993 – L’homme est un animal, comme les autres !

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Visuels suggestion de scénario

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 Homme qui se prend, se prétend

être comme un oiseau prédateur.

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Faut-il se regarder en face, comme

un animal avec un visage humain ?

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  Il y a parfois assez peu de différences

en l’apparence et le comportement.

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Textuels calligramme / extensions

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  • £ Animal avant tout et prématuré même : si on ne l’éduque il vivra comme lui, il n’est qu’homme, potentiellement bien que stade animal, rarement ! Parfois il le dépasse en cruauté, parfois il le sublime en charité : du mouton au loup, chat, chien, toute comparaison lui convient ! Comme animal il pense à ses frères, comme humain, à ses congénères, il œuvre autant pour le bien et le mal, on le dit ange, démon, bouc ou chacal. Pour sûr, l’homme est un animal comme les autres, par son corps, par son comportement, son sort ! Tout cela est bien évident, banal, mais ne serait-il que cela encore bien plus et bien mieux que cela. Il n’est pas un, au moins triple : il n’est pas un, il est multiple, tant, par-dessus, que par-dessous, il s’est rendu apte à varier en tout ! On le trouve « mouton dans la foule » bien-pensant, bien communiquant : il ne tuerait, ne volerait personne, il est la « vox populi » du bon sens. On le trouve « loup dans la bergerie », il tue par plaisir, demeure impuni, il torture ennemi jusqu’à l’infini, pas seulement de corps mais d’esprit. On en trouve de colombophiles, d’humanistes et de bibliophiles, se déclarant sains et vertueux, n’ayant d’yeux qu’aux cieux. L’homme est à la fois, un animal, un mouton, un méchant, un merveilleux et un esprit parfois très curieux, capable de rendre un bien pour un mal.

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  • + Des enfants-loups, il n’y en pas eu beaucoup ; certains sont restés plus à l’aise et plus heureux en compagnie d’animaux que d’humains. Bon nombre d’enfants recueillis par des animaux en forêt sont de pures inventions pour tenter de combler par la fiction, le chainon manquant entre eux et nous. D’autres pensent que l’homme est pire que l’animal dès lors qu’il tue son frère, non pour se nourrir, se défendre, survivre, mais par désir de domination, voire par plaisir ou par cruauté gratuite. Il y a des mères dans le monde animal qui tuent ou mangent leurs petits pace qu’ils ne peuvent les nourrir ou qu’ils ont été entachés par la main de l’homme, des femelles qui tuent le mâle, une fois fécondée, des frères qui se disputent à mort une femelle pour se reproduire, exclusivement : le tableau n’est pas toujours rose chez certains animaux mais ils n’imposent pas leurs maux à d’autres communautés, privilège de l’homme !

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  • & Sommes-nous des animaux plus intelligents que les autres ? Si oui, des animaux quand même et rien que des animaux : voilà qui enlève un peu de divin à l’humain qui s’en prétend. D’accord, nous n’en sommes plus à faire le singe avec outils mais finalement l’animal n’est pas plus normal  que nous. Notre différence serait marquée par plus… d’extrêmes  tant en mal qu’en bien, tant en animal qu’en divin.

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  • # Si l’ont fait référence à la loi de l’évolution, découverte et amorcée  par Charles Darwin, il ne fait aucun doute qu’une majeure partie de notre constitution physique est issue de  la chaine animaux,  en remontant jusqu’à la préhistoire.  Nombre religions le conteste, en se basant sur des écrits, voire légendes, mythologies, qui ne sont autres que conte qu’on raconte, mais qui ne prouvent rien en fin de compte. Notre destinée très prochaine, et voire finale de toute l’humanité, serait proche de celle des animaux, sauf si l’on tient encore à croire à une vie ultérieure. Mais sur quoi se base-t-on pour nous la préciser, encore et toujours sur des religions… incertaines.

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Textuels symboliques et corrélations

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Singe

  • Symbolique de forme : Le singe est un primate présentant de fortes ressemblances avec l’homme. Il symbolise agilité, intelligence, ingéniosité. En Égypte, le singe est associé au scribe. Il note la parole de Ptah, dieu créateur et d’Anubis, la déesse funéraire. Aussi, il était considéré comme un magicien suprême, un artiste, un prestidigitateur, capable de lire les plus mystérieux des hiéroglyphes.     1001symboles.net/symbole/sens-de-singe

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Humain

  • Symbolique de fond : Si l’être humain se distingue des animaux, selon Cassirer, ce n’est pas  en vertu d’un atout substantiel que quelques bêtes ne partageraient pas avec lui-même, par exemple comme la possession d’une «âme réputée immortelle», mais bien plutôt par la fonction caractéristique  de son esprit, c’est qu’il vit dans une autre dimension de la réalité, pour ainsi dire une dimension symbolique.      fredericbaylot /ernst_cassirer

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Singe > être un singe, faire le singe, communiquer, moquer, mimiques

  • Liens fond/forme : D’être un singe et de « faire le singe »  n’auront pas le même sens en communiquant mais il ne faut pas se moquer du singe, il est peut-être notre ancêtre préhistorique, et nous avions les mêmes mimiques. Mais sommes-nous un singe savant ou animal qui a évolué constamment ou aurait soudainement acquis une compétence des langages et abstractions, images : dans tous les cas, nous sommes les seuls à réfléchir sur nous, tout.

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