<< Calligramme et symboliques
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Visuels suggestion de scénario
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Imagination débordante et un paradis
en fonction de ses croyances,
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enfer plus sobre, secret, redoutable,
derrière une porte mystérieuse,
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tandis que sur Terre, on cherche
le gouffre qui l’abriterait !
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Textuels calligramme / extensions
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- £ L’enfer et le paradis ne sont pas des lieux ou alors, dans un Néant, ce ne sont pas non plus des temps ou alors, en l’éternité, l’instant. Dans notre monde, dit moderne, on a fini de leur donner existence, sauf par analogie avec plaisir, souffrance, or l’enfer peut être joyeux, et paradis, terne. Mais, selon certains penseurs et athées, pas besoin d’aller chercher si loin trop : paradis, enfer, sont les communautés, proches de nous, par leurs huis-clos. Pour les chrétiens, l’enfer est dessous, isolé de tout, en flammes perpétuelles, le paradis est au… firmament des belles et des beaux anges ou angelots, c’est tout. Pour les athées, l’enfer serait les autres, soit de leur manquer, soit de les supporter : le paradis, sur terre est de très bons apôtres, pour jouir de trop, ou pour manipuler. Pour les agnostiques, l’enfer serait le vide sidéral : nous sommes faits de matières et non d’esprits : il n’y a de paradis que celui que l’on se bâtit, l’enfer est en l’Absolu, l’enfer est dans le Mal. Pour les scientifiques, le paradis serait dans le Temps et dans l’Espace d’avant le Big Bang, incluant un Dieu. Or ni l’un ni l’autre n’ont jamais pu exister jadis : ce sont des créations humaines pour sortir d’un tel jeu d’enfer ! Pour les romantiques, l’enfer serait au même endroit que le paradis, à savoir, dans les yeux de son aimé, prolongé par ses cuisses, par son ventre et ses bras, il se trouve autant en haut, qu’au centre, qu’en bas. Pour moi : le paradis et l’enfer ne seraient situés ni en un lieu, ni en un temps, bien que, par moments, j’ai l’impression d’y aller ou d’en revenir vraiment ; l’enfer serait, d’y rester, sans jamais pouvoir y échapper ! Le paradis entre humains ne serait autre que des liens ténus accordant un bonheur instable à certains, et aux autres, détestable. J’apprends à le reconnaître comme processus, faisant de moi un ange ou un minable, un saint ou diable !
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- + Mais où se trouvent l’enfer et le paradis ! Non là où ils seraient mais là où l’homme les a mis : paradis d’évasion sens de la vie, paradis d’évasion touristique, paradis d’évasion fiscale. Chacun a sa vision de l’enfer et paradis, à commencer par les siens, ceux qu’il vit lui-même sur Terre. Nous n’avons aucune description ni de témoignage de ceux qu’ils sont au-delà si tant est qu’ils existent !
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- & Le paradis au ciel ressemble à celui sur terre des croyants : une assemble de fidèles méritants, clergé d’autorité et Dieu. Ça manque un peu d’imagination et c’est bien trop humain. On cherche encore porte de l’enfer puisqu’elle est sous terre. Il y en a forcément une, sinon un gouffre comme trou noir et dans lequel l’on disparaîtrait et à jamais, sans espoir, un jour, de revoir ni le paradis ni la terre : au purgatoire !
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- # Pour les religieux, l’enfer est sous Terre, pour les non croyants, il est sur Terre : pour moi, il serait en chacun de nous ! Pour les religieux, le paradis est au ciel, pour les non croyants, il est sur Terre : pour moi, il serait en chacun de nous ! Et pour humoriste, paradis est en enfer, lors voulant dire, par-là, qu’il est en fer. Dur, dur, quand même : c’est pas crédit lors faut pas s’en faire d’un tel paradis !
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Textuels symboliques et corrélations
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Porte
- Symboliques : La porte d’entrée symbolise le passage d’un lieu à un autre, et un rôle de protection pour être mieux en sécurité chez soi. Entrer, sortir, franchir un obstacle, ou bien reculer devant l’obstacle ; dépassement de soi ; sublimation ou encore échec devant la porte ; Passage extérieur et l’intérieur ; référence à la clé ; solution à enfermement, lumière, obscurité, la vie, la mort (jugement dernier) et l’entrée au royaume des morts ; ce qui est révélé et ce qui est caché ; bien / mal et limite à ne pas franchir ; ce qui est sacré et ce qui sera profané. euradif.fr/les-symboles-de-la-porte-dentree
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Imaginaire
- Symbolique de forme : L’imaginaire peut être défini, sommairement, comme le fruit de l’imagination d’un individu, d’un groupe ou d’une société, produisant des images, des représentations, des récits ou des mythes plus ou moins détachés de ce qu’il est d’usage de définir comme « la réalité ». Il s’agit de la capacité d’un groupe ou d’un individu à se représenter le Monde à l’aide d’un réseau d’associations d’images qui lui donnent un sens. Wikipédia : imaginaire
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Paradis/enfer >
- Liens fond/forme : Porte du paradis, ou bien porte de l’enfer ! Pourquoi une porte là où on n’en sait rien : encore une anthropomorphisation non pas de l’Homme mais de l’Espace, sauf à penser qu’il ne s’agisse là que de pures métaphores, il s’agit davantage d’ouverture que de mobilier, de passage d’un état à un autre, et non d’un lieu.
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