1036 – Lutte, bien et mal, ressemble au combat !

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Visuels suggestion de scénario

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Le mal est en noir, bien en blanc,

en moins et plus pour la morale !

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Adam et Ève, tentation de la pomme

 de connaissance du bien  et  du mal !

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Diablotin, angelot ou la mauvaise

et la bonne conscience intérieure !

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Textuels calligramme / extensions

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  • £  Combat intérieur autant qu’extérieur, le bien et le mal étant deux valeurs qui sont, forcément, intériorisées, mais jugés sur des faits avérés.  Dieu serait du côté du bien ;  Satan serait du côté du mal mais si Dieu pouvait tout, comment tolérer Satan. Bien, mal, suppose une conscience n’ayant   rien  à voir avec une science mais avec la société et avec soi-même. La lutte entre le bien et le mal ressemble à un combat permanent et sans fin depuis la nuit des temps tant l’humain se comporte encore comme un animal qui écoute ses émotions corporelles plus que son raisonnement intellectuel. Si un tel combat nous parait fatal, et, qu’en plus, il serait inégal, pourquoi se donner tant de mal pour le tenir dans des limites normales ou tout au moins acceptables pour une société, un pays, une nation, une culture, données ! Il fut un temps où l’on parlait d’un combat originel et sempiternel entre Dieu et Satan : aujourd’hui, l’humain fait le vœu qu’il tende de lui-même vers une justice sociale autant sinon plus que pénale : éducation plus que punition. Le bien et le mal sont inhérents en nous, autant qu’autour, à la nature, à la culture, humaines et ils ne sauraient être éradiqués, dominés l’un par l’autre sinon au profit d’un totalitarisme noyant le libre arbitre dans sa pensée unique. C’est une question de degrés : « qui veut faire l’ange fait la bête » ; dit un dicton. La bête, tapie au fond de nous, se réveille, si elle est menacée. Elle est permanente, exacerbée par flots de nouvelles qui, de toute origine parviennent. Elles nous laissent en un état second, qui n’est pas propice à la réflexion, par manque de recul et d’intentions. Autant dire que la forme l’emporte sur le fond et plus encore que l’émotion domine sur la raison. De le savoir, de le dire, de le prouver, ne changera rien à nos comportements, c’est le drame : nous sommes manipulés par qui, par quoi… à nous de le trouver ! On dit, il faut combattre le mal par le mal, que la guerre serait parfois bien nécessaire, nous y sommes chaque jour, sans le savoir, mais le pire est que c’est sans rien pouvoir. La lutte entre le bien et le mal, est infernale, si le mal gagnait, le Monde serait anarchique. Si c’était le bien, ce serait pire, politique : il  faut les deux, point trop n’en faut. 

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  • + Rien ici

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  • & Le bien et le mal seraient des camps opposés, dont l’un serait mystique et l’autre diabolique. On serait bien là dans un univers ésotérique dont on a du mal à savoir qui l’aurait engendré. On voit parfois les deux aux extrémités de droite, alors qu’en réalité ils sont en boucle ou mélangées. Le mal, c’est l’ennemi, le dieu du bien est avec nous. Combien de films pour sauver la planète, s’inspirent de cette trame du bien contre le mal ou le bien gagne, nous réveillant en nous endormant cauchemar vivant.

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  • # Le mal nourrirait le bien, et réciproquement, à ce point que l’on dit : c’est un mal pour un bien.  Philo : « Le mal, se définit par opposition à une éthique  humaniste où le bien est respect des valeurs humaines ».  Nietzsche : « le mal lui-même est constitutif de l’existence  et chercher à l’abolir revient à abolir la vie elle-même ». Le mal peut être vu, par soi, comme un bien, une liberté, alors qu’il est condamnable et condamné par la société. Si le mal se pratique en dehors de conscience comme chez jeune enfant, adulte, est coupable.

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Textuels symboliques et corrélations

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Phare

  • Symbolique de forme : Le symbolisme du phare est positif. Il représente la lumière qui guiderait les hommes. Le phare indique une direction et bien au delà, un sens sacré. Il affirme sa verticalité. À l’instar de la tour, cette construction possède cependant un sens opposé : elle est faite pour être vue tandis  que  la tour est d’abord faite pour voir. Un phare est toujours porteur de lumière.  Source : tristan-moir.fr/phare

 

Côté obscur

  • Symbolique de fond : La symbolique de la nuit, dans notre culture, renvoie à la peur ancestrale du noir, à l’angoisse du vide, du silence et  quelque part au côté obscur des choses en tous les sens du terme, dans les ténèbres, le chaos, l’enfer, à l’inverse de la symbolique de la lumière qui  renvoie au positif de logiciel de pensée. On retrouve maintes expressions dans notre propre langage telles que «Mettre  quelque chose  en lumière», le mettre en valeur ou la négative «Ne pas être une vraie lumière», n’etre pas intelligent. nuitfrance.fr/?page=culture-psycho-societe&partie=lumiere-obscurite

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Combat > noir/mal, blanc/lumière, phare, hauteur, frontière

  • Liens fond/forme : Le noir, ce serait le mal, le blanc, c’est la lumière, entre les deux, un phare, et qui balaierait l’horizon des actes  et des opinions, en prenant de la hauteur. Vieille comme le Monde, la lutte entre le bien et mal, ne cesserait donc  jamais.  L’une se nourrit de l’autre, l’une a besoin de l’autre, pour  simplement exister mais la frontière est floue car un bien pour un mal, vaut un mal pour un bien.

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