certaines
ont déjà, vont bientôt disparaître,
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races animales dont certaines
sont domestiquées, autres, sauvages
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individu humain, qui se prend
pour un maitre social et sociétal.
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Espèce, race, individu, homme :
et que sont les hippopotames !
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Textuels symboliques
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Vase
Symbolique de forme : Le vase s’impose le plus souvent comme objet essentiel du rêve, contenant en lequel le rêveur va trouver certain refuge. Le vase est un contenant. Comme tout contenant, la boite, le coffret, sac, vase il est un symbole féminin. En un vase, on met de l’eau le plus souvent, symbole de la vie, de la terre aussi, et une plante, qui pourra s’y développer. Nombre femmes enceintes voient le vase contenant de l’eau et des fleurs.
signification-reves.fr/Vase
Bouquet fleurs
Symbolique de fond : Le don d’un bouquet fleurs existe dans la plupart des civilisations, soit qu’il constitue un cadeau ou un acte religieux. En certaines cultures, le langage des fleurs a sa symbolique particulière, qui donnera, à chacune, sa signification. Composition du bouquet peut être guidée par des questions de couleurs et voire de parfums, ou par le sens prêté à une fleur. Les significations des fleurs ont évolué au cours du temps et ne sont plus les mêmes selon toutes les cultures.
Corrélations > Diversité,
Liens fond/forme : La diversité biologique est loin d’être une constante de la Nature, d’autant que l’homme y intervient pour réguler, pour faire disparaitre des espèces, jugées, par lui, nuisibles. Dans le domaine des plantes et des fleurs, l’hybridation apporte de nouvelles variétés, soit à l’intérieur d’une même famille, soit à l’extérieur, par ajout caractère. Il n’y a que l’homme qui soit, le seul, le dernier représentant de son espèce, on ne peut donc parler de sa race, ni de la diversité de son Adn : nous sommes tous frères, de près ou de loin, issus d’un même génome. C’est ce qui fait notre force et en même temps notre fragilité. On l’a vu avec les pestes, les grippes, la Covid. On ne mourra pas tous mais tous frappés, comme dirait ce bon Jean de La Fontaine, à propos des animaux malades : c’est nous.
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